Globe urinaire le 30.03.18 à 450 ml urines, pose sonde vésicale et sevrage de la sonde le 03.04.2018 Incidentalome surrénalien droit le 29.03.18: de 3x2 cm au CT abdominal, PET CT le 05.04.2018 Pneumonie nosocomiale probablement sur broncho-aspiration post-extubation le 02.04.2018 avec épanchement pleural gauche • Fluimucil du 02.04 au 09.04.2018 • Tazobac du 02.04 au 07.04.2018 • Co-Amoxicilline du 07.04.2018 au 14.04.2018 Herniation gastrique le 13.5.18: éventration sur laparotomie médiane, avec récidive de la hernie gastrique intra-thoracique Douleur poignet gauche DD arthrose, arthrite septique: radiographie du poignet: arthrose Avis orthopédique: Ultrason: épanchement, Correction de la crase, Ad ponction le 18.05.2018 : absence d'épanchement, probable poussée arthrosique : ad traitement symptomatique Fracture sous-capitale métacarpe à droite avec : • bascule antérieure à 40°. Fracture sous-capitale multi-fragmentaire non déplacée de l'humérus gauche le 19.01.2019. Fracture sous-capitale peu déplacée de l'humérus gauche. Fracture sous-capitale pluri-fragmentaire 5ème métacarpien main D le 19.01.2019. Status post fracture diaphysaire MC V mars 2018 traitée conservativement. Rhizarthrose symptomatique à D Fracture sous-capitée avec bascule < 50° de l'humérus droit Fracture sous-trochantérienne à gauche le 17.09.2018 • ROOS du fémur proximal par cerclage et enclouage antérograde par clou PFNa long 19.09.2018 Status post opération de la cataracte Status post-prostato-vésiculectomie pour un adénocarcinome en 2000 Status post accident vasculaire en 2014 Status post ostéosynthèse d'une fracture sous-trochantérienne gauche le 17.09.2018 suite à une chute sur probable syncope Fracture sous-trochantérienne droite déplacée le 26.08.2018 : • écoulement séreux Fracture spiralée de l'os tibial. Fracture spiroïde de tibia D Fracture spiroïde diaphysaire du tibia gauche Fracture spiroïde diaphysaire du tibia gauche le 05.12.2016 Réduction fermée sous MEOPA de fracture de tibia de la jambe gauche et immobilisation dans plâtre cruropédieuse (OP 01.12.2016) Fracture spiroïde diaphysaire du tiers distal du tibia gauche non déplacée sur traumatisme du 23.01.2019. Fracture spiroïde diaphyse tibia G le 20.01.2019. Fracture spiroïde du métacarpe IV main gauche. Fracture spiroïde du tibia à G le 12.01.2019. Fracture spiroïde du tibia distal droit. Fracture spiroïde du tibia droit sans déplacement suite à une chute à ski le 26.01.2019. Fracture spiroïde du tibia G non déplacée Fracture spiroïde du tibia gauche adressé de Chateau D'Oex Fracture spiroïde du tibia gauche datant du 27.1.2018 avec 5° de varus. Fracture spiroïde du tibia gauche non déplacée Fracture spiroïde du tiers-moyen du tibia D le 04.01.2019. Fracture spiroïde du tiers-moyen du tibia droit avec rupture partielle ligament collatéral externe cheville droite. Fracture spiroïde non déplacée de l'os tibial gauche. Fracture spiroïde non déplacée du 4ème métacarpe G le 13.12.2018. Fracture spiroïde peu déplacée du tibia distal non déficitaire. Fracture spiroïde P1 avec extension intra-articulaire du métacarpo-phalangienne index G, main non dominante. Fracture spiroïde tibia droite du 13.01.19 Fracture spiroïde tibia G type AO 41-B1, le 26.01.2019 Fracture spiroïde tibiale gauche le 26/01/19 avec malleolaire médiale ipsilatérale. Fracture spiroidienne diaphyse médiale tibiale Fracture splénique stade III post-accident d'équitation le 31.08.2014. Traumatisme crânio-cérébral avec amnésie circonstancielle le 31.08.2014. Mononucléose le 01.06.2018. Idées suicidaires le 06.08.2018 avec passage à l'acte chez patiente suivie pour état dépressif. Infection urinaire haute non compliquée le 04.12.2018. Fracture spontanée pathologique du bord latéral de la rotule gauche le 03.01.19 Fracture stable de l'anneau pelvien (type A selon Tile / LC type I selon Young-Burgess) le 25.11.18 traitée conservativement : • Fracture de l'aileron sacré G • Fracture ischio-pubienne G • Atteinte du mur antérieur du cotyle G Fracture stable des ponts ostéophytaires antérieurs D7-D8 avec extension niveau D8, non déplacé le 21.08.2018 Status après sepsis sur arthrite du genou droit à Staphylococcus aureus multisensible le 22.09.2017 (SOFA: 5) Status après fibrillation auriculaire rapide le 22.09.2017 dans le contexte septique Status après décompensation arthrose genou gauche le 24.03.2017 sur : • probable arthrite microcristalline (Colchicine 0.5 mg dès 05.04.17/Introduction Allopurinol) Status après fracture périprothétique de la hanche gauche, Vancouver B1 le 27.02.2017 traitée conservativement Status après fracture pertrochantérienne gauche en 1992 (ostéosynthèse) puis plaque vis 2007 sur fracture périprothétique Status après cure d'hernie inguinale droite en 2003 Status après néphrectomie droite en 2001 pour tumeur du rein droit Status après lobectomie hépatique avec gastrectomie partielle en monobloc et anastomose gastro-jéjunale sur hépatocarcinome en 2001 Status après PTG droite Traumatisme crânien avec plaie occipitale le 21.08.2018. Insuffisance rénale aigüe AKIN II d'origine intra-rénale. Fracture Stalder I de l'extrémité distale du radius avec luxation postérieure de l'épiphyse et fracture de la styloïde ulnaire G le 26.12.18. Fracture styloïde radiale gauche. Fracture sub-aigue de la 1ère phalange du premier orteil gauche le 22.03.2016 Conflit sous-acromial, tendinopathie long chef biceps, lésion partielle insertion sous-scapulaire, lésion partielle sus-épineux épaule gauche avec : • Acromioplastie + AS épaule gauche, ténotomie long chef biceps gauche le 19 septembre 2011. Ingestion impulsive de 200 mg de Pracépam le 22.04.2015. Ingestion impulsive de Stilnox (10 cpr) le 09.02.2016 hosp volontaire Marsens Plaie avant-bras G sur auto-mutilation au cutter le 23.12.2016 Tentative de suicide avec • scarification de l'avant-bras gauche avec des ciseaux Fracture de la tête radiale Mason 1 à gauche et luxation acromio-claviculaire gauche le 25.06.2018. Fracture sub-capitale 5ème doigt main D. Fracture supracondylaire humérus distal droit le 11.12.2018 Fracture supra-condylienne, comminutive, côté radial de l'humérus distal, déplacée en extension type Gartland III à G, le 22.01.2019 Fracture supra-condylienne du coude G le 19.11.2018. Fracture tassement de D12 sans recul du mur postérieur ni déficit neurologique découverte fortuitement au CT du 12.12.2018 Fracture tassement de L1 Fracture tear drop du coin antéro-inférieur du corps vertébral C3 le 18.01.2019 sur TCC en hyperextension Fracture tête radiale G Mason II diagnostiquée le 12.12.2018 traitée conservativement. Fracture tête radiale in situ gauche. Fracture têtes métatarses 2-3-4-5 avec arrachement au niveau MTP 1 médial pied droit, le 18.11.2018. Fracture tibia droit Salter III Fracture tibia et fracture à 2 étages péroné jambe gauche, AO 42-C2, ouverte grade III selon classification Gustilo, le 01.08.2017.Recherche Staph. MRSA et E. carbapénèmes R après hospitalisation à l'étranger (Portugal). Eventuelle symptomatologie de stress post-traumatique après un accident de la voie publique le 01.01.2017. Agranulocytose infraclinique transitoire du 01.09 au 04.09.2017. • Fracture tibiale longitudinale non déplacée jambe gauche. • Fracture tibio-fibulaire et malléole postérieure droite le 30/01/1. • Fracture tiers moyen de la clavicule G. • Contusion rotule droite 2011. • Contusion M. deltoïde et M. pectoral à gauche, entorse acromioclaviculaire stade I 2012. • Fracture 1/3 moyen clavicule G. • Intoxication éthylique mars 2018. • Morsure de tique, antibiothérapie 3j. • Fracture tiers latéral clavicule G; le 03.01.2019. • Fracture tiers médian clavicule G le 21.01.2019. • Fracture tiers moyen clavicule D. • Fracture tiers moyen de la clavicule G avec déplacement. • Fracture transverse de la diaphyse distale cubitus gauche le 14.11.2018. • Fracture transverse de la phalange intermédiaire du Vème orteil gauche le 08.01.2019. • Fracture transverse de la 1ère phalange de l'auriculaire droit. • Fracture transverse non déplacée de la pointe de la malléole externe à droite, 2016. • Entorses à répétition. • Fracture transverse, non déplacée, sacrum à gauche à hauteur de S4 et fracture transverse et oblique, non déplacée, sacrum à droite à hauteur de S4 et remontant jusqu'au trou de conjugaison de S3, traitées conservativement en 2014. • Fracture type Mallet Finger phalange distale Dig V main droite en août 2011. • Fracture ouverte phalange proximale du gros orteil droit avec perte de substance cutanée et tête métatarsienne I, ouverture traumatique articulation interphalangienne, perte de substance unguéale opérée par suture tendon extenseur, couverture des structures tendino-osseuses, embrochage interphalangienne et métatarse I droit, le 6 octobre 2009. • Epistaxis sur hypertension le 24.04.2018. • Anti-hypertenseur Amlodipine 5 mg en réserve si hypertension >170/90 mmHg. • Fracture traumatique de 9ème côte gauche. • Embolie pulmonaire centrale bilatérale. • PESI low risk. • Laboratoire. • ECG. • RX thorax. • Angio-CT scan thoracique. • Clexane thérapeutique du 14 au 15.01.2018. • Xarelto 15 mg 2x/j dès le 15.01.2018. • Fracture traumatique de 9ème côte gauche. • S/p mélanome. • Résection 2017 (Dr. X, Vevey). • Suivi par le Dr. X. • Fracture trimaleolaire le 02/01/18. • Fracture trimalléolaire cheville D datant de 6 semaines. • Fracture tri-malléolaire cheville D, le 18.07.2018. • Insuffisance rénale aiguë le 24.07.2018. • Amygdalectomie. • OP polypes nasaux. • Réaction post radiothérapie locale le 06.05.2017. • Fracture trimalléolaire de la cheville droite type Weber B le 09.12.2017 avec : • status post réduction ouverte et ostéosynthèse par triple abord le 20.12.2017. • status post ablation du matériel d'ostéosynthèse le 14.11.2018. • Fracture trimalléolaire de la cheville gauche. • Hypokaliémie. • Fracture tubercule majeur épaule G le 20.01.2019. • Fracture tubercule majeur épaule G le 20.01.2019. • Contusion genou D. • Fracture two-part three segment, sous-capitale, humérus proximal D type AO 11.A2, le 09.11.2018. • Fracture type Jones de la base du 5ème métatarse à D le 25.11.2018. • Fracture type Jones non déplacée du 5ème métatarsien du pied droit le 22.07.2017. • Suture des tendons extenseurs de la face dorsale du poignet gauche avec multiples lésions tendineuses et arthrotomie traumatique médio-carpienne le 27.06.2015. • Cure d'hémorroïdes selon Longo pour prolapsus hémorroïdaire persistant avec hématochézie le 16.07.2010. • Cure d'hernie fémorale gauche. • Douleur pariétale thoracique le 17.04.2018. • Récidive de douleurs abdominales hyperalgiques d'origine indéterminée le 20.09.2018. • DD: addiction médicamenteuse aux antalgiques opiacés, autre maladie intestinale chronique (coeliaquie, IBD, Allergie alimentaire). • Fracture type motte de beurre radius et cubitus G distale le 01.01.2019. • Fracture type Pseudo-Jones à G le 17.10.2018. • Fracture type Salter II du radius distal à G le 12.11.2018. • Fracture type Salter-Harris 2 du radius distal avec arrachement de la styloïde ulnaire à G, le 24.01.2019. • Fracture type Weber B à D avec status post réduction ouverte et ostéosynthèse de la malléole externe de la cheville D par plaque Pedus 2.7 le 23.03.2018. • Fracture type Weber B haute cheville G avec minime atteinte du Volkmann, le 13.01.2019. • Fracture type Weber B malléole externe cheville D, le 10.01.2019. • Fracture T11 non datée (suspectée depuis fin novembre 2018) : • Cyphoplastie T11, vertébroplastie T10 et T12, le 15.12.2018 Inselspital. • Fracture Waeber C bi-malléolaire de la cheville droite, traitée par réduction fermée, le 17.06.2018, Dr. X. • réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque anti-glide tiers tube à 4 trous et une vis compression PA 3,5 x 45 mm avec rondelle, le 24.06.2018, Dr. X. • Intoxication médicamenteuse volontaire avec 10 cpr Mydocalm 150 mg, 33 cpr Zolpidem 10 mg, 20 cpr Tramadol 50 mg, 15 cpr Xanax retard 0,5 mg, Escitalopram 10 mg, Prednisone 1 mg, Imodium avec transfert au RFSM de Marsens sous PLAFA. • Fracture Weber A cheville droite. • Fracture Weber A cheville droite le 08.12.2018. • Fracture Weber A de la malléole externe de la cheville gauche sur traumatisme du 22.01.2019. • Fracture Weber A le 30.04.15. • dd: séquelle. • D1 droit : fracture de Bennett, arrachement capsulo-ligamentaire de la face dorsale de l'os trapèze. • D1 droit : ostéosynthèse par 3 vis (OP le 13.05.2016). • Crise d'asthme sur IVRS le 18.10.16. • Fracture Weber B à G. • Fracture Weber B de la cheville droite. • Fracture Weber B de la cheville G le 11.01.2019. • Status post syncope d'origine probablement post-mictionnel. • Fracture Weber B de la cheville G non-déplacée le 04.12.2018. • Fracture Weber B de la cheville gauche avec fragment Tillaux-Chaput. • Fracture Weber B de la cheville gauche le 18.01.2019. • Fracture Weber B de la fibula distale avec luxation tibio-astragalienne latérale, cheville gauche sur traumatisme du 23.01.2019. • Fracture Weber B de la malléole externe, cheville droite. • Fracture Weber B de la malléole externe, cheville droite. • Fracture Weber B de la malléole externe sur traumatisme le 10.01.2019. • Fracture Weber B malléole externe cheville G. • Fracture Weber B peu déplacée de la cheville droite du 31.12.2018. • Fracture Weber C non déplacée avec fracture Volkmann non déplacée de la cheville D le 02.09.2018. • Fracture Winterstein déplacée du 1er métacarpe gauche, <30°. • Fracture X de l'épaule D. • Fracture 1/3 moyen clavicule G. • Fracture 2 parts, impactée en valgus avec composante head split de l'humérus proximal G, le 01.01.2019. • Fracture 3 parts de l'humérus proximal à droite sur traumatisme le 09.01.2019. • Traitement de cortisone dans un contexte de polymyalgia rheumatica. • Fracture 3 parts de l'humérus proximal G avec : • status post ostéosynthèse par plaque Philos 3 trous le 20.09.2018. • Fracture 3 parts humérus proximal à D le 01.12.2019. • Fracture 3 parts selon Neer humérus proximal D. • Fracture 4 parts de l'humérus proximal gauche. • Fracture 5ème côte G. • Fracture-arrachement calcanéum antérieur avec lésion du Chopart à droite le 31.01.2019 : • fracture intra-articulaire calcanéo-cuboïdienne. • Fracture-arrachement de la base du 5ème métacarpophalangien de la main droite le 22.01.2019.Fracture-arrachement de l'extrémité distale de la 2ème phalange du 5ème doigt gauche et suspicion de fracture de l'extrémité proximale de la 2ème phalange du 5ème doigt dans le contexte d'une chute mécanique le 27.01.2019. Fracture-arrachement de l'insertion antérieure du ligament croisé antérieur du genou droit et entorse du ligament latéro-interne de grade II, genou droit sur traumatisme du 21.01.2019. Fracture-arrachement de l'os triquetrum à gauche en 06/2014. Fracture-arrachement pyramidal dorsal à gauche le 07.12.2018. Fracture/avulsion épine tibiale, en regard de l'insertion du LCA, genou G. Fracture isolée du péroné proximal G, non déplacée. Fracture-avulsion sur le versant radial de la base de la phalange proximale du pouce gauche • Patiente droitière Fracture-enfoncement plateau tibial externe, jambe D; accident du 10.03.2015. Réduction ouverte, ostéosynthèse plateau tibial externe à droite par plaque 2.4 mm, greffe osseuse autologue. (OP le 19.03.2015). Fracture-luxation bimalléolaire Weber B de la cheville droite. Fracture/luxation columno spatulaire homolatérale Lisfranc G sur traumatisme du 15.09.2018 au Portugal (négligée) avec : • multiples arrachements de la partie intérieure du Lisfranc • fracture comminutive de la base des métatarses 2-4, du cuboïde et du cunéiforme latéral. Fracture-luxation humérus proximal G (Neer 3 parts), le 18.01.2019. Fracture-luxation tête humérale gauche le 29.12.2018, opérée le 30.12.2018 en Autriche avec réduction ouverte et mise en place plaque Philos le 04.01.2019. Fracture-luxation trimalleolaire cheville à D le 22.01.2019. Fracture-luxation trimalléolaire cheville D type AO 43-C1, le 02.01.2019. Fracture-luxation tri-malléolaire cheville G, le 13.11.2018 avec : • status post mise en place d'un fixateur externe le 19.11.2018 et ostéosynthèse définitive le 19.11.2018. Fracture-luxation trimalléolaire de la cheville gauche. Fracture-luxation trimalléolaire de la cheville le 09.01.2019. Fracture-luxation trimalléolaire jambe gauche, déplacée secondairement : • réduction fermée, embrochage par 1 broche transcalcanéenne 2,5 mm le 02.06.2011 • réduction ouverte, ostéosynthèse par plaque antiglide 1/3 tube 5 trous et vis de rappel malléole externe, • ostéosynthèse par broche et cerclage malléole interne gauche, pansement VAC faces interne et externe cheville gauche le 10.06.2011. Chute à domicile dans un contexte d'alcoolisation aiguë avec alcoolémie 2.93 pour mille. Cataracte bilatérale • opération clinique ophtalmologique HFR le 26.06.2018. Douleurs thoraciques avec syncope le 17.08.2018 : • DD réaction vagale/troubles de rythme sur troubles émotionnels • Coro (Baeriswyl) 2012 : normale, fonction systolique globale et régionale du ventricule gauche normal. • ETT 2017 normal • contexte d'alcoolisation Candidose oro-pharyngée le 17.08.2018. Troubles mnésiques le 17.08.2018 : • DD démence débutante • DD contexte consommation chronique d'alcool • Bilan neuropsychologique le 22.08.2018 • IRM cérébrale le 23.08.2018. Fractures acétabulaire gauche et branche ilio-pubienne gauche non déplacées (12.12.2019) avec : • contusion épaule gauche • contusion et hématome de la hanche droite Fractures au niveau des côtes il y a quelques années. État confusionnel et troubles du comportement sur hyponatrémie et sevrage alcoolique. Déchirure partielle du frein du gland le 02.03.2015. Hypoglycémie à 2,9 mmol/l le 06.03.2014. Fractures costales des arcs postérieurs des côtes 5, 6, 7, 8 avec épanchement pleural droit sous Sintrom le 24.01.2019. Fractures costales gauche de VII-IX le 27.10.2017 avec emphysème cutané et minime pneumothorax. Pyélonéphrite obstructive droite à E. Coli sur calcul urétéral distal avec IRA post-rénale traitée par pose de sonde double en avril 2011. Prothèse totale de genou droite en 2010. Abcès hépatique en 2005 traité conservativement. Diverticulites à répétition. Cure de rectocèle en 1985. Hystérectomie en 1980. Cure d'hallux valgus en 1960. Appendicectomie en 1939. Fractures costales gauches en série sans complications. Fractures de côtes anciennes à droite. Fractures de la branche ilio-pubienne et de l'aileron sacré du côté droit non compliquées sur chute sur syncope le 10.01.2013. Ictus amnésique en 2010. Fibrillation auriculaire paroxystique en 2004. Appendicectomie. Curetage. Opération au niveau de l'utérus. Douleurs abdominales dans le contexte d'une constipation chronique : • laparotomie avec adhésiolyse pour iléus grêle distal sur bride • oesogastroduodénoscopie le 29.10.2012 : gastrite chronique • CT thoraco-abdominal le 30.10.2012 : sans particularité • coloscopie le 31.10.2012 : sans particularité Fractures de la phalange distale du doigt D4 à gauche avec arrachement de l'ongle le 08.01.2019. • plaie d'environ 5 mm du lit de l'ongle. • plaie d'environ 3 mm de la pulpe du doigt. Fractures des côtes avec épanchement pleural à droite sur chute du 24.01.2019. Fractures des deux pieds en juillet • traitement conservateur, actuellement marche avec 2 cannes anglaises Fractures du bassin : • fracture branche ischio-pubienne droite multi-fragmentaire • fracture branche ilio-pubienne droite non déplacée • fracture aileron sacré droit Fractures du bassin : • fracture branche ischio-pubienne droite multi-fragmentaire • fracture branche ilio-pubienne droite non déplacée • fracture aileron sacré droit • avis orthopédique: prise en charge conservatrice • avis Orthopédie le 29.10.2018 : charge selon douleur, pas de restriction Fractures du massif facial avec : • fracture déplacée du toit de l'orbite droite et non déplacée du plancher • fracture du toit de l'orbite gauche • fracture transverse de l'épine de l'os sphénoïdal droit • hématome rétro-orbitaire droite Fractures occipitales multiples post-traumatiques. Fractures ostéoporotiques des 2 ailerons sacrés et de la branche ischio-ilio-pubienne gauche le 01.10.2018. Fractures ouvertes de la phalange distale du doigt D4 à G avec arrachement de l'ongle le 08.01.2019 • plaie d'environ 5 mm du lit de l'ongle • plaie d'environ 3 mm de la pulpe du doigt. Fractures-tassements D9-D12, sans déplacement du mur postérieur ; accident du 15.12.2018. Fracture-tassement de D12 sans recul du mur postérieur découverte fortuitement au CT de 12.12.2018 • pas d'accentuation en orthostase. Fracture-tassement de L1 grade A1 selon AO Spine avec perte de hauteur de 30% sans atteinte du mur postérieur dans un contexte de :• chute de sa hauteur sur hypotension dans le contexte d'un syndrome grippal le 31.12.2018 • traitement par Hydrocortisone au long cours pour panhypopituitarisme. • Fracture-tassement de L1 type A1 selon l'AO. • Fracture-tassement du corps vertébral de L5 le 26.10.2018 • Fracture-tassement du corps vertébral de L5 le 26.10.2018 : • Cyphoplasite L5 le 28.11.2018 • Fracture-tassement L1 aiguë/subaiguë avec douleurs lombaires aiguës le 03.12.2018 • Fracture-tassement L1 (sub)aiguë atraumatique non-déficitaire avec douleurs lombaires aiguës le 03.12.2018, avec : • s/p cyphoplastie L1 le 17.12.2018 • Fracture-tassement L1 subaiguë le 03.12.2018 sur ostéoporose. • Fracture-tassement ostéoporotique de la vertèbre D11 (Genant I Wedge Type) • Status post cyphoplastie D12 par système VBS M et cimentage par 6 cc de Vertecem le 31.08.2018 sur fracture-tassement D12 vertebra plana datant du 11.08.2018 • Progression de la cyphose entre septembre 2018 et janvier 2019 • François a montré une bonne évolution de ses problèmes initiaux à cause de SGA et a pu rentrer à domicile le 23.01.2019 à 16 jours de vie et 39 et 2/7 SA. • Anamnèse : Mme. Y a présenté : • – une anamnèse positive pour insuffisance respiratoire, sous oxygène. • – Une saturation à 88 % avec confirmation d'un syndrome obstructif. • – Une anamnèse négative pour maladies antérieures. • – Un accident vasculaire cérébral (AVC) ischémique dans le passé. • Par conséquent, un scanner a été prescrit et a rapidement montré un contrôle excédentaire sur le système circulatoire. • Mme. Y a fait l'objet d'une intervention en urgence pour drainer le liquide. • La suite a consisté en une prise en charge des complications respiratoires avec antibiothérapie. • Grâce à une prise en charge appropriée, la patiente a pu rentrer à domicile après un suivi régulier. • Recherche d'un avis de maladie chronique du poumon en rapport avec la prise de médicaments depuis plusieurs mois. • Suivi à domicile avec des visites régulières par le médecin généraliste et un spécialiste. • Hôtel de soins requis pour observations des fonctions vitales au besoin. • Accès rapide à une rééducation après évaluation du besoin. • Mme. Y a exprimé sa satisfaction quant à la prise en charge en réhabilitation et a demandé une consultation pour recettes habituelles de santé. • Problèmes supplémentaires : • – Pressions sanguines instables. • – Difficultés alimentaires et perte de poids. • – Dépendance à des aides à domicile. • Plan de continuité des soins : • 1. Suivi médical régulier avec retour d'informations sur la douleur et la capacité fonctionnelle. • 2. Montée en compétence de l’équipe soignante pour répondre aux besoins de la patient. • 3. Spécialiste de dermatologie pour prise en charge des lésions cutanées si besoin. • 4. Évaluation thérapeutique pour la gestion du stress, des émotions et de l'anxiété liée à sa maladie. • Conclusion : • Nous avons discuté des prochaines étapes avec la patiente et avons décidé d’un plan de suivi adapté. • Mme. Y a pu retourner chez elle après un séjour à l'hôpital et une évaluation approfondie de ses besoins.Eine antidepressive Therapie mit Saroten wurde bei psychischer Belastung ebenfalls neu eingeführt. Aus unserer Sicht besteht eine Indikation für einen psychosomatischen stationären Klinikaufenthalt. Nach Rücksprache mit Dr. X und der Familie war die Berner Klinik Montana für Mme. Y im Jahr 2016 gut gewesen. Eine Anmeldung für die Berner Klinik Montana in der Rehabilitation wurde erfolgt. Ad Nebendiagnose 4-5: • Weiterführung der Therapie. Ad Nebendiagnose 6: Wir diagnostizierten einen Vitamin D-Mangel und eine leichte Hypokalzämie, eine Substitution wurde begonnen. Die Vitamin D-Substitution wurde für 2 Monate mit 28'000 UI und dann als Erhaltungsdosis 8'000 UI verordnet. Wir konnten Mme. Y am 21.01.2019 in gutem Allgemeinzustand in Erwartung auf einen Platz in der Berner Klinik in Montana entlassen. Mme. Y stellt sich in der Permanence Murten am 23.01.19 abends wegen produktivem Husten mit weisslichem Auswurf seit 3 Tagen vor, welches mit Halsschmerzen sowie Schnupfen eine Woche zuvor angefangen hatte. Im Zusammenspiel mit einer niedrigen Sauerstoffsättigung von 91% unter Raumluft, den erhöhten laborchemischen Infektparametern mit Linksverschiebung sowie einem möglichen Infiltrat im Röntgen-Thorax wurde die Patientin zur intravenösen Antibiose, Sauerstofftherapie und Atem-Physiotherapie aufgenommen. Bei deutlicher klinischer Besserung am Folgetag konnte das Rocephin i.v. rasch abgesetzt werden, sodass Mme. Y am 25.01.19 in gutem Allgemeinzustand und mit Weiterführung vom Clarithomycin bis 30.01.19 nach Hause entlassen werden konnte. FRCV: • Surpoids (BMI à 29 kg/m2) • Dyslipidémie • Tabagisme actif à 40 UPA Maladie coronarienne bitronculaire • s/p NSTEMI inférieur subaigu le 14.02.2013 sur sub-occlusion thrombotique de la CD proximale • Coronarographie le 14.02.2013 (Dr. X) : maladie coronarienne bitronculaire avec occlusion chronique de l'IVA moyenne avec échec de désocclusion, sub-occlusion thrombotique de la CD proximale traitée par PCI et 1 stent actif. FEVG 35% sur hypokinésie modérée postéro-basale et apicale. • Coronarographie du 21.02.2013 (Dr. X) : occlusion chronique de l'IVA moyenne: PCI (2DES), subocclusion IVA ostiale: PCI (2DES). Bon résultat après PCI de l'artère CD proximale. FRCV: • tabagisme actif, environ 25-30 UPA • diabète mellitus type 2 (mise en évidence pendant l'hospitalisation à l'HFR Fribourg) Artériopathie des membres inférieurs • status post pose de stents dans l'artère iliaque gauche Thrombus intraventriculaire gauche le 16.03.2013 • échocardiographie du 14.03.2013 : FEVG à 40%, akinésie apicale antérieure et inférieure, septale et des segments moyens de la paroi antérieure • échocardiographie du 16.03.2013 : FEVG à 40%, présence d'un thrombus dans le ventricule gauche • échocardiographie du 25.03.2013 : FEVG à 40%, persistance d'un thrombus pariétal 13x5 mm organisé Diabète type II non insulino-requérant • HA1c à 6.6% le 21.03.2013 FRCV : ancien tabagisme jusqu'il y a 5 mois, anamnèse familiale et HTA négative, pas de dyslipidémie à l'anamnèse Migraine FRCV : diabète de type 2 insulino-requérant, HTA Parésie MID sur séquelle de poliomyélite DM2 non insulino-requérant FRCV : diabète de type 2 insulino-requérant, HTA Parésie MID sur séquelle de poliomyélite Polymyalgie FRCV : • diabète de type 2 non insulino-dépendant • hypercholestérolémie traitée Hypothyroïdie subclinique le 24.12.2018 Méningiome méningothélial de grade I selon l'OMS • Crâniotomie temporale gauche le 09.04.2010 FRCV: • Diabète sucré traité; HBA1C à 6.7% le 31.12.2018 • Suspicion d'un état pro-coagulant acquis d'origine indéterminée; possiblement para-néoplasique • Dyslipidémie traitée • Hypertension artérielle traitée • Obésité FRCV : HTA traitée, obésité, sédentarité, dyslipidémie, diabète de type 2 NIR, ancien tabagisme (120 UPA). Léger SAOS non appareillé avec polygraphie en 2013 : index d'apnée/hypopnée à 13/h. Insuffisance cardiaque chronique globale sur cardiomyopathie hypertensive et secondaire à la BPCO. Notion d'éthylisme chronique. FRCV : syndrome métabolique, ancien tabagisme, anamnèse familiale positive. Cardiopathie ischémique avec maladie tritronculaire : • FEVG 48% sur hypokinésie modérée antéro-latérale. • NSTEMI antéro-latéral avec subocclusion de l'IVA et pose de 2 stents actifs le 12.03.2018 (Dr. X, HFR Fribourg). • s/p infarctus du myocarde en 2002 avec implantation de 3 stents (Dr. X). • s/p infarctus du myocarde en 1987. • ETT du 12.03.2018 : FEVG 50-55%, cinétique non visualisable, IM stade 1/4, IT stade 1/4. • Intervention du 23.11.2018 par Dr. X : Double revascularisation myocardique par pontage de l'artère mammaire interne gauche en séquentiel sur l'interventriculaire antérieure et la diagonale. • ETT le 11.12.2018 : fonction globale légèrement diminuée avec une hypokinésie du septum basal (DD en post-opératoire), fonction systolique VD discrètement altérée (DD post-opératoire). Minime épanchement péricardique sans répercussion hémodynamique. • Contrôle à la consultation de Dr. X à 6 semaines post-opératoire. Fibrillation auriculaire asymptomatique normocarde inaugurale le 11.12.2018. • Score de CHAD-VASC : 4. • Anticoagulation par Eliquis dès le 14.12.2018. • Avis cardiologique du 22.12.2018 (Dr. X) : Poursuivre anticoagulation et tenter une cardioversion électrique ou médicamenteuse à 4 semaines après le début de l'anticoagulation. Syndrome métabolique avec : • Diabète insulino-requérant et sous ADO. • HTA. • Dyslipidémie. • Obésité de stade 2. Sinusite chronique. Hernie hiatale avec RGO. Prostatisme sur hyperplasie bénigne de la prostate. Syndrome des yeux secs. FRCV : HTA, HCT Kyste pancréatique de 1.5 cm. FRCV : HTA, HCT Kyste pancréatique de 1.5 cm. FRCV : • HTA systolique isolée légère • Cardiopathie dilatée d'origine non-ischémique • Bloc de branche gauche complet (depuis octobre 2016) • Petite insuffisance mitrale (grade I) 2/4 sur stenting défeuillé FRCV : • hypertension artérielle traitée • tabagisme actif • SAOS de degré moyen FRCV : Tabagisme à 40 UPA (stop 01.11.2018). Anamnèse familiale négative (père décédé AVC à 75 ans, mère décédée d'IM à 84 ans). OH : 1 verre/jour. Cardiopathie ischémique avec : STEMI antéro-latéral sur occlusion thrombotique de l'interventriculaire antérieure moyenne le 01.11.2018 avec coronarographie réalisée à Fribourg par Dr. X le 01.11.2018 avec : • thrombo-aspiration, dilatation et mise en place de 2 stents de l'IVA moyenne • pic des CK à 6653 U/l • FEVG 45%, akinésie apicale Polykystose rénale bilatérale suivie par son médecin traitant. Polype du colon sigmoïde de 1 cm. FRCV • Tabagisme actif • Diabète type 2 • Obésité Trouble dépressif Troubles du sommeil Goutte Anémie normochrome normocytaire Selles liquides chroniques d'origine indéterminée multi-investiguée en octobre 2018 FRCV : tabagisme actif, hypercholestérolémie, anamnèse familiale positive (tous les hommes du côté de son père avec maladie coronarienne à < 50 ans) Maladie coronarienne tritronculaire • échocardiographie le 23.01.2018 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 %. • Coronarographies le 09.08.2016, 11.02.2016, 26 et 28.12.2015, 16.12.2013 • IVA : sténose significative proximale et première diagonale (bifurcation, PTCA + 2 stents le 28.12.2015), lésion non significative portion moyenne • artère bissectrice : sténose proximale significative (PTCA le 28.12.2015) Cx: lésion non significative • CD: occlusion prox. intra-strent, sténose moyenne 70 %, sténose distale 70 %; (PTCA 3 portions le 26.12.2015). Lésion intermédiaire de l'ostium de la RVP, in stent resténose coronaire droite moyenne (PTCA/DES le 09.08.2016) FRCV: tabagisme actif, hypercholestérolémie, anamnèse familiale positive (tous les hommes du côté de son père avec maladie coronarienne à < 50 ans) Maladie coronarienne tritronculaire • échocardiographie le 23.01.2018: ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 %. • coronarographies les 11.07.2018, 09.08.2016, 11.02.2016, 26 et 28.12.2015, 16.12.2013 FRCV: anamnèse familiale positive, tabagisme actif, dyslipidémie, hyperuricémie, surcharge pondérale (25 kg/m2), hypertension artérielle Ethylisme chronique avec hépatomégalie stéatosique. Hémorragie digestive haute • en 2009, dans un contexte de double anticoagulation plaquettaire • en 2007, sur syndrome de Mallory-Weiss Trouble de l'adaptation avec réaction anxieuse et dépressive. Cécité congénitale gauche. FRCV: hypertension artérielle actuellement sans traitement car résolue dyslipidémie actuellement sans traitement tabagisme actif Diverticulose • St/p diverticulite aiguë le 28.10.2018 traité par Ciprofloxacine et Métronidazole • CT abdominal du 28.10.2018: diverticulite de l'angle splénique, pas de perforation, pas d'abcès • St/p épisode aigu en 08.2018 Trouble de la marche d'origine multifactorielle (polyneuropathie, orthostatique, VPPB, déformation des pieds) Trouble vertigineux bénin d'origine multifactorielle (évalué par le Dr. X, ORL le 11.09.2018 • dégénération de l'oreille interne • VPPB • arthrose cervicale • hydratation orale insuffisante • test de Schellong négatif S/p déficit en vitamine D en 08.2018 • Calcimagon D3 Freka Clyss. Règles d'hygiène. Laxatif. Reconsulter médecin traitant en cas de persistance. Frissons Frissons. Frissons. Frissons et cyanose péri-buccale dans un contexte d'état fébrile sur gastro-entérite sans déshydratation Frissons et fièvre anamnestique le 11.01.2019 DD : endocardite, viral, bactérien avec : • critères de Duke : pas de critères majeurs, critères mineurs (prédisposition par Mitraclips) Frottis coqueluche : négatif Frottis RSV: positif Frottis grippe: négatif Frottis coqueluche à pister Éviction scolaire jusqu'à réception de la négativité de la coqueluche Frottis coqueluche et grippe négatifs Monitoring cardio-respiratoire Suivi prise alimentaire Traitement symptomatique Frottis coqueluche: ___ Frottis RSV: ___ Frottis grippe: ____ Frottis de grippe en cours Isolement Dafalgan Frottis de grippe et RSV le 31.12.2018 : négatif Antigène urinaire : négatif Hémocultures : négatif Capnographie et polygraphie le 07.01.2019 Expectorations : Acinetobacter complexe calcoaceticus-baumannii Frottis de plaie 30.12.2018: Streptocoque groupe mitis, Streptocoque groupe salivarius, Candida krusei Hémocultures 30.12.2018: 2/4 positives à S. pneumoniae, Co-Amoxicilline sensible CT abdomen injecté par la PEG 30.12.2018: pas de fuite visualisée, infiltration des tissus mous en pourtour de la sonde, avec espacement de la paroi gastrique CT abdomen et ORL 2.1.2019: pas de foyer thoracique ou ORL, progression des lésions hépatiques, tumorales DD infectieuses Consilium gastroentérologique 30.12.2018: La CRP est à 250. Le scanner sans contraste montre une dislocation de la sonde PEG de 2 cm plus, entre l'estomac et la paroi du ventre de la patiente. Le site de la PEG montre une rougeur et est très douloureux à la palpation. Une microbiologie du pus est effectuée. Je recommande un consilium chirurgical urgemment avec la question du traitement médicamenteux ou opératoire. Anémie sévère. Substitution d'hémoglobine Avis Infectiologique Dr. X: Pour le moment, une antibiothérapie est nécessaire. Une bactériémie venant de l'infection de la paroi abdominale est peu probable vu les résultats de la microbiologie différente. Un CT thoracique avec base du crâne est recommandé pour exclure un autre foyer infectieux. Rajout: Un abcès hépatique sur lésion des muqueuses œsophagienne sur la dislocation du stent est probable. L'image au CT du 2.1.19 parle pour un abcès hématogène du foie droit. Une antibiothérapie est nécessaire et un ponction/drainage discutable avec le calcul du risque-bénéfice. Le risque est élevé que des abcès hépatiques se reforment. Avis radiologique Dr. X 04.01.2019: l'image correspond à 95 % avec un abcès hépatique localisé dans le foie droit. Vu l'état oncologique dépassé et la cinétique, refus de faire une IRM du foie par manque d'indication. Un drainage devrait être discuté avec les chirurgiens et les radiologues interventionnels. Avis radiologue interventionnel Dr. X 04.01.2019: L'image parle pour une métastase, ou possiblement un abcès. Un drainage serait possible vu la localisation. Le risque de translocation de cellules tumorales avec une carcinomatose péritonéale est grand. Frottis du 29.10.2018: Escherichia coli, souche productrice de bêta-lactamase à spectre étendu [ESBL] Ergothérapie pour soins et massages cicatriciels. Consilium infectiologie par Dr. X du 31.10.2018 : • Antibiothérapie par Invanz 1 g 1x/j à partir de 31.10.2018 au 05.11.2018. Consilium angiologie par Dr. X du 02.11.2018 : US-Doppler art des 2 extrémités: pas de trouble artériel limitant la possibilité de greffes de peau au niveau des deux jambes et du pied D. Révision de plaie, débridement et prise de prélèvements jambe D. (OP le 06.11.2018) Hémoculture du 08.11.2018 : négative. Auto-greffe de peau fine selon Thiersch au niveau de la jambe D. (OP le 07.12.2018) Frottis en cours Frottis grippe négatif Ag urinaires nég Donné 1 dose Rocéphine et Klacid au service des urgences Frottis grippe : positif. Laboratoire. Poursuite traitement symptomatique. Arrêt antibiothérapie de Co-Amoxicilline. Suite de la prise en charge par le médecin traitant avec contrôle clinique et biologique en début de semaine prochaine. Frottis grippe : positif pour Influenza A Antigène urinaire négatif pour L. Pneumophilia du groupe 1 et Pneumocoque Traitement symptomatique Isolement respiratoire type gouttelette du 22.01 au 23.01.2019 Frottis grippe: à pister Traitement symptomatique Frottis grippe en cours Pas de Tamiflu car début des symptômes plus de 48 h. Frottis grippe négatif Rotavirus et adénovirus négatifs Frottis grippe: négatif CT abdominal le 20.01.2019: condensation pulmonaire basal gauche CT thoracique le 22.01.2019: foyer en base pulmonaire gauche, multiples adénopathies médiastinales et creux axillaire Avis infectiologique (Dr. X) Rocéphine + Klacid IV du 21.01.2019 au 22.01.2019 Tazobac + Klacid IV du 22.01.2019 au 24.01.2019 Rocéphine IV dès le 24.01.2019 Céfépime du 25.01.2019 au (dosage en cours envoyé au CHUV le 28.01.2019) Frottis grippe positif : Grippe A Frottis grippe positif : Grippe A AINS en systématique Consignes usuelles détresse respiratoire (++ vu patiente partiellement vaccinée) Contrôle dans 48 heures chez pédiatre, avant si péjoration clinique Frottis local : Staphylococcus aureus sensible à la Co-Amoxicilline Amoxicilline intraveineuse du 24.12 au 28.12, puis par Floxapen du 28.12 jusqu'au 04.01. Drainage et pose de VAC du 25.12.18 au 11.01.2019 Fermeture de plaie inguinale droite le 11.01.2019 Frottis MRSA : absence Frottis VRE, CPE, ESBL : absence Levée de l'isolement le 07.01.2019 Frottis mycoplasme négatif gazométrie : pas d'acidose, hypokaliémie 2.7, corrigée sur la gazométrie du 18.01 Léger syndrome inflammatoire CRP 25, leucocytes en ordre Frottis naso-pharyngé : RSV positif Monitoring cardio-respiratoire Oxygénothérapie du 26.01 au 29.01.2019 Sonde naso-gastrique en place du 26.01 au 28.01.2019 Frottis nasopharyngé : positif pour Influenza A Traitement symptomatique Isolement gouttelettes (premiers symptômes le 03.01.2019) Frottis recherche HSV (frottis des lésions vésiculaires) : type 1 positif (Dr. X). TG : négatif Stix urinaire : sang + Frottis RSV : positif Frottis RSV : positif Gazométrie 21.01 : acidose respiratoire. Puis la gazométrie de contrôle le 21.01. eo Frottis RSV + Gazométrie Radiographie du Thorax HighFlow (max 8 lt FiO2 31%) du 15.01 au 18.01.19 puis oxygénothérapie par lunettes nasale Surveillance alimentaire Frottis RSV le 02.01. négatif Frottis RSV : négatif Frottis RSV : négatif Frottis RSV négatif Surveillance respiratoire et de la prise alimentaire Minimal handling Médecine anthroposophique Frottis RSV négatif Ventolin 6 push 3x dans 1h, puis 6 pushs après 3h, puis 4 pushs aux 2h Betnesol 0.25 mg/kg/j pendant 3 jours Oxygénothérapie pendant le sommeil Frottis RSV positif Frottis RSV : positif Essai de Ventolin 4 pushs Monitoring cardio-respiratoire Minimal handling Frottis RSV positif Surveillance respiratoire Frottis VRE le 04.01.2019 : négatif Frottis VRE le 09.01.2019 : négatif Frottis VRE le 28.12.2018 : négatif Frottis VRE 25.01.2019 : négatif Frottis Isolement de contact FSC : alignée Gazométrie : alignée US abdominal 27.01 : coprostase dans le colon ascendant et descendant. Quelques ganglions dans le mésentère en faible quantité, aspécifique. Rein présentant une corticale hétérogène ddc compatible avec la néphrocalcinose connue. Petite rate. FSC + CRP : en ordre FSC : GB à 6.4 G/L, CK : 421, Na : 141, urée/ créat : 5.9/47, CRP < 5 mg/l sédiment urinaire : sans anomalies FSC : Lc 13.6 (bâtonnets 12.5%), Hb 117, Tc 400 CRP : 13 FSC : leucocytose 21 G/L surtout neutrophilique, thrombocytose 509 G/L CRP : < 5 mg/l FSC : pas d'atteintes des lignées hématopoïétiques, pas de syndrome inflammatoire Chimie : pas de troubles électrolytiques, bilan digestif aligné Gazométrie : alignée Urine : corps cétoniques ++++ à l'entrée FSC : anémie normochrome normocytaire à 91 g/l (dans contexte de nadir à 2 mois de vie), pas de leuco-/thrombopénie avec leucocytes à 6.1 G/l, répartition montrant une neutropénie sévère à 0.23 G/l, thrombocytose 605 G/l Fonction rénale : Na limite basse à 131 mM, K dans la norme à 5.2 mM, fonction rénale alignée avec urée 1.7 mM, créat 19 uM FSC (contrôle de lymphopénie à 1.59 G/L) : 6.58 G/L Radio du thorax : pas de foyer pulmonaire, épaississement bronchique diffus FSC, CRP : pas de syndrome inflammatoire Bilan urinaire : pas d'infection urinaire US abdominale : pas d'appendicite Att : Ad. lavement aux urgences (Freka-clyss 130 ml) efficace Traitement laxatif par Movicol 1-3 sachets par jour pour une cible de 1-2 selles molles par jour Contrôle chez le pédiatre dans 1 semaine FSC, CRP, bilan de myocardite sanguin avec Rx thorax, ECG, gazométrie Consignes usuelles détresse respiratoire Co-Amoxicilline 80 mg/kg/jour durant 7 jours FSC, CRP, bilan de myocardite sanguin avec Rx thorax, ECG, gazométrie Consignes usuelles détresse respiratoire Co-Amoxicilline 80 mg/kg/jour durant 7 jours Contrôle dans 24 heures aux urgences FSC, CRP, électrolytes, fonction rénale Bilans entrées-sorties aux 3 heures jusqu'à minuit puis aux 6 heures Bilan selles : Noro-, rota- et adénovirus, coprocultures FSC CRP et sérologies Retour à domicile avec contrôle et US le 16.01 en ORL Algifor à visée anti-inflammatoire FSC CRP et sérologies Retour à domicile avec contrôle et US le 16.01 en ORL Algifor à visée anti-inflammatoire FSC, CRP, gazométrie Amoxicilline 40 mg/kg aux 12h, soit 400 mg pendant 7 jours Sirop Santasapina Ibuprofène et Paracétamol au besoin contrôle chez le pédiatre dans 48h FSC, CRP bilan urinaire Contrôle clinique dans 24h aux urgences pédiatriques FSC, CRP Frottis des aphtes pour Herpes simplex 1 positif Hospitalisation pour hydratation : Glucosalin 2:1 1500 ml sur 6h i.v. Tramal gouttes 50 mg p.o en réserve Solution du CHUV Wala Antimonit/Rosae aetheroleum comp. solution Ulcar FSC, CRP Hémocultures en cours Urotube en cours RX thorax Avis cardiologique, Dr. X Rocéphine 50 mg/kg une dose aux urgences Podomexef 8 mg/kg/j jusqu'au 24.01.2019 Contrôle clinique le 13.01.2019 si persistance de l'état fébrile Ultrason des voies urinaires le 14.01.2019 FSC, CRP Hémocultures en cours Urotube en cours RX thorax Avis cardiologique, Dr. X Rocéphine 50 mg/kg une dose aux urgences Podomexef 8 mg/kg/j jusqu'au 24.01.2019 Contrôle clinique le 13.01.2019 si persistance de l'état fébrile Ultrason des voies urinaires le 14.01.2019 Échocardiographie le 13.01 : sans particularité : fonctionnalité des valves parfaite FSC, CRP Stix, sédiment FSC, CRP Stix/sédiment urinaire Imagerie : US abdominal et CT-scan le 04.01.18 Avis chirurgical (Dr. X) FSC, CRP Stix/sédiment urinaire US abdominal Avis chirurgical FSC, CRP Ultrason abdominal Lavement par Freka Clyss 1x Schéma de désimpaction par Movicol Consignes usuelles constipation FSC, CRP US hanches contrôle clinique et FSC, CRP dans 24h aux urgences pédiatriques FSC : en amélioration cf. consultations précédentes FSC et CRP : absence de syndrome inflammatoire Hémoculture du 30.04.15 : négative à 5 jours Clamoxyl 50 mg/kg q12h et Gentamycine 5 mg/kg q36h du 30.04. au 03.05.2015 FSC et CRP 1x/j FSC et fonction rénale/électrolytes Arrêt Nopil Contrôle FSC le 05.02, juste avant la CUM Consignes usuelles en cas de neutropénie (reconsulter immédiatement si fièvre, éviter lieux publics et personnes malades) FSC : hémoglobine 113 g/l, pas de leucocytose à 7.1 G/l, répartition en ordre, thrombocytes 306 G/l CRP : positive à 129 mg/l Gazo : acidose métabolique compensée avec pH 7.42, bicarbonates à 16 mM, BE -8.4 mM, pCO2 3.3, sodium limite basse à 132, reste électrolytes et lactates alignés Bilan de myocardite : troponines négatives, pro-BNP normales, CK-MB légèrement augmentées à 36 U/l ECG : rythme sinusal régulier à 150/min, axe env. 90°, PR 120 msec, QRS fins, bonne progression de l'onde R, ST isoélectrique, ondes T négatives en V1 et V3 (physiologiques), QTc 400 msec selon Bazett FSC : hémoglobine 133 g/l, leucocytes 6.5 G/l avec répartition alignée, thrombocytes 288 G/l CRP : négative < 5 US abdominal : lame de liquide libre 2x1 cm en fosse iliaque droite (pouvant être physiologique en post-opératoire), sédiment dans la vessie, reins sans particularité Histologie Appendice : oxyures présents dans l'appendice FSC, Hémostase Prélèvement de parasites FSC, Hémostase Prélèvement de selles : parasites FSC : initialement coagulée, refaite - pas d'anémie (Hb 131 g/L), leucopénie à 3.6 mM avec neutropénie modérée à 0.65 G/l, thrombocytes à 157 G/l CRP : négative Chimie : hyponatrémie légère à 132 mM, K hémolysé, urée 5 mM, créat 31 mM soit Schwartz corrigé de 94 ml/min/1.73 m2 (avec taille de 111 cm en 11.2018), CK augmentés à 242 U/l Stix/sédiment urinaire : pas d'hématurie/myoglobulinurie Frottis grippe : influenza A +FSC Lc 9.7 sans déviation gauche, Hb 116, Tc 266 CRP 9 Stix et sédiment urinaire : pas de leucocytes, pas de nitrites, pas de sang, 1+ de germe (au sachet) FSC : thrombopénie avec plaquettes 138 G/l (normales à 259 G/l quelques heures auparavant à Tafers), pas de leucocytose mais prédominance neutrophile de la répartition CRP 112 le 21.01 puis 75 le 23.01. Hémocultures : négatives à 4 jours CT-scanner : amygdales et végétations hypertrophiées avec réhaussement minime de l'amygdale gauche pouvant être compatible avec un début d'abcès amygdalien, pas d'abcès rétro-pharyngé, paquet de ganglions cervicaux sans adénopathies FSC Fonction rénale Stix/sédiment urinaire Frottis naso-pharyngé Influenza FSS aux 24-48 heures : dernières valeurs le 11.01 avec 5 g/l de plaquettes FSS, CRP, Créatinine, Gazométrie - normaux Stix urinaire : pas de corps cétoniques, reste sp FSS Groupe sanguin Avis CHUV, Dr. X (079/556.72.54) IVIG (1 g/kg) le 16.01 Solumedrol (2 mg/kg/j) du 16.01-17.01 Schéma dégressif Prednisone oral dès le 17.01. Fucidine crème Désinfection locale Antalgiques en réserve Contrôle chez le pédiatre dans 48 heures si péjoration clinique Fucidine crème, durant 1 semaine. Fucidine. Savon Pruri-med. Fuite de liquide du drainage sur compresses, liquide non purulent. Culture du liquide de drainage axillaire gauche avec examen direct (GRAM). Changement de bouteille le 19.12.2018 à 03h. Nouveau changement de bouteille le 19.12.2018 à 15h pour éviter manipulations sur système Réfection du pansement : bétadine onguent + pansement sec. Surveillance du pansement. Fuites depuis le gastrotube Fuites persistantes de la gastrostomie • Mise en place le 11.12.18 suite à des fausses routes et dysphagies Furoncle en formation au-dessus de la fesse droite sans collection franche. Furosemide le 14.01.2019 Reprise du Torasémide dès le 19.01.2019 à petites doses (5 mg) Attitude : • Suivi du poids et de la volémie Fusion des arcs costaux gauches 5-6 Fx éminence intercondylienne genou G le 1.1.19, type III selon modified Meyers and McKeevers F12.9 Troubles mentaux et du comportement suspectés liés à l'utilisation depuis plusieurs mois de dérivés du cannabis F25.1 Trouble schizo-affectif type dépressif. F.02.0 Démence de la maladie de Pick. F32.1 Épisode dépressif moyen en relation avec un surmenage au travail (Burn Out). Antécédent d'une consommation à risque voir dépendance à l'alcool probablement entre 2010 et 2015. F32.8 Autres épisodes dépressifs, avec passage à l'acte suicidaire (F33.1) Trouble dépressif récurrent, épisode actuel moyen : • Pas d'idées suicidaires • Idées auto-agressives actuellement bien distancées de tout passage à l'acte • Thymie basse, apathie, ruminations fréquentes • Troubles du sommeil, en particulier de l'endormissement. Avec aspects de trouble de l'alimentation et de trouble de la personnalité : • Consommation excessive de nourriture régulièrement • Parfois suivis de vomissements : récemment 4x/semaine 1x/jour • Scarifications à l'avant-bras il y a 2 semaines. F33.2 Trouble dépressif récurrent, épisode actuel sévère sans symptôme psychotique. Probable trouble de la personnalité émotionnellement labile. Hospitalisation à Marsens pour un état dépressif sévère traité par Sertraline 100 mg. F-43.25 Trouble d'adaptation avec perturbation mixte des émotions Gabapentine 300 mg/j dès le 09.01.18 Adaptation traitement par le médecin traitant Gammapathie monoclonale à IgG-lambda DD : myélome multiple, smoldering myeloma Gammapathie monoclonale IgG type Kappa de signification indéterminée (MGUS) le 18.10.2018 ; DD : lymphome avec gammapathie monoclonale • Immuno-électrophorèse des protéines le 13.10.2018 : k/l 1.65, bande monoclonale IgG kappa • Avis hématologie (CHUV) : pas de critère de myélome, CT cervico-thoraco-abdominal à la recherche d'adénopathie/splénomégalie à effectuer à la recherche d'un lymphome Ganglions cervicaux non significatifs Gangrène humide et abcès moyen et avant-pied droit le 23.09.2016 • s/p amputation au niveau du Chopart avec transfert du tibialis anterior le 23.09.2016 (Inselspital) • s/p 2ème look, débridement, prise de biopsies le 27.09.2016 (Inselspital) • Germes (microbiologie 23.09.16) : Streptococcus milleri +++ (3 prélèvements) flore mixte gram - +++ (tendons extenseurs) flore mixte aérobe +++ (dos du pied proximal, médiopied dorsal) / • Germes (microbiologie 27.09.2016) Morganella morganii R Augm Cefuroxime +++ (talus, 3 prélèvements) • 3ème look, débridement, prises de biopsies, lavage pied D (OP le 09.10.2016) • 4ème look : débridement, rinçage, prélèvements (OP le 22.11.2016) • 5ème look : débridement, rinçage, prélèvements (OP le 06.12.2016) • Antibiothérapie par Cefepime 1 g 3x/j iv du 28.09 au 24.10.2016 et Flagyl 500 mg 3x/j per os du 06.10 au 24.10.2016. • Antibiothérapie par Co-amoxicilline 2.2 g 4x/j du 07.12.2016 au 12.12.2016 Sérome au niveau du moignon du pied droit septembre 2018 • US tissus mou du moignon : collection 4 x 1.5 x 4 cm, contenu hypoéchogène et pourtour hyperémié (inflammatoire ? surinfection non exclue sur la base de l'image échographique). • Suivi par le Dr. X. Germes (microbiologie 23.09.16): Streptococcus milleri +++ (3 prélèvements) flore mixte gram - +++ (tendons extenseurs) flore mixte aérobe +++ (dos du pied proximal, médiopied dorsal) / Germes (microbiologie 27.09.2016) Morganella morganii R Augm Cefuroxime +++ (talus, 3 prélèvements) 3eme look, débridement, prises de biopsies, lavage pied D (OP le 09.10.2016) 4eme look: débridement, rinçage, prélèvements (OP le 22.11.2016) 5eme look: débridement, rinçage, prélèvements (OP le 06.12.2016) Antibiothérapie par Cefepime 1g 3x/j iv du 28.09 au 24.10.2016 et Flagyl 500mg 3x/j per os du 06.10 au 24.10.2016. Antibiothérapie par Co-amoxicilline 2.2g 4x/j du 07.12.2016 au 12.12.2016. Sérome au niveau du moignon du pied droit septembre 2018 US tissus mou du moignon : collection 4 x 1.5 x 4cm, contenu hypoechogène et pourtour hyperémié (inflammatoire ? surinfection non exclue sur la base de l'image échographique). Suivi par le Dr. X. Gangrène humide phalange distale de Dig V main G avec arthrite septique à Staph. aureus sur plaie chronique avec dermohypodermite du dos de la main Lésion cutanée Dig V main D Vasculite d'origine indéterminée Gangstörung im Rahmen der Coxarthrose Rezidivierende Stürze Status nach Hüft/Wirbelsäulenkontusion rechts 09/2018 Status nach transienter ischämischer Attacke (Datum unbekannt), unter Aspirin cardio Schmerzsyndrom im Rahmen der Hüftkontusion mit aktivierter Coxarthrose nach Sturz am 31.10.2018 Hypovitaminose D am 07.09.2018: 25OH Vitamin D3 44 nmol/l Garçon de 1 an et 5 mois, qui se présente avec la toux et des difficultés respiratoires avec un sifflement à la respiration depuis le 31.12.18 après avoir fait une aspiration d'une cacahuète. Il ne présentait pas de toux avant l'aspiration. Les parents ont consulté à l'hôpital en Pologne suite à l'accident où selon les parents ils ont interprété la symptomatologie dans le cadre d'une infection et ils ont débuté un traitement avec Fluimucil 2x/jour depuis le 01.01.19. Depuis la nuit passée, il présente de la fièvre (pas mesurée, mais selon la mère il était bouillant), actuellement afébrile à 37.2°C, c'est pourquoi ils ont consulté chez la pédiatre. La pédiatre a fait une radiographie où un hyperinsufflement à gauche avec une déviation du médiastin à droite, avec un aspect diminué et condensé du poumon droit ont été notés. C'est pourquoi il nous est adressé. Garçon de 14 ans qui a présenté une réaction anaphylactique modérée qui a nécessité une prise de Tavegyl 2mg, solumedrol 125mg, xyzal 5mg. Sous ce traitement, amélioration de la symptomatologie en une heure avec disparition de la difficulté respiratoire et impression de suffocation. Au niveau clinique, une bonne entrée d'air bilatéralement est audible après une heure avec maintien dans le temps. Au bout de 4h de surveillance, la saturation est à 100%, avec disparition de l'œdème palpébral. BEG. Au vu de l'amélioration de la clinique, Mr. Y est administré avec un traitement par Xyzal 5mg à prendre 1x/j pendant 3 jours. Garçon né à 37 SA, J2 d'une grossesse gémellaire bi-choriale, bi-amniotique, SGA sévère et harmonieux avec poids de naissance à 1440g (> P3, -4DS), périmètre crânien de naissance à 30cm(>P3, -3DS), taille de naissance à 39cm (>P3, -5.7DS) Garçon né à 37 3/7 semaines d'aménorrhée, poids de naissance 3130g (P25-50), périmètre crânien de naissance 35 cm (P50-75), taille à la naissance 49 cm (P25-50) Garçon né à 40 0/7 SG, poids de naissance 3325 g (P25), taille de naissance 52 cm (P25-50), périmètre crânien de naissance 35.5 cm (P25-50) Garçon prématuré de 31 5/7 SG, avec à la naissance un poids 1995 g (P 70), taille 44 cm (P 60), périmètre crânien 30 cm (P 50) syndrome de détresse respiratoire sur Wet-lung Hypotonie artérielle minimale à 27 mmHg de tension artérielle moyenne Hématome sous-galéal occipito-parietal postnatal Apnées de la prématurité Difficultés alimentaires de la prématurité Garçon prématuré de 33 2/7 semaine d'aménorrhée, poids de naissance 2110 g (P50), taille de naissance 43 cm (P25), périmètre crânien de naissance 31 cm (P25-P 50). Garçon prématuré de 34 3/7 SA, poids de naissance 2330 g (P25-50) Garçon prématuré de 34 5/7 semaines de gestation, avec à la naissance un poids de 2590 g (P 50), une taille 47 cm (P 50-75), périmètre crânien 30.5 cm (P 5-10) avec: • syndrome de détresse respiratoire sur immaturité pulmonaire • difficultés alimentaires du prématuré • suspicion d'infection néonatale infirmée (antibiothérapie du 05.06.-07.06.2018) • hypocalcémie le jour 1 avec résolution spontanée • s/p hyperbilirubinémie néonatale sans incompatibilité ABO avec photothérapie le 9.6.18 (CHUV) Garçon prématuré de 34+6, poids de naissance 2200g (10-25), taille 44cm (P10), périmètre crânien 31.5 (P10-25) Garçon prématuré de 34+6, poids de naissance 2200g (10-25), taille 44cm (P10), périmètre crânien 31.5 (P10-25) • difficultés alimentaires de la prématurité • apnées de la prématurité • trouble de la thermorégulation de la prématurité Gastrectomie partielle par laparoscopie le 28.12.2018 Gastrectomie subtotale par laparotomie le 17.06.2013 pour adénocarcinome gastrique moyennement à peu différencié pT1b N0(0/26;i+) G2-G3 R0, diagnostiqué le 22.04.2013 Cystite nosocomiale le 08.07.2013 Urosepsis sévère à E. Coli en novembre 2010 Incontinence urinaire d'effort isolée avec status post TVT et cystoscopie en septembre 2010 Pyélonéphrite en septembre 2010 Gastrite à Helicobacter positive en 2007 Lombalgie sur hernie discale L5-S1 D en 2001 Cystite simple le 24.12.2014 Infection urinaire basse le 06.02.2017 Anémie hypochrome normocytaire avec Hb à 100 g/l le 06.02.2017 : • chez patiente connue anamnestique pour déficit en fer • dans contexte d'hématurie macroscopique (cf. Dx principal) Contrôle chez médecin traitant Gastrectomie totale, cholécystectomie et jéjunostomie le 30.01.2019 par Dr. X SNG dès le 30.01.2019 (ablation sur ordre de l'opérateur) Cathéter péridural dès le 30.01.2019 Cathéter artériel radial droit du 30.01.2019 au 31.01.2019 VVC jugulaire droite dès le 30.01.2019 (ablation dès que possible) Zinacef du 30.01.2019 au 31.01.2019 Flagyl du 30.01.2019 au 31.01.2019 Gastrite Gastrite Gastrite Gastrite. Gastrite. Gastrite. Gastrite. Gastrite. Gastrite à H pylori et E. histolytica. Gastrite à H pylori et E. histolytica. Gastrite à H. Pylori traitée par antibiothérapie. Gastrite à H. pylori Cure de hernie inguinale des deux côtés non datée Gastrite aigue. Gastrite aigue. Gastrite aiguë Gastrite aiguë. Gastrite aiguë. Gastrite aiguë. Gastrite aigüe Gastrite aiguë bulbite et duodénite, biopsie polype hyperplasique muqueux duodénal (OGD 1985) Dépression, hospitalisation en 1992 Ablation chondrodermatite pavillon oreille gauche en 2005 Status post-thrombose de la veine mésentérique supérieure et du tronc spléno-mésentérique d'origine indéterminée en 2006 anticoagulé au long cours par Sintrom Cataracte bilatérale, 2012 Eczéma du cuir chevelu Luxation de l'épaule gauche avec fracture Hill-Sachs le 21.05.2018 Traumatisme crânien, le 21.05.2018 Tendinopathie sous-acromiale droite avec acromion type II Cupulolithiase probable à droite Lésion SPE gauche post-opératoire Chondrodermatite pavillon gauche 2018 Insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN I sur chronique KDIGO G2, dans le contexte infectieux et du globe vésicalSpot urinaire: fraction d'éjection de l'urée 4% Réhydratation et contrôle de la créatinine • Gastrite aiguë chez une patiente enceinte de 8 semaines. • Gastrite aiguë le 15.01.2019. • Gastrite aiguë le 17.01.2019. • Gastrite aiguë le 21.01.2019. • Gastrite aiguë sans signes de déshydratation. • Gastrite aiguë sur consommation d'AINS le 17.01.2019. • Gastrite aiguë sur H. Pylori, prélèvement fait le 27.01.2019. • Gastrite antrale importante, légèrement érosive. • Gastrite avec reflux gastro-oesophagien. • Carence martiale en cours de traitement. • Gastrite. • Cholécystectomie laparoscopique avec cholangiographie per-opératoire le 11.01.2015. • Entorse simple de la cheville gauche. • Service Jeunesse et Enfance contacté, la fille va être confiée au conjoint. • Tentamen médicamenteux (Quétiapine 25 mg 4 cpr, Sertraline 100 mg 8 cpr, Temesta 1 mg 6 cpr vers 21h00) le 10.11.2016, chez patiente connue pour un état dépressif majeur (2016). • Troubles anxieux avec crise d'angoisse récidivante le 26.09.2017 - pas de risque suicidaire. • Possible infection urinaire basse le 26.09.2017. • Crise d'angoisse avec hyperventilation psychogène. • Douleurs abdominales d'origine X. • Conversion hystériforme le 15.05.2018 - mouvements pseudo convulsifs - agressivité. • Nouvel épisode de crise d'angoisse le 22.11.2018. • Multiples épisodes de crises d'angoisse. • Patiente connue pour des troubles anxio-dépressifs sévères, suivie par le Dr. X en ambulatoire. • Gastrite chronique. • Gastrite chronique avec ulcères gastro-duodénaux le 04.10.2018. • Avec atrophie muqueuse. • CT abdominal le 04.10.2018. • OGD le 09.10.2018. • Biopsie gastrique et duodénales: en cours. • Hypokaliémie à 3.3 mmol/l sur diminution des apports le 04.10.2018. • Substitution per os. • Gastrite connue. • Gastrite connue en 2017. • Gastrite. DD : gastroentérite virale. • Gastrite, DD dans le cadre de l'infection, DD consommation de cannabis. • Gastrite débutante le 06.01.2019. • Gastrite d'origine mixte. • Post-chimiothérapie. • Possible candidose oesogastrique. • Gastrite en 2017. • Hernie hiatale. • Gastrite érosive hématinique. • Gastrite le 11.01.2019. • Gastrite le 15.01.2019. • Gastrite le 20.09.2018, avec possible saignement digestif, actuellement tarit. • Douleur abdominale d'origine indéterminée, le 20.09.2018. • DD: maladie inflammatoire pelvienne, kyste ovarien. • Gastrite le 26.01.19. • Gastrite le 27.01.19. • Gastrite peptique. • DD : ulcère gastrique. • Gastrite post-arrêt IPP en janvier 2012. • Hystérectomie en 2011 sur fibromatose utérine. • Kystes ovariens des deux côtés, opérés en mai 2012. • Grossesses extra-utérines en 1993. • Tuberculose pulmonaire (traité lege artis) en 1990. • Gastrite probablement virale. • Gastrite type B (H. pylori positif) en 2011. • Status post-hystérectomie. • Status post-angio-myolipome du rein G en 2011. • Status post ostéosynthèse radius distal gauche 06.06.2015. • Traumatisme crânien avec fracture des os propres du nez, hématome péri-orbitaire D et hématome frontal. • Fracture des 5ème et 6ème côtes G. • Gastrite. • DD: début de gastro-entérite: pas de vomissement ni diarrhée. • Gastrite. • DD: RGO. • Gastro-entérite aiguë virale simple. • Gastro-entérite d'origine probablement virale le 06.01.2019. • Gastro-entérite probablement virale le 06.01.2019. • Gastro-entérite virale au décours. • Gastro-entérite virale le plus probable le 24.01.2019. • Gastro-entérite. • Gastro-entérite. • Gastro-entérite. • Gastro-entérite. • Gastro-entérite. • Gastro-entérite. • Gastro-entérite. • Gastro-entérite. • Gastro-entérite. • Gastro-entérite. • Gastro-entérite. • Gastro-entérite. • Gastroentérite. • Gastroentérite. • Gastroentérite. • Gastroentérite. • Gastroentérite. • Gastroentérite. • gastro-entérite. • Gastro-entérite. • Avec troubles électrolytiques. • Déshydratation. • Gastroentérite à Campylobacter. • Gastroentérite à Campylobacter le 02.01.2019. • Gastro-entérite à Norovirus le 17.12.2018. • Gastro-entérite aiguë. • Gastro-entérite aiguë. • Gastro-entérite aiguë. • Gastro-entérite aiguë. • Gastro-entérite aiguë. • Gastro-entérite aiguë. • Gastro-entérite aiguë. • Gastroentérite aiguë. • Gastroentérite aiguë. • Gastroentérite aiguë. • Gastroentérite aiguë. • Gastroentérite aiguë. • Gastroentérite aiguë. • Gastro-entérite aiguë à Rotavirus. • Gastro-entérite aiguë à Rotavirus avec déshydratation légère estimée à 4% en mars 2018. • Gastro-entérite avec diarrhées sanglantes DD : infection bactérienne versus virale (05.09.2018). • Gastroentérite aiguë à Rotavirus sans signe de déshydratation. • Gastroentérite aiguë avec légère déshydratation. • Gastroentérite aiguë avec vomissement sanglant probablement sur fissure de l'oesophage. • Gastro-entérite aiguë débutante sans signes de déshydratation. • Gastro-entérite aiguë (diarrhée du voyageur). • Gastro-entérite aiguë d'origine probablement virale. • Gastro-entérite aiguë infectieuse sans signes de déshydratation. • Gastro-entérite aiguë le 10.01.19. • Gastro-entérite aiguë le 10.09.2019. • Suite de cas (patiente ayant déjà consulté une première fois le même jour aux alentours de 3h du matin). • Gastroentérite aiguë le 14.08.2018. • Entorse poignet gauche le 11.12.18. • Gastro-entérite aiguë légère. • Gastro-entérite aiguë probablement virale. • Gastroentérite aiguë probablement virale, le 01.01.2019. • Gastroentérite aiguë sans déshydratation. • Gastroentérite aiguë sans signe de déshydratation DD Adénovirus. • Gastro-entérite aiguë sans signes de déshydratation. • Gastro-entérite aiguë sans signes de déshydratation. • Gastro-entérite aiguë sans signes de déshydratation. • Gastro-entérite aiguë sans signes de déshydratation. • Gastro-entérite aiguë sans signes de déshydratation. • Gastro-entérite aiguë sans signes de déshydratation. • Gastro-entérite aiguë sans signes de déshydratation. • Gastro-entérite virale. • Gastroentérite aiguë virale débuante. • Gastroentérite aiguë virale débutante. • Gastroentérite aiguë virale probable. • Gastroentérite aiguë virale probable. • Gastroentérite aiguë virale probable. • Gastroentérite aiguë virale probable. • Gastroentérite aiguë virale probable. • Gastroentérite au décours : • Diagnostics différentiels : vomissement d'origine médicamenteuse (Palexia augmenté récemment, chimiothérapie). • Gastro-entérite au retour de voyage avec : • 5-6 épisodes de diarrhées par jour. • Gastro-entérite avec : • Malaise vaso-vagal aux urgences. • Gastroentérite avec : • > 6 fois selles liquides/jour. • État fébrile 38.3°C. • Pas de traitement antibiotique récent, pas de voyage récent. • Sans franc syndrome inflammatoire. • Gastroentérite avec adénopathie mésentérique. • Doigt de ressaut pouce main droite. • Section ouverte du poulie A1 pouce droit (OP le 17.02.2014). • Compression du nerf cutané antébrachial latéral droit. • Lésion de Stener pouce droit. • Appendicite aiguë 15.11.2017. • Plaie FIG post-laparoscopie 15.11.17. Palpitations d'origine indéterminée le 09.10.2018. • DD : crise d'angoisse, tachycardie supra-ventriculaire. Gastro-entérite avec déshydratation et > 10 selles liquides par jour, le 14.01.2019. Gastro-entérite avec déshydratation et > 10 selles liquides par jour le 14.01.2019. Gastro-entérite avec déshydratation légère. Gastroentérite avec déshydratation modérée (perte de poids de 7 %). Gastroentérite avec état fébrile et syndrome inflammatoire le 31.10.2016. Insuffisance rénale aiguë modérée avec clearance de la créatinine selon MDRD à 46 ml/min le 31.10.2015. Hyponatrémie à 129 mmol/l le 31.10.2015. Suspicion d'un angor stable le 01.03.2016. Lésions ulcéro-nécrotiques du bord latéral de P1 O4, du bord médian de P1 O5, du bord médian de P2 O5, du bord médian de P1 O2 à staphylocoque aureus et un streptocoque pyogène bêta-hémolytique du groupe A avec : • status post-cure d'abcès plantaire du pied gauche avec phlegmon du fléchisseur de O1 (le 14.12.2016) Pneumonie traitée de Cépodoxime depuis le 13.02.18. Contusion para-sacrale gauche le 23.06.2018. Contusion parasacrale gauche post-chute (datant du 23.06.2018). Gastro-entérite avec : • légère déshydratation. • CRP 66 mg/l, Lc 10.4 G/l. • trouble électrolytique. Gastro-entérite avec vomissements le 11.01.19. Gastroentérite bactérienne à Campylobacter. • Labo le 29.12.2018 : CRP 134 mg/L, Leuc 6.2 G/L, électrolytes normaux, hémoglobine 151 g/L. Gastro-entérite chez femme enceinte, le 06.01.2019, probablement virale. Gastro-entérite (DD : gastrite). Gastroentérite. • DD : intoxication alimentaire. Gastroentérite de probable origine virale. Gastro-entérite débutante. Gastro-entérite débutante le 13.01.19. Gastro-entérite débutante (probablement virale). Gastro-entérite débutante sans déshydratation. Gastro-entérite débutante. Gastro-entérite débutante. Gastro-entérite débutante (DD : colique biliaire). Gastro-entérite débutante. Gastro-entérite débutante. Gastro-entérite débutante. Gastro-entérite débutante. Gastro-entérite débutante. Gastro-entérite débutante. Gastro-entérite débutante. Gastro-entérite débutante. Gastro-entérite débutante (DD : constipation (cordon de selles palpable mais dernières selles ce jour), invagination (mais âge non compatible, appendicite débutante (mais symptômes depuis 2 jours et ventre rassurant). Gastro-entérite débutante. • DD : infection urinaire débutante, IVRS. Gastro-entérite débutante. • DD : pas d'argument pour abdomen chirurgical, pas d'argument pour occlusion vu présence de bruits et ventre souple. Gastro-entérite débutante. Érosion cornéenne le 07.05.15. Syndrome post-commotionnel probable le 07.05.15. Fracture ouverte et semi-amputation D5 main gauche le 02.10.2015 avec contusion avant-bras gauche et possible hématome sous-unguéal 1D main gauche. Neurapraxie avant-bras le 02.10.2015, au niveau du territoire du nerf médian, nerf cubital. Gastro-entérite d'origine indéterminée • DD norovirus. Gastro-entérite d'origine indéterminée. • DD : virale, bactérienne. Gastroentérite d'origine probable virale le 20.02.2018. Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 14.02.2018 : • CT scan abdomino-pelvien le 16.02.2018 : élongation du colon, aucune autre anomalie. • OGD en ambulatoire le 05.04.2018 : pas d'anomalies. Insuffisance cardiaque globale le 14.02.2018 dans un contexte de virose. Sepsis sévère sur pneumonie du lobe inférieur droit et empyème à pneumocoque. Insuffisance rénale aiguë d'origine rénale AKIN 1 le 26.05.2017. Troubles de la repolarisation (onde T négatives) dans le territoire inférieur sans traduction clinique. Suspicion d'artérite de Horton en avril 2015. Fracture extra-articulaire du radius distal et de la styloïde du cubitus traitée chirurgicalement le 03.01.2014. Pneumopathie nodulaire cavitaire sur infection à Mycobacterium avium (syndrome de Lady Windermere) en novembre 2013. Accident ischémique transitoire en novembre 2013. Maladie de sinus avec tachy-bradycardie le 14.02.2013. • Status post implantation d'un pacemaker (Reply DDDR). Pneumothorax droit d'origine iatrogène après mise en place de pacemaker en 2013. Carcinome spinocellulaire bowénoïde, se développant sur un terrain de carcinome spinocellulaire in situ sur tempe droite inférieure avec excision totale. Carcinome séreux moyennement différencié de l'ovaire D T3b G2 N0 M0, FIGO IIIc en 2007, avec : • Laparotomie, tumorectomie, omentectomie (décembre 2007). • Chimiothérapie adjuvante avec 6 cycles de Carboplatine-Taxol de février à juin 2008, avec rémission complète. Gastrite à Helicobacter pylori en mars 2001. Embolie pulmonaire en 1994. Cystites à répétition avec introduction du traitement d'Uro-Vaxom dans les années 90. Hystérectomie en 1981. Cure de deux hernies discales non datée. Diphtérie dans l'enfance. Amygdalectomie et appendicectomie dans l'enfance. Gastroentérite d'origine probablement virale. Gastro-entérite d'origine probablement virale le 10.01.2019. Gastroentérite d'origine probablement virale le 21.01.2019. • DD : intoxication alimentaire. Gastroentérite d'origine probablement virale le 11.01.2019. Gastroentérite d'origine probablement virale 24.01.2019. • déshydratation importante. Gastro-entérite d'origine virale. Gastro-entérite d'origine virale probable. Gastro-entérite en cours. Gastro-entérite fébrile sur probable origine virale le 06.01.2019 dans un contexte de retour de voyage. Gastro-entérite infectieuse. Gastro-entérite infectieuse. Gastro-entérite infectieuse. Gastro-entérite infectieuse. Gastro-entérite infectieuse. Gastro-entérite infectieuse avec déshydratation légère. Gastro-entérite infectieuse. • DD : intoxication alimentaire. Gastro-entérite infectieuse probable avec herpangine. Gastro-entérite infectieuse probable sans signes de déshydratation. Gastro-entérite infectieuse sans signe de déshydratation. • Pas d'argument pour abdomen chirurgical. Gastro-entérite infectieuse. • DD : APP débutante (abdomen non chirurgical au status), adénite mésentérique. Gastroentérite le 01.01.2019. Gastro-entérite le 02.06.2016. Torticolis G le 17.06.2016. Torsion épiploïque le 16.07.2016. Contusion du crâne et cervicale. Gastro-entérite le 03.09.2015. Lombalgie simple le 09.09.2015. Entorse simple de la cheville droite avec contusion du calcanéum le 11.07.2016. Traumatisme simple de la cheville droite le 03.11.2016. Hématochésie d'origine indéterminée (09.02.2017) avec à l'anuscopie (Dr. X et Dr. X) : hémorroïdes stade 2 sans saignement actif. Gastro-entérite le 05.01.2019. Gastro-entérite le 11.01.19. • DD : diarrhées d'origine médicamenteuse (magnésium). Gastroentérite le 13.01.18. Gastro-entérite le 28.12.2018. Gastro-entérite le 30.03.2015. Crises d'angoisse sur le contexte d'une surcharge émotionnelle. Gastro-entérite modérée le 29.01.2019 avec : • déshydratation légère. • < 6x selles liquides. Gastro-entérite non compliquée le 20.01.2019. Gastro-entérite probable. Gastro-entérite probable le 03.01.2019 au décours. Gastro-entérite probablement d'origine virale. Gastroentérite probablement d'origine virale. Gastroentérite probablement d'origine virale. Gastro-entérite probablement d'origine virale chez patiente de 32 ans 3G 1P à 36 SA. Gastroentérite probablement virale. Gastroentérite probablement virale. Gastroentérite probablement virale le 05.01.2019. Gastroentérite probablement virale sans signe de déshydratation. Gastro-entérite sans déshydratation.Gastro-entérite sans déshydratation Gastro-entérite sans facteur aggravant le 08.01.2019. Gastro-entérite sans red flags le 24.12.2018. Gastro-entérite sans signe de déshydratation Gastroentérite sans signe de déshydratation Gastro-entérite sans signes de déshydratation (DD : virale, Campylobacter, Salmonellose) Gastro-entérite simple Gastro-entérite sur Norovirus le 28.11.2018 Gastro-entérite virale Gastro-entérite virale. Gastro-entérite virale à Rotavirus Gastro-entérite virale avec : • déshydratation clinique et hypotension artérielle (81/49 mmHg à l'admission). • céphalées. • déshydratation légère • nausées, vomissements. • DD : appendicite débutante. • DD : clostridrium post antibiothérapie (abdomen peu ballonné) Gastroentérite virale DD reflux-gastro-oesophagien Gastro-entérite virale débutante Gastro-entérite virale le 05.01.19. Gastro-entérite virale le 06.01.2019. Gastroentérite virale le 27.01.2019. Gastroentérite virale, le 28.01.2019 • IVRS concomitante. Gastroentérite virale le 28.01.2019 DD : intoxication alimentaire. Gastro-entérite virale le 29.01.2019. DD : gastro-entérite bactérienne. Gastroentérite virale le 30.1.2019 Gastro-entérite virale probable. Gastroentérite virale sans déshydratation Gastroentérite virale sans signe de déshydratation Gastro-entérite virale sans signes de déshydratation Gastroentérite virale. DD : intoxication alimentaire. Gastro-entérite virale. DD : intolérance au lactose. Gastroentérite DD : intoxication alimentaire. Gastroentéropathie virale Gastroparésie post-opératoire le 23.12.2018. Gastroscopie déjà demandée par son médecin. Gastroscopie en septembre 2012 (normale, selon Mr. Y). Pancréatite aiguë probablement d'origine alcoolique le 04.05.2013 : • Score de Ranson à 1. Pancréatite d'origine possiblement alcoolique. Tienam du 22.04.2014 au 29.04.2014. Hydratation. Traitement symptomatique. Gastroscopie en urgence le 10.01.2018 (Dr. X) à l'HFR Riaz : pas de geste Transfusion de 2 CE le 10.01.2018 Esoméprazole bolus 80 mg iv puis pantoprazole iv continu 8 mg/h Somatostatine iv 0.05 mg en bolus puis 0.025 mg/h, depuis le 10.01.2019 jusqu'au 14.11.2019 Ceftriaxone pendant 7 jours Prévoir une nouvelle gastroscopie en vue d'une ligature des varices oesophagiennes dès que possible Gastroscopie en urgence le 10.01.2019 (Dr. X) Recto-sigmoïdoscopie en urgence le 11.01.2019 (Dr. X) Gastroscopie en urgence le 11.01.2019 (Dr. X) : ligatures de 3 varices Intubation oro-trachéale (Cormack I) et ventilation mécanique du 11.01.2019 au 12.01.2019 Cathéter artériel radial droit du 11.01.2019 au 13.01.2019 Pantoprazole IV du 10.01 au 14.01.2019, puis PO dès le 15.01.2019 Somatostatine du 10.01 au 14.01.2019 Ceftriaxone du 11.01 au 15.01.2019 pour 5 jours Transfusions : du 10.01 au 12.01.2019 : concentrés érythrocytaires, 6 x plasma frais, 3 concentrés plaquettaires d'aphérèse. Fibrinogène 4 g le 11.01.2019 Acide tranexamique le 11.01.2019 Réalimentation progressive Proposition : répéter l'OGD dans 4 semaines pour le contrôle des ligatures Gastroscopie en urgence le 10.01.2019 (Dr. X) Gastroscopie le 11.01.2019 (Dr. X) : 3 ligatures de varices Recto-sigmoïdoscopie le 11.01.2019 (Dr. X) Intubation oro-trachéale (Cormack I) et ventilation mécanique du 11.01.2019 au 12.01.2019 Cathéter artériel radial droit du 11.01.2019 au 13.01.2019 Pantoprazole iv continu Somatostatine du 10.01.2019 au 14.01.2019 Ceftriaxone du 11.01.2019 au 18.01.2019 Transfusions : • le 10.01.2018 : 2 concentrés érythrocytaires • du 11.01 au 12.01.2019 : 6 concentrés érythrocytaires, 6 plasmas frais, 3 concentrés plaquettaires d'aphérèse Fibrinogène 4 g le 11.01.2019 Acide tranexamique le 11.01.2019 Réalimentation progressive semi-liquide jusqu'au 25.01.2019 Proposition : Répéter l'OGD dans 4 semaines pour le contrôle des ligatures. Gastroscopie et colonoscopie sont prévues en ambulatoire, la patiente sera convoquée Gazométrie : acidose métabolique sur déshydratation avec vomissement et diarrhée sans troubles électrolytiques Bilan biologique : léger syndrome inflammatoire avec CRP à 44 mg/l, Leucocytose à 15.4 G/l, pas de déviation gauche, Hémoglobine à 162 g/l, Erythrocytes à 5.94 G/l, Thrombocytes à 390 G/l (Agrégats plaquettaires) Gazométrie : cf. annexes. pH 7.39, pCO2 4.1, pO2 14.4, bicarbonate 18. Gazométrie + ionogramme + fonction rénale et hépatique à l'admission et suivi pendant l'hospitalisation Monitoring cardio-respiratoire, maintenance de température bas-normothermique US cérébral à J1 de vie Gazométrie / laboratoire / frottis de grippe et RSV / hémoculture / culture d'expectorations Capnographie et polygraphie le 07.01.2019 Avis infectiologique (Dr. X) Avis pneumologique (Dr. X) Prédnisone du 31.12.2018 au 02.01.2019 Co-Amoxicilline iv du 31.12.2018 au 03.01.2019 puis po du 04.01 au 06.01.2019 Aérosols Atrovent/Ventolin stoppés le 07.01.2019 Physiothérapie respiratoire avec VNI (BPAP dès le 04.01.2019) Traitement habituel : Seretide et Spiriva Changement traitement pour Ultibro et Pulmicort sous conseil pneumologique Gazométrie // Laboratoire // Hémoculture // Antigènes urinaires pneumocoque et légionelle RX thorax VNI (non tolérée par le patient) Aérosols par Ventolin et Atrovent Prednisone 50 mg pour une durée de 4 jours Rocéphine + Klacid du 27.12 au 02.02.2018. Stop Klacid le 28.12.2018 Passage per os le 01.01.2019 avec Co-amoxicilline pour une durée totale de 7 jours jusqu'au 02.01.2019 Physiothérapie respiratoire Gazométrie : pas d'acidose métabolique, électrolytes en ordre (lactates 2.7 en capillaire) Bilan sanguin : pas de syndrome inflammatoire Sédiment urinaire (CleanCatch) : Lc 2+ (21-40/champs), pas de nitrite, pas de sang, flore bactérienne 1+ Uricult : E coli et entérocoques, contamination légère par germes cutanés Recherche virale dans les selles : négative US des voies urinaires le 07.01 : normal Gazométrie : pH : 7.35 pCO2 : 4.3 kPa. pO2 : 11.6 kPa. Bicarbonate : 18mmol/L. Lactates : 2.1mmol/L Radiographie de thorax : absence de foyer Antigènes urinaires pour Legionelle et Pneumocoques négatifs Hydratation iv par NaCl 0.9% jusqu'au 15.01.2019 puis per os Mise en suspens transitoire Lisinopril, Janumet, Eliquis et Torasémide Gazométrie : pH à 7.45 Laboratoire : pas de CRP, pas de leucocytose Stix/sédiment : leucocyturie Antigènes urinaires à pister. Hémocultures Frottis de grippe envoyé : à pister ECG : rythme sinusal, tachycarde à 110/min, régulier. Axe normal vertical, pas de trouble de la repolarisation nouveau, pas de bloc de branche. ECG microvoltés car patient dyspnéique. Rx thorax : pas de signes de surcharge, suspicion de début de foyer en base droite ? Echo ciblée des urgences Dr. X Thorax, cœur • Aérosols Ventolin/Atrovent en ambulance • NaCl 0.9% 750 ml rapide • Tamiflu 75 mg p.o. Hospitalisation en médecine interne. Gazométrie : pH à 7.45 Laboratoire : pas de CRP, pas de leucocytose Stix/sédiment : leucocyturie Antigènes urinaires à pister. Hémocultures Frottis de grippe envoyé. ECG : rythme sinusal, tachycarde à 110/min, régulier. Axe normal vertical, pas de trouble de la repolarisation nouveau, pas de bloc de branche. ECG microvoltés car patient dyspnéique. Rx thorax : pas de signes de surcharge, suspicion de début de foyer en base droite ? Echo ciblée des urgences Dr. X Thorax, cœur • Aérosols Ventolin/Atrovent en ambulance • NaCl 0.9% 750 ml rapide • Tamiflu 75 mg p.o. Hospitalisation en médecine interne. Gazométrie : alignée avec pH 7.39, pCO2 4.56 kPa, bicarbonates 21 mM, pas de troubles électrolytiques, glycémie 5.5 mM, lactates 1.69 mM (capillaires) FSC : anémie microcytaire normochrome à 94 g/l, légère thrombocytose à 400 G/l, leucocytes en ordre CRP : négative Electrolytes : alignés (potassium hémolysé mais normal sur la gazométrie) Fonction rénale : alignée Fonction hépatique : ASAT hémolysés mais reste du bilan alignés Toxiques urinaires : négatif (hormis benzodiazépines, après avoir reçu plusieurs doses de midazolam) Gazométrie artérielle : insuffisance respiratoire partielle avec pO2 à 9.9 kPa. Consultation chez pneumologue (Dr. Y) conseillée pour des fonctions pulmonaires et suivi de SAOS. Gazométrie artérielle : Acidémie sur acidose respiratoire et hypoxémie à 7.8 Laboratoire : CRP 14, pas de leucocytose, NT ProBNP 8406 Radiographie thorax : épanchement bilatéral avec prédominance à droite Troponines : H0 : 22 ng/l - H1 : 24 ng/l - H3 : 22 ng/l Stix/Sédiment : leucocyturie asymptomatique ETT lors de la précédente hospitalisation (rapport pas trouvé) Majoration du traitement diurétique Aérosols par Atrovent Hospitalisation en médecine : • suivi clinique et biologique • ponction pleurale à discuter selon évolution sous diurétiques Ablation NAV à nouveau proposée, patiente y réfléchit. Gazométrie artérielle : alcalose respiratoire, avec lactates augmentés Glycémie capillaire : pas d'hypoglycémie Médicaments : pas de substance administrée, flumazénil administré sans résultat franc CT cérébral (31.12.18) : pas de nouvelle lésion objectivée IRM cérébral (Inselspital)(31.12.18) : anomalie de signal non spécifique au niveau des noyaux gris centraux EEG (04/08.01.19) : résultats en attente Gazométrie artérielle de contrôle : 1.5 mmol/l Gazométrie artérielle le 01.01.2019 : pH 7.32, pO2 18.7 kPa, pCO2 6.2 kPa, bic 23 mmol/l, lactate 1.3 mmol/l Gazométrie artérielle le 04.01.2019 : pH 7.28, pO2 7.7 kPa, pCO2 7.2 kPa, bic 22 mmol/l, lactate 1.2 mmol/l Gazométrie artérielle le 07.01.2018 : pH 7.43, pO2 9.6 kPa, pCO2 4.3 kPa, bicarbonates 21 mmol/l, lactate 0.9 mmol/l Gazométrie artérielle le 18.01.2019 : pH 7.44, pO2 9.4 kPa, pCO2 5 kPa, bicarbonates 25 mmol/l, lactate 0.9 mmol/l Radiographie du thorax le 01.01.2019 : Pas de changement de l'opacité rétro-cardiaque basale gauche (DD : Atélectase ? Foyer ?). Épanchement pleural droit étendu en région déclive. Avis pneumologique le 04.01.2019 (Dr. Y / Dr. Z) • Bilan pneumologique complet (bronchoscopie, fonctions pulmonaires, CT thoracique) fait en octobre 2018 (cf. consilium) • Nouvelle pathologie pulmonaire type interstitielle peu probable • Évaluer l'indication à rechercher une embolie pulmonaire en fonction de la clinique / scores Aérosols d'Atrovent et Ventolin Poursuite traitement habituel ULTIBRO Physiothérapie respiratoire avec désencombrement manuel VNI du 04.10.2019-07.01.2018 Attitude : • poursuite aérosol, O2 pour saturation cible 88-92% • traitement de corticostéroïde inhalateur (fluticasone) stoppé en octobre 2018 pour son effet potentialisateur des infections respiratoires non repris Gazométrie avant bolus : acidose métabolique sévère hyperchlorémique et hyperlactatémique avec pH 7.23, bicarbonates à 13 mM, base excess - 14 mM, chlore 129 mM, lactates à 2 mM, hypernatrémie à 152 mM, glycémie en ordre Gazométrie après bolus : amélioration de l'acidose métabolique FSC : concentrée, Hb 157 g/l, leucocytes 13.4 G/l, thrombocytes 472 G/l, déviation gauche (NNS/NS >0.3) CRP : positive à 51 mg/l Chimie : hypernatrémie à 150 mM, kaliémie en ordre, hyperchlorémie à 119 mM, osmolarité augmentée à 326 mOsm/kg, protéines en ordre ; insuffisance rénale pré-rénale de stade I avec urée 13.4 mM et créatinine 51 uM Bilan selles : Rotavirus positif, reste négatif Gazométrie avant bolus : Gazométrie après bolus : Chimie : FSC, CRP, fonction rénale, électrolytes, protéines Gazométrie, Bilan sanguin High Flow 8 L du 19.01 au 23.01 Médecine anthroposophique Gazométrie. BiPAP avec 12 l d'oxygène. Transfert soins intensifs - HFR Fribourg le 22.01.2019. Gazométrie : cf copie Gazométrie en raison d'une difficulté à espacer le Ventolin : pas d'hypercapnie Gazométrie Hydratation Spot urinaire Sédiment urinaire G20% + Insuline 20 UI Resonium Gazométrie Laboratoire ECG Radiographie du thorax Rocéphine 2 grammes Klacid 500 mg p.o. le 26.01.19 Antigène urinaire en cours Atrovent/Ventolin PCR grippe en cours VNI aux urgences Att : Transferts aux urgences pour la suite de la prise en charge Gazométrie le 17.12.2018. Bilan ambulatoire à prévoir. Gazométrie : légère hypercapnie à 6.4 kPa sans troubles du pH, glycémie et lactates en ordre, pas de troubles électrolytiques Bilirubinémie : 220 mM (inférieure au seuil de photothérapie) Gazométrie : PaO2 5.6 kPA Suivi clinique Gazométrie : pas d'acidose, pas d'hypercapnie, lactates augmentés à 4.3 (capillaire) avec kaliémie limite supérieure dans ce contexte à 5.6 mM, glycémie 9.3 mM (contexte de stress) Frottis RSV : positif Gazométrie : pas de troubles acido-basiques ni électrolytiques, glycémie en ordre Frottis influenza : positif pour Influenza A Gazométrie : pH 7.38, pCO2 3.35 kPa, bicarbonates non notés, Na 134 mM, K 3.7 mM, Ca 1.19 mM, Cl 106 mM, glycémie 5.6 mM, lactates 1.7 mM Radiographie du thorax (CAVE, mauvaise image) : possible foyer rétrocardiaque gauche (bronchogramme aérique), pas de foyer mais épaississement péri-bronchique à droite, pas d'épanchement Gazométrie : pH 7.45, acidose métabolique compensée avec bicarbonates à 17.2 mM, BE -6.8 mM, pCO2 3.28 kPa. Natrémie limite basse à 130 mM, kaliémie en ordre à 3.8 mM, Ca et Cl alignés, hémoglobine 127 g/l, glycémie en ordre à 4 mM, lactates normaux à 1.3 mM Gazométrie post-convulsion : acidose respiratoire avec pH 7.22, pCO2 9.1 kPa, bicarbonates non obtenus, glycémie 7.7 mM, lactates 2 mM Dosage phénytoïne : 19.7 mg/l (cible 10-20 mg/l) mais difficilement interprétable vu dose donnée 40 minutes avant. Gazométrie, spirométrie Gazométrie, spirométrie Traitement inhalateur par Seretide et Spiriva. Recommandation d'une vaccination annuelle contre la grippe. Gazométrie Sur insuffisance respiratoire chronique • sous oxygène 2L à domicile Gazométrie veineuse : carboxyHb à 0.5 %. Gazométrie Bilan entrée-sortie normal Suivi quotidien du poids Gazométrie Chimie Substitution par bolus NaCl 0.9% Gazométrie Essai de Ventolin 6 pushs sans amélioration Oxygénothérapie du 05-08.01.2019 Médecine anthroposophique Traitement symptomatique Gazométrie Frottis grippe Traitement symptomatique Contrôle chez pédiatre dans 48 heures Gazométrie. Oxygénothérapie. Morphine. Gazométrie Radiographie de thorax le 30.10.2018 Radiographie de thorax le 08.11.2018 Oxygénothérapie Traitement diurétique Bronchodilatateurs Gazométrie. RX thorax. Oxygénothérapie 1 litre aux lunettes. Gazométrie. RX thorax. Lasix 20 mg en ordre unique. Primpéran. O2 - 4 litres. VNI. Transfert aux soins intensifs de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal. Gazométries (au Daler): • 9h de vie : pH 7.29, pCO2 6.77 kPa, bicarbonates 21 mmol/L • 16h de vie : pH 7.33, pCO2 5.8 kPa, bicarbonates 23 mmol/L • 22h de vie : pH 7.303, pCO2 6.56 kPa, bicarbonates 24.4 mmol/L Radiographie du thorax : RENSEIGNEMENTS CLINIQUES Détresse respiratoire avec désaturation chez un bébé né à terme par césarienne. RENSEIGNEMENTS DESIRES cardiomégalie ? wet lung ? malformation ? Pneumonie ? Pneumothorax ? Thorax f du 25.05.2018: Sous réserve d'une radiographie réalisée en position couchée. Silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme pour l'âge. Sonde naso-gastrique dont le trajet est bien médian et dont l'extrémité distale est en surprojection de la partie supérieure de l'estomac. Pas de franc pneumothorax visible, on visualise toutefois une légère asymétrie des culs de sac pleuraux latéraux avec radiotransparence du côté gauche (minime pneumothorax ?). Pas de foyer parenchymateux constitué visible. Asymétrie de hauteur de position des clavicules en raison de la position de l'enfant. Dr. X Laboratoire 25.05.2018, 8h20: • Gazométrie : Glucose 5.7 mmol/L, calcium ionisé 1.04 mmol/L, pH 7.22, pCO2 7.2 kPa, pO2 5.5 kPa, bicarbonates 22 mmol/L, excès de base -5.5 mmol/L, saturation 65%, FiO2 24%, Na 145 mmol/L, K 5.4 mmol/L, Cl 113 mmol/L, lactates 3.8 mmol/L • CRP < 5 mg/L • Formule sanguine complète : leucocytes 22.3 G/L, érythrocytes 4.07 T/L, hémoglobine 139 g/L, hématocrite 0.42, MCV 102 fl, MCH 34 pg, MCHC 334 g/L, RDW 18%, thrombocytes 388 G/L, bâtonnets 0.0 %, segmentés 68 %, éosinophiles 1.0 %, basophiles 0.5 %, monocytes 2.0 %, lymphocytes 28.5% Laboratoire 25.05.2018, 11h: • Gazométrie : calcium ionisé 1.21 mmol/L, pH 7.34, pCO2 6.1 kPa, pO2 6.4 kPa, bicarbonates 25 mmol/L, excès de base -1.1 mmol/L, saturation 80%, FiO2 24%, Na 143 mmol/L, K 5.1 mmol/L, Cl 109 mmol/L, lactates 1.4 mmol/L Gazométries, Spirométrie, DLCO RX thorax Ultibro 1x/j Gazométrie Traitement aux urgences • Aérosols d'Atrovent et Ventolin ATT: • Aérosols d'Atrovent et Ventolin • Avis pneumologique pour optimisation du traitement à prévoir GCS 15/15 à la sortie GDS à 9 points/30 : score dans la norme (0-9 points : pas de dépression) Consilium psychiatrique le 16.01.2018 Poursuite du traitement habituel de Zolpidem Introduction de distraneurine en réserve GEA débutante sans déshydratation GEA sans déshydratation GEA sans signe de déshydratation DD : à norovirus probable GEA Neuroborréliose précoce - syndrome de Bannwarth, en évolution favorable PL 13.07 : avec synthèse intrathécale d'anticorps TTT Rocéphine i.v pendant 2 semaines : 13.07-26.07.16 par soins à domicile Parotidite gauche probablement virale au décours Gel LET locale et anxiolyse par Méopa Désinfection à l'Hybidil Suture par Prolène 6.0, 2 points détachés Gel let Méopa (non fonctionnel car vomissement ++) Lidocaine 1% 5 ml, Rinçage par 60 ml NaCl, hibidil, 2 points profonds vicryl 5.0, 5 points superficiels Prolène 5.0. Soins de plaie, Mepore Gel Let Colle avec Dermabond Reconsulter en cas de signes d'infection Gêne dans le cou Gêne du matériel d'OS à l'épaule D sur statut post • Réduction ouverte et fixation par embrochage-haubanage d'une luxation acromio-claviculaire et fixation interne par vis canulée d'une fracture du processus coracoïde à épaule D le 05.08.2018 Gêne du matériel d'OS fémur D sur statut post • OS par plaque LISS d'une fracture péri-prothétique fémur D type Vancouver B1 le 01.02.2016 • implantation PTH D en 1992 • implantation PTG D en 2005 Gêne du matériel d'OS pilon tibial G sur statut post • Réduction fermée, mise en place d'un fixateur externe jambe distale G le 22.10.2017 d'une fracture multifragmentaire impactée du pilon tibial G type AO 43-C3 le 22.10.2017 • Ablation du fixateur externe, réduction ouverte, OS par double voie d'abord pilon tibial G par 2 vis libres 2.7, 1 plaque LCP 3.5 médiale tibia 10 trous, 1 plaque Pedus 2.7, le 27.10.2017 Gêne du matériel d'OS tibia proximal D sur statut post • AS genou D, OST de valgisation tibia de type ouverture interne, correction de 9° le 06.02.2018 sur gonarthrose varisante interne avec lésion cornes moyenne et postérieure ménisque interne • Chondropathie compartiment interne genou D sur genu varum Gêne du matériel d'ostéosynthèse et cal vicieux après réduction ouverte et ostéosynthèse du fémur distal droit par lame plaque en 2014. Gêne du matériel d'ostéosynthèse sur statut post arthrodèse IPP du 3ème orteil D le 04.05.2018. Perte de correction 2ème orteil pied D sur : • Status post arthrodèse IPP du 2ème orteil droit par Pip tree. • Déplacement de la broche au niveau de P2 du 3ème orteil droit le 12.07.2018. Gêne oculaire sur diplopie probablement centrale et sécheresse Gêne respiratoire Gêne sur encombrement nasal Gêne thoracique d'origine indéterminée. DD : origine psychogène Gêne thoracique sur toux aiguë le 20.01.2019 Gêne urinaire. Gêne vaginale Genou D : • entorse LCP. • entorse grade I LLI. Cheville D : • entorse grade II. Genou D : chondrolyse compartiment externe genou D, statut post arthroscopie genou D le 16.01.2018 avec • résection-régularisation corne antérieure ménisque externe • régularisation lésion cartilagineuse condyle externe. • implantation prothèse totale genou prévue le 31.07.2018. Genou D : • déchirure complète du LCA. • déchirure du LLI grade II datant d'avril 2018. Genou D : • entorse LLI grade I. • rupture partielle du LCA • contusion du plateau tibial externe. Genou D : fracture-luxation avec fracture du plateau tibial externe, fracture de la tête du péroné, lésion du LLI, lésion du point d'angle postéro-médial, lésion du LCP et LCA suite à un accident du 20.07.2018. • Status post mise en place d'un fixateur externe fémoro-tibial D le 22.07.2018. • Status post fasciotomie médial et latéral avec ouverture des 4 loges de la jambe D le 22.07.2018. • Status post fermeture des loges le 30.07.2018. • Status post ORIF du plateau tibial externe par plaque LCP 4.5 et refixation du LLI avec ancre Mitek le 02.08.2018. • Status post neurolyse du nerf saphène le 15.01.2019 à la SUVA. Genou D : lésion de la corne moyenne postérieure du ménisque. Genou D : lésion du LCA avec lésion du LLI grade I le 15.09.2018. Genou D : Arthrose fémoro-tibial externe. Extrusion ménisque externe. Kyste plateau tibial externe. Genou D f/p du jour : Matériel en place. Pas de déplacement secondaire. Pas de signe de descellement au niveau de la prothèse. Hauteur rotulienne dans la norme. Ostéotomie de la TTA pas encore consolidée. Genou D f/p et rotule tangentielle réalisée aux urgences : Calcification au versant latéral de son genou D. IRM à Affidea du 21.12.2018 : Images pas très claires montrant des dépôts d'hydroxyapatite dans la partie proximale du ligament collatéral externe avec une importante inflammation autour. Genou droit : • thophus goutteux pré-patellaire symptomatique. • arthrose goutteuse chez un patient connu pour une hyperuricémie avec insuffisance rénale chronique sur néphropathie urique associée à une oligo-arthrite récidivante. Genou droit : lésion du LCA le 14.01.2018, contusion osseuse condyle interne et plateau tibial externe. Lésion grade I-II du LLI faisceau interne. Genou G : • déchirure verticale de la corne postérieure du ménisque interne. • entorse du LCP. Genou G : • déchirure horizontale de la corne postérieure du ménisque interne. • contusion du condyle fémoral interne et du plateau tibial interne. • lésion chondrale de grade I au niveau de la rotule. Genou G : • instabilité persistante après plastie du LCA, probablement à partir des tendons ischio-jambiers en 2012 (Dr. X, Clinique Générale). • status méniscectomie interne pour une lésion anse de sceau fissurée en janvier 2014 (Dr. X, Clinique Générale). Genou G : lésion du LCA en 2014 avec lésion du MPFL en 2015 et instabilité rotulienne. Genou G : Lésion LCP. Lésion LLE. Genou D : Lésion LLE. Ébauche d'arthrose interne. Genou gauche : • fracture d'avulsion de l'épine tibiale en regard de l'insertion du LCA. • fracture isolée du péroné proximal non déplacée. Genou gauche : • gonarthrose fémoro-tibiale interne. • lésion dégénérative du ménisque interne et du ménisque externe. • status post infiltration. Genou gauche : • distorsion du ligament croisé antérieur sans rupture. • contusion du ménisque interne. • contusion du plateau tibial externe et du condyle fémoral interne. Genu valgum bilatéral et marche avec rotation interne des pieds ddc. Genu valgum ddc, plus à G qu'à D. Suspicion d'un syndrome de Poland. Genu valgus bilatéral physiologique à 10° de chaque côté. Genu varum ddc. Genu varum ddc sur arrière-pied flexible, antétorsion fémorale augmentée. Gestion de l'iléus : • Pas d'alimentation par sonde pour l'instant • Retrait de liquide aux deux heures autant que possible • Réflexion sur le maintien de la sonde PEG-J en vue d'une prochaine alimentation Gestion de l'antalgie Surveillance de l'anasarque Envisager poursuite de chimiothérapie si bon état général avec alimentation optimale. Gestion des symptômes GFR à 28 ml/min suivi au laboratoire. Mr. Y a été hospitalisé pour des difficultés respiratoires et des apnées. Vu bonne amélioration de son état, elle a pu rentrer à domicile le 14.01.2019. Gilet orthopédique avec coussin en abduction jusqu'au 19.12.2018. Poursuite physiothérapie 2x : récupération complète des amplitudes articulaires en passif avant toute mobilisation en actif (mouvements dans l'axe). Antalgie. Contrôle chez le Dr. X le 19.12.2018 à Vevey. Gillet ortho pour 4-6 sem IRM épaule humérus dès que possible Cô Rx 1 semaine Dr. X, team pied - le 15.01. à 15h15. Gingivo-stomatite herpétique. GIST de la paroi rectale antérieure, 1,2 cm de grand axe, avec prolifération < 1%, pT1G1LV0Pn0R0 (<0,05mm). GIST de l'intestin grêle avec hémorragie digestive. Status post-laparotomie exploratrice, résection de 10 cm de grêle et anastomose latéro-latérale manuelle le 02.08.2017. GIU évolutive à 9 SA selon LCC. Glaucome aigu œil gauche avec iridectomie en janvier 2016. Glaucome bilatéral, traité. Glaucome chronique. Fracture sous-capitale humérus droit. Status post-décompensation cardiaque droite avec foie de stase le 07.05.2018 • dans le cadre de pneumonie et fibrillation auriculaire inaugurale • Echocardiographie le 07.05.2018 : Bonne fonction ventriculaire. Hypovitaminose D légère à 69 nmol/l le 17.05.2018. Glaucome pseudoexfoliatif gauche. Glaucome simplex, sous Azarga. Insuffisance veineuse chronique de stade II • Sténose chronique de la veine fémorale superficielle droite. Syndrome post-thrombotique droit. Prothèse aortique épaissie, diagnostiquée le 21.11.2018, DD rhumatologique, endocardite. • 15.11.2018 : 1/6 hémoculture positive à Staph. hominis. • 12.12.2018 : facteur rhumatoïde, ANA/ANCA négatifs. Masse au niveau du pancréas • 21.11.2018 : US abdomen : lésion pancréatique cystique (3.7x1.8x3.5 cm) avec structure hyperéchogène, DD pseudo-kyste, adénome. • 21.11.2018 : CT thoracique : structure d'env. 34 mm de diamètre dans le corps du pancréas. Glaucome traité. Glaucome traité par Monoprost et Timogel. Glaucome. Angoisses. Glioblastome de grade 4 multifocal fronto-pariéto-temporal droit • Date du diagnostic le 28.12.2018. • CT-scan thoraco-abdominal le 20.12.2018. • IRM cérébrale le 20.12.2018. • Biopsie stéréotaxique cérébrale Inselspital 27.12.18. • Symptomatologie résiduelle : Troubles sensitivo-moteurs du bras gauche. Glioblastome fronto-pariétal gauche de stade 4 selon l'OMS, IDH1 non muté, sans perte d'ATRX, MIB-1 à 30%, MGMT méthylé • Symptomatologie initiale : hémisyndrome facio-brachio-crural droit en juin 2018. • Exérèse quasiment complète de la lésion frontale rolandique gauche le 20.06.2018. • IRM le 21.06.2018 : résidu au bord antéro-médial et inférieur de la cavité de résection avec atteinte ischémique aiguë du centre semi-ovale gauche. • Radiothérapie (60 Gy, 30 séances) du 30.07 au 10.09.2019 et chimiothérapie par Témozolomide. • IRM du 09.10.2018 : stabilité de la maladie oncologique. • Chimiothérapie de maintenance par Témozolomide du 10.10 au 12.12.2018. • IRM du 18.12.2018 : progression de la maladie oncologique. • Chimiothérapie par Lomustine depuis le 18.12.2018, chaque 6 semaines, prochain cycle prévu le 29.01.2019. Glioblastome pré-frontal gauche IDH1 non muté OMS grade IV avec : • Diagnostic le 22.11.2018. • Craniotomie avec exérèse subtotale d'une lésion frontale gauche le 22.11.2018. • Pathologie (CHUV) : glioblastome OMS grade IV, pas d'expression d'IDH1 mutant R132H, pas de perte d'ATRX, pas de surexpression d'EGFR, index de prolifération MIB1/Ki67 20% • Aphasie globale • Glioblastome stade IV • Glioblastome temporal droit WHO grade IV, IDH Wildtype, expression d'ATRX, MGMT et TERT : en cours avec : • présentation 05.01.2019 : chute à domicile, fluctuation de vigilance, aphasie de production, hémiparésie gauche (M4) • CT du 05.01.2019 (HFR) : masse temporale droite avec déviation de la ligne médiane • IRM du 05.01.2019 (Inselspital) : masse intra-axiale prenant le contraste temporale droite avec œdème • 07.01.2019 : craniotomie temporale droite avec tumorectomie guidée par navigation et neuromonitoring peropératoire (Inselspital, Dr. X, Dr. X) • pathologie : glioblastome, WHO grade IV, IDH wildtype, IDH1 R132H neg, expression d'ATRX • IRM du 09.01.2019 : résection complète de la lésion • Globalement bonne évolution clinique. L'attelle jeans en extension est remplacée par une genouillère articulée que le patient portera pour une durée totale d'encore 6 semaines. Il continuera la physiothérapie pour tonifier la musculature et mobiliser son épaule en actif assisté. L'attelle Bonjour est en abduction de l'épaule et peut être enlevée aujourd'hui. Arrêt de travail attesté à 100% jusqu'au prochain rendez-vous le 22.02.2019. • Globalement bonne évolution clinique. Vu l'amélioration spontanée, l'indication pour une infiltration par cortisone n'est pas donnée. Le patient aimerait me revoir dans trois mois pour un contrôle clinique. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. • Globalement chez ce patient, il y a une rétraction des groupes musculaires quadricipitals à G, triceps sural et péronier à D qu'il s'agit de travailler en physiothérapie pour détente et tentative de renforcement excentrique. Pas de chirurgie particulière à réaliser en ce qui concerne les lésions axonales péronières pour l'instant. Egalement pas de chirurgie pour le genou G. Ce dernier présente des lésions plutôt d'usure mais sans phénomène de blocage mécanique nécessitant une chirurgie. Nous le reverrons dans 3 mois pour voir l'évolution. • Globalement, on note une amélioration des symptômes. En réexaminant encore une fois l'IRM native du genou G du 19.12.2018, on peut s'imaginer que la rupture partielle du faisceau postéro-latéral du ligament croisé antérieur pourrait être la cause des blocages mécaniques. Je propose au patient de voir l'évolution ces six prochaines semaines. Je le revois le 22.03.2019, à ce moment-là nous déciderons s'il faudra faire une arthroscopie pour essayer de réséquer ce qui pourrait mécaniquement entrer en conflit, particulièrement le moignon du faisceau postéro-latéral du ligament croisé. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. • Globe urinaire • Globe urinaire à 850 ml le 22.12.2018. • Globe urinaire aigu le 15.01.2019 • avec diurèse de regorgement • Globe urinaire dans le contexte d'hypertrophie bénigne de la prostate • Globe urinaire dans un contexte de macrohématurie macroscopique depuis le 06.01.18. • post cystoscopie avec ablation de condylomes vésicaux et biopsie intravésicale le 28.12.18 à l'Inselspital. • Globe urinaire de 1 l le 15.12.2018 • Globe urinaire de 1000 ml le 15.12.2018 • Globe urinaire de 500 ml le 20.12.2018 avec : • Retrait de l'ancienne sonde urinaire le 18.12.2018 • Sous traitement antibiotique de Ceftriaxone pour choc septique • Globe urinaire le 01.01.2019 sur infection urinaire • sous Tamsulosine pour hyperplasie de la prostate • Globe urinaire le 01.01.2019 sur infection urinaire sous Tamsulosine pour hyperplasie de la prostate • Globe urinaire le 09.01.2019 • Globe urinaire le 15.01.2019 DD sur obstruction prostatique et infection urinaire • Globe urinaire le 15.01.2019 (2600 ml) • en premier lieu sur hyperplasie bénigne de la prostate et infection urinaire • Globe urinaire le 16.12.2018 • Globe urinaire le 17.01.2019 • Globe urinaire le 17.01.2019 avec : • Arrachage par le patient de son ancienne sonde urinaire le 17.01.2019 • Bladder scan 17.01.2019 : > 849 ml • Globe urinaire le 18.12.2018 sur statut post-anesthésie générale pour pose de PEG. • Globe urinaire le 19.01.2019 • Uricult 19.01.2019 : E. coli ESBL • Globe urinaire le 25.12.2018 • Hématurie sur traumatismes répétés • Globe urinaire sur tentative de sevrage de sonde urinaire le 19.01.2019 • Globe urinaire sur tentative de sevrage de sonde urinaire le 19.01.2019 • DD sur hyperplasie bénigne de la prostate • Globe urinaire 1. épisode 650 ml 4.12.2018 2. épisode 900 ml 13.12.2018 • Globe vésical le 21.01.2019 • Globe vésical à 550 ml le 24.12.2018, et récidive le 03.01.2019 à 600 ml • Globe vésical aux urgences chez patiente connue pour des troubles mictionnels. • Globe vésical avec sonde à demeure • Globe vésical dans le contexte de l'hyperplasie de la prostate le 11.01.2019 • Globe vésical dans le probable contexte de la HBP • Après pose de sonde urinaire 1 L d'urine est sorti. • Globe vésical d'origine indéterminée, DD : constipation, infection débutante pas mise en évidence, fonctionnelle • Globe vésical le 03.09.2015. Cure de varices à droite en 1965 par crossectomie et stripping de la grande veine saphène droite avec phlébectomies étagées le 02.09.2015 (Dr. X). Fistule sigmoïdo-vaginale (avec le cul-de-sac vaginal postéro-latéral droit) sur diverticulite sigmoïdienne, avec : • empierrement vésiculaire asymptomatique • laparotomie, hystérectomie et annexectomie bilatérale, sigmoïdectomie avec anastomose colo-rectale latéro-terminale mécanique à la pince ILS 29 le 05.11.2015 • cholécystectomie par Dr. X le 05.11.2015. Troubles cognitifs avec état confusionnel (MMSE à 16/30) le 09.09.2015. Réaction allergique au Ferinject sous forme de rash cutané le 03.10.2018. Anémie hypochrome normocytaire arégénérative ferriprive avec hémoglobine à 68 g/l en octobre 2018. Dermohypodermite du membre inférieur gauche (DD : arthrite microcristalline). Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale dans le contexte d'une probable hémorragie digestive : • créatinine à 118 µmol/l • Cockcroft pour poids estimé de 60 kg à 26.4 ml/min. • Globe vésical le 15.12.2018 (650 ml) • Globe vésical le 28.01.2019 suite à l'ablation de la sonde urinaire. • Globe vésical probablement sur infection urinaire, le 25.12.2018 • Rétention de 1200 ml • Globe vésical récurrent • compliqué par une hématurie sur lésion prostate lors de l'installation de la sonde • Globe vésical récurrent • compliqué par une hématurie sur lésion prostate lors de l'installation de la sonde • Globe vésical sur fécalome. • Globe vésical sur probable ca prostatique le 13.01.2019. • Créatinine 89 mcmol/l. • Suivi par Dr. X. • Globe vésical sur probable obstruction tumorale • CA prostatique connu et suivi à Winterthur. • Globe vésical sur sonde vésicale bouchée le 24.12.2018 • Globe vésical 1000 ml le 17.01.2019 • Globe vésical post-opératoire • Globe vésical (1200 ml) • Globe vésical. IVRS. • Globes urinaires à répétition sur probable atonie vésicale : • échec de sevrage de la sonde vésicale • Glomérulonéphrite avec microhématurie avec 30% d'érythrocytes glomérulaires • Glomérulonéphrite membraneuse de stade 2 avec lésion de hyalinose segmentaire et focale : • insuffisance rénale chronique de stade G3A2 selon KDIGO • CKD-EPI GFR janvier 2019 : 42 ml/min • s/p traitement par Endoxan, Imurek-Prednisone et Cell-Cept • anti PLA2R négatifs • suivi par Dr. X • Glomérulonéphrite membraneuse de stade 2 avec lésion de hyalinose segmentaire et focale : • insuffisance rénale chronique de stade 3 selon KDIGO • clairance créatinine estimée à 45 ml/min (MDRD), protéinurie à 465 mg/l, créatinine à 211 mg/mmol le 04.02.15 • sp syndrome néphrotique • HTA mixte essentielle et rénale • traitement immunosuppresseur au Mycophénolate auparavant à la Prednisone • Cardiopathie ischémique et valvulaire • Sténose de l'IVA de 50% en 2001 • Fonction systolique globale et régionale normale (FEVG visuelle à 75% le 10.09.2018). Sclérose aortique et insuffisance aortique légère-modérée. • Hypertension artérielle traitée avec plusieurs crises hypertensives • Dyslipidémie traitée depuis 09.2018 • Troubles de la marche et de l'équilibre avec déconditionnement global d'origine multi-factorielle : • insuffisance rénale chronique sur glomérulonéphrite membraneuse • anémie normochrome normocytaire régénérative d'origine mixte • carcinome prostatique métastatique • cardiopathie valvulaire et ischémique • NSTEMI le 09.09.2018 • Gluconate de calcium Substitution en potassium et magnésium depuis le 25.01.2019 Acétazolamide depuis le 26.01.2019 • Gluconate de calcium 1 amp Insuline 10ui + Glucose 10% Gazométrie de contrôle : normalisation de la kaliémie • Glucose 10% sur KTVO central du 18.12 au 25.12.18 sonde oro-gastrique du 18.12 au 05.01.2019. • Glucose 10% sur KTVO du 18.12 au 23.12.18 Sonde oro-gastrique du 18.12.18 au 06.01.19 • Glucose 20 % 500 ml puis, Glucosalin 1000 ml du 22 au 25.12.2018. • Glucose 40% 2 ampoules le 23.01.2019 Suivi rapproché des glycémies • Glucose 5% Eau libre • Glucosurie avec microhématurie d'origine indéterminée avec : • perte pondérale de 5 kg en quelques mois. • Glucosurie d'origine indéterminée 11.01.2019 • HbA1c le 11.01.2019 : 4.8%. • Glycémie à 11.2 mmol/l • Glycémie à 17.5 mmol/l • Glycémie à 4.4, Cétonurie +++ Traitement symptomatique Reconsultation si baisse de l'état général • Glycémie à 5.6 mmol/l • Glycémie à 6.3 mmol/l • Glycémie à 6.6 mmol/l • Glycémie aux urgences : 6.5 g/L Analyses sanguines : cf. annexe Analyse urinaire : cf. annexe Zofran et Normolytoral aux urgences Probiotique (Pérentérol) Consignes d'hydratation • Glycémie capillaire : 4.9 Gazométrie : acidose (pH 7,32), avec hypoxémie légère (PO2 10,9 kPa), PCO2 5,4 kPa, abaissement des bicarbonates (20 mmol/l), élévation des lactates 2,8 mmol/l Labo : hypocalcémie à 2.03 mmol/L, OHémie 3.6 ppmile, reste sp • Glycémie capillaire normal permettant d'exclure un diabète Stix urinaire propre ne parlant pas pour une infection urinaire • Glycémie capillaire : 6.6 mM • Glycémie pathologique à jeûn. Hypertension artérielle diastolique. NASH probable. Syndrome des apnées du sommeil, appareillé la nuit. • Glycémie 7,6 mmol. Hydratation per os. Surveillance aux urgences. • Glycémies à jeun à 6.5 (le 05.01). • Glycémie Surveillance neurologique 6 heures post-crise/chute Consignes et feuille traumatisme crânien donnés Contrôle dans 24 heures chez pédiatre • Glycémie Surveillance neurologique 6 heures post-crise/chute Consignes usuelles crises fébriles Contrôle dans 24 heures chez pédiatre • Goitre multinodulaire droit Diabète de type 2 non insulino-requérant sous Metfin. Arthrose sacro-iliaque G symptomatique. Ostéodensitométrie du 16.06.2016 : normale • Goitre nodulo-kystique avec : • thyroïdectomie subtotale en juin 1985 • thyroïdectomie subtotale gauche en avril 1990 pour récidive • thyroïdectomie subtotale droite en 1995 pour récidive • ablation des parathyroïdes Prothèse totale du genou gauche en 2006 et droit en 2002 PTH droite en 2002 Pyélonéphrite droite simple en 2007 Cure D3 D à ressaut (OP le 21.08.2017) Choc septique avec bactériémie à E.Coli (ESBL) d'origine urinaire le 19.09.2014 • DD : pneumonie basale gauche concomitante Troubles électrolytes multiples le 15.08.2018 • Hypophosphatémie à 0.47 mmol/l • Hypomagnésémie à 0.71 mmol/l Urosepsis à germe non déterminé le 15.08.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 le 22.08.2018 de probable composante prérénale : • sur introduction de diurétique Entorse bénigne pied droit le 19.08.2018 • Goitre thyroidien. • Goitre thyroïdien substitué avec Euthyrox (suivi par Dr. X). Reflux gastro-oesophagien. • Golfer's Elbow et tendinite bicipitale à droite le 12.02.2018. Contusion thoracique droite en regard. Pouce gauche à ressaut. • Gonalgie à droite. Suspicion de kyste de Baker. • Gonalgie à gauche. • Gonalgie bilatérale. • Gonalgie bilatérale, d'origine indéterminée dans un contexte de méningiome para-sagittal central-bilatéral, le 21.01.2019 • Gonalgie D sur surcharge rétro-patellaire. • Gonalgie droite. Gonalgie gauche. Gonalgie gauche d'origine indéterminée DD : suspicion d'atteinte méniscale ddc, conflit fémoro-patellaire. Gonalgie gauche • torsion sans choc direct • claquage musculaire des ischio-jambiers. Gonalgie latérale sans cause retrouvée. Gonalgies. Gonalgies antérieures bilatérales sur syndrome fémoro-patellaire. Gonalgies D spontanées : • DD : dans le contexte d'un flexum de 20° du genou dû à une fracture du fémur distal à l'âge de 10 ans. Gonalgies, demande de changer d'orthopédiste. Gonalgies droites. Gonalgies droites chroniques DD : dans contexte obésité, Osgood-Schlatter. Gonalgies droites d'origine indéterminée. Gonalgies droites sur probable lésion dégénérative chronique du ménisque interne sur • status post plastie du LCA avec méniscectomie partielle du ménisque interne (Dr. X) en 2013. Gonalgies droites sur probable tophi goutteux et arthropathie goutteuse chez un patient connu pour une hyperuricémie avec insuffisance rénale chronique sur néphropathie urique associée à une oligo-arthrite récidivante. Gonalgies G post-traumatiques. Gonalgies gauche sur probable kyste de Baker en juin 2017. Gonalgies gauches. Gonalgies gauches, DD : lésion de la corne postérieure du ménisque interne. Gonalgies gauches évoluant depuis 2015 sur probable tendinite, avec péjoration ces derniers temps : • Status après implantation de prothèse totale de genou gauche en 2015 • Diagnostic différentiel : infection de prothèse. Gonalgies gauches post-traumatiques. Gonalgies gauches sur probable décompensation arthrosique. Gonalgies persistantes. Gonalgies sur prothèse unicompartimentale externe genou droit (implantée en 2013 par Dr. X, Clinique générale) Hyperesthésie du rameau infrapatellaire du nerf saphène genou droit. Déconditionnement musculaire membre inférieur droit. Amyotrophie masse quadricipitale droite. Troubles de la posture et douleurs contro-latérales genou gauche sur déconditionnement global des membres inférieurs. Rhizarthrose débutante à G. Gonarthrose bilatérale prédominante dans le compartiment fémoro-tibial externe, décompensée du côté D. Gonarthrose droite avancée connue de longue date avec mobilisation impossible, opération (à Genève au vu des comorbidités) refusée par la patiente. Gonarthrose du genou D. Gonarthrose du genou D • algique malgré traitement palier II introduit le 08.01.19. Gonarthrose en varus bilatérale avancée. Coxarthrose bilatérale. Gonarthrose fémoro-patellaire genou gauche. Gonarthrose fémoro-tibiale externe bilatérale, prédominant à gauche. Gonarthrose fémoro-tibiale interne à D, varisante. Gonarthrose fémoro-tibiale interne à droite. Gonarthrose fémoro-tibiale interne. Lésion dégénérative du ménisque interne (status post toilettage du ménisque interne par arthroscopie en 2011). Lésion dégénérative du ménisque externe. Gonarthrose fémoro-tibiale latérale genou D. Gonarthrose gauche. Gonarthrose genou D. Gonarthrose tricompartimentale à D. Gonarthrose tri-compartimentale à prédominance fémoro-tibiale externe genou gauche avec volumineux kyste de Baker et méniscopathie dégénérative du ménisque externe. Gonarthrose tri-compartimentale bilatérale avancée. Gonarthrose tricompartimentale D. Gonarthrose tricompartimentale D, prédominance fémoro-patellaire. Gonarthrose tri-compartimentale débutante à D. Morphotype du MI en valgus. Gonarthrose tricompartimentale droite avec implantation PTG droite BalaSys (OP le 21.02.2017). Pattelectomie externe droite sur arthrose fémoro-patellaire le 28.04.2015. Néphrolithiase gauche en novembre 2013. Appendicectomie. Cholécystectomie en 2014. Appendicite il y a plusieurs années. Plaie pénétrante de la cuisse droite par couteau de boucher en 1970. Psoriasis. Gonarthrose tricompartimentale et chondrocalcinose genou droit. Gonarthrose tricompartimentale gauche. Gonarthrose tri-compartimentale genou D Status post implantation d'une PTG G sur gonarthrose valgisante et compartimentale le 14.06.2016. Status post changement de PTH à droite le 18.02.2010 sur descellement aseptique de prothèse (prothèse implantée en 2002). Scoliose dégénérative lombaire. Gonarthrose tri-compartimentale genou D symptomatique, ainsi que de moindre importance au niveau du genou G. Status post ponction et infiltration du genou D le 24.9.18. Gonarthrose tricompartimentale genou droit sur : • status post méniscectomie, débridement d'articulation et microfractures plateau tibial externe et ablation masse cicatricielle après reconstruction du ligament croisé antérieur du genou droit le 26.02.2014. Status post-plastie LCA genou droit il y a de nombreuses années. Gonarthrose tricompartimentale prédominant du compartiment interne varisante genou G. Gonarthrose tricompartimentale prédominante fémoro-tibiale interne droit. Gonarthrose unicompartimentale fémoro-tibiale interne. Gonarthrose unicompartimentale fémoro-tibiale interne. HTA traitée. Gonarthrose varisante tri-compartimentale D Gonarthrose tri-compartimentale G. Goutte pied droit il y a quelques années (pas de ponction réalisée). Boursite prépatellaire. Suspicion d'une dermo-hypodermite du genou gauche le 12.10.2017. Macrohématurie sur hypertrophie de la prostate le 24.12.2018. Goutte pied droit il y a quelques années (pas de ponction réalisée). Boursite prépatellaire. Suspicion d'une dermo-hypodermite du genou gauche le 12.10.2017. Goutte sous Allopurinol 100 mg. Goutte tophacée • podologie à gauche depuis le 13.12.2018. Goutte tophacée surinfectée genou gauche 25.01.2019. Goutte tophacée Hypertension artérielle traitée depuis 2010. Goutte traitée. Maladie coronarienne (obstruction de la coronaire droite) avec échec de PTCA en 2001. Insuffisance veineuse chronique des MI. Lymphoedème des MI sur insuffisance veineuse et lymphatique. Lombosciatalgie droite sur canal lombaire étroit avec conflit sur racine L5 D. Arthrose sévère de l'épaule G. Diverticulose sigmoïdienne. Cystocèle avec incontinence urinaire de stress. Syndrome obésité/hypoventilation et syndrome d'apnées du sommeil sous VNI nocturne (14/22) • Insuffisance respiratoire globale • BMI à 61 kg/m2 • Syndrome restrictif moyen (VEMS 64%) • Diffusion du CO dans les limites de la norme à 82% en septembre 2016 • Tabagisme actif. HTA traitée. Restless leg syndrome. Obésité stade III. Diabète de type 2 non insulino-requérant. Constipation chronique, traitée. Syndrome du tunnel carpien droit. Goutte. HTA. Eczéma de contact jambe G. Goutte. HTA. Plaie chronique jambe G • status post débridement de la plaie, biopsies, rinçage au Lavasept, fermeture primaire distale pied G le 01.09.10 • status post révision de la plaie, révision tendon d'Achille, débridement VAC pied G le 29.04.2010 • status post révision de la plaie, révision tendon d'Achille, débridement, rinçage ablation de corps étrangers et réadaptation du tendon d'Achille avec un surjet de PDS 1 selon Bunnel ainsi qu'une adaptation selon Kessler le 03.02.2010 sur plaie d'environ 10x10cm avec perte de substance partie distale face dorsale jambe G avec section complète du muscle triceps sural et du nerf sural et défaut en regard du tendon d'Achille. Eczéma de contact jambe G. • Goutte • Incontinence urinaire nocturne • Gouttes de vitamine A 4x/j, antibiothérapie topique (Floxal 4x/j), larmes artificielles • Gouttes d'Oxybuprocaïne et vitamine A, pommade, pansement ophtalmologique. Retour à domicile. • Gouttes lacrymales pour œil droit • Goutte • S/p op radius avec greffe tibiale • Goutte • Vitiligo Grâce à des rinçages de nez efficaces, Mr. Y s'améliore rapidement du point de vue respiratoire et alimentaire. Après 48h d'hospitalisation, nous le laissons rentrer à domicile. Granulome superficiel de la plaie du tendon avec écoulement purulent le 11.01.2019 Greffe de cornée transfixiante le 20.12.2018 Thrombose de la fistule artério-veineuse de type Cimino à droite, sur des sténoses veineuses et artérielles in et out flow, le 28.10.2015. Status post-thrombectomie de la fistule artério-veineuse du membre supérieur droit, le 28.12.2016. Thrombose de la fistule artério-veineuse radio-céphalique prothétique au membre supérieur droit, le 10.04.2017 (5ème récidive). Pose de Permacath à droite, le 10.04.2017 (Dr. X). Status post-pneumonie droite, en 2014. Candidose buccale en mars 2018. Angor stable (dyspnée paroxystique) dans un contexte de cardiopathie mixte, ischémique et hypertensive : • Insuffisance cardiaque avec NT-proBNP le 27'065 ng/l le 21.05.2018 • ETT le 05.06.2018 : VG non dilaté, non hypertrophié, FEVG 49 %, dysfonction diastolique importante (grade III). Élévation des pressions de remplissage du VG, OG discrètement dilatée, HTAP importante à 64 mmHg. Décompensation cardiaque globale le 12.05.2018 dans le contexte de cardiopathie hypertensive et ischémique (maladie coronarienne tri-tronculaire stentée). Thrombose septique du membre supérieur gauche avec bactériémie à S. aureus multisensible le 03.06.2018 avec défaillance multi-organique. Ulcère gastrique Forrest III le 26.04.2018 avec anémie macrocytaire normochrome. Mr. Y reste hospitalisé pour surveillance respiratoire en raison initialement de Ventolin aux heures et d'une saturation fluctuante. Il reçoit aux urgences un train de Ventolin (3x6 push) et du Betnesol. Le Ventolin peut graduellement être espacé durant son séjour et il ne nécessite pas d'oxygène. Il est fébrile à son arrivée dans le service sans récidive. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile le 15.01 avec Ventolin aux 4h pour 24 heures puis contrôle chez le pédiatre ainsi que du Betnesol pour 3 jours en tout. • Griffure chat • Griffure de chat. • Griffure de chat du majeur droit. • Griffure de chien sans lésion oculaire • Griffure œil gauche. • Griffures superficielles d'un chat domestique : à l'abdomen, cuisse droite et au pouce de la main gauche. Grille mictionnelle Sédiment urinaire du 07.12.2018 : sans leucocytes ni nitrites Bladder scan : pas de résidu vésical post mictionnel significatif Spasmo-Urgénine à partir du 13.12.2018 : non efficace Betmiga à partir du 27.12.2018 • Grippe • Grippe • Grippe • Grippe • Grippe • Grippe. • Grippe. • Grippe. • Grippe A évoluant depuis 5 jours • Grippe à Influenza A le 13.01.2019, dans un contexte de potentielle pneumopathie interstitielle d'hypersensibilité • Grippe à Influenza A le 26.01.2019. • Grippe à Influenza A le 27.01.2019 • Grippe avec angine virale et rhinite. • Grippe avec frottis positif. • Grippe avec frottis positif à Influenza A le 23.01.2019. • état fébrile à 39.1°C. • exacerbation d'asthme. • Grippe. • Critères de Centor 2/4 (état fébrile, adénopathie jugulaire gauche). • Grippe Influenza A • Grippe Influenza A avec surinfection avec : • pneumonie basale droite à pneumocoques • Grippe intestinale • Grippe saisonnière. Grosses G1 P0 à 22 semaines. • contrôle vitalité du fœtus le 09.01.2019 ( Dr. X). Grossesse à terme 39 6/7, PN 3170, bonne adaptation néonatale pas de maladie depuis naissance. Grossesse à terme 39 6/7, PN 3170, bonne adaptation néonatale pas de maladie depuis naissance. Grossesse à 10 semaines. • sans particularité. Grossesse à 3 mois. Bonne santé habituelle. Grossesse à 4 semaines d'aménorrhée. Grossesse à 4 semaines d'aménorrhée. Grossesse à 6 semaines d'aménorrhée Grossesse à 8 SA. Grossesse évolutive non désirée, à 12 4/7 semaines d'aménorrhée, chez une patiente 9 gestes 5 pares de 33 ans. Grossesse évolutive, non désirée, à 6 3/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente, primigeste de 29 ans. Grossesse évolutive, non désirée, à 7 2/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente, primigeste, de 22 ans Grossesse évolutive, non désirée, à 9 3/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente, 3G 1P de 38 ans. Grossesse évolutive non désirée à 9 6/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente 1G 0P, de 23 ans. Grossesse évolutive non désirée, sans ambivalence, à 11 5/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente primigeste, de 20 ans Grossesse évolutive non désirée, sans ambivalence, à 12 0/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente primigeste, de 29 ans Grossesse évolutive non désirée sans ambivalence à 7 6/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente 1G 0P, de 18 ans. Grossesse évolutive, non désirée, sans ambivalence, à 9 1/7 semaines d'aménorrhée le 01.02.2019 chez une patiente, 3G1P, de 27 ans, Rhésus positif. Grossesse évolutive, non désirée, sans ambivalence à 9 6/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente primigeste, de 31 ans. Grossesse évolutive non désirée, sans ambivalence, chez une patiente de 23 ans, 3 G 1 P, à 7 3/7 semaines d'aménorrhée Grossesse extra utérine le 22/01/19 Grossesse extra-utérine à droite chez patiente 3 gestes 2 pares de 36 ans Grossesse extra-utérine droite traitée par salpingectomie par laparoscopie en 2010. Grossesse extra-utérine gauche à 6 semaines d'aménorrhée, chez patiente primigeste de 19 ans Grossesse gémellaire bichoriale biamniotique non évolutive à 9 3/7 semaines d'aménorrhée selon la date des dernières règles chez une patiente de 35 ans, 4G1P, Rhésus positif. Grossesse gémellaire bichoriale-biamniotique non désirée à 11 0/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente de 23 ans, 1G 0P Grossesse harmonieuse, naissance à terme par césarienne (pour antécédents de césarienne), poids 2900 g à la naissance. Bon développement psychomoteur et staturo-pondéral depuis. Pas d'antécédents médico-chirurgicaux. Grossesse intra-utérine à 9 SA chez patiente 1G 0 Grossesse intra-utérine évolutive à 6 4/7 SA. Grossesse intra-utérine évolutive à 6 4/7 SA. chez patiente 2G 0P Grossesse jumellaire, prématuré à 32 SA. Grossesse marquée par : • Menace d'accouchement prématuré à 31 2/7 semaines d'aménorrhée avec cure de maturation pulmonaire par Celestone le 28.11.2018 et le 29.11.2018 • Infertilité secondaire idiopathique (Grossesse sur stimulation ovarienne et rapports sexuels dirigés) Grossesse marquée par une Menace d'accouchement prématuré sur Cerclage selon McDonald à 22 semaines d'aménorrhée le 25.09.2018 - Sp Cure de maturation pulmonaire (Celestone) les 23.10.2018 et 24.10.2018 Entorse du genou droit et poignet droit (TFCC) S/p Appendicectomie par laparoscopie Chirurgicaux non gynécologiques : APP Genoux droit Grossesse non désirée à 11 0/7 SA, chez une patiente de 31 ans, 4G 3P Grossesse non désirée à 12 SA chez une patiente de 23 ans, 1G0P ; curetage interrupteur sous AG le 23.05.2018 avec pose de DIU Mona Lisa au même temps opératoire Grossesse non désirée à 12 SA chez une patiente de 23 ans, 1G0P ; curetage interrupteur sous AG le 23.05.2018 avec pose de DIU Mona Lisa au même temps opératoire Grossesse non désirée à 6 semaines d'aménorrhée chez une patiente, 3G 2P de 38 ans Grossesse non désirée, à 7 4/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente, 1G 0P, de 22 ans Grossesse non désirée, à 8 0/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente, 5G 3P, de 36 ans Grossesse non désirée à 8 2/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente de 33 ans, 3G1P Grossesse non désirée à 9 3/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente de 41 ans, 6G2P Grossesse non désirée de 7 2/7 SA, chez une patiente 1G de 19 ans. Cytotec 400 mg. Grossesse non désirée sur DIU Mirena à 10 4/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente 4G 3P de 38 ans Grossesse non évolutive à 8 3/7 semaines d'aménorrhée avec suspicion de môle incomplète confirmée chez une patiente, 2 gestes, 0 pare de 17 ans Grossesse non évolutive à 8 5/7 semaines d'aménorrhée d'implantation basse, proche de la cicatrice de césarienne, avec une riche vascularisation provenant d'une fine paroi utérine antérieure (3 mm d'épaisseur) chez une patiente de 33 ans, 5 gestes 1 pare Grossesse non évolutive arrêtée à 6 semaines d'aménorrhée, chez une patiente primigeste de 38 ans. Grossesse non évolutive arrêtée à 7 semaines d'aménorrhée chez une patiente primigeste de 25 ans, Rhésus positif. Brûlure 2e degré superficiel abdominale et cuisse G (3% surface corporelle) Grossesse non évolutive arrêtée à 7 2/7 semaines d'aménorrhée, chez une patiente 3 gestes 1 pare de 42 ans. Grossesse non évolutive arrêtée à 8 6/7 semaines d'aménorrhée après échec de traitement médicamenteux chez une patiente 2 gestes 1 pare de 39 ans. Grossesse non évolutive bas insérée Grossesse non évolutive, œuf clair, à 9 semaines d'aménorrhée chez une patiente 2G 1P, de 29 ans. Grossesse non évolutive à 12 3/7 SA arrêtée à 5 SA chez une patiente 2 gestes 0 pare de 31 ans Grossesse normale sans particularité, accouchement par voie basse avec manœuvre qui a engendré une difficulté du plexus. À terme, bonne adaptation néonatale Grossesse sans particularité à terme, accouchement VB, bonne adaptation néonatale Grossesse spontanée après traitement d'une stérilité secondaire sur syndrome PCO avec hyperinsulinémie 2006 : AVB par forceps à T+3 pour non progression, garçon de 3510g. Grossesse sur don d'ovocyte avec FIV Grossesse sur FIV Grossesse sur FIV ICSI Grossesse sur insémination artificielle Grossesse sur insémination intra-utérine. Troubles anxio-dépressifs mixtes, avec trouble de la personnalité (sans précision). Antécédent d'anorexie mentale, de type restrictive. Endométriose de stade 2. Grossesse unique intra-utérine non désirée, sans ambivalence, à 9 3/7 semaines d'aménorrhée le 01.02.2019 chez une patiente 1G de 28 ans, Rhésus négatif. Grossesse 2G 1P à 24 semaines. Grosseur du scrotum Groupe O Rhésus positif Labo 15.01.2019: Hb 118 g/l Uricult: < 10x3 germes Prélèvement vaginal : Flore normale, Saccharomyces cerevisiae US abdominal le 15.01.2019 : décollement rétro-membranaire de 42x 28 mm. Le contrôle échographie à la sortie est stable. Groupe sanguin: A Rhésus positif Laboratoire : Hb 133 g/l, leuco 4.9 g/l Plaq 287 mg/l Crase en ordre Chlamydia du 15.01.2019 : négatif Sérologies IST du : HBV , HCV négatif, HIV négatif Echographie endovaginale le 15.01.2019 : grossesse intra-utérine non évolutive à 8 0/7 semaines d'aménorrhée, avec présence d'un embryon de 4 mm sans activité cardiaque. Groupe sanguin : A Rhésus positif PAP du 18.01.2019 : NILM Chlamydia du 18.01.2019 : Nég. Sérologies IST (Syphilis) du 21.01.2019 : négatifs US après curetage : cavité est vide, endomètre à 5 mm (l'image dans le dossier) du 25.01.2019 Groupe sanguin : A Rhésus positif PAP du 30.10.2018 : ASCUS (contrôle dans un an) Chlamydia du 18.12.2018 : négatif Sérologies IST du 18.12.2018 : VIH, VHB, VHC négatives Groupe sanguin : A Rhésus positif PAP en cours Chlamydia en cours Sérologies IST (Syphilis) du 30.10.2018 : négatifs Contrôle par US après curetage : cavité utérine vide Contrôle par US après pose DIU : stérilet bien placé Groupe sanguin: AB Rhésus positif Laboratoire du 19.12.2019: Hb 122 g/l, leuco 4.6 g/l; Plaq 249 mg/l; crase en ordre. Labo à l'entrée Hb à 109 g/l crase en ordre Echographie pelvienne : hématomètre avec une image glandulo-kystique au niveau du fond utérin. PAP 06.03.2018 : en ordre Groupe sanguin: B Rhésus positif Laboratoire du 21.11.2018: Hb 146 g/l, leuco 6 g/l ; Plaq 274 mg/l ; Crase en ordre Sérologie le 21.11.2018 HB, HC, HIV : négatifs PAP / Chlamydia juillet 2018 en ordre Echographie pelvienne endovaginale HFR le 21.11.2018 : utérus de 4,6 × 3 × 3,8 cm, endomètre 3 mm, ovaire gauche présentant un endométriome 1,5 x 1 cm, Ovaire droit en ordre. IRM pelvienne le 10 juillet 2018 (Radiologie de la Broye) : Mise en évidence de multiples formations folliculaires dans la région annexielle des deux côtés d'aspect banal, une formation partiellement hémorragique restant cependant dans les limites de la norme sur la partie supérieure de l'annexe droite. Petite lésion de 17 mm en regard du bord supéro interne de l'ovaire gauche compatible avec un nodule d'endométriose. Une seconde lésion est également suspectée en regard du bord inféro interne de l'ovaire droit. Petit épanchement liquidien avec dilatation variqueuse. Groupe sanguin: B Rhésus positif PAP du 15.01.2019 : en cours Chlamydia du 09.01.2019 : négatif Sérologies IST HBV, HCV, HIV : négatif Echographie endovaginale le 15.01.2019 : grossesse intra-utérine évolutive à 7 1/7 semaines d'aménorrhée. Groupe sanguin: B Rhésus positif US 1er trimestre le 04.12.2018, CN 1.55 mm, Test combiné 1/ 20000, Conclusion : absence d'anomalie décelée US du 15.01.2019 Dr. X : Malformation cardiaque complexe : Asymétrie des tailles des ventricules et oreillettes, suspicion de départ de l'aorte du ventricule droit avec une artère pulmonaire à gauche de cette aorte et semblant aussi partir du ventricule droit. CIV et CIA. Patiente adressée au Dr. X pour second avis et avis cardiopédiatrique. US au CHUV le 18.01.2019 : malformation cardiaque type hypo VG, vitalité normale, biométrie normale, placenta antérieur. Amniocentèse le 21.01.2019 : résultat en cours. Laboratoire : Hb 144 g/l le 04.12.2018 ; Thrombocytes 243 G/l le 04.12.2018 ; Ferritine 41 µg/l le 04.12.2018 ; Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 06.12.2018 ; TSH : 1.38 le 04.12.2018 ; Sérologies : Rubéole immune le 04.12.2018 ; VDRL négatif le 04.12.2018 ; HBS négatif le 04.12.2018 ; HCV négatif le 04.12.2018 ; HIV négatif le 04.12.2018 ; Varicelle positif le 04.12.2018 ; Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire du 2019 : Hb 132 g/l, leuco 5 g/l Plaq 287 mg/l, Crase en ordre. PAP test : mai 2018 Dr. X Lausanne Echographie pelvienne : utérus 7-6 x 2,6 cm endomètre fin 1,1 mm ovaires dans la norme. Groupe sanguin : O Rhésus positif PAP du 07.01.2019 : Négatif pour une lésion malpighienne intra-épithéliale.Chlamydia du 09.01.2019: Négatif Sérologies IST (Syphilis) du 07.01.2019: négatifs Contrôle par US post-curetage le 25.01.2019: Cavité de l'utérus est vide, l'endomètre à 5 mm • Groupe sanguin : O Rhésus positif • PAP en cours • Chlamydia du 22.01.2019: Négatif • Sérologies IST (Syphilis) du 23.01.2019: négatifs • US abdominale après curetage: Cavité utérine est vide, l'endomètre à 4 mm • Groupe sanguin: A +, AC irréguliers négatifs le 09.01.2019 • Laboratoire le 09.01.2019: Hb 118 g/l, leucocytes 9.7 G/l, thrombocytes 178 G/l • Hb foetale le 09.01.2019: 0 • Hb foetale le 10.01.2019: 0, Hb maternelle à 126 g/l • CTG: contractions utérines irrégulières non ressenties, R-NP • Speculum: col fermé stable au Valsalva, leucorrhées physiologiques • Frottis bactériologique: Flore normal et Candida albicans • Streptocoques du groupe B: négatif • ActimPartus: négatif • Echographie transvaginale: col à 39 mm, fermé • Echographie transabdominale: Foetus eutrophique en présentation céphalique avec PFE à 2647g (p90), excellente vitalité foetale, manning 8/8, ILA dans la norme, placenta antérieur normalement inséré. Dopplers ombilical et cérébral en ordre. Doppler des artères utérines en ordre des deux côtés. • Sérologie: Toxo immune, CMV non-immune, Rubéole immune, TPHA négatif, HBS: Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif. • Groupe sanguin A + • Ponction ovocytaire écho-guidée au bloc opératoire sous anesthésie générale le 29.10.2018 : prélèvement de 13 ovocytes • Groupe sanguin A positif • Groupe sanguin: A positif • Sérologies du 30.01.2019: négatives. • Laboratoire du 30.01.2019: Hb 113, Leuco 8,2, Thrombo 272. Bonne fonction rénale. • PAP-test du 30.01.2019: négatif. • Chlamydia du 30.01.2019: négatif. • USTV du 30.01.2019: Utérus en AVF, ayant une grossesse bichoriale non évolutive (un sac gestationnel de 17mm avec un embryon de 7mm sans activité cardiaque et un autre sac gestationnel de 10mm avec vésicule viteline sans embryon visualisé) • Groupe sanguin: A Rhésus négatif. • Groupe sanguin A Rhésus négatif • Groupe sanguin: A Rhésus négatif. • Sérologies du 29.01.2019: négatives • PAP-test du 22.01.2019: dans la norme. • Chlamydia du 24.01.2019: négatif. • USTV du 29.01.2019: Utérus en AVF, présentant une GIU évolutive correspondant à 9 SA. Corps jaune à droite. • Groupe sanguin: A Rhésus négatif • Curetage interrupteur le 18.01.2019 • Rhophylac 300mcg IV le 18.01.2019 • Contraception Future : Desoren 20 • Groupe sanguin: A Rhésus négatif • Laboratoire du 08.01.2019: Hb 131 g/l, leuco 10 g/l Plaq 267 mg/l Crase en ordre • Chlamydia du 10.01.2019: négatif • Sérologies IST du 08.01.2019 HBV, HCV, HIV :négatifs • US le 08.01.2019: grossesse évolutive à 8 4/7 semaines d'aménorrhée • Groupe sanguin: A Rhésus négatif • Laboratoire du 2019: Hb 132 g/l; leuco 8.7 g/l; Plaq 321 mg/l; Crase en ordre. • Sérologie: HBV négatif; HCV négatif; HIV négatif. • Groupe sanguin: A Rhésus négatif • Laboratoire du 2019: Hb 137g/l; leuco 10g/l; Plaq 322mg/l; Crase en ordre. • Béta-HCG sérique: 21503, 14, 7 U/l; • Sérologies 2016: HB négatif; HCV négatif; HIV négatif; Syphilis négatif; • PAP : absence de cellules suspectes • Chlamydia : négatif • Groupe sanguin A, Rhésus négatif. • Rhophylac 300mcg le 01.02.2019 • Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatifs 01.01.2019 • Laboratoire du 01.01.2018: Hb 130g/l, Leucocytes 14.5G/l, Thrombocytes 337G/l, TP >100%, CRP 5mg/l • Hb post partale: • Frottis cervico-vaginal: flore normal • Frottis streptococque du groupe B: positif • Sérologies: Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif. • Echographie obstétricale le 01.01.2019: Foetus eutrophique en position céphalique avec PFE à 1983g, ILA à 14, placenta postérieur normalement inséré, doppler ombilical eo. • Echographie transvaginale le 01.01.2019: col à 13mm. • CTG du 01.01.2019: R NP, quelques contractions utérines non douloureuses • Groupe sanguin: A Rhésus positif • Laboratoire du 2019: Hb 158 g/l, leuco 7.5 g/l Plaq 326 mg/l Crase en ordre. • Chlamydia : négatif • Sérologies IST du : HBV, HCV, HIV négatif • Us trans-vaginale le 15.01.2019: grossesse intra-utérine avec un sac gestationnel et une vésicule viteline sans embryon visible correspondant à 5 semaines d'aménorrhée. • Groupe sanguin: A Rhésus positif • Laboratoire du 07.01.2019: Hb 125 g/l; leuco 5.7 g/l; Plaq 251 mg/l; Crase en ordre, Na+ 136 mmol/l, K+ 3 mmol/l • Sérologie le 07.01.2019: HBV négatif; HCV négatif; HIV négatif; Syphilis négatif. • PAP le 09.02.2017 : Absence de cellules suspectes • Echographie trans-vaginale le 04.06.2018 : Utérus myomateux, post traitement par Primolut Nor : • Myome centro-utérin de 57x60x63 mm (sous-muqueux) non suspect. Endomètre non identifiable. • Echographie trans-vaginale le 21.11.2018 : post 3 mois de Decapeptyl: Réduction taille du myome sous-muqueux. • Myome sous-muqueux de 20 mm x 25 mm, moins de 50% intracavitaire, dont la position est postérieure. • IRM 20.06.2018 : • Aspect IRM en faveur d'un myome de 58 x 55 x 68 mm probablement cellulaire développé dans la cavité utérine. • Aspect hétérogène du myomètre pouvant faire suspecter une éventuelle adénomyose. • Groupe sanguin A Rhésus positif • Laboratoire du 08.01 2019 : Hb134 g/l, leuco 9.0 g/l, Plaq 309 mg/l, Crase en ordre • PAP du 10.01.2019 : absence de cellules suspectes • Chlamydia du 10.01.2019 : négatif • Sérologies IST du : HBV, HCV, HIV, syphilis : refusée par la patiente • US le 21.01.2019 : grossesse intra-utérine estimée à 6 2/7 semaines d'aménorrhée (LCC 5mm) • Groupe sanguin: A Rhésus positif • Laboratoire du 09.01.2019: Hb 123 g/l, leuco 5.4 g/l, Plaq 322 mg/l Crase en ordre à l'entrée !!!! • Sérologie HB négatif HCV négatif HIV négatif • PAP test négatif • Chlamydia négatif • Echographie pelvienne le 19.12.2018: Grossesse intra-utérine évolutive à 7 5/7 SA • Groupe sanguin: A Rhésus positif • Laboratoire du 11.01.2019: Hb 139 g/l; leuco 8.9 g/l; Plaq 275 mg/l; Crase en ordre. • Sérologie: HB négatif; HCV négatif; HIV négatif; Syphilis négatif. • PAP le 04.12.2018 en ordre: Négatif pour lésion malpighienne intra-épithéliale • Endosampler 04.12.2018 non contributif • Echographie endovaginale: endomètre épaissi à 11 mm • Groupe sanguin: A Rhésus positif • Laboratoire du 18.12.2018: Hb 121g/l, leuco 7.9 g/l Plaq 313mg/l Crase en ordre • Hb à J1: 109 g/l • US mammaire le 25.06.2018: • Sein gauche: Asymétrie de densité du sein gauche, avec opacité des quadrants supérieurs, se traduisant à l'US par des plages hypoéchogènes mal délimitées, associées à un épaississement cutané, des adénopathies axillaires gauches (biopsiées). • Examen évoquant un carcinome inflammatoire du sein, classé en BI-RADS V • IRM mammaire le 02.07.2018 • Sein gauche: Carcinome inflammatoire du sein gauche avec épaississement cutané, atteinte axillaire, examen classé en BIRADS VI. • Sein droit: rehaussement nodulaire, se situant à 6h et 2 cm du mamelon, mesurant 11 x 11 mm, suspect, classé en BIRADS IV. • PET-CT le 03.07.2018: • L'aspect du sein gauche correspond à celui d'un carcinome inflammatoire avec présence de métastases ganglionnaires axillaires gauches. Nous n'avons pas mis en évidence de métastase à distance. Pas de lésion visible au niveau mammaire interne gauche. • La lésion hyperactive dans l'ovaire gauche correspond radiologiquement à un corpus luteum mais nous ne pouvons pas exclure complètement une origine maligne, à investiguer. • US pelvien le 06.07.2018: corps jaune ovaire gauche avec lame de liquide libre • Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte de néoplasie. • IRM des seins 12.09 (après 4 AC) puis 10.12.2018 (après 12 Taxol) : Comparé au 02.07.2018 : • Sein droit: Disparition des multiples lésions de type Focus disséminées dans tout le sein droit. • Sein gauche: Quasi disparition de l'infiltrat tumoral touchant tout le sein (persistance d'un reliquat tumoral mesurant 11 x 11 mm, sans clip métallique) et de l'épaississement cutané, des adénopathies axillaires, en rapport à une bonne réponse au traitement. BIRADS VI.Groupe sanguin: A Rhésus positif Laboratoire du 20.11.2018: Hb 144g/l, leuco 12g/l Plaq 434mg/l, Crase en ordre, CRP, Na+, K+, créat en ordre. Marqueurs tumoraux 30.10.2018 : CEA 4.4 ng/ml, Alpha-foetoprotéine : 2.5 ng/ml, CA - 125 : 26 U/ml, CA 15-3 : 27,7 U/ml, CA 19-9 : 1 U/ml, HCG sérique (marqueur tumoral) 3,2 U/l. Sérologie HBV, HC, HIV : négatifs PAP test le 02.11.2018: HSIL, HPV HR positif, P16 positive. Examen clinique: Mobilisation du col sensible, mobile. CT abdominale 30.10.2018: • Tératome ovarien droit, sans argument radiologique pour une torsion ovarienne. • Cholécystolithiases avec adénomyomatose, sans signe de cholécystite. • Adénome surrénalien gauche. IRM le 07.11.2018 Masse du petit bassin du côté droit, évoquant, jusqu'à preuve du contraire, un tératome. Utérus myomateux. Groupe sanguin: A Rhésus positif Laboratoire du 2019: Hb 135g/l, leuco 5.8 g/l Plaq 219mg/l Crase en ordre Sérologie HB négatif HCV négatif HIV négatif Mammographie Us, 03.10.2018 Sein gauche : Séquelles de chirurgie dans le quadrant supéro-externe du sein G. BIRADS II. Sein droit : Lésion hypo-échogène, se traduisant à la mammographie par une opacité spiculée se situant à cheval des quadrants supérieurs du sein D. BIRADS IV, une IRM pour un complément a été planifiée le 05.10.2018. IRM des seins 05.10.2018 : Sein droit : Comparé à l'IRM du 16.04.2015, on retrouve un rehaussement de type masse (distorsion architecturale), mesurant 17 x 10 mm (situé à 12h et 3 cm de mamelon), présentant une augmentation en taille, cette lésion est visible sur la mammographie et à l'échographie, classée en BIRADS IV étant donné l'aspect. CT hanches 21.12.2018 : PTH ddc, en bonne position, sans signe de descellement. Pas de métastase osseuse visualisée au niveau de l'ensemble des structures examinées. Pas de signe d'ostéolyse pour une infection. Groupe sanguin: A Rhésus positif Laboratoire du 2019: Hb 138g/l, leuco 4 g/l Plaq 256mg/l Crase en ordre Mammographie et us du sein le 21.11.2018: Nodule à cheval des quadrants externes du sein droit BIRADS 5 de 15 x 18 mm à 9h qui présente une vascularisation artérielle. PET-CT 04.12.2018: Néoplasie mammaire droite de 15 mm sans mise en évidence de métastase ganglionnaire ou de métastase à distance. Groupe sanguin: A Rhésus positif Laboratoire du 22.01.2019: Hémoglobine 117 g/l, Leucocytes 7,9 G/l, Thrombocytes 392 G/l. Crase sans particularité. PAP du 22.01.2019: négatif pour lésion malpighienne intra-épithéliale. Chlamydia du 22.01.2019: négatif Sérologies IST refusée Echographie pelvienne le 22.01.2019 : Utérus en AVF ayant une grossesse intra-utérine évolutive avec présence d'un embryon avec LCC 11.4 mm, correspondant à 9 semaines d'aménorrhée. Groupe sanguin: A Rhésus positif PAP du : absence de cellules suspectes Chlamydia du : négatif Sérologies IST HBV, HCV, HIV, syphilis : Négatifs Groupe sanguin: A Rhésus positif PAP du 17.01.2019 : Absence de cellules suspectes Chlamydia du 02.01.2019: positif Sérologies IST du 15.01.2019 HBV, HCV, HIV, syphilis: négatifs Echographie endovaginale le 16.01.2019: grossesse intra-utérine évolutive à 6 5/7 semaines d'aménorrhée. Groupe sanguin: B positif. Laboratoire du 01.01.2018: Hb 143 g/l ; Leuco 20.4 G/l; Tbc 381 G/l, crase sans particularité. Chlamydia du 30.10.2018: négatif USEV: utérus en AVF de 84 x 44 x 48 mm, endomètre à 14 mm hétérogène, OVD de 26 mm x 18 mm, OVG de 31 mm x 28 mm x 17 mm, lame de liquide libre. Groupe sanguin: B rhésus négatif. RAI négatifs. Laboratoire du 08.01.2019: Hb 158 g/l; leuco 5.5 g/l; Plaq 309 mg/l; Crase en ordre. Na+, K+, Urée, créatinine en ordre. Sérologie le 07.01.2019: HBV négatif; HCV négatif; HIV négatif; Syphilis négatif. PAP test négatif le 18.01.2013 Mammographie 13.11.2018 : Distorsion architecturale suspecte, BIRADS 4 au niveau du QSE gauche mesurant 1 cm avec petite opacité spiculée centrale. Echographie 13.11.2018: distorsion architecturale du QSE du sein gauche, de 10 mm. Pas d'autres lésions focales, pas d'adénopathie axillaire. Ponction-biopsie du 13.11.2018: Carcinome invasif NST sein gauche. ER positif 100%, PR positif 80%, HER 2 non-amplifié, Mib-1 à 15 %. Groupe sanguin: B Rhésus négatif Laboratoire du 18.12.2018: Hb 136 g/l; leuco 6 g/l; Plaq 326 mg/l; Crase en ordre. Sérologies: HB, HCV, HIV, Syphilis: négatifs Echographie pelvienne: cicatrice utérine sans particularité, hématomètre de 3-4 mm PAP le 31.08.2017: Absence de cellules suspectes Chlamydia négatif le 11.10.2018 Groupe sanguin: B Rhésus négatif Laboratoire du 22.01.2019: Hb 135 g/l; leuco 11.6 g/l; Plaq 279 mg/l; Crase en ordre PAP du 22.01.2019 : absence de cellules suspectes Chlamydia du 22.01.2019 : négatif Sérologies IST HBV vaccinée, HCV, HIV : négatifs Echographie pelvienne le 22.01.2019 : grossesse intra-utérine évolutive avec présence d'un embryon avec LCC 16.6 mm Groupe sanguin: B Rhésus positif Dernier laboratoire avant le déclenchement de l'ovulation 25.01.2018 : E2 9103 pmol/L, progestérone 1.6 ng/ml, LH <0.1 U/L Echographie endo-vaginale le 25.01.2019: endomètre de 12 mm, ovaire droit contenant follicules de 12 à 19 mm, ovaire gauche follicules de 15 à 22 mm Groupe sanguin: B Rhésus positif Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifegyne le 26.01.2019 et Cytotec le 28.01.2019 Expulsion objectivée le 28.01.2019 Contraception future préservatif Groupe sanguin: B Rhésus positif Laboratoire du 09.01.2019: Hb 124 g/l, leuco 6.8 g/l Plaq 292 mg/l, Crase en ordre, Na+ 140 mmol/l, K+ 4.1 mmol/l, Labo le 11.01.2019 : Hb 94 g/l. BHCG 11 887 (14 200 le 10.12.2019) PAP test: Absence de cellules suspectes Chlamydia du : négatif Sérologies IST du : HB négatif, HCV négatif, HIV négatif US le 04.01.2019 : Grossesse intra-utérine non évolutive à 8 4/7 sa d'implantation basse, proche de la cicatrice de césarienne, avec une riche vascularisation provenant d'une fine paroi utérine antérieure (3 mm d'épaisseur), flux d'haute vitesse (alliasing visible). Groupe sanguin: B rhésus positif Laboratoire du 09.01.2019: Hb 124 g/l, leuco 6.8 g/l Plaq 292 mg/l, Crase en ordre, Na+ 140 mmol/l, K+ 4.1 mmol/l PAP test: Absence de cellules suspectes Chlamydia du : négatif Sérologies IST : HB négatif, HCV négatif, HIV négatif US le 04.01.2019 : Grossesse intra-utérine non évolutive à 8 4/7 sa d'implantation basse, proche de la cicatrice de césarienne, avec une riche vascularisation provenant d'une fine paroi utérine antérieure (3 mm d'épaisseur), flux d'haute vitesse (alliasing visible). Groupe sanguin: B Rhésus positif Laboratoire du 10.12.2019: Hb 136 g/l; leuco 10 g/l; Plaq 435 mg/l; Crase en ordre. Sérologies HB, HC, HIV : négatives Echographie pelvienne: utérus en AVF, Endomètre épais de 8 mm. Pas de polype. Endosampler le 28.11.2018: Aspect de l'endomètre suggère un contexte d'hyperoestrogénie PAP le 23.11.2018 en ordre Chlamydia négatif Groupe sanguin: B Rhésus positif Laboratoire du 2019: Hb 150 g/l, leucocytes 9 g/l Thrombocytes 228 mg/l, Crase en ordre. Sérologie 20.12.2018 HBV HCV HIV : négatifs PAP le 28.08.2018 cellules malpighiennes atypiques ASCUS Frottis cervical 30.08.2018: Chlamydia positif traité par Zithromax CT abdominal (Cimed) du 26.08.2014: Pas de lésion suspecte des organes intra-abdominaux, avec intégrité de la paroi antérieure. Groupe sanguin: B Rhésus positif Laboratoire du 22.01.2019: Hb 131 g/l, leuco 19.5 g/l Plaq 351 mg/l, Crase en ordre. Beta-HCG à 2 457. Après transfusion de 1 CE Hb à 88 g/l.Laboratoire du 23.01.2019 : Hb g/l, leuco g/l Plaq mg/l. Beta-HCG à : 931 Echographie endo-vaginale : Utérus en AVF, endomètre fin et présence de stérilet Mirena bien placé. Masse hétérogène dans la région annexielle gauche avec identification d'un hématosalpinx, l'ovaire gauche bien individualisé avec présence d'un sac gestationnel avec vésicule viteline sur la partie distale de la trompe. Hémopéritoine important. Echographie abdominal : Présence de liquide libre peri-hépatique. Groupe sanguin : B Rhésus positif Laboratoire du 28.11.2018 : Hb : 128 g/l, GB : 6.6 g/l, Plaq : 282 G/L, TSH : 1.760, E3 : 191, FSH : 15.7, LH : 13.9, créat : 60 Labo à l'entrée : en ordre Sédiment urinaire du 17.01.2018 : en ordre PAP test du 24.04.2018 : Négatif pour lésion malpighienne intra-épitéliale Groupe sanguin : Dernier laboratoire avant le déclenchement de l'ovulation : E2 .... pmol/L, progestérone .... ng/ml, LH ..... U/L, FSH ..... AMH du ......... : ...... Hystéro-salpingographie du ....... : bonne perméabilité tubaire bilatérale IRM du 08.06.2018 : absence d'adénomyose utérine, adhérences entre l'utérus et le dôme vésical, cloisons recto-vaginal avec ??? signe d'infiltrations, utéro-sacré épaissis à droite. Endométriome à gauche. Spermogramme le ........ : normale Groupe sanguin maternel A rh négatif ; Groupe enfant : O Rh Pos / Coombs : négatif Groupe sanguin : O négatif, RAI négatif Laboratoire du 18.01.2019 : absence de troubles électrolytiques, Hb 118 g/l, leucocytes 11.8 G/l, thrombocytes 427 G/l, Crase en ordre. Echographie trans-vaginale : matériel intra-utérin. Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif 14.06.2018 Laboratoire : Hb à 120 g/l, Leucocytes 11.5 G/l ; Thrombocytes 227 G/l Hb post-partale à 116 g/l Sérologies du 14.06.2018 : Rubéole immune, VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif Groupe sanguin O Rhésus positif RAI négatifs Laboratoire du 20.12.2018 : Hb 116 g/l, leuco 6.7 g/l, plq 296 g/l, crase en ordre Laboratoire du 03.01 en post-op : Hb 96 g/l Laboratoire du 04.01 en post-op : Hb 92 g/l Ht 30, créat en ordre, Ferritine 15 mcg/l Echographie trans-vaginale : Myome fundique de 3,5 cm de diamètre en partie sous-muqueux en partie intra-mural. Groupe sanguin : O Rhésus positif Laboratoire du 01.10.2019 : Hb 132 g/l, leuco 8 g/l Plaq 326 mg/l Crase en ordre, CRP, Na+ 137, K + 3.6 créat 51 µmol/l. Sérologie le 01.10.2019 HB, HC, HIV, syphilis : négatives Echographie mammaire le 03.09.2018 : Sein droit : mise en évidence d'une lésion hypo-échogène, hétérogène, hyper-vascularisée se situant dans le quadrant supéro-externe, à 11h et 4 cm du mamelon, mesurant 19X17X24 mm. Absence de lésion suspecte dans la région rétro-mamelonnaire. Absence d'adénopathie axillaire droite. Sein gauche : absence de lésion suspecte dans les 4 quadrants. La région rétro-mamelonnaire et axillaire gauche se présente normalement. Probable fibroadénome dans le quadrant supéro-externe du sein droit, classé en BI RADS III pour laquelle une micro-biopsie a été effectuée. Les prélèvements ont été envoyés chez Argot Lab : Lésion fibro-épithéliale bénigne compatible avec un fibroadénome Présence d'un petit foyer d'adénose en périphérie du fibroadénome. classification B2 Groupe sanguin : O Rhésus positif Laboratoire du 04.12.2018 : Hb 127 g/l, leuco 7.4 g/l Plaq 197 mg/l, Crase en ordre, CRP, Na+, K +, urée, créat. Sérologie 04.12.2018 : HB négatif HCV négatif HIV négatif Syphilis négatif PAP du 28.08 : Absence de cellules suspectes Chlamydia du 20.11.2018 : négatif Echographie pelvienne : Grossesse non évolutive arrêtée à 7 2/7 semaines d'aménorrhée le 26.12.18, sans expulsion malgré traitement par Cytotec. Groupe sanguin : O Rhésus positif Laboratoire du 04.12.2019 : Hb 144 g/l, leuco 6,8 g/l Plaq 219 mg/l, Crase en ordre, Na+ 137, K + 4,5, urée 3,3, créat 58. Sérologie le 06.12.2018 : HB négatif, HCV négatif, HIV négatif, Syphilis négatif PAP test le 17.10.2018 : Négatif pour une lésion malpighienne intra-épithéliales Chlamydia/Gonocoque négatif le 19.10.2018 Groupe sanguin : O Rhésus positif Laboratoire du 07.11.2019 : Hb 142 g/l, leuco 9.2 g/l Plaq 348 mg/l, Crase en ordre. Sérologie 07.11.2019 : HB nég, HCV nég, HIV nég, Syphilis nég PAP test 07.09.2018 : Négatif pour une lésion malpighienne intra-épithéliale. Echographie pelvienne : utérus globuleux de 104 x 86 mm avec échostructure hétérogène, siège d'un fibrome sous-muqueux FIGO I antérieur de 75 mm remanié, aspect du myomètre hétérogène adénomyose associée. DIU non vu IRM pelvien le 18.10.2018 Volumineux myome utérin du mur antérieur mesurant 77 x 84 x 86 mm. Groupe sanguin : O Rhésus positif Laboratoire du 08.01.2019 : Hb 143 g/l, leuco 7,9 g/l, Plaq 271 mg/l, Crase en ordre. Chlamydia négatif PAP en ordre Sérologies IST du 08.01.2019 HBV, HCV, HIV : négatifs Groupe sanguin : O Rhésus positif Laboratoire du 08.01.2019 : Hb 143 g/l, leuco 7 g/l Plaq 244 mg/l Crase en ordre Chlamydia Négatif PAP test : Négatif Sérologies IST du 08.01.2019 HBV, HCV, HIV : négatifs US le 11.01.2019 : œuf clair de 35 mm Groupe sanguin : O Rhésus positif Laboratoire du 08.01.2019 : Hb 147 g/l, leuco 8 g/l Plaq mg/l Crase en ordre Chlamydia du 08.01.2019 : négatif Sérologies IST du 08.01.2019 HBV, HCV, HIV, syphilis : négatifs Groupe sanguin : O Rhésus positif Laboratoire du 16.01.2019 : Hb 132 g/l, Lc 13.9 g/l, Tc 400 g/l Hb de contrôle le 17.01.2019 : 125 g/l Groupe sanguin : O Rhésus positif Laboratoire du 16.01.2019 : Hb : 137 g/l, GB : 9.1 g/l, Plaq : 311 G/L, crase en ordre. Dernier laboratoire avant le déclenchement de l'ovulation le 25.01.2019 : E2 1941 pmol/L, progestérone 1.2 ng/ml, LH <0.1 U/L Laboratoire du 04.10.2018 : 25-OH-Vitamine D : 38, TSH : 1.77, PRL : 15.2, LH : 4, FSH : 6, E2 : 110.5, AMH : 15.8. Bilan de thrombophilie en ordre (Bilan d'investigation de fausses couches à répétition) Sérologies du 04.10.2018 : Toxo non immune, Rubéole immune, CMV immune, rougeole immune, VHB, VHC, VIH, syphilis négatives. PAP test du 05.06.2018 : Pas de cellules suspectes de malignité Frottis col : Mycoplasma, trichomonas, chlamydia, gonocoque négatif. Echographie endo-vaginale le 28.01.2019 : endomètre de 6.5 mm, ovaire droit contenant follicules de 17 à 19 mm, ovaire gauche follicules de 11 à 23 mm. Groupe sanguin : O Rhésus positif Laboratoire du 16.11.2018 : Hb 146 g/l, leuco 12.1 g/l Plaq 336 mg/l, Crase en ordre. Sérologie HB négatif HCV négatif HIV négatif Marqueurs tumoraux CA - 125, CA 15-3, CA 19-9, HCG sérique (marqueur tumoral) : négatifs Pipelle de Cornier non contributive. PAP 19.11.2018 négatif. IRM DU PELVIS NATIVE ET INJECTEE DU 23.11.2018 Masse volumineuse endo-cavitaire mesurant 10 x 13 x 14 cm, d'allure aspécifique, sans restriction de la diffusion (DD : tumeur de type mole ? Augmentation des BHCG ? Tumeur mullérienne ?). PET-CT 04.12.2018 La lésion utérine mesurant 11,3 x 10,2 x 13,5 cm est, du pur point de vue morphologique, compatible avec un leiomyome utérin à croissance rapide. Absence d'hypercaptation pathologique nette correspondant à la masse utérine connue, ce qui parle contre une origine maligne hypermétabolique. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte de malignité. Groupe sanguin : O Rhésus positif Laboratoire du 19.12.2018 : Hb 153 g/l, leuco 7.5 g/l, Plaq 277 mg/l, Crase sous clexane, électrolytes en ordre. Sérologie HB négatif HCV négatif HIV négatif Consilium cardiologique Echographie mammaire le 13.11.2018 au CIF : Sein G : Masse BIRADS V de 26 x 17 x 24 mm à l'union des QI située à 1 mm en superficie du muscle grand pectoral. 2ème lésion suspecte de 6 mm au niveau du QSE. Pas d'adénopathie axillaire. Biopsie mammaire le 19.11.2018 après arrêt Sintrom 72 h : sein G : Biopsie à l'union des QI : Biopsie à l'union des QSE. PET/CT 11.12.2018 : Tumeur multifocale du sein gauche, avec adénopathies axillaires omolatérales.Structure kystique avec des portions charnues d'origine ovarienne (mesurant 53 x 56 mm) gauche sans adénopathie locorégionale. Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire du 2019: Hb 124 g/l, leuco 7.5 g/l Plaq 326 mg/l Crase en ordre. Béta-HCG sérique U/l : 14'697 (03.01), 7'948 (20.12) PAP du 18.07.2018 : Absence de cellules suspectes Chlamydia du 20.12.2018 : négatif Sérologies IST : HBV, HCV, HIV négatif Echographie trans-vaginale le 16.01.2018: Sac gestationnel affaissé au niveau de la partie inférieure de la cavité utérine de 4.2 x 1.7 cm. Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire du 2019: Hb 124 g/l, leuco 7.5 g/l Plaq 326 mg/l Crase en ordre. Béta-HCG sérique U/l : 13'705 (05.01), 14'697 (03.01), 7'948 (20.12) PAP du 18.07.2018 : Absence de cellules suspectes Chlamydia : négatif Sérologies IST : HBV, HCV, HIV, syphilis négatifs ? Echographie trans-vaginale le 16.01.2018: Sac gestationnel affaissé au niveau de la partie inférieure de la cavité utérine de 4.2 x 1.7 cm. Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire du 2019: Hb 128 g/l, leuco 12 g/l Plaq 280 mg/l Crase en ordre. Sérologie 08.01.2019 HB négatif HCV négatif HIV négatif syphilis négatif PAP test en cours Chlamydia négatif Echographie pelvienne le 14.01.2019: Grossesse intra-utérine évolutive à 11 5/7 SA Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire du 2019: Hb 133 g/l, leuco 7 g/l Plaq 124 mg/l Crase en ordre. Sérologie 12.07.2018: HB négatif HCV négatif HIV négatif Syphilis négatif PAP test le 18.10.2018 LSIL persistant, ASCH, HPV HR. Biopsie du col à 6H: HSIL Chlamydia négatif Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire du 23.01.2019: Hb 132 g/l, leuco 7 g/l Plaq 275 mg/l, Crase en ordre. Chlamydia du 17.12.2018: négatif. Sérologies IST du 23.01.2019 HBV, HCV, HIV : négatifs. Echographie endovaginale le 21.01.2019: grossesse intra-utérine non évolutive avec sac gestationnel hypotonique. Groupe sanguin: O Rhésus positif PAP du 23.01.2016: absence de cellules suspectes. Vaginose bactérienne. Chlamydia du 22.01.2019: négative Sérologies IST du 22.01.2019: HBV vaccinée, HCV, HIV négatifs Echographie pelvienne le 22.01.2019 : Utérus en position axiale, ayant une grossesse intra-utérine évolutive avec présence d'un embryon correspondant à 8 4/7 semaines d'aménorrhée. Groupe sanguin: O Rhésus positif PAP test le 28.09.2018 LSIL + HPV HR Biopsie du col 30.10.2018 : 12 h à la zone de jonction HSIL Groupe sanguin: O Rhésus positif PAP test 28.09.2018 LSIL + HPV HR Biopsie du col 30.10.2018 à 12 h à la zone de jonction : HSIL Groupe sanguin: Rhésus Négatif GS: O Rh positif Mr. Y présente des douleurs péri-ombilicales et en fosse iliaque droite depuis cette nuit. Difficile de dire si les douleurs en fosse iliaque droite sont exclusivement post-traumatiques ou s'il s'agit d'une douleur migrante. Au vu de l'amélioration spontanée des douleurs et de l'absence de signes de péritonisme, nous ne réalisons pas de bilan cette nuit mais proposons un contrôle dans 12 heures. Nous n'avons pas d'éléments ni cliniques ni anamnestiques pour une constipation. Guthrie fait à J32 Guthrie non fait à J4 de vie Gynécologiques: Lichen scléreux vulvaire traité par Diprogenta, suivi par Dr. X. Gynécologiques non opératoires: Fausse couche en novembre 2013 Obstétricaux: césarienne pour siège 2014, accouchement par voie basse à 39 2/7 SA après provocation pour épuisement maternel 2017 Gynécologiques non opératoires: Fausse couche spontanée précoce en avril 2018 Chirurgicaux non gynécologiques: Amygdalectomie dans l'enfance Obstétricaux: voie d'accouchement: AVB, lésion génitale: Déchirure I, délivrance: Nle complète, Date: 26.04.2016, anesthésie: Péri, lieu: Daler, sexe: M, Prénom: théo, SA: 40 3/7, poids (g): 2810, allaitement (mois): 18, particularités: Transfert A4 pour hypoglycémies (RCIU), actuellement BSH. HTA Gynécologiques non opératoires: Fausse couche spontanée non curetée Gynécologiques non opératoires: Fausse couche spontanée 2017 Gynécologiques opératoires: Coelioscopie pour kyste ovarien 2002 Médicaux: fracture de la malléole gauche Chirurgicaux non gynécologiques: Adénoïdectomie Opération cloison nasale 2008 Gynécologiques non opératoires: Fausse couche spontanée 6 semaines d'aménorrhée Gynécologiques opératoires: Mutilation génitale type 1 Chirurgicaux non gynécologiques: 2009 cholécystectomie ; 3 interventions sur Fistule anale depuis 2012 HFR Obstétricaux: 2016 AVB avec ventouse à 40 4/7 SA, sexe: Masculin, poids: 3510 g, particularités: provocation pour DGNIR Accouchement par voie basse spontanée à 37 0/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente de 28 ans, G3 devenue P2, le 08.01.2018 Diabète gestationnel non insulino-requérant Névrite vestibulaire droite le 07.03.18 Hypovitaminose D le 16.03.18 Douleurs abdominales post-ponction d'abcès le 07.03.2018 Gynécologiques non opératoires: Fausse couche spontanée 6 semaines d'aménorrhée Gynécologiques opératoires: Mutilation génitale type 1 Chirurgicaux non gynécologiques: 2009 cholécystectomie ; 3 interventions sur Fistule anale depuis 2012 HFR Obstétricaux: 2016 AVB avec ventouse à 40 4/7 SA, sexe: Masculin, poids: 3510 g, particularités: provocation pour DGNIR Accouchement par voie basse spontanée à 37 0/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente de 28 ans, G3 devenue P2, le 08.01.2018 Diabète gestationnel non insulino-requérant Névrite vestibulaire droite le 07.03.18 Hypovitaminose D le 16.03.18 Douleurs abdominales post-ponction d'abcès le 07.03.2018 Gynécologiques non opératoires: le 30.11.2016 PID à chlamydia Gynécologiques opératoires: le 13.12.2017 conisation LEEP HSIL, HPV autres, Médicaux: Familiaux: père diabétique Ménopause à 26 ans chez sa mère Oncle maternel: CA pancréas Gynécologiques non opératoires: 2 IVG médicamenteuses Obstétricaux: voie d'accouchement: AVB, instrumentation: non, délivrance: Nle complète, Date: 16.06.2017, anesthésie: Péri, lieu: Luzern, sexe: M, SA: T+10, poids (g): 3430, allaitement (mois): 1 mois, particularités: spontanée agénésie rénale unilatérale et isolée Gynécologiques non opératoires: 2015 Fausse couche précoce non curetée Obstétricaux: AVB spontané à 40 4/7 SA en 2016, naissance d'une fille de 3320 g Médicaux: 2010 lombalgie sur discopathie L5-S1 Arythmie cardiaque bilanée (contrôle cardiaque chaque année) Gynécologiques opératoires : abcès vulvaire gauche 2015. Obstétricaux: Accouchement par voie basse en 2010. Accouchement par voie basse en 2013. Accouchement par voie basse, après provocation par Misodel pour HTA gravidique, le 10.05.2018. Gynécologiques opératoires: Status post-fausse couche précoce et curetage évacuateur en 2011. Obstétricaux: - 2010 : AVB à 40 SA (fille, 3200 g) avec déchirure degré II, à l'HFR Riaz. Allaitement : 6 mois. - 2012 : AVB à 40 SA (garçon, 3060 g) à l'HFR Riaz. Allaitement : 7 mois. - 2014 : AVB après provocation par Misoprostol pour dépassement de terme à 40 5/7 SA chez une patiente de 25 ans, 4 G devenues 3 P. Syndrome d'hypoliquorrhée sur brèche épidurale post-pose de péridurale perpartum, chez une patiente de 25 ans, 4 G 3 P, qui a accouché le 14.04.2014. Gynécologiques opératoires: Laser pour condylomes à la clinique Générale Conisation pour dysplasie col Interruption thérapeutique de grossesse à 14 4/7 SA en raison d'un fœtus porteur de trisomie 21 en 2015 Chirurgicaux non gynécologiques: Amygdalectomie Obstétricaux: 2013 AVB en maison de naissance (Petit Prince), Fille de 2850 g. Gynécologiques opératoires: MGF II désinfibulée au 1er accouchement, puis réinfibulée et de nouveau désinfibulée au 2ème accouchement sans réinfibulation. Obstétricaux: voie d'accouchement: Accouchement par voie basse, instrumentation: non, lésion génitale: Périnée intact, délivrance: Nle complète, Date: 26.08.2010, lieu: Yemen, sexe: M, Prénom: Khalil, poids (g): 3100, allaitement (mois): 4 moisvoie d'accouchement: Accouchement par voie basse, instrumentations: non, lésion génitale: Déchirure I, délivrance: Nle complète, Date: le 13.10.2014, lieu: Yemen, sexe: F, prénom: Mme. Y, poids (g): 4000, allaitement (mois): 4 mois Gynécologiques opératoires: MGF OMS type 1. Obstétricaux: voie d'accouchement: Accouchement par voie basse, instrumentation: non, lésion génitale: Épisiotomie, date: 2010, lieu: Lybie, sexe: Féminin, prénom: Mme. Y, poids (g): 4500, allaitement (mois): 34, particularités: dit avoir été recousue à vif! Accouchement spontané par voie basse 40 semaines d'aménorrhée le 02.03.2017 chez Mme. Y 2G devenue 2P de 33 ans, après provocation par Propess pour oligoamnios. Gynécologiques opératoires: 2017: Fausse couche spontanée < 6 semaines d'aménorrhée avec curetage. Gynécologiques opératoires: 2018: salpingectomie droite pour GEU Obstétricaux: voie d'accouchement: AVB, instrumentation: non, lésion génitale: Périnée intact, délivrance: Nle complète, Date: 02.08.2017, anesthésie: Péri, lieu: HFR Fribourg, sexe: F, prénom: Mme. Y, SA: 40, poids (g): 3350, allaitement (mois): 7 semaines Familiaux: père: hémochromatose; Grand-mère maternelle: infarctus Gynécologiques opératoires: 3 IVG Médicaux: Infertilité secondaire idiopathique Obstétricaux: 2010: AVB à 38 SA d'un garçon de 2860g, EMLD. Gynécologiques: 2011: FC non curetée. 2009: IVG. 08.05.2011: AVB à 40 SA d'un garçon, poids (g): 3170, à Neuchâtel. Lésion génitale: EMLD. AVB spontané chez Mme. Y IVG lIP de 24 ans à 39 0/7 SA. Gynécologiques: Dernier dépistage: ASCUS = biopsie. CIN I, laser (+) 26.03.2013: Curetage évacuateur pour œuf clair à 9 SA à l'hôpital Daler. 12.06.2013: Curetage évacuateur pour rétention de matériel après fausse couche. 13.06.2013: Hystéroscopie exploratrice et curetage évacuateur pour persistance de matériel. 2012: Status post-laparoscopie pour kystectomie ovaires ddc. s/p cure de synéchie utérine en juillet 2014. 13.03.2013 HSC: Cure de synéchies 06.08.2013 Seconde HSC pour cure de synéchies 1 FCS en 2013 Chirurgicaux non-gynécologiques: 2008: Status post-opération épaule droite. Status post-amygdalectomie dans l'enfance. 03.10.2016: Césarienne pour RPM sur siège, à 36 SA, garçon de 2940g compliqué d'une brèche vésicale pér-opératoire et suspicion d'accrétisme infirmé à la pathologie placentaire Gynécomastie bilatérale douloureuse. Gynécomastie gauche Gynopévaryl ovule pendant 3 jours. Suite de prise en charge chez le gynécologue traitant. Gyno-Tardyferon 1 cp 2x/j Gyno-Tardyferon 1 cp 2x/j G2P2 Haldol + Distraneurine. Haldol Arrêt de l'Imovane Haldol, Distraneurine Avis psychiatrique (16.01.2019): administrer de l'Haldol d'office, administrer Distraneurine 300 le soir Haldol du 30.12.18 au 04.01.19 Nozinan du 03.01 au 07.01 Substitution électrolytes Avis psychiatre (08.01.19): adaptation TTT, évaluation clinique au décours Haldol fixe et en réserve avec bon effet Bilan biologique Pas d'hydratation au vu de l'hyperemesis sur chaque prise hydrique Haldol 0.5 mg 2x/j Surveillance clinique Haldol 0.5mg en office puis en réserve Quétiapine 6.25mg d'office Distraneurin d'office Avis gérontopsychiatrique Dr. X Hallpike non effectué car Mme. Y très inconfortable en raison des douleurs abdominales Donné Betaserc 16mg, soulagée; prescrit pour quelques jours à l'étage Hallucinations auditives et visuelles Suspicion d'un trouble de la personnalité avec état dépressif Hallucinations auditives, musicales, d'origine indéterminée le 14.02.2018 DD: Démence débutante, favorisée par hypoacousie; syndrome de Charles-Bonnet auditif. IRM le 15.02.2018. EEG le 15.02.2018. MOCA test le 16.02.2018: 23/30. Consilium Psychiatrique le 19.02.2018. Quétiapine 25 mg en réserve du 17.02. au 20.02.2018. Pneumonie aiguë gauche 01/2017. Conjonctivite bilatérale probablement bactérienne 01/2017. Drainage d'un abcès sous-cutané au niveau de l'omoplate gauche en 06.2012. Tendinite avec calcifications du tendon d'Achille gauche, DD tophus goutteux le 16.05.2014 Tuberculose urinaire en 08/2007 et 10/2012 avec: - Traitement par Rimstar (08/2007-01/2008) et Bénadon puis Rifinah (01-02/2008) (Dr. X, urologue) - Quadrithérapie du 13.10.2012 au 22.03.2013 Pyélonéphrite gauche avec infection urinaire basse à K. oxytoca multi-sensible le 01.06.2015: - Scintigraphie rénale du 03.06.2015: fonction rénale globale abaissée, assurée principalement par un rein droit fonctionnel, mais pas compensateur. Le rein gauche participe seulement à un tiers de la fonction globale et sous Lasix, on note une stase pyélocalicielle évoquant premièrement une maladie de la jonction pyélo-urétéral. Résidu post-mictionnel de 250 ml. Hallux rigidus G. Hallux rigidus pied G Hallux rigidus pied G. Hallux rigidus symptomatique pied G - Cure hallux valgus G il y a environ 30 ans. Hallux valgus asymptomatique à G avec angle intermétatarsien de 13°. Antétorsion prononcée hanche G. Hallux valgus bilatéral: - à gauche angle de 44° et IMA 17° - à droite angle de 30° et IMA 16°. Hallux valgus bilatéraux, symptomatique à G. Hallux valgus bilatéraux, symptomatique à G. Hallux valgus D grade I (HVA 18°, IMA 11°). Hallux valgus et arthrose métatarso-phalangienne de l'hallux pied droit. Hallux valgus et 2ème orteil en marteau pied D - Arthroplastie 2ème orteil par implant Smart Toe 10°, 19 mm, cure hallux valgus en mini-invasif par 1 broche pied D le 08.07.2014 Hallux valgus et 2ème orteil en marteau pied G - Arthroplastie 2ème orteil par implant Smart Toe 10°, 19 mm, cure hallux valgus en mini-invasif par 1 broche pied G le 08.07.2014 Fracture de l'épiphyse radiale distale D avec bascule dorsale d'environ 50° le 01.10.2018 Hallux valgus G avec angle métatarso-phalangien à 32°, angle intermétatarsien à 18°, DMMA à 25°, angle intra-phalangien à 11°. Hallux valgus D avec angle métatarso-phalangien à 28°, angle intermétatarsien à 16°, DMMA à 19°, angle intra-phalangien à 20°. 2ème orteil en marteau à D. Hallux valgus G avec angle MTP à 15°, angle intermétatarsien à 15°. Hallux valgus, pied droit. Hallux valgus symptomatique à droite avec un angle intermétatarsien de 10° et un angle métatarsophalangien de 23° Hallux valgus symptomatique à G. Hallux valgus symptomatique à G. Hallux valgus symptomatique pied G et 2ème orteil en marteau à G.Status post cure d'hallux valgus en mini-invasif et cure du 2ème orteil en marteau à D le 14.03.2017. Hallux varus sur status post cure d'hallux valgus à D en 1984 à la Chaux-de-Fonds. 2ème orteil en griffe à D en varus. Halsweh Hämorrhoidenalknoten bei 12 Uhr SSL mit begleitendem Pruritus Mr. Y peut définitivement enlever le BAB et se mobiliser librement sans charge et sans activité à risque de choc direct. Nous lui prescrivons également 5 séances de physiothérapie pour récupérer les amplitudes articulaires, il bénéficie d'une dispense de sport jusqu'au 31.01.2019. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Hanche G: Prophylaxie anti-thrombotique par Xarelto 10 mg 1x/j per os jusqu'à charge complète. Poignet G: Contrôles réguliers de la plaie à travers le pansement Comfeel avec ablation de celui à J14 chez le médecin traitant (ou avant en cas de perte d'étanchéité). Pas d'ablation de fils nécessaire; fils résorbables. Suivi des électrolyses chez le médecin traitant. Contrôles radio-cliniques à 8 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X. Handgelenk Schmerzen links Handicap moteur cérébral de naissance avec hémisyndrome droit. Trouble psycho-affectifs (patient actuellement suivi et traité par le Dr. X). Gonalgies gauches. Omalgies droites. Harnverahlt Harnverahlt Harnverahlt Haute suspicion de lésion antérieure trans-fixiante du sus-épineux épaule gauche atraumatique avec arthrose AC gauche asymptomatique. Haute suspicion de maladie de Dupuytren du 4ème rayon main G avec flexum de l'interphalangienne proximale de 45°. Haute suspicion de métastases cérébrales, dans un contexte de cancer du sein gauche avec : • lésion pariétale droite avec important oedème associé, expliquant la symptomatologie de l'hémisyndrome sensitif gauche transitoire • 2 lésions frontales gauches Hb à 16h le 23.01.2019: à pister Laboratoire de contrôle le 24.01.2018 matin prévu Hb à 81g/l Transfusion de deux poches de sang pour anémie sévère chez patient coronarien Hb du 13.01.2019: 94 g/L Ad substitution martiale per os Hb glycquée: 5.8% Hb glyquée à pister Hb post partale 112 g/L Ad substitution martiale per os Hb post-opératoire immédiat 71 g/l Transfusion additionnelle de 2CE et 1PFC (total de 4CE + 1PFC) Hb J3 92 g/l Hb post-partale 100g/l Maltofer Hb post-partale 107g/l Maltofer Hb post-partale 108 G/l Maltofer Hb post-partale 108 G/l. Maltofer. Hb post-partale 87 g/l Convocation pour Ferinject, traitement par Maltofer dans l'intervalle Hb post-partale 89 g/l Ad maltofer puis ferinject Hb post-partale 94g/l Maltofer Hb post-partale: 98 g/l Maltofer Hb post-partale 99g/l Maltofer Hb post-partum 100g/l Maltofer Hb post-partum 100g/l Maltofer Hb post-partum 100g/l Maltofer Hb post-partum 101 g/l Ferinject 500mg le 19.01.2019 Contrôle Hb et ferritine dans 6 semaines Hb post-partum 109 g/l Maltofer Hb post-partum 97g/l Maltofer Hb post-partum 99g/l Maltofer Hb 106 g/l Maltofer Hb 110 g/l Maltofer 100mg/j pendant 3 mois Hb 111g/l Maltofer 100mg/j pour 3 mois Hb 115 g/L depuis 130 g/L Ad substitution martiale per os Hb 116g/l Maltofer 100mg/j pendant 3 mois Hb 138G/l Bilan ferrique à prévoir si symptomatique Hb 80 g/l Maltofer 100mg/j pendant 3 mois Hb: 83 g/l. Ferinject 1000 mg. Hb 87 g/l le 20.01.2019 Maltofer 100mg/j pour 3 mois Hb 89 g/l Maltofer 100mg/j pendant 3 mois Hb 90, pas des transfusions. HBA1C le 15.01.2019 Bilan lipidique le 15.01.2019 Ergométrie dans un mois Optimisation du traitement de l'HTA Poursuite d'une anticoagulation thérapeutique est à rediscuter en fonction de l'évolution clinique HbA1C 6.2% le 16.01.2019 et plusieurs glycémies à jeûn 5.6 - 6.9 mmol/l Enseignement thérapeutique pour adaptation du mode de vie HBP sous Pradif. HCV. HCV non active. HD cervicale. Hernie inguinale. Cataracte gauche. HD lombaires L3-L4, L4-L5, L5-S1 Obésité avec BMI à 38 kg/cm2 le 16.07.2018 HDB post polypectomie endoscopique HDH sur ulcère gastrique en 2017. Status post pyélonéphrite aiguë D à Enterococcus sp le 03.04.2013. Status post 3 AVB, dont un avec mort in utero. Status post hystérectomie, annexectomie G, oblitération du Douglas en 1992. Status post injection de macroplastique sous-urétrale, colporraphie postérieure et reconstruction du périnée en 1998. Status post PTG D en 2004. Status post Burch par laparoscopie pour cystocèle de 2ème degré le 30.01.2013 chez une patiente ménopausée et non substituée. Status post exacerbation de lombosciatalgies G suite à choc direct contre les lombaires avec décompensation du syndrome de la sacro-iliaque D: • status post PLIF L4-L5 en 2007, compliqué d'une infection du matériel à S. aureus • status post fixation de la sacro-iliaque G par I-Fuse 7 en 2012. Collection liquidienne en regard de L5 le 06.11.2013. Contracture musculaire gastrocnémien latéral G le 21.06.2018. Cephalées occipitales de probable origine tensionnelle. HDH sur ulcère gastrique en 2017. Status post-pyélonéphrite aiguë D à Enterococcus sp le 03.04.2013. Status post-3 accouchements par voie basse, dont un avec mort in utero. Status post-hystérectomie, annexectomie gauche, oblitération du Douglas en 1992. Status post-injection de macroplastique sous-urétrale, colporraphie postérieure et reconstruction du périnée en 1998. Status post-prothèse totale du genou droit en 2004. Status post-Burch par laparoscopie pour cystocèle de 2ème degré le 30.01.2013 chez une patiente ménopausée et non substituée. Status post exacerbation de lombosciatalgies G suite à choc direct contre les lombaires avec décompensation du syndrome de la sacro-iliaque droit. • status post PLIF L4-L5 en 2007, compliqué d'une infection du matériel à S. aureus. • status post fixation de la sacro-iliaque G par I-Fuse 7 en 2012. Collection liquidienne en regard de L5 le 06.11.2013. Contracture musculaire gastrocnémien latéral G le 21.06.2018. Céphalées occipitales de probable origine tensionnelle. HDH sur varices oesophagiennes en 2006 Résection de 2 polypes du côlon gauche en 2012 Hémorragie digestive haute le 27.11.2013 : érosion fundus gastrique probablement sur prise d'AINS Résection trans-urétrale de la prostate, 04/2016 Hémorragie digestive basse, le 28.09.2017 sur DD : hémorroïdes >> polypes • Rectoscopie le 27.09.2017 : pas de saignement actif, présence de pétéchies sur hémorroïdes internes Fibrillation auriculaire inaugurale non datée diagnostiquée le 08.09.2017 • HASBLED 6 pts // CHADS2VASC 4 pts H.E.C pommade dermique 2x/j pdt 5 jours. conseil si réapparition Hémangiome mesurant 0.5 cm supra-sourciller G Hémarthrose du genou droit : • sans notion de traumatisme • sur INR supra-thérapeutique sur traitement par Sintrom • avec status post-PTG droite. Hématémèse. Hématémèse d'origine indéterminée. Hématémèse le 02.01.2019 sans répercussion hémodynamique • 2ème épisode Hématémèse le 26.01.2019 • Hb à 130 g/l • dans un contexte de prise d'Ibuprofen 600 mg 3x/j depuis 2 semaines pour lombalgies Hématémèse sur probable rupture de varices oesophagiennes le 10.01.2019 • volumineuses varices oesophagiennes stade III avec point rouge au niveau du cardia • hypofibrinogénémie acquise • anémie normochrome normocytaire hyporégénérative spoliative avec une hémoglobine à 75 g/l Hématémèse sur varices oesophagiennes stade III sans stigmate de saignement : • anémie normochrome normocytaire hyporégénérative spoliative avec une hémoglobine à 75 g/l.index réticulocytaire < 2. Hématémèse/melaena. Hématémèses Hémato bourse du coude gauche sans fracture associée, dermabrasion cutanée en regard de l'olécrane. Hémato-bourse post-traumatique du genou G sur chute du 23.12.2018. Hématochésie. Hématochésie post polypectomie par colonoscopie avec: • Hb à 107 le 05.01.2018 Hématochézie Hématochézie Hématochézie Hématochézie Hématochézie. Hématochézie anamnestique (non-objectivée) Pas de sang sur le gant au TR CT abdominal le 22.01.2019 (rapport oral) : saignement actif à la région recto-sigmoïdienne (15 cm de la marge anale) Colonoscopie le 24.01.2019 > Prévoir une colonoscopie de contrôle à 3 mois (dès le 24.04.2019) Hématochézie. DD : angiodysplasie, fissure, néoplasie. Hématochézie depuis 1 mois, sans critère de gravité le 22.01.2019. • DD : IBD, hémorroïdes. Hématochézie et hématurie. Hématochézie et hématurie le 22.01.2019. Status post biopsie trans rectale de la prostate le 16.01.2019 (Dr. X). Hématochézie sur probable fissure anale. Hématochézies Hématochézies Hématochézies. Hématochézies d'origine indéterminées • Hb 78 g/L, INR à 2.4 Hématochézies d'origine indéterminées • avec Hb 78 g/L Hématochézies le 01.11.2017. • avec alternance constipation et diarrhées. Hématochézies le 26.01.2019 • Hb à 114 g/L • s/p post colonoscopie avec résection de polype le 14.01.2019 Hématome à la face interne du coude gauche de 19x7 cm sur statut post-traumatisme contusif du coude gauche le 27.01.2019 avec bursite traumatique du coude gauche et dermabrasion cutanée en regard de l'olécrane. Hématome au point de ponction de la veine jugulaire sur pose de voie veineuse centrale le 14.01.2019 Hématome au point de ponction de la veine jugulaire sur pose de voie veineuse centrale le 14.01.2019 • pas de souffle ausculté, pas de signe de surinfection Hématome au point de ponction de l'artère fémorale en post-interventionnel le 14.01.2019 Hématome au point de ponction de l'artère fémorale en post-interventionnel le 14.01.2019 • pas de souffle ausculté Hématome au site de ponction fémoral droit dans contexte de: • post-pose de MitraClip par abord fémoral droit le 03.12.18 • saignement point de ponction avec mise en place de Femostop Hématome cutané de la paupière droite • probable vaisseau endommagé par chalazion • indolore, pas de trauma, pas de symptômes oculaires Hématome de la face postéro-interne de la cuisse gauche. Hématome de 4 x 8 cm au niveau du point de ponction fémoral droit. Hématome de 5 cm x 6 mm intra-musculaire, post-opératoire pour prise de greffe tricorticale du bassin pour opération du scaphoïde. Hématome du flanc droit post-opératoire Hématome du flanc droit post-opératoire Hématome du membre inférieur droit Hématome du membre inférieur droit Hématome du membre inférieur droit post-angioplastie le 15.01.2019 • DD : probable saignement à bas bruit Hématome du membre inférieur droit post-angioplastie le 15.01.2019 DD : saignement à bas bruit Hématome du muscle gastrocnémien médial droit avec saignement actif sur une branche musculaire de l'artère tibiale postérieure le 02.07.2016 : fasciotomie superficielle et profonde avec drainage de l'hématome et ligature artérielle Choc hémorragique post ponction-biopsie hépatique transmurale le 04.03.2016, sur fistule porto-hépatique (artère hépatique gauche) Hématome de la fesse gauche post PBM le 22.03.2016 avec saignement actif du moyen fessier gauche le 24.03.2016 Appendicectomie dans l'enfance Embolie pulmonaire segmentaire gauche ancienne, en voie d'organisation, découverte fortuite le 04.03.2016 Embolie pulmonaire segmentaire pyramide basale G chronique Saignement sur atrophie de la muqueuse vaginale due à la ménopause le 15.03.2016 Pseudo-anévrismes artériels fémoraux droit et gauche post cathétérisme artériel le 04.03.2016 Consilium angiologique (Dr. X) • 15.03.2016 : suivi clinique et angiologique • pseudo-anévrisme droit thrombosé à 90 %, spontanément. • US-Doppler art des 2 plis inguinaux le 31.03.16 (Dr. X) : les pseudo-anévrismes sont occlus, pas de fuite Péritonite bactérienne spontanée post-hémorragique le 13.03.2016 Hématome du muscle gastrocnémien médial droit (93 x 48 x 167 mm) avec saignement actif sur une branche musculaire de l'artère tibiale postérieure le 02.07.2016 • Sous anticoagulation par Sintrom et Clexane du 01.07.2016 au 10.07.2016 Fasciotomie superficielle et profonde avec drainage de l'hématome et ligature artérielle, 1 drain dans la loge musculaire, le 02.07.2016 (Dr. X, Dr. X) Choc hémorragique post ponction-biopsie hépatique transmurale le 04.03.2016, sur fistule porto-hépatique (artère hépatique gauche) • récidive de saignement le 11.03.2016 Hématome de la fesse gauche post PBM le 22.03.2016 avec saignement actif du moyen fessier gauche le 24.03.2016 Appendicectomie dans l'enfance Embolie pulmonaire segmentaire gauche ancienne, en voie d'organisation, découverte fortuite le 04.03.2016 Saignement sur atrophie de la muqueuse vaginale due à la ménopause le 15.03.2016 Pseudo-anévrismes artériels fémoraux droit et gauche post cathétérisme artériel le 04.03.2016 Consilium angiologique (Dr. X) • 15.03.2016 : suivi clinique et angiologique • pseudo-anévrisme droit thrombosé à 90 %, spontanément. • US-Doppler art des 2 plis inguinaux le 31.03.16 (Dr. X) : les pseudo-anévrismes sont occlus, pas de fuite Péritonite bactérienne spontanée post-hémorragique le 13.03.2016 : • Nouveau drainage du 13.03.2016 au 14.03.2016 : 4200 éléments dont 84 % de PMN. Culture négative • Suspicion de récidive le 25.03.2016 • Antibioprophylaxie par norfloxacine Bronchite, bronchiolite le 29/10/2018 Embolie pulmonaire segmentaire pyramide basale G chronique Hématome du muscle grand droit avec évolution favorable. Hématome du petit bassin sur saignement actif de l'artère épigastrique inférieure gauche le 01.12.2018 dans un contexte d'anticoagulation supra-thérapeutique • Comorbidité active : syndrome anticorps anti-phospholipides anticoagulé par Marcoumar avant l'opération du 27.11.2018 Hématome du scalp Hématome en regard de la plaie de laparotomie avec • suspicion de surinfection le 23.01.2019 Hématome et tuméfaction de DII du MSD Hématome et tuméfaction genou gauche. Hématome fémoral droit post-ponction Hématome fémoral droit post-ponction le 09.01 Hématome fémoral droit le 17.01.2019 iatrogène lors coronarographie Hématome inguinal D post coronarographie non-perfusé le 09.03.2017 Status post hystérectomie Fracture non déplacée de la branche ilio-ischio-pubienne à gauche le 26.01.2013 Hématome inguinal droit. Hématome inguinal droit non-perfusé, le 09.03.2017 : • Après coronarographie Status après hystérectomie Fracture non déplacée de la branche ilio-ischio-pubienne à gauche le 26.01.2013 Status après ablation de voies accessoire/réentrée intranodale en avril 2017 (CHUV) pour AVRT/AVNRT Carences vitaminiques : • Vitamine D • Acide folique • Vitamine B12 dans la zone grise Hyponatrémie asymptomatique à 123 mmol/l le 27.09.2018 sur probable SIADH : Restriction hydrique à 850 ml/jour Suivi biologique Ostéoporose fracturaire avec tassement D12-L1 non déplacé le 22.09.2018 Passage en fibrillation auriculaire, cardioversé spontanément le 18.10.2018 après coronarographie ECG de contrôle le 19.10.2018 : rythme sinusal régulier Maladie valvulaire aortique avec sténose serrée symptomatique : Implantation d'une prothèse valvulaire aortique TAVI de Edwards Sapien 3 de 23 mm par voie percutanée fémorale (OP le 17.12.18)Hématome inguinal G suite à une chute en vélo moteur à 25 km/h sans TC ni PC. Hématome inguinal gauche suite à une chute à vélo moteur à 25 km/h sans traumatisme crânien ni perte de connaissance. Hématome intra-articulaire genou gauche suite à extension brusque avec craquement le 11.01.2019. • status-post OP de refaçonnage prothèse genou gauche le 10.12.2018. • appareil extenseur intact. Hématome intramusculaire muscle grand droit droite 13.01.2019 • Sous Eliquis Hématome latéral droite de 6 cm au niveau de la cicatrice de césarienne chez patiente 2G 2P de 32 ans. Hématome mammaire droit en voie de résorption, suite à traumatisme du 22.12.2018. Hématome mollet gauche le 11.01.19. Hématome musculature para-lombaire droit, d'origine traumatique. Hématome palpébrale. Hématome pénien. Contusion thoracique au niveau costal C5-C7 le 26.03.2018. Hématome périorbitaire gauche sans atteinte du globe oculaire. Hématome post opératoire actuellement contrôlé. La patiente reprend contact avec le Dr. X dès le 11.01 pour un contrôle. En cas de péjoration brutale, elle reconsultera les urgences. Hématome post-biopsie du foie. Hématome post-biopsie d'une lésion hépatique avec embolisation sélective radio-interventionnelle, le 08.01.2019. Hématome post-biopsie lésion hépatique le 09.10.2019 et embolisation sélective radio-interventionnelle avec: • Adénocarcinome et tumeur neuroendocrine simultanée de l'angle colique droit traitée en décembre 2014 par colectomie droite et anastomose iléo-transverse avec suspicion de métastases hépatiques. • suspicion de surinfection le 14.01.19 avec état fébrile à 38.5 et augmentation du syndrome inflammatoire avec CRP 214 et leucocytes 11.8. Hématome prépéritonéal et du muscle droit à gauche contenant environ 0.5-1 litre de sang coagulé le 25.11.2016. Status post-révision, adhésiolyse, décompression discectomie, stabilisation rigide L4-L5 et semi-rigide L3-L4, L5-S1 en 2005. Status post-hystérectomie subtotale per vaginam sur myomes utérins en 2000. Status post-discectomie L4-L5 en 1997. Status post-4 césariennes. Status post-appendicectomie en 1975. Douleurs abdominales en fosse iliaque gauche d'origine indéterminée. DD : kyste ovarien - hématome de la paroi abdominale. Hématome rectus femoris cuisse G suite à une entorse avec : • Fatigue générale avec hypovitaminose à D. Hématome rectus femoris cuisse gauche suite à une entorse. Hématome rétropéritonéal à droite le 20.01.2019. • sans argument pour un saignement actif. Hématome rétro-placentaire du pôle inférieur à 14 2/7 SA chez patiente 10-gestes 4-pares de 38 ans. Hématome simple 3ème orteil pied droit, sans fracture sous-jacente, le 03.04.2015. Luxation simple acromio-claviculaire gauche, le 20.11.2015. Plaie surinfectée du pied droit. Thrombocytopénie à 70 G/l. Hématome sous-dural sur traumatisme le 23.09.2018. Crise convulsive du visage le 27.09.2018 • à trois reprises depuis une semaine. DD sur hypoglycémie, sur status post-AVC, hypocalcémie sur IRC. IRA d'origine probablement cardio-rénale le 6.04.2017 avec hyperkaliémie à 8.3 mmol/l. Accident vasculaire cérébral ischémique sylvien droit sur sténose à 50% de l'artère carotide interne droite (le 14.07.2008), thrombo-endartériectomie D le 11.08.08 en ALR (Dr. X). Hypogonadisme hypogonadotrope, acromégalie auto-limitée (1970). Excision carcinome spinocellulaire en 1991. Prothèse d'épaule à droite. Crise de goutte au coude à droite. Erysipèle de la jambe gauche. Hématome sous-dural gauche ancien. Hématome sous-conjonctival de l'œil gauche, post injection vitrée le 25.08.2014. S/P AIT non daté. Hématome sous-cutané dans la loge du pacemaker dans un contexte d'anticoagulation par Xarelto. Hématome sous-cutané lombaire/flanc gauche sur chute mécanique le 14.01.2019. • patiente anticoagulée par Xarelto. Hématome sous-cutané supra-patellaire genou G sur status post. • AS, plastie de reconstruction LCA par tendon quadricipital genou G le 28.11.2018; déchirure LCA en mars 2018. Hématome sous-dural avec syndrome de Mallory-Weiss en 1994. Hématome sous-dural bilatéral chronique avec apparition d'une composante aiguë le 27.12.2018. • Trépanation le 28.12.2018 : évacuation de l'hématome sous-dural bilatéral avec 2 trous de trépan frontal et mise en place de drainage biovac. Hématome sous-dural chronique sur aigu pariétal droit d'origine traumatique le 08.11.2018. Hématome sous-dural occipital. Hématome sous-unguéal du pouce gauche évacuation de l'hématome sous-unguéal. Syncope vaso-vagale avec traumatisme crânien simple surveillance aux urgences puis surveillance à domicile selon feuille d'instruction. Traumatisme de main gauche avec fracture intra-articulaire Vème métacarpien. Entorse probable du LLE du genou gauche le 12.6.2015. Suspicion d'hémorroïdes internes le 22.10.2015 : • rectorragies à deux reprises. Toucher rectal. Procto-Glyvenol. Consultation proctologique à prévoir. Surinfection d'un abcès chronique axillaire droit. • 4ème drainage depuis 2 ans. • dernier drainage en juillet 2017. Hématome sous-unguéal du 5ème doigt de la main droite, le 01.02.2018. Rx du 5ème doigt : pas de fracture visible. Drainage de l'hématome. Conseils de vigilance donnés. Hématome sous-unguéale. Hématome spontané du muscle psoas iliaque G en 2017. Embolie pulmonaire sous-segmentaire postéro-basale droite le 01.11.2018. • Score de PESI : classe II. • Xarelto 15 mg 1-0-1 pendant 3 semaines, suivi par Xarelto 20 mg/j (durée à déterminer). Hématome spontané palpébrale droit le 27.01.2019. Hématome spontanée. Hématome sub-dural aigu côté droit : transfert en ambulance à l'HFR Fribourg pour surveillance en soins continu B : surveillance neurologique, contrôle de crase hématique. Pas d'indication chirurgicale au moment du transfert. Hématome sub-dural aigu droit : • avec hyponatrémie à 127 mmol/L, K 5,5 mmol/l, glycémie 6.7 mmol/l, infection urinaire. Hématome testicule D le 04.08.2018. Laboratoire. Urines. US des testicules : hématome de 5 x 4 cm, pas de signe d'épididymite ni d'orchite. Hématomes bilatéraux au niveau des cuisses. • sur probables points de ponction de thrombectomie à l'Inselspital. Hématomes sous-duraux bilatéraux chroniques. Hématurie. Hématurie. Hématurie d'origine indéterminée le 15.01.2019. Hématurie et douleurs suspubiennes. Hématurie macroscopique. Hématurie macroscopique. Hématurie macroscopique. Hématurie macroscopique. Hématurie macroscopique. Hématurie macroscopique. Hématurie macroscopique. hématurie macroscopique. hématurie macroscopique. Hématurie macroscopique. • post cystoscopie avec biopsie intra-vésicale. hématurie macroscopique avec protéinurie et albuminurie légère. DD : • glomérulonéphrite. • cystite virale. • cystite bactérienne (non retrouvée par la culture). hématurie macroscopique avec protéinurie et albuminurie légère. DD : • glomérulonéphrite. • cystite virale. • cystite bactérienne (non retrouvée par la culture). Hématurie macroscopique d'origine indéterminée le 02.01.2019. DD : passage de calcul indolore, infection urinaire. Hématurie macroscopique indolore d'origine indéterminée (D : hypertrophie de la prostate, néoplasique). Hématurie macroscopique le 13.07.2016. Tamponade vésicale le 26.06.2016 avec TURP le 26.06.2016. • status post-infection urinaire basse traitée par Rocéphine 2000 mg iv du 26.06 au 30.06.2016, Céfuroxime 500 mg per os/jour du 01.07 au 14.07.2016. Rétention urinaire sur hyperplasie bénigne de la prostate et constipation le 17.06.2016. Rétention urinaire aiguë sur blocage ou déplacement d'un drain sus-pubien le 09.08.2013 : sondage transurétral. Macro-hématurie sur multiples grosses lithiases intra-vésicales • laparotomie médiane avec cystostomie le 31.07.2013 par le Dr. X. Status après globe vésical sur hyperplasie prostatique en 2009. Status après hématurie macroscopique en 2009. Status après trépanation en 1985 suite à un accident de montagne (TCC avec hémorragie sous-durale nécessitant une crâniotomie, sans séquelles). Hématurie macroscopique sur lésion par Cystofix, status post-changement de Cystofix le 07.01.2019 : • Sous Sintrom pour fibrillation auriculaire. Hématurie macroscopique sur lithiase urinaire bilatérale. Hématurie macroscopique sur sondage traumatique Hématurie microscopique. Hématurie microscopique. Hématurie microscopique • Hb à 137 g/l. Hématurie microscopique au sédiment urinaire d'entrée. Hématurie microscopique avec douleurs suspubiennes et verge aspécifique, diagnostic différentiel : carcinome urothélial. Hématurie microscopique d'origine indéterminée Hématurie microscopique d'origine indéterminée Hématurie microscopique d'origine indéterminée le 04.03.2017 Syncope après oeso-gastro-duodénoscopie le 03.06.2015 Hypomagnésiémie et hypophosphatémie le 03.06.2015 Fracture basi-cervicale du col fémoral gauche avec ostéosynthèse par DHS à deux trous le 14.06.2012 Anémie hypochrome normocytaire le 18.03.2015 Infection à CMV oesophagienne traitée par Ganciclovir du 02.02.2015 au 16.02.2015 Trouble de la conscience d'allure vagale après oeso-gastro-duodénoscopie avec dilatation oesophagienne Soins impossibles à domicile en raison de l'hospitalisation de son épouse le 27.05.2016 Migration d'une PEG endoscopique en intra voire extra-gastrique Status après traitement de sténose oesophagienne par dilatation et poses de stents en 2015 Malnutrition protéino-énergétique grave Chute avec traumatisme crânien simple sans perte de connaissance ni arrêt cardiaque, mais avec un hématome sous-cutané de 3 cm occipital droit, sans plaie Hématurie microscopique d'origine indéterminée le 10.01.2019 Hématurie microscopique (11 à 20 érythrocytes). Hémianopsie homonyme gauche Hémibloc antérieur gauche asymptomatique avec : • échocardiographie normale le 05.08.2014. Hémicolectomie droite avec CME par laparoscopie le 04.01.2018 Hémicolectomie droite avec CME par laparoscopie, résection segmentaire grêle, anastomose iléo-iléale latéro-latérale manuelle et anastomose iléo-transverse latéro-latérale isopéristaltique manuelle le 04.01.2019 Promed P2019.67 Tumorboard du 09.01.2019 : ad chimiothérapie adjuvante Hémicolectomie droite avec CME par laparotomie avec anastomose iléo-colique le 15.01.2019 Tumorboard du 23.01.2019 : Hémicolectomie droite par LS pour adénome tubulo-villeux du caecum le 14.05.2018 Cholécystectomie laparoscopique le 14.05.2018 Mastectomie bilatérale pour cancer du sein des deux côtés, août 2016 avec status post-radiothérapie Cure de varices des membres inférieures des deux côtés en 1985 Hystérectomie pour fibrome utérin et fixation de vessie en 1982 Appendicectomie en 1971 Hémicolectomie droite suite à une perforation lors de l'ablation de polypes en 2013 Fascéite à éosinophiles du bras gauche en 2003 Anciennes opérations : herniectomie, catarectomie, appendicectomie Ancien tabagisme sevré il y a 30 ans Hémicolectomie droite suite à une perforation lors de l'ablation de polypes en 2013 Fascéite à éosinophiles du bras gauche en 2003 Cure de hernie inguinale gauche en 2012 Cure de cataracte des deux côtés en 2012 Cure de hernie droite en 2008 Appendicectomie en 1951 Hémicolectomie droite suite à une perforation lors de l'ablation de polypes en 2013 Fascéite à éosinophiles du bras gauche en 2003 Cure de hernie inguinale gauche en 2012 Cure de cataracte des deux côtés en 2012 Cure de hernie droite en 2008 Appendicectomie en 1951 Héminégligence gauche Hémiparésie droite et troubles légers de l'élocution depuis un accident de la voie publique en 1978. Suspicion d'éthylisme chronique. Hémiparésie faciale discrète post-opératoire D • S/p Adénectomie sous-mandibulaire par cervicotomie à droite le 31.12.2018 Hémiparésie gauche. Hémiparésie gauche depuis la naissance. Handicap mental léger. Troubles multiples de la personnalité et léger retard mental Obésité. Boulimie. Fibrillation atriale rapide à 150/minute. Schizophrénie, environ 20 hospitalisations au RFSM de Marsens. Hémiplégie gauche. Hémiprothèse du compartiment externe du genou droit pour arthrose le 28.02.2017 Traumatisme crânien le 16.10.2018 Hémiprothèse du genou gauche en 02.2017 Opération de ténosynovite sténosante doigts I, II, III droite en 2015 Opération de ténosynovite sténosante doigts I, III, V gauche en 2014 Méniscectomie médial gauche en 2012 Opération du canal carpien bilatéralement en 1993 Hémiprothèse du genou gauche en 02.2017 Opération de ténosynovite sténosynovite doigts I, II, III droite en 2015 Opération de ténosynovite sténosynovite doigts I, III, V gauche en 2014 Méniscectomie médial gauche en 2012 Opération du canal carpien bilatéralement en 1993 Hémiprothèse du genou gauche en 02.2017 Opération de ténosynovite sténosante doigts I, II, III droite en 2015 Opération de ténosynovite sténosante doigts I, III, V gauche en 2014 Méniscectomie médial gauche en 2012 Opération du canal carpien bilatéralement en 1993 Suspicion de pneumopathie toxique iatrogène (sous méthotrexate) • DD : broncho-pneumopathie obstructive chronique non-stadée avec emphysème centro-lobulaire CT-scan thoracique le 12.01.2019 CT thoracique et fonctions pulmonaires à réaliser au décours de la pneumonie à Pneumocystis jirovecii Rhabdomyolyse légère le 10.01.2019 Suivi clinique Thrombocytose d'origine inflammatoire le 10.01.2019 Contrôle hématologique Nausées et vomissements récidivants Ondansetron intraveineux puis en réserve Suivi clinique Hémisyndrome de type dyskinétique gauche sur probable accident vasculaire cérébral ischémique thalamique ou sous-thalamique droit le 16.04.2011 Infiltration lombaire à visée antalgique pour des lombalgies, en 2008 environ Appendicectomie en 1954 Pneumonie nosocomiale à E. coli le 24.03.2017 Suspicion de cellulite au niveau de la cuisse gauche dans le contexte d'oedèmes des membres inférieurs Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale sur hypovolémie versus embolisation per-opératoire de l'artère rénale gauche Anémie normocytaire, normochrome hyporégénérative (84 g/l) le 24.04.2017 d'origine inflammatoire : • Transfusion d'un culot érythrocytaire le 24.04.2017 et le 28.04.2017 • Hémofecatests : 1/3 positif Hémisyndrome droit. Hémisyndrome droite. Hémi-syndrome moteur à droite séquellaire d'un AVC frontal gauche en 2001, à prédominance brachiale Fibrillation auriculaire Syndrome démentiel Troubles dégénératifs du rachis : arthrose lombaire, pincement disque L4-L5, fracture tassement L2 Déficit en acide folique Hernie hiatale (au CT 2017) Hémisyndrome moteur gauche léger sur séquelle d'un hématome sous-dural fronto-pariétal droit le 21.11.17 avec : • héminégligence motrice du membre supérieur gauche • légère spasticité membre supérieur et inférieur • pas de trouble praxique Hémisyndrome sensitif facio-brachio-crural droit • diagnostic différentiel : sclérose en plaques 1ère poussée, post-infection virale non spécifique Eczéma. Cervicalgies chroniques avec : CT cervical 12.05.2010, Givision : pas de fracture ni luxation, possible rétrécissement du canal vasculaire dans le processus transverse de C4 gauche. Hémisyndrome sensitivo-moteur D avec aphasie sur progression tumorale dans le contexte d'une hémorragie intracérébrale aiguë le 10.11.2018 sur un astrocytome anaplasique connu (cf diagnostic supplémentaire 1) avec • tentative neuro-réadaptation intensive du 10-27.12.2018 à Meyriez Hémochromatose avec mutation H63D hétérozygote. Emphysème pulmonaire de type paraseptal. Hypertension artérielle. Syndrome de dépendance à l'alcool. Cirrhose hépatique Child Pugh C (10 points) d'origine éthylique : • Hospitalisation du 10 au 19.10.2017 à l'HFR Riaz pour anémie et thrombopénie • ATCD de décompensation ascitique • 2 ponctions d'ascite (Inselspital) • Score MELD : 17 points le 22.11.2017 • Ponction d'ascite le 06.11.2017 à l'HFR Riaz • Discussion du TIPS avec gastroentérologie CHUV (Dr. X) : pas d'indication (pas d'ascite réfractaire ; décompensation ascitique probablement secondaire aux autres problématiques somatiques présentées). Pas d'indication à bilan transplantation (MELD, nécessité de 6 mois d'abstinence) • Proposition de couverture antibioprophylaxie par Augmentin en raison du risque de péritonite bactérienne spontanée dès le 13.11.2017, faite par Tazobac du 05 au 14.11.2017 (cf DX 2) • Suivi hématologique par Dr. X à distance de l'hospitalisation. Coagulopathie et thrombopénie sur hépatopathie alcoolique : • Trouble de la crase (cirrhose alcoolique) et thrombopénie (toxique, hypersplénisme) • Complications : cf diagnostic principal, 4, 5, 7, 8 • PFC le 11 et 13.11.2017 • Facteur V : 61 % le 13.11.2017 • Demande élastométrie (étude ROTEM / Dr. X - anesthésie) le 16.11.2017 pour analyse fibrinogène : non concluant. Status après hémorragie sous-arachnoïdienne WFNS 2, Fischer 3 le 19.10.2017 sur anévrisme de l'artère péricalleuse gauche (Inselspital) : • Crise tonico-clonique avec état de mal épileptique le 19.10.2017 • Intubation du 19.10-20.10.2017 • Dérivation ventriculaire externe du 19-22.10.2017 • Angiographie le 25.10.2017 : coiling de l'artère péricalleuse gauche • Poursuite Keppra. Malnutrition protéino-énergétique grave. Hémochromatose avec saignée Polyneuropathie périphérique d'origine éthylique probable Hémochromatose héréditaire. Goutte. Omarthrose débutante. Lésion chronique du sous-scapulaire avec luxation du long chef du biceps dans le cadre d'un traumatisme en décembre 2016 sur status post-stabilisation de l'épaule il y a 20 ans. Hémochromatose (saignées de 250 ml/90 jours). Hypertension artérielle. Vasculite en 1993 (selon médecin-traitant). Hémochromatose traitée par saignées régulières depuis 2011 Reflux gastro-oesophagien Hémocue : 103. Pas de symptômes respiratoires, CV. Électrolytes dans la norme. Hémocue 152 Labo : Hg 124 Pantoprazol IV 80 mg puis 8 mg/h Add Pantoprazol 40 mg 2x/j Suspend Xarelto 3 jours Groupe sanguin 2x, 2 VVP Avis gastro (Dr. X) : Demande de consilium pour OGD et colono • Dr. X regarde s'il est possible de le faire pour la semaine. Pas d'urgence pour lui. Si pas de disponibilités, possible de faire examens en ambulatoire. ATT : • pister labo avec suivi hémoglobine • à jeun, appel gastro demain pour voir s'il reste une place Hémoculture : négatif après 7 jours Culture urinaire : négatif après 7 jours Rocéphine du 29.12.2018 au 04.01.2019 Hémoculture CT abdominal : volumineuse masse de la vessie avec infiltration des structures avoisinantes. Réhaussement pathologique de l'uretère gauche et du rein gauche compatible avec pyélonéphrite. Néphrostomie rein gauche pas en place (va jusqu'à la musculature) ; sur le plan thoracique, augmentation d'opacités déjà présentes sur le dernier PET CT ; pas d'embolie pulmonaire Tazobac du 01.01 au 05.01.2019 Tienam du 05.01.2019 au Fluconazole du 05.01.2019 Status post-pose de néphrostomie gauche au Daler en décembre 2018 Changement de néphrostomie droite et gauche le 01.01.2019 Changement de néphrostomie (pour mauvais emplacement) à droite et échec de néphrostomie à gauche le 03.01.2019 Changement de néphrostomie gauche au bloc opératoire le 05.01.2019 par Dr. X US abdominal pour contrôle de la position de la néphrostomie gauche le 07.01.2018 : néphrostomie en place Hémoculture deux fois : négative Sédiment urinaire : leucocytes++, bactériurie++. Urotube : négatif, Frottis vaginal : flore normale Hospitalisation, antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine 2 gr IV x1/jour, hydratation intraveineuse Consilium infectiologie Hémoculture le 27.12.2018 : négatives à 5 jours CT thoracique le 27.12.2018 Pose de voie veineuse centrale droite le 27.12.2018 (Dr. X) Solumédrol et Tavegyl IV au service des urgences le 27.12.2018 Hémoculture périphérique et VVC le 17.12.2018 : négatives à 5j. Hémoculture périphérique et VVC le 21.12.2018 : négatives à 5j. Culture urinaire : stérile RX thorax le 17.12.2018 Avis infectiologique (Dr. X) Céfépime IV du 18.12 au 21.12.2018 Tazobac IV du 21.12 au 28.12.2018 Hémoculture positive 1B/2 à Streptocoque Constellatus 24.12.2018 • Ceftriaxone puis Co-Amoxicilline du 24.12 au 29.12.2018 (Bern) Bicytopénie avec anémie et thrombopénie • Transfusion de 3 CE le 24.12.2018 (Bern) Hémoculture positive 1B/2 à Streptocoque Constellatus 24.12.2018 • Ceftriaxone puis Co-Amoxicilline du 24.12 au 29.12.2018 (Bern) Bicytopénie avec anémie et thrombopénie • Transfusion de 3 CE le 24.12.2018 (Bern) Arrêt de transfusion Hémoculture RX thorax le 08.11.2018 Biopsie tendon jambier tibia antérieur D le 06.11.2018 : négative. Analyses urinaires Culture de PICC line Hémoculture 2 pairs le 07.01.19 : négatif à 5j Culture écoulement pré-tibial le 09.01.19 : négatif à 2 j Biopsie cutanée 15.01.19 + culture : en cours Bilan angiologique 08.01.19 US membre inférieur 08.01.19 IRM jambe droite 10.01.19 Recherche de maladie systémique associée : CT thoraco-abdominale 16.01.19 Electrophorèse et immunofixation 10.01.19 : négatif FAN, ANCA, FR, hépatite B, hépatite C : négatif Co-amoxicilline 2.2 g 3x/j du 04.01.19 au 15.01.19 Solumedrol 250 mg IV OU le 09.01.19 Prednison 50 mg/j dès le 10.01.19 avec schéma dégressif Colchicine 0.5 mg/j dès le 17.01.19 Pantozol 40 mg/j dès le 09.01.19 Calcimagon D3 Soins de plaies 1x/j avec nitrate d'argent Soins de plaie 1x/j au domicile Ablation des points de suture le 25.01.19 chez le médecin traitant Suivi en stomatothérapie 1x/10j, 1er RDV le 29.01.19 10h15 RDV à la consultation Dr. X le 13.02.19 15h45 Suivi régulier de la plaie par le médecin traitant et adaptation de la corticothérapie Hémocultures : en cours Rx de thorax : pas de signe de foyer infectieux Sédiment urinaire : propre Hémocultures : négatives Ad fébrifuges Hémocultures : négatives à 5 jours CT Time is brain le 14.01.2019 : athéromatose des vaisseaux pré-cérébraux avec sténose de 50% de l'artère carotide interne à droite. Perméabilité des vaisseaux conservée, hyperperfusion hémisphérique gauche. EEG : foyer irritatif fronto-temporal gauche Ponction lombaire le 14.01.2019 : pression d'ouverture à 12 mmHg, liquide eau de roche, < 1 élément, 0 érythrocytes, 0.66 protéinorachie, lactate et glucose dans la norme. PCR du LCR : Entérovirus, HSV-1/-2, VZV négatifs Avis neurologique le 14.01.2019 (Dr. X/Dr. X) : AVC ne pouvant être totalement exclu, rediscuter de l'IRM, cibles tensionnelles < 180 mmHg, Acyclovir 500 mg iv 3x/j pendant 10 jours IRM cérébrale le 16.01.2019 : probable lésion ischémique punctiforme du cortex central gauche sans transformation hémorragique. Multiples sténoses d'allure athéromateuse des artères cérébrales ddc et du segment distal des artères cérébrales moyennes ddc. Lévétiracetam 1000 mg iv en dose de charge, puis Lévétiracetam 500 mg 2x/j po Acyclovir 500 mg 3x/j iv pendant 10 jours Aspirine cardio 100 mg po Taux de Lévétiracetam : 23 mcg/ml (dans la norme) Rendez-vous de contrôle à 3 mois chez Dr. X avec EEG, le 12.04.2019 à 15h Hémocultures : négatives à 5 jours Rx de thorax : pas d'opacité suspecte de foyer infectieux Sédiment urinaire : pas de signe d'infection Acyclovir 500 mg 3x/j iv pendant 10 jours Hémocultures : négatives Frottis hématome : négatif Co-Amoxicilline iv du 9 au 10.12.2018 Tazobac iv du 10.12 au 20.12.2018 US tissu mou du 14.12.2018 Avis chirurgie (Dr. X) : drainage le 15.12.2018, pas d'abcès mais un hématome coagulé. Pose de penrose. Ablation du penrose le 17.12.2018. Hémocultures : stériles à 5 jours Radiographie pied gauche US des tissus mous MIG (Dr. X) : pas de collection Consilium infectiologique (Dr. X) : traiter par Co-amoxicilline adaptée à la fonction rénale pour 10-14 jours au total Bilan angiologique artériel et veineux le 03.01.2019 (Dr. X) : absence de troubles vasculaires significatifs Soins de plaie par tulle bétadiné selon avis orthopédique Antibiothérapie par Co-amoxicilline 1.2 g iv 3x/j du 28.12.2018 au 31.12.2018, majorée à 1.2 g 4x/j dès le 01.01.2019 (au vu de l'amélioration de la fonction rénale et de la CRP en légère augmentation) puis relai per os le 04.01.19 pour 14 jours d'antibiothérapie au total Pas d'IRM à la recherche ostéite/ostéomyélite vu la bonne évolution clinique locale Hémocultures : 2/4 positives à S. pneumoniae, Co-Amoxicilline sensible CT abdomen injecté par la PEG 30.12.2018 : pas de fuite visualisée, infiltration des tissus mous en pourtour de la sonde, avec espacement de la paroi gastrique CT Thorax et ORL 1.1.19 : absence de foyer pulmonaire ou ORL. Apparition d'une lésion hypodense dans le foie droit, de densité liquidienne, évoquant un abcès hépatique. Avis infectiologique : S. pneumoniae ne provient pas de la plaie, chercher autre foyer pour bactériémie, poursuite du traitement par Co-Amoxicilline Avis infectiologique après exclusion de foyer ORL et pulmonaire : abcès hépatique avec septicémie, nécessité d'antibiothérapie, réflexion sur drainage transhépatique vu la situation oncologique Traitement • Tazobactam 4.5 g IV • Co-Amoxicilline 2.2 g 4x/j 30.12.-4.1.19 • Co-Amoxicilline 1 g 2x/j p.o. du 4.1 pour min 4 semaines Hémocultures à froid le 29.01.2019 Culture d'urines le 29.01.2019 Culture d'expectorations le 29.01.2019 Hémocultures au CHUV le 16.01.2019 négative Surveillance clinique Hémocultures. Cubicine 350 mg 1x/j. Lyman gel, 2 applications locales par jour du 07 au 18.01.2019. Hémocultures du 09.01.2019 : E. coli multisensible Hémocultures du 10.01.2019 : micrococcus luteus (contaminant) Pipéracilline/Tazobactam 4.5 g 3x/jour du 09.01.2019 au 15.01.2019 Ciproxine 500 mg 2x/jour et Flagyl 500 mg 3x/jour per os du 15.01.2019 au 23.01.2019 Avis infectiologique le 10.01.2019 Hémocultures du 15.01.2019 Hémocultures du 18.08.2018 : négatives Hémocultures du 22.10.2018 : culture aérob et anaérob nég. à J5, présence de Staph. aureus Débridement, prise de prélèvements, rinçage face dorsale pied G (OP le 23.10.2018) Mise en place d'une PICC-Line dans la veine basilique G le 23.10.2018 Bilan des artères du MIG par l'angiologie le 23.10.2018 : excellente perfusion jusqu'à la cheville. Débridement, prise de prélèvements, drainage par Penrose, rinçage avec 3 L de Lavasept face dorsale pied G (OP le 26.10.2018) Débridement, prise de biopsies osseuses, drainage par Penrose, rinçage avec 3 L de Lavasept face dorsale pied G (OP le 30.10.2018) Mise en place de 3 cathéters entourant le cunéiforme médial et injection de phages (OP le 29.11.2018) Consilium d'infectiologie le 23.10.2018 + suivi Antibiothérapie : • Co-amoxicilline 2.2 g 4x/j i.v. du 23.10. au 01.11.2018 • Co-amoxicilline 2.2 g 2x/j i.v. du 02.11. au 05.11.2018 • Co-amoxicilline 2.2 g 4x/j i.v. du 06.11. au 13.11.2018 • Bactrim forte 800/160 mg 3x/j p.o. du 14.11.2018 au 06.01.2019 Thérapie par bactériophages : • 29.11.2018 : injection de 9 ml • 03.12.2018 : injection de 5 ml • 06.12.2018 : injection de 5 ml • 12.12.2018 : injection de 5 ml • 19.12.2018 : injection de 3 ml Hémocultures du 27.12.2018 encore en cours le 01.01.2019. Hémocultures en cours le 28.01 Bilan biologique : faible syndrome inflammatoire (CRP 14mg/l, leucocytose 15 G/l sans déviation gauche, hémoglobine 122 g/l, thrombocytose 440 G/l) Hémocultures en cours Clindamycine du 01 au 09.01.2019 Hémocultures en cours Rx thorax du 12.01 : pas de foyer visualisé Labo Gazométrie Hémocultures en cours Rx thorax du 12.01 : pas de foyer visualisé Labo Gazométrie : hypoxémie Frottis d'Influenza Antigène de Légionelles et Pneumocoque du 12.01.2019 Rocephin 2 g i.v. aux urgences Klacid 500 mg per os aux urgences Hémocultures et culture de selles en cours Hémocultures le 09.01.2019 : 6 paires négatives Culture d'urine le 09.01.2019 : négative RX thorax le 10.01.2019 Cefepime 2 g 3x/jour du 09.01 au 22.01.2019 Hémocultures le 10.01.2019 : négatives Suivi clinique et biologique Hémocultures le 11.01.2019 : négatives à 5 jours Antigènes urinaires le 12.01.2019 : négatifs Cultures d'expectorations le 12.01.2019 Co-Amoxicilline du 11.01.2019 au 12.01.2019 Ceftriaxone du 12.01.2019 au 16.01.2019 Hémocultures le 11.01.2019 Ponction lombaire le 11.01.2019 Co-Amoxicilline du 11.01.2019 au ______ Hémocultures le 15.11.2018 : négatives Stix urinaire 15.11.2018 : négatif Sédiment urinaire le 15.11.2018 : pas de leucos, pas de nitrites, pas de flore microbienne Co-amoxicilline 1200 mg IV 3x/jour du 11. au 16.11.2018 Hémocultures le 24.01 Avis ORL le 25.01, Dr. X Co-Amoxicilline 150 mg/kg/j de 24.01 au 25.01 Antalgiques VVP du 24.01 au 25.01 Fucidin pommade locale pour 1 semaine dès le 25.01 Contrôle chez vous le 28.01 Hémocultures négatives à 5 jours Rx thorax du 12.01 : pas de foyer Gazométrie : insuffisance respiratoire partielle Frottis grippe le 12.01.2019 : négatif. Antigènes urinaires Legionelle et Pneumocoque du 12.01.2019 : négatifs. Rocephin 2 g i.v. 1x/j du 12.01 au 15.01.2019 Klacid 500 mg per os 3x/j du 12.01 au 15.01.2019 Tavanic 500 mg per os 2x/j du 15.01.2019 au 20.01.2019 Hémocultures : négatives à 5 jours Culture expectorations : flore bucco-pharyngée Antibiothérapie par Cefepime i.v. 1 g 2x/j du 14.01 au 21.01.2019 Suivi biologique Hémocultures négatives US abdominal 03.01.2019 : absence de dilatation des voies biliaires ou des voies urinaires, infiltration métastatique diffuse du parenchyme hépatique, lame de liquide libre péri-hépatique et péri-splénique CT abdominal non réalisé vu fonction rénale altérée Amélioration biologique Hémocultures périphériques : négatives à 5 jours Culture d'expectorations : +++ Klebsiella pneumoniae et + Proteus mirabilis (sensibles à Ceftriaxone) et candida albicans Culture de la voie veineuse périphérique : négative à 2 jours Urine : propre, absence de légionelle Radiographie thoracique : par rapport au comparatif nette progression de l'opacité pulmonaire lobaire inférieure gauche. Thrombocytose à 816 G/l le 28.12.2018 : réactionnelle à l'inflammation Hémocultures. Rx thorax le 15.01.2019. Surveillance en lit d'observation aux urgences. Adaptation du régime par épaississement des liquides. Antibiothérapie par : • co-amoxicilline 2.2 g iv 4x/j du 17 au 18.01.2019 • Rocéphine 2 g du 18.01.2019 au 25.01.2019. Hémocultures 2 paires, le 13.12.2018 : négatives à 5 jours Urine : sédiment sans particularité, Ag de Légionelle absent Radiographie thoracique, le 13.12.2018 : épanchement pleural gauche CT thoracique injecté, le 13.12.2018 : pas d'hématothorax, fractures de 5 côtes à droite, atéléctase (DD infection) dans lobe inférieur gauche avec obstruction endoluminale des bronches à gauche US thoracique au lit du patient le 17.12.2018 : hépatisation du foyer basal gauche et lame d'épanchement parapneumonique infracentimétrique. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 2.2 g iv 4x/j du 13.12 au 22.12.2018 Passage à Rocephine 2 g i.v. du 22.12 au 29.12.2018 Oxygénothérapie jusqu'au 22.12.2018 Physiothérapie respiratoire avec VNI/CPAP Antalgie Avis pneumologique du 17.12.2018 : traitement conservateur et suivi clinique Nouveau bilan de la BPCO à faire en ambulatoire Hémocultures 20.12.2018 : négatives après 5 jours • relais antibiotique pour Tazobac le 20.12.18 jusqu'au 26.12.2018 • Physiothérapie respiratoire Hémocultures 29.12.18 : Citrobacter koseri sensible à Ciprofloxacine et Augmentin Urotube 29.12.2018 : Citrobacter koseri sensible à Ciprofloxacine et Augmentin Radio Thorax le 30.12.2018 : Présence de bandes de dystélectases lobaires inférieures gauches en rétrocardiaque. Le reste des plages pulmonaires se présente normalement, sans foyer objectivable. Pas d'épanchement pleural mis en évidence. US de la vessie le 1.1.19 : pas de coagule dans la vessie, exclusion de tamponade Hémocultures (6 paires) Sédiment urinaire, urotube Antigènes urinaires pneumocoque et légionelle Bilan de laboratoire (HFR et MCL) : cf. examens complémentaires pour les examens spéciaux Immunofluorescence le 16.01.2019 Biospie cutanée avec immunofluorescence le 16.01.2019 Radiographie thoracique le 11.01.2019 et le 14.01.2019 CT thoracique le 15.01.2019 US abdominal le 16.01.2019 Echocardiographie transthoracique le 16.01.2019 Consilium dermatologie (Dr. X, HFR Fribourg) le 16.01.2019 Avis infectiologique (Dr. X, HFR Tavel) le 16.01.2019 Arrêt Uvamine le 11.01.2019 Klacid 500 2x/j 11-14.01.2019 Rocéphine 2 g iv 11-16.01.2019 Dermovate dès le 16.01.2019 Refus d'investigations supplémentaires (en particulier CT abdominal et ponction de moelle osseuse) de la part de la patiente dès le 18.01.2019 Traitement symptomatique Prednisone 50 mg/j dès le 22.01.2019, schéma rapidement dégressif jusqu'au 06.02.2019 Hémocultures Radiographie thorax Stix/ Sédiment Acyclovir 500 mg iv Att : • poursuite de l'Acyclovir 500 mg 3x/j, pendant 10 jours • pister hémoculture et PCR HSV • PL à 72 h à discuter selon IRM et PCR avec la neurologie • discuter antibiothérapie selon clinique, laboratoire Hémocultures : Urine Rx thx Rocéphine 2 g iv Att : • poursuite de l'antibiothérapie Hémoglobine stable IPP IV OGD le 03.01.2019 : hernie hiatale, pas de sources de saignement ou de signe d'une oesophagite de reflux, suspicion légère de gastrite antrale. IPP 1X/J pour 4 semaines en attendant résultats des biopsies pour H. Pylori Hémopéritoine estimé à 1500 ml avec pertes sanguines totales estimées à 1700 ml. Hémophilie A sous traitement avec ADVATE 2000 UI 3x/semaine (mardi, jeudi, samedi) et suivi au CHUV par Dr. X Hémophilie B. Hémophilie B, 6 %, sans traitement de substitution, Benefix en réserve si plaie. Hémoptysie Hémoptysie Hémoptysie. Hémoptysie. Hémoptysie. Hémoptysie d'origine indéterminée le 06.01.2019 avec : • pas de toux, pas de fièvre, inappétence, perte de poids, baisse de l'état général • Carcinome bronchique en 1997 avec notion anamnestique de lobectomie DD : métastase tumorale, tumeur primaire Hémoptysie sans instabilité hémodynamique chez un patient connu pour : • carcinome épidermoïde pulmonaire du lobe inférieur droit cT2-3 cN2 pM0 stade IIIA • sous immunothérapie par Imfinzi, dernière dose reçue le 17.12.2018 Hémoptysies Hémoptysies. Hémoptysies. Hémoptysies dans un contexte de surinfection lingulaire supérieure dans un contexte de mucoviscidose Delta 508. Hémoptysies d'origine indéterminée le 30.12.2018 avec : • contexte de bronchectasies connues depuis 2013 DD : sur maladie rhumatologique, mycobactérie (antécédent de présence de MAC en 2013), pneumonie atypique Hémoptysies post-bronchoscopie Hémoptysies suite à biopsie laryngée sur anticoagulation supra-thérapeutique dans le contexte d'une insuffisance rénale • Panendoscopie avec biopsies laryngées le 07.01.2019 • Sous clexane 40 mg 2x/j sc Hémoptysies Hémorragie aiguë sur varices basi-linguales sous Xarelto le 10.12.2018 • Diagnostic des varices basilinguales le 30.11.2018 (Dr. X, ORL), d'origine indéterminée Hémorragie aiguë sur varices basilinguales sous Xarelto le 10.12.2018 • diagnostic des varices basilinguales le 30.11.2018 (Dr. X, ORL), d'origine indéterminée Hémorragie aigue urétrale probablement sur arrachage manuel Hémorragie cérébrale non datée Hémorragie sur ulcère gastrique non datée Hémorragie des noyaux gris centraux droits dans le contexte de thrombopénie et chutes avec TC et PC : • Hématome de taille 38 x 24 mm • Effet de masse avec compression du foramen de Monro à droite avec hydrocéphalie Hémorragie digestive Hémorragie digestive Hémorragie digestive avec méléna le 14.01.2019 • DD : Ulcère gastro-duodénal, angiodysplasie Hémorragie digestive basse avec méléna Hémorragie digestive basse d'origine indéterminée le 07.01.2019 Hémorragie digestive basse d'origine probablement diverticulaire le 29.12.2018 Hémorragie digestive basse, le 21.01.2019 • probablement sur polype sigmoïdien Hémorragie digestive basse post-polypectomie colonoscopique à HIB Payerne (Dr. X) en 08.2015 avec sigmoïdoscopie, clippage (Dr. X) le 11.08.2015 Troubles de la repolarisation avec sus-décalages en V2-V3 le 11.08.2015 Résection de deux carcinomes spinocellulaires (front, nez), dernière en 2015 Laparotomie, adhésiolyse et résection secondaire du grêle pour iléus mécanique le 17.03.2013 Cure de hernie incisionnelle avec pose de filet type Dynamesh le 11.06.2013 PTH G en 2013 Ischémie main G sur un syndrome du vol sous-clavier de la fistule AV MIG :• status post-mise en place d'une fistule prothétique (boucle) MSG le 19.02.2009 • échec d'une confection d'une fistule artério-veineuse de type Brescia • anti-coagulation orale pour traitement de l'ischémie Colite pseudomembraneuse à Clostridium difficile confirmée le 14.04.2009 Thrombophlébite du MSG sur Venflon le 12.04.2009 Status post-colite microscopique de type collagéneuse TURP en 2004 pour hyperplasie bénigne de la prostate Hémorragie digestive d'origine indéterminée le 19.11.2018 • Anémie initiale à 45 g/l, 88 g/l après 3 CE aux urgences • OGD du 19.11.2018 (Dr. X): pas de lésions. Passage IPP en per os • Colonoscopie du 22.11.2018: pas de saignement frais ou ancien, pas de lésions de la muqueuse. 3 polypes sessiles réséqués. Cardiopathie de Tako-Tsubo le 24.10.2018 Delirium tremens le 21.10.2018 Status post ulcère de la petite courbure gastrique en février 2012 Anémie normochrome macrocytaire probablement sur alcoolisme chronique et hépatopathie BPCO stade II C • Fonctions pulmonaires du 31.10.2018: trouble ventilatoire obstructif avec un rapport VEMS/CVL à 72% et un VEMS à 50%. Hémorragie digestive haute à 57 hg/l dans un contexte d'angiodysplasie gastrique et colique connu Hémorragie digestive haute anamnestique le 18-19.12.2018 avec : Hémorragie digestive haute dans un contexte d'angiodysplasie gastrique connu le 09.01.2019: • Hb à 57 mg/l le 09.01.2019 Hémorragie digestive haute d'origine duodénale (D3) versus saignement de l'anastomose grêle le 15.06.2013 Etat de choc d'origine mixte (sepsis pulmonaire versus digestif, hémorragique) le 15.06.2013 Insuffisance respiratoire aiguë sur pneumonie basale gauche et atélectase le 16.06.2013 Iléus mécanique sur masse d'origine indéterminée le 14.06.2013 Résection intestin grêle par laparoscopie (Payerne) le 14.06.2013 Cholecystectomie Hémorragie digestive haute, le 03.01.2019 • Hématochézie avec bilan OGD-COLO en 2016: pas de source de saignement mise en évidence • Glasgow-Blatchford Bleeding Score (GBS): 1 Hémorragie digestive haute le 10.01.2019 : • clinique : méléna à 2 reprises et perte Hb de 2 points Hémorragie digestive haute le 13.09.2016 : • OGD du 13.09.2016 (Dr. X): ulcère floride de 1.5 cm à la jonction 1/2 duodénale avec vaisseau visible stade Forrest IIa sans saignement actif traité par injection d'Adrenaline et pose de 2 clips. 3 ulcères florides de moins de 1 cm dans l'antre sans saignement actif • Biopsies (Promed: P9732.16): pas d'Helicobacter Pylori à la coloration Giemsa modifiée. Pas d'atrophie glandulaire ni métaplasie intestinale. Pas de dysplasie épithéliale, pas de tissu néoplasique malin. Fractures des processus épineux de C4 et C5, fracture de D4 le 19.07.2016 sur chute dans un contexte de sevrage éthylique. Traumatisme crânio-cérébral (TCC) dans un contexte de probable alcoolisation aiguë sur chronique le 18.05.2016 : TCC et contusion de l'abdomen et de la hanche G le 23.01.2015. Surdosage aux opiacés le 14.03.2018 (Naloxone). Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur œdème aigu du poumon avec échec extubation le 22.03.2018 (ventilation mécanique du 22.03 au 28.03.2018). Dilatation du caecum et colite d'origine indéterminée le 20.03.2018. Pancréatite biologique le 26.03.2018. Rhabdomyolyse dans un contexte post-traumatique mars 2018. Hypertension artérielle réfractaire dans le contexte de sevrage alcoolique, mars 2018. Fracture intra-articulaire radius distal et fracture processus styloïde ulnaire à G; le 03.07.2018 • traitée par Réduction ouverte, OS radius distal G par plaque Aptus 2.5 palmaire; OS styloïde ulnaire G par vis 2.5 mm (OP le 05.07.2018). Infection de plaie opératoire le 19.07.2018. Hémorragie digestive haute sur angiodysplasie duodénale le 10.08.2018. Oeso-gastro-duodénoscopie le 13.08.2018 (Dr. X): bulbe duodénal montrant une minuscule angiodysplasie de 2 mm sans cicatrice ni ulcère. Aucune trace de sang dans le tube digestif supérieur. Hyponatrémie hyperosmolaire à 123 mmol/l, probablement d'origine multifactorielle 08.2018 • Ethanolémie à 1.4 pour mille • Potomanie à la bière. Traumatisme du bras gauche le 14.08.2018 • status post ostéosynthèse pour fracture intra-articulaire radius distal et fracture processus styloïde ulnaire à gauche le 03.07.2018. Hémorragie digestive haute le 15.01.2019 avec : • FA rapide • Insuffisance rénale aiguë • Dans le contexte d'anticoagulation par Xarelto + injection de Clexane pour voyage en avion Hémorragie digestive haute massive sur ulcère duodénal bulbaire le 21.03.2010 avec : • électrofulguration de l'ulcère le 21.03.2010, gastroscopie second look le 23.03.2010 sans vaisseau visible • Helicobacter pylori négatif • récidive hémorragique de l'ulcère le 26.03.2010. Ulcère bulbaire en 2008 (OGD faite par Dr. X) avec HP positif: l'éradication de l'Helicobacter pylori n'a probablement pas été faite. Ulcère gastrique en 1990 traité au Maroc. TVP le 07.04.2010 (US Dr. X). Plaie superficielle mesurant environ 2 cm face radiale IPP Dig II en 2012. Ancien tabagisme stoppé en 2010. Malaise sur probable bradycardie sinusale (suspicion de maladie du sinus). Hémorragie digestive haute sur angiodysplasie duodénale le 10.08.2018 • Oeso-gastro-duodénoscopie le 13.08.2018 (Dr. X): bulbe duodénal montrant une minuscule angiodysplasie de 2 mm sans cicatrice ni ulcère. Aucune trace de sang dans le tube digestif supérieur. Pancréatite biologique le 26.03.2018 Hémorragie digestive haute le 13.09.2016 : • OGD du 13.09.2016 (Dr. X): ulcère floride de 1.5 cm à la jonction 1/2 duodénale avec vaisseau visible stade Forrest IIa sans saignement actif traité par injection d'Adrenaline et pose de 2 clips. 3 ulcères florides de moins de 1 cm dans l'antre sans saignement actif • Biopsies (Promed: P9732.16): pas d'Helicobacter Pylori à la coloration Giemsa modifiée. Pas d'atrophie glandulaire ni métaplasie intestinale. Pas de dysplasie épithéliale, pas de tissu néoplasique malin. Fractures des processus épineux de C4 et C5, fracture de D4 le 19.07.2016 sur chute dans un contexte de sevrage éthylique Traumatisme craniocérébral (TCC) dans un contexte de probable alcoolisation aiguë sur chronique le 18.05.2016 Fracture intra-articulaire radius distal et fracture processus styloïde ulnaire à G; le 03.07.2018 • Traitée par réduction ouverte, OS radius distal G par plaque Aptus 2.5 palmaire; OS styloïde ulnaire G par vis 2,5 mm (OP le 05.07.2018) • Infection de plaie opératoire le 19.07.2018 Traumatisme du bras gauche le 14.08.2018 Rhabdomyolyse dans un contexte post-traumatique mars 2018 Surdosage aux opiacés le 14.03.2018 (Naloxone) Hémorragie digestive haute sur GIST (tumeur stromale gastro-intestinale) intra-gastrique • Oesogastroduodénoscopie le 17.12.2018 : Haute suspicion d'un GIST pédiculé intra-gastrique d'environ 25 mm sur la grande courbure gastrique et d'une 2ème lésion identique de 15 mm en aval sur la grande courbure gastrique • Tumorboard du 19.12.2019 : prise en charge chirurgicale Hémorragie digestive haute sur oesophagite stade 4, DD médicamenteux (Algifor, Betnesol) Hémorragie digestive haute sur oesophagite ulcérée de stade D selon Los Angeles avec hernie hiatale et gastrite antrale Hémorragie digestive haute sur papillotomie. Hémorragie digestive haute sur probable rupture de varices de l'oesophage distal le 10.01.2019 et récidive le 11.01.2019 • Varices oesophagiennes stade 3 avec points rouges au niveau de l'oesophage distal et cardia • Hypofibrinogénémie / afibrinogénémie acquise Hémorragie digestive haute sur rupture de varices de l'oesophage distal le 10.01.2019 et récidive le 11.01.2019 • Varices oesophagiennes stade 3 avec points rouges au niveau de l'oesophage distal et cardia • Hypofibrinogénémie / afibrinogénémie acquise Hémorragie digestive haute sur ulcère du bulbe le 13.01.2019 • Blatchford score : 8 Hémorragie digestive haute sur ulcère duodénal D2 (néoplasie non-exclue) le 14.10.2015 Décompensation cardiaque après remplissage et transfusion le 14.10.2015 (urgences) Probable pneumonie inférieure droite le 14.10.2015 Vaginite atrophique avec infection vaginale à K. pneumoniae, E. faecalis et E. coli le 08.09.2015 Fibrillation auriculaire rapide paroxystique dans un contexte de sepsis le 13.08.2015 (CHADSVASC : 5 points), non anti-coagulée car risque de saignement Etat confusionnel aigu avec hétéro-agressivité le 10.08.2015 Cholangite sur cholédocholithiase le 27.07.2015, compliquée d'une pancréatite biologique de stade Balthazar A Incidentalome de 10 mm au niveau de la surrénale droite dès 2008 (stable en taille 07.2015) Pneumonie basale gauche (11.2011) Cholécystectomie en 2008 Urosepsis à Staph. haemolyticus Infection urinaire sur sonde à demeure à E. coli résistant à Augmentin (intermédiaire) Chondrocalcinose du poignet droit Hypertension artérielle asymptomatique Gonalgie gauche sur arthrose et chondrocalcinose Infection urinaire basse traitée depuis 22.09.2016 Hémorragie digestive haute sur ulcère duodénal D2 (néoplasie non-exclue) le 14.10.2015 Décompensation cardiaque après remplissage et transfusion le 14.10.2015 (urgences) Probable pneumonie inférieure droite le 14.10.2015 Vaginite atrophique avec infection vaginale à K. pneumoniae, E. faecalis et E. coli le 08.09.2015 Fibrillation auriculaire rapide paroxystique dans un contexte de sepsis le 13.08.2015 (CHADSVASC : 5 points), non anti-coagulée car risque de saignement Etat confusionnel aigu avec hétéro-agressivité le 10.08.2015 Cholangite sur cholédocholithiase le 27.07.2015, compliquée d'une pancréatite biologique de stade Balthazar A Incidentalome de 10 mm au niveau de la surrénale droite dès 2008 (stable en taille 07.2015) Pneumonie basale gauche (11.2011) Cholécystectomie en 2008 Urosepsis à Staph. haemolyticus Infection urinaire sur sonde à demeure à E. coli résistant à Augmentin (intermédiaire) Chondrocalcinose du poignet droit Hypertension artérielle asymptomatique Gonalgie gauche sur arthrose et chondrocalcinose Infection urinaire basse traitée depuis 22.09.2016 Hémorragie digestive haute sur ulcère duodénal Forest III le 01.08.2018 Choc cardiogénique d'origine multifactorielle le 19.07.2018 Insuffisance hépatique sévère sur choc cardiogénique le 19.07.2018 AIT sylvien gauche sur bas débit cérébral le 19.07.2018 Déhiscence de plaie le 11.07.2018 avec : • Abcès profond médio-plantaire du pied gauche à Bacteroides fragilis et Streptococcus anginosus le 09.05.2018 Hémorragie digestive haute sur une angiodysplasie duodénale et jéjunale en juin 2018 avec : • OGD et Coloscopie le 01.06.2018 : pas de mise en évidence de saignement digestif haut ou colique • OGD le 12.06.2018 : traitement de 4 angiodysplasies de moins de 8 mm à l'Argon plasma (2x duodénum distal, 2x jéjunum proximal) Manchon thrombotique péricathéter dans la veine basilique droite le 05.06.2018 Ténosynovite extenseur ulnaire du carpe droite aiguë le 29.05.2018 dans le contexte de la polyarthrite rhumatoïde : • Polyarthrite rhumatoïde séropositive avec anti-CCP (1995) • Methotrexate de 05/2006 - 07/2017 (en raison d'une stomatite sévère) • Léflunomide dès novembre 2017, stop fin mai 2018 en raison d'un abcès du pied gauche • Naproxène 2x500 mg/jour du 30.05 au 31.05.2018 Prothèse totale de la hanche droite en avril 2018 Tendinopathie chronique du supra-épineux D 2017 Angiodysplasies du caecum mises en évidence en 2010 Lithotrypsie bassinet rénal G en août 2005 Hystérectomie et annexectomie bilatérale en 1980 Biopsie des seins en 1980 Cure de tunnel carpien gauche en 1979 Tuberculose méningée et miliaire en 1959 avec choroïdite et paralysie faciale droite, traitement par PAS, streptomycine et Rimifan Appendicectomie à 12 ans et amygdalectomie à 23 ans Hémorragie digestive haute sur ulcère Forrest III au niveau de l'antre gastrique • chez un patient connu pour hémorragie digestive haute en novembre 2017 • Status après 3 ulcères chroniques pré-pyloriques antraux, dont une traitée par clip (OGD du 23.11.2017, Dr. X) • Status après 3 ulcères pré-pyloriques avec lésions polypoïdes de 1,5 cm au niveau du 2e duodénum non biopsées (OGD du 04.01.2018, Dr. X) Hémorragie digestive haute sur ulcères gastriques et duodénaux Forrest 3 sur prise d'AINS le 04.01.2019 Hémorragie digestive probablement haute 13.01.2019 • DD sur diverticule duodénale • Blatchford score : 8 points Hémorragie digestive probablement sur diverticules le 10.01.2019 • sous double anti-aggrégation Hémorragie digestive sur diverticules le 10.01.2019 • sous Efient et Aspirine cardio Hémorragie du noyau gris central D dans contexte de thrombopénie et chutes avec TC et PC : • Hématome de taille 38 x 24 mm • Effet de masse avec compression foramen de Monro D avec hydrocéphalus Hémorragie du post-partum. Hémorragie du post-partum sur atonie utérine Hémorragie du post-partum sur atonie utérine et déchirure vaginale droite Hémorragie du post-partum sur rétention placentaire et atonie utérine (pertes sanguines estimées : 1200 ml) Hémorragie intra-cérébrale atraumatique au niveau des ganglions de la base droite avec déviation de la ligne médiane le 29.07.2018 d'origine primairement hypertensive et sous traitement anticoagulant de Xarelto 10 mg avec : • Craniotomie fronto-pariéto-temporale pour évacuation de l'hématome • FDRCV : HTA traitée • Clinique à l'entrée en neuroréhabilitation le 03.10.2018 : hémi-parésie brachio-crurale gauche, prédominant au MSG, dysarthrie, labilité émotionnelle, ralentissement psycho-moteur, difficultés exécutives, hémi-négligence visuelle et sensitive gauche Hémorragie intra-cérébrale temporo-pariétale droite de 8 x 4.5 x 4.5 cm avec hémorragie sous-arachnoïdienne péri-lésionnelle post-lyse le 17.01.2019 Hémorragie intra-cérébrale temporo-pariétale droite de 8 x 4.5 x 4.5 cm avec hémorragie sous-arachnoïdienne péri-lésionnelle post lyse le 17.01.2019 • Symptomatologie : Hémisyndrome gauche avec héminégligence gauche, dysarthrie et troubles de la déglutition • NIHSS fluctuant à 11 points à l'entrée, NIHSS 17 points à la sortie Hémorragie intraparenchymateuse mesurant 6 mm de diamètre, à cheval entre l'uncus et l'hippocampe du lobe temporal droit le 23.11.2018 Hémorragie intra-parenchymateuse occipitale gauche d'origine indéterminée le 03.12.2018 : • Diagnostics différentiels : angiopathie amyloïde, crise hypertensive • Symptomatologie : troubles praxiques légers • NIHSS à l'admission 1, NIHSS à la sortie 0 Hémorragie intraventriculaire gauche le 31/12/18 Hémorragie oreille droite. Hémorragie per opératoire avec pertes sanguines estimées à 1000 ml Hémorragie per-opératoire avec anémie normocytaire normochrome post-opératoire le 11.01.2019 Hémorragie per-opératoire avec pertes estimées à 3000 ml Hémorragie rétropéritonéale du côté droit sur triple antiagrégation plaquettaire le 20.01.2019 Hémorragie sous arachnoïdienne temporal G • traumatisme crânien avec plaie Hémorragie sous-arachnoïdienne et parenchymateuse fronto-pariéto-temporale gauche • région pariétale droite également touchée. Hémorragie sous-arachnoïdienne temporale droite le 16.12.2018 Hémorragie sous-arachnoïdienne temporale gauche le 26.01.2019 • d'origine traumatique sur TCC léger Hémorragie sous-arachnoidiennes minimes post thrombectomie mécanique Hémorragie sur rupture de trompe estimée à 1000 cc en per-opératoire Hémorragie vaginale Hémorragies sous-arachnoïdiennes post-traumatiques le 24.01.2019. Hémorragie digestive probablement haute le 10.01.2019 • Méléna le 10.01.2019 • sous Efient et Aspirine cardio • Pantozol 80 mg bolus reçu à Riaz Hémorroïde à 12H en position gynécologique • présence de 2 marisques à 6 et 8 heures en position gynécologique. Hémorroïde douloureuse. Hémorroïde externe non-thrombosée Hémorroïde stade IV Céphalées de tension sans signe de gravité Hémorroïde thrombosée • douleur < 72 h. Hémorroïdectomie Hémorroïdes externes non thrombosées. Hémorroïdes internes. Hémorroïdes internes de stade III Angine à streptocoque (streptotest positif). Lithiase rénale gauche en 2013 Hémostase opératoire le 28.01.2019 (Dr. X) Mise en suspens du traitement anticoagulant Hémostase par ouate hémostatique et pansement de compression. Avis ORL, Dr. X et dentiste de garde. Évaluation par l'ORL de garde. Mr. Y est donc hospitalisé dans le contexte de retard de croissance sur difficultés alimentaires s'inscrivant dans un contexte syndromique. Sur le plan digestif, une sonde naso-gastrique est posée le 14.01 à son arrivée pour une alimentation en continu la nuit et des prises alimentaires per os puis complétées par sonde la journée (Prégomin AS 1 kcal/ml, 450 ml/jour). Nous notons une légère intolérance lors de l'AEDC nocturne avec bonne évolution. Sur les courbes de croissance, il se situe en dessous du P3 et il prend 430 g durant son séjour. Une évaluation concernant sa déglutition est réalisée par Mme. Y le 15.01 sans troubles majeurs mis en évidence. Nous réalisons un bilan de malabsorption le 16.01 cf laboratoire. Avant la sortie, les parents bénéficient des explications concernant l'alimentation à domicile et apprennent à utiliser la pompe. Une infirmière à domicile va les suivre également à domicile dans le premier temps. Sur le plan neurologique, Mr. Y est suivi par Dr. X avec un bilan métabolique et génétique en cours. Cliniquement, il présente un bon contact mais une hypomimie sauf grimace et pleurs, une hypotonie axiale importante avec des membres hypertones et des probables rétractations au niveau des jambes et des mains avec absence de réflexes ostéo-tendineux. Peu de mouvements spontanés des membres et du tronc sont relevés et lors des mouvements passifs, nous notons un clair inconfort raison pour laquelle une antalgie d'office par Paracétamol est débutée le 15.01 avec effet au repos, mais il reste parfois inconfortable lors des manipulations. Nous complétons le bilan malformatif par un US cardiaque le 16.01 revenant normal hormis une sténose pulmonaire périphérique sans conséquence clinique. Un syndrome arthro-gryposique est probable raison pour laquelle un ENMG sera à prévoir à distance (au HUG) Le suivi sera installé en ambulatoire en physiothérapie et ergothérapie. Sur le plan cutané, Mr. Y présente des lésions érosives des plis (chevilles, aines, coudes) avec une xérose cutanée importante ainsi qu'une alopécie avec lésions squameuses du scalp et un probable escarre fessier. Un avis auprès de Dr. X, dermatologue pédiatre, conclut à une xérose cutanée dans un contexte d'atopie familiale et une possible dermatite séborrhéique du cuir chevelu. Nous majorons l'hydratation cutanée et Mr. Y bénéficie d'un prélèvement des lésions du cuir chevelu, qui revient négatif pour une mycose. Un frottis de la plaie du pli fessier revient négatif. Héparine, Aspirine en dose de charge Aspirine cardio dès le 10.01.2019 Poursuite Clopidogrel Héparine, Aspirine Prévoir ergométrie dans 1 mois Héparine iv continue en per-opératoire puis Clexane thérapeutique Réintroduction du Sintrom le 28.12.2018 En adaptation actuellement, crase à effectuer avec adaptation Héparine prophylactique Hépatopathie d'origine possiblement alcoolique • Rapport ASAT/ALAT > 1, GGT augmentés, macrocytose • Éthylisme chronique DD : origine médicamenteuse Hépatopathie idiopathique en cours d'investigation. Hépatite A en 1989. Hépatite aiguë d'origine alcoolique • score de Maddrey à 73 points le 23.01.2019 Hépatite aiguë d'origine alcoolique (score de Maddrey 73 points) le 23.01.2019 • dans un contexte de cirrhose alcoolique CHILD C (11 points) Hépatite aiguë d'origine indéterminée (DD : sur passage de calcul biliaire, médicamenteuse). Hépatite aiguë d'origine multifactorielle (foie de choc, intoxication chronique au paracétamol, toxicité médicamenteuse du Keppra) le 21.12.2018 Hépatite aiguë probablement d'origine alcoolique le 28.01.2019 Hépatite alcoolique avec consommation OH à risque Hépatite B active Diabète de type II non insulino-requérant Troubles schizo-affectifs Hépatite B avec introduction d'un traitement en décembre 2018 (Tenofovir Sandoz). Syndrome métabolique avec : • hypertension artérielle • diabète de type 2 non insulino-requérant • obésité. BPCO (suivi par Dr. X). Hépatite B chronique, diagnostiquée en 2012, sans suivi ni traitement • mars 2012 sur légère élévation des transaminases avec sérologie positive (HBs et HBe) et importante virémie ; sérologies positives pour hépatite A, négatives pour hépatite C, D et HIV • ultrason le 29.11.2012 : sans particularité • consultation infectiologique chez Dr. X le 07.01.2013 : probable contexte d'immuno-tolérance chez un patient très vraisemblablement infecté à la naissance • absence de suivi infectiologique depuis (virémie positive 12/2014, mesure de 01/2019 en attente chez Riche mesurées chez le médecin traitant) • US le 19.07.2018 (CIF) : signes de remaniements chroniques hépatiques débutants et légère hypertrophie du lobe caudé (nouvelle par rapport à l'examen de 2015), ascite et hypertrophie de l'épiploon d'origine indéterminée.Laboratoire du 16.01.19: alpha fœtoprotéine à 3.9 ng/ml, INR à 1.18, albumine à 50 g/l, GGT à 33 U/l, ASAT à 28 U/l, ALAT à 34 U/l, LDH à 207 U/l, lipase à 23 U/l Hépatite B chronique FRCV Hépatite B non traitée Agoraphobie avec attaque de panique Troubles de la personnalité dissociatifs Epilepsie non traitée Syndrome lombo-thoraco-cervical douloureux • accident de la voie publique en 2011 • compression de la racine nerveuse C6 droite sur sténose du canal cervical Hépatite C non active et non traitée suivie au CHUV (Dr. X) découverte en 2012. Hépatite C traitée - guérie (suivi par Dr. X). • recherche cryoglobulines en mai 2018, examen douteux. Pathologies psychiatriques multiples avec: • Episode dépressif moyen à sévère. • Syndrome de stress post-traumatique. • Exposition à une catastrophe, une guerre et autres hostilités. • Difficultés liées à l'environnement social. • Suivi psychiatrique en ambulatoire par Dr. X. • Traitement habituel par Fluoxetine 20 mg, Olanzapine 2.5 mg, arrêté par la patiente. Lésion isthmo-corporéale à développement extra-utérin sous séreux à l'IRM du 09.02.2018. • Consilium gynécologique le 07.08.2018: stable, pas d'opération nécessaire. Trouble neurologique mixte du membre supérieur droit: • Suivi par Dr. X • Tunnel carpien débutant à droite • Notion de cervico-brachialgie C8 Labilité tensionnelle, le 04.01.2019 avec: • Dyspnée et céphalée lors de pic hypertensif • Vertige lors d'hypotension • dans un contexte de trouble anxieux avec multiples plaintes Affections rhumatologiques multiples (suivi Dr. X): • Cervico-brachialgie droite • ostéoporose fracturaire et densitométrique • Syndrome du tunnel carpien droit • Lombalgies chroniques mécaniques • Rizarthrose bilatérale • Syndrome sec oral et oculaire, en cours d'investigation Hépatite C. Lombalgies chroniques sur hernie discale. Tétraplégie incomplète suite à l'accident du 07.07.2017. Hépatite C Toxicomanie à l'héroïne. Hépatite d'origine auto-immune (Immunothérapie) le 25.01.2019. Hépatite médicamenteuse sur Rimstar (Isoniazid) le 06.03.2018 avec • sensibilité hépatique • nausées et vomissements • diarrhées aqueuses. Suivi des tests hépatiques tous les 2 jours jusqu'à baisse des transaminases à <100, Avis infectiologique le 07.03.2018 (Dr. X/Dr. X) : stopper Rimstar dès le 08.03.2018, reprise d'une trithérapie au même dosage par Ethambutol, Rifampicine, Isoniazide sans le Pyrazinamide jusqu'au 26.03.2018 vu nouvelle péjoration des tests hépatiques. Stop Isoniazid. Rifampicine, Ethambutol, Pyrazinamide dès le 30.03.2018. Diarrhées aqueuses le 20.02.2018. • dans le contexte de l'antibiothérapie. Bactériologie le 21.02, 07.03, 17.03.2018 : Clostridium négatif. Imodium dès le 20.03.2018. Bioflorin dès le 20.03.2018. Douleurs abdominales d'origine indéterminée, le 16.03.2018. CT abdominale, le 16.03.2018 : examen abdomino-pelvien dans les limites de la norme. Hémocultures le 16.03.2018 : négatives. Sédiment urinaire : pas de leucocyturie, pas de nitrites, pas d'hématurie. Tuberculose pulmonaire active le 17.02.2018 • PCR (M. tuberculosis complet) et BAAR positives dans expectorations • absence de résistance à la rifampicine Hémocultures 17.02, 19.02 et 21.02.2018 : négatives Antigènes légionelle et pneumocoques le 17.02.2018 : négatif Test HIV : négatif GeneXpert sur expectorations (CHUV) le 23.02.2018 : positif pour M. tuberculosis complex, absence de résistance à la Rifampicine Recherche BAAR le 23.02.2018 au CHUV : positive Recherche BAAR le 24.02.2018 : positive Recherche BAAR le 25.02.2018 : positive Recherche BAAR le 10.03.2018 : positive Recherche BAAR le 21.03.2018 : positive Recherche BAAR le 04.04 et 05.04.2018 : négatives Cultures mycobactéries dans expectorations (prélèvements du 23.02, 24.02 et 25.02.2018) : positives pour mycobactéries sp et pseudomonas aeruginosa multisensible Consilium pneumologique (Dr. X) le 22.02.2018 Consilium infectiologique (Dr. X) le 22.02 et 01.03.2018 Radiographie du thorax 17.02.2018 CT thoracique le 21.02.2018 Enquête UPCI/Ligue pulmonaire/Médecine du travail Déclaration au médecin cantonal, le 14.03.2018 Clarithromycine le 17.02 au 20.02.2018 Rocéphine du 17.02 au 20.02.2018 Céfépime du 20.02 au 22.02.2018 Rimstar dès 24.02.2018, mis en suspend le 08.03.2018 (cf. complications) Trithérapie par Isoniazide, Rifampicine, Ethambutol du 14.03 au 26.03.2018 Rifampicine, Ethambutol du 26.03 au 29.03.2018 Trithérapie par Rifampicine, Pyrazinamide, Ethambutol dès le 30.03.2018 Physiothérapie respiratoire Suivi infectiologique prévu chez Dr. X le 26.04.2018 Hépatite probable sur probable foie de stase • avec hypoglycémie à 2.8 mmol DD : médicamenteux sur Rifampicine Hépatite virale aigüe B en 2008 - suivi inconnu amygdalectomie en 1945 Septoplastie nasale en 1945 Appendicectomie Notion de tuberculose pulmonaire ancienne Hépatite B Agoraphobie avec attaque de panique Troubles de la personnalité dissociatifs Epilepsie non traitée Syndrome lombo-thoraco-cervical douloureux • Accident de la voie publique en 2011• Nervenwurzel C6 droit compromis au départ du canal spinal (IRM HWS et BWS du 30.06.2016) • Hépatocarcinome des segments IV et VII > diagnostiqué le 28.01.2015, suivi par Dr. X > résection hépatique droite postérieure et ablation par micro-ondes de la lésion du segment IV le 11.03.2015 (stade post-opératoire T2NXL0) > récidive tumorale locale et carcinose péritonéale en mars 2018 > traitement palliatif par Nexavar (sorafénib) du 25.06.2018 au 24.10.2018 stoppé pour progression tumorale et éruption cutanée > depuis le 16.12.2018 traitement palliatif par Stivarga 80 mg/j majoré à 120 mg dès le 31.12.2018 > CT du 21.12.2018 : légère augmentation en taille de la lésion nodulaire dans le segment II hépatique. > implants tumoraux dans la graisse cardio-phrénique, la région cœliaque, péri-gastrique et péri-splénique sans changement significatif en taille. Pas de nouveaux implants tumoraux visibles • Hépatocarcinome multifocal sur cirrhose d’origine éthylique CHILDB > arrêt du traitement de Nexavar en raison de mauvaise tolérance en juillet 2018 • Hépatolyse d’origine le 07.01.2019 > DD médicamenteux • Hépatomégalie modérée avec stéatose > pas de consommation d’alcool à risque anamnestiquement > ultrasonographie abdominale le 22.03.2016 : hépatomégalie modérée avec stéatose • Insuffisance rénale chronique avec : > GFR 34 ml/min le 17.08.2018 • BPCO non stratifiée sous traitement d'Anoro Ellipta 1x/j. • Hernie abdominale. • Hernie cervicale paramédiane C5-C6 avec compression de la racine de C6 asymptomatique • Hernie C5-C6 discale médiane, paramédiane et foraminale gauche. > protrusion discale paramédiane droite en L5-S1. > troubles dépressifs. > atteinte du nerf circonflexe gauche. > cervicarthrose. • Hernie de la ligne blanche. • Hernie discale. • Hernie discale cervicale en 2014 > cervicalgie avec radiculalgie tronchée à l'épaule gauche sur hernie discale C4-C5, C5-C6, C6-C7 le 30.04.2018. • Hernie discale C3-C4 > réaction cutanée de grade III sur Erbitux > tabagisme ancien (40 UPA) • Hernie discale C5-C6 à droite en 2014 sans anomalie dimensionnelle canalaire > s/p marsupialisation Bartholinite G en juin 2014. > s/p marsupialisation droite le 31.12.2014. > incision et drainage d'un abcès fessier à droite chez une patiente nulligeste de 40 ans. > incision et drainage abcès. • Hernie discale lombaire L4-L5. • Hernie discale lombaire, traitement conservateur. • Hernie discale lombaire. > trouble anxio-dépressif. • Hernie discale L3-L4 droite avec radiculopathie droite le 04.01.2019. • Hernie discale L4-L5 avec compression de la racine L5 à gauche, traitée conservativement. • Hernie discale L4-L5. > diagnostiquée à Morges en 2011. • Hernie discale L4-L5 en 1985. • Hernie discale L4-L5 en 1993 et 1994, herniectomie en 2006 > Méniscectomie genou droit en 2006 > Méniscectomie interne genou gauche en 2011 et 2012 > Ostéotomie valgisante genou gauche en mars 2013. > AMO en 2014 > PTH gauche en novembre 2012. > PTH droit en août 2013 • Hernie discale L4-L5 gauche avec statut post-infiltration en avril 2011. • Hernie discale L4-L5 sous-ligamentaire médio-latérale sans neuro-compression et sévère spondylarthrose hypertrophique > discrète spondylarthrose activée en L2/3 et L3/4. > fracture-tassement L1 le 29.04.2015 avec : - cyphoplastie L1 avec système SpineJack et ciment cohésion 7cc le 04.05.2015 - infiltrations (Kenacort) péri-radiculaire de la racine L5 le 24.02 et 04.03.2015 > fracture-tassement L2 pathologique instable (A 3.2) le 08.03.2015 sur myélome multiple avec cyphoplastie L2 bipédiculaire avec système SpineJack medium et ciment Cohésion 4.5 cc, 16.03.2015 > pseudo-spondylo-antériolisthésis en L5/S1 et très sévère spondylarthrose hypertrophiée avec : - sténose foraminale bilatérale avec suspicion d'une irritation des racines L5 foraminales. > probable sinusite frontale 04/2016 > pancytopénie secondaire au Lenalidomide (04/2016) > état fébrile sur sinusite maxillaire droite aiguë 16.12.2016 - hémocultures le 16.12.2016 : en cours lors de la sortie, positives par la suite avec un Streptococcus pneumoniae multisensible. • Hernie discale L4-L5 traitée conservativement. > maladie dermatologique chronique sans précision. > douleurs thoraciques atypiques d'étiologie probablement musculo-squelettique. > douleurs abdominales d'origine indéterminée. > DD : - passage de lithiase. • Hernie discale L4-L5 1994 > méniscectomie droite 2006 > méniscectomie interne gauche en 2011 > méniscectomie interne gauche en 2012 > PTH gauche en novembre 2012. > PTH droite en août 2013 > ostéotomie valgisante hanche gauche en mars 2013. • Hernie discale L4-L5. 2 opérations. > mélanome traité chirurgicalement. • Hernie discale L4-L5/L5-S1, suivi par Dr. X. > migraines avec aura typique. • Hernie discale L5-S1 à droite. • Trémor essentiel. • Insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs stade C5 avec artériopathie périphérique > ulcère veineux (janvier 2018 et décembre 2017) > thrombose de la veine poplitée gauche en 2012 > thrombose occlusive des veines iliaque, fémorale et poplitée gauche en 2011. • SAOS non appareillé. • consommation chronique d'alcool avec état anxio-dépressif. • Hernie discale L5-S1 non opérée, diagnostiquée en janvier 2014. > hypercholestérolémie traitée. • Hernie discale. > syndrome des jambes sans repos. • Hernie épigastrique opérée en juin 2017. • Hernie hiatale. • Hernie hiatale par glissement connue avec : > échec de pose de SNG à l'étage (boucle dans l'œsophage). • Hernie hiatale par roulement. • Hernie hiatale sous IPP. > obésité. > insuffisance veineuse. > tabagisme stoppé en 1982 (10 UPA). • Hernie hiatale sous IPP. > tabagisme actif à environ 30 UPA. > porteuse d'un stérilet hormonal. > notion de chutes accidentelles occasionnelles dont la dernière en mars 2017. • Hernie hiatale (sous Nexium 2x/jour). > hernie discale opérée en mars et septembre 2017 : - spondylodèse L2-L3 (?), Dr. X, mai 2018. > crise d'angoisse. • Hernie hiatale traitée. > hernies inguinales bilatérales connues depuis des années. > status vaccinal antitétanique anamnestiquement en ordre. • Hernie hiatale. > hémorroïdes internes stade I > migraines > tachycardie supra-ventriculaire sous bilol.Antécédent de cupulolithiase Hernie hiatale Hypertension artérielle Hernie hiatale Hypertension artérielle Douleurs épigastriques dans le cadre de la progression tumorale avec nécrose périoesophagienne • CT abdominal 29.12.2018: Stase stercorale du côlon droit avec infiltration de la graisse péri-colique et de la racine du grand épiploon sans autre argument en faveur d'une colite. Au niveau oncologique, sur les quelques coupes thoraciques, majoration des épaississements nodulaires pleuraux et de nodules pulmonaires et apparition d'une pneumatisation de la lésion médiastinale évoquant une nécrose et une fistulisation avec l'œsophage. • CT Thorax: 01.01.19: En comparaison à l'examen d'octobre 2018, apparition d'une pneumatisation de la lésion médiastinale postérieure devant correspondre à une nécrose et une fistulisation avec l'œsophage qui est vraisemblablement envahie. Pas de fuite de contraste p.os. Progression en taille des nodules pleuraux < à 20%, parlant pour une stabilité de la maladie oncologique. • OD le 4.1.19 intubation de l'œsophage proximal possible, avec masse sténosante impassible et pose de stent le 7.1.19, contrôle radiologique, pas de perforation visualisée • Start Pregabaline pour suspicion d'une composante neurogène le 22.01.2019; adaptation ultérieure de la dose avec éventuel relais à un autre traitement en ambulatoire comme décrit ci-dessous. Dénutrition protéino-energétique sévère NRS 5 • Consultation nutrition: • SNG jusqu'à 07.01.2019 • Adaptation de la nutrition • Pose de stent œsophagien le 07.01.2019 Obstruction du stent œsophagien le 14.1.19 puis de nouveau le 17.01.2019 DD sur KCl dragée et consommation de viande/poisson non mixé, Gastroscopie le 15.01.19 puis le 17.01.19, Régime : tout mixé (avec rinçage liquide après chaque bouchée) Hernie hiatale. Migraine. Hernie hiatale. Stéatose hépatique diffuse. Hernie hiatale Troubles anxieux sous Lexotanil Asthme sous Ventolin Hernie inguinale bilatérale. Hernie inguinale bilatérale : • à droite, hernie en pantalon, directe et indirecte • à gauche, hernie directe. Hernie inguinale bilatérale asymptomatique Hernie inguinale bilatérale opérée en 2000. Hernie inguinale D opérée. Hernie discale opérée en 2011. Colique néphrétique. Hernie inguinale des deux côtés. Hernie inguinale droite directe Hernie inguinale droite en 2005 Appendicectomie à l'âge de 25 ans Hernie inguinale droite en 2005 Appendicectomie à l'âge de 25 ans Oedème généralisé sur cardioplégie septique (hosp du 21.12.18 au 08.01.19) Dermite irritative du siège sur diarrhée aiguë (hosp du 21.12.18 au 08.01.19) Vertige bénin positionnel paroxystique le 18/10/18 Hernie inguinale droite opérée. Hernie discale opérée en 2011. Hernie inguinale droite récidivante le 30.12.2018. Hernie inguinale droite réductible Hernie inguinale droite réductible le 28.12.2018 • pas de signe d'incarcération Hernie inguinale en 2011 opérée. Amygdalectomie dans l'enfance. Otite moyenne aiguë. Hernie inguinale gauche de type indirect. Hernie inguinale gauche non incarcérée Hernie inguinale gauche symptomatique. Hernie inguinale indirecte bilatérale, de type inguino-scrotale à gauche. Hernie inguinale indirecte droite, asymptomatique • à contenu graisseux (CT abdo du 15.01.2019) Hernie inguino-scrotale gauche oligo-symptomatique Hernie interne le 24.01.2019 • status post-bypass gastrique par laparoscopie en 2013 Hernie latérale externe gauche L3-L4 et droite L4-L5 Spondylolisthésis L4-L5 Cure d'hernie inguinale directe droite et cure d'hernie ombilicale en 2006 Insuffisance rénale aiguë sur insuffisance rénale chronique, avec créatinine à 511µmol/l d'origine obstructive avec calcul de 12mm x 9mm intra-urétéral proximal à 5-6cm de la jonction Infection urinaire compliquée en janvier 2019 Hernie latérale externe gauche L3-L4 et droite L4-L5 Spondylolisthésis L4-L5 Cure d'hernie inguinale directe droite et cure de hernie ombilicale en 2006 Insuffisance rénale aiguë sur insuffisance rénale chronique, avec créatinine à 511µmol/l d'origine obstructive avec calcul de 12mm x 9mm intra-urétéral proximal à 5-6 cm de la jonction Lithiase urétérale gauche 12mm x 9mm à proximité de la jonction vésico-urétérale : • le 28.11.2018, Dr. X : laparotomie médiane pré-péritonéale, pose d'une sonde double J gauche et excision de la lithiase vésicale Hernie lombaire avec lombosciatalgies droites Infarctus du myocarde en 2001 Hystérectomie Fracture côte droite le 25.01.2018 Hernie ombilicale Hernie ombilicale. Hernie ombilicale. Hernie ombilicale. Hernie ombilicale. Cure de hernie ombilicale avec filet. Hernie ombilicale graisseuse non-incarcérée sur un lipome pré-péritonéal Hernie ombilicale non incarcérée le 12.12.2018. Hernie ombilicale réductible Hernie ombilicale symptomatique de 2.5 cm de diamètre et hernie supra-ombilicale de 1 cm Hernie para-oesophagienne avec douleurs abdominales chroniques: • Adhésiolyse et fundoplicature selon Nissen par laparotomie avec repositionnement de l'estomac, résection de 10 cm de grêle avec anastomose directe le 02.12.2014. Iléus jéjunal sur brides. Sténose anastomotique cicatricielle. Status post-résection segmentaire du grêle en octobre 2002. Status post-sigmoïdectomie post diverticulite en janvier 2002. Status post-cure de hernie inguinale gauche incarcérée en octobre 2002. Status post-cholécystectomie, appendicectomie et hystérectomie. Hernie discale L4-L5. Migraines accompagnées avec troubles de l'élocution transitoires le 20.07.2016. Hernie para-stomiale du grêle avec iléus mécanique le 24.12.2018 Herniectomie de L3-L4 à droite le 04.01.2019 Contrôle clinique à 6 semaines à la consultation du Team rachis Herniectomie extra-foraminale L3-L4 G par abord de Wiltse et décompression de la racine L3 (OP le 27.12.2018) Herniectomie L3-L4 D et foraminotomie L4 D. (OP le 04.01.2019) Hernies cervicales C5-C6, C6-C7, C7-D1 G, symptomatiques. Hernies cicatricielles multiples de la ligne blanche Hernies inguinale droite. Fracture tibiale gauche en 2010. Hernies inguinales bilatérales Hernies inguinales bilatérales asymptomatiques HTA Dyslipidémie Hypovitaminose D BBD à l'ECG Genu varus bilatéral important Oedème MID intermittent avec syndrome post-thrombotique veine fémorale superficielle D et thrombose subaiguë veines tibiale post. et péronière D en 2002 Insuffisance rénale chronique (KDIGO stade 3a) Hypoacousie Hernies de Amyand bilatérales, sans signe de souffrance, de découverte fortuite au CT 26.06.2018 Constipation chronique Hernies, latérale externe gauche L3-L4 et droite L4-L5. Spondylolisthésis L4-L5. Cure de hernie inguinale directe droite et cure de hernie ombilicale en 2006. Herpangine Herpangine Plaie pariétale du cuir chevelu de 8 mm le 21.04.2017 Traumatisme crânien simple sans perte de connaissance ni amnésie circonstentielle Herpès génital : 3 poussées au cours de la grossesse (absence de lésions le 11.05.2018). Herpès génital traité par Valaciclovir. Herpès labial Herpès simplex au niveau des méats nasaux des deux côtés le 30.01.2019. DD : impétigo. Herpès simplex au niveau du nez Herpès vaginal intermittent. Probable réaction allergique de contact avec : tuméfaction et érythème prurigineux au niveau des doigts II-III- et IV de la main droite. Herpès Zoster multifocal le 19.01.2019 DD primo-infection de varicelle • 20.01.2019 : frottis positif pour VZV à la PCR Mr. Y a été électivement référé après une décondition physique globale et une perturbation de la marche après une fracture de l'olécrâne droite. Le patient est connu pour une sévère arthrose du coude et un statut après un AVC hémorragique suite à un anévrisme fongique en 2016. L'anamnèse n'était pas concluante. Le patient a nié ses comorbidités et a déclaré ne prendre des médicaments que pour ses troubles du sommeil. Il a rapporté qu'il avait fumé environ 30 paquets par an et consommait régulièrement de l'alcool. Le patient vit avec sa femme au premier étage et doit monter 18 marches. Il est dépendant de l'assistance de sa femme pour ses activités quotidiennes et avant la fracture, il utilisait un déambulateur. Cliniquement, le patient s'est présenté orienté dans le temps, la personne et l'espace, en bon état général, afébrile. Il y avait une restriction de l'extension et de la rotation du bras droit, avec une mobilisation réduite de l'articulation huméro-radiale-ulnaire, un tremblement essentiel des membres inférieurs et une hémiparésie de la moitié droite du corps (préexistante) et des chaussures correctrices en raison d'une différence de longueur des membres inférieurs de 2-3 cm. Ad principale diagnostic Le contrôle radiologique du coude a montré une évolution stable et la mobilisation selon les plaintes a pu être poursuivie. À l'entrée, le patient pouvait effectuer les transferts avec une aide modérée et parcourir une distance de 30 mètres avec le déambulateur. La montée des escaliers ne pouvait pas être testée, Tinetti 8/28 au déambulateur. Après trois semaines d'unités de thérapie complexe, le patient a pu réaliser les transferts avec moins d'assistance, parcourir 100 mètres avec le déambulateur avec des pauses. Les escaliers ne sont pas encore possibles, Tinetti 10/28 au déambulateur. Ad diagnostic associé 1) Le magnésium a été supplémenté par voie orale. Le torasémide a été arrêté et la dose d'amlodipine ajustée. Ad diagnostic associé 2) Réduction progressive de Madopar avec l'objectif d'arrêter bientôt. Neurologiquement, il n'y avait pas de défaillance lors de la réduction de la dose. Ad diagnostic associé 3) Aucune mesure thérapeutique n'a été prise. Ad diagnostic associé 4) La thérapie CPAP a été poursuivie. Ad diagnostic associé 5) Le patient a reçu des inhalations quotidiennes d'Atrovent. En raison de ces limitations fonctionnelles persistantes, le patient a été transféré le 23.11.2018 pour une rééducation supplémentaire dans notre clinique de réhabilitation musculosquelettique. Hernies inguinale droite Hernies inguinales bilatérales asymptomatiques. HTA Dyslipidémie Hypovitaminose D BBD à l'ECG Genu varus bilatéral important Mr. Y s'est blessé à l'œil gauche en se frottant avec un mouchoir. Pas de trouble de la vision, se plaint de brûlures et une rougeur est présente. Hier, visite chez le pédiatre : amélioration de la symptomatologie. Pas de douleur thoracique. Frottis nasal négatif -> arrêt du clarithro 7,5 mg/kg 2x/j, (début clarithro le 16.01, arrêt le 18). Ordre de continuer amoxicilline 14 ml 2x/j (début le 17.01). Rash sur amoxicilline : sirop contre le prurit prescrit par pédiatre. Apyrétique depuis la visite le 17.01. Réapparition de la douleur thoracique droite basse irradiant dans le dos principalement lors de la toux. Algifor. 18.01 Mr. Y. Frottis M. pneumonae négatif le 18.01. Appel à son père pour stopper l'antibiothérapie, mis entre-temps sous amoxicilline par le pédiatre. Arrêt de la clarithromycine, va mieux, pas de fièvre, pas de douleurs. État : Poids kg, Température °C, Fréquence respiratoire /min, Saturation %, Fréquence cardiaque /min, Tension artérielle mmHg, Bon état général, muqueuse normocolorée, bonne hydratation, TRC < 3 sec. ORL : fond de gorge sain, tympans sains bilatéralement, rhinorrhée. Ophtalmologique: globes oculaires normaux. Cardiovasculaire : b1b2 bien frappés, pas de souffle audible, pouls palpés symétriques aux 4 membres.Respiratoire : Eupnéique, murmure vésiculaire symétrique, bonne entrée d'air, léger crépitant base gauche, pas de signe de détresse respiratoire, diminution des bruits en base droite, murmure vésiculaire diminué en base droite Digestif : bruits normaux en tonalité et en fréquence, abdomen souple, dépressible et indolore, pas de masse palpée, pas d'hépatosplénomégalie. Neurologique : pupilles iso-cores iso-réactives, pas d'asymétrie faciale, ROT normaux bilatéralement et symétriques, Babinski normal bilatéralement, examen des paires craniennes normal, sensibilité et motricité normales (MS et MI). Barré et Mingazzini tenus, manœuvres cérébelleuses sans particularité. Cutané : pas de rash, d'érythème ou de pétéchie. Pas d'hématomes Aires ganglionnaires : libres • High Flow du 25.05.18 au 27.05.2018 • Monitoring cardiorespiratoire continu du 25.05.18 au 29.05.2018 • Gazométrie • FSC • CRP • RX thorax • Tension artérielle aux 4 membres • Saturation pré-ductale et post-ductale 100% • Test hyperoxique • Annonce AI avec code 497 Hiperbilirubinémie Histologie de résection de polype duodénal Histopathologie : Métastase ganglionnaire d'un adénocarcinome peu différencié de type colorectal dans la biopsie per-opératoire CEA le 03.01.2019 : 21.4 ng/ml PET-CT le 08.01.2019 Colonoscopie le 08.01.2019 HIV+, actuel. sans charge virale détectable (dernier contrôle CHUV 12.2018) Burn-out. Hypercholestérolémie. Sinusite chronique. HIV dépistage : négatif le 25.01. Contrôle FSC le 28.01. +/- typisation lymphocytaire HIV depuis 2005 suivi par Dr. X (Triumeq 50/600/300 mg 1x/j) HIV positif • ARN HIV-1 détecté inférieur à 20 cop/ml en 11/2018 • primodiagnostic au début des années 90 HIV positif (suivi par Dr. X), CD4 164/mm3 le 18.10.2012 Cardiopathie ischémique avec infarctus antérieur en 2002, thrombolysé puis dilaté et stenté sur IVA proximale, et dilatation de la 1ère diagonale de l'IVA HIV positive en cours de traitement depuis environ 1987 (Dr. X, infectiologue) HIV sous trithérapie. HIV stade CDC C3, diagnostiqué en 1985 avec : • CD4+ entre 300-500x106/l, virémie indétectable en 2017 • s/p Tbc en 2000 (Ab-thérapie durant 9 mois), récidive en 2004 (Ab-thérapie durant 15 mois) • s/p Pneumonie à Pneumocystis jiroveci (carinii) en 2000 • s/p candidose oesophagienne en 2000 • trithérapie par Emtriva, Reyataz, Edurant • Actuellement : virémie indétectable et CD4 439 /ul le 11.11.2019 • suivi par Dr. X Hyperbilirubinémie (depuis trithérapie selon le patient) BPCO avec probable hypertension artérielle pulmonaire Discrète gynécomastie droite • US du sein droit en décembre 2016 Formation kystique sous-cutanée du flanc droit • US en novembre 2017 : kyste épidermoïde ou nodule kystique aspécifique de 17x20x7mm Insuffisance rénale chronique d'origine multifactorielle mixte sur réduction néphronique, néphrangiosclérose hypertensive et stase urinaire urétéro-pyélocalicielle sur sténose incomplète de la jonction pyélocalicielle gauche, clearance actuelle de janvier 2018 (53 ml/min) Status post néphrectomie droite pour carcinome rénal en 1998 Status post pyéloplastie gauche pour sténose pyélo-urétrale gauche en 2000 • HTA avec rétinopathie hypertensive stade I • ClCr 42 ml/min/1.73m2 selon MDRD en avril 2016 (créatinine 155 mcmol/l) • Scintigraphie rénale 06/16 : stase urinaire urétéro-pyélocalicielle sur sténose incomplète de la jonction pyélocalicielle gauche • Aggravée par Tenofovir HIV traité (suivi par Dr. X) Cardiopathie ischémique avec infarctus antérieur en 2002, thrombolysé puis dilaté et stenté sur IVA proximale, et dilatation de la 1ère diagonale de l'IVA Insuffisance rénale chronique Holter Holter de 24h à pister Holter de 48 heures. Holter de 72h à organiser en ambulatoire (proposé lors de la précédente hospitalisation), si pas déjà organisé. Suivi ORL, prochain RDV le 18.01.19 Holter en ambulatoire et suite des investigations cardiologiques chez le médecin traitant. Holter le 08.01.2019 : Un rythme de base sinusal avec une fréquence cardiaque moyenne de 67 bpm, maximale 129 bpm, minimale 42 bpm. Plusieurs passages en rythme auriculaire ectopique. La présence d'une extrasystolie ventriculaire complexe d'incidence modérée (1.2% : doublets, salves de 3 et 4 complexes, bigéminisme, trigéminisme, 3 épisodes de TV, le plus rapide de 8 complexes à une FC moyenne de 139 bpm, le plus long de 15 complexes à une FC de 111 bpm). La présence d'une extrasystolie supraventriculaire complexe d'incidence modérée (3.4% : doublets, salves de 3 et 4 complexes, bigéminisme, trigéminisme, 2 épisodes de TSV : le plus rapide de 7 complexes à une FC moyenne de 120 bpm, le plus long de 13 complexes à une FC moyenne de 111 bpm). Un RR Max à 1890 ms. Pas de sus ni sous-décalage du segment ST significatif. Les enregistrements volontaires correspondent aux trigéminismes ventriculaires. CT cérébral "Time is Brain" le 12.01.2019 : Multiples AVC subaigus connus mais sans nouvelle lésion ischémique clairement visible sous réserve de leur petite taille en raison de leur nature embolique sur l'examen précédent et nécessitant donc la réalisation d'une IRM pour formellement en exclure la présence. IRM cérébrale le 15.01.2019 : Deux lésions ischémiques nouvelles du cortex pariétal et frontal en pré- et post-central gauche, punctiformes. D'autres lésions ischémiques subaiguës avec transformation hémorragique du cortex pariétal droit. Leucopathie microvasculaire stade III de la classification Fazekas et Schmidt. Perméabilité vasculaire. Gastroscopie le 22.01.2019 : Prélèvement de biopsies, résultats à pister. Holter le 08.01.2019 ETT déjà réalisée lors de la dernière hospitalisation (01/2019) Poursuite de Lisinopril et Metoprolol Coronarographie prévue de manière élective le 13.02.2019 Holter le 21.12.2018 Score CHADS2-VASc supérieur ou égal à 5 et un HASBLED à 3 Débuter anticoagulation par Xarelto en ambulatoire Holter Urotube Hoquet intermittent Hoquet persistant Hospitalisation à la Clinique Cécil du 12.07.2016 au 28.10.2016 : • état confusionnel aigu sur délirium tremens le 13.07.2016 nécessitant une nouvelle intubation le 14.07.2016 • thrombopénie post-opératoire précoce le 14.07.2016 sur consommation (anti-PF4 négatifs) • thrombopénie probablement médicamenteuse (Meronem) avec nadir à 36 G/l le 07.10.2016 • rhabdomyolyse post-opératoire avec pic des CK à 4409 UI/l probablement post-délirium tremens le 16.07.2016 • exanthème maculaire progressivement confluant d'origine toxico-médicamenteuse le 17.08.2016 • iléus sur bride le 10.08.2016 avec : > laparotomie exploratrice avec pose de VAC le 10.08.2016 > laparotomie exploratrice avec résection grêle et pose de VAC le 12.08.2016 > laparotomie exploratrice avec fermeture de laparostome le 15.08.2016 • colite à CMV le 18.08.2016 • perforation grêle, sténoses grêles distales et coliques proximales serrées, suspicion de maladie de Crohn le 03.10.2016 avec : > laparotomie exploratrice pour adhésiolyse, résection iléo-caecale, iléostomie selon Brooks, colostomie de type fistule muqueuse le 03.10.2016 > résection segmentaire de 40 cm du grêle pour une sténose résiduelle avec anastomose termino-terminale et fermeture du laparostome le 05.10.2016 > pathologie : lésions évoquant une maladie de Crohn • insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique le 15.08.2016 • SDRA sur pneumonie à CMV le 16.08.2016 • SDRA sur pneumonie nosocomiale bilatérale à germes indéterminés le 06.10.2016 • bactériémie à Entérocoque faecalis le 02.09.2016 • bactériémie à Klebsiella pneumoniae le 07.10.2016 • bactériémie à Staphylocoque epidermidis sur VVC le 10.10.2016 • décompensation cardiaque gauche (FEVG 40%) avec hypokinésie septo-apicale • probable syndrome de dépendance aux opiacés (Fentanyl sublingual). • malnutrition protéino-calorique sévère avec perte pondérale d'environ 10% du poids corporel. Décompensation cardiaque gauche (FEVG 40%) avec hypokinésie septo-apicale. • ETT le 10.10.2016 (Clinique de Cécil) : hypokinésie septo-apicale à priori nouvelle. Pancréatite aiguë (Balthazar A) le 17.02.2016 Douleurs abdominales et syndrome inflammatoire sur probable colite inflammatoire le 17.02.2016 Lombo-sciatalgies non déficitaires Perturbation des tests hépatiques à prédominance de choléstase le 31.10.2016 Appendicectomie (sans précision) Pneumonie basale droite Pneumonie lobaire inférieure gauche en novembre 2013 Pneumothorax gauche post-traumatique Cure de hernie discale lombaire (sans précision) Traitement chirurgical d'une fracture de la jambe gauche (sans précision) Hospitalisation à l'hôpital de l'île. Hospitalisation à l'Inselspital avec potentielle exposition à Entérocoque vancomycine-résistant Hospitalisation à l'unité stroke monitorée du 14.01 au 16.01.2019 CT-scan cérébral le 14.01.2019 IRM neurocrâne le 16.01.2019 Echocardiographie transthoracique le 15.01.2019 Electroencéphalogramme demande en cours Clopidogrel dès le 14.01.2018 Aspirine dès le 14.01.2019 Hospitalisation à Marsens. Hospitalisation à Marsens d'une année en 2012 dans le contexte de construction de projet social. Demande d'hospitalisation à Marsens en mode volontaire chez patient anamnestiquement schizophrène et sans domicile fixe le 11.02.2016. État d'agitation psychomotrice avec hétéro-agressivité non dirigée. Avis psychiatrique : hospitalisation sous PAFA. Quétiapine 2x25 mg aux urgences. Hétéro-agressivité chez un patient connu pour une schizophrénie le 04.12.2018 avec : • adressé par la justice de paix pour qu'il puisse avoir une évaluation psychiatrique avis psychiatrique (Dr. X) : transfert à Marsens à l'unité Hermès sous PAFA. Hospitalisation à Marsens dans le département d'Atlas. Hospitalisation à Marsens pour sevrage volontaire le 26.10.2018 Etat confusionnel aigu dans le cadre de syndrome de sevrage à l'alcool avec délirium tremens le 31.08.2018 Hépatite aiguë d'origine alcoolique le 05.08.2018, le 24.08.2017 Séjour à Marsens le 27.02.2018 en privation de liberté pour sevrage alcoolique (sur avis de Dr. X) Thrombose du tronc porte et de la veine porte droite le 13.02.2018 • Arixtra thérapeutique dès le 13.02.2018, Relai par Eliquis 2 x 5 mg dès le 24.02.2018 (anticoagulation totale min. 6 mois) • US abdominal de contrôle 08.05.2018 : Tronc porte perméable, sans mise en évidence de thrombose. Hépatosplénomégalie. Dysmorphie hépatique en lien avec la cirrhose connue. Disparition de l'ascite. Encéphalopathie hépatique le 12.02.2018 avec : • facteurs précipitants : thrombose de veine porte, sevrage éthylique, possible péritonite bactérienne spontanée • cirrhose hépatique d'origine alcoolique CHILD-PUGH B (score de Maddrey calculé à 67) le 12.02.2018 • séjour aux soins intensifs du 12.02 au 14.02.2018 Hépatite alcoolique le 22.12.2017 avec hallucinations paranoïdes nouvelles dans le cadre d'encéphalopathie hépatique Hémorragie digestive haute sur rupture de varices oesophagiennes le 02.03.2017 dans contexte de cirrhose Child B traitée par 6 ligatures Varices oesophagiennes stade III, varices gastriques type G0V1. Légère gastropathie portale (OGD du 03.11.2016) Décompensation ascitique initiale sur cirrhose Child C d'origine éthylique le 11.08.2015 Boursite olécranienne gauche traumatique le 31.08.2018 Cholécystite alithiasique le 28.11.2016 Hospitalisation à Marsens sans PLAFA à l'unité Jasmin. Départ en ambulance. Hospitalisation à organiser Hospitalisation Antalgie Physiothérapie Ergothérapie Avis orthopédique demandé à la Dr. X : suspicion de fracture de la base de la prothèse, faire CT CT hanche le 28.12.2018 : pas de fracture Traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 02.01.2019 au 09.01.2019 avec : • Physiothérapie • Ergothérapie • Nutrition • Tests de la cognition du 08.01.2019 : MMSE à 22/30, test de la montre refusé par le patient) ; GDS à 3/15 Hospitalisation au SIC, discussion au colloque de chirurgie pour une probable prise en charge chirurgicale. Hospitalisation au vu de l'âge <6 semaines et du risque d'apnées Monitoring cardiorespiratoire, oxygène la nuit de 20. au 21.01 Hospitalisation aux SI du 20.11 au 13.12.2018 CT cérébral le 20.11, le 23.11 et le 29.11.2018 IRM cérébrale le 20.11.2018 EEG le 21.11.2018 et le 10.12.2018 Ponction lombaire le 20.11.2018 : PCR HSV type 1 avec 21'000 c/ml Ceftriaxone le 20.11.2018 Aciclovir intraveineux du 20.11 au 11.12.2018 Levetiracetam du 20.11.2018 au 22.11.2018 (stop pour suspicion de thrombopénie médicamenteuse) Lacosamide dès le 23.11.2018 (pour une durée d'au moins trois mois) Taux de Lacosamide 18.12.2018 7.1 ug/ml (norme 1.0-10.0 ug/ml) Acide valproïque dès le 21.12.2018 Taux d'acide valproïque 21.12.2018 37mg/l Neuroréhabilitation intensive à Meyriez dès le 03.01.2019 Hospitalisation aux soins intensifs Hospitalisation du 06 au 16.01.2012, puis du 10.03 au 19.06.2012 pour troubles anxieux avec troubles du comportement alimentaire, crises d'angoisse et scarifications des avant-bras. Incontinence pour manque d'entraînement. TCC vers l'âge de 1 an. Gastrite DD : douleurs abdominales sur constipation. Entorse tibio-talaire gauche le 05.09.2018. Hospitalisation du 08.09.2018 au 17.09.2018. Le 13.09.2018, réduction sanglante et ostéosynthèse par plaque et vis pour malléole externe et une vis et une broche pour la fracture de la malléole interne. Immobilisation par Vacoped pour 6 semaines. Hospitalisation du 31.07. au 08.08.2011 pour colite à C. difficile. Traitement par Flagyl 250 mg 3x/j. Pneumonie bibasale à Achromobacter xylosoxidans (R à ciprofloxacine, I à Tazobac et Imipénème) et S. aureus. T 06.2011 Gastro-entérite virale 05.2015 Achromobacter xylosoxidans et E. coli dans sécrétions maxillaires traitées par Ceftriaxone puis Bactrim 09.2015. Suspicion de lésion du LLI de l'articulation du métacarpophalangienne du pouce droit le 29.09.14. Gastrostomie en 2004 et pose de PEG en 02.2013. Fundoplicature par laparoscopie le 28.10.2013 (reflux). Fermeture trachéostome en juin 2013. Insuffisance rénale aiguë hémodialysée en post-greffe (2013). Urosepsis le 03.05.2017 (E. coli). Cervicite à Chlamydia le 03.05.2016. Otite moyenne aiguë dans le contexte d'un traitement immunosuppresseur après greffe pulmonaire pour mucoviscidose. Hospitalisation élective Hospitalisation élective de ce patient âgé de 23 ans, qui a subi une fracture du scaphoïde droit en 2014 sur laquelle il a développé une pseudarthrose. L'intervention se déroule le 10.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Le patient reste apyrétique. Il présente cependant une hyposensibilité sur le territoire du nerf médian avec un test de discrimination à 2 points négatif. Les plaies opératoires évoluent favorablement et le pansement au niveau de la crête iliaque reste étanche. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. Le patient bénéficie durant le séjour de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j. Retour à domicile le 12.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient âgé de 27 ans, qui a subi une déchirure complète du LCA et du LLI en avril 2017. L'évolution initiale était favorable, cependant le patient présente encore une laxité antérieure. Au vu des lésions au niveau du genou D et l'opération effectuée sur le LLI en 2017, une plastie du LCA est indiquée afin de permettre au patient de retrouver une meilleure stabilité de son genou D.L'intervention se déroule le 11.12.2018, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Le patient reste apyrétique. Les plaies chirurgicales évoluent favorablement. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. Le patient bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j durant le séjour qui sera à poursuivre pour 2 semaines. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Le patient présente le jour de son départ, une hypoesthésie de la face antérieure du genou D s'étendant de la cuisse distale à la jambe proximale ne respectant pas de territoire nerveux et ne le gênant pas. Nous lui proposons d'observer l'évolution. Retour à domicile le 13.12.2018. Hospitalisation élective de ce patient âgé de 45 ans, qui présente un mal perforant du 1er rayon sur le moignon du pied G. Pour rappel, le patient a présenté un épisode de surinfection et une dermohypodermite en août 2018, qui a été traité par des antibiotiques. L'IRM native du pied G le 20.08.2018 n'a pas montré de collection ni de signe d'ostéomyélite. Le bilan angiologique a montré une perfusion suffisante. Malgré le suivi en diabétologie avec changements réguliers du pansement PICO, l'évolution est stagnante. Une indication de prise en charge chirurgicale pour débridement, prise de prélèvements et rinçage est posée. L'intervention se déroule le 23.11.2018, sans complications. Les suites postopératoires sont simples dans un premier plan. Nous débutons une antibiothérapie par co-amoxicilline 1,2 g 3x/j i.v. du 23.11.2018 au 26.11.2018. Les prélèvements reviennent positifs pour Staph. aureus, que nous décidons de traiter par antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 2x/j per os sur avis de nos collègues infectiologues et ce pour une durée totale de 5 jours. L'évolution est initialement favorable, mais à la reprise de la marche, le patient présente un écoulement de sa cicatrice nécessitant la remise au lit strict avec surélévation du pied G. Pour rappel, un bilan angiologique réalisé en août n'avait pas montré d'insuffisance artérielle. De plus, le diabète du patient est bien contrôlé. L'évolution de la plaie stagne sous soins topiques nécessitant la mise en place d'un pansement aspiratif PICO. Le patient reste apyrétique et ne présente pas d'inflammation locale. Il bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par de l'Héparine 5000U 2x/j durant le séjour. Réadaptation de la botte de marche diabétique par nos plâtriers. Les changements de pansement seront réalisés par les soins à domicile. Retour à domicile le 21.12.2018. Hospitalisation élective de ce patient âgé de 46 ans, qui a fait une chute à vélo avec réception sur l'épaule G en 2016. Au vu de l'échec du traitement conservateur avec douleurs persistantes, nous avions organisé une IRM qui a mis en évidence une rupture complète des ligaments coraco-claviculaires motivant une prise en charge chirurgicale. L'intervention se déroule le 17.12.2018, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Le patient reste apyrétique et ne présente pas de trouble neuro-vasculaire. La plaie opératoire évolue favorablement et le pansement reste étanche. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. Le patient bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j durant le séjour. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 18.12.2018. Hospitalisation élective de ce patient âgé de 54 ans, qui présente une coxarthrose symptomatique à G nécessitant la prise en charge chirurgicale pour une implantation PTH. L'intervention se déroule le 09.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par une insuffisance rénale aiguë (pré-rénale) le 10.01.2019 nécessitant une hydratation par Ringer 1 g 1x/j durant le séjour et d'un suivi biologique. Le patient présente également une hypokaliémie légère à 3,2 mmol/l le 09.01.2019 que nous décidons de substituer per os et une anémie postopératoire avec Hb à 80 g/l le 11.01.2019 nécessitant un suivi biologique. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. La plaie opératoire évolue favorablement, elle est calme et sèche durant le séjour. Le patient bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j durant le séjour, qui sera à poursuivre pour les 6 prochaines semaines. La rééducation est débutée en physiothérapie durant le séjour. Les douleurs sont bien gérées par une antalgie de base. Au vu d'une bonne évolution, le patient est autorisé à retourner à son domicile le 15.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient âgé de 55 ans, qui a subi un AVP à faible cinétique le 20.01.2017. Au vu de l'échec du traitement conservateur et suite à l'IRM réalisée le 17.10.2018 montrant une rupture complète du tendon sus-épineux avec rétraction, rupture partielle du tendon du sous-épineux et une subluxation du long chef du biceps, une indication de prise en charge chirurgicale est posée. L'intervention se déroule le 17.12.2018. Les suites postopératoires sont marquées par une parésie diaphragmatique à D sur bloc inter-scalénique, sans perturbation de la saturation. Cette situation se résout à la levée du bloc et le patient bénéficie de physiothérapie respiratoire. Sur le plan orthopédique, les suites postopératoires sont simples. Les cicatrices chirurgicales évoluent favorablement et le pansement reste étanche. Le patient ne présente pas de trouble neuro-vasculaire. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. Le patient bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j durant le séjour. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 19.12.2018. Hospitalisation élective de ce patient âgé de 56 ans, connu pour de multiples prises en charge chirurgicales pour des lombosciatalgies chroniques, syndrome métabolique ainsi que maladie ischémique tritronculaire. Le patient présente une lombosciatalgie à D sur radiculopathie L4 D dans le contexte d'une hernie discale L3-L4 D, conflictuelle avec la racine L4 D. L'intervention se déroule le 04.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par une hypokaliémie à 2,5 mmol/l le 05.01.2019, que nous décidons de substituer oralement. Il présente également un état fébrile d'origine indéterminée. L'examen microbiologique est négatif. Mais au vu des comorbidités du patient et du SAOS non-appareillé, le patient est admis en postopératoire aux soins intensifs pour surveillance. Il reste apyrétique et ne présente pas de trouble neuro-vasculaire. Par la suite, le patient rapporte une nette diminution des douleurs au niveau des deux membres inférieurs. La plaie opératoire évolue favorablement. Force à M5 au niveau des deux membres inférieurs avec une hypoesthésie plus marquée sur le dermatome L3 G qu'à D, déjà préexistant avant l'intervention, qui selon le patient est en amélioration. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie avec une mobilisation autonome à la sortie. Retour à domicile le 08.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient âgé de 60 ans, qui présente une rupture du sous-scapulaire à D avec luxation du LCB suite à une chute datant du 18.11.2018. Au vu de l'échec du traitement conservateur et des résultats de l'IRM de l'épaule D réalisée le 07.12.2018, une indication de prise en charge chirurgicale pour une arthroscopie de l'épaule D est nécessaire. L'intervention se déroule le 20.12.2018, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Le patient ne présente pas de trouble neuro-vasculaire.La plaie opératoire évolue favorablement. Le patient bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j durant le séjour. La mobilisation se fait sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 22.12.2018. Hospitalisation élective de ce patient âgé de 65 ans, qui présente une nécrose de la tête fémorale G nécessitant une prise en charge chirurgicale pour une implantation PTH. L'intervention se déroule le 19.12.2018, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par une insuffisance respiratoire aiguë globale d'origine probablement médicamenteuse qui nécessite une surveillance aux soins intensifs du 21.12.2018 au 21.12.2018 avec un traitement par aérosol de Salbutamol. Devant une évolution favorable, le patient est retransféré en orthopédie le 21.12.2018. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. La plaie est calme durant le séjour. Le patient bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j durant le séjour qui sera remplacée à la sortie par du Xarelto 10 mg 1x/j pour 6 semaines. Au vu de la bonne évolution, le patient est autorisé à retourner à son domicile le 24.12.2018. Hospitalisation élective de ce patient âgé de 72 ans, qui nécessite une prise en charge chirurgicale pour le diagnostic susmentionné survenu graduellement suite à un accident de scooter en juillet 2018. L'intervention susmentionnée se déroule le 04.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Le patient reste apyrétique et ne présente pas de trouble neuro-vasculaire. Les plaies opératoires évoluent favorablement. Le patient bénéficie durant le séjour de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. À noter que le patient a présenté des tensions artérielles élevées, sans traitement ni symptomatologie associée, que nous décidons de traiter par Nifédipine en réserve. Par ailleurs, le patient refuse que nous contrôlions régulièrement sa glycémie bien qu'il comprenne l'importance de ces contrôles. Retour à domicile le 11.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient âgé de 8 ans, qui a subi un arrachement du LCA G suite à une collision sur la piste de ski avec chute le 01.01.2019. Une intervention chirurgicale pour une arthroscopie du genou G est posée. L'intervention se déroule le 03.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. La plaie opératoire évolue favorablement. La mobilisation se fait sous la conduite de la physiothérapie. Au vu de la bonne évolution, le patient est autorisé à regagner son domicile le 04.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 15 ans qui présente un ostéochondrome gênant au fémur D. L'indication à l'ablation de cet ostéochondrome est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 09.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire évolue favorablement. Le contrôle postop est satisfaisant. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cutané durant l'hospitalisation. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 10.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 16 ans pour l'intervention susmentionnée sur 1ère luxation de la rotule D en jouant au football le 08.01.2019. L'indication opératoire est retenue et agendée en électif. L'intervention chirurgicale se déroule le 15.01.2019, sans complications. Les contrôles postop sont satisfaisants. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire évolue favorablement. Retour à domicile le 17.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 25 ans qui présente une double discopathie évoluant défavorablement. Une IRM réalisée avec séquences vasculaires discales a montré des disques L4-L5 et L5-S1 atteints, de moindre intensité en L4-L5 mais avec des valeurs tout de même pathologiques. Échec du traitement conservateur. L'indication opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 07.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par un emphysème extra-péritonéal et sous-cutané motivant un avis de chirurgie générale le 09.01.2019 (Dr. X); un CT thoraco-abdominal est réalisé ne montrant pas de pathologie. Avis de surveillance uniquement. La CRP et l'Hb restent stables. Les contrôles postop sont satisfaisants. La plaie opératoire reste propre et calme. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cutané pendant l'hospitalisation. Une constipation en postopératoire nécessite un traitement laxatif avec bonne réponse. Retour à domicile le 14.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 27 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 21.12.2018, sans incident. Les suites postopératoires sont simples. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Les contrôles postop sont satisfaisants. La plaie chirurgicale antérieure présente une tension sur ses berges, toutefois sans menace d'ouverture, avec persistance d'un petit écoulement sanglant le 24.12.2018; la plaie chirurgicale médiale évolue favorablement. Le patient tient absolument à rentrer à domicile malgré le fait que nous lui conseillons de rester à l'hôpital pour surveillance cutanée tout en lui expliquant les risques. Dès lors, nous lui recommandons de surélever sa jambe G le plus souvent possible et de refaire le pansement 1x/j de manière stérile avec sa belle-mère qui travaille dans les soins. Au moindre signe de péjoration cutanée il doit se présenter aux urgences. Une décharge de responsabilité est signée par le patient. Retour à domicile le 24.12.2018. Hospitalisation élective de ce patient de 27 ans qui, le 04.12.2018, fait une mauvaise réception à la suite d'un salto réalisé après une figure aux anneaux avec valgus du genou G. Patient connu pour un statut post plastie LCA genou G en janvier 2017. Les investigations ont montré une rupture de la plastie du LCA. L'indication opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 08.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Les plaies évoluent favorablement. Les contrôles postop sont satisfaisants. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 08.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 31 ans pour AMO, débridement et prise de biopsies en raison de la suspicion d'une ostéomyélite sur pseudarthrose du pilon tibial D après OS par F.E. le 29.01.2018 puis OS par plaques le 09.02.2018 d'une fracture du pilon tibial et du péroné à D le 29.01.2018. L'intervention chirurgicale se déroule le 08.01.2019, sans complications. En peropératoire, on visualise un liquide trouble, jaunâtre à la perforation de la corticale en regard de la pseudarthrose faisant suspecter une infection à ce niveau. Des biopsies sont prélevées pour histologie et microbiologie et l'intervention est stoppée. Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g x/j dès le 08.01.2019. La plaie opératoire évolue favorablement, à noter en postopératoire une extension diminuée du 2ème orteil D. La microbiologie des biopsies peropératoires du 08.01.2019 s'avère négative (2/2) à J2. La PCR eubactérienne du 10.01.2019, CHUV est également négative. L'image histologique est compatible avec une zone de pseudarthrose sur nécrose osseuse. À noter des signes de métallose modérée. Une hypersensibilité sur matériel métallique ne peut pas être exclue. Pas de composante inflammatoire aiguë. Pas de signe d'ostéomyélite à proprement parler. Au vu des résultats microbiologiques toujours négatifs à J5 nous passons à une antibiothérapie p.o. de co-amoxicilline 1 g 3x/j dès le 14.01.2019. En accord avec les infectiologues, l'antibiothérapie est stoppée le 16.01.2019 jusqu'à l'intervention chirurgicale de cure de pseudarthrose du pilon tibial D avec greffe de la crête iliaque D qui est agendée au 25.01.2019 avec prélèvements microbiologiques osseux en préopératoire (sans antibiothérapie) puis reprise de l'antibiothérapie par co-amoxicilline. Si à J5 les cultures restent négatives, tout traitement antibiotique sera désormais interrompu. Jusqu'à cette intervention, le patient retourne à domicile le 18.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 32 ans qui, le 28.10.2018, est victime d'une entorse du genou G lors d'un match de football. Une IRM réalisée le 30.10.2018 met en évidence le diagnostic susmentionné. Suite à des séances de physiothérapie, l'indication opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 15.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Les plaies évoluent favorablement. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 16.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 34 ans pour l'intervention susmentionnée à la suite d'une chute à ski à Anzère avec réception sur l'épaule G le 03.01.2019 entraînant la fracture de la clavicule latérale G. Port du casque. Pas de TC, PC ou AC. 1ère consultation à l'Hôpital de Sion le 03.01.2019 puis à l'HFR Fribourg le 05.01.2019. L'indication opératoire est retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 07.01.2019, sans incident. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire reste propre et calme. Rx postop satisfaisantes. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cutané durant l'hospitalisation. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à son domicile en Allemagne le 10.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 34 ans pour l'intervention susmentionnée. Pour rappel, en date du 10.01.2019, le patient est victime d'une chute en VTT en France. Consulte sur place où des rx de la cheville D sont réalisées, mettant en évidence une fracture bimalléolaire et un plâtre cruro-pédieux est confectionné. Le patient consulte nos urgences le 11.01.2019 où un CT-scan est organisé montrant la fracture décrite ci-dessus. L'indication opératoire est donnée en électif. L'intervention chirurgicale se déroule le 18.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Attelle postérieure, surélévation du MID puis confection d'une botte de marche fendue. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Les plaies opératoires évoluent favorablement. Retour à domicile le 22.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 35 ans qui présente une pseudarthrose du tiers distal tibia G sur statut post OS par clou tibial Expert d'une fracture spiroïde ouverte du tibia/péroné G en 2017. En avril 2018, ablation des 4 vis de verrouillage distal et proximal. Au vu d'une non-consolidation de la fracture, une dynamisation du clou et des ondes de choc n'ont pas apporté l'effet escompté. Un CT réalisé en décembre 2018 a confirmé la pseudarthrose. L'indication à une cure de pseudarthrose et ré-OS du tibia G est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 11.01.2019, sans complications. Antibiothérapie par Cefuroxime 1,5 g 4x/j i.v. La microbiologie peropératoire revient négative. Analgésie par cathéter périnerveux périphérique du 11 au 15.01.2019. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. Les plaies évoluent favorablement, elles sont calmes et sèches à la sortie. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie après confection d'un Schlupfgips. Stop antibiothérapie le 16.01.2019. Retour à domicile le 17.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 41 ans pour l'intervention susmentionnée après chute à ski avec réception sur la main D en hypertension le 18.01.2019. Les rx ont mis en évidence la fracture décrite ci-dessus et l'indication opératoire est posée en électif. L'intervention chirurgicale se déroule le 24.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire reste propre et calme. Rx postop satisfaisantes. Plâtre scaphoïde fendu. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane pendant l'hospitalisation. Retour à domicile le 25.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 43 ans pour l'intervention susmentionnée. Pour rappel, le patient nous avait été adressé par son médecin traitant le 04.12.2018 en raison de douleurs persistantes et tuméfaction de la cheville D après un accident de football 5 semaines auparavant. La rx réalisée chez le médecin traitant avait mis en évidence la fracture susmentionnée. Il avait été hospitalisé du 04 au 06.12.2018 pour antalgie, surélévation du MID ainsi que planification de l'ostéosynthèse de la cheville D. Le 13.12.2018, le patient présente une hypokaliémie discrète à 3,3 mmol/l qui est substituée par voie orale. L'intervention chirurgicale se déroule le 14.12.2018, sans incident. Les plaies opératoires évoluent favorablement. Les suites postopératoires sont marquées par un hématome de la cheville D nécessitant une prolongation de la surveillance clinique. Rx postop satisfaisantes. Un globe vésical de 650 ml nécessite un sondage aller-retour le 15.12.2018. Confection d'un Schlupfgips et mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 20.12.2018. Hospitalisation élective de ce patient de 50 ans connu pour des lombosciatalgies D chroniques avec un statut après plusieurs opérations du dos entre autres. Au vu de l'aggravation de la symptomatologie et de la bonne réponse aux précédentes infiltrations au niveau L4-L5 confirmant une origine des douleurs à ce niveau, nous posons l'indication à une prise en charge chirurgicale pour XLIF L4-L5 par la G, sous neuromonitoring. L'intervention chirurgicale se déroule le 21.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire évolue favorablement. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cutané pendant l'hospitalisation. Au statut neurologique de sortie, la sensibilité est diminuée sur les dermatomes L2-S1 du MIG, la force n'est pas jugeable en raison des douleurs, absence de boiterie à la marche, montée sur la pointe des pieds et station sur les talons possibles. Retour à domicile le 24.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 51 ans qui rapporte des douleurs insupportables avec un déficit moteur et sensitif dans les territoires de C5, C6, C7 et D1. Aucune amélioration suite aux infiltrations réalisées. Une IRM a mis en évidence des troubles dégénératifs importants en particulier au niveau C5-C6, C6-C7 et C7-D1 avec des hernies et des protrusions foraminales ainsi que des ostéophytoses foraminales à G. L'indication opératoire a alors été retenue. L'intervention se déroule le 28.12.2018, sans incident. Les suites postopératoires sont simples. Le drainage est enlevé à 24 h de l'intervention sans complications. La plaie opératoire reste propre et calme. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane durant l'hospitalisation. Au statut de sortie, le patient rapporte une nette diminution des douleurs suite à l'intervention chirurgicale. Retour à domicile le 31.12.2018. Hospitalisation élective de ce patient de 53 ans pour les interventions susmentionnées qui se déroulent sans incident le 08.01.2019. Les suites postopératoires sont simples. Absence de troubles neuro-vasculaires du MSD et MID. Les plaies chirurgicales évoluent favorablement. Rx postop satisfaisantes. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cutané durant l'hospitalisation.Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 09.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 53 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 24.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire reste propre et calme. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. durant l'hospitalisation. Ablation du pansement Comfeel le 27.01.2019, remplacé par un pansement simple. Retour à domicile le 29.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 56 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 09.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire reste propre et calme. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 10.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 61 ans en raison de douleurs lombaires importantes et réfractaires au traitement conservateur. L'indication opératoire est retenue. Le Xarelto a été stoppé à 48 h préopératoire. L'intervention chirurgicale se déroule le 21.12.2018, sans incident. En peropératoire, brèche durale nécessitant un colmatage par TachoSil et lit strict durant 48 h. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire reste propre et calme. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Reprise de l'anticoagulation par Xarelto 20 mg 1x/j dès J3. Au status neurologique de sortie, le patient ne présente plus de lombosciatalgies, persistance d'une hypoesthésie du versant dorso-médial de l'hallux D en amélioration, faiblesse à M4+ de la flexion dorsale de la cheville et des orteils également en amélioration suite à la décompression. Retour à domicile le 24.12.2018. Hospitalisation élective de ce patient de 61 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule sans incident le 18.12.2018. Les suites postopératoires sont simples. Les plaies chirurgicales évoluent favorablement. Le contrôle radiologique postopératoire est satisfaisant. Immobilisation par Schlupfgips. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 22.12.2018. Hospitalisation élective de ce patient de 65 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 12.12.2018, sans incident. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire reste propre et calme. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane durant l'hospitalisation. Le 17.12.2018, Mr. Y est transféré en séjour de rééducation à l'HFR Billens. Hospitalisation élective de ce patient de 68 ans qui présente une gonarthrose tricompartimentale nécessitant l'implantation d'une PTG D. L'intervention chirurgicale se déroule le 18.12.2018, sans incident. Les suites postopératoires sont marquées par une anémie à 78 g/l le 22.12.2018 motivant la transfusion de 1 CE avec Hb à 86 g/l le 23.12.2018. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire reste propre et calme. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane pendant l'hospitalisation. Retour à domicile le 24.12.2018. Hospitalisation élective de ce patient de 70 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 16.01.2019 avec, en peropératoire, une lésion de l'artère perforante qui est ligaturée par le Dr. X. Surveillance postopératoire aux soins continus du 16 au 17.01.2019 avec évolution favorable de la lésion de l'artère perforante ainsi que du SAOS non appareillé. Antalgie par PCA de morphine du 16 au 18.01.2019 dans le but de maintenir la flexion de la hanche D entre 60 et 70° en postopératoire puis antalgie simple. La plaie opératoire reste propre et calme. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Héparine 5000 UI 2x/j. pendant l'hospitalisation. Concernant la péjoration de son insuffisance rénale aiguë sur chronique, le 17.01.2019, un consilium de néphrologie est demandé avec un laboratoire complet et un US du système uro-génital le 21.01.2019 (cf annexe). Une hydratation i.v. et p.o. a été débutée. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y est transféré en séjour de rééducation à la Clinique Valmont le 23.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 72 ans porteur d'une PTH D depuis 1999 qui présente des coxalgies en augmentation. Les investigations ont mis en évidence le diagnostic susmentionné et l'indication opératoire a été retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 17.01.2019, avec en peropératoire un important saignement nécessitant l'utilisation du Cell Saver, d'une expansion volémique importante (7 L), de la transfusion d'un PFC et d'un support de noradrénaline ainsi qu'une surveillance aux soins intensifs du 17 au 18.01.2019 pour stabilisation hémodynamique. Les suites postopératoires sont marquées par une anémie nécessitant la transfusion de 2 CE le 19.01. et 1 CE le 20.01.2019. La plaie opératoire évolue favorablement. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. durant l'hospitalisation. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Ablation du pansement Comfeel le 23.01.2019 en raison d'une petite collection sous ce dernier et mise en place d'un pansement simple. Retour à domicile le 25.01.2019 avec prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto. Hospitalisation élective de ce patient de 76 ans qui, le 11.12.2018, loupe une marche d'escalier et fait une hyperextension du pied D entraînant la rupture complète du tendon d'Achille confirmée par US. L'indication opératoire est retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 21.12.2018, sans complications. La plaie opératoire évolue favorablement. Prophylaxie thrombo-embolique par Liquémine. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. En fin de séjour, la plaie opératoire est calme. A noter un hématome de l'arrière-pied D, à surveiller. Le 03.01.2019, Mr. Y est transféré en séjour de rééducation à l'HFR Meyriez. Hospitalisation élective de ce patient de 80 ans qui présente une claudication neurogène typique avec périmètre de marche réduit à moins de 300 mètres sur une sténose canalaire sévère de L3 à S1 avec kystes arthro-synoviaux et hernie discale L4-L5. Les douleurs sont bilatérales et diffuses au niveau des deux MI mais ne sont pas accompagnées de lombalgies. Au vu de la résistance au traitement conservateur avec des douleurs limitant sa vie quotidienne, on pose l'indication pour une prise en charge chirurgicale. L'intervention chirurgicale se déroule le 17.12.2018, sans incident. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire reste propre et sèche. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane pendant l'hospitalisation. Au status neurologique de sortie, absence de déficit. Retour à domicile le 22.12.2018. Hospitalisation élective de ce patient de 81 ans qui présente des lombosciatalgies avec une claudication neurogène à quelques mètres et des douleurs dans les 2 jambes, en particulier dans la jambe G qui sont devenues insupportables. Dans un premier temps, l'IRM réalisée a montré une sténose très serrée au niveau L4-L5 avec suspicion d'un kyste synovial du ligament jaune accompagnée d'une protrusion discale/hernie discale. Au niveau L5-S1 D, mise en évidence d'une sténose foraminale plutôt osseuse. Au niveau L3-L4, il existe aussi une sténose plus modeste. Au vu de la résistance au traitement conservateur avec des douleurs devenant insupportables, on pose l'indication pour une prise en charge chirurgicale. Une évaluation préopératoire est demandée aux anesthésistes ainsi qu'un consilium de cardiologie. Une échographie cardiaque ETT est réalisée le 06.12.2018 puis une coronarographie est demandée en urgence le même jour. L'indication à une PCI de la coronaire D est agendée au 15.01.2019. L'anticoagulation par Sintrom pour une FA est mise en suspens. L'intervention chirurgicale se déroule le 10.12.2018, sans incident. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane puis reprise de l'anticoagulation par Sintrom le 15.12.2018. Les suites postopératoires sont simples. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Antalgie standard. Absence de déficit neurologique à la sortie. Le 18.12.2018, Mr. Y est transféré en séjour de rééducation à l'HFR Billens. Hospitalisation élective de ce patient de 83 ans adressé par nos collègues de la médecine interne pour une coxarthrose invalidante à G (hospitalisation en médecine interne du 03 au 07.12.2018). L'indication à l'implantation d'une PTH G est posée. Patient sous Sintrom (FA) stoppé 5 jours avant l'intervention, relais par Clexane 40 mg 1x/j. L'intervention chirurgicale se déroule le 09.01.2019, sans complications. En salle de réveil, le patient reçoit la transfusion de 1 CE au vu des pertes sanguines peropératoires. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire évolue favorablement. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Rx postop satisfaisantes. Reprise du Sintrom le 14.01.2019. Le 15.01.2019, Mr. Y est transféré en séjour de rééducation gériatrique à l'HFR Tafers. Hospitalisation élective de ce patient de 84 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 14.01.2019 avec, en peropératoire, une brèche durale nécessitant un lit strict pendant 48 h. L'évolution est favorable avec une plaie opératoire calme. L'Hb est à 108 g/l le 16.01.2019, stable. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane durant l'hospitalisation. À la sortie, absence de douleur ou de déficit neurologique. À noter, le 18.01.2019, la présence d'une phlyctène au centre de la plaie opératoire qui est à surveiller. Retour à domicile le 18.01.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 53 ans pour l'intervention susmentionnée. Pour rappel, le 08.12.2018, le patient fait une mauvaise réception d'un saut en jouant au badminton entraînant le diagnostic décrit ci-dessus. L'intervention chirurgicale se déroule le 22.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Les plaies chirurgicales évoluent favorablement. Rx postop satisfaisantes. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pendant l'hospitalisation. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 25.01.2019. Hospitalisation élective de cette patiente âgée de 37 ans, qui a fait une chute à cheval le 03.01.2019 avec réception sur l'épaule G. Au contrôle radio-clinique le 11.01.2019, la fracture présente un déplacement secondaire d'environ 2 cm d'écart inter-fragmentaire. Raison pour laquelle, une indication de prise en charge chirurgicale pour une réduction ouverte et ostéosynthèse de la clavicule G est posée. L'intervention se déroule le 16.01.2019, sans complications. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. La plaie opératoire évolue favorablement, elle est calme et sèche durant le séjour. La patiente a bénéficié de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j durant le séjour. La mobilisation se fait sous la conduite de la physiothérapie. Les douleurs sont bien gérées par une antalgie de base. Au vu de la bonne évolution, la patiente est autorisée à retourner à son domicile le 17.01.2019. Hospitalisation élective de cette patiente âgée de 48 ans, qui présente un retard de mobilisation du genou G suite à la refixation de l'appareil extenseur et AMIC patellaire datant de novembre 2018. Une indication de prise en charge chirurgicale pour une mobilisation du genou G sous anesthésie générale est posée. L'intervention se déroule le 03.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La patiente bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j durant le séjour. L'antalgie par cathéter péri-nerveux périphérique est gérée par les anesthésistes du 03.01.2019 au 06.01.2019. La mobilisation se fait sous la conduite de la physiothérapie et à l'aide du Kinetec avec une flexion du genou G jusqu'à 100° et une extension totale. Le status neurologique à la sortie est sans particularité. Au vu d'une bonne évolution, la patiente est autorisée à regagner son domicile le 09.01.2019. Hospitalisation élective de cette patiente âgée de 59 ans, qui a fait une chute le 04.12.2018 dans le cadre de trouble de l'état de conscience. Elle a tout d'abord été hospitalisée à l'hôpital de l'Ile à Berne puis a été transférée en médecine à l'HFR Fribourg pour suite de prise en charge de la pneumonie (traitée par antibiothérapie). Le bilan radio-clinique initial réalisé aux urgences de Berne a mis en évidence les fractures susmentionnées. Suite à l'hospitalisation en médecine, la patiente est transférée en orthopédie le 18.12.2018 pour suite de prise en charge de la fracture-luxation du Lisfranc à D. Une indication de prise en charge chirurgicale pour une réduction ouverte et embrochage est posée. L'intervention se déroule le 18.12.2018, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Les plaies opératoires évoluent favorablement, elle est calme durant le séjour. La patiente bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j durant le séjour, qui sera à poursuivre jusqu'à charge complète à la sortie. Mise en place d'un Schlupfgips et rééducation à la marche en charge partielle de 15 kg en physiothérapie durant le séjour. Les douleurs sont bien gérées par une antalgie de base. Au vu d'une bonne évolution, la patiente est autorisée à retourner à son domicile le 28.12.2018. Hospitalisation élective de cette patiente âgée de 66 ans, qui présente une instabilité de L2-L3 symptomatique nécessitant une prise en charge chirurgicale pour une spondylodèse et un changement de vis. Le jour de l'intervention, la patiente développe un rash maculaire d'origine peu claire sur tout le corps y compris au niveau de l'abord chirurgical. Dans ce contexte et au vu du risque augmenté de déhiscence cicatricielle, d'infection et du caractère médicalement non-urgent de l'intervention chirurgicale, nous décidons d'ajourner l'opération au 01.02.2019. Sur avis de nos collègues de médecine interne, un bilan allergologique est réalisé et nous débutons un traitement par Prednisone 50 mg 1x/j jusqu'au 23.01.2019. Retour à domicile le 18.01.2019. Hospitalisation élective de cette patiente âgée de 68 ans, qui présente une coxarthrose symptomatique à D avec des douleurs persistantes même au repos. Au vu de l'échec du traitement conservateur et de l'infiltration au cortisone, une indication de prise en charge chirurgicale pour une implantation PTH à D est posée. L'intervention se déroule le 12.12.2018, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La patiente reste apyrétique et ne présente pas de trouble neuro-vasculaire. La plaie opératoire évolue favorablement et le pansement reste étanche. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. La patiente bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j durant le séjour, qui est remplacée par du Xarelto 10 mg 1x/j à la sortie et ce pour 6 semaines. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Au vu de la bonne évolution, la patiente est transférée à Estavayer-le-Lac pour réadaptation musculo-squelettique le 18.12.2018. Hospitalisation élective de cette patiente âgée de 69 ans, qui a bénéficié d'une ostéosynthèse péri-prothétique du tibia proximal D en octobre 2017. Le suivi post-opératoire est marqué par un défect cutané de 2 cm au niveau de la cicatrice latérale du tibia proximal. Une indication pour une révision de plaie et ablation du matériel d'ostéosynthèse est posée. Au vu de ses antécédents thrombotiques, nous suspendons le traitement par Xarelto 20 mg 1x/j du 12.11.2018 au 21.11.2018 avec reprise le 21.11.2018. L'intervention se déroule le 13.11.2018, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. Les plaies opératoires présentent une légère nécrose, qui nécessite une surveillance rapprochée. L'évolution des plaies est par la suite favorable. La patiente bénéficie durant le séjour d'une prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 80 mg 1x/j jusqu'au 21.11.2018, car elle a une hémiparésie et un surpoids conséquent. La prophylaxie par Xarelto 20 mg 1x/j est reprise dès le 21.11.2018 (traitement habituel initial). Sur avis du neurologue le Dr. X et en raison de la suspicion d'une atrophie cortico-sous-corticale, nous organisons une IRM encéphalique le 15.11.2018, qui ne met pas en évidence d'anomalie notable mais confirme la présence d'une atrophie cortico-sous-corticale à prédominance fronto-pariéto-temporale-bilatérale. Sur avis de la Dresse X en neurologie et au vu de l'absence d'atrophie hippocampique significative, une période de neuro-réhabilitation est organisée. La patiente sera réévaluée par son neurologue le Dr. X. Au vu d'une bonne évolution, la patiente est autorisée à regagner son domicile le 26.11.2018. Hospitalisation élective de cette patiente âgée de 76 ans, connue entre autres pour des lombocruralgies G très invalidantes et résistantes au traitement conservateur. Lors de la consultation du 04.12.2018, les résultats de la myélographie fonctionnelle avec CT ont été discutés; visualisation d'une scoliose sévère avec rétrécissement foraminal mais aussi canalaire, récessal et central en L2-L3 et L3-L4 pouvant tout à fait expliquer la symptomatologie. Les options thérapeutiques ont également été discutées. L'indication à l'intervention susmentionnée est posée. L'intervention se déroule le 21.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie évolue favorablement. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut. durant l'hospitalisation. À la sortie, la patiente rapporte de légères lombalgies non déficitaires, la sensibilité est normale et la force est évaluée à M5 sur les 2 MI. Retour à domicile le 24.01.2019. Hospitalisation élective de cette patiente âgée de 83 ans, qui présente une rupture des câbles de la plaque trochantérienne avec d'importantes douleurs invalidantes nécessitant une prise en charge chirurgicale pour une ablation de la plaque-crochet et cerclage de la hanche G. L'intervention se déroule le 16.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La patiente reste apyrétique et ne présente pas de trouble neuro-vasculaire. Le prélèvement du liquide articulaire de la hanche G est négatif. La plaie opératoire évolue favorablement, elle est calme durant le séjour. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. La patiente bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j durant le séjour. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Au vu d'une bonne évolution, la patiente est autorisée à retourner à son domicile le 18.01.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 20 ans qui, en novembre 2018, a été victime d'une entorse du genou G lors d'un match de basket-ball lors duquel elle reçoit une adversaire sur la jambe G. Une IRM confirme le diagnostic susmentionné et l'indication opératoire est posée en raison d'une boiterie persistante après rééducation du genou G en physiothérapie. L'intervention se déroule le 09.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. RX postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Les plaies évoluent favorablement. Retour à domicile le 11.01.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 21 ans qui présente un syndrome des loges des 2 MI à la pratique du sport, notamment à la course à pied et à vélo. L'indication opératoire est retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 08.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Les plaies opératoires évoluent favorablement. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 11.01.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 26 ans, connue pour une déchirure partielle LCA et du LLI le 20.05.2018 sur status post plastie LCA D par tendon rotulien en 2007 (Dr. X) et lésion de cyclope. L'indication est donnée à un curetage et comblement par greffe osseuse du tunnel tibial dans le but de réaliser, dans un 2ème temps, une plastie du LCA par TQ. L'intervention chirurgicale se déroule le 08.01.2018, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Les plaies sont calmes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 10.01.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 40 ans connue pour le diagnostic susmentionné. Au vu des douleurs invalidantes, l'indication opératoire est retenue à la consultation du 04.12.2018. L'intervention chirurgicale se déroule le 18.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. RX postop satisfaisantes. La plaie chirurgicale évolue favorablement. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut. durant l'hospitalisation. À la sortie, absence de déficit neurologique ou moteur des MI. Retour à domicile le 21.01.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 40 ans qui, le 09.01.2019, chute dans les escaliers avec mécanisme d'inversion de la cheville D entraînant la fracture susmentionnée. Au vu du type de fracture instable, l'indication opératoire est posée à la consultation du 10.01.2019. L'intervention chirurgicale se déroule le 11.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. RX postop satisfaisantes. La plaie opératoire évolue favorablement. Confection d'un Schlupfgips et mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 14.01.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 46 ans, connue pour un status après herniectomie L5-S1 en 2017, qui présente actuellement une péjoration des douleurs chroniques lombaires, sans atteinte radiculaire. Les investigations ont mis en évidence une discopathie L4-L5 et L5-S1. L'indication opératoire est retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 28.12.2018, sans incident. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire reste propre et calme. RX postop satisfaisantes. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane pendant l'hospitalisation. À la sortie, absence de déficit neurologique des MI. Retour à domicile le 31.12.2018. Hospitalisation élective de cette patiente de 46 ans qui présente un status adhérentiel post AMIC rétro-patellaire G en novembre 2019. L'indication est donnée à une mobilisation du genou G sous narcose qui se déroule le 03.01.2019, sans incident. Les suites postopératoires sont simples. Mobilisation intensive avec la physiothérapie sous analgésie par cathéter périnerveux du 03 au 06.01.2019. Kinetec en chambre à raison de 3x2 h/j. Application poche à glace genou G à raison de 3 à 4x/j pendant 20 min. Retour à domicile le 09.01.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 54 ans qui se plaint depuis plusieurs semaines d'une cervicobrachialgie G avec irradiation dans le dermatome de C6. Aucune amélioration sous traitement conservateur. Une IRM a mis en évidence le diagnostic susmentionné et l'indication opératoire a été retenue.L'intervention chirurgicale se déroule le 28.12.2018, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Ablation du drainage à 24 h, sans incident. La plaie opératoire reste propre et calme. Rx postop satisfaisantes. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane pendant l'hospitalisation. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Antalgie standard. A la sortie, absence de déficit neurologique des MS. Retour à domicile le 31.12.2018. Hospitalisation élective de cette patiente de 60 ans connue pour une ancienne polytoxicomanie avec hépatite C chronique, cirrhose hépatique, ainsi que OH chronique qui présente des douleurs de la hanche G depuis le mois de septembre 2018 avec périmètre de marche estimé à 30 min. Les investigations ont mis en évidence le diagnostic susmentionné et l'indication à l'implantation d'une PTH G est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 13.12.2018 avec, en peropératoire, la transfusion de 3 CE. Les suites postopératoires sont marquées par une anémie nécessitant la transfusion de 2 CE le 17.12.2018 avec bonne réponse. L'évolution est favorable avec mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Rx postop satisfaisantes. A noter toutefois une réaction cutanée allergique au pansement Comfeel avec érythème localisé et prurit motivant l'ablation du Comfeel et introduction d'un traitement anti-histaminique. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane durant l'hospitalisation. Bien que l'évolution sur le plan orthopédique soit favorable, la patiente présente une somnolence l'empêchant d'être autonome dans les activités de la vie quotidienne. Après discussion avec son psychiatre et son entourage au Torry, il semblerait que cette asthénie soit concomitante à l'introduction de fortes doses d'opiacés pour ces coxalgies. Nous décidons donc de diminuer progressivement cette médication dans l'espoir que la patiente retrouve suffisamment d'autonomie pour pouvoir retourner au Torry. Le 20.12.2018, la patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Hospitalisation élective de cette patiente de 60 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 18.12.2018, sans incident. Les suites postopératoires sont favorables. A noter toutefois un minime écoulement sanguinolant de la plaie opératoire d'évolution favorable mais nécessitant un suivi. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 24.12.2018 avec les SAD. Hospitalisation élective de cette patiente de 62 ans pour arthrodèse poignet G et résection de la tête de l'ulna au vu du diagnostic susmentionné. L'intervention chirurgicale se déroule le 10.12.2018, sans incident. Les suites postopératoires sont simples. Les plaies évoluent favorablement. Les rx postop montrent un matériel d'arthrodèse en place et une OST de l'ulna en ordre. La microbiologie peropératoire revient négative. Immobilisation poignet G par AB amovible. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie dès J1. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut. pendant l'hospitalisation. Retour à domicile le 13.12.2018. Hospitalisation élective de cette patiente de 64 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 15.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Les plaies restent propres et calmes. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie sous protection d'un VACOpedes. Retour à domicile le 23.01.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 68 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 17.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire évolue favorablement. L'Hb reste stable, à 113 g/l au dernier contrôle le 22.01.2019. En raison d'une légère hypokaliémie une substitution p.o. est débutée avec normalisation de ce paramètre. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane pendant l'hospitalisation puis Xarelto à la sortie. Retour à domicile le 24.01.2019 avec les SAD. Hospitalisation élective de cette patiente de 76 ans qui, le 02.01.2019, fait une chute mécanique de sa hauteur avec réception sur le coude G. Les investigations ont mis en évidence le diagnostic susmentionné et l'indication opératoire a été retenue. Le 03.01.2019, l'anticoagulation thérapeutique par Xarelto 20 mg est mise en suspens. L'intervention chirurgicale se déroule le 07.01.2019, sans incident. Les suites postopératoires sont simples. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j durant l'hospitalisation. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 09.01.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 76 ans qui présente une ostéomyélite chronique du gros orteil D. Patiente suivie en diabétologie. Le bilan angiologique du 04.12.2018 a permis d'écarter une artériopathie significative susceptible de compromettre la guérison de la plaie en cas d'intervention chirurgicale. Dès lors, après discussion avec la patiente, l'indication à l'amputation de la phalange atteinte est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 04.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. En accord avec les infectiologues et au vu des cultures des biopsies peropératoires n'ayant pas permis la mise en évidence du germe en cause l'antibiothérapie est stoppée le 14.01.2019. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane. Retour à domicile le 14.01.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 80 ans pour l'intervention susmentionnée en raison d'une forte gêne due à la plaque LISS du fémur D pour fracture péri-prothétique le 01.02.2016. L'intervention chirurgicale se déroule le 10.01.2019, sans complications. En salle de réveil, transfusion de 1 CE en raison des pertes sanguines peropératoires. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire reste propre et calme. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. durant l'hospitalisation. Le 17.01.2019, la patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Hospitalisation élective de cette patiente de 80 ans qui, en 2003, bénéficie d'une PTH D puis, en 2008, de la mise en place d'un anneau Ganz pour descellement aseptique de l'implant acétabulaire. Elle se plaint de douleurs de la fesse et du pli inguinal D depuis plusieurs années devenues invalidantes depuis quelques mois. De plus, elle dit avoir chuté de sa hauteur avec réception sur la fesse D en 2016 avec péjoration de la symptomatologie depuis lors. Les investigations mettent en évidence le diagnostic susmentionné et l'indication opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 04.12.2018, sans incident. En raison de pertes sanguines estimées à 1000 ml en peropératoire la patiente reçoit 5 CE et 1 PFC en salle d'op/réveil. Les suites postopératoires sont marquées par une anémie à 78 g/l le 08.12.2018 nécessitant la transfusion de 2 CE avec bonne réponse (Hb à 100 g/l le 09.12.2018).La microbiologie des biopsies peropératoires reste négative. En raison d'une surcharge hydrique avec d'importants oedèmes des MI et augmentation de poids (5,2 kg) en postopératoire, Mme. Y bénéficie d'un traitement diurétique. Une hypokaliémie à 3,5 mm/l le 08 et le 13.12.2018, une substitution p.o. est introduite. Une escarre sacrée est suivie et traitée en stomathérapie avec mise en place d'un protocole de soin topique. La plaie opératoire évolue favorablement, elle est calme et sèche à la sortie. Prophylaxie anti-thrombotique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Rx postop satisfaisantes. Le 14.12.2018, Mme. Y est transférée en séjour de rééducation à l'HFR Meyriez. Hospitalisation élective de cette patiente de 84 ans pour l'intervention susmentionnée sur nécrose avasculaire de la tête fémorale D secondaire à la fracture pertrochantérienne de 2015 avec douleurs en augmentation. L'intervention chirurgicale se déroule le 10.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par une anémie asymptomatique avec Hb à 72 g/l le 14.01.2019 et 77 g/l le 17.01.2019 ne nécessitant pas de transfusion sanguine. La plaie opératoire reste propre et calme. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut pendant l'hospitalisation. Le 18.01.2019, Mme. Y est transférée en séjour de rééducation à l'HFR Billens. Hospitalisation élective de cette patiente de 90 ans qui avait consulté les urgences le 09.01.2019 après avoir été victime d'une chute avec réception sur le coude D. Les investigations avaient mis en évidence la fracture de l'olécrâne D. L'indication opératoire avait été retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 11.01.2019 sans complications. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire évolue favorablement. L'insuffisance rénale aiguë est améliorée par hydratation i.v. et surveillance biologique. Prophylaxie thrombo-embolique par Héparine. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Antalgie standard. Au status neurologique de sortie, absence de déficit. Retour au home le 16.01.2019. Hospitalisation élective en milieu psychiatrique à la Clinique La Métairie à Nyon le 28.01.2019. Hospitalisation élective : introduction sous surveillance d'un traitement IEC. Hospitalisation élective pour colonoscopie. Hospitalisation élective pour contrôle VNI. Hospitalisation élective pour coronarographie et pose de pacemaker. Hospitalisation élective pour investiguer baisse de l'état général. Hospitalisation élective pour pose d'un défibrillateur le 08.11.2018 dans le cadre d'une cardiomyopathie dilatée à fraction d'éjection. Hospitalisation élective pour recherche d'une néoplasie. Hospitalisation en chirurgie pour surveillance clinique, biologique et colonoscopie. Hospitalisation en électif pour contrôle annuel de ventilateur sur trachéostomie. Hospitalisation en gériatrie aiguë à partir du 23.12.2018. Hospitalisation en gériatrie aiguë et suivi clinique avec mobilisation selon la volonté du patient. Hospitalisation en hiver 2017 pour bronchiolite avec surinfection pulmonaire à Neuchâtel. Hospitalisation du 10.01 au 21.01.2018 pour une insuffisance respiratoire sévère sur pneumonie lobaire inférieure gauche virale avec atélectase du lobe supérieur droit avec nécessité de High flow. Insuffisance respiratoire sur bronchopneumonie virale en 02.2018. Hospitalisation en médecin interne, satellite en chirurgie à l'HFR de Fribourg chambre 427. Hospitalisation en médecine. Hospitalisation en médecine pour traitement de daptomycine et verrou de vancomycine. Hospitalisation en néonatologie. Monitoring cardio-respiratoire. Laboratoire : FSC, CRP, gazométrie, créatinine, ASAT, ALAT. Alimentation précoce et contrôle des glycémies. Perfusion G10 du 13.01.2019 au 16.01.2019. Score Thompson à 0-1. Hospitalisation en orthopédie pour révision du tendon au BO. Hospitalisation en psychogériatrie. Hospitalisation en stroke unit monitorée du 31.12 au 01.01.2019. CT cérébral et cou vasculaire le 31.12.2018. Consilium ORL le 01.01.2019. IRM cérébrale dès que possible. Echocardiographie transthoracique demandé. Hospitalisation en stroke unit monitorée du 15.01 au 17.01.2019. CT-scan cérébral le 15.01.2019. IRM cérébrale demande en cours. Electroencéphalogramme demande en cours. Ultrason doppler des vaisseaux précérébraux demande en cours. Interrogation du pacemaker demande en cours. Echocardiographie transthoracique demande en cours. Hospitalisation en stroke unit monitorée du 15.01 au 17.01.2019. ECG. CT-scan cérébral le 15.01.2019 : pas de lésions ischémiques. IRM cérébrale le 18.01.2019 : AVC ischémique punctiforme : frontal droite, parietal gauche, cervelet à D. Electroencéphalogramme le 16.01.2019 : pas d'activité épileptiques. Schellong positif. Ultrason doppler transcrânien et des vaisseaux précérébraux le 17.01.2019 : pas de sténose retrouvée de l'artère cérébrale moyenne à droite, sténose de 50 % de la carotide interne à droite. Interrogation du pacemaker 18.01.2019 : pas de troubles du rythme. ETT le 18.01.2019 : thrombus de 4 x 2 cm flottant dans le VG, attaché à la paroi latéro-antéro-apicale. Diminution de la FEVG à 20 % et augmentation de la dilatation du VG. Consilium cardiologique. Héparine continue du 18.01 au 21.01.2019. Xarelto 15 mg 1x/j à partir du 21.01.2019. Maintien de l'Aspirine. ETT de contrôle à l'HFR Fribourg le 05.02.2019 et le 19.02.2019 à 13h. US doppler transcranien et des vaisseaux précérébraux dans 1 année à l'HFR Fribourg. Hospitalisation en stroke unit monitorée du 16.01 au 17.01.2019. CT cérébral Time is brain le 16.01.2019. IRM cérébrale le 17.01.2019. Echocardiographie transthoracique le 16.01.2019. ECG-Holter (demande DPI faite). US des vaisseaux pré-cérébraux (demande DPI faite). Aspirine dès le 16.01.2019 (avec dose de charge). Hospitalisation en Stroke unit monitorée. IRM cérébrale le 04.01.2019 (faite en ambulatoire). Angio-CT cérébral et vaisseaux précérébraux le 04.01.2019. ETT prévue. US-doppler des vaisseaux pré-cérébraux prévu. Double antiagrégation par aspirine et Clopidogrel. Introduction de statine. Discussion d'une endartériectomie en électif. Hospitalisation en Stroke unit monitorée. CT cérébral le 20.01.2019. Clopidogrel dès le 20.01.2019. Hospitalisation en volontaire à Marsens. Hospitalisation le 31.01.2019. Intervention chirurgicale le 01.02.2019. Hospitalisation nécessaire vu le contexte et la mise en danger d'elle-même, si refus hospitalisation ad PAFA somatique. Sevrage en milieu hospitalier avec substitution vitaminique. Consilium psychiatrique pendant l'hospitalisation. Hospitalisation pour sevrage d'OH. Hospitalisation par le service d'oncologie pour hyponatrémie pré-chimiothérapie. Hospitalisation pour adaptation de l'antalgie. MST retard 10 mg en ordre unique le 26.12.2018 au soir. Dafalgan 1g 4x/j per os. Irfen 400 mg 3x/j per os. Tramal 50 mg 3x/j per os en réserve. Dexaméthasone en dose dégressive dès le 27.12.2018. Pantozol 40 mg 1x/j per os. Avis Spine Team, Dr. X. Hospitalisation pour antalgie. Hospitalisation pour antalgie et complément rx (IRM lombaire avec produit de contraste) Ad traitement conservateur Hospitalisation pour antibiothérapie intraveineuse, hydratation et antalgie. Contrôle obstétrical en ordre Urotube en cours. Hospitalisation pour déshydratation Hospitalisation pour observation et CTG 2x/24h Hb-foetale le 01.01.2019: 0 Hospitalisation pour renutrition, reconditionnement, gestion de l'antalgie Hospitalisation pour surveillance à 35 3/7 SA. CTG 3x/j Bilan de gestose du 10.01.2019 sans particularité. Spot négatif. Placenta envoyé en anatomopathologie Hospitalisation pour surveillance clinique et biologique Mise à jeûn pendant 24 heures Hydratation intraveineuse par 2000 ml de GS Primperan 10mg IV 3x/j Itinérol B6 2x/j Réalimentation progressive avec évolution favorable Hospitalisation pour surveillance clinique et échographique Hospitalisation pour surveillance et mise à l'abri Evaluation pédo-psychiatrique Hospitalisation pour surveillance hémodynamique et antalgique Consilium chirurgie (Dr. X): pas d'argument pour une cause gastro-intestinale Hospitalisation pour surveillance (marquage) Sac de sable et glace. Labo d'entrée: Hb 105 g/L, L 8.2 g/L, CRP 20 Hospitalisation pour surveillance neurologique en raison de vomissements répétés (6 épisodes) Retour à domicile avec conseils de surveillance Hospitalisation pour surveillance neurologique Avis neuropédiatrique, Dr. X Dosage acide valproïque le 24.01 Hospitalisation pour surveillance CTG en continu US spécialisé par Dr. X Hospitalisation pour troubles délirants. Hospitalisation pour 1ère consolidation après 2ème ré-induction par FLAG Suivi hématologique par Dr. X ===Procédures=== Pose VVC le 20.11.2018 Sonde nasogastrique du 21.11 au 27.12.2018 ECG le 21.11.2018 ===Traitement/Réponse au traitement=== Chimiothérapie de consolidation FLAG-Midostaurine • Neupogen du 20.11 au 25.11.2018 (J5-J8) • Fludara et Cytoosar du 21.11 au 25.11.2018 (J1-J5) • Midostaurine dès le 26.11.2018 (J6) • prémédication : Dexaméthasone du 21.11 au 25.11.2018 (J1-J5) ; Akynzeo les 21.11 (J1) et 24.11.2018 (J4) ; hydratation IV du 21.11 au 25.11.2018 (J1-J5) • Neupogen du 20.12 au 28.12.2018 • Agranulocytose du 28.11 (fébrile le 30.11.2018) au 26.12.2018 ===Seuils transfusionnels=== Hb < 70g/l cave !!! CE irradiés!!! (traitement de Fludara!) Tc < 10G/l (20 si état fébrile ou saignement) ===Soutien transfusionnel=== 11 CE (irradié) du 28.11 au 27.12.2018 3 CP du 01.12 au 04.12.2018 ===Prophylaxie=== Poursuite de la prophylaxie par Bactrim forte PO 3x/semaine Prophylaxie par Noxafil PO du 28.11 au 26.12.2018 (sortie d'agranulocytose) --> taux résiduel bihebdomadaire (lundi-jeudi) de Posaconazole avec adaptation de la posologie dès le 03.12.2018 Dosage galactomannanes + beta-D-glucane bi-hebdomadaire dès le 22.11.2018 : négatifs (dernier contrôle le 20.12.2018) Hospitalisation prévue pour pose d'un de CRT-D en cardiologie pour maladie tri-tronculaire avec s/p STEMI et FEVG à 20 %. A part une hypotension 95/70 mmHg asymptomatique pour laquelle les traitements antihypertenseurs sont mis en suspens, aucun changement de médication n'a été effectué. La pause de l'appareil se révèle non problématique et le patient est transféré à Billens pour la suite de sa réhabilitation cardio-vasculaire le jour après l'intervention. Hospitalisation prolongée pour photothérapie pour hyperbilirubinémie Hospitalisation sociale. • Maintien à domicile impossible, car mari hospitalisé pour baisse de l'état général. Hospitalisation sociale sur hospitalisation de son épouse et incapacité de soins à domicile. Hospitalisations multiples pour insuffisance respiratoire globale sur exacerbation de BPCO depuis 2009 Sepsis sur infection pulmonaire et urinaire en décembre 2008 Amaurose sur occlusion de l'artère centrale de la rétine de l'œil droit le 24.06.2016 d'origine artério-artérielle probable • Double antiaggrégation pour 3 semaines puis Plavix seul Hospitalisé à l'âge de 2 mois pour cassure pondérale et stagnation staturale avec microcéphalie connue dans un contexte de manque d'apport calorique. Actuellement bonne prise pondérale selon Mme. Y, dans les courbes. Hospitalisé en lit Stroke monitoré à l'hôpital X du 24.12.2018 au 28.12.2018 puis non monitoré à l'hôpital cantonal de Fribourg du 28.12.2018 au 10.01.2019, date de son transfert en neuroréhabilitation à Meyriez. Laboratoire effectué à l'hôpital X : LDL cholestérol : 3.49 mmol/L (cible LDL < 1.8 mmol/L); HbA1c à 5.3% Screening thrombophilie : anti-phospholipides, anti-cardiolipines et anti B2 glyco protéine 1 : négatif Angio-CT cérébral le 24.12.2018 IRM cérébrale (hôpital X) le 24.12.2018 et le 25.12.2018 ETO à l'hôpital X : pas de FOP, FEVG à 60% Holter de 72 heures posé le 07.01.2019. Examen neuropsychologique et aphasiologique le 04.01.2019. Aspirine cardio 100 mg 1x/j à vie dès le 24.12.2018 Atorvastatine 40 mg 1x/j dès le 25.12.2018 Consultation neurovasculaire de contrôle le 03.04.2019 à 15h30 Hospitalisée en mai 2018 pour des douleurs abdominales en fosse iliaque droite avec diagnostic d'intolérance au lactose Status post-maladie de Lyme 2011 Status post-trauma crânien simple le 05.11.18 Hospitalisée en mai 2018 pour des douleurs abdominales en fosse iliaque droite avec diagnostic d'intolérance au lactose. Trauma crânien simple le 05.11.18 Erythème migrant traité par antibiothérapie 2011 Hospitalisée en mai 2018 pour des douleurs abdominales en fosse iliaque droite avec diagnostic d'intolérance au lactose. Trauma crânien simple le 05.11.18 Erythème migrant traité par antibiothérapie 2011 Hospitalisée en mai 2018 pour des douleurs abdominales en fosse iliaque droite avec diagnostic d'intolérance au lactose. Trauma crânien simple le 05.11.18 Erythème migrant traité par antibiothérapie 2011 Hot pack Réchauffement externe Hot pack Réchauffement externe Hot pack Réchauffement externe HSIL, HPV HR positif, P16 positive. HSIL, HPV HR+, P16 positive chez une patiente 4 gestes 2 pares de 27 ans HSIL/CIN2, HPV HR positif, p16 positive chez une patiente de 39 ans, 2 gestes 2 pares HTA HTA HTA HTA HTA HTA HTA HTA HTA HTA HTA HTA HTA HTA HTA HTA HTA HTA Asthme bronchique, traité Bloc atrio-ventriculaire complet • Status post implantation d'un pacemaker DDD en 2014 (Dr. X) HTA Asthme bronchique, traité. Bloc atrio-ventriculaire complet • Status post implantation d'un pacemaker DDD en 2014 (Dr. X) HTA Broncho-pneumonie chronique obstructive Tabagisme ancien HTA Diabète non insulino-requérant Hypercholestérolémie HTA Diabète type 2 sous insuline Dyslipidémie HTA essentielle. Arthrose cervicale. Etat anxieux. HTA Hypertrophie bénigne de la prostate Probable BPCO Nouvelle fracture tassement vertébral D7-D8 (classification A1 selon AO) d'origine traumatique le 27.12.2018 (ancienne fracture tassement L1) Insuffisance rénale AKIN I probablement sur une rhabdomyolyse le 27.12.2018 Suspicion de FA intermittente HTA Hypothyroïdie ESSV Lithiase vésiculaire Incontinence urinaire HTA mal contrôlée HTA mal contrôlée • post-AVC ischémique sylvien D et HSA pariétale G mineure (cf. diag. principal) HTA Migraine Hypercholestérolémie HTA modérée non traitée HTA non traitée HCT non traité Hypothyroïdie SAS appareillé Réflux gastro-oesophagien. APP à l'âge d'enfance HTA non-traitée HTA post-partum HTA: Ramipril Arthrite rhumatoïde • Methotrexat et Actemra HTA réfractaire le 11.06.2018 Possible réaction allergique à la Co-Amoxicilline avec érythrodermie et bronchospasme le 08.06.2018 Vasculite et nécrose cutanée au site d'injection d'Enoxaparine sur les cuisses le 24.06.2018 Suspicion d'un syndrome de sevrage 06.2018 Thrombose non-occlusive de la veine jugulaire droite sur voie veineuse centrale le 08.06.2018 Anévrisme aortique juxta- et infrarénal de 52 mm de diamètre avec s/p cure par prothèse de type tube droit par voie rétropéritonéale et résection partielle de la 12 ème côte à gauche le 04.07.2013 Zona thoracal droit 05.2013 Cure d'une cataracte des deux côtés Appendicectomie HTA sévère sous pentathérapie HTA sévère sous pentathérapie avec • Cardiopathie hypertensive HTA sévère traitée Obésité sévère Ancien tabagisme à environ 60 UPA stoppé vers 1996 Notion de diabète non traité. Rein en fer à cheval. Stéatose hépatique (status post biopsie hépatique au CHUV). Goutte traitée par la rhumatologue Dr. X. SAOS appareillé Déficit en facteur VII (suivi par le Dr. X) • substitution pas nécessaire selon nos collègues hématologues. HTA sous quadrithérapie HTA sous Valsartan Hernie hiatale Intolérance au lactose HTA sous Valsartan Hernie hiatale Intolérance au lactose Crise de goutte il y a 10 ans poignet G HTA Syndrome d'apnée du sommeil, appareil par CPAP. Adipositas. HTA traité (Metoprolol, Irbesartan, Hydrochlorothiazide) Maladie thrombo-embolique • Thrombose veineuse profonde (2002 et 2009) • sous Rivaroxaban Gonarthrose sévère gauche, DD post-traumatique Adénocarcinome du colon sigmoïde • Sigmoïdectomie laparoscopique 04.02.2013 (Hôpital Daler) • Abdomen TDM du bassin 13.12.2012 (Givision): Récurrence dans le côlon sigmoïde • Hémicolectomie droite et chimiothérapie d'un adénocarcinome du caecum 2001 Polyarthrite chronique • Traitement au méthotrexate 2006 et 2009-2014 • chondrocalcinose le 11.12.2014 Ostéoporose traitée par vitamine D et Fosamax Thrombocytose légère (connue depuis au moins 10 ans) HTA • traité par Lisinopril 20 mg 1x/j, Adalat 20 mg 1x/j HTA traitée HTA traitée HTA traitée HTA traitée HTA traitée HTA traitée avec cardiopathie hypertensive et sclérose aortique Hypercholestérolémie HTA traitée connue Hypercholestérolémie traitée Maladie coronarienne monotronculaire avec : • sténose subtotale de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale: PCI (1BVS) • fraction d'éjection VG 65 % • ESV symptomatique (sous Métozerok) Épilepsie traitée par Keppra HTA traitée DMLA avec vision binoculaire à 5% Polyarthrite rhumatoïde, avec des douleurs au niveau des épaules, de la nuque et des orteils. Ablation partielle de la thyroïde (Basedow?) en 1974 HTA traitée Dyslipidémie Tremblement d'allure essentiel sous Inderal Ostéoporose fracturaire avec • Fracture ostéoporotique récente de L5 traitée par Vertébroplastie L5 (OP le 12.12.2018) Douleurs lombaires non traumatiques dans le contexte de : • Scoliose sinistro-convexe avec des altérations dégénératives inter-somatiques étagées, notamment sur les zones de charge. DD sur canal lombaire étroit • Tassements pluri-étagés anciens de la colonne dorso-lombaire en regard de D12 - L2 - S1 HTA traitée: lisitril 10mg 1/j, Amlodipin 10 1/j. HTA traitée par Irbesartan HTA traitée par Irbesartan. HTA traitée par Irbesartan 300 mg le matin HTA traitée par Irbesartan 300 mg le matin. HTA traitée Bipolaire sous lithium HTA traitée Bipolaire sous lithium HTA traitée Cardiopathie ischémique • infarctus du myocarde en 1990 BPCO non stadé non traité Polyarthrose symptomatique Ostéoporose fracturaire traitée Trouble anxiodépressif traité Hernie hiatale HTA traitée Cardiopathie ischémique • infarctus du myocarde en 1990 Polyarthrose symptomatique Ostéoporose fracturaire traitée Trouble anxiodépressif traité Hernie hiatale HTA traitée Cardiopathie ischémique : • stent actif dans la CX pour angor instable le 01.10.2008 • FEVG 79% Douleurs neuropathiques chroniques dorsales avec irradiation vers l'hémithorax gauche Ethylisme chronique ancien, sevré en 2008 Résection tri-segmentaire du poumon gauche en 2008 pour carcinome (HFR Fribourg) Adénocarcinome de la prostate grade 3 avec résidu post-mictionnel à 750 ml et pose d'une sonde vésicale le 26.01.2018 • Status post prostatite aiguë avec état fébrile à 39°C et pose d'une sonde vésicale pour rétention urinaire en janvier 2018 • Status post résection transurétrale de la prostate le 21.03.2018 par Dr. X, suivie d'une nouvelle rétention urinaire à 1300 ml HTA traitée Diverticulose colique Migraine sans aura Insuffisance veineuse chronique de stade C2-C3 selon CEAP (US, octobre 2016) Dyslipidémie Insuffisance artérielle des membres inférieurs de stade 1 (US, octobre 2016) HTA traitée Dyslipidémie Diabète insulino-requérant déséquilibré et avec de multiples complications avec : • rétinopathie diabétique (traitement par laser à de multiples reprises) • HbA1c 11.2% 23.11.2018 • consilium diabétologique : start Jardience Met 5/500, ajout d'Insuline Novorapid fixe Contrôle des glycémies 4x/j Adaptation des antidiabétiques HTA traitée Dyslipidémie Tabagisme actif (40 UPA) Suspicion de syndrome d'apnées obstructives du sommeil, le 19.03.2017 HTA traitée Dyslipidémie Tabagisme actif (40 UPA) Syndrome d'apnées obstructives du sommeil sévère non appareillé sur demande du patient, le 06.06.2017 • polygraphie du 18.05.2017 : IAH 36.1/h, IDO 33.7/h, ronflements 49%, limitation débit 10 %, saturation moyenne 92 %, pouls moyen 7/min, Score d'Epworth à , Stop Bang à . HTA traitée FA à réponse ventriculaire lente sous Sintrom • Status post thermoablation d'un flutter auriculaire typique, le 20.01.2009 Cardiopathie rythmique : • Echocardiographie du 06.12.2018 : hypokinésie modérée de la paroi latérale et de la paroi antérieure. FEVG à 45 %. Dilatation importante du VD. Fonction systolique du VD modérément altérée. Dilatation importante des cavités droites. HTAP modérée (PAPs à 37 mmHg). Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4). • Coronarographie du 06.12.2018 : maladie coronarienne avec atteinte de la coronaire droite et la circonflexe. Coronarographie et PCI de la coronaire droite prévue le 29.01.2019 Presbyacousie appareillée Hyperuricémie Chondrocalcinose polyarticulaire Daltonisme HTA traitée FA à réponse ventriculaire lente sous Sintrom > Status post thermoablation d'un flutter auriculaire typique, le 20.01.2009 Cardiopathie rythmique: Echographie cardiaque, réalisée le 06/12/2018 • Discrète dilatation du ventricule gauche avec une dyskinésie du septum moyen et du septum basal, une hypokinésie modérée de la paroi latérale et de la paroi antérieure et une hypokinésie minime de la paroi inféro-apicale. FEVG à 45 %. Géométrie normale du ventricule gauche. • Dilatation importante du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit modérément altérée. Dilatation importante des cavités droites. HTAP modérée (PAPs à 37 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4). Valve pulmonaire normale. Coronarographie réalisée le 06/12/2018 • Maladie coronarienne avec atteinte surtout de la coronaire droite et la circonflexe. La fonction systolique du vG est diminuée à une EF de 40-45%. • Coronarographie et PCI de la coronaire droite prévue le 29.01.2018 Suspicion de syndrome des apnées de sommeil BPCO Stade I selon Gold Sténose foraminale L5-S1, sténose dégénérative L4-L5 sur suspicion de kyste du ligament jaune L4-L5 et hernie discale traitées le 10.12.2018 par : • Décompression L5-S1 bilatérale par cross-foraminotomie par la D • Décompression L4-L5 bilatérale par cross-foraminotomie par la D avec ablation d'un kyste synovial du ligament jaune • Patch dural au TachoSil • Cure de hernie discale L4-L5 D et microdiscectomie HTA traitée Foramen ovale perméable uniquement après manœuvres de Valsalva avec un shunt modéré le 06.10.2015 • score de ROPE à 5 HTA traitée Gastrite chronique sous IPP HTA traitée Glaucome HTA traitée Goutte traitée. Ostéoporose Tabagisme à 1 paquet/jour jusqu'au début 2012. HTA traitée HTA pulmonaire avec PAPs estimée à 65 mmHg Consommation excessive d'alcool (1.5 litre de vin par jour) avec macrocytose. Ancien tabagisme à 75 UPA (sevré en août 2018) Hernie hiatale Diverticulose sévère du côlon descendant État dépressif sous traitement Syndrome des apnées du sommeil de type mixte, très sévère avec ID de 142/heure et index d'apnée/hypopnée à 82/h, appareillé Hypercholestérolémie HTA traitée. Hypercholestérolémie. Asthme. Gonarthrose bilatérale. Lombalgie chronique ddc. HTA traitée Hypercholestérolémie Athéromatose avec plaques calcifiées non sténosantes au départ de l'artère carotide interne droite HTA traitée Hypercholestérolémie traitée Diabète de type 2 non insulino-requérant traité Hyperplasie bénigne de la prostate HTA traitée Hypercholestérolémie traitée STEMI septo-apical de l'IVA et de la CD stentée en 2005 avec mise en place d'un stent • rajout d'un stent dans l'IVP en 2006 suite à test d'effort pathologique • ETT 28.11.2018: Fonction conservée, cicatrice septo-apicale datant de 2005 • test d'effort 11.2018: ne montre pas d'ischémie myocardique mais maladie coronarienne impossible à exclure en vue du bloc AV ne permettant pas de monter la FC • coronarographie 12.12.2018: sclérose coronarienne sans nouvelle lésion coronarienne HTA traitée Hypercholestérolémie Diabète de type 2 Migraines HTA traitée Hypertension artérielle pulmonaire HTA traitée Hypothyroïdie substituée HTA traitée Insuffisance rénale chronique avec GFR selon Cockroft : 32 ml/min Scoliose lombaire sinistro-convexe HTA traitée. Polyarthrite rhumatoïde sous Prednisone. HTA traitée Syndrome d'apnées obstructives du sommeil HTA traitée Syndrome de Li Fraumeni : • Carcinome invasif mammaire gauche Dx 2013, avec tumorectomie et curage axillaire gauche le 13.12.2013 : carcinome canalaire invasif NST pT2 G3 récepteurs oestroprogestatifs positifs. HER2 négatif. Traité par tumorectomie, chimiothérapie (3 cycles FEC 100 et Taxotère 100), radiothérapie. Traitement anti-aromatase par Létrozole (en suspens depuis mi-avril 2016) • Carcinome baso-cellulaire crânien excisé en 2004 • Tumeur ovarienne borderline opérée par annexectomie bilatérale et hystérectomie en 2010 HTA traitée Tabagisme actif (20 UPA) Traitement complexe en médecine palliative dès le 25.09.2018 • Facteur de performance : ECOG 3 PPS : 50 % • MIF (motrice) : 75 • Malnutrition protéino-énergétique grave (NRS 5/7) • Problématique principale (selon SENS/ESAS) : Mobilité, Fatigue, • Orientation planifiée (Lieu) : Retour à domicile avec aide ; Alternative : Hôpital aigu Trouble anxieux et de l'adaptation HTA traitée Tabagisme actif 35 UPA Consommation d'alcool à risque (3-5 unités/j) chronique NSTEMI sur subocclusion de l'IVA moyenne le 10.03.2018 avec pose de 1 stent actif sur l'IVA moyenne HTA traitée Tabagisme actif 35 UPA Consommation d'alcool à risque (3-5 unités/j) chronique TVP des membres inférieurs à répétition sous Sintrom NSTEMI sur subocclusion de l'IVA moyenne le 10.03.2018 avec pose de 1 stent actif sur l'IVA moyenne HTA traitée Trouble rythmique cardiaque avec pose de Pacemaker en 2014 Cataracte bilatérale (gauche > droit) HTA Ancien tabagisme Hypertrophie de la prostate avec : • Status post sonde vésicale à demeure en 2011 Thrombopénie auto-immune substituée et suivie par le Dr. X HTA Artériopathie des membres inférieurs HTA BPCO HTA BPCO non stadée HTA Diabète de type II non-insulino-requérant • sous Metformin 500 mg 2x/j Sténose serrée >50% de l'artère vertébrale G (V4) probablement asymptomatique le 05.11.2018 • Double antiagrégation par Aspirine 100 mg et Plavix 75 mg durant 1 mois puis Plavix 75 mg seul HTA Diabète de type II non-insulino-requérant • sous Metformin 500 mg 2x/j Sténose serrée >50% de l'artère vertébrale G (V4) probablement asymptomatique le 05.11.2018 • Double antiagrégation par Aspirine 100 mg et Plavix 75 mg durant 1 mois puis Plavix 75 mg seul • Atorvastatine 40 mg/j HTA Diabète de type 2 Obésité Hyperlipidémie HTA Diabète mellitus probablement type 2 sous Metformin Asthme bronchique sous Seretide HTA Diabète mellitus probablement type 2 sous Metformin Asthme bronchique • Sous Seretide HTA Diabète type II non contrôlé Hypercholestérolémie Syndrome des apnées du sommeil HTA Diabète type II non contrôlé Hypercholestérolémie Syndrome des apnées du sommeil HTA. Diabète type 2 insulino-requérant. SAOS non appareillé. Cardiopathie ischémique. • status post 2 Stents. HTA Diabète type 2 non insulino-requérant Insuffisance veineuse chronique Dyslipidémie HTA Diabète Obésité Éperons calcanéens BPCO HTA Dyslipidémie HTA Dyslipidémie HTA. Dyslipidémie. HTA. Dyslipidémie. HTA Dyslipidémie Reflux gastro-oesophagien Lombosciatalgie L5 et S1 D déficitaire et irritative sur HD multiétagées et troubles dégénératifs, CLE en L4-L5 • Lasègue 50°, Braguard pos • hypoesthésie et allodynie face latérale du mollet D et pied • M4 des exenseurs du pied et M4+ abaisseur HTA Dyslipidémie sp pneumonie communautaire en 2014 HTA Ectasie de l'aorte ascendante de degré léger • (3.9cm, 2.28cm/m2) HTA État anxieux HTA Hernie hiatale Ostéoporose Diabète type 2 non insulino-requérant sous Gliclazid Syndrome des jambes sans repos sous Gabapentin HTA HPBP Probable BPCO HTA HPBP Probable BPCO HTA Hypercholestérolémie HTA Hypercholestérolémie Oedèmes des MI HTA Hypercholestérolémie SAOS appareillé Obésité stade II (BMI 35.6kg/m2) Tabagisme actif (50 UPA) Goutte HTA Maladie coronarienne monotronculaire avec: • sténose significative A. coronaire D distale • pose de stent actif le 6.9.2016 (HFR) • FEVG 09/2016: 45% • Angor d'effort stable HTA Obésité HTA Obésité Hallux valgus et 2ème orteil en marteau pied G HTA Ostéoporose Dysarthrie Presbyacousie Hypothyroïdie substituée Insuffisance rénale chronique HTAP discrète lors du contrôle de 2003 HTA Polyarthrite rhumatoïde anciennement sous Methotrexate HTA Polyarthrite rhumatoïde. Carcinome épithélial myoépithélial de la glande sous-mandibulaire gauche de stade pT2 N0 Mx. HTA Polymyalgia rheumatica Polyarthrose Canal lombaire étroit Insuffisance veineuse des MI avec OMI Anémie normocytaire hypochrome HTA Pontage fémoral à D en 1992 HTA Restless legs syndrome HTA RGO Cataracte D DMLA G Dépression chronique et anxiété, sous Trittico Insuffisance rénale chronique HTA SAOS appareillé HTA. Sinusites à répétition. HTA S/p pontage fémoral à D en 1992 HTA Troubles cognitifs légers non investigués Hugo est hospitalisé pour prise en charge de son épilepsie. Sur le plan neurologique, il présente des crises motrices simples fréquentes de type moteur (clonie du membre supérieur droit) en augmentation en fréquence et dans sa forme (initialement début janvier que la main) durant sa surveillance ainsi que des clonies du membre inférieur droit, correspondant probablement à des crises partielles complexes. Il présente plusieurs épisodes de perte de contact durant quelques secondes avec regard fixe et rapide récupération d'un état de conscience normal. Hugo ne semble pas se rendre compte de ces pertes de contact. Une IRM est réalisée le 30.01 ne montrant pas de lésions corticales ni autres anomalies anatomiques. Une première dose de charge de phénytoïne est donnée le 30.01 (15mg/kg/dose) bien tolérée du point de vue hémodynamique mais Hugo présente une heure après la perfusion une somnolence et un ralentissement cognitif avec mydriase symétrique et réactive et un nystagmus au regard vers le haut. Il se plaint de diplopie et de nausées avec 3 vomissements sur la nuit avec des crises focales et partielles complexes plus fréquentes. Nous mettons ces symptômes dans le contexte d'une mauvaise tolérance de la phénytoïne, avec peu d'arguments pour des crises complexes. Au matin, il récupère un status neurologique habituel avec persistance des crises connues. Il reçoit une 2ème dose de 15mg/kg/dose de phénytoïne suite à l'avis auprès du CDC de neuropédiatrie de Bern (Dr. X) avec les mêmes effets indésirables à la suite de la perfusion tout en restant stable hémodynamiquement. À noter des taux médicamenteux dans les cibles le 31.01, sauf pour le Levetiracetam qui est en dessous des normes. Au vu de l'inefficacité du traitement par Keppra, un schéma dégressif est mis en place par le Dr. X dès le 31.01. Sur le plan général, l'alimentation est conservée en dehors des phases de nausées et vomissements et il ne présente pas de symptômes infectieux durant son séjour. Au vu de la persistance des plaintes et des difficultés de surveillance dans notre service, une demande de transfert est faite et Hugo part le 31.01 aux HUG. Huile Sanyrene 1x/j Huile Sanyrene 1x/jour. Humeur dépressive. Humeur dépressive avec baisse d'appétit dans le cadre d'un choc émotionnel le 22.01.2019. Humeur dépressive réactionnelle, dans le contexte du diagnostic principal. Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation. Hydratation. Hydratation. hydratation hydratation Hydratation +++ Hydratation à continuer à domicile Hydratation au NaCl 1000 ml/24h. Suivi biologique. Hydratation au NaCl. Pose de sonde urinaire du 05 au 10.01.2019. Suivi clinico-biologique. Hydratation aux urgences 500 ml NaCl 0.9%. Laboratoire : cf. annexes. Hydratation avec jus de cranberry. Hydratation avec NaCl 0,9 % 1l/j du 28.12.2018 au 01.01.2019. Hydratation avec NaCl 0,9% Surveillance biologique le 13.01.2019 Na: 128mmol/l. Hydratation avec Normolytoral après administration de zofran, bien tolérée. Hydratation Contrôle biologique le 28.01.2019 à 13h chez Dr. X. Hydratation, correction des électrolytes Amiodarone iv du 10.01 au 12.01.2019 Introduction d'une anticoagulation thérapeutique le 14.01.2019. En cas de récidive de FA, introduire Amiodarone. ETT de contrôle dans 2 mois en ambulatoire +/- coronarographie +/- poursuite de l'anticoagulation thérapeutique. Hydratation de glucosé 5% Hydratation de glucosé 5%. Labrokontrolle 10.1.2019. Hydratation et alimentation en consultation sans difficulté. Hydratation et diurétiques Bisphosphonates Calcitonine. Hydratation et KCl 20mmol Contrôle biologique. Hydratation et surveillance biologique. Hydratation fractionnée, consulter en cas de signes d'alarme. hydratation fractionnée Consultation si hydratation insuffisante. Hydratation fractionnée Consultation si signe d'alarme. hydratation fractionnée consultation si signe d'alarme. Hydratation fractionnée Consultation si signes d'alarme. Hydratation fractionnée Consultation si signes d'alarme. Hydratation fractionnée Itinérol B6 au besoin. Hydratation fractionnée Itinérol B6 et antalgique au besoin Reconsultation si péjoration de l'état général. Hydratation fractionnée Maintien du même schéma de Ventolin que prescrit par le pédiatre Contrôle au Fast-track dimanche 20.01. famille annule si nette amélioration. Hydratation fractionnée Reconsulte si hydratation insuffisante. Hydratation fractionnée Reconsulte si hydratation insuffisante. Hydratation insuffisante. Hydratation intraveineuse. Hydratation intraveineuse. Hydratation intraveineuse. Hydratation intraveineuse. Hydratation intraveineuse. Hydratation intraveineuse. Adaptation médicamenteuse. Hydratation intraveineuse de NaCl 1500ml aux urgences puis 1000ml/24h Suivi biologique. Hydratation intraveineuse et per os Laboratoire d'entrée créat 158 mmol/l Laboratoire de contrôle créat 116 mmol/l. Hydratation intraveineuse par NaCl 1500ml aux urgences puis 1000ml/24h Suivi biologique. Hydratation intraveineuse. Suivi biologique.SPOT 19.01: FENa 0.6 = pré-rénal Pas d'hématurie, pas de cylindres hyalins, cylindres granuleux présents • Hydratation intraveineuse • Suivi biologique • Hydratation intraveineuse • Suivi créatinine • Hydratation intraveineuse • Suivi laboratoire • Hydratation • Itinerol suppositoire 1x/j si persistance des vomissements • Hydratation i.v. • Hydratation IV du 21.12 au 26.12.2018 • Aloxi IV du 21.12 au 23.12.2018 • Emend PO du 21.12 au 23.12.2018 • Primperan IV en R • Ondansétron IV en R • Suivi nutritionnel • Suivi clinique et biologique • Hydratation iv et per os • Ciprofloxacine, Flagyl jusqu'au 13.01.19 • Hydratation iv et per os • Metformine, Sartan et Thiazide en suspend dès le 16.01.19 • Hydratation iv et per os • Sonde urinaire du 11.01.19 au 13.01.19 • Lisinopril, Aldactone en suspens dès le 11.01.19 • Torem en suspens au 11.01.19 au 15.01.19 • Hydratation IV • Pantozol 2 x 40 mg • Stop Clexane • Hydratation i.v. • Suivi biologique. • Hydratation IV 2000 ml • Antalgie: AINS, Dafalgan, morphine IV • Laboratoire • 2l Oxygène au lunette • Avis hématologique (Dr. X): hospitalisation pour antalgie et surveillance biologique Att: Hospitalisation en médecine pour antalgie et surveillance biologique • Hydratation IV 500 ml. • Contrôle biologique chez le médecin traitant à 48 heures. • Hydratation i.v. • Cathéter dialyse fémoral droit du 24.12.2018 au 26.12.2018 • Épuration extra rénale continue au citrate du 24.12.2018 au 25.12.2018 • Hydratation iv. • Contrôle biologique le 23.12.2018. • Hydratation iv. • Contrôle clinico-biologique ce vendredi chez son médecin traitant. • Hydratation IV • Furosemide IVSE du 25.01 au 26.01 • KT de dialyse fémorale droit du 26.01.2019 au ... • CCV-HDF au citrate du 26.01.2019 au ... • Hydratation i.v. • Miacalcic s.c. 2x/j • Hydratation iv. • Stimulation à l'hydratation à domicile. • Hydratation IV • Suivi biologique • Hydratation i.v. • Suivi biologique • Hydratation i.v. • Suivi biologique • Avis de médecine interne le 01.11.2018 • Adaptation de la posologie de la co-amoxicilline et monitoring du taux de co-amoxicilline • Hydratation jusqu'au 31.12.2018 • Hydratation. • Modification du traitement anti-hypertension artérielle, contrôle des fonctions rénales chez son médecin traitant. • Hydratation NaCl iv 2 l/24 h. • Mettre en suspens du Comilorid, repris par la suite. • Hydratation NaCl 0.9% 1500 ml/24h Attitude: • Soins intensifs • Hydratation NaCl 500 ml dès le 18.12.2018 avec restriction de prise d'eau libre • Augmentation hydratation jusqu'à 2000 ml dès 18h le 21.12.2018 • Capsule de sel p.o. • Suivi clinico-biologique • Hydratation orale • Consignes de surveillance données aux parents • Hydratation orale • Suivi biologique • Hydratation par Glucose 5% 1500 ml du 12.12.2018 au 13.12.2018, puis NaCl 0.9% • Suivi laboratoire • Hydratation par la bouche. • Hydratation par NaCl • Bilan urinaire le 06.01.2019 • Mise en suspens provisoire du traitement antihypertenseur • Suivi biologique • Hydratation par NaCl iv • Laboratoire • ECG • HbA1c à 12.7% le 20.01.2019 Att: • Hospitalisation médecine interne pour suite de prise en charge • Avis diabétologique • Hydratation par NaCl 0,9 % 1 l/24h. • Hydratation par NaCl 0,9 % 500 ml/24 heures (normalisation de la fonction rénale). • Hydratation par NaCl 0.9%. • Dafalgan, Buscopan aux urgences. • Traitement symptomatique, conseils d'usage (alimentation, hydratation, pour éviter contage). • Hydratation par NaCl 0.9% 1000 cc aux urgences • Mg 20 mmol aux urgences • Hydratation par NaCl 0.9% 1000 ml/24h • Mise en suspens du traitement antihypertenseur le 11.12.2018, mais reprise progressive dès le 14.12.2018 • Physiothérapie • ECG le 11.12.2018 • Test de Schellong le 11.12.2018: pathologique • Test de Schellong le 12.12.2018: dans les limites de la norme après remplissage. • Contrôle du pacemaker bicaméral: seuils, détections et impédances correctes; aucune arythmie enregistrée; fréquence cardiaque minimale augmentée à 70/minute • Avis ORL 12.12.2018: pas de signes d'atteinte périphérique • IRMc le 13.12.2018: pas de signes d'ischémie ou saignements; sténose des artères vertébrales des deux côtés • Duplex vaisseaux précérébraux le 17.12.2018: pas d'explication pour les vertiges • Hydratation par NaCl 0.9% 1500 ml sur 4h • Traitement symptomatique. • Hydratation par NaCl 1000 cc aux urgences puis 2000/24 h • Suivi biologique, mise en suspens antihypertenseur • Hydratation par NaCl • Stop médicaments néphrotoxiques • Laboratoire • Stix et sédiment urinaire • Spot urinaire • US bedside (Dr. X): pas de dilatations des voies urinaires, pas de rétention urinaire • Suivi clinico-biologique • Hydratation par 1000 ml NaCl rapide avec normalisation de la tension artérielle. • Hydratation par 1000 ml NaCl sur la nuit. • Hydratation par 250 ml NaCl en 2h. • Contrôle de la fonction rénale dans 4 jours chez Dr. X. • Hydratation par 500 ml NaCl en O.U • Protocole boisson 1.5 L/j • Suivi laboratoire • Hydratation per os. • Hydratation per os 1.5-2 lt par jour. • Hydratation per os • Diurétique en pause du 31.12.18 au 03.01.19 • Mise en suspens IEC et antidiabétiques oraux dès le 31.12.18 • Hydratation p.o et IV • Fe urée: 24.4% • Hydratation prudente 1000 ml/24h le 20.12.2018 + stimulation à boire • Mise en pause des médicaments néphrotoxiques • Hydratation Ringer 1 g 1x/j. • Suivi biologique: Crea: 78 µmol/l le 13.01.2019 • Hydratation • Spot à pister • Mise en suspens IEC, digoxine • Hydratation • Substitution • Hydratation sucrée et fractionnée • Antalgie • Contrôle pédaitre • Consultation Dr. X • Hydratation, suivi biologique • Hydratation, suivi biologique • Mise en suspens diurétiques et antihypertenseurs • Voir valeurs chez médecin traitant • Hydratation 1 l/24h • Antalgie par Tramal • Hydratation 1000 ml IV aux urgences. • Encourager une hydratation p.o à domicile. • Suivi chez le médecin traitant. • Hydratation 1000 ml NaCl rapide: dans la norme par la suite • Hydratation 1000 ml NaCl 0.9%. • Suivi biologique. • Hydratation 1000 ml/24h iv • Mise en suspens des diurétiques (suivi fonction rénale et réintroduction Torem 5 mg 1x/j habituel.) • Suivi biologique • Stimulation hydrique • Labo du 20.12.2018: Créatinine 179, Clairance créatinine selon CKD-EPI: 29 ml/min/1,73 m² -> KDIGO G4 • 08.01.2019: Status urinaire: Fe Urée: 67,3%: origine plutôt organique • 08.01.2019: Stimulation hydrique, remise Torem à 5 mg/j • 10.01.2019: Créatinine 162, Clairance créatinine selon CKD-EPI: 33 ml/min/1,73 m² • Hydratation 1000 ml/24h i.v. • Mise en suspens du Torasémide. • Suivi biologique. • Hydratation 1000 ml/24h et 20 mmol KCl • Suivi biologique • Hydratation 1000 ml/24h après injection produit de contraste au CT abdominal • Spot urinaire • Suivi biologique • Hydratation 1000 ml/24h. • FeNa 4.5% (pas de globe). DD: rénale hypertensive? • Hydratation 1000 ml/24h • Suivi biologique • Stop Héparine et introduction d'Eliquis 2.5 mg 2x/j dès le 24.11.2018 • Hydratation 1500 ml/24 heures. • Torem en suspens. • Hydratation 1500 ml/24 h. • Surveillance la nuit aux lits monitorés. • Hydratation 1500 ml/24h. • Suivi biologique. • Hydratation 1500 ml/24 heures aux urgences • Suivi clinico-biologique • Spot urinaire • Bilan des entrées et sorties • Bladder scan: pas de globe (258 cc) • Hydratation 2000 ml/24h • Suivi clinique • Hydratation 2000 ml/24h • Stimulation à l'hydratation par voie orale Suivi biologique Hydratation 2500 ml aux urgences US abdominal : sans particularité (résultat téléphonique) Sédiment et spot urinaire Mise en suspens des traitements néphrotoxiques Consilium néphrologique à demander Hydratation 500 ml iv Suivi biologique Hydratation 500 ml IV Suivi biologique Hydratation 500 ml NaCl 0.9 % en cours Att : • Ad spot • suivi à l'étage Hydratation Adaptation du traitement Hydratation Adaptation médicamenteuse Suivi biologique Hydratation Antalgie Tavanic adapté à dose rénale 250 mg iv du 07.01 au 09.01.2019 puis per os 500 mg le 10.01.2019 Hémocultures le 13.01.2019 : négatives Urotube : négatif Sérologies : HBV, HBC, HIV, EBV, CMV, toxoplasmose négatives Selles : PCR pour C. Difficile et PCR multiples négatives Frottis cavité buccale le 08.01.2019 : négatif RX Thorax : dans la norme US cou (Dr. X) le 07.01.2019 : pas de thrombose jugulaire, pas d'abcès Avis infectiologique (Dr. X) le 09.01.2019 : étiologie infectieuse peu probable, arrêt du Tavanic le 10.01.2019 et surveillance clinique Avis rhumatologique (Dr. X) : pas de modification du traitement, continuer Actemra selon schéma prescrit Hydratation Antiemetique Hydratation bilan diurèse, 0,2 ml/kg/h Hydratation. Contrôle biologique à la filière des urgences ambulatoires le 11.01.2019. Hydratation CT abdominal natif le 08.01.2019 Traitement de la cause principale (cf problème principal) Hydratation Flagyl 500 mg 3x/j du 12.12.2018 au 26.12.2018 Hydratation Gastroscopie le 15.01.19 puis le 17.01.19 Régime : tout mixé (avec rinçage liquide après chaque bouchée) Hydratation Laboratoire Urines avec sédiment urinaire : pas de cylindres, pas d'acanthocytes, pas d'éosinophilurie Avis néphrologique (Dr. X) : diagnostique initiale de IRA d'origine pré-rénale vs néphrite interstitielle dans contexte allergique sur prise de Co Amoxicilline. Hydratation et suivi diurèse US système uro-génital le 08.01.2019 : pas de dilatation pyélocalicielle, reins normaux Hydratation Mise en suspens Candesartan, Lecardipine, Lasix jusqu'au 28.12.2018 Hydratation Mise en suspens du diurétique Hydratation Pause de Calcinine le 23 et le 27.12.2018 Hydratation. Spot urinaire à pister. Adaptation du traitement. Hydratation Spot urinaire Suivi biologique Hydratation. Stop Movicol. Isolement. Hydratation Suivi biologique Hydratation Suivi biologique Hydratation Suivi biologique Hydratation Suivi biologique Hydratation Suivi biologique Hydratation Suivi biologique Hydratation Suivi biologique Hydratation Suivi biologique Hydratation Suivi biologique Hydratation. Suivi biologique. Hydratation. Suivi biologique. Hydratation. Suivi clinique et biologique Hydratation Suivi de la créatinine Hydratation Suivi laboratoire Hydratation Surveillance biologique Hydratation Surveillance biologique Hydratation Surveillance biologique Hydratation Surveillance biologique : • GFR selon CKD-EPI (31.12.2018) : 70.1 ml/min/1.73m2 • GFR selon CKD-EPI (03.01.2019) : 80.5 ml/min/1.73m2 Hydratation symptomatique Hydratation. Xarelto en suspens du 21 au 25.12.2018. Xarelto 15 mg 1x/j adapté à la fonction rénale (MDRD à 45.7 le 25.12.2018) repris le 25.12.2018 Xarelto 20 mg 1x jour à la sortie. Hydratation 2000 ml de NaCl / 24h Hydropneumothorax à droite, 4 cm de pneumothorax, emphysème centro-lobulaire le 28.12.2018 dans contexte post-opératoire • status post-résection uniportale du segment I et II droit avec lymphadénectomie médiastinale radicale le 20.12.2018 pour cavité d'aspergillome et NSCLC en investigation. • status post-ablation drain thoracique à droite le 22.12.2018 Hydrocèle testicule gauche le 28.01.2019. Hydrocéphalie à pression normale Hydromorphone pour la dyspnée, fixe et en réserve Physiothérapie, ergothérapie Radio de contrôle le 16.01.2019 Hydropneumothorax millimétrique G et fractures costales : arc latéral 3ème côte G, arc postérieur des côtes 7 et 8, arc latéral 4ème côte D, le 28.05.2018 Décompensation hyperosmolaire inaugurale sans acidose en 2008 Crise d'épilepsie en 2006 • privation de sommeil Hydrops vésiculaire de découverte fortuite au CT abdominal du 22.12.2018 Hydratation avec Normolytoral 100 ml en salle d'attente sans vomissement Hygiène alimentaire Movicol junior : 2 sachets par jour durant une semaine, par la suite 1 sachet par jour avec diminution progressive si asymptomatique. Contrôle chez le pédiatre dans 2 semaines pour évaluer la résolution du cordon de selles Hypokaliémie à 2.9 mmol/l. Hyper réactivité bronchique sur bronchite virale le 20.01.2019. Hyperactivité (Dr. X) : • traité avec Fleur de Bach • traitement avec Ritaline pendant 1 an stoppé suite à effets secondaires (crise colérique) Adipositas (BMI 31.7 kg/m2 P > 97) avec macrosomie (Taille 192 cm P > 97) Tabagisme actif (0.5 UPA) Hyperactivité traitée par Ritaline. Hyperactivité/déficit de l'attention traité par Strattera. Scoliose. Migraines sans aura cataméniales. Hyperalgie Hyperbilirubinémie Hyperbilirubinémie à 280 mmol/l Hyperbilirubinémie isolée d'origine indéterminée Hyperbilirubinémie le 08.04.2016 DD syndrome de Gilbert Pneumothorax iatrogène droit sur biopsie le 13.04.2016 Opération du ménisque gauche non datée Iléus grêle mécanique sur bride le 06.01.2018 • résection segmentaire grêle (30 cm) le 20.04.2017 pour iléus sur bride • Laparoscopie exploratrice avec adhésiolyse le 09.01.2018 Pneumonie para-hilaire gauche le 14.01.2018 • Tazobac du 14.01 au 22.01.2018 Malnutrition protéino-énergétique sévère Hyperbilirubinémie liée à la prématurité Hyperbilirubinémie néonatal sans incompatibilité (max 177 umol/l) Hyperbilirubinémie sans incompatibilité (enfant O Rhésus + avec Coombs - ; et mère groupe O Rhésus positif) Hyperbilirubinémie sur lait maternel probable Hyperbilirubinémie direct et totale d'origine inconnue • Valeurs hépatiques dans la norme • Cliniquement sans particularité Hypercalcémie à 2.62 mmol/l le 06.12.2018 Hypercalcémie à 3.00 mmol/L (Ca corrigé) le 26.12.2018 dans un contexte de myélome multiple Hypercalcémie en péjoration le 03.01.2019 Hypercalcémie modérée à 3.11 mmol/l dans le contexte de la progression tumorale avec métastases osseuses. Hypercalcémie probablement paranéoplasique à 2.95 mmol/l le 31.12.2018 Hypercalcémie sévère sur le myélome multiple • Calcium corrigé à 3.88 mmol/l le 18.12.2018 Hypercalcémie sévère (3.6 mmol/l) sur métastases osseuses DD : Insuffisance rénale Hypercalcémie sur hyperparathyroïdie primaire chronique sur adénome parathyroïdien inférieur droit • s.p. tentative de résection de l'adénome avec échec (pas de normalisation de la PTH ni du Calcium) • Calcium oscille entre 2.6 et 2.9 depuis 2009 • PTH oscille entre 105 et 200 ng/l depuis 2009 Hypercalcémie symptomatique Hypercapnie chronique sur syndrome de Rett : • Poids 28.5 kg • Traitement par VNI depuis 02.2018. • Oxygénothérapie à domicile ponctuel dans le cadre de crise de l'épilepsie 2 l/min ou de décompensation respiratoire • Polygraphie nocturne sous VNI du 19.11.2018: IAH 7.4 /h avec 3.3/h hypopnées, 1.8/h apnées obstructives, 2/h apnées centrales, IDO 6.2 /h, Ronflements 22.9 %, SpO2 moyenne 96 % • Capnographie sous VNI du 19.11.2018: SaO2 moy 96 %, pCO2 moyenne 6.5 kPa • Paramètres ventilatoires actuels: Stellar 150, Mode ST, EPAP 5 cmH2O, IPAP 12 cmH2O, Masque AirFit F10 XS • Actuellement: bonne compliance, augmentation de la fatigue diurne depuis 2 mois, majoration de l'IPAP et EPAP à 13/6 cmH2O, contrôle dans 3 mois Hypercapnie d'allure chronique avec syndrome restrictif • fonctions pulmonaires (30.11.2017): syndrome restrictif et diminution de l'échange gazeux, pas de syndrome obstructif Probable syndrome d'hypoventilation/obésité non investigué (refus de VNI par Mr. Y) • tabagisme ancien 45 UPA Troubles neuro-cognitifs modérés à prédominance mnésiques et exécutifs d'origine mixte (vasculaire, neurodégénérative, post-traumatique, métabolique, toxique sur consommation OH) avec: • bilan neuropsychologique (07/2016): difficultés de mémoire antérograde en modalités verbale et visuelle, troubles exécutifs, traitement des nombres, praxiques idéomotrices, visuo-spatiales, gnosiques visuelles discriminatives ainsi que ralentissement idéomoteur • MMS 24/30 (01/2017 à la consultation de la mémoire de Mme. Y et Prof. X) Syndrome métabolique avec: • diabète de type 2 insulino-traité • hypertension artérielle • dyslipidémie • obésité Insuffisance cardiaque chronique sur cardiopathie hypertensive, ischémique et valvulaire • s/p valve aortique biologique pour sténose aortique sévère (2016) • cardiopathie ischémique avec low flow low gradient • hypertension pulmonaire modérée post-capillaire Hyperplasie bénigne de la prostate avec rétention urinaire chronique Insuffisance rénale chronique Hypercholestérolémie Cuff-tear Arthropathie de l'épaule droite Trikompartimentale Gonarthrose droite avec St.n. Arthroscopie genou droit avec Biopsie et Spülung chez V.a. septique arthritis (23.11.2011) Hypercholestérolémie Medikation: keine Hypercholestérolémie Hypercholestérolémie Hypercholestérolémie Hypercholestérolémie Hypercholestérolémie Hypercholestérolémie Hypercholestérolémie. Hypercholestérolémie. Hypercholestérolémie. Hypercholestérolémie. Hypercholestérolémie. Hypercholestérolémie. Hypercholestérolémie. Hypercholestérolémie. Hypercholestérolémie. Hypercholestérolémie. Hypercholestérolémie. Hypercholestérolémie. Hypercholestérolémie le 03.01.2018 : HDL-cholestérol 1.06 mmol/l, LDL-cholestérol 3.97 mmol/l, Triglycérides 0.8 mmol/l Hypercholestérolémie avec LDL cholestérol à 4.77 mmol/L Hypercholestérolémie. Diabète de type 2 insulino-requérant. Hypercholestérolémie. Diabète de type 2 insulino-requérant. Hypercholestérolémie et hypertriglycéridémie le 30.12.2018 Hypercholestérolémie et hypertriglycéridémie le 30.12.2018 Hypercholestérolémie Hypertension artérielle traitée Syndrome des apnées du sommeil Presbyacousie appareillée Quadranopsie supérieure droite dès le 21.10.2018, DD effet secondaire du Lyrica • Contrôle ophtalmologique à distance • Interdiction de conduire jusqu'au contrôle (Mr. Y informé le 23.10.2018) Incidentalome surrénalien droit asymptomatique Hypercholestérolémie Hypertension artérielle traitée Syndrome des apnées du sommeil Presbyacousie appareillée Quadranopsie supérieure droite dès le 21.10.2018, DD effet secondaire du Lyrica • Contrôle ophtalmologique à distance • Interdiction de conduire jusqu'au contrôle (Mr. Y informé le 23.10.2018) Incidentalome surrénalien droit asymptomatique Troubles de la marche et déconditionnement d'origine multifactorielle avec réhabilitation • Douleurs inguinales gauches dans un contexte de multiples métastases osseuses depuis le 12.11.2018 • Coxarthrose gauche • Pose de prothèse de la hanche droite en 2008 (Prof. X) • S/p probable crise de goutte cheville gauche le 28.11.2018, Prednisone 28.11.-16.12.2018 • Adénocarcinome prostatique • Cardiopathie ischémique et dysrythmique • Anémie chronique Réhabilitation gériatrique avec physio- et ergothérapie Adaptation de l'antalgie Adénocarcinome prostatique Gleason 4+5=9, avec invasion du plancher vésical et probables métastases osseuses (rachis dorso-lombaire, bassin, os pubis gauche) • Premier diagnostic: Décembre 2014 • S/p TURP en 1999 et en 2014 • S/p TURV en 2000, 2010, 2018 • Cystoscopie, décaillotage, biopsie du col vésical en avril 2018 (Dr. X): adénocarcinome acinaire de la prostate infiltrant le plancher de la vessie. Marges de la biopsie non saines. • PSA 0.062 en mars 2018 • Dernier contrôle urologique (Dr. X) en septembre 2018: pas de résidu post-mictionnel, pas de macrohématurie, US voies urinaires sp • CT abdominal du 02.11.2018: Apparition d'une dilatation pyélocalicielle bilatérale. Apparition de multiples zones hyperdenses du rachis dorso-lombaire et du bassin, en particulier l'os pubis gauche, évoquant des métastases ostéoblastiques. Epanchement péricardique mesurant jusqu'à 15 mm en regard du ventricule gauche. • Pose de néphrostomie gauche le 04.11.18 (Dr. X), avec déplacement secondaire accidentel et obstruction secondaire le 05.11.2018, replacement de la néphrostomie le 06.11.2018 (Dr. X). Néphrostomie à laisser à demeure. • CT hanche et cuisse gauche du 28.11.2018: Métastases osseuses superposables à celles du CT du 02.11.2018 sans fracture pathologique. Absence de masse des parties molles en regard de ces métastases. Présence d'un minime épanchement intra-articulaire de l'articulation coxofémorale, sans collection des parties molles. • Dose unique de radiothérapie au niveau de la hanche gauche le 30.11.2018 (pas d'autres séances prévues) • Hormonothérapie: Casodex 50 mg 1x/j 23.11-14.12.2018, Zoladex 10.8 mg sc le 12.12.2018 (à répéter tous les 3 mois) • Duodart jusqu'au 11.12.2018, Tamsulosine dès le 12.12.2018. Douleurs au niveau de la colonne thoracique dans un contexte de métastases osseuses le 20.12.2018 • Douleur importante de Th5 • Fracture pathologique Th3 • CT thoracique le 27.12.2018 • Avis Team Spine le 28.12.2018: Pas d'instabilité de Th3, Pas de flexion au-delà de 45° • Avis Radio oncologique: CT de planification le 08.01.2019, Mr. Y sera reconvoqué pour une séance de radiothérapie Cardiopathie ischémique et dysrythmique NYHA II avec: • S/p STEMI inférieur en 1981 • S/p PTCA et stenting de l'IVA distale et de la coronaire circonflexe moyenne et distale en 2004 • S/p implantation d'un pacemaker-défibrillateur automatique implantable pour tachycardie ventriculaire monomorphe en 2004: IRM NON COMPATIBLE (dernier contrôle le 10.10.2018) • S/p PTCA et stenting de la branche intermédiaire en 2007 • S/p PTCA en 2010, 2011 et 2015 • Coronarographie le 24.03.2017 (Prof. X): État coronarien stable. FEVG 30%. Subocclusion de l'ostium de la RCx. PTCA et stenting de la Cx proximale. Bon résultat final. • ETT le 11.10.2018 dans un contexte de décompensation cardiaque: FEVG 30%. Hypokinésie sévère. Hypertrophie excentrique. Sclérose aortique. Dysfonction diastolique modérée. • S/p Décompensation cardiaque gauche probablement sur progression de la cardiopathie ischémique le 10.10.2018 Hypercholestérolémie le 24.12.2018 Hypercholestérolémie (non traitée). Hypercholestérolémie non traitée Tabagisme actif Hypercholestérolémie non traitée Tabagisme actif Antécédents familiaux d'infarctus chez la soeur à 55 ans Hypercholestérolémie Polymyalgie rheumatica Syndrome du tunnel carpien G Rhizarthrose bilatérale Hypercholestérolémie sous hypolipémiant X. Hypercholestérolémie traitée Hypercholestérolémie traitée Hyperplasie bénigne de la prostate Surdité appareillée Hypercholestérolémie traitée Adénocarcinome du rectum, ypT1ypN0 (0/12) G2R0: • Laparotomie exploratrice avec adhésiolyse et résection segmentaire de l'iléon distal avec anastomose iléo-iléale termino-latérale en 2 plans et lavage abdominal le 27.02.2018 • Radio-chimiothérapie néo-adjuvante du 11.03.2016 au 22.04.2016 • Résection antérieure basse avec TME le 17.06.2016 • Fermeture d'iléostomie le 13.09.2016 • Iléus à répétition • Incontinence fécale sur diarrhée chronique Dénutrition sévère Hypercholestérolémie traitée Diabète type II non-insulinorequérant traité Hypercholestérolémie traitée. Diabète type II non-insulinorequérant traité. Hypercholestérolémie traitée Hypertension artérielle non traitée Cardiopathie ischémique avec: • PTCA de l'IVA moyenne en 1997 • Mise en place d'un stent actif sur l'IVA en 2010 Hernie hiatale Coxarthrose gauche Hernie inguinale gauche Carcinome rénal gauche • Status post-thermoablation par micro-ondes d'une lésion maligne kystique du pôle inférieur du rein gauche, sous CT le 28.11.2016 • Suivi par Dr. X Adénocarcinome colique à double localisation transverse et sigmoïdienne stade pT4a (2) pN0 (0/65), Pn1, V1, R0, G2, avec • Colectomie subtotale avec ascendo-rectostomie et iléostomie de protection le 28.09.2015 (Dr. X) Suspicion de syndrome parkinsonien • Clinique: petits pas, pas de rigidity, pas de tremor • Madopar 125mg 1-1-1 depuis 09/2018 • Arrêt de Madopar 10/2018 Hypercholestérolémie traitée. Hypertension artérielle non traitée. Probable gastrite chronique. Hypercholestérolémie traitée. Hyperuricémie traitée. Trouble de l'anxiété. Probable syndrome des apnées obstructives du sommeil. Hypercholestérolémie traitée. Rétention urinaire de 2000 ml sur infection urinaire basse le 05.01.19 avec • Syndrome obstructif sur hyperplasie bénigne de la prostate, suivi par Dr. X. • Infections urinaires récidivantes, dernière le 08/18 Klebsiella pneumoniae résistante à Ampicilline. • Incontinence de type indéterminée. Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine post-rénale. • FeUrée 35%. Hypercholestérolémie (09.12.2018) VPPB Hypercholestérolémie Côlon irritable Hypercholestérolémie. Épilepsie traitée (Dr. X neurologue). Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie HBP Epigastralgies avec RGO (sous IPP depuis 2014) Hypercholestérolémie HTA traitée OH chronique Hypercholestérolémie Hypertension artérielle Diabète de type 2, non-insulinorequérant Lombalgies chroniques Hypercholestérolémie. Hypertension. Hyperuricémie. Hypercholestérolémie Hypertension artérielle Hernie hiatale Iléite terminale, colite du caecum à Campylobacter spp, Salmonella et Shigella le 01.01.2018 BBG nouveau alternant avec QRS fins probablement d'origine dégénérative Fonction systolique du VG normale (EF 60%) Hypercholestérolémie Hypertension artérielle Hernie hiatale Iléite terminale, colite du caecum à Campylobacter spp, Salmonella et Shigella le 01.01.2018 BBG nouveau alternant avec QRS fins probablement d'origine dégénérative Fonction systolique du VG normale (EF 60%) Hypercholestérolémie. Maladie coronarienne tritronculaire : • Sténose significative IVA proximale et moyenne • Occlusion IVA distale • Sténose significative de la première marginale • Occlusion de l'artère circonflexe distale • Sténose significative de l'artère coronaire droite proximale • FEVG estimée à 55 % avec une hypokinésie apicale. Coronarographie 12.1.2011. Quadruple pontage en 2011 à Berne. Hernie ombilicale. Hypercholestérolémie Ménopause substituée Artériopathie périphérique stade 2a • Recanalisation d'une sténose A. abdominale et d'une sub-occlusion de l'A. iliaque commune gauche par Kissing stent aorto-iliaques ddc 2011 HFR • Suspicion de sténose carotide externe D 5/2013 • PTA et pose de stent sur sténose filiforme à la sortie du stent A. iliaque commune G 8/2018 Suspicion de M. Bechterew : • HLA B27 positif • Pas de traitement FRCV : tabagique à 100 UPA, 2 frères décédés d'AVC, père et oncles avec multiples AVC, hypercholestérolémie Hypercholestérolémie Polyarthrite rhumatoïde, séronégative (actuellement sans traitement) Maladie de Parkinson Diverticulose sigmoïde et adénome tubulaire de colon sigmoïde avec dysplasie de bas grade (coloscopie 2016) Gastrite chronique et maladie de reflux Cirrhose CHILD A : • Biopsie 03.04.2014 : remodelage cirrhotique micronodulaire diffus du foie avec fibrose péri-sinusienne et infiltrat lymphocytaire inflammatoire discret, étiologie la plus susceptible d'être alcoolique Cervico-nuchalgie récurrente Hypercholestérolémie SAS EBPCO léger Amaurosis fugax 2013 et 2014 Cardiopathie toxique Prostatites récidivantes Status post TURP en 2008 Prostatectomie et lymphadénectomie pelvienne en 2008 (Dr. X) Status post polype fibroépithélial du tronc basal droit sur bronchoscopie en mai 2017 Trouble dégénératif lombaire Coxarthrose bilatérale Gonarthrose gauche Status post hémi-prothèse en 2015 Cécité quasi totale œil droit avec anisocorie Opération de cataracte gauche en 2009 Status post neurolyse du nerf sciatique à droite Hypercholestérolémie Tabagisme actif Antécédents familiaux d'infarctus chez la soeur à 55 ans Hypercholestérolémie Tassement L2-L3 : nouveau ou ancien ? Hypercholestérolémie Troubles cognitifs légers Hernie hiatale Hypercholestérolémie Troubles cognitifs légers Troubles anxio-dépressifs Hernie hiatale IAMI stade I Insuffisance veineuse chronique stade C3 Diverticule duodénal • OGD : juillet 2018 : gastrite diffuse non érosive avec diverticule duodénal Hypercholestérolémie Troubles cognitifs légers Troubles anxio-dépressifs Hernie hiatale IAMI stade I Insuffisance veineuse chronique stade C3 Diverticule duodénal • OGD : juillet 2018 : gastrite diffuse non érosive avec diverticule duodénal Hyperdensité temporale G au CT-Scan du 14.01.2019 Hyperémèse Hyperémèse gravidique Hyperémèse gravidique à 5 6/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente 3G1P de 28 ans Hyperémèse gravidique à 9 1/7 SA, chez une de 37 ans, 4 gestes 2 pares. Hyperémèse gravidique à 9 6/7 semaines d'aménorrhée chez patiente primigeste de 38 ans Grossesse sur FIV avec transfert d'un seul embryon Hyperémèse gravidique, le 09.01.2019. • G2P0, 10 SA. • Perte pondérale de 5 kg en 1 mois. • Hospitalisé fin décembre 2018 pour même motif au Daler. DD : Migraine. Hyperémésis Hyperémie gravidique. Hyperéosinophilie sévère avec possible atteinte multi-organique en 12.2017, probablement dans le cadre d'une granulomatose hyperéosinophilique avec polyangéite (maladie de Churg-Strauss) : • Possible atteinte vasculaire cérébrale • Possible atteinte coronarienne, myocardique et péricarditique • ANCA négatifs DD : syndrome hyperéosinophilique idiopathique, hyperéosinophilie secondaire, hémopathie Hyperglycémie hyperglycémie hyperglycémie Hyperglycémie à l'entrée Hyperglycémie à 11 mmol/l de découverte fortuite Hyperglycémie à 13,4 mmol/l aux urgences Hyperglycémie à 13,4 mmol/l aux urgences Hyperglycémie à 15,4 mmol/l le 12.01.2019 Hyperglycémie à 21,4 Hyperglycémie à 22 mmol/l chez Mr. Y diabétique le 05.01.2019 • Diabète d'origine pancréatoprive sur pancréatectomie partielle en 1994 et totale en 2002 • Pompe à insuline Hyperglycémie à 22 mmol/l sur crise hyperalgique abdominale le 05.01.2019 Hyperglycémie dans le contexte d'alimentation entérale Hyperglycémie dans un contexte de prise de corticoïdes Hyperglycémie le 18.01.2019 DD Diabète type 2 non diagnostiqué, glucose à jeun anormal Hyperglycémie sur mauvaise compliance médicamenteuse. • Traitement non pris le 22.01.2019. Hyperglycémie sur non prise de son traitement d'insuline lente du soir. Hyperglycémies sur diabète secondaire cortico-induit Hyperhidrose sous traitement de Dr. X 5 mg 2 à 3 fois par jour Hyperhomocystéinémie initiale Hyperhydratation refusée par Mme. Y Suspension des néphrotoxiques Soins de confort Hyperinsulinisme congénital (traitement habituel: Proglycem 25 mg 4x/jour): suivi par Dr. X endocrinologue à Berne. Légère cardiomyopathie hypertrophique (probablement à cause d'un hyperinsulinisme): souffle cardiaque (3/6). Hyperkaliémie Hyperkaliémie à 5.1 Hyperkaliémie à 5,1 mmol/l le 25.10.2018 Hyperkaliémie à 5,5 mmol/l le 09.12.2018 Hyperkaliémie à 5,5 mmol/l le 11.12.2018 Hyperkaliémie à 5.1 mmol/l le 18.01.2019 • sur traitement aldactone Hyperkaliémie à 5,2 mmol/l Hyperkaliémie à 5.2 mmol/l. Hyperkaliémie à 5.2 mmol/l le 28.01.2019 Hyperkaliémie à 5.3 mmol/l asymptomatique. Hyperkaliémie à 5.3 mmol/l le 02.01.2019 à 14h12 Hyperkaliémie à 5.3 mmol/l le 08.01.2019 dans un contexte d'insuffisance rénale aiguë sur chronique Hyperkaliémie à 5.3 mmol/l le 10.01.2019 Hyperkaliémie à 5.4 mmol/l. Hyperkaliémie à 5.4 mmol/l le 13.12.2018 Hyperkaliémie à 5.4 mmol/l le 21.01.2019 Hyperkaliémie à 5.5 mmol/l le 18.12.2018 Hyperkaliémie à 5.7 mmol/l le 18.01.2019 Hyperkaliémie à 5.8 mmol/l Hyperkaliémie à 5.8 mmol/l le 03.01.2019 Hyperkaliémie à 5.9 mmol sans retentissement ECG le 07.01.2019 Hyperkaliémie à 6.3 mmol/L le 14.12.2018 DD : Sur IRA sur chronique, bêtabloquants, Zinacef Hyperkaliémie à 6.5 mmol/l le 28.12.2018 DD : • Médicamenteux sur aldactone • Insuffisance rénale aiguë Hyperkaliémie à 7.2 mmol/L Hyperkaliémie asymptomatique à 5.1 mmol/l le 29.01.2019 Hyperkaliémie asymptomatique à 5.5 mmol/l le 01.01.2019 Hyperkaliémie avec modifications de l'ECG Kalium 5.8, Ca corr 2.27 ECG : Electro-entrainé, QRS large avec T hypervolté large, asymétrique, bloc de branche gauche Pas de palpitation, pas de dyspnée Hyperkaliémie et hypophosphatémie d'origine indéterminée le 09.01.2019 Hyperkaliémie iatrogène à 6.3 mmol/L le 03.01.2019 • substitution et traitement aldactone Hyperkaliémie légère à 5,3 mmol/l. Hyperkaliémie légère à 5.7 mmol/l le 15.01.2019. Hyperkaliémie légère à 5.8 mmol/l Hyperkaliémie modérée le 31.12.2018 Hyperkaliémie probablement dans le cadre de l'insuffisance rénale chronique • K 5.5 mmol/l le 23.01.2019 Hyperkaliémie 5.5 mmol/l le 28.01.2019 Hyperkaliémie 5.7 mmol/l le 15.01.2019 Hyperkératose 5ème tête métatarsienne plantaire à G. Gonarthrose médiale débutante à G. Hyperlactatémie à 2.2 mmol/l Hyperménorrhée chez Mme. Y 4 gestes 4 pares de 41 ans Hypermétrope et astigmate. Hypermétropie latente Hypernatrémie à 148 mmol/l Hypernatrémie à 148 mmol/l le 08.12.2018 Hypernatrémie à 150 mmol/l Hypernatrémie à 154 mmol/l le 06.01.2019 Hypernatrémie iatrogène à 154 mmol/l Hypernatrémie le 24.01.2019 Hypernatrémie légère à 149 mmol/l sur perte insensible dans le contexte de pneumonie le 12.12.2018 Hypernatrémie sévère à Na+ 169 mmol/L le 07.01.2019 • DD sur traitement diurétique Hypernatrémie sévère à 158 mmol/l le 08.11.2018 Iléus jéjuno-iléal sur probables adhérences le 30.10.2018 • S/p subiléus grêle en février 2008 • S/p subiléus le 28.12.2017 Infection urinaire compliquée DD infection de la néphrostomie le 16.11.2018, Rocéphine 2g iv 19 - 26.11.2018 Encéphalopathie myoclonique d'origine multifactorielle (toxico-métabolique et médicamenteuse (Lyrica)) le 23.10.2018 Résection antérieure basse pour adénocarcinome recto-sigmoïdien avec radiothérapie adjuvante en 2000 Cholécystectomie en 1999 Cure de hernie inguinale droite en 1999 Hypernatrémie sévère à 158 mmol/l le 08.11.2018 Iléus jéjuno-iléal sur probables adhérences le 30.10.2018 • S/p subiléus grêle en février 2008 • S/p subiléus le 28.12.2017 Infection urinaire compliquée DD infection de la néphrostomie le 16.11.2018, Rocéphine 2g iv 19 - 26.11.2018 Encéphalopathie myoclonique d'origine multifactorielle (toxico-métabolique et médicamenteuse (Lyrica)) le 23.10.2018 Résection antérieure basse pour adénocarcinome recto-sigmoïdien avec radiothérapie adjuvante en 2000 Cholécystectomie en 1999 Cure de hernie inguinale droite en 1999 Hypernatriémie • 152 mmol le 7.1.19 • 151 mmol/l le 11.1.19 Hyperparathyroïdie primaire sévère, sur adénome parathyroïdien de type kystique, diagnostiqué le 07.12.2018, avec : • Forte élévation du calcium, ionisé et de la PTH • Abaissement du phosphate • Echographie thyroïdienne du 07.12.2018 : lésion nodulaire kystique dans la région du lobe thyroïdien gauche • Ponction cytologique du 10.12.2018 : lésion kystique à revêtement épithélial cubique, non réactif pour TTF-1 • Scintigraphie parathyroïdienne du 17.12.2018 : mise en évidence d'un liseré hypercaptant autour du kyste thyroïdien gauche, avec hypercaptation vers la partie isthmique Hyperparathyroïdie probablement secondaire Insuffisance rénale chronique stade III B Hypertension artérielle Hyperparathyroïdisme primaire probablement sur adénome parathyroïdien sous Mimpara Hyperplasie bénigne de la prostate Hyperplasie bénigne de la prostate de stade II Kyste cortical du pôle supérieur du rein D de type II selon Bosniak Coxarthrose G Hyperplasie bénigne de la prostate: RTUP le 03.08.2015. Biopsie trans rectale le 16.01.2019 (Dr. X). Tassement vertébral avec paresthésies du MSG et injection de cortisone début janvier 2019.Sténose du canal spinal cervical en C3-C4 sur troubles dégénératifs multi-étagés avec myélopathie traitée par microdiscectomie ventrale de C3/C4 avec pose d'une cage, le 02.08.2018 Hyperplasie bénigne de la prostate Probable cardiopathie hypertensive • Foramen ovale perméable de grade I • Score de ROPE à 5 Lombalgies non déficitaires fonctionnelles Hyperplasie de la prostate avec : • Pose de sonde urinaire le 21.12.2018 • Macrohématurie suite à la pose de la sonde Hyperplasie de la prostate avec adénopathies pelvienne au CT du 11.01.19 Hyperplasie de la prostate avec syndrome obstructif • rétention urinaire post mictionnelle 260 ml • volume prostatique 40 ml Hyperplasie de la prostate découverte le 14.09.2018 Hyperplasie de la prostate : • Globe vésical 1,5 litres sur probable hyperplasie bénigne de la prostate le 24.10.2011. Cystite avec globe vésical en 2009. Cystite hémorragique le 07.07.2015. Erysipèle pie gauche le 23.04.2017. Hyperplasie de la prostate, suivi par Dr. X Hémiplégie droite traumatique Insuffisance cardiaque d'origine indéterminée Hyperplasie de la prostate. Hémiplégie droite. Insuffisance cardiaque Hyperplasie de la prostate. Hypertension artérielle. Insuffisance rénale chronique stade 4. Insuffisance veineuse MI • avec dermatite de stase. Hyperplasie de la prostate Lombalgies Hyperréactivité bronchique. Hyper-réactivité bronchique sur bronchite virale le 20.01.2019. Hypertension Hypertension. Hypertension. Hypertension. Hypertension. Hypertension. Hypertension. Hypertension à 162/98 mmHg le 04.01.2019. Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle • pression systolique élevée dans le contexte de migraine. Hypertension artérielle : • secondaire à la dysplasie fibromusculaire des artères rénales • coronarographie du 03.03.2017 : dysplasie fibromusculaire avec présence de septa du tiers moyen des artères rénales • angioplastie des artères rénales proposée par Dr. X • enregistrement tensionnel sur 24h en mars 2017 : Mr. Y normotendu Autres diagnostics : • Hypothyroïdie substituée • Discopathie L3-L4 et L4-L5 avec rétrécissement du canal lombaire L3-L4 (IRM novembre 2012 (suivi par Dr. X) • Troubles anxieux • Ostéoporose fracturaire avec tassement D12-L1 non déplacée le 22.09.2018 • Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes à répétition : • hypovitaminose D sévère • hypovitaminose B12 et B9 • hyponatrémie • ostéoporose fracturaire (fracture D12-L1 le 22.09.2018) • prise de benzodiazépines • chaussures et moyens auxiliaires inadaptés • Carences vitaminiques : • Vitamine D • Acide folique • Vitamine B12 dans la zone grise • Hyponatrémie asymptomatique à 123 mmol/l le 27.09.2018 sur probable SIADH : restriction hydrique à 850 ml/jour Hypertension artérielle : • Secondaire à la dysplasie fibromusculaire des artères rénales • Coronarographie le 03.03.2017 : dysplasie fibromusculaire avec présence de septa du tiers moyen des artères rénales • Proposition Dr. X pour une angioplastie des artères rénales, encore non réalisée à ce jour • Enregistrement tensionnel sur 24h en mars 2017 : Mr. Y normotendu Sténose aortique serrée symptomatique (dyspnée) : • Echocardiographie transoesophagienne le 01.10.2018 : fraction d'éjection ventriculaire gauche à 55-60% (évaluation visuelle) ; rétrécissement aortique serré de type paradoxical low flow low gradient ; surface aortique à 1.09 cm² (0.67 cm²/m²) par équation de continuité, 0.8 cm² par planimétrie ; gradient moyen VG-Ao à 18 mmHg ; insuffisance aortique minime (grade 1/3) ; présence d'un petit élément hyperéchogène mobile dans la CCVG d'origine indéterminée ; excès tissulaire des 2 feuillets mitraux avec dégénérescence myxomateuse de la valve mitrale ; insuffisance mitrale minime (grade 1/3) ; insuffisance tricuspide minime (grade 1/3) avec valves épaissies de type myxomateux ; valve pulmonaire normale ; foramen ovale fermé ; présence petite CIV péri-membraneuse sans nécessité de prise en charge • Coronarographie pour bilan pré-TAVI prévue pour le 18.10.2018 Bradycardie avec bloc atrioventriculaire du 1er degré Hypothyroïdie substituée Discopathie L3-L4 et L4-L5 avec : • Rétrécissement du canal lombaire L3-L4 (IRM novembre 2012, suivi par Dr. X) Trouble anxieux Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes à répétition : • Facteurs de risque de chute : • Hypovitaminose D sévère • Hypovitaminose B12 et B9 • Hyponatrémie • Ostéoporose fracturaire : fracture D12-L1 le 22.09.2018 • Prise de benzodiazépines • Sténose aortique sévère • Chaussures et moyens auxiliaires inadaptés Dégénérescence myxomateuse des valves mitrales et tricuspidiennes Hypercholestérolémie Epigastralgie Hypertension artérielle • sous Lisitril et Beloc Zok Hypertension artérielle • Tensions systoliques entre 160 et 180 mmHg • Pas de notion d'hypertension avant l'événement Hypertension artérielle à 180/95 mmHg le 03.01.2018. Hypertension artérielle à 186/113 • symétrique des deux côtés Hypertension artérielle, actuellement sans traitement.Insuffisance rénale chronique G3A selon KDIGO Troubles cognitifs Hypertension artérielle. Artériopathie des membres inférieurs. Hypertension artérielle Artériopathie des membres inférieurs Occlusion de la carotide interne droite Syndrome pulmonaire mixte discret Broncho pneumopathie chronique obstructive Tabagisme actif à 90 unités paquets année Polyarthrose prédominant au niveau cervical Insuffisance rénale chronique probablement vasculaire Reflux gastro-oesophagien traité Hypertension artérielle Artériopathie des membres inférieurs Occlusion de la carotide interne droite Syndrome pulmonaire mixte discret Broncho pneumopathie chronique obstructive Tabagisme actif à 90 unités paquets année Polyarthrose prédominant au niveau cervical Insuffisance rénale chronique probablement vasculaire Reflux gastro-oesophagien traité Hypertension artérielle Artériopathie des membres inférieurs Occlusion de la carotide interne droite Syndrome pulmonaire mixte discret Bronchopneumopathie chronique obstructive Tabagisme actif à 90 unités paquets année Polyarthrose prédominant au niveau cervical Insuffisance rénale chronique probablement vasculaire Reflux gastro-oesophagien traité Hypertension artérielle associée à une protéinurie. Hypertension artérielle. Asthme non traité. Hypertension artérielle. Asthme. Schizophrénie traitée avec 6 hospitalisations à Marsens, suivi par Dr. X à Fribourg. Maladie de Bechterew. Dorsalgies chroniques. BPCO. Hypertension artérielle asymptomatique à 160/105 mmHg le 26.12.2018. Hypertension artérielle asymptomatique le 12.01.2019: • deux prises de tension artérielle à 170/100. Hypertension artérielle asymptomatique le 20.01.2019. • DD: sur névralgie du trijumeau, composante d'anxiété. Hypertension artérielle asymptomatique non traitée. Hypertension artérielle avec tension artérielle systolique à 210 mmHg le 27.12.2018 chez Mme. Y asymptomatique. Hypertension artérielle. BPCO avec emphysème pulmonaire. Hypertension artérielle BPCO (bilan 1997) Dépendance à l'alcool connue par le passé Diverticulose sigmoïdienne (Colonoscopie 2008) Cardiopathie hypertensive sévère et sténose aortique • Echocardiographie transthoracique (07.12.2017) : cardiopathie hypertensive sévère avec hypertrophie VG concentrique homogène sévère, dysfonction diastolique grade 2. Sténose aortique non évaluable, non sévère vu bonne ouverture de la valve. Hypotension orthostatique Hypertension artérielle. Cardiopathie hypertensive et rythmique. Fibrillation auriculaire rapide en août 2013: cardioversion électrique avec retour en rythme sinusal: • Sintrom, Cordarone Status après angioplastie à deux reprises, 2011, 2013, 01.2016 pour artériopathie des membres inférieurs: • en traitement par Clopidogrel. Hypertension artérielle. Cardiopathie hypertensive valvulaire et rythmique : • fibrillation auriculaire • insuffisance mitrale aortique tricuspide. Polyarthrite traitée par Methotrexate. Insuffisance rénale chronique. Hypertension artérielle Cardiopathie ischémique et valvulaire avec : Insuffisance mitrale sévère avec: • Remplacement de la valve mitrale mécanique par prothèse mécanique ATS en 2011, anticoagulé par Sintrom • Sténose aortique sévère avec surface de 0.5cm2 • St.p. TAVI (2x Corevalve 29mm, CHUV, 2016) • Occlusion chronique IVA prox • Maladie coronarienne avec bon résultat après AMIG-IVA • Sténoses serrées ACD proximale et moyenne, sans possibilité d'angioplastie • EF 60% • BAV complet le 18.04.2016 traité par implantation d'un pacemaker (Medtronic Advisa DR MRI) le 19.04.2016 Maladie coronarienne monotronculaire avec pontage sur IVA (2011) • Coronarographie du 08.03.2016 : sans autre lésion significative • ETT du 16.07.2018 (Dr. X) : FEVG à 55% • Fibrillation auriculaire paroxystique en 2009 Insuffisance veineuse chronique D>G • s/p crossectomie des 2 grandes saphènes en 1975 Hypertension artérielle. Cardiopathie ischémique. Fibrillation auriculaire rapide diagnostiquée le 10.04.2013, CHADS2-VASc à 5, sous Sintrom. Diabète de type 2. Dyslipidémie traitée. Syndrome de Sudeck du membre inférieur droit. Anémie normochrome normocytaire symptomatique. Hypertension artérielle chez un Mr. Y angoissé. Hypertension artérielle chronique à 180 mmHg de systolique sur non prise de médicament. Hypertension artérielle: • cible 140/80 mmHg, tolérée jusqu'à 180 mmHg systolique en post-AVC Hypertension artérielle • contrôle strict dans le cadre du diagnostic supplémentaire 2 Hypertension artérielle de pression. Hypertension artérielle de stade 3 asymptomatique • chez Mr. Y en cours d'investigations avec Remler Hypertension artérielle. Dépression avec psychose depuis 2004. Dyslipidémie. Adipositas. Hypertension artérielle depuis 2010 Reflux gastro-oesophagien Syndrome douloureux lombaire chronique Cervico-scapulalgies chroniques bilatérales d'origine myo-tendineuse Hypertension artérielle Diabète insulino-requérant Hypertension artérielle. Diabète mellitus de type II. Tabagisme actif. Hypertension artérielle. Diabète type 2 sous insuline. Dyslipidémie. Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Hypertension artérielle Dyslipidémie Diabète de type 2 non insulino-requérant (HbA1c 6.6% le 14.01.2019) Syndrome d'apnée/hypopnée obstructif du sommeil de degré léger appareillé, avec : • polygraphie nocturne avec mise sous APAP, Air Sense 10 AutoSet (pression 16/8 cmH2O dès le 13.01.2016) Exsudat cotonneux sur pic hypertensif/diabète et probable cataracte bilatérale Maladie de Forestier (hyperostose vertébrale) Probable état dépressif réactionnel Hypertension artérielle Dyslipidémie Diabète de type 2 non insulino-traité (HbA1c 6.6% le 14.01.2019) Syndrome d'apnée/hypopnée obstructif du sommeil de degré léger appareillé, avec: • Polygraphie nocturne avec mise sous APAP, Air Sense 10 AutoSet (pression 16/8 cmH2O dès le 13.01.2016) Exsudat cotonneux sur pic hypertensif/diabète et probable cataracte bilatérale Maladie de Forestier (hyperostose vertébrale) Probable état dépressif réactionnel Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Hyperuricémie. Hypertrophie ventriculaire gauche avec trouble diastolique (II°), insuffisance aortique 1/4 et légère dilatation des cavités droites. Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Hyperuricémie. Hypertrophie ventriculaire gauche avec trouble diastolique (II°), insuffisance aortique 1/4 et légère dilatation des cavités droites. Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Lombalgies chroniques sur canal lombaire étroit avec discopathie en L4-L5 et L5-S1. Troubles de l'humeur avec trouble anxieux avec : • antécédent de dépression sévère avec hospitalisation pendant 2 mois, suite au décès de l'un de ses fils en 2000. Hypertension artérielle Epilepsie (sous Tégretol) Hypertension artérielle et dyslipidémie traitées. Hypertension artérielle. FA paroxystique asymptomatique anticoagulée. Maladie coronarienne tritronculaire : • status post-IM non Q stenté CD 2001 • status post-coronarographie en 2009 : sténose significative de la bissectrice traitée conservativement • stenting de la première marginale en 2011. Hypertension artérielle. Fracture cavité vestibulaire. Rein unique. Insuffisance mitrale. Cholécystolithiase. Hypertension artérielle gravidique traitée Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Cancer de la prostate depuis 2014 actuellement sous hormonothérapie, opéré HFR Fribourg Dr. XHypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Tabagisme ancien à 35 UPA. Fibrillation auriculaire inaugurale non datable sous Sintrom. Adénocarcinome de l'œsophage distal à 38 cm des arcades dentaires, uT3 uN1 cM0 • date du diagnostic : 15.02.2018 • histologie (Promed P2018.1856) : adénocarcinome peu différencié à croissance solide/trabéculaire avec cellules isolées, en partie en "bague à chaton" au niveau de l'œsophage distal • transit baryté du 22.01.2018 : court segment apéristaltique irrégulier de la jonction oesogastrique avec distension de l'œsophage distal et en amont. • OGD Dr. X du 14.02.2018 : vers 38 cm des arcades dentaires supérieures présence d'une tumeur bourgeonnante du tiers inférieur de l'œsophage circulaire en virole ulcérée franchissable s'étendant sur 3-4 cm avec envahissement du cardia. Le reste de l'estomac est macroscopiquement normal • colonoscopie du 14.02.2018 : micro-polype sessile d'environ 2 mm de diamètre de la charnière recto-sigmoïdienne. Diverticulose sigmoïdienne floride entre 25 et 40 cm de la marge anale • CT-Scan thoraco-abdominal du 01.02.2018 : présence d'une hernie hiatale. Pas de mise en évidence de lésion oesophagienne. Pas d'adénopathie locorégionale. Pas de lésion hépatique. • PET-CT du 09.03.2018 : épaississement de la jonction gastro-oesophagienne, intensément hyperactive, s'étendant sur quelques centimètres, associé à de multiples adénopathies loco-régionales, non captantes, en partie nécrotiques, en contact intime avec le pilier du diaphragme droit. Zone hypodense dans le segment V du foie en sous-capsulaire, bien visible sur le temps portal, sans hypercaptation pathologique au PET. Mise en évidence d'adénopathies dans le rétropéritoine, non-captantes, et au niveau inguinal des deux côtés non-captantes • écho-endosonographie du 16.03.2018 : au niveau œsophage distal entre 40-43 cm tumeur sténosante franchissable avec peu de pression. A l'inversion pas de masse infiltrative dans le cardia. Pas d'infiltration d'autres organes de proximité. Plusieurs ganglions de proximité, le plus grand mesurant 13 mm. • colloque multidisciplinaire du 14.03.2018 : proposition d'un traitement de radio-chimiothérapie définitif au vu du contact étroit de la tumeur avec le pilier diaphragmatique droit • status post radio-chimiothérapie combinée à visée définitive, radiothérapie du 16.04 au 30.05.2018, 48 GY accompagnée d'une chimiothérapie par Platinol et 5-FU, 4 cycles du 16.04 au 16.07.2018 • CT-scan thoraco-abdominal du 06.08.2018 : régression modérée de l'épaississement tumoral de l'œsophage distal avec ganglions satellites. • SNG posée fin août 2018 • progression tumorale avec adénopathies para-oesophagiennes et multiples implants au niveau abdominal, fin octobre 2018 • Actuellement chimiothérapie palliative par Taxol depuis le 12.11.2018 Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Tabagisme ancien à 35 UPA. Fibrillation auriculaire inaugurale non datable sous Sintrom. Adénocarcinome de l'œsophage distal à 38 cm des arcades dentaires, uT3 uN1 cM0 diagnostiqué le 15.02.2018. • progression tumorale avec adénopathies para-oesophagiennes et multiples implants au niveau abdominal, fin octobre 2018. • Actuellement chimiothérapie palliative par Taxol depuis le 12.11.2018. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Troubles du rythme cardiaque. Diverticulose. Syndrome des apnées du sommeil, appareillé. Dépression. Obésité. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Troubles du rythme cardiaque. Diverticulose. Syndrome des apnées du sommeil, appareillé. Dépression. Obésité. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Insuffisance rénale chronique stade G3bA2 selon KDIGO, probablement dans le cadre d'une néphropathie hypertensive et d'une néphroangiosclérose. Hypothyroïdie subclinique sous Cordarone, actuellement substituée. Fibrillo-flutter intermittent, Score CHADS2-VASC à 2, HAS-BLED à 3, sous Xarelto depuis le 16.11.2015. Tachycardie supra-ventriculaire connue depuis 2006. Bloc atrio-ventriculaire complet intermittent alternant avec une bradycardie sinusale à 30/min, bloc de branche droit complet et hémibloc antérieur gauche dans le contexte d'une probable maladie de l'oreillette le 02.12.2015 : • pose de pacemaker bi-caméral AAI-DDD IRM compatible (1.5 T, non corps entier) le 03.12.2015 (Dr. X) • contrôle pacemaker le 08.10.2018 : absence d'activité auriculaire, dépendance du PCMK. Maladie coronarienne avec lésion monotronculaire : • sténose significative de l'IVA proximale avec mise en place d'un stent actif le 03.12.2015 (Professeur X) • échocardiographie transthoracique du 05.10.2018 (Dr. X) : sans les limites de la norme, FEVG 48%, PAP discrètement élevée, dilatation des veines sus-hépatiques • test effort le 05.10.2018 (Dr. X) : sous-maximal et incomplet, doublement négatif. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Surcharge pondérale. Sclérose aortique sans argument pour une sténose significative. Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Tabagisme chronique Status post résection d'un adénocarcinome moyennement différencié de la jonction recto-sigmoïdienne développé au sein d'un polype adéno-tubuleux pT1 pN0 (0/13) R0 G2. • Résection antérieure basse par voie laparoscopique et iléostomie de protection le 20.06.2014 Hospitalisation élective le 11.07 pour préparation colique pour colonoscopie de contrôle le 12.07.2018 Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Tabagisme chronique Status post résection d'un adénocarcinome moyennement différencié de la jonction recto-sigmoïdienne développé au sein d'un polype adéno-tubuleux pT1 pN0 (0/13) R0 G2. • Résection antérieure basse par voie laparoscopique et iléostomie de protection le 20.06.2014 Hospitalisation élective le 11.07 pour préparation colique pour colonoscopie de contrôle le 12.07.2018 Hypertension artérielle. Hyperuricémie. Trouble de l'endormissement. Hypertension artérielle Hypothyroïdie Ostéoporose Hypertension artérielle III selon NYHA Hypertension artérielle inaugurale le 03.01.2019. Hypertension artérielle Insuffisance rénale chronique GFR III État anxieux Glaucome Insuffisance artérielle des MI avec angioplastie de l'artère iliaque commune G avec pose d'un Stent en 2012 Insuffisance veineuse des MI avec cure de varices en 2015 Goutte Status post PTH D, Clinique Générale, Dr. X Hypertension artérielle Insuffisance rénale chronique GFR III État anxieux Glaucome Insuffisance artérielle des MI avec angioplastie de l'artère iliaque commune G avec pose d'un Stent en 2012 Insuffisance veineuse des MI avec cure de varices en 2015 Goutte Status post PTH D, Clinique Générale, Dr. X Hypertension artérielle labile traitée par bêtabloquant. Obésité. Hypertension artérielle le 15.09.2018 Hypertension artérielle mal contrôlée Hypertension artérielle mal contrôlée Hypertension artérielle mal contrôlée Hypertension artérielle mal contrôlée Hypertension artérielle mal contrôlée Hypertension artérielle mal contrôlée. Hypertension artérielle mal contrôlée. Hypertension artérielle mal contrôlée. Hypertension artérielle mal contrôlée • ETT 24.07.2018 : FEVG 70%, ventricule gauche normal. Aorte normale et valve aortique normale avec aspect de sclérose. Valve mitrale normale. Dysfonction diastolique minime (grade I). Ventricule droit sans particularité, Valve tricuspide et pulmonaire normale. • Angiographie coronaire 26.07.2018 : Artères coronaires athéromateuses sans lésion significative • Holter 11.09.2018 : 2 épisodes de FA de 95 et 137s, depuis lors sous Xarelto CHA2DS2-VASc 4 le 23.01.2019 • sous Xarelto 15 mg, Torasémide 10 mg, Coveram 10/10 mg, nouveau Cardura depuis le 10.01.2019. Corvaton stoppé le 10.01.2019Hypertension artérielle mal contrôlée le 03.01.2018 • DD: problème de taille de brassard Hypertension artérielle mal contrôlée le 05.01.2019 Hypertension artérielle mal contrôlée le 10.01.2019 Hypertension artérielle mal contrôlée le 23.12.2018 avec céphalées. Hypertension artérielle mal contrôlée le 30.12.2018 Hypertension artérielle mal contrôlée • sous Amlodipine Hypertension artérielle mal traitée, le 28.01.2019 • DD: angor stable/instable. Hypertension artérielle mal contrôlée Hypertension artérielle mal contrôlée le 14.01.2019 Hypertension artérielle • mise en place d'un traitement par IEC avec surveillance médicale au vu d'une sclérodermie (risque de péjoration de la fonction rénale et tensionnelle lors de la mise en place de l'IEC) Nephrologue : Dr. X (64540) Hypertension artérielle non contrôlée Ostéoporose fracturaire avec plusieurs fractures de la colonne vertébrale Chutes à répétition sur sténoses carotidiennes Hypertension artérielle non traitée Hypertension artérielle non traitée Hypertension artérielle non traitée Hypertension artérielle non traitée Hypertension artérielle non traitée Hypertension artérielle non traitée. Hypertension artérielle non traitée. Hypertension artérielle non traitée. Hypertension artérielle non traitée • Aprovel suspendu le 03.02.2017 Hypercholestérolémie Adiposité Insuffisance diastolique Grad 1 Struma multinodulaire Fibromyalgie Intestin irritable Diverticulose Gammapathie monoclonale de signification indéterminée (MGUS) • Electrophorèse des protéines sériques du 09.02.2017: IgG kappa, IgG monoclonaux 9.65 g/l, IgA 4.77 g/l • Electrophorèse des protéines urinaires du 28.02.2017: Ig Kappa, protéine totale Anémie hypochrome et normocytaire stable sous EPO DD: inflammatoire, IRC Dénutrition protéino-énergétique • perte de 40 kg sur les 3 dernières années Déconditionnement avec instabilité à la marche et risque de chute: • hospitalisation depuis le 25.04.2018 dans un contexte de pyélonéphrite • perte de 40 kg en 3 ans, avec déconditionnement sévère Status post-greffe de Thiersch pour un ulcère veineux du membre inférieur gauche sur ulcère de stase en 07/2018 Thrombose veineuse poplitée gauche le 27.07.2018 traitée par trois mois de Sintrom Hypertension artérielle non traitée: • TAS à 180 aux urgences Hypertension artérielle non traitée (refus de la patiente) Microangiopathie hypertensive Ostéoporose sous traitement par Alendronate p.o Hypertension artérielle non traitée. Acidité gastrique traitée. TOC et angoisses traitées par psychothérapie. Hypertension artérielle non traitée. Ancien tabagisme à 20 UPA. Asthme traité par Ventolin en réserve. Hypertension artérielle non traitée Hypercholestérolémie non traitée Goutte avec arthrite de cheville gauche le 18.02.2016 Anémie normochrome normocytaire hyporégénérative d'origine indéterminée Hypertension artérielle non traitée Hypothyroïdie Ostéoporose Hypertension artérielle non traitée Hypothyroïdie Ostéoporose Hypertension artérielle non traitée. Obésité. Diabète de type II non traité. Tassement D7 ancien. Hypertension artérielle non traitée. SAS appareillé par CPAP. Hypertension artérielle non traitée Trouble anxio-dépressif Hernie hiatale de stade IV • OGD du 17.05.2013 : gastrite focale, pas d'ulcère, pas de néoplasie Hypertension artérielle non contrôlée Hypertension artérielle non traitée Dyslipidémie non traitée Surcharge pondérale Ancien tabagisme (20 UPA) Hypertension artérielle non traitée Hypertension artérielle nouvelle. Hypertension artérielle. Ostéoporose fracturaire : 2 fractures vertébrales lombaires basses. Hypertension artérielle. Polyarthrite rhumatoïde (diagnostic non sûr). Hypertension artérielle post-opératoire le 11.01.2019 Hypertension artérielle post-opératoire le 11.01.2019 Hypertension artérielle pulmonaire légère à modérée, d'origine mixte sur BPCO non stadé et insuffisance mitrale sévère (coronarographie le 27.06.2013 Dr. X) Goutte FA chronique normocarde sous Marcoumar Oedème chronique des membres inférieurs Hypertension artérielle pulmonaire légère à modérée, d'origine mixte sur BPCO non stadé et insuffisance mitrale sévère (coronarographie le 27.06.2013 Dr. X) Goutte Fibrillation auriculaire chronique normocarde sous Marcoumar Oedème chronique des membres inférieurs Hypertension artérielle: Ramipril. Arthrite rhumatoïde • Methotrexat et Actemra. Hypertension artérielle. Reflux gastro-oesophagien. Hypertension artérielle. Reflux gastro-oesophagien symptomatique. Phénomène de Raynaud. Hypertension artérielle réfractaire Hypertension artérielle sévère sous quadri-thérapie avec des crises hypertensives à répétition • dernier bilan cardiologique en 2011 lors d'un épisode hypertensif Hypertension artérielle sévère sous quadri-thérapie avec des crises hypertensives à répétition • Dernier bilan cardiologique en 2011 lors d'un épisode hypertensif Hypertension artérielle sous Adalat Epilepsie sous Keppra et phénobarbital OH Lésion ex ulcérante non cicatrisante de la tête (8 mm) DD kératose actinique Hypertension artérielle • sous Carvedilol 25 mg Hypertension artérielle • sous Carvedilol 25 mg Fibrose hépatique Stade F0-F1 selon ARFI Sérologies Hépatites 21.11.2018 Anti HAV IgM neg HBs Ag neg Anti HBc- totaux Anti-HCV totaux neg Anti HEV IgM neg Anti HEV IgG positif Facteur rhumatoïde <11 UI/ml Hypertension artérielle sous quadrithérapie : • status-post dénervation rénale bilatérale le 20.06.2013. HIV stade B3, diagnostiqué en mars 1991, sous trithérapie, suivie en infectiologie au CHUV avec myopathie probablement d'origine médicamenteuse, virémie indétectable, il y a 4 mois (Dr. X) avec : • candidose orale récidivante • herpès chronique fesse gauche Lombosciatalgies L5 gauche sur hernie discale L5-S1 gauche, opérée en 2002 avec infection à S. aureus du site opératoire, sensible à la pénicilline. Hépatite C chronique active de génotype 1, non traitée. Cardiopathie hypertensive et valvulaire avec insuffisance aortique modérée à sévère avec FEVG 68% (18.02.2013). Troubles du comportement alimentaire avec binge eating disorder. Etat anxieux. Dysplasie vulvaire intra-épithéliale (VIN) des deux grandes lèvres, résiduelle du côté droit • excision des deux lésions confirmant un VIN 2-3 Hypertension artérielle sous Ramipril. Arthrite rhumatoïde sous Methotrexat et Actemra. Hypertension artérielle sous Ramipril Arthrite rhumatoïde sous Methotrexat et Humira Hypertension artérielle sous Rasilez. Diabète sous Metformin. Hypertension artérielle • Suivi de la tension chez le médecin traitant et adaptation des antihypertenseurs. Evaluer introduction d'Esidrex. • Eventuellement Doppler des artères rénales en ambulatoire (hypertension artérielle secondaire?) Suivi de l'hémoglobine IRM pancréatique / MRCP et papillectomie à discuter si plaintes digestives post-prandiales claires. Hypertension artérielle suivie par Dr. X traitée sporadiquement. Hypertension artérielle sur choc émotionnel de l'accident de la voie publique. Hypertension artérielle symptomatique. Hypertension artérielle Syndrome pulmonaire mixte discret • Broncho pneumopathie chronique obstructive Tabagisme actif à 90 unités paquets année Artériopathie des membres inférieurs Occlusion de la carotide interne droite Polyarthrose prédominant au niveau cervical Insuffisance rénale chronique probablement vasculaire Reflux gastro-oesophagien traité Hypertension artérielle systolique Hypertension artérielle Tabagisme actif avec BPCO Sténose cicatricielle de l'angle colique droite et du côlon transverse proximale sur env. 13 cm (diagnostic différentiel inflammation sur consommation chronique de AINS, cicatrice d'une ancienne inflammation) Dépendance au Tramadol Hypertension artérielle traitée Hypertension artérielle traitée Hypertension artérielle traitée Hypertension artérielle traitée Hypertension artérielle traitée Hypertension artérielle traitée Hypertension artérielle traitée Hypertension artérielle traitée Hypertension artérielle traitée Hypertension artérielle traitée Hypertension artérielle traitée Hypertension artérielle traitée Hypertension artérielle traitée Hypertension artérielle traitée Hypertension artérielle traitée Hypertension artérielle traitée Hypertension artérielle traitée Hypertension artérielle traitée Hypertension artérielle traitée Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée, anamnèse familiale positive. Maladie de l'oreillette avec : • thermo-ablation et pose de pacemaker DDDR 12/2005 (CHUV) sur bradycardie avec insuffisance cardiaque globale. • arrêt sinusal de 4.025 sec au Holter de 12/2005. • excision d'un lipome de l'oreillette par thoracotomie en 2004. • décompensation cardiaque gauche 10/2006. • anticoagulation thérapeutique avec Sintrom pour FA intermittente. Changement du boîtier du pacemaker avec contrôle le 21.08.2014 (Dr. X). Contrôle de la plaie et ablation des fils à 10 jours chez le médecin traitant. Contrôle de pacemaker à 2 mois. Hypertension artérielle traitée avec : • crises hypertensives en mars 2018 Hypertension artérielle traitée avec complications vasculaires documentées Hypertension artérielle traitée, avec complications vasculaires documentées Maladie coronarienne bitronculaire (CD et CX), avec : • s/p stents de la CX et de la CD en 2001 • coronarographie en 2017 : bon résultat au long terme des stents de la CX moyenne et de la CD moyenne, resténose subtotale (95%) intrastent actif de la CD proximale compliant, angioplastie avec bon résultat final • FEVG 60%, hypokinésie inférieure SAOS anciennement appareillés par CPAP (Dr. X) Hypertension artérielle traitée. Collagénose X non traitée (suivie par Dr. X). Hernie discale cervicale. Hypertension artérielle traitée. Diabète type 2 non insulino-requérant. Hypertension artérielle traitée Diarrhée chronique Psoriasis Arthrose cervicale et lombaire Hypertension artérielle traitée. Douleurs dorsales (St.n. DH-Op). Tendance à la constipation. Hypertension artérielle traitée. Fibrillation auriculaire paroxystique le 09.10.2012. Surcharge pondérale. Notion d'asthme. Fibrillation auriculaire symptomatique rapide à 168 bpm CHADS à 2 HAS-BLED à 1. Hypertension artérielle traitée. Goutte. Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie traitée. Hyperuricémie. Dermo-épidermite spongiforme et ulcération superficielle, eczéma avec excoriation. Hypertrophie bénigne de la prostate. Eczéma chronique. Toxidermie éczématiforme en cours d'investigation au CHUV. Hypertension artérielle traitée Insuffisance rénale chronique stade 3 Ethylisme chronique (stoppé anamnestiquement depuis l'annonce de la tumeur) Syndrome d'apnée du sommeil non-appareillé Hyperferritinémie d'origine alcoolique Hypovitaminose B12 Notion d'un ulcère gastrique traité conservativement Diverticule oesophagien connu depuis 2015, à 34 cm des arcades dentaires Diarrhée chronique Psoriasis Polyarthrose cervicale et lombaire Hypertension artérielle traitée labile : • Lercanidipin, Valsartan, Torem • Pic hypertensifs Hypertension artérielle traitée, mal contrôlée, avec complications vasculaires documentées Troubles de l'équilibre sur status post AVC hémorragique cérébelleux le 19.10.2018 Hypertension artérielle traitée Ostéoporose Sténose jéjunale sur épaississement grêle Hypertension artérielle traitée par Candesartan. BPCO sous Anoro. Trouble anxieux sous Xanax. Tendinopathie calcifiante de la coiffe des rotateurs droits : Irfen 400 mg et Dafalgan en réserve. Hypertension artérielle traitée par Co Diovan. Status post embolie pulmonaire et thrombose veineuse profonde, actuellement sous Sintrom. Dafalgan pour des troubles arthrosiques. Gonalgies gauches exacerbées; DD : arthrose - hémarthrose. Crestor pour hypercholestérolémie Hypertension artérielle traitée par Co-Aprovel 150/12.5 mg. Diabète non insulino-dépendant traité par Metfin 500 mg. Hypertension artérielle traitée par Lercanidipine Hypertension artérielle traitée par Lercanidipine 20 mg. Hypertension artérielle traitée par Lisinopril 5 mg Hypertension artérielle traitée par Losartan. Hypertension artérielle traitée par Ramipril 2.5/12.5 1-0-0-0. Hypertension artérielle traitée par Vascord et Nébivolol. Hypertension artérielle traitée • pics hypertensifs récidivants (190/90 mmHg le 19.12.2018) • sous Torasemid et Bisoprolol Hypertension artérielle traitée. Retard mental. Suspicion de myofibromes découverts sur le CT du 02.07.2018. Hypertension artérielle traitée • traité par Bisoprolol Hypertension artérielle traitée • traité par Bisoprolol, introduction Lisinopril le 14.12.2018 Hypertension artérielle traitée Volumineuse hernie hiatale Hyperplasie bénigne de la prostate Sténose aortique dégénérative modérée • suivi cardiologique par Dr. X aux 6 mois Hypertension artérielle traitée Ancien tabagisme à 50 UPA Obésité de stade II selon OMS avec BMI à 38 kg/m2 Troubles de l'équilibre d'origine multifactorielle avec polyneuropathie sensitive des membres inférieursHypertension artérielle traitée. Anévrisme de l'aorte infra-rénale de 57 mm avec ectasie de l'artère iliaque commune des deux côtés. Obésité avec indice de masse corporelle à 38 kg/m2. Insuffisance veineuse chronique des deux côtés. Cardiopathie hypertensive, fraction d'éjection du ventricule gauche à 64%. Hématurie macroscopique sur néphroptose. Suspicion d'une maladie de Gilbert-Meulengracht. Insuffisance veineuse chronique au stade II avec : • Stamminsuffizienz der V. saphena magna links bis zum mittleren Unterschenkeldrittel • akzessorische laterale Varikose aus der Crosse rechts mit Status nach Thrombophlebitis ohne residuelles Thrombusmaterial Crossektomie bds., Stripping + Phlebektomie bds. (14.01.2015, Dr. X) Hypertension artérielle traitée. Anévrisme de l'aorte thoracique ascendante. Fa paroxystique diagnostiqué le 21.12.18. Oesophagite sur probable maladie de reflux le 21.12.2018. Hypertension artérielle traitée. Asthme traité. Hypothyroïdie traitée sur statut après thyroïdectomie totale en 1974 pour maladie de Basedow. Notion de dégénérescence maculaire liée à l'âge. Presbyacousie appareillée bilatérale. Hypertension artérielle traitée. Bipolaire sous lithium. Hypertension artérielle traitée. BPCO GOLD I avec : • Ancien tabagisme à 50 UPA • Fonction pulmonaire (16.10.2018) : CVF 94% du prédit, VEMS 84% du prédit, Tiffeneau 69%. Obésité de stade II selon OMS avec BMI à 38 kg/m2. Troubles de l'équilibre d'origine multifactorielle. Hypertension artérielle traitée. BPCO GOLD I avec : • Ancien tabagisme à 50 UPA • Fonction pulmonaire (16.10.2018) : CVF 94% du prédit, VEMS 84% du prédit, Tiffeneau 69%. Obésité de stade II selon OMS avec BMI à 38 kg/m2. Troubles de l'équilibre d'origine multifactorielle. Prostatisme. Hypertension artérielle traitée. Bradycardie sinusale sous bétabloquant. Hypercholestérolémie. Démence débutante avec troubles de la compréhension sévères, légères troubles mnésiques et troubles praxiques et gnosiques. Tabagisme ancien à 40 unités paquets par an. Hypertension artérielle traitée. Bronchopneumopathie chronique obstructive de stade III et un tabagisme actif. Hypercholestérolémie traitée. Troubles cognitifs débutants. Nodule thyroïdien bénin droit investigué sous Euthyrox. Réadaptation pour déconditionnement dans le contexte d'une hospitalisation depuis le 15.11.2018 avec : • Contexte social précaire. • Dénutrition protéino-énergétique sévère. • Hypovitaminose. Physiothérapie. Nutrition clinique. Ergothérapie. Bilan vitaminique et substitution. Test de Schellong du 01.12.2018 : négatif. Dénutrition protéino-énergétique sévère. Bilan nutritionnel. Substituts nutritifs oraux. Hypovitaminose D. Substitution orale à raison de 24000 unités en dose de charge, puis Calcimagon D3 1x/j à la sortie. Hypovitaminose B12 et B9. Substitution orale. Hypertension artérielle traitée. Bronchopneumopathie chronique obstructive sur tabagisme actif. Cardiopathie probablement ischémique (akinésie latéro-inférieure, FEVG à 50%, ETT 22.02.2017). Résidu post-mictionnel sur probable hypertrophie bénigne de la prostate : • Bladder scan le 17.11.2018 : résidu post-mictionnel 400 ml. • Sondage aller-retour le 17.11.2018. • Bilan prostatique à discuter avec le médecin traitant. Hypertension artérielle traitée. Cardiomyopathie dilatée. Maladie de Parkinson. Hypertension artérielle traitée. Cardiomyopathie dilatée. Maladie de Parkinson. Hypertension artérielle traitée. Cardiomyopathie hypertrophique avec fraction d'éjection du ventricule gauche à 65% et minime hypertension artérielle pulmonaire en 2014. Diabète de type 2 insulino-dépendant mal contrôlé. Insuffisance rénale chronique. Arthrose du coude gauche. Troubles cognitifs avec MMS à 14/27. Dysphagie sur troubles de la déglutition post-AVC en 2014 avec : • Probables broncho-aspirations fréquentes. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle sur : • Hémisyndrome sensitivomoteur facio-brachio-crural droit. • Héminégligence droite. • Dénutrition. • Sarcopénie. • Carence en vitamine D3 et en folates. • Déconditionnement après pneumonie. Malnutrition protéino-énergétique légère. Hypertension artérielle traitée. Cardiomyopathie hypertrophique avec fraction d'éjection du ventricule gauche à 65% et minime hypertension artérielle pulmonaire en 2014. Diabète de type 2 insulino-dépendant mal contrôlé. Insuffisance rénale chronique. Arthrose du coude gauche. Troubles cognitifs avec MMS à 14/27. Dysphagie sur troubles de la déglutition post-AVC en 2014 avec : • Probables broncho-aspirations fréquentes. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle sur : • Hémisyndrome sensitivomoteur facio-brachio-crural droit. • Héminégligence droite. • Dénutrition. • Sarcopénie. • Carence en vitamine D3 et en folates. • Déconditionnement post-pneumonie. Malnutrition protéino-énergétique légère. Hypertension artérielle traitée. Cardiomyopathie hypertrophique homogène (Echo du 05.01.2017). Hypertension artérielle traitée. Cardiomyopathie hypertrophique homogène (Echo du 05.01.2017). Coxarthrose gauche. Hypertension artérielle traitée. Cardiopathie ischémique, valvulaire et rythmique. • Fibrillation auriculaire sous Sintrom. • Maladie coronarienne avec pontage aorto-coronarien en 2009. • Insuffisance mitrale sur prolapsus avec : • Mise en place d'un anneau de Carpentier sur prolapsus en 1993. • Mise en place d'une prothèse de la valve mitrale en 2009. Hernie hiatale. Ulcère de l'estomac en 2008, sous IPP. Douleurs neuropathiques importantes aux deux pieds avec implantation d'un neurostimulateur en 2009. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Douleurs neuropathiques importantes aux deux pieds. • Cure hernie discale en 1979 et 1989. • PTH G en 2000. • Cure de canal lombaire étroit en 2006. Diverticulose sigmoïdienne. Hypertension artérielle traitée. Cardiopathie ischémique, valvulaire et rythmique. • Fibrillation auriculaire sous Sintrom. • Maladie coronarienne avec pontage aorto-coronarien en 2009. • Insuffisance mitrale sur prolapsus avec : • Mise en place d'un anneau de Carpentier sur prolapsus en 1993. • Mise en place d'une prothèse de la valve mitrale en 2009. Hernie hiatale. Ulcère de l'estomac en 2008, sous IPP. Douleurs neuropathiques importantes aux deux pieds avec implantation d'un neurostimulateur en 2009. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Douleurs neuropathiques importantes aux deux pieds. • Status après cure d'hernie discale en 1979 et 1989. • Status après implantation de prothèses totales de hanches bilatérales en 2000 et 2002. • Status après cure de canal lombaire étroit en 2006. Diverticulose sigmoïdienne. Hypertension artérielle traitée. Colique biliaire. Hyperuricémie. Coxarthrose bilatérale. Hypertension artérielle traitée. Démence de type Alzheimer. Troubles de l'équilibre d'origine multifactorielle. Hypertension artérielle traitée. Dépression sous Citalopram. Hypertension artérielle traitée. Dépression. Syndrome parkinsonien bilatéral. Hypertension artérielle traitée. Dépression. Syndrome parkinsonien bilatéral. Hypertension artérielle traitée. Diabète de type 2 insulino-requérant. Cardiopathie ischémique et rythmique : • Stent sur l'IVA proximale en 2004. Tachycardie auriculaire avec BAV du 1er degré (06.2013). • Cordarone 5 jours sur 7. Démence type Alzheimer +++. Hypertension artérielle traitée. Diabète de type 2, actuellement non traité. Fibrillation auriculaire paroxystique, non anticoagulée. Troubles cognitifs. Hypovitaminose D d'origine carentielle. Maladie de Parkinson de forme akinéto-rigide et trémulante. Hypertension artérielle traitée. Diabète de type 2, actuellement non traité.Fibrillation auriculaire paroxystique, non anticoagulée. Troubles cognitifs. Hypovitaminose D d'origine carentielle. Maladie de Parkinson de forme akinéto-rigide et trémulante. Fracture du cotyle D (colonne antérieure et postérieure hémitransverse) le 15.10.2018. Hypertension artérielle traitée. Diabète de type 2 non insulinorequérant. Cardiopathie ischémique et rythmique : • Stent RIVA proximal 01/2004 • Tachycardie auriculaire avec BAV du 1er degré (06.2013) • Cordarone (charge per os : 200 mg 3x/j pendant 10 jours puis dose d'entretien : 200 mg 1x/j) Démence type Alzheimer. Hypertension artérielle traitée. Diabète de type 2 non insulino-requérant. Hypertension artérielle traitée. Diabète de type 2 non-traité. Hypertension artérielle traitée. Diabète de type 2 non-traité. Hypertension artérielle traitée. Diabète de type 2 non-traité. Arthrose du poignet gauche. Crises de goutte itératives. Anémie réfractaire normochrome normocytaire avec thrombocytopénie dans un contexte post-chimiothérapique. • Hémoglobine 86g/l sans symptômes le 16.11.2018 • Transfusion d'un culot érythrocytaire le 14.12.2017 et un autre le 16.12.2017 Malnutrition protéino-énergétique grave dans le contexte d'une tumeur avec : • perte de 15.5% du poids corporel en 2 mois • BMI : 19.4 • NRS : 4/7 Adénocarcinome du duodénum et du pylore classé cT3-4 cN0 cM0 : • status post-14 cycles de chimiothérapie palliative de type FOLFOX et bevacizumab (Avastin) jusqu'au 04.10.2017 • actuellement : évaluation d'une immunothérapie. Hypertension artérielle traitée. Diabète non insulino-requérant. Asthme traité suivi par le Dr. X. Hypertension artérielle traitée. Diabète de type 2 non insulino-dépendant. Hypercholestérolémie traitée. Cardiopathie ischémique avec statut après pontage sur l'IVA en 1998, asymptomatique depuis lors, avec : • Dernière coronarographie (Dr. X) : occlusion des pontages aorto-coronariens, mais l'absence de sténose fonctionnellement significative au niveau des artères épicardiques natives (test fonctionnel par Fractional Flow Reserve) ; opérabilité donnée ; au vu d'un rythme pré-fibrillatoire, un Holter est encore indiqué en post-opératoire. Anévrisme de l'aorte abdominale de 65mm en juin 2016 avec : • Anévrisme de l'artère iliaque interne gauche de 20mm • Suspicion d'anévrisme de l'artère poplitée droite • Cure d'anévrisme infra-rénal endovasculaire par prothèse bifurquée sur la bifurcation iliaque des deux côtés le 27.06.2016 (Dr. X) • Angio-CT de contrôle les 30.07.2016 et 06.11.2016. Hypertension artérielle traitée. Douleurs chroniques arthrosiques traitées par Prednisone. Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie. Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie. Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie. Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie traitée. Diabète de type 2 non insulino-requérant. Exsudat cotonneux sur pic hypertensif/diabète et probable cataracte bilatérale. Maladie de Forestier (hyperostose vertébrale). Probable état dépressif réactionnel. AVC ischémique aigu de la medulla oblongata droite sur progression de maladie athéromateuse vertébro-basilaire le 28.06.2015 avec : • Hémisyndrome moteur brachio-crural gauche • Athéromatose vertébro-basilaire avec occlusion vertébrale D, sténose de l'ordre de 50% de la vertébrale G et de 50-70% du tronc basilaire. • NIHSS à 3 à l'admission, NIHSS à 3 pts à la sortie. Douleurs thoraciques d'origines vraisemblablement musculo-squelettiques. Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie. Cardiomyopathie hypertensive : • Décompensation cardiaque au décours avec bloc de branche gauche nouveau 03/2015. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • séquelles d'AVC (voir antécédents personnels) • PTH droite 22.01.2014 et PTH gauche 19.07.2006 • Lombalgies chroniques avec scoliose dégénérative • Hémianopsie droite. Dépression modérée traitée. Insuffisance rénale chronique stade KDOQI 3 d'origine indéterminée. • GFR à 57 ml/min selon MDRD le 27.10.2015. Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie. Hypothyroïdie substituée. Reflux gastro-œsophagien. Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie. Probable cardiomyopathie hypertensive : • Décompensation cardiaque au décours avec bloc de branche gauche nouveau 03/2015. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • séquelles d'AVC (voir antécédents personnels) • PTH droite 22.01.2014 et PTH gauche 19.07.2006 • Lombalgies chroniques avec scoliose dégénérative • Hémianopsie droite. Dépression modérée traitée. Insuffisance rénale chronique stade KDOQI 3 d'origine indéterminée. • GFR à 57 ml/min selon MDRD le 27.10.2015. Hypertension artérielle traitée. Endométriose. Adénocarcinome, avec origine peu claire (colon, endomètre), colectomie gauche, iléostomie. Hypertension artérielle traitée. Envahissement urétéral bilatéral à la jonction vésico-urétérale avec dilatation pyélocalicielle des deux côtés dans le contexte d'adénocarcinome de la prostate Gleason score 9, stade cT3 cNx cM0. • date du diagnostic : 2007 • status post-laparotomie exploratrice le 16.08.2007 • status post-hormono modulation suivi d'un traitement de radiothérapie en 2008 • status post-prostatectomie radicale avec curage ganglionnaire iléo-obturateur bilatéral pour récidive d'adénocarcinome de la prostate, Gleason score à 9, classé cT3b V1 R1 en octobre 2014 • sous traitement anti-hormonal par analogues LH-RH dès 2014 • status post 4 cures de chimiothérapie palliative par Taxotere, Prednisone du 12.05 au 14.07.2017 rémission partielle. • traitement de chimiothérapie par Taxotere, Prednisone, poursuite des injections trimestrielles de Zoladex auprès du Dr. X. Poursuite des injections par XGEVA auprès du Dr. X. • actuellement sous Zytiga depuis 02.2018 • mise en place d'une néphrostomie gauche le 27.08.2018 sous US (Dr. X) • Perte d'urine par la néphrostomie sur dislocation d'une néphrostomie gauche le 16.09.2018 avec • Pose de néphrostomie gauche le 17.09.2018 par le Dr. X, Hémocultures de 16.09. positives pour E. faecalis : (Tazobac 4.5g 3x/24h dès 18.09 jusqu'au 20.09.2018, Co-Amoxicilline 2.2g 4x/j dès 20.09.2018 jusqu'au 24.09.2018 et Co-Amoxicilline 1g 3x/j dès le 24.09.2018 jusqu'au 02.10.2018). Hypertension artérielle traitée. Épilepsie partielle multifocale traitée. Diabète II insulino-requérant compliqué avec : • multiples décompensations hyperosmolaire. • polyneuropathie des membres inférieurs avec trouble de l'équilibre. Fibrillation auriculaire paroxystique anticoagulée. Trémor essentiel. Hypertension artérielle traitée. Épilepsie partielle multifocale traitée. Diabète II insulino-requérant compliqué avec : • multiples décompensations hyperosmolaire. • polyneuropathie des membres inférieurs avec trouble de l'équilibre. Fibrillation auriculaire paroxystique anticoagulée. Trémor essentiel. Hypertension artérielle traitée. Fibrillation auriculaire anticoagulée par Eliquis. Cardiopathie ischémique avec quadruple pontage aorto-coronarien en octobre 2006. Modification de l'ECG, asymptomatique le 30.05.2016 avec bloc de branche droit. Leucémie lymphoïde chronique, diagnostiquée en mai 1995 avec : • status post 2 cycles de Leukeran en juin et août 1995 (leucocytose à 150 G/l, dont 90% de lymphocytes, avec syndrome de carence en anticorps) • status après 3 cycles de Fludarabine (50 mg/jour J1 à J5) de juin à août 1997 pour progression de la leucémie lymphoïde chronique (leucocytes à 135 G/l) • traitement par Leukeran low dose en continu depuis le 10.12.2008 en raison d'une nouvelle progression (leucocytose à 139 G/l, avec anémie à 87 g/l), stoppé le 22.05.2013.• situation actuelle (15.07.2016) : lente progression de la leucémie lymphoïde chronique, asymptomatique, avec une légère augmentation de la lymphocytose à 10.51 G/l avec hypogammaglobulinémie persistante. • Anémie pernicieuse (carence en vitamine B12 avec anticorps anti-facteur intrinsèque positif) diagnostiquée en 1998, actuellement en rémission complète (anticorps anti-facteur intrinsèque et anti-cellule pariétale négatifs le 17.09.2013 ; taux de vitamine B12 dans la norme). • Hypothyroïdie substituée par Euthyrox depuis le 18.07.2015. • Hypertension artérielle traitée. • Hernie hiatale (sous IPP). • Diverticulose sigmoïdienne. • Douleurs neuropathiques importantes aux deux pieds avec implantation d'un neurostimulateur en 2009. • Hypertension artérielle traitée. • Hernie inguino-scrotale bilatérale à contenu graisseux. • Adénocarcinome de la prostate opéré il y a 12 ans et traité par radiothérapie (38 séances), avec : • adénocarcinome du côlon gauche avec métastases hépatiques, diagnostiqué en septembre 2018. • CT thoraco-abdominal le 18.10.2018 : présence connue d'une métastase mesurant 4.7 cm dans le lobe hépatique droit. • abstention thérapeutique au vu du contexte palliatif. • Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • gastro-entérite à Norovirus. • anémie. • adénocarcinome de la prostate. • malnutrition protéino-énergétique modérée. • Hypertension artérielle traitée. • Hypercholestérolémie. • Hypertension artérielle traitée. • Hypercholestérolémie : LDL à 4.12 mmol/L le 05.12.2018. • Statine. • Hypertension artérielle traitée. • Hypercholestérolémie traitée. • Hypertension artérielle traitée. • Hypercholestérolémie traitée. • Hypertension artérielle traitée. • Hypercholestérolémie traitée. • Hypertension artérielle traitée. • Hypercholestérolémie traitée. • Broncho-pneumopathie chronique obstructive sur terrain asthmatique. • Carcinome épidermoïde de la région rétro-cricoïdienne gauche cT3 cN1 cM0, stade III : • date du diagnostic : le 13.05.2015. • CT scan thoraco-abdominal du 28.04.2015 (Givision) : pas de lésion métastatique. • IRM du cou (Givision) du 04.05.2015 : lésion des 3 replis gauches avec composantes rétro-cricoïdienne. • panendoscopie du 13.05.2015 (Dr. X) : tumeur de la partie postérieure de l'aryténoïde et du cartilage cricoïde à gauche avec léger dépassement de la ligne médiane, palpation d'une adénopathie supra-centimétrique jugulo-carotidienne moyenne gauche. • histologie (Promed P4237.15) : carcinome épidermoïde bien à moyennement différencié peu kératinisant invasif dans une muqueuse malpighienne non kératinisante par endroit, fortement dysplasique. • radiothérapie concomitante à un traitement par Erbitux, à visée curative avec : • 34 séances de radiothérapie du 16.07.2015 au 02.09.2015. • chimiothérapie hebdomadaire par Cétuximab (6 cycles au total). • Hypertension artérielle traitée. • Hypercholestérolémie traitée. • Chondromalacie de 3ème degré du compartiment latéral du genou gauche et du 2ème degré rétro-patellaire à gauche. Lésion de la corne postérieure du ménisque latéral gauche. • Hernie discale en mars 2015 : IRM, thérapie par Prednisone + Pantozol et infiltration le 24.03.16. • Hypertension artérielle traitée. • Hypercholestérolémie traitée. • Fibromyalgie. • Syndrome de CREST : • Prednisone depuis octobre 2016. • Insuffisance respiratoire légère à modérée le 28.10.2017 : • Possible hypertension pulmonaire sur syndrome de CREST. • ECG : rythme sinusal régulier, bloc de branche gauche (pas de comparatifs). • Troponines. • NT-proBNP : négatifs. • D-dimères : positifs. • CT injecté : pas d'embolie, pas de foyer, pas de signes de décompensation cardiaque. • US cardiaque à organiser en ambulatoire. • Toux chronique le 28.10.2017 : • Probable reflux gastro-œsophagien sur syndrome de CREST. • Introduction Pantoprazole. • Incontinence urinaire à l'effort. • Exacerbation de polyarthralgies dans un contexte de syndrome douloureux chronique le 04.10.2018 : • Douleurs chroniques sur fibromyalgie. • Syndrome de CREST avec anticorps anti-Centromère positifs. • Composante neuropathique des douleurs : paresthésies, brûlures surtout nocturnes. • Bloc de branche gauche avec septum paradoxal échocardiographique le 08.10.2018 : • Absence d'HTAP. • Absence de coronaropathie significative. • Kyste Ovarien droit le 15.10.2018. • Hypertension artérielle traitée. • Hypercholestérolémie traitée. • Obésité de stade I. • Hypertension artérielle traitée. • Hypercholestérolémie traitée. • Obésité stade 3 selon OMS (BMI 42 kg/m2). • Hypertension artérielle traitée. • Hypercholestérolémie. • Diabète de type 2. • Hypertension artérielle traitée. • Hypercholestérolémie. • Diabète de type 2. • Hypertension artérielle traitée. • Hypercholestérolémie. • Ostéoporose. • Hypertension artérielle traitée. • Hyperplasie de la prostate traitée (suivi Dr. X). • Prostatite chronique. • Hypertension artérielle traitée. • Hyperuricémie, crises de goutte occasionnelles. • Hypertension artérielle traitée. • Hypothyroïdie substituée. • Etat anxiodépressif traité par Sertraline et Zyprexa. • Cardiopathie dysrythmique avec flutter intermittent anticoagulée jusqu'en septembre 2016 par Sintrom : • Sous Cordarone. • Relais par Xarelto en raison de l'embolie pulmonaire le 27.09.2016. • Implantation de pacemaker en électif le 25.01.18. • ETT le 14.09.2018 : discrète dilatation du ventricule gauche, hypokinésie modérée du septum et hypokinésie minime de la paroi latérale étendue ; fraction d'éjection ventriculaire gauche à 60%. Insuffisance mitrale modérée. • Choc hémorragique sur rupture de rate le 20.11.2018 avec : • J13 post-gastrectomie sub-totale et sous anticoagulation thérapeutique par Clexane. • CT abdominal injecté le 20.11.2018 : majoration de l'hémopéritoine sans signe pour un saignement actif. • Artériographie le 20.11.2018 : saignement d'une branche de l'artère moyenne de la rate ; mise en place de 2 coils ; contrôle final avec absence de saignement et d'opacification de ces deux artères lobaires coïlées. • CT abdominal injecté de contrôle le 22.11.2018 : pas de saignement actif, diminution de l'hémopéritoine et absence de vascularisation du territoire splénique. • Cathéter artériel du 20.11.2018 au 22.11.2018. • Noradrénaline du 20.11.2018 au 21.11.2018. • Transfusions sanguines du 20.11.2018 au 21.11.2018 : 6 culots érythrocytaires, 1 PFC, Cyklokapron 2g. • Ceftriaxone / Metronidazole du 20.11 au 25.11.2018. • Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique d'origine plurifactorielle (épanchement pleural, atélectasie, embolie pulmonaire) le 27.11.2018 : • CT thoraco-abdominale le 27.11.2018 : embolie pulmonaire segmentaire lobaire inférieure droite et un thrombus pariétal jugulaire interne droit sur status post-implantation de voie veineuse centrale ; important épanchement pleural gauche. • Pas de foyer infectieux évident visible. • Furosemide du 23.11.2018 au 25.11.2018. • Ventilation non invasive du 23.11.2018 au 05.12.2018. • Drainage pleural le 27.11.2018 : transsudat. • Hypertension artérielle traitée. • Hypothyroïdie. • Hémochromatose familiale (mutation homozygote C282Y) depuis 2001, traitée par saignées. • Claustrophobie. • Tremblement essentiel. • Hypertension artérielle traitée. • Hypothyroïdie. • Ostéoporose. • Douleurs lombaires chroniques traitées par neurostimulateur électrique implanté.Hypertension artérielle traitée. Insuffisance veineuse chronique de stade III avec lymphoedème chronique : • épisodes d'érysipèle récurrents des membres inférieurs • status après ulcère variqueux de la région malléolaire interne à gauche Insuffisance artérielle de stade I avec artériosclérose généralisée au niveau des membres inférieurs, sans sténose pertinente (Dr. X 2015) Polyarthrose. Diverticulose sigmoïdienne. Gastrite chronique, avec : • status après éradication d'Hélicobacter Pylori en 2011 Sténose aortique modérée le 11.10.2018 : • souffle holosystolique à 3/6, p.m. Erb • échocardiographie transthoracique du 12.10.2018 (PD Dr. X) : le souffle systolique correspond à une sténose aortique modérée ; il y a un remodelage concentrique probablement dans le cadre d'une maladie hypertensive Trouble anxiodépressif traité. Hypertension artérielle traitée Insuffisance veineuse chronique Arthrose des doigts avec rhizarthrose débutante Hypertension artérielle traitée Lombalgie non déficitaire sur hernie discale L3-L4 foraminale gauche au contact de la racine L3 Hypertension artérielle traitée. Maladie de Scheuermann. Hypertension artérielle traitée. Maladie du sinus diagnostiquée le 29.03.2018 avec pose de PM par Dr. X le 16.04.2018. Kyste para-gastrique. Masse lipomateuse à l'aine gauche. Kyste rattaché au bord inférieur marginal du lobe gauche du foie. Petit kyste marginal du foie centimétrique antérolatéral antécédent du segment V. Hypertension artérielle traitée. OH chronique. Syndrome anxio-dépressif. Hypertension artérielle, traitée Ostéoporose pluri-fracturaire traitée • OS fracture pertrochantérienne Kyle III, fémur G en août 2015 • OS fracture pertrochantérienne Kyle IV fémur D en juillet 2015 • Fracture de la branche ischio-pubienne G le 16.09.2014 traitée conservativement. • Cyphoplastie L2 avec DFine (7cc) pour une fracture de L2 en mai 2012 Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multi-factorielle Dégénérescence maculaire liée à l'âge oeil G Hernie hiatale Diverticulose colique (dernière colonoscopie en 2009) Hypertension artérielle traitée. Ostéoporose, sous Fosamax de 2005 à 2011. Anémie de Biermer (injection de B12 chaque 3 mois). Gammapathie monoclonale. Hypertension artérielle traitée Pacemaker par Prof. X pour maladie du sinus avec insuffisance chronotrope et FA anticoagulée par Lixiana 60 mg Dégénérescence maculaire avec injections intra-oculaires aux 3 semaines Trouble de la marche et de l'équilibre suite à la pose PTH G le 30.11.2017 Trouble du sommeil avec dépendance aux benzodiazépines Canal lombaire étroit L4-5 Ostéoporose Insuffisance mitrale minime (grade 1/3) le 18.01.2019 Dysfonction diastolique modérée (grade II) le 18.01.2019 Hypertension pulmonaire avec PAPs à 50 mmHg le 18.01.2019 Hypertension artérielle traitée Reflux gastro-oesophagien Hypertension artérielle traitée. Sclérose aortique sans rétrécissement significatif 07/2017. Diverticulose sigmoïdienne 07/2017. Hypertension artérielle traitée Sténose aortique sévère calcifiée III avec FEVG 45% Insuffisance mitrale moyenne Hypertrophie ventricule gauche Dyslipidémie Hypertension artérielle traitée Suspicion de syndrome parkinsonien DD S/p AVC, Parkinson atypique de type (PSP) le 16.05.2018 • hémisyndrome gauche léger avec faiblesse à la jambe D et trouble de sensibilité dans la main droite, hypomimie, hypophonie, phénomène de la route dentée, paralysie de la verticalité du regard • Test d'horloge le 17.05.2018 : 7/7 • Avis neurologique chez Dr. X le 30.05.2018 : suspicion d'un ancien AVC avec probable syndrome Parkinson DD maladie de Parkinson atypique Dysphagie légère avec hypophonie probablement dans un contexte de M. Parkinson DD : presbyœsophage, dysmotilité en lien avec le syndrome de Parkinson • Vidéofluoroscopie le 24.05.2018 : pas d'aspiration visible. Dysmotilité aspécifique de l'œsophage avec stase de la colonne de contraste et multiples contractions tertiaires • Madopar capsule 62.5 mg 3x/jour dès le 31.05.2018 (actuellement stoppé) Fibrillation auriculaire : • sous Belok à 25 mg 2x/jour et Xarelto 20 mg • status post-Flutter auriculaire en 2007, sous Meto Zerok, le patient a été hospitalisé et mis sous Sintrom qui a été stoppé après environ 14 jours en raison du retour en rythme sinusal (information par médecin traitant) • selon la discussion avec Dr. X le 17.05.2018 : Xarelto à vie, vu qu'il est connu avec Flutter auriculaire depuis 2007 Dénutrition protéino-énergétique modérée Anémie normochrome, normocytaire chronique • Bilan vitaminique (B12 et acide urique) et Ferritine le 23.05.2018 : dans la norme Insuffisance rénale chronique G3b selon KDIGO • Clairance EGFR selon Cockroft à 32 ml/min Hypertension artérielle traitée Syndrome d'apnée du sommeil appareillé Hypertension artérielle traitée. Tabagisme à 1 paquet/jour jusqu'au début 2012. Hypertension artérielle traitée Tabagisme actif Hypertension artérielle traitée. Tabagisme actif. Hypertension artérielle traitée. Tabagisme actif. Hypertension artérielle traitée. Tabagisme actif (40 UPA). Suspicion de syndrome d'apnées obstructives du sommeil, le 19.03.2017. Hypertension artérielle traitée. Tabagisme actif (40 UPA). Suspicion de syndrome d'apnées obstructives du sommeil, le 19.03.2017. Hypertension artérielle traitée Tabagisme ancien à 52 UPA, stoppé en mai 2018 Dyslipidémie traitée Insuffisance rénale chronique stade 2 Ostéoporose clinique avec tassements vertébraux • traitement par Bonvia entre octobre 2012 et mai 2014 Scoliose et arthrose lombaire Asthme allergique Hypoacousie après streptomycine Insuffisance cardiaque avec dysfonction VG sévère sur maladie coronarienne tri-virale et valvulaire. • Coronarographie le 11.07.2018 (Dr. X) • ETT le 18.09.2018 : FEVG 30%, IM modérée à sévère fonctionnelle, dysfonction diastolique modérée (grade II). HTP modérée (PAPs 55 mmHg). IT modérée, IP modérée. • Att : traitement médicamenteux optimal (cansartan 2x8 mg, augmenter Meto Zerok à 2x50 mg, torasémide 10 mg, Aldactone 25 mg) Hypertension artérielle traitée Tabagisme chronique avec BPCO Sténose cicatricielle de l'angle colique droit et du côlon transverse proximal sur env. 13 cm (diagnostic différentiel inflammation sur consommation chronique de AINS, cicatrice d'une ancienne inflammation) Anémie spoliative sévère sur ulcère colique (Transfusion de 2 culots érythrocytaires intra-opératoires le 25.01.2017) Dépendance au Tramadol Hypertension artérielle traitée Tabagisme chronique (30 à 40 unités paquets par an) Hypertension artérielle traitée Trouble anxio-dépressif Hypertension artérielle traitée Trouble anxio-dépressif Hypertension artérielle traitée Trouble bipolaire sous traitement par Lithium Hypertension artérielle traitée. Trouble dépressif. Lombalgies chroniques non déficitaires, le 20.12.2018. Physiothérapie ambulatoire. Hypertension artérielle traitée. Trouble dépressif. Reflux gastro-oesophagien. Hypertension artérielle traitée. Trouble du rythme X. Hypertension artérielle traitée Troubles cognitifs légers à modérés, à prédominance mnésique et exécutive, d'origine neurodégénérative Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine probablement multifactorielle : • neuropathie périphérique d'origine indéterminée (Pallesthésie : 3-5 à l'articulation MTP ddc) • hypoacousie droite appareillée Hypertension artérielle traitée Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multi-factorielle avec risque de chute : • facteurs de risque de chute : • déshydratation suite aux diarrhées d'origine infectieuse au décours depuis le 10.09.2017 • troubles cognitifs légers • moyens auxiliaires inadaptés • Anémie • Troubles électrolytiques • Hypovitaminose D, B9, B12 Hypertension artérielle traitée Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle Lésion nodulaire surrénalienne gauche de 15 mm x 11 mm, de densité moyenne mesurée à 20 HU, non caractérisable Hypovitaminose D et B9 Suspicion de descellement prothèse hanche droite suivi chez Dr. X Hypertension artérielle traitée Troubles neurocognitifs sans précision : • 03.08.2018 : MMSE à 22/30, test de la montre à 1/7 ; GDS 2/15 Anémie normocytaire normochrome hyporégénérative Hypertension artérielle (170/106 mmHg). Hypertension artérielle (200/120 mmHg à l'arrivée) Hypertension artérielle Accident de la voie publique à l'âge de 9 ans avec séquelles neurologiques sévères (TCC) Hypertension artérielle. Adénome surrénalien gauche avec syndrome de Conn. Hernie hiatale. Gastrite diffuse avec reflux biliaire (oeso-gastro-duodénoscopie en juillet 2013). Oedème de Reincke. Kystes mammaires bilatéraux. Etat anxio-dépressif avec asthénie et perte pondérale de 15 kg en 7 mois, 26 septembre 2012. Hypertension artérielle Adénome surrénalien gauche avec syndrome de Conn Hernie hiatale Gastrite diffuse avec reflux biliaire (oeso-gastro-duodénoscopie en juillet 2013) Oedème de Reincke Kystes mammaires bilatéraux Etat anxio-dépressif avec asthénie et perte pondérale de 15 kg en 7 mois, 26 septembre 2012 Hypertension artérielle Adénomes surrénaliens des deux côtés, de découverte fortuite (IRM du 10 avril 2017) Colite à collagène Psoriasis Tabagisme actif Hypertension artérielle Ancien tabagisme actif Adénocarcinome du côlon transverse gauche pT3 N0 (0/31) L0 V0 Pn0 G2 R0 : • Colonoscopie du 12.10.2018 : présence d'une tumeur en virole de l'angle colique splénique de nature carcinomateuse • CT thoraco-abdomino-pelvien du 23.10.2018 : néoplasie colique de l'angle splénique sans mise en évidence d'autre manifestation tumorale • Histologie P2018.11696 : adénocarcinome moyennement différencié de type colorectal en partie ulcéré • PET-CT du 09.11.2018 : multiples adénopathies médiastinales • EBUS du 12.11.2018 avec histologie P2018.12859 : dépôts silico-anthracosiques, absence de malignité • Marqueurs tumoraux le 05.11.2018 : CEA 6.2 ng/ml Colectomie droite étendue avec CME et anastomose iléocolique latéro-latérale le 04.12.2018 Présentation au TumorBoard du 12.12.2018 Fibrillation auriculaire : • Anticoagulé par Xarelto • CHADS-VASC score : 6 points • Reprise d'une anticoagulation thérapeutique 48 h post-opératoire • Reprise du Xarelto le 12.12.2018 Hypertension artérielle Artériopathie oblitérante des membres inférieurs Bronchopneumopathie chronique obstructive de stade inconnu Troubles cognitifs et d'élocution investigués avec : • MMS à 24/30 le 11.09.2018 • Plusieurs épisodes d'hallucinations visuelles depuis 3 mois • Diagnostics différentiels : maladie d'Alzheimer, démence à corps de Lewy, démence vasculaire • Bilan neuropsychologique du 22.08.2018 et 11.09.2018 à l'HFR Billens : dysfonctionnement exécutif au 1er plan avec difficultés attentionnelles et ralentissement • IRM cérébrale le 19.09.2018 : pas de signes d'ischémie aiguë, pas d'hémorragie, modeste progression des lésions de la substance blanche compatibles avec une microangiopathie sous-jacente, élargissements cornus temporaux des deux côtés compatibles avec début de la maladie d'Alzheimer Hypertension artérielle. Arthrite psoriasique. Psoriasis. Ostéoporose. Fibromyalgie. RCU depuis 2015, en rémission. AIT en 1997. Hypertension artérielle. Arthrose bilatérale. Hypertension artérielle Asthme Tabagisme à 30 UPA Hypertension artérielle. BPCO. Arthralgies bilatérales de l'épaule et la hanche droites. Ancien tabagisme. Hypertension artérielle Carcinome de la vessie avec st/p 2 TURV (30.04.2015 et 28.05.2015). Chimiothérapie intravésicale par Farmorubicin en cours (2015) Goutte traitée Syndrome des jambes sans repos non traité Hypertension artérielle Carcinome de la vessie avec st/p 2 TURV (30.04.2015 et 28.05.2015). Chimiothérapie intravésicale par Farmorubicin en cours (2015) Goutte traitée Syndrome des jambes sans repos non traité Hypertension artérielle Carcinome mammaire, en rémission depuis 2011 Fibrillation auriculaire non datée à réponse ventriculaire rapide à 100/min avec : • CHADS VASC à 4 points, HAS-BLED à 2 points • Anticoagulation par Xarelto 2x15 mg/jour pendant 3 semaines, puis relais avec Xarelto 20 mg/jour • Introduction Metropolol à 25 mg/jour Hypertension artérielle Cardiopathie ischémique avec : • status post-infarctus sous endocardite le 27.08.1996 Tabagisme actif (occasionnel) • anciennement 100 UPA • actuellement sevrage presque complet, quelques cigarettes/semaine BPCO non stadée Trouble anxio-dépressif chronique traité par Escitalopram Insuffisance rénale chronique avec eGFR à 50 ml/min selon Cockroft soit stade G3a selon KDIGO • dans un contexte de status post-néphrectomie droite Hypertension artérielle Cardiopathie ischémique avec : • STEMI en 1992 • Triple pontage aorto-coronarien en 2002 Hypertension artérielle. Cardiopathie ischémique sous Aspirine. Dyslipidémie. Hypertension artérielle Cardiopathie ischémique Fibrillation auriculaire rapide diagnostiquée le 10.04.2013, CHADS2-VASc à 5, sous Sintrom Diabète de type 2 Dyslipidémie traitée Syndrome de Sudeck du membre inférieur droit Anémie normochrome normocytaire symptomatique Hypertension artérielle Cardiopathie ischémique Fibrillation auriculaire rapide diagnostiquée le 10.04.2013, CHADS2-VASc à 5, sous Sintrom Diabète de type 2 Dyslipidémie traitée Syndrome de Sudeck du membre inférieur droit Anémie normochrome normocytaire symptomatique Hypertension artérielle Cardiopathie ischémique Fibrillation auriculaire rapide diagnostiquée le 10.04.2013, CHADS2-VASc à 5, sous Sintrom Diabète de type 2 Dyslipidémie traitée Syndrome de Sudeck du membre inférieur droit Anémie normochrome normocytaire symptomatique Hypertension artérielle Cardiopathie rythmique avec ESV • ETT en 2016 : FEVG 55% Carcinome épidermoïde pulmonaire du lobe inférieur droit en stade cT1-2 N0 M0 • date du diagnostic : 18.02.2015 • histologie : cytologie de brossage bronchique avec cellules d'un carcinome épidermoïde mature avec suspicion d'invasion, carcinome épidermoïde in situ dans la biopsie transbronchique du lobe inférieur droit, EBUS station anse R et anse R sans évidence de métastase ganglionnaire • CT-thoraco-abdominal du 14.01.2015 : nodule pulmonaire du lobe inférieur droit en progression. Apparition d'une lésion sous-capsulaire de la rate, métastase osseuse connue • PET-CT du 22.01.2015 : hypercaptation pulmonaire droite avec des foyers suspects de métastases ganglionnaires hilaires bilatérales et médiastinales controlatérales. Légère hypercaptation sacrale, plutôt à droite, évoquant une infiltration métastatique probablement liée au carcinome prostatique. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte • biopsie transthoracique de la lésion du lobe inférieur droit le 06.02.2015 (cytologie sans éminence de cellules cancéreuses) • bronchoscopie avec EBUS le 18.02.2015 • 1 cure de chimiothérapie par Paraplatine et Navelbine initialement prévue en association avec une radiothérapie du 10 au 17.03.2015 • radiothérapie stéréotactique à visée curative des lésions pulmonaires du 23 au 29.04.2015 (rémission partielle) • CT et PET CT d'août 2016 : hypercaptation au niveau pulmonaire inférieur droit et au niveau hilaire pulmonaire gauche (DD : tumoral, sillico-anthracose), pas de traitement à ce moment. • actuellement : pas d'évidence d'une progression tumorale au scanner, poursuite de la surveillance Carcinome de la prostate en stade initial métastatique • date du diagnostic : 2004 • PSA 940 ng/ml et métastases osseuses • sous traitement de LHRH analogue (Lucrin) et Casodex depuis 2004 • arrêt du traitement par Casodex en septembre 2012 en vue d'une progression tumorale au niveau osseux • 9 cures de chimiothérapie par Taxotere et Prednisone de novembre 2012 à mai 2013, en raison de progression tumorale (PSA et métastases osseuses), avec bonne rémission partielle • sous traitement par XGEVA depuis novembre 2012 • 3 cures d'une chimiothérapie de 2e ligne par Jevtana et Prednisone du 12.02 au 26.03.2014 • sous traitement anti hormonal par Abiratérone et Prednisone depuis avril 2014 en raison d'une progression tumorale (sous forme d'une augmentation du PSA et d'une péjoration des dorsalgies). • actuellement : PSA < 0,03 ng/ml, poursuite du traitement par Zytiga et Prednisone, ainsi que LHRH-analogue Hypertension artérielle Colite à collagène Psoriasis Tabagisme actif Adénomes surrénaliens des deux côtés, de découverte fortuite (IRM du 10 avril 2017) Hypertension artérielle. Consommation OH élevée. Hypertension artérielle. Coxalgie aigue invalidante droite. Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 02.01.2019 au 09.01.2019 avec physiothérapie, ergothérapie, nutrition. Trouble de la marche et de l'équilibre dans un contexte de décompensation arthrosique de la hanche droite. Hypertension artérielle Coxalgie aigue invalidante droite Troubles cognitifs modérés avec tests de la cognition du 08.01.2019 : • MMSE à 22/30, test de la montre refusé par le patient ; GDS à 3/15 Troubles de la marche et de l'équilibre dans un contexte de décompensation arthrosique de la hanche droite Crises d'angoisse à répétition dans un contexte de troubles cognitifs modéré le 12.01.2019 Hypertension artérielle. Dégénérescence maculaire. Hypertension artérielle. Dégénérescence maculaire Asthme Hypertension artérielle. Dégénérescence maculaire Asthme bronchique anamnestiquement Hypertension artérielle. Démence mixte. Lombalgies chroniques. Constipation chronique. Hypertension artérielle Démence mixte. Lombalgies chroniques. Constipation chronique. Hypertension artérielle Dépression Hypertension artérielle Diabète Hypertension artérielle. Diabète. Hypertension artérielle. Diabète de type II non insulino-requérant. Hypertension artérielle Diabète de type 2 insulino-dépendant Hypercholestérolémie Hépatopathie de type auto-immune, diagnostiquée le 09.11.2011 (DD : hépatopathie cholestatique primaire (cholangite sclérosante, cirrhose biliaire primitive, lupus érythémateux systémique) Hypothyroïdie subclinique Ostéoporose fracturaire Hypertension artérielle Diabète de type 2 Polyneuropathie diabétique Insuffisance rénale chronique Ulcères veineux péri-malléolaires internes Anémie normocytaire normochrome chronique avec hémoglobine à 86g/l le 12.07.2013 Hypertension artérielle, Diabète non-insulino-requérant de type 2. Hypercholestérolémie. Insuffisance rénale modérée. Cardiopathie ischémique mono-tronculaire avec : • status après mise en place de stent sur la coronaire droite pour infarctus (2000) • test d'effort avec FE 65% (2004). Adénocarcinome de la prostate cT1b Nx Mx découvert fortuitement lors d'une TURP pour hyperplasie de la prostate de grade II (2004). Polyneuropathie périphérique. Hypertension artérielle Douleurs épaule droite avec suspicion de lésion dégénérative de la coiffe de rotateurs Insuffisance rénale chronique Goutte Hypertension artérielle Dyslipidémie Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Cardiopathie ischémique avec pose de trois stents en 2009. Hypertension artérielle Dyslipidémie Cardiopathie ischémique et hypertensive avec maladie bi-(tri)-tronculaire • S/p NSTEMI in 10/2014 • Mono-pontage aorto-coronarien (AMIG/IVA), à cœur battant, fait par Dr. X (Clinique Beau-Site), le 23.02.2015, dans le cadre d'une maladie coronarienne bitronculaire stentée le 27.10.2014 avec angor récidivant et dyspnée d'effort nouvelle : • Coronarographie le 09.02.2015 (Dr. X) : lésion intermédiaire de l'ostium de l'IVA proximale fonctionnellement significative (FFR = 0.79), sténose de l'IVA moyenne (lésion fonctionnellement non significative, FFR = 0.82), absence de resténose de l'artère circonflexe proximale au niveau du stent actif, lésion non significative de l'ostium de l'artère bissectrice, lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale. FEVG à 38%. • Echographie le 18.02.2015 (Dr. X) : cardiomyopathie dilatative d'origine ischémique avec ventricule gauche discrètement dilaté, FEVG à 30%, oreillette gauche modérément dilatée. • Echographie le 06/2016 : ventricule gauche dilaté, dyskinésie antérieure et postérieure, FEVG 40%, insuffisance mitrale légère, sclérose valve aortique Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Epilepsie sous Dépakine. Hypertrophie bénigne de la prostate. Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Hernie hiatale. Acouphène droit suivi en ORL. Hypertension artérielle Dyslipidémie Hyperuricémie Reflux gastro-oesophagien Asthme Syndrome d'apnée au sommeil appareillé Hypertension artérielle Dyslipidémie Hyperuricémie Reflux gastro-oesophagien Asthme Syndrome d'apnée au sommeil appareillé Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Obésité classe OMS III (patient dit avoir perdu 25 kg depuis février 2018 avec l'aide d'une diététicienne). Hyperuricémie. Hypertension artérielle Dyslipidémie Obésité stade I selon l'OMS (BMI 36 Kg/m2) Hypertension artérielle Dyslipidémie Obésité BPCO stade IIID selon GOLD avec multiples exacerbations, la dernière le 09.11.2018 Ethylo-tabagisme chronique avec : • Hépatopathie chronique d'origine alcoolique en 2012 avec : • Hépatite alcoolique aiguë les 17.12.2015 et 09.05.2016 • Intoxication éthylique aiguë avec sevrage éthylique compliqué nécessitant une intubation et un séjour aux soins intensifs (Cormack I) le 09.05.2016 • Cirrhose éthylo-toxique Child A Idéation suicidaire avec intoxication alcoolique le 31.05.2015 AOMI Fontaine IIB du membre inférieur gauche avec occlusion iliaque externe commune et fémorale superficielle : • Absence des pouls pédieux et tibial postérieur à gauche Fibrillation auriculaire paroxystique dans un contexte de sevrage alcoolique les 15.09 et 17.09.2017 • 1 épisode en 2016 lors d'une alcoolisation aiguë • cardioversion électrique le 09.05.2016 • CHADS-VASC=2 le 20.09.2017 Hypertrophie de la prostate avec résidus post-mictionnels de 160 cc et vessie de lutte le 20.09.2017 Hernie inguinale gauche à contenu graisseux non compliquée Hypertension artérielle. Dyslipidémie. SAOS appareillé. Décompensation hyperglycémique d'un diabète de type 2 le 14.10.2014. Hypertension artérielle Dyslipidémie Sténose serrée de l'artère mésentérique supérieure et sténose 50 % tronc cœliaque asymptomatique • Bilan angiologique le 14.07.2014 Sténose de l'artère sous-clavière proximale asymptomatique du côté gauche le 12.07.2014 avec : • différence tensionnelle d'environ 40 mmHg en défaveur de la gauche • paresthésie et fatigue du bras gauche à l'anamnèse Ostéoporose Intolérance au lactose Hypertension artérielle Dyslipidémie Sténose serrée de l'artère mésentérique supérieure et sténose 50 % tronc cœliaque asymptomatique • bilan angiologique le 14.07.2014 Sténose de l'artère sous-clavière proximale asymptomatique du côté gauche le 12.07.2014 avec : • différence tensionnelle d'environ 40 mmHg en défaveur de la gauche • paresthésie et fatigue du bras gauche à l'anamnèse Ostéoporose Intolérance au lactose Hypertension artérielle. Dystonie bucco-faciale (suivi neurologique par Dr. X), syndrome de Meige traité par Botox : • Avec alimentation mixée à domicile.Cures de Botox, dont la dernière en 2017. Achalasie probable connue depuis 2002 avec : • Section des muscles péri-oesophagiens et adhésiolyse 2003. Kyste de l'oreillette gauche le 26.01.2018 Troubles cognitifs débutants : • Tests cognitifs du 27.02.2018 : MMS à 24/30 et test de la montre à 6/7. • Consilium neuropsychologique le 02.03.2018. Anémie normochrome normocytaire d'origine multiple : insuffisance rénale, composante inflammatoire. Epaississement de l'antre gastrique de découverte fortuite le 20.01.2018 Hyperthyroïdie iatrogène le 07.03.2018 dans le cadre d'une substitution initiée lors d'un probable euthyroid sick syndrome, le 21.01.2018. Malnutrition protéino-énergétique grave. Hypertension artérielle. Fibrillation auriculaire chronique sous Sintrom. Structure de l'urètre bulbaire avec status post-multiples dilatations. Actuellement, Cystofix permanent. Maladie de Dupuytren. Hypertension artérielle Fibrillation auriculaire inaugurale le 13.01.2015 Sténose serrée de l'artère mésentérique supérieure et sténose 50% tronc coeliaque asymptomatique • bilan angiologique le 14.07.2014 Sténose de l'artère sous-clavière proximale asymptomatique du côté gauche le 12.07.2014 avec : • différence tensionnelle d'environ 40 mmHg en défaveur de la gauche • paresthésie et fatigue du bras gauche à l'anamnèse Ostéoporose Intolérance au lactose Hypertension artérielle Fibrillation auriculaire intermittente traitée Ostéoporose fracturaire Hypothyroïdie substituée Episodes d'anxiété avec hospitalisations à Marsens Probable pneumopathie interstitielle pré-existante non investiguée Hypertension artérielle Fibrillation auriculaire permanente, non anticoagulée Hypoacousie appareillée Goutte Méningiome temporal gauche (IRM du 21.06.2013) Hypertension artérielle. Fibrillation auriculaire permanente, non anticoagulée. Hypoacousie appareillée. Goutte. Méningiome temporal gauche (IRM du 21.06.2013). Trouble de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Trouble de déglutition d'origine indéterminée : • Stop alimentation po le 28.12.2018, • Sonde naso gastrique pour alimentation le 29.12.2018. Pose de PEG HFR Fribourg : • Consultation anesthésique le 04.02.19 à 11h00, • Hospitalisation le 11.02.19 à 11h30, • Contrôle pansement le 18.02.19 à 13h30. Malnutrition protéino-énergétique modérée. Hypertension artérielle Glaucome Cataracte Reins polykystiques Lymphome non hodgkinien, stade IVB • date du diagnostic : 25.10.2018 • histologie : lymphome à cellules B matures de haut grade diffus à grandes cellules avec fraction de prolifération haute, présence de réarrangement MYC, BCL2 et BCL6, lymphome haut grade triple-hit (biopsies du colon descendant) (Promed P2018.12233) • ponction biopsie de moelle osseuse : pas d'évidence d'infiltration • immuno-phénotypisation de la moelle osseuse du 07.11.2018 : pas d'évidence d'infiltration par un lymphome • PET-CT du 05.11.2018 : carcinomatose péritonéale diffuse avec infiltration tissulaire suspecte du muscle psoas gauche et épaississement circonférentiel du colon descendant, épanchement pleural droit • status post-colonoscopie le 24.10.2018 avec biopsie (clinique de chirurgie) • status post-mise en place d'un PleurX à gauche • status post-chimiothérapie selon protocole Mabthera et mini-CHOP à partir du 12.11.2018, 2 cycles • actuellement : amélioration de l'état général, diminution des diarrhées, état subfébrile vespéral intermittent, poursuite de la chimiothérapie le 07.01.2019 • Suivi par Prof. X Phimosis Malnutrition protéino-énergétique modérée Hypertension artérielle Gonarthrose Hypertension artérielle Gonarthrose Hypertension artérielle Gonarthrose Hypertension artérielle Gonarthrose Hypertension artérielle Gonarthrose débutante à gauche. Hypertension artérielle Habitudes : OH 0,6 ml de vin blanc/jour ; ancien tabagisme Status post-résection segmentaire de la lingula avec lymphadénectomie radicale médiastinale le 15.05.2017 et status post-radio-chimiothérapie jusqu'en 08/2017 pour un carcinome épidermoïde de la lingula gauche pT3 pN1 (2/8) L1 V1 Pn0 G3 R2 cM0, stade IIIA (DD : métastase pulmonaire du cancer de l'oropharynx) • actuellement : surveillance Status post-radio-chimiothérapie en 2015 pour un carcinome épidermoïde du sillon amygdaloglosse à droite classé cT4a cN2c cM0 HPV positif • actuellement : rémission complète S/p : résection partielle mandibule droite sur ostéonécrose de la mandibule le 25.05.2018 Hypertension artérielle. Hétérozygotie pour le facteur V de Leiden. Hyperplasie de la prostate : sous Tamsulosine, mise en suspense le 10.07.2018 vu vertiges orthostatiques. Insuffisance cardiaque HFrEF sur cardiopathie ischémique et dysrythmique avec NYHA 3, le 02.07.2018 DD sur insuffisance de traitement • infarctus antérieur et akinésie apicale en 1983 • double pontage sur l'artère interventriculaire postérieure et l'artère rétroventriculaire postérieure en 1984 • infarctus inférieur et hypokinésie inférieure en mars 1992 • triple pontage aorto-coronarien en 1992 • pacemaker DDDR en 1993 pour BAV 3ème degré (changement de pile en janvier 2003) • infarctus NSTEMI sur sténoses sub-totales de l'artère circonflexe moyenne, significative de l'artère circonflexe proximale et obstruction du pontage de l'artère circonflexe, avec mise en place de trois stents actifs dans l'artère circonflexe moyenne et proximale ; FEVG 35 % (juin 2011) • ETT 08/2016 : hypokinésie globale minime. FEVG 30 %. Dilatation de l'oreillette gauche. Lésion nodulaire corticale supérieure du rein gauche (16 mm), juillet 2018. Adénocarcinome de la prostate Gleason 8 cN0 cM0 09/2016 • status post résection trans-urétrale de la prostate 09/2016 • Biopsie Promed (P10191.16) : adénocarcinome grade groupe 4. Gleason score 4+4=8 • CT abdomen 10/2016 (HFR Fribourg) : pas de métastase • PSA 05/2016 : 10.1mcg/l, 01/2018 : 16.7mcg/l. Démence débutante - MMS 05.7.18 : 25/30. Hypothyroïdisme substitué : • substitution insuffisante le 13.07.2018 Augmentation de la Levothyroxine à 0.075 mg (de 0.05 mg) le 13.07.2018. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Hypertension artérielle.Hypertension artérielle Hypercholestérolémie. Hypertension artérielle Hypercholestérolémie. Hypertension artérielle Hypercholestérolémie. Cardiopathie avec trouble du rythme. Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Coxarthrose invalidante à gauche Diverticulose Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Coxarthrose Chutes à répétition d'origine mixte (reconditionnement, carence en vitamine D, hyponatrémie) en 2014 • dysrythmie • Holter en 2012 (Dr. X) : RSR, fréquentes ESV, 6 salves de tachycardie supra-ventriculaire non soutenue • Implantation d'un Reveal le 10.07.14 Troubles de la marche d'origine probablement multifactorielle DD : troubles visuels, myalgies diffuses, arthrose des 2 genoux Labo : CK normales, CRP <5, sp. Remplacement du Zanidip par de l'Amlodipine 5 mg à la demande de la patiente Hospitalisation en Frailty Care proposée à la patiente et à son fils, qui refusent Suivi clinique chez MT DMLA anamnestique Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Dorso-lombalgies chroniques Anévrisme de l'aorte thoracique ascendante (43 mm) Déficit concentrique du champ visuel, plus marqué au niveau de l'œil gauche Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs. Trouble anxieux. Maladie coronarienne bitronculaire avec : Sténose significative de l'ostium de l'artère coronaire droite proximale : PTCA/stent actif en octobre 2011. PTCA des branches diagonales (2007). Lésion non significative de l'ostium de l'artère bissectrice. Lésion non significative de l'artère rétro-ventriculaire postérieure. Lésion significative de l'artère interventriculaire proximale et moyenne - PTCA avec stent actif le 15.12.2018. FEVG 70 % le 09.09.2015. Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Rhumatisme indéfini Dorsalgie chronique Dégénérescence maculaire liée à l'âge Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. SAOS non appareillé. Gastrite avec : • reflux gastro-oesophagien. • status post-éradication H. pylori. Obésité grade III selon l'OMS avec BMI 42,8 kg/m2 (128 kg ; 173 cm). Hypertension artérielle Hyperplasie bénigne de la prostate Hypertension artérielle Hyperplasie de la prostate Glaucome Constipation chronique Hypertension artérielle. Hypertension artérielle pulmonaire thromboembolique minime, anticoagulé par Xarelto. Thrombose veineuse profonde et EP en 2010 post-arthroscopie. Cardiomyopathie hypertrophique, dysfonction diastolique de grade II. Polyarthrose. Migraine avec auras visuels. Strabisme convergent de l'œil gauche avec amblyopie de l'œil gauche. Hernie hiatale. HTAP légère (PAPs 43 mmHg) sur probable maladie thromboembolique anticoagulé par Xarelto. Hypertension artérielle Hypotension orthostatique BPCO stade GOLD III / C en 2015 • Fonctions pulmonaires 07.05.2015 : Tiefenauspital (FEV1/FVC) 50 %, FEV1 0.41 l (34 % des Soll) Hypertension artérielle Hypothyroïse Sténose pyélocalicielle bilatérale sur probable maladie de la jonction Coxarthrose hanche et genou gauche Hypertension artérielle Hypothyroïse Sténose pyélocalicielle bilatérale sur probable maladie de la jonction. Coxarthrose hanche et genou gauche. Syndrome lombo-radiculaire L4-L5, L5-S1 bilatérale hyperalgique avec • discopathie modérée à massive pluri-étagée. • hernie discale L3-L4 para-médian gauche, luxée vers le haut • canal lombaire étroit. • sténose foraminale gauche L4-L5, Impingement de la racine L4 gauche au niveau intra-foraminal • sténose foraminale droite L5-S1, Impingement de la racine L5 droite au niveau intra-foraminal Hypertension artérielle Hypothyroïdie Hypertension artérielle Hypothyroïdie Hypertension artérielle IAMI Stade IIa Insuffisance post-thrombotique de la veine tibiale post gauche Troubles mnésiques dans un contexte post-AVC Fibrillation auriculaire intermittente Hypertension artérielle Insuffisance mitrale discrète (2007) Syndrome des apnées obstructives du sommeil modéré à sévère, non appareillé (CPAP mal tolérée) Maladie de Parkinson avec syndrome akinéto-rigide à prédominance gauche, évoluant depuis 2015 Embolie pulmonaire bilatérale le 16.03.2018 sous Xarelto 15 mg 2x/jour : • Xarelto 15 mg 2x/j dès le 17.03.2018 pour 3 semaines, puis Xarelto 20 mg/j Ostéoporose sévère Déclin cognitif débutant Hypertension artérielle Insuffisance rénale chronique connue depuis 2012 Fibrillation auriculaire, épisodes paroxystiques en 1998, non anticoagulée, sous Cordarone Pangastrite avec érosion antrale en 2016 Hypothyroïdie asymptomatique Polyneuropathie sensitive et symétrique des membres inférieurs d'origine idiopathique probable Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes à répétition sur : • Polyneuropathie sensitive et symétrique des membres inférieurs d'origine idiopathique probable • Anémie • Malnutrition protéino-énergétique • Troubles cognitifs • Traitement par des benzodiazépines • Fracture sous-capitale plurifragmentaire de l'humérus gauche Hypertension artérielle. Insuffisance rénale chronique stade 3. Incontinence urinaire. Lombalgies chroniques. Hypertension artérielle. Insuffisance rénale chronique. Incontinence urinaire. Lombalgies chroniques. Hypertension artérielle Insuffisance veineuse chronique Sténose aortique avec FEVG à 60 % selon ETT 2017 Diabète de type II • hémoglobine glyquée à 5.5 % en début 2018 Gonarthrose droite Fibrillation auriculaire inaugurale diagnostiquée en 2017 Hypertension artérielle IRC Hypertension artérielle Maladie coronarienne tritronculaire avec (coronarographie 13.03.2018) : • lésion intermédiaire de l'artère interventriculaire antérieure moyenne, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation) • sténose significative de l'ostium de la première marginale. • sténoses subocclusives de l'artère coronaire droite proximale et moyenne : PTCA/DES x3 • Fraction d'éjection VG 65 %. Sténose aortique sévère AVA 0.48 cm2, gradient systolique moyen 48 mm Hg Hypertension artérielle Maladie coronarienne tritronculaire avec NSTEMI secondaire le 22.01.2013 Atteinte surtout de la périphérie des vaisseaux coronaires : • sténose subtotale de l'artère interventriculaire antérieure distale, plusieurs lésions intermédiaires de l'IVA proximale et moyenne • occlusion de la branche marginale • sténoses subtotales de l'artère rétroventriculaire • dysfonction ventriculaire gauche (FEVG 45 %) sur hypo-akinésie diaphragmatique et antéro-latérale • Echocardiographie le 24.01.2013 (Dr. X) • Coronarographie et ventriculographie le 29.01.2013 (Dr. X) • Traitement conservateur Artériopathie des membres inférieurs avec sp angioplastie de l'artère fémorale superficielle droite en 2010 Diabète de type 2 décompensé sur la cortico-thérapie Insulinothérapie Trouble de la marche et de l'équilibre avec vertiges d'origine indéterminée 08/2018 • mini-Schellong nég (TA 99/59 mmHg couché, 96/66 mmHg après 3 min debout) • Pallesthésie 6/8 malleolaire le 06.08.2018, sensibilité profonde distale préservée Diabète de type 2 Insulinothérapie Insuffisance rénale chronique d'origine X Hypertension artérielle Maladie de Ménière Hémochromatose Ptose labiale droite connue depuis 1938 Artériopathie des membres inférieurs avec : • courte occlusion fémorale superficielle distale droite • claudication sévère du mollet droit • recanalisation par angioplastie de l'artère fémorale superficielle distale droite Claudication neurogène avec : • sténose des récessus pré-foraminaux L5 droit et L4-L5 • scoliose dégénérative sans sténose canalaire significative • 3 infiltrations sacro-iliaque bilatérales les 18.09.2018, 02.10.2018, 16.10.2018 avec réponse partielle. Hypertension artérielle Maladie de Ménière Hémochromatose Ptose labiale droite connue depuis 1938 Artériopathie des membres inférieurs avec : • courte occlusion fémorale superficielle distale droite • claudication sévère du mollet droit • recanalisation par angioplastie de l'artère fémorale superficielle distale droite Claudication neurogène avec : • sténose des récessus pré-foraminaux L5 droit et L4-L5 • scoliose dégénérative sans sténose canalaire significative • 3 infiltrations sacro-iliaque bilatérales les 18.09.2018, 02.10.2018, 16.10.2018 avec réponse partielle. Hypertension artérielle. Maladie goutteuse. Cholécystolithiase connue avec status post-colique biliaire. Hypertension artérielle Malformation en collier en perles de l'artère rénale droite Extrasystoles supra-ventriculaires Incontinence de type stress Migraines avec paresthésies du MID Hypertension artérielle Notion de cirrhose hépatique et abus d'alcool St/p pose d'un port-à-cath et d'une sonde de gastrostomie percutanée en juillet 2015 Embolie pulmonaire sous-segmentaire droite (découverte fortuite CT le 09.11.2018) • sous Fragmin Baisse de l'état général le 28.12.2018 avec : • troubles de la déglutition et inappétence possiblement sur une progression tumorale Vertiges orthostatiques Insuffisance rénale chronique • créatinine à l'entrée 108 umol/l (eGFR selon CKD-EPI de 62 mL/min/1.73 m²) Anémie normochrome macrocytaire • Hb du 28.12.2018 121 g/l • DD sur consommation d'alcool chronique, tumoral Traitements de soutien (soins de support) • Facteur de performance : ECOG 1, PPS 70 % • NRS 4, malnutrition protéino-énergétique modérée • Problématique principale : trouble de la déglutition, baisse de l'état général • Orientation planifiée (lieu) : retour à domicile, suivi du traitement par immunothérapie chez Dr. X Orientation des filles le 07.01.2019 pour suivi de la prise en charge Personne de confiance : Tamara Ebnoether 076 436 23 28 Carcinome épidermoïde de la lingula gauche, pT3 pN1 (2/8) L1 V1 Pn0 G3 R2 cM0, stade IIIA (DD : métastase pulmonaire du cancer de l'oropharynx) • date du diagnostic : 14.03.2017 • histologie (Promed P2858.17) du 14.03.2017 : carcinome épidermoïde isolé (biopsie sous scanner) • CT cervico-thoraco-abdominal du 21.02.2017 : status post-radique de l'oropharynx sans masse ou lésion nodulaire suspecte, lésion nodulaire du segment supérieur de la lingula de 27 x 16 mm, plusieurs adénopathies dans la fenêtre aorto-pulmonaire • PET-scan du 18.04.2017 : intense hypercaptation pulmonaire gauche avec probables métastases ganglionnaires hilaires ipsilatérales et médiastinales • biopsie sous CT le 10.03.2017 • bronchoscopie le 04.04.2017 (Dr. X) • histologie (Promed P3881.17 EBUS station 4L) : dépôt silico-anthracosique • résection segmentaire de la lingula avec lymphadénectomie radicale médiastinale le 15.05.2017, avec biopsie uniportale du médiastin antérieur et examen extemporané • histologie Inselspital : tumeur de diamètre maximal 2.2 cm mais avec un nodule tumoral séparé intra-parenchymateux, tumeur atteignant le bord veineux de la résection, pT3 pN1 (2/8) L1 V1 Pn0 G3 R1 • status post-1 cure de chimiothérapie par Paraplatine et Navelbine puis 3 cures de chimiothérapie avec Navelbine du 08.06 au 28.08.2017, associées à de la radiothérapie au niveau de la zone de résection R1 et des aires ganglionnaires prophylactiques hilaires gauches. • chimiothérapie à visée palliative par Paraplatine/gemcitabine du 03.08 au 09.11.2018, 5 cycles, avec réponse dissociée • actuellement : fin de la chimiothérapie, surveillance clinique et radiologique Carcinome épidermoïde de l'oropharynx en stade localement avancé cT4a cN2c cM0 HPV positif • date du diagnostic : 26.06.2015 • histologie panendoscopie (Promed P5433.15) : carcinome épidermoïde associé à un HPV MIB-1 à 90 % • CT cervico-thoracique du 29.06.2015 : masse tumorale volumineuse dans l'oropharynx avec infiltration de la langue, multiples adénopathies cervicales bilatérales • IRM du 02.07.2015 : masse tumorale volumineuse de l'oropharynx avec adénopathies sous-mandibulaires et cervicales bilatérales multiples • St/p 2 cycles de chimiothérapie d'induction par Platinol, Taxotere et 5-FU du 28.07.2015 au 18.08.2015 (2ème cycle de Taxotere) • Status après radio-chimiothérapie combinée avec Platinol à visée curative du 17.09.2015 au 28.10.2015 • actuellement : progression tumorale, début d'un traitement palliatif de 2ème ligne par Opdivo (immunothérapie) Hypertension artérielle. Occlusion chronique complète de l'artère iliaque interne gauche. Tabagisme actif à 1 paquet/jour. Surpoids. Hypertension artérielle Oedèmes asymétriques des jambes (à prédominance droite) le plus probablement dans le cadre d'une insuffisance veineuse chronique Insuffisance rénale chronique de stade III : • clearance de la créatinine à 39 ml/min selon Cockcroft-Gault le 08.04.2015 Troubles dégénératifs lombaires sévères avec scoliose, arthrose et discopathies pluri-étagées (Rx colonne lombaire de 02.2002, CIMED) Déformation en valgus du tibia droit d'origine indéterminée : • status après accident Omarthrose droite sévère : • secondaire après ancienne fracture claviculaire (radiographie épaule droite du 22.03.2015) Troubles cognitifs modérés : • MoCa 20/30 (01.04.2015) • MMSE 29/30, test de l'horloge 5/6 (25.03.2015) Hypertension artérielle OH chronique • Notion de cirrhose hépatique Vertiges orthostatiques Insuffisance rénale chronique stade ... Carcinome épidermoïde de la lingula gauche pT3 pN1 (2/8) L1 V1 Pn0 G3 R2 cM0, stade IIIA (DD : métastase pulmonaire du cancer de l'oropharynx) sur HPV positif • résection segmentaire de la lingula avec lymphadénectomie radicale médiastinale le 15.05.2017 et status post-radio-chimiothérapie jusqu'en 08/2017 • résection partielle mandibule droite sur ostéonécrose de la mandibule le 25.05.2018 • actuellement : surveillance Hypertension artérielle Omarthrose gauche Uncodiscarthrose cervicale multi-étagée (CT colonne cervicale avril 2013) Hyperplasie bénigne de la prostate Status post opération d'anévrisme de l'aorte abdominale de plus de 10 cm de diamètre avec composante inflammatoire le 20.03.2017 : cure d'anévrisme de l'aorte sous-rénale par tube droit, ligature de la veine cave inférieure per-opératoire et pose de cystofix le 20.03.2017 Variation anatomique de la veine cave inférieure gauche avec : • ligature de la veine cave inférieure per-opératoire le 20.03.2017 • oedèmes importants des membres inférieurs Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • âge • polymédication • troubles électrolytiques • malnutrition protéino-énergétique modérée • status post-opératoire • anasarque hémicorps inférieur Kystes parapyéliques bilatéraux Hypertension artérielle Ostéoporose fracturaire • fracture bilatérale du sacrum sur chute et pose de prothèse fémorale céphalique droite le 11.09.2016 • fracture du col fémoral gauche Garden I, traitée par ostéosynthèse en novembre 2014 Artériopathie obstructive des membres inférieurs au niveau iliaque Lymphoedème chronique bilatéral des membres inférieurs (droit plus que gauche) avec : • lymphadénectomie inguinale bilatérale dans le contexte de cancer du col de l'utérus en 1978 • séquelle de thrombose au niveau de la veine iliaque commune et externe gauche • anticoagulation prophylactique par Sintrom Hypertension artérielle. Polyarthrose. Fibromyalgie. Ostéoporose. Vertiges chroniques. Hypertension artérielle Polyneuropathie périphérique Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec, comme facteurs de risque de chute : • malnutrition protéino-énergétique avec perte pondérale non bilantée • nycturie Moyens auxiliaires : canne personnelle Troubles du sommeil traités par prise de somnifères Troubles de la mémoire non bilantés Hypertension artérielle. Probable cardiopathie hypertensive. Bloc de branche droit. Probable BPCO. Hypercholestérolémie. Adénocarcinome de la prostate pT2c N0 M0 G2 (Gleason 6, iPSA 9,196) avec résection prostatique en 2011. AVC ischémique cérébelleux droit dans le territoire de la PICA (suspicion d'origine cardio-embolie), le 12.05.2015. DD : antéro-artérielle : • Holter ne montrant pas de trouble du rythme expliquant l'AVC. • R-test en ambulatoire sur convocation. • Consultation neurovasculaire mardi 18.08.2015 à 11h avec le Dr. X. Prédiabète, le 12.05.2015. Suspicion de syndrome d'apnée du sommeil, le 12.05.2015 : • Epworth 6/24, Stop Bang 6/8. Hypertension artérielle. Prostatisme. Hypertension artérielle Prostatisme opéré il y a 5 ans Hypertension artérielle. Prostato-épididymite récidivante (Dr. X). Hypertension artérielle. Psoriasis. Diabète non insulino-dépendant. Hypertension artérielle. Reflux gastro-oesophagien. Hypertension artérielle Reflux gastro-oesophagien symptomatique Phénomène de Raynaud Hypertension artérielle. Reflux gastro-oesophagien. Constipation chronique. Adénocarcinome moyennement différencié (2.6 mm) de la prostate, grade de Gleason 3, sans invasion péri-nerveuse ni d'invasion vasculaire de Stade TNM : pT1a. Hypertension artérielle. SAS appareillé par CPAP. L'examen angio-CT du 10.10.2016 montre de façon fortuite deux lésions de type hémangiome hépatique D. Dilatation anévrismale de l'aorte ascendante avec plastie de l'aorte ascendante selon Tiron David avec réimplantation des artères coronaires, compliquée par une brèche pleurale D iatrogène et du passage d'une bulle d'air dans la coronaire D (sans modification ECG, ni répercussion au niveau échographique), le 11.11.2016 par Dr. X au CHUV. Coronaires saines. FEVG à 66%. Hypertension artérielle Spondylarthrite ankylosante avec suivi rhumatologique par le Dr. X et Dr. X, HFR Riaz Syndrome de Sjögren Cervicarthrose avec pincement C2-C3, C5-C6 Lipome parafacial gauche Insuffisance veineuse des membres inférieurs Hypertension artérielle Status post adénocarcinome prostatique traité par radiothérapie Ancien tabagisme sevré Canal lombaire étroit sévère L4-L5 Arthrodèse de la cheville droite en 1997 Hypertension artérielle Sténose aortique Hypertension artérielle. Surcharge pondérale. Coxarthrose débutante à D sur impingement en CAM. Pseudarthrose infectée L4-L5 à Propionibacterium acnes sur status post • spondylodèse L4-S1 avec système Viper II, décompression et neurolyse avec cure de lipomatose récidivante le 11.11.2013 pour des lombo-sciatalgies D non déficitaires. • laminectomie L4-L5 ddc le 21.09.2012 pour un canal spinal étroit L4-L5 avec lipomatose épidurale et kyste synovial L4-L5. • AMO système Viper L4-S1, révision, rinçage et essai de stabilisation L4-S1 (OP le 12.06.2015). • Microbactériologie peropératoire du 12.06.2015 : Propionibacterium acnes. Hypertension artérielle Surdité de naissance Neuronite vestibulaire sévère en 2011, avec déficit gauche permanent Acouphènes chroniques Maladie du sinus le 20.04.2018 avec pose de pacemaker Hypertension artérielle Surpoids Douleurs lombaires chroniques sur s/p 2 interventions colonne lombaire Bronchiectasies d'origine indéterminée (idiopathique) • Contexte de bronchopneumonies à répétition • Fonctions pulmonaires le 06.01.2014 : absence de trouble ventilatoire obstructif et restrictif (Tiffeneau à 96% du prédit, VEMS à 67% du prédit, CPT à 98% du prédit), diminution des débits expiratoires moyens (DEM 25-75) avec air trapping statique pouvant correspondre à une obstruction des petites voies aériennes. Capacité de diffusion du CO dans la norme à 133% du prédit. • Dosage alpha1-antitrypsine 31.12.2013 : 1.35 g/l (0.9-2.0) • Facteur rhumatoïde 31.12.2013 : 28 U/ml (<10) • FAN 31.12.2013 : 80 (<80) • Test sueur 07.01.2014 : négatif • Dosage IgG, IgA, IgM • Poursuite du traitement habituel, à réévaluer par la suite (théophylline) Hypertension artérielle. Syndrome des jambes sans repos Hypertension artérielle. Syndrome des jambes sans repos Hypertension artérielle Syndrome des jambes sans repos traité par Prégabaline Ostéoporose modérée selon densitométrie de 2016 Hernies discales lombaires Insuffisance veineuse • status post cure de varices en 1982 à gauche et en 2005 ddc Hypertension artérielle Syndrome des jambes sans repos traité par Rivotril Cardiopathie valvulaire et rythmique • Fibrillation auriculaire depuis 1999, actuellement FA permanente à réponse ventriculaire rapide sous Sintrom Gonarthrose Hypertension artérielle Syndrome des jambes sans repos traité par Rivotril Cardiopathie valvulaire et rythmique • Fibrillation auriculaire depuis 1999, actuellement FA permanente à réponse ventriculaire rapide sous Sintrom. Gonarthrose Hypertension artérielle Tabagisme actif à 65 UPA Syndrome coronarien aigu avec NSTEMI le 05.10.2015 sur maladie coronarienne monotronculaire avec occlusion de l'artère coronarienne droite proximale et pose de 2 stents actifs. • Dernière coronarographie le 14.01.2016 : Coronarographie dans les limites de la normale. Lésion non significative du tronc commun. Lésion non significative de l'ostium de l'artère circonflexe proximale. Absence de resténose de la partie moyenne de l'artère circonflexe proximale au niveau du site d'implantation du stent actif, englobant l'origine de la première marginale (lésion de bifurcation). Absence de resténose de l'artère coronaire droite proximale au niveau du site d'implantation du stent actif. Parésie NC III œil D DD micro-angiopathique, maladie de Horton, AVC le 29.09.2018 avec • Diplopie binoculaire, ptose palpébrale œil droit • Céphalées temporo-pariétales droites Hypertension artérielle Tabagisme actif à 65 UPA Syndrome coronarien aigu avec NSTEMI le 05.10.2015 sur maladie coronarienne monotronculaire avec : • occlusion de l'artère coronarienne droite proximale et pose de 2 stents actifs. • dernière coronarographie le 14.01.2016 : dans les limites de la normale, absence de resténose de l'artère coronaire droite proximale. Parésie NC III œil D le 29.09.2018 avec • Diplopie binoculaire, ptose palpébrale œil droit • Céphalées temporo-pariétales droites • DD micro-angiopathique, maladie de Horton, AVC Hypertension artérielle. Tabagisme chronique. Hypertension artérielle. Troubles cognitifs avec : • Tests de la cognition du 13.05.2018 : MMS à 19/30, GDS à 3/15, test de la montre à 1/7 • CT cérébral avec vaisseaux pré-cérébraux • Evaluation neuropsychologique en ambulatoire pour le permis de conduire (interdiction de conduire jusqu'à l'évaluation). Lésions dégénératives asymptomatiques de la colonne cervicale, avec hernie discale à l'étage C3-C4 et C4-C5 (CT du 05.04.2014). Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chute le 25.01.2018 avec : • Hospitalisation HFR Riaz du 25.01.2018 au 09.02.2018 • Facteurs de risque de chute : • Troubles cognitifs (MMSE à 19/28 le 26.01.2018) • Etat dépressif • Hypovitaminose D, B12 et acide folique • Status après accident vasculaire cérébral ischémique en 2014 • Hernies discales C3-C4-C5. Etat dépressif traité. Hypertension artérielle. Troubles cognitifs avec : • Tests de la cognition du 13.05.2018 : MMS à 19/30, GDS à 3/15, test de la montre à 1/7 • CT cérébral avec vaisseaux pré-cérébraux • Evaluation neuropsychologique en ambulatoire pour le permis de conduire (interdiction de conduire jusqu'à l'évaluation). Lésions dégénératives asymptomatiques de la colonne cervicale, avec hernie discale à l'étage C3-C4 et C4-C5 (CT du 05.04.2014). Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chute le 25.01.2018 avec : • Hospitalisation HFR Riaz du 25.01.2018 au 09.02.2018 • Facteurs de risque de chute : • Troubles cognitifs (MMSE à 19/28 le 26.01.2018) • Etat dépressif • Hypovitaminose D, B12 et acide folique • Status après accident vasculaire cérébral ischémique en 2014 • Hernies discales C3-C4-C5. Etat dépressif traité. Hypertension artérielle Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec, comme facteurs de risque de chute : • Malnutrition protéino-énergétique avec perte pondérale non bilantée • Polyneuropathie des membres inférieurs d'origine indéterminée • Nycturie • Troubles du sommeil traités par prise de somnifères • Hypotension orthostatique • Polymédication Hypertension articulaire traitée (traitement X). Hypercholestérolémie. Hypertension essentielle avec traces de protéines urinaires le 4.12 et 16.12.2016. Obésité tronculaire. Tabagisme. Hypertension intra-oculaire oeil droit • dans un contexte de non compliance médicamenteuse Hypertension mal contrôlée. Hypertension non traitée • Cible tensionnelle < 130/80 mmHg post AVC Hypertension primaire. Hypertension symptomatique le 20.01.2019. Hypertension traitée. Hypertension traitée. Hypertension traitée par Exforge 5/160/12.5 1 comprimé 1x/jour FA anticoagulée par Xarelto 20 mg (1-0-0 ou 1x/j) suivi par le Dr. X comme cardiologue. Hypertension traitée Dyslipidémie mixte Diabète mellitus type 2 insulino-requérant. Hypertension traitée. Hypothyroïdie substituée. Diabète de type II insulino-requérant. Probable insuffisance cardiaque +/- artériopathie (sous Lasix, Aspirine cardio et statine en dose préventive). Douleurs ostéoarticulaires. Hypertension. Hypercholestérolémie. Hypertension Tinnitus bilatéral Surpoids. Hypertensive Entgleisung • BD initial 208/109 mmHg, nach Nifédipine 20 mg 183/105 mmHg • metabolisches Syndrom : Diabetes Typ II, leichtes Adipositas, Dyslipidämie • Urinstatus vom 09.01.2019 : Proteinurie (Albuminurie 260 mg/l) Hypertensive und koronare Kardiopathie mit diffuser koronarer 1-3-Gefässerkrankung • Status nach PTCA und Stenting der verschlossenen, proximalen Circumflexa im Juni 2004 • Echokardiografie vom 16.03.2017: gute linksventrikuläre Funktion mit Auswurffraktion 65% • Mässige Ektasie der Aorta ascendens, maximal 44 mm • Kardiovaskuläre Risikofaktoren: Nikotinabusus 30 py sistiert 1997, leichte Dyslipidämie Hypertention artérielle. Hypercholestérolémie. Hyperthyroïdie de Basedow sous Néo-Mercazole 10mg Hypercholestérolémie familiale sous Crestor 10mg depuis l'adolescence Traitement habituel: Crestor, Neomercazole. Hyperthyroïdie en cours d'investigation. Hyperthyroïdie primaire • DD : maladie de Basedow, Hashimoto, thyroïdite, adénome toxique Hyperthyroïdie primaire diagnostiquée le 02.08.2017 sous Neo-Mercazole Syndrome métabolique avec : • Diabète de type II non insulino-requérant • HTA traitée • Crises de goutte récidivantes et chondrocalcinose radiologique Malaise sur BAV 2° type Mobitz 2 (conduction) 2:1 avec passages en BAV complet le 02.07.2017 (DD: Accumulation de b-bloquants) avec/sur : • Isoprénaline iv du 02.07.2017 au 03.07.2017 • Glucagon iv, gluconate de calcium iv le 02.07.2017 • Pose de pacemaker gauche le 03.07.2017, Dr. X Polyarthrose Gicht Fracture métaphysaire proximale du tibia droit le 02.07.2017. Hyperthyroïdie primaire DD : maladie de Basedow, Hashimoto, thyroïdite, adénome toxique. Hyperthyroïdie sous Néo-Mercazole 10 mg arrêté il y a 2 semaines. Hypovitaminose sous traitement substitutif. Dépression. Douleurs neuropathiques déjà pluri-investiguées dans les membres inférieurs. Hyperthyroïdie subclinique. Hyperthyroïdie subclinique. Hyperthyroïdie subclinique sur possible maladie de Basedow séronégative avec : • Antécédent d'hyperthyroïdie sur probable maladie de Basedow traitée en 2015 • Histologie Promed P2019.903 : thyroïde d'architecture folliculaire préservée avec inflammation chronique. Deux glandes parathyroïdes de 3 mm à gauche et une glande parathyroïde de 4 mm à droite. Hyperthyroïdie substituée. Spondylo-arthrite ankylosante. Hyperthyroïdie sur maladie de Basedow • maladie auto-immune mixte de la thyroïde, avec composante de thyroïdite de Hashimoto • sous Néo-Mercazole, majoré à 10 mg le 04.12.2018 selon avis endocrinologique. Hypertonie Hypertrophie concentrique ventricule G: ETT 2015 (Dr. X) : LVEF 50%. Hypertrophie auriculaire et ventriculaire gauche. Hypothyroïdie traitée. Hypertrophie bénigne de la prostate. Hypertrophie bénigne de la prostate. Hypertrophie bénigne de la prostate grade I. Hypertrophie bénigne de la prostate traitée. Hypertrophie bénigne de la prostate traitée Pneumonie de lobe moyen droit d'acquisition communautaire à streptococcus pneumoniae le 21.03.2018. CIA (8mm) de type secundum avec anévrysme du septum le 21.06.2018 • Fermeture percutanée avec Amplatzer Septal ASD Occluder 12mm sous anesthésie générale. Hypertrophie bénigne de la prostate traitée Pneumonie de lobe moyen droit d'acquisition communautaire à streptococcus pneumoniae le 21.03.2018. CIA (8mm) de type secundum avec anévrysme du septum le 21.06.2018 • Fermeture percutanée avec Amplatzer Septal ASD Occluder 12mm sous anesthésie générale. Hypertrophie bénigne de la prostate. Discopathie L4-L5. Hypertrophie bénigne de la prostate. Discopathie L4-L5. Hypertrophie bénigne de la prostate. Syndrome métabolique avec : • Diabète de type II insulino-requérant • Hypertension artérielle • Dyslipidémie • Obésité stade II (BMI 38kg/m2) Syndrome des apnées du sommeil appareillé. Hypertrophie cardiaque concentrique le 30.01.2019 • Avec FeVG à 45 %. Hypertrophie des surrénales avec incidentalome de la surrénale gauche compatible avec un adénome sur IRM abdominale du 03.01.2019. Hypertrophie des surrénales avec incidentalome de la surrénale gauche compatible avec un adénome sur IRM abdominale du 03.01.2019. Hypertrophie du ventricule gauche. Hypertrophie prostatique hypertrophique • PSA le 19.12.2017 à 1.4 ng/ml. Hypertrophie prostatique suivie par Dr. X à Genève. Hypertension artérielle sous traitement de Telmisartan. Glaucome droit sous traitement de Cosopt. Hypertrophie thymique avec image de cardiomégalie et déviation de la trachée vue fortuitement à la radiographie de thorax du 24.01. Hyperuricémie. Hyperuricémie sous Allopurinol (mais mauvaise compliance). Hyperuricémie traitée. Tabagisme actif. Hyperuricémie. Diabète de type 2 non insulino-requérant. Hyperplasie de la prostate. Hyperuricémie Sd anxio-dépressif. Hyperventilation sur anxiété. Hypervitaminose B12 à 1178pg/ml le 14.12.2018. Hypokaliémie 13.01.2019. Hypoacousie. Hypoacousie. Hypoacousie bilatérale sur probable trouble aératoire le 22.01.2019. Hypoacousie D, suite à un TC. Hypoacousie gauche. Hypoacousie gauche. Hypoacousie oreille droite. Hypoacousie oreille droite avec vertiges. Hypoaktives Delir a.e. i.R.d. Infektes am 27.11.2018. Hypoalbuminémie à 28.7g/l. Hypoalbuminémie à 28.7g/l • dans contexte oncologique. Hypoalbuminémie 27.8 g/l probablement dans un contexte de dénutrition protéino-énergétique. Hypocalcémie à 2.03 mmol/L. Hypocalcémie à 2.05 mmol/L. Hypocalcémie corrigée à 2.03 mmol/l. Hypocalcémie légère. Hypocalcémie non symptomatique à 1.85 g/l. Hypocalcémie post-opératoire le 24.01.2019. Hypocalcémie symptomatique. Hypochondre gauche. Hypodensité au niveau de la prostate avec asymétrie des lobes suspect d'une néoplasie.Hypoesthésie de DI-DIII et flexion DII impossible à droite d'origine indéterminée le 05.01.2019 • Test de Phalen positif, Tinel au niveau tunnel carpien nég Hypoesthésie de tout l'hémicorps gauche depuis 2 semaines Hypoesthésie distale du MID et parésie en flexion/extension du pied D d'origine post-traumatique (1993). Hypoesthésie du pied gauche sans suivi d'un trajet nerveux DD: loco-regional pain syndrome Hypofibrinogénémie / afibrinogénémie acquise Hypofolatémie à 2.0 ng/ml le 10.01.2019 Hypoglycémie Hypoglycémie à 1.8 mmol/L dans contexte de syndrome de détresse respiratoire Hypoglycémie asymptomatique (2.1 mmol/l) Hypoglycémie chez un patient connu pour un diabète de type I : • Sur activité sportive plus importante. • Possiblement en raison d'une pompe à insuline défectueuse. Hypoglycémie dans le contexte de l'hépatopathie • hypoglycémie asymptomatique à 2.2 mmol/L le 23.01.2019 Hypoglycémie iatrogène le 19.9.2017 Hypoglycémie iatrogène le 25.01.2019 • injection de 14 unités d'Humalog en lieu et place d'Humalog MIX lors du passage en hémodialyse Hypoglycémie le 29.01.2019 Hypoglycémie limite à 3.9 mmol. Hypoglycémie néonatale (min. 1.1 mmol/l) sur retard de croissance intra-utérin harmonieux Wet lung sur extraction difficile (Apgar: 3/ 10/ 9, pH 7.19/ 7.26) après extraction par forceps pour circulaire du cordon Hypoglycémie néonatale (min 1.8 mmol/l). Trouble de l'adaptation respiratoire sur Wet-lung, Apgar 8/9/9, pH 7.31/ 7.42. Hypoglycémie préprandiale le matin du 30.12.2018 Hypoglycémie probablement dans le contexte de l'hépatopathie • hypoglycémie asymptomatique à 2.2 mmol/L Hypoglycémie symptomatique sur auto-administration d'Insuline • convulsion aux urgences le 26.01.2019 • HbA1c à 7.7% Hypoglycémie transitoire à 2.0 mmol/L dans le contexte du diagnostic principal Hypoglycémie 3.5 mmol/l Hypoglycémies à répétition Hypoglycémies asymptomatiques le 03.01.2019 • chez patient connu pour diabète de type 2 non insulino-requérant Hypoglycémies répétées symptomatiques et persistantes à la naissance (min 0.4 mmol/L) sur hyperinsulinisme congénitale Polyurie à la naissance DD transitoire Hypokalié Hypokaliémie 07.01.2019 Hypokalième 2.2 mmol avec retentissement ECG (QT long) Hypokaliémie Hypokaliémie. Hypokaliémie • K : 2.9 mmol/L • ECG : sans particularité (sous réserve de qualité douteuse) Hypokaliémie à 2.6 mmol/l le 07.01.2019. Hypokaliémie à 2.6 mmol/l le 12.01.2019. Hypokaliémie à 2.6 mmol/l le 27.12.2018 Hypokaliémie à 2.7 mmol/l Hypokaliémie à 2.7 mmol/l le 05.01.19 Hypokaliémie à 2.7 mmol/l le 05.01.2019 Hypokaliémie à 2.7 mmol/l le 05.01.2019. Hypokaliémie à 2.7 mmol/l le 31.12.2018 • sans modification à l'ECG Hypokaliémie à 2.7 mmol/l Hypokaliémie à 2.8 mmol non symptomatique le 16/01/19. Hypokaliémie à 2.8 mmol/L le 10.01.2019 DD sur traitement diurétique Hypokaliémie à 2.8 mmol/L le 12.12.2018 Hypokaliémie à 2.8 mmol/l le 12.12.2018 Hypokaliémie à 2.8 mmol/L le 13.01.2019 Hypokaliémie à 2.8 mmol/l le 18.01.2019 Hypokaliémie à 2.8 mmol/l le 19.11.2018 Hypokaliémie à 2.8 mmol/l le 19.11.2018 Hypokaliémie à 2.8 mmol/l Hypokaliémie à 2.8 mmol/l le 28.12.2018 Hypokaliémie à 2.9 mmol/l Hypokaliémie à 2.9 mmol/l. Hypokaliémie à 2.9 mmol/l et acidose métabolique à trou anionique normal le 07.01.2019 • DD: hypokaliémie sur Citalopram Hypokaliémie à 2.9 mmol/l le 11.12.2018 • Sur manque d'apport dans le contexte de troubles de la déglutition connus • Probable dénutrition protéino-calorique Hypokaliémie à 2.9 mmol/l le 21.12.2018 d'origine médicamenteuse suspectée Hypokaliémie à 2.9 mmol/l, probablement sur pertes digestives Hypokaliémie à 2.9 mmol/l secondaire à l'Indapamide le 23.01.2019. Hypokaliémie à 2.9 mmol/L sur traitement diurétique et baisse appétit le 28.01.2019 Hypokaliémie à 2.9 mmol/l sur vomissements le 13.01.2019. Hypokaliémie à 2.9 sans troubles de l'ECG. hypokaliémie à 2.9 mmol/L le 21.12.2018 avec: • ECG le 20.12.2018: tachycardie sinusale Hypokaliémie à 2.9 mmol/l le 25.12.2018 sur vomissements Hypokaliémie à 2.9 mmol/l, probablement sur vomissement Hypokaliémie à 3 mmol/l Hypokaliémie à 3 mmol/l le 09.01.2019: Hypokaliémie à 3 mmol/l le 09.01.2019 d'origine médicamenteuse Hypokaliémie à 3.0 mmol/.l Hypokaliémie à 3.0 mmol/l Hypokaliémie à 3.0 mmol/l. Hypokaliémie à 3.0 mmol/l le 07.01.2019 Hypokaliémie à 3.0 mmol/l le 07.01.2019. Hypokaliémie à 3.0 mmol/l le 28.12.2018 sur manque d'apports oraux et prise de diurétiques. Hypokaliémie à 3.0 mmol/L 12.01.2019 Hypokaliémie à 3.1 mmol/l le 05.12.2018 Hypokaliémie à 3.1 mmol/l le 14.12.2018 Hypokaliémie à 3.1 mmol/l le 21.12.2018. Hypokaliémie à 3.1 mmol/l le 25.12.2018. Hypokaliémie à 3.1 mmol/l Hypokaliémie à 3.1 mmol/l. Hypokaliémie à 3.2 mmol/l Hypokaliémie à 3.2 mmol/l Hypokaliémie à 3.2 mmol/l le 10.01.2019. Hypokaliémie à 3.2 mmol/l le 10.01.2019 et à 3.1 mmol/l le 16.01.2019 Hypokaliémie à 3.2 mmol/l le 11.12.2018. Hypokaliémie à 3.2 mmol/l le 17.01.2019 Hypokaliémie à 3.2 mmol/l le 24.12.2018 résolue • 27.12.2018 K 4.3 mM Hypokaliémie à 3.2 mmol/l le 28.12.2018 Hypokaliémie à 3.2 mmol/l probablement sur pertes digestives Hypokaliémie à 3.2 mmol/l sous traitement diurétique le 06.01.2019. Hypokaliémie à 3.2 mmol/l Hypokaliémie à 3.2 mmol/l Hypokaliémie à 3.2 mmol/l Hypokaliémie à 3.2 mmol/l le 02.01.2019 Hypokaliémie à 3.2 mmol/l le 05.12.2018 Hypokaliémie à 3.2 mmol/l le 10.01.2019 et à 3.1 mmol/l le 16.01.2019 Hypokaliémie à 3.2 mmol/l le 10.12.2018 Hypokaliémie à 3.2 mmol/l le 14.12.018 Hypokaliémie à 3.2 mmol/l le 27.12.2018, à 3.5 mmol/l le 31.12.2018 et à 2.8 mmol/l le 21.01.2019 Hypokaliémie à 3.3 le 07.01.2019. Hypokaliémie à 3.3 mmol/l Hypokaliémie à 3.3 mmol/l Hypokaliémie à 3.3 mmol/l Hypokaliémie à 3.3 mmol/l Hypokaliémie à 3.3 mmol/l. Hypokaliémie à 3.3 mmol/l le 13.12.2018 Hypokaliémie à 3.3 mmol/l le 21.01.2019 Hypokaliémie à 3.3 mmol/l le 25.01.2019 Hypokaliémie à 3.3 mmol/l le 26.12.2018. Hypokaliémie à 3.3 mmol/l le 31.01.2019 Hypokaliémie à 3.3 mmol le 23.12.2018 Hypokaliémie à 3.3 mmol/l. Hypokaliémie à 3.3 mmol/l • Diagnostic différentiel : diurétique (Metolazone introduit le 12.12.2018) Hypokaliémie à 3.3 mmol/l le 19.12.2018 Hypokaliémie à 3.3 mmol/l le 21.12.2018 Hypokaliémie à 3.4 le 27.12.2018 Hypokaliémie à 3.4 mmol/l. Hypokaliémie à 3.4 mmol/l le 05.01.2019 Hypokaliémie à 3.4 mmol/l le 24.12.2018 Hypokaliémie à 3.4 mmol/l sur jeûne et vomissements. Hypokaliémie à 3.4mmol/l le 26.12.2018 Hypokaliémie à 3.5 mmol/l Hypokaliémie à 3.5 mmol/l. Hypokaliémie à 3.5 mmol/l le 08.12.2018 et le 13.12.2018 Hypokaliémie à 3.5 mmol/l le 12.01.2019 Hypokaliémie à 3.5mmol/l le 14.12.2018 Hypokaliémie à 3.5mmol/l le 18.01.2019 : • Chez une dame connue pour des hypokaliémies dans un contexte de maladie de Conn Hypokaliémie à 3.5mmol/l le 26.12.2018 Hypokaliémie à 3.5mmol/l le 27.12.2018 Hypokaliémie à 3.6 mmol/L Hypokaliémie à 3.6 mmol/l sur diarrhées. Hypokaliémie à 3.7 mmol/l le 10.01.2019. Hypokaliémie à 3.7 mmol/l le 21.12.2018. Hypokaliémie avec nadir à 3.4mmol/L et hypophosphatémie avec nadir à 0.81mmol/L Hypokaliémie et hypernatrémie le 21.01.2019 Hypokaliémie et hypocalcémie légères le 12.01.2019 Hypokaliémie et hypocalcémie légères le 12.01.2019 Hypokaliémie et hypomagnésémie Hypokaliémie et hypomagnésémie légère, le 09.01.2019 Hypokaliémie et hypomagnésémie Hypokaliémie et hyponatrémie le 11.01.2019 Hypokaliémie iatrogène sur augmentation du furosemide • K 2.9 mmol/l le 24.12.2018 Hypokaliémie iatrogène sur Résonium et diurétique Hypokaliémie isolée • asymptomatique • Gazométrie artérielle sans particularité, magnésium dans les normes, glucose 6.7 mmol/L • Magnésium urinaire 137 mmol/L • possiblement en lien avec une leucocytose Hypokaliémie le 12.01.2019 Hypokaliémie le 17.12.2018 Hypokaliémie le 25.12.2018 puis le 01.01.2019 Hypokaliémie le 27.12.2018 à 3.2mmol/l Hypokaliémie le 31.01.2019 • 3.2 mmol/l Hypokaliémie légère à 3.1 mmol/l le 26.12.2018. Hypokaliémie légère à 3.1 mmol/l sur vomissements. Hypokaliémie légère à 3.2 mmol/l le 09.01.2019. Hypokaliémie légère à 3.3 mmol/l Hypokaliémie légère à 3.3 mmol/l, le 10.01.2019. Hypokaliémie légère à 3.4 mmol/l. Hypokaliémie légère à 3.4 mmol/l le 05.01.2019 Hypokaliémie légère à 3.5 mmol/l Hypokaliémie légère à 3.6 mmol/l le 07.01.2019. Hypokaliémie légère à 3.6 mmol/l le 21.01.2019 Hypokaliémie légère, asymptomatique. Hypokaliémie légère asymptomatique Hypokaliémie légère asymptomatique avec un potassium à 3.0 mmol/l. Hypokaliémie légère asymptomatique probablement sur manque d'apport. Hypokaliémie légère, DD sur diurétiques Hypokaliémie légère, le 09.01.2019 Hypokaliémie légère sans changement ECG le 27.01.2019 Hypokaliémie légère sur traitement diurétique, avec : • Labo 10.01.2019 : K 3.3 mmol/l Hypokaliémie modéré, le 02.01.2019 Hypokaliémie modérée à 2.6 mmol/l. Hypokaliémie modérée à 2.4 mmol/l Hypokaliémie modérée dans un contexte de vomissements. Hypokaliémie modérée en postopératoire à 3.6 mmol/l Hypokaliémie moyenne à 2.7 mmol/l, asymptomatique, dans le contexte de traitement par Ventolin Hypokaliémie moyenne à 3.3 mmol/L le 03.01.2019 Hypokaliémie sévère Hypokaliémie sévère à 1.5 mmol/l avec modifications ECG avec alcalose métabolique avec pH à 7.6 Hypokaliémie sévère à 1.5 mmol/l avec modifications ECG le 25.01.2019 • alcalose métabolique avec pH à 7.6 • DD : Dysélectrolytémie dans le contexte de la néovessie, médicamenteuse (Néphrotrans, HCT) Hypokaliémie sévère à 2.1mmol/l le 01.01.2019 Hypokaliémie sévère asymptomatique 2.4 mmol/L. Hypokaliémie sévère le 22.12.2018 (2.5mmol/l) et le 23.12.2018 (3mmol/l) Hypokaliémie sévère le 29.01.2019 • avec retentissement ECG (QT long) Hypokaliémie sous diurétique le 09.01.2019 Hypokaliémie sur diarrhées importantes le 25.01.2019. Hypokaliémie sur diurétique le 13.01.2019 (3.3mM) Hypokaliémie sur prise de diurétiques Hypokaliémie sur traitement diurétique le 04.01.2019, avec : Hypokaliémie sur Ventolin Hypokaliémie 2.1 mmol avec retentissement ECG le 19/01/19 Hypokaliémie 2.2 mmol/l le 12.01.2019. Hypokaliémie 2.4 mmol/l passagère le 19.12.2018 Hypokaliémie 2.5 mmol/L dans contexte prise thiazidiques. Hypokaliémie 2.7mmol/l Hypokaliémie 2.8 mmol/L le 28.12.2018 : • sur diurétique Hypokaliémie 3.3 mmol/l le 20.01.2019. Hypokaliémie 3.4 mmol/l le 18.12.2018 Hypokaliémie • 7.1.19 : Ka 2.9 mmol/l • 11.1.19 : Ka 3.1 mmol/l • Magnésium dans la norme Hypokinésie de la paroi inférieure et postérieure moyenne cardiaque Hypokinésie minime de la paroi antéroapicale cardiaque Hypomagnésémie Hypomagnésémie Hypomagnésémie à 0.45 mmol/l le 10.01.2019 Hypomagnésémie à 0.53mmol/l Hypomagnésémie à 0.54 mmol/L le 04.01.19 Hypomagnésémie à 0.56 mmol/l Hypomagnésémie à 0.62 mmol/l le 02.02.2018 sur malabsorption + manque d'apport Hypomagnésémie à 0.64 mmol/l malgré substitution Hypomagnésémie à 0.64mmol/l et hypokaliémie à 3.4mmol/l le 05.01.2019 Hypomagnésémie à 0.66mmol/l Hypomagnésémie à 0.67mmol/l le 01.01.2019 Hypomagnésémie à 0.68 mmol/l le 26.01.2019 Hypomagnésémie à 0.71 mmol. Hypomagnésémie à 0.71 mmol/l. Hypomagnésémie à 0.74 mmol/l avec multiple ESV Hypomagnésémie à 0.76 mmol/l Hypomagnésémie et hypokaliémie Hypomagnésémie et hypokaliémie le 10.01.2019 Hypomagnésémie et hypokaliémie le 11.12.2018 Hypomagnésémie le 14.01.2019 Hypomagnésémie le 21.12.2018 Hypomagnésémie le 22.12.2018 à 0.51mmol/l Hypomagnésémie non symptomatique à 0.42 mmol. Hypomagnésiémie. Hypomagnésiémie à 0.58 mmol/L 12.01.2019 Hypomagnésiémie et hyponatrémie légère le 22.01.2019 Hypomagnésiémie légère, le 08.01.2019. Hyponatrémie Hyponatrémie à 111 mmol/l le 14.01.2019. Hyponatrémie à 118 mmol/l le 21.03.2017 (DD : SIADH, consommation d'alcool). Pancréatite aiguë le 21.03.2017, sur probable consommation d'alcool (4ème épisode). Excision d'un adénome tubulo-villeux avec dysplasie épithéliale de bas grade le 09.09.2013. Pancréatite sur hématome du duodénum sous traitement de Plavix. Pancréatite aiguë de la tête du pancréas d'origine indéterminée avec petite compression de la partie II du duodénum en janvier 2010 avec : • status post-gastroscopie, suspicion de déplacement du genu supérieur par une compression extrinsèque sans sténose au passage du 2ème duodénum, calibre et muqueuse du 2ème duodénum normal • status post-multiples pancréatites. Bulbite apicale érosive. Recto-colite aiguë sur Campylobacter jejuni en 2005. Diverticulose colique avec status post-diverticulite et traitement conservateur. Présence de 2 polypes et angiodysplasie du caecum, hémorroïdes internes. Polype duodénal. Maladie de Dupuytren bilatérale. Arthroscopie et méniscectomie arthroscopique interne partielle du genou gauche en 2000 et 1970. Crise de goutte en 1995. Tendinopathie du sus-épineux à droite. Hyponatrémie à 120 mmol/L hypo-osmolaire euvolémique le 12.01.2019 osmolarité urinaire 427 mosm/Kg DD: SIADH Hyponatrémie à 121 mmol/L le 28.12.2018 Hyponatrémie à 121 mmol/L le 28.12.2018 Hyponatrémie à 121 mmol/L le 17.12.2018 Hyponatrémie à 123 mmol/L sur SIADH d'origine probablement tumorale dd infectieux Hyponatrémie à 123 mmol/L le 26.12.2018 DD : contexte de traitement diurétique Hyponatrémie à 124 mmol/L le 27.02.2017. Hypomagnésémie le 03.03.2017. Cystite le 03.03.2017. Pneumonie basale gauche le 17.08.2017. Anémie normochrome normocytaire avec une hémoglobine à 88 g/L le 20.10.2017 d'origine mixte : • spoliation digestive et carentielle. Lombosciatalgies droites sur sténose canalaire L4-L5 bilatérale avec protrusion discale foraminale et extra-foraminale à droite : • décompression L4-L5 par laminectomie bilatérale ainsi que décompression foraminale bilatérale • discectomie L4-L5 et mise en place d'une cage SteriSpine (Safe Orthopaedics) hauteur 8 • fixation inter-épineuse par PAD taille 10 + greffe osseuse avec 5 cc de BGel (opération le 20.03.2017). Décompensation cardiaque le 17.08.2017 : • NT-proBNP à 1076 ng/ml. Suspicion d'hémorragie digestive haute le 20.10.2017 avec : • méléna anamnestique • anémie • OGD le 26.10.2017 : négative • Colonoscopie virtuelle le 03.11.2017 : négative. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 avec une créatinine à 145 µmol/L le 19.10.2017 d'origine mixte : • sur hypoperfusion rénale dans le contexte de l'hémorragie digestive haute et sur rhabdomyolyse. Hyponatrémie hyperosmolaire à 130 mmol/L en septembre 2016. Fracture accidentelle de l'épaule droite traitée par ostéosynthèse en 2010. Thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit avec embolie pulmonaire en 2004. Cure de polype vésical d'origine non tumorale en 2004. Césarienne avec status après cure d'éventration. Hyponatrémie à 125 mmol/L. Hyponatrémie à 126 mmol/L le 14.12.2018 avec péjoration de la fonction rénale Hyponatrémie à 127 mmol/L le 15.12.2018 Hyponatrémie à 127 mmol/L le 01.01.2019 Hyponatrémie à 128 le 20.01.2019 Hyponatrémie à 129 mmol/L asymptomatique sur déshydratation et traitement diurétique. Hyponatrémie à 129 mmol/L le 04.01.2019. Hyponatrémie à 129 mmol/L sur traitement diurétique le 14.01.2019 Hyponatrémie à 130 mmol hypoosmolaire à volume extracellulaire conservé le 10/01/19 Hyponatrémie à 130 mmol/L. Hyponatrémie à 130 mmol/L le 12.01.2019 sur suspicion de SIADH dans le cadre de la bronchite Hyponatrémie à 130 mmol/L le 12.01.2019 sur suspicion de SIADH dans le contexte infectieux Hyponatrémie à 130 mmol/L hypoosmolaire à 272 mosmol/kg le 31.12.2018 : • Sodium urinaire à 23 mmol/L Hyponatrémie à 131 mmol/L le 18.12.2018. Hyponatrémie à 131 mmol/L le 31.12.2018 sur probable insuffisance cortico-surrénalienne. Hyponatrémie à 131 mmol/L normosmolaire le 03.12.2018. Hyponatrémie à 132 mmol/L le 14.01.2019 Hyponatrémie à 133 mmol/L Hyponatrémie à 133 mmol/L d'origine médicamenteuse. Hyponatrémie à 133 mmol/L, possiblement sur Candesartan. Hyponatrémie aiguë hyperosmolaire hypovolémique Hyponatrémie aiguë hyperosmolaire, hypovolémique modérée symptomatique à 121 mmol/L probablement médicamenteuse sur Métolazone le 27.12.2018 avec : • nausées, vomissements, faiblesse généralisée Hyponatrémie asymptomatique à 127 mM dans le contexte de l'insuffisance cardiaque gauche Hyponatrémie asymptomatique légère à 130 mmol/L Hyponatrémie avec nadir à 131 mmol/L sur SIADH probable Hyponatrémie chronique stable asymptomatique avec sodium à 131 mmol/L. Hyponatrémie et hypokaliémie de normalisation spontanée. Hyponatrémie hyperosmolaire à 125 mmol/L Hyponatrémie hyperosmolaire à 127 mmol/L sur hyperglycémie Hyponatrémie hypoosmolaire avec : • Na 127 mmol/L Hyponatrémie hypoosmolaire sur déshydratation : • Na 127 mmol/L Hyponatrémie hypoosmolaire à volume extracellulaire conservé 121 mmol/L Hyponatrémie hypo-osmolaire à 116 mmol/L asymptomatique le 15.01.19 DD : • SIADH d'origine pulmonaire sur bronchite • sur manque d'apport (patient s'hydratant mais s'alimentant peu en raison de difficulté à la prise alimentaire) • origine médicamenteuse (Nexium, Torem) Hyponatrémie hypoosmolaire à 117 mmol/L le 12.01.2019 • Na urinaire < 20 mmol/L Hyponatrémie hypoosmolaire à 123 mmol/L Hyponatrémie hypoosmolaire à 123 mmol/L le 03.01.2019 Hyponatrémie hypoosmolaire à 124 mmol/L le 11.01.2019 sur SIADH (probablement idiopathique) • Résolue le 14.01.2019 Hyponatrémie hypoosmolaire à 125 mmol/L d'origine indéterminée Hyponatrémie hypoosmolaire à 125 mmol/L d'origine indéterminée (DD : consommation alcoolique) le 11.01.2019 Hyponatrémie hypoosmolaire à 125 mmol/L d'origine probablement alcoolique Hyponatrémie hypoosmolaire à 126 mmol/L sur probable SIADH Hyponatrémie hypoosmolaire à 128 mmol/L le 13.12.2018 : • Récidive le 17.12.2018 à 133 mmol/L Hyponatrémie hypo-osmolaire avec crise comitiale le 19.01.2019 • SIADH médicamenteux, (potomanie) Hyponatrémie hypo-osmolaire avec : • Na 115 mmol/L • Osmolalité sérique à 255 mosmol/kg • Spot urinaire : Na < 20 mmol/L ; K 20 mmol/L Osmolalité : 365 mosmol/kg Hyponatrémie hypoosmolaire chronique à 125 mmol/L sur probable SIADH. Hyponatrémie hypoosmolaire chronique asymptomatique Hypertension artérielle non traitée (refus de la patiente) Microangiopathie hypertensive Hyponatrémie hypoosmolaire euvolémique à 118 mmol/L le 22.01.2019 • symptomatique (asthénie, nausée) DD SIADH contexte carcinome pulmonaire à petites cellules, médicamenteuse Hyponatrémie hypoosmolaire hypervolémique modérée le 0.01.218 Hyponatrémie hypo-osmolaire hypovolémique à 126 mmol/L DD : euvolémique sur pertes cutanées, sur Sertraline Hyponatrémie hypo-osmolaire hypovolémique avec nadir à 127 mmol/L le 27.12.2018 Hyponatrémie hypoosmolaire légère 19.11.2018 sur SIADH secondaire à l'atteinte du SNC Hyponatrémie hypoosmolaire modéré, le 0.01.218 Hyponatrémie hypo-osmolaire modérée à 116 mmol/L sur SIADH ou médicamenteux par Depakine le 19.01.2019 Hyponatrémie hypoosmolaire modérée à 122 mmol/L SIADH, médicamenteux Hyponatrémie hypo-osmolaire modérée à 129 mmol/L le 13.01.2019, probablement dans le cadre de l'infection à Influenza A Hyponatrémie hypo-osmolaire modérée sur SIADH postopératoire le 14.12.2018 Hyponatrémie hypoosmolaire normovolémique à 123 mmol/L sur SIADH d'origine probablement médicamenteuse le 01.01.2019 DD : infectieux, cavernome basilaire G, idiopathique, médicamenteux (Pantozol, AINS) • Colonoscopie le 06.12.2016 : diverticulose, pas d'autres lésions Hyponatrémie hypoosmolaire normovolémique à 123 mmol/L sur SIADH de probable origine médicamenteuse le 01.01.2019 Hyponatrémie hypo-osmolaire pauci-symptomatique (inappétence) le 20.01.2019 : • SIADH dans le contexte d'un carcinome vésical multi-métastatique Hyponatrémie hypo-osmolaire sur hyponatrémie chronique. • chez une patiente euvolémique. DD : médicamenteux Hyponatrémie hypoosmolaire symptomatique à 130 mmol/L le 20.01.2019 Hyponatrémie hypoosmolaire symptomatique à 130 mmol/L le 20.01.2019 DD SIADH DD d'origine médicamenteuse Hyponatrémie hypo-osmolaire • 129 le 25.01.2019 hyponatrémie hypoosmolaire à VEC conservé le 15/01/19 DD = Hypothyroïdie, SIADH (iatrogène sur AVALOX), insuffisance surrénalienne (peu probable), intoxication thiazidique (peu probable)Hyponatrémie hypovolémique • Na 130 mmol/l • Déshydratation de la patiente dans le cadre d'un syndrome inflammatoire fébrile Hyponatrémie légère à 126 mmol/l le 17.01.2019 • SIADH sur pathologie pulmonaire Hyponatrémie légère à 126 mmol/l le 24.01.2019, hypo osmolaire 277 mOsml/Kg • SIADH sur pathologie pulmonaire (osmolalité sérique diminuée) Hyponatrémie légère à 127 mmol/l chez patiente plutôt hypovolémique, probablement sur prise de diurétiques. DD : SIADH. Hyponatrémie légère à 129 mmol/l • FeNa à 1%. Hyponatrémie légère à 131 mmol/l dans le contexte d'alcoolisme chronique • FENa<1% le 03.01.2019 Hyponatrémie légère à 132 mmol/l Hyponatrémie légère à 132 mmol/l le 20.01.2018 Hyponatrémie légère à 132 mmol/l normo osmolaire Hyponatrémie légère à 133 mmol/l le 25.12.2018 • Hypertonique avec 303 mosmol/kg Hyponatrémie légère à 136 mmol/l. Hyponatrémie légère asymptomatique à 132 mmol/l le 02.01.2019. Hyponatrémie légère avec Na 134 mmol/L le 31.12.2018 : • Origine : probablement SIADH au vu du traumatisme crânien Hyponatrémie légère hyperosmolaire Hyponatrémie légère le 26.12.2018 Hyponatrémie modérée à 120 mmol/l hypo-osmolaire euvolémique/hypovolémique sur traitement thiazidique probablement Hyponatrémie modérée à 125 mmol/l Hyponatrémie modérée à 125 mmol/l sur SIADH le 13.01.2019 Suspicion de pleurésie infectieuse chez un patient porteur de PleurX, le 04.09.2018 : • Tazobac 4.5g 3x/jour du 05.09.2018 au 11.09.2018 S/p hypercalcémie paranéoplasique le 30.07.2018 S/p hypercalcémie paranéoplasique le 19.11.2018, corrigée par hydratation et Zometa Accident vasculaire cérébral ischémique le 21.10.2017 : • Territoire de l'artère vertébrale gauche et artère cérébrale moyenne gauche • Étiologie probablement cardio-embolique sur fibrillation auriculaire Status après résection d'un carcinome spinocellulaire thoracique en 2011 Événement thrombo-embolique multiples : • Embolies pulmonaires centrale droite et segmentaire gauche le 24.09.2010 • Thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche le 18.09.2010 • Thrombopénie d'étiologie indéterminée le 21.09.2010 Dermohypodermite à staphylocoque du membre inférieur gauche en 2010 Résection transurétrale de la prostate et cholécystectomie en 2009 Status après résection sigmoïdienne pour diverticulites en 2002 Status après rupture du tendon d'Achille après traitement par quinolones Opération des voies biliaires et cure de hernie diaphragmatique en 1970 Hyponatrémie modérée à 126 mmol/l. Hyponatrémie modérée à 126 mmol/l le 23.12.2018 Hyponatrémie modérée à 129 mmol/l hypo-osmolaire à 277 mOsm/kg DD SIADH sur Venlafaxine Hyponatrémie modérée à 130 mmol/l normo-osmolaire Hyponatrémie modérée à 130 mmol/l normo-osmolaire • En premier lieu effet secondaire médicamenteux Hyponatrémie modérée à 131 mmol/l. Hyponatrémie modérée asymptomatique (DD diminution apport, traitement diurétique), avec : • 11.12 : Na 130 mmol/l, 08.12 : Na 128 mmol/l Hyponatrémie modérée, DD surcharge hydrique par décompensation cardiaque Hyponatrémie modérée le 12.01.2019 Hyponatrémie modérée le 25.01.2019 Hyponatrémie normo à hyperosmolaire à 126 mmol/l le 28.11.2018 Hyponatrémie normo osmolaire à 131 mmol/l Hyponatrémie normo-osmolaire à 129 mmol/l (DD : SIADH sur traitement habituel ? sur diurétique ?) Hyponatrémie normoosmolaire à 129 mmol/l DD SIADH sur traitement habituel ? sur diurétique ? Hyponatrémie normosmolaire avec nadir à 121 mmol/l le 20.01.2019 DD 3ème secteur dans contexte décompensation ascitique, syndrome hépatorénal débutant, perfusion de G5% pour entretien perfusion Hyponatrémie normosomolaire légère à 128 mmol • Glycémie à 11,4 mmol/l Hyponatrémie normosomolaire légère à 128 mmol/l Hyponatrémie probablement sur OH à 128 mmol/l • Osmolarité : 339 mmol/l Hyponatrémie sévère à 112 mmol/l hypo-osmolaire chez patient euvolémique sur potomanie : • Chez patient avec schizophrénie paranoïde et assèchement buccal sous Fluaxetal Hyponatrémie sévère à 114 mmol/l le 25.12.2018 sur : • Hyperémèse • Probable SIADH sur prise de Dépakine et Lorazépam Hyponatrémie vraie à 117 mmol/l sur SIADH probable le 12.01.2019 • Na urinaire < 20 mmol/l (après hydratation IV) DD : hypovolémie Hyponatrémie 120 mmol/L hypoosmolaire dans contexte SIADH : • Euvolémique • Osmolarité urinaire 427 mosm/Kg Hyponatrémie 124 mmol/l avec : • FeNa < 1%. Hyponatrémie 126 mmol/l le 31.12.2018 sur probable SIADH Hyponatrémie 127 mmol/L hypoosmolaire sur SIADH probable • osmU 682 mosmol/Kg Hyponatrémie 130 mosm/L iso osmolire 294 mOsm/Kg • Hyperglycémie dans contexte diabète Hyponatrémie à 119 mmol/l. Hyponatrémie à 126 mmol/l le 25.01.2019 • DD sur thiazidique Hyponatrémie à 128 mmol/l sur SIADH le 24.12.2018 : • Avec minimum à 123 mmol/l le 26.12.2018 • D'origine probablement médicamenteuse (sur Cymbalta et Pantoprazol) Hyponatrémie à 130 mmol/l le 5.1.2019 dans un contexte d'hypervolémie (ascite, œdème) sur Cirrhose Hyponatrémie à 131 mmol/l isotonique, pseudo-hyponatriémie. Hyponatrémie à 132 mmol/l. Hyponatrémie à 133 mmol/l, pseudohyponatrémie. Hyponatrémie à 134 mmol/l Hyponatrémie hypoosmolaire d'origine indéterminée le 04.01.2019 • Osmolalité urinaire à 175 mOsm/kg • FeNa à 0.6% DD : médicamenteux (Bactrim) Hyponatrémie le 12.01.2019 possiblement dans le contexte de diarrhée • Na 130 mmol/l Hyponatrémie légère à 129 mmol/l, le 10.01.2019. Hyponatrémie légère à 135 mmol/l. Hyponatrémie modérée à 125 mmol/l dans un contexte d'hypoNa chronique Hyponatrémie normo-osmolaire d'origine indéterminée le 11.01.2019. Hyponatrémie normo-osmolaire modérée, le 09.01.2019 • DD : SIADH sur Citalopram, perte extra-rénale sur diarrhées Hyponatrémie normo-osmolaire modérée, le 09.01.2019 DD : SIADH sur Citalopram, perte extra-rénale sur diarrhées Hyponatrémie normo-osmolaire le 07.01.2019 Hyponatrémie sur pertes digestives Hyponatrémie sur probable SIADH le 09.01.2019 Hypophosphatémie Hypophosphatémie à 0,45 mmol/l, probablement sur déficit nutritionnel. Le patient a reçu les consignes d'arrêter son jeûne et de recommencer à manger normalement. Contrôle phosphatémie en ambulatoire. Hypophosphatémie à 0.57 mmol/l le 01.01.2019. Hypophosphatémie à 0.65 mmol/l Hypophosphatémie à 0.71 mmol/l le 09.01.2019 Hypophosphatémie à 0.77 mmol/l le 06.12.2018 Hypophosphatémie légère, le 08.01.2019. Hypophosphatémie non symptomatique à 0.43 mmol Hypophosphatémie sévère à 0.19 mmol Hypoprotéinémie Hypoprotéinémie à 166 mg/l le 08.11.2018. Hyporéactivité passagère Hyposphagma de l'œil gauche, environ 20% de la surface de la sclère, avec collection blanchâtre d'environ 4 mm de diamètre. HypoTA avec EF Hypotension Hypotension à deux reprises sur probable composante vagale le 23.01.2019 Hypotension artérielle à 85-97 mmHg. Hypotension artérielle asymptomatique. Hypotension artérielle sévère initialement à 75/60 mmHg d'origine mixte • déshydratation sévère et traitement antihypertensif. Hypotension artérielle sur déshydratation et état infectieux le 12.01.2019. Hypotension artérielle sur prise d'opiacés. Hypotension artérielle (TAS 85-97 mmHg). Hypotension asymptomatique à 90/50 mmHg. Hypotension asymptomatique sur diarrhée et diurétique. Hypotension le 12.01.2019 probablement dans le cadre de la grossesse. Hypotension orthostatique. Hypotension orthostatique avec Schellong positif passant de 147 mmHg à 116 mmHg de systolique. Hypotension orthostatique avec vertiges mal systématisés : • Diagnostics différentiels : orthostatisme iatrogène, insuffisance chronotrope, vertiges périphériques, vertiges centraux, déconditionnement physique • Avec appréhension à la chute. Hypotension orthostatique dans contexte de : • Nausées et vomissements récidivants d'origine mixte : médication (Bactrim, Fluconazole), hyponatrémie. Hypotension orthostatique le 02/11/18. Hypotension orthostatique le 24.01.2019 dans un contexte de : • nausées et vomissements récidivants d'origine mixte : médication (Bactrim, Fluconazole), hyponatrémie, infectieux. Hypotension sévère. Hypotension symptomatique le 27.01.2017 sur douleur DD antalgie. Hypotension symptomatique 90/40 mmHg le 26.01.2019 • sur administration de Adalat/Ebrantil à Tafers. Hypotension 80/50 mmHg, probablement dans le contexte oncologique. Hypothermie à 26°C. Hypothermie à 33°C 24.01.2019 • exposition. Hypothermie à 34°C sur stase au sol. Hypothermie accidentel à 34.4°C. Hypothermie accidentelle postnatale 34.0 C suite à la naissance dans l'ambulance. Hypothermie 34.4 °C. Hypothermie 35.3 °C. Hypothyroïdie. Hypothyroïdie substituée. Dépression suivie et traitée. Accident de la voie publique avec collision de la nuque le 11.08.2018 sans fracture. Hypothyroïdie • TSH 4.71 pmol/l • T3 libre : 2.16 pmol/l (norm : 4-6-8 pmol/l), T4 libre : 17 pmol/l (normwertig). Hypothyroïde le 15.01.2019 • TSH 9.240 mU/l, T4 libre 12 pmol/l, T3 libre 3.62 pmol/l. Hypothyroïdie. Hypothyroïdie avec début de substitution le 06.01.2019. Hypothyroïdie avec TSH à 13.8 mU/l et T3 libre à 2.6 pmol/l le 10.12.2018. Hypothyroïdie de type Hashimoto substituée Suspicion de lésion méniscale gauche sans signes d'arthrose depuis 2013. Hypothyroïdie d'Hashimoto substituée Ostéoporose fracturaire, avec : • Fracture vertèbre TH 11 post-traumatique en 2008 • Bonviva per os depuis 2009, puis Prolia depuis le 27.08.2013 (dernière dose 08.2018). Cervicalgie chronique récidivante sur troubles dégénératifs. Oesophagite de reflux sur hernie hiatale. Hypothyroïdie fruste de la grossesse. Hypothyroïdie gestationnelle. Hypothyroïdie idiopathique le 11.12.2018 avec : • anticorps anti-thyroglobuline et anti-péroxydase négatifs. Hypothyroïdie insuffisamment substituée le 29.11.2018. Hypothyroïdie insuffisamment substituée • sous Euthyrox 75 mcg/j. Hypothyroïdie latente HTA Tabagisme à 60 UPA, stoppé en novembre 2018. Dyslipidémie traitée. Diabète de type 2 IR : • Microangiopathie : polyneuropathie membres inférieurs (filaments 1/3), rétinopathie et néphropathie. • Macroangiopathie : cardiopathie ischémique, insuffisance artérielle des membres inférieurs de stade IIA. Insuffisance rénale chronique G3abA2 sur néphropathie diabétique et vasculaire avec probable FSGS secondaire : • UACR : 39 (12.18) • GFR : 58-56 ml/min/1.73 m2 (12/18) • microhématurie à prédominance non glomérulaire. • acidose tubulaire type IV. Artériopathie périphérique obstructive des membres inférieurs, actuellement de stade IIA ddc : • bilan angiologique du 27.01.2017 : absence d'ischémie critique, athéromatose sténosante diffuse des artères fémorales communes, fémorales superficielles et poplitées avec pour seuls vaisseaux jambiers, l'artère péronière des deux côtés. • dernier contrôle 17.08.2017 : légère péjoration de la perfusion du côté gauche par rapport à janvier 2017, sans ischémie critique. Cardiopathie ischémique sur maladie tritronculaire sévère avec : • s/p quintuple pontage aorto-coronarien en 02/2011 (AMIG en séquentiel sur diagonale et IVA, greffon veineux en séquentiel sur marginale, la circonflexe et l'IVP). • s/p infarctus postérieur silencieux, décompensation cardiaque en 01/2011. • s/p infarctus antérieur en 1994. • IRM cardiaque morphologique du 01.10.2015 : FEVG 27%, cicatrice transmurale au niveau de la portion septo-apicale antérieure et apicale 50% au niveau du septum moyen. • s/p implantation d'un défibrillateur selon MADIT II Platinum DR 1510 le 02.11.2015. • dernière ETT chez Dr. X : cardiopathie dilatative sévère avec une FEVG modérément abaissée à 40% sur hypokinésie diffuse. Akinésie septo-apicale. Pas de thrombus intra-cavitaire. Dysfonction diastolique de stade. Pas de valvulopathie hémodynamiquement significative. Discrète baisse de la FEVD. Discrète HTP. • coronarographie 11.18 (Prof. X) : progression sténose IVA --> angioplastie et stent actif. Hypothyroïdie non gestationnelle. Hypothyroïdie non substituée • TSH 6.01 mU/l, fT4 11 pmol/l et fT3 2.66 pmol/l le 10.12.2018. Hypothyroïdie post-thyroïdectomie. Hypothyroïdie post-thyroïdectomie totale (carcinome papillaire) en 2005 substituée. Hypertension artérielle traitée. Syndrome d'apnée du sommeil discret (non appareillé). Céphalées chroniques accompagnant des nucalgies, investiguées par le médecin traitant. Hypothyroïdie primaire sur possible produit de contraste iodé. Hypothyroïdie primaire sur produit de contraste iodé. Hypothyroïdie probablement trop substituée avec : • Labo 18.12.2018 TSH 6.5 mU/l, T4 libre 24 pmol/l, T3 libre 3.03 pmol/l. Hypothyroïdie sévère mal substituée • sous Euthyrox 150 mcg/jour 6/7 jours • trouble de la compliance ? Hypothyroïdie sévère sur thyroidite autoimmun. Hypothyroïdie (sous Euthyrox) • TSH 4.45 mU/l, T3 libre 2.98 pmol/l, T4 libre 19 pmol/l le 20.07.2017. Fibrillation auriculaire sous Xarelto et bêta-bloquant. Hypothyroïdie sous Euthyrox 75 mcg. Hypothyroïdie sous Euthyrox. Trouble dépressif sous Cipralex. Hypothyroïdie subclinique. Hypothyroïdie subclinique • TSH 4.280 mU/L, fT4 12 pmol/L (le 09.01.2018).Hypothyroïdie subclinique d'origine inconnue (DD: s/p traitement de longue durée par Cordarone) le 03.12.2018 avec: • Labo le 03.12.2018: TSH 6.420 mU/l, T4 libre 14 pmol/l, T3 libre 3.31 pmol/l • Consilium endocrinologique Fribourg le 03.12.2018: pas de traitement médical nécessaire, un bilan biologique dans 6 semaines (17.01.2019 environ) Hypothyroïdie subclinique le 10.01.2019. Hypothyroïdie subclinique le 21.11.2018 • TSH 6.05 mU/l et T4 libre 13 pmol/l le 21.11.2018 • TSH 4.66 mU/l et T4 libre 13.9 pmol/l le 10.04.2018 Hypothyroïdie subclinique Reflux gastro-oesophagien Hypothyroïdie substituée. Hypothyroïdie substituée. Hypothyroïdie substituée. Hypothyroïdie substituée. Hypothyroïdie substituée. Hypothyroïdie substituée. Hypothyroïdie substituée. Hypothyroïdie substituée. Hypothyroïdie substituée. Hypothyroïdie substituée. Hypothyroïdie substituée, actuellement hyperthyroïdie, avec: • s/p goitre micronodulaire 2018 avec thyroïdite lymphocytaire et hyperthyroïdie transitoire Hypothyroïdie substituée avec: • Thyroïdectomie sur hyperthyroïdie causée par Cordarone • TSH: 6,540 mu/l, T4: 27 pmol/l, T3: 2.6 pmol/l (23.06.2017) • TSH: 5,860 mu/l, T4: 21 pmol/l, T3: 2.8 pmol/l (27.04.2017) • TSH: 1.25 mu/l, T4: 15.8 pmol/l T3: 3.12 pmol/l (03.07.18) Hyperuricémie Flatulence et constipation chronique. SAOS centrale avec: • Adipositas • Spirométrie: sans particularité (29.06.2017) Hypothyroïdie substituée avec TSH à 14.25 mU/l le 13.12.2018, T3 totale 0.7 nmol/l, T4 libres 15 pmol/l Hypothyroïdie substituée Hypertension artérielle traitée Hypothyroïdie substituée le 11.01.2019 • connue, substituée par Euthyrox 100 mcg 1x/j Hypothyroïdie substituée sans étiologie identifiée. Syndrome anxio-dépressif Hypothyroïdie substituée • status post thyroïdectomie Syndrome migraineux chronique Excès pondéral Hypothyroïdie substituée, 850 mcg/semaine. Hypothyroïdie substituée. Cancer du pancréas. Hypothyroïdie substituée. Cirrhose CHILD A sur NASH Psoriasis Insuffisance rénale chronique Diabète de type II insulino-requérant • rétinopathie diabétique • polyneuropathie sensitive profonde avec apallesthésie distale aux quatre membres Hypertension artérielle MGUS (bande monoclonale IgG à chaîne légère kappa) avec primo-diagnostic en 2013 • immunofixation le 10.04.2018: IgG 10,36 g/l (norme 8,00-15,00 g/l), kappa libre 47,5 mg/l (norme 3.3-19.4 mg/l), lambda libre 23.0 mg/l (norme 5.7-26.3 mg/l), kappa/lambda libre 2,07 (norme 0,26-1,65) • immunofixation urinaire le 10.04.2018: négative (protéines urinaires 0,16 g/l) • électrophorèse des protéines sériques le 19.10.2015: IgG 16,53 g/l (norme 8,00-15,00 g/l), kappa libre 97,7 mg/l (norme 3,3-19,4 mg/l), lambda libre 33,6 mg/l (norme 5,7-26,3 mg/l), kappa/lambda libre 2,91 (norme 0,26-1,65) Hypothyroïdie substituée. Éperon calcanéen gauche le 14.08.15. Tendinite patte d'oie genou gauche le 14.08.15. Hypothyroïdie substituée Etat anxio-dépressif Hypothyroïdie substituée Etat anxio-dépressif Hypothyroïdie substituée. Etat dépressif traité. Hypothyroïdie substituée HTA Obésité Insuffisance rénale chronique Hypercholestérolémie Hypothyroïdie substituée Hypercholestérolémie traitée Troubles de l'humeur non spécifiés Hypothyroïdie substituée Hypertension artérielle labile, sans traitement de fond • Urgence hypertensive le 27.11.2018 Stent coronarien en 2003 Hypothyroïdie substituée. Hypoparathyroïdisme substitué. Maladie de Ménière. Coxarthrose gauche. Lombosciatalgie gauche avec irritation L2, non déficitaire. Luxation antérieure de la clavicule droite avec voussure visible en para-sternal. Décompensation cardiaque gauche dans le contexte septique le 15.08.2018 • proBNP: >2000 • FEVG à 65 % (évaluation visuelle). HTAP minime (PAPs à 41 mmHg). Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4). Décollement péricardique systolique isolé. Hypothyroïdie substituée Hypoparathyroïdisme substitué Maladie de Ménière Coxarthrose gauche Lombosciatalgie gauche avec irritation L2, non déficitaire Luxation antérieure de la clavicule droite avec voussure visible en para-sternal Décompensation cardiaque gauche dans le contexte septique le 15.08.2018 • proBNP: >2000 • FEVG à 65 % (évaluation visuelle). HTAP minime (PAPs à 41 mmHg). Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4). Décollement péricardique systolique isolé. Hypothyroïdie substituée Kyste parotidien gauche Unco-cervico-discarthrose étagée C3-C7 Hypothyroïdie substituée. Lombalgies aiguës non déficitaires depuis le 17.06.2017 sur antélisthésis stade 1 L5-S1 avec/sur status post-opération hernie discale L5-S1 en 2000. Bradycardie sinusale à 40/min avec pauses sinusales jusqu'à 12 secondes et FA intermittente (rapport oral Holter-ECG par Dr. X) avec/sur: • Présyncopes à domicile. • ECG le 04.07.2017: bradycardie d'allure sinusale. • Schellong test négatif. • Installation d'un pacemaker 10.08.2017 (Dr. X), dernier contrôle en novembre 2018, en ordre. Hypothyroïdie substituée Ostéoporose Coronaropathie, FA • Pacemaker implanté il y a 2 ans Hypothyroïdie substituée. Sciatalgies non déficitaires. Hypothyroïdie substituée. Troubles bipolaires. Hypothyroïdie substituée. Uvéite bilatérale actuelle, sous traitement avec gouttes. Hypothyroïdie substituée Tabagisme actif à 25 UPA Hypothyroïdie traitée. Hypothyroïdie traitée. Hypothyroïdie traitée. Hypothyroïdie traitée. Polyarthrite psoriasique sous Humira. Varicocèle de grade II à gauche le 10.01.19. Hypothyroïdie traitée. Extrasystolie de haute incidence symptomatique sur cœur sain, dernier. Hypothyroïdie Polyarthrite rhumatoïde Tabagisme actif 80 UPA Hypothyroïdie Tabagisme actif Hypothyroïdisme traité par Euthyrox chez la mère. Hypotonie chronique d'origine multifactorielle DD Dénutrition, cardiogénique. Hypotonie congénitale d'origine indéterminée, suivie en neuropédiatrie (en cours d'investigations). Dilatation du ventricule gauche sans dysfonction systolique. Hypotonie congénitale d'origine indéterminée, suivie en neuropédiatrie (en cours d'investigations). Dilatation du ventricule gauche sans dysfonction systolique. Hypo-vigilance dans un contexte d'alcoolisation aiguë à 2.79. Hypovitaminose B12 et B9 le 12.12.2018 • Vitamin B1 et B6 dans la norme. Hypovitaminose B12. Hypovitaminose B12 et B9. Hypovitaminose B9. Hypovitaminose B9 à 2.5 ng/ml le 10.12.2018. Hypovitaminose B9 à 2.5 ng/ml le 21.12.2018. Hypovitaminose B9, B12 et D. Hypovitaminose B9 et B12. Hypovitaminose D. Hypovitaminose D à 17 nmol/l le 24.11.2018. Hypovitaminose D à 32 nmol/l le 31.12.2018. Hypovitaminose D à 40 nmol/l. Hypovitaminose D à 59 nmol/l le 21.01.2019. Hypovitaminose D à 60 nmol/l le 14.12.2018. Hypovitaminose D légère 07.01.19. Hypovitaminose D légère 54 nmol/l le 10.01.2019. Hypovitaminose D modérée. Hypovitaminose D modérée à 26 nmol/l. Hypovitaminose D modérée à 30 nmol/l le 21.12.2018. Hypovitaminose D modérée à 59 nmol/l. Hypovitaminose D modérée à 62 nmol/l. Hypovitaminose D sévère à 13 nmol/l. Hypovitaminose D sévère à 14 nmol/l le 10.12.2018. Hypovitaminose D sévère à 17 nmol/l le 13.12.2018. Hypovitaminose D sévère à 21 nmol/l le 21.12.2018. Hypovitaminose D sévère à 8 ng/ml le 12.12.2018 • Valeur le 03.01.2019: en augmentation, 27 nmol/l. Hypovitaminose D sévère à 8 nmol/l. Hypovitaminose D sévère en cours de substitution.Laboratoire du 27.07.2018 : 15 nmol/l Hypovitaminose D sévère inférieure à 8nmol/l le 03.01.2019 Hypovitaminose D sévère • Labo le 14.12.2018 : Vitamine D : 19 nmol/l • Hypovitaminose D sévère le 04.12.2018 à 14nmol/l • Hypovitaminose D (29 nmol/l le 17.08.2018) substituée • Hypovitaminose D 44 nmol/l le 15.12.2018 Hypovitaminose D Hypertension artérielle traitée Dorsolombalgies avec infiltrations par le Dr. X Hypovitaminose D S/p intervention chirurgicale fracture intra-articulaire Radius et Ulna distaux (08/2015) S/p fracture de la hanche gauche (08/2015) Influenza A (02.2017) Cystites récurrentes Hernie para-oesophagée Lipomatose du pancréas (DD kyste hépatique) au segment V découvert fortuitement Hypovitaminose multiple le 02.01.2019 avec vitamine B12 à 97pg/ml, vitamine B9 à 3.5ng/ml et vitamine D à 37nmol/l Hypovitaminose multiple le 03.01.2019 avec vitamine B12 à 158pg/ml, acide folique à 2.3ng/ml et vitamine D inférieure à 8nmol/l Hypovitaminose multiple le 09.12.2018 avec vitamine D à 15nmol/l, vitamine B9 à 3.8ng/ml Hypoxie a.e. i.R.e. Hypoventilationssyndroms bei Adipositas am 11.01.2019 • TTE im 10/2018 : keine pulmonalarterielle Hypertonie Hystérectomie Hystérectomie à but anticonceptionnel Cystopexie Mastectomie bilatérale Fracture de l'épicondyle médial de l'humérus droit le 19.10.2017 Fracture du processus du radius droit le 19.10.2017 Sepsis à Staphylocoque aureus sur pyélonéphrite le 25.04.2018 Réactions toxiques à divers antalgiques DD dans le contexte d'une insuffisance surrénalienne non diagnostiquée • intoxication médicamenteuse au Targin le 25.04.2018 • état confusionnel médicamenteux sur MST le 05.05.2018 • état confusionnel aigu sur surdosage en Palexia le 03.07.2018 Hystérectomie avec annexectomie Cholécystectomie Décompensation cardiaque globale le 27.04.2015 • Status compatible avec un AVC gauche ancien avec : • Asymétrie de la bouche en défaveur de la gauche • Ataxie du membre supérieur droit Infection urinaire à E. coli multi-sensible sans critères de gravité, le 10.05.2015 Décompensation cardiaque à prédominance droite NYHA III le 09.03.2017 sur progression d'une insuffisance tricuspidienne non opérable connue avec : • Sténose aortique sévère probablement d'origine fonctionnelle (low flow, low gradient) Douleurs épigastriques et nausée d'origine indéterminée le 27.11.2018 : • US abdomen le 30.11.2018 : pas de lésion suspecte ; dilatation de la veine cave et des veines sus-hépatiques traduisant une surcharge cardiaque droite Hypovitaminose • Vitamine D3 à 24ng/ml le 30.11.2018 • Acide folique à 3.7ng/ml le 30.11.2018 • Substitution Bicytopénie le 23.11.2018 avec : • Anémie hypochrome macrocytaire arégénérative à 84g/l • Thrombopénie de grade I à 76G/l (58G/l le 27.11.2018) • Diagnostics différentiels : syndrome myélodysplasique, syndrome inflammatoire, insuffisance rénale • Laboratoire • Bilan vitaminique • Sérologie CMV et EBV négatifs le 27.11.2018 • Recherche sang occulte dans les selles 3 prises : négative • Acide folique dès le 26.11.2018 • Mise en suspens transitoire Eliquis du 23.11.2018 au 30.11.2018 • Héparine prophylactique du 23.11 au 29.11.2018. • Support transfusionnel : transfusion d'un culot érythrocytaire le 30.11.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine probablement prérénale le 23.11.2018 avec : • Créatinine à 156µmol/l et urée à 25.1mmol/l • Fraction d'excrétion de l'urée : 30.91% • Suivi biologique • US voie urinaire le 30.11 • Mise en suspens traitement diurétique transitoire • Hydratation Hystérectomie Cholécystectomie dans les années 1990 Hystérectomie en 1998 pour déchirure utérine durant son accouchement par voie basse en 1996. Pyélonéphrite en 2006 ou 2007. Malaise d'origine indéterminée, le 15.10.2017. Hystérectomie en 2000. Liposuccion en 2002. Exacerbation sévère de BPCO stade IV le 07.02.2016 sur possible surinfection de Moraxella catarrhalis avec insuffisance respiratoire globale traitée par ceftriaxone et clarithromycine. • 3/3 critère Anthonisen • insuffisance respiratoire partielle • traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. • Solumédrol 125 mg iv aux urgences. • Prednisone 50 mg per os pendant 5 jours, puis en schéma dégressif. • Tavanic 500 mg 1x/j jusqu'au 05.03.2016. Sevrage tabagique en 2016 • Poursuite Nicotinell. Episodes d'angoisses en 2016 • Poursuite du traitement anxiolitique habituel. Hystérectomie en 2000. Prothèse totale de Hanche 2007. Cholécystectomie 1970. Appendicectomie 1950. Hystérectomie en 2005 Hystérectomie en 2008. Urticaire généralisé d'origine indéterminée en 2009. Hystérectomie en 2012 Hystérectomie en 2012 Kystectomie des 2 ovaires par laparoscopie en 2010 Réduction mammaire bilatérale en 2004 Status post-3 césariennes Hystérectomie en 2018. Hystérectomie et annexectomie bilatérale sur Métrorragie et hypertrophie irrégulière de l'endomètre le 13.03.2018. Curetage hémostatique le 21.04.2014 : hyperplasie glandulaire de l'endomètre. Laparoscopie, adhésiolyse et lavage péritonéale le 10.08.2016 pour infection à Chlamydia. Amygdalectomie en 2010. Césarienne le 21.04.2008. Douleur de l'épaule gauche et du bras gauche d'origine probablement musculo-squelettique. • facteurs de risque CV familiaux. Douleur abdominale probablement sur hématome au site opératoire le 13.03.2018. Hystérectomie et annexectomie en 1975. Hystérectomie et ovariectomie à l'âge de 38 et 39 ans respectivement Kyste de la glande mammaire multi-opéré en 1985 Status post 4 curetages Status post amygdalectomie et appendicectomie dans l'enfance. Foraminotomie L4-L5 bilatérale et insertion d'un U n°8 sur canal lombaire étroit dégénératif prédominant en L4-L5, en 2006 Dynesis de L3 à S1 sur discopathie dégénérative douloureuse de L3 à S1 avec arthrose facettaire, en 2007 Hystérectomie et ovariectomie à l'âge de 38 et 39 ans respectivement Kyste de la glande mammaire multi-opéré en 1985 Status post 4 curetages Status post amygdalectomie et appendicectomie dans l'enfance. Foraminotomie L4-L5 bilatérale et insertion d'un U n°8 sur canal lombaire étroit dégénératif prédominant en L4-L5, en 2006 Dynesis de L3 à S1 sur discopathie dégénérative douloureuse de L3 à S1 avec arthrose facettaire, en 2007 Hystérectomie et ovariectomie (kystes ovariens) Cholécystectomie Tonsillectomie Fracture de la cheville gauche Hystérectomie et ovariectomie en 2014. Adénite mésentérique le 05.03.2018. Douleurs thoraciques d'origine probablement pariétale DD : sur choc émotionnel. Hystérectomie (fibrome utérin). Traumatisme crânien simple en 2016 avec : • hématome paupière supérieure gauche net hématome oeil gauche. Arthroplastie du genou droit le 07.08.2007. Hématome sous-cutané post ponction artère fémorale droite. NSTEMI antérieur le 13.12.2018 sur sténose subtotale de l'artère interventriculaire antérieure proximale et moyenne. Coronarographie du 15.12.2018 : lésion monotronculaire de l'artère interventriculaire antérieure proximale et moyenne, englobant la première diagonale : angioplastie percutanée avec implantation d'un stent actif au niveau de l'IVA proximale, PTCA pour la diagonale. FEVG 70%. Aspirine et Brilique pour 1 année. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1. Hystérectomie il y a 20 ans Hernie hiatale Kyste rénal Lithiase vésiculaire Hernie discale Hystérectomie inter-anexielle (myomes) 1971 par laparotomie. Mastectomie bilatérale. pour carcinome in situ du sein. Cholécystectomie par abord sous-costale 09.2014. Élytrocèle de stade II-II, affleurant la vulve, chez une patiente de 85 ans.Cure d'élytrocèle par voie mixte vaginale et laparoscopique le 08.07.2015. Hystérectomie inter-annexielle avec salpingectomie bilatérale par laparotomie médiane le 16.01.2019. Analyse anatomopathologique de la pièce opératoire. Hystérectomie (myomes) et colpo-suspension selon Burch en 1998 et reprise en 2006. Syndrome de Ménière en 2003. Adénoïdectomie en 1949. Opération de kyste ovarien avec appendicectomie en 1958. Opération de multiples kystes mammaires. Opération de kystes au niveau du palais supérieur. 4 fausses couches, 2 accouchements par voie basse. Diverticulite. Pancréatite biologique. Exacerbation de BPCO sévère le 09.03.2018. Hypokaliémie légère à 3.1 mmol/l le 09.03.2018. Malnutrition protéino-énergétique légère. Hystérectomie pour carcinome de l'utérus. Appendicectomie. Cure de cataracte bilatérale. AVC en 2005, régressif. Ostéosynthèse du radius distal et suture de l'artère radiale le 28.06.2013 pour fracture du radius distal droit, intra-articulaire, déplacée avec lésion iatrogène de l'artère radiale. Fracture de l'anneau pelvien type compression latérale 2013 avec : • fracture des branches ilio- et ischio-pubiennes gauches • fracture de compression ventrale sacrum droit (Denis I) • fracture non-déplacée longitudinale sacrum gauche de type Denis II. Urosepsis sur pyélonéphrite droite à E. Coli multisensible le 11.03.2017. Angor stable le 17.07.2017. Syncope d'origine indéterminée probablement d'origine vaso-vagale le 03.08.2018. DD : origine cardiaque sur trouble du rythme. Infection urinaire basse non compliquée le 04.08.2018. Hystérectomie totale il y a plus de 20 ans. Status post 2 bronchoscopies à Belgrade sur pneumonies récidivantes. Hystérectomie totale inter-annexielle avec colporraphie antérieure et postérieure et Richter le 17.01.2019. Analyse anatomopathologique de la pièce opératoire. Hystérectomie totale inter-annexielle avec salpingectomie bilatérale par laparoscopie le 03.01.2019. Analyse anatomo-pathologique de la pièce opératoire. Thromboprophylaxie par clexane 40 mg. Hystérectomie totale inter-annexielle avec salpingectomie bilatérale par laparoscopie le 10.01.2019. Pièce opératoire envoyée en anatomo-pathologie. Hystérectomie totale inter-annexielle avec salpingectomie bilatérale par laparoscopie sous AG le 11.01.2019. Analyse anatomo-pathologie de la pièce opératoire. Hystérectomie totale inter-annexielle et salpingectomie bilatérale par laparoscopie le 15.01.2019. Envoi en anatomo-pathologie de la pièce opératoire. Thromboprophylaxie par Clexane. Hystérectomie totale inter-annexielle par LSC le 30.11.2011 pour métrorragies sur hyperplasie simple avec atypies modérées chez Mme. Y 6G 4P. 1995 et 1999 : gynécologiques opératoires : 2 IVG-curetage. 1989, 1990, 1996, 1998 : obstétricaux : 3xAVB. Colique néphrétique bilatérale le 17.09.2017. Colique néphrétique droite le 13.06.2015. Suspicion d'abcès dentaire le 03.08.2018. Hystérectomie totale. Cystopexie. APP. Cystite aiguë. Hématome au niveau du tibia distal suite à une chute de sa hauteur le 30.01.2018. Hystérectomie totale. Cystopexie. APP. Cystite aiguë. Hématome au niveau du tibia distal suite à une chute de sa hauteur le 30.01.2018. Hystérectomie totale. Kyste sein droit. Ablation kyste ovarien. Varicectomie. Morton pied opéré. Crise de migraine le 24.04.2016. Douleurs de l'épaule et du bras droits suite à pose de port-à-cath le 13.11.2016. Réaction leucémoïde sur Neulasta. Agranulocytose le 04.01.2017. Accident vasculaire cérébral ischémique d'origine indéterminée avec parésie membre supérieur gauche à M4. Réaction inflammatoire locale étendue sur piqûre d'abeille au niveau du front le 27.08.2017. Hystérectomie (1995). Hyponatriémie sur probable SIADH le 09.01.2019. Hystérectomie. Ablation de kystes au niveau des seins. Hystérectomie. Appendicectomie. Fracture sous-trochantérienne du fémur D le 19.08.2013. • Réduction ouverte et ostéosynthèse le 21.08.2013 (Dr. X). Hystérectomie. Appendicectomie. Prothèse totale de hanche gauche en 2014. Borréliose traitée. Hypothyroïdie subclinique : • TSH à 4.69 mU/l • T3 et T4 dans la norme. Décompensation cardiaque globale le 18.10.2018 sur cardiopathie valvulaire, rythmique et hypertensive (gauche plus que droite) : • Fibrillation auriculaire rapide mal tolérée le 21.11.2015, le 05.12 et le 06.12.2016 avec implantation d'un pacemaker Linovo IRi compatible VVIIR le 15.06.2017 et ablation de la jonction atrioventriculaire le 20.06.2017 • Sténose aortique modérée de type paradoxal low flow low gradient (1.1 cm2) • Calcification de l'anneau mitral (2.7 cm2, gradient transmitral de 3 mmHg) avec insuffisance mitrale importante à sévère. Pneumonie basale droite communautaire, fin octobre 2018 : • Syndrome inflammatoire à l'entrée avec CRP à 90 mg/l sans leucocytose • Laboratoire • Absence d'antigènes urinaires à Pneumocoque et Légionelles • RX thorax • 2 paires d'hémoculture : négatives à 5 jours • Sédiment urinaire • Rocéphine 2 g depuis le 22.10.2018 au 24.10.2018 • Céfépime 1 g/24h (dose adaptée à la clearance) du 25.10.2018 au 31.10.2018. Chute le 08.11.2018 avec traumatisme crânien avec amnésie circonstancielle, pas témoigné avec : • CT cérébral : hématome tissu mou sinus maxillaire droit, hémorragie intraparenchymateuse occipitale droite, lésion séquellaire occipitale gauche. Hystérectomie. Cholécystectomie. Cure de varices des 2 côtés. Cure d'hémorroïdes. Opération de cataracte. Uvéite droite en 1997. Prothèse du genou droit. Ostéosynthèse de l'humérus droit. Infections urinaires à répétition. OAP sur pic hypertensif le 17.05.2009. Sepsis à Entérocoques faecium sur érysipèle du MIG le 17.05.2009. Pyélonéphrite le 10.11.2016. Décompensation diabétique hyperglycémique le 10.12.2017. Insuffisance respiratoire d'origine multifactorielle le 10.12.2017. Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée le 10.12.2017. • DD : pneumonie avec épanchement para-pneumonique non compliquée, ulcère du talon avec dermohypodermite/ostéite. Anémie normocytaire normochrome arégénérative d'origine mixte (rénale, inflammatoire et possiblement spoliative le 10.12.2017). • Possible composante traumatique post-drainage pleural D le 10.12.2017. Oedème aigu pulmonaire sur surcharge volémique le 13.12.2017. Broncho-aspiration d'un médicament le 14.12.2017. État confusionnel aigu hypoactif le 26.06.2018. • En premier lieu dans le contexte de la situation hémorragique. Anémie normocytaire, normochrome, arégénérative d'origine mixte le 26.06.2018 (Hb 62 g/l) dans contexte spoliatif et composante rénale. • Transfusion 2 CE en hémodialyse le 26.06.2018. • Transfusion 1 CE en hémodialyse le 28.06.2018. • OGD et colonoscopie non-contributives en 2016. Suspicion d'hémorragie digestive haute le 26.06.2018. Fibrillation auriculaire rapide symptomatique sur hypovolémie provoquée lors d'une séance de dialyse le 29.09.2018 dans contexte de fibrillation auriculaire intermittente chronique anticoagulée. NSTEMI secondaire le 29.09.2018. Dermohypodermite du membre inférieur droit le 01.10.2018. • Sur ulcère mixte de la malléole externe du membre inférieur droit. Décompensation cardiaque globale congestive le 27.11.2018, d'origine encore indéterminée : • dans un contexte de cardiopathie hypertensive et rythmique (FA paroxystique) avec FEVG 70 % et IM 1/4 le 02.10.2018. NT-pro BNP > 8000 ng/l. Au vu du contexte de fragilité, de la prise en charge effectuée en dialyse et de l'avis des néphrologues : pas d'examen complémentaires supplémentaires, pas de bilan supplémentaire de la décompensation cardiaque. Hystérectomie. Cholécystectomie. Cure de varices des 2 côtés. Cure d'hémorroïdes. Opération de cataracte. Uvéite droite en 1997. Prothèse du genou droit. Ostéosynthèse de l'humérus droit.Infections urinaires à répétition OAP sur pic hypertensif le 17.05.2009 Sepsis à Entérocoques faecium sur érysipèle du MIG le 17.05.2009 Pyélonéphrite le 10.11.2016 Décompensation diabétique hyperglycémique le 10.12.2017 Insuffisance respiratoire d'origine multifactorielle le 10.12.2017 Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée le 10.12.2017 Oedème aigu pulmonaire sur surcharge volémique le 13.12.2017 Broncho-aspiration d'un médicament le 14.12.2017 Etat confusionnel aigu hypoactif le 26.06.2018 Anémie normocytaire, normochrome, arégénérative d'origine mixte le 26.06.2018 (Hb 62 g/l) dans contexte spoliatif et composante rénale Fibrillation auriculaire rapide symptomatique sur hypovolémie provoquée lors d'une séance de dialyse le 29.09.2018 dans contexte de fibrillation auriculaire paroxystique chronique anticoagulée NSTEMI secondaire le 29.09.2018 Dermohypodermite du membre inférieur droit le 01.10.2018 Décompensation cardiaque globale congestive le 27.11.2018, d'origine indéterminée Hématochézies d'origine indéterminées • avec Hb 78 g/L, INR à 2.4 • colonoscopie du 17.12.2018 : Sp • OGD du 17.12.2018 : sp • rectosigmoïdoscopie le 14.12.2018 : pas de source active de saignement Avis cardiologie du 02.01.2019 : stop aspirine et sintrom - reprise possible dès stop des saignements. Avis gastroentérologie du 02.01.2019 : ad colonoscopie de contrôle le 03.01.2019 Transfusion 1 CE au service des urgences avec stabilisation des valeurs Pantoprazol IV Mise en suspens Sintrom, Amlodipine, Deponit et Physiotens Colonoscopie du 03.01.2019 : pas de sources de saignements objectivées sous réserve préparation moyenne Colonoscopie du 04.01.2018 : pas de sources de saignements Reprise des traitements Epanchements pleuraux Lasix 40 mg iv au service des urgences Hyperkaliémie à 5.2 mmol/L Avis néphro du 02.01.2019 : ad Néphrotrans caps et Résonium 15 g Suivi biologique Hystérectomie Cholécystectomie Cure de varices des 2 côtés Cure d'hémorroïdes Opération de cataracte Uvéite droite en 1997 Prothèse du genou droit Ostéosynthèse de l'humérus droit Infections urinaires à répétition OAP sur pic hypertensif le 17.05.2009 Sepsis à Entérocoques faecium sur érysipèle du MIG le 17.05.2009 Pyélonéphrite le 10.11.2016 Décompensation diabétique hyperglycémique le 10.12.2017 Insuffisance respiratoire d'origine multifactorielle le 10.12.2017 Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée le 10.12.2017 Oedème aigu pulmonaire sur surcharge volémique le 13.12.2017 Broncho-aspiration d'un médicament le 14.12.2017 Etat confusionnel aigu hypoactif le 26.06.2018 Anémie normocytaire, normochrome, arégénérative d'origine mixte le 26.06.2018 (Hb 62 g/l) dans contexte spoliatif et composante rénale Fibrillation auriculaire rapide symptomatique sur hypovolémie provoquée lors d'une séance de dialyse le 29.09.2018 dans contexte de fibrillation auriculaire paroxystique chronique anticoagulée NSTEMI secondaire le 29.09.2018 Dermohypodermite du membre inférieur droit le 01.10.2018 Décompensation cardiaque globale congestive le 27.11.2018, d'origine indéterminée Hystérectomie. Cholécystite aiguë avec cholélithiase. Faiblesse généralisée avec péjoration des troubles visuels sur SEP sur infection urinaire le 08.10.2017 (E. faecalis). Embolie pulmonaire basale droite (pas d'anticoagulation, HFR - Fribourg 2017). Tentamen médicamenteux le 04.04.2018. Hyponatrémie hypoosmolaire sur SIADH d'origine médicamenteux le 05.04.2018. Embolie pulmonaire segmentaire basale droite, 30.05.2018. Macrohématurie sur déplacement de Cystofix le 19.07.2018 : • fausse route de cystofix le 17.07.2018 • OP cystoscopie le 21.07.2028 (Dr. X) • Sonde 2 voies dès le 22.07.2018. Exacerbation fluctuante des troubles multifocaux pré-existants de la SEP dans le contexte de macrohématurie le 23.07.2018. Probable mycose vulvo-vaginale le 26.07.2018. Probable infection urinaire le 27.07.2018 chez patiente porteuse de sonde urinaire. Dyspnée en péjoration depuis ce week-end dans un contexte d'angoisse - EP en 2017 et mai 2018 anticoagulée par Sintrom Perturbation des tests hépatiques - GGT : 278, ASAT 49, ALAT 70. DD : médicamenteux. Hystérectomie Erysipèle du membre supérieur droit en 10.2018 Syndrome douloureux après fracture pertrochantérienne Kyyle 3 à droite Hypothyroïdie subclinique en 10.2018 • TSH 6.1 mU/l, fT4 14 pmol/L, fT3 3.6 pmol/L Pneumonie nosocomiale le 07.11.2018 Ostéosynthèse d'une fracture pertrochantérienne du fémur droit par PFNA le 18.10.2019 Hystéroscopie : ablation DIU sous vision Hystéroscopie diagnostique avec curetage explorateur le 18.01.2019 Analyse anatomopathologique du matériel de curetage Hystéroscopie diagnostique avec curetage fractionnée le 17.01.2019 Analyse anatomopathologique du matériel de curetage Hystéroscopie diagnostique et opératoire avec curetage fractionné le 11.01.2019 Analyse anatomo-pathologique du matériel de curetage Hystéroscopie et curetage le 18.04.2012 pour méno-métrorragies péri-ménopausiques persistantes Curetage pour grossesse kystique (môle ?) en 1983 3 accouchements par voie basse Stérilisation tubaire en 1995 Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique avec sepsis sur pneumonie bilobaire gauche acquise en communauté le 02.01.2016 Hystéroscopie opératoire : ablation du DIU Mirena et myomectomie Laparoscopie opératoire : Myomectomie Envoi des pièces opératoires en anatomo-pathologie. Hystéroscopie opératoire avec curetage explorateur le 18.01.2019 Analyse anatomopathologique du matériel de curetage Pose de stérilet en cuivre le 18.01.2019 Hystéroscopie opératoire avec résection endométriale à l'anse électrique le 18.01.2019 Hystéroscopie opératoire le 10.01.2019. Hystéroscopie : résection polype bénin. PCOS. Épisiotomie médio-latérale droite. Infection des voies respiratoires supérieures le 29.05.2018. Ialugel + à domicile, suivi pédiatre selon nécessité protection solaire Ialugen plus, Mepilex transfert. Réfection du pansement par la patiente demain. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences à 48h. IAMI avec : • status post PTA/Stent de l'artère fémorale superficielle ainsi qu'une angioplastie périphérique de l'artère iliaque commune et externe à droite le 18.01.2018 • status post PTA/stent de l'artère fémorale superficielle à gauche le 05.07.2016 Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Subocclusion IVA moyenne : PCI (1DES) : Bon • Sténose 50% RCx ostiale et moyenne • Occlusion chronique ACD moyenne (J-Score 2) • Fraction d'éjection VG 50% • ETT du 20.08.2018 : FEVG 53% avec discrète hypertrophie septale, anévrisme inféro basale • Coronarographie le 07.09.2018 (Prof. Cook) Ibuprofen d'office 48 heures Ibuprofen d'office 48 heures Contrôle chez le pédiatre Ibuprofène et Dafalgan aux besoins Rinçage du nez Wala Antimonit/Rosae aetheroleum solution Wala Apis/Belladonna/Mercurius Contrôle si péjoration de l'état général ou signes de déshydratationIbuprofène et Paracétamol en alternance pendant 24h • Triofan petit enfant/bébé 1 push dans chaque narine 3x/jour • Rinçage du nez • Mme. Y refuse analyse urinaire et veut rentrer à domicile • Décharge de responsabilité signée • Contrôle chez le pédiatre le lendemain Ibuprofène et Paracétamol en alternance pendant 48h • Nasivine spray 0.05% et rinçage du nez • Wala Apis/Belladonna/Mercurius • Contrôle chez pédiatre dans 48h Ibuprofène et Paracétamol en réserve • Contrôle chez la pédiatre si persistance de la fièvre dans 48h Ibuprofène et Paracétamol pendant 24h • Nasivine 0.01%, rinçage du nez • Wala Apis/Belladonna/Mercurius • Contrôle chez pédiatre dans 24h Ibuprofène et Paracétamol pendant 48h • Nasivine spray 0.025% et rinçage du nez • Wala Apis/Belladonna/Mercurius Globuli • Contrôle chez pédiatre dans 48h Ibuprofène et Paracétamol pendant 48h • Nasivine spray 0.05% et rinçage du nez • Wala Apis/Belladonna/Mercurius • Contrôle chez le pédiatre dans 48h Ibuprofène et Paracétamol pendant 48h • Nasivine 0.025%, rinçage du nez • Cerumenol pour réévaluation des tympans dans 48h • Contrôle chez pédiatre dans 48h Ibuprofène et Paracétamol • OSA gel dentaire rouge • Rinçage du nez • Wala Apis/Belladonna/Mercurius • Contrôle chez le médecin si persistance de l'état fébrile dans 48h Ibuprofène 3x/jour jusqu'au 21.12.2018 • Contrôle ETT à une semaine Ibuprofène 600 mg max 3x/j, dafalgan 1 g max 4x/j, Novalgin 500 mg max 4x/j, Bexine sirop, Triomer IRM cardiaque organisé à l'hôpital prévue le 27.02.2019 • Consilium hématologie (rapport pas encore disponible) • Consilium rhumatologie le 02.01.2019 : recherche d'étiologies infectieuses, auto-immunes • résultats et suivi en ambulatoire à 1 semaine • ETT de contrôle à 1 mois (04.02.2019), puis à 6 et 12 mois (à organiser par la suite) • Arrêt de travail et du sport Ictère Ictère cholestatique et baisse de l'état général Ictère indolore dans un contexte de suspicion de CA de la tête du pancréas. • Marqueurs tumoraux en cours. Ictère physiologique de nouveau-née Ictère précoce sur incompatibilité ABO avec hyperbilirubinémie et Coombs positif sans signes d'hémolyse Ictère prolongé avec hyperbilirubinémie à bilirubine non conjuguée DD • Ictère physiologique (circuit entéro-hépatique) • Ictère au lait maternel • Origine inconnue • Neutropénie à min 0.66 G/L • Nouveau-née à 39 0/7 SG, PN 3300 gr (P50), TN 53 cm (75-90), PCN 33 cm (10) • Entrée J29 de vie, Poids 4030g (P25-50), PC 36 cm (P25-50) Ictus amnésique le 13.01.2019 DD : état paradoxal sur prise de Temesta 1 mg sur crise d'angoisse. Idéation suicidaire. Idéation suicidaire, avec projet de pendaison le 22.01.19. Idéation suicidaire le 03.01.2018. Idéation suicidaire le 30.01.2019. Idéation suicidaire planifiée. Idéations suicidaires. Idéations suicidaires dans un contexte de probable anxiété de séparation (2011). Idéations suicidaires en lien avec relation amoureuse problématique le 10.01.2019 Idéations suicidaires et gestes auto-agressifs chez une patiente avec des traits bipolaires le 25.09.2015. • Consilium psychiatrique. • Transfert à Marsens (PAFA). • Plaie superficielle avant-bras gauche sur auto-mutilation. • Status post-tentamen médicamenteux en avril 2015. Idées négatives le 14.01.2019. Idées suicidaires actives avec projet le 06.01.2019 avec : • patiente connue pour des troubles psychiatriques (probable dépression), avec un suivi psychiatrique arrêté brutalement il y a 3-4 mois (Dr. X). Idées suicidaires avec projet clair 08.01.2019 Idées suicidaires avec scénario le 02.09.2017 sans passage à l'acte, avec une hospitalisation volontaire au RFSM. • Traumatisme crânien sur lipothymie d'origine indéterminée le 22.12.2014. • Intoxication médicamenteuse volontaire le 13.05.2014. • Tentamen le 09.04.2014. • Asthénie d'origine indéterminée le 07.05.2013 (DD : trouble bipolaire). • Plusieurs épisodes d'hyponatrémie sur polydipsie (dernier en 2009 à 129 mmol/l). • Dermatite au niveau du pouce et de la main gauche secondaire à une morsure de chat. • Pneumonie bi-basale le 28.09.2017. • Tentamen médicamenteux le 19.11.2017. Idées suicidaires avec scénario précis Idées suicidaires dans un contexte familial difficile Idées suicidaires, demande volontaire d'hospitalisation au RFSM. Idées suicidaires le 13.01.2019 : • troubles obsessionnels compulsifs connus • S/p tentative suicidaire 2003 et 2016. Idées suicidaires scénarisées. Idées suicidaires scénarisées le 13.05.2018. • Hypoglycémie à 2.9 mmol/l le 13.05.2018. IEC à partir du 19.01.2019, Métoprolol à dose très progressive dès le 21.01.2019 Spironolactone selon profil tensionnel ETT le 21.01.2019 Nouvelle coronarographie dans 2 semaines pour traitement des sténoses de la Cx et marginale Réadaptation cardio-vasculaire à l'HFR Billens en stationnaire dès que possible ETT dans 4 semaines • IEC à réintroduire. • Suivi du poids et de la volémie et réintroduction diurétique si nécessaire. • Majoration des bêtabloquants selon la fréquence cardiaque. Digoxine stoppée. • Investigations digestives à discuter si récidive des diarrhées chroniques. • IEC, bétabloqueurs, diurétiques de l'anse • Aldactone à introduire • Anticoagulation thérapeutique à discuter selon l'évolution • IgG anti rabique 20 UI/kg IM • Vaccin anti rabique IM • Surveillance aux Urgences pendant 45 minutes scope TA et FC chaque 5 minutes • IgG et sous-classes • Zinc Il bénéficie d'un status clinique ciblé. Une radiographie du poignet montre une intégrité des structures osseuses conservées. Nous demandons un avis orthopédique au Dr. X qui préconise une attelle pour une semaine avec une antalgie. Nous prescrivons également une dispense de sport de deux semaines au patient. Le patient peut rentrer à domicile en bon état général. Il doit continuer à faire du sport, garder la mobilité de son genou et essayer de perdre du poids. Prochain contrôle clinique à Meyriez en juillet 2019. Il doit effectuer du fitness médical avec augmentation de la musculature du quadriceps à l'aide de la stabilité du genou. Nous le reverrons dans 3 mois. Il doit encore porter le gilet orthopédique pour 5 semaines. Début de physiothérapie avec légers mouvements pendulaires. Prochain contrôle radio-clinique dans 5 semaines. Il doit poursuivre la physiothérapie. Arrêt progressif de la marche avec les cannes. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Il est actuellement difficile de définir si la symptomatologie est due à une nouvelle irritation du nerf ou non. Nous proposons donc la réalisation d'un EMG afin d'obtenir un diagnostic plus précis. Prochain contrôle suite à cet examen pour discuter de la suite de prise en charge. Il est clair que Mr. Y présente radiologiquement une coxarthrose ddc, à prédominance gauche, avec une péjoration en comparant les images du bassin de cette année et de 2017. Ceci affecte la mobilité des hanches qui est clairement réduite ddc, de manière plus importante à gauche. Je n'associe pas les douleurs dans la région fessière à la problématique de la coxarthrose. La douleur classique d'une coxarthrose chez un patient avec une déformation du fémur type Kamm se situe plutôt dans le pli inguinal. Le patient n'a aucune douleur à ce niveau-là. Malgré le fait que la dernière infiltration guidée par CT scan le 15.10.2018 au niveau foraminal L4-L5 gauche n'a pas apporté le même effet que l'infiltration de novembre 2017, je pense que le problème est plutôt associé à la dégénérescence lombaire. Mr. Y présente non seulement un canal lombaire rétréci, mais également des discopathies multi-étagées. C'est la raison pour laquelle j'adresse le patient à la consultation spécialisée du team spinal du PD Dr. X à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour un avis de traitement sur sa colonne lombaire. Est-ce qu'une décompression du canal ou une infiltration à un autre niveau pourrait améliorer les symptômes du patient ? Je crains que l'implantation d'une prothèse totale de hanche à gauche ne va peut-être pas stopper les douleurs de la région fessière du patient. Il est clair qu'un tel geste chirurgical pourrait par contre améliorer d'une manière efficace le degré de mobilité de la hanche. Je reverrai le patient après son passage auprès du team spinal pour discuter de la suite du traitement. Je prie le secrétariat du team spinal de convoquer le patient auprès du PD Dr. X. Il est important de continuer la stimulation à boire. Il est impossible ce jour de juger de l'état de la matrice de l'ongle en raison de la croûte. Celle-ci joue un rôle de pansement biologique et ne montre pas de signe inflammatoire ou infectieux. Nous informons le patient qu'il est important de se représenter en cas de signe inflammatoire ou infectieux. Nous le reverrons sinon dans 1 mois pour juger de la repousse de l'ongle. Lorsque le patient fera des activités manuelles, il portera un petit doigtier de protection. Pas de prochain contrôle radiologique nécessaire dans 1 mois. Il est trop tôt pour discuter de l'AMO. Je préconise un CT le 4.3.2019 avec une séquence OMAR. Si la fracture est guérie à ce moment-là, on discutera de l'AMO. Il est trop tôt pour parler d'une récidive. Par contre, la situation reste suspecte d'une récidive de cette tumeur. Je préconise donc un contrôle chez moi le 25.1.2019 pour refaire le point. J'ai déjà prévu une date pour une ré-excision pour le 28.1.2019. Il est trop tôt pour reprendre le travail, raison pour laquelle nous poursuivons l'arrêt à 100% jusqu'au 10 mars 2019. Le patient effectuera des séances de physiothérapie ainsi que d'ergothérapie de mobilisation du coude et du poignet. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Il faut continuer de porter les semelles à 3 points ddc. Nous le reverrons le 07.02.2019 avec la Dr. X, service orthopédique pour les enfants, afin de voir si une semelle suffit où s'il faut faire d'autres thérapies. Il faut malheureusement constater un lâchage de la suture qui vient d'être faite. Ces lâchages sont souvent liés à une mauvaise guérison tendineuse menant à un lâchage secondaire du montage chirurgical. Comme solution intermédiaire, je propose une infiltration de l'épaule. Dans 2ème temps, en cas de mauvaise évolution, il faut discuter d'une reprise du site opéré. Infiltration le 01.02.2019. Il me semble possible que le nerf cubital soit pris dans un amalgame cicatriciel suite à la cure du tunnel carpien qui s'est faite juste à côté. Je préconise un nouvel examen neurologique pour faire la part des choses. Je reverrai la patiente à la suite de cet examen neurologique pour discuter d'une neurolyse additionnelle du nerf cubital à la loge de Guyon. Il me semble qu'il s'agit d'un vieux fragment de Bankart qui a été fixé avec le bourrelet en 2011. Vu l'absence d'une instabilité subjective pour le patient, je ne retiens pas d'indication opératoire à ce stade. Je préconise un traitement physiothérapeutique pour renforcer la coiffe des rotateurs. Prochain contrôle chez moi le 4.3.2019. Il me semble réaliste et faisable d'enlever cette plaque. J'informe la patiente du déroulement intra et post-opératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 11.3.2019. Il n'a pas eu d'arrêt de travail. Un 2ème bon de physiothérapie est fait et donné au patient. Le patient nous recontacte en cas de nécessité Le traitement est terminé ce jour le 20.12.2018. Il portera l'attelle encore 6 semaines. Il nous recontacte en juillet 2019. Il nous recontactera Il n'y a pas de péjoration de la brûlure, pas de nouveau phlyctène et pas de rétraction cutanée. La mobilisation du poignet est libre et légèrement douloureuse au niveau de la brûlure. L'évolution étant favorable, nous continuons avec le même traitement et la patiente sera revue pour un contrôle dans 3 semaines en policlinique de chirurgie. Il n'y a pas de redressement plâtré nécessaire. Nous montrons aux parents comment faire des massages. Nous la reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. Il peut reprendre les activités sportives, également celles à côté de l'école (football). Prochain contrôle dans 5 mois. Il présente des douleurs de type neuropathiques sur le territoire du fibulaire profond et superficiel. Les infiltrations en regard du territoire du fibulaire superficiel ont permis d'améliorer sensiblement mais temporairement les symptômes. Actuellement, il semble développer la même symptomatologie sur le territoire du fibulaire profond, raison pour laquelle nous souhaiterions que le Dr. X convoque le patient afin d'effectuer une infiltration sur le territoire sensitif du fibulaire profond. Nous le reverrons suite à ce geste. Il reçoit 50 mg de Tramal avec amélioration de la symptomatologie à 4-5/10 à l'EVA. Nous retenons des céphalées d'origine indéterminée qui peuvent être induites par prise excessive d'antalgique, psychogène ou autre. Le patient rentre à domicile avec un contrôle chez son médecin traitant. Il reprendra contact. Il s'agissait d'une lésion traumatique qui méritait une prise en charge chirurgicale, le bilan post-opératoire montre un tendon guéri en bonne position. Cliniquement, j'ai plutôt l'impression de la persistance d'une inflammation sous-acromiale. Je propose au patient une infiltration sous-acromiale sous contrôle scopique et poursuite de la physiothérapie. Il s'agit clairement d'une coxarthrose qui commence à devenir symptomatique. J'explique à la patiente qu'à partir de maintenant, elle peut se décider pour une intervention en sachant que si elle retarde, il n'y a aucun inconvénient pour se faire opérer plus tard. L'unique solution orthopédique serait la mise en place d'une prothèse totale de la hanche. La patiente va nous recontacter dès qu'elle ressent la nécessité d'une intervention. Il s'agit de débuter la mobilisation passive de l'IPP et de l'IPD de D3-D4. Mobilisation passive dans 2 semaines. Prochain contrôle dans 1 mois. Arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. Il s'agit de douleurs dans le cadre d'une dysbalance musculaire chez un patient qui présente une mauvaise statique. Nous proposons donc des séances de physiothérapie spécialisées et le reverrons pour un contrôle radio-clinique dans 6 mois. Il s'agit de procéder à une plastie de reconstruction du MPFL associée à une plastie en Z du rétinaculum externe et transposition de la TTA par voie d'abord antérieure longitudinale. Le patient est informé de l'intervention, des risques et des bénéfices. Il signe le consentement éclairé. Il s'agit d'un cas que j'aimerais adresser au Dr. X pour un avis spécialisé. Celui-ci se prononcera sur la prise en charge, voire chirurgicale, voire par infiltration. Je me tiens toutefois à disposition. Je prie le Dr. X de convoquer le patient dans des délais raisonnables. Il s'agit d'un contrôle radio-clinique à plus de 3 mois de la lésion susmentionnée traitée conservativement. Le patient signale une évolution favorable sur le plan des douleurs avec néanmoins la phalange bloquée à 20° de flexum, le dérangeant dans la vie de tous les jours. D'un point de vue professionnel, il a repris le travail à 100% comme employé de commerce. Il s'agit d'un doigt à ressaut post-traumatique au niveau de l'annulaire D. Je préconise une infiltration qui est agendée au 15.02.2019. Un contrôle est prévu pour le 13.3.19 afin d'en évaluer l'efficacité. Il s'agit d'un flexum de l'IPP lié à un doigt à ressaut sous-jacent. Étant donné que le doigt à ressaut ne semble pas être le problème actuel, je préconise tout d'abord un traitement ergothérapeutique du flexum de l'IPP. Prescription d'une attelle en extension de l'IPP avec une attelle à 3 points à mettre pendant la journée. J'ai programmé un prochain contrôle chez moi le 13.3.2019 pour juger de l'évolution. J'ai informé la patiente que si elle devait ressentir des craquements à la base des doigts, elle devrait me consulter plus tôt. Il s'agit d'un hallux valgus symptomatique mais sans arthrose ni d'instabilité. Nous lui proposons une cure d'hallux valgus en mini-invasif. Elle souhaite faire cette intervention cet été. Nous la reverrons donc en juin pour organiser cette opération. Il s'agit d'un hématome post-opératoire qui mène à une tuméfaction du bras. Bandage du bras. Poursuite avec des drainages lymphatiques en physiothérapie. Contrôle chez moi à 6 semaines post-opératoires le 27.2.2019. Il s'agit d'un jeune patient de 16 ans ayant déjà présenté, il y a quelques années, une photophobie sur traumatisme crânien léger lors d'un accident de ski. Alors qu'il travaillait, il se relève et subit un choc contre le châssis du camion. Traumatisme crânien, avec obnubilation, perte de connaissance et amnésie circonstancielle. Le patient décrit également une céphalée frontale accompagnée de deux épisodes de vomissements et d'une photophobie qui persiste lors de la consultation aux urgences. L'anamnèse ne met pas en évidence de symptômes en faveur d'un trouble épileptique ou moteur. A l'examen clinique, patient collaborant, orienté dans les trois modes. Les pupilles sont isocores et isoréactives. Nerfs crâniens sans particularité. La force et la sensibilité grossière sont conservées aux quatre membres. Barré et Mingazzini tenus. Réflexes ostéo-tendineux vifs et symétriques aux quatre membres. Épreuves cérébelleuses dans la norme. Sur le plan ostéo-articulaire, la palpation du rachis est indolore. Le reste du statut est sans particularité. Le CT cérébral permet d'exclure toute lésion traumatique et/ou hémorragie intra-parenchymateuse. Le patient est hospitalisé dans le service de chirurgie pour surveillance neurologique. En cours de séjour, la photophobie diminue progressivement, puis le patient présente un épisode de céphalée avec péjoration de la photophobie le 08.01.2019 après la prise alimentaire, disparaissant en quelques minutes. L'évolution étant favorable, Mr. Y peut retourner à domicile le 08.01.2019, muni d'un formulaire de surveillance neurologique. Il s'agit d'un kyste, très probablement téno-synovial, du tendon du FCR. Je propose d'abord une IRM native le 6.2.2019 pour faire le point. Je reverrai la patiente suite à cet examen le 18.2.2019 pour discuter les options thérapeutiques. Il s'agit d'un patient âgé de 36 ans qui est amené en ambulance aux urgences suite à un accident sur son lieu de travail où il s'est coupé le majeur et l'index G avec une scie circulaire le 28.08.2018. Le bilan radio-clinique a mis en évidence le diagnostic susmentionné. Une indication de prise en charge chirurgicale est posée. L'intervention se déroule le 28.08.2018, sans complications. En raison de fortes douleurs en post-opératoires, nous hospitalisons le patient et débutons un traitement par opiacé. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. Les plaies sont calmes durant le séjour. Retour à domicile le 30.08.2018. Il s'agit d'un patient ayant eu une pose de MitraClip, le 03.12 par abord fémoral droit. Il se présente en raison d'un saignement important du point de ponction. Un bilan radiologique est effectué par Angio-CT et artériographie à la recherche de la source de saignement. En raison d'une origine peu claire, nous effectuons une exploration chirurgicale excluant une fistule artério-cutanée et mettant en évidence une petite branche artérielle allant en direction de la peau sur laquelle des clips sont posés. En post-opératoire, Mr. Y développe une déhiscence de plaie. Dans ce contexte, une antibiothérapie par Co-Amoxicilline intraveineuse est débutée le 28.12.2018 et Mr. Y est repris au bloc opératoire pour pose de VAC le 28.12.2018 à instillation avec changement itératif 2x/semaine. En cours d'hospitalisation, les frottis mettent en évidence du S. épidermidis. Au vu de l'absence de signe inflammatoire localement, la plaie est fermée le 15.01.2019 et les antibiotiques sont arrêtés. Sur le plan néphrologique, Mr. Y présente une insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine pré-rénale. Après hydratation intraveineuse, l'évolution est favorable.Sur le plan général, Mr. Y présente une dénutrition protéino-calorique, raison pour laquelle des compléments alimentaires sont prescrits. L'évolution est par la suite favorable et Mr. Y rentre à domicile le 17.01.2019. Il sera revu à la consultation du Dr. X, le 22.01.2019 pour le suivi de plaie. Il s'agit d'un patient de 21 ans en bonne santé habituelle qui, lors d'une soirée alcoolisée, reçoit une pièce métallique d'environ 40 kg sur le vertex du crâne. Suite au choc, le patient se retrouve assis, sans perte de connaissance. Présentant un saignement important au niveau d'une plaie du crâne, Mr. Y se présente aux urgences. Le status neurologique réalisé aux urgences montre des nerfs crâniens dans la norme, sans signe de latéralisation. La force et la sensibilité sont conservées aux quatre membres. Romberg tenu. Pupilles isocores et isoréactives. D'un point de vue cutané, une plaie longitudinale pariétale centrée sur la ligne d'environ 2 cm de longueur, superficielle, à bords nets, propre, est mise en évidence. Elle sera suturée par trois points d'Ethilon 4/0 sous anesthésie locale. Au vu de la cinétique du choc et du contexte d'éthylisation, le patient est hospitalisé dans le service de chirurgie pour surveillance neurologique rapprochée. Les divers contrôles neurologiques réalisés en cours d'hospitalisation sont tout à fait rassurants. Le status neurologique du 18.01.2019 est tout à fait dans la norme. Nous profitons de l'hospitalisation pour vérifier le statut antitétanique du patient qui est à jour. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y peut retourner à domicile le 18.01.2019. Il s'agit d'un patient de 22 ans, agriculteur, connu pour un status post-fracture ouverte du tiers distal de la jambe droite en juin 2018 traitée par ostéosynthèse par plaque DCP 3.5 du tibia distal, ainsi que par fixateur externe qui a été retiré le 20.07.2018 par le Dr. X. Dans les suites, les contrôles radiologiques mettent en évidence une pseudarthrose du tiers distal du tibia droit pour laquelle une réintervention s'avère nécessaire. L'ablation de la plaque DCP 3.5 et la cure de pseudarthrose avec ostéosynthèse par plaque de reconstruction du tibia distal droit 3.5 a lieu le 11.01.2019 et se déroule sans complication. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et le contrôle biologique montre une hémoglobine dans la norme à 132 g/l. Lors de la réfection régulière des pansements, la cicatrice est calme et propre. Le drain de Redon a été retiré à J2 après avoir rendu 250 cc de liquide hémorragique. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour a été instaurée et sera poursuivie jusqu'au 23.02.2019. Le patient bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche en charge de 5 à 15 kg pendant 6 semaines, puis de 15 à 30 kg de la 6ème à la 12ème semaine. Les douleurs sont bien contrôlées par une antalgie simple et, le 15.01.2018, Mr. Y peut rentrer à domicile, se déplaçant de manière autonome. Il s'agit d'un patient de 23 ans, en bonne santé habituelle, qui présente un état fébrile avec une toux grasse depuis 7 jours, en péjoration depuis le 02.01.2019 avec association d'une dyspnée. Mr. Y vous consulte et, au vu de la suspicion d'une pneumonie, vous débutez un traitement de Co-Amoxicilline. Le 03.01.2019, en raison d'une dyspnée plus importante et d'un état fébrile nouveau à 39°C, il consulte les urgences. A noter que le patient est connu pour un asthme à l'effort dans l'enfance, actuellement non traité. A l'examen clinique d'entrée, le patient est normotendu à 107/74 mmHg, tachycarde à 126 bpm et tachypnéique à 23/min, avec une saturation à 83% à l'air ambiant. Pas d'essoufflement à la parole, pas de tirage. A l'auscultation pulmonaire, râles crépitants à la base gauche. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 6.6 G/l et une CRP à 122 mg/l. La radiographie du thorax parle en faveur d'un foyer basal gauche. Le patient est hospitalisé en lit d'observation et mis au bénéfice de Rocéphine et de Klacid. Une gazométrie montre un pH à 7.42 avec une hypoxémie à 10.1 kPa et une saturation à l'air ambiant à 95%. Les hémocultures et les antigènes urinaires reviennent négatifs et la culture d'expectoration montre un Rothia mucilaginosa, germe habituel de la cavité buccale et des voies respiratoires supérieures. En cours de séjour, nous observons une nette amélioration de la symptomatologie. Le patient demeure apyrétique et hémodynamiquement stable. La gazométrie de contrôle du 04.01.2019 est superposable à celle de l'entrée. Un relais par de la Co-Amoxicilline per os est effectué le 06.01.2019 suite à un dernier laboratoire de contrôle favorable montrant des leucocytes dans la norme et une CRP à la baisse à 96 mg/l. Concernant l'hyponatrémie et l'hypokaliémie, nous constatons une correction spontanée de ces valeurs au laboratoire de contrôle. Mr. Y regagne son domicile le 07.01.2019. Il s'agit d'un patient de 24 ans, en bonne santé habituelle, connu pour un status après entorse sévère du ligament latéral externe de la cheville gauche. Il présente une instabilité chronique de cette cheville, pour laquelle le Dr. X retient l'indication opératoire. L'intervention se déroule sans complication le 07.01.2019 et les suites opératoires sont simples. Les douleurs sont contrôlées par l'antalgie standard et la plaie opératoire est calme et sèche. Dès le premier jour post-opératoire, Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche, en charge maximale de 5 kg sur le membre inférieur gauche, sous protection de cannes anglaises, le membre inférieur étant immobilisé dans une botte synthétique pour une durée de 6 semaines. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée pour une durée de 6 semaines post-opératoires. L'évolution étant favorable, Mr. Y peut retourner à domicile le 08.01.2019. Il s'agit d'un patient de 32 ans admis dans le service de chirurgie le 09.01.2019 pour prise en charge chirurgicale d'une tumeur papillaire millimétrique de la vessie. Le 09.01.2019, le Dr. X effectue une résection transurétrale de la vessie, intervention qui se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples, le patient bénéficie d'une antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour jusqu'au 11.01.2019 inclus. La sonde vésicale peut être retirée le 11.01.2019, avec bonne reprise des mictions. Le patient n'est pas algique et la reprise de l'alimentation est bien tolérée. Il peut regagner son domicile le 11.01.2019 après la réalisation d'un uro-CT natif et injecté qui montre une irrégularité de la paroi postérieure de la vessie, à mettre en relation avec l'intervention récente, mais pas de tumeur pyélo-urétérale mise en évidence. Petits calculs connus, non obstructifs, dans le groupe caliciel inférieur du rein droit. Il s'agit d'un patient de 34 ans en bonne santé habituelle qui présente, le 20.01.2019 au soir, des douleurs abdominales au niveau de l'hypochondre droit et de l'épigastre, évaluées à 9/10, irradiant dans le dos, sans état fébrile, ni frisson, mais accompagnées de nausées, sans vomissements. Le reste de l'anamnèse est sans particularité hormis la présence, le 15.01.2019, des douleurs similaires ayant motivé la réalisation d'un ultrason abdominal le lendemain. Ce dernier met alors en évidence une vésicule biliaire lithiasique, sans signe de cholécystite aiguë. A l'examen clinique d'entrée, les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en intensité, l'abdomen est ballonné, très douloureux lors de la palpation de l'hypochondre droit, avec défense. Signe de Murphy négatif. Loges rénales souples et indolores. Le reste du status est sans particularité.Le bilan biologique effectué aux urgences ne met pas de syndrome inflammatoire en évidence. Les tests hépato-pancréatiques sont dans la norme hormis une légère perturbation de la bilirubine totale. Une radiographie du thorax ne met pas en évidence de pneumopéritoine. L'ultrason abdominal révèle une vésicule biliaire à parois modérément épaissies, contenant du sludge, sans calcul nettement discernable à l'intérieur, pouvant correspondre à une cholécystite aiguë débutante. Hépatosplénomégalie, mais pas de dilatation des voies biliaires objectivée. Le bilan est complété par un CT qui confirme la présence d'une cholécystite aiguë avec zones de nécrose diffuse et sludge vésiculaire. Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie, une antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine 2 g/jour et Flagyl 3 x 500 mg/jour est débutée. Le Dr. X réalise une cholécystectomie laparoscopique le 21.01.2019, intervention qui se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples sous une antalgie efficace. La reprise de l'alimentation est bien tolérée et, face à l'évolution clinique favorable, Mr. Y peut retourner à domicile le 23.01.2019. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée et sera à poursuivre jusqu'au 27.01.2019 inclus. A l'entrée, une légère hypokaliémie à 2,9 mmol/l motive l'administration de 40 ml/l de KCL, permettant une normalisation de la valeur. Il s'agit d'un patient de 40 ans, en bonne santé habituelle, que vous nous adressez avec la suspicion d'une appendicite aiguë. Aux urgences, le patient se plaint de douleurs en fosse iliaque droite accompagnées de diarrhées et de vomissements. État fébrile à 38°. Au status, l'abdomen est tendu, douloureux en fosse iliaque droite, avec défense. Bruits abdominaux normaux en fréquence et en tonalité. Tympanisme à la percussion. Signes de McBurney et Rovsing positifs, Murphy négatif. Pas de masse pulsatile, pas d'organomégalie palpable. Le bilan sanguin effectué par vos soins montre un syndrome inflammatoire avec CRP à 115 mg/l et une leucocytose à 14.7 G/l. Le CT abdominal confirme une appendicite aiguë avec un appendice de 16 mm de diamètre, avec stercolithe, infiltration de la graisse péri-appendiculaire et lame liquidienne de faible abondance. Pas d'image d'abcès, ni de complication à distance. Mr. Y est pris au bloc opératoire où le Dr. X réalise une appendicectomie laparoscopique le 04.01.2019. Les suites opératoires sont favorables, avec une bonne gestion de l'antalgie et l'absence de complication. Une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv/jour et Flagyl 3 x 500 mg iv/jour est instaurée, avec relais per-os à la sortie à raison de Co-Amoxicilline 3 x 1 g/jour à poursuivre jusqu'au 13.01.2019 inclus. Le contrôle biologique est satisfaisant avec une CRP à la baisse (35 mg/l) et absence de leucocytose. Le drain Jackson peut être retiré et Mr. Y peut retourner à domicile le 08.01.2019. En cas d'apparition de complication comme état fébrile ou écoulement purulent, le patient se représentera aux urgences. Il s'agit d'un patient de 43 ans, en bonne santé habituelle, de retour de voyage au Myanmar le 02.01.2019 où il a passé 3 semaines en compagnie de son épouse et où il s'est fait mordre par un chien errant le 24.12.2018. Sur place il a bénéficié de l'administration d'IgG anti-rage, de deux rappels antirabiques et d'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline durant 5 jours. Le 06.01.2019, Mr. Y consulte les urgences en raison de l'apparition le jour même de douleurs abdominales diffuses accompagnées de diarrhées et de vomissements, sans extériorisation de sang, avec état fébrile. Il décrit de même des myalgies et des arthralgies diffuses avec céphalées. Status vaccinal à jour, hormis pour la fièvre jaune et la typhoïde. Deux piqûres de moustique, sans prophylaxie pour la malaria. A l'examen clinique d'entrée, patient subfébrile. Les bruits abdominaux sont augmentés en tonalité, légère distension abdominale. Le reste du status est non contributif. Le bilan biologique montre un discret syndrome inflammatoire, sans leucocytose. L'examen urinaire est dans la norme. Une coproculture est effectuée. Au vu du récent retour de voyage ainsi que de la morsure de chien, le patient est hospitalisé en médecine interne pour surveillance clinique. Un isolement de contact est réalisé. L'évolution clinique et biologique est favorable, avec absence de récidive de symptômes gastro-entérologiques. La culture de selle revient négative pour Shigella, Salmonella, E. coli et Clostridium. La recherche de Protozoaires et d'Helminthes revient aussi négative. Le patient désirant retourner à domicile, il quitte notre service le 07.01.2018. Un contrôle clinique à votre consultation est prévu le jour même. Une origine virale semble très probable, d'autant plus que l'épouse développe ce jour des symptômes similaires. Nous vous laissons le soin de poursuivre la prise en charge de la morsure de chien. Il s'agit d'un patient de 54 ans, en bonne santé habituelle, qui consulte aux urgences pour des douleurs initialement à bas bruit au niveau péri-ombilical, puis qui s'intensifient subitement durant l'après-midi avec irradiation dans le dos. Les douleurs cèdent spontanément mais réapparaissent quelques heures plus tard, irradiant au niveau inguinal gauche et au flanc gauche. Pas d'autre plainte. L'examen clinique aux urgences est normal hormis une sensibilité à la palpation de la fosse iliaque gauche, sans défense, ni détente. Le sédiment urinaire met en évidence une microhématurie, motivant la réalisation d'un uro-CT. Celui-ci met en évidence un calcul radio-opaque à la jonction urétéro-vésicale gauche, associé à une discrète dilatation du système excréteur. Au vu de l'importance des douleurs présentées par le patient malgré l'antalgie, il est hospitalisé dans le service de chirurgie pour traitement antalgique efficace. Au cours de l'hospitalisation, Mr. Y présente encore quelques poussées de douleurs, calmées par une antalgie à base de morphine. Au matin du 19.01.2019, les douleurs cèdent spontanément et un calcul rénal est récupéré dans le filtre. Face à la bonne évolution clinique, Mr. Y peut retourner à domicile le 19.01.2019. Il s'agit d'un patient de 56 ans, tabagique à 50 UPA, qui est suivi par le Dr. X pour une tumeur vésicale. Une résection transurétrale de la vessie est organisée de manière élective le 16.01.2019. L'intervention et ses suites se déroulent sans complication. Au cours de l'hospitalisation, le patient bénéficie d'une antibioprophylaxie par Cefuroxime 500 mg/jour du 16 au 19.01.2019, ainsi que d'une thromboprophylaxie par Clexane 20 mg sc/jour du 17 au 19.01.2019. Les urines revenant claires, la sonde vésicale peut être enlevée et le 19.01.2019, vu la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile. Il s'agit d'un patient de 58 ans, connu pour des antécédents de multiples coliques néphrétiques, qui se présente spontanément aux urgences le 27.01.2019 en raison de douleurs au flanc droit évaluées à 10/10, de type coup de couteau, irradiant dans les organes génitaux externes, ayant débuté la veille au soir. A l'anamnèse, le patient dit reconnaître les douleurs classiques de ses épisodes de coliques néphrétiques habituels et il espérait hier soir un passage spontané du calcul. Il décrit également une macrohématurie. Pas de notion de fièvre ni de frissons, mais nausées et quatre épisodes de vomissements alimentaires. Les coliques néphrétiques du patient ont déjà été investiguées par de multiples néphrologues mais aucune proposition thérapeutique spécifique, hormis une bonne hydratation, n'a été retenue.A l'examen clinique d'entrée, patient algique, hémodynamiquement stable, bien hydraté. Les bruits intestinaux sont de tonalité normale et de fréquence augmentée. Palpation douloureuse en flanc droit avec défense. La loge rénale droite est discrètement sensible, la loge rénale gauche est raide et extrêmement douloureuse. Sur avis du Dr. X, urologue de garde, le patient est hospitalisé en chirurgie pour prise en charge chirurgicale le jour même et il bénéficie d'une urétéroscopie avec lithotripsie pour extraction de 3 urétéro-lithiases au niveau de l'uretère droit. Les suites postopératoires immédiates sont rassurantes. La sonde vésicale posée est retirée le soir même. En cours de séjour, nous observons une évolution clinique favorable, avec bonne reprise des mictions chez un patient non algique sous antalgie simple par voie orale. Mr. Y regagne son domicile le 28.01.2019, avec une antalgie en réserve et un traitement de Pradif 0,4 mcg pour une durée de 4 semaines. Il sera revu à la consultation du Dr. X le 18.02.2019 pour contrôle et discuter de la nécessité d'une consultation néphrologique pour prise en charge de ses épisodes de coliques néphrétiques à répétition. Il s'agit d'un patient de 58 ans, pensionnaire de Clos-Fleuri, qui se plaint depuis Noël 2018 de douleurs dans la région inguinale droite motivant une consultation auprès du Dr. X. Ce dernier met en évidence, le 09.01.2019, une grosse hernie inguino-scrotale gauche réductible, ainsi qu'une hernie inguinale droite de bonne taille, également réductible. L'indication opératoire est retenue. Mr. Y est hospitalisé le 22.01.2019 en vue d'une cure de hernie inguinale bilatérale selon Lichtenstein avec pose d'un filet Progrip de chaque côté. L'évolution postopératoire est simple, avec bon contrôle de l'antalgie. La réfection du pansement montre des plaies calmes et propres. Mr. Y peut retourner à domicile le 24.01.2019. Il s'agit d'un patient de 59 ans qui a présenté le 12.01.2019 vers 05h00, probablement après avoir été aux toilettes, une chute avec perte de connaissance. L'épouse a été réveillée par un cri et elle retrouve son mari en phase clonique. Il y a une morsure de langue, sans perte d'urine. A l'arrivée aux urgences le patient ne présente pas de plainte spontanée hormis la veille des céphalées holo-crâniennes d'intensité moyenne ainsi qu'une gêne épigastrique et un épisode unique de diarrhées. Il n'y a pas de notion de traumatisme crânien récent ou de consommation d'alcool à risque. Peu après son admission aux urgences il présente une crise d'épilepsie généralisée traitée par Rivotril iv. Selon l'hétéro-anamnèse auprès de son épouse, le patient vit actuellement une période stressante avec la remise de sa ferme. Son mari aurait rapporté depuis quelques jours des fourmillements dans les deux mains avec des douleurs de type débattue. Les fourmillements entraînaient un phénomène de bras sans repos qui l'aurait empêché de dormir normalement ces derniers jours. L'examen neurologique à l'admission est dans les limites de la norme, notamment sans signes méningés ou latéralisation. Le laboratoire est sans anomalie significative hormis des lactates à la gazométrie. L'ECG de repos s'inscrit en rythme sinusal normocarde, avec un tracé sans particularité. L'évolution est caractérisée par la survenue d'au moins deux épisodes objectivés le 13.01.2019 d'absence avec fixité du regard et perte de contact, sans mouvements anormaux hormis une fermeture des deux mains durant environ une minute et de résolution spontanée. Cette évolution est suspecte d'un état de mal partiel. Après discussion avec le Dr. X et le Dr. X, le patient est transféré aux soins intensifs de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour une surveillance rapprochée et une adaptation du traitement anti-épileptique. Le patient ainsi que son épouse ont été informés de l'évolution neurologique et de la nécessité d'une prise en charge intensive. Ils sont également au courant de l'IRM cérébrale à prévoir. Les images du CT cérébral ont été vues le 13.01.2019 par le Dr. X qui suspecte en premier lieu un cavernome avec un petit accident hémorragique, avec comme diagnostic différentiel notamment une métastase cérébrale. Il ne propose pas d'investigation ou de prise en charge neurochirurgicale en urgence et propose d'attendre le résultat de l'IRM cérébrale. Il faudra contacter le médecin de famille pour avoir des précisions quant aux antécédents médicaux du patient. Il s'agit d'un patient de 61 ans qui se présente le 18.12.2018 en raison d'une baisse de l'état général accompagnée d'une toux sèche depuis 4 jours et de 5 épisodes de selles liquides depuis 2 jours. A noter que le patient a consulté notre service des urgences le 15.12.2018 et nous avions conclu à une infection des voies respiratoires virale. Le patient se rend vous consulte le 17.12.2018 en raison d'une péjoration de son état. Vous demandez un CT abdominal dans le contexte de ses selles liquides et d'une maladie diverticulaire connue. Cet examen revient sans particularité. Vous initiez un traitement de Co-Amoxicilline 1 g - 2 x/jour le 17.12.2018. A l'anamnèse par systèmes, nous notons également une perte d'appétit depuis 5 jours. A l'examen clinique, patient normocarde à 86 bpm, normotendu à 119/79 mmHg, avec une saturation à 85% à l'air ambiant, qui remonte rapidement spontanément, afébrile à 36°. Au status ORL, on note un léger érythème diffus du voile du palais sans tuméfaction. A l'auscultation pulmonaire, patient eupnéique, on note des murmures respiratoires symétriques sans râles audibles. L'auscultation cardiaque est normale. Au statut abdominal, les bruits sont normaux, la palpation est sensible au niveau du flanc droit, sans défense ni détente. Le Murphy et le McBurney sont négatifs. Pas d'hernie palpable. Foie non palpable. Au toucher rectal, il n'y a pas d'induration, pas de sang. Les loges rénales sont souples et indolores. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 221 mg/l, sans leucocytose. On note une insuffisance rénale avec une créatinine à 163 umol/l et une urée à 16 mmol/l. On objective des troubles électrolytiques légers avec une hyponatrémie à 132 mmol/l et une hypokaliémie à 3.4 mmol/l. On constate une perturbation des tests hépatiques avec une phosphatase alcaline à 262 U/l et une GGT à 168 U/l. Les valeurs de bilirubine sont normales. On pense que cette perturbation intervient dans le contexte infectieux. On réalise une radiographie du thorax qui montre un foyer au niveau du lobe supérieur droit. On retient donc le diagnostic de pneumonie. On met en place une antibiothérapie par Rocéphine - 2 g/jour et Klacid - 1000 mg/jour. Les antigènes urinaires reviennent négatifs. Cependant, nous décidons de maintenir le traitement de Klacid en raison d'un tableau clinique compatible avec une légionellose. Nous recherchons à nouveau les antigènes urinaires qui reviennent négatifs une seconde fois. A l'étage, l'évolution est favorable et le traitement avec Rocéphine a été arrêté le 23.12.2018 pour passer au Tavanic per os jusqu'au 27.12.2018, toujours en lien avec une pneumonie à germe résistant à la pénicilline. Dans le contexte de l'insuffisance rénale, on débute une hydratation iv par du NaCl 0.9% à 2000 ml/24h en raison de la persistance de l'insuffisance rénale. On réalise une culture de selles qui revient négative. Les hémocultures reviennent négatives. Mr. Y regagne son domicile le 24.12.2018. Il s'agit d'un patient de 63 ans connu pour une hémiplégie droite suite à un accident de la voie publique en 1978. Le 20.01.2019 au soir, en rentrant d'une soirée au cours de laquelle il aurait bu quelques verres, le patient chute en sortant du taxi qui le ramène chez lui. Réception sur la face, sans perte de connaissance. Mr. Y présente un saignement important au niveau de l'arcade sourcilière gauche, raison pour laquelle les secours sont appelés et le patient est amené aux urgences par ambulance.L'anamnèse ne retrouve pas de notion de perte de connaissance, ni d'amnésie circonstancielle. Pas de facteur de risque pour un saignement intra-crânien, notamment pas d'anticoagulation, pas d'Aspirine. Au status neurologique, nerfs crâniens dans la norme, hormis l'accessoire à droite sur hémiplégie droite connue. Sensibilité conservée aux quatre membres, motricité conservée à gauche. Spasticité à droite. Pas de signe de latéralisation. Status cardio-vasculaire normal, B1-B2 bien frappés, sans souffle, pas de signe d'insuffisance cardiaque, rythme régulier à l'auscultation. Sur le plan ostéo-articulaire, pas de douleur au niveau du rachis cervico-thoraco-lombaire. Mobilité conservée. Douleurs à la palpation des côtes antérieures droites 5, 6 et 7, sans fausse mobilité, pas de volet costal, douleurs reproduites à la palpation et à l'inspiration profonde. Le bilan biologique met en évidence une alcoolémie à 1,91 pour mille et le patient est hospitalisé dans le service de chirurgie pour surveillance neurologique et hydratation. Le status neurologique effectué le lendemain matin est similaire à celui de la veille et, en l'absence de toute symptomatologie et au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y peut retourner à domicile le 21.01.2019, muni d'un formulaire de surveillance neurologique. La plaie sourcilière gauche a été désinfectée. Il s'agit d'un patient de 64 ans, connu pour un diabète insulino-résistant et un adénocarcinome colorectal ayant nécessité une hémicolectomie par le Dr. X en 2016, actuellement en rémission. Mr. Y se présente aux urgences le 01.01.2019 en raison de douleurs abdominales diffuses évaluées EVA à 7/10, crampiformes, accompagnées d'une constipation depuis deux jours, avec arrêt des gaz, sans notion de vomissements, ni d'état fébrile. À noter une tendance aux diarrhées liquides à raison de 5 à 6 épisodes par jour. Par ailleurs, le patient dit avoir des glycémies plus élevées depuis Noël, ayant nécessité l'introduction d'Insuline depuis 10 jours (Mr. Y contrôle ses glycémies deux fois par jour et adapte sa dose en fonction). Vous lui avez proposé d'augmenter de deux unités tous les jours, jusqu'à une glycémie entre 6 et 8. À l'examen clinique, l'abdomen est souple et dépressible. Sensibilité abdominale diffuse, sans défense, ni détente. Les bruits abdominaux sont très diminués en fréquence et en tonalité. Signes de Murphy et de Rovsing. Au toucher rectal, l'ampoule rectale est vide, indolore. Pas de sang au doigtier. Le bilan biologique met en évidence une légère hypokaliémie à 3,4 mmol/l, une CRP à 347 mg/l, des leucocytes dans la norme, une anémie normochrome normocytaire stable et une thrombopénie en péjoration. Un CT abdominal met en évidence une duodénite segmentaire au niveau du segment D3, sans collection intra-abdominale, sans occlusion intestinale. Nous observons également une adénopathie entre le duodénum et la tête du pancréas, connue, en diminution. Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie où il bénéficie d'une antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine et Flagyl jusqu'au 08.01.2019. Le patient est mis à jeun, sous nutrition parentérale par Periolimel du 03 au 08.01.2019, avec reprise d'une alimentation légère ce jour. L'évolution est favorable, le patient est peu algique et le contrôle biologique du 08.01.2019 met en évidence une nette diminution du syndrome inflammatoire avec une CRP à 29 mg/l. Face à cette évolution clinico-biologique satisfaisante, Mr. Y peut retourner à domicile le 08.01.2019, avec reprise de son traitement habituel et instauration de Pantozol 40 mg/jour pour une durée d'un mois. Il s'agit d'un patient de 66 ans connu pour un adénocarcinome de l'oesophage avec métastase cérébelleuse, ainsi que pour un carcinome épidermoïde pulmonaire, qui revient dans notre service de soins palliatifs après y avoir fait un séjour de quelques semaines en novembre-décembre 2018 pour de l'ascite en augmentation avec dyspnée, anorexie ainsi qu'une dysphagie aux liquides. Pour rappel, le patient avait subi le 10.09.2018 une exérèse totale de la métastase cérébelleuse. Il avait développé durant l'hospitalisation un état confusionnel persistant, pour lequel des investigations n'avaient pas pu montrer de cause réversible. Selon la femme du patient, l'état confusionnel a persisté depuis, jusqu'à ce jour. À l'entrée, nous trouvons un patient confus, désorienté dans le temps et l'espace. Il présente des confabulations ainsi qu'une dysarthrie, des troubles de la déglutition ainsi que des troubles de l'attention et de la mémoire. Il ne se plaint d'aucune douleur ni nausée. Il n'a pas de troubles du transit. Il présente une fatigue importante. La femme du patient évoque aussi une perte d'appétit et une dyspnée en exacerbation. Le 14.01.2019, le patient tire sur sa sonde urinaire à demeure et une hémorragie urétrale s'ensuit, rapidement résorbée mais à l'origine d'une probable bactériémie. Une sonde de rinçage à 3 voies est posée. Le patient est retrouvé dans un état fébrile, frissonnant, avec des marbrures au niveau des jambes. En accord avec la femme du patient, il est décidé de ne procéder qu'à des soins de confort et donc de ne pas mettre en œuvre d'antibiothérapie. Le 19.01.2019, le patient décède des suites de ses complications, sans inconfort ni douleur, apaisé et entouré de sa famille. Il s'agit d'un patient de 66 ans, connu pour une BPCO de stade IV avec oxygénothérapie 2L à domicile, qui présente depuis 2 jours une dyspnée en péjoration avec peine à expectorer mais avec une augmentation des expectorations sans changement de couleur. Toux stable. Pas de plainte abdominale ou urinaire. Pas de trouble du transit. Pas de douleur rétrosternale. Pas d'état fébrile, pas de nausée ni de vomissement. Pas de notion de contage. À l'examen clinique d'entrée, en état général conservé, non cyanosé, bien hydraté, bien perfusé, dyspnéique, avec une saturation à 93%, une fréquence respiratoire à 17/min, afébrile à 36,7°. Glasgow 15/15, pupilles normales. Pouls 95/min, TA humérale droite 127/81 mmHg. Index de choc négatif. B1-B2 réguliers mais lointains, pas de souffle audible, pas d'œdème aux membres inférieurs. Hypoventilation globale avec sibilances expiratoires sur toutes les plages et crépitants en base droite. Au status abdominal, bruits abdominaux normaux en fréquence et en tonalité, abdomen souple et indolore, pas de défense ni de détente. La radiographie du thorax montre une condensation en base droite nouvelle. Il n'y a pas de signe de surcharge. Le bilan biologique montre une CRP à 19 mg/l, sans leucocytose. On retrouve également une créatinine à 116 mmol/l, connue. L'ECG montre un rythme sinusal régulier, normocarde. Nous retenons le diagnostic de décompensation de BPCO sur pneumonie basale droite. Une antibiothérapie par Co-Amoxi 2,2 g est débutée. La gazométrie montre un pH à 7,35, une pCO2 à 7,3 kPa, une pO2 à 7,7 kPa. Pour cette raison, nous effectuons une séance de BPAP avec initialement une bonne évolution. La gazométrie de contrôle post-VNI montre un pH à 7,35, une pCO2 à 7,3 kPa et une pO2 à 6,3 kPa. Le patient bénéficie également d'aérosols d'Atrovent 250 mcg et de Prednisone 40 mg. Au vu de l'absence d'amélioration clinique malgré le traitement instauré, nous prenons contact avec nos confrères des soins intensifs et Mr. Y, d'accord avec notre prise en charge, est transféré le jour-même aux soins intensifs de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal.Il s'agit d'un patient de 66 ans, très actif, qui présente une coxarthrose bilatérale, nettement plus symptomatique à gauche, avec limitation du périmètre de marche et réveils nocturnes fréquents s'il se met sur le côté gauche. Après bilan radio-clinique, le Dr X retient l'indication à une arthroplastie totale de la hanche gauche. L'intervention et ses suites se déroulent sans complication, avec un retour à la marche dès le premier jour post-opératoire, en charge selon douleurs, sous protection de cannes anglaises et de la supervision des physiothérapeutes. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et les douleurs sont très bien gérées par l'antalgie standard. L'hémoglobine post-opératoire est mesurée à 129 g/l chez un patient asymptomatique. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Une prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg/jour est instaurée et sera poursuivie durant 6 semaines post-opératoires. Devant la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 18.01.2019, autonome et se déplaçant de manière sécuritaire. Il s'agit d'un patient de 69 ans, aux antécédents et co-morbidités suscités, sous Aspirine Cardio et Clexane, ayant été opéré d'une résection transurétrale secondaire de la vessie le 17.01.2019 pour un carcinome urothélial papillaire de haut grade pT1 G3. L'évolution initiale est favorable et le patient retourne à domicile le 18.01.2019 avec une sonde vésicale en place. Mr. Y se présente aux urgences le 21.01.2019 en raison d'une macrohématurie dans la poche, de couleur rouge-bordeaux. Le patient décrit également une légère douleur intermittente, sans notion d'état fébrile ou de frissons. Au statut, patient en bon état général, hémodynamiquement stable, afébrile. L'abdomen est souple, sans défense, ni détente, les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Organes génitaux externes calmes. Loges rénales souples et indolores. Un rinçage de la sonde est effectué aux urgences, libérant plusieurs caillots de sang et soulageant le patient. Au vu de la persistance de la macrohématurie, Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie pour suite de la prise en charge. L'antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g per-os/jour instaurée lors du précédent séjour est poursuivie. Le contrôle biologique montre une chute de l'hémoglobine, celle-ci passant de 113 g/l le 21.01.2019 à 97 g/l le 22.01.2019. Un ultrason vésical est effectué, mettant en évidence un volumineux hématome intravésical, encaillotant le ballonnet de la sonde vésicale avec également début de globe vésical. Dès lors, le 22.01.2019, le patient est repris au bloc opératoire où le Dr X procède à une ablation du caillot vésical. L'évolution post-opératoire est favorable, les urines s'éclaircissent progressivement et le patient étant asymptomatique, il peut retourner à domicile le 24.01.2019. L'antibiothérapie sera poursuivie, comme prévu, jusqu'au 07.02.2019. Il s'agit d'un patient de 69 ans, connu pour un carcinome urothélial papillaire de haut grade pT1 G3, qui a bénéficié le 19.12.2018 d'une résection transuréthrale de la vessie par le Dr X. Mr. Y est admis sur un mode électif le 16.01.2019 en vue d'une résection transurétrale secondaire de la vessie au vu du stade élevé de la néoplasie. L'intervention se déroule sans complication et les suites post-opératoires sont simples. Une antibioprophylaxie par Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour est administrée du 16.01.2019 jusqu'au 24.01.2019, date de l'ablation de la sonde vésicale. Par ailleurs, une anticoagulation par Clexane 2 x 60 mg sc/jour est instaurée et sera maintenue jusqu'au 24.01.2019 date du contrôle à la consultation du Dr X. L'Aspirine Cardio est reprise dès le 17.01.2019. À noter que Mr. Y présente des urines légèrement rosées le 18.01.2019 pour lesquelles aucun traitement n'est prescrit. Mr. Y peut retourner à domicile le 18.01.2019. Il s'agit d'un patient de 69 ans, connu pour une maladie de Parkinson depuis 1992, akinéto-rigide et trémulante à prédominance droite. En mars 2018, une PEG est posée pour troubles sévères de la déglutition. Mr. Y est également connu pour une prostato-épididymite récidivante suivie par le Dr X. Le 04.01.2019, le patient est amené aux urgences par ambulance en raison d'une hématurie macroscopique objectivée par son épouse, accompagnée d'une douleur abdominale basse. À l'examen clinique, l'abdomen est souple, légèrement sensible dans la région sus-pubienne, sans défense, ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Organes génitaux sans particularité. Au toucher rectal, tonus sphinctérien dans la norme, pas de masse palpable, prostate indolore à la palpation. Le bilan biologique montre une bonne fonction rénale, pas de trouble ionique. Présence d'un syndrome inflammatoire avec CRP à 15 mg/l et leucocytose à 15,6 G/l. Au sédiment urinaire, leucocyturie, avec micro-hématurie et pyurie. L'ECG montre un BAV du 1er degré sans autre anomalie. Durant la surveillance aux urgences, le patient présente un état fébrile à 38,7°. Nous retenons le diagnostic d'une prostatite compliquée et un avis est demandé à l'urologue de garde, Dr X, qui propose une antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline et Gentamycine. Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie et, au cours du séjour, l'état général se péjore durant le week-end du 05 au 06.01.2019 avec progression importante du syndrome inflammatoire. L'urocult revient positif le 06.01.2019 pour un E. Coli résistant à la Co-Amoxicilline et à la Gentamycine, raison pour laquelle l'antibiothérapie est changée pour de l'Invanz. Dès la mise en place de ce nouvel antibiotique, l'évolution est rapidement favorable, tant sur le plan clinique que biologique. Le Dr X préconise la mise en place d'une sonde urinaire à demeure afin de prévenir de futures infections de la prostate, ce que Mr. Y refuse. Sur avis du Dr X, l'antibiothérapie est relayée per-os par Ciproxine 2 x 500 mg/jour dès le 06.01.2019, à poursuivre jusqu'au 08.02.2019. Le 11.01.2019, Mr. Y est transféré dans le service de réhabilitation gériatrique pour suite de la prise en charge. Le Dr X prendra contact avec le patient afin d'organiser la suite de la prise en charge urologique. Il s'agit d'un patient de 69 ans, institutionnalisé depuis la fin novembre 2018, connu pour une démence vasculaire Fazekas 2-3 ainsi que de multiples épisodes de broncho-aspiration sur troubles de la déglutition, qui présente le 15.12.2018 une dyspnée en péjoration suite à un épisode de fausse route. Un traitement par Rocéphine est introduit le 17.12.2018 par le médecin de garde. En raison d'une désaturation à 52% avec des signes de détresse respiratoire le jour même, le patient est adressé aux urgences. À l'admission, le patient présente une insuffisance respiratoire sévère avec acidose respiratoire hypercapnique (pH à 7.21, hypoxie à 9.4 kPa et hypercapnie à 9.4 kPa) et un syndrome inflammatoire sur leucocytose à 32.9 G/l et CRP à 203 mg/l. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer infectieux franc sous réserve d'une déshydratation. Au vu de l'état clinique compromis, le patient bénéficie d'une ventilation non invasive et d'une surveillance rapprochée en lit monitoré. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline iv est débutée. Dans un premier temps sous physiothérapie respiratoire et antibiothérapie, l'évolution clinique est favorable, de même que les paramètres biologiques infectieux.Sur le plan alimentaire, un bilan de déglutition réalisé à plusieurs reprises se révèle pathologique pour la prise des solides et des liquides. Le patient refusant malgré tout la pose d'une sonde naso-gastrique, un régime mixé lisse est adapté, sous surveillance de l'équipe soignante, et nous relevons une prise alimentaire. Malheureusement, le 21.12.2018, Mr. Y présente une insuffisance respiratoire aiguë sur probable récidive de broncho-aspiration, rapidement progressive, et il décède le jour-même. Il s'agit d'un patient de 71 ans, aux co-morbidités et antécédents suscités, qui est amené aux urgences par ambulance le 16.01.2019 suite à une chute de sa hauteur devant sa maison. Mr. Y se plaint de douleurs lombaires, sans déficit. Le bilan radiologique initial fait suspecter une fracture de L3 et le patient est hospitalisé dans le service d'orthopédie pour traitement antalgique et investigations supplémentaires. Un scanner est effectué le lendemain, permettant d'exclure une nouvelle fracture mais révélant une cunéisation de L3. Durant le séjour, les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie standard et le statut neurologique reste dans la norme, sans perte de force et/ou de sensibilité dans les membres inférieurs, sans problème sphinctérien ou mictionnel. Le 19.01.2019, Mr. Y peut retourner à domicile. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour a été instaurée et sera poursuivie durant encore 5 jours. Il s'agit d'un patient de 71 ans, connu pour un lymphome B diffus à grandes cellules compliqué d'une atteinte lymphomateuse méningée des racines de la queue de cheval suivi par le Dr. X, ayant bénéficié jusqu'en février 2018 de 3 cycles de chimiothérapie, qui nous est amené par l'ambulance en raison d'un état fébrile demeurant élevé et d'un état confusionnel. Mr. Y décrit une baisse de l'état général depuis 2 jours, avec état fébrile et expectorations en augmentation, blanchâtres. Un traitement antibiotique de Co-Amoxi a été débuté par le Dr. X le 14.12.2018. Pas de plainte de la sphère gastro-intestinale ni uro-génitale, mais le patient est porteur d'une sonde urinaire à demeure. A l'examen clinique d'entrée, le patient est en état général diminué, désorienté dans le temps et l'espace. L'auscultation pulmonaire montre des râles aux deux bases. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire, avec une leucocytose à 15.5 G/l et une CRP à 202 mg/l. La radiographie du thorax montre une coupole diaphragmatique gauche surélevée et une suspicion de foyer en base gauche. Le stix et le sédiment urinaires révèlent des nitrites positifs, ainsi qu'une leucocyturie à 21-40/champ. Au vu de la suspicion d'un foyer pulmonaire, voire urinaire, nous hospitalisons le patient afin qu'il bénéficie d'un traitement antibiotique de Méronème dans le contexte d'infections urinaires à répétition avec des germes résistants à la Céfépime. L'évolution est favorable, avec un patient qui demeure asymptomatique. Les prélèvements de l'uricult mettent en évidence un Pseudomonas aeruginosa et un Enterobacter aerogenes, raison pour laquelle nous effectuons un relais per os par Tavanic, puis changeons la sonde urinaire. Sous ce traitement, nous constatons une amélioration de l'état clinique avec une disparition rapide de l'état confusionnel aigu. Le patient reste par ailleurs afébrile au cours du séjour, le syndrome inflammatoire diminue progressivement et l'insuffisance rénale répond favorablement à l'hydratation. Sur le plan respiratoire, le patient, connu du Dr. X pour un syndrome des apnées obstructives du sommeil sévère ayant bénéficié de CPAP puis de BPAP (arrêté en raison d'une intolérance), bénéficie d'une oxymétrie durant l'hospitalisation. Le résultat est superposable par rapport à un dernier examen de 2017 et suggère des apnées centrales. Le Dr. X ne propose pas d'intervention supplémentaire. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y regagne son domicile le 20.12.2018, avec réactivation des soins à domicile. Il s'agit d'un patient de 71 ans, connu pour un retard mental, institutionnalisé au Foyer Clos Fleuri, qui nous est amené par l'ambulance suite à deux épisodes d'hématémèse depuis 24h, objectivés par le personnel soignant. Le patient n'a pas de plainte particulière. A noter qu'il est sous traitement de Co-Amoxicilline 1 g per os - 2 x/jour depuis le 21.12.2018, jusqu'au 26.12.2018 en raison d'une bronchite aiguë. A l'examen clinique, le patient présente un abdomen souple et indolore à la palpation avec des bruits normaux. Le toucher rectal est sans particularité. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 43 mg/l sans leucocytose et une anémie hypochrome microcytaire à 91 g/l d'hémoglobine. Au vu d'une possible hémorragie digestive haute, le patient bénéficie de la mise en place d'un bolus de Nexium 80 mg iv, puis d'une perfusion continue par pompe à raison de 8 mg/h. Mr. Y est hospitalisé en médecine pour surveillance. Nous n'objectivons pas d'épisode d'hématémèse au cours du séjour. Le patient demeure par ailleurs apyrétique et hémodynamiquement stable. Les contrôles biologiques successifs montrent une hémoglobine stable avec, à la sortie, une valeur à 100 g/l. Au vu de l'évolution favorable, nous renonçons à une oesophago-gastro-duodénoscopie en urgence. Le patient, asymptomatique, en bon état général, regagne le foyer le 28.12.2018. Il s'agit d'un patient de 72 ans admis dans le service de chirurgie le 09.01.2019 pour prise en charge chirurgicale d'une sténose urétrale. Le Dr. X réalise une urétrotomie interne le 09.01.2019, intervention qui se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples, le patient est sous antibiothérapie par Cefuroxime 2 x 500 mg/jour, à poursuivre jusqu'au 16.01.2019 inclus. L'évolution est favorable, le patient n'est pas algique et la reprise de l'alimentation est bien tolérée. La sonde vésicale peut être retirée, avec bonne reprise des mictions. Le 11.01.2019, Mr. Y peut retourner au foyer Clos-Fleuri. Il s'agit d'un patient de 72 ans, connu pour les antécédents et co-morbidités suscités, transféré du CHUV dans notre service pour suite à la prise en charge après confection de deux lambeaux, fessier droit et tenseur du fascia-lata, sur escarres sacrale et au niveau de la hanche gauche diagnostiquées à l'HFR Riaz en novembre 2018. Dans le décours de son hospitalisation au CHUV, le patient souffre de malnutrition protéino-calorique sévère, compensée à sa sortie, et présente une perte pondérale de 5 kg en un mois. A son arrivée dans notre service, Mr. Y reprend une alimentation orale normale nécessitant une aide tierce et retrouve un gain pondéral. L'évolution est favorable, tant au niveau sacré que de la hanche gauche. Un entretien est organisé avec l'épouse du patient pour discuter d'un éventuel placement en EMS, qui est accepté. Notre équipe de liaison se charge de trouver au plus tôt une institution. Mr. Y reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement dans l'attente d'un placement en EMS. Vous recevrez à la fin du séjour un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Il s'agit d'un patient de 72 ans, connu pour une fibrillation auriculaire sous anticoagulation par Xarelto, qui est admis dans le service de chirurgie le 15.01.2019 en vue d'une cure de hernie inguinale gauche de type indirect selon Lichtenstein, intervention effectuée le jour même par le Dr. X. A noter que l'anticoagulation est stoppée 3 jours avant l'opération avec relais par Clexane 40 mg sc/jour.L'intervention et les suites post-opératoires se déroulent sans complication et Mr. Y peut retourner à domicile le 16.01.2019 après avoir reçu une dernière dose de Clexane 40 mg sc. Il reprendra le traitement de Xarelto dès le 17.01.2019. Il s'agit d'un patient de 73 ans, aux antécédents et co-morbidités susmentionnés, chez qui un diagnostic de cholécystite aiguë a été posé et pour lequel une antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine et Flagyl a été initiée le 21.12.2018 dans le service de chirurgie de l'HFR Riaz. Le 28.12.2018, Mr. Y est transféré à l'HFR Fribourg pour drainage biliaire. Il y a séjourné jusqu'au 31.12.2018 (cf lettre de sortie de l'HFR Fribourg). A son retour dans notre service de chirurgie le 31.12.2018, le patient évolue tout à fait favorablement tant sur le plan clinique que biologique, ce qui permet un retour à domicile le 05.01.2019 après la mise en place de soins à domicile. Mr. Y a rendez-vous à la consultation du Dr. X le 17.01.2019 à 11h30 pour discussion d'une cholécystectomie à distance, ainsi que pour réévaluation de l'ablation du drain. Il s'agit d'un patient de 73 ans, connu pour les éléments susmentionnés, sous Sintrom pour une fibrillation auriculaire, qui présente un état fébrile accompagné de douleurs abdominales le 19.12.2018 motivant une consultation à votre cabinet deux jours plus tard. Vous effectuez un laboratoire mettant en évidence un syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 23.8 G/l et une CRP à 277 mg/l, raison pour laquelle vous adressez le patient aux urgences de l'HFR Riaz. Aux urgences, le patient ne présente pas de douleurs abdominales, ne se plaint que d'une baisse de l'état général. A l'examen clinique, l'abdomen est ballonné mais reste souple. Les bruits sont dans la norme en fréquence et en tonalité. La palpation abdominale est douloureuse au niveau du flanc droit avec défense, sans détente. La vésicule biliaire est palpable, en porcelaine et douloureuse. Mauvaise compliance du patient pour effectuer un Murphy. Au laboratoire effectué aux urgences, nous mettons en évidence un important syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 26 G/l et une CRP à 370 mg/l. Un scanner abdominal non injecté suivi d'un ultrason abdominal effectué le jour même mettent en évidence une grosse vésicule biliaire sans épaississement de la paroi avec cependant une infiltration de la graisse en regard du bord inféro-postérieur de la vésicule biliaire. Au vu de la clinique et des examens para-cliniques, le diagnostic de cholécystite aiguë est posé. Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie et une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv/jour et Metronidazole 3 x 500 mg iv/jour est débutée le 21.12.2018. Au cours de son hospitalisation, le patient présente une désaturation à 83%, raison pour laquelle une radiographie de thorax est effectuée, mettant en évidence un possible foyer d'atelectasie et d'épanchement pleural réactif en base droite. Au vu de la persistance de l'état clinique et d'une augmentation soudaine des leucocytes à 29 G/l le 28.12.2018 (18 G/l la veille), un CT abdominal injecté est effectué le 28.12.2018, suivi d'une cholangio-IRM le même jour qui mettent en évidence un important œdème péri-vésiculaire accompagné de calculs enclavés à la jonction du canal cystique. Mr. Y est transféré à l'HFR Fribourg le 28.12.2018 en vue d'un drainage de la vésicule biliaire et pour suite de la prise en charge. Il s'agit d'un patient de 73 ans, connu pour un cancer épidermoïde de l'œsophage traité symptomatiquement par stent oesophagien, une démence cognitive et une fibrillation auriculaire persistante, hospitalisé jusqu'au 20.12.2018 pour une insuffisance cardiaque aiguë sur fibrillation auriculaire rapide compliquée par un choc cardiogène avec défaillance multi-organique sur prise de Diltiazem, qui nous est adressé par le médecin de garde de l'EMS pour une suspicion d'obstruction du stent oesophagien. A son admission, le patient se plaint uniquement de soif et de faim. Il tousse énormément et présente un encombrement des voies aériennes. A l'examen clinique d'entrée, patient hypotendu à 105/38 mmHg, tachycarde à 147/min, avec une saturation à 94% à l'air ambiant. A l'auscultation cardiaque, les bruits sont irréguliers, sans souffle ausculté. Pas de signe de décompensation cardiaque droite ou gauche. Au niveau respiratoire, le patient est eupnéique et ne présente pas de signe de détresse respiratoire. Le murmure vésiculaire est symétrique, avec des râles crépitants grossiers diffus. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 152 mg/l et une leucocytose à 11.5 g/l, une NT-proBNP à 4167 ng/l, une insuffisance rénale aiguë AKIN I avec créatinine à 106 umol/l et des tests hépatiques en amélioration par rapport au laboratoire du 17.12.2018. La radiographie thoracique montre une amélioration de la ventilation aux bases pulmonaires par rapport au 13.12.2018, évoquant une régression des épanchements pleuraux objectivés au CT du 08.12.2018, la persistance d'altérations interstitielles et alvéolaires confluentes aux deux bases compatibles avec des foyers de broncho-aspiration, une amélioration de la ventilation pulmonaire à l'apex pulmonaire gauche. Par ailleurs, on retrouve un stent oesophagien en place, en position inchangée. Nous concluons à une pneumonie sur broncho-aspiration sur obstruction du stent oesophagien. Mr. Y est hospitalisé en médecine et nous débutons une antibiothérapie par Co-Amoxicilline iv. Une nouvelle insuffisance cardiaque nous semble moins probable au vu des œdèmes des membres inférieurs en régression par rapport à la dernière hospitalisation et au vu de la NT pro-BNP moins élevée au laboratoire. Sur le plan cardiaque, le patient présente à l'admission un rythme en fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide à 154/min. Au vu de la suspicion du blocage du stent et vu la déshydratation clinique constatée chez ce patient nous mettons en place une hydratation par NaCl 1000 cc/24 heures. Le traitement antihypertenseur par bêtabloquant est majoré (Metoprolol 75 mg). Le lendemain de l'admission, un test de la déglutition est effectué mais le patient n'arrive pas à déglutir. Un avis est demandé au gastro-entérologue de garde qui propose d'effectuer une oesogastroduodénoscopie. Mr. Y est donc transféré à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour cet examen. Il s'agit d'un patient de 73 ans, hospitalisé depuis 01.02.2018 pour une ostéomyélite P1 et P2 de l'hallux gauche, amputé le 09.02.2018, avec une hospitalisation qui se complique d'une décompensation cardiaque et d'un syndrome cardio-rénal de type I qui est actuellement stable. Elle nous est transférée le 29.03.2018 pour une suite de prise en charge, en raison de situation sociale compliquée. En raison d'une dépendance totale, la recherche d'un établissement médico-social est entreprise suite à la nomination de Mr. Y, son représentant administratif. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement dès le 10.04.2018 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Il s'agit d'un patient de 74 ans qui nous est transféré des soins intensifs du CHUV aux soins palliatifs le 17.12.2018 pour suite de la prise en charge après colite neutropénique à E. coli et choc septique.Pour rappel, le patient est connu pour un cholangiocarcinome extra-hépatique avancé diagnostiqué en juillet 2017 des suites de cholangite septique récidivante. Le 15.12.2018 il présente un état fébrile avec douleurs abdominales et après avoir consulté la permanence de Morat, il est transféré à sa demande au CHUV. Il présente une hypotension réfractaire malgré remplissage intraveineux raison pour laquelle il est placé aux soins semi-intensifs. Il est suivi par le Dr. X et suit actuellement sa troisième chimiothérapie palliative, dernière prise le 13.12.2018. Une reprise de la thérapie pour la deuxième semaine de janvier est en discussion actuellement, le Dr. X est cependant d'avis qu'il ne faudrait pas la réaliser. Le patient et sa femme ne sont pas encore informés de cette décision. Socialement, Mr. Y vit dans un appartement avec sa femme, il a besoin d'aide pour les activités de la vie quotidienne mais peut effectuer des tâches simples sous surveillance. Il aime la cuisine et continue cette activité. Le patient présente des troubles cognitifs importants rendant l'anamnèse difficile. Il rapporte des douleurs abdominales, sans autres plaintes. L'hétéroanamnèse faite auprès de son épouse rapporte une dégradation importante de l'état général depuis septembre. Au status, nous avons un abdomen distendu, ascitique, les bruits sont normaux en qualité et quantité, il n'y a pas de détente ni défense. Nous introduisons une antalgie avec buscopan avec un bon résultat. Des OMI et une augmentation de l'ascite nous font commencer de l'aldactone le 20.12.2018, avec un résultat discret à la sortie du patient. Nous recommandons de poursuivre ce traitement à la dose de 100 mg par jour. Une ponction de l'ascite en ambulatoire pourrait être organisée à notre clinique de jour si nécessaire. Nous continuons le traitement intraveineux antibiotique jusqu'au 22.12.2018. Le 20.12.2018 le patient fait un globe urinaire avec un résidu post-mictionnel de > 500 ml. Nous mettons en place une sonde urinaire que le patient et sa femme demandent à faire retirer le 22.12.2018 avant la sortie car le patient se sent gêné par la sonde. Ils sont informés du risque de nouveau globe. Nous mettons en place une thérapie par Pradif dès le 22.12.2018. Sur les désirs du patient et de sa femme, le patient rentre à domicile le 23.12.2018. Il s'agit d'un patient de 75 ans admis dans le service de chirurgie le 08.01.2019 pour prise en charge chirurgicale d'une tumeur de la vessie. Le Dr. X réalise une résection transurétrale de la vessie le 09.01.2019, intervention qui se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples, le patient bénéficie d'une antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg per-os/jour jusqu'au 11.01.2019. Le patient n'est pas algique et la reprise de l'alimentation est bien tolérée. La sonde vésicale est retirée le 11.01.2019, avec bonne reprise des mictions. Vu la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 11.01.2019. Il s'agit d'un patient de 75 ans, connu pour un AVC ischémique thrombolysé en février 2018, qui est amené aux urgences le 30.12.2018 par son épouse en raison de troubles de la conscience depuis le matin même. Présence d'amnésie circonstancielle, le patient ne se rappelle pas des événements de la veille et il a du mal à trouver ses repères. Lors du petit déjeuner, alors qu'il était assis, il a chuté sur la table, tonique, durant 5 minutes, avec amnésie post-critique, sans morsure de langue ni perte d'urine. A votre consultation vers 10h30, nouvel épisode de perte de connaissance avec contracture musculaire généralisée, sans mouvements cloniques. A l'admission aux urgences, le patient est confus mais conscient, peu orienté, hypotendu à 93/60 mmHg et normocarde à 63 bpm. Le status cardio-pulmonaire est sans particularité. Du point de vue neurologique, pas de dysarthrie, nerfs crâniens dans la norme (champ visuel, vision proche, oculomotricité, réflexes pupillaires, convergence, sensibilité du visage, mimique, chuchotement, voile du palais, langue, voix, élévation des épaules); tonus, force, sensibilité et réflexes ostéo-cutanés conservés aux quatre membres; bras tendus dans la norme, Babinski en flexion et symétrique, tests doigt-nez et talon-genou sans particularité, Romberg dans la norme. La marche est possible. Le score NIHSS est à 3 points (orientation). Aux urgences, le patient bénéficie de 2 mg de Dormicum en raison d'une agitation. Il présente une nouvelle crise tonique avec perte de selles et mydriase bilatérale avec légère révulsion des yeux. Le patient reçoit 0,5 mg de Rivotril iv. Un CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux est réalisé, qui ne montre pas d'AVC hémorragique ou ischémique. Un avis neurologique est demandé à la Dr. X à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal, qui conclut à des crises d'épilepsie probablement sur séquelles d'AVC. Le patient est hospitalisé pour surveillance rapprochée et un début de traitement par Valproate 500 mg est débuté. En cas de nouvelle crise, le traitement sera à adapter à 2 x 750 mg/jour de Dépakine. Malgré une amnésie importante, le patient évolue bien en cours de journée, raison pour laquelle il peut être monté à l'étage de médecine. Une IRM du neurocrâne pratiquée le 03.01.2019 revient dans les limites de la norme. Au vu des douleurs persistantes au niveau de l'épaule gauche, un bilan radiologique est effectué, qui montre une fracture sous-capitale déplacée de l'humérus motivant une intervention chirurgicale selon nos confrères orthopédistes. Le patient bénéficie en premier lieu d'un gilet orthopédique, et d'une consultation anesthésique le 03.01.2019 en vue de l'opération. En raison d'épigastralgies, un traitement de Pantozol est débuté. Le status abdominal montre un abdomen souple, sans douleur à la palpation. Le 03.01.2019, le laboratoire montre une anémie à 111 g/l, avec la mise en évidence durant la journée de selles avec hématochézies, connues selon le patient et son épouse suite à la radiothérapie de 2010 pour l'adénocarcinome prostatique. Mr. Y est transféré le 04.01.2019 dans le service d'orthopédie pour l'intervention de l'épaule gauche et la suite de la prise en charge. Il s'agit d'un patient de 75 ans, coronarien, sourd et muet, institutionnalisé, adressé aux urgences le 18.12.2018 pour un état fébrile à 38.9°, sans foyer clinique évident. L'infirmière du foyer rapporte des douleurs au niveau du pli inguinal droit, sans notion de traumatisme. Dans l'ambulance, le patient désature à 88% à l'air ambiant et devient tachypnéique. L'anamnèse est impossible chez ce patient sourd et muet qui présente des séquelles d'un AVC depuis 2017. A l'examen clinique d'entrée, le patient est normotendu à 103/62 mmHg, tachycarde à 103 bpm, tachypnéique à 33/min, avec une saturation à l'air ambiant à 88%, qui remonte à 94% sous 4 l d'O2 au masque, subfébrile à 37.8°. Au status cardiaque, l'auscultation est normale et régulière, les pouls périphériques sont perçus, présence de légers oedèmes des membres inférieurs jusqu'à mi-jambes. L'auscultation pulmonaire en position couchée montre des crépitants en base droite. Au status digestif, l'abdomen est souple, indolore à la palpation, les bruits hydro-aériques sont diminués. Il n'y a pas de douleur à la palpation du pli inguinal droit. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 19.6 G/l et une CRP à 36 mg/l. On objective une anémie sévère hypochrome microcytaire à 79 g/l. Nous réalisons une gazométrie artérielle aux urgences qui montre un pH à 7.43, une PO2 à 13.3 kPa et une PCO2 à 4.5 kPa. Deux paires d'hémocultures sont prélevées, qui reviendront négatives après 5 jours.Le patient bénéficie de la transfusion de 2 culots érythrocytaires sur 24 h en raison de la cardiopathie ischémique connue. L'hémoglobine évolue favorablement à 96 g/l. Le bilan martial montre une ferritine à 8 mg/l et le récepteur soluble à la transferrine à 21 ug/l. Nous décidons de substituer ce déficit par une perfusion de Ferrinject 500 mg. La recherche de sang occulte dans les selles revient positive. Nous soupçonnons une infection des voies aériennes inférieures pour laquelle nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine iv et Klacid. Les antigènes urinaires reviennent négatifs, raison pour laquelle le Klacid est stoppé le 19.12.2018. L'antibiothérapie per os par Co-Amoxicilline est relayée le 21.12.2018. Au vu d'un patient porteur d'une sonde urinaire à demeure, nous effectuons un stix urinaire qui montre des leucocytes et du sang. La culture revient contaminée. Au vu d'une évolution favorable, Mr. Y regagne le foyer le 22.12.2018, avec poursuite de l'antibiothérapie per os jusqu'au 24.12.2018. Il s'agit d'un patient de 75 ans, initialement hospitalisé dans le service de médecine suite à une crise d'épilepsie sur probables séquelles d'AVC suite à laquelle il présente une fracture sous-capitale de l'humérus gauche. Une fois le patient stabilisé et investigué quant à ses crises d'épilepsie, il est transféré dans le service d'orthopédie pour prise en charge de la fracture sous-capitale de l'humérus gauche, intervention qui se déroule le 04.01.2019 sans complication. Les suites opératoires sont marquées par des épigastralgies persistantes motivant la réalisation d'une ultrason, d'un CT, ainsi que d'une OGD. Ces investigations ne permettent pas de retrouver une cause aux épigastralgies présentées par Mr. Y. Une cholestase anictérique en est probablement la cause selon le Dr. X. Le patient se rendra à votre consultation 1 semaine après la sortie pour un contrôle biologique. En ce qui concerne l'épaule gauche, le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation passive et active assistée avec abduction et flexion limitées à 90°, rotation externe 15°, rotation interne sur le ventre. Un gilet orthopédique est en place pour une durée de 6 semaines. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Durant son hospitalisation, le patient bénéficie d'une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour, traitement qui est stoppé à la sortie. Devant l'évolution favorable, Mr. Y peut retourner à domicile le 17.01.2019. Il s'agit d'un patient de 77 ans, en bonne santé habituelle, amené aux urgences par ambulance le 08.01.2019 suite à un accident de la voie publique. En effet, le patient, piéton, se fait faucher par une voiture qui le tape du côté droit. Choc de la tête contre le pare-brise, sans perte de connaissance, ni amnésie circonstancielle. À l'arrivée aux urgences, Glasgow 15/15, patient orienté dans les trois modes. Présence d'une plaie au niveau du scalp. Douleurs de l'épaule droite et de la jambe droite. Le bilan radio-clinique met en évidence une luxation antéro-inférieure de l'épaule droite avec lésion de Bankart. Le reste des examens radiologiques permet d'exclure d'autres fractures. La plaie pariéto-occipitale gauche est désinfectée, puis suturée sous anesthésie locale. Le patient reçoit un rappel antitétanique. La luxation de l'épaule droite est réduite sous sédation et un gilet orthopédique est mis en place. Le genou droit est placé dans une attelle articulée. Mr. Y est hospitalisé dans le service d'orthopédie pour surveillance, antalgie et physiothérapie de rééducation à la marche. L'évolution clinique est favorable, les douleurs sont bien gérées par l'antalgie standard, le contrôle neurologique est en ordre et la plaie pariéto-occipitale est calme. Mr. Y peut retourner à domicile le 09.01.2019. Il s'agit d'un patient de 79 ans connu pour un adénocarcinome avancé de la prostate, non métastatique, qui est électivement hospitalisé le 23.01.2019 en vue d'une castration chirurgicale par orchidectomie bilatérale, intervention effectuée le jour même par le Dr. X. Les suites opératoires sont simples, avec une bonne gestion de l'antalgie. Le 24.01.2019, face à cette évolution favorable, Mr. Y peut retourner à domicile. Il s'agit d'un patient de 79 ans sous Xarelto suite à la pose de deux stents artériels de la jambe gauche. Le 19.01.2019 vers 14h30, alors qu'il est en train de charger du bois sur une remorque attachée à un tracteur, ce dernier n'étant pas bien freiné, Mr. Y est victime d'un traumatisme par écrasement du membre supérieur gauche à la partie distale du bras et la partie proximale de l'avant-bras. Dans l'après-midi, en raison d'une augmentation des douleurs, le patient se présente aux urgences vers 18h00. Il a pris du Dafalgan, sans effet sur les douleurs. À l'entrée, la partie distale du bras gauche et la partie proximale de l'avant-bras gauche sont tuméfiées, avec présence d'hématomes. Pas de plaie. Pouls radial bien frappé, pas de déficit de la sensibilité du bras, de l'avant-bras et de la main gauches, motricité conservée du membre supérieur gauche. Flexion-extension du coude limitée en raison de la tuméfaction locale. Mesures des pressions des loges : loge antérieure du bras 19 mmHg, postérieur 20 mmHg, avant-bras postérieur 16 mmHg, antéro-latéral 12 mmHg, antéro-médial 20 mmHg. Le bilan biologique montre une hémoglobine à 126 g/l. Pas d'insuffisance rénale. INR 1,3, PTT 31. La radiographie du coude fait suspecter une fracture Mason 1, motivant un complément de bilan par CT. Celui-ci confirme la fracture Mason 1 de la tête radiale, montrant également une fracture Regan 1 du processus coronoïde. Une attelle postérieure BAB est mise en place et le patient est hospitalisé dans le service d'orthopédie pour surveillance et antalgie. La surveillance du syndrome des loges se déroule sans complication, les loges sont souples. L'antalgie étant efficace, Mr. Y peut retourner à domicile le 20.01.2019. En cas d'aggravation de la douleur, le patient est informé de se représenter aux urgences. Il s'agit d'un patient de 80 ans, connu pour de multiples antécédents urologiques, qui contacte le Dr. X le 21.01.2019 en raison d'une macrohématurie présente depuis 7 jours. Mr. Y est dès lors hospitalisé en chirurgie pour une RTUP. Hormis la macrohématurie, le patient ne décrit aucun autre symptôme : pas d'état fébrile ni de frissons, pas de douleur abdominale, de dysurie, d'algurie ni de trouble du transit. À l'examen clinique d'entrée, les bruits intestinaux sont normaux en fréquence et en tonalité. L'abdomen est souple, avec une discrète douleur à la palpation abdominale au niveau sus-pubien, sans défense ni détente. Les loges rénales sont indolores à la percussion. Au toucher rectal, la prostate est augmentée en volume, de surface lisse, indolore. Pas de masse palpable ni de sang au doigtier. Le statut cardio-pulmonaire est sans particularité. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire. Le sédiment urinaire met en évidence une leucocyturie et une érythrocyturie incomptable. Aux urgences, le patient bénéficie de la pose d'une sonde urinaire à trois voies, avec rinçage intermittent. Le 23.01.2019, le Dr. X pratique une RTUP, qui se déroule sans complication. Le patient bénéficie d'une antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg - 2 x/jour du 23.01 au 26.01.2019. Au vu de la bonne évolution post-opératoire, Mr. Y regagne son domicile le 26.01.2019, après ablation de la sonde urinaire. Il se présentera à la consultation du Dr. X pour le suivi urologique.Il s'agit d'un patient de 80 ans hospitalisé en psychogériatrie à Marsens pour une démence de type Alzheimer et connu pour une fibrillation auriculaire, sous Sintrom, qui nous est envoyé en raison d'un état fébrile et de désaturations à 83% à l'air ambiant. Mr. Y aurait fait une fausse route. Il est sous traitement de Furadantine jusqu'au 23.12.2018 pour une infection urinaire. A son arrivée aux urgences, le patient se plaint d'une toux sans expectoration et de dyspnée. Il n'a pas de douleur rétrosternale. Il bénéficie depuis ce jour d'O2 - 2 litres pour maintenir des saturations normales. A l'examen clinique d'entrée, patient hypertendu à 163/92 mmHg, tachycarde à 82/min, tachypnéique à 30/min, avec une saturation sous 2 l d'O2 à 89%, fébrile à 39°. Présence de râles crépitants en base gauche. Le reste du statut est non contributif. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 121 mg/l et des leucocytes à 15.1 G/l. La gazométrie est dans les limites de la norme et la radiographie du thorax montre une opacité basale gauche. Deux paires d'hémocultures sont prélevées. Le patient est mis sous Co-Amoxicilline iv et hospitalisé en médecine. Le traitement de Furadantine est mis en pause. Les hémocultures reviennent positives pour un E. coli résistant à l'Augmentin et sensible à la Ceftriaxone et à la Ciproxine. Au vu de cette bactérie isolée et de l'absence de clinique corroborant avec une pneumonie, nous suspectons une infection urinaire. Un toucher rectal revient indolore. Nous retenons le diagnostic d'infection urinaire compliquée, arrêtons le traitement de Co-Amoxicilline et introduisons de la Rocéphine iv, avec relais per os le 23.12.2018. L'évolution du syndrome inflammatoire est favorable avec à la sortie des leucocytes dans la norme et une CRP à 20 mg/l. Sur le plan hématologique, un INR supra-thérapeutique >5.5 est mis en évidence le 20.12.2018, raison pour laquelle nous arrêtons le traitement de Sintrom et administrons du Konakion 5 mg, 2 fois. Nous réintroduisons le Sintrom le 21.12.2018, associé à de la Clexane jusqu'à l'obtention de deux INR thérapeutiques. Finalement, au vu de la notion de fausses routes à l'hétéro-anamnèse, nous effectuons un test de déglutition qui ne montre pas de fausse route objectivable. Au vu d'une évolution favorable, Mr. Y est réadressé en psychogériatrie à Marsens le 24.12.2018 dans l'attente d'une place en EMS. Il s'agit d'un patient de 80 ans qui nous a été transféré des soins intensifs de l'hôpital de l'île pour une suite de la prise en charge après diagnostic d'une pneumonie basale gauche. Pour rappel, Mr. Y est connu pour une artériopathie des membres inférieurs sévère avec amputation des deux membres inférieurs, status post multiple prothèse vasculaire et bypass, une coronaropathie tritronculaire et sténose aortique sévère, ainsi qu'un diabète insulino-requérant. Socialement, il vit avec sa femme, qui s'occupe de tout ainsi que des médicaments. A l'entrée, nous trouvons un patient dyspnéique et tachypnéique. L'auscultation pulmonaire montre des râles crépitants diffus. Le traitement antibiotique par Rocéphine instauré à Bern est continué jusqu'au 21.12.2018 avec bonne réponse symptomatologique. Une culture des selles a été faite à l'Inselspital, les résultats n'ont pas pu être transmis avant la sortie du patient. Le bilan biologique montre des paramètres infectieux augmentés, qui restent élevés durant le séjour malgré la disparition des symptômes. Au niveau cardiovasculaire, nous mesurons des tensions généralement dans la norme ou abaissées, raison pour laquelle nous arrêtons le traitement antihypertenseur avec suivi des constantes. Le patient présente des signes de surcharge avec radiothérapie. Nous continuons le traitement instauré à Bern avec Torasemide 10 mg. Nous vous laissons le soin d'évaluer la reprise du traitement. Au niveau endocrinologique, le patient présente une instabilité des valeurs glycémiques pour lesquelles un nouveau profil d'Insulatard est instauré, avec schéma de correction modifié. Nous surveillons la glycémie et majorons le traitement basal durant tout le séjour. L'Insulatard reste à réguler après retour au domicile. Durant l'hospitalisation, Mr. Y montre une diminution de la fréquence des selles avec constipation les 5 derniers jours d'hospitalisation malgré les traitements laxatifs mis en place. Il n'a pas de douleur, présente une augmentation de reflux gazeux. A l'auscultation, nous relevons des bruits semi-métalliques nous faisant suspecter un sub-ileus. Malgré avis médical, le patient ne veut pas rester à l'hôpital malgré la connaissance des risques d'iléus. Nous majorons le traitement laxatif fixe et nous prescrivons des réserves. Mr. Y rentre au domicile le 24.12.2018 contre avis médical. Il s'agit d'un patient de 81 ans, aux antécédents et co-morbidités sus-cités, notamment pour une résection transurétrale de la prostate le 19.12.2018 pour hyperplasie bénigne. Depuis l'intervention, Mr. Y se plaint d'une hématurie macroscopique brunâtre, sans caillot. Aucun autre trouble mictionnel n'accompagne cette hématurie. Suite à l'opération, le patient est mis sous Cefuroxime 500 mg/jour et rentre à domicile le 25.12.2018. A noter qu'il avait bénéficié de la transfusion d'un culot érythrocytaire le 23.12.2018 en raison d'une anémie. Mr. Y revient aux urgences le 01.01.2019 en raison d'un état fébrile à 39,5°, accompagné de frissons, ainsi que d'une baisse de l'état général avec asthénie et anorexie. Le patient confirme avoir bien pris le Cefuroxime jusqu'à ce jour. Au status d'entrée, loges rénales souples et indolores. L'abdomen est souple et indolore, sans défense, ni détente. Les bruits intestinaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Le toucher rectal est indolore, sans présence de sang au doigtier. Un bladder scan est effectué, montrant un résidu mictionnel de 400 à 500 ml, non ressenti. Le bilan biologique met en évidence un important syndrome inflammatoire avec CRP à 132 mg/l et des leucocytes à 20,3 G/l. Nous observons également une insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 167 umol/l, ainsi qu'une hyponatrémie à 133 mmol/l et une hémoglobine à 120 g/l. Dans ce contexte, nous retenons le diagnostic de sepsis urinaire sévère pour lequel nous prenons avis auprès de l'urologue de garde, Dr. X, qui propose une hospitalisation avec mise en place d'une sonde vésicale à 3 voies, ainsi qu'une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv/jour. Les suites sont bonnes, avec une diminution de la symptomatologie, une régression du syndrome inflammatoire au contrôle biologique. Les urines s'éclaircissent progressivement (légèrement rosées) et le contrôle biologique est satisfaisant le 05.01.2019. Les hémocultures reviennent négatives à 5 jours. Devant la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 05.01.2019 après ablation de la sonde vésicale. L'antibiothérapie a été relayée per-os à raison de 3 x 750 mg/jour d'Amoxicilline, à poursuivre jusqu'au 22.01.2019 inclus. Mr. Y sera revu à la consultation du Dr. X pour suite de la prise en charge urologique. En cours d'hospitalisation, nous relevons une baisse transitoire des plaquettes, ceci mis sur le compte du sepsis. Cette valeur se corrige progressivement, avec un dernier contrôle biologique à la sortie montrant des thrombocytes à 89 G/l. Il s'agit d'un patient de 81 ans, connu pour une cardiopathie ischémique tritronculaire stentée à plusieurs reprises, qui consulte les urgences en raison de douleurs épigastriques. Au vu de la mise en évidence d'un STEMI, il est transféré à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour une coronarographie effectuée par le Dr. X qui met en évidence une re-sténose sub-occlusive intra-stent de la coronaire droite ostiale traitée par la mise en place d'un stent actif sur la CD ostiale.Dans notre service, l'évolution clinique est favorable, sans récidive de douleur ni signe de décompensation cardiaque. Le patient bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation cardio-vasculaire, avec bonne tolérance. Une échocardiographie est à prévoir à environ 4 semaines de la sortie afin d'évaluer la fonction ventriculaire, la fraction déjection étant mesurée à 55% lors de la ventriculographie. Sur le plan médicamenteux, un traitement par Aspirine est indiqué à vie, associé à du Clopidogrel durant 12 mois. Le traitement bêtabloquant est poursuivi, avec majoration de l'IEC introduit aux soins intensifs. Nous vous laissons le soin de majorer progressivement la posologie selon tolérance clinique. Enfin, un traitement par Atorvastatine est poursuivi en prévention secondaire. Quant aux facteurs de risque cardio-vasculaire, un pré-diabète est retrouvé, pour lequel des mesures d'hygiène diététique sont indiquées en première intention. Sur le plan orthopédique, en raison d'une suspicion clinique et radiologique de descellement de prothèse du fémur droit, un suivi orthopédique à la consultation du Dr. X est en cours, avec un prochain contrôle prévu le 08.01.2019. Mr. Y regagne son domicile le 20.12.2018. Il s'agit d'un patient de 81 ans qui, en voulant éviter des travaux sur le côté de la route, chute sur le trottoir avec réception sur la face. Pas de perte de connaissance, ni d'amnésie circonstancielle. Au status, patient orienté dans les trois modes, Glasgow 15/15. Nerfs crâniens sans particularité, force et motricité conservées aux quatre membres. Hématome de la joue gauche en regard de l'os maxillaire gauche, œdème de la lèvre inférieure, hématome mentonnier, hématome en lunettes, épistaxis antérieur et postérieur. Pas d'hémorragie du méat acoustique externe ou d'hémotympan. Présence de multiples dermabrasions sur la face dorsale des deux mains, ainsi que le long du cartilage nasal et au niveau frontal sans saignement actif. Un CT cérébral natif met en évidence de multiples fractures du massif facial, avec hématome sous-galéal frontal et petite hémorragie sous-arachnoïdienne frontale gauche. Le diagnostic d'une fracture Lefort de type II est posé et Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie pour surveillance et antalgie. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 3 x 1 g/jour est instaurée pour une durée de 5 jours. Nous contactons le chirurgien maxillo-facial de l'HFR Fribourg, Dr. X, qui verra le patient à sa consultation le 24.01.2019. Le séjour se passe sans complication, le status neurologique répété reste dans la norme. Mr. Y quitte le service le 24.01.2019 pour se rendre à la consultation du Dr. X, chirurgien maxillo-facial, à 15h15. Nous vous laisserons le soin d'organiser une consultation ophtalmologique de contrôle. Il s'agit d'un patient de 83 ans hospitalisé pour douleur ingérable à domicile, sur avis de Voltigo et de l'épouse de Mr. Y. Il rapporte des douleurs lombaires et du bassin, 9/10, des céphalées et un prurit important du cuir chevelu. Pas de dyspnée, pas de toux, pas d'œdème des membres inférieurs. Pas de troubles intestinaux. Insomnie qu'il gère avec deux traitements somnifères. Il rapporte une fatigue importante et une anhédonie. Il présente une dysphagie importante. Il n'a pas d'appétit, mange peu depuis plusieurs mois. Sa femme rapporte une perte de poids d'environ 10 kg sur quelques mois. Depuis 2 mois, il a arrêté la prise de tous ses médicaments. Il maintient la thérapie antidouleur avec de l'oxynorme 5 mg en réserve. Il contrôle la glycémie 1x par semaine et ne prend pas de Metformin. Un traitement avec de la cortisone systémique est essayé, sans grande amélioration du prurit. Socialement, il vit avec sa femme dans un appartement à Marly, sans escalier. Il a la visite de Spitex une fois par semaine car il ne veut pas plus de soins et depuis le 12.12, Voltigo suit Mr. Y à domicile. C'est sur leur avis qu'une hospitalisation a été demandée, les douleurs étant devenues ingérables à domicile et la femme étant submergée par la situation. Au status, nous avons un patient orienté mais présentant un état général diminué, très algique, difficile à interpréter dû à la présence d'une démence débutante. Douleur à la palpation des épines dorsales et iliaques, status cardio-pulmonaire et abdominal dans la norme. Pas d'œdème au membre inférieur. Il n'y a pas de lésion capillaire, ni d'alopécie. La muqueuse est érythémateuse, langue avec papilles profondes, pas de dépôt visible. Le bilan biologique montre des carences vitaminiques de B12 et folate ainsi que de Zinc pour lesquelles une substitution est rapidement introduite avec contrôle laboratoire rapproché. Nous proposons de continuer cette substitution ambulatoirement. Les symptômes décrits par le patient nous font suggérer qu'il s'agit d'effets secondaires aux opiacés, ainsi nous procédons à une rotation d'opiacé avec Fentanyl patch et réserve. Rapidement, le patient rapporte une disparition du prurit du cuir chevelu. Suite à la rotation des opiacés et suite à l'introduction de Cymbalta et de Pregabalin, le patient rapporte également une diminution des douleurs lombaires. À mentionner également la bonne réponse à l'application de chaud (fango). Après discussion avec le patient, un essai avec thérapies complémentaires pourrait être envisagé, notamment médecine chinoise et acupuncture. Le patient décrit des épisodes migraineux avec aura typique (scotome scintillant), céphalée pulsatile à droite accompagnée de photo- et phonophobie, dont le temps d'apparition est difficilement objectivable. L'étiologie n'est pas claire, une cause médicamenteuse est suggérée. Un essai avec de l'aspirine durant l'un de ces excès montre une bonne/mauvaise réponse symptomatologique. Si ces céphalées n'avaient jamais été décrites, nous proposons de suivre l'évolution et d'évaluer un éventuel traitement. Sur suspicion de mycose buccale, un traitement antifongique en une prise est introduit, suivi d'une attention particulière aux soins de bouche. Durant l'hospitalisation, les douleurs difficilement décrites par le patient semblent s'estomper, une composante de substitution en Zinc ainsi que des soins de bouche pourraient expliquer cette amélioration. Pendant l'hospitalisation, Mr. Y s'alimente suffisamment, un régime mixé-lisse est favorable par rapport aux troubles de la déglutition. L'état général est stabilisé, Mr. Y rentre le 28.12.2018 à domicile avec aide du Spitex 2 fois par jour. Il s'agit d'un patient de 84 ans qui vit au foyer St-Joseph, sous Eliquis (en suspension depuis le 02.01.2019, sous Fraxi 0.8 ml, dernière injection le matin du 04.01.2019), en prévision d'extractions dentaires multiples réalisées le 04.02.2019. Après l'extraction des dents 2.3-2.7-3.1-3-2-3.7-4.1-4.2-4.7, saignement actif à partir des alvéoles dentaires, raison pour laquelle le Dr. X adresse le patient aux urgences. À l'entrée, le patient est hémodynamiquement stable. Le bilan biologique montre une hémoglobine à 104 g/l à l'admission, qui descendra à 95 g/l le 05.01.2019 au matin. INR 1,3, PTT 37. Par la compression avec alginate de calcium et compresse, le saignement diminue mais ne se tarit pas. Le médecin ORL de garde, puis le médecin dentiste traitant, sont contactés. Devant le refus de Mr. Y de tout geste de suture et compression, ainsi que de toute évaluation ultérieure, celui-ci est gardé en lit d'observation pour surveillance. Devant la baisse de l'hémoglobine, le médecin ORL de garde effectue une évaluation, puis le patient peut retourner à son foyer le 05.01.2019. Il sera revu par le médecin dentiste traitant le 07.01.2019 pour suite de la prise en charge.Il s'agit d'un patient de 86 ans connu pour un carcinome urothélial en partie papillaire, de haut grade pT1 G3 motivant une résection transurétrale de la vessie le 05.12.2018. En raison du haut grade, l'indication à une nouvelle résection est retenue par le Dr. X, raison de l'hospitalisation actuelle. Au cours de son hospitalisation, le patient bénéficie d'une antibiothérapie prophylactique par Cefuroxime 500 mg/jour, ainsi qu'une thromboprophylaxie par Clexane 40 mg sc/jour. La sonde vésicale peut être retirée le 11.01.2019, avec bonne reprise des mictions. Le 12.01.2019, à la reprise de son traitement de Xarelto, Mr. Y présente une macrohématurie accompagnant chaque miction, initialement de couleur rouge-bordeaux, qui persiste les jours suivants. Un ultrason des voies urinaires effectué le 14.01.2019 met en évidence une image compatible avec un caillot dans la vessie. Au vu de tous ces éléments, le traitement de Xarelto 20 mg est stoppé le 14.01.2019 avec un nouveau relais par Clexane 40 mg sc/jour le 15.01.2019, traitement qui devra être poursuivi jusqu'au 26.01.2019, avec reprise du Xarelto 20 mg/jour dès le 27.01.2019. Il s'agit d'un patient de 86 ans, sans antécédents médicaux notables, admis suite à un ralentissement psychomoteur avec dysarthrie sans notion de chute ou perte de connaissance. A son entrée, Mr. Y n'exprime pas de plainte. Au status neurologique, nous relevons un Romberg avec rétropulsion et une dysarthrie qui n'est plus présente le lendemain. Un CT cérébral et des vaisseaux du cou le 07.12.2018 mettent en évidence des lésions ischémiques subaiguës du gyrus frontal moyen de chaque côté et du gyrus temporal supérieur gauche. Dans le cadre d'une prévention secondaire, nous débutons alors un traitement par Aspirine et Atorvastatine. Lors d'un bilan étiologique, nous demandons un Holter, qui ne met pas en évidence d'arythmie majeure ni de fibrillation auriculaire. Les profils tensionnels présentent d'importantes fluctuations au cours de la journée, avec des valeurs globalement dans la norme, raison pour laquelle nous n'introduisons pas de traitement antihypertenseur. Nous vous proposons cependant d'effectuer une mesure de la pression artérielle en ambulatoire. Le patient vit avec son épouse dans une maison. Le couple a deux filles, dont une est handicapée. Ils logent dans une maison dont l'accès se fait par 15 escaliers. Le patient bénéficie d'aide à domicile. Sur le plan vitaminique, nous objectivons des déficits en vitamine D et B9 que nous substituons. Sur le plan cognitif, nous relevons des troubles cognitifs importants avec un MMS à 19/30 et un test de la montre à 1/7. Un bilan neuropsychologique met alors en évidence des difficultés cognitives diffuses et sévères dans plusieurs domaines (orientation spatiale et temporelle, accès lexical et compréhension, langage écrit, praxies constructives et idéomotrices, gnosies visuelles discriminatives, mémoire antérograde verbale et visuelle avec atteinte sémantique, fonctions exécutives et de l'attention). Par ailleurs, sur le plan strictement neuropsychologique, la conduite automobile est contre-indiquée (ce qui est transmis au patient, à son épouse et à sa fille). Ils sont informés qu'un signalement auprès de l'OCN sera effectué. Mr. Y bénéficie d'un bilan modulaire d'ergothérapie qui montre un fléchissement de la mémorisation et de la restitution, ainsi qu'une hésitation au niveau de l'attention et de l'orientation spatiale. Signalons encore un léger manque du mot, mais une compréhension adaptée avec un défaut de réceptivité. Durant son séjour, Mr. Y bénéficie d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 10.12.2018 au 17.12.2018. Le patient effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, son périmètre de marche seul et sans moyen auxiliaire se réalise à volonté. Mr. Y peut gravir 18 marches sans accompagnement. Il nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 93/126, par rapport à 81/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 6/7, marche à 6/7, escaliers à 6/7). Le TUG est à 12.40 secondes. Le risque de chute est bas. Durant le séjour, Mr. Y bénéficie d'un bilan nutritionnel, mettant en évidence une difficulté de déglutition, démontrée par la nécessité d'une texture adaptée étape 4, dysphagie. Le patient profite également d'un suivi ergothérapeutique sur le plan des activités de la vie quotidienne en vue d'un retour à domicile. Enfin, pour le retour à domicile, des soins à domicile sont organisés. Il s'agit d'un patient de 88 ans, institutionnalisé, connu pour un retard mental léger, qui fait une chute mécanique le 24.01.2019, avec réception sur le côté gauche. Depuis lors, Mr. Y se plaint d'une dyspnée, en péjoration le 25.01.2019. Il décrit également des douleurs costales gauches. Pas de plaie, pas de notion d'état fébrile, de toux ou d'expectoration. A l'examen clinique d'entrée, sur le plan respiratoire, présence de sibilances des deux plages pulmonaires avec expirium prolongé, utilisation des muscles accessoires, emphysème cutané de l'hémiface antérieure latérale gauche. Les status cardio-vasculaire et digestif sont sans particularité, ainsi que le status dermatologique où nous ne notons pas de plaie. Un drain thoracique est posé aux urgences et le patient est hospitalisé en chirurgie. A noter l'insuffisance rénale suscitée. En cours de séjour, le 27.01.2019, nous notons une insuffisance respiratoire aiguë avec une désaturation sous 3 l d'O2 à 84% et une perturbation de la gazométrie (pH 7,24). Au vu de ces éléments, Mr. Y est transféré le même jour aux soins intensifs de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour la suite de la prise en charge. Il s'agit d'un patient de 91 ans, connu pour une fibrillation auriculaire paroxystique non anticoagulée et des chutes à répétition pour lesquelles il a été hospitalisé à trois reprises en gériatrie durant l'année 2018, avec une dernière hospitalisation en octobre 2018 dans notre service. Ce jour, Mr. Y reconsult les urgences accompagné de sa fille et adressé par son infirmière à domicile en raison d'une baisse d'état général dans un contexte d'hospitalisation de l'épouse et de douleurs thoraciques depuis 3 jours. Plus précisément, le patient rapporte des douleurs thoraciques inconstantes depuis 3 jours qu'il signale surtout le soir au niveau des côtes 1 à 3 à gauche, non respiro-dépendantes, reproductibles à la palpation, sans notion d'oppression thoracique ni d'irradiation. Mr. Y remarque également une légère dyspnée à l'effort ces derniers jours, sans toux, ni fièvre ni frissons. Le patient rapporte un gros effort il y a 7 jours pour relever sa femme qui était tombée. En raison d'œdèmes aux membres inférieurs, notons aussi que Mr. Y était au bénéfice de Torem 20 mg 2x/j du 19.12.2018 au 26.12.2018, puis 20 mg 1x/j. Depuis, le patient relève avoir perdu 5 kg et constaté la disparition de ses œdèmes. Les soins à domicile passent 2x/jour pour mettre les bas de contention et une infirmière visite Mr. Y 1x/semaine. Les repas sont faits par l'épouse sous les indications du patient, et les courses par la fille. L'ECG ne montre pas de STEMI. La cinétique des troponines exclut un NSTEMI. Il n'y a pas de syndrome inflammatoire mais une insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 125 µmol/l et une urée à 16.1 mmol/l. Nous hydratons le patient et l'hospitalisons pour insuffisance rénale aiguë et baisse d'état général en gériatrie aiguë.Nous reprenons le Torem à 5 mg à partir du 27.12.2018 avec un suivi pondéral qui constate une baisse régulière (environ 1 kg). Après 24 h, nous arrêtons aussi la perfusion de NaCl, la fonction rénale s'étant normalisée. Devant la question de l'instauration d'une anticoagulation orale, le patient présentant une fibrillation auriculaire paroxystique avec un score CHA2DS2 VASc à 3, HAS BLED, nous renonçons à l'introduction de ce type de médication. Mr. Y présente un risque de chute, avec des chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle, dont nous retenons en particulier une sarcopénie, une luxation antéro-inférieure de l'épaule droite, la maladie de Parkinson ainsi que des troubles cognitifs. Durant son séjour, le patient effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, Mr. Y marche relativement en sécurité avec une canne et peut gravir une vingtaine de marches avec l'aide de la rampe. Il est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 105/126 par rapport à 89/126 à l'entrée (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 25 secondes sans moyen auxiliaire. Le risque de chute est intermédiaire. Au niveau nutritionnel, Mr. Y présentait un apport oral insuffisant en début de séjour, en lien avec une inappétence ainsi qu'avec l'absence de son épouse qui est un proche aidant, et démontré par la consommation de 75 % de ses apports habituels sur la dernière semaine. Son indice de masse corporelle s'élève à 24.5 kg/m2. Finalement une sortie est décidée le 07.01.2019 avec un retour à la maison. Les soins à domicile passeront 2 x / jour pour les bas de contention, l'aide à l'habillage et au déshabillage, ainsi qu'à la toilette, et 1 x / semaine pour le semainier et un contrôle des paramètres (tension artérielle, pouls, poids). Il s'agit d'un patient que suite à une entorse du pied présente une entorse de Chopart. Nous mettons en place une attelle plâtrée jambière postérieure et de la Clexane. Marche en décharge, antalgie donnée. Contrôle en policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Arrêt du sport. Il s'agit d'un patient qui a depuis une semaine des douleurs aspécifiques. Les examens de laboratoire et clinique et la bonne évolution clinique permettent d'exclure des pathologies abdominales majeures et il peut s'agir plutôt de douleurs aspécifiques d'origine indéterminée. Nous préconisons de l'antalgie selon besoin et un contrôle clinique chez le médecin traitant si nécessaire. Il s'agit d'un patient qui a probablement une luxation du tendon extenseur/rupture de la bandelette sagittale des doigts 3 et 4 à gauche. Nous mettons en place une attelle en extension des doigts et organisons une imagerie et un contrôle pour demain le 31.01.2019 à 11 h 00. Le patient sera à jeun depuis 5 h du matin. Il s'agit d'un patient qui présente une fracture en motte de beurre distale du radius gauche. Nous poursuivons le protocole standard pour le traitement de la fracture susmentionnée. Il s'agit d'une patiente de 89 ans, aux multiples antécédents et co-morbidités, qui chute le 10.12.2018. Le bilan radio-clinique aux urgences met en évidence la fracture suscitée pour laquelle l'indication opératoire est retenue. L'intervention se déroule le 13.12.2018 sans complication. Le contrôle radiologique post-opératoire montre une tête légèrement grande, raison pour laquelle la patiente est réopérée avec changement de tête de prothèse céphalique le 19.12.2018. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre. Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche en charge selon douleurs, sous protection de cannes anglaises, ceci durant 6 semaines. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane est instaurée, avec reprise du Xarelto à doses thérapeutiques dès 48 heures post-opératoires. La patiente présente une désaturation post-opératoire le 13.12.2018 nécessitant un transfert aux lits d'observation où elle bénéficie de la mise en place de la Bipap, mal tolérée. Une oxygénothérapie aux lunettes nasales et CPAP est alors mise en place, avec amélioration spontanée de la SaO2 à 95 %. La patiente bénéficie d'une hydratation avec, comme cible, une diurèse à 500 ml / 12 heures. Vu l'amélioration clinique, la patiente revient à l'étage. Mme. Y souffre d'une décompensation cardiaque globale pour laquelle un traitement est instauré sur avis de nos collègues en médecine interne. En outre, une infection urinaire basse motive l'instauration d'une antibiothérapie par Uvamine 2 x 100 mg / jour pendant 5 jours. Une constipation est traitée par laxatifs. En raison de douleurs abdominales, le Dr. X propose l'organisation d'une cholécystectomie à distance. La patiente présente également une dénutrition, raison pour laquelle elle bénéficie d'un suivi nutritionniste lors de l'hospitalisation. Une crise hypertensive jusqu'à 219/110 mmHg le 16.12.2018 est résolue par un traitement symptomatique. La patiente souffre d'un angor le 18.12.2018 et un consilium cardiologique est demandé au Prof. X. Un angio-CT permet d'exclure une embolie pulmonaire et/ou une dissection aortique. Un traitement symptomatique est mis en place. Concernant le problème d'insuffisance cardiaque de longue date jamais vraiment investiguée, une discussion a lieu avec le fils et le petit-fils de Mme. Y le 23.12.2018. Un consilium cardiologique est demandé au Dr. X qui propose une investigation plus approfondie par le cardiologue traitant de la patiente, le Dr. X. Enfin, une escarre de décubitus de la fesse gauche stade I est traitée par l'application, une fois par jour, d'huile de Sanyrene, avec soins. Le 28.12.2018, Mme. Y est transférée dans le service de gériatrie aiguë pour suite de la prise en charge. Il s'agit d'un petit kyste ténosynovial qui est en ce moment olygosymptomatique. J'ai dit à la patiente qu'elle peut me contacter à tout moment pour une piqûre du kyste et infiltration par cortisone dans le cas où il redeviendrait un problème. Je me tiens à disposition. Il s'agit d'un premier épisode de dyspnée sifflante avec réponse spectaculaire aux Bêta 2 mimétiques. Il s'agit d'un 2ème épisode de bronchiolite sifflante avec bonne réponse aux Bêta mimétiques. Il s'agit d'une activation des douleurs de l'épaule droite sur une dégénérescence du tendon sus-épineux sur une tendinite calcanéenne et une activation d'une arthrose. Dans un 1er temps, on va commencer un traitement par de la physiothérapie selon le schéma de San Antonio et voir l'évolution dans 6 semaines. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'à fin février avec prolongation de l'arrêt si nécessaire par le médecin traitant. Prochain contrôle dans 6 semaines. Il s'agit d'une fracture délicate. Théoriquement, il existe une indication opératoire étant donné que plus de 50 % de la surface articulaire est atteinte. Par contre, je n'objective pas de subluxation de la phalange distale et un containment articulaire correct. Je suis surpris de retrouver cette constellation, toutefois inhabituelle. Étant donné que le patient n'a pas été immobilisé dans les 2 semaines suivant la fracture, et qu'il n'est survenue aucune subluxation de P3, il me semble inadéquat de proposer une ostéosynthèse, connaissant les difficultés de telles ostéosynthèses. À long terme, si la fracture se guérit dans sa position actuelle, le patient va garder une bonne fonction de l'IPD de D5 gauche. Le patient est également partant pour un traitement conservateur et ne souhaite pas d'intervention. Nous mettons donc en place une attelle Stack thermoformée qu'il doit porter jour et nuit. Un prochain contrôle est prévu à ma consultation le 12.02.19.Il s'agit d'une myosite dans un contexte de pneumonie probablement virale. Pas de myoglobinurie, la fonction rénale étant normale, retour à domicile avec un contrôle clinique chez le pédiatre. Il s'agit d'un patient de 52 ans, en bonne santé habituelle, hospitalisé le 08.01.2019 en vue d'une cure de hernie inguinale bilatérale laparoscopique réalisée par le Dr. X le jour même, intervention qui se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples, les douleurs sont gérées par l'antalgie standard et Mr. Y peut retourner à domicile le 08.01.2019. La prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour est à poursuivre jusqu'au 10.01.2019. Il s'agit d'une patiente âgée de 67 ans, qui fait un malaise avec prodromes (sudation et palpitation) dans la salle d'attente de l'orthopédie où elle a rendez-vous pour la prise en charge chirurgicale de la fracture susmentionnée. Pour rappel, la patiente a fait une chute à son domicile le 23.12.2018 avec réception sur le poignet G. L'intervention se déroule le 28.12.2018, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La patiente ne présente pas de trouble neuro-vasculaire. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. La plaie opératoire évolue favorablement, elle est calme et sèche durant le séjour. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de l'ergothérapie. Les douleurs sont bien gérées par une antalgie de base. Au vu d'une bonne évolution, la patiente est autorisée à retourner à son domicile le 29.12.2018. Il s'agit d'une patiente de 17 ans à 12 2/7 semaines d'aménorrhée d'une grossesse marquée par une ambivalence et prise de Mifegyne à 7 semaines d'aménorrhée qui consulte pour un saignement vaginal. Les saignements ont débuté depuis la veille de quantité comme des règles, avec des caillots, et associés à des douleurs abdominales à type de règles. La patiente n'était pas venue prendre le Cytotec en raison d'une ambivalence. En effet, elle souhaitait garder la grossesse malgré des projets de vie incompatibles avec une grossesse. Le géniteur la soutient quelle que soit sa décision. A l'examen clinique, la patiente est normocarde, normotendue et afébrile. L'abdomen est souple et indolore sans défense ni détente. Le spéculum objective un col ouvert et un saignement actif avec quelques caillots. L'échographie montre un endomètre hétérogène épais de 14 mm sans visualisation d'un sac gestationnel. Le laboratoire s'avère normal avec une hémoglobine à 143 G/l. Nous décidons donc d'une hospitalisation avec administration de Cytotec durant 48h. Le Cytotec est administré sans complication. Au vu de la persistance du matériel hétérogène dans la cavité utérine et du projet de voyage à l'étranger avec un vol de longue durée pour le Brésil, nous proposons un curetage évacuateur afin d'éviter les complications éventuelles pendant le vol. Le curetage est effectué le 01.01.2019 sans complications. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile en bon état général le 01.01.2019. Il s'agit d'une patiente de 18 ans, 1G 0P, qui consulte pour une grossesse non désirée, suite à un rapport sexuel non protégé, sans ambivalence, à 7 6/7 semaines d'aménorrhée. La patiente désire un curetage interrupteur et signe un consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 17.01.2019 et se déroule sans complications. Les suites post-opératoires sont favorables et la patiente rentre à domicile le jour même de l'intervention. Elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 19 ans, primigeste, porteuse d'un stérilet Mirena depuis 3 ans, qui est hospitalisée pour une grossesse extra-utérine gauche rompue à 6 semaines d'aménorrhée. La patiente présente une douleur d'apparition subite post-coïtal, avec péjoration durant la nuit et extension à tout l'abdomen. A l'admission dans notre service, la patiente est normotendue mais tachycarde. A l'examen clinique, l'abdomen est dépressible avec défense et détente en fausse iliaque gauche, pas de saignement vaginal et le fil de Mirena n'est pas visible. A l'échographie endovaginale, nous visualisons un stérilet en place et un endomètre fin, un hématosalpinx avec une image de sac gestationnel avec vésicule viteline para-annexielle gauche et un hémopéritoine important. Le taux de bêta HCG revient à 2'457 U/L. Nous posons l'indication à une laparoscopie exploratrice, que la patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention se déroule le 22.01.2019, confirmant la présence d'une grossesse ampulaire gauche, avec un hémopéritoine d'environ 1500 ml. Nous effectuons une salpingectomie gauche et envoyons le matériel en analyse anatomopathologique. En fin d'intervention, les pertes sanguines sont estimées à 1700 ml. L'évolution post-opératoire est favorable et l'anémie spoliative nécessite une transfusion de 1 CE. L'Hb de contrôle est à 88 g/l et nécessitera une perfusion de Ferinject 1000 mg IV ordre unique à agender dans 2 semaines. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile et sera revue dans 10 jours en consultation ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 20 ans, primigeste, qui consulte en ambulatoire pour une grossesse non désirée et désire interruption volontaire de grossesse, sans ambivalence, à 11 5/7 semaines d'aménorrhée. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons un curetage interrupteur. Elle accepte et signe le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 16.01.2019 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste apyrétique. Elle reviendra pour un contrôle échographique dans 4 semaines en consultation ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 22 ans, 1G 0P, admise pour une grossesse non désirée sous pilule avec possible oubli, sans ambivalence, à 7 4/7 semaines d'aménorrhée. La patiente souhaite une interruption médicamenteuse par Cytotec. Elle accepte et signe le consentement éclairé. La patiente n'a pas expulsé après avoir reçu 2 doses de Cytotec (1 x 400 ug). Elle revient pour un contrôle échographique dans 10 jours en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 22 ans, 1G 0P, à 7 2/7 semaines d'aménorrhée, admise pour interruption médicamenteuse de grossesse non désirée, sans ambivalence. Grossesse sur stérilet en cuivre retiré le 16.01.2019. Nous lui proposons une interruption médicamenteuse. Elle accepte et signe le consentement éclairé. La patiente a expulsé après avoir reçu 1 dose de Cytotec (1 x 400 ug). Elle reviendra pour un contrôle échographique dans 4 semaines, à notre consultation ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 23 ans qui consulte le 23.01.2019 aux urgences de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal en raison de douleurs abdominales généralisées présentes depuis deux jours. L'examen clinique et l'échographie abdominale parlent en faveur d'une appendicite. La biologie montre un syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 17 G/l et une CRP à 46 mg/l. Au vu d'un manque de place à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal, la patiente nous est transférée pour prise en charge opératoire d'une péritonite de l'hémi-abdomen droit et du pelvis sur appendicite gangreneuse avec abcès dans le méso-appendice. Mme. Y bénéficie le même jour d'une appendicectomie, avec lavage et drainage péritonéaux par laparoscopie. Les suites post-opératoires immédiates sont rassurantes. Une antibiothérapie IV par Rocéphine et Flagyl est instaurée pour la durée de son séjour hospitalier. En cours d'hospitalisation, nous observons une bonne évolution clinique, avec reprise d'une alimentation normale et une bonne gestion des douleurs par une antalgie simple per os. Le 28.01.2019, le drain de Jackson-Pratt est retiré et la patiente est autorisée à quitter notre service, avec poursuite d'une antibiothérapie per os par Co-Amoxi 1 g - 2 x/jour jusqu'au 02.02.2019 et une antalgie en réserve. Elle sera revue à la FUA de notre établissement pour contrôle et ablation des fils le 04.02.2019. D'ici là, la réfection des pansements sera effectuée par ses soins.Il s'agit d'une patiente de 23 ans, 1G 0P à 11 0/7 semaines d'aménorrhée, adressée par son gynécologue Dr. X, pour une interruption volontaire de grossesse. Pas d'ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons un curetage interrupteur. Elle accepte et signe le consentement éclairé. L'interruption est effectuée le 25.01.2019 et se déroule sans complication permettant un retour à domicile le jour même de l'intervention. La contraception future se fera par pilule progestative (Cérazette). Il s'agit d'une patiente de 23 ans, 1G 0P qui souhaite une interruption volontaire de grossesse, à 9 6/7 semaines d'aménorrhée. La patiente signe un consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 18.01.2019 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont favorables. Elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 23 ans, 2G 1P, transférée de l'hôpital du Daler pour un rapprochement mère-enfant à J1 d'un accouchement par voie basse spontanée compliqué d'une rétention des membranes raison pour laquelle une révision des 3 étages est effectuée. Elle a donné naissance par voie basse à un garçon pesant 3325 g, Pha 6.96 Phv 7.16, APGAR 7. 8. 9 et qui a nécessité un transfert en néonatologie pour asphyxie néonatale. Les suites post-partales dans notre service sont simples et favorables. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complication. L'anémie du post-partum est bien tolérée par la patiente. La contraception future se fera par préservatif si besoin. Contrôle post-partum dans 6 semaines, à votre consultation. Il s'agit d'une patiente de 23 ans, 3G 1P, hospitalisée ce jour pour interruption volontaire de grossesse non désirée, sans ambivalence, à 7 4/7 semaines d'aménorrhée. Grossesse non désirée suite à oubli de pilule Elyfem 30. Pilule bien supportée. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption médicamenteuse par Mifégyne et Cytotec. Elle accepte et signe un consentement éclairé. Après avoir reçu 2 doses de Cytotec (1 x 400 ug), l'expulsion n'est toujours pas objectivée. Elle reviendra pour un contrôle échographique dans 10 jours en consultation ambulatoire après avoir reçu les consignes de consultation en urgence. Il s'agit d'une patiente de 25 ans, 1G 0P, à 19 5/7 semaines d'aménorrhée, admise pour interruption thérapeutique de grossesse pour malformation cardiaque sévère. Elle accepte et signe le consentement éclairé. Elle bénéficie d'un traitement selon protocole par Mifégyne le 23.01.2019 et Cytotec le 25.01.2019. La patiente a expulsé après avoir reçu 3 doses de Cytotec (400 ug) d'un foetus de sexe masculin sans anomalies morphologiques manifestes. L'autopsie est en cours. En raison d'une rétention placentaire partielle, un curetage est effectué le 26.01.2019 qui se déroule sans complications. Sevrage primaire de l'allaitement par Dostinex. Il s'agit d'une patiente de 27 ans, 3G 1P, à 9 1/7 semaines d'aménorrhée, qui lors d'un test de grossesse positif nous demande une interruption volontaire de grossesse sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption chirurgicale. La patiente accepte l'intervention ainsi que ses risques et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont favorables. Au vue d'une bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le jour même en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 28 ans, 1G 0P, qui face à un test de grossesse positif nous demande une interruption volontaire de grossesse sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, on propose une interruption volontaire de grossesse chirurgicale, que la patiente comprend et accepte les risques en signant le consentement éclairé. L'intervention a lieu le 01.02.2019 et se déroule sans complications. Comme contraception future, la patiente désire en rediscuter avec son gynécologue traitant et en attendant, utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente regagne son domicile en fin de soirée en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 28 ans, 3G 1P, admise en salle d'accouchement le 13.01.2019 en raison de douleur au niveau d'une hernie ombilicale. Pour rappel, la patiente a bénéficié d'une cure d'hernie ombilicale avec pose de filet intra-abdominal par laparoscopie en 2009. Elle présente une récidive de cette hernie lui occasionnant des douleurs ayant motivé un avis chirurgical le 23.11.2018 concluant à un traitement conservateur. La patiente se présente pour des douleurs hyperintenses apparues le 13.01.2019 au soir sans facteur déclenchant. L'abdomen est souple avec des bruits normaux. Nous objectivons une petite hernie ombilicale de 1.5 cm qui semble réductible. Un US de paroi et un avis chirurgical concluent à une hernie ombilicale graisseuse non-incarcérée sur un lipome pré-péritonéal. Dans ce contexte et en raison des douleurs importantes, l'indication à une provocation par Misodel est posée. La patiente se met en travail et accouche rapidement d'un garçon pesant 3270 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles, à noter le développement d'un hémorroïde externe non-thrombosé douloureux. Les douleurs abdominales sur le lipome cèdent rapidement. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Depo-provera, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Concernant l'hernie, la patiente reconsultera en cas de récidive de la symptomatologie douloureuse. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 17.01.2019, en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 29 ans, qui consulte en ambulatoire pour une grossesse non désirée et désir d'interruption volontaire de grossesse, sans ambivalence, à 12 0/7 semaines d'aménorrhée. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons un curetage interrupteur. Elle accepte et signe le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 16.01.2019 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste apyrétique. Elle reviendra pour un contrôle échographique dans 4 semaines, en consultation ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 29 ans, 1G 0P, à 6 3/7 semaines d'aménorrhée, admise pour interruption volontaire de grossesse, sans ambivalence. Nous lui proposons une interruption médicamenteuse par Mifégyne et Cytotec. Elle accepte et signe le consentement éclairé. La patiente a expulsé après avoir reçu 2 doses de Cytotec (1 x 400 ug). Elle reviendra pour un contrôle échographique dans 4 semaines, à notre consultation ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 29 ans, 2G 1P, adressée par Dr. X pour un curetage évacuateur d'une grossesse non évolutive (oeuf clair), date des dernières règles fin octobre. La patiente désire un curetage évacuateur et signe un consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 18.01.2019 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont favorables. Elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines chez le gynécologue traitant. Il s'agit d'une patiente de 31 ans, 1G 0P, à 9 6/7 semaines d'aménorrhée le 01.02.2018, qui lors d'un test de grossesse positif demande une interruption volontaire de grossesse sans ambivalence. Après discussion avec son gynécologue traitant, il nous adresse la patiente pour une interruption volontaire de grossesse médicamenteuse, mais à notre consultation, la patiente se décide pour une interruption chirurgicale en raison de l'âge gestationnel. La patiente accepte l'intervention et ses risques en signant le consentement éclairé. En raison d'une vaginose bactérienne diagnostiquée lors du PAP-test, on propose un traitement par Fluomizin.L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont favorables. Au vu d'une bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le jour même en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 31 ans, 2G 0P, à 12 3/7 semaines d'aménorrhée qui présente une grossesse non évolutive arrêtée à 5 semaines d'aménorrhée. Adressée par Dr. X après échec de traitement par Cytotec 400 mcg 3x/jour du 5 au 9 janvier. La patiente est admise pour un curetage évacuateur et accepte l'intervention et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont favorables. Au vu d'une bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile ce jour et elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 31 ans, 2G 0P, à 12 3/7 semaines d'aménorrhée qui présente une grossesse non évolutive arrêtée à 5 semaines d'aménorrhée, admise pour un curetage évacuateur. La patiente accepte l'intervention et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont favorables. Au vu d'une bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile ce jour et elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 31 ans, 4G 3P, à 11 0/7 SA, suivie en ambulatoire pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons un curetage interrupteur. Elle accepte et signe le consentement éclairé. L'interruption est effectuée le et se déroule sans complication permettant un retour à domicile le jour même de l'intervention. La contraception future se fera par Implanon qui sera posée à la consultation post-opératoire. Il s'agit d'une patiente de 33 ans, 3G 1P, à 8 2/7 semaines d'aménorrhée, suivie en ambulatoire pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons un curetage interrupteur. Elle accepte et signe le consentement éclairé. L'interruption est effectuée le 25.01.2019 et se déroule sans complication permettant un retour à domicile le jour même de l'intervention. La contraception future se fera par pilule progestative (Cérazette). Il s'agit d'une patiente de 33 ans, 5G 1P, suivie en ambulatoire, et qui présente une grossesse non évolutive à 8 5/7 semaines d'aménorrhée. Au vu du haut risque hémorragique et après échec d'expulsion médicamenteuse par Cytotec, on propose l'indication à une expulsion chirurgicale par hystéroscopie Campo. La patiente accepte l'intervention et signe le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 10.01.2019 et se complique d'une hémorragie après évacuation du matériel de conception. Les pertes sanguines sont estimées à 1000 ml. L'intervention nécessite une compression intra-cavitaire par un ballonnet puis embolisation des artères utérines, 2g de Cyklokapron, 2g de Fibrinogène. Le ballonnet intracavitaire est retiré le 10.01.2019 après stabilisation de la patiente. Les suites post-opératoires sont favorables et la patiente reste hémodynamiquement stable. L'anémie spoliative à 94 g/l est substituée par Maltofer 100 mg une fois par jour pendant 3 mois. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 11.01.2019. Elle revient pour un contrôle échographique dans une semaine en ambulatoire avec contrôle des BHCG. Il s'agit d'une patiente de 33 ans, 5G 1P, suivie en ambulatoire et qui présente une grossesse non évolutive à 8 5/7 semaines d'aménorrhée. Au vu du haut risque hémorragique, nous lui proposons une expulsion médicamenteuse par Cytotec après traitement par Mifegyne le 07.01.2019. Elle accepte et signe le consentement éclairé. Échec d'expulsion médicamenteuse après 3 doses de Cytotec (1 x 400 ug). Elle reviendra le 10.01.2019 pour une ablation du sac gestationnel. Il s'agit d'une patiente de 33 ans, 9 gestes 5 pares, suivie en ambulatoire pour une grossesse non désirée, découverte à 9 5/7 semaines d'aménorrhée. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption de grossesse par curetage. Elle accepte et signe le consentement éclairé. L'intervention était programmée le 03.01.2019, mais la patiente avait annulé l'intervention. Le jour suivant, elle nous contacte afin de demander une interruption de grossesse. Au vu de l'ambivalence, nous organisons un consilium psychiatrique qui pose l'indication d'une interruption au vu d'une détresse maternelle importante. Le curetage interrupteur est effectué le 10.01.2019 et se déroule sans complication. On pose un stérilet Mona Lisa en per-opératoire. Elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 35 ans, 4G 1P, à 9 3/7 semaines d'aménorrhée qui nous est adressée par son gynécologue pour la prise en charge chirurgicale d'une grossesse non évolutive. Grossesse sur IIU et lors du contrôle échographique de datation, on met en évidence une grossesse bichoriale arrêtée. Après discussion, son gynécologue lui propose un curetage évacuateur que la patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention a lieu le 01.02.2019 et se déroule sans complications. Le produit de curetage est envoyé en anatomo-pathologie. Les suites post-opératoires sont simples et favorables. Au vu de la bonne évolution, la patiente regagne son domicile en fin de soirée en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 36 ans, 5G 3P, à 8 0/7 semaines d'aménorrhée, admise pour interruption médicamenteuse de grossesse non désirée, sous patch oestro-progestatif avec partenaire stable. La patiente souhaite une interruption médicamenteuse par Cytotec. Elle accepte et signe le consentement éclairé. La patiente a expulsé après avoir reçu 2 doses de Cytotec (1 x 400 ug) mais qui est compliquée d'une rétention de matériel hémorragique avec pertes sanguines estimées à 600 ml. L'anémie spoliative avec Hb à 96 g/l est traitée par Maltofer 100 mg 1x/jour. Elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 38 ans, connue pour une maladie de Crohn dont le dernier épisode douloureux remonte à mai 2018, avec iléite sténosante ainsi que lésion hépatique du segment VII, adressée par Dr. X, gastro-entérologue, pour prise en charge de douleurs et de vomissements alimentaires. L'examen clinique à l'entrée montre des bruits diminués en fréquence et en tonalité dans les quatre quadrants avec un abdomen douloureux en péri-ombilical. Signe de Murphy négatif, Mc Burney négatif. Il n'y a pas de défense, ni de détente. Pas d'hépato-splénomégalie. Le laboratoire montre une leucocytose à 14.8 G/l et une CRP à 23 mg/l, avec un pic le lendemain à 62 mg/l. Nous effectuons un CT abdominal injecté qui montre une récidive, DD persistance, de l'iléite terminale, cependant moins sténosante, avec infiltration de la graisse périphérique, sans autres complications. L'évolution clinique et biologique est rapidement favorable sous Rocéphine 2 g iv - 1 x/jour et Flagyl 500 mg iv - 2 x/jour, et perfusion. Les douleurs s'estompent et le transit se maintient. La reprise progressive de l'alimentation ne pose pas de problème. Le 11.01.2019, la patiente peut regagner son domicile. Nous proposons la poursuite de l'antibiothérapie de Ciprofloxacine 500 mg - 2 x/jour et Metronidazole 500 mg - 3 x/jour pour un total de 10 jours. Nous laissons le Dr. X, gastro-entérologue traitant, évaluer la suite de la prise en charge de la maladie de Crohn de la patiente. Un rendez-vous de contrôle à sa consultation est d'ores et déjà prévu pour le 14.01.2019. A noter que sur le CT, la lésion hépatique du segment VII reste stable en comparaison du CT de mai 2018, prenant le contraste, compatible avec une hyperplasie focale nodulaire. Il s'agit d'une patiente de 38 ans, 1G0P, à 9 0/7 semaines d'aménorrhée qui présente une grossesse non évolutive arrêtée à 6 0/7 semaines d'aménorrhée, admise pour un curetage évacuateur. La patiente accepte l'intervention et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont favorables. Au vue d'une bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile ce jour et elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 38 ans, 2G 1P, à 10 2/7 semaines d'aménorrhée qui présente une grossesse non évolutive arrêtée à 8 6/7 semaines d'aménorrhée, admise pour un curetage évacuateur. La patiente accepte l'intervention et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont favorables. Au vue d'une bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile ce jour et elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 38 ans, 3G 1P, à 9 3/7 semaines d'aménorrhée, admise pour interruption de grossesse, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption chirurgicale. La patiente accepte l'intervention et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont favorables. Au vue d'une bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile ce jour et elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en consultation ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 38 ans, 3G2P, à 6 semaines d'aménorrhée, admise pour interruption de grossesse, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption chirurgicale. La patiente accepte l'intervention et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont favorables. Au vue d'une bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile ce jour et elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 38 ans, 4G 3P à 10 4/7 semaines d'aménorrhée, adressée par son gynécologue Dr. X, pour l'interruption volontaire chirurgicale d'une grossesse non désirée après ablation de DIU par hystéroscopie et stérilisation tubaire par laparoscopie. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons un curetage interrupteur. Elle accepte et signe le consentement éclairé le 21.01.2019. L'ablation de DIU sous vision, le curetage interrupteur et la stérilisation tubaire sont effectués le 25.01.2019 sans complication, permettant un retour à domicile le jour même de l'intervention. Il s'agit d'une patiente de 41 ans, 5G 2P à 9 3/7 semaines d'aménorrhée, suivie en ambulatoire pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons un curetage interrupteur. Elle accepte et signe le consentement éclairé le 22.01.2019. L'interruption de grossesse et pose DIU Mona-Lisa CU 375 SL sont effectuées le 25.01.2019 et se déroulent sans complication, permettant un retour à domicile le jour même de l'intervention. Il s'agit d'une patiente de 42 ans en bonne santé habituelle, connue pour une cure d'hallux valgus du pied gauche et suivie à la consultation du Dr. X. Ce dernier objective une récidive de l'hallux valgus du pied gauche, ainsi que l'apparition d'un névrome de Morton de la troisième commissure, probablement sur la première cure d'hallux valgus. L'indication chirurgicale est retenue et la patiente entre élective le 07.01.2019 pour l'intervention suscitée réalisée par le Dr. X le même jour. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples, avec des douleurs bien gérées par l'antalgie standard. Les plaies opératoires sont calmes et sèches, le retour à la marche se fait dès le premier jour, sous protection d'une chaussure Barouk et de cannes anglaises, sous la supervision des physiothérapeutes. Devant la bonne évolution clinique, la patiente peut retourner à domicile le 08.01.2019. Il s'agit d'une patiente de 42 ans, en bonne santé habituelle, qui est amenée par ambulance aux urgences suite à une chute en pratiquant de la luge, avec réception sur les fesses, sur une neige dure et bosselée. Pas de traumatisme crânien, ni perte de connaissance. La patiente a ressenti un craquement au bas du dos, elle ne présente pas de trouble sensitivomoteur. Par ailleurs, l'anamnèse révèle une cystite hémorragique il y a une semaine, en voie de résolution, traitée par trois jours d'antibiotiques. A l'examen clinique, la patiente est en bon état général, bien hydratée, bien perfusée. Auscultation cardio-pulmonaire sans particularité. Abdomen et loges rénales souples et indolores. Sur le plan neurologique, la patiente est collaborante, pupilles isocores et isoréactives. Nerfs crâniens grossièrement dans la norme, sans latéralisation nette. Force, tonus et sensibilité conservés aux quatre membres. Réflexes ostéo-tendineux symétriques aux quatre membres. Rachis indolore à la percussion. Le bilan biologique est dans la norme, le sédiment urinaire met en évidence une hématurie microscopique avec 11 à 20 érythrocytes/champ. Le bilan radiologique montre une fracture de D12. Le bilan est complété par un CT qui confirme une fracture-tassement par compression simple du plateau supérieur de la vertèbre D12, sans recul du mur postérieur, sans autre lésion visualisée. La patiente est hospitalisée dans le service d'orthopédie pour traitement conservateur et antalgie. Nous prenons contact avec le Dr. X du Team Spine de l'HFR Fribourg qui propose une mobilisation libre, sans corset. La patiente ne devra pas faire de sport, ni d'effort durant 1 mois et une radiographie en orthostatisme devra être effectuée dans 5 jours. En raison de l'hématurie microscopique, le bilan radiologique est complété par un ultrason qui permet d'exclure toute lésion rénale. L'évolution est favorable, l'antalgie efficace et la patiente peut retourner à domicile le 21.01.2019, en possession du CD des examens radiologiques. Il s'agit d'une patiente de 42 ans en bonne santé habituelle, qui est hospitalisée par le Dr. X, ORL, en vue d'un drainage d'abcès péri-amygdalien droite et d'une amygdalectomie bilatérale. En effet, depuis le 01.01.2019, la patiente présente des maux de gorge avec odynodysphagie, sans état fébrile, ni frissons. Pas de trouble respiratoire. A l'examen de la sphère ORL, présence d'une tuméfaction et d'un érythème de l'amygdale droite. Epiglotte fine. Pas d'adénopathie cervicale. Otoscopie sans particularité des deux côtés. L'intervention se déroule le 04.01.2019, sans complication. Les suites opératoires sont favorables, la patiente est hémodynamiquement stable, non algique. Après reprise d'une alimentation normale, la patiente peut retourner à domicile le 05.01.2019. Elle poursuivra l'antibiothérapie par Klacid 3 x 500 mg/jour jusqu'au 13.01.2019 inclus. Il s'agit d'une patiente de 44 ans, aux antécédents suscités, notamment connue pour pancréatite chronique et un statut post-cholécystectomie en 2013, qui présente des douleurs basi-thoraciques gauches deux heures avant l'admission. Celles-ci sont intenses, à type coups de couteau, irradiant vers le dos, raison d'une consultation aux urgences. A noter deux épisodes de vomissements à domicile. Pas d'état fébrile.A l'examen clinique, l'abdomen est augmenté de volume, les bruits intestinaux sont normaux en fréquence et en tonalité, douleurs à la palpation épigastrique et de l'hypochondre gauche. Présence d'une défense, sans détente. Signe de Murphy négatif. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire léger avec CRP à 9 mg et leucocytose à 14,1 G/l. Les tests hépatiques sont dans la norme, hormis quelques signes de cholestase avec gamma GT à 74 U/l, lipase augmentée à 8709 U/l. Dans un contexte de douleurs épigastriques, un premier train de troponines est demandé, revenant à 6 ng/l. Sur avis du Dr. X, nous décidons d'hospitaliser la patiente au sein du service de chirurgie pour suivi clinico-biologique. Dans le décours de l'hospitalisation, une cholangio-IRM est prévue afin d'exclure la présence d'un calcul résiduel dans les voies biliaires malgré l'atcd de cholécystectomie chez la patiente en 2013. L'IRM conclut à une pancréatite aiguë Balthazar D, sans image de pseudokyste. La patiente est mise à jeun et bénéficie d'une hydratation parentérale du 26 au 29.12.2018, ainsi que d'une nutrition parentérale du 28 au 29.12.2018. La réalimentation orale est débutée le 29.12.2018, contre avis médical. En effet, la patiente se sent mieux d'un point de vue clinique et vit une situation sociale difficile, elle souhaite absolument quitter l'hôpital et être suivie par vos soins ambulatoirement. Dans ce contexte, Mme. Y regagne son domicile le 29.12.2018, contre avis médical, après avoir signé le formulaire de décharge, ceci malgré un syndrome inflammatoire fortement augmenté (CRP 100 mg/l, leucocytose 11,8 G/l), ainsi qu'une lipase et une amylase perturbées (respectivement 354 U/l, 438 U/l). Les risques et les complications possibles d'une pancréatite aiguë ont été expliqués à la patiente qui les a bien compris. Mme. Y est invitée à se représenter aux urgences en cas d'exacerbation des douleurs. Il s'agit d'une patiente de 45 ans, qui se présente aux urgences pour une douleur constante depuis 2h en FID accompagnée de nausées et sans amélioration avec Dafalgan 1gr et Méfénacide. Pas d'état fébrile. Douleur présente de manière intermittente crampiforme depuis 3 jours. A l'ultrason, nous mettons en évidence deux kystes bi-lobés sur l'ovaire droit (classés IOTA B4), sans autre anomalie. Au vu de la symptomatologie depuis 3 jours et du caractère péjoré de la douleur, nous décidons de faire une laparoscopie exploratrice en raison d'une suspicion de torsion annexielle droite. Le diagnostic est confirmé durant l'intervention. Nous pratiquons une annexectomie droite qui se déroule sans complications. Les suites postopératoires sont simples et la patiente reste afébrile. Elle rentre à domicile en bon état général le 13.01.2019. Il s'agit d'une patiente de 45 ans, 4-gestes 4-pares qui s'est présentée aux urgences le 18.01.2019 en raison d'une suspicion d'appendicite. Elle présente depuis une semaine des douleurs abdominales dans le flanc droit irradiant au niveau suspubien et associées à un état fébrile. Le transit est régulier et les pertes vaginales sont normales. Le laboratoire objective un léger syndrome inflammatoire et l'échographie met en évidence une probable appendicite ainsi qu'une masse rénale gauche. Une laparoscopie exploratrice est alors réalisée avec au status peropératoire, un appendice sain mais du pus dans le Douglas. Une appendicectomie de passage est réalisée et au vu d'abcès tubo-ovariens bilatéraux, des prélèvements sont réalisés. Ces derniers reviennent négatifs pour Chlamydia et Gonocoque. La patiente est alors transférée dans le service de gynécologie pour une antibiothérapie par Rocéphine, Doxycycline et Flagyl. Le DIU Mirena est retiré et mis en culture. Les frottis vaginaux reviennent pour une flore normale. Les suites sont favorables permettant un relais de l'antibiothérapie par levofloxacine-flagyl po et la patiente rentre à domicile le 20.01.2019 en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 46 ans, connue pour une lithiase vésiculaire symptomatique, qui est hospitalisée le 07.01.2019 en vue d'une cholécystectomie élective le jour même réalisée par le Dr. X, intervention qui se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples, l'antalgie est efficace et la patiente peut retourner à domicile le 08.01.2019. Il s'agit d'une patiente de 46 ans, 1G1P, hospitalisée pour une prise en charge chirurgicale d'un utérus polymyomateux symptomatique sous forme d'hyperménorrhées et ménorragies anémiantes. Le bilan préopératoire met en évidence à l'IRM d'un utérus polymyomateux et adénomyosique de 120 x 90 x 110 mm comprenant 17 fibromes dont 1 sous-muqueux intra-cavitaire de 20 mm, les autres étant transmuraux ou sous-séreux. Devant un désir de conception, l'indication à une hystéroscopie opératoire avec résection du fibrome est discutée avec la patiente. Après explication de l'intervention ainsi que de ses risques, la patiente donne son accord en signant le consentement éclairé. L'opération met en évidence 3 fibromes volumineux comblant toute la cavité utérine qu'on a réséqués. Au vu du désir de grossesse, l'hystéroscopie opératoire nécessite un complément de traitement par Estradote puis une hystéroscopie ambulatoire à J7-J8 du prochain cycle menstruel. Les suites postopératoires sont simples et favorables. Les douleurs sont soulagées par une antalgie simple. L'anémie avec une Hb à 78 g/l est bien tolérée par la patiente. Au vu de la bonne évolution, la patiente regagne son domicile le jour même en bon état général. Un rendez-vous de contrôle sera prévu chez le Dr. X à Genève dans 10 jours. Il s'agit d'une patiente de 56 ans, connue pour une cardiomyopathie de non-compaction avec dysfonction systolique sévère, porteuse d'un pacemaker, ainsi que pour un diabète de type 2, une hypertension artérielle, une obésité et une BPCO non datée, hospitalisée dans le service de médecine interne de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal du 03.12 au 13.12.2018 pour une insuffisance respiratoire globale aiguë sur œdème aigu des poumons, qui présente le 26.12.2018 une sensation de serrement rétrosternal ainsi qu'une dyspnée. A l'anamnèse, la patiente décrit une anurie depuis plusieurs heures. Pas de notion d'état fébrile mais toux sèche depuis 2 jours. A noter qu'un changement du pacemaker est prévu pour le 03.01.2019. A l'examen clinique d'entrée, l'auscultation pulmonaire révèle des râles crépitants bi-basaux. Présence également d'œdèmes aux membres inférieurs prenant le godet. La radiographie du thorax montre des signes de surcharge et l'ECG des sus-décalages respectivement de 1 mm et de 2 mm en III et aVF. Deux trains de troponines sont dosés, ne montrant pas de mouvement enzymatique important. Le reste du bilan biologique met en évidence une insuffisance rénale avec une créatinine à 131 umol/l. Le sédiment urinaire est normal. La patiente est hospitalisée en médecine, sous traitement diurétique, pour une décompensation cardiaque. Au vu d'une évolution clinique favorable, son traitement diurétique habituel est repris le 29.12.2018, avec majoration du Torasémide à 50 mg/jour. Dans la nuit du 01 au 02.01.2019, la patiente présente des douleurs thoraciques typiques. Un nouvel ECG se révèle superposable à celui du 26.12.2018. Au vu des facteurs de risque cardiovasculaires, un bilan avec troponine est demandé, ne montrant pas d'augmentation de la cinétique avec des troponines à 17, 18 puis 18 ng/l à H0, H1 et H3 respectivement. Par la suite, la patiente demeure afébrile, hémodynamiquement stable en cours du séjour. Elle présente une diminution progressive des œdèmes des membres inférieurs.Dans l'attente de son intervention, le traitement de Xarelto, Januvia et Ryzodeg est mis en suspens. Le 03.01.2019, Mme. Y est transférée à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour bénéficier du changement de son pacemaker. Elle ne présente plus d'oedème aux membres inférieurs ni de symptomatologie cardio-vasculaire. Il s'agit d'une patiente de 59 ans hospitalisée le 03.12.2018 en médecine à l'HFR Fribourg en raison de douleurs lombaires aiguës. Les investigations ont montré une fracture de L1 d'allure ostéoporotique avec instauration d'un traitement conservateur. Le 10.12.2018, la patiente est transférée en gériatrie aiguë à l'HFR Meyriez pour suite de prise en charge. Au vu de la persistance des douleurs devenant insupportables et de l'échec du traitement conservateur, la patiente est transférée en orthopédie à l'HFR Fribourg pour prise en charge opératoire. Une IRM de la colonne lombaire est réalisée le 14.12.2018 en préopératoire confirmant la présence d'une seule fracture récente au niveau L1. L'intervention chirurgicale se déroule le 17.12.2018, sans incident. Les suites postopératoires sont simples hormis des douleurs thoraciques G le 16.12.2018 motivant un consilium de médecine interne (en annexe); instauration d'un traitement symptomatique. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire reste propre et calme. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane. Au status neurologique de transfert, absence de déficit. Antalgie standard. Le 18.12.2018, Mme. Y est retransférée en gériatrie aiguë à l'HFR Meyriez. Il s'agit d'une patiente de 60 ans qui présente une déformation des deux avant-pieds sur hallux valgus, pour laquelle le Dr. X retient l'indication opératoire. L'intervention se déroule sans complication, des deux côtés, le 18.01.2019. Les suites opératoires sont simples, le contrôle radiologique est en ordre et la réfection des pansements montre des cicatrices calmes et propres. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie standard et le retour à la marche se fait sous la protection de chaussures Barouk dont le port est prévu durant 6 semaines post-opératoires. Mme. Y bénéficie d'une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour à poursuivre jusqu'au 01.02.2019. Devant cette bonne évolution, Mme. Y peut retourner à domicile le 21.01.2019. Il s'agit d'une patiente de 63 ans, connue pour une sclérose en plaques, au bénéfice d'une sonde sus-pubienne à demeure, hospitalisée en électif en chirurgie pour prise en charge chirurgicale, sous anesthésie générale, de lithiases vésicales récidivantes, non symptomatiques, mises en évidence lors de sa dernière consultation auprès du Dr. X le 30.08.2018. A noter que la patiente a déjà bénéficié d'interventions similaires à deux reprises dans le passé. L'intervention se déroule le 30.01.2019, sans complication. Les suites post-opératoires immédiates sont rassurantes et une nouvelle sonde vésicale est mise en place. En raison de la clinique satisfaisante, Mme. Y regagne son domicile le jour même de l'intervention, avec sa sonde vésicale qu'elle changera elle-même dans 5 semaines. A la sortie, la patiente ne bénéficie pas d'antalgie ni d'antibiothérapie. Il s'agit d'une patiente de 63 ans hospitalisée le 23.01.2019 au sein du service de chirurgie pour prise en charge chirurgicale d'une appendicite aiguë diagnostiquée la veille au service des urgences. En effet, un CT Scan réalisé le 22.01.2019 a mis en évidence un appendice rétro-caecal dilaté sans signe de perforation, sans liquide libre dans la cavité abdominale. L'intervention se déroule sans complication et les suites post-opératoires immédiates sont simples. Mme. Y est sous antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 3 x 2,2 g/jour jusqu'au 25.01.2019, puis stoppée. Le soir de l'intervention, en raison de douleurs rétrosternales et dans l'épaule gauche, un ECG est réalisé, ainsi que deux trains de troponines, permettant d'exclure une origine cardiaque à ces douleurs. Nous mettons cet épisode sur le compte d'une probable irritation du nerf phrénique gauche dans le décours de l'intervention chirurgicale. L'évolution est favorable, avec bon contrôle des douleurs sous antalgie simple, avec reprise progressive d'une alimentation normale bien tolérée. Le 25.01.2019, Mme. Y peut retourner à domicile. Il s'agit d'une patiente de 63 ans suivie par le Dr. X pour une gonarthrose gauche. Celui-ci retient l'indication à l'implantation d'une prothèse totale, raison de l'hospitalisation actuelle. L'intervention se déroule sans complication le 21.01.2019, sous antibioprophylaxie par Cefuroxime qui est prolongée durant 24 heures. Les suites opératoires sont favorables, le contrôle radiologique est en ordre et les douleurs sont gérées initialement par cathéter fémoral jusqu'au 25.01.2019, puis par l'antalgie standard habituelle. La réfection du pansement montre une cicatrice calme et sèche. Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche en charge selon douleurs, sous protection de cannes anglaises. Elle bénéficie également d'une mobilisation passive en flexion-extension par Kinétec. Le contrôle biologique montre une hémoglobine à 113 g/l, la chimie est dans la norme. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée et sera poursuivie jusqu'au 04.03.2019 inclus. Devant la bonne évolution, Mme. Y peut retourner à domicile le 28.01.2019. Il s'agit d'une patiente de 65 ans admise dans le service de chirurgie le 14.01.2019 pour prise en charge chirurgicale d'une intussusception recto-rectale sur descente du périnée, principalement postérieure, avec une rectocèle de stade III. L'intervention est réalisée le 14.01.2019 par le Dr. X et consiste en une rectopexie par voie laparoscopique accompagnée d'une colpomyorraphie postérieure sous anesthésie générale. Les suites post-opératoires immédiates sont rassurantes et la patiente est hospitalisée à l'étage de chirurgie avec une antalgie simple per-os. Bonne évolution clinique dans le décours de l'hospitalisation, avec reprise alimentaire normale le jour même et une reprise d'un transit normal au second jour post-opératoire chez une patiente non algique. Face à la bonne évolution, Mme. Y peut retourner à domicile le 17.01.2019. Il s'agit d'une patiente de 65 ans, opérée le 14.01.2019 par le Dr. X pour une rectocèle, qui est adressée aux urgences le 19.01.2019 par Mme. Y en raison d'un état fébrile à 38°, accompagné de nausées et d'anorexie, le tout ponctué de trois épisodes diarrhéiques. La symptomatologie aurait débuté le 17.01.2019, c'est-à-dire dès la fin de l'hospitalisation pour l'opération élective suscitée. A l'arrivée aux urgences, la patiente ne décrit pas de douleurs abdominales mais une certaine gêne épigastrique. Elle ne décrit pas de nausées à ce moment-là, ni de vomissements. A l'examen clinique, nous retrouvons un abdomen souple, indolore, sans défense ni détente. Les bruits intestinaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Le bilan biologique réalisé aux urgences montre un syndrome inflammatoire avec CRP à 299 mg/l et une leucocytose à 12,5 G/l. Un sédiment urinaire est dans la norme. Dans le cadre du bilan, nous effectuons également une radiographie du thorax qui ne montre pas de signe d'appel pour une pathologie. Au vu de l'état fébrile, nous réalisons deux paires d'hémocultures ainsi qu'un urotube et des cultures de selles à la recherche du clostridium difficile.Mme. Seydoux est hospitalisée dans le service de chirurgie. Le lendemain de l'admission, la patiente présente une régression quasi complète de la symptomatologie de manière spontanée, avec un seul épisode de diarrhées dans la nuit du 20 au 21.01.2019 et une absence d'état fébrile. Un nouveau bilan biologique atteste d'une diminution importante du syndrome inflammatoire avec CRP à 159 mg/l, sans leucocytose. Nous recevons également les résultats de la PCR des selles qui est négative pour toutes les toxines, ainsi qu'une culture à clostridium négative également. Au vu de la bonne évolution clinique, l'absence de complications et une diminution du syndrome inflammatoire aux contrôles biologiques, Mme. Seydoux peut regagner son domicile le 22.01.2019 avec un traitement symptomatique par Dafalgan et Primperan en réserve. La patiente est invitée à reconsulter aux urgences en cas de réapparition de la symptomatologie. Il s'agit d'une patiente de 66 ans, connue pour une hernie cervicale C5-C6 droite, qui présente depuis 2 semaines une péjoration de douleurs cervicales connues, avec brûlures intermittentes et engourdissement irradiant au niveau de la face postéro-médiale du membre supérieur droit, du 3ème au 5ème doigt. Un traitement médicamenteux par Co-Dafalgan, Celebrex, Tramadol et Sirdalud a été introduit, associé à une infiltration guidée sous CT le 06.12.2018. Le 17.12.2018, en raison de douleurs évaluées à 10/10, vous nous adressez Mme. Modoux pour gestion de l'antalgie. À l'admission, l'examen neurologique se révèle normal, avec force et sensibilité conservées aux 4 membres. En raison des douleurs importantes, sur avis du Spine Team de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal, une IRM cervicale est réalisée montrant une minime hernie discale droite foraminale rétrécissant au niveau C7-D1 pouvant expliquer les symptômes décrits par la patiente. Une nouvelle infiltration péri-radiculaire C8 droite est ainsi réalisée le 21.12.2018, qui sera suivie d'une consultation de contrôle à 4 semaines auprès du Dr. X, à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal. Dans l'intervalle, un traitement par Oxycontin et Oxynorm est débuté à dose progressive avec introduction d'un traitement par Prégabaline 50 mg - 3 x/jour. La patiente bénéficie également de physiothérapie, à poursuivre en ambulatoire. L'évolution clinique est favorable durant le séjour mais le traitement antalgique par opiacées est tout de même maintenu à la sortie, à dose réduite. Nous vous laissons le soin de l'adapter progressivement selon tolérance. Il s'agit d'une patiente de 68 ans, aux antécédents et co-morbidités notables, notamment connue pour une ostéoporose, qui chute de sa hauteur avec réception sur les fesses. Elle ressent alors des douleurs du dos et du sacrum l'empêchant de se relever. Mme. Chollet est amenée aux urgences par ambulance. Le bilan radio-clinique, complété par un scanner, permet de poser le diagnostic et la patiente est hospitalisée dans le service d'orthopédie pour un suivi clinico-radiologique. Un corset 3 points est confectionné par M. Riedo à cause de l'attitude cyphotique de la patiente. Le corset est bien toléré par Mme. Chollet qui peut se mobiliser à l'aide d'un tintebin et sous la supervision des physiothérapeutes. Une radio de contrôle à J5 suite à la mobilisation montre un tassement de la fracture de plus de 50 % de la hauteur. Sur avis du Team Spine de l'HFR Fribourg, une IRM de la colonne lombaire est effectuée le 17.01.2019 pour compléter le bilan. L'hématurie microscopique mise en évidence à l'entrée sera à contrôler après la consultation du Team Spine le 22.01.2019. Nous vous laissons le soin d'organiser ces investigations à distance. Une hyponatrémie et une hypokaliémie avec insuffisance rénale aiguë sont mises en évidence à l'entrée, avec bonne réponse à l'hydratation et à la substitution. Un épisode de désaturation est observé à l'entrée, dans un contexte de BPCO connue, motivant la mise sous oxygénothérapie aux lunettes. La radiographie du thorax permet d'exclure un foyer infectieux. La patiente reste afébrile et ne présente plus aucune désaturation durant son séjour. L'évolution est favorable, avec une bonne gestion de l'antalgie et Mme. Chollet peut retourner à domicile le 19.01.2019. Elle sera revue à la consultation du Team Spine de l'HFR Fribourg le 22.01.2019 pour contrôle et suite de prise en charge. Le statut neurologique de sortie est dans la norme, sans perte de la force ou de la sensibilité dans les membres inférieurs, ni troubles mictionnels ou sphinctériens. Il s'agit d'une patiente de 69 ans connue pour une polymyalgie rhumatismale, sous Prednisone 15 mg, retraitée, ancienne bibliothécaire droitière. Mme. Tremolat consulte aux urgences le 30.12.2018 suite à une chute de sa hauteur après avoir glissé, alors qu'elle était en montagne, avec réception directe sur l'épaule droite. Pas de traumatisme crânien, ni perte de connaissance. Le bilan radiologique réalisé aux urgences met en évidence la luxation et la fracture du tubercule majeur (premier épisode de luxation). La patiente bénéficie d'une réduction fermée de la luxation sous anesthésie générale, puis une immobilisation par gilet orthopédique est mise en place. Le contrôle radiologique post-réduction retrouve une tête humérale en place dans la gaine de la scapula, avec cependant une fracture du tubercule majeur pour laquelle un traitement conservateur est décidé. Le testing nerveux pré et post-réduction est dans la norme, notamment concernant le nerf axillaire. Mme. Tremolat est hospitalisée dans le service d'orthopédie pour surveillance et antalgie. L'épaule droite est immobilisée dans un gilet orthopédique, les douleurs sont bien contrôlées par une antalgie standard. Mme. Tremolat peut retourner à domicile le 03.01.2018. Elle bénéficiera de l'aide du CMS à domicile et sera revue en policlinique d'orthopédie le 07.01.2019 pour contrôle radio-clinique. Il s'agit d'une patiente de 70 ans en bonne santé habituelle qui, le 09.01.2019, se tord le pied droit ce qui provoque la fracture susmentionnée. Aux urgences, la luxation est réduite et une immobilisation plâtrée est mise en place. La patiente est hospitalisée dans le service d'orthopédie dans l'attente d'un état cutané satisfaisant permettant l'intervention chirurgicale. Celle-ci a lieu le 13.01.2019, sans complication. Les suites opératoires sont favorables, le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et, dès le deuxième jour post-opératoire, Mme. Raemy bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche en charge de 5 kg (touch down), ce qui est prévu pour une durée de 3 semaines, sous protection d'un Vacoped et de cannes anglaises. Par la suite, la marche pourra se faire en charge selon douleurs, sous protection du Vacoped et de cannes anglaises pour les 3 semaines suivantes. La réfection des pansements montre des cicatrices calmes et propres, avec toutefois présence de quelques phlyctènes, raison pour laquelle, avant le retour de Mme. Raemy à domicile, nous organisons les soins à domicile pour changement de pansement 3 fois par semaine. Durant son séjour, la patiente bénéficie d'une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour, traitement qui sera poursuivi durant 6 semaines post-opératoires. Devant cette bonne évolution, Mme. Raemy retourne à domicile le 17.01.2019, autonome dans ses déplacements qui se font de manière sécuritaire. Il s'agit d'une patiente de 70 ans en bonne santé habituelle qui se présente le 14.01.2019 aux urgences en raison de douleurs abdominales apparues dans la nuit, crampiformes, à type de brûlure, localisées au bas-ventre à EVA 8/10, accompagnées d'un épisode de vomissements alimentaires. Dernières selles normales au moment de l'apparition de la douleur, sans sang. Pas de notion de dysurie, mais sensation de pression vésicale avec pollakiurie. À noter que la patiente a bénéficié de nombreuses coloscopies dans les années précédentes pour des douleurs abdominales chroniques, de caractère non similaire à celles présentées actuellement.A l'examen clinique, patiente hémodynamiquement stable, avec un abdomen sensible dans tout le bas-ventre, défense et détente. Signe du psoas négatif. Au toucher rectal, pas de masse, selles d'aspect normal au doigtier. Douleur à la palpation du Douglas. Loges rénales souples et indolores. Un CT abdominal met en évidence une sigmoïdite diverticulaire non compliquée. Mme. Y est hospitalisée dans le service de chirurgie où elle bénéficie d'une antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine 2 g/jour et Flagyl 3 x 500 mg/jour. L'évolution clinique est bonne, les douleurs s'amendent et on assiste à une diminution progressive du syndrome inflammatoire biologique. Le 15.01.2019, la patiente reçoit un enseignement diététique en vue d'une alimentation pauvre en fibres pour les 6 prochaines semaines. Face à la bonne évolution tant clinique que biologique, Mme. Y peut retourner à domicile le 16.01.2019. L'antibiothérapie sera poursuivie à raison de Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour jusqu'au 23.01.2019 inclus. En raison des nombreuses coloscopies réalisées ces années précédentes, nous n'en proconisons pas de nouvelle chez Mme. Y avant son prochain rendez-vous à la consultation du Dr. X à 6 semaines de l'hospitalisation. Il s'agit d'une patiente de 72 ans, en bonne santé habituelle, sans antécédent médico-chirurgical majeur, que vous adressez au Dr. X en raison du diagnostic susmentionné. L'indication pour une excision de la lésion est posée, avec examen histopathologique. L'intervention chirurgicale se déroule le 16.01.2019 sans complication. La patiente bénéficie en post-opératoire d'un traitement par Renasys jusqu'à granulation de la plaie, suite à laquelle elle est reprise au bloc opératoire le 23.01.2019 pour une pose de greffe de peau totale pour combler le déficit suite à l'excision de la lésion. Cette intervention se déroule aussi sans complication. Les suites post-opératoires sont simples. Une thrombo-prophylaxie par Clexane est initiée durant le séjour, à poursuivre jusqu'à la charge complète hors plâtre. Les plaies au niveau de la prise de greffe ainsi qu'au niveau de l'excision évoluent favorablement. La patiente bénéficie d'une mobilisation en physiothérapie, sous couverture d'une botte de marche. Au vu d'une évolution favorable, Mme. Y regagne son domicile le 29.01.2019. Il s'agit d'une patiente de 72 ans, opérée le 17.10.2018 à la Clinique Générale par le Dr. X pour mise en place d'une prothèse totale de la hanche droite et connue pour une fracture du grand trochanter à ce niveau. Le 17.01.2019, Mme. Y est amenée aux urgences par ambulance après une chute sur le membre inférieur droit. Le bilan radio-clinique met en évidence le diagnostic suscité. La luxation est réduite aux urgences et la patiente est hospitalisée dans le service d'orthopédie pour suite de la prise en charge. L'examen clinique avant et après la réduction de la luxation ne montre pas de déficit neurologique. Durant le séjour, les douleurs sont bien gérées et Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche. En raison d'une inappétence et de nausées, un bilan nutritionnel est effectué avec mise en évidence d'une malnutrition protéino-énergétique modérée. Le contrôle du poids met en évidence une perte pondérale de 5 % ces trois derniers mois. Dès lors, la nutrition est adaptée. Vu la bonne évolution radio-clinique, Mme. Y retourne à domicile le 21.01.2019. Il s'agit d'une patiente de 76 ans, connue pour un diabète de type 2 insulino-requérant, une cardiopathie ischémique, rythmique et valvulaire anticoagulée par Eliquis, sous Prednisone pour une fibromyalgie et sous BPAP et oxygénothérapie à domicile à 2 l/min pour une probable BPCO sévère avec syndrome d'apnées du sommeil, qui nous est adressée pour soins impossibles à domicile en raison de douleurs à la hanche droite, maximales la dernière nuit avant l'admission, surtout à la mobilisation, suite à une chute le 28.12.2018 avec réception sur les fesses. Mme. Y a raté les toilettes en voulant s'assoir dessus. Elle souffre aussi d'asthénie ces derniers jours. Pas de douleur rétrosternale ni péjoration de dyspnée. Elle a été traitée récemment par Amoxicilline pour un syndrome inflammatoire selon le fils. A l'examen clinique d'entrée, patiente en bon état général, bien hydratée, bien perfusée. Au niveau cardiaque, B1-B2 bien frappés, réguliers sans souffle surajouté. Pas de turgescence jugulaire, œdèmes aux membres inférieurs prenant le godet jusqu'à mi-cuisse des deux côtés. Signe de Homans négatif des deux côtés. Mollets souples, ballant conservé. Murmure vésiculaire symétrique avec râles crépitants fins bi-basaux à l'auscultation pulmonaire. Abdomen souple et indolore, sans défense ni détente. Bruits abdominaux normaux en fréquence et en tonalité. Loges rénales souples et indolores. La patiente est collaborante, pupilles isocores et iso-réactives. Nerfs crâniens grossièrement dans la norme, sans latéralisation nette. Force, tonus et sensibilité symétriques aux membres supérieurs et inférieurs. Au niveau cutané, présence d'un hématome au menton, à la mandibule inférieure gauche et au pubis. Rachis indolore à la percussion, douleur à la mobilisation de la hanche droite. Mme. Y est connue pour des chutes à répétition avec une dernière chute il y a 3 semaines ayant occasionné un traumatisme crânien et un hématome occipital droit, sans perte de connaissance. Un CT cérébral est effectué aux urgences et ne montre pas de saignement. Les radiographies du bassin, de la hanche droite et du thorax ne mettent pas en évidence de fracture. Nous adaptons l'antalgie afin de contrôler au mieux les douleurs. C'est à la hanche droite qu'elles sont le plus difficiles à contenir. La patiente est traitée par Tramal puis Oxynorm, avec de la physiothérapie de mobilisation. Le laboratoire montre une insuffisance rénale chronique avec créatinine à 320 umol/L, urée à 33.9 mmol/l, ainsi qu'un syndrome inflammatoire important, une anémie microcytaire hypochrome à 104 g/l et une hyperglycémie sévère. La patiente est hospitalisée en médecine interne. Le syndrome inflammatoire important est d'origine indéterminée : il n'y a pas de foyer radiologique et l'urotube est négatif. Un traitement de Rocéphine est débuté. Une procalcitonine revient négative. Le traitement insulinique est majoré légèrement, mais nous ne cherchons pas un contrôle trop agressif de la glycémie. Au niveau de l'anémie, la patiente reçoit un culot érythrocytaire et 500 mg de Ferinject, du sang dans les selles est découvert et une substitution en acide folique est débutée. Une endoscopie peut être discutée. Une demande de réadaptation gériatrique est faite et acceptée, avant un retour à domicile avec soins à domicile dans son appartement protégé. Le 11.01.2019, Mme. Y débute sa réadaptation gériatrique à l'HFR Riaz. Il s'agit d'une patiente de 78 ans, porteuse d'une prothèse totale de la hanche gauche depuis 2010, qui glisse sur la neige et chute sur les fesses le 09.01.2019. Mme. Y se relève, rentre à domicile et, en cours de journée, face à des douleurs en augmentation, elle présente une impotence fonctionnelle. La patiente est amenée aux urgences par ambulance. Le bilan radio-clinique permet de poser le diagnostic de contusion. Mme. Y est hospitalisée dans le service d'orthopédie pour initiation de l'antalgie. Un CT du pelvis permet d'exclure une fracture. Dès lors, la patiente bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche selon douleurs. Devant la bonne évolution clinique, Mme. Y peut retourner à domicile, elle est autonome et la mobilisation se fait de manière sécuritaire.Il s'agit d'une patiente de 80 ans hospitalisée pour des diarrhées depuis 3 jours. Pour rappel, elle a été hospitalisée le 06.12.2018 en raison d'une pneumonie communautaire traitée avec Ciprofloxacin puis Co-Amoxicilline, pris la dernière fois le 13.12.2018. Actuellement elle rapporte des diarrhées liquides 4 à 5 fois par jour, sans hémorragie. Elle n'a pas de nausée et n'a pas vomi. Elle ne rapporte aucune douleur, vertige ni céphalée. Il n'y a pas de symptôme urinaire. Elle mentionne une notion de contage avec son mari, qui se porte actuellement bien. Elle rapporte une diminution de l'alimentation et un maintien de l'hydratation orale. Au status, nous avons un abdomen souple et indolore à la palpation. Les bruits sont augmentés en quantité. Les muqueuses sont déshydratées. La culture des selles est négative pour clostridium. Nous introduisons une hydratation intraveineuse rapidement avec Ringer lactate. Nous mettons en pause la Colchicine que nous réintroduisons à sa sortie. Comme raison de cette entérite non compliquée nous retenons surtout une infection virale sans pouvoir exclure une intoxication à la Colchicine, au vu de l'insuffisance rénale aiguë avec normalisation complète de la fonction rénale. La patiente présente une rapide amélioration de son état de santé général. Mme. Y rentre au domicile le 27.12.2018. Il s'agit d'une patiente de 81 ans, connue et suivie en oncologie pour un carcinome du col de l'utérus cT4, cN3, cM0, qui se présente pour des brûlures vulvo-vaginales associées à des pertes malodorantes. À l'arrivée, la patiente est stable au niveau hémodynamique et afébrile. Examen au spéculum très difficile à cause d'une sténose vaginale et des douleurs. Pertes malodorantes, grises, avec des membranes. Vulve inflammatoire. Prélèvements faits + urotube envoyé. Au laboratoire, nous constatons un syndrome inflammatoire avec une CRP à 160 mg/L. Le stix urinaire est pathologique en faveur d'une infection urinaire basse. Nous hospitalisons la patiente pour une antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine. Les suites sont favorables. La patiente regagne son domicile en bon état général le 13.01.2019 avec un relais per os par Zinat 250 mg x2/jr. Elle sera vue en contrôle chez son médecin traitant. Il s'agit d'une patiente de 83 ans, sous Aspirine cardio, qui se présente aux urgences le 24.01.2019 suite à une chute accidentelle de sa hauteur la veille en s'encoublant dans son tapis d'entrée. Mme. Y rapporte un traumatisme crânien, sans perte de connaissance, sans amnésie circonstancielle et sans désorientation dans le temps ni dans l'espace. Elle se plaint depuis la chute de céphalées et d'une vision diminuée. Pas de nausées ni de vomissements. Pas d'autre plainte. Le 24.01.2019, la fille de la patiente trouve sa mère en état général diminué. À l'hétéro-anamnèse auprès de la fille, nous apprenons que la patiente se déconditionne rapidement à domicile, avec chutes à répétition ces derniers temps. À l'examen clinique d'entrée, B1-B2 bien frappés, réguliers, sans souffle ausculté. Murmure vésiculaire sur l'ensemble des plages pulmonaires. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en intensité dans les quatre quadrants, l'abdomen est souple et indolore, sans signe de détente ou de défense. Du point de vue neurologique, pas de déficit sensible, pas de perte de force, jambes et bras tendus tenus. Nerfs crâniens dans la norme, champs visuels grossiers conservés. Patiente orientée, pupilles isocores et iso-réactives. Marche seule peu sûre, avec besoin d'appui. Réflexes vifs et provocables. Légère dysmétrie au test du cervelet. Test des marionnettes sans particularité. Sur le plan orthopédique, multiples hématomes, notamment sur le dos de la main gauche et au niveau du genou gauche. La patiente ne présente pas de douleur à la palpation des structures osseuses de l'ensemble du corps, pas de douleur articulaire. Hématome également au niveau de l'arcade sourcilière gauche et hématome palpébral supérieur gauche. Pas de trouble de la motricité oculaire ou palpébral associé. Le laboratoire met en évidence un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 17 mg/L. Nous observons également une légère hyponatrémie asymptomatique à 129 mmol/L. L'ECG montre un rythme sinusal régulier, normocarde à 69 bpm, un axe normal à 76°, un QRS fin à 102 ms, un segment ST iso-électrique, une image de bloc de branche droit et un QTc corrigé à 471 ms. La radiographie du thorax ne montre pas de signe de foyer ou de surcharge hydrique. Au vu de la chute, de l'anamnèse d'Aspirine cardio, un CT cérébral est demandé, qui montre une contusion hémorragique du lobe cérébelleux gauche avec hémorragie sous-arachnoïdienne en regard ainsi qu'une composante sous-arachnoïdienne occipitale du même côté associée à une fracture occipitale, avec une contusion hémorragique frontale bilatérale associée à une hémorragie sous-arachnoïdienne correspondant à une lésion de contre-coup. Nous prenons avis auprès du neurochirurgien de garde à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal qui suggère de stopper l'Aspirine cardio et de réaliser un CT cérébral de contrôle à 24 heures. La patiente est alors hospitalisée en chirurgie pour surveillance neurologique aux 4 heures, en lit strict, mise à jeun, au bénéfice d'une hydratation d'entretien. Le CT cérébral de contrôle le 25.01.2019 montre un résultat inchangé par rapport à la veille. Sur le plan clinique, au cours du séjour nous notons une bonne évolution, avec reprise d'une alimentation normale le 25.01.2019 et des douleurs contrôlées par l'antalgie simple. Malgré la bonne évolution clinique, au vu des comorbidités et d'une patiente affaiblie, vivant seule à domicile, un retour à domicile nous paraît précaire, raison pour laquelle nous décidons d'un transfert dans le service de gériatrie pour suite de prise en charge et remobilisation. Mme. Y est transférée le 28.01.2019. Elle sera revue à distance de cette hospitalisation à votre consultation pour contrôle. Il s'agit d'une patiente de 87 ans, sous traitement d'Aspirine cardio pour de multiples AIT, qui se prend le pied dans une marche d'escalier et chute le 03.01.2019. Il s'ensuit un traumatisme crânien frontal droit, sans perte de connaissance, ni amnésie circonstancielle. Au vu d'un saignement important, Mme. Y est amenée aux urgences par ambulance. L'examen clinique est rassurant, avec un Glasgow à 15/15, des nerfs crâniens sans particularité, une force et une sensibilité maintenues aux quatre membres. Absence de dysmétrie. D'un point de vue ostéo-articulaire, présence d'un hématome en regard de la rotule droite, sans limitation de mobilité, sans douleur à la palpation des structures osseuses. Présence d'une plaie frontale de 6 cm de longueur, rectiligne. Un rappel antitétanique est effectué puis la plaie est suturée sous anesthésie locale. Au vu du contexte d'antiagrégation par Aspirine cardio, un CT cérébral natif est effectué, permettant d'exclure tout saignement intra-crânien et/ou fracture. Mme. Y est hospitalisée dans le service de chirurgie pour surveillance neurologique rapprochée. L'évolution clinique est bonne, le statut neurologique répété est dans la norme, permettant à Mme. Y de retourner à domicile le 04.01.2019, après une reprise bien tolérée de l'alimentation. Il s'agit d'une patiente de 88 ans, connue pour un STEMI antéro-septal avec maladie tritronculaire et pose de deux stents actifs en IVA proximale, ayant chuté mécaniquement à 2 ou 3 reprises le mois de décembre 2018, la dernière fois le 23.12.18 en glissant dans sa salle de bains avec réception sur les fesses et l'épaule gauche, sans traumatismes crâniens. Le 27.12.2018, Mme. Y est amenée aux urgences de l'HFR Riaz par son fils en raison de douleurs, la limitant au domicile et ne cédant pas aux antalgiques.En ce qui concerne la chute du 12.12.2018, Mme. Y avait consulté son médecin traitant qui réalise un scanner du bassin. Cet examen conclut à une fracture légèrement déplacée de l'aileron sacré gauche, une fracture acétabulaire gauche discrètement déplacée intra-articulaire ainsi qu'une fracture légèrement déplacée de la branche ilio-pubienne. Sur le plan social, signalons que Mme. Y vit avec son mari dans un appartement. A son admission aux urgences, une radiographie du bassin et de la hanche axiale droite indique une fracture acétabulaire gauche et de la branche ilio-pubienne gauche sans déplacement secondaire. Un avis spécialisé propose un traitement conservateur avec décharge du membre inférieur gauche pendant 6 semaines. Un contrôle radio-clinique est organisé pour le 15.01.2019. Sur le plan néphrologique, signalons une insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique, d'origine probablement mixte et pour laquelle nous mettons en place une expansion volémique. Sur le plan infectiologique, relevons un état fébrile à 38.2°C le 10.01.2019 pour lequel nous retenons une infection des voies respiratoires superficielles avec une bonne évolution clinique spontanée. Sur le plan hématologique, nous objectivons une anémie hypochrome normocytaire qui reste stable durant le séjour. Nous vous laissons le soin de réévaluer à distance l'indication de plus amples investigations. Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A la sortie, son périmètre de marche accompagnée et à l'aide d'un Taurus est de 40 mètres. La patiente ne peut pas gravir d'escalier. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 64/126, identique à celle d'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 4/7, escaliers 1/7). La patiente bénéficie également d'un suivi d'ergothérapie axé sur les activités de la vie quotidienne et d'un bilan modulaire d'ergothérapie concluant à de bonnes capacités cognitives avec un très léger défaut de compréhension nécessitant une répétition. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, mais étant donné la persistance d'un trouble de la marche et de l'équilibre, la patiente est prise en charge en réadaptation gériatrique à partir du 11.01.2019. Il s'agit d'une patiente de 88 ans qui nous est transférée par son médecin généraliste pour une fatigue en péjoration ainsi qu'un INR à 11 mesuré chez le médecin traitant, sous traitement macoumar qui a donc été pausé. Pour rappel, Mme. Y est connue pour un carcinome mammaire diagnostiqué en 2006 et opérée, actuellement récidivant avec métastase lymphatique et lésions pulmonaires multiples, non biopsiées, la patiente ne souhaitant pas continuer les investigations et thérapies. Elle est également connue pour un asthme, avec traitement par Symbicort inhaler au domicile. A l'entrée, la patiente présente une dyspnée NYHA VI, une toux légère sans expectoration, des dorsalgies connues depuis des années et une constipation sur plusieurs jours. Elle rapporte également des brûlures à la miction depuis 2 jours. Au statut, nous trouvons une importante hypoventilation sur 3/4 de la plage pulmonaire gauche, la percussion montre une asymétrie avec matité à gauche. L'examen abdominal montre un abdomen distendu avec auscultation non pathologique, sans défense ni détente. Le bilan radiologique fait le 18.12.2018 montre un important épanchement pleural gauche, d'origine probablement tumoral. Nous procédons à une ponction pleurale le 19.12.2018 se déroulant sans complication avec bon effet sur la symptomatologie respiratoire, malgré la persistance d'une dyspnée. Nous instaurons un traitement avec inhalation Atrovent, Pulmicort et Ventolin. Des signes de décompensation cardiaque, nous majorons le traitement diurétique avec 60 mg de Lasix et arrêtons le Torasemide. Sur suspicion de lymphangite carcinomateuse, nous majorons le traitement par la Prednisone à 20 mg. Durant l'hospitalisation, Mme. Y montre une asthénie importante, empêchant la participation aux activités et thérapies proposées par la physio et l'ergothérapeute. Mme. Y rapporte également des angoisses face à la dyspnée et est soulagée par le port de lunettes nasales d'oxygène. Pour ces raisons, l'oxygène à demeure pourra être prescrit pour le domicile lors de la sortie de la patiente. Le 03.01.2019, Mme. Y présente une nouvelle dyspnée aiguë dans le contexte de douleurs de l'hypochondre droit à type de lancée, permanentes, augmentées par l'inspiration. Nous réalisons une radiographie de thorax qui montre une importante augmentation de l'épanchement pleural gauche, que nous ne ponctionnons pas sur refus de la patiente d'effectuer la ponction pleurale (à cause d'une fatigue trop importante). Du 03.01 au 12.01.2019, l'état de la patiente continue de se dégrader lentement chaque jour et le 12.01.2019, elle décède, apaisée et entourée de ses proches. Il s'agit d'une patiente de 89 ans, aux antécédents et comorbidités susmentionnés, transférée du service de médecine interne le 09.01.2019 pour suite de prise en charge de plaies surinfectées au membre inférieur gauche dans un statut post-exérèse de carcinome baso-cellulaire pré-tibial gauche et crossectomie/stripping de la veine grande saphène gauche avec phlébectomies le 06.11.2018 sur insuffisance de la veine grande saphène. L'évolution des plaies est bonne sous traitement par pansement aspiratif Rénasys renouvelé 2 fois par semaine depuis le mois de novembre 2018 et l'indication à une autogreffe de peau mince (greffe de Thiersch) est posée. L'intervention est effectuée par le Dr. X le 09.01.2019 sous anesthésie générale. Trois des quatre plaies de la jambe gauche ont été candidates à la greffe. Les suites post-opératoires immédiates sont rassurantes et la patiente est hospitalisée à l'étage de chirurgie avec indication à une immobilisation en lit strict du 09.01 au 15.01.2019. Dans le décours de l'hospitalisation, nous observons une évolution clinique satisfaisante chez une patiente non algique et afébrile. Le 15.01.2019, un contrôle est effectué à l'étage, avec réfection des pansements. Une des trois plaies greffées a correctement pris dans sa totalité, les autres n'ont pris que partiellement. Sur avis du Dr. X, une prise en charge par pansement aspiratif de type Rénasys est à considérer pour la plaie interne de la jambe gauche et celui-ci est mis en place le jour même. Un nouveau contrôle des plaies et réfection du pansement ont lieu le 17.01.2019, avec indication à la poursuite du Rénasys sur la plaie creuse médiale, le reste des plaies étant couvert par des pansements Adaptic. Le 21.01.2019, le mollet gauche est rouge et tuméfié. Un dosage des D-dimères montre une élévation de celles-ci à 685, sans toutefois de symptomatologie de thrombose veineuse profonde. Les bandes élastiques sont retirées et la patiente est mise sous double dose quotidienne de Clexane 40 mg. Le 21.01.2019, nous réalisons un dernier contrôle des plaies et réfection de pansement. Nous décidons de stopper le Rénasys et poursuivons avec un pansement Adaptic sur les deux plaies greffées et des mèches de type Aqua-cell sur les deux plaies restantes. Le mollet reste légèrement rouge et on note la persistance d'œdèmes au niveau du pied, prenant le godet. Aucun écho-Doppler n'est toutefois réalisé ce jour et la suspicion de TVP est écartée.En raison de la bonne évolution clinique, Mme. Y peut retourner à domicile le 21.01.2019. Les infirmières des soins à domicile passeront 3 x/semaine pour réfection des pansements selon le même protocole que celui mis en place, à savoir protection des plaies par Adaptic et Aqua-cell. Le même jour, la thromboprophylaxie est relayée par Eliquis. La patiente sera revue à votre consultation dans la semaine pour contrôle et réadaptation des différents traitements. Il s'agit d'une patiente de 89 ans, aux multiples antécédents et co-morbidités, qui chute le 10.12.2018 avec un séjour en orthopédie du 10.12.2018 au 31.12.2018 pour une fracture Garden IV du col fémoral droit opérée à deux reprises les 13.12.2018 et le 17.12.2018. L'intervention du 13.12.2018 se déroule sans complication. Le contrôle radiologique post-opératoire montre une tête légèrement grande, raison pour laquelle la patiente est réopérée avec changement de tête de prothèse céphalique le 17.12.2018. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre. Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche en charge selon douleurs, sous protection de cannes anglaises, ceci durant 6 semaines. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane est instaurée, avec reprise du Xarelto à doses thérapeutiques dès 48 heures post-opératoires. La patiente présente une désaturation post-opératoire le 13.12.2018 nécessitant un transfert aux lits d'observation où elle bénéficie de la mise en place de la Bipap, mal tolérée. Une oxygénothérapie aux lunettes nasales et CPAP est alors mise en place, avec amélioration spontanée de la saturation d'oxygène à 95%. La patiente bénéficie d'une hydratation avec, comme cible, une diurèse à 500ml/12heures. Vu l'amélioration clinique, la patiente revient à l'étage. Mme. Y souffre d'une décompensation cardiaque globale pour laquelle un traitement est instauré sur avis de nos collègues en médecin interne. En outre, une infection urinaire basse motive l'instauration d'une antibiothérapie par Uvamine 100mg 2x/jour pendant 5 jours. Une constipation est traitée par laxatifs. En raison de douleurs abdominales, le Dr. X propose l'organisation d'une cholécystectomie à distance. Mme. Y souffre d'un angor le 18.12.2018 et un consilium cardiologique est demandé au Dr. X. Un angio-CT permet d'exclure une embolie pulmonaire et/ou une dissection aortique. Un traitement symptomatique est mis en place. Concernant le problème d'insuffisance cardiaque de longue date jamais vraiment investiguée, une discussion a lieu avec le fils et le petit-fils de Mme. Y le 23.12.2018. Un consilium cardiologique est demandé au Dr. X qui propose une investigation plus approfondie par le cardiologue traitant de la patiente, le Dr. X. Le 31.12.2018, Mme. Y est transférée dans le service de gériatrie aiguë pour suite de la prise en charge. Durant son séjour en gériatrie aiguë, la patiente présente une bonne évolution sur le plan cardiologique. Sur le plan digestif, notons aussi des douleurs abdominales diffuses fluctuantes connues depuis son séjour en orthopédie. Concernant son trouble de la marche et de l'équilibre, la patiente bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. A la sortie, le périmètre de marche seule à l'aide d'un taurus est de 120 mètres. Mme. Y ne peut pas gravir d'escalier. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 82/126, par rapport à 64/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 32.02 secondes avec taurus. Durant son séjour, la patiente bénéficie d'un suivi nutritionnel objectivant une malnutrition protéino-énergétique légère, en lien avec une inappétence, et démontrée par des ingestas couvrant 75% de ses besoins énergétiques théoriques et un NRS à 3/7. Mme. Y bénéficie également d'un suivi d'ergothérapie principalement axé sur la mobilisation dans le cadre des activités de la vie quotidienne. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique mais de la persistance de troubles de la marche et de l'équilibre, Mme. Y est prise en charge en réadaptation gériatrique HFR à Riaz dès le 08.01.2019. Il s'agit d'une patiente de 91 ans, connue pour un carcinome épidermoïde de l'anus, au bénéfice d'une colostomie depuis avril 2017, qui consulte le 26.01.2019 aux urgences en raison de douleurs péjorées à 10/10 au niveau anal. Elle ne rapporte pas d'autres symptômes, notamment pas de douleur abdominale. Pas de selle depuis 48 heures dans la poche de colostomie. Dans ce contexte, nous titrons la morphine aux urgences afin de soulager la patiente, puis elle est hospitalisée initialement en gériatrie pour gestion de l'antalgie. A noter que Mme. Y a été vue à la consultation du Dr. X le 22.01.2019 et une hospitalisation élective avait été planifiée à ce moment-là pour le 28.01.2019 pour adaptation de l'antalgie. Le 28.01.2019, Mme. Y est transférée en chirurgie pour la suite de la prise en charge. Elle est mise au bénéfice d'une antalgie par Dafalgan, patchs de Fentanyl, Xylocaïne localement et Temgésic. Un traitement laxatif est instauré. Durant le séjour, un colloque familial est organisé dans le but de discuter la suite de la prise en charge. Un retour à domicile étant décidé, Mme. Y quitte notre service le 31.01.2019, avec réactivation des soins à domicile 2 x/jour. Elle sera suivie régulièrement à domicile par Voltigo, avec soins de confort. Après discussion avec le Dr. X, de Voltigo, ce dernier se présentera dès la semaine prochaine au domicile de la patiente. Un avis est également pris auprès du médecin-anesthésiste afin de réadapter le traitement antalgique à la sortie. Il s'agit d'une patiente de 91 ans, connue pour une anémie hypochrome normocytaire arégénérative ferriprive avec hémoglobine à 68 g/l en octobre 2018, une fibrillation auriculaire et une cardiopathie ischémique, qui est hospitalisée en électif pour une colonoscopie organisée lors de son dernier séjour en gériatrie dans un contexte d'anémie, avec une hémoglobine à 68 g/l. A l'anamnèse, la patiente ne rapporte pas de plainte depuis sa sortie du service de gériatrie. A l'examen clinique, présence d'un rythme cardiaque irrégulier, sans souffle surajouté. Légers oedèmes aux membres inférieurs jusqu'à mi-mollet des deux côtés. Pas de douleur à la palpation abdominale, avec des bruits abdominaux dans la norme. Le reste du statut est sans particularité. Le laboratoire d'entrée montre une hémoglobine à 107 g/l. Le reste des valeurs est aligné. La patiente bénéficie de sa colonoscopie le 20.12.2018, qui ne retrouve pas de source de saignement ni de stigmates de saignement dans le côlon. Au vu de suites favorables, Mme. Y regagne son domicile le 21.12.2018. Il s'agit d'une patiente nulligeste de 27 ans, que vous nous adressez pour investigation de douleurs persistantes en fosse iliaque gauche associées à une dysménorrhée et une dyspareunie. L'examen gynécologique du 28.08.2018 montre un utérus en AVF et l'annexe droite est sans particularité, l'ovaire gauche apparaît fixé en position rétro-utérine. Le frottis cervical met en évidence un Chlamydia qui est traité par Azithromycine sans amélioration clinique. Les examens radiologiques et endoscopiques ne révèlent pas l'étiologie de ses douleurs pelviennes. Nous proposons à Mme. Y une laparoscopie diagnostique à la recherche d'endométriose. La patiente accepte l'intervention en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 29.01.2019 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste apyrétique.Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à son domicile et sera revue dans 10 jours à la consultation du Dr. X pour discuter des résultats et de la suite de la prise en charge. Il s'agit d'une patiente nulligeste de 40 ans, qui a consulté une première fois le 27.12.18 pour un hématome important au sein droit suite à une morsure de cheval, sans effraction cutanée. Elle vient ce jour en contrôle clinique. Elle est normocarde à 75 bpm, normotendue à 100/50 mmHg, et afébrile à 35.8°C. Cliniquement, elle dit aller nettement mieux, avec une diminution de la taille de l'hématome ainsi que de la douleur. À l'examen clinique, nous constatons effectivement un hématome au sein droit, avec induration de 2 x 2 cm sus-aréolaire, sans fluctuation ni tension. Ecchymose rougâtre-jaunâtre étendue sur tout le sein droit. Palpation indolore. Région aréolo-mamelonaire sans particularités. Pas d'adénopathie palpable. Il n'y a plus d'asymétrie de taille entre les deux seins. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente regagne son domicile avec des consignes de surveillance d'une éventuelle surinfection de l'hématome. Nous lui prescrivons de la crème héparinée (Lyman 5000 3x/jour pendant 3-4 jours). Nous abordons également avec elle un éventuel changement de moyen de contraception (actuellement sous Ologyn), au vu de son âge et de sa légère obésité, elle ne désire pas de changement pour l'instant et souhaite en parler à son gynécologue traitant. Il s'agit d'une patiente primigeste de 30 ans qui se présente à 29 0/7 semaines d'aménorrhée pour des contractions utérines régulières. Pas de perte de liquide ou de sang. À l'entrée, nous mettons en évidence 3 contractions toutes les 10 minutes. Le laboratoire montre une discrète leucocytose avec une CRP négative. À l'ultrason, le col est long, fermé et stable au Valsalva. Au spéculum, nous suspectons une vaginite et débutons un traitement par Flagyl. L'Actim prom et l'Actim partus reviennent négatifs. Malgré une absence d'effet sur le col, nous procédons à un schéma de Tocolyse à des fins symptomatiques par Adalat 15 4x en 1h auquel la patiente répond bien. Nous hospitalisons la patiente pour surveillance. Les contractions sont spontanément résolutives. Le col reste stable après 12h de surveillance et la patiente peut rentrer à domicile le 21.01.2019 en bon état général. Il s'agit d'une patiente primigeste qui se présente à 38 6/7 semaines d'aménorrhée pour une provocation de l'accouchement en raison d'un retard de croissance intra-utérin de type 1. Elle bénéficie de la pose d'un Propess après avoir signé le consentement éclairé. Par la suite, la dilatation se déroule de manière harmonieuse. Pour non-progression de la présentation à épines +2 et CTG suspect, indication posée pour forceps, elle donne naissance à un garçon de 2520 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement complet est débuté et se déroule bien. La contraception future se fera par préservatif après discussion avec son gynécologue. Elle rentre à domicile le 27.01.2019 en bon état général. Il s'agit d'une patiente primipare de 44 ans, connue pour un statut post-hystérectomie totale conservatrice des ovaires par Pfannenstiel, utérus myomateux. Adressée par les urgences générales pour un avis sur des douleurs abdominales au niveau de la fosse iliaque gauche, persistantes, d'apparition brutale, sans EF, sans notion de trouble du transit. Au statut, l'abdomen est souple mais douloureux à la palpation profonde en sus-pubienne et en fosse iliaque gauche. Le laboratoire ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire avec une hémoglobine à 146 g/l. À noter un hypokaliémie à 3.5 mmol/l qui est substituée. L'échographie objective un kyste ovarien gauche d'aspect hémorragique de 34 x 28 mm et un ovaire agrandi et d'aspect tuméfié. Dans ce contexte, la patiente est hospitalisée pour surveillance clinique et biologique. Durant l'hospitalisation, les douleurs persistent, raison pour laquelle on pose l'indication à une laparoscopie diagnostique. Lors de l'intervention, on objective un statut adhérentiel important et on confirme la présence d'un kyste ovarien hémorragique à gauche, non rompu, sans torsion. La patiente bénéficie d'une annexectomie gauche et salpingectomie droite. Les suites post-opératoires sont favorables. Le redon pelvien, ne rend que des traces, est retiré le 15.01.2019. Au vu d'une bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 16.01.2019. Il s'agit d'une patiente qui présente une fracture de la styloïde radiale gauche suite à une chute accidentelle. Nous confirmons le diagnostic par CT-scan et pouvons exclure le doute d'une interruption de la corticale au niveau du tubercule du scaphoïde. Nous effectuons un plâtre. Antalgie et contrôle à la policlinique dans 1 semaine. Il s'agit d'une patiente qui présente une fracture radiale gauche qui nécessite un traitement chirurgical. Nous expliquons le procédé et organisons l'opération. Intervention programmée pour le 21.02.2019. Patiente à jeun depuis 2h du matin. Rendez-vous à 10h à l'hôpital de jour (si pas de place, se rendra à l'étage F). Antalgie et surveillance plâtre pendant la nuit. Il s'agit d'une patiente très active qui, dans le contexte d'une chute, a probablement fait une entorse du genou. La radiographie est négative pour fractures. La patiente marche en charge complète avec attelle en sécurité, elle refuse les cannes anglaises et demande de pouvoir faire de la gymnastique. Nous lui conseillons de marcher en charge complète, protégée par une attelle, qu'elle peut enlever pour faire de la mobilisation libre du genou sans charge, antalgie et contrôle clinique chez Dr. X, orthopédiste. Il s'agit d'une patiente 1G1P de 27 ans, qui consulte aux urgences gynécologiques pour état fébrile à 39.9° à J7 post-césarienne avec des pertes malodorantes depuis 1 jour. L'examen clinique dans le service retrouve une patiente hémodynamiquement stable, fébrile à T° 39.0, l'abdomen est souple avec sensibilité en regard de la cicatrice, sans distension, ni défense. La cicatrice est calme. Les loges rénales sont souples et indolores. Au spéculum, le col d'aspect sain et les pertes vaginales sont malodorantes. Le toucher vaginal est douloureux à la mobilisation du col. L'échographie endo-vaginale retrouve un utérus antéversé avec une cavité utérine vide, avec un endomètre à 11 mm, sans liquide libre. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire. La patiente est hospitalisée pour suspicion d'endométrite sous antibiothérapie par Co-Amoxicilline 2,2 g 3x/j i.v. avec relais per os le 29.01.2019. Les hémocultures reviennent positives pour le Clostridium, tandis que les prélèvements vaginaux et urinaires sont négatifs. L'avis de l'infectiologue confirme la sensibilité du germe à la co-amoxicilline 1 g 3x/j que la patiente devra poursuivre pendant 10 jours au total. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile ce jour. Il s'agit d'une patiente 10G 4P de 38 ans à 14 2/7 qui consulte pour des métrorragies abondantes comme des règles avec perte d'un caillot vers 18h00 le 15.01.2019 sans facteur déclenchant identifié, associées à des douleurs abdomino-pelviennes. Cliniquement, à son admission, la patiente est hémodynamiquement stable, avec un abdomen souple sans défense ni détente. L'examen au spéculum montre un col fermé sans saignement actif. L'US retrouve un décollement rétro-placentaire du pôle inférieur avec présence d'un hématome de 42 x 28 mm avec un placenta postérieur bas inséré, arrivant au contact de l'orifice interne. L'hémoglobine de contrôle est stable à 118 g/l. Dans ce contexte, la patiente est hospitalisée pour surveillance.Les métrorragies cessent spontanément. Une échographie de contrôle est réalisée par le Dr. X qui retrouve une situation stable sans extension de ce décollement. Dans ce contexte, la patiente peut rentrer à domicile avec un rendez-vous de contrôle dans 1 semaine à la policlinique. Il s'agit d'une patiente 2 gestes 2 pares de 38 ans à 4 semaines post-accouchement par voie basse à l'hôpital Daler, qui se présente aux urgences pour un état fébrile à 41 ° avec une douleur au flanc droit, en péjoration depuis 2 jours. Elle présente également une baisse de l'état général avec asthénie et plusieurs épisodes de vomissements depuis 24 heures. A l'arrivée, elle est tachycarde et tachypnéique, fébrile à 40 °. Son abdomen est souple et indolore avec une sensibilité à l'ébranlement de la loge rénale droite. Le contrôle gynécologique est en ordre avec une cicatrice de la suture vaginale calme, pas de leucorrhée malodorante et l'échographie endovaginale est sans particularité. On objective au laboratoire un syndrome inflammatoire et le sédiment urinaire revient positif pour une infection urinaire. On pose le diagnostic de pyélonéphrite droite et la patiente est hospitalisée pour une antibiothérapie IV et surveillance clinique et biologique. L'évolution clinique et biologique est favorable. Les résultats des cultures sont négatifs. L'URO-CT confirme un foyer de néphrite focale avec des petites zones de nécrose débutante, suspicion de début d'abcédation à recontrôler par une échographie rénale. Nos collègues d'infectiologie recommandent de poursuivre le traitement initié (Rocéphine). Devant la bonne évolution clinique et biologique, la patiente regagne son domicile avec un relais antibiotique per os par ciproxine 500 mg 2x jour pendant 10 jours au total et un contrôle prévu dans 10 jours en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente 2 gestes 2 pares de 51 ans, DDR le 01.01.2019, sans contraception, adressée par les urgences pour un avis sur des douleurs pelviennes, continues, évaluées à 8/10, ne cédant pas au Dafalgan ni à l'Irfen. A l'entrée, la patiente est stable, apyrétique, avec un stix propre et un test de grossesse négatif. L'examen clinique, réalisé après administration de 50 mcg de Fentanyl aux urgences générales, ne met pas en évidence un abdomen chirurgical. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire ni de perturbation des tests hépatiques ou de la crase. L'échographie endo-vaginale retrouve un kyste hémorragique rompu de l'ovaire gauche avec du liquide libre jusqu'à l'espace de Morrison. Le CT abdominal objective une collection liquidienne dans le Douglas avec une image kystique sur l'ovaire gauche. Dans ce contexte (hémopéritoine et kyste ovarien rompu chez une patiente sous Fentanyl), nous proposons à la patiente une hospitalisation pour surveillance hémodynamique qu'elle accepte. Durant son séjour, la patiente évolue favorablement avec amendement des douleurs et stabilisation de l'hémoglobine. Une échographie trans-abdominale de contrôle (24h post-hospitalisation) ne retrouve plus de liquide dans l'espace de Morrison et une stabilisation du liquide du Douglas. Au vu de l'évolution clinique et biologique favorable, la patiente rentre à domicile ce jour. Il s'agit d'une patiente 2G 1P de 30 ans, à 9 semaines d'aménorrhée selon la date des dernières règles, qui est suivie à notre consultation depuis le 14.01.2019 pour une suspicion d'une grossesse non évolutive, avec métrorragie et douleurs abdominales. Elle consulte aux urgences gynécologiques le 16.01.2019 pour des douleurs importantes, malgré l'antalgie. Elle est stable au niveau hémodynamique, sans métrorragie active. Au vu de sa symptomatologie importante et de la visualisation de sa grossesse dans l'isthme de l'utérus, nous lui proposons une hospitalisation pour un curetage évacuateur, qu'elle accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention se déroule le 16.01.2019 sans complications. Le matériel est envoyé en analyse anatomopathologique. La patiente regagne son domicile le 17.01.2019 avec un contrôle dans 4 semaines en consultation ambulatoire. Il s'agit d'une patiente 2 gestes 1 pare qui nous est envoyée par vous pour une cure de maturation pulmonaire à 24 0/7 semaines d'aménorrhée d'une grossesse gémellaire monochoriale-biamniotique. La patiente présente quelques douleurs bas-ventre et à l'entrée le col est mesuré à 23mm. Le laboratoire ne montre pas de signe d'infection et l'ActimPartus revient négatif. Les frottis bactériologiques et de streptocoque du groupe B reviennent négatifs. L'urtotube revient pour une bactériurie non significative. Le CTG est réactif non pathologique et le tocogramme ne présente pas de contractions. La patiente est hospitalisée pour surveillance et bénéficie d'une cure de maturation pulmonaire par Celestone les 18.01.19 et 19.01.2019 sous Tocolyse par Adalat. Les suites sont favorables avec un col qui reste stable. La patiente rentre à domicile le 20.01.2019 en bon état général. Il s'agit d'une patiente 3G 1P de 28 ans, à 5 6/7 semaines d'aménorrhée, qui consulte aux urgences gynécologiques pour des vomissements importants depuis 3 jours avec impossibilité de s'hydrater et de s'alimenter. Au status, elle est normocarde, normotendue et afébrile. Elle ne présente pas de plaintes abdominales ni urogénitales. L'abdomen est souple et indolore à l'examen clinique. A l'échographie, nous confirmons la présence d'une grossesse intra-utérine évolutive en accord avec la date des dernières règles. Le bilan biologique revient perturbé avec une hypokaliémie à 3.3 mmol/L, et devant la baisse de l'état général de la patiente, nous lui proposons une hospitalisation qu'elle accepte. La patiente est mise à jeûn pendant 24 heures avec hydratation intraveineuse par 2000 ml de Glucosalin et un traitement IV par Primperan et Itinérol B6. Les suites de son hospitalisation sont favorables. La réalimentation progressive se déroule sans complication. Au vu de ses antécédents thyroïdiens, nous demandons un avis aux collègues endocrinologues qui ne posent pas d'indication à un traitement pendant l'hospitalisation. Une suite de prise en charge se fera à la consultation du Dr. X. Elle regagne son domicile en bon état général le 05.01.2019 avec un contrôle à programmer chez le gynécologue traitant dans une semaine. Il s'agit d'une patiente 3-gestes 2-pares qui se présente deux semaines après une césarienne pour une douleur bas-ventre avec température à 38.0°C. A l'examen clinique, la patiente présente des lochies en quantité légèrement augmentée mais non malodorantes et une douleur à la mobilisation du col, la cicatrice de césarienne est propre et calme. Le laboratoire objective un syndrome inflammatoire et l'échographie trans-vaginale nous note un hématomètre. Nous hospitalisons Mme. Y pour suspicion d'endométrite et un antibiotique par co-amoxicilline IV. Par la suite, la patiente reste afébrile et l'évolution clinique est favorable. Le passage de l'antibiothérapie par voie orale se fait en date du 07.01.2018 à poursuivre à 10 jours au total. Elle rentre à domicile le 07.01.2018 en bon état général. Il s'agit d'une patiente 3G2P, date des dernières règles inconnue, adressée par l'Hôpital de Riaz pour une évaluation gynécologique devant des symptômes de douleurs abdominales avec un test de grossesse positif chez une patiente porteuse d'un stérilet Jaydess. La patiente rapporte une apparition soudaine des douleurs en FID depuis le 01.01.2019 à 6/10, accompagnées de métrorragies. A l'Hôpital Riaz, elle présente à l'examen clinique une défense abdominale avec un test de grossesse positif et des BHCG à 119g/l. A son arrivée aux urgences gynécologiques, la patiente est normotendue, tachycarde avec une défense en FID sans détente. L'échographie trans-vaginale présente une importante quantité de liquide libre avec présence de caillots. Décision de prise en charge chirurgical par laparoscopie pour suspicion de grossesse extra-utérine. La patiente désire une salpingectomie pour prévenir les risques de récidive ultérieure.En per-opératoire, on évalue l'hémopéritoine à environ 1000 ml et on effectue une salpingectomie droite, l'intervention se déroule sans complication. Le stérilet Jaydess est retiré en per-opératoire. Les suites post-opératoires sont favorables et marquées par une anémie spoliative à 85 g/l, chez une patiente hémodynamiquement stable et asymptomatique, traitée par Maltofer 100 mg 1 fois par jour puis Ferinject 1000 mg IV en ambulatoire dans 2 semaines. L'abdomen est souple et indolore et les plaies sont calmes. Au vu d'une bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile ce jour avec un contrôle clinique et retrait des fils dans 10 jours en policlinique. Il s'agit d'une patiente 3G2P de 36 ans qui se présente en salle d'accouchement pour une provocation par ballonnet en raison d'un diabète gestationnel insulino-requérant et utérus cicatriciel. Après la pose du ballonnet, elle se met en travail. Elle présente une stagnation de la dilatation à 8 cm malgré le soutien du travail par Syntocinon ainsi qu'un CTG suspect, raison pour laquelle nous proposons la césarienne en urgence dans 30 minutes. Après un refus initial de procéder à l'intervention malgré les explications sur l'urgence et l'indication médicale à la procédure, la patiente revient sur sa décision. Elle accepte l'opération et signe le consentement éclairé, 22 minutes après que l'indication à la césarienne ait été posée. L'intervention est compliquée par une hémorragie per-opératoire diffuse sur l'utérotomie. Un redon intrapéritonéal est laissé en place en fin d'intervention. Les pertes totales estimées en cours d'intervention s'élèvent à 3000 ml. La patiente bénéficie de l'administration de 40 UI de Syntocinon, 2 gr de Cyklokapron, 1 gr de fibrinogène et une transfusion de 2 culots de concentrés érythrocytaires en post-opératoire immédiat. Elle donne naissance à un garçon de 4450 g de bonne adaptation néonatale. Au vu de la constellation Rhésus, une dose de Rhophylac 300 mcg est administrée à la patiente à J1. A J1, on met en évidence une hémoglobine à 71 g/l, sur une patiente qui reste symptomatique de son anémie. On transfuse 2 CE et 1 PFC additionnels. Le redon est enlevé à J2 sans complications. Les suites de couches sont marquées par la mise en évidence d'une hypertension artérielle post-partum avec des tensions systoliques aux alentours de 180 mm Hg. La patiente ne présente pas de symptômes de PE et les réflexes restent normovifs et symétriques. Un bilan de prééclampsie sanguin et urinaire revient négatif. Dans ce contexte, une médication par Trandate 200 mg 2/j est initiée avec une bonne réponse tensionnelle. L'allaitement complet est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par stérilet, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 30.01.2019. Un suivi tensionnel sera effectué en compagnie de la sage-femme à domicile. Il s'agit d'une patiente 4G1P qui se présente aux urgences pour des contractions utérines depuis 2 heures, toutes les 5 min., douloureuses à 7/10 d'EVA. La patiente avait déjà eu des contractions utérines mais d'intensité moindre sans modification de son col qui avait motivé la prise d'Adalate CR30 2x/jour depuis environ 1 semaine dont une dernière dose à 20h ce jour. La patiente est également sous Bryophyllum 3x 2 cpr et Magnesiocard 3x/j. La patiente n'a pas d'autres plaintes notamment urinaires ou digestives. A l'examen clinique, la patiente est normocarde et normotendue. L'abdomen gravide est souple et indolore sans défense ni détente et les loges rénales sont souples et indolores. Le spéculum objective des leucorrhées d'allure physiologique et un col long et fermé. L'Actim Partus revient positif. Biologiquement, les leucocytes sont à 11.4 G/l et la CRP à 5 mg/l. Le stix est normal. L'échographie montre un bébé en présentation céphalique, estimé à 1975 g avec un ILA estimé à 11 cm. Le CTG objective un utérus contractile avec 3-4 CU/10 minutes dont 1/10 minutes ressenties comme douloureuse. Le col est mesuré initialement à 29 mm puis répété 2h après à 22 mm et 20 mm à la contraction. Dans ce contexte, nous débutons une tocolyse par Adalat et une maturation pulmonaire pour une MAP légère. L'évolution après 2h est favorable avec un col qui reste stable à 23 mm. Les prélèvements effectués reviennent négatifs hormis un portage de streptocoque du groupe B. La patiente rentre à domicile en bon état général le 30.12.2018 avec un traitement d'Adalat en réserve. Elle continuera son suivi de grossesse auprès du Dr. X prévu le 30.01.2019. Il s'agit d'une patiente 5-gestes 2-pares qui se présente aux urgences le soir pour des douleurs avec métrorragies à 10 4/7 semaines d'aménorrhée selon les dernières règles. Une grossesse non évolutive avait été diagnostiquée à notre consultation d'urgence le matin même. A l'entrée, la patiente est hémodynamiquement stable. L'hémoglobine est à 113 g/L. Au spéculum, nous mettons en évidence un saignement actif du col. L'ultrason montre une grossesse non évolutive sans embryon visible avec un sac gestationnel fundique. Nous discutons de la possibilité d'une prise en charge médicamenteuse ou chirurgicale. La patiente désire le curetage. L'intervention se déroule sans complications et la patiente peut rentrer à domicile en bon état général le 05.01.2019. Il s'agit d'une patiente 5-gestes 4-pares de 39 ans, connue pour un diabète gestationnel non-insulino requérant, qui se présente le 25.01.2019 en salle d'accouchement en raison d'une rupture franche des membranes sans contractions. Après une attitude expectative de 12h sans mise en travail spontanée, nous débutons une antibiothérapie par Clamoxyl IV selon protocole et provoquons par Propess. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse à un garçon de 3090 g de bonne adaptation néonatale. En raison d'une rétention placentaire non-hémorragique, elle bénéficie d'une délivrance artificielle du placenta avec révisions des 3 étages au bloc opératoire. L'intervention se déroule sans particularités. Nous perfusons 20 unités de Syntocinon sur 6h en raison d'une multiparité. Les suites de couche sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par stérilet, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, elle rentre à domicile avec son bébé le 29.01.2019 en bon état général. Suivi : Contrôle post-partum dans 4 à 6 semaines à votre consultation. HGPO dans 3 mois. Il s'agit d'une patiente 6-gestes 2-pares, qui nous est adressée par sa sage-femme à domicile en raison de douleur des flancs avec un sédiment urinaire qui s'est montré positif pour des leucocytes et nitrites. Elle présente une douleur du flanc droit depuis 2 jours en augmentation, sans état fébrile. Elle a pris régulièrement du Dafalgan 1 gr contre la douleur. A l'examen clinique, nous notons une loge rénale droite douloureuse à la palpation. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire et le sédiment montre une leucocytose avec des nitrites et des érythrocytes. L'échographie obstétricale confirme un fœtus en position céphalique, avec une bonne vitalité fœtale, Manning 10/10 (PFE 3000 gr, p30 le 08.01.2019). Nous ne retrouvons pas de dilatation pyélocalicielle ni d'image d'abcès à l'échographie rénale.Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour une antibiothérapie par ciprofloxacine iv avec hydratation et antalgie. L'évolution est favorable et la patiente rentre à domicile avec un relais par antibiotique per os le 13.01.2019 en bon état général. Il s'agit d'une petite patiente qui arrive aux urgences pour le 5ème épisode de pronation douloureuse à gauche, qui bénéficie d'une réduction avec disparition de la symptomatologie. Les parents sont avisés de se rendre aux urgences en cas de récidive. Il s'agit d'une raideur post-traumatique de l'IPP de D5. Dans cette situation, je préconise principalement un traitement ergothérapeutique avec mise en place d'une attelle à trois points pour récupérer l'extension au niveau de l'IPP, ainsi qu'une bande d'enroulement. Avec ces mesures ergothérapeutiques, nous arriverons à récupérer les amplitudes articulaires de l'IPP, avec un certain risque qu'il persiste un petit flexum de l'IPP qui ne devrait toutefois pas gêner le patient dans sa vie quotidienne. Mr. Y a reçu le bon d'ergothérapie. J'ai programmé un prochain rendez-vous à ma consultation le 13.02.2019. Il s'agit d'une situation avec un déficit fonctionnel assez marqué. Je préconise une nouvelle arthro-IRM le 28.1.2019 vu que la dernière arthro-IRM date d'octobre 2018 afin de juger la qualité musculaire ainsi que la rétraction actuelle du sus-épineux. Vu la raideur assez marquée de l'épaule, je préconise un traitement physiothérapeutique avec stretching articulaire pour avoir un point de départ en pré-opératoire. Il me semble indispensable de discuter de la réinsertion de la coiffe des rotateurs vu le déficit fonctionnel assez marqué du patient. Je le reverrai le 31.1.2019 pour discuter de la nouvelle arthro-IRM. Il s'agit d'une situation complexe, je suspecte une récidive d'une maladie de Sudeck. Prescription de Miacalcic. Poursuite de l'ergothérapie. Vu la phase douloureuse actuellement, j'essaie d'enrayer celle-ci avec un schéma dégressif de Dexométhasone pour une durée d'une dizaine de jours. Il s'agit d'une situation inhabituelle que j'ai par contre déjà vue sur un de mes patients suite à une cure de doigt à ressaut. Il restait un pseudo-phénomène de doigt à ressaut en distal qui a été traité par infiltration. Comme cela, j'encourage la patiente pour une infiltration dans le canal digital. Celle-ci aura lieu le 25.1.2019. Je la reverrai après l'infiltration le 18.2.2019. Il s'agit probablement d'une ingestion de corps étranger, pas d'arguments en faveur d'une inhalation. Il s'agit très probablement d'une rupture spontanée du long chef du biceps. Avant cet événement, il présentait déjà une rupture des parties hautes du sous-scapulaire. Etant donné la gêne présentée, je retiens l'indication à une révision du site avec réinsertion sous-scapulaire et ténotomie si nécessaire, ainsi que ténodèse du LCB. Le patient est informé du déroulement intra- et post-opératoire pour cette intervention prévue pour le 05.03.2019. Un arrêt de travail à 100% est établi jusqu'à l'intervention. Il y a actuellement un traitement pour la goutte qui se fait. Si ce patient souhaite encore aller skier, nous allons attendre la fin de la saison de ski et faire ensuite une réévaluation. Je pense que pour être enlevé localement, il faudra effectivement essayer de faire une excision complète de ce kyste, y compris la partie de la gaine. Je ne pense pas que ce soit d'origine articulaire, c'est-à-dire la capsule articulaire. Il faudra adapter également l'alimentation. Il va maintenant être traité par le Dr. X avec de l'Allopurinol et localement des anti-inflammatoires sous forme de patch. Nous réévaluerons la situation au printemps. Il y a eu un lâchage partiel, le faisceau postérieur du ligament s'est allongé ce qui entraîne une instabilité qui peut être à l'origine des troubles dont se plaint le patient. Je lui explique que si quelqu'un se présentait avec une lésion de ce degré en urgences, on traiterait conservativement et il comprend cela. Je lui prescris donc de la physiothérapie dans le but de renforcer et de stabiliser l'épaule et on réévaluera la situation dans 2 mois. Si la situation devait se péjorer, on pourrait envisager une prise en charge chirurgicale avec une résection AC voire nouvelle stabilisation avec greffe tendineuse. Il y a une claire indication pour une rente à 100% pour les 12 premiers mois. Poursuite du même traitement pour 6 mois supplémentaires qui a apporté une amélioration de sa vie quotidienne. Prochain contrôle début juillet, à ce moment-là, nous pourrons juger d'une éventuelle reconversion professionnelle chez ce patient qui est proche de la retraite avec une activité qui ne nécessitera pas de port de charge. Il y a une rupture de la plastie du LCA réalisée ultérieurement. Pour l'instant, rééducation dans l'axe. S'il devait y avoir chirurgie, il s'agirait d'effectuer, dans un premier temps, un curetage des tunnels avec greffe osseuse prélevée en regard de la crête iliaque puis, 6 mois après, une replastie. Ceci n'entre toutefois pas du tout en ligne de compte actuellement et la patiente sera réévaluée à distance après un traitement conservateur. Il y a uniquement un bilan radiologique au niveau de la main, j'étends donc le bilan radiologique avec une IRM de la colonne lombaire et IRM du genou droit et j'adresse le patient en consultation du team spine. Mr. Y est admis dans le service le 05.01 pour une surveillance de la prise alimentaire et pour une inquiétude parentale dans le cadre d'une bronchiolite RSV négatif. Au niveau respiratoire, Mr. Y maintient des saturations et une fréquence en ordre au cours du séjour, ne nécessitant pas d'oxygène. Il reçoit des rinçages de nez réguliers. Le frottis RSV est négatif. Un protocole de médecine anthroposophique est débuté. Au niveau alimentaire, il conserve une alimentation de 6x90ml, appropriée pour son poids et son âge. Il ne nécessite pas de pose de sonde au cours du séjour. Il reste stable au niveau hémodynamique et afébrile. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mr. Y rentre à domicile le 14.01, avec un contrôle chez le pédiatre en début de semaine suivante. Iléite terminale avec collection adjacente iléo-sigmoïdienne. Iléite terminale, 1er épisode, compatible avec une maladie de Crohn. Iléite terminale, 1er épisode, le 30.06.2018. Iléus: • SNG décharge. Gastrite: • Antibiothérapie pour H.pylori (amoxicilline/clarythromycine ou métronidazole à introduire quand transit stable et médication per os possible). Ascite: • Suivi du poids et de la volémie, périmètre abdominal. • Limitation apport en sel (si reprise alimentation entérale, discuter Nepro, contenant moins de sodium). • Rediscuter pleurix si ascite ingérable. Hypothyroïdie: • Passage à Euthyrox per os dès que régulation du transit : 125 micromol/j 6/7 (lundi-samedi), 62.5 micromol 1/7 (dimanche). Ileus avec vomissements fécaloïdes sur carcinose péritonéale. Iléus dans un contexte oncologique avec vomissements, inappétence, constipation réfractaire, crampes abdominales. Iléus de l'iléon probablement mécanique sur bride. Iléus de l'iléon probablement mécanique sur bride le 14.01.2019. Iléus du grêle mécanique sur brides avec péritonite purulente le 03.12 sur perforation du grêle. Iléus du grêle mécanique sur brides avec péritonite purulente le 03.12.2018 sur perforation du grêle. • Résection du grêle à 150 cm du Treitz avec plastie et mise en place VAC abdominal sous-cutané + changement VAC inguinal D le 03.12.2018. Iléus du grêle sur bride le 22.12.2018. Iléus et diverticulite en 1999. Iléus/hernie cicatricielle en 2002.Cure hernie inguinale ddc années 70. • Ileus grêle • Iléus grêle avec réhaussement conservé le 19.01.2019 • Iléus grêle sur bride le 21.12.2018 avec contamination fécale sur perforation grêle per-opératoire le 24.12.2018 • Iléus grêle sur tumeur neuroendocrine grade G2 le 19.12.2018 • Iléus jéjunal mécanique sur bride le 03.12.12019 • Iléus jéjunal récidivants le 03.12.12019 • Iléus mécanique colique avec dilatation caecale à 9 cm sur adénocarcinome occlusif du haut rectum • Iléus mécanique dans contexte d'une progression oncologique avec sténose du colon sigmoïdien par compression extrinsèque le 19.12.2018 • Iléus mécanique du grêle le 17.02.2014 • Douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique le 31.08.2012 • Laparotomie en 2011 pour un iléus à Bienne (sans autre précision) • Cure de hernie cicatricielle abdominale et inguinale selon Lichtenstein en 2011 • Colique néphrétique à droite en 2006 avec mise en place d'une sonde double J, récidive en mars 2012, traitement conservateur • Appendicectomie en 2004 • Iléus mécanique sur adhérences le 20.12.2018 • Iléus mécanique sur bride le 23.12.2018 • Iléus mécanique sur hernie cicatricielle incarcérée le 23.01.2019. • Iléus mécanique sur impaction fécale au niveau de l'intestin grêle • Iléus paralytique • Iléus paralytique au niveau de l'intestin grêle le 27.12.18 dans un contexte de gastroentérite virale • Iléus paralytique le 30.11.2018 : résolution avec traitement laxatif et lavement • Rupture du fornix rénal gauche dans un contexte d'obstruction urétérale le 04.12.2018 : pose de néphrostomie gauche le 05.12.2018 réhospitalisation pour macro-hématurie macroscopique du 20 au 24.12.2018 • Cardiopathie hypertensive • Diabète de type 2 non insulino-requérant • Hypothyroïdie substituée • Dépression traitée en 2005 par le Dr. X • Asthme bronchique : Dyspnée d'origine peu claire déjà investiguée • Opération de la cataracte en 2013 • PTH gauche en 1987 • Opération d'hémorroïdes en 1987 • Poliomyélite en 1940 avec séquelles au niveau du membre inférieur gauche • Iléus paralytique post-opératoire autour du 20.09.2016 • Infection de la voie centrale à Klebsiella oxytoca le 21.09.2016 • Appendicectomie dans la jeunesse • Iléus paralytique prolongé • Iléus paralytique récidivant premier épisode le 29.11.2018 deuxième épisode le 18.12.20018 troisième épisode le 05.01.2019 quatrième épisode le 24.01.2019 • DD origine multifactorielle: médicament, hypothyroïdie, ascite • Iléus paralytique sur coprostase importante avec utilisation de morphiniques le 19.01.2019 • Iléus paralytique sur opiacés et hématome intra-abdominal du 05.12.2018 au 14.12.2018 Récidive d'iléus paralytique le 19.12.2018 dans un contexte infectieux • Ileus post-opératoire • Iléus sur bride avec nécrose intestinale • Ileus sur bride ou sténose iléale le 21.01.19 • Iléus sur obstruction oncologique le 25.01.2019 crampes, constipation réfractaire, bruits métalliques • Iléus sur sténose iléale sur maladie de Crohn le 21.01.19 Diagnostic différentiel: Iléus sur statut post-appendicectomie en 2002 CT scanner 24.05.2018 Colonoscopie 31.05.2018: Pas de lésion colique, iléon terminal présente une ulcération de 3 mm sur une muqueuse légèrement œdématiée, compatible avec une très discrète maladie de Crohn Histologie Promed P2018.6212: iléite chronique inhomogène compatible avec une maladie de Crohn • Iléus sur tumeur sigmoïdienne proximale avec des ganglions périphériques pathologiques. • Iléus sur tumeur sigmoïdienne proximale avec ganglions périphériques pathologiques • Image de BPCO au CT-thoracique Tabagisme actif • Image kystique de la diaphyse radiale proximale • Imagerie de contrôle à prévoir à 6 mois • Imagerie de contrôle pour les 3 nodules à 6 mois. • Mme. Y est admise dans le service le 01.01 pour une surveillance suite à une convulsion fébrile complexe. Au niveau neurologique, elle récupère rapidement un status neurologique dans la norme sans déficit neurologique. Elle ne présente pas de récidive de convulsion au cours de l'hospitalisation. Au vu de la symptomatologie infectieuse, nous retenons un diagnostic de convulsion fébrile complexe (durée plus longue de la convulsion). Nous ne prévoyons pas d'emblée de plus amples investigations pour ce premier épisode, mais conseillons aux parents de reconsulter en cas de récidive. Au niveau infectieux, elle présente un état fébrile à 40°C au cours de la nuit d'hospitalisation avec une bonne réponse au Paracétamol. Au vu de l'érythème du tympan gauche, un traitement d'AINS d'office est mis en place et contrôle à 48h. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mme. Y rentre à domicile le 02.01 avec poursuite du traitement et contrôle chez le pédiatre le 04.01. • Imazol 2x/j du 07.05 au 16.05.2015 • IMC (sans suivi avant 2000). • Aphasie. • Asthme. • IMC • Scoliose • Imipénème dès le 12.01.2019 Fluconazole du 12.01.2019 au 17.01.2019 CT abdominal le 12.01.2019 CT abdominal le 14.01.2019 CT thoraco-abdominal le 21.01.2019 Cathéter artériel droit du 12.01.2019 au Voie veineuse centrale jugulaire droite du 12.01.2019 au SNG de décharge • Immobilisation avec attelle de décharge postérieure et béquilles Clexane 40 mg 1x/j, Contrôle team pied à max 7-10 jours • Immobilisation dans un plâtre AB pour une durée totale de 4 à 6 semaines en fonction de l'évolution radiologique. Suivi en policlinique d'orthopédie. • Immobilisation dans un plâtre AB prenant le pouce Doute sur fracture scaphoïde CT scanner : pas de fracture scaphoïde Immobilisation par attelle poignet palmaire à but antalgique • Immobilisation dans un plâtre antébrachial, pas de trouble neurovasculaire, recoloration < 1 seconde, pas de douleur. Arrêt de travail. • Immobilisation dans une attelle jeans en extension pour 5 jours. Thromboprophylaxie durant l'immobilisation. Suivi en policlinique d'orthopédie. • Immobilisation dans une attelle Splintpod en décharge avec cannes anglaises et anticoagulation prophylactique par Clexane pour une semaine. Immobilisation par Aircast pour les 5 semaines suivantes. • Immobilisation du membre inférieur gauche dans une attelle cruro-pédieuse, avec marche en décharge à l'aide de cannes. Consignes de surélévation du membre inférieur gauche. Antalgiques en anti-inflammatoires en réserve, consignes de surveillance sous le plâtre données à la mère. Contrôle radioclinique à 1 semaine en policlinique d'orthopédie.Immobilisation en attelle prenant le pouce pour 1 semaine (ordonnance matériel). Antalgie. Contrôle chez son médecin traitant dans 1 semaine. Immobilisation en attelle Velcro, puis confection d'un plâtre AB le 04.01.2019. Physiothérapie. Antalgie par Targin/Dafalgan. Attitude: • Immobilisation dans le plâtre pour 6 semaines. • Contrôle radioclinique le 01.02.2019 à 9h15 chez Dr. X. Immobilisation Iselin et antalgie. Discussion avec Dr. X, orthopédiste. Contrôle dans 10 jours en orthopédie. Immobilisation par Aircast Sport pour 6 semaines. Immobilisation par attelle Aircast pour 6 semaines. Immobilisation par attelle Aircast pour 6 semaines. Marche en charge selon douleur. Immobilisation par attelle alu dorsale pour les 2 premières semaines, puis immobilisation par syndactylie pour les 4 semaines suivantes. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. Immobilisation par attelle alu dorsale puis attelle en 8 pour les 2 premières semaines, puis par syndactylie pour les 4 semaines suivantes. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. Immobilisation par attelle de poignet pendant 3 jours maximum. Antalgie. Conseil de glacer le membre tant que possible. Arrêt de travail. Conseil de réévaluer avec le médecin de famille à J7 si persistance des douleurs malgré antalgie. +/- réalisation d'une IRM du poignet droit à la recherche d'une lésion ligamentaire. Immobilisation par attelle dorsale alu pour les 2 premières semaines, puis immobilisation par syndactylie pour les 4 semaines suivantes. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. Immobilisation par attelle Edimbourg pour 6 semaines. Immobilisation par attelle, Ibuprofen 200 mg max 3 x/j. Prise en charge orthopédique, RDV chez Dr. X le 16.01.2019. Immobilisation par attelle jambière postérieure pendant 6 semaines. Mr. Y rentre à domicile accompagné par sa mère avec antalgie simple et Clexane prophylactique. Contrôle clinique à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine le 25.01.2019 à 14h. Immobilisation par attelle jambière postérieure pour la première semaine, sous thromboprophylaxie par Clexane et marche sous protection d'un moyen auxiliaire. Immobilisation par bande élastique pour les 4 semaines suivantes. Immobilisation par attelle jambière postérieure pour la 1ère semaine. Immobilisation par bande élastique pour les 3 semaines suivantes. Contrôle chez le pédiatre à 4 semaines du traumatisme. Immobilisation par attelle postérieure BAB + Gilchrist. Contrôle post-immobilisation. Prise en charge dans 1 semaine en policlinique d'orthopédie pour contrôle radio-clinique. Antalgie adaptée au poids. Immobilisation par attelle. Antiflammatoire et antalgie par AINS et Dafalgan. Consultation chez un chirurgien de la main. Immobilisation par bretelle à but antalgique. Traitement anti-inflammatoire. Prescription de physiothérapie : massages transverses profonds + stretching de l'ECRB 3x par jour. Immobilisation par collier mousse pendant 4 jours maximum. Antalgie et myorelaxant. Conseil de réévaluer à J5 par le médecin traitant si persistance des symptômes malgré antalgie. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués au patient. Immobilisation par gantelet (plâtre fendu) pour 4 semaines, contrôle ortho urgence dans 4 semaines, dispense de sport. Immobilisation par plâtre antébrachial fendu. Mme. Y rentre à domicile avec antalgie en réserve par Dafalgan, Irfen, Tramal. Contrôle clinique à la policlinique orthopédique dans 1 semaine. Immobilisation par plâtre fendu BAB, bretelle. Immobilisation par Rucksack pour 4 semaines. Physiothérapie post-immobilisation. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. Immobilisation par syndactylie la première semaine puis immobilisation par une attelle équerre pour les trois semaines suivantes. Immobilisation par syndactylie pour 4 semaines. Contrôle chez le pédiatre traitant à 4 semaines du traumatisme. Immobilisation plâtrée. Immodiom PO dès le 27.12.2018. Normolytoral du 28.12.2018 au 07.01.2019. Optisource dès le 28.12.2018. Hydratation par eau de Vichy. But : Hydratation équivalente à la perte par la poche ! Traitement empirique par Rocéphine 2 g/j et Flagyl 500 3x/j du 29.12 au 04.01.2019. Copro-culture Cl. difficile et PCR multiplex le 29.12.2018 : négatif. Avis diététique par Mme. Y et Dr. X. Autres propositions à envisager proposées par équipe de nutrition pour diminuer les pertes : • Octréotide 2x 100 mcg/j. • Creon 25000 3x/j. • Oméprazole de 20 à 40 mg/j. • Morphine en goutte. • Teinture d'opium. Suivi clinique avec bilan hydrique entrée / sortie par la poche. Immunofixation des protéines. CT colonne dorsale et lombaire le 12.12.2018 : apparition d'un tassement du plateau supérieur de L1, stabilité du tassement du corps vertébral de L2, majoration du tassement du corps vertébral de L3, nouveau tassement du plateau supérieur de L4 et stabilité du tassement du corps vertébral de L5. IRM dorso-lombaire le 14.12.2018 : fractures tassements récents de L1 avec recul du mur postérieur de 2 mm, de L3 et de L4 plus discrètement. Ancien tassement bi concave de L2. Petites sténoses foraminales L2-L3 et L3-L4 gauches (racines L2 et L3 gauches). Adaptation antalgie. Miacalcic du 17.12.2018 au 18.01.2019. Alendronate 1x/semaine dès le 21.12.2018. Avis orthopédique : traitement conservateur : antalgie et mobilisation libre sans mouvement extrême. Contrôle clinique début janvier par la team spine. Impaction alimentaire oesophagienne avec oesophagoscopie le 30.11.2011 avec extraction d'un morceau de poulet. Broncho-aspiration à répétition, dernière le 26.06.2014 avec instauration d'un régime mixé depuis 2012. Fracture base P1 hallux gauche. Status post-douleurs thoraciques sur probable crise d'angoisse suite à discussion avec le chef du foyer. Status post-diarrhées inflammatoires avec possibilité/haute suspicion de colite à Clostridium difficile. Status post-colite recto-sigmoïdienne à Clostridium le 16.05.2014. Status post-status post-infection urinaire haute à Pseudomonas et Enterococcus en mai 2014. Status post-infection urinaire à Candida glabrata le 16.05.2014. Status post-infection urinaire haute en 2001 et juin 2014. Status post-colite récidivante à Clostridium le 10.06.2014. Status post-infection urinaire haute en 2001 et juin 2014. Épanchement péricardique persistant d'origine indéterminée au CT-scan du 10.07.2014. Status post-bactériémie en juillet 2014 sur Klebsiella pneumoniae. Status post-pyélonéphrite aiguë récidivante à Klebsiella pneumoniae avec insuffisance rénale aiguë chez un patient avec sondes double J à demeure le 02.08.2014. Status post-colonisation des voies urinaires à Klebsiella pneumoniae multi-résistante non ESBL et à Entérocoques multi-résistants le 21.08.2014. Status post-bactériémie à Klebsiella pneumoniae multi-résistante d'origine urinaire sur maladie de la jonction pyélo-urétérale bilatérale avec drainage par sondes double J et atonie vésicale en 09.2014. Impaction oesophagienne / pharyngée d'un corps étranger (graine de tournesol). Impétigo contagiosum entre orteil I et II gauche. Impétigo cutané. Implantation de prothèse céphalique bipolaire au niveau de la hanche D. (OP le 09.12.2018). Implantation de prothèse inversée épaule G. (OP le 11.01.2019). Implantation d'un Mitraclip (XTR) avec un bon résultat : insuffisance résiduelle légère à modéré le 14.01.2019.Echocardiographie transthoracique le 14.01.2019 Antibioprophylaxie de l'endocardite. Implantation d'un Mitraclip (XTR) le 14.01.2019 (Dr. X) avec un bon résultat : insuffisance résiduelle légère à modérée. Echocardiographie transoesophagienne le 14.01.2019. Echocardiographie transthoracique le 14.01.2019. Echocardiographie transthoracique le 15.01.2019. Antibioprophylaxie de l'endocardite par Céfuroxime du 14.01 au 15.01.2019. Avis cardiologique (Dr. X) : reprise d'anticoagulation par Marcoumar possible dès le 18.01.2019, cible INR 2-2.5 (FA chronique). Attitude : • ETT chez Dr. X dans 1 mois (12.02.2019 à 14h) • Inclusion dans le registre de Mitraswiss. Implantation d'un pacemaker Micra mode VVI le 01.06.2015 • No série : MCR606964S • indication : syncope inaugurale le 30.03.2015 avec Holter du 27.04.2015 montrant RR prolongé de 6,5 secondes chez un patient connu pour une FA permanente nécessitant un bêtabloquant. Ulcères gastriques. Lithiase vésiculaire. État confusionnel aigu sur état grippal. Suivi biologique. Traitement symptomatique. Implantation d'une prothèse céphalique hanche D (OP le 07.12.2018). Implantation d'une prothèse céphalique hanche G (OP le 23.12.2018). Implantation d'une prothèse céphalique hanche G (OP le 27.12.2018). Implantation d'une prothèse céphalique hanche G (OP le 29.12.2018). Implantation d'une prothèse inversée à l'épaule droite suite à une omarthrose avancée (OP le 24.05.2018). Infection urinaire le 29.05.2018. État confusionnel aigu le 18.10.2016 (sur Valdoxan et globe vésical). Colite lymphocytaire le 09.09.2014, suivi par Dr. X, sous Entocort (arrêt le 17.10.2016). Embolie pulmonaire périphérique (segment pulmonaire droit 9) le 21.09.2014 sur thrombose veineuse superficielle para-géniculaire gauche. Hystérectomie. Implantation d'une PTG D Mathys BalanSys avec : • fémur taille C, cimenté • plateau tibial 75, cimenté • polyéthylène 8/75, PS (OP le 18.12.2018). Implantation hémi-prothèse anatomique Affinis humérus G et ROOS tubercule majeur par FibreWire et plaque Aptus (OP le 18.01.2019). Implantation Pacemaker VVI par Dr. X le 21.01.2019. Radiographie post-opératoire : matériel en place, pas de signe de pneumothorax. Contrôle de la plaie chez le médecin traitant à 10 jours. Contrôle du pacemaker à 4-6 semaines chez Dr. X. Implantation Pacemaker VVIR par Dr. X le 14.01.2019. Radio post-opératoire : matériel en place, pas de signes de complications. Contrôle de la plaie chez le médecin traitant à 10 jours. Contrôle du pacemaker à 4-6 semaines en cardiologie. Implantation primaire de PTH G (OP le 13.12.2018). Transfusion de 3 CE en peropératoire selon ordre des anesthésistes. Implantation prothèse céphalique hanche D (OP le 15.12.2018). Implantation prothèse céphalique hanche G (OP le 03.01.2019). Implantation prothèse totale de l'épaule droite après traumatisme à ski en 2009. Fracture du poignet D. Hyponatrémie (120 le 24.05) hypo-osmolaire chez une patiente hypervolémique • OMI remontant jusqu'aux genoux • fatigue • en évolution depuis plusieurs mois, légère amélioration après arrêt du traitement d'aldactone. DD : • cardiaque (rythme irrégulier, souffle aortique 2/6 protosystolique, peu d'arguments pour une origine ischémique) • peu d'arguments pour une piste hépatique • SIADH : CT thoraco-abdo ne montrant pas de néoplasie • pas d'indice pour une potomanie. MMS : 28/30. Copeptine. Furosémide et NaCl per os : bonne évolution clinique avec nette diminution des OMI, amélioration de la natrémie. Bilan neuropsy : rendez-vous sera confirmé lundi matin. ETT à organiser en ambulatoire en raison de la sortie de la patiente. HTA • traitée par amlodipine et candésartan • spironolactone stoppée en raison de l'hyponatrémie. Poursuite du traitement. Hypovitaminose. Implantation PTG ddc. Lésion de la coiffe des rotateurs épaule G. Scapulalgies G séquellaires. Implantation PTH D. • Ostéophytectomie antérieure et postéro-inférieure. (OP le 12.12.2018). Implantation PTH D. Bursectomie trochantérienne. Ostéophytectomie antéro-supérieure. (OP le 12.12.2018). Implantation PTH G. • bursectomie trochantérienne, • ostéophytectomie antérieure et postéro-inférieure. (OP le 17.01.2019). Implantation PTH G. • Bursectomie trochantérienne. • Ostéophytectomie étendue antérieure et postéro-inférieure. (OP le 19.12.2018). Implantation PTH G • Bursectomie trochantérienne • Ostéophytectomie le long du bord antérieur et postéro-inférieur (OP le 09.01.2019). Transfusion de 1 CE en salle de réveil le 09.01.2019. Implantation PTH G. Ostéophytectomie antérieure et postéro-inférieure. (OP le 09.01.2019). Implantation PTH G par voie latérale. Ostéophytectomie antérieure. (OP le 24.01.2019). Implants mammaires bilatéraux en 2013. Important œdèmes des membres inférieurs douloureux multifactoriels sur cirrhose et carence nutritionnelle. Importante scoliose sinistro-convexe et importantes altérations dégénératives inter-somatiques et facettaires. Opération pour strabisme dans l'enfance. Amygdalectomie. Nodules pulmonaires suspects au scanner thoraco-abdominal en 2012, sans autres lésions. Traumatisme de l'épaule droite. Cure d'hernie hiatale par laparotomie avec filet Ultrapro le 21.05.2018. Impossibilité de soins car refus de soins de la patiente dû à une complication. Antalgie. Retour au home. Impression de boule sur le palais. Inappétence et baisse de l'état général. Inappétence marquée dans le contexte oncologique. Inappétence sur progression oncologique et mycose oro-pharyngée. Incapacité de discernement avec SIAD, avec : • Consilium de psychiatrie du 28.11.2018. Incision. Incision - drainage. Pas de méchage au vu de l'extension limitée. Consignes de surveillance et reconsultation en cas d'apparition de signes infectieux. Incision + frottis (10.01.2019). Protocol douche et Liposol local. Doxycycline 100 mg dès le 11.01.2019 sur 2 semaines puis 50 mg sur 3 mois. Avis dermatologique (10.01.2019) : maladie de Verneuil, contrôle dermatologique prévu à trois mois. Incision au bistouri après désinfection et anesthésie générale Rapidocaïne 2 ml, extraction du piercing, lavage. Un point de suture Vicryl résorbable 4.0. Bains de bouche antiseptique pendant 7 jours. Consignes de surveillance et de reconsultation expliquées. Incision de frein de langue à environ 1 semaine de vie. Incision de l'abcès avec extraction de pus et rinçage par NaCl et hibidil sous méopas et gelet. Extraction partielle car vomissement lors du méopa et trop de douleur sans. Décision de contrôle dans 48h pour suivi de l'évolution. Prise de Zofran 4 mg, amélioration des nausées et vomissements. Réhydratation orale possible sous ce traitement, décision de RAD avec traitement par normolytoral. Incision, débridement et lavage de la gaine des fléchisseurs de l'index G. (OP le 23.12.2018). Antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g i.v. 3x/j du 22.12.2018 au 06.01.2019. Biopsie du phlegmon de la main G du 23.12.2018 : négatif. Incision, drainage d'abcès basi-scrotal droit (Opération le 16.01.2019). Incision en ellipse de 1 cm sous anesthésie locale (GelLet, Lidocaïne) et Méopa, avec évacuation de grande quantité de pus par Dr. X. Cavité de 2 cm de profondeur et 2-3 cm de largeur. Rinçage avec solution de peroxyde d'hydrogène 3 %. Pansement avec compresses et Mefix. Rinçage de la plaie au minimum 6x/jour avec de l'eau et après d'aller aux selles. Arrêt de travail pendant 10 jours. Contrôle clinique le 28.01.19 à 9:00 en proctologie. Incision et drainage d'abcès le 17.01.2019. Incision et excrétion du pus sous gelet et Méopa. Soin locaux. Contrôle dans 48h aux urgences. Incision par Dr. X aux urgences. Anesthésie locale par Rapidocaïne - Incision infra-centimétrique - Drainage abcès - Rinçage au NaCl.Incision, prélèvement et drainage, débridement et lavage. (OP le 29.12.2018) Bactériologie du 29.12.2018 positif pour Staph. aureus. Consilium infectiologie par Dr. X du 03.01.2019 (c.f. en annexe) : • antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. du 28.12.2018 au 06.01.2019. Incision selon Pfannenstiel sous anesthésie générale Utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5g Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse (PE 200cc) Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Cefuroxime 1.5g Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse (PE 300cc) Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5g Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Cefuroxime 1.5g Suite de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Cefuroxime 1.5g Suite de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Cefuroxime 1.5g Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Cefuroxime 1.5g Test au bleu négatif Suite de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Cefuroxime 1.5g Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachianesthésie Utérotomie transverse basse Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5 g Thromboprophylaxie Surjet intradermique à la peau Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachianesthésie Utérotomie transverse Antibioprophylaxie par Zinacef 1.5g Mise en place d'un Redon Thromboprophylaxie Points séparés de Donati à la peau (fils résorbables) Suite de couches Incision-drainage-rinçage. Mèchage. Antibiothérapie par Clindamycine (allergie à la pénicilline). Contrôle d'évolution à 48h à la consultation ambulatoire des urgences. Incompatibilité rhésus Inconfort abdominal avec suspicion de vers solitaire. Inconfort dans le plâtre. Inconfort sur toux Incontinence de la veine grande saphène des deux côtés. Le 07.12.2017, Dr. X : crossectomie et stripping court de la veine grande saphène des deux côtés. Phlébectomies étagées aux deux membres inférieurs. Etat grippal le 21.02.2018. Incontinence d'urgence Incontinence fécale. Incontinence fécale le 04.01.2019 • contexte de Parkinson. Incontinence fécale nouvelle post-opératoire sur transit accéléré après colectomie droite le 04.12.2018. Incontinence fécale DMLA Cécité quasi totale sur dégénérescence maculaire liée à l'âge, hémianopsie droite ancienne et quadranopsie supérieure gauche nouvelle le 27.09.2016. Incontinence légère anale et urinaire post-accouchement. Incontinence urinaire après ablation de la sonde vésicale le 03.01.2019 • probable incompétence vésicale due à la compression par l'hématome. Incontinence urinaire connue. Incontinence urinaire d'effort, chez une patiente 3 gestes 3 pares de 44 ans. Incontinence urinaire d'origine neurogène • sondage à demeure Douleurs neuropathiques sur infiltration sacrée tumorale • avec pose de pompe à morphine intrathécale au niveau L2-L3 le 14.05.2018. Prolapse récidivant d'une iléostomie Iléus grêle avec plusieurs sauts de calibre probablement adhérentiel dans un contexte de maladie tumorale le 28.10.2018 • sous traitement chronique par Sandostatine. Incontinence urinaire et fécale. Incontinence urinaire mixte à prédominance à l'effort, chez une patiente de 50 ans, 4 gestes 4 pares. Incontinence urinaire nocturne Troubles dépressifs (sous Brintellix) Hypothyroïdie substituée Cirrhose hépatique Child B : • d'origine probablement alcoolique • hépatite C chronique • hépatite B guérie • dernière sérologie en 09.2018 : • HBV Ac anti-HBs pos, Ac anti-HBc pos • HCV Ac pos., virémie nulle • HIV 1+2 nég Prévoir contrôle clinique, biologique et US tous les 6 mois. Syndrome de dépendance : • ancienne polytoxicomanie (codéine, héroïne, cocaïne, LSD) • alcoolisme chronique (sevrée depuis été 2018) • suivi psychiatrique Dr. X. Coxarthrose D. Incontinence urinaire nouvelle mixte. Incontinence urinaire par regorgement sur rétention urinaire aiguë Origine exacte indéterminée. Incontinence urinaire sous Pradif T. Malnutrition protéino-énergétique grave. Ostéoporose fracturaire. Incontinence urinaire (suivie par Dr. X). Indéterminés au vu de la communication difficile. Indications pour traitement médicamenteux à clarifier (patiente habite au Portugal). Avis neurologique : • Dyskinésie posturale et bucco-faciale probablement d'origine médicamenteuse. Proposition de stopper Mestinon et Flexiban et diminution du Risperdal. Proposition d'introduction d'un neuroleptique atypique à la place du Risperdal, à réévaluer par psychiatre. • Probable hyperréflexie des 4 membres à prédominance de l'hémicorps G d'origine indéterminée, proposition IRM pour évaluation suspicion canal cervical étroit. La patiente doit reprendre contact avec ses médecins lors de son retour au Portugal. Indice de Karnofsky entre 60 et 70%. Suivi radio-oncologique par Dr. X. Suivi oncologique par Dr. X pour prise de sang et prochaine chimio le 01.02.2019. Induction de travail. Ines est donc gardée en surveillance avec calendrier des pleurs. Durant son séjour, nous notons des pleurs d'allure physiologique sans argument pour une cause somatique. Elle présente une IVRS que nous traitons symptomatiquement et elle ne présente pas de fièvre. Un érythème du tympan gauche reste stable et que nous attribuons à une OMA au décours. L'alimentation est également satisfaisante durant son séjour. Sur le plan social, nous contactons la pédiatre et le SEJ le 28.01 et au vu de la surveillance rassurante, Ines peut rentrer à domicile le jour même. Un contrôle est prévu chez le pédiatre dans la semaine. Ines est gardée en hospitalisation dans le contexte de bronchiolite à RSV avec besoin en oxygène supplémentaire jusqu'au 23.01. L'alimentation doit être sondée partiellement aussi jusqu'au 23.01 puis elle s'alimente de manière autonome avec une bonne prise de poids. Elle est subfébrile en début de séjour avec amendement par la suite. Au vu de la bonne évolution, Ines rentre à domicile le 24.01 avec contrôle chez vous à 24 heures. Les conseils de surveillances et consignes de reconsultation sont données à la sortie. Infarctus cérébraux multifocaux (bilatéraux supra et infra-tentorelle) dans le contexte du syndrome de Churg-Strauss le 07.12.2017 : • transformation hémorragique au niveau occipital droit le 09.12.2017.NIHSS à l'admission aux SIC à 3 points Infarctus du myocarde dans les années 2000 Notion d'embolie pulmonaire dans le passé (anamnestique) Infection urinaire simple le 28.04.2018 à Proteus mirabilis Etat confusionnel le 24.04.2018 PTH D Fracture du poignet Etat confusionnel hypoactif le 04.05.2018 Lésions eczématiformes punctiformes dos, en plaque face médiale coude G et faces antérieures des cuisses le 22.05.2018 Chute avec traumatisme crânio-cérébral le 23.04.2018 avec : • hémorragie sous-arachnoïdienne temporale droite • fracture bi-focale non déplacée de l'arc postérieur de C1 • fracture de C2 de type II selon la classification d'Anderson et d'Alonzo (instable) Infarctus du myocarde en 2001 Amputation 3ème et 5ème orteils pied G sur ischémie chronique, stade III-IV, post-traumatique en 1994 Amputation de l'extrémité de plusieurs orteils des deux pieds dans les années 2000 Trouble de l'adaptation avec prédominance de la perturbation d'autres émotions en mai 2015 Panaris suppuré de P3 D5 de la main gauche Pharyngo-amygdalite d'origine probablement virale le 30.03.2016 OAP le 24.05.2017 Infarctus du myocarde en 2001. Triple pontage aorto-coronarien en 2004. Status post-amputation des 3ème et 5ème orteils du pied gauche sur ischémie chronique, stade III-IV, post-traumatique en 1994. Status post-amputation de l'extrémité de plusieurs orteils des deux pieds dans les années 2000. Trouble de l'adaptation avec prédominance de la perturbation d'autres émotions en mai 2015. Panaris suppuré de la 3ème phalange du 5ème doigt de la main gauche. Pharyngo-amygdalite d'origine probablement virale le 30.03.2016. OAP le 24.05.2017. Traumatisme d'accélération crânio-cervical. Infarctus du myocarde 1993, stent de l'IVA en 1994. Infarctus du pôle inférieur du rein droit. Infarctus en novembre 2009 et janvier 2010. Vertiges d'étiologies indéterminées. Myélite d'étiologie indéterminée 1077. Multiples interventions orthopédiques : fracture de cheville trimalléolaire, arthroscopie genoux bilatéraux, épicondylite, fracture vertèbres L2-3-4. Stérilisation. Appendicectomie. Plaie face palmaire de D1 D I G avec section des nerfs digitaux palmaires ulnaire et radial, section de l'artère digitale palmaire côté cubital, ulnaire et lésion partielle du tendon du long fléchisseur du pouce (5-10%), le 15.04.2016. Infarctus il y a 20 ans Infarctus myocardique avec élévation ST (STEMI) antérieur subaigu sur occlusion de l'artère interventriculaire antérieure le 19.01.2019. Infarctus myocardique avec élévation ST (STEMI) postéro-latéral subaigu sur maladie coronarienne monotronculaire : • Occlusion de l'artère circonflexe moyenne • fraction d'éjection ventriculaire gauche 48%, hypokinésie diaphragmale Infarctus myocardique sans élévation ST (NSTEMI) le 10.01.2019 • dans le contexte d'une maladie coronarienne tritronculaire avec sténose significative chronique de l'artère coronaire droite proximale Infarctus myocardique sans élévation ST (NSTEMI) le 12.01.2019 sur cardiopathie hypertensive et coronarienne bitronculaire : • subocclusion de l'artère circonflexe • sténose de 80% de l'artère interventriculaire antérieure • fraction d'éjection du ventricule gauche à 60%. Infarctus splénique avec 30 % de nécrose et atteinte de l'artère hépatique (vascularisation périphérique partiellement conservée) sur fibrillation auriculaire non-valvulaire inaugurale. Syndrome du tunnel carpien et loge de Guyon à droite. Cure de tunnel carpien et loge de Guyon. Infection à Escherichia Coli post-rhinoseptoplastie résistante au traitement bien conduit. Status post-douleurs abdominales d'origine indéterminée, DD : constipation, pelvi congestive syndrome en septembre 2012. Status après hystérectomie totale avec conservation des ovaires par laparoscopie. Status après cure de prolapsus par plicature des ligaments ronds et des ligaments utéro-sacrés, fixation du dôme vaginal sur utérus hypermobiles et rectocèle en juin 2012 à Fribourg. Status après laparoscopie exploratrice et découverte d'une hyperlaxité ligamentaire avec un léger prolapsus de la paroi vaginale postérieure le 22.05.2012. Status après annexite sur stérilet en cuivre en février 2012. Status après œdème de Quincke en 1991, en mai 2010 et en juin 2010 probablement sur pénicilline. Status après exérèse d'un kyste du sein. Syndrome du canal d'Alcock (honteux) avec douleurs anales, des grandes lèvres et dysurie. Status après kyste ovarien. Status après appendicectomie. Status après réduction mammaire et rhinoplastie en 2005. Status après conisation. Status après otoplastie. Status après gastroscopie et éradication de l'Helicobacter pylori. Status post-rhinoseptoplastie le 22.03.2013 (Dr. X) pour reprise d'une bosse nasale basse (bec de Corbin) sur status post-rhinoplastie en 2005 à but esthétique. Infection à Picornavirus avec IVRS. Infection anale Infection chronique de PTH D. Infection cutanée Infection cutanée. Infection cutanée du pouce droit. Infection de kyste dermoïde testiculaire droit. Infection de la lèvre supérieure externe. Infection de la lèvre supérieure externe le 15.01.2019. Infection de plaie du MIG avec : • greffe de Thiersch face interne jambe G et pansement VAC le 09.03.2017 • Révision, neurolyse tibiale postérieure et saphène jambe G le 02.02.2017 • Fermeture partielle fasciotomie jambe G le 05.04.2016 et greffe de Thiersch face interne jambe G le 20.05.2016 • Fasciotomie et fasciectomie face interne jambe G sur fasciite nécrosante jambe G à Serratia marcenscens le 18.03.2016 Labo Avis orthopédique (Dr. X/Dr. X) : pas d'indication à opération, éclaircir autre piste que infectieuse Avis rhumatologue (Dr. X/Dr. X) : gangrène pyrogène incertaine, car pas d'autres symptômes et image non similaire Sonographie du MIG par le Dr. X : pas de collection, pas d'infiltration musculaire, infiltration des tissus mous Infection de Port-à-cath à Staphylocoque Epidermidis Résistant le 19.01.2019 • Posé en 2015 • Ablation du PAC le 23.01.2019 Infection de site opératoire inguinal droit, le 18.12.2018 • en regard de prothèse vasculaire dans le contexte de pontage fémoro-fémoral le 06.12.2018 Infection dentaire de la maxillaire droite le 04.01.2019. Infection des plaies opératoires du MIG à S. aureus (inguinal et cuisse) et M. morganii (cuisse) R à Co-amoxicilline et S à Pip/Tazo. Infection des tissus mous débutants sur s/p plaies Dig I et Dig II main G le 12.11.2018 avec : • Dig I : fracture ouverte P2 avec lésion du lit de l'ongle • Dig II : lésion nerf digital radial en zone I-II et lésion artère digitale radiale en regard de l'IPD. Infection des tissus mous débutants sur status après plaies D1 et D2 main gauche le 12.11.2018 avec : • D1 : fracture ouverte P2 avec lésion du lit de l'ongle • D2 : lésion nerf digital radial en zone I-II et lésion artère digitale radiale en regard de l'IPD. Infection des tissus mous Dig V main gauche sur status post plaie superficielle face palmaire zone I le 29.08.2018 Cure hernie inguinale à droite en 2016, à gauche en 2011 Plaie à hauteur de l'IPD dig II main gauche en 2012 Ablation de 2 polypes adénomateux du côlon en 2009 Infection des voies aériennes supérieures Infection des voies aériennes supérieures Infection des voies aériennes supérieures aspécifiques. Infection des voies aériennes supérieures avec rhume et +/- syndrome descendant Infection des voies aériennes supérieures d'origine probablement virale. Infection des voies aériennes supérieures d'origine virale. Infection des voies aériennes supérieures et inférieures Infection des voies aériennes supérieures probablement d'origine virale. Infection des voies aériennes supérieures • Rhume • OMA D débutante Infection des voies respiratoires supérieures le 14.05.2016. Infection des voies respiratoires d'origine virale probable • Toux productive depuis 2 jours • Examen clinique sans particularité • CRP : 45 mg/L, Leucocytes : 6.6 G/L • Rx : pas de foyer objectivé Infection des voies respiratoires (rhinite, pharyngo-laryngo-trachéite, bronchite avec composante spastique) dans le cadre d'une virose avec : • éruption cutanée aspécifique sur le torse Infection des voies respiratoires supérieures Infection des voies respiratoires supérieures Infection des voies respiratoires supérieures Infection des voies respiratoires supérieures Infection des voies respiratoires supérieures Infection des voies respiratoires supérieures Infection des voies respiratoires supérieures Infection des voies respiratoires supérieures Infection des voies respiratoires supérieures Infection des voies respiratoires supérieures. Infection des voies respiratoires supérieures. Infection des voies respiratoires supérieures. Infection des voies respiratoires supérieures. Infection des voies respiratoires supérieures : laryngite. Infection des voies respiratoires supérieures avec douleurs musculosquelettiques sur toux. Infection des voies respiratoires supérieures avec otite moyenne gauche le 23.01.2019. Infection des voies respiratoires supérieures avec otite séro-muqueuse droite. Infection des voies respiratoires supérieures avec otitis media acuta gauche Infection des voies respiratoires supérieures avec probable sinusite frontale débutante le 18.01.2019. Infection des voies respiratoires supérieures avec probable sinusite surinfectée. Infection des voies respiratoires supérieures. • Critères Centor 0. Infection des voies respiratoires supérieures d'origine virale : Influenza A Infection des voies respiratoires supérieures, d'origine virale probable le 04.01.2019. Infection des voies respiratoires supérieures le 11.01.2019. Infection des voies respiratoires supérieures le 12.01.2019. Infection des voies respiratoires supérieures le 20.01.2019. Infection des voies respiratoires supérieures le 26.01.19. Infection des voies respiratoires supérieures le 27.01.2019 Infection des voies respiratoires supérieures le 28.01.19. Infection des voies respiratoires supérieures le 29.12.2018. Infection des voies respiratoires supérieures le 30.01.2019. DD : grippe. Infection des voies respiratoires supérieures probablement virale le 24.01.2019. Infection des voies respiratoires supérieures récidivante. Infection des voies respiratoires supérieures sur virose. Infection des voies respiratoires supérieures virale. Infection des voies urinaires à E. Coli le 27.08.2014 Fibrillation auriculaire rapide le 06.08.2014 traitée par Diltiazem intraveineux (20 mg), remplissage (750 ml), magnésium intraveineux (5 g), Cordarone intraveineux (300 mg) avec notion anamnestique de deux thermoablations à la clinique Cécil à Lausanne Nécrose du 3ème orteil pied G le 22.07.2014 dans un contexte d'artériopathie oblitérante des MI à prédominance G, associée à une escarre du talon de 1 cm de diamètre débutant le 22.07.2014 Ostéomyélite du 3ème orteil pied G le 21.08.2014 Trouble de l'adaptation dans un contexte de deuil Traumatisme crânien simple 03/2018 Infection d'origine indéterminée le 11.01.2019 • EF 38°C • Traitée par Uvamine pour une IU • CRP 166 mg/l, Lc 8.9 G/l DD urinaire, pulmonaire Infection d'origine indéterminée 23.01.2019 • DD pulmonaire, pulmonaire Infection du lit de l'ongle hallux gauche Infection du matériel d'OS tibia G à Staph. aureus avec dermite de contact associée sur status post • OS tibia G par plaque métaphysaire 4.5-3.5 en technique MIPO d'une fracture spiroïde diaphyse distale tibia et fracture péroné proximal jambe G type AO 43 A1.1 le 25.09.2018 Infection du matériel d'ostéosynthèse sur status post mise en place d'un PFNA le 31.05.2016 avec : • status post débridement et rinçage du fémur proximal gauche, avec arthrotomie et rinçage articulaire le 11.02.2017. Infection du site de ponction le 22.12.2018 • status post-TAVI le 09.12.2018 par abord chirurgical (Prof, Cook) Infection du triangle de Scarpa droit par Staphylocoque epidermidis et Enterocoque faecalis le 20.01.2019 • au site d'accès vasculaire pour l'ECMO Infection fébrile avec suspicion d'origine urinaire ou pulmonaire le 22.08.2018 • s/p infections urinaires à répétition, porteuse de cystofix, fausses routes sur troubles de la déglutition Laboratoire Radiographie du thorax Sédiment urinaire et urotube : flore mixte 2 paires d'hémocultures : négatives à 5 jours Rocéphine du 22.08 au 26.08 puis Augmentin 1000 2x/j du 27.08 au 28.08 (7 jours total) Escarre fessier à l'anamnèse le 22.08.2018 de grade I Mobilisation fréquente Péjoration de la dysarthrie et fatigue probablement dans le contexte infectieux le 22.08.2018 Suivi clinique Réaction allergique cutanée du pli du coude droit le 24.08.2018 : • DD : contact Xyzal en réserve, Excipial local Essai par Dermovate, avec effet rebond. Infection génitale hérpetique Infection génitale hérpetique (primo-infection). Infection HIV Hépatite C Neuropathie périphérique Infection HIV sous tri-thérapie • date du diagnostic 1993 • suivi par Dr. X • virémie indétectable dès 2011 • restauration immunitaire avec compte de CD4 > 0,5 G/l dès 2012 • profil de résistance mutation M41L et T215F sur le gène de la réserve transcriptase (résistante à l'AZT au D4T) Infection Hépatite C génotype 4 • date de diagnostic : 2001 • s/p ancienne consommation de drogues par voie intraveineuse • suivi par Dr. X, dernière consultation le 09.11.2018 Artériopathie oblitérante des membres inférieurs de stade IIb sur sténose calcifiée serrée au départ de l'a. iliaque externe • s/p recanalisation d'une sténose a. iliaque externe G par angioplastie et pose de stent et iliaque interne G avec angioplastie au ballon actif en 2011 • angioplastie au ballon actif avec recanalisation du tronc tibio-péronier droit en mai 2017 • suivi par Dr. X Hypothyroïdie substituée Troubles de la personnalité de type colérique Lyse isthmique, spondylolisthésis L5/S1 grade II selon Meyerding, sténose foraminale bilatérale L5/S1 • non déficitaire • IRM le 04.10.2018 : compression des racines L5 ddc plus marquée à droite en raison d'une spondylolisthésis marquée L5-S1 sur spondylolyse L5 ddc. Les autres niveaux se présentent normalement. La situation est inchangée par rapport à l'examen précédent • Claudication neurogène du membre inférieur droit, consultation Dr. X le 18.10.2018 Insuffisance rénale chronique stade KDIGO G1 sur néphropathie diabétique Coxarthrose G sur configuration type CAM Polyneuropathie des membres inférieurs d'origine diabétique, ischémique, (ou porphyrique) et dans le cadre de l'infection HIV ENMG (Dr. X) le 22.11.2018 Syndrome d'hyperphagie incontrôlée Ancienne polytoxicomanie et usages nocifs THC actuel 15-20 joints/j Nicotine >40PY passé : • Cocaïne iv • Héroïne iv Infection HIV sous tri-thérapie • date du diagnostic 1993 • suivi par Dr. X • virémie indétectable dès 2011 • restauration immunitaire avec compte de CD4 > 0,5 G/l dès 2012 • profil de résistance mutation M41L et T215F sur le gêne de la réserve transcriptase (résistante à l'AZT et au D4T) Infection Hépatite C génotype 4 • date de diagnostic : 2001 • s/p ancienne consommation de drogues par voie intraveineuse • suivi par Dr. X, dernière consultation le 09.11.2018 Hypothyroïdie substituée Troubles de la personnalité de type colérique Lyse isthmique, spondylolisthésis L5/S1 grade II selon Meyerding, sténose foraminale bilatérale L5/S1 • non déficitaire • IRM le 04.10.2018 : compression des racines L5 ddc plus marquée à droite en raison d'une spondylolisthésis marquée L5-S1 sur spondylolyse L5 ddc. Les autres niveaux se présentent normalement. La situation est inchangée par rapport à l'examen précédent • Claudication neurogène du membre inférieur droit, consultation Dr. X le 18.10.2018 Insuffisance rénale chronique stade KDIGO G1 sur néphropathie diabétique Coxarthrose G sur configuration type CAM Polyneuropathie des membres inférieurs d'origine diabétique, ischémique, et dans le cadre de l'infection HIV Infection HIV stade CDCB2 diagnostiquée en 2006. Consultation le 03.09.2018 dans le service d'infectiologie du CHUV. Trouble de l'humeur type dépressif. Infection lit de l'ongle hallux gauche posttraumatique, sans fracture Infection phlegmoneuse du dos de la main gauche sur morsure de chat le 03/2013. Lombocruralgies invalidantes droite sur sténose canalaire (antélisthésis L3-L4 et L4-L5 sur arthrose) en 04/2008. Pneumonie droite 10/2006. PTH gauche 01/2002, PTH droite en 06/2002. Arthroscopie thérapeutique genou G. Correction chirurgicale orthopédique des orteils I et II G. Opérations cataracte ddc. Correction ptose palpébrale D. Hystérectomie et annexectomie pour des saignements périodiques persistants en 1990. Torticolis avec correction chirurgicale pendant l'enfance. Infection précoce PTH D à Streptocoque oralis (ponction réalisée le 23.01.2018) • Implantation PTH D en juillet 2017 (Dr. X) suivie, 6 semaines plus tard, d'une fracture périprothétique type Vancouver • Changement de la tête fémorale D en novembre 2017 (Dr. X) Embolie pulmonaire sous-segmentaire apicale du lobe supérieur et segmentaire médiale du lobe moyen à D; le 10.02.2018 AS diagnostique, bursectomie sous-acromiale, ténotomie, ténodèse du LCB, résection articulation AC épaule G le 13.03.2017 sur ténopathie du LCB, bursite sous-acromiale et arthrose AC épaule G Implantation PUC genou G en 2012 sur arthrose fémoro-tibiale interne varisante AS genou G il y a 2 ans Implantation PTH G en 2006 Cure pouce à ressaut Cure hernie inguinale G OS cheville à 2 reprises. OS fracture radius distal G en 2005 Infection probablement virale des voies aériennes supérieures. Infection pulmonaire chronique à Mycobacterium avium non traitée diagnostiquée en 2013 : • Nombreux essais de thérapie antibiotique, toujours arrêtés en raison de symptômes GI (diarrhées, vomissements, douleurs) • Fonctions pulmonaires correctes avec tendance restrictive en août 2018 Reflux gastro-oesophagien Hypertension artérielle traitée Ostéoporose Hernie ombilicale asymptomatique Kératose actinique faciale (Dr. X) Vertiges positionnels paroxystiques bénins sous Betaserc Hypovitaminose D3 sévère et déficit alimentaire en calcium Tachycardie auriculaire électro-entraînée en novembre 2018 • DRS atypiques de 24h • Angor stable anamnestique • Contrôle pacemaker : fonctionnement normal Infection pulmonaire traitée par Céfuroxime, Klacid et Prednisone du 22.11 au 06.12.2018 Infection respiratoire basse d'origine probablement virale avec douleur pariétale dans le cadre de la toux au niveau du rebord costal gauche le 21.01.2019. Infection respiratoire de probable origine virale. Infection respiratoire d'origine virale • DD grippe Infection RSV avec une bronchiolite et les apnées Infection RSV avec une rhinite Infection sur status post cure d'hallux valgus D en mini-invasif le 27.11.2018 avec : • Hallux valgus D symptomatique, angle MPT 1 à 27° et intermétatarsien à 27°. Status post cure hallux valgus en mini-invasif à G le 17.07.2018 avec : • Hallux valgus bilatéraux avec angle MTP I à 27° et intermétatarsien à 27° à D et 13° à G. Infection sur voie veineuse centrale le 09.01.2019 Infection urinaire basse avec globe vésical le 05.01.12 Infection urinaire Infection urinaire Infection urinaire Infection urinaire. Infection urinaire. Infection urinaire. Infection urinaire. Infection urinaire. Infection urinaire. Infection urinaire. Infection urinaire. Infection urinaire à C. freundii (10E6) le 09.12.2018 multirésistant • TR négatif le 17.12.2018 Infection urinaire à C. freundii (10E6) le 09.12.2018 multirésistant • TR négatif le 17.12.2018 • Sonde urinaire dès le 09.12.2018 • Ceftriaxone du 10.12.2018 au 14.12.2018 • Ciprofloxacine du 14.12.2018 au 15.12.2018 • VVC jugulaire droite dès le 14.12.2018 jusqu'au 19.12.2018 Infection urinaire à E. Coli Infection urinaire à E. Coli le 10.01.2019. Infection urinaire à E. faecalis 10E5 le 28.12.2018 DD contamination Infection urinaire à E.coli ESBL. Infection urinaire à E.coli le 11.12.2018 diagnostiquée chez le médecin traitant • résultats transmis par téléphone par le médecin traitant le 14.12.2018 Infection urinaire à E.Coli multisensible le 25.12.2018 Infection urinaire à Enterobacter complexe cloacae le 04.01.2019 Infection urinaire à Enterococcus faecalis Infection urinaire à Klebsiella Infection urinaire à Klebsiella Pneumonie le 16.11.2018 Infection urinaire à pseudomonas multisensible le 21.01.2019 Infection urinaire à répétitions. Infection urinaire à répétition. Ténesmes vésicaux d'origine indéterminée. Infection urinaire asymptomatique Infection urinaire asymptomatique Infection urinaire asymptomatique Infection urinaire avec baisse de l'état général le 05.01.2019 Contexte de chute le 29.12.2018 Infection urinaire avec probable pyélonéphrite le 10.01.2019 Infection urinaire basse Infection urinaire basse Infection urinaire basse Infection urinaire basse Infection urinaire basse. Infection urinaire basse. Infection urinaire basse. Infection urinaire basse. Infection urinaire basse. Infection urinaire basse. Infection urinaire basse. Infection urinaire basse. Infection urinaire basse. Infection urinaire basse. Infection urinaire basse. Infection urinaire basse. Infection urinaire basse. Infection urinaire basse à E.Coli le 28.12.2018 • s/p infection urinaire à E. coli le 11.12.2018, Co-Trimoxazole du 11. au 13.12.2018 Infection urinaire basse à Citrobacter koseri et probable portage de Pseudomonas aeruginosa • traitée par Nitrofurantoïne depuis le 10.01.2019 Infection urinaire basse à E. aerogenes le 03.01.2019 • S/p ablation de sonde urinaire le 27.12.2018 Infection urinaire basse à E. coli le 31.12.2018 avec syndrome inflammatoire. Infection urinaire basse à E. coli résistant au Bactrim et Proteus Mirabilis résistant à la Nitrofurantoïne le 16.12.2018 • Bactrim forte 2x/j pendant 2j • Relais par Ciproxine 500 mg 2x/j jusqu'au 26.12.2018 Infection urinaire basse à E. coli traitée par Uvamine en 11/2013 Hyponatrémie normo-osmolaire à 128 mmol/l le 28.10.2013 Embolie pulmonaire bilatérale et atteinte de l'artère pulmonaire droite le 29.10.2013, sous anticoagulation dès le 03.11.2013 Probable rupture de la coiffe des rotateurs à l'épaule droite Carence modérée en vitamine D3 Etat d'agitation aigu sur probable crise hypertensive le 21.02.2014 DD : médicamenteux (Fluoxetin, Imovane) Infection urinaire basse à E. coli traitée par Uvamine en 11/2013. Hyponatrémie normo-osmolaire à 128 mmol/l le 28.10.2013. Embolie pulmonaire bilatérale et atteinte de l'artère pulmonaire droite le 29.10.2013, sous anticoagulation dès le 03.11.2013. Probable rupture de la coiffe des rotateurs à l'épaule droite. Carence modérée en vitamine D3. Etat d'agitation aigu sur probable crise hypertensive le 21.02.2014. DD : médicamenteux (Fluoxetin, Imovane). Infection urinaire basse à E. coli résistant à la Ciproxine le 04.01.2019 • avec état confusionnel aigu Infection urinaire basse à germe inconnu le 28.12.2018 Infection urinaire basse à K. pneumoniae le 24.01.2019 Infection urinaire basse avec état confusionnel aigu le 05.01.2019 Infection urinaire basse avec rétention urinaire Infection urinaire basse chez l'homme. Infection urinaire basse chez patiente porteuse d'une sonde à demeure Infection urinaire basse compliquée à E. coli ESBL. Infection urinaire basse compliquée à germe indéterminé, avec: • Ciprofloxacine 500 mg 2x/j depuis le 11.01.2019 • statut urinaire le 15.01.2019 : négatif Infection urinaire basse compliquée • chez patiente ayant un rein unique post-néphrectomie bilatérale et greffe de rein en 2014, avec rein pelvien gauche • chez patiente immunosupprimée • DD: infection urinaire haute compliquée, diverticulite. Infection urinaire basse compliquée sans prostatite. Infection urinaire basse du 12.01.2019. Infection urinaire basse E. faecalis, staph. haemolyticus positif le 06.03.2017, Uricult le 06.03.2017 • Ciprofloxacin 500 mg 2x/j du 06.03.2017 au 13.03.2017 Crise épileptique tonico-clonique le 18.08.2018 avec: • Epilepsie connue sous Keppra, avec suspicion de cause structurelle dans le cadre de la leucoencéphalopathie Fazekas 2 et l'AVC ischémique aigu à subaigu du territoire postérieur (Mr. Y connu pour faire des crises confusionnelles et pertes de mémoire qui se présentent ainsi : Mr. Y devient blême, yeux hagards, reste figé dans les gestes et la parole, propos incohérents, quand il revient à lui, il ne se rappelle de rien. Tout cela depuis 2013, attitude : l'asseoir / coucher, ne pas s'inquiéter, si besoin appeler sa fille au 079 579 53 71. • Première crise : 2008 (anamnestique) • A l'Inselspital : EEG sans particularités, CT : leucoencéphalopathie et trouble de la prise en contraste de l'a. cérébrale postérieur • Changement du Keppra pour le Lamictal pour l'insuffisance rénale, transition lente du Keppra pour le Lamictal comme débuté à l'Inselspital Diabète mellitus type 2 • Initialement traité par Metformin et Januvia • HbA1c : 10.7% le 18.08.2018 contre 7.7% le 09.03.2017 • Polyneuropathie diabétique (pallesthésie des pieds 0/8 bilatérale en 03/2017) • Introduction de Lantus une première fois à Fribourg en 2017, puis reprise du traitement p.o. et remise sous Lantus à l'Inselspital Profil quotidien • Maintien initialement de la Lantus avec soins à domicile Troubles de l'opacification de l'a. cérébrale postérieure droite au scanner du 18.08.2018 sans répercussion neurologique avec • Bilan des facteurs de risque à l'Inselspital : LDL dans les normes sous Atorvastatine 40 mg, Hb1Ac à 10.7% (voir Dx supp. 1), pas de fibrillation auriculaire à l'interrogation du pacemaker Maintien des traitements préventifs : Atorvastatine, Aspirine Adaptation du traitement antidiabétique ETT prévue le 27.08.2018 (Dr. X) : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié, FEVG à 64 % Rétrécissement aortique lâche, surface aortique à 2,81 cm² (1,42 cm²/m²). Oreillette gauche très dilatée. Douleurs de l'épaule droite • présentes depuis l'accident, sans impact fonctionnel, avec statut sans asymétrie • Ecofenac et Dafalgan en réserve Polyurie avec urgenturie sans incontinence le 22.08.2018 DD : glycosurie, incontinence chronique • Sédiment : glycosurie, pas de leucocyturie ni nitrites • Résidus mictionnel : 0 ml Infection urinaire basse E. faecalis, staph. haemolyticus positif le 06.03.2017 Uricult le 06.03.2017 Ciprofloxacin 500 mg 2x/j du 06.03.2017 au 13.03.2017 Crise épileptique tonico-clonique le 18.08.2018 avec: • Epilepsie connue sous Keppra, avec suspicion de cause structurelle dans le cadre de la leucoencéphalopathie Fazekas 2 et l'AVC ischémique aigu à subaigu du territoire postérieur • Première crise : 2008 (anamnestique) • A l'Inselspital : EEG sans particularités, CT : leucoencéphalopathie et trouble de la prise en contraste de l'a. cérébrale postérieur • Changement du Keppra pour le Lamictal pour l'insuffisance rénale Transition lente du Keppra pour le Lamictal comme débuté à l'Inselspital Diabète mellitus type 2 • Initialement traité par Metformin et Januvia • HbA1c : 10.7% le 18.08.2018 contre 7.7% le 09.03.2017 • Polyneuropathie diabétique (pallesthésie des pieds 0/8 bilatérale en 03/2017) • Introduction de Lantus une première fois à Fribourg en 2017, puis reprise du traitement p.o. et remise sous Lantus à l'Inselspital Profil quotidien Maintien initialement de la Lantus avec soins à domicile Troubles de l'opacification de l'a. cérébrale postérieure droite au scanner du 18.08.2018 sans répercussion neurologique avec • Bilan des facteurs de risque à l'Inselspital : LDL dans les normes sous Atorvastatine 40 mg, Hb1Ac à 10.7% (voir Dx supp. 1), pas de fibrillation auriculaire à l'interrogation du pacemaker Maintien des traitements préventifs : Atorvastatine, Aspirine Adaptation du traitement antidiabétique ETT prévue le 27.08.2018 Douleurs de l'épaule droite • présentes depuis l'accident, sans impact fonctionnel, avec statut sans asymétrie Ecofenac et Dafalgan en réserve Polyurie avec urgenturie sans incontinence le 22.08.2018 • DD : glycosurie, incontinence chronique Sédiment : glycosurie, pas de leucocyturie ni nitrites Résidus mictionnel : 0 ml Infection urinaire basse en novembre 2018. Infection urinaire basse le 04.01.2019 • probablement sur port prolongé de SV Infection urinaire basse le 05.01.19. Infection urinaire basse le 05.01.2019. Infection urinaire basse le 08.01.2019 Infection urinaire basse le 08.12.2018 Infection urinaire basse le 10.01.2019 Infection urinaire basse le 12.08.2016. Rétention du matériel post-IVG médicamenteuse à 7 2/7 semaines d'aménorrhée le 01.02.2017. Infection urinaire basse le 14.12.2018 Infection urinaire basse le 19.12.2018 Infection urinaire basse le 21.01.2019 Infection urinaire basse le 27.01.2019. Infection urinaire basse le 30.12.2018 Infection urinaire basse le 31.12.2018 Infection urinaire basse non compliquée. Infection urinaire basse non compliquée. Infection urinaire basse non compliquée.Infection urinaire basse non compliquée. Infection urinaire basse non compliquée à répétition Infection urinaire basse non compliquée le 23.08.2018. Infection urinaire basse par E. Coli le 08.01.2019 Infection urinaire basse récidivante. Infection urinaire basse symptomatique Infection urinaire basse symptomatique le 06.12.2018 Infection urinaire basse. Suspicion vaginite : diagnostic différentiel : candidose vs bactérienne. Avis gynécologique : prise en charge spécialisée. Infection urinaire chez l'homme Infection urinaire compliquée le 02.01.2019. Infection urinaire compliquée : • Chez un patient avec une sonde double J en place • Sonde vésicale changée le 06.01.2019 Infection urinaire compliquée à cocci gram + Infection urinaire compliquée à germe indéterminé : • status post-infection infection urinaire traitée par Ciprofloxacine 500 mg 2x/j jusqu'au 08.12.2018. Infection urinaire compliquée à Klebsiella oxytoca chez une patiente présentant des infections urinaires à répétition : • Vessie hypocapacitive, acontractile avec insuffisance sphinctérienne intrinsèque (diagnostic urodynamique 2002) • Pose de sonde vésicale à demeure Infection urinaire compliquée avec : • bactériémie à E. coli sensible à la Ceftriaxone et à la Ciproxine. Infection urinaire compliquée avec cystofix et possible pseudomonas Infection urinaire compliquée en mauvaise évolution sous Bactrim. Infection urinaire compliquée, le 04.12.2018. Hyponatrémie à 124 mmol/l sur probable SIADH (infectieux, possible néoplasie gastro-intestinale), le 04.12.2018. Agitation psycho-motrice d'origine indéterminée avec hétéroagressivité depuis le 26.11.2018 et refus de traitement depuis le 23.11.2018. Hospitalisation à Marsens sous PLAFA. Anémie normochrome normocytaire chronique avec hémoglobine à 110 g/l le 20.09.2018. Anémie ferriprive sur probable hémorragie digestive haute en mars 2018. Thrombose veineuse profonde de la poplitée gauche en mars 2018. Résection transurétrale de la prostate en 2010 et 2016 Prostatite aiguë à E. Coli multisensible. Epanchement articulaire inflammatoire du genou gauche. Infection urinaire compliquée le 11.01.2019 Infection urinaire compliquée le 20.12.2018 • chez patient avec rein unique • infections urinaires à répétition • Uvamine du 15 au 22.12.2018 • méat urinaire sténosé Infection urinaire compliquée sur sonde urinaire avec état fébrile à 38.6°C le 19.12.2018 Infection urinaire compliquée, 2014 Hypokaliémie, 2014 Infection urinaire, cystite Infection urinaire dans un contexte de probable vessie acontractile d'origine neurogène Infection urinaire haute. Infection urinaire haute à E. Coli ESBL le 02.01.2019 • EF à 39° le 02.01.2019 • Toucher rectal négatif, loges rénales indolores à la percussion Infection urinaire haute à E. coli le 05.01.2019 : • contexte d'antibiothérapie préalable (par Nitrofurantoïne) • infection urinaire haute bactériémique à E. Coli le 18.10.2018 • pyélonéphrite gauche en juillet 2018 avec E. Coli résistant à la Ciprofloxacine Infection urinaire haute à E. Coli multisensible le 05.11.2018 (diagnostiquée à Payerne) Infection urinaire haute bactériémique à E. Coli le 18.10.2018 : • S/p pyélonéphrite gauche en juillet 2018 avec E. Coli résistant à la Ciprofloxacine Pyélonéphrite gauche le 22.07.2018 Bas débit cardiaque le 22.07.2018 • Alarme Heartmate III : débit 3-4L/min • Vertiges orthostatiques Dysfonction thyroïdienne le 17.10.2017 • TSH à 7,53 Ischémie aiguë du MSD sur embolie de l'artère axillaire droite le 08.04.2016 d'origine cardiaque • Embolectomie / thrombectomie de l'artère humérale droite (38.03 + 38.91) le 09.04.2016 Claudication intermittente du MID stade II B sur occlusion de la fémorale superficielle : • dilatation du départ des iliaques communes des deux côtés avec kissing stent le 15.03.2013 pour une claudication stade II B des deux membres inférieurs • pontage fémoro-poplité droit à l'aide d'une veine inversée le 03.06.2013 Pose d'un filet pour la vessie 2010 Pneumonie basale droite avec épanchement parapneumonique • insuffisance cardiaque aiguë stade II selon NYHA secondaire à l'infection • infarctus type 2 secondaire à l'infection Appendicectomie en 1963 Infection urinaire haute chez enfant connu pour malformation urinaire opérée Infection urinaire haute en mauvaise évolution sous Bactrim le 06.01.2019. Infection urinaire haute probable Infection urinaire le 02.01.2019 Infection urinaire le 02.02.2018. Broncho-aspiration le 11.02.2018 sur baisse de la vigilance. Troubles phasiques de type Wernicke avec troubles exécutifs le 02.03.2018. • DD : état post-ictal, péjoration spontanée de la leuco-encéphalopathie, accident ischémique transitoire, médicamenteux. Fracture col du fémur Garden I le 11.06.2018. Infection urinaire basse non compliquée le 28.12.2017. Bicytopénie le 30.12.2017 d'origine médicamenteuse probable (nitrofurantoïne). Accident vasculaire cérébral ischémique sylvien gauche avec foyer épileptique résiduel, sous Valproate (2016). Lésion d'hyperextension C5-C6 avec discectomie et pose d'une cage et spondylodèse (2016). Prothèses des deux épaules. Infection urinaire le 04.01.2019 • Chez patient porteur d'un Cystofix Infection urinaire le 05.10.2017 à 10^5 germes (Staph. epidermidis et simulans) Infection urinaire le 21.12.2018 : Infection urinaire le 28.12.2018 • chez un patient porteur de deux sondes JJ à droite et d'une sonde JJ à gauche dans un contexte d'hydronéphrose Infection urinaire le 29.12.2018 Infection urinaire non compliquée. Infection urinaire non compliquée • DD : prostatite. Infection urinaire non compliquée le 02.01.2019. Infection urinaire non compliquée le 08.01.2019. Infection urinaire non compliquée le 18.01.2019. Infection urinaire non compliquée le 28.12.2018. Diagnostic différentiel : pyélonéphrite débutante. Infection urinaire nosocomiale à Enterobacter cloacae et Enterococcus faecalis diagnostiquée le 11.12.2018 Infection urinaire nosocomiale haute le 12.11.2017. Bradycardie à 35/min d'origine médicamenteuse le 27.10.2017. Pneumonie d'aspiration le 26.10.2017. Oedème pulmonaire aigu cardiogénique sur STEMI subaigu et flutter auriculaire le 25.10.2017. Décompensation diabétique hyper-osmolaire sans acidose le 25.10.2017. Suspicion d'hémorragie digestive haute le 21.12.2016 sur : • prise d'AINS et alcool et Sintrom supra-thérapeutique (INR > 5.5). Oedème pulmonaire aigu probablement d'origine ischémique le 23.12.2016 : • dysfonction systolique sévère (FEVG 20%). Traumatisme crânio-cérébral avec probable perte de connaissance sous éthylisation aiguë, en mai 2010. Traumatisme crânien simple et traumatisme cervical avec arrachement du processus épineux C7, en 2009. Fracture sous-capitale de l'humérus gauche. Décompensation cardiaque globale sur récidive de fibrillo-flutter le 03.01.2018. Décompensation cardiaque globale le 18.09.2018. Infection urinaire probablement à Pseudomonas aeruginosa sur sonde Infection urinaire simple Infection urinaire simple le 12.01.2019 • dans un contexte de carcinome du col de l'utérus cT4 avec fistule vésico-vaginale nouvelle le 08.01.2019Infection urinaire simple le 12.01.2019 • dans un contexte de carcinome du col de l'utérus cT4 avec fistule vésico-vaginale nouvelle le 08.01.2019 Infection urinaire simple le 21.01.2019. Infection urinaire simple 07/2018 Infection urinaire simple 22.01.2019 (DD : bactériurie asymptomatique) Infection urinaire simple stix, sédiment Nitrofurantoïne 100 mg 2x/jour pendant 5 jours Démence d'Alzheimer avancée Rx thorax : sp Urine : sp Labo : pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble électrolytique Infection urinaire sous traitement (médecin traitant) Infection urinaire sur probable infection gynécologique. Uvamine. Consultation gynécologique. Infection urinaire suspectée Infection urinaire symptomatique Infection urinaire 01.2019 Infection urinaire 08.01.2019 Infection urinaire le 19.12.2018 Infection vaginale sur atrophie vaginale le 04.09.2018 Encéphalopathie post-Cefepime août 2018 Status post-sepsis sévère sur infection urinaire à pseudomonas aeruginosa le 24.07.2018 Hypovitaminose D sévère (12 nmol/l) le 30.04.2018 Cholécystectomie 2015 Prothèse totale du genou droit 2009 Infection vaginale traitée par Diflucan. Infection verge le 02/01/18. DD : urétrite, prostatite débutante. Infection virale aspécifique • pas de leucocytose • CRP à 40 mg/l • pas de toux, pas de douleur lombaire, pas de signe ou symptômes cutanés, multiples portes d'entrée possibles Infection virale avec selles défaites et toux, déshydratation 3%, absence de globe Infection virale DD otite moyenne aiguë débutante DD Roséole DD dents qui percent Infection virale des voies aériennes supérieures. Infection virale des voies aériennes supérieures avec angine et otite moyenne aiguë droite débutante Infection virale des voies aériennes supérieures le 22.01.2019 • toux et aphonie, odynodysphagie Infection virale des voies respiratoires Infection virale des voies respiratoires. Infection virale des voies respiratoires débutantes, DD : bronchiolite débutante Infection virale des voies respiratoires supérieures, otite moyenne aiguë gauche débutante Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures Infection virale des voies respiratoires supérieures : • Critères de Centor : 0/4 Infection virale des voies respiratoires supérieures, avec angine virale et otite débutante à gauche Infection virale des voies respiratoires supérieures avec otite moyenne aiguë droite débutante Infection virale des voies respiratoires supérieures avec pharyngite Infection virale des voies respiratoires supérieures DD bronchite Infection virale des voies respiratoires supérieures DD faux croup Infection virale des voies respiratoires supérieures, DD : fièvre post-vaccin Infection virale des voies respiratoires supérieures, DD : gastroentérite, DD : méningite virale Infection virale des voies respiratoires supérieures le 16.01.19. Infection virale des voies respiratoires supérieures le 16.01.2019. Infection virale des voies respiratoires supérieures, DD : otite moyenne aiguë gauche débutante Infection virale (parvovirus B19) avec rash cutané Infection virale voies aériennes supérieures afébriles le 19.12.2018 avec : • conjonctivite œil droit d'allure virale Infection virales des voies aériennes supérieures le 15.01.2019 • laryngite/pharyngite Infection virales des voies respiratoires Infection virales des voies respiratoires supérieures Infection virales des voies respiratoires supérieures Infection virales des voies respiratoires supérieures Infection virales des voies respiratoires supérieures avec angine Infection virales des voies respiratoires supérieures avec pharyngite Infection virales des voies respiratoires supérieures avec pharyngite Infection virales des voies respiratoires supérieures avec pharyngite débutante Infection vulvo-vaginale le 12.01.2019 dans un contexte de carcinome du col de l'utérus cT4 avec fistule vésico-vaginale nouvelle le 08.01.2019 Infection vulvo-vaginale le 12.01.2019 chez une patiente 3G 3P de 81 ans • dans un contexte de carcinome du col de l'utérus cT4 avec fistule vésico-vaginale nouvelle le 08.01.2019 Infection vulvo-vaginale le 12.01.2019 • dans un contexte de carcinome du col de l'utérus cT4 avec fistule vésico-vaginale nouvelle le 08.01.2019 Infections des voies respiratoires supérieures avec : Pharyngite Rhume et syndrome descendant Infections urinaires basses simples Infections urinaires à répétition Infections urinaires à répétition. Infections urinaires à répétition - Pyélonéphrite droite en 2014 et le 08.08.2017 Insuffisance respiratoire partielle d'origine multifactorielle en mai 2012. Opération du tunnel carpien des deux côtés en 2003. Appendicectomie en 1991. Cystopexie. Arthroscopie du genou avec résection partielle du ménisque interne gauche en 2005. Cholécystectomie sous laparoscopie en 2014. Erysipèle facial dans un contexte d'immunosuppression en 2017. Douleur thoracique probablement sur crise d'angoisse le 12.08.2017 - DD : sur hypertension. Bronchite spastique virale le 08.04.2018. Infections urinaires à répétition - Pyélonéphrite droite en 2014 et le 08.08.2017. Insuffisance respiratoire partielle d'origine multifactorielle en mai 2012. Opération du tunnel carpien des deux côtés en 2003. Appendicectomie en 1991. Cystopexie. Arthroscopie du genou avec résection partielle du ménisque interne gauche en 2005. Cholécystectomie sous laparoscopie en 2014. Erysipèle facial dans un contexte d'immunosuppression en 2017. Douleur thoracique probablement sur crise d'angoisse le 12.08.2017 - DD : sur hypertension. Bronchite spastique virale le 08.04.2018. Exacerbation d'un syndrome douloureux chronique et gonalgies avec/sur : • polyarthrose avec gonarthrose bilatérale sévère et invalidante - suivie par le Dr X (prochain contrôle le 17.05.2019). • Syndrome cervico-lombo-vertébral chronique. • post-infiltration facettes L4-L5 et L5-S1 D en 2002. Radiographie colonne lombaire, genou droit le 3.01.2019. Radiographie thorax le 3.01.2019 : légère épanchement à gauche. Radiographie bassin + hanche D le 4.01.2019. Scintigraphie osseuse (recherche de fracture occulte) le 8.01.2019. Radiographie genou en charge le 8.01.2018 - > physiothérapie en hospitalier puis à domicile (renforcement musculaire). Avis Dr. X : Au décours de son hospitalisation, situation stable par rapport à l'habituel. Suite : sera revue par le Dr. X pour discuter de la possibilité d'une prothèse de genou droit. Infections urinaires à répétition avec : • traitement par Nitrofurantoïne 2x10j par le médecin traitant entre décembre 2018 et janvier 2019 • infection urinaire haute bactériémique à E.Coli le 18.10.2018 • pyélonéphrite gauche en juillet 2018 avec E.Coli résistant à la Ciprofloxacine • Contexte d'assistance ventriculaire et attente de greffe cardiaque suivi au CHUV (Dr. X) • Consilium infectiologie lors de la précédente hospitalisation : antibioprophylaxie par Co-amoxiciline 1g 1x/j (non retenue pour suivi CHUV) Infections urinaires à répétition. Pyélonéphrite droite en 2014. Insuffisance respiratoire partielle d'origine multifactorielle en mai 2012. Opération du tunnel carpien des deux côtés en 2003. Appendicectomie en 1991. Cystopexie. Arthroscopie genou gauche. Cholécystectomie sous laparoscopie en 2014. Erysipèle facial dans un contexte d'immunosuppression en 2017. Pyélonéphrite à germe indéterminé le 08.08.2017. Douleur thoracique probablement sur crise d'angoisse le 12.08.2017 - DD : sur hypertension. Bronchite spastique virale le 08.04.2018. Infections urinaires à répétition. Status post-infection à E.Coli en début mars 2017. Status post-cystites dans l'enfance. Status post-cystoscopie en 2016 et ultrason par le Dr. X : résidu post mictionnel 66 ml asymétrie D 6.5 cm G 12 cm, un double système pyélo urétérale n'est pas exclu. Cystoscopie 2016 urètre sp col vésical très tonique cystite bulleuse avec leucoplasie de trigone pas des tumeur exophytique, orifices urétéraux sp dd. Rétention urinaire aigue depuis 20 h hier soir, 28.03.2017 : chez une patiente avec des infections urinaires à répétition. DD : syndrome de Fowler. Status post-opération d'un pied bot droit et opération pour otite dans l'enfance. Tabagisme chronique à 10 cigarettes/jour. Sous pilule depuis l'âge 15 ans. Crise d'angoisse le 17.12.2015. Pyélonéphrite droite. Rétention urinaire possiblement sur les douleurs, résolution spontanée. Infections urinaires basses à répétition Hyponatrémie hypoosmolaire sévère symptomatique à 108 mmol/l le 26.07.2016 d'origine mixte Sepsis d'origine mixte le 26.07.2016 : • pneumonie du lobe inférieur droit • infection urinaire à E.Coli 2 souches dont ESBL (30.07.2016) et Proteus mirabilis Infections urinaires 2 épisodes. Infections urinaires (2x). Infections urinaires 3-4x depuis 7 mois. Infertilité primaire / secondaire d'origine féminine (endométriose) : tubaire / ovarienne (SOPK ou IOP) / idiopathique, masculine chez une patiente de 36 ans. Infertilité primaire chez une patiente de 32 ans nulligeste Cystoscopie en raison d'infections urinaires à répétition Hystéroscopie diagnostique convertie en hystéroscopie opératoire en raison d'un polype endo-cavitaire Laparoscopie diagnostique avec épreuve au bleu le 03.01.2017 : épreuve positive Laparoscopie opératoire : Adhésiolyse avec exérèse d'une adhérence pariéto-colique gauche, lésions d'endométriose en fosse iliaque droite biopsiées et petits foyers coagulés en regard de la paroi utérine Infertilité primaire chez une patiente de 38 ans. Infertilité primaire chez une patiente nulligeste de 35 ans Infertilité primaire de 5 ans masculine (OATS) 2015 : hystéro-salpingographie Infertilité primaire depuis 4 ans Infertilité primaire du couple d'origine masculine (OATS sévère chez le mari), chez une patiente de 36 ans 5G 0P (fausse couche à répétition). Infertilité primaire et kyste ovarien persistant chez une patiente de 27 ans G0P0. Laparoscopie diagnostique et opératoire sous AG le 30.05.2017 avec : • épreuve au bleu : perméabilité tubaire bilatérale. • kystectomie ovarienne droite. • biopsie péritonéale du cul de sac de Douglas. • cytologie péritonéale. Hystéroscopie diagnostique. Infertilité secondaire chez une patiente 3G 1P de 37 ans. Infertilité secondaire (endométriose sévère) chez une patiente de 36 ans, nulligeste. Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration Infiltration articulation CMC1 le 25.01.2019 : • désinfection et champage classiques. • repérage de l'articulation CMC1 sous scopie. • infiltration de Depo-Medrol dans l'articulation CMC1. • rétraction de l'aiguille, pansement stérile. Infiltration auriculaire gauche le 25.01.2019. Désinfection et champage classiques. Repérage digital du canal digital puis mise en place de l'aiguille dans le canal digital. La bonne position de l'aiguille est confirmée par des mouvements respectifs de l'aiguille et du doigt. Infiltration de Dépo-Médrol dans le canal digital. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. Infiltration C6-C7 sous CT le 22.01.2019 (CIMF) Prochain contrôle le 14.02.2019 Infiltration C7 G sous CT le 17.01.2019 (CIMF) Infiltration L4 G sous CT le 24.01.2019 (CIMF) Prochain contrôle le 14.02.2019 Infiltration de la musculature iliaque DD abcès découvert fortuitement lors d'un CT de planification pré-opératoire le 11.12.2018 Infiltration de l'articulation AC droite le 25.01.2019 Désinfection classique. Repérage de l'articulation AC sous scopie. Infiltration d'une mixture de Dépo-Medrol et Ropivacaïne dans l'articulation AC. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. Mobilisation selon douleurs. Ablation du pansement à 24 h. Infiltration de l'articulation acromio-claviculaire et de l'espace sous-acromial à gauche le 16.01.2019 : Désinfection et champage habituels sous contrôle de scopie. Infiltration de 40 mg de Dépo-Médrol mélangés à 1 ml de Rapidocaïne dans l'espace sous-acromial à travers l'articulation acromio-claviculaire en retirant l'aiguille jusque dans l'espace acromio-claviculaire. Infiltration de nouveau de 40 mg de Dépo-Médrol mélangé à 1 ml de Rapidocaïne. La mobilisation immédiate de l'épaule est bien tolérée par Mr. Y. Pansement stérile. Infiltration de l'articulation CMC I droite le 25.1.2019. Désinfection et champage classiques. Repérage de l'articulation CMC I sous scopie. Infiltration de Dépo-Médrol dans l'articulation. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. Infiltration de l'épaule gauche du 09.01.2019 : Désinfection et champage habituel. Infiltration sous anesthésie locale par Lidocaïne de 40 mg de Dépo-Médrol dans l'articulation AC sous contrôle par scopie. Pansement stérile. La mobilisation immédiate de l'épaule ne montre pas de douleur. Infiltration doigt à ressaut D3 gauche le 25.1.2019. Désinfection et champage classiques. Repérage digital du canal digital. Mise en place de l'aiguille, sa bonne position est confirmée par des mouvements respectifs du doigt et de l'aiguille. Infiltration du canal digital par Dépo-Médrol. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. Infiltration du canal digital D3 main droite le 25.1.2019. Désinfection et champage classiques. Repérage du point douloureux distal de la poulie A2. Mise en place de l'aiguille dans le canal digital, injection de Dépo-Médrol dans le canal digital. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. Infiltration du genou gauche du 9.1.2019. Désinfection et champage habituels. Anesthésie locale par Rapidocaïne 1%. Infiltration de 80 mg de Dépo-Médrol mélangé à 4 ml de Rapidocaïne 1% dans l'articulation du genou gauche. La mobilisation immédiate est bien tolérée par Mr. Y. Infiltration du mur méniscal interne genou D sous US. Prochain contrôle le 15.03.2019. Infiltration du mur méniscal le 27.02.2019. Prochain contrôle le 03.05.2019. Infiltration du nerf périnéal gauche en raison d'une hyperspasticité sphinctérienne en 2013. Hystérectomie. Cure de hernie inguinale dans l'enfance. Suspicion de syndrome d'Alcock versus Lichen vaginal. Infection urinaire symptomatique le 27.09.2013. Petite protrusion discale aux niveaux L2-L3-L4-L5 et L5-S1, sans obstruction, ni conflit radiculaire. État de stress émotionnel. Coprostase. Diarrhées sur antibiothérapie le 30.10.2013. Constipation sévère avec colonoscopie le 20.02.2014. Malnutrition protéino-énergétique grave. Plaie du cuir chevelu dans le contexte d'une chute mécanique. Infiltration du 12.02.2019. Infiltration du 6ème compartiment des extenseurs poignet gauche le 25.1.2019. Désinfection et champage classiques. Infiltration de Dépo-Médrol dans le 6ème compartiment. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. Infiltration épaule droite. Infiltration épaule gauche du 25.1.2019. Désinfection classique. Infiltration d'une mixture de Dépo-Médrol et Ropivacaïne en intra-articulaire. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. Infiltration épicondylite radiale droite le 25.1.2019. Désinfection et champage classique. Repérage de l'endroit douloureux. Infiltration d'abord de Ropivacaïne afin de permettre un dry needling puis finalement injection de Dépo-Médrol loco-dolenti. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. Infiltration épidurale le 16.01.2019. Intervention le 01.02.2019. Infiltration face dorsale poignet droit le 25.1.2019. Désinfection et champage classique. Repérage digital de l'épaississement douloureux des tissus sur la face dorsale de l'articulation radio-carpienne proximale du grand os. Infiltration de Dépo-Médrol loco-dolenti. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. Infiltration facettaire L5-S1 bilatérale sous CT le 31.01.2019 (CIMF). 2ème avis auprès du Dr. X. Prochain contrôle suite à ces rendez-vous (la patiente nous recontactera). Infiltration facettaire L5-S1 ddc sous scopie le 29.01.2019 (Salle des plâtres). Prochain contrôle le 07.02.2019. Infiltration foraminale C5 D sous CT le 28.01.2019 (CIMF). ENMG du MS D au Neurocentre (merci de convoquer la patiente). Prochain contrôle le 14.02.2019. Infiltration genou droit du 16.1.2019. Désinfection et champage habituel. Anesthésie locale par Rapidocaïne 1%. Infiltration de 80 mg de Dépo-Médrol mélangé à 4 ml de Rapidocaïne 1% dans l'articulation du genou gauche. La mobilisation immédiate est bien tolérée par Mme. Y. Infiltration genou droit du 23.01.2019. Désinfection et champage habituel. Anesthésie locale par Rapidocaïne 1%. Infiltration de 80 mg de Dépo-Médrol mélangé à 4 ml de Rapidocaïne 1% dans l'articulation du genou droit. La mobilisation immédiate est bien tolérée par Mme. Y. Infiltration genou G le 11.02.2019. Infiltration genou gauche : Désinfection et champage habituel. Anesthésie locale par Rapidocaïne. Infiltration de 80 mg de Dépo-Médrol dans l'articulation du genou gauche. La mobilisation immédiate après l'infiltration montre une disparition complète des douleurs. Infiltration genou gauche du 16.1.2019. Désinfection et champage habituel. Anesthésie locale par Rapidocaïne 1%. Infiltration de 80 mg de Dépo-Médrol mélangé à 4 ml de Rapidocaïne 1% dans l'articulation du genou gauche. La mobilisation immédiate est bien tolérée par Mme. Y. Infiltration intra-foraminale L4-L5 sous scanner puis contrôle à notre consultation. Infiltration le 05.02.2019. Infiltration le 06.02.2019. Prochain contrôle le 18.02.2019. Infiltration le 07.01.2019. Infiltration le 10.01.2019. Prochain contrôle le 11.02.2019. Infiltration le 12.02.2019. Infiltration le 12.02.2019 (selon résultat d'IRM du même jour). Infiltration le 17.01.2019. Prochain contrôle le 11.02.2019. Infiltration le 17.01.2019. Prochain contrôle le 28.01.2019. Infiltration le 19.02.2019. Infiltration le 19.02.2019. Infiltration le 19.02.2019. Ostéosynthèse du radius distal D. (OP le 03.11.2017). Infiltration le 19.02.2019. Prochain contrôle le 21.03.2019. Infiltration le 19.02.2019. Prochain contrôle le 28.03.2019. Infiltration le 24.01.2019. Prochain contrôle le 04.02.2019. Infiltration le 29.01.2019. Infiltration le 31.01.2019. Prochain contrôle le 18.02.2019. Infiltration le 31.01.2019. Prochain contrôle le 13.02.2019. Infiltration loco-dolenti L5-S1 G sous scopie le 12.02.2019 (Salle des plâtres). Prochain contrôle le 28.03.2019. Infiltration loco-dolenti le 24.01.2019. Prochain contrôle le 06.02.2019. Infiltration péridurale L4-L5 sous CT. Prochain contrôle le 14.03.2019. Infiltration péri-radiculaire C5 D sous CT le 22.01.2019 (CIMF).Bilan au Neurocentre (merci de convoquer la patiente) Prochain contrôle le 14.02.2019 • Infiltration péri-radiculaire C6 D le 21.01.2019 (CIMF) Prochain contrôle le 14.02.2019 • Infiltration péri-radiculaire L3 D sous CT le 21.01.2019 (HFR Fribourg) Prochain contrôle le 31.01.2019 • Infiltration péri-radiculaire L4 D Prochain contrôle le 24.01.2019 • Infiltration racine L5 G sous CT le 04.02.2019 Prochain contrôle le 26.02.2019 • Infiltration rétro-trochantérienne D le 12.02.2019, Dr. X (salle des plâtres) Prochain contrôle le 07.03.2019 • Infiltration sacro-iliaque bilatérale le 19.02.2019 (salle des plâtres) Prochain contrôle le 14.03.2019 après IRM lombaire du jour • Infiltration sacro-iliaque bilatérale le 29.01.2019 (selon évolution) • Infiltration sacro-iliaque D sous scopie le 05.02.2019 (salle des plâtres) Prochain contrôle le 21.02.2019 • Infiltration sacro-iliaque D sous scopie par Curavisc le 05.02.2018 (salle des plâtres) • Infiltration sacro-iliaque D sous scopie par Curavisc le 26.02.2018 (salle des plâtres) • Infiltration sacro-iliaque D sous scopie par Curavisc le 19.03.2018 (salle des plâtres) Prochain contrôle le 11.04.2019 • Infiltration sacro-iliaque droite le 12.02.2019 (salle des plâtres) Prochain contrôle le 26.02.2019 • Infiltration sacro-iliaque droite le 22.01.2019 (salle des plâtres) Prochain contrôle le 14.02.2019 • Infiltration sacro-iliaque droite le 29.01.2019 (salle des plâtres) • Infiltration sacro-iliaque G sous scopie ce jour (salle des plâtres) Prochain contrôle le 05.02.2019 • Infiltration sacro-iliaque G sous scopie le 26.02.2019 (salle des plâtres) Prochain contrôle le 11.04.2019 • Infiltration sous CT puis contrôle chez nous. • Infiltration sous US le 06.02.2019. Prochain contrôle le 30.08.2019. • Infiltration sous US le 13.02.2019. Prochaine consultation le 24.05.2019. • Infiltration sous-acromiale épaule droite le 25.1.2019. Désinfection classique. Repérage de l'espace sous-acromial sous scopie. Infiltration d'une mixture de Dépo-Médrol et Ropivacaïne en sous-acromial. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. • Infiltration sous-acromiale épaule gauche le 25.1.2019. Désinfection classique et repérage de l'espace sous-acromial sous scopie. Infiltration d'une mixture de Dépo-Médrol et Ropivacaïne en intra-articulaire. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. • Infiltration sous-acromiale et intra-articulaire épaule G le 11.01.2019. Désinfection et champage habituel. Repérage sous-acromial sous scopie et infiltration d'une mixture de Dépo-Médrol et Ropivacaïne en sous-acromial. Ponction articulaire antéro-supéro latérale et injection de la même mixture en intra-articulaire. Rétraction de l'aiguille et pansement stérile. • Infiltration sous-acromiale sous contrôle scopique et condition stérile. Dépo-Médrol Ropivacaïne. • Infiltrations sacro-iliaque gauche par CURAVISC (salle des pâtres) : 12.02.2019 05.03.2019 Prochain contrôle le 28.03.2019 • Infiltrations sacro-iliaques bilatérales avec CURAVISC le 05.02.2019 Prochain contrôle le 21.02.2019 • Inflammation chronique tubercule de Gerdy à gauche. Tendinopathie d'irritation au tubercule du Gerdy du tractus ilio-tibial. Status post-alignement de l'appareil extenseur du genou gauche avec relâchement externe, plastie du MPFL, médialisation de la TTA de 12 mm, prise de greffe tendon gracilis le 10.09.14 pour instabilité fémoro-patellaire genou gauche. • Inflammation de la sacro-iliaque G. Raccourcissement du membre inférieur G d'environ 10 mm. Status post PTH G en 2016, après un traitement conservateur d'une fracture du cotyle. • Inflammation des tissus mous le 30.01.2019. • en regard de l'abcès de la base du 4ème-5ème orteils pied gauche drainé en fin décembre 2018. DD : granulome cicatriciel, récidive d'abcès. • Inflammation du pied droit suite à une piqûre d'insecte. • Inflammation du point de ponction de la voie veineuse centrale sous-clavière droite • Inflammation du tendon psoas après changement de prothèse totale de hanche à droite et après arthrolyse et synovectomie le 07.05.2018 par voie scopique (Dr. X). Conflit mécanique combiné en pincer et en cam hanche G. • inflammation genou droit • Inflammation mamelonnaire dans le contexte d'un allaitement. • Inflammation tendon III doigt main droite • Inflammation tissus mous pré-patellaires genou G : DD : Bursite inflammatoire • Influenza type A le 10.01.2017 Trépanation pour hématomes sous-duraux chroniques bilatéraux en 2007 Opération de la vessie pour incontinence urinaire et fécale Polyarthrite symétrique d'origine probablement microcristalline Pseudoméningite suite à une inflammation sous-ligamentaire C2 • Ingestion accidentelle de 2-2.5 ml d'huiles essentielles pour diffusion (huile de Ravintsara + huile d'Eucalyptus radiata - concentration inconnue) le 21.01 à 20h30 • Ingestion accidentelle d'un comprimé de Zofran 8 mg. • Ingestion accidentelle d'une gorgée de Glysantin G-40 le 24.01.2019 vers 20:00 heures avec : ingestion de 2 gorgées de whisky sur conseil du ToxInfo Suisse. • Ingestion corps étranger • Ingestion corps étranger (bouchon de stylo, 2 cm de longueur, en plastique) • Ingestion corps étranger (verre d'ampoule) • Ingestion d'antigel à base d'éthylène glycol. • Ingestion de corps étranger. • Ingestion de corps étranger métallique asymptomatique : fils de contention dentaire d'environ 2 cm. • Ingestion de corps étranger métallique asymptomatique : fils de contention dentaire d'environ 2 cm, • Ingestion de corps étranger probable • Ingestion d'une substance inconnue. • Ingestion médicamenteuse et alcoolique. • Ingestion produit • Ingestion volontaire de 20 cp de 500 mg de Ciprofloxacine. • Ingestion volontaire par Relaroom 20 ml et faible quantité de Softaman. • Inhalation avec eau salée pour traiter la sinusite et la toux sèche. Contrôle clinique dans 1 semaine si persistance de toux sèche chez le médecin traitant. Si persistance, nous recommandons un CT thoracique pour exclure une atteinte rhumatoïde pulmonaire. Consultation ambulatoire chez les rhumatologues, la patiente sera convoquée. Interdiction de la conduite de véhicule à moteur pour 6 mois minimum, à réévaluer par un neurologue. • Inhalation de fumée asymptomatique. • Initialement suspicion de pneumonie vue la zone de râles sur la plage pulmonaire et état général un peu diminué. Absence de foyer sur la radiographie de thorax. Absence de syndrome inflammatoire au bilan sanguin. Après un train de Ventolin amélioration surtout sur le plan de l'entrée d'air et de la saturation qui monte à 96% • Initiation d'un traitement de physiothérapie pour rééducation de cette épaule qui semble être principalement une épaule gelée au décours. Je préconise une infiltration intra-articulaire et sous-acromiale de l'épaule le 01.02.2019. Je revois la patiente le 04.03.2019 afin d'évaluer l'évolution suite à ce geste. • Initiation d'un traitement ergothérapeutique avec mise en place d'une attelle d'extension de D3 nocturne afin d'amincir les tendons fléchisseurs. Le phénomène de doigt à ressaut résiduel semble être lié au chiasma des fléchisseurs comme décrit dans mon protocole opératoire. J'ai programmé un prochain contrôle à ma consultation le 30.01.2019. • Initiation d'un traitement physiothérapeutique avec recentrage de la tête humérale et renforcement de la coiffe des rotateurs. Prochain contrôle à ma consultation le 18.02.2019.Injection de la 2ème dose à J3. Injection de la 3ème dose de vaccin anti-rabique à J7. Injection de la 4ème dose de vaccin anti-rabique à J14. Le patient va prendre RDV chez son médecin traitant à J21 de la 1ère dose (à partir du 28.01.2019) pour le contrôle du taux d'anticorps. Injection de Rabipur. Injection de 420 mg d'Evolocumab vs Placebo a été faite le 24.01.2019 à 17h. Labo le 29.01.2019. L'injection va être répétée à 4 semaines. L'étude se fait en double aveugle. En cas d'urgence, pour lever le secret sur le principe actif, veuillez contacter le Dr. X (63809) ou Dr. Y (63805). Maintenir la prescription d'Atorvastatine 40 mg 1x/jour. Injection d'immunoglobulines : 20 UI/kg = 2100 UI = 14 ml. En 3 sites (Deltoïde + Vastus lat.). Le patient reste en salle d'attente 45 minutes post-injection. Aucune réaction indésirable. Inquiétude parentale. Inquiétude parentale dans un contexte de bronchiolite. Inquiétude sur sa santé. INR à contrôler en dialyse le 09.01.2018. Convocation élective pour changement de sonde JJ le 11.01.2019, hospitalisation dès le 10.01.2018 (consultation anesthésique à prévoir + contrôle de l'INR). Traitement antibiotique (molécule + durée) à réévaluer suite au changement de la sonde double J. INR infra thérapeutique (cible 3-4). INR infra-thérapeutique à 01.01 le 05.01.2018. INR infra-thérapeutique à 1,5% le 03.01.2019. INR infrathérapeutique à 1.5 le 03.01.2019. INR infrathérapeutique à 1.5 le 05.01.2019. INR labile sous traitement par Marcoumar, avec : INR supra thérapeutique. INR supra thérapeutique à 5 le 17.12.2018. INR supra thérapeutique (supérieur à 5) chez un patient sous Sintrom. INR suprathérapeutique. INR suprathérapeutique à > 5,5 le 20.12.2018. INR supra-thérapeutique à 3.6 le 10.01.2019. INR supra-thérapeutique à 4.7 le 10.01.2019. INR supra-thérapeutique à 4.9 le 30.01.2019. INR supra-thérapeutique à > 5.5 le 26.12.2018. INR supra-thérapeutique le 17.12.2018. INR supra-thérapeutique le 20.12.2018. INR supra-thérapeutique le 26.12.2018 ( > 5.5). INR supra-thérapeutique le 28.01.2019. INR supra-thérapeutique le 31.12.2018. INR supra-thérapeutique 4.7 le 21.12.2018. INR supra-thérapeutique > 5.5 le 28.01.2019. Inscription dans des homes. Inscription en EMS. Insécurité. Insomnie. Insomnie et agitation dans le cadre de consommation de cannabis le 03.01.2019. Patient connu pour une schizophrénie. Pas de critères d'hospitalisation. Suivi par Dr. Y (psychiatre). Insomnie sur anxiété, souffrance existentielle. Insomnie sur arrêt du Seroquel le 25.01.2019. Inspection anale avec présence d'une hémorroïde de stade 3. Patient connu pour des crises hémorroïdaires tous les 3-6 mois. Procto-Glyvenol, AINS, antalgiques et Daflon en schéma dégressif. Si pas d'amélioration, prendre rendez-vous à la consultation du Dr. Y. Inspection de la plaie. Réfection du pansement. Fin de prise en charge. Doit reconsulter en cas d'apparition de rougeur, tuméfaction ou majoration de l'écoulement. Inspection de plaie, nettoyage et bandage stérile avec Ialudin. Attelle de maintien. Contrôle le 14.01.2019. Inspection et désinfection. Adaptic Touch. Mefix. Changement de pansement tous les 2 jours. Suivi par le médecin traitant. Instabilité à la marche. Instabilité acromio-claviculaire Rockwood III droite aiguë. Instabilité antérieure genou D sur insuffisance du LCA post. AS genou D, débridement du LCA des reliquats de la plastie du LCA, prélèvement greffe crête iliaque D, ablation vis interférence tibiale et fémorale et greffe des tunnels fémoral et tibial le 15.07.2015. Entorse genou D en mai 2015. Rupture plastie LCA genou D en 2013. Plastie LCA genou D en 2012. AS genou D avec plastie de reconstruction du LCA par tendon du quadriceps. OP le 17.02.2016. Instabilité chronique de l'épaule droite avec arrachement du bourrelet antéro-inférieur. Instabilité de cheville gauche sur status post-entorse sévère du ligament latéral externe. Instabilité de la cheville droite le 27.01.2019. Multiples entorses de la cheville droite. Instabilité du LCB avec subluxation dans les parties hautes du sillon bicipital épaule droite. Instabilité du long chef du biceps avec atteinte des parties hautes du tendon du sous-scapulaire, épaule droite. Instabilité du tendon ECU poignet gauche. Instabilité épaule bilatérale peu symptomatique suite à une chute au ski le 27.12.2017 avec : Luxation épaule droite le 27.11.2017 avec luxation récidivante le 14.10.2018. Subluxation récidivante épaule droite. Instabilité épaule G avec lésion SLAP. AS épaule G, refixation labrum le 16.12.2013. Instabilité épaule gauche dominante post-traumatique. Instabilité fémoro-patellaire gauche. Status post-rétention du vaste interne en Macédoine. Instabilité gléno-humérale de l'épaule droite avec 3ème luxation antéro-inférieure le 06.12.2018. Réduction spontanée. Hyperlaxité. IRM 2017 : lésion du labrum antérieur avec empreinte de Hill-Sachs. Instabilité hémodynamique initiale. Instabilité L2-L3 sur status post : Spondylodèse dynamique avec Balance C L2-L3, cure hernie discale L2-L3 D, AMO USS L2-L3, suture de la dure-mère (OP le 16.09.2011). PLIFF L2-L3 cage VTI (mesure 8), ainsi que changement de barres avec mise en place de barres rigides Peek Road (OP le 01.06.2012). Instabilité résiduelle status post-réduction de la luxation postérieure de l'articulation interphalangienne proximale du 5ème doigt sur la main gauche le 30.01.2019. Installation traitement par aérosols (Ultibro et Spiriva). Oxygénothérapie 2-3L repos et 4L effort (déjà à domicile). Gazométrie le 16.12 et le 19.12.2019. RX thorax le 16.12.2018. Instauration de Tardyferon pour une durée de 1 mois. Contrôle à votre consultation. Instauration d'un réseau de soins + Voltigo pour une rentrée à domicile, selon évolution de la symptomatologie. Instauration d'un traitement de Belok, puis anticoagulation par Xarelto 20 mg/24 heures dès J1 post-opératoire. Instauration d'un traitement freinateur. Anticoagulation thérapeutique. Hydratation + magnésium intraveineux. Monitoring des troponines à l'étage. ETT le 08.01.2019. Instillation du traitement de Celecoxib et/ou Lyrica selon douleurs du patient. Instruction pour le rinçage de nez et averti de reconsulter si péjoration resp/aliment ou EF persistant. Ben-U-ron 75 mg IR 3x/j en R. Rinçage de nez NaCl 0.9%. Instructions de surveillance à domicile durant le sommeil et signes devant motiver une consultation. Hydratation fractionnée. Contrôle pédiatre demain. Achat thermomètre. Instructions de surveillance pour plâtre. Contrôle ortho-urgence dans une semaine. Instrumentation par forceps. Instrumentation par ventouse Kiwi aux épines pour CTG pathologique à 40 2/7 semaines d'aménorrhée après mise en travail spontanée chez une patiente de 39 ans, 1-geste devenue 1-pare le 06.01.2019. Insuffisance rénale aiguë le 23.01.2019. Insuffisance aortique et mitrale décrite en 2002. Bronchocèle du lobe inférieur en 2003. IR avec kyste du rein G et foie G.Hyperplasie de la prostate avec vessie de lutte Diverticulose colique Polyneuropathie des membres inférieurs Insuffisance aortique modérée (grade 2/4) Insuffisance aortique modérée Insuffisance mitrale légère Artériopathie oblitérante des MI avec: • recanalisation d'une subocclusion de l'artère fémorale superficielle du côté droit par angioplastie au ballon actif et pose d'un court stent 26.09.2013 FRCV: Hypertension artérielle traitée, Anamnèse familiale positive (AVC chez son père avant 65 ans) Insuffisance artérielle de stade I avec : • Status après pontage aorto-bi-iliaque pour mise à plat d'un anévrisme de l'aorte sous-rénale le 12.10.2005 • Status après amputation du 1er orteil droit • Perfusion artérielle bien normalisée après thrombendartériectomie et thrombolyse au niveau des membres inférieurs suite à des embolies périphériques des deux côtés en 2005 (ultrason des membres inférieurs en 2005) Artério-embolisation chronique avec construction vasculaire périphérique complète et nécrose acrale des orteils des deux côtés (obstruction de l'artère pédieuse des deux côtés et de l'artère tibiale postérieure droite) sur anévrisme de l'aorte sous-rénale et de l'artère iliaque des deux côtés, avec débris athéromateux massifs Nécrose fessière superficielle gauche suite à l'exclusion de l'artère iliaque interne gauche et amputation du 1er orteil droit Ablation d'un naevus au niveau de la paupière droite. Insuffisance artérielle des membres inférieurs. Hernie inguinale bilatérale. Dégénérescence maculaire bilatérale liée à l'âge. Dyslipidémie. Insuffisance cardiaque à FEVG conservée sur cardiopathie hypertensive, avec : • échocardiographie le 23.03.2012 (mauvaise qualité) : HVG concentrique, gros VD dilaté et hypertrophié, FE conservée • ergométrie le 23.03.2012 : 85% de la charge attendue, négative BPCO non stadée (refus du patient) sur tabagisme à 75 UPA • Polyglobulie, avec saignées (2x/an) depuis 04.2005 Diabète type 2 NIR diagnostiqué en 2007, dernier HbA1C 5.9% en avril 2013 et 7.2% le 20.11.2013 Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie traitée Obésité morbide classe OMS avec BMI à 30, s/p cure de Xenical Lésions croûteuses des coudes avec notion de psoriasis SAS appareillé Tabagisme actif à 75 UPA Insuffisance cardiaque à FEVG conservée sur cardiopathie hypertensive, avec : • échocardiographie le 23.03.2012 (mauvaise qualité) : HVG concentrique, gros VD dilaté et hypertrophié, FE conservée • ergométrie le 23.03.2012 : 85% de la charge attendue, négative BPCO non stadée (refus du patient) sur tabagisme à 75 UPA • Polyglobulie, avec saignées (2x/an) depuis 04.2005 Syndrome de dépendance à l'alcool • ultrason hépatique 11.2012 : stéato-fibrose hépatique et même morphologie cirrhotique mais sans lésion focale, ni signe d'hypertension pulmonaire. Diabète type 2 NIR diagnostiqué en 2007 Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie traitée Obésité stade I classe OMS avec BMI à 30, s/p cure de Xenical Troubles cognitifs diffus compatibles avec une encéphalopathie d'origine toxico-métabolique avec : • 21.11.2018 Bilan Neuropsychologique : MMS : 20/28, limite = 26/30 normes GRECOGVASC), difficultés langagières (évocation, dénomination ralentie), difficultés gnosiques (discriminatives), difficultés en mémoire antérograde, difficultés exécutives (inhibition, programmation, abstraction). • Les deux fils nommés respectivement représentant administratif et thérapeutique (incapable de discernement) • Discussion avec Justice de paix le 11.12.2018 : institutionnalisation en EMS Lésions croûteuses des coudes avec notion de psoriasis Syndrome d'apnées du sommeil (SAS) appareillé (CPAP) Tabagisme actif à 75 UPA Insuffisance cardiaque à FEVG diminué (35-40%) Passages transitoires de BAV II type Wenckebach Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie traitée Polymyalgia rheumatica Insuffisance cardiaque à FEVG diminuée à 30-35% d'origine indéterminée DD : probable cardiopathie ischémique • Echocardiographie transthoracique le 07.01.2019 : akinésie de la paroi postérieure moyenne, hypokinésie minime du septum et de la paroi septale antérieure et hypokinésie sévère des segments restants. FEVG à 30-35% (évaluation visuelle). Insuffisance cardiaque à prédominance droite (bronchopneumopathie chronique obstructive) Bronchopneumopathie chronique obstructive d'origine allergique Fibrillation auriculaire sous Cordarone Oedème lymphatique du membre inférieur droit d'origine indéterminée Tremor essentiel des membres supérieurs Bronchopneumopathie chronique obstructive de stade IV avec : • Syndrome obstructif très sévère (VEMS à 32% le 12.01.2018) • Insuffisance respiratoire globale chronique (pO2 à 7 kPa, pCO2 7 kPa) • Pneumonie le 16.12.2017 • Colonisation par pseudomonas aeruginosa Oxygénothérapie Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 31.01.2018 à 11h Insuffisance cardiaque aiguë avec : • fibrillation auriculaire paroxystique en novembre 2018 • flutter auriculaire nouveau le 8.12.2018 • récidive de fibrillation auriculaire paroxystique le 17.12.2018 • EHRA stade 4 • HASBLEED 3 (3.74%/an) • CHADSVASC 4 (4%/an). Insuffisance cardiaque aiguë avec dysfonction systolique sévère DD cardioplégie septique, progression de la coronaropathie, cardiomyopathie de stress Insuffisance cardiaque avec FEVG à 25-30% sur sténose aortique sévère Maladie coronarienne tritronculaire Insuffisance mitrale sévère Troubles anxio-dépressifs.BOOP (Bronchiolitis Organizing Pneumonia). Hypothyroïdisme traité. Xérophtalmie droite traitée. Hypertension artérielle. Constipation avec épisodes de saignements hémorroïdaires. Lombo-sciatalgies droites non déficitaires sur antéro-listhésis dégénératif L4-L5 (IRM en mars 2014). Hémicranie. Syndrome de Sjögren. Insuffisance cardiaque avec fraction d'éjection abaissée sur cardiopathie ischémique tritronculaire sévère le 22.01.2018 DD: Tako-Tsubo, cardiomyopathie de stress • Dyspnée stade NYHA IV Insuffisance cardiaque avec fraction d'excrétion diminuée à 20% sur cardiopathie ischémique, rythmique et hypertensive • maladie coronarienne bitronculaire (IVA et CD) avec : STEMI en 2006, 3 NSTEMI en 2017, dernière coronarographie le 23.03.2018 • pose de pacemaker AAIR-DDDR le 16.03.2017 (Dr. X) pour BAV1, bradycardie et Bloc de branche gauche • bigéminisme intermittent avec hypotension artérielle secondaire le 14.02.2018 avec : Insuffisance cardiaque avec une fraction d'éjection du ventricule gauche à 45% en 2011 dans le contexte d'une cardiopathie hypertensive. Coronarographie en avril 2011 : hypertrophie myocardique, une hypomobilité ventriculaire ainsi qu'une ectasie de la coronaire droite sans sténose significative visualisée. Nodule de 7 mm au niveau de la surrénale droite. Syndrome métabolique avec : • hypercholestérolémie • hypertension artérielle traitée • obésité avec BMI à 40.7 Insuffisance cardiaque dans le contexte septique • DD: cardiopathie ischémique sous-jacente Insuffisance cardiaque d'origine ischémique sur maladie coronarienne bitronculaire avec : • sténose de 70-90 % de l'IVA et occlusion totale chronique de la CD • status post infarctus inférieur en 2005 avec PTCA de l'IVA sans stenting • coronarographie du 11.06.2014 : bon résultat au long terme de la PTCA de l'IVA proximale sans stenting, sans resténose. IVA proximale à <50 %. Circonflexe de taille normale. Ostium de la première marginale à 50 %. Occlusion totale chronique de la CD, diminution de la FEVG à 30 % sur remodelage • décompensation cardiaque gauche NYHA IV dans un contexte d'infection virale le 12.01.2018 • échographie cardiaque le 19.01.2018 : cardiopathie en progression avec FEVG en péjoration (28 %) • coronarographie le 23.01.2018 : status quo concernant le réseau coronarien : occlusion chronique de la coronaire droite ostiale, sténose intermédiaire de l'IVA proximale. Diminution de la FEVG avec un VG très dilaté. Remodelage sur ischémie Oxygénothérapie du 12.01 au 18.01.2018. Majoration du traitement de BB et IEC, adaptation des diurétiques. IRM cardiaque en ambulatoire Anévrysme de l'aorte infrarénale de 4,6 cm de découverte fortuite Notion d'AOMI (ABI, bilan angiologique en ambulatoire) HTA Dyslipidémie BPCO de stade GOLD 3 • tabagisme à 70 UPA sevré en 2005 • Dyspnée de stade III à IV Diverticulose PTSD Insuffisance cardiaque d'origine mixte sur cardiopathie ischémique, valvulaire et rythmique : • ETT mai 2018 : FEVG à 70 %. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Insuffisance mitrale minime (grade 1/4) avec calcification de l'anneau mitral. Pas de sténose. Dilatation du ventricule droit avec dysfonction importante. HTAP importante à 66 mmHg (D-shape du VG et notching du flux pulmonaire). Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4) • décompensation cardiaque à répétition : la dernière en mai 2018 Cardiopathie ischémique : • coronarographie du 01.06.2018 : maladie coronarienne bitronculaire : excellent résultat à long terme post PCI IVA (2014) et CD (1998), lésion intermédiaire (50%) de l'IVA moyenne contrôle OCT (MLA > 4 mm2), hypertension pulmonaire modérée mixte (DPG > 7 mmHg, RVPi 1173), IM angiographiquement modérée (2/4), fonction systolique VG normale (FEVG 75%) • S/p après angioplastie et stent de la CD en 1998 ainsi que de l'IVA proximale et de la 1ère diagonale en 2014 (Clinique Cecil) Fibrillation auriculaire : • fibrillation auriculaire anticoagulée, pas de réversion sous Cordarone • status post-décompensation de IC stade IV à répétition Hypertension pulmonaire modérée mixte à prédominance post-capillaire d'origine indéterminée • Oxygénothérapie au long cours, à domicile. • Désaturation majorée en position couchée. • HTAP sévère à 50 mmHg sur IT importante à sévère mais fonction D conservée le 03.07.2018, sous Revatio, pas d'indication pour ajouter le Bosentan • Fonctions pulmonaires complètes en juin 2017 (Dr. X) : dans la norme, atteinte modérée de la DLCO • Probable pneumopathie interstitielle débutante juillet 2017 - CT thoracique natif de juin 2017 : pneumopathie interstitielle débutante. Unique bulle d'emphysème sous-pleurale LSG. Pas de nodule suspect, ni épanchement pleural • FEVG à 70 %. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Insuffisance mitrale minime (grade 1/4) avec calcification de l'anneau mitral • Test HIV négatif • Cathétérisme droite/gauche en juin 2018 HTA traitée Dyslipidémie Obésité stade I Diabète de type 2 NIR IRC stade KDIGO G3b sur néphropathie diabétique • Créatinine habituelle 115 micromol/l • Cl créat selon MDRD 38 ml/min Ancien tabagisme à 40 UPA, stoppé en 2015 Diverticulose sigmoïdienne importante (2018) Adénome surrénalien gauche de 22 mm de découverte fortuite (CT du 29.06.2017) Cholangite lithiasique en septembre 2018 • Antibiothérapie : Rocéphine 2 g i.v. 1x/j et Métronidazole 500 mg i.v. 3x/J du 09.09 au 14.09.2018 • ERCP le 19.09.2018 : échec • ERCP le 25.09.2018 : pose de stent biliaire dans le cholédoque Insuffisance cardiaque droite décompensée avec : • œdèmes des membres inférieurs • turgescence jugulaire bilatérale • hypoventilation basale droite. Insuffisance cardiaque gauche à FEVG diminuée (FEVG 25-30%) le 02.01.2019 DD : cardiomyopathie de Takotsubo Insuffisance cardiaque gauche avec épanchement pleural bilatéral prédominant à gauche et liquide périhépatique dans le contexte d'une anasarque le 10.01.2019 Insuffisance cardiaque gauche avec OAP le 07.01 Insuffisance cardiaque globale, avec phlébo-lymphoedème des membres inférieurs. Immuno-suppression par Méthotrexate (traitement par Valtrex en prophylaxie) pour : • syndrome de Sharp et lupus érythémateux systémique (MCTD), Liebman Sacks Endocardite. Troubles schizo-affectifs, type dépressif. Hypercholestérolémie. Obésité de stade I avec BMI à 31.08 kg/m². Hernie hiatale. BPCO. Insuffisance cardiaque globale d'origine indéterminée DD sur anémie Insuffisance cardiaque globale récurrente à FEVG diminuée d'origine hypertensive, valvulaire, rythmique : • Hypertension artérielle • Fibrillation auriculaire permanente non anticoagulée asymptomatique CHA2DS2-VASc 2 ; HAS-BLED 2 • Bloc de branche gauche connu • Echocardiographie 2017 : fraction d'éjection ventriculaire à 25% • Pacemaker le 09.11.2017 Hypothyroïdie substituée (status après thyroïdectomie en 1998) Insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs avec : • Dermite jaune d'ocre Tassement D12 Incontinence urinaire de stress Décompensation d'insuffisance cardiaque globale multifactorielle NYHA II probablement sur mise en suspens du traitement dans un contexte d'IRA pré-rénale, avec : • Syndrome cardio-rénal • Prise de poids (6 kg depuis l'entrée) et orthopnée • Status après décompensation cardiaque sur arrêt du traitement en juin 2016 • Adalat dès le 10.12.2018 Lombalgies chroniques acutisées non déficitaires le 23.11.2018 : • Red flags : âge, chute en septembre 2018 • Lombalgies en péjoration depuis avril 2018 • Antalgie • Miacalcic 200 U/I par jour pendant un minimum de 6 semaines • Physiothérapie • Radiographie du rachis lombaire le 23.11.2018 • IRM lombaire le 27.11.2018 • Avis team rachis : traitement conservateur, contrôle clinique et radiologique prévu le 20.12.2018 • Transfert pour réadaptation gériatrique à Riaz le 13.12.2018Insuffisance rénale aiguë sur chronique AKIN I probablement pré-rénale le 28.11.2018, avec : • Fraction d'excrétion de l'urée : 40%, osmolalité urinaire supérieure à 500 mosmol/kg, créatinine ratio urine/plasma supérieure à 40 • CKD-EPI 36 ml/min/1.44 m2 • Péjoration le 08.12.2018 : eGFR (CKD-EPI) 26.6 ml/min/1.44 m2, fraction d'excrétion de l'urée à 28% • Hydratation par NaCl 500 ml/24h le 10.12.2018 • Mise en suspens frd médicaments néphrotoxiques, reprise Torem et Aldactone le 11.12.2018 • Aprovel 75 mg à reprendre dès fonction rénale suffisante Hyponatrémie chronique à 129 mmol/l : • Hyperosmolaire le 28.11.2018 • Iatrogène sur diurétiques • Spot urinaire • Suivi biologique Insuffisance cardiaque globale récurrente à FEVG diminuée d'origine hypertensive, valvulaire, rythmique • hypertension artérielle • fibrillation auriculaire permanente non anticoagulée asymptomatique CHA2DS2-VASc 2; HAS-BLED 2 • bloc de branche gauche connu • échocardiographie 2017: FEVG 25% • Pacemaker le 09.11.2017 Hypothyroïdie substituée (s/p thyroïdectomie en 1998) Insuffisance veineuse chronique des MI • Dermite jaune d'ocre Tassement D12 Incontinence urinaire de stress Décompensation d'insuffisance cardiaque globale multifactorielle NYHA II probablement sur mise en suspens du traitement dans contexte d'IRA pré-rénale, avec : • Syndrome cardio-rénal • Prise de poids (6 kg depuis l'entrée) et orthopnée • s/p décompensation cardiaque sur arrêt du traitement en 06/16 Adalat dès le 10.12.2018 Lombalgies chroniques acutisées non déficitaires le 23.11.2018 • Red flags: âge, chute en septembre 2018 • lombalgies en péjoration depuis 04/2018 Antalgie Miacalcic 200 U/I par jour pendant minimum 6 semaines Physiothérapie Rx rachis lombaire le 23.11.2018 IRM lombaire le 27.11.2018 Avis team rachis : Traitement conservateur, contrôle clinique et radiologique prévu le 20.12.2018 Transfert pour réhabilitation gériatrique à Riaz le 13.12.2018 Insuffisance rénale aiguë sur chronique AKIN I probablement pré-rénale le 28.11.2018 • FEurée: 40%, osm.urinaire >500, créatinine ratio urine/plasma >40 • CKD-EPI 36 ml/min/1.44 m2 • Péjoration le 08.12.2018: eGFR (CKD-EPI) 26.6 ml/min/1.44 m2, FE urée 28% Hydratation par NaCl 500 ml/24h le 10.12.2018 Mise en suspens médicament néphrotoxiques, reprise Torem et Aldactone le 11.12.2018 Aprovel 75 mg à reprendre dès fonction rénale suffisante Hyponatrémie chronique à 129 mmol/l • hyperosmolaire le 28.11.2018 • iatrogène sur diurétiques Spot urinaire Suivi biologique Insuffisance cardiaque légèrement décompensée le 17.12.2018, dans le cadre d'une cardiopathie ischémique, avec : • NT-proBNP >9000 ng/l le 18.12.2018 • ETT: fonction VG massivement diminuée sur hypokinésie généralisée • s/p SCA en 2005 • s/p PTCA/stent d'une sténose subtotale de la RIVA et d'une sténose subtotale de l'ACD en 2005 • FRCV: AF positive, hyperlipidémie, HTA, ancien tabagisme Insuffisance cardiaque NYHA I à FEVG diminuée (25 %) Insuffisance cardiaque NYHA II à fonction systolique conservée, avec : • ETT en 11/2018: VG non dilaté avec fonction contractile segmentaire et globale normale, FEVG 60%, pas de valvulopathie significative • s/p décompensation cardiaque globale sur IC diastolique le 07.11.2018: Digoxine arrêté Hypertension artérielle traitée, mal contrôlée Obésité classe 2 selon OMS (BMI 39 kg/m2) Insuffisance cardiaque NYHA II à fonction systolique conservée, avec : • ETT (11.2018): Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 %. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4) fonctionnelle. • Décompensation cardiaque globale sur insuffisance cardiaque diastolique (07.11.2018): STOP Digoxine Fibrillation auriculaire permanente initialement anticoagulée par Apixaban, stoppée dans un contexte Diabète de type 2 insulino-dépendant, mal contrôlé, avec complications vasculaires documentées, avec : • HbA1c: 8.5% (11.2018) • Polyneuropathie périphérique • État hyperglycémique hyperosmolaire le 02.11.2018, Décompensation d'un diabète de type II le 08.05.2013 Hypertension artérielle traitée, non contrôlée Obésité classe 2 selon l'OMS (BMI 39.18 kg/m2) Suspicion de troubles cognitifs légers • Dépistage de démence le 07.11.2018: MMS 25/30 • Test de l'horloge pathologique (0/1)//(5/7) • Consilium neuropsychologique : s/p AVC ischémique pariétal gauche subaigu sur le territoire de l'artère sylvienne gauche superficielle, d'origine microangiopathique suspectée le 08.11.2018 avec : • Symptomatologie : Hémisyndrome moteur pur brachio-crural droit, anamnestiquement depuis le 02.11.2018 Insuffisance cardiaque NYHA II à fonction systolique conservée dans un contexte de cardiopathie rythmique • ETT 11.2018: FEVG à 60 %. • Décompensation cardiaque globale sur insuffisance cardiaque diastolique le 07.11.2018 : stop Digoxine • Fibrillation auriculaire permanente initialement anticoagulée par Apixaban, stoppée dans un contexte d'hématochésie Diabète de type 2 insulino-dépendant, mal contrôlé, avec complications vasculaires documentées, avec : • HbA1c: 8.5% (11.2018) • Polyneuropathie périphérique • État hyperglycémique hyperosmolaire le 02.11.2018, Décompensation d'un diabète de type II le 08.05.2013 Hypertension artérielle traitée, non contrôlée Obésité classe 2 selon l'OMS (BMI 39.18 kg/m2) Polyneuropathie diabétique des membres inférieures • douleurs neuropathiques traitées par Pregabaline depuis le 03.12.2018 Insuffisance cardiaque sévère sur cardiopathie hypertensive, ischémique (maladie tritronculaire) et valvulaire : a) dernière coronarographie en 05.2017 • excellent résultat à moyen terme après PCI de l'IVA moyenne 09.12.2016 • sténose serrée d'une diagonale de petit calibre et sténose 50% de l'artère coronaire droite distale • dysfonction ventriculaire gauche systolique sévère avec fraction d'éjection de 25% b) primo-implantation d'un pacemaker-défibrillateur en 03.2014 avec dernier contrôle en 08.2018 • Fabricant : Medtronic. Modèle : Viva Quad XT CRT-D DTBA2QQ • mode DDDR • IRM non compatible • non-dépendance c) insuffisance mitrale grade IV Artériopathie avec poly-vasculaire : • sténose de l'artère carotide interne droite à 80% • dolicho-artériomégalie avec importantes tortuosités des artères iliaques • anévrisme poplité à gauche • anévrisme poplité à droite avec pontage fémoro-poplité et thrombus mural le 19.08.2013 Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Obésité Insuffisance cardiaque suivie par Dr. X avec : • Insuffisance mitrale et insuffisance tricuspidienne modérées connues • Fibrillation auriculaire Insuffisance cardiaque sur cardiopathie hypertensive avec brady-tachy syndrome : • Flutter auriculaire atypique / Fibrillation auriculaire connue anticoagulée par Eliquis • BAV III sous traitement freinateur avec implantation d'un stimulateur cardiaque simple chambre le 03.12.2018 • Contrôle pacemaker 24.10.2018 : passage en FA rapide à 130/mn => Indication à ablation du NAV selon Dr. X refusée par Mme. Y • Coronarographie du 10.06.2015 : Absence de maladie coronarienne significative. FEVG 75% • FEVG à 50% le 09.11.2018 • Épanchement pleural droit récidivant - probable transsudat dans le contexte de l'insuffisance cardiaque avec talcage BPCO non stadée oxygénodépendante à domicile Ancien tabagisme Gastrite chronique avec plusieurs épisodes d'hématémèse Insuffisance cardiaque terminale Insuffisance chronique du ligament collatéral médial au niveau du genou D. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse du plateau tibial externe D pour une fracture type Schatzker II le 01.01.2013. Status post ablation du matériel d'ostéosynthèse au tibia proximal D le 07.08.2014. Insuffisance chronotrope sévère sur probable maladie du sinus Insuffisance des fessiers à gauche sur status post Totalisation de PTH G le 29.03.2018 avec implantation d'une cupule Fitmore non cimentée sur status post ablation de PTH, mise en place de Spacer, tige Weber S cimentée et tête monopolaire 54 pour un descellement de la prothèse implantée le 30.01.2018. Insuffisance du tendon d'Achille D sur status post rupture tendon d'Achille D à son insertion avec un gap de 4 cm le 11.07.2018 traitée conservativement. Status post excision de l'exostose de Haglund du calcanéum droit le 04.05.2018. Insuffisance du tendon du muscle tibial postérieur G stade 2A sur status post entorse cheville G en mars 2018. Insuffisance en vitamine D à 36 nmol/L. Insuffisance hépatique aigüe avec: • Probable contexte d'OH • Etat confusionnel (encéphalopathie?) • Trouble de la crase avec INR spontané à 2.1, Facteur V à 2.1 DD: sepsis, hépatite alcoolique. Insuffisance hépatique sur probable progression tumorale le 02.01.2019 avec: • métastases hépatiques dans contexte d'une tumeur neuroendocrine de l'intestin grêle • suspicion cholangite. Insuffisance hépato-cellulaire aiguë sur cirrhose de Child C dans un contexte d'éthylisme chronique probable le 20.01.2019 • Facteur V à 40% • score de Child-Pugh à 13 points (encéphalopathie hépatique de stade IV, coagulopathie avec INR spontané à 2.1, albumine à 28 g/l, ascite modérée, ictère) • Hypertension portale objectivée par gastropathie congestive localisée à la région sous-cardiale, pas de varices oesophagiennes. Insuffisance hépato-cellulaire sévère. Insuffisance hépato-cellulaire sévère sur cirrhose connue (éthylique et NASH) le 29.01.2019 • cirrhose CHILD C (10pts) DD: prise d'alcool, infectieux (probable infection urinaire basse). Insuffisance hépato-cellulaire sévère sur décompensation cirrhotique CHILD-C d'origine alcoolique probable le 24.12.2018 • MELD 24.12.2018 : 25 points (mortalité à 3 mois : 25%) • Screening urinaire 24.12.2018 : paracétamol nég. • Sérologie 24.12.2018 : Hép A, Hép B, HIV, CMV : négatifs • US abdominal 24.12.2018 : foie de taille agrandie et inhomogène, pas de signes de cholestase • US abdominal 30.12.2018 : ascite en quantité modérée. Insuffisance hépato-cellulaire sévère sur décompensation cirrhotique d'origine alcoolique. Insuffisance hépato-cellulaire sur probable foie de stase le 21.12.2018 • facteur V : 46%. Insuffisance hypophysaire sur macroadénome avec résection chirurgicale transnasale transsphénoïdale en 2002 avec: • insuffisance thyréotrope avec substitution par Euthyrox depuis 2002 • insuffisance corticotrope avec substitution par hydrocortisone depuis 2010 • insuffisance gonadotrope avec substitution par Nebido aux 14 semaines depuis 2016 • Suivi par Dr. X. Insuffisance mitrale de haut degré (4/4) sur prolapsus de feuillet. FEVG 60% (27.09.2018) Forte suspicion d'une néoplasie rénale gauche (6 cm) avec probable lésions secondaires hépatiques et spléniques en septembre 2012. Diabète type II depuis 10 ans. Insuffisance mitrale légère à modérée (1-2/3). Insuffisance mitrale légère suivie par Dr. X. Hyperthyroïdie Basedow, traitée. Insuffisance mitrale modérée à sévère d'origine probablement mixte (prolapse de feuillet antérieur et tethering des deux feuillets). Insuffisance mitrale sévère, grade 3/3, (SOR de l'IM à 0,5 cm², Reg Vol 80 ml) d'origine mixte sur prolapsus du feuillet mitral antérieur au niveau du A2 avec défaut de coaptation entre A2-P2 et sur restriction du feuillet postérieur. Insuffisance mitrale sévère le 14.01.2019 avec: • grade 3/3, (SOR de l'IM à 0,5 cm², Reg Vol 80 ml) d'origine mixte sur prolapsus du feuillet mitral antérieur au niveau du A2 avec défaut de coaptation entre A2-P2 et sur restriction du feuillet postérieur. Insuffisance pancréatique intrinsèque et extrinsèque avec diabète secondaire, insulino-dépendant: • status post laparotomie et excision d'un kyste pancréatique en 1989 • status post pancréatite chronique en 1995 • status post OH chronique. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 avec: • Créatininémie à 155 µmol/l le 18.12.2018. Insuffisance rénale à 109 mmol/l le 28.01.2018. Insuffisance rénale à 155 mmol/l le 28.01.2019 GFR Cocroft 49 ml/min. Insuffisance rénale acute on chronic le 12.01.2019 • probablement pré-rénale sur perte de liquide • Créat 155 mmol/l • GFR selon Cockroft-Gault: 37 ml/min. Insuffisance rénale aigu AKIN II d'origine mixte le 07.01.18: • rénale : médicamenteuse (Bactrim) le 07.01.18 • pré-rénale sur manque d'apport. Insuffisance rénale aigu d'origine probablement pré-rénale 24.01.2019 • FeUrée à pister. Insuffisance rénale aigu sans critère AKIN d'origine pré-rénale 01.01.2019 • FeUrée: 25%. Insuffisance rénale aigu sans critère AKIN d'origine probablement pré-rénale 29.12.2018 • FeUrée 45% (rénal). Insuffisance rénale aiguë. Insuffisance rénale aiguë. Insuffisance rénale aiguë. Insuffisance rénale aigüe • eGFR à 28 ml/min/1.73. Insuffisance rénale aigüe • eGFR 46.6 mL/min/1.73 m² selon MDRD • d'origine probablement pré-rénale. Insuffisance rénale aigüe pré-rénale AKIN I sur chronique le 09.04.2018: Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique d'origine multifactorielle le 09.04.2018: • dans contexte de pneumonie depuis 10 jours sous Co-amoxicilline • progression tumorale avec épanchement pleural droit, lymphangite carcinomateuse et épanchement péricardique minime. Status post pneumonie basale gauche post-sténotique en 2010. Status post prothèse totale de hanche bilatérale. Appendicectomie. Oesophagite actinique sur radiothérapie pour un carcinome pulmonaire en 2010. Lymphoedème du membre supérieur droit sur probable effet secondaire de radiothérapie. Insuffisance respiratoire hypoxémique sur épanchement pleural droit le 07.11.2018. Insuffisance rénale aiguë sur chronique le 04.11.2018 avec. Insuffisance rénale aiguë à 123 mmol/l • GFR à 56 ml/min/1.73 m² selon MDRD et CKD-EPI. Insuffisance rénale aiguë à 206 µmol/l le 25.01.2019 Clearance 19 ml/min. Insuffisance rénale aiguë à 206 µmol/l le 25.01.2019 Clearance 19 ml/min. Insuffisance rénale aiguë AKI I d'origine pré-rénale (FE Na à 0.6 %). Insuffisance rénale aiguë AKI I probablement d'origine pré-rénale. Insuffisance rénale aiguë AKI I sur chronique, d'origine pré-rénale • FE de Na+ le 06.01.2019 : 0.25%. Insuffisance rénale aiguë AKI I sur chronique probablement pré-rénale. Insuffisance rénale aiguë AKI 3 à 412 de créat (créat à 60 le 15/01/19) le 29/01/19. Insuffisance rénale aiguë AKIN I. Insuffisance rénale aiguë AKIN I: • créatinine à 104 umol/l • clairance 40 ml/min. Insuffisance rénale aiguë AKIN I: • créatinine à 115 umol/l • clairance à 58 ml/min. Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique. Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec: • créatinine à 110 umol/l • Clairance de la créatinine selon MDRD à 64.4. Insuffisance rénale aiguë AKIN I, avec Créat à 121 µmol/l le 12.01.2018. Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec • créatinine à 127 umol/l • Cockroft à 38.8 ml/min. Insuffisance rénale aigüe AKIN I avec: • créatinine à 128 umol/l (créatinine habituelle à 80 umol/l) • clairance à 38 ml/min. Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec valeur de créatinine à 266µmol/l sur chronique. Insuffisance rénale aigüe AKIN I (contexte de myélome). Insuffisance rénale aiguë AKIN I • créatinine à 106 umol/l Insuffisance rénale aiguë AKIN I dans le contexte aigu le 25.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I DD chronique • créatinine à 111 umol/l • clairance à 40 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I DD chronique • créatinine à 111 umol/l • clairance à 40 ml/min DD : syndrome cardio-rénal Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale • FeUrée : 22% Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale le 04.01.18 • sur déshydratation dans un contexte fébrile et manque d'apport au domicile Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale le 08.01.2019 DD sur AINS Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale le 09.01.2019 • sur déshydratation sur diarrhées • hypovolémie sur sepsis • GFR: 38.9 mL/min/1.73 m2 Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale le 15.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale le 16.01.2019 • DD : médicamenteuse (AINS) • FE urée à 25.94 % Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale le 16.01.2019 • DD : médicamenteuse (AINS) • FE urée à 25.94 % Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale probable (hypovolémie, sepsis) (DD : post-rénale sur obstruction) Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale sur déshydratation Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale sur déshydratation Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale sur déshydratation avec créatinine à 95 µmol/l Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale sur insuffisance rénale chronique avec créatinine à 163 umol/l et clairance de la créatinine à 39.3 ml/min selon Cockroft & Gault Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale sur insuffisance rénale chronique avec créatinine à 183 µmol/l le 23.11.2018, avec : • Clairance à la créatinine selon Cockroft à 27.7 ml/h le 23.11.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine probable pré-rénale avec une créatinine à 119 µmol/l Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine probable pré-rénale avec une créatinine à 125 µmol/l Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine probablement pré-rénale le 06.01.2019 avec : • Créatinine à 140 mmol/l et clairance à la créatinine à 24 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine XXXXX sur chronique sévère G3b (obstructive sur progression d'un adénocarcinome prostatique, hypertensive, diabétique) • eGFR selon CKD-EPI 31 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 04.01.2019 avec : • Créatinine à 217 µmol/l • Clairance de la créatinine selon Cockroft & Gault à 28 ml/min sur insuffisance rénale chronique • Fraction d'excrétion de l'urée à 37.05% Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 04.01.2019 avec : • Créatinine à 217 µmol/l • Clairance de la créatinine selon Cockroft & Gault à 28 ml/min sur insuffisance rénale chronique • Fraction d'excrétion de l'urée à 37.05% Insuffisance rénale aiguë, AKIN I, le 05.01.2019 : • sur déshydratation et rhabdomyolyse • avec créatinine à 151 umol/l. Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 09.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 09.01.2019 • FeUrée : 35% Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 10.01.2019 d'origine probablement post-rénale sur globe urinaire • s/p globe urinaire le 01.01.2019 sur infection urinaire • sous Tamsulosine pour hyperplasie de la prostate • Sonde vésicale du 01.01.2019 au 09.01.2019 • Échec retrait sonde vésicale le 05.01.2019 • Rinçages pour urines hématuriques (probablement sur lésion prostate lors du sondage) Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 11.01.19 • Étiologie pré-rénale (FeUrée 22%) • GFR 38 Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 11.01.2019 • Étiologie pré-rénale (FeUrée 22%) • GFR 38 Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 14.01.2019 avec : • hyperkaliémie à 5.5 mmol/L • CKD-EPI 182 micromol/L • DD : cardio-rénal Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 14.01.2019 sur insuffisance rénale chronique G3b • DD atteinte rénale intrinsèque dans le contexte du diagnostic principal, composante pré-rénale sur bas débit cardiaque • eGFR selon CKD-EPI 36 ml/min le 11.01.2019, 21 ml/min le 14.01.2019 • FEurée 44% le 15.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 17.01.2019 • clairance créatinine selon Cockroft 58 ml/minute Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 17.01.2019 • clairance créatinine selon Cockroft 58 ml/minute Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 18.01.2019. • CrCl 68 ml/min. • probablement sur prise de Torasémide. Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 21.01.2019 d'origine pré-rénale sur insuffisance rénale chronique KDIGO G3a • Hyperkaliémie à 5.2 mmol/L le 21.01.2019 • eGFR à 27 ml/min le 21.01.2019, 40 mL/min le 22.01.2019 • FeUrée 17.3%, le 21.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I, maladie de la jonction pyélocalicielle Insuffisance rénale aiguë AKIN I pré-rénale • DD : contexte infectieux ? déshydratation sous Torem ? Insuffisance rénale aiguë AKIN I pré-rénale avec, le 14.12.2018 : • Créatinine à 132 µmol/l • Clairance à 21.8 ml/min • Fraction d'excrétion de l'urée à 20.02% Insuffisance rénale aiguë AKIN I pré-rénale • GFR Cockroft 48 (le 25.01.2019) Insuffisance rénale aiguë AKIN I probablement d'origine pré-rénale le 10.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I probablement sur syndrome cardio-rénal Insuffisance rénale aiguë AKIN I probablement sur syndrome cardio-rénal, résolue • FeUrée 43.43 % le 19.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique avec créatininémie à 104 µmol/l d'origine probablement mixte pré-rénale et rénale Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique • dans le contexte de syndrome cardio-rénal type I Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique dans le contexte d'un myélome multiple le 07.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique dans un contexte de néphropathie diabétique et hypertensive Insuffisance rénale aiguë (AKIN I) sur chronique G3b d'origine pré-rénale le 30.12.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique Stade G3b, avec : • labo 10.01.2019 : créat 151 uM/l • labo 31.12.2018 : créat 104 uM, Urée 11,9 mM, GFR EPI 43,4 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique stade II, d'origine pré-rénale sur pertes digestives • Fraction d'excrétion de l'urée à 24 % (pré-rénale) Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur insuffisance rénale chronique G3b Insuffisance rénale aiguë AKIN I, sur insuffisance rénale chronique G3b, le 09.01.2019 • amélioration de la créatinine Insuffisance rénale aiguë AKIN I, sur insuffisance rénale chronique G3b, le 09.01.2019. • amélioration de la créatinine. • GFR 61 ml/min. Insuffisance rénale aiguë AKIN I, sur insuffisance rénale chronique G3b, le 09.01.2019 avec : • GFR à 27.2 mL/min. • Hyperkaliémie à 5.1 mmol/l. Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur insuffisance rénale chronique, probablement dans le contexte d'un syndrome cardio-rénal : • créatinine à 176 umol/l • clairance 23 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur le myélome multiple • GFR selon Cockroft à 43 (10.01.19) Insuffisance rénale aiguë AKIN II avec diurèse conservée le 08.01.2019 • acidose métabolique Insuffisance rénale aiguë AKIN II avec diurèse conservée le 08.01.2019 sur IRC chronique stade III non investiguée • Acidose métabolique Insuffisance rénale aiguë AKIN II, DD pré-rénal (fraction d'excrétion de l'urée, 29.12.2018 : 0,4%), DD post-rénal i.R. Diagnostic secondaire 6 : • eGFR (Cockroft Gault) le 28.12.2018 : 66 ml/min • eGFR (Cockroft Gault) au 03.01.2019 : 96,6 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine pré-rénale avec hyperkaliémie légère le 17.12.2018 • DD : sur AINS, spironolactone, injection de produit de contraste Insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine pré-rénale le 26.08.2018 • récidive le 11.09.2018 • DD : néphrite interstitielle Insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine pré-rénale FE urée <35% Insuffisance rénale aiguë AKIN II le 23.01.2019 d'origine pré-rénale Insuffisance rénale aiguë AKIN II le 23.12.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN II oligo-anurique dans un contexte de choc le 22.12.2018 • DD : sepsis, bas débit Laboratoire d'entrée créat 158 mmol/l. Insuffisance rénale aiguë AKIN II oligo-anurique le 22.12.2018 • DD : sepsis, bas débit Insuffisance rénale aiguë AKIN II pré-rénale le 19.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN II probablement d'origine pré-rénale le 10.12.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN II sur chronique d'origine pré-rénale le 21.01.2019 • DD : déshydratation, hypovolémie, sepsis • Fraction d'excrétion de l'urée à 8,2% • Créatininémie à 318 umol/l, Oligurie Insuffisance rénale aiguë AKIN II sur chronique KDIGO G3b le 08.12.2018 • FE Urée 49,52% • Clairance : 28ml/mn/1,73m2 Insuffisance rénale aiguë AKIN II sur chronique le 17.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN II sur chronique stade CKD 3 b Insuffisance rénale aiguë AKIN III anurique d'origine pré-rénale sur probable néphropathie diabétique le 09.01.2019 • Hydrochlorothiazide, déshydratation, diarrhées • Alcalose métabolique de contraction • Troubles électrolytiques mixtes sur prise de thiazidique/OH • Hyperlactatémie sur association de prise de metformine + éthylisme actif pendant l'hospitalisation + IRA + index de choc agrémenté le 08.01.2018 • possiblement aggravée d'une composante de néphropathie au produit de contraste (CT injecté le 09.01.2019) • protéinurie Insuffisance rénale aiguë AKIN III d'origine mixte le 26.10.2018 avec : • CVVHDF du 26.10 au 30.10.2018 avec cathéter de dialyse jugulaire interne droit • DD : choc cardiogène, produit de contraste Insuffisance rénale aiguë AKIN III d'origine multifactorielle • Diagnostics différentiels : dénutrition, hypo-albuminurie sur hémo-dilution dans le contexte de 3ème espace • Diagnostic différentiel : néphropathie diabétique et hypertensive du 19 au 22.12.2018 avec hypernatrémie légère (148mmol/l le 26.12.2018). Insuffisance rénale aiguë AKIN III d'origine plurifactorielle le 28.01.2019 • FeUrée 38%, FeNa 3.1% • DD : contexte septique, néphropathie au produit de contraste, traitement diurétique. Insuffisance rénale aiguë AKIN III oligo-anurique récidivante, d'origine multifactorielle le 09.01.2019, avec récidive dès le 16.01.2019 • initialement sur déshydratation et sepsis le 09.01.2019 • nouvelle aggravation depuis le 16.01.2019 (DD néphrite interstitielle médicamenteuse +/- para-infectieuse) Insuffisance rénale aiguë AKIN III sur chronique d'origine pré-rénale (diarrhées, traitement diurétique) le 11.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN III sur chronique le 04.01.2019 • GFR 17 ml/min selon Cockroft • Syndrome hépato-rénal de type 2 Insuffisance rénale aiguë AKIN x le 23.01.2019 • Probablement d'origine pré-rénale Insuffisance rénale aiguë AKIN I • eGFR 46.6 mL/min/1.73m2 selon MDRD • FeUrée 42%, FeNa 1.97% Insuffisance rénale aiguë AKIN I à 143 µmol/l. Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec : • Fraction d'excrétion du sodium à 19% • Clairance à 25ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec créatinine à 131 umol/l le 26.12.2018. Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec créatinine à 274µmol/l (17.12.18) d'origine pré-rénale sur chronique stade G4 (status après néphrectomie droite) : • Clairance créatinine selon Cockroft-Gault : 14 ml/min • Fraction d'excrétion de l'urée à 33.84% Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec une créatinine à 131 mcmol/l le 26.12.2018. Insuffisance rénale aiguë AKIN I (Clairance à 25 ml/min). Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'allure pré-rénale • Créatinine 111 mcmol/l, GFR 41 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine mixte connue avec créatinine à 141µmol/l le 06.12.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine mixte dans un contexte d'insuffisance rénale chronique sur : • Myélome multiple • Décompensation cardiaque • Clairance à la créatinine selon Cockroft à 27ml/minute le 10.10.2018 • Clairance selon MDRD à 36ml/min/1.73 le 07.11.2018 • Clairance selon MDRD calculée à 43ml/min le 19.11.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine mixte le 03.12.2018 • pré-rénale sur bas débit rénal • post-rénale sur effet de masse par compression de l'hématome et tubulopathie au produit de contraste Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale le 29.05.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale à l'entrée Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale dans un contexte infectieux le 12.12.2018 avec : • Fraction d'excrétion du sodium à 0.6% Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale le 12.11.2018 • FeUrée < 22% le 15.11.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale le 20.01.2019 : • créatinine 100 mcmol/l, eGFR 57 ml/min • FEurée 22.8% Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale le 21.12.2018 avec : • FE urée 27.12% • eGFR 34 mL/min selon CKD-EPI Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale le 26.01.2019 • Fe urée à 24 % Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale le 28.01.2019 • FE Urée : 34.11 % Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale probable le 18.12.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale sur déshydratation : • clairance de la créatinine selon MDRD à 90 ml/min/1.72m2. Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale sur insuffisance rénale chronique : • Clairance à la créatinine selon MDRD à 37ml/min, et selon Cockroft à 33ml/h • Clairance à la créatinine selon Cockroft du 20.12.2018 : 56.4ml/h Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale sur insuffisance rénale chronique le 28.12.2018 • DD : déshydratation sur diarrhée aiguë, contexte infectieux Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale sur insuffisance rénale chronique stade 3b avec : • FE urée 24.59% • eGFR 23 mL/min selon CKD-EPI Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale sur pertes digestives et traitement diurétique Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale le 23.01.2019 : • créatinine 140 mcmol/l, eGFR 23 ml/min selon Cockroft, FeUrée : 27.9% Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine probable pré-rénale DD mixte avec composante post-rénale • sur Insuffisance rénale chronique G3b • CT le 03.01.2019 : stase urétérale II° bilatérale d'origine indéterminée • s/p pyonéphrose gauche avec urétéropyélographie rétrograde et sonde double-J bilatérale le 03.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine probablement mixte sur déshydratation, globe vésical et prise d'AINS macro-hématurie. Clearance à 40.0 selon Cockroft & Gault. Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 07.12.2018 avec : • Clearance à 33 l/min DD : syndrome cardio-rénal Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 le 26.12.2018 • créatinine 149 mcmol/L DD : syndrome cardio-rénal, diurétique Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 le 28.12.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 pré-rénale avec diurèse conservée le 10.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 pré-rénale le 05.01.2019 • avec hyperkaliémie Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 prérénale le 10.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 pré-rénale sur syndrome cardio-rénal • FeUrée 35.4% • eGFR à 42 ml/min/1.73 m2 selon CKD-EPI Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 probablement d'origine rénale • FeNa à 3.02%, FeUrée à 45.89% • clearance à la créatinine à 65 ml/min selon Cockroft-Gault DD : néphropathie au produit de contraste Nouvelle aggravation de l'insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine X anurique sur la nuit du 25 au 26.01.2019 • FeUrée 34% • Eosinophiles urinaires négatifs Insuffisance rénale aiguë AKIN 1, probablement d'origine rénale, le 24.01.2019 FE Na 4.3%, FE Urée 50% Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 probablement syndrome cardio-rénal sur chronique. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 sur chronique d'origine pré-rénale le 31.12.2018 : • sur diabète décompensé et prise de diurétique Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 sur chronique KDIGO G3b le 14.12.2018 d'étiologies probablement multiples diabétiques DD hypertensive • 08.12.2018 FE Urée 49.52%, Clairance créatinine : 28 ml/mn/1.73 m² Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 sur chronique stade III de probable origine mixte (prérénale + rénale sur médicaments) avec : • Clearance selon Cockroft 33.6 ml/min/1.73 m3 le 06.12.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 sur déshydratation. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 sur insuffisance rénale chronique d'origine mixte sur globe vésical + origine prérénale. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 sur insuffisance rénale chronique stade IV selon KDIGO le 20.12.2018 • clairance de la créatinine estimée selon Cockcroft-Gault à la sortie : 25 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 sur insuffisance rénale chronique stade KDIGO IIIb, d'origine probablement fonctionnelle Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 sur probable néphropathie hypertensive le 21.09.2017 Exacerbation infectieuse de BPCO en mai 2015, janvier et septembre 2017, mars, mai et juin 2018 Abcès à hauteur de l'os zygomatique à droite le 12.06.2013 Arrachement du trapèze droit le 09.08.2012 Fermeture d'un foramen ovale perméable en mai 2009 Accident vasculaire cérébral ischémique le 09.11.2008 Thrombose veineuse profonde poplitée du membre inférieur gauche non-datée État confusionnel aigu probablement sur prise de Champix Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 23.01.2019 • FeUrée : à suivre Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 25.01.2019 • probablement d'origine pré-rénale • FeUrée : à suivre Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 sur insuffisance rénale chronique de stade 4 le 28.12.2018 • Créatinine 400 mmol/L, Clearance 13 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 avec créatinine à 273 mmol/l d'origine probablement pré-rénale avec une Fe urée à 18.5 % • clairance selon Cockroft & Gault : 21.1 ml/min le 23.12.2018. Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 avec une créatininémie à 281 µmol/l. Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 de probable origine pré-rénale sur déshydratation le 10.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine indéterminée • FE urée 48% Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine mixte probable le 15.01.19 • pré-rénal sur prise de diurétique, rénale sur hypoperfusion sur bas débit dans contexte hémorragique et fibrillation auriculaire rapide • FE urée 48% le 15.01.19 • Fe urée 20.8% le 16.01.19 Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine mixte sur déshydratation et rhabdomyolises le 10.01.2019 : • FE Na : 0.4%. Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine post-rénale • FeUrée 35% Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine pré-rénale le 02.01.2019 avec : • FE 13.13% • eGFR 52 mL/min selon CKD-EPI Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine pré-rénale le 02.01.2019 avec : • FEurée 13.13% • eGFR 52 mL/min selon CKD-EPI Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine pré-rénale le 09.01.2019 • sur hypovolémie (diarrhées) • dans contexte septique Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine prérénale 24.12.2018 FE Na : 0.71% GFR (Cockroft) : 41 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine probablement prérénale 03.01.2019 • FeUrée (après hydratation à 2 l) : 40% • eGFR CKD-EPI 03.01.2019 : 22 ml/min • Dans le contexte des diarrhées et manque d'apport Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine rénale avec une créatininémie à 187 µmol/l en août 2018 : • DD néphrite interstitielle aiguë sur prise d'AINS ou Ciproxine/Co-Amoxi ou d'origine infectieuse (E. Coli, hantavirus,..) • DD NTA secondaire à une hypoperfusion rénale prolongée sur AINS pendant + de 10 j, produit de contraste (Uro-CT le 21.08) et déshydratation. • DD glomérulonéphrite • DD dans le contexte de la pyélonéphrite (moins probable). Pyélonéphrite gauche atypique, résistante au traitement antibiotique depuis le 12.08.2018 : • DD inflammation rénale d'origine non bactérienne • le 12.08.2018 : Ciprofloxacine • le 16.08.2018 : Rocéphine 2 g dose unique • dès le 21.08.2018 : Co-Amoxi pour 1 semaine • Uro-CT fait en externe : pas de calcul visualisé, pas de confirmation de pyélonéphrite • le 31.08.2018 : reprise de la ciprofloxacine. Hématochésie d'origine indéterminée : • DD traitement avec AINS, fissures anales. Douleurs de la loge rénale gauche d'origine indéterminée. Insuffisance rénale aiguë AKIN 2, le 24.01.2019 • dans un contexte de déshydratation Insuffisance rénale aiguë AKIN 2, le 24.01.2019 • Déshydratation Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 mixte, d'origine pré- et post-rénale (dans le cadre du diagnostic principal) • à l'entrée créatinine de 162 umol/l, FeUrée 24% Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 pré-rénale sur abus de diurétiques le 08.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 sur chronique le 13.12.2018, avec composante mixte pré- et post-rénale • FeNa 0.4% = pré-rénal • Cl 15 ml/min selon CKD-EPI (le 14.12.2018) • Globe urinaire (le 16.12.2018) Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 sur chronique stade 2 (KDIGO) d'origine post-rénale • avec dilatation pyélocalicielle grade III d'origine probablement tumorale à D • Anurie par voie naturelle depuis le 09.01.2019 • CKD EPI 33 m/min le 16.01.2019 • GFR mesuré à 68 ml/min le 23.01.2019 • FE Urée 52% le 16.01.2019 • St/p néphrostomie à G le 05.12.2018 • Clearance rénale sur collecte d'urine 24 à G : 37.08 ml/min • Clearance rénale sur collecte d'urine 24 à D : 30.30 ml/min • Clearance totale le 23.01.2019 : 68 ml/min • Bactériologie du 21.01.2019 : flore mixte <10^3 Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 avec créatininémie à 318 µmol/l d'origine pré-rénale : • DD déshydratation, syndrome hépato-rénal • clearance de la créatinine selon Cockcroft-Gault estimée à 22 ml/min • fraction d'excrétion d'urée à 8.2% • oligo-Anurie à 100 ml/24h. Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 d'origine mixte le 08.01.2019 • pré-rénale sur déshydratation et augmentation possible des pertes insensibles • post-rénale sur obstruction urétérale gauche • FE urée à 14% Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 d'origine prérénale le 15.01.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 d'origine pré-rénale le 21.12.2018 sur chronique stade III selon KDIGO Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 d'origine probablement pré-rénale avec : • FeNa 0.54% et FeUrée 6.13% • Hyperkaliémie (5.8 mmol/l) • Hyperphosphatémie Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 (GFR selon Cockroft 20 mL/min). Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 le 07.08.2018 d'origine mixte sur nécrose tubulaire aiguë et néphrite interstitielle immuno-allergique (2% éosinophiles) probable sur Novalgine Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 le 07.08.2018 d'origine mixte sur nécrose tubulaire aiguë et néphrite interstitielle immuno-allergique (2% éosinophiles) probable sur Novalgine avec : • Insuffisance rénale chronique sur néphroangiosclérose avec 20% sclérose glomérulaire (biopsie rénale du 20.08.2018) • À l'entrée : clairance de la créatinine estimée à 7 mL/min selon CKD-EPI, Fraction d'excrétion de l'urée à 34.42 % le 7.08.2018 • Complications : acidose métabolique, hyperkaliémie, hyperphosphatémie Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 le 26.12.2018 • hyperkaliémie Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 le 28.12.2018 d'origine pré-rénale (syndrome cardio-rénal probable) Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 le 29.01.2019 DD : syndrome hépato-rénale type I, hypovolémie relative de la décompensation cirrhotique Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 pré-rénale et rénale le 10.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 sur chronique le 07.12.2018 : • DD sur nécrose tubulaire aiguë • encéphalopathie urémique • Créatinine 647 mmol/l, eGFR <5 ml/min/m2, Urée >68.4 mmol/l Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 sur chronique (pré-rénale Fe urée 1.12%) dans le contexte de choc cardiogénique Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 sur hypovolémie le 30.12.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 le 10.12.2018, d'origine pré-rénale avec : • Créat 171 mcmol/l, eGFR 34 ml/min selon CKD-EPI • FeUrée 20.3% (pré-rénal) Insuffisance rénale aiguë avec : • Créatinine 119 umol/l le 04.12.18, GFR 34.8 ml/min/1.73m2 Insuffisance rénale aiguë avec clearance à 43 ml/min (créatininémie 109 µmol/l) sur insuffisance rénale chronique stade 3a Insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 145 mcmol/ml (eGFR à 46.407 ml/min selon MDRD) le 21.12.2018 • déshydratation dans le contexte de mucite avec diarrhées post-chimio-thérapie par Xeloda Insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 152 mmol/l avec : • plusieurs cylindres hyalins et protéine urinaire 2.19 g/l Insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 177 mmol/l. Insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 200 mcmol/l probablement d'origine pré-rénale le 28.01.2019 Insuffisance rénale aiguë avec créatininémie 160 µmol/l, urée 12.7 mmol/l Insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 114 µmol/l et clairance de la créatinine à 29 ml/min selon Cockroft & Gault Insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 196 µmol/l. • clairance de la créatinine calculée selon Cockcroft-Gault à 37 ml/min. Insuffisance rénale aiguë chronique. • Fe Na 1.6%, probable cause intrinsèque. Insuffisance rénale aiguë (créatininémie 134 µmol/). Insuffisance rénale aiguë dans le cadre d'une décompensation cardiaque Insuffisance rénale aiguë dans le cadre d'une déshydratation • laboratoire : créatinine 141 umol/l • clearance nach MDRD 45.6 ml/min Insuffisance rénale aiguë dans un contexte de déshydratation sur insuffisance rénale chronique stade II selon KDIGO (voir comorbidités) • GFR selon CKD-EPI (29.12.2018) : 53.4 ml/min/1.73m2 Insuffisance rénale aiguë • DD : chronique créatinine à 118 umol/l clairance à 50 ml/min Insuffisance rénale aiguë de type mixte stade AKIN I le 31.07.2017 (uricult le 03.08.2017 : Pseudomonas putida) • cystoscopie et urétrotomie d'une sténose avec pose de sonde urinaire à demeure le 04.08.2017 (Dr. X) • avec insuffisance rénale chronique G3 selon KDIGO (eGFR le 12.07.2017 à 50 ml/min selon CKD-EPI) • sur probable déshydratation et composante obstructive sur rétention urinaire chronique estimée à 700 ml • avec une incontinence urinaire nouvelle de regorgement • colonisation de la néovessie avec Pseudomonas sp. le 12.07.2017 • Urosepsis en 2010 sur infection du port à cath avec explantation de ce dernier • Urosepsis avec IRA en 2012 • Dilatation à la bougie de l'urètre pénien distal en 2012 Spondylodiscite septique avec spondylodèse lombaire en 2011 AVC ischémique et embolique subaigu G avec hémisyndrome D régressif en 2011 Extirpation d'un méningiome frontal en 1990 Insuffisance rénale aiguë d'origine • FeUrée 13.4%, FeNa 0.22% le 07.01.2019 Insuffisance rénale aiguë d'origine indéterminée avec GFR à 26 ml/min créat à 200 le 11.01.19 DD contexte infectieux Insuffisance rénale aiguë d'origine post-rénale AKIN 2 le 02.01.2019 • FeU 70% • Clearance 36 ml/min Insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale le 18.01.2019 • Clairance 56 ml/min/1.73 • Fe Na 0.35% Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale • FE urée à 29% Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale • FeUrée à 8.2% • Créatininémie à 318 umol/l, oligurie à 100 ml/24h • clearance de la créatinine selon Cockcroft-Gault estimée à 22 ml/min DD déshydratation, syndrome hépato-rénal Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale AKIN I le 20.12.2018 DD : syndrome cardio-rénal • Clairance à 55 ml/min selon CKD-EPI • Rein unique (status post urétéro-néphrectomie droite en 2001) • FE Urée 23.6% Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale AKIN 3 d'origine mixte : • déshydratation sévère et traitement diurétique • osmolalité sérique 328 mosmol/kg. Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale avec créatinine à 199 µmol/l et urée à 9.6 mmol/l Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale avec créatininémie à 95 umol/l. Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale avec nadir créatinine à 162 microgramme/L le 08.01.2019 • Clairance selon CKD-EPI 52 ml/min/1.73 m2 Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale le 19.12.2018 • FeUrée 8.2% • GFR selon MDRD 53 ml/min et selon CKD EPI à 49 ml/min • probablement sur déshydratation et vomissements Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale sur déshydratation et hypotension dans un contexte d'insuffisance rénale chronique • Acidose métabolique à trou anionique normal à l'entrée • FE urée à 26 % • GFR à 63 ml/min selon CKD-EPI Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale sur déshydratation le 05.01.2019 • FE urée à 22% Insuffisance rénale aiguë d'origine probablement pré-rénale le 15.01.2019 Insuffisance rénale aiguë d'origine rénale sans critères AKIN à 134 micromol/L le 31.12.2018 : • récidive le 11.01.2019 avec créatinine à 137 micromol/L • DD : diurétiques, syndrome cardio-rénal Insuffisance rénale aiguë d'origine rénale et post-rénale sur insuffisance rénale chronique avec : • Créatinine à 152 µmol/l le 18.01.2019 Insuffisance rénale aiguë d'origine rénale et post-rénale sur insuffisance rénale chronique avec : • Créatinine à 205 µmol/l • Clairance de la créatinine à 29.2 ml/min selon Cockroft Insuffisance rénale aiguë d'origine rénale et post-rénale sur insuffisance rénale chronique avec : • Créatinine à 234 µmol/l Insuffisance rénale aiguë • eGFR à 37 ml/min/1.73 Insuffisance rénale aiguë KDIGO 1 avec créatinine à 124 umol/l le 18.12.2018 d'origine pré-rénale Insuffisance rénale aiguë KDIGO 2 de type rénale (FeUrée à 52%) DD : sur Nivolumab, paranéoplasique ?Insuffisance rénale aiguë le 09.01.2019 • eGFR à 37 ml/min/1.73 Insuffisance rénale aiguë le 14.01.2019. Insuffisance rénale aiguë le 16.01.2019 : • chez un patient avec une fonction rénale de base inconnue Insuffisance rénale aiguë le 22.01.2019 • AKIN I Insuffisance rénale aiguë le 23.01.2019 probablement d'origine pré-rénale GFR à 28 ml/min Insuffisance rénale aiguë le 24.01.2019 • Clairance 21 ml/mn Insuffisance rénale aiguë le 26.01.2019 d'origine pré et post-rénale probable Insuffisance rénale aiguë le 29.12.2018 : • DD : syndrome hépato-rénal type 2 Insuffisance rénale aiguë légère, probablement sur déshydratation • créatinine 101 umol/l Insuffisance rénale aiguë majeure sur IRC avec : • Creat 19.12.2018 : 911, urée 54 • GFR selon CKD-EPI 3.9 ml/min le 19.12.2018 • GFR selon CKD-EPI 4.2 ml/min/1.73 m² le 21.12.2018 Insuffisance rénale aiguë post-rénale eGFR selon MDRD : 38 ml/min Insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN I dans un contexte d'insuffisance rénale chronique le 10.01.2019 • avec hyperkaliémie à 5.7 mmol/L Insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN I sur chronique depuis 2014 avec créatinine à 194 mcmol/l le 25.12.2018 • avec possible composante de néphropathie diabétique et hypertensive Insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN II le 25.01.2019 • FeUrée à 12.32 %. Insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN II le 25.01.2019 • FeUrée à 12.32 % • Hyperkaliémie à 5.6 mmol/l le 27.01.2019 Insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN II GFR = 28 ml/mn Insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN I le 19.07.2018. Anémie normochrome normocytaire avec hémoglobine à 115 g/l le 19.07.2018. Troubles neurologiques le 21.07.2018 d'origine probablement fonctionnelle. Lombosciatalgies prédominant à gauche non déficitaires acutisées en mars 2018. Troubles neurologiques d'origine fonctionnelle le 12.12.2017. Troubles neurologiques avec hypoesthésie et parésie du membre inférieur gauche d'allure fonctionnelle le 17.07.2017. Interruption des fibres du tendon quadricipital gauche sur le versant médial avec distance entre les 2 fragments d'environ 20 mm le 27.07.2017, probablement d'origine traumatique. Douleurs au niveau de la hanche gauche post-traumatiques suite à une chute en mai 2017. PTH gauche et ostéophytectomie antérieure sur nécrose de la tête fémorale à gauche de stade II, le 20.01.2016. PTG gauche en 2013. Sevrage d'opioïdes en 2015. Bursite sous acromio-deltoïdienne de l'épaule gauche avec tendinopathie inflammatoire de la coiffe des rotateurs. Vésicopexie à 2 reprises (cystopexie avec mise en place de bandelettes à une année d'intervalle, dans les années 80-90). Hystérectomie radicale. Déshydratation : • dans un contexte de probable intoxication alimentaire • chez patiente immuno-supprimée, sous Méthotrexate pour syndrome de Sharp et lupus érythémateux systémique (MCTD). Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec créatinine 98 umol/l, Cockroft 76.5 ml/min. Insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN I sur chronique stade 3a le 19.12.2018 • eGFR selon CKD-EPI 37 ml/min le 19.12.2018 • FeUrée 26.16 % le 19.12.2018 Insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN II • Hyperkaliémie à 6,1 mmol/l • FE urée 10 % Insuffisance rénale aiguë (pré-rénale) le 10.01.2019 Crea : 176 eGFR = 37 ml/min/1.73 m² stade 3b Insuffisance rénale aiguë pré-rénale le 13.01.2019 Insuffisance rénale aiguë pré-rénale le 13.01.2019 • dans contexte septique Insuffisance rénale aiguë pré-rénale sur déshydratation, AKIN I avec clairance à 24.3 ml/min. Insuffisance rénale aiguë pré-rénale sur déshydratation le 14.01.2019 • FE urée à 19 % Insuffisance rénale aiguë pré-rénale sur déshydratation le 14.01.2019 : • FE urée à 19 % Insuffisance rénale aiguë probablement d'origine pré-rénale, le 17.12.2018 Insuffisance rénale aiguë probablement d'origine pré-rénale le 27.12.2018 DD : déshydratation sur diurétique, insuffisance cardiaque décompensée Insuffisance rénale aiguë probablement pré-rénale AKIN II Insuffisance rénale aiguë • probablement sur syndrome cardio-rénal Insuffisance rénale aiguë probablement sur Voltaren, le 20.01.2019. Insuffisance rénale aiguë sans critère AKIN d'origine pré-rénale sur déshydratation • Créatinine à 104 umol/l le 30.12.2018 • GFR à 55.6 ml/min selon Cockroft-Gault Insuffisance rénale aiguë sans critère AKIN d'origine pré-rénale 01.01.2019 • FeUrée : 25 % Insuffisance rénale aiguë sans critère AKIN d'origine x 13.01.2019 • FeUrée à suivre Insuffisance rénale aiguë sans critère AKIN le 07.01.2019 • acmé créatinine à 260 micromol/l (CKD -EPI à 18 ml/min) • créatinine le 23.01.2019 : 202 micromol/l (CKD -EPI à 25 ml/min) DD cardio rénal Insuffisance rénale aiguë sans critère AKIN le 07.01.2019 • créatinine à 260 micromol/l Insuffisance rénale aiguë sans critère AKIN le 21.12.2018 pré-rénale • Cockroft le 21.12.2018 : 70 ml/min/1.73 m² • Cockroft le 28.12.2018 : 49 ml/min/1.73 m² DD syndrome cardio-rénal Insuffisance rénale aiguë stade AKIN III d'origine indéterminée avec GFR à 26 ml/min créatinine à 200 le 11.01.19 DD : contexte infectieux, vessie neurogène avec reflux Insuffisance rénale aiguë stade AKIN I d'origine pré-rénale sur déshydratation avec : • Clearance selon MDRD à 49 ml/min/1.73 m² le 03.12.2018 • écho-doppler abdominal du 15.10.2018 : reins de taille normale, de contour normal, de bonne différenciation cortico-médullaire et sans obstruction des voies pyélocalicielles. Insuffisance rénale aiguë sur chronique AKIN II, le 01.02.2018 : • DD syndrome cardio-rénal type 1, pré-rénale sur diarrhée Insuffisance rénale aiguë sur chronique AKIN I d'origine pré-rénale probable • Clearance selon Cockroft à 42 % Insuffisance rénale aiguë sur chronique AKIN I le 17.12.2018 avec : • Créatinine à 191 µmol/l • Clearance à 40 ml/min Insuffisance rénale aiguë sur chronique AKIN 3 sur syndrome cardio-rénal le 28.01.19 • Anurie sur 12 heures, créatinine 345 umol/l avec CKD-EPI de 13 ml/min le 28.01.19 Insuffisance rénale aiguë sur chronique Grade G4 KDIGO avec : • Consilium néphrologique le 05.12.2018 : pas d'argument pour une atteinte autoimmune/infectieuse. Protéinurie et albuminurie • LCC urinaire (CHUV) : beta NAG à 13.2 U/l, Lyzozyme 694 kU/l • Obstruction multifocale de l'uretère proximal à gauche, avec dilatation du bassinet d'origine peu claire en 2017 • Sonde urétérale bilatérale dès le 29.05.2017 (dernier changement en octobre 2018) • GFR selon Cockroft à 10 ml/min le 27.11.2018 Insuffisance rénale aiguë sur chronique KDIGO G3b avec créatinine à 199 mcmol/l le 08.01.2019 FE urée ___ • GFR Cockroft-Gault : 17 ml/min Insuffisance rénale aiguë sur chronique le 03.01.2019 • créatinine à 104 umol/l, FeNa 3.2 % • leucocyturie asymptomatique Insuffisance rénale aiguë sur chronique le 17.12.2018, avec : • eGFR selon CKD-EPI 37.7 ml/min • dans le cadre du diagnostic supl. 1 Insuffisance rénale aiguë sur chronique le 24.12.2018 GFR (Cockroft-Gault) 35 ml/min Insuffisance rénale aiguë (sur chronique probablement) d'origine pré-rénale avec créatinine à 147 µmol/l Insuffisance rénale aiguë sur chronique probablement pré-rénale AKIN I : • Labo le 18.12.18 créatinine 98 umol/l, GFR selon CKD-epi 41 ml/min • Labo 24.12.2018 créatinine 76 µm, urée 8.3 mM Insuffisance rénale aiguë sur déshydratation Insuffisance rénale aiguë sur déshydratation, diurétiques. Insuffisance rénale aiguë sur insuffisance rénale chronique Insuffisance rénale aiguë sur insuffisance rénale chronique le 28.11.2018 • eGFR 40 ml/min/1.72 mm2 le 28.11.2018 • eGFR 66 ml/min/1.72 mm2 le 07.12.2018 Cholestase hépatique 29.11.2018 au 06.12.2018 DD sur Keppra : peu probable selon les neuro • Suivi biologique • US abdominal le 10.12.2018 Chute le 24.12.2018 (non objectivée) • CT natif le 24.12.2018 : absence de nouveau saignement intracrânien. Pas de fracture 2x perte de connaissance avec accident de voiture entre 2015 et 2016 Pneumonie à Streptococcus viridans le 19.11.2018 Pipéracilline-Tazobactam du 20.11 au 23.11.2018 Vancomycine du 20.11 au 22.11.2018 Ceftriaxone du 23.11 au 25.11.2018 Insuffisance rénale aiguë sur insuffisance rénale chronique le 28.11.2018 • eGFR 40 ml/min/1.72 mm2 le 28.11.2018 • eGFR 66 ml/min/1.72 mm2 le 07.12.2018 Insuffisance rénale aiguë sur IRC à 149 µmol/l Insuffisance rénale aiguë sur une probable chronique avec créatinine à 216 umol/l Insuffisance rénale aiguë AKIN I Clearance selon Cockroft à 42% Insuffisance rénale AKIN I chronique avec • créatinine 115 mcmol/l • GFR : 40 ml/min • hypokaliémie 3.5 mmol/l Insuffisance rénale AKIN I d'origine mixte ; • Déshydratation • diurétiques Insuffisance rénale AKIN I d'origine X Insuffisance rénale AKIN I probablement sur une rhabdomyolyse le 27.12.2018 Insuffisance rénale AKIN II le 24.12.2018 dans un contexte d'insuffisance rénale chronique Stade 3b DD : pré-rénale sur traitement diurétique, syndrome cardiorénal • GFR CKD-EPI le 06.12.2018 : 6.6 ml/min • GFR CKD-EPI le 24.12.2018 : 8 ml/min • US voies urinaires le 04.12.2018 : pas d'obstacle Insuffisance rénale AKIN I. Insuffisance rénale AKIN I à 128 µmol/l. Insuffisance rénale AKIN I aiguë sur chronique le 09.01.2017 avec composante rénale et prérénale, DD : déshydratation, néphropathie diabétique, séquelle de l'insuffisance rénale chronique apparue suite au choc hypovolémique de 2009. Polypes colorectaux (visualisés et réséqués lors des coloscopies du 22.11, 06.12.2016 et 16.01.2017 ; Histologie : adénomes tubuleux avec néoplasie intra-épithéliale/dysplasie épithéliale de bas grade). Abcès péri-caecal décrit au scanner du 25.11.2016 avec persistance d'une colite droite : • investigué par 2 colonoscopies le 22.11.2016 et le 06.12.2016 • traité par Ceftriaxone, Metronidazole, ciprofloxacine du 25.11.2016 au 06.12.2016 • résolution de l'abcès sur CT abdominal du 11.01.2017. DD : abcès sur appendicite compliquée, néoplasie caecale. Syndrome de renutrition inappropriée en 12.2016 avec : • troubles électrolytiques (hypokaliémie, hypomagnésémie, hypophosphatémie) • malnutrition protéino-énergétique modérée. Choc hypovolémique sur déshydratation en 2011. Choc cardiogène en 2009 sur cardiomyopathie dilatée d'origine indéterminée, avec dysfonction systolique sévère du ventricule gauche en 2009 (FEVG à 15 %) Thrombose veineuse périphérique du membre inférieur gauche non datée. Pneumonie de l'apex droit et latéro-basale droite. Embolie pulmonaire non-high risk de découverte fortuite. Anorexie mentale atypique avec malnutrition protéino-énergétique modérée : • perte pondérale et inappétence • recherche de colite microscopique et d'amyloïdose digestive déjà effectuée et négatives. Insuffisance rénale aiguë AKIN I type pré-rénal • MDRD à 33 le 5.11.2017 • MDRD à 75.41 le 08.11.2017. Perturbation des tests hépatiques le 03.11.2017 avec : • cytolyse hépatique sur choc cardiogène en 2009, perturbation hépatique intermittente depuis, pas de biopsie hépatique réalisée • sérologies virales déjà effectuées en août 2016 (HBV nég, HCV nég, HIV nég) • ultrason hépatique août 2016 : stéatose hépatique diffuse • DD : hépatite médicamenteuse, auto-immune. Anémie macrocytaire normochrome. Ostéonécrose aseptique des têtes fémorales asymptomatique de découverte fortuite, asymptomatique. Insuffisance rénale AKIN I • créatinine 163 umol/l • clearance de la créatinine 47 ml/min. Insuffisance rénale AKIN I le 28.01.2019 • Créatinine 116 mcmol/l • GFR : 42 ml/min • FEurée : 34.11 % (pré-rénal) Insuffisance rénale anurique en 2009. Insuffisance rénale avec clairance à 30 ml/min (pas de comparatif récent). Insuffisance rénale avec créat à 119 mmol/l GFR selon Cockroft à 35 ml/min. Insuffisance rénale chronique. Insuffisance rénale chronique. Insuffisance rénale chronique. Insuffisance rénale chronique • GFR selon CKD-EPI : 82,6 ml/min/173m2 le 28.10.18 • GFR selon CKD-EPI : 86,5 ml/min/173m2 le 03.09.18 Insuffisance rénale chronique : • créatinine à 152 mcmol/l à l'entrée avec clairance à 40 ml/min (MDRD). Insuffisance rénale chronique • DFG : 82.2 mL/min selon CKD-EPI (Stade 2) 17.12.2018 • DFG : 52 mL/min selon CKD-EPI (Stade 3) 14.12.2018 Insuffisance rénale chronique acutisée AKI 2 d'origine • FE urée. Insuffisance rénale chronique acutisée AKIN 1 avec clairance de la créatinine à 24 ml/min selon MDRD : Créatininémie à 185 µmol/l Insuffisance rénale chronique acutisée AKIN 1 d'origine pré-rénale • FE urée 24.13% • Clearance 46 ml/min selon Cockroft-Gault DD : rétention urinaire chronique Insuffisance rénale chronique acutisée d'origine pré-rénale sur hypovolémie, avec protéinurie Insuffisance rénale chronique acutisée d'origine rénale et post-rénale avec une créatininémie à 307 µmol/l. Insuffisance rénale chronique acutisée sans critère AKIN le 30.12.2018 • GFR 53 ml/min Insuffisance rénale chronique aiguë d'origine pré-rénale. FeUrea = 11.5% GFR : 19.5 ml/min Insuffisance rénale chronique AKIN I d'origine pré-rénale • GFR 30 ml/min • FEUrée : 28.3% DD probable déshydratation Insuffisance rénale chronique AKIN 2 • GFR 37 ml/min • FEUrée : 36% Insuffisance rénale chronique avec clairance de la créatinine à 20 ml/min selon Cockroft & Gault Insuffisance rénale chronique avec clairance de la créatinine à 30 ml/min selon Cockroft & Gault. Insuffisance rénale chronique avec créatininémie 180 µmol/l, urée 15.8 mmol/l. Insuffisance rénale chronique • Cockroft à 39 ml/min Insuffisance rénale chronique • Créat 130 mmol/l le 13.01.2019 • GFR selon Cockroft-Gault : 35 ml/min Insuffisance rénale chronique • créatinine à l'entrée de 141 µmol/l (valeurs chez le médecin traitant de 140 le 04.12, 169 le 17.12 et 156 le 24.12) • en premier lieu sur néphropathie hypertensive Insuffisance rénale chronique • créatinine à l'entrée 108 µmol/l (eGFR selon CKD-EPI de 62 ml/min/1.73 m²) Insuffisance rénale chronique • créatinine à l'entrée 130 mmol/l le 13.01.2019 Insuffisance rénale chronique de grade G3a avec : • clearance selon CKD-EPI de 53 ml/min le 29.11.2018 Insuffisance rénale chronique de stade G3a A1 d'origine indéterminée (DD : néphro-calcinose, obstruction) • Status post-néphrotomie percutanée droite en 2009 pour pyélonéphrite obstructive sur lithiase urétérale • Status post-pyélonéphrite droite en 2013 et CT-scan en urologie Trouble anxio-dépressif avec traitement de Paroxétine Tabagisme actif à 10 UPA Insuffisance rénale chronique de stade III a. Syndrome métabolique avec obésité. Diabète type II non insulino-requérant depuis 2018. HTA. Tabagisme actif (40 UPA). Insuffisance rénale chronique de stade III sur néphropathie diabétique et hypertensive Cardiopathie ischémique et rythmique sur maladie coronarienne tritronculaire • NSTEMI le 03.03.2018 avec TV soutenus le 05.03.2018 et angioplastie du pontage-saphène - 1ère marginale le 08.03.2018 • status post-triple pontage coronarien (IVA, IVP, diagonale) • Angioplastie et implantation de 2 stents actifs sur la coronaire droite proximale et moyenne en 2005 • Angioplastie coronarienne droite en 1988 • Infarctus postéro-inférieur en 1983 • BAV du 1er degré Diabète de type 2, insulino-requérant (primodiagnostic dans les années 90) • mal contrôlé sur augmentation récente de la corticothérapie • complications : polyneuropathie des membres inférieurs, macro-angiopathie coronarienne, carotidienne et des membres inférieurs, néphropathie Cécité de l'œil gauche depuis 07/2017 sur occlusion de l'artère centrale rétinienne, compliquée par glaucome néovasculaire à angle fermé en 12/2017 • DD sur maladie de Horton, DD artériopathie vu nombreux facteurs de risque cardiovasculaire • status post-trabeculotomie de l'œil gauche sans amélioration du visus Maladie de Horton (suspectée) sous cortico-thérapie depuis le 27.12.2017 • biopsie de l'artère temporale gauche avec signes indirects d'artérite ancienne (interruption focale de la limitante élastique interne et fibrose intimale) • poursuite du traitement de Prednisone, sevrage en raison de 1 mg/mois Insuffisance rénale chronique de stade KDIGO G4 sur néphropathie diabétique et hypertensive avec : • Clairance créatinine 15 ml/min/1.73 m² selon EKD-EPI le 27.02.2018 • Ostéodystrophie rénale (hyperparathyroïdisme) • Anémie normocytaire et normochrome régénérative • Protéinurie à 0.8 g/24h le 27.02.2018 • suivi par Dr. X Insuffisance cardiaque diastolique de stade II sur cardiopathie ischémique, hypertensive Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Double revascularisation myocardique par greffon en Y mammaire sur l'IVA intramyocardique et la marginale circonflexe par Dr. X le 04.04.2017 à la Clinique Cecil et pose de stent actif dans l'ACD moyenne le 09.06.2017 (Dr. X) • Fonction VG systolique préservée, FEVG à 65% (coronarographie du 24.03.2017), hypertrophie concentrique Diabète mellitus de type 1 sous insuline depuis l'âge de 36 ans, sous pompe à insuline depuis 2000 • Rétinopathie diabétique avec baisse de l'acuité visuelle • Artériopathie des membres inférieurs Dyslipidémie Hypertension artérielle systolique isolée sous pentathérapie le 21.08.2017 SAOS appareillé AOMI non symptomatique Insuffisance rénale chronique de stade KDIGO G4 sur néphropathie diabétique et hypertensive avec : • Clairance créatinine 15 ml/min/1.73m2 selon EKD-EPI le 27.02.2018 • Ostéodystrophie rénale (hyperparathyroïdisme) • Anémie normocytaire et normochrome régénérative • Protéinurie à 0.8 g/24h le 27.02.2018 • suivi par Dr. X Insuffisance cardiaque diastolique de stade II sur cardiopathie ischémique, hypertensive Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Double revascularisation myocardique par greffon en Y mammaire sur l'IVA intra myocardique et la marginale circonflexe par le Dr. X le 04.04.2017 à la Clinique Cecil et pose de stent actif dans l'ACD moyenne le 09.06.17 (Prof. X) • Fonction VG systolique préservée, FEVG à 65% (coronarographie du 24.03.2017), hypertrophie concentrique Diabète mellitus de type 1 sous insuline depuis l'âge de 36 ans, sous pompe à insuline depuis 2000 • Rétinopathie diabétique avec baisse de l'acuité visuelle • Artériopathie des membres inférieurs Dyslipidémie Hypertension artérielle systolique isolée sous pentathérapie le 21.08.17 SAOS appareillé AOMI non symptomatique Insuffisance rénale chronique de stade V (terminal) avec : • ostéodystrophie avec déficit en vitamine D et hyperparathyroïdisme secondaire. Maladie thrombo-embolique (sous Simtron) avec : • thrombose membre supérieur droit en 1999 • embolie pulmonaire sous-segmentaire non datée • thrombose veineuse profonde poplitée droite le 04.02.2015. Hypertension artérielle. Insuffisance pancréatique avec diarrhées chroniques. Dermite eczémateuse localisée (coudes, jambes, séborrhéique au niveau des sourcils). Diplopie verticale sur probable skew déviation en relation avec une probable encéphalopathie vasculaire avec : • électroencéphalogramme vasculaire (IRM en septembre 2012) : leuco-encéphalopathie vasculaire. Notion de troubles cognitifs avec • Tests de la cognition du 10.02.2017 : MMSE à 29/30 et test de la montre à 7/7. Syncopes à répétition sur hypotension orthostatique. Oesophagite de reflux avec dysphagie aux solides de longue date : • OGD 2012 : lésion bourgeonnante sans malignité • OGD 2014 : aspect cicatriciel de l'oesophage avec ulcération à la jonction oesogastrique, sans sténose et sans évidence macroscopique pour une tumeur oesophagienne • OGD 30.06.2017 pour hématémèse : maladie de reflux gastro-oesophagien avec actuellement une oesophagite par reflux grade D selon Los Angeles et hernie hiatale de 6 cm de longue • Actuellement sous IPP haute dose et Gaviscon, Ranitidine et Alucol jusqu'au 23.07.2017 • OGD de contrôle à prévoir à 2- 3 mois afin de s'assurer de l'absence d'une sténose et de l'absence d'origine néoplasique des lésions ulcéreuses. Malnutrition protéino-énergétique grave. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes à répétition, dernière deux chutes avec traumatisme crânien le 11.07.2017 : • Facteurs de risque de chute : • syndrome de dépendance à l'alcool • polymédication • hypotension orthostatique • malnutrition • prothèse totale de la hanche gauche, ostéosynthèse par clou Gamma long d'une fracture de la diaphyse fémorale droite • anémie • contexte inflammatoire • troubles visuels • troubles auditifs. Lésion de 2.5 cm dans la partie moyenne du rein gauche, d'origine indéterminée. Syndrome de dépendance à l'alcool. Becozyme/Benerva. Seresta fixe et en réserve selon le score CIWA. Sevrage entamé le 20.12.2018 et complété le 22.12.2018. Consilium psy le 18.12 : proposition de continuer le sevrage de Seresta en diminution progressive + d'Haldol en R si agitation. Syndrome démentiel, d'origine probablement mixte. CT cérébral du 17.12.18 : atrophie marquée, avec de larges plages hypodenses dans la substance blanche bilatérale correspondant à de la leuco-araïose. MOCA test le 19.12.2018 : 15 points (sur un maximum de 26 points car dessin de cube et horloge refusés). Bilan neuropsychologique à prévoir en ambulatoire. Insuffisance rénale chronique de stade 3 selon KDIGO sur glomérulonéphrite membraneuse de stade 2 avec lésion de hyalinose segmentaire et focale • clearance selon Cockroft-Gault à 50ml/min • suivi par Dr. X Insuffisance rénale chronique d'origine hypertensive et diabétique acutisé post-coronarographie Insuffisance rénale chronique d'origine indéterminée (dernière créatinine 56umol/l, protéine/créatinine urinaire 0.060g/mmol en juin 2018) suivi à l'Inselspital 1x/an Retard de croissance staturo-pondéral Insuffisance rénale chronique d'origine probablement rénale 18.01.2019 DD : néphropathie diabétique, hypertensive, mixte Insuffisance rénale chronique d'origine rénale le 09.01.2019 • FE urée à 40% • Baseline créatinine 145 mmol/l • exclusion d'une insuffisance post-rénale Insuffisance rénale chronique G2 selon KDIGO Insuffisance rénale chronique G2 selon KDIGO d'origine indéterminée Insuffisance rénale chronique G3 selon KDIGO • Créatinine 82umol/l, EGFR Cockroft 36ml/min, MDRD 60ml/min Insuffisance rénale chronique G3 selon KDIGO • Créatinine 82umol/l, EGFR Cockroft 36ml/min, MDRD 60ml/min FA sous Xarelto Insuffisance rénale chronique G3 • S/p insuffisance rénale aiguë AKIN I, d'origine pré-rénale sur pertes digestives le 26.12.2018 Insuffisance rénale chronique G3a avec rein unique Insuffisance rénale chronique G3b A2 sur probable glomérulosclérose secondaire au syndrome métabolique Cardiopathie d'origine indéterminée avec FEVG à 50% Syndrome métabolique avec : • HTA • Surpoids (BMI:27.5kg/m2) • DMT2 insulino-dépendant Hyperuricémie Dyslipidémie Insuffisance rénale chronique G3bAx KDIGO d'origine X • eGFR (CKD-EPI) le 21.01.2019: 43 ml/min Insuffisance rénale chronique G3bAx KDIGO sur probable néphropathie hypertensive • eGFR (CKD-EPI) le 21.01.2019 : 43 ml/min Insuffisance rénale chronique G3b4A2 sur néphropathie vasculaire et interstitielle chronique • néphroangiosclérose avec 20% sclérose glomérulaire (biopsie rénale du 20.08.2018) Syndrome métabolique avec : • diabète de type 2 insulino traité • dyslipidémie mixte • obésité • hypertension artérielle • Probable NASH SAOS appareillé BPCO stade IV selon Gold sur tabagisme, suivie par Dr. X Lombosciatalgie chronique Hyperuricémie Insuffisance rénale chronique G3b4A2 sur néphropathie vasculaire et interstitielle chronique Syndrome métabolique avec : • diabète type 2 insulino traité • dyslipidémie • obésité • HTA • Probable NASH SAOS appareillé BPCO stade IV selon Gold sur tabagisme, suivie par Dr. X Lombosciatalgie chronique Hyperuricémie Insuffisance rénale chronique KDIGO stade IV le 02.01.2019 • Echo-doppler des artères rénales le 07.09.2018 : néphroangiosclérose débutante d'origine hypertensive probable, pas d'argument pour sténose aux départs des art. rénales vu temps d'accélération dans les normes Insuffisance rénale chronique KDIGO stade IV le 02.01.2019 • Echo-doppler des artères rénales le 07.09.2018 : néphroangiosclérose débutante d'origine hypertensive probable, pas d'argument pour sténose aux départs des art. rénales vu temps d'accélération dans les normes Insuffisance rénale chronique KDIGO 3 Insuffisance rénale chronique légère à modérée stade G3a • eGFR selon CKD-EPI: 57.3 mL/min/1.73m² (le 05.12.2018) Insuffisance rénale chronique • Lentement progressive depuis 2013 • GFR 51ml/min/173m^2 selon MDRD / 64ml/min selon Cockroft • Protéinurie sur 24h : 0.5g < HTA < Connectivite (lupique?) de chevauchement Insuffisance rénale chronique modérée à sévère Stade G3b • s/p insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN I le 19.01.2017eGFR selon CKD-EPI: 44.1 mL/min/1.73m² (le 19.12.2018) Insuffisance rénale chronique modérée stade G3b • eGFR selon CKD-EPI: 39.4 mL/min/1.73m² (le 11.01.2019) • S/p acutisation AKIN I d'une insuffisance rénale chronique le 12.12.2018 DD: médicamenteux (Torasémide) / déshydratation Insuffisance rénale chronique sévère G3b-G4 d'origine mixte (obstructive sur progression d'un adénocarcinome prostatique, hypertensive, diabétique) • eGFR selon CKD-EPI 28ml/min le 19.12.2018 • Acidose métabolique, à trou anionique normal • Anémie arégénérative hypochrome normocytaire • Hypovitaminose D3 10nmol/L le 22.10.2018 • Hyperparathyroïdie secondaire • s/p Insuffisance rénale aiguë AKIN III sur chronique d'origine mixte probable, le 10.10.2018 • Suivi fait par le médecin traitant (Dr. X) Insuffisance rénale chronique sévère (obstructive sur progression d'un adénocarcinome prostatique, hypertensive, diabétique) • eGFR selon CKD-EPI 28 ml/min Insuffisance rénale chronique stable probablement sur néphropathie hypertensive (créatinine habituelle 207 en 03/2018) Anémie normochrome normocytaire arégénérative connue de longue date probablement sur IRC Hypertension artérielle traitée avec pics hypertensifs Trouble anxieux avec nombreuses crises d'angoisse Éruption cutanée type eczéma d'origine indéterminée Insuffisance rénale chronique, stade __ le 02.01.2018 sur: • probablement sur néphropathie hypertensive • Suivi par Dr. X Insuffisance rénale chronique stade G2 Insuffisance rénale chronique stade G2 • DFG selon CKD-EPI 75.5 ml/min le 10.12.2018 Insuffisance rénale chronique stade G2 • eGFR selon CDI-EPI 69ml/min le 20.12.2018 Insuffisance rénale chronique stade G2 • GFR selon CKD EPI 64.1 ml/min/1.73m² le 28.09.2017 Hypercholestérolémie Tabagisme actif HTA Ostéoporose Troubles de la marche d'origine multifactorielle Insuffisance rénale chronique stade G3a, clearance selon CKD-EPI 53 mL/min le 29.11.2018 Probable démence d'origine indéterminée • MMSE: 12/27; Horloge 0/6 (tests limités par les troubles de la vision) GDS 2/15 le 21.11.2018 • Bilan neuropsychologique le 18.12.2014: troubles neuropsychologiques modérés avec déficits mnésiques sémantiques et troubles des fonctions exécutives Insuffisance rénale chronique stade G3b Insuffisance rénale chronique stade G4 sur hydronéphrose chronique, avec: • probable néphropathie obstructive avec hyalinose segmentaire et focale secondaire • sonde vésicale à demeure pour rétentions urinaires à répétition depuis le 20.04.2016 (changée le 02.01.2019) • sondes double-J bilatérales depuis le 13.09.2017 pour hydronéphrose chronique sur fibrose rétro-péritonéale (changées le 01.10.2018) • s/p pyélonéphrite G à E. coli (multiS) et E. faecalis traitée par Pipéracilline-Tazobactam en 10/2018 • s/p IRA AKIN3 d'origine postrénale sur globe vésical avec hyperK 7.2 mmol/l en 2016 • s/p TURV pour hématuries sévères sur lésions post-radiques en 2016 • CT thorax/abdomen le 22.01.2019: sondes double-J en position correcte, sans dilatation des voies urinaires, majoration de l'atrophie rénale ddc, pas de changement des kystes rénaux à droite Insuffisance rénale chronique stade I Insuffisance rénale chronique stade I selon KDIGO sur néphropathie hypertensive probable DD pathologie parenchyme rénal • eGFR CKD-EPI: 100.9 ml/min/1.72 mm² le 26.12.2018 Insuffisance rénale chronique stade III avec atrophie rénale gauche • créatinine à 128 umol/l (133 en 03/2017) • GFR estimé à 43 ml/min/1.73 m² Hémorroïdes internes (coloscopie du 16.11.2011) Diverticulose colique étendue Crises d'arthrite depuis 2009, probable goutte (MTP1 droite; genou droit) Pyrosis chronique Nodule asymptomatique au niveau de la vallécule gauche • Découverte fortuite au CT cervical du 23.05.2017 Coxarthrose des deux hanches débutante à modérée (RX bassin 29.08.2017). Hernie discale L4-L5 et L5-S1. Insuffisance rénale chronique stade IIIB avec IRA AKIN I le 19.01.19 • sonde vésicale pour globe à répétition depuis 2014 • dialyse durant 1 an terminée en janvier 2016 suite à la chirurgie abdominale. • ClCr 38mL/min Insuffisance rénale chronique stade III GFR selon CKD EPI 45 ml/min (20.1.2019) Tabagisme 60 UPA HTA traitée Dyslipidémie traitée Stéatose hépatique d'origine probablement alcoolique CT thoraco-abdominal le 05.02.2018: hémangiome connu au foie gauche Hémorroïdes internes Stade 1 DCIS du sein gauche pTis, G3-2, pN0, cM0 2010 • Tumorectomie, ganglion sentinelle, radiothérapie 50Gy • Femara de 2010 au 2017 • suivi par Dr. X Insuffisance rénale chronique stade IV avec hydronéphrose chronique sur fibrose rétro-péritonéale • Sonde urinaire à demeure et sondes double J bilatérales (changées le 13.08.2018) • ATCD • IRA avec AKIN III le 07.02.2016, d'origine post-rénale sur globe vésical avec: hyperkaliémie à 7.2 mmol/l, acidose métabolique avec pH à 7.33, suspicion de masse vésicale (DD: caillot) • Pyélonéphrite gauche le 10.10.2018 sur E. coli multisensible et Enterococcus faecalis, traitée par pipéracilline-Tazobactam du 10.10.2018 au 13.10.2018 • Uricult le 23.10.2018: E. Coli et Enterococcus faecalis; Clinique asymptomatique: traitement non indiqué • Acutisation de l'IRC, sans critère AKIN sur migration de la sonde double J à droite le 26.10.2018, avec une Cockroft à 22mL/min le 26.10.2018 et une FeU à 55% Insuffisance rénale chronique stade IV selon KDIGO avec une créatininémie à 127 µmol/l le 07.01.2018 • clairance de la créatinine calculée selon Cockcroft-Gault à 20 ml/min. Insuffisance rénale chronique stade 2 Insuffisance rénale chronique stade 3a à 3b selon KDIGO légèrement acutisé • clairance estimée selon Cockcroft-Gault: 41 ml/min Insuffisance rénale chronique stade 3a acutisée AKIN 1 avec: • Clairance de la créatinine estimée selon Cockcroft-Gault à 56 ml/min à la sortie Insuffisance rénale chronique stade 3a selon KDIGO avec: • créatinine à 98 umol/l • clairance de la créatinine à 46 ml/min. Insuffisance rénale chronique stade 3b selon KDIGO (août 2018) acutisée AKIN 1 avec: • créatininémie à 146 µmol/l • clairance à l'admission estimée à 29 ml/min (21.12.2018). Insuffisance rénale chronique stade 3b selon KDIGO avec: • Clairance de la créatinine estimée selon Cockcroft-Gault à 31 ml/min le 15.11.2018 Insuffisance rénale chronique stade 4 selon KDIGO acutisée AKIN 2 d'origine prérénale avec: • Créatininémie à 97µmol/l • Clairance de la créatinine estimée selon Cockcroft-Gault à 49.9ml/min le 21.12.2018 (habituelle entre 25ml/min et 29ml/min) Insuffisance rénale chronique sur néphroangiosclérose hypertensive Insuffisance rénale chronique sur néphroangiosclérose hypertensive et néphropathie diabétique • eGFR 30ml/min selon MDRD le 07.01.2019 • FEurée 40.5% le 08.01.2019 Insuffisance rénale chronique sur probable néphropathie diabétique et hypertensive Cardiopathie hypertensive, rythmique et pulmonaire sur: • Fibrillation auriculaire • Hypertension artérielle pulmonaire sévère • Fraction d'éjection ventriculaire gauche conservée en 12.2017 Diabète de type 2 insulino-requérant: Hémoglobine glyquée à 10.3% en octobre 2016 • Rétinopathie diabétique Sinusite polypoïdale chronique maxillaire bilatérale à prédominance gauche, asymptomatique Obésité Surdité appareillée bilatérale Tremblement essentiel Hypotension orthostatique Troubles anxio-dépressifs Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec déconditionnement global Myélome multiple à chaînes légères lambda stade ISS IIIB, avec infiltration diffuse (supérieure à 90%) du tissu hématopoïétique Toxidermie médicamenteuse avec DRESS le 12.11.2018 Insuffisance rénale chronique sur probable néphropathie hypertensive, stable, le 31.01.2019 • Clearance selon MDRD : 47.2 mL/min/1.73 m² le 31.01.2019 Insuffisance rénale chronique terminale (Cockroft-Gault : 18 ml/min le 09.11.2017) sur néphropathie diabétique et hypertensive et prise chronique d'anti-inflammatoire non-stéroïdien, avec : • anémie rénale • hyperparathyroïdie secondaire • hyperkaliémie contrôlée par Sorbisterit • thrombectomie de la fistule artério-veineuse, le 06.06.2016 • diurèse de 800 ml, en avril 2016 de 400 ml en 2018 • hémodialyse chronique intermittente dès le 07/2015 • thrombectomie de la fistule artério-veineuse et patch d'élargissement bovin sur une anastomose artérielle et veineuse, le 28.10.2015 • thrombose de la fistule artério-veineuse radio-céphalique prothétique au membre supérieur droit, le 10.04.2017 (5ème récidive). Antiagrégation par Plavix • pose de Permacath à droite, le 10.04.2017, actuellement souvent obstrué Dialyse 3x/semaine (lundi, mercredi, vendredi) Cardiopathie mixte ischémique et hypertensive Maladie coronarienne tritronculaire • Occlusion intrastent de la RCX en octobre 2018 • Sténose 80% bifurcation RCx/MA • Lésion 50-60% de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation) • Lésion intermédiaire de l'artère coronaire droite moyenne • Fonction VG systolique 48% Coronarographie le 26.10.2018 : recanalisation occlusion intrastent de la RCx, stent actif à la bifurcation RCx/MA avec bon résultat immédiat Pseudo-anévrysme de l'artère fémorale commune droite iatrogène après la coronarographie le 10.04.2018 avec : • hématome cutané important de la cuisse droite • douleur inguinale le 12.04.2018 Hypertension artérielle Diabète Mellitus de type II avec : • polyneuropathie sensitivo-motrice des membres inférieurs, de type axonal Artériopathie oblitérante des membres inférieurs de stade IIa le 26.01.2015, avec : • lésions sévères des artères jambières avec une occlusion des artères tibiales postérieures des 2 côtés • infiltration des iliaques avec une sténose iliaque externe droite à 50% • ulcère malléole interne du membre inférieur droit Status post-accident vasculaire cérébral, en 1992, avec : • hémiparésie faciale gauche résiduelle • lagophtalmie avec dégénérescence cornéenne gauche • vertiges chroniques • hypoesthésie résiduelle du bras gauche • Occlusion chronique de la carotide interne gauche, avec status post-thromboendarectomie et plastie de l'artère carotide interne droite Anémie macrocytaire régénérative d'origine probablement mixte : rénale, inflammatoire, ferriprive, carence en vitamine B12 +/- syndrome myélodysplasique débutant sous-jacent Diverticulose colique Hernie hiatale Insuffisance rénale chronique terminale stade V probablement d'origine glomérulaire sur HSF (Maladie de reflux à diurèse conservée) Insuffisance rénale chronique terminale sur polykystose hépato-rénale familiale • Hypocalcémie • Hyperphosphatémie • Acidose métabolique • Anémie normochrome normocytaire (décembre 2016) • Confection d'une fistule radio-céphalique selon Cimino-Brescia le 15.12.2016 Cardiopathie hypertensive avec : • Echocardiographie normale en décembre 2015 Obésité morbide avec un poids actuel à 157 kg (BMI 51 kg/M²) Hypertension artérielle traitée (Belok Zok), contrôlée Diabète de type II traité, bien contrôlé Maladie goutteuse actuellement non traitée Suspicion de syndrome des apnées du sommeil Notion d'asthme allergique au pollen, avec : • Crise d'asthme sévère le 07.12.2016 • 340 l/min au Peak Flow (prédit à 590 l/min - 57% du prédit) Insuffisance rénale chronique Cardiopathie hypertensive et ischémique : • ventricule G non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (écho-coeur 08.2015) • stent sur l'IVA moyenne • fonctions systoliques globale et régionale du ventricule G conservées (FE : 70%). Hypercholestérolémie traitée Etat dépressif traité par Citalopram Tabagisme actif Ethylisme chronique Insuffisance rénale d'allure chronique aigue AKIN 1 (clairance selon Cockroft à 30 ml/min/m2) DD : • injection de produit de contraste • sténose artère rénale gauche Insuffisance rénale d'allure chronique d'origine indéterminée • Creatinine 127 mcmol/l le 24.01.2019, GFR selon CKD-EPI 32.4 mL/min/1.73 m² Insuffisance rénale de dynamique peu claire, DD insuffisance rénale aiguë sur chronique Insuffisance rénale de progression inconnue, probablement chronique KDIGO G3, avec : • Diagnostic différentiel : aiguë sur chronique • Fraction d'excrétion de l'urée à 28% : pré-rénale • eGFR CKD-EPI : 43 ml/min/1.73 m² • Créatinine à 111 µmol/l le 23.12.2018 Insuffisance rénale d'origine inconnue Creat : 166 µmol/L, Urée : 26.7 GF selon CKI EPI : 22 ml/min Stix et sédiment en cours Insuffisance rénale d'origine mixte avec créat à 109 mcmol/l GFR (Cockroft) 50 ml/min FE urée à 47% Insuffisance rénale d'origine pré-rénale. • Clairance de la Créatinine selon Cockcroft à 52 mL/min. Insuffisance rénale d'origine rénale le 09.01.2019 probablement chronique • FE urée à 40% Insuffisance rénale KIDGO G4 Syndrome métabolique : hypertension artérielle, obésité de stade I Thrombocytémie essentielle Gastrite chronique Hypertrophie bénigne de la prostate Notion d'ostéoporose (pas d'ostéodensitométrie effectuée), traitement par biphosphonates en 2012 Hernie inguinale bilatérale Eczéma subaigu avec lésion de grattage sans signe de surinfection, xérose cutanée, prurit et zone chroniquement érosive Synovite symétrique séronégative résolutive avec œdèmes prenant le godet (RS3PE) sous Méthotrexate depuis 2017 - RS3PE sous Methotrexate (actuellement mis en suspend au vu de la créatinine depuis quelques mois avant 07.2018) BPCO (non stadée, patient non fumeur ?) Inflammation cutanée péri stomiale et abdominale chronique Goutte sous Allopurinol Lombalgie non déficitaire Insuffisance rénale KIDGO G4 Syndrome métabolique : hypertension artérielle, obésité de stade I Thrombocytémie essentielle Gastrite chronique Hypertrophie bénigne de la prostate Notion d'ostéoporose (pas d'ostéodensitométrie effectuée), traitement par biphosphonates en 2012 Hernie inguinale bilatérale Eczéma subaigu avec lésion de grattage sans signe de surinfection, xérose cutanée, prurit et zone chroniquement érosive Synovite symétrique séronégative résolutive avec oedèmes prenant le godet (RS3PE) sous Méthotrexate depuis 2017 • RS3PE sous Méthotrexate (actuellement mis en suspend au vu de la créatinine depuis quelques mois avant 07.2018) • BPCO (non stadée, patient non fumeur?) • Inflammation cutanée péristomiale et abdominale chronique • Goutte sous Allopurinol • Lombalgie non déficitaire Insuffisance rénale légère avec clairance de la créatinine à 69 ml/min selon MDRD. Insuffisance rénale légère avec estimation selon formule de Cockroft le 17.12.2018 : • Créatinine 138 micromol/L le 17.12.2018 Insuffisance rénale médicamenteuse à 109 mcmol/l. Insuffisance rénale prérénale avec créatinine à 100 mcmol/l FE Na : 0.76% GFR selon Cockroft : 39 ml/min Insuffisance rénale probablement aiguë d'origine prérénale avec une créatininémie à 131 µmol/l le 26.12.2019 • DD sur administration de produit de contraste Insuffisance rénale sans critère AKIN aiguë sur chronique le 12.01.2019 • d'origine pré-rénale (fraction excretion de l'urée à 28%) sur pertes digestives probables • GFR selon Cockroft-Gault calculée à 43 ml/min • acidose métabolique avec compensation respiratoire Insuffisance rénale stade G2 MDRD le 24.12.2018 : 75.8 ml/min/1.73m2 Insuffisance rénale stade 3 Insuffisance rénale terminale à diurèse conservée sur glomérulonéphrite extra capillaire pauci-immune, avec élévation des p-ANCA et probable polyangéite microscopique • en hémodialyse depuis le 20.02.2007 Insuffisance rénale terminale avec troubles électrolytiques le 27.12.2018 avec : • Créatinine 528, GFR selon CKD-EPI 7.5 ml/min • Hypercalcémie 2.6 mmol/L • Hypernatrémie 147 mmol/L Insuffisance rénale terminale dialysée 3x/semaine avec syndrome néphrétique sur glomérulonéphrite extra-capillaire avec dépôts de complexes immuns C1q compatible et une néphrite lupique stade IV (bilan immunologique négatif) Cardiopathie hypertensive et dysrythmique, FEVG conservée Rétinopathie hypertensive (2009) Hypercholestérolémie Anémie hyporégénérative normocytaire normochrome Insuffisance rénale terminale, d'origine diabétique avec : • hémodialyse dès le 15.12.17 (ma-jeudi-sam) • Permacath D le 13.12.17 • syndrome néphrotique (suivi par Dr. X) Insuffisance rénale terminale d'origine mixte sur néphroangiosclérose hypertensive et néphropathie diabétique et atteinte aiguë sur suspicion de glomérulonéphrite paranéoplasique dans contexte de néoplasie rénale probable avec : • Absence de biopsie • Résection du pôle inférieur du rein droit pour un adénome rénal (05/2001) • Dialyse intermittente chronique depuis le 28.11.2018 (Dr. X, HFR Fribourg) • Hémodialyse 3x/semaine (mardi, jeudi, samedi) Insuffisance rénale terminale d'origine multifactorielle sur néphropathie diabétique et probable néphrite interstitielle chronique et dilatation pyélocalicielle : • Dialyses depuis le 03.02.2017 : 3x/semaine • FAV boucle omniflow MSG 21.03.2017 (Dr. X), reprise le 24.04.2017 dans le cadre d'une occlusion par thrombus ; nouvelle thrombose le 25.04.2017 ; inutilisable selon phlébographie du 23.05.2017, car flux extrêmement faible au niveau des veines du bras gauche • KT permanent droit le 01.06.2017 • Complications : acidose métabolique, anémie normochrome normocytaire • Suivi par Dr. X Insuffisance rénale terminale d'origine rénale aiguë sur chronique avec hyperphosphatémie • encéphalopathie urémique 65.8 mmol/l • Créatinine 647 mmol/l, eGFR <5 ml/min/m2, Urée >68.4 mmol/l Insuffisance rénale terminale KDIGO G5 sur granulomatose avec polyangéite (M. Wegener) : • Patient greffé rénal 1986 à droite puis 1999 à gauche, sous trithérapie immuno-suppresseurs • Actuellement : rejet chronique du greffon • Suivi néphrologique (Dr. X) Insuffisance rénale terminale sur toxicité chronique et aiguë de Ciclosporine avec fibrose de 50 % et sclérose glomérulaire • status post-allogreffe rénale en 1988 pour glomérulonéphrite chronique sclérosante • dialyse depuis le 17.05.2011 • status post-reconfection d'une fistule artério-veineuse du membre supérieur gauche par une boucle prothétique (Omniflow) Cardiopathie ischémique, dysrythmique, hypertensive et valvulaire : • maladie coronarienne monotronculaire avec NSTEMI le 30.03.2013 sur sténose subtotale de l'artère interventriculaire antérieure proximale (implantation d'un stent actif) • sténose aortique sévère (0.65 cm2 12.2015, 0.56 cm2 02.2016) d'origine dégénérative fibrillation auriculaire paroxystique sur NSTEMI le 30.03.2013 avec cardioversion par Cordarone Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Arthrite goutteuse. Hypertension intracrânienne asymptomatique idiopathique (pseudo-tumeur cérébrale) d'origine multifactorielle. Oedème papillaire des deux côtés, stable depuis 08.1999. Hernie hiatale avec suspicion de sténose du cardia le 28.03.2013. Lésions complexes de l'épaule droite avec : • rupture ancienne de la coiffe des rotateurs • omarthrose sévère, en progression • possible nécrose de la tête humérale Insuffisance respiratoire aiguë avec acidose métabolique lactique sur probable décharge septique le 22.01.2019 Insuffisance respiratoire aiguë avec ventilation mécanique 15.07. - 20.07.2013 (unité de soins intensifs, HFR Freiburg) Infarctus sub-aigu des ganglions de la base laissés sous aspirine 29.06.13 • Neurodoppler 03.07.13 (Inselspital Bern) : Pas de sténose pertinente • Holter-ECG 02.07.13 : rythme sinusal normocarous, absence de fibrillation auriculaire Chute domiciliaire le 29.08.13 avec fracture du métacarpien 5, retrait distal, compression de la plaie au front et à la lèvre supérieure gauche Cholécystite le 14.07.13 avec insertion de stent endoscopique Hémicolectomie dans la diverticulite perforée 2009 Appendicectomie 1969 Hyponatrémie symptomatique, DD i.R. un traitement diurétique • Laboratoire 30.11.2014 : Na 120 mmol / l, K 4,1 mmol / l, CRP <5 mg / l, Lc 7,5 G / l, créatinine 74 µmol / l • CT Skull 30.11.2014 : Pas de saignement, pas d'ischémie fraîche. • Statut après dysélectrolémie (Na 127 mmol / l, K 3 mmol / l) 08/2014 en thérapie diurétique / vomissements chroniques NaCl i.v. 30.11. - 09.12.2014, capsules de NaCl 3 x 500 mg à partir de 03.12.2014 Cardiopathie hypertensive • Fibrillation auriculaire en choc septique le 15.07.2013 • Échocardiographie 23.07.2013 : FEVG 75%, hypertrophie concentrique gauche, valve aortique discrète, insuffisance mitrale degré 0-1, bonne fonction ventriculaire droite Développement de la démence • Antécédents de la maladie de Parkinson • Statut après atteinte cérébrovasculaire subaiguë des noyaux gris centraux (29.06.2013) • MoCA 07.08.2013 : 12/30 Insuffisance rénale chronique stade III • 01.12.2014 : créatinine à 57 µmol / l, clairance de la créatinine après Cockcroft 46 / min Hépatopathie d'étiologie incertaine • 30.11.2014 : ASAT 54 U / l, ALAT 57 U / l, GGT 212 U / l • 01.12.2014 : Ferritine 593 µg / l, saturation en transferrine 46% Insuffisance respiratoire aiguë dans un contexte de BPCO stade IV D selon GOLD sur tabagisme ancien à 60 UPA + inhalation professionnelle avec/sur : • Insuffisance respiratoire partielle sévère sous oxygénothérapie à domicile (6 lt/min) • Troubles sévères de la diffusion • Portage de P. aeruginosa et exacerbations itératives (sous Azithromycine) • Déficit en alpha-1-anti-trypsine • Status post réduction de volume pulmonaire LIG et résection wedge de 2 bulles du LSG (Dr. X, le 12.03.2015) • Projet de transplantation pulmonaire, patient sur liste depuis 21 mois • Consultation du 20.06.2018 - Dr. Yersin, pneumologue CHUV : le patient est sur liste d'attente pour transplantation pulmonaire, proposition de réitérer des fonctions pulmonaires complètes et le scanner thoracique • Coeur pulmonaire chronique avec PAP à 46 mmHg à l'US cardiaque • Score CAT : 28 Réadaptation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort par intervalle sous VNI (6/9) Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2x/J du 24.09. au 22.10.2018 Corticothérapie avec Prednisone 25 mg du 24.09. au 31.10.2018 Schéma régressif avec : 20 mg 1x/j du 31.10 au 20.11.2018 15 mg 1x/j du 20.11 au 12.12.2018 10 mg 1x/j du 12.12.2018 au 05.01.2019 5 mg 1x/j du 05.01 au 02.02.2019 2.5 mg 1x/2 jours du 02.02. au 16.02.2019 Insuffisance respiratoire aiguë globale d'origine multifactorielle le 27.12.2018 • décompensation cardiaque gauche • pneumonie nosocomiale le 27.12.2018 Insuffisance respiratoire aiguë globale d'origine probablement médicamenteuse (benzodiazépines et opiacés) chez un patient connu pour BPCO et probable syndrome d'hypoventilation-obésité. Insuffisance respiratoire aiguë globale hypercapnique post-opératoire le 18.01.2019 • syndrome restrictif sur lobectomie supérieure gauche et lésion du nerf phrénique gauche • douleurs péri-opératoires Insuffisance respiratoire aiguë globale le 19.01.2019 • Décompensation BPCO non stadée • Corps étranger lobe inférieur gauche avec surinfection bactérienne Insuffisance respiratoire aiguë globale sur BPCO stade 4 décompensée le 03.01.2019 : • critères d'Anthonisen 3/3 • foyer pulmonaire en base droite Insuffisance respiratoire aiguë globale sur bronchite asthmatiforme d'origine virale le 29.12.2018 • PCR : RSV positif Insuffisance respiratoire aiguë globale sur exacerbation de BPCO d'origine indéterminée le 15.01.2019 : • critères d'Anthonisen : 1/3 Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique d'origine mixte le 14.01.2019 • exacerbation BPCO dans contexte de probable virose • décompensation cardiaque gauche secondaire Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique hypercapnique mixte le 11.01.2019 • intoxication aiguë à l'héroïne et benzodiazépines • bronchopneumonie d'aspiration Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique plurifactorielle le 20.12.2018 • épanchements pleuraux bilatéraux le 17.12.2018 et 24.12.2018 • début d'un ARDS para-infectieux versus infiltrats bilatéraux. Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique post-opératoire d'origine multifactorielle le 15.01.2019 • atélectase basale gauche • embolie pulmonaire segmentaire lobe moyen droit Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sévère multifactorielle : • Pneumopathie d'inhalation • Décompensation cardiaque • Épanchement pleural gauche Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur atélectasies et pneumonie bibasale le 28.12.2018. Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur pneumonie basale gauche le 25.01.2019 Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur pneumonie bilatérale à germe indéterminé le 05.01.2019 Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur pneumonie bilatérale le 05.01.2019 Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur pneumopathie d'inhalation et atélectasies bilatérales le 24.12.2018 : Insuffisance respiratoire aiguë le 12.01.2019 • dans un contexte de bronchite virale asthmatiforme Insuffisance respiratoire aiguë le 27.01.2019. Insuffisance respiratoire aiguë le 27.01.2019 • Pneumothorax gauche le 25.01.2019 sur fractures costales des arcs latéraux 3-6ème à gauche • Probable composante de surcharge cardiaque Insuffisance respiratoire aiguë partielle avec bronchite asthmatiforme sur grippe le 12.01.2019 Insuffisance respiratoire aiguë partielle sur oedème pulmonaire aiguë le 20.09.2018 probablement secondaire à un pic hypertensif Insuffisance respiratoire aiguë sur ARDS dans le cadre du syndrome hémato-phagocytaire Insuffisance respiratoire aiguë sur décompensation cardiaque le 27.12.2018 • sur pic hypertensif et fibrillation auriculaire rapide • avec épanchement pleural gauche Insuffisance respiratoire aiguë sur pneumonie aiguë du lobe supérieur droit le 05.01.19 Insuffisance respiratoire aiguë sur pneumonie de broncho-aspiration le 10.12.2018 Insuffisance respiratoire aiguë sur pneumonie de broncho-aspiration le 10.12.2018 : Insuffisance respiratoire aiguë sur probable pneumonie le 04.12.2018 Dans un contexte d'adénocarcinome pulmonaire du lobe supérieur droit pT1a pN0 (0/2) L1 V0 Pn0 G3 R0 Actuellement sous immunothérapie par Pembrolizumab avec dernière dose le 27.12.2018 DD : OAP sur pic hypertensif • Insuffisance respiratoire dans le contexte de bronchite spastique en novembre 2015 (2ème épisode) • Pneumonie basale droite en novembre 2015 • Insuffisance respiratoire sur bronchiolite hospitalisation du 6.3.2015 au 7.3.2015 • SDR sur MMH avec CPAP et oxygène dès le 22.07, intubation 22.07 au 24.07.2014, High flow du 24.07 au 25.07.2014 • Pneumothorax ddc le 22.07.2014 (transfert à Berne), drainage thoracique droit du 22.07 au 24.07.2014 et ponction thoracale le 23.07.2014 ddc • Insuffisance respiratoire dans le contexte d'une bronchite spastique. • Insuffisance respiratoire dans le contexte d'une bronchite spastique péri-infectieuse • Insuffisance respiratoire dans un contexte de bronchiolite à RSV • Insuffisance respiratoire dans un contexte de bronchiolite à RSV • Insuffisance respiratoire dans un contexte de bronchite obstructive modérée (PRAM 7), oxygénodépendante • Insuffisance respiratoire dans un contexte d'IVRS • Insuffisance respiratoire dans un contexte d'une bronchiolite modérée à RSV positif • Insuffisance respiratoire de type 1 le 24.12.2018 DD EP, maladie pulmonaire sous-jacente, infection, décompensation cardiaque, déshydratation sur traitement diurétique • Insuffisance respiratoire et troubles alimentaires dans le contexte d'une bronchiolite • Insuffisance respiratoire globale. • Insuffisance respiratoire globale aiguë sur décompensation cardiaque avec rétention de CO2 • BPCO stade IV (classe D) selon GOLD, suivie par le Dr. X • Exacerbations en 12.2014, 03.2015, 10.2016, 02.2017, 08.2017, 15.01.19 • Ancien tabagisme à 40 UPA, stoppé en 2014 • Oxygénothérapie à domicile (1.5 L le jour et 2 L la nuit) et VNI nocturne (IPAP 15, EPAP 5, FR 10) • Fonctions pulmonaires du 10.10.2018 : VEMS = 23% du prédit, absence de trouble ventilatoire restrictif. Capacité de diffusion du CO sévèrement diminuée (12% du prédit • Insuffisance respiratoire globale aiguë plurifactorielle réfractaire le 04.01.2019 • Exacerbation de BPCO stade III • Bronchopneumonie à germe indéterminé • Adénocarcinome pulmonaire du lobe supérieur droit terminal sous immunothérapie de Pembrolizumab • Cachexie et déconditionnement majeur • Insuffisance respiratoire globale aiguë sur : • exacerbation de BPCO stade IV avec oxygénothérapie à domicile (0.75-1.5L/min 24h/24) • Insuffisance respiratoire globale aiguë sur : • exacerbation de BPCO stade IV avec oxygénothérapie à domicile (2L/min 24h/24) • masse pulmonaire basale droite • Insuffisance respiratoire globale aiguë sur décompensation BPCO dans le contexte d'infection virale à RSV le 21.01.2019 • 4ème décompensation BPCO en 6 mois • Insuffisance respiratoire globale aiguë sur décompensation BPCO d'origine infectieuse le 11.01.2019 • Insuffisance respiratoire globale aiguë sur décompensation BPCO virale dans un contexte de ACOS syndrome avec BPCO stade IV D selon Gold • rétention de CO2 à 8.5 à l'admission • Insuffisance respiratoire globale aiguë sur exacerbation de COPD dans le contexte de grippe Influenza A le 26.01.2019, avec : • critère d'Anthonisen 1/3 (augmentation dyspnée) • sous Céfuroxime pour une pneumonie diagnostiquée par le médecin traitant le 22.01.2019 • acidose respiratoire • Insuffisance respiratoire globale aiguë sur Influenza A le 26.01.2019 : • Syndrome obésité-hypoventilation • Broncho-aspiration • Insuffisance respiratoire globale aiguë sur une exacerbation BPCO probablement d'origine infectieuse le 31.12.2018 • critère d'Anthonisen à 2/3 le 31.12.2018 • Insuffisance respiratoire globale aiguë sur une exacerbation BPCO stade GOLD II d'origine infectieuse à Branhamella Catarrhalis le 31.12.2018 (Critère d'Anthonisen à 2/3) • Oxygénothérapie à domicile : 1 l/min - 15 h/jour • Multiples exacerbations BPCO : 31.07.2018 (SI), 14.09.2018 (SI), 25.09.2018, 10.12.2018 • Suivi par Dr. X • Insuffisance respiratoire globale chronique sur • syndrome d'apnées/hypopnées obstructif du sommeil de degré sévère • syndrome d'hypoventilation/obésité • Polygraphie nocturne diagnostique 07/2016 : IAH 56.5/H, IDO 89.2/H, SpO2 moyenne 84.3% • Capnographie diagnostique 07/2016 : PCO2 moyenne 6.5 kPa, PCO2 max 7.87 kPa, SpO2 moyenne 84.7 • Échec de mise sous VNI en 07/2016 en raison d'un inconfort gastrique présenté par la patiente • Compromis de mise sous CPAP avec oxygénothérapie nocturne lors d'un séjour de réhabilitation à Billens 08/2016 • Mise sous VNI sous 1 l/min O2 le 02/2018 : échec d'enregistrement de la polygraphie (câble déconnecté), mais IAH résiduel sur ResScan à 5.3/h. PCO2 moyenne de 7.5 pour une SpO2 moyenne nocturne de 92% • Polygraphie 05/2018 : IAH 12.6/h, IDO 15.7/h, SpO2 moyenne 90.7% • Capnographie sous VNI sous 1 l/min O2 05/2018 : pCO2 moyenne 6.8 kPa, pCO2 max 7.1 kPa, SpO2 moyenne 93% • Insuffisance respiratoire globale dans le cadre de la BPCO sévère • Insuffisance respiratoire globale dans le cadre d'une sclérose latérale amyotrophique • Ancien tabagisme (30 UPA, arrêté en 2016) • Avec syndrome d'apnée/hypopnée du sommeil de degré très sévère de type mixte à prédominance obstructive • Fonctions pulmonaires complètes 10.2018 : trouble ventilatoire restrictif de degré modéré à sévère (VEMS à 54% du prédit), diminution significative des volumes dynamiques en position couchée (-15.1% de la FVC soit -320 ml, -18.3% du VEMS soit -350 ml), forces musculaires diminuées avec MEP à 28 % du prédit et MIP à 29 % du prédit, DLCOc modérément diminuée à 40% du prédit • Polygraphie diagnostique et capnographie 10.2018 : IAH 80/h mixte à prédominance obstructive, IDO 80/h, SpO2 moyenne 86 %, tcpCO2 moyenne 8 kPa, SpO2 moyenne 77 % • VNI dès 10.2018 : Stellar 150 mode ST, avec IPAP 18 cmH2O et EPAP 8 cmH2O sans oxygène • Actuellement : bonne compliance et tolérance, contrôle clinique, polygraphie et capnographie dans 6 mois. • Insuffisance respiratoire globale d'origine mixte avec : • Acidose respiratoire sur hypercapnie (PCO2 8.9 kPa) • pH 7.28 • BIC 31 mmol/L • décompensation cardiaque G>D • Insuffisance respiratoire globale hypercapnique post-opératoire le 18.01.2019 puis insuffisance respiratoire hypoxémique le 21.01.19 sur surcharge volémique • syndrome restrictif sur lobectomie supérieure gauche et lésion du nerf phrénique gauche • Insuffisance respiratoire globale le 17.01.2018 dans le contexte d'un BPCO décompensé avec : • hypercapnie avec pCO2 à 8.0 kPa, • Hypoxémie avec pO2 à 9.0 kPa • Insuffisance respiratoire globale le 25.12.2018 sur décompensation cardiaque d'origine rythmique probable et BPCO • NSTEMI exclu • Hospitalisation le 08.12.2018 pour décompensation cardiaque gauche sur FA rapide avec insuffisance respiratoire hypoxémique, épanchements pleuraux bilatéraux, Cor pulmonaire chronique (PAPs 50 mmHg) • Interrogation pacemaker (précédente hospitalisation) : FC principalement vers 80/mn, passage occasionnel à 150/mn • Insuffisance respiratoire globale sur décompensation de bronchopneumopathie chronique obstructive secondaire à une pneumonie à pneumocoque le 26.12.2012 • Tachycardie supraventriculaire à 140 battements par minute le 26.12.2012 • Insuffisance respiratoire globale sur exacerbation d'une BPCO avec composante asthmatique dans un contexte de surinfection probablement virale le 04.01.2019 : • avec 3/3 critères d'Anthonisen. • Frottis grippe et RSV négatif Insuffisance respiratoire globale sur un œdème aigu des poumons sur un pic hypertensif le 04.01.2019 • DD broncho-aspiration suite à la gastroscopie Insuffisance respiratoire globale sur un œdème aigu des poumons sur un pic hypertensif le 04.01.2019 • DD broncho-aspiration suite à la gastroscopie • NSTEMI du 04.01.2019 Insuffisance respiratoire hypoxémique justifiant son transfert aux soins intensifs de Fribourg. Mme. Y et sa famille ont été informées du transfert. Insuffisance respiratoire hypoxémiante sur pneumonie nosocomiale basale D à Bacilles Gram négatifs le 03.11.2018 traitée par Tazobac Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë secondaire à une pneumonie à Pneumocystis jirovecii le 10.01.2019 • avec une potentielle pneumopathie toxique (sous méthotrexate) sous-jacente • dans un contexte de broncho-pneumopathie obstructive chronique non-stadée avec emphysème centro-lobulaire • patiente sous tri-immunosuppression pour une arthrite psoriasique Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë secondaire à une pneumonie atypique le 10.01.2019 • pneumonie à Pneumocystis jirovecii suspectée, DD : pneumopathie toxique (méthotrexate), immunologique • broncho-pneumopathie obstructive chronique non-stadée avec emphysème centro-lobulaire • immunosuppression Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë sur emboles pulmonaires septiques le 12.01.2019 Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë sur hypervolémie et anasarque le 22.01.2019 • Épanchements pleuraux bilatéraux Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë • surinfection pulmonaire • décompensation BPCO Insuffisance respiratoire hypoxémique c/o patiente BPCO dans un contexte septique Insuffisance respiratoire hypoxémique dans le contexte d'une décompensation cardiaque sur insuffisance mitrale sévère le 14.01.2019 Insuffisance respiratoire hypoxémique DD : sur grippe débutante, sur faiblesse musculature respiratoire, cardiopathie dans un contexte d'hémochromatose ? Insuffisance respiratoire hypoxémique le 14.01.2019 • exacerbation BPCO • décompensation cardiaque gauche d'origine infectieuse Insuffisance respiratoire hypoxémique le 31.01.2019 Insuffisance respiratoire hypoxémique probablement sur décompensation cardiaque globale • péjorée par l'effort avec désaturation à 80 % • HTAP sévère à 50 mmHg en 07/18 Insuffisance respiratoire hypoxémique sévère avec/sur : • asbestose pulmonaire (fibrose) et pleurale bénigne avec épaississements pleuraux multiples bilatéraux et s/p plusieurs pleurésies asbestosiques (épanchement pleural droit en 2000 et gauche en 2004), s/p ponction biopsie sous CT d'une masse pulmonaire droite bénigne le 23.03.2004 et s/p biopsie pleurale gauche en 2000 • syndrome restrictif moyennement sévère avec abaissement de la DLCO de degré léger • hypoxémie sévère en juin 2016 (PaO2 51 mmHg) avec introduction d'une oxygénothérapie au long cours dès le 30 juin 2015) • s/p probable tuberculose dans la jeunesse • suivi chez Dr. X FRCV • HTA traitée • Hyperuricémie Hyperplasie de la prostate, DD Ca prostate ? • sous Proscar 5 mg 1x/j Goitre multinodulaire lobaire G inopérable à cause de la BPCO Insuffisance respiratoire hypoxémique sévère avec/sur : • asbestose pulmonaire (fibrose) et pleurale bénigne • syndrome restrictif moyen-sévère sous oxygénothérapie • s/p probable tuberculose dans la jeunesse • suivi chez Dr. X FRCV • HTA traitée • Hyperuricémie Hyperplasie de la prostate, DD Ca prostate ? • sous Proscar 5 mg 1x/j Goitre multinodulaire lobaire G inopérable à cause de la BPCO Insuffisance respiratoire hypoxémique sévère post-opératoire le 25.01.2019 • sur obstruction complète du poumon gauche par broncho-aspiration Insuffisance respiratoire hypoxémique sur atélectasie bibasale et surcharge hydrique Insuffisance respiratoire hypoxémique sur BPCO décompensée. Insuffisance respiratoire hypoxémique sur emboles pulmonaires septiques le 12.01.2019 Insuffisance respiratoire hypoxémique sur épanchement pleural droit le 07.11.2018 Insuffisance rénale aiguë sur chronique le 04.11.2018 Insuffisance rénale aiguë prérénale AKIN I sur chronique le 09.04.2018 : Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique d'origine multifactorielle le 09.04.2018 : • dans un contexte de pneumonie depuis 10 jours sous Co-amoxicilline • progression tumorale avec épanchement pleural droit, lymphangite carcinomateuse et épanchement péricardique minime Oesophagite actinique sur radiothérapie pour un carcinome pulmonaire en 2010 Pneumonie basale gauche post-sténotique en 2010 Prothèse totale de hanche bilatérale Appendicectomie Insuffisance respiratoire hypoxémique sur épanchement pleural droit le 07.11.2018 Insuffisance rénale aiguë sur chronique le 04.11.2018 Insuffisance rénale aiguë prérénale AKIN I sur chronique le 09.04.2018 : Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique d'origine multifactorielle le 09.04.2018 : • dans un contexte de pneumonie depuis 10 jours sous Co-amoxicilline • progression tumorale avec épanchement pleural droit, lymphangite carcinomateuse et épanchement péricardique minime Oesophagite actinique sur radiothérapie pour un carcinome pulmonaire en 2010 Pneumonie basale gauche post-sténotique en 2010 Prothèse totale de hanche bilatérale Appendicectomie Anémie normocytaire hypochrome • en premier lieu dans le contexte tumoral • Transfusion d'un CE le 15.01.2019 Insuffisance respiratoire hypoxémique sur épanchement pleural droit le 07.11.2018 Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique d'origine multifactorielle le 09.04.2018 • dans un contexte de pneumonie et progression tumorale Oesophagite actinique sur radiothérapie en 2010 PTH bilatérale Appendicectomie non datée Insuffisance respiratoire hypoxémique sur IVRS (DD : post chimiothérapie) dans un contexte de : • Insuffisance respiratoire hypoxémique chronique sous oxygénothérapie continue à 1 lt/min au repos et 2 lt/min à l'effort. Pas la nuit. • Pneumopathie interstitielle fibrosante sur probable pneumopathie d'hypersensibilité (PHS) vs pneumopathie interstitielle desquamative (DIP) • Cancer pulmonaire à petites cellules • BPCO centrale de type emphysème Insuffisance respiratoire hypoxémique sur pneumonie en 2012 Tabagisme arrêté à 40 unités paquets par année Cure chirurgicale des doigts à ressaut en juillet 2017 État confusionnel aigu sur infection urinaire basse de germe indéterminé, 10.10.2018 Carence en vitamine B9, 10.10.2018 État fébrile d'origine indéterminée le 17.09.2018 Insuffisance respiratoire mixte sévère d'origine multifactorielle avec/sur : • syndrome restrictif sur troubles statiques et dégénératifs de la colonne vertébrale, obésité, hypoventilation alvéolaire probablement aggravée par le traitement psychotrope • syndrome obstructif de degré moyen à sévère et troubles légers de la DLCO, KCO normale • Fonctions pulmonaires complètes le 11.12.2018 : VEMS 46 % du prédit • Pas d'argument pour un asthme bronchique associé • Sous oxygénothérapie 2 l/min au long cours • Suivi par Dr. X Insuffisance respiratoire partielle aiguë d'origine multifactorielle le 25.01.2019 • probable bronchopneumonie sous Rocéphine 2 g depuis le 21.01.2019 • probable décompensation cardiaque sur FA rapide Insuffisance respiratoire partielle aiguë le 19.10.2018 avec/sur : • Pneumonie multilobaire à Pneumocoque traitée • BPCO à la spirométrie du 31.10.2018, diagnostic infirmé par la spirométrie du 13.11.2018 selon les critères LLN • Ventilation non invasive intermittente du 19.10 au 24.10.2018 et le 27.10.2018, IOT (Cormack 1) et ventilation invasive du 24.10 au 27.10.2018. Insuffisance respiratoire partielle avec alcalose respiratoire • dans le cadre de 1 Insuffisance respiratoire partielle avec alcalose respiratoire • dans le cadre de 1 Oxygénothérapie au besoin Bronchopneumonie il y a 4-5 ans avec notion vague d'asthme sans traitement depuis (Portugal) Appendicectomie et résection partielle de l'intestin sur appendicite compliquée (Portugal, non daté) Insuffisance respiratoire partielle chronique le 20.09.2018 avec : • dyspnée de stade NYHA 3 • dans un contexte d'une BPCO de stade 3 connue et traitée • pas d'argument clinique, radiologique ou biologique pour une décompensation cardiaque Insuffisance respiratoire partielle dans contexte viral le 18.01.2019 avec : • Possible surinfection basale droite Insuffisance respiratoire partielle dans le contexte de grippe à Influenza A le 18.01.2019 DD : exacerbation d'une probable BPCO (FR : 65 UPA, exposition passive professionnelle) Insuffisance respiratoire partielle d'origine indéterminée. DD : dans le cadre du syndrome d'obésité-hypoventilation. Insuffisance respiratoire partielle d'origine mixte le 23.01.2019 • dans un contexte de décompensation cardiaque (cf diagnostic supplémentaire 1) et surinfection pulmonaire Insuffisance respiratoire partielle d'origine multifactorielle avec oxygénothérapie à domicile (1.5 l/min, 14 h/24 h surtout nocturne) depuis juillet 2018 et emphysème panlobulaire • FPC 12/2018 : présence d'une hyperinflation et d'un air trapping statique, tendance à l'obstruction des voies aériennes périphériques sans syndrome obstructif. Trouble de la diffusion avec une DLCOcor abaissée à 42 % • Dernier contrôle pneumologique le 05.12.2018 (Dr. X, Dr. X) : switch Onbrez à Seebri 1x/j, O2 24 h/24 h, contrôle 1x/an • Réadaptation pulmonaire à l'HFR Billens du 30.10 au 16.11.2018 Insuffisance respiratoire partielle hypoxémique avec pO2 à 7.9 DD : fractures costales (2-8), anémie, pleurésie droite surinfectée au décours Insuffisance respiratoire partielle hypoxémique le 11.01.2019 avec : • Épanchement pleural à droite récidivant (ponction le 12.01.19) Insuffisance respiratoire partielle hypoxémique le 20.01.2019 • En premier lieu sur bronchite bactérienne, accompagnée d'une probable composante de décompensation BPCO • Fonctions pulmonaires de 2014 : absence de trouble ventilatoire obstructif, présence d'un trouble ventilatoire restrictif léger (CPT à 74 % du volume prédit, VEMS à 72 %) Insuffisance respiratoire partielle hypoxémique multifactorielle 11.01.2019 • progression tumorale • composante obstructive • progression d'épanchement pleural, ponction évacuatrice en avril 2018 (1.7 L) et juin 2018 Insuffisance respiratoire partielle le 07.01.2018 • dans un contexte de syndrome restrictif sur asbestose bénigne avec oxygénothérapie à domicile DD décompensation cardiaque, EP, péjoration de la fibrose • Décompensation cardiaque globale sur fibrillation auriculaire inaugurale le 04.12.2018 Insuffisance respiratoire partielle sur : • décompensation cardiaque globale • exacerbation d'une BPCO non stadée Insuffisance respiratoire partielle sur décompensation de BPCO d'origine infectieuse chez un patient connu pour une BPCO Gold III le 01.01.2019 BPCO stade III selon Gold sur ancien tabagisme (50 UPA), sevré en 2012 avec : • syndrome obstructif de degré sévère (VEMS 47 %) et trouble de la diffusion de degré modéré (DLCO 42 %), stable par rapport à 2017, pas d'indication à une oxygénothérapie • emphysème pulmonaire prédominant aux apex avec 2 interventions de réduction du volume pulmonaire par voie endoscopique : -- s/p pose de coils dans les lobes supérieurs D et G en 2013 -- s/p pose de 3 valves pulmonaires (lingula et segmentaires du culmen) le 06.05.2014 et ablation de la valve lingulaire le 13.05.2014 car pneumothorax • coronarographie le 14.08.2014 aux HUG (bilan pré-transplantation pulmonaire) : coronaires saines, débit cardiaque normal, absence d'HTAP, PCWP et PTDVG dans la norme • ETT le 01.09.2015 aux HUG (bilan pré-transplantation pulmonaire) : VG de taille normale avec FE normale, oreillettes de taille normale, VD de taille et fonction normale, absence de valvulopathie significative, pas d'épanchement péricardique • suivi pneumologique par Dr. X et Prof. X aux HUG Insuffisance respiratoire partielle sur pneumonie post-traumatique avec atélectasie basale gauche, le 13.12.2018 • faisant suite à une chute avec traumatisme costal droit le 10.12.2018 • dans un contexte de tabagisme actif et BPCO (bilan en 1997) Insuffisance respiratoire partielle sur probable pneumonie basale droite le 19.03.2012 Insuffisance respiratoire partielle 01.01.2018 • dans le contexte de bronchite Insuffisance respiratoire récidivante d'origine multifactorielle : • Médiastinite le 11.11.2018 • Pneumonie nosocomiale le 30.11.2018 Insuffisance respiratoire restrictive. Hypertension artérielle. Ostéoporose. Chutes à répétitions. Constipation. Mycose des plis inguinaux. Insuffisance respiratoire sévère • dans un contexte de pneumopathie interstitielle diffuse fibrosante depuis 2013 • avec défaillance cœur droit (IRA, insuffisance hépatique) et état confusionnel Insuffisance respiratoire sur BPCO stade III selon Gold sur ancien tabagisme (50 UPA), sevré en 2012 avec : • syndrome obstructif de degré sévère (VEMS 41 %) et abaissement de la DLCO (50 % du prédit) • emphysème pulmonaire prédominant aux apex avec status post pose de coils dans les lobes supérieurs D et G en 2013 • status post pose de 3 valves pulmonaires (lingula et segmentaires du culmen) le 06.05.2014 et ablation de la valve lingulaire le 13.05.2014 Excision d'un carcinome basocellulaire au niveau du cou, au bras droit et à l'épaule gauche en 2010, au niveau du front en 2011, et au niveau de la cuisse en 2012 Appendicectomie Insuffisance respiratoire sur bronchiolite à RSV Insuffisance respiratoire sur bronchiolite à RSV modérée (Score de Wang à 8) Insuffisance respiratoire sur bronchite obstructive à RSV positif Insuffisance respiratoire sur bronchite obstructive péri-infectieuse Insuffisance respiratoire sur bronchite spastique à RSV Insuffisance respiratoire sur bronchite spastique le 09.01 Insuffisance respiratoire sur décompensation cardiaque en DD avec pneumonie (30.07.2018) avec : CT thorax (30.07.2018) avec signes en faveur d'une pneumopathie médicamenteuse (Amiodarone) et possiblement infectieuse. Epanchements pleuraux ++. • Laboratoire et bronchoscopie, avec avis pneumo : peu probable qu'il s'agit d'une pneumopathie sur Amiodarone • Cultures négatives • CT thorax de contrôle (21.08.2018) : amélioration des images pulmonaires, avec régression des épanchements ddc • Antibiothérapie par Co-amoxicilline 21 au 28.07.2018, ensuite Pip-Tazo 28.07-17.08.2018 • SAOS Insuffisance respiratoire sur insuffisance cardiaque gauche et probable broncho-pneumonie droite le 07.01 Insuffisance respiratoire sur surinfection bronchique Insuffisance respiratoire sur une bronchiolite à RSV Insuffisance respiratoire sur une bronchiolite à RSV avec difficulté de prise alimentaire Insuffisance respiratoire sur une rhinopharyngite à RSV Insuffisance respiratoire suraiguë DD OAP; bronchospasme, crise convulsivante Insuffisance respiratoire totale sur BPCO connue Insuffisance respiratoire DD : oedème aigu du poumon, bronchopneumonie (foyer lobe moyen droit ?) Insuffisance surrénalienne aiguë le 20.01.2019 en cours de sevrage de la Prednisone Insuffisance surrénalienne relative chez une patiente sous Prednisone Insuffisance thyroïdienne substituée par Euthyrox 37,5 mcg jusqu'à mi-novembre 2018 puis arrêt Tabagisme actif 5-10 cigarettes/jour Insuffisance veineuse. Insuffisance veineuse chronique Insuffisance veineuse chronique de stade C2 selon CEAP avec : • Discrète incontinence des réseaux saphènes internes et des veines perforantes dès 23 cm • Phlébectasies +++ Arthrose sévère du membre inférieur droit • S/p prothèse totale de genou droit Hernie hiatale Trouble anxieux (sous Lexotanil) Syndrome métabolique • IMC 33 kg/m² • Hypertension artérielle • Dyslipidémie débutante • Sous Pravastatin et Aspirine Cardio Hypothyroïdie substituée • S/p strumectomie (2012) • Sous Eltroxin LF 0.1 mg Insuffisance veineuse chronique de stade C2-C3 selon CEAP avec • Status post crossectomie et stripping de la veine saphène interne à D • Incontinence résiduelle • Varicosité ventriculaire et tronculaire • Phlébectasies diffuses HTA Insuffisance artérielle des MI stade I Dyslipidémie Migraine sans aura Troubles dégénératifs rachidiens L4-L5 latéralisés à G Diverticulose colique (CT-scan abdomino-pelvien février 2017) Insuffisance veineuse chronique stade II Insuffisance veineuse chronique : • Status post crossectomie et stripping MIG en 2008 • Status post cure anévrisme poplité veineux en 2004 Maladie thrombo-embolique avec syndrome des anticorps antiphospholipides • Traitement : anticoagulation par Marcoumar Les anticorps anti-phospholipides seraient à l'origine d'une anopsie droite ainsi que du mal perforant. La patiente est suivie en rhumatologie (Dr. X) et a été mise sous Plaquenil puis Méthotrexate. Dyslipidémie Insuffisance veineuse des membres inférieurs. Insuffisance veineuse des membres inférieurs stade III • S/p crossectomie et stripping Insuffisance veineuse des membres inférieurs Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie non traitée Hernie hiatale Dépression Anévrisme de l'aorte ascendante de 68 mm Insuffisance veineuse du membre inférieur droit C0-S sur status post-opération pour varicose du membre inférieur droit il y a 20 ans. Insuffisance veineuse du membre inférieur gauche de grade C1. Insuffisance veineuse symptomatique tronculaire et para-tronculaire de la veine saphène interna droite (C2s, EP, AS, PR), crossectomie femoralis, stripping de la veine saphène interna proximale et phlébectomie en octobre 2011. Opération d'une rupture de la coiffe droite en août 2011. PTH sur coxarthrose gauche le 09.06.2009. Conversion laparoscopique de l'anneau gastrique en bypass gastrique 2004 avec : • Exploration laparoscopique, adhésiolyse et mise d'un réseau rétro-musculaire sur une hernie en 2010 • Résection de l'anastomose gastro-jéjunale et remise de la néo-gastro-jéjunostomie termino-terminale en 2007 • Fermeture laparoscopique fenêtre Petersen en 2005, après laparotomie en urgence le 3ème jour post-opératoire sur perforation de l'estomac distale avec gastrectomie Appendicectomie. Cholecystectomie. Hystérectomie. Status post-changement PTG gauche le 12.02.2014, sur : • Insuffisance du polyéthylène sur PTG G il y a 13 ans. Status post-implantation PTG type SAL. Status post implantation d'une PTH sur coxarthrose gauche progressive le 09.06.09. Status après arthrolyse, changement du polyéthylène le 23.10.2001 sur arthro fibrose après PTG gauche sur polyarthrite séronégative. Prothèse du genou gauche douloureuse et arthro-fibrotique. Gonarthrose tricompartimentale droite. Anémie post-op symptomatique avec Hb 84 g/l le 08.02.2017. • Transfusion de 3 CE Chute avec perte de connaissance le 03.01.2018. CT cérébral natif : Absence de saignement. Insuffisance respiratoire globale sur décompensation BPCO avec : • Carbonarcose à 22 pCO2 • Hypoxémie à 5.4 DD : pneumonie, grippe Insulatard dès le 06.01.2018 Consilium diabétologie le 07.01.2019 : Insulatard 20-0-14, Humalog 6-4-6, correction en plus si nécessaire Insulatard 6-0-5 U à l'entrée majoré à 10-0-6-0 Schéma de correction Insuline glucose à répétition Salbutamol IVSE continu dès le 04.01.2019 Insuline glucose Substitution Insuline Humalog 10 UI sc Att : • Suivi glycémies Insuline lantus 8U le matin depuis le 30.01.2018 Suivi glycémique Insuline Novorapid 4 UI aux urgences Hydratation 2500 ml aux urgences Gazométrie artérielle Suivi du potassium Suivi de la glycémie Insuline selon glycémie pré-prandiale Discuter introduction d'antidiabétiques oraux à distance de l'événement aigu Consultation diabétologie et conseil diététique à organiser Insuline-glucose iv le 05.01.2019 Insuline-Glucose le 18.12.2018 Insulinothérapie Insulinothérapie en IV continue jusqu'au 01.01.2019 Relai par insulatard SC 2 fois par jour à partir du 01.01.2019 Consilium de diabétologie Insulinothérapie en réserve Suivi des glycémies (4x/jour) Insulinothérapie iv Interdiction de conduire pour 3 mois (minimum, si pas de nouvel épisode) Bilan neuropsychologique à faire en ambulatoire à distance de l'épisode • Interprétation des fonctions pulmonaires en cours • Interrogation et surveillance du pacemaker en préopératoire. • Interruption de grossesse • Interruption de grossesse décembre 2018. • Interruption de grossesse par curetage le 24.01.2019 avec pose de DIU Monalisa • Interruption de grossesse par curetage le 31.01.2019 Contraception future: Préservatif puis stérilisation tubaire. • Interruption de l'antibiothérapie par Ciprofloxacine prescrite en ambulatoire le 22.01.2019 • Interruption médicamenteuse de grossesse. • Interruption médicamenteuse de grossesse selon protocole: Mifégyne le 12.01.2018 et Cytotec le 14.01.2018 Expulsion non objectivée lors de l'hospitalisation de jour en date du 14.01.2019 Contraception future: Implanon • Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifegyne le 19.01.2019 et Cytotec le 21.01.2019 Expulsion non objectivée lors de l'hospitalisation de jour • Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifegyne le 19.01.2019 et Cytotec le 21.01.2019 Expulsion objectivée le 21.01.2019 Contraception future: Azalia • Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifegyne le 26.01.2019 et Cytotec le 28.01.2019 Expulsion objectivée le 28.01.2019 Contraception future: Préservatif • Interruption thérapeutique de grossesse • Interruption thérapeutique de grossesse à 19 5/7 semaines d'aménorrhée pour malformation cardiaque sévère chez une patiente primigeste de 25 ans le 26.01.2019 • Interruption thérapeutique de grossesse à 34 1/7 semaines d'aménorrhée pour syndrome polymalformatif chez une patiente de 26 ans 2-gestes devenue 2-pare le 31.12.2018. • Interruption thérapeutique de grossesse programmée • Interruption volontaire de grossesse • Interruption volontaire de grossesse • Interruption volontaire de grossesse. • Interruption volontaire de grossesse. • Interruption volontaire de grossesse. • Interruption volontaire de grossesse. • Interruption volontaire de grossesse. • Interruption volontaire de grossesse médicamenteuse à 7 2/7 semaines d'aménorrhée le 28.12.2015. Lithiases vésiculaires multiples, asymptomatique. Cholécystite aiguë lithiasique. Cholécystectomie laparoscopique le 22.06.2018. • Interruption volontaire de grossesse médicamenteuse en 2011. Cure de kyste sacro-coccygien. Plusieurs récidives d'angine à Streptocoque. Antécédents d'anorexie mentale. 2005: AVB d'un garçon. 2006: AVB d'une fille. 2009: AVB d'une fille. 2013 : AVB d'une fille. Nausées et céphalées dans le cadre d'une probable virose le 14.09.2013. Episode dépressif sévère avec idées suicidaires le 21.01.2016. • Hospitalisation volontaire à Marsens par ses propres moyens. Morsure de hamster le 22.04.2018. • Interruption volontaire de grossesse médicamenteuse en 2014. PID à chlamydia en 2014 Accouchement par césarienne en urgence 1 pour stagnation de la présentation aux épines à dilatation complète à 35 5/7 semaines d'aménorrhée, chez une patiente de 21 ans, 2 gestes devenue 1 pare. Utérotomie isthmique transverse basse. Diabète gestationnel non insulino requérant. HGPO à 3 mois PP. • Intertrigo sous-mammaire et des plis inguinaux • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention ajournée au 01.02.2019 en raison d'un rash cutané englobant l'abord chirurgical prévu. • Intervention au niveau de la prostate en 2004 • Intervention au niveau des ovaires et des trompes. Cystite chronique. • Intervention brève. • Intervention brève. • Intervention brève. Arrêt de travail pour 48h, à réévaluer par le médecin traitant. • Intervention brève. Nous proposons au médecin traitant d'organiser une échographie abdominale en électif afin de dépister une éventuelle stéatose hépatique ou une cirrhose débutante. • Intervention chirurgicale X (prostate) prévue le 10.01.19 au Daler, Dr. X • Intervention chirurgicale du genou droit. Malaise avec vertige et paresthésies de la moitié de la lèvre supérieure gauche. • Intervention chirurgicale le 01.02.2019 • Intervention chirurgicale le 01.03.2019 • Intervention chirurgicale le 04.02.2019 • Intervention chirurgicale le 04.03.2019 • Intervention chirurgicale le 08.02.2019 • Intervention chirurgicale le 11.02.2019 • Intervention chirurgicale le 18.02.2019 • Intervention chirurgicale le 20.04.2019 en ambulatoire • Intervention chirurgicale le 21.01.2019 • Intervention chirurgicale le 22.02.2019 • Intervention chirurgicale prévue le 11.01.2019 pour une ostéosynthèse par plaque Aptus. • Intervention élective • Intervention élective • Intervention élective • Intervention le 13.02.2019. • Intervention le 29.01.2019. • Intervention non précisée sur la coiffe des rotateurs à l'épaule gauche Synovectomie des extenseurs au pied droit Interventions gynécologiques • Intervention non programmée • Intervention orthopédique X genou droit. Intoxication alimentaire avec déshydratation importante 07/2018. Insuffisance rénale aigüe 07/2018. • Intervention planifiée. • Intervention planifiée le 24.01.2019. • Intervention pour hémorroïdes. Embolie pulmonaire massive avec insuffisance respiratoire aiguë et signe de coeur droit le 24.01.2013 • sous Xarelto 5mg. Syncope compliquée d'un traumatisme crânien simple avec plaie frontale le 24.01.2013. • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée. • Intervention programmée. • Intervention programmée. • Intervention programmée. • Intervention programmée. • Intervention programmée. • Intervention sur testicule (selon patient) Intervention sur varices. Tuberculose traitée par antibiothérapie pendant 1 année dans sa jeunesse. Interventions • Conseil et traitement diététique, au moins 2 unités de traitement Intolérance à la Kétamine le 02.01.2019 sur nouvel accès douloureux (côte 11 droite) Intolérance à la Lactose (éviction alimentaire) • Hypoglycémies récidivantes quand ne mange pas régulièrement Intolérance à la Lactose (régime d'éviction, Lactdigest) Intolérance à la Lactose (régime d'éviction, Lacdigest) Intolérance au glucose (? selon le patient). Intolérance au glucose • glycémie à jeun le 19.1.19: 5.9 mmol/l • glycémie à jeun le 20.1.19: 6.1 mmol/l Intolérance au glucose Obésité Discopathie dégénérative L3-L4, L4-L5, L5-S1 avec : • canal lombaire étroit • foraminotomie bilatérale L4-L5 en 2005 (Dr. X) Dépression Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle Névralgie d'Arnold gauche Petit hygrome frontal gauche s'étendant dans la faux cérébrale • avis neurochirurgical auprès du Dr. X : traitement conservateur Cardiomyopathie hypertrophique d'origine probablement hypertensive avec fonction conservée du VG et cœur pulmonaire chronique sur maladie thromboembolique (ETT 03.03.2014) • HTAP importante (70 mmHg) Hypertension artérielle mal contrôlée • notion d'hypotension orthostatique en 11/2013 Intolérance au lactose et au gluten Intolérance au Lactose (régime d'éviction, Lacdigest) Intolérance au lactose. Acné. Intolérance au lactose. Dermatite atopique Intolérance aux protéines de lait de vache. Intolérance aux protéines de lait de vache • Régurgitation gastro-oesophagienne Intoxication Intoxication à l'alcool. Intoxication à l'alcool le 27.01.2019 : • consommation OH à risque (env. 2l vin blanc/j) • 1.53 o/oo le 27.01.2019 Intoxication à l'Ibuprofen 12g/24h : • fonction rénale le 11.07.2017 dans la norme. Abcès dentaire d'origine n° 23 : • érythème hémifaciale gauche tuméfaction de l'œil. Incision et drainage d'abcès le 11.07.2017. Intoxication aiguë à l'héroïne et alcool le 19.07.2018 avec : • Troubles de l'état de conscience et désaturation à 68% à l'admission aux urgences • Ethanolémie à 1.48 pour mille • Antécédent d'intoxication à l'héroïne et cocaïne 10/2015 Syndrome extrapyramidal sur intoxication aux neuroleptiques (Entumine) 03/2015 Consommation drogue IV, stoppée en 2002 Dilatation stomacale sur probable gastroparésie d'origine toxique le 19.07.2018 Sonde naso-gastrique du 19.07.2018 au 20.07.2018 Avis chirurgie viscérale (Dr. X) : Poursuite des investigations pendant hospitalisation de médecine par gastroscopie + CT abdominal avec injection Intoxication aiguë à l'héroïne et alcool le 19.07.2018 avec : • troubles de l'état de conscience et désaturation à 68% à l'admission aux urgences • éthanolémie à 1.48 pour mille Intoxication à l'héroïne et cocaïne en 10.2015 Syndrome extrapyramidal sur intoxication aux neuroleptiques (Entumine) en 03.2015 Consommation drogue IV (stoppée en 2002) Dilatation stomacale sur probable gastroparésie d'origine toxique le 19.07.2018 Intoxication aiguë à l'héroïne et benzodiazépine le 11.01.2019 avec : • Troubles de l'état de conscience GCS 3 et désaturation à 77% sur site • Amélioration de l'état de conscience et drive respiratoire après bolus de Flumazénil • Antécédent d'intoxication à l'héroïne et cocaïne 10/2015, et héroïne + OH, le 07/2018 Intoxication alcoolique aiguë. Intoxication alcoolique aiguë à 3,6 pour mille avec : • coma (Glasgow à 3) • intoxication benzodiazépines (10 mg de Dormicum intranasal donné dans l'ambulance en raison d'une agressivité importante). Intoxication alcoolique aiguë dans un contexte de difficultés professionnelles. Intoxication alcoolique sans perte de connaissance. Intoxication alimentaire. Intoxication alimentaire le 11.01.2019. Intoxication alimentaire. DD : gastroentérite. Intoxication au Paracétamol (10g pris la veille) Intoxication au THC. Intoxication aux benzodiazépines et OH. Intoxication aux benzodiazépines et OH dans un contexte de syndrome anxio-dépressif le 04.01.2019 • Temesta 1 mg 3x, Tranxilium 20 mg 1x, Prednisone 20 mg 1x, 1/2 bouteille vin blanc et 1/3 bouteille de cognac • entre 00h-4h du matin le 04.01.2019. Intoxication aux opiacés Intoxication aux opiacés (Temgesic) avec : • insuffisance respiratoire partielle • troubles de l'état de conscience avec somnolence (GCS 13/15 pour confusion et ouverture des yeux à la demande) (contexte d'insuffisance rénale aiguë) Intoxication benzodiazépine, alcool et cannabis Intoxication d'alcool. Intoxication éthylique. Intoxication médicamenteuse. Intoxication médicamenteuse volontaire. Intoxication médicamenteuse volontaire à la Quétiapine le 07.01.2019. Intoxication médicamenteuse volontaire en mai 2017. Status post-césariennes en 2001 et 2008. Cholélithiase symptomatique. Intoxication médicamenteuse volontaire le 03.03.2018. Rhabdomyolyse d'origine multifactorielle (décubitus prolongé, statines) le 06.03.2018. Bactériémie à Staph. aureus R pénicilline, le 19.03.2018. Bursite pertrochantérienne hanche droite, germe (22.03.2018) : Staph aureus qq ; culture nég. à J14, bursectomie, débridement, rinçage hanche D (OP le 22.03.2018). Plaie face radiale P2 et P3 Dig II D le 21.06.2017. État dépressif avec idées suicidaires le 04.10.2017. Consommation d'alcool à risque avec état d'éthylisation aiguë le 04.11.2017 (2.95 pour mille), stigmate au laboratoire (élévation de la gamma-GT, macrocytose). Probable bronchite avec possible pneumonie basale D débutante le 07.11.2017. Tentamen médicamenteux le 04.11.2017. Exanthème maculo-papuleux généralisé, probablement d'origine médicamenteuse, le 21.06.2018. DD : • infectieux : pas de symptôme, pas de leucocytose. • agent physique : non retrouvé à l'anamnèse. • alimentaire : pas de consommation d'aliment nouveau. • mastocytose : tryptase en cours au laboratoire du CHUV. Sevrage progressif du Lamotrigine durant l'hospitalisation, dangerosité importante au niveau des réactions cutanées. Intoxication médicamenteuse volontaire par Rivotril, maximum 200 mg. Intoxication médicamenteuse volontaire par Temesta 2.5 mg (entre 20 et 40 cprs) le 29.12.2018. Intoxication médicamenteuse volontaire par 50 cp de Fluoxétine 20 mg et 10 cp d'Imovane 7,5 mg en 2013. Opération de la rotule droite. Adhésiolyse. Opération du tunnel carpien des deux côtés. Cure de hernie discale lombaire. Appendicectomie en 1995. Pneumonie basale droite le 20.11.2017. Hyponatrémie légère à 132 mmol/l le 20.11.2017. Intoxication médicamenteuse volontaire (12 - 16 g d'Ibuprofène) le 20.12.2012. Intoxication volontaire par un sédatif. Troubles dépressifs récurrents, épisode actuel sévère sans symptômes psychotiques avec hospitalisation volontaire à Marsens. Difficulté dans le rapport avec le conjoint avec hospitalisation volontaire à Marsens. Intoxication médicamenteuse involontaire avec : • Zoldorm 10 mg Intoxication OH aiguë avec alcoolémie à 2.52%o : • chez un patient avec antécédents psychiatriques, • avec agitation et agressivité aiguës. Intoxication par ingestion de champignons en 2016. Intoxication par les fumées d'incendie le 13.07.2018. Intoxication au paracétamol 8 g le 01/01/18. Introduction acetate de calcium, nephrotrans, arrêt diamox. Diminution traitement diurétique + hydratation légère initiale. Rocaltrol 25 mg 2x/semaine dès le 29.12.2018. Laboratoire. Sonde vésicale en place du 24.12 au 27.12.2018. Avis néphrologie (Dr. X) : ne pas donner de médicaments néphrotoxiques et ne pas donner de diurétiques trop incisivement. Reste à disposition si besoin. Introduction Atorvastatine 40 mg. Introduction Atorvastatine 40 mg. Dosage LP(a) à 107 nmol/l (norme < 75 nmol/l). Introduction d'Aldacone. Alimentation avec restriction sodée. Introduction d'Amlodipine. Introduction d'Amlodipine 5 mg. Suivi clinique. Introduction d'Aspirine cardio et d'Atorvastatine 40 mg au long cours. Doppler des vaisseaux pré-cérébraux en ambulatoire, le patient sera convoqué. Introduction de Colchicine 0.5 mg/jour le 11.06.2018 (Avis rhumatologique Dr. X). Introduction de Distraneurin en réserve. Introduction de l'Insuline Lantus 10 UI dès le 30.11.2018, et diminution à 8 UI dès le 12.12.2018. Suivi glycémique. Introduction de Lisinopril, Amlodipine et Torasemid. Introduction de Magnesiocard 10 mmol 1x/j. Taux de vitamine D et vitamine B12 dans la norme. Introduction de Mycostatin et Fluconazole, continuer fluconazole selon vomissements (si persistance après arrêt Bactrim évaluer pause). Suivi clinique. Introduction de Mycostatin et Fluconazole. Suivi clinique. Introduction de Quétiapine 6.25 mg. Tests de la cognition du 27.11.2018 : pas terminés car refus de la part du patient. Évaluation neuropsychologique le 06.12.2018. Deuxième bilan à prévoir à distance en ambulatoire. Introduction de traitement de Lisinopril 10 mg. Suivi tensionnel. Introduction de traitement néphro-protecteur par Lisinopril 10 mg. Consultation néphrologique en ambulatoire à prévoir. Introduction d'Eliquis 5 mg 2x/jour dès le 21.01.2019. Poursuite de la physiothérapie en ambulatoire (bon pour 9 séances remis à la patiente). Suivi tensionnel en ambulatoire. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Consultation neurovasculaire de contrôle le 17.04.2019 à 14h30 (HFR Fribourg). Introduction d'Euthyrox 25 mcg 1x/j. Introduction d'Indéral 40 mg/jour. Introduction d'Oxycontin le 26.12.2018. Oxynorm mis en réserve. Physiothérapie avec manipulations des Points Trigger. Introduction d'un bétabloquant selon tolérance. Réadaptation cardiovasculaire à envisager. Contrôle dans 1 mois chez le médecin traitant. Ergométrie dans 1 année. Introduction d'un traitement de Miacalcic 100 unités 2x/j. Prochain contrôle radioclinique dans 3 semaines. Si péjoration de la symptomatologie ou aggravation de la statique rachidienne discussion pour une éventuelle prise en charge chirurgicale, à savoir cimentoplastie. Introduction d'une insulinothérapie. Introduction Eliquis 5 mg 2x/j dès le 18.12.2018. Introduction Insulatard et Humalog. Introduction Isoket dès le 04.01.19 avec bon effet. Introduction Lisinopril 5 mg 1x/j le 30.12.2018. Introduction Mirtazapine 15 mg 1x/j dès le 04.01.2019. Introduction Nozinan per os dès le 03.01.2019. Temesta en réserve. Introduction Temesta. Consilium psychiatrique (Dr. X). Intubation aux urgences. Intubation aux urgences de Tavel. Laboratoire. Gazométrie. CT TIME IS BRAIN : • pas d'hémorragie. Att : • suite de prise en charge aux soins. Intubation difficile imprévue le 23.01.2019. • Grade laryngé 3 avec BURP. Intubation oro-trachéale avec ventilation mécanique du 13.01 au 14.01.19 puis du 16.01. au 22.01.2019. Cathéter artériel droit du 16.01 au 23.01.2019. Ponction lombaire 16.01.2019. EEG le 14.01, le 16.01, le 17.01, le 21.01, le 23.01.2019. CT-scan cérébral le 14.01.2019, 16.01.2019. IRM cérébrale le 17.01.2019. Propofol du 13.01.2019 au 14.01.2019. Propofol du 16.01.2019 au 18.01.2019. Keppra dès le 13.01.19. Vimpat du 16.01.2019 au 17.01.2019, arrêté en raison d'une bradycardie. Topamax dès le 17.01.2019. Rivotril du 16.01.2019 au 21.01.2019. • Pour suspicion initiale de méningite. Rocéphine à dose méningée du 16.01.2019 au 18.01.2019. Amoxicilline à dose méningée du 16.01.2019 au 18.01.2019. Zovirax 16.01.2019 au 19.01.2019. Dexaméthasone du 16.01.2019 au 17.01.2019. Solucortef du 17.01.2019 au 23.01.2019 puis Prednisone à 1 mg/kg du 23.01.2019 au 01.02.2019 (10 j de traitement) en schéma dégressif. Bilan immunologique (à l'Inselspital) : Ac anti HU, anti RI, anti YO, antiamphiphisine, anti CRMP5, anti NMDA, anti LGI 1 dans le LCR : négatif. Bilan infectiologique : PCR Entéro-virus négative, PCR HSV et VZ négatif, PCR eubactérienne : négative. Intubation oro-trachéale (Cormack 2) et ventilation mécanique du 20.01.2019 au 21.01.2019. Toxicologie urinaire : positive pour cocaïne, amphétamines et cannabis. CT cérébral le 20.01.2019. Ponction lombaire le 21.01.2019. Consilium de psychiatrie. Intubation oro-trachéale (Cormack 3) et ventilation mécanique du 04.01.2019 au 18.01.2019. Ventilation par Héliox du 04.01.2019 au 05.01.2019. Curarisation, magnésium iv, salbutamol iv dès le 04.01.2019, kétamine iv dès le 05.01.2019. Assistance respiratoire par ECMO du 05.01.2019 au 15.01.2019. • Veino-veineuse-jugulaire interne droite du 05.01.-06.01.2019 (ECCO2R). • Veino-veineuse-fémoro-jugulaire du 06.01.-15.01.2019. Ventilation non invasive du 18.01.2019 au 20.01.2019. Co-Amoxicilline et Clarithromycine du 04.01.2019 au 05.01.2019. Pipéracilline-tazobactam du 05.01 au 10.01.2019. Cathéter artériel radial droit du 04.01.2019 au 19.01.2019. Voie veineuse centrale jugulaire interne gauche du 04.01.2019 au 18.01.2019. Intubation oro-trachéale du 26.08 au 07.09.2018 puis du 12.09 au 15.09.2018. VVC jugulaire droite du 26.08 au 07.09.2018. Cathéter artériel radial D 26.08 au 16.09.2018. 1 CE le 03.09.2018. Intubation oro-trachéale et ventilation mécanique du 04.01.2019 au 06.01.2019. Ventilation non invasive en alternance avec oxygénothérapie à haut débit du 06.01.2019 au 12.01.2019. CT thoracique le 04.01.2019. Echocardiographie transthoracique le 05.01.2019. Intubation oro-trachéale et ventilation mécanique du 17.12 au 18.12.2018. Ventilation non invasive du 20.12 au 29.12.2018. Drain thoracique gauche le 18.12 du 21.12.2018. Ponction évacuation à gauche par pose de cathéter mono voie au 24.12 au 27.12.2018. Ponction évacuation à droite par pose de cathéter mono voie le 28.12.2018.Furosemide du 20.12 au 22.12.2018 Intussusception recto-rectale. Rectocèle stade III symptomatique. Descente globale du périnée. Allergie à l'iode. Invagination iléo-caecale le 18.10.2017 Inversion des ondes T de V1 à V6 pas présente sur les ECG anciens le 02.10.2018 • Absence de DRS • FA sous Xarelto Inversion du rythme nycthéméral et baisse de l'état général Inversion par 10mg de Konakion i.v. Investigation à discuter Investigation à l'étage Investigation de l'infection urinaire. Suivi des cervicalgies chez le médecin traitant. Investigation de pleurs Investigation masse hépatique Investigation pour hypertrophie thyroïdienne en 2013-14. Selon patiente actuellement résolu, trouble transitoire. Transaminasémie transitoire sur probable virose DD : hépatite infectieuse vs maladie auto-immune. Anémie microcytaire hypochrome DD : sur dilution du prélèvement. Anémie hémolytique exclue (cf labo). Douleurs abdominales récidivantes sur probable constipation DD : infectieux. Investigations : • Laboratoire : Leucocytes 44.9G/L avec déviation gauche, CRP 106 mg/L • 1x2 hémocultures (périphérique), 1x2 hémocultures (Port-A-cath) le 03.01 et le 05.01.2019 : négatives à 5 jours • ECG : tachycardie sinusale à 120/min • Rx thorax 03.01.2019 : épanchement pleural D, masse médiastinale • CT-abdomen 03.01.2019 : suspicion de perforation du caecum avec gaz au niveau de la masse tumorale et surinfection • Opacification du côlon 15.01.2019 : pas de fistule caecale visualisée, mais pas d'exclusion car collection abdominale peut être cloisonnée, avec septas. • Avis infectiologique (Dr. X, Dr. X) • Avis chirurgical (Dr. X, 11.01.2019) : peu favorable à opération, en vue des multiples opérations de la patiente (brides?), du statut post-chimio (décembre 2018) et du risque de lésions grêles iatrogènes. Intervention : • Drainage percutané de l'abcès/masse surinfectée le 07.01.2019 (radiologie interventionnelle, Dr. X) • Liquide de drainage : Enterocoque faecium ++, Enterocoque fecalis +++, Candida ++ Traitements : • Hydratation i.v. 1500 mL au service des urgences • Rocéphine 1x 2 g IV et Métronidazole 3x 500 mg IV du 03.01 au 18.01.2019 Attitude : • Présentation au Tumor Board de chirurgie viscérale le 16.01.2019 : pose de stomie iléale pas faisable actuellement en vue des risques. Privilégier RAD avec drain abdominal. • Si patiente se représente à distance au service des urgences avec syndrome inflammatoire : faire CT abdominal et rediscuter de prise en charge au Tumorboard. Investigations : • Laboratoire 08.01.2019 : troponines à 24 ng/l sans cinétique, CK 940 U/I • Electrophorèse des protéines : à la limite de la norme • Uro-CT scanner le 08.01.2019 • CT thoraco-abdominal injecté le 08.01.2019 • US-doppler des membres inférieurs le 10.01.2019 • ECG 08.01.2019 : rythme sinusal régulier à 50 bpm, QRS fins, axe à la limite d'être hyper-droit, pas de BAV, grande onde Q en V3, inversion ondes T en DI, AVL et V1 • ETT le 09.01.2018 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle) • ETO 11.01.2019 : absence de foramen ovale perméable après test de Valsalva adéquat • US mammaire le 10.01.2019 : Ganglion intramammaire à cheval des quadrants externes du sein droit. BIRADS II Ganglions augmentés en taille et en nombre le creux axillaire ddc à corréler à un bilan biologique. Traitements : • Héparine IV continu du 08.01 au 14.01.2019 • Relais PO par Xarelto du 14.01 au 14.06.2019 minimum Attitude : • Recherche des anticorps anti-phospholipides : à pister • Bilan de thrombophilie à réaliser à distance, après le traitement anticoagulant • Bilan angiologique dans 6 mois à l'HFR Fribourg • Holter sur 72h à prévoir en ambulatoire Investigations : • Laboratoire 10.12.2018 : CRP 157 mg/L, Lc 17.5 G/L avec déviation gauche, créatinine 157 mcmol/L • Radiographie du pied 10.12.2018 : absence d'évidente érosion osseuse du métatarse du 1er rayon • US pied gauche (11.12.2018) : épaississement avec infiltration liquidienne sous-cutanée de la plante du pied gauche, en regard de la plaie au niveau des têtes métatarsiennes des 1er et 2ème rayons, compatible avec une dermo-hypodermite. Pas de collection mise en évidence • IRM du pied gauche sous anesthésie générale (en raison de myoclonies) le 21.12.2018 : confirmation d'ostéomyélite chronique de la partie distale du 1er métatarsien, avec œdème osseux • Frottis de plaie (12.12.2018) : négatifs • Biopsie osseuse de M1, pied G (28.12.2018) : pas de nécrose affirmative, pas d'inflammation significative, pas de micro-organisme, pas d'abcès, pas de granulome, pas de tissu néoplasique mis en évidence Avis orthopédiste Avis diabétologique (Dr. X) Avis infectiologique (Dr. X) Avis angiologique (Dr. X) Traitements : • Angioplastie du MIG le 17.12.2018 (Dr. X) : levée des sténoses fémoro-poplitées, nette amélioration avec vascularisation du pied montrant flux rapide • Antibiothérapie par Zinacef (adapté à la fonction rénale) du 12.12 au 21.12.2018, puis fenêtre thérapeutique pour biopsie osseuse. Reprise du 28.12.2018 au 09.01.2019 Attitude : • Selon avis orthopédique, pas de prise en charge chirurgicale nécessaire • Semelles de décharge dans bottes adaptées • Suivi diabétologique pour soins de plaie : prochain rendez-vous le 29.01.2019 à 17h30 • En attente de réadaptation gériatrique à l'HFR Riaz Investigations : • CT abdominal 02.01.2019 : nette augmentation de l'importante dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques, apparition de masse spontanément dense dans colon ascendant et dans muscle droit abdo gauche (hématome? lésion tumorale?) Traitements : • Antalgie par Novalgin et Temgesic • Poursuite Prednisone 20 mg, sevrage progressif à 15 mg depuis le 17.01.2019 Attitude : • discutée avec la patiente et sa famille : soins palliatifs à l'étage (suivi par Dr. X) Investigations à Berne sans sanction thérapeutique Suivi avec néphrologues CT thoraco-abdominal le 08.01.2019 : nette progression de la masse située aux dépens du pôle supérieur du rein gauche, mesurant actuellement 118 x 103 x 132 mm contre 88 x 60 x 85 mm. Avis néphrologues les 08.01 et 09.01.2019 (Dr. X) : après discussion entre les néphrologues et le patient : pas d'opposition à une intervention. Prendre contact avec les oncologues. Avis radiologie le 11.01.2019 (Dr. X) : suspicion de métastase osseuse au niveau de la crête iliaque droite. Proposition de compléter bilan avec scintigraphie osseuse. Scintigraphie osseuse le 15.01.2019 : absence d'image scintigraphique nette en faveur de métastases osseuses. Absence de signe de descellement de la PTH droite. Suite : Patient sera présenté au TumorBoard d'urologie le 17.01.2018. Investigations cardiologiques en septembre 2015 Investigations radiologiques chez le médecin traitant en cours. Physiothérapie en cours. ECG, examens avec explication donnée par le médecin. Retour à domicile avec majoration du traitement antalgique. Mise au repos avec arrêt de travail. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Investigations CT cérébral (Transmission orale, Dr. X) : Traitement aux urgences • 12.5 mg Nozinan i.m. ATT • AUX URG : 12.5 mg Nozinan IM, Haldol 2.5 mg IV OU • suivi clinique Investigations : ECG. Laboratoire. Radio du thorax. Avis cardiologique avec ETT (Dr. X) : pas d'hypokinésie, pas d'épanchement péricardique. Traitement aux urgences : • Brufen 600 mg per os. Évolution aux urgences : • Bonne amélioration des douleurs après nitrées et Brufen.Propositions: • Antalgie simple. • Contrôle clinique chez le médecin traitant le 14.01.2019. • Reconsultation médicale en cas de péjoration clinique. Investigations ECG Laboratoire Avis neurologique (Dr. X) Avis ORL (Dr. X) Evolution aux urgences • Patient oligosymptomatique en position couchée mais vertiges lors de la mobilisation ATT • Hospitalisation en ORL • Tanganil 500 mg pour 48 h (Selon DPI et recherche internet, pas d'interactions avec tt décrit) • Physiothérapie • Contrôle avec audiogramme et VHIT à prévoir pour début de la semaine prochaine. Investigations ECG Laboratoire Gazo Hémocultures x2: à suivre Radiothorax CT abdominal (transmission orale, Dr. X): Pouchite avec atteinte de la dernière anse iléale. Pas d'obstruction, pas d'abcès, pas de liquide libre. Avis infectiologique (Dr. X): Traitement antibiotique avec Piperacillin/Tazobactam à prévoir. Avis gastroentérologique (Dr. X): Pas de stéroïdes à haute dose. Traitement antibiotique à débuter selon propositions infectiologiques. A évaluer l'évolution après 48 h et contacter Prof. X en cas de persistance des symptômes. Avis chirurgical (Dr. X): Hospitalisation chir. À jeun. Antalgie. Suivi clinique/biologique Traitement aux urgences • Aérosols: Atrovent/Ventolin • 1 l de NaCl i.v. Evolution aux urgences • Pas de nausées/vomissements, pas de diarrhée ATT • Hospitalisation • Antibiothérapie • Suivi biologique et clinique • Dose de stress Prednisone pendant l'hospitalisation puis sevrage • À contacter Prof. X en cas de non-amélioration. Il a été informé de l'hospitalisation • Bottes antithrombotiques • Coproculture à pister Investigations ECG Laboratoire Hémocultures x2: à pister Urines: à suivre Radiothorax U/S ciblé (Dr. X): cf. Examens complémentaires. CT abdominal injecté en accord avec Dr. X (Dr. X, transmission orale): Pancolite sans signes de complications. Sub-iléus grêle. Pas d'obstruction intestinale. Avis chirurgical (Dr. X): Pas d'indication chirurgicale. À évaluer sonde nasogastrique seulement en cas de vomissements. Traitement aux urgences • 600 mg Co-Amoxicilline i.v. Evolution aux urgences • Patient complètement asymptomatique aux urgences. ATT • Patient à jeun • Hospitalisation médecine • Antibiothérapie • Suivi clinique et biologique Investigations ECG Laboratoire Radiothorax Urines Uricult: à suivre Traitement aux urgences • Paracétamol 1 g i.v. • 2 g Rocephin i.v. Evolution aux urgences • Pas de plainte hormis une fatigue importante ATT • Antibiothérapie • Hydratation • Suivi clinique et biologique Investigations Laboratoire CT abdominale (Transmission orale, Dr. X): Stéatose hépatique connue. VB normales. CAVE: patient a bougé pendant l'examen. Cérébral: absence de saignements ou atteinte qui expliqueraient ECA. Evolution aux urgences • Aucune plainte abdominale ATT • À prévoir screening Hépatite E • Suivi biologique • À prévoir SAD pour prise de médicaments Investigations. Laboratoire. ECG. Avis ORL (Dr. X). Traitement aux urgences: • 125 mg Solumedrol i.v. • Aérosols d'Adrénaline 2 mg 2x • Aérosols de Ventolin à répétition. Evolution aux urgences: • Amélioration de la dyspnée et du stridor. Saturation à l'air ambiant toujours normale. Propositions: • Prednisone 30 mg pendant 3 jours • Collunosol spray • Dafalgan en R • Prorhinel. Mme. Y reconsultera en cas de dyspnée ou de péjoration clinique. Investigations Radio Avis ortho (Dr. X): Aucune fracture visualisée sur les radios. Pas de suspicion de lésions traumatiques à l'examen clinique. TT symptomatique Evolution aux urgences • Patient complètement asymptomatique aux urgences ATT • Traitement symptomatique Investigations Radiothorax Laboratoire Urines Traitement aux urgences • 2 g Rocéphine i.v. ATT • Antibiothérapie • Suivi clinique et biologique Iodothérapie élective Iodothérapie élective Iodothérapie élective le 21.01.2019 IOT (aux urgences) et ventilation mécanique du 18.01.2019 au 19.01.2019 CT cervico-cérébral le 18.01.2019 IOT (Cormack I) et ventilation mécanique du 20.01.2019 au 23.01.2019 VNI le 19.01.2019 et du 23.01.2019 au 27.01.2019 Bronchoscopie le 20.01.2019 (Dr. X) Bronchoscopie le 22.01.2019 (Dr. X): échec d'extraction corps étranger CT thoracique le 20.01.2019 Cathéter artériel radial gauche du 19.01.2019 au 27.01.2019 Ceftriaxone du 19.01.2019 au 21.01.2019 Clarithromycine du 19.01.2019 au 20.01.2019 Co-amoxicilline dès le 21.01.2019 pour 14 jours Noradrénaline le 19.01.2019 CT thoracique à 6 semaines IOT (Cormack 2) et ventilation mécanique du 25.01.2019 Atracrium en continu du 26.01.2019 au 28.01.2019 Analgo-sédation IOT et ventilation mécanique du 11.01.2019 au 12.01.2019 Cathéter artériel radial du 11.01.2019 au 12.01.2019 VVC jugulaire gauche du 11.01.2019 au 12.01.2019 IOT et ventilation mécanique du 16.01.2019 au 21.01.2019 Pipéracilline/Tazobactam du 16.01.2019 au 17.01.2019 Imipenem du 17.01.2019 au 21.01.2019 Ponction pleurale le 19.01.2019: transsudat IOT et ventilation mécanique le 04.01.2019 Co-amoxicilline dès le 04.01.2019 IOT (Cormack 3) dès le 04.01.2019 Ventilation mécanique dès le 04.01.2019 Ventilation par Heliox dès le 04.01.2019 (stop pour transfert) Cathéter artériel radial droit dès le 04.01.2019 VVC jugulaire interne gauche dès le 04.01.2019 Curares dès le 04.01.2019 Magnésium en IV continu dès le 04.01.2019 Salbutamol intraveineux dès le 04.01.2019 Kétamine dès le 05.01.2019 Co-Amoxicilline du 04.01 au 05.01.2019 Clarithromycine dès le 04.01.2019 Tazobac dès le 05.01.2019 IPP IV du 25.12.2018 au 27.12.2018 IPP po 3x/jour + Alucol dès le 27.12.2018 Sandostatine iv bolus le 26.12.2018 Fibrinogène 1 g le 26.12.2018 26.12.2018 1 CE 29.12.2018 1 CE OGD le 27.12.2018 par Dr. X Proposition IPP 2x/j puis nouvelle OGD de contrôle dans 2-3 semaines Sérologie H. pylori négative IPP 80 mg iv NaCl 500 ml Transfert à l'HFR Fribourg-Hôpital cantonal en ambulance IRA AKIN I dans contexte bradycardie/traitement par diurétiques IRA AKIN I de probable origine pré-rénale dans contexte de bradycardie et traitement par diurétiques IRA AKIN I d'origine mixte: • médicamenteuse • TSV, pré-rénale IRA AKIN I d'origine non déterminée • Dans contexte IRC KIDGO II (Créat de base 100-110 mmol/L) IRA AKIN I d'origine pré-rénale sur insuffisance rénale chronique avec créatinine à 163 umol/l et clairance de la créatinine à 39.3 ml/min selon Cockroft & Gault IRA AKIN I • GFR: 41 ml/min • FEUrée: • polykystose rénale IRA AKIN I sur IRC avec créatinine à 159 mcmol/l • GFR: 47 ml/min • FEUrée:___ IRA AKIN II d'origine mixte dans contexte IRC KIDGO II (Créat 117 mmol/L le 17.12.2018): • pré-rénale (diarrhée) • médicamenteuse (Torem) IRA AKIN II d'origine rénale sur probable nécrose tubulaire aiguë (dans le cadre d'une hypotension artérielle sur traitement anti-hypertenseur agressif), possible composante pré-rénale. IRA AKIN II le 17.12.18 d'origine pré-rénale probable sur manque d'apport et pertes insensibles dues à état fébril IRA AKIN III avec composante pré-rénale sur déshydratation et diarrhées, syndrome néphrotique débutant. DDx: Néphrite interstitielle dans contexte prise Co-Amoxicilline IRA AKIN III probablement d'origine pré-rénale sur déshydratation et diarrhées le 07.01.2019 DD: mixte sur néphrite interstitielle médicamenteuse (Co-Amoxicilline) • FeNa 0.5% • microalbuminurie 36 mg/24h • IRA Akin 1 (Clearance selon Cockroft 33 ml/min approximatif selon poids 75 kg) d'origine probablement prérénale • IRA AKIN 3 d'origine pré-rénale le 14.01.2019 • IRA AKIN 3 résolutive sur rhabdomyolyse (syndrome des loges MIG), sur IRC stade 1 • IRA avec Creat à 105 dans contexte d'IRC • IRA d'origine post-rénale le 28.12.2018 • Clearance 33 ml/min • IRA KDIGO III le 03.11.2018 sur nécrose tubulaire aiguë post-CEC • status post insuffisance rénale terminale avec allogreffe le 04.10.2010, fistule artério-veineuse • épuration extra-rénale le 04.11.2018 • relai du traitement de Prograf à l'Advagraf (CHUV) • taux résiduels de l'Advagraf sous 1 mg : 3.9 microg/l le 07.12.2018, 5.4 microg/l le 04.12.2018 • IRA KDIGO 1 avec créatinine à 116 micromol/l le 07.12.2018 (78 le 26.11.2018) et urée à 10.5 mmol/l • IRA pré-rénale dans un contexte d'insuffisance rénale chronique. • IRA sans critères AKIN d'origine pré-rénale • GFR calculée à 41 ml/min • chez patiente avec une polykystose rénale • IRA sans critères AKIN le 21.12.2018 prérénale dans le contexte septique : • acutisation sur Furosemide le 24.12.2018 • Irbesartan 300 mg, Simcora 40 mg/j Si changements dans l'ECG evt. bilan cardiologique • IRC d'origine rénale sur rein unique avec : • vessie de lutte sur prostatisme • IRC KDIGO G4 • IRC sur probable néphropathie diabétique et hypertensive Cardiopathie hypertensive, rythmique et pulmonaire sur : • Fibrillation auriculaire • HTAP sévère • FEVG conservé en 12.2017 Sinusite polypoïdale chronique maxillaire bilatérale à prédominance gauche, asymptomatique Obésité Surdité appareillée ddc Tremblement essentiel Hypotension orthostatique Troubles anxio-dépressifs Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec déconditionnement global Myélome multiple à chaînes légères lambda stade ISS IIIB, avec infiltration diffuse (>90%) du tissu hématopoïétique Toxidermie médicamenteuse avec DRESS le 12.11.2018 • Irfen, application de glace, nasivine Contrôle ORL dans 8 jours après détuméfaction • Irfen et Sirdalud, stoppé le 24.12 Thérapie physique • Irfen Amoxicilline comprimés de 750 mg 2x/j, 7 jours • Mr. Y est donc hospitalisé dans le contexte de déshydratation post-amygdalectomie. Aux urgences, il bénéficie d'un remplissage iv avec amélioration rapide de l'état général. Le bilan démontre une acidose métabolique sur déshydratation avec vomissement et diarrhée sans troubles électrolytiques et un léger syndrome inflammatoire. La perfusion est diminuée le 10.01 puis sevrée le 11.01 avec amélioration de la prise hydrique et solide sous traitement antalgique (Dafalgan, Algifor, Collunosol d'office). Au vu de l'absence de signes infectieux locaux et d'un patient apyrétique durant son séjour, nous n'introduisons pas d'antibiothérapie. Il peut rentrer à domicile le 11.01.2019 avec suivi ORL comme prévu initialement. • IRM : A priori les ligaments scapho-lunaire et luno-triquétral semblent être intacts. Kyste d'origine très probablement téno-synovial sur la face dorsale du poignet. • IRM : aucune récidive de hernie discale, avec tissu de granulation physiologique dans le cadre général post-opératoire autour de la racine S1. • IRM : cf diagnostic susmentionné. • IRM : chondrome de la même taille que celui réalisé en février 2018. Pas d'autre lésion associée. • IRM : comparativement à l'IRM de septembre 2018, nette diminution de la tendinite calcifiante. Actuellement, on trouve encore quelques dépôts calcaires dans le sus-épineux et dans le sous-scapulaire, mais la plupart des calcifications ont disparu. • IRM : confirmation d'une déchirure du ligament croisé antérieur qui semble être dans sa propre substance. Certaines fibres restent en continuité. LCP sp. Petite lésion en regard de la corne postérieure du ménisque interne, sans fragment libre, luxable ou luxé dans l'articulation. Lésion d'impact en regard du condyle fémoral externe. • IRM : confirme un kyste dans l'intervalle scapho-lunaire sans lésion du ligament scapho-lunaire. • IRM : décrite ci-dessous. Contrôle local sans particularité (liquide séro-sanguin en petite quantité à la pression). Il est réexpliqué à la patiente la nécessité de doucher la cavité malgré les douleurs. Prise en charge vendredi 04.01.2019 en policlinique de chirurgie (carte donnée à la patiente, elle prendra rendez-vous le 04.01.2019 au matin). • IRM : décrite ci-dessous. Examen clinique. Attelle alu syndactylie en extension. Antalgie, ergothérapie, contrôle à la policlinique dans 1 semaine. • IRM : décrite ci-dessous. Traitement symptomatique. Le patient souhaite faire le suivi sur le canton de Berne, données transmises par papier + CD avec imageries. Antalgie, arrêt de travail de 7 jours jusqu'à la suite à Berne : le patient va contacter le neurologue sur le canton de Berne. • IRM : intégrité au niveau du cartilage patellaire condylien et du plateau tibial. Intégrité des structures méniscales médiales et latérales sans fragment luxé. • IRM : intégrité de la masse méniscale médiale et latérale. Intégrité des collatéraux et pivot central. Cartilage sp. Il y a une zone de Hoffa irritée dans la portion antérieure et latérale. Aspect également remanié de cette structure. • IRM : intégrité des collatéraux et des structures méniscales internes et externes. Oedème osseux. Déchirure ligament croisé antérieur. • IRM : intégrité des structures ligamentaires latérales et centrales. Ménisque externe sp. Ménisque interne présente une déchirure avec probable languette dans la zone postérieure. • IRM : montre un petit kyste dans la gouttière des pouls mesurant environ 3 x 5 x 8 mm. • IRM : montre une lésion transfixiante des parties antérieures du sus-épineux. Pas d'autre pathologie visible. • IRM : n'apporte pas d'éléments majeurs. Il ne semble pas y avoir d'arthrose de l'IPD, ce kyste est strictement limité à la peau. • IRM : Oedème du trochiter, coiffe des rotateurs compétente. Bourrelet atteint mais sans aucun déplacement de celui-ci. • IRM : Pas à disposition. • IRM : Pas de visualisation de trait fracturaire en regard de la hanche droite, de l'ischion ou de l'hémi-bassin droit. Petit kyste dans le col fémoral gauche. • IRM : visualisation d'une anse de seau au détriment de la corne moyenne et postérieure du ménisque interne. Mise en évidence d'un oedème de l'os sous-chondral et d'un début d'arthrose fémoro-patellaire ainsi qu'en fémoro-tibial interne. • IRM : visualisation d'une déchirure au détriment du ligament croisé antérieur et intégrité des structures ligamentaires périphériques interne et externe. Absence d'altération en regard du ménisque interne et externe. • IRM : visualisation d'une déchirure de la corne postérieure du ménisque interne avec fragment. Pas d'oedème sous-chondral. Pas de lésion cartilagineuse au sens strict. Pas d'altération du signal des collatéraux ni du pivot central. • IRM : visualisation d'une déchirure du ligament croisé antérieur. Pas d'altération en regard des collatéraux, ni des structures méniscales interne ou externe. Absence d'atteinte cartilagineuse. Zone de contusion osseuse du condyle. • IRM : visualisation d'une ébauche d'arthrose fémoro-tibial interne sans oedème de l'os sous-chondral, sans lésion méniscale si ce n'est un aplatissement de la corne postérieure du ménisque interne. Pas de fragment luxé de l'articulation de la portion antérieure. • IRM : visualisation d'une entorse grade II à III en regard du LLI qui est déchiré en zone proximale. Intégrité des structures méniscales internes. Déchirure du ligament croisé antérieur. • IRM : visualisation d'une fracture-arrachement au pied du LCA en regard de l'épine. Intégrité des structures méniscales et des ligaments périphériques. LCP sans particularité.IRM : Visualisation d'une grosse entorse de grade II voire III en regard de l'origine fémorale du collatéral médial. Les fibres restent toutefois en continuité et il n'y a pas de lésion incarcérée dans l'articulation. Ménisque interne sans particularité. Entorse également en regard du collatéral latéral surtout dans son insertion péronière. Les fibres restent toutefois en continuité. Pas d'altération du ménisque externe. Fracture du plateau tibial externe dans sa portion surtout postéro-latérale et centrale. Les zones de charge restent intègres. Fracture-arrachement et déchirure du LCA dans une partie et avulsé depuis l'origine. Toutefois elle n'entre pas en conflit avec l'échancrure. IRM : Visualisation d'une intégrité de la greffe de la plastie du LCA. Il n'y a pas de lésion cartilagineuse, pas de lésion cicatricielle au pied de la plastie. Brèche horizontale en regard de la corne postérieure du ménisque interne mais pas de fragment luxé ou luxable dans l'articulation. IRM : Visualisation d'une intégrité de la syndesmose. Visualisation d'un fragment osseux arraché au détriment de la malléole interne, pouvant correspondre à un fragment ostéochondral. IRM : Visualisation d'une intégrité des structures cartilagineuses des 3 compartiments et absence de lésion du ménisque interne et externe. Fémoro-patellaire sp. IRM : Visualisation d'une intégrité des structures herniaires et osseuses au niveau de la colonne dorso-lombaire. Il y a des signes indirects de maladie de Scheuermann. Mesure scoliotique et mesure de la cyphose inférieures à 30°. IRM : Visualisation d'une petite déchirure au détriment de la corne moyenne du ménisque interne. IRM : Visualisation d'une zone d'impaction en regard du plateau tibial externe sans élément ligamentaire associé. IRM : Visualisation d'une zone d'oedème en regard de la zone supra-malléolaire interne sans trait fissuraire visualisé. IRM : Visualisation d'une zone kystique en regard du plateau tibial externe en-dessous du ménisque. Ce dernier est extrusé de l'articulation et fortement oedémacié. Arthrose avec disparition cartilagineuse du plateau et du condyle externe. IRM : Voir diagnostic susmentionné. IRM : voir diagnostics susmentionnés. IRM à Affidéa et consultation chez Dr. X. IRM à Givision. Prochain contrôle le 14.01.2019. IRM à Payerne le 18.01.2019 Prochain contrôle le 24.01.2019. IRM à prévoir IRM à prévoir IRM à prévoir IRM à prévoir IRM amenée par le patient : met en évidence une lésion intra-tendineuse du sus-épineux avec une boursite sous-acromiale. Arthropathie AC non active. IRM apporté par le médecin traitant : labrum en bon état. Bankart non osseux. IRM au CHUV le 17.01.2019 EEG au CHUV le 17.01.2019 EEG le 18.01.2019 : foyer fronto-temporal Gauche Lévétiracétam 2 gr/j et Lacosamide 300 mg 2x/jour dès le 18.01.2019 Dexaméthasone du 18 au 22.01.2019. IRM au CIF Prochain contrôle en antalgie le 13.02.2019 Prochain contrôle le 18.02.2019. IRM avec séquences discales du 25.01.2019 : les séquences vasculaires montrent une hydratation dans la norme inférieure. Pas de différence significative d'hydratation entre les disques, disque L2-L3 étant éventuellement le plus touché. IRM avec séquences discales le 25.01.2019 Prochain contrôle le 29.01.2019. IRM cardiaque en ambulatoire (centre Affidea) le 24.01.2019 Consultation en cardiologie avec ETT de contrôle le 29.01.2019 Contrôle de la fonction rénale chez le médecin traitant vu introduction de Coversum. IRM cérébrale IRM cérébrale au CHUV le 17.01.2019 EEG au CHUV le 17.01.2019 EEG le 18.01.2019 : foyer fronto-temporal gauche irritatif EEG le 21.01.2019 : crise électrique de 1 min. pendant l'enregistrement ; proposition de majorer le Keppra à 1 g 3x/j EEG le 22.01.2019 : persistance foyer fronto-temporal gauche connu, poursuite traitement actuel ; suivi clinique encore 48h. Avis neurologique (Prof. X) Lévétiracétam 1 g 2x/j du 18.01 au 20.01.2019, puis 1 g 3x/j dès le 21.01.2019 Lacosamide 300 mg 2x/j dès le 18.01.2019 Dexaméthasone du 18.01 au 22.01.2019 (diminution effet de masse sur récidive de glioblastome). Taux de Lévétiracétam (cible 20.0-40.0 ug/ml) - le 23.01.2019 : infrathérapeutique à 15.8 ug/ml - le 28.01.2019 : en cours. Taux de Lacosamide (cible 1.0-10.0 ug/ml) - le 23.01.2019 : 10.1 ug/ml - le 28.01.2019 : en cours. IRM cérébrale avec les vaisseaux précérébraux le 14.01.2019 Duplex transcrânien et des vaisseaux précérébraux le 18.01.2019 Poursuite de la double antiagrégation Atorvastatine 80 mg. IRM cérébrale avec les vaisseaux précérébraux le 14.01.2019 Duplex transcrânien et des vaisseaux précérébraux le 18.01.2019 Poursuite de la double antiagrégation. Traitement hypolipémiant Atorvastatine 80 mg. IRM cérébrale Consultation en neuropsychologie Contrôle chez nous par la suite. IRM cérébrale demandée par son médecin traitant. Bilan sanguin : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Avis neurologue de garde HFR Fribourg : Aspirine Cardio 500 mg iv en ordre unique. Avis du neurologue de garde. CT-scan injecté vaisseau précérébraux et intracérébraux : décrit ci-dessous. Aspirine 100 mg et Atorvastatine 40 mg dès le 05.01.2018. Bilan de déglutition à faire à l'HFR. Transfert à l'HFR Fribourg, départ en ambulance. IRM cérébrale du jour : remaniement post-opératoire avec hypersignal flair sur le cortex bifrontal jusqu'au corps calleux sans mise en évidence d'une récidive de lésion. Cavité porencéphalique pleine de LCR sans signe d'infection ni de deuxième lésion. Vaisseaux de la circulation antérieure perméables ddc. Tige hypophysaire sans adénome et sans hypersignal. IRM cérébrale du jour : visualisation de la cavité chirurgicale sans récidive de la lésion à mon avis (pas de rapport disponible de la part du radiologue actuellement). IRM cérébrale du jour : Lésion avec les mêmes caractéristiques, sans réaction oedémateuse péri-lésionnelle. Sur le plan dimensionnel, croissance de 0.9mm. IRM cérébrale du 11.01.2019 : Pas possible d'affirmer la disparition complète de la métastase au vu de l'état inflammatoire normal jusqu'à 3 mois post-opératoires. IRM réalisée afin de programmer la radiothérapie. IRM cérébrale du 14.12.2018 : IRM dans les limites de la norme. Pas de signe en faveur d'un abcès ou d'une encéphalite. IRM cérébrale du 22.01.2019 Bilan hormonal : FSH, LH, TSH dans la norme, Prolactine légèrement élevée à 21.6 micromol/L et IGF-1 dans la norme. Avis neurochirurgical le 22.01.2019 : suspicion de macro-adénome hypophysaire, Inselspital au courant du cas, la patiente sera convoquée une fois les résultats de la biopsie et laboratoire complet. IRM cérébrale du 29.01.2019 : rapport en annexe Bilan sanguin du 29.01.2019 : copie jointe. IRM cérébrale en ambulatoire Neuroleptiques Benzodiazépine Catapresan le 25.01.2019. IRM cérébrale en urgence le 29.01.2019 Surveillance hémodynamique Avis Neurochirurgical Dr. X, Inselspital Transfert aux urgences pédiatriques de l'Hôpital de l'île (Dr. X) Bilan biologique 29.01.2019 : en annexe. IRM cérébrale et cervicale du jour : pas d'altération aigüe au niveau intra-crânien liée au traumatisme, ni au niveau parenchymateuse ni au niveau des nerfs crâniens. Au niveau cervical, troubles dégénératifs pluri-étagés C3-C4, C4-C5, C5-C6, C6-C7 sans symptôme clinique (pas de compression foraminale ni au niveau médian, pas de hernie discale, pas de fracture).IRM cérébrale et des vaisseaux précérébraux le 08.01.2019 dans la norme • ABCD-2 score à 4 avec risque modéré de récidive d'AVC • Pas d'anticoagulation au vu des risques de saignement IRM cérébrale le 10.01.2019 : IRM cérébrale le 10.01.2019 : le système ventriculaire est de morphologie normale. Les structures de la ligne médiane sont en place. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Pas de signe de saignement intracrânien. Absence de restriction pathologique de la diffusion. Sur la séquence T2 FLAIR, mise en évidence d'une hyperintensité de signal punctiforme dans la substance blanche sous-corticale frontale droite, aspécifique. Absence de rehaussement pathologique aux étages supra- et infra-tentoriels. Pas de thrombose des sinus veineux. La séquence vasculaire centrée sur le polygone de Willis ne met pas en évidence de dilatation anévrismale, d'occlusion vasculaire ni de sténose significative. Les cavités sinusiennes de la face sont libres. Conclusion : pas de lésion ischémique décelée Test de Schellong, le 11.01.2019 : chute de 20 mmHg TAS à la station debout mais compensation de la fréquence cardiaque conservée et patiente asymptomatique. ETT le 11.01.2019 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTP (PAPs à 29 mmHg). Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). Absence d'épanchement péricardique. IRM cérébrale le 11.01 : normale. Consignes d'hydratation et de lever progressif données au vu de la composante orthostatique du malaise du 22.12.18. IRM cérébrale le 14.01.2019 (comparatif IRM du 29.06.2015) : absence d'argument en faveur d'une lésion ischémique récente. Atrophie cortico-sous-corticale modérée et diffuse en lien avec l'âge du patient. Hyper-intensités de signal en région frontale en lien avec des lésions séquellaires ischémiques (cf comparatif), ainsi que des plages d'hypersignal péri-ventriculaires dans la substance blanche profonde en lien avec une leucoaraïose. Perte de signal étagée du segment V4 et des artères vertébrales ainsi que du tronc basilaire proximal intermédiaire superposable au comparatif avec toutefois perméabilité en aval. Pour rappel, variante anatomique du polygone de Willis avec origine fœtale des artères cérébrales postérieures. IRM cérébrale le 15.01.2019 Retard d'introduction de l'Eliquis IRM cérébrale le 16.01.2019 Suivi psychiatrique ambulatoire IRM cérébrale le 18.12.2018 (externe) : deux lésions intra-axiales de la fosse postérieure, la plus grande de 25 mm se trouve dans le vermis cérébelleux, la plus petite de 8 mm dans le lobe latéral gauche du cervelet, en faveur de lésions métastatiques. Effet de masse sur le V3 provoquant une hydrocéphalie non totalement obstructive avec résorption trans épendymaire. CT cervico-thoraco-abdo-pelvien le 19.12.2018 : métastases cérébelleuses, développement de métastases ganglionnaires rétropéritonéales inter-aorto-cave et rétro-cave et iliaque droite. IRM cérébrale le 23.01. IRM cérébrale le 27.12.2018 : absence de lésion ischémique aiguë. Atrophie cortico-sous-corticale modérée en lien avec l'âge du patient. Physiothérapie de mobilisation IRM cérébrale normale (février 2018) avis neuropédiatrique CHUV octobre 2018 (Dr. X) sophrologie, massage, soutien scolaire. Magnésium sans effet, diminuait son appétit. IRM cervicale : Inversion de la courbure physiologique en C4-C5, pas d'autre altération sur l'IRM. IRM cervicale à Givision le 21.01.2019 : rapport définitif en cours de rédaction, patiente va l'amener à la consultation en équipe Spine. Radiographies de la colonne cervicale en flexion antérieure et extension postérieure : pas de listhésis. Avis équipe Spine (Dr. X). Attitude (discutée avec Dr. X) : • antalgie et anti-inflammatoire, Sirdalud pendant 7 jours. • minerve mou pendant 2 semaines la journée. • pas d'activité sportive jusqu'à nouvel avis. • physiothérapie. • arrêt de travail. • contrôle clinique en orthopédie équipe Spine dans 2 semaines. IRM cervicale à Riaz le 07.01.2019 Prochain contrôle le 10.01.2019 IRM cervicale du jour (PACS) : altérations cervicales pluri-étagées avec discopathie C5-C6 et C6-C7, associées à un rétrécissement foraminal surtout du côté gauche, soit en raison de la composante antérieure discopathique soit en raison d'une arthrose des éléments postérieurs. Nous ne sommes pas sûrs de visualiser une altération de la densité centro-médullaire et donc n'avons pas de preuve pour une contusion centro-médullaire. IRM cervicale du jour (PACS) : cadre arthrosique pluri-étagé, déjà connu, avec un rétrécissement foraminal C5-C6 à gauche ainsi qu'une irritation compressive de la racine C6 ipsi-latérale. IRM cervicale du jour (PACS) : pas d'hypersignal au niveau ligamentaire ni au niveau discal. IRM cervicale du jour (PACS) : sans particularité, sauf statut post-mise en place d'une cage C5-C6. IRM cervicale du jour (PACS) : pas d'arthrose facettaire. Pas de hernie. Foramens libres. Pas de compression nerveuse. IRM colonne lombaire du jour (PACS) : arthrose facettaire avec hypertrophie du ligament jaune L4-L5. Sténose foraminale L4-L5 D sur protrusion discale et hypertrophie ligamentaire. Antélisthésis de L4 sur L5 grade I selon Meyerding. IRM cervicale du 12.11.2018 : fracture connue du massif articulaire droit C6-C7 avec un petit fragment osseux déplacé déjà décrit sur le compte rendu de l'examen précédent, responsable d'un rétrécissement foraminal modéré avec une possible contrainte radiculaire. Scanner du rachis cervical du 19.11.2018 : persistance d'une fracture comminutive avec minime déplacement au niveau de l'articulation zygapophysaire C6-C7 droite, responsable d'un rétrécissement du foramen de conjugaison. Persistance d'un trait de fracture du processus transverse gauche du corps vertébral D1-D2 sans déplacement. Absence de hernie discale et de conflit disco-radiculaire mis en évidence. IRM cervicale le 04.07.2018 (CIF) Prochain contrôle le 18.07.2019 IRM cervicale le 24.01.2019 Prochain contrôle le 24.01.2019 IRM cervico-lombaire début janvier 2019 (PACS) : troubles dégénératifs pluri-étagés au niveau cervical avec discopathie C3-C4, C4-C5, C5-C6. Troubles arthrosiques au niveau foraminal qui provoquent un rétrécissement responsable du conflit radiculaire C6 gauche. Ces troubles peuvent justifier la symptomatologie du patient. Au niveau lombaire, aucun trouble dégénératif avancé. Discopathie au niveau L5-S1 sans hernie discale. IRM cheville D du jour : pas de solution de discontinuité tendineuse avec un tendon épaissi dans la zone de suture. Le reste de l'examen est dans la norme. IRM cheville D du 14.01.2019, natif et injecté : arrachement du bord postéro-latéral de l'astragale. Sévère inflammation autour du tendon péronier. Lésions partielles du ligament deltoïde et du ligament collatéral externe. IRM cheville D du 17.01.2019 : stigmates de fracture du Volkmann compatibles avec un retard de consolidation. Pas d'hypersignal en regard du foyer de fracture qui est bien visible. Pas de lésion ostéochondrale. Œdème osseux bien limité à la malléole interne et dans la région du deltoïde, mais pas de solution de continuité. Discret œdème superficiel supra-malléolaire interne compatible avec une périostite. Pas d'argument en faveur de la syndesmose antérieure.IRM cheville D du 21.01.2019: cicatrice de 0,75 x 1,75 cm dans la substance du tendon d'Achille à 5,5 cm de la partie distale de l'insertion calcanéenne. Le tendon est suivi sur toute sa longueur sans rupture de continuité. Le plantaire grêle est suivi dans toute sa longueur sans discontinuité. IRM cheville D du 28.01.2019: outre les diagnostics susmentionnés, nous objectivons un tendon tibialis postérieur qui est compétent sur tout son trajet. IRM cheville D 05.10.2018 Angio-CT MID 11.10.2018 Rx calcanéum D 13.11.2018 IRM cheville G du 31.01.2019: l'image montre un contenu liquidien homogène, bien organisé avec une capsule périphérique, qui n'est pas d'origine veineuse. Les tissus jacents présentent un aspect inflammatoire. Pas d'origine artérielle ou veineuse. IRM chez Affidea le 23.01.2019. Prochaine consultation le 24.01.2019. IRM CIMF Fribourg Labo Avis neuro-chirurgical (Dr. X): débuter dexamethasone avec une dose de charge à 8 mg i.v., puis continuer 3x 4 mg/j, débuter Keppra avec dose de charge de 1 g p.o., puis continuer à 500 mg 2x/j Thérapie: • Fortecortin 8 mg i.v. • Leviteracetam 1 g p.o. Attitude: • Hospitalisation en chirurgie pour corticothérapie: surveillance de la symptomatologie neurologique (amélioration sous corticothérapie ?) • Opération prévue (date à définir) IRM colonne cervicale du jour (PACS): discrète discopathie multi-étagée du rachis cervical stable comparativement au cliché du 18.05.2016. IRM colonne cervicale du jour (PACS): pas de compression cervico-médullaire importante au vu du pannus connu au préalable. Perte de lordose cervicale avec discopathie dégénérative pluri-étagée. Sténose foraminale pluri-étagée prédominante en C3-C4 et C4-C5 du côté droit. IRM colonne cervicale du jour (PACS): pas de signe de sténose ni de myélopathie. IRM colonne cervicale du jour (PACS): rétrécissement foraminal C5-C6 D sur composante arthrosique et disco-herniaire, en conflit avec la racine C6 D. IRM colonne cervicale du jour (PACS): rotation de la Dens liée à un torticolis post-traumatique. IRM colonne cervicale du 03.01.2019 (PACS): stabilité comparée au mois de juin 2018 avec troubles dégénératifs pluri-étagés notamment de C4 à C7 avec discopathie et perte de lordose cervicale sans réelle compression médulaire ni radiculaire. Suspicion d'un petit rétrécissement foraminal C6-C7 gauche. IRM colonne cervicale du 03.01.2019 (PACS): stabilité comparée avec le cliché de 2018 avec troubles dégénératifs pluri-étagés notamment entre C4 et C7 avec discopathies et perte de lordose cervicale sans réelle compression médulaire ni radiculaire. Suspicion de petit rétrécissement foraminal C6-C7 bilatéral. RX colonne cervicale f/p et oblique du jour (PACS): impression de rétrécissement foraminal plus marqué en C6-C7 mais du côté droit, dans une moindre mesure du côté gauche. IRM colonne cervicale du 03.12.2018 (PACS): sténose foraminale G en C4-C5 et sténose foraminale D en C5-C6. Discopathie pluri-étagée C4-C5 et C5-C6 avec légère protrusion discale sans compression médullaire. IRM colonne cervicale du 07.01.2019 (PACS): Status post-spondylodèse C3-C6. Pas de récidive herniaire C3-C4 ni C4-C5. Léger rétrécissement neuro-foraminal C5-C6, plus marqué à G qu'à D. Pas d'autre lésion visible. IRM colonne cervicale du 09.01.2019 (PACS): hernie discale C5-C6 d'allure ancienne et C6-C7 d'allure récente. IRM colonne cervicale du 11.12.2018 (PACS): discopathie multi-étagée avec protrusion discale à base large et rétrécissement foraminal bilatéral en C4-C5 et hernie discale C6-C7 à base large avec rétrécissement foraminal C7 bilatéral, sans myélopathie. IRM colonne cervicale du 11.12.2018 (PACS): discopathie multi-étagée. Hypertrophie du ligament longitudinal antérieur. IRM colonne cervicale du 13.11.2018 (PACS): uncarthrose et discopathie pluri-étagée avec rectitude de la colonne cervicale. Rétrécissements canalaires et foraminaux pluri-étagés, surtout marqués en C6-C7 avec compression de la racine C7 G. IRM colonne lombaire du 01.03.2018 (PACS): sténose canalaire lombaire multi-étagée, surtout marquée en L4-L5 avec rétrécissement foraminal L4-L5 G et probable compression radiculaire L4 G, pouvant justifier les douleurs. IRM colonne cervicale du 16.10.2018 (CIMF): discopathie et uncarthrose pluri-étagée C4-C5, C5-C6 et C6-C7 avec rétrécissement foraminal C4-C7, surtout à D, prédominant au niveau C4-C5. Pas de signe de myélopathie. IRM colonne cervicale le 04.01.19 RX colonne lombaire le 03.01.2019 RX hanche droite le 02.01.2019 RX Thorax le 02.01.2019 CT cérébral natif le 02.01.2019 CT colonne cervicale natif le 02.01.2019 IRM colonne lombaire avec séquences discales le 17.01.2019 Prochain contrôle le 29.01.2019 IRM colonne lombaire avec séquences discales le 25.01.2019 Prochain contrôle le 29.01.2019 IRM colonne lombaire de ce jour: minime hernie discale para-médiane gauche en L4-L5. Très légère sténose foraminale L5-S1 à droite. IRM colonne lombaire de 2017 (Givision, Bulle): discopathie dégénérative avancée au niveau L5-S1 avec petite protrusion discale, sans conflit radiculaire. IRM colonne lombaire décembre 2018: discrète discopathie L5-S1 avec petite protrusion discale médiane venant en contact de la racine S1 sans vraie compression. Arthrose facettaire L5-S1 modérée. Bon alignement de la colonne sans mise en évidence de compression radiculaire claire. IRM colonne lombaire du jour (PACS): Cf. diagnostic. IRM colonne lombaire du jour (PACS): fracture fraîche de L1. Antélisthésis de grade I de L4 sur L5. IRM colonne lombaire du jour (PACS): listhésis grade I selon Meyerding de L4 sur L5 avec canal lombaire étroit et rétrécissement foraminal ddc, justifiant bien la symptomatologie. IRM colonne lombaire du jour (PACS): rapport du radiologue en attente. IRM colonne lombaire du jour (PACS): récidive de sténose lombaire L3-L4 par rapport à l'IRM de février 2017, sur cicatrice et nouvelle hypertrophie ligamentaire et facettaire. IRM colonne lombaire du jour (PACS): scoliose sinistro-convexe sans véritable hernie discale ni compression radiculaire. IRM colonne lombaire du jour (PACS): vertébroplasties sans particularité. Nouveaux tassements D9 et D10. Aggravation du tassement L2. IRM colonne lombaire du jour, rapport du radiologue IRM colonne lombaire du 12.12.2018 (PACS): sténose canalaire avec compression récessale de la racine L5 à droite sur hypertrophie du ligament jaune et protrusion discale à base large. Troubles dégénératifs multi-étagés sans autre compression évidente. IRM colonne lombaire du 14.01.2019: sacro-iléite gauche avec arthrose facettaire pluri-étagée plus marquée en L4-L5 et L5-S1 sans signe de lésion maligne secondaire métastatique. Pas de prise de contraste pathologique autre. Pas de rétrécissement radiculaire, foraminal ou récessal. IRM colonne lombaire du 14.01.2019 (PACS): Cf. diagnostic. IRM colonne lombaire du 16.01.2019 (PACS): lésion dégénérative du rachis lombaire avec fragment discal en contact avec la racine L5 G. IRM colonne lombaire du 18.01.2019 (PACS): hyperintensité STIR pour les niveaux D12 et L1 où l'on remarque une fracture qui n'avait pas été mise en évidence au CT. IRM colonne lombaire du 26.10.2018 (apportée par le patient): Cf. diagnostic. IRM colonne lombaire du 27.12.2018 (CIF): rétrécissement foraminal L5-S1 G. Zygarthrose L5-S1 bilatérale, en possible conflit avec les racines L5 G et S1 D, sans aggravation du cadre anatomique par rapport à l'IRM de 2017. RX colonne cervicale face/profil du jour (PACS): uncarthrose pluri-étagée. IRM colonne lombaire et bassin du 18.01.2019: Bassin: suspicion d'une fracture de fatigue du col fémoral G avec extension de l'œdème à la partie postérieure de la tête fémorale. Coxarthrose bilatérale connue. Kyste arthro-synovial à la partie postérieure et supérieure de l'articulation coxo-fémorale droite. Colonne lombaire : Par rapport au 24.6.2018, pas de changement significatif des lésions dégénératives de la colonne lombaire avec des rétrécissements neuroforaminaux modérés, multi-étagés, un statut après OP pour hernie discale L5-S1 avec laminectomie partielle L5 D, mise à l'étroit de la racine S1 dans le récessus (probablement dans le contexte des remaniements post intervention) et rétrécissement neuroforaminal L5-S1 D, d'origine dégénérative multifactorielle. Arthrose facettaire L3-L4, L4-L5 avec hypertrophie des ligaments jaunes. IRM colonne lombaire le 17.01.2019 (CIF) Evaluation neurologique au Neurocentre (merci de convoquer Mr. Y) Prochain contrôle suite à ces investigations IRM colonne thoraco-lombaire, le 30.11.2018 IRM colonne totale du 21.01.2019 (PACS) : hernie C6-C7 para-médiane droite sans compression significative du canal médullaire. IRM coude D à Affidéa le 21.12.2018 : tendon du biceps brachial en distalité, au niveau de son insertion de la tubérosité radiale, est déchiré. IRM de ce jour : présence de laxité du LCA. Pas de cyclo. Pas de guérison du siège de prélèvement en correspondance de la rotule distale. IRM de contrôle à 12 mois IRM de contrôle ce jour : abcès du pli interfessier proximal 2x1.5cm incisé le 01.01.2019. IRM de la cheville G du 08.01.2019 : œdème au niveau des têtes des II et III métatarses et présence d'un névrome de Morton du 3ème espace inter-capito-métatarsien. IRM de la colonne cervicale le 07.01.2019. Contrôle et discussion du résultat IRM à la consultation du Dr. X le 08.01.2019. IRM de la colonne lombaire native : examen effectué de D11 jusqu'au sacrum. Hauteur des corps vertébraux conservée sauf en L1 où l'on met en évidence un tassement de la partie antéro-supérieure de ce corps vertébral. Ceci se caractérise par une perte de hauteur, une altération de signal de l'os spongieux sous la forme d'une hyperintensité de signal T2 Fat Sat hypointensité de signal T1. Pas d'atteinte des structures postérieures. Sur les coupes en pondération T2 et saturation de graisse, on ne met pas en évidence de distorsion du ligament inter-épineux ou supra-épineux. Pas d'hématome dans le canal spinal. Les neuroforamens D12-L1 ddc sont libres. L1-L2, L2-L3, L3-L4 : pas de discopathie significative. Taille des neuroforamens et du canal spinal dans la norme. L4-L5, L5-S1 : discopathie se caractérisant par une protrusion discale à large rayon de courbure plus marquée en L5-S1 qu'en L4-L5, sans conflit disco-radiculaire, sans rétrécissement neuroforaminal significatif ddc. La taille du canal spinal est normale. La portion examinée du cordon médullaire se présente normalement. Pour le reste, musculature para-vertébrale (y compris muscles psoas) symétrique. Pas d'adénopathies visibles dans les portions examinées du rétro-péritoine. La portion examinée de l'aorte abdominale se présente normalement. CONCLUSION : tassement du plateau antéro-supérieur de L1 (stade A1 classification AOSpine). Pas d'atteinte des structures postérieures, pas de lésion ligamentaire inter-épineuse ou supra-épineuse. Tous les neuroforamens sont libres. La taille du canal spinal est normale. Pas d'hématome épidural. (Dr. X). IRM de la colonne lombaire native du 11.01.2019 : discopathies multiétagées avec un rétrécissement neuroforaminal de haut degré L3-L4 G dont l'importance est à corréler à la clinique. Rétrécissement également du neuroforamen relativement marqué L1-L2 D d'origine multifactorielle. IRM de la main, du poignet et des doigts gauches native : le tendon fléchisseur est continu, de signal conservé. Le tendon extenseur est continu, de signal conservé avec bonne visibilité de la bandelette centrale et des bandelettes latérales. Mise en évidence d'un important hypersignal œdémateux au niveau de la gaine du tendon fléchisseur du 4ème rayon au niveau de la face antérieure de la membrane interosseuse et le long des languettes latérales des expansions fibreuses latérales. Pas d'anomalie de signal des structures osseuses explorées. Pas d'épanchement articulaire significatif décelable. CONCLUSION : pas de signe d'atteinte du tendon extenseur, des bandelettes latérales et des bandelettes centrales. Pas d'anomalie des structures osseuses d'allure traumatique. Important œdème au niveau des espaces interdigitaux entre 3ème, 4ème et 5ème rayon. (Dr. X). IRM de l'abdomen native : en confrontation avec l'échographie du 06.01.2019, on retrouve un foie de taille normale, à bords et contours réguliers sans lésion focale visible. Empierrement vésiculaire sans signe d'épaississement des parois, ni de liquide libre. Cholédoque à 3-4mm de diamètre. Au niveau distal du cholédoque, 2 calculs de 5 et 3mm de diamètre. Pas de distension des voies biliaires intra-hépatiques. Le pancréas est de petite taille et sp. Rate de taille normale, homogène. Les reins sont de taille normale. Présence de plusieurs formations rondes discrètement hyper-intenses en pondération T2, hétérogènes, nettement hypo-intenses en pondération T2 avec saturation de graisse répartie dans l'ensemble du cortex rénal D. La structure la plus volumineuse se trouve au niveau du pôle supérieur et mesure 3cm de diamètre. Le signal est également hétérogène en pondération T1 en phase et en opposition de phase, ces structures correspondent aux multiples angiomyolipomes connus. Un kyste cortical polaire inférieur à parois fines et contenu liquidien de 2,8cm de diamètre. Un kyste cortical présent également à G. Pas de dilatation pyélocalicielle ddc. Pas de liquide libre à l'étage sus-mésocolique. CONCLUSION : empierrement vésiculaire. Pas de signe de cholécystite. 2 calculs du bas cholédoque de 5 et 3mm de diamètre sans dilatation des voies biliaires d'amont. Multiples angiomyolipomes connus du rein droit. (Dr. X). IRM de l'abdomen native et injectée le 03.01.2019 : perte de trophicité de la glande pancréatique. Plusieurs petites lésions kystiques millimétriques de la queue, du corps et de la tête du pancréas, aspécifiques. Dans le DD on doit évoquer en 1er lieu des IPMN. Des contrôles par IRM sont souhaitables. Statut post-cholécystectomie. Multiples kystes d'allure simple des 2 reins. Hernies ombilicale et supra-ombilicale sans signe de strangulation. Hernie hiatale. IRM de l'abdomen native et injectée le 03.01.2019. Gastro-coloscopie en ambulatoire le 31.01.2018. IRM de l'épaule D du jour : récidive de rupture du tendon du sus-épineux avec lésion partielle du sus-épineux, tendon du sus-scapulaire avec rupture partielle. Absence du tendon du long chef du biceps. IRM décembre 2018 (Clinique privée) : discopathie dégénérative avancée au niveau L5-S1 avec dessiccation complète du disque et protrusion discale qui montre un conflit disco-radiculaire avec la racine S1 à gauche. IRM dorsale du jour (PACS) : pas d'hypersignal sur les séquences STIR au niveau osseux sur toute la colonne dorsale, ni au niveau ligamentaire ou des épineuses. IRM dorsale/lombaire 19.12.2018 CT scanner colonne lombaire 19.12.18 IRM lombaire avec produit de contraste 20.12.2018 IRM du genou D du 20.01.2019 : contusion osseuse du condyle fémoral externe, du plateau tibial externe avec impaction cartilagineuse du condyle. Lésion du LCA. Statut post distorsion modérée du ligament collatéral interne. IRM du genou G : lésion en anse de seau du ménisque interne. Pas d'autre lésion mise en évidence. IRM du genou G du 14.01.2019 : zone d'impaction du plateau externe du tibia avec un trait de fracture sans déplacement ni marche d'escalier.IRM du genou gauche du 11.01.2019 : lésion complexe de la corne postérieure du ménisque interne. Inflammation du ligament croisé antérieur et de moindre importance du ligament collatéral interne. Pas de mise en évidence de déchirure ligamentaire. Pas de lésion cartilagineuse visualisée. IRM du jour : bonne consolidation osseuse en correspondance des épines. IRM du jour : entorse du LLI. Pas d'autre lésion associée. Bonne ostéo-intégration du morceau ostéocartilagineux fixé avec une couche de cartilage au-dessus. IRM du jour : pas de lésion de la coiffe, minime lésion SLAP, intégrité du tendon bicipital. Pas de fuite du produit de contraste hors articulation. IRM du jour : pas de lésion fraîche des ménisques. Bon état du cartilage. IRM du jour : présence d'arrachement du MPFL avec petit arrachement osseux. Contusion osseuse en correspondance de la rotule médiale et du fémoro-latéral. Pas d'autre lésion associée. IRM du jour colonne cervicale : bon alignement avec discopathie dégénérative surtout en C6-C7 avec débord discal à base large et rétrécissement foraminal à droite. RX colonne totale du jour : bon alignement de la colonne et discrète hyper-cyphose dorsale sans nette scoliose. Pas de fracture. IRM du jour : pas de mise en évidence de compression radiculaire ni foraminale. Bonne tenue des disques adjacents. IRM du mois de janvier : pas de récidive de la lésion. Nous n'avons pas les images en notre possession ce jour, elles ont été consultées par le biais d'Internet grâce au code écrit sur le rapport du radiologue. IRM du neurocrâne du 11.12.2018 : séquelles d'AVC ischémique avec très probable ancienne transformation hémorragique para-trigonale gauche, avec dépôt d'hémosidérine locorégionale corticale. IRM du neurocrâne et des carotides du 27.12.2018. CT des tissus mous du cou du 27.12.2018. D-Dimères à 756 ng/ml. Avis angiologie Dr. X. Avis hématologie Dr. X. IRM du neurocrâne natif et injecté : le système ventriculaire est de taille et de morphologie normales. Les espaces sous-arachnoïdiens sont bien définis. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Les structures de la ligne médiane sont en position correcte. Sur les coupes en diffusion, pas d'argument pour une lésion ischémique aiguë. Sur les coupes T2*, pas de saignement. Sur les coupes T2 FLAIR, pas de lésion significative de la substance blanche. Sur les coupes T1, la substance grise périphérique et les noyaux gris centraux sont bien définis. Après injection i.v. de Gadolinium, pas de prise de contraste pathologique intra-axiale. Les sinus veineux sont perméables. Cavités sinusiennes de la face et cellules mastoïdiennes normalement pneumatisées. Orbites sans particularité. CONCLUSION : IRM cérébrale dans les limites de la norme. IRM du neurocrâne natif et injectée : le système ventriculaire est de taille et de morphologie normales. Les espaces sous-arachnoïdiens sont bien définis. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Les structures de la ligne médiane sont en position correcte. Sur les coupes en diffusion, pas d'argument pour une lésion ischémique aiguë. Sur les coupes T2*, pas de saignement. Sur les coupes T2 FLAIR, pas de lésion significative de la substance blanche. Sur les coupes T1, la substance grise périphérique et les noyaux gris centraux sont bien définis. Après injection i.v. de Gadolinium, pas de prise de contraste pathologique intra-axiale. Les sinus veineux sont perméables. L'angio-IRM centrée sur le polygone de Willis démontre une perméabilité conservée des artères intracérébrales. Pas d'anévrisme, pas de sténose significative. Cavités sinusiennes de la face et cellules mastoïdiennes normalement pneumatisées. Orbites sans particularité. CONCLUSION : IRM cérébrale dans les limites de la norme. IRM du neurocrâne natif et injectée du 09.01.2019 : AVC ischémique aigu dans le territoire de l'artère cérébrale postérieure gauche avec atteinte. Bonne perméabilité de l'ensemble des vaisseaux intracrâniens. IRM du pelvis natif et injectée : les parties molles sous-cutanées profondes en regard de la jonction sacro-coccygienne sont le siège d'un remaniement hétérogène, sous la forme d'une plage hyperintense en pondération T2, hypo-intense en pondération T1 de 6 x 4 x 14 mm (petite collection résiduelle, bien délimitée, avec nette prise de Gadolinium mal délimitée des parties molles alentours, après injection i.v. de produit de contraste. Il n'y a pas de connexion directe avec le rectum. Il y a une discrète prise de contraste du périoste du coccyx, sans nette prise de contraste de l'os spongieux des structures sacro-coccygiennes. Pas d'argument pour une fistule anale sur cet examen. Les fosses ischo-rectales sont sp, sans collection mise en évidence. Les portions examinées du rectum se présentent normalement. La vessie présente des parois fines et un contenu liquidien, sans prise de contraste pathologique des parois. Utérus antéversé, sp, sans prise de contraste pathologique, sans restriction de la diffusion. Ovaire droit et gauche de taille normale, avec à droite, une structure hyper T2, hypo T1 mesurant environ 19 mm de diamètre et devant correspondre à un follicule post-ovulatoire. Les structures osseuses examinées se présentent normalement. CONCLUSION : stigmates d'une ancienne collection actuellement mesurant environ 6 x 4 x 14 mm au sein des parties molles du pli inter-fessier en regard de la jonction sacro-coccygienne, sans communication avec les structures digestives sous-jacentes, sans signe pour une surinfection osseuse sacro-coccygienne, mais avec une petite prise de contraste alentours témoignant d'une inflammation loco-régionale. IRM du pied D du 19.12.2018 : très discret réhaussement entre la tête du 1er et du 2ème, du 2ème et 3ème, du 3ème et 4ème, du 4ème et 5ème métatarsien après injection du produit de contraste. Pas de kyste. Pas de signe de névrome de Morton. IRM du tendon d'Achille gauche du 17.01.2019 : lésion interstitielle visualisée sur une distance de 3 cm environ, avec des remaniements post-traumatiques. IRM du 03.01.2019 : status post plastie du LCA, pas de signe de rupture. Status post méniscectomie partielle du ménisque interne. Potentielle fissure horizontale oblique. Chondropathie fémoro-tibiale interne stade III. Chondropathie rétro-patellaire stade III. IRM du 04.01.2019 : collection sous-cutanée de type liquide en regard des épineuses de L4 parlant en faveur d'un méningocèle. IRM du 05.12.2018 : présence d'une discrète hétérogénéité du labrum avec un aspect effiloché sans lésion franche. Mise en évidence d'une lame d'épanchement au niveau de l'ilio-psoas. IRM du 07.01.2019 : large plage d'œdème de l'os spongieux au sein de la trochlée postérieure ainsi qu'épitrochléenne, pas de fracture franche visualisable, petit œdème avec prise de contraste en regard du ligament collatéral radial. IRM du 07.01.2019 : large plage d'œdème de l'os spongieux du bord postéro-supérieur de la tête humérale avec encoche de Hill-Sachs en relation avec l'épisode de luxation. Déchirure de la partie antéro-supérieure du labrum, pas de déchirure transfixiante. Démise de la coiffe des rotateurs. IRM du 07.01.2019 : visualisation d'une déchirure de la plastie du LCA. Ballonisation du tunnel. Absence de fragment méniscal luxé ou luxable. Présence d'ostéophytes internes et externes. IRM du 08.01.2019 : pas de signe pathologique. IRM du 08.11.2018 : clichés conventionnels : pas d'arthrose, lésion du ligament collatéral ulnaire, suspicion lésion plaque palmaire avec rétraction de celle-ci vers proximal.IRM du 10.10.2018 (CIMF) : discopathie pluri-étagée L4-L5, L5-S1 de grade Pfirmann V avec sténose foraminale L5 gauche sur discopathie évolutive. Scoliose lombaire. IRM du 11.01.2019 (PACS) : présence de nombreuses altérations en raison des mouvements de la patiente durant l'examen. Altérations dégénératives L3-L4 et L4-L5 sans signe de Modic, potentiel conflit disco-radiculaire au niveau foraminal L4-L5 gauche. IRM du 14.01.2019 : présence de petits dommages cartilagineux au niveau du fémoro-patellaire. Pas d'autre lésion visible. IRM du 14.12.2018 (PACS) : hernie discale L5-S1 para-médiane droite avec conflit de la racine S1 à droite. IRM du 15.01.2019 : fracture du sacrum. Radiographies du bassin et hanche droite face/axiale : décrites ci-dessous. Traitement symptomatique par Dafalgan et AINS. Séances de physiothérapie pour éducation posturale et mobilisation libre selon douleurs. Consultation chez le médecin de famille à 10 jours pour réévaluation clinique. Consultation de nouveau aux urgences en cas d'apparition de déficit sensitivo-moteur des membres ou d'autres symptômes. IRM du 16.11.2018 : discopathie pluri-étagée L1-L2, L2-L3, L3-L4, L4-L5 avec canal lombaire étroit en L4-L5 surtout. Sténose foraminale L4-L5 droite avec compression de la racine L4 droite. IRM du 19.11.2018 : pas d'argument sur l'examen actuel en faveur d'une ostéomyélite aiguë. Plaie de la plante du pied, avec une collection. Débridement de multiples collections, prélèvements microbiologiques, rinçage au Lavasept plaie plantaire du pied gauche (OP le 20.11.2018), Dr. X. Biopsie plaie pied G du 20.11.2018 : S. doré +++, multiSe, ErythroR, ClindaR. Biopsie base hallux G du 20.11.2018 : S. doré +++. Pansement VAC dès le 20.11.2018 - réfection du VAC à poursuivre aux 4 jours (dernier le 23.01.2019). Avis infectiologique (Dr. X, Dr. X). Co-amoxicilline 1.2 g 3x/j iv du 19.11 au 03.12.2018. IRM du 20.11.2018 (PACS) : présence d'une discopathie L5-S1 sans hernie discale. RX bassin : signes de conflit fémoro-acétabulaire type CAM à droite surtout. IRM du 21.01.2019 : rupture partielle du ligament collatéral interne du genou gauche. Pas de lésion du ligament croisé ni du collatéral externe. Pas de lésion de ménisque. IRM du 21.12.2018 montre un bon axe du doigt avec une lésion du ligament collatéral radial dans sa partie proximale. IRM du 24.01.2019 : importants remaniements dégénératifs du genou, avec une arthrose fémoro-tibiale principalement interne et une arthrose fémoro-patellaire relativement marquée. On trouve des érosions focales du plateau tibial interne et externe et, dans une moindre mesure, des condyles fémoraux, aux sites d'insertion des ligaments et de la capsule articulaire pouvant faire évoquer une atteinte de type goutte. Il y a une lésion à corps libre dans la partie postérieure de la capsule articulaire, en arrière du ligament croisé postérieur, pouvant faire évoquer un tophus DD ostéochondromatose secondaire. Probable tophus au sein des parties molles pré-rotuliennes ainsi que dans le tendon rotulien. IRM du 27.12.2018 : élongation des fibres du ligament talo-fibulaire antérieur sans solution de discontinuité. Pas d'autre lésion mise en évidence. IRM du 27.12.2018 (PACS) : stabilité de la fracture L4. Oedème osseux post-traumatique. IRM du 28.12.2018 : présence d'une lésion au niveau du LCA. Présence d'une altération du signal dans la partie proximale du LCP. Présence de fracture de compression du plateau tibial postéro-externe. IRM, EEG à organiser. IRM effectuée à l'hôpital de Payerne mis sur le PACS montre un remaniement au niveau de la capsule antérieure avec un gléno-huméral moyen fortement épaissi. Remaniement au niveau du labrum sans lésion. Plage d'oedèmes sur le sus-épineux sans lésion franche. Le biceps est bien guidé, l'ostéo scapulaire est intact. Importante boursite sous-acromiale. IRM en ambulatoire. IRM en ambulatoire en cas de persistance des symptômes. IRM en ambulatoire le 15.01.19, au CIF Villars-sur-Glane (le résultat sera transmis au service de neurologie). Suivi ambulatoire à la consultation du Dr. X le 19.02 à 17h00, service de neurologie Hfr. Ablation des fils chez le médecin traitant à J5. IRM en ambulatoire le 15.01.19, CIF (le résultat sera transmis au service de neurologie). Une ponction lombaire en neurologie sera organisée selon les résultats de l'IRM. Suivi ambulatoire à la consultation du Dr. X le 19.02 à 17h00. IRM épaule D à l'HFR Riaz (Mme. Y prend elle-même le rdv). Contrôle à la consultation du Dr. X (merci de convoquer la patiente). IRM épaule D à visualiser sur le site www.groupe3.ch sous le numéro d'examen S112043256 et la date de naissance comme mot de passe. L'examen réalisé avec arthrographie met en évidence un passage de liquide de contraste dans la bourse sous-acromiale. L'interligne articulaire est conservée, le labrum est en grande partie intact, il y a une lésion transfixiante du sus-épineux sans rétraction avec une trophicité musculaire complètement conservée. Sous-scapulaire intact, sous-épineux intact. Tendinopathie du LCB. IRM épaule D du 18.12.2018 : rupture de la partie antérieure de l'insertion distale du sus-épineux à D. Arthrose acromio-claviculaire D. IRM épaule D en 2017 : lésion de Bankart. Lésion Hill-Sachs présente au niveau de la tête humérale. Pas de lésion cartilagineuse visible. CT-Scan épaule D en 2017 : pas de lésion osseuse au niveau de la tête humérale, à part la Hill-Sachs. Au niveau de l'articulation glénoïdale le patient présente une petite impaction dans la face antérieure. Petite surface glénoïdale avec peu de concavité. IRM épaule droite le 28.09.2018. Radiographie du bras droit le 12.11.2018. Radiographie du bras droit le 19.11.2018. Avis Dr. X : immobilisation par gilet orthopédique. Avis Dr. X : pas d'intervention chirurgicale envisagée, à rediscuter avec Team membre supérieur de l'HFR Fribourg. Avis Dr. X le 12.11.2018 : pas d'intervention chirurgicale à envisager car faible espoir de réadaptation et fracture stable pour le moment ; port de gilet orthopédique durant 6 semaines au total ; mobilisation du coude et du poignet tolérée ; contrôle radiologique le 19.11.2018 suivi par appel au Dr. X. Gilet orthopédique. Physiothérapie. Antalgie. Curetage de lymphome, ORIF par plaque PHILOS et Aptus 2.0 ; armement par ciment Palacos G (opération le 21.12.2018). Réadaptation gériatrique avec : • Physiothérapie • Ergothérapie • Bilan nutritionnel. IRM épaule droite : lésion des faisceaux superficiels du sus-épineux vers l'intervalle sus-épineux/sous-épineux. Boursite sous-acromiale bien présente. Arthrose acromio-claviculaire. IRM épaule G : lésion complète du sus-épineux sans rétraction progressive par rapport au comparatif. IRM épaule G le 15.01.2019 : fracture pathologique sur probable kyste uniloculaire métadiaphysaire de l'humérus G. Pas d'autre lésion décelable. IRM épaule gauche avec cliché spécialisé : luxation acromio-claviculaire stade 5 avec rupture du ligament acromio-claviculaire avec périoste et luxation claviculaire postérieure. Rupture des ligaments coraco-claviculaires complète. IRM épaule gauche du jour : affinement de l'insertion distale du muscle sus-épineux, probable tendinite du sus-épineux. IRM épaule gauche du 15.10.2018 : rupture tendon long chef du biceps avec suspicion d'une lésion labrale du SLAP. Tendinopathie sus-épineux. Pas de rupture de la coiffe des rotateurs. IRM et bilan cardiaque. IRM et contrôle le 07.02.2019. IRM et contrôle le 08.02.2019. IRM et contrôle le 29.01.2019. IRM et CT du pied G du 18.01.2019 : mise en évidence d'oedèmes au niveau des 2 premiers rayons atteignant, au niveau du 1er rayon P1-P2 et au niveau du 2ème rayon P2-P3. Luxation de l'IP de l'hallux.• IRM et prochain contrôle le 01.02.2019. • IRM et prochain contrôle le 11.01.2019. • IRM et prochain contrôle le 16.01.2019. • IRM et prochaine consultation le 08.01.2019. • IRM et prochaine consultation le 11.01.2019. • IRM et prochaine consultation le 25.01.2019. • IRM et ultrason de l'index gauche : ils confirment une probable tumeur à cellules géantes. • IRM éventuelle puis contrôle à notre consultation. • IRM externe genou D du 11.12.2018 (uniquement le rapport) : distorsion du pied des 2 faisceaux du ligament croisé antérieur D, sans déchirure avec oedème osseux tibial. Déchirure horizontale stable, inférieure à la corne postérieure du ménisque interne avec status post distorsion de la capsule méniscale postérieure. • IRM genou D : cf diagnostic susmentionné. • IRM genou D : oedème osseux. Os spongieux au niveau du bord inférieur du genou D. Le reste de l'examen est dans la norme. • IRM genou D : Présence de lésions chondrales fémoro-patellaires. • IRM genou D du 28.12.2018 : Status post méniscectomie partielle interne du LCA visible mais totalement remanié. Présence d'un épanchement articulaire modéré, d'une inflammation de la graisse de Hoffa et d'une diminution de l'épaisseur des couches cartilagineuses du compartiment fémoro-tibial interne. • IRM genou D natif et injecté du 12.12.18 : Présence d'un ostéochondrome avec une coiffe cartilagineuse à 0,3 cm, sans signe de malignité. • IRM genou G : Lésion du LCA. Pas de lésion de ménisque, pas de lésion des ligaments collatéraux avec peu de lame liquidienne plutôt autour des LLE. • IRM genou G : Lésion en anse de seau luxée du genou G avec rupture du LCA. • CT SCAN épaule G : Fracture 4-parts déplacée en valgus de l'humérus proximal G avec un trochiter pluri-fragmentaire. • IRM genou G : pas de visualisation de lésion cartilagineuse massive des compartiments fémoro-tibial interne et externe. Pas de fragment luxé du ménisque. Il y a toutefois des lésions dégénératives du ménisque interne et spécialement à la portion postérieure mais pas vraiment de fragment instable. Il y a une grosse zone de calcification sur le tendon quadricipital. • IRM Genou G du jour : Pas de lésion ligamentaire mise en évidence. Légère épanchement intra-articulaire. Pas de lésion méniscale également. • IRM genou G du 03.01.2019 : Oedème du condyle fémoral externe de la patella médiale avec distorsion du MPFL évoquant un status post luxation externe de la rotule sur dysplasie trochléenne et patellaire. Pas d'autre atteinte ligamentaire. • IRM genou G le 25.01.2019. Suite de la prise en charge par le team genou le 01.02.2019. • IRM importée : discopathie multi-étagée L3 à S1. Compression radiculaire L5-S1 surtout à gauche sur arthrose facettaire et discopathie dégénérative. • IRM initiale montrant une lésion traumatique isolée du sus-épineux sans rétraction. IRM effectuée à la Clinique Romande de réadaptation de la SUVA en post-opératoire montrant une épaule étanche, status post-ténodèse. Status post-sutures du sus-épineux avec deux ancres au niveau du tubercule majeur et un tendon qui semble en continuité. • IRM jambe D le 18.12.2018. • RX jambe D le 19.12.2018. • IRM colonne lombaire le 14.12.2018. • Rx colonne lombaire 18.12.2018. • IRM le 01.02.2019. Prochain contrôle le 01.02.2019. • IRM le 03.01.2019. Prochaine consultation le 04.01.2019. • IRM le 11.01.2019. Prochain contrôle le 14.01.2019. • IRM le 12.02.2019. Prochain contrôle le 12.02.2019. • IRM le 17.01.2019. Prochain contrôle au team pied le 23.01.2019. • IRM le 18.01.2019. Prochain contrôle le 18.01.2019. • IRM le 21.01.2019. Prochain contrôle le 21.01.2019. • IRM le 23.01. à 13h45 et consultation de physiothérapie Bobath. • IRM le 23.01.2019. Prochain contrôle le 23.01.2019. • IRM le 24.01.2019. Prochain contrôle le 25.01.2019. • IRM le 24.01.2019. Suite de prise en charge par médecin traitant (le patient en trouve un dès lundi 21.01). • IRM le 27.12.2018 à Guin : arthrose MTP 1, péri-tendinopathie des tendons fléchisseurs du 2ème rayon avec une inflammation de la musculature intrinsèque périfocale. Fascia plantaire intact. • IRM le 28.01.2019. Prochain contrôle le 28.01.2019. • IRM le 29.01.2019. Prochain contrôle le 04.02.2019. • IRM le 30.11.2018 : image compatible avec une ostéomyélite des apophyses épineuses de la vertèbre D9 et dans une moindre mesure de D10. Hémocultures du 27.11.2018 : négatif. Frottis de plaie du 27.11.2018 : Staphylococcus aureus, Penicillin R. Suivi de plaie par la stomathérapie. Suivi biologique. Consilium d'infectiologie le 30.11.2018 (en annexe). Antibiothérapie : • Co-amoxicilline 2,2 g i.v. le 27.11.2018 (Meyriez). • Co-amoxicilline 600 mg 2x/j le 28.11.2018 (Meyriez). • Co-amoxicilline 1,2 g i.v. 3x/j du 29.11. au 30.11.2018. • Floxapen du 30.11. au 04.12.2018. • Clindamycine 600 mg 3x/j p.o. dès le 04.12.2018 et pour une durée totale de 6 semaines. Si la patiente devait présenter des diarrhées sous ce traitement, une recherche de C. difficile serait à réaliser. Antibiothérapie par : • Floxapen 2 g 6x24 h i.v. du 30.11.2018 jusqu'au 04.12.2018. • Clindamycine 600 mg 3x/j p.o. du 04.12.2018 pour une durée totale de 6 semaines. • IRM le 31.01.2019. Prochain contrôle le 01.02.2019. • IRM lombaire (Dr. X) : examen incomplet en raison de la douleur du patient, seulement 2 séquences difficilement interprétables, infiltrat des tissus mous, oedèmes des vertèbres d'origine indéterminée (fracture/dégénératif). Avis team Spine (Dr. X) : images compatibles avec un status post-opératoire normal, amélioration des douleurs sous antalgie, le patient sera appelé par le secrétariat lundi et sera vu cliniquement le 31.01. Possible radiculopathie L3. Antalgie. Sera appelé le 28.01.2019 par le secrétariat de team Spine. Rendez-vous de suivi clinique le 31.01.2019. Consulte avant en cas de péjoration. • IRM lombaire du jour (PACS) : discopathie au niveau L4-L5, L5-S1 déjà connue et hernie discale para-médiane L4-L5 gauche qui actuellement ne semble pas être associée à la symptomatologie radiculaire. Pas de hernie discale au niveau L3-L4, pas de suspicion pour une radiculopathie L3. • IRM lombaire du jour (PACS) : hernie discale L4-L5 expulsée vers le bas avec compression radiculaire L4-L5. Discopathie pluri-étagée L3-L4, L4-L5, L5-S1. • IRM lombaire du jour (PACS) : hypersignal dans les séquences STIR au niveau de D12 sans progression du tassement en comparaison avec les examens réalisés durant le mois de décembre. Faible hypersignal au niveau du plateau supérieur de D11 avec suspicion d'une fracture à ce niveau. • IRM lombaire du jour (PACS) : status post-herniectomie extra-foraminale L3-L4 sans résidu discal ni franche récidive. • IRM lombaire du jour (PACS) : status post-opératoire avec prise de contraste physiologique au niveau de la cicatrice, sans résidu discal ni de récidive herniaire. • IRM lombaire du 25.01.2019 (PACS) : dégénérescence discale L4-L5, L5-S1 avec altérations de la vascularisation soit au niveau du disque L4-L5 soit au niveau du disque L5-S1, où l'on retrouve les valeurs les plus basses. • IRM lombaire le 01.02.2019 (Givision Bulle). Prochain contrôle le 05.02.2019. • IRM lombaire séquences discale du 17.01.2019 (PACS) : dégénérescence discale surtout au niveau L5-S1, où les paramètres du ROI du disque sont en dessous des valeurs moyennes des autres disques. Le disque L4-L5 ne montre pas de valeur franchement pathologique. • IRM lombaire. Contrôle team spine le 22.01.2019. • IRM met en évidence une lésion partielle de petite taille sur les versants articulaires du tendon sus-épineux et on retrouve une petite calcification plutôt postérieure dans la masse tendineuse. Boursite sous-acromiale et prise de contraste au niveau de l'articulation AC.IRM mettant en évidence une fine lame de liquide sous-acromial avec un petit oedème dans les sus-épineux. Le Biceps est centré dans la gouttière dès l'entrée dans le sillon. Il est fin à ce niveau. Sous-scapulaire sous-épineux intact. Labrum intact. IRM natif du genou gauche et arthro-IRM du genou gauche du 04.12.2018 : fissure horizontale dégénérative de la corne postérieure du ménisque interne. Petit kyste poplité. Le reste de l'IRM est normal. IRM natif du genou gauche 14.12.2018 : status post-plastie du ligament croisé antérieur. Status post-résection partielle du ménisque interne. Potentielle lésion de la corne postérieure du ménisque interne avec une fissure oblique qui rejoint la surface articulaire supérieure. IRM natif du 14.1.19 : Pas de lésion méniscale ou ligamentaire significative. Pas de déchirure méniscale. Suspicion d'une plica supra-patellaire. Infiltration des parties molles pré-patellaires DD bursite pré-patellaire. IRM natif et injecté genou G : Lésion complexe de la corne postérieure du ménisque interne. Le reste de l'IRM est normal. Pas de lésion cartilagineuse visualisée. IRM natif genou D du 21.12.18 : Altérations cartilagineuses du plateau tibial externe avec réaction de l'os spongieux sous-adjacent. Probable ancienne déchirure de la corne antérieure du ménisque externe avec dégénérescence mucoïde. Aspect de dégénérescence mucoïde du LCA. Pas de lésion des ligaments collatéraux. IRM native : coiffe des rotateurs intacte à part une tendinopathie du sous-scapulaire. Luxation du long chef du biceps de son sillon avec atteinte du ligament transverse du sillon bicipital. Gouttière bicipitale relativement plate. IRM native : volumineux kyste dans le semi-lunaire avec formation d'un kyste scapho-lunaire important. Bosse carpienne. IRM native colonne lombaire du 17.12.2018 : l'examen est superposable à celui du 19.10.2017. Le patient présente une spondylarthrose multi-étagée avec des discopathies du segment L1 à S1. Arthrose facettaire avancée au niveau L4-L5. IRM native du genou D du 03.07.2018 : oedème osseux en regard du plateau tibial postéro-externe qui correspond à une contusion osseuse en premier lieu. Les ligaments collatéraux ainsi que croisés sont suivis sur toutes leurs longueurs et sont intacts. Le ménisque ne montre pas de lésion, pas de lésion de cartilage. Epanchement intra-articulaire. IRM native du genou D du 21.01.2019 : fracture d'impression peu déplacée du plateau tibial postéro-externe associée d'une probable lésion d'allure dégénérative du ménisque interne. IRM native du genou D du 28.12.2018 : lésions cartilagineuses fémoro-tibiales externes grade IV. Lésions cartilagineuses grade IV à l'articulation fémoro-patellaire externe. Pas de lésion du ménisque. Suspicion d'une souris articulaire qui se situe en postérieur dans le compartiment fémoro-tibial interne. IRM native du genou droit du 23.1.2019 : Lésion type anse de seau du ménisque interne. Distorsion ligament croisé antérieur, dd rupture partielle. Rupture partielle du ligament collatéral interne. Chondropathie fémoro-patellaire. Epanchement articulaire. IRM native du genou gauche : Contusion du plateau tibial externe, du condyle fémoral interne, contusion du ménisque interne et distorsion du LCA à son insertion fémorale mais sans rupture de celui-ci. Intégrité des ligaments collatéraux. Pas de lésion cartilagineuse visualisée. IRM native du genou gauche : distorsion. DD rupture partielle du ligament croisé antérieur. Déchirure horizontale oblique de la corne postérieure du ménisque interne. Volumineux épanchement articulaire. Pas de lésion des ligaments collatéraux. IRM native du genou gauche du 11.01.2019 : image d'une fracture du plateau tibial avec arrachement des épineux tibiales. Suspicion d'une fracture non déplacée de la tête de la fibula. IRM native du genou gauche du 17.12.2018 : Disparition des tuméfactions des parties molles pré-rotuliennes et de l'infiltration liquidienne diffuse. Pas de pathologie méniscale ou ligamentaire. Une structure bien délimitée située au contact de la corticale de la partie antérieure du condyle fémorale interne, mesurant 9 x 7 mm. DD ganglion cyst (événement à l'origine des douleurs ?) totalement inchangé. Une petite structure calcifiée (ossifiée) de 4 mm, située en regard du bord interne de la rotule (série 301, image 233/458), de nature indéterminée, DD ostéophyte, sans inflammation alentour. IRM native épaule gauche du 7.12.2018 : selon le radiologue, éventuelle atteinte du sous-scapulaire que je n'arrive par contre pas à objectiver sur cette IRM non-injectée. IRM native genou gauche du 28.12.2018 : désinsertion partielle de l'aileron rotulien interne. Présence d'un oedème osseux sur le versant patellaire à l'insertion de l'aileron rotulien interne. Pas de lésion cartilagineuse, pas de lésion de structure ligamentaire ou méniscale. IRM non injectée du 03.12.2018 : voir le diagnostic susmentionné. IRM non-injectée : Forte suspicion d'une lésion des parties antérieures du sus-épineux trans-fixiante, sous-scapulaire et sous-épineux sans particularité. IRM novembre 2018 : discopathie L4-L5, L5-S1. Hypertrophie du ligament jaune avec sténose foraminale L5-S1 à gauche. Suspicion de kyste rompu en L5-S1. IRM (PACS) : dégénérescence initiale L3-L4, L4-L5 sans hernie discale. Pas d'altération inflammatoire au niveau des processus transverses qui étaient fracturés. Pas d'autre lésion. IRM panmédullaire du 12.07.2017 (CIMF) : cf. diagnostic. Avis neurologique du Dr. X du 12.07.2017 : atteinte médullaire basse confirmée. IRM pelvien le 10.01.2019 : Examen réalisé avant et après injection iv de 15 mm de Dotarem. Mise en évidence d'une collection débutant dans l'espace inter-sphinctérien entre 2h et 3h en position gynécologique, s'étendant caudalement et antérieurement en para-anal, mesurant 18 x 27 x 35 mm, associée à une infiltration de la graisse au contact, compatible avec un abcès inter-sphinctérien avec extension para-anale. Pas de trajet fistuleux mis en évidence à travers le sphincter interne. Les structures pelviennes analysées se présentent normalement dans les limites des séquences effectuées. Laboratoire : cf. annexes IRM pelvien le 10.01.2019 Incision, drainage, prélèvement bactériologique avec mise en place d'un fils de Seton (Prolène-0/2x) en urgence le 10.01.2019 Co-Amoxicilline par voie orale du 10.01.2019 au 24.01.2019 Rendez-vous de contrôle à la consultation de Proctologie lundi 14.01.2019 à 10h00 Soins locaux 6x/jour IRM pelvienne le 28.11.2018 CT abdominal le 03.12.2018 : non-interprétable car pas de produit de contraste en raison des diarrhées importantes Avis gynécologique : à organiser à distance (examen complet avec écho sur chaise gynéco) IRM pied D du jour : en comparatif au précédent examen, nous objectivons une régression de l'oedème qui épargne l'articulation tarso-métatarsienne. IRM pied D du 20.12.2018 : pas d'ostéomyélite ni d'ostéite. Inflammation des tissus mous sur l'extrémité distale de D2. Bilan angiologique du 18.12.2018 : absence d'artériopathie significative. Bon flux jusqu'à la base des orteils ddc. IRM pied G du jour : ne montre pas de lésion au niveau du tendon péronier. Pas de lésion du rétinaculum péronier. Pas de pseudarthrose ou inflammation au niveau de l'ancienne fracture type pseudo Jones et de la malléole Weber B. IRM pied G du jour : réhaussement après injection de Gadolinium en regard de la tête du 1er métatarsien avec extension dans une moindre mesure au 2ème métatarsien, également au niveau du 5ème métatarsien. Pas de névrome de Morton. IRM pied G du jour : réhaussement du 2ème espace intermétatarsien compatible avec un névrome de Morton ou une bursite.IRM pied G le 19.11.2018 Rx thorax les 21.11.2018, 23.11.2018, 26.11.2018, 01.12.2019, 07.01.2019, 15.01.2019 US pleural/pericardiaque le 30.12.2018 US système urogénital le 08.01.2019 IRM pied G le 28.11.2018 IRM poignet main droite : inflammation avec minime prise de contraste au niveau de la trapézoïdo-métacarpienne, inflammation chronique des 3 premières coulisses au niveau du Retinaculum avec prise de contraste subphysiologique bien visualisable sur les coulisses 1 et 2. IRM prévue le 05.02.2019. Prochain contrôle clinique le 06.02.2019. IRM prévue le 14.01.2019. Suite de la prise en charge à la consultation du Dr. X le 21.01.2019. IRM prévue le 23.01.19. Contrôle en orthopédie, team membre supérieur par la suite. IRM septembre 2018 : rectitude de la colonne lombaire. Discopathie L3-L4, L4-L5 et L5-S1 surtout. Minime hernie discale para-médiane gauche en L4-L5, sans compression radiculaire objectivée. IRM tibia D du jour : ne montre pas de clairs signes pour une ostéomyélite mais elle est suspectée. Pas de collection en profondeur. IRM (2016) : troubles dégénératifs pluri-étagés au niveau cervical avec un spondylolisthésis C5-C6 et des discopathies sur le même segment avec rétrécissement foraminal ipsi-segmentaire sans atteinte des racines. IRM Sous Risperdone jusqu'à cet été. Irrégularité radiologique de la corticale du grand trochanter à droite évoquant une fracture peu déplacée. Irritation cornéenne gauche. Irritation de la peau suite à l'eau de javel. Irritation diaphragmatique sur effort de toux, avec douleurs référées de l'épaule droite. Irritation du nerf radial au coude G sur : • Status post réinsertion du tendon bicipital G en 2016. • Épicondylalgie D Irritation du tendon piriforme D. Status après ablation de la plaque condylienne, des cerclages, des deux vis cassées et de la bourse trochantérienne et ré-ostéosynthèse du fémur diaphysaire par plaque LCP, ostéosuture pour pseudarthrose de la pointe du grand trochanter le 02.04.2014, sur un status post ostéosynthèse par plaque condylienne sur fracture fémur D. Lombosciatalgies plus prononcées à droite qu'à gauche. Irritation et hyposensibilité du bord distal interne des deux hallux sur conflit mécanique avec le chaussage. Irritation musculature psoas gauche post luxation hanche chirurgicale, OT GT, fixation épiphyse tête fémur le 5.7.17 Irritation oculaire probablement liée au port de lentilles. Irritation pieds Irritation pourtour anal. IRS documenté. Avis anesthésiologique : Stable HD et asymptomatique durant le bloc opératoire et lors du début d'hospitalisation. Mr. Y est donc hospitalisé pour surveillance neurologique suite à 2 épisodes de convulsions fébriles. Sur le plan neurologique, il présente un nouvel épisode similaire de moins d'une minute, 7 heures après le précédent. La crise cède d'elle-même et il ne nécessite pas de Diazepam, une température est objectivée à 39.6° au moment de l'événement. Les contrôles par la suite sont rassurants avec un enfant récupérant un état neurologique normal après 45 minutes d'état post-critique. Au vu du 3ème événement en 24 heures, nous gardons le diagnostic de convulsions fébriles complexes et demandons avis auprès du neuropédiatre, Dr. X, qui préconise un EEG et un contrôle clinique à sa consultation. Au vu des difficultés de compréhension, nous ne prescrivons pas de traitement d'urgence et conseillons aux parents d'appeler une ambulance en cas de récidive. Au niveau infectieux, il est fébrile jusqu'à sa sortie dans un contexte d'IVRS avec rhume et toux en majoration durant son séjour. Au status, hormis une légère IVRS, nous n'objectivons pas de foyer avec notamment une absence de signes méningés. Dans ce contexte, un sédiment urinaire est réalisé et ne montre pas de signes d'infection. Nous retenons donc une origine virale à la fièvre avec une présence de monocytes augmentés à la formule sanguine ou une origine post-vaccinale, 10 jours après Infanrix et ROR. Au vu de l'absence de récidive en 24 heures, Mr. Y rentre à domicile le 22.01.2019 avec contrôle en neuropédiatrie le 05.02.2019. Ischémie aiguë du membre inférieur gauche et membre inférieur droit. Ischémie aiguë du MIG le 27.01.19. Ischémie aiguë Rutherford IIa du membre inférieur droit sur anévrisme poplité thrombosé avec : Anévrisme poplité de 2 cm au membre inférieur gauche. Ischémie du gros orteil gauche. Malaise probablement vaso-vagal le 23.03.2016. Amygdalectomie dans l'enfance. Péritonite sur appendicite en 1981. Ischémie Rutherford IIa du membre inférieur gauche par occlusion d'allure embolique du membre inférieur gauche au niveau poplité sous géniculé le 23.05.2018 • probablement secondaire à la TSV • thrombectomie mécanique par Rotarex et angioplastie de l'artère poplitée distale et de l'artère tibiale antérieure le 24.05.2018 (Dr. X). Sepsis sur probable pneumonie le 25.05.2018. Tachycardie supraventriculaire le 08.03.2018. Flutter à conduction 2:1 le 28.06.2017. Hypovitaminose D3 sévère en février 2015. Réostéosynthèse par clou Gamma long d'une fracture de la diaphyse fémorale droite en spirale, sur clou Gamma court le 19.02.2015. Tachycardie supraventriculaire paroxystique inaugurale le 29.04.2014 : cessation sous massage carotidien bref. 2014 : pancréatite aiguë d'origine alcoolique. 2011 (février) : ostéosynthèse du col fémoral droit Tiefenauspital de Berne. 2011 : pneumonie droite Hôpital de Aarberg. 2006 : opération prostate Anna Seiler Berne. 2005 : investigations digestives sans particularité.2002 : prothèse totale de la hanche gauche Zieglerspital de Berne pour fracture du col fémoral. Ancien tabagisme (stop en 1981). Contusion costale droite sur chute le 11.07.2017. Anémie normochrome normocytaire avec hémoglobine à 124 g/l le 12.07.2017 d'origine mixte : • contexte inflammatoire, insuffisance rénale chronique, contexte d'extériorisation récente (hématémèse en juin 2017). Récidive de tachycardie supraventriculaire à 170/min le 16.12.2018, avec : • acidose lactique à l'admission dans le contexte d'une AOMI grade III • hypomagnésémie à 0.66 mmol/l Laboratoire ECG : rythme de tachycardie supraventriculaire, BAV grade I. Gazométrie artérielle : lactate 8.8 mmol/l, pH 7.19, bicarbonate 8 mmol/l, excès de base 19.9 mmol/l. Gazométrie artérielle post traitement : lactate 3.4 mmol/l, pH 7.41, bicarbonate 17 mmol/l. Sédiment urinaire : pas d'érythrocyturie, pas de leucocyturie, flore bactérienne +, corps cétoniques +++. Cardioversion après manœuvres de Valsalva. Hydratation intraveineuse par NaCl. Perfusion bicarbonate. Magnésium 2 g i.v. Reprise du traitement bêtabloquant. Magnésiocard. Adaptation du traitement hypertenseur et suivi des électrolytes à revoir avec le médecin traitant. Hypoglycémie probablement d'origine mixte, DD consommation d'alcool, malnutrition, insuffisance rénale et pancréatique, acidose lactique le 16.12.2018 • glycémie initiale à 0.8 mmol/l. Correction de glucose i.v. et p.o. Suivi des glycémies. Douleurs basithoraciques gauches d'origine musculo-squelettiques, post manœuvre de Valsalva le 16.12.2018. Antalgie par Dafalgan. Leucocytose d'origine indéterminée, le 16.12.18. Laboratoire : leucocytes 26.4 G/l, neutrophiles à 23.63 G/l. Suivi biologique avec normalisation des leucocytes le 19.12.2018. Chute avec TC, le 17.12.2018. CT cérébral, le 17.12.2018 : pas de fracture ni saignement intracrânien. INR suprathérapeutique à > 5.5 le 18.12.2018. Omission de 2 doses de Sintrom. Contrôle du TP quotidien jusqu'au 21.12.2018. Schéma de Sintrom simplifié à 1 comprimé par jour dès le 21.12.2018. Suivi biologique et adaptation du traitement à faire par le médecin traitant. Isoket spray et Amlodipine Isoket 1 push. Nifédipine 20 mg retard. Suivi chez le médecin traitant. Isolation en raison du transfert depuis l'hôpital de l'île Isolement contact du 11.01 au 14.01.2019 Frottis rectal VRE du 11.01.2019 : négatif Isolement de contact dès le 30.12.2018 • Arrivée de Macédoine Isolement de contact du 10.01.2019 au 13.01.2019 : frottis rectal négatif Isolement de contact du 12.01.2019 au 13.01.2019 Clostridium difficile le 12.01.2019 : négatif Analyse de selles (PCR multiplex) le 12.01.2019 : négative Isolement de contact du 12.01.2019 au 13.01.2019 Clostridium négatif le 12.01.2019 Analyse de selles (PCR multiplex) négative le 12.01.2019 Isolement de contact du 28.12.2018 au 31.01.2019 Isolement de contact en raison d'une hospitalisation à l'étranger en août (Macédoine). Isolement de contact jusqu'au 15.11.2018 Frottis de contrôle effectués les 03.10.18, 29.10.18, 08.11.18, 12.11.18 Traitement de décolonisation à partir du 01.11.18 (Bactroban nasal, Eludril solution et Lifoscrub 2x jour pour 5 jours) Isolement dès 24.01., rinçages nasales, sans oxygénothérapie Isolement lors des sécrétions 14.01.2019 au 16.01.2019 Isolement protecteur du 28.11 au 26.12.2018 Prophylaxies : cf. TIP du diagnostic principal Hémocultures le 30.11.2018 : négatif à 5 jours Urotube le 30.11.2018 : négatif Radiographie de thorax le 30.11.2018 Céfépime 2 g 3x/j IV du 30.11 au 17.12.2018 Isolement VRE à partir du 09.01.2019 : Isolement VRE du 04.01 au 08.01.2019 Isolement VRE du 09.01 au 12.01.2019 Isolement VRE du 25.01 au 28.01.2019 (Inselspital Bern) Isolette du 01.12.2018 au 05.12.2018 Lit chauffant du 5.12 au 11.12.18 puis petit lit Isolette du 10.01.2019 au 11.01.2019 Isolette du 15.12 au 22.12 Lit chauffant du 22.12 au 23.12 Lit normal à partir du 28.12 Isolette du 18.12 au 03.01.19 ; Lit chauffant du 03.01.19 au 04.01.2019 Isolette du 18.12 au 27.12.18 ; Lit chauffant du 27.12.18 au 04.01.19 Isolette du 18.12.18 au 27.12.18 ; Lit chauffant du 27.12.18 au 04.01.19 Isolette du 24.12 au 3.01.19 ; Lit chauffant du 4.01 au 21.01.19 Isoprénaline du 16.01 au 17.01.2019 Pose de pacemaker (EDORA 8 DR-T, mode de stimulation DDD) le 17.01.19 (Dr. X) Isoprénaline iv continu du 13 au 14.01.2019 Pose de pace-maker (VVIR) le 14.01.2019 (Dr. X) Isoprénaline IV continu du 13.01. au 14.01.2019 Pose de pace-maker (VVIR) le 14.01.2019 • Compatibilité IRM : Oui à 3T corps entier Isoprénaline le 14.01.2019 Echocardiographie transthoracique le 14.01.2019 Pose de pacemaker le 14.01.2019 (Dr. X) Itinerol B6 et essai d'alimentation Retour à domicile et consignes de surveillance IVG en 2016. Accouchement par voie basse en 2008. IVG en 2016. Accouchement par voie basse en 2008. IVG (2014) AVB à terme, naissance d'une fille de 3440g (2013) IVIG 1g/kg 28.12. et le 30.12.2019 Hospitalisation CHUV 02.01. - 05.01.2019 Prednisone (4mg/kg/j) 03.01.- 06.01.2019 Prednisone 2mg/kg/j du 08.01 avec schéma dégressif dès le 12.01.2019 Vitamine D à partir 09.01.2019 IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS + otite gauche séromuqueuse IVRS aspécifique. IVRS au décours IVRS avec : • angine • otite séro-muqueuse droite IVRS avec angine aiguë virale et OMA débutante à droite IVRS, avec angine virale IVRS avec angine virale et conjonctivite bilatérale IVRS avec angine virale probable IVRS avec blépharo-conjonctivite bilatérale IVRS avec congestion nasale IVRS avec difficulté de prise alimentaire DD: bronchiolite débutante IVRS avec difficultés alimentaires IVRS avec insuffisance respiratoire partielle hypoxémique le 09.01.2019 IVRS avec otalgie gauche le 29.01.19. IVRS avec otite moyenne aiguë bilatérale IVRS avec otite moyenne gauche, le 23.1.2019. IVRS avec possible otite moyenne aiguë droite débutante IVRS avec probable faux croup débutant IVRS avec surinfection bronchique probable IVRS avec toux nocturne IVRS avec toux productive IVRS avec trachéite. Angine bactérienne à streptocoques. IVRS DD: bronchite obstructive débutante IVRS, DD syndrome grippal IVRS débutante avec conjonctivite gauche IVRS d'origine probablement virale. IVRS en décembre avec toux persistante. Syncope non investiguée il y a 3 ans. Thrombocytopénie récidivante d'origine inconnue depuis l'enfance avec un épisode de thrombocytopénie sévère (<5) en 2006, contrôle des plaquettes chaque 3 mois au CHUV. IVRS et bronchite virale IVRS et virose digestive IVRS le 21.09.2015 IVRS le 22.01.2017 avec: • rhynorhée • odynodysphagie Traitement symptomatique IVRS probable avec écoulement postérieur. DD: Angine virale au décours. IVRS sans déshydratation IVRS sans signe de déshydratation IVRS sans signe de déshydratation IVRS sans signe de déshydratation IVRS sans signe de gravité IVRS viral IVRS virale IVRS/angine virale avec possible bronchite obstructive débutante IVRS DD: gastro-entérite: vomissement présent angine débutante: clinique IVRS DD: grippe J'adresse Mr. Y à la consultation spécialisée du Dr. X pour un avis afin de discuter de la nécessité d'une neurolyse avec ablation de la fibromatose de D4. Je prie le Dr. X de convoquer Mr. Y dans des délais raisonnables pour son avis très apprécié. J'ai confirmé ce jour par téléphone à la maman la normalité de l'US abdominale et prévois de revoir Mme. Y au printemps (avril) pour donner des nouvelles de l'avis spécialisé demandé à Genève et également s'assurer de l'absence de ménorragies en période menstruelle liée à cette thrombopénie. En restant à disposition pour toute information complémentaire, permettez-moi de vous présenter mes Meilleurs Voeux pour l'année 2019 qui débute ! Avec mes meilleures salutations, J'ai pu rassurer la maman sur les ganglions cervicaux (post infectieux) et également sur le nodule de la cuisse en attendant la confirmation anatomopathologique. En espérant avoir répondu à votre demande, je reste à disposition si besoin Avec mes meilleures salutations et tous mes Voeux pour 2019 Jambe gauche : fracture diaphysaire spiroïde moyenne étendue du tibia, peu déplacée. 2ème cliché : examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé. Par rapport au comparatif du même jour, on ne visualise pas de déplacement secondaire de la fracture diaphysaire spiroïde du tibia. Dr. X Jambe rouge aiguë Mr. Y est donc hospitalisé pour surveillance dans un contexte d'hypovolémie sur gastro-entérite et acutisation de son insuffisance rénale chronique. Sur le plan digestif, il bénéficie de 2 remplissages aux urgences avec correction de son acidose métabolique. Une perfusion d'entretien peut être arrêtée le 29.01. Les apports oraux sont par la suite suffisants et les diarrhées s'amendant. Les analyses de selles reviennent positives pour Rotavirus. Sur le plan respiratoire, il présente à l'entrée une détresse respiratoire de type obstructive pour laquelle il bénéficie d'un train de Ventolin en aérosol ainsi que de l'Atrovent. Le Betnesol est donné pour 2 jours et au vu de la rapide amélioration respiratoire, le traitement habituel est repris dès le 29.01 (Ventolin 2 push 3x/jour). La radiographie de thorax n'a par ailleurs pas démontré de foyer. Sur le plan rénal, il présente une péjoration de son insuffisance rénale chronique dans le contexte de l'hypovolémie. Après réhydratation, sa fonction rénale retrouve les valeurs habituelles. Les troubles métaboliques sont mis dans le contexte de pertes digestives pour l'hyponatrémie et d'utilisation de Ventolin pour l'hypokaliémie. Après substitution, les contrôles électrolytiques sont dans la norme à la sortie. Une protéinurie est également connue chez Mr. Y et péjorée dans le contexte infectieux. Les valeurs sont également à la baisse à la sortie. Il présente également une énurésie nocturne nouvelle depuis 1 mois, la prise en charge est à poursuivre avec le pédiatre avec évaluation d'un contrôle avancé en néphrologie. Sur le plan infectieux, il présente un syndrome inflammatoire modéré à l'arrivée. Au vu de l'état général et de la détresse respiratoire, un traitement par Co-Amoxicilline 80 mg/kg/j en 3 doses per os est introduit puis arrêté le 29.01 dans le contexte de Rotavirus positif dans les selles et de la rapide amélioration respiratoire. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile le 30.01.19 avec contrôle chez son pédiatre à 48 heures. Janvier 2018 : Phlegmon abcédé de la gaine des extenseurs de la main gauche à S. Aureus Décompensation cardiaque à prédominance gauche dans le contexte septique le 13.01.2018 avec FEVG conservée Sténose aortique modérée le 13.01.2018 Amputation sous-capitale de P1 3ème orteil pied D (OP le 10.10.2017) pour Nécrose humide de P2 et P3 3ème orteil pied D Désarticulation IPP et amputation trans-phalangienne P1 2ème orteil pied D, curetage mal perforant face médiale P1 3ème orteil pied D le 10.05.2017 sur nécrose P2 2ème orteil et ostéo-arthrite IPP distale ainsi qu'ulcère, mal perforant face médiale P1 3ème orteil du pied D (Dr. X) Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec créatinine à 137 umol/l en avril 2017 Hyponatrémie normo-osmolaire à 119 mmol/l sur insuffisance cardiaque DD SIADH médicamenteux (HCT) le 13.01.2018 Status post ischémie cérébrale, sous Sintrom, date non spécifiée Décompensation diabète de type 2 dans un contexte septique, date non spécifiée Globe urinaire le 02.10.2018 J'appuie la reconversion professionnelle. Il reste en incapacité de travail pour l'activité habituelle et peut reprendre une activité adaptée de suite. Contrôle clinique dans 3 mois. Mr. Y présente une bronchite spastique modérée à sévère, pour laquelle il reçoit 3 x 6 pushs de Ventolin et du Betnesol, permettant une amélioration clinique. Nous reverrons Mr. Y en contrôle dans 12 heures en raison de l'intensité de la bronchite, avec adaptation du traitement si nécessaire.J'attends encore les nouvelles de l'orthopédie pédiatrique de Berne pour l'examen radiologique. Je propose à priori une attitude expectative avec un contrôle radioclinique à 1 année. Je conseille une attitude expectative. Je reverrai la patiente dans 2 mois le 18.3.2019 pour juger de la nécessité d'une reprise de l'épaule avec très probablement ablation d'un fil sur le sillon bicipital. Je conseille vivement une désimpaction de la lésion Hill Sachs avec comblement du défect osseux et stabilisation de la coiffe des rotateurs par une plaque Philos. Ce jour, j'explique au patient le déroulement intra et postopératoire. Je lui propose un 2ème avis que le patient prendra auprès de l'Inselspital. Je me tiens à disposition pour discuter de la suite de la prise en charge. Je demande un avis spécialisé, notamment pour le problème cervical auprès de Dr. X à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal. Étant donné que la convocation va se faire sur dossier, je prie Dr. X de convoquer le patient dans des délais raisonnables pour organiser la suite de la prise en charge. Je me tiens toutefois à disposition. Je demande une IRM de l'épaule droite pour exclure l'existence d'un lipome. Je préconise la poursuite de la physiothérapie. Je reverrai la patiente suite à l'IRM. Prochain rendez-vous le 20.02.2019. Je discute assez longuement avec Mme. Y. Je pense que la priorité est de gérer la douleur et de continuer le suivi psychologique. À mon avis, il s'agit principalement d'une Fibromyalgie qui montre une claire exacerbation des douleurs. Le bilan neurologique a permis d'exclure une lésion nerveuse au niveau du membre supérieur droit et toute prise en charge plus agressive risquerait de péjorer la situation actuellement. Je ne prévois pas de la revoir. Je discute avec la patiente d'une exérèse de cette lésion sous anesthésie endoveineuse. Elle souhaite la prise en charge chirurgicale, je remplis donc avec elle le formulaire d'information et de consentement qu'elle signe. Pour des raisons pratiques puisque la patiente habite à Tavel, on agende en ambulatoire à l'hôpital de Tavel un mardi après-midi. Je discute avec la patiente et sa maman qui l'accompagne, on note plutôt pour une attitude expectative, vu la symptomatologie actuelle et la situation professionnelle qui ne permet pas une absence prolongée. Je la revois pour un contrôle clinique dans une année et je répéterai d'office une IRM à 2 ans pour suivre le status cartilagineux. Je discute avec le jeune patient, je pense qu'il doit faire des choix professionnels et sportifs. Je pense que s'il veut continuer la lutte, une prise en charge chirurgicale est nécessaire au vu du risque de récidive. Il n'a cependant pas fini de grandir. De plus, un arrêt de travail durant l'apprentissage lui fera perdre une année. Il reprendra donc les activités professionnelles après le 11 janvier et sera suivi en physiothérapie. Il arrête la lutte pour l'instant. Je le revois en contrôle à distance. Je discute avec le patient. Je présente les différentes options thérapeutiques. Je remplis avec lui le formulaire d'information et de consentement éclairé en vue d'une ostéosynthèse soit par vissage direct au cas où la bande de tension dorsale est intacte, sinon haubanage. La date opératoire est agendée en ambulatoire la semaine prochaine. Je discute avec Mr. Y des options thérapeutiques, à savoir traitement conservateur avec physiothérapie et anti-inflammatoires, éventuelle infiltration sous-acromiale ou mise en place d'une prothèse totale que ce soit anatomique ou inversée. Avec un tendon sus-épineux rupturé, il est probable qu'une prothèse inversée soit nécessaire. Je remplis avec lui le formulaire d'information et de consentement en parlant des risques et de la perte de mobilité en rotation. Il souhaite la prise en charge chirurgicale. Je la revois le 22.02.2019 pour une réévaluation clinique. Je n'ai pas de mesure chirurgicale à proposer. J'adresse Mme. Y aux urgences pour une hospitalisation dans le service de médecine pour un traitement par Ilomedine. Je n'ai pas d'examen radiologique à disposition. Je n'ai pas prévu de revoir Mr. Y et reste à disposition si besoin. Je ne pense pas que la lésion SLAP joue un rôle clinique majeur. Nous allons tenter une reprise de travail en tant qu'infirmière. J'ai prévu un prochain contrôle dans 1 mois pour refaire le point. Reprise du travail à 100% à partir du 28.01.2019. Prochain rendez-vous : 28.02.2019. Je ne peux pas encore proposer un geste chirurgical vu qu'il me manque des informations. Je propose au patient de collectionner son dossier radiologique et on va contacter le cabinet de Dr. X afin d'obtenir le dossier médical du patient. Je le revois le 14.1.2019 pour refaire le point. Je ne propose pas encore de geste chirurgical. Actuellement, je conseille un traitement physiothérapeutique avec étirements neuroméningés. Pas d'arrêt de travail. Je préconise un contrôle chez moi dans deux mois. Prochain rendez-vous le 13.03.2019. Je pense que les limitations sont honnêtes et raisonnables. J'appuie également les mêmes limitations. Je remets au patient un certificat à donner au chômage pour une activité adaptée à partir du 1er janvier 2019. Il me contactera s'il faut corriger les dates. L'assurance reconnait un suivi physiothérapeutique 2X par semaine durant 6 mois ainsi qu'une consultation chez moi dans 6 mois. Je le revois donc dans 6 mois. Je pense que vu la symptomatologie quotidienne diurne et nocturne, une prise en charge chirurgicale est justifiée pour cette épaule. Si la coiffe devait s'avérer suffisamment bonne, on pourrait mettre une prothèse anatomique mais vu l'âge, je n'hésiterais pas à mettre une prothèse totale inversée. J'organise un consilium anesthésiologique pour évaluer les risques. Si on part sur un traitement chirurgical, je renoncerai à faire d'autres infiltrations dans l'intervalle. Je pense qu'il est nécessaire que Mr. Y change d'activité professionnelle, l'activité de plâtrier n'est pas adaptée. Les démarches ont été entreprises auprès de l'AI dans ce sens. J'appuie cette reconversion. On envoie également une copie à l'Office AI de Fribourg pour qu'il ait des informations avant la rédaction du rapport. Je peux raisonnablement exclure une maladie de Sudeck. Prescription de Traumaplant crème. Je me tiens à disposition si nécessaire. Je peux raisonnablement exclure une tendinite calcifiante étant donné l'absence de dépôt de calcium sur les radiographies à disposition. Je préconise donc un traitement conservateur avec physiothérapie (renforcement de la musculature de la coiffe des rotateurs, ainsi que recentrage de la tête humérale). Étant donné l'absence de gêne majeure, je ne prévois pas d'infiltration actuellement. Un contrôle est prévu à ma consultation le 27.3.19. Je préconise d'abord un examen neurologique à la recherche d'un syndrome du tunnel carpien droit. En même temps, j'organise une infiltration de l'articulation CMC I vu la gêne de la patiente. Je reverrai la patiente suite à cet examen neurologique pour l'infiltration qui est prévue pour le 25.1.2019. Je préconise d'abord un traitement conservateur en physiothérapie. Je vais garder un œil sur la patiente et la revoir d'ici 3 mois pour refaire le point. Prochain rendez-vous le 15.04.2019. Je préconise la cure de pouce à ressaut. J'informe la patiente du déroulement intra et postopératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 29 janvier 2019.Je préconise l'AMO. J'informe le patient du déroulement intra et postopératoire. Il me donne son accord pour cette intervention qui est prévue pour le 12.08.2019. Je préconise l'AMO tardive. J'informe la patiente du déroulement intra et post-opératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 30.4.2019. Je préconise tout d'abord afin de faire l'état des lieux. Je revois le patient le 15.01.2019 afin d'organiser une prise en charge, qui sera très probablement chirurgicale. Je préconise tout d'abord une IRM le 9.1.2019 pour confirmer l'existence du kyste. Je reverrai la patiente à la suite de cet examen le 10.1.2019 pour programmer l'opération qui est déjà pré-réservée pour le 22.1.2019. Je préconise un autre scanner pour juger de la guérison de l'os afin de pouvoir adapter les activités sportives. Je contacterai le patient pour lui donner les résultats du scanner. Je préconise un traitement physiothérapeutique pour crochetage cicatriciel, voire application de ventouse. De ma part, fin du traitement. Je me tiens à disposition. Je préconise une AMO précoce. J'informe le patient du déroulement intra et postopératoire pour cette intervention qui est programmée pour le 05.03.2019. Je préconise une arthro-IRM le 4.2.2019 pour faire la part des choses. Je reverrai la patiente le 18.2.2019 suite à cet examen pour discuter des options thérapeutiques. Je préconise une autre infiltration sous-acromiale. En cas d'échec de cette infiltration, une prise en charge chirurgicale avec boursectomie sous-acromiale et ténodèse du LCB pourrait être discutée. L'infiltration est programmée pour le 1.3.2019. Je reverrai la patiente à la suite de l'infiltration le 27.3.2019. Je préconise une biopsie d'excision. Le patient va encore réfléchir à cette proposition. Il va me recontacter pour organiser la suite de la prise en charge. Je préconise une infiltration sous-acromiale de l'épaule gauche pour essayer de calmer la gêne du patient. Celle-ci est programmée pour le 25.1.2019. Je reverrai le patient suite à l'infiltration le 27.2.2019. Je préconise une IRM de la colonne cervicale et une IRM injectée de l'épaule gauche le 22.1.2019 pour faire la part des choses. Prescription de Mydocalm pour traiter les contractures de la musculature para-vertébrale. Poursuite de la physiothérapie. Poursuite d'un arrêt de travail. Contrôle chez moi le 24.1.2019. Je préconise une IRM du poignet D à la recherche d'un kyste dans la gouttière du pouls. Je revois la patiente le 30.01.2019 afin de discuter des résultats de cet examen. Pas d'arrêt de travail pour ma part. Je préconise une IRM tout d'abord pour prouver l'existence du kyste et formellement exclure une lésion scapho-lunaire. Je reverrai la patiente à la suite de cet examen pour discuter des options thérapeutiques. Je préconise une nouvelle arthro-IRM pour faire l'état des lieux. Je reverrai le patient à la suite de cet examen. Prochain rendez-vous le 24.01.2019. Je préconise une nouvelle IRM le 8.1.2019 pour refaire le point par rapport à l'évolution de ces calcifications. En cas de persistance, on va discuter de l'ablation de ces calcifications par un geste chirurgical. Je reverrai la patiente suite à l'IRM le 16.1.2019. Je prends contact avec le Dr X qui a vu le patient il y a 4 mois pour qu'il me transmette les clichés radiologiques à sa disposition. Vu la situation, je pense qu'une correction chirurgicale est indiquée. Je reverrai le patient pour discuter de la stratégie, une fois les radiographies en ma possession. Je prescris à la patiente de la Voltaren crème à application topique en cas de douleurs et du Brufen 600 mg 3x/j pour max. 5 jours. Au vu de la bonne évolution, je ne prévois pas de prochain contrôle, mais reste à disposition en cas de besoin. Je propose au patient une prise en charge chirurgicale vu son jeune âge et son activité professionnelle. Il ne souhaite pas d'incapacité de travail pour l'instant, il arrive à fonctionner avec des douleurs mais ne peut pas réaliser toutes les tâches. Je propose une réinsertion du sous-épineux, réinsertion autant que possible du sus-épineux avec éventuellement un patch du biceps après ténodèse. Une date opératoire est agendée. Je propose dans un 1er temps un traitement conservateur avec une attelle nocturne. Le patient veillera à dormir avec les coudes tendus. Traitement anti-inflammatoire avec Brufen et protection gastrique. Je demanderai à la Dr. X de faire un bilan diabète, qui pourrait expliquer une apparition assez rapide des symptômes. Prochain contrôle dans 6 semaines. En cas de non évolution sous traitement conservateur, on proposera un traitement chirurgical. Je propose pour l'épaule un contrôle radioclinique dans une année. J'adresse le patient à la consultation du team Spine pour évaluation de ses lombalgies invalidantes (rdv le 29.01.2019). Je recommande à la patiente de faire encore des exercices pour libérer le fléchisseur de l'index. Pas de nouveau contrôle mais reste à disposition si nécessaire. Je recommande au patient de poursuivre la physiothérapie et les infiltrations prévues aux consultations en antalgie. Je prendrai contact avec le Dr X pour définir la marche à suivre. Je pense qu'il faut poursuivre les investigations pour comprendre l'apparition de l'œdème à la face dorsale de la main, éventuellement organiser un bilan angiologique. Je recommande au patient d'effectuer encore des exercices pour combattre le flexum. Je ne prévois pas de contrôle. Je recommande de poursuivre la physio et l'ergothérapie. Poursuite de l'incapacité de travail et réévaluation dans 6 semaines. Je réexplique le déroulement intra et post-opératoire au patient qui consistera en une arthroscopie diagnostique avec stabilisation du bourrelet glénoïdien ainsi que désimpaction de la lésion Hill Sachs, comblement du défect osseux par une allogreffe et stabilisation par plaque Philos. Il me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue le 17.01.2019. Je remets au patient une ordonnance pour des genouillères et une ordonnance de physiothérapie pour traiter la cicatrice et renforcer la musculature. Le patient pose la question d'une éventuelle ablation du matériel d'ostéosynthèse au niveau de l'épaule gauche. J'ai l'impression que le patient est à risque d'une péjoration des douleurs en cas de reprise chirurgicale sur cette zone. Je n'ai pas l'impression que la plaque puisse gêner puisqu'elle n'est pas palpable. Je propose tout d'abord que le patient soit convoqué en antalgie. Il me demande un certificat pour le port de ceinture. Je lui rappelle l'importance du port de la ceinture mais vu l'importance des douleurs, je conçois qu'il puisse préférer porter la ceinture au creux axillaire plutôt qu'au niveau cervical et l'informe des risques qu'il encourt. Je lui fais un certificat dans ce sens. Je remplis avec la patiente le formulaire d'information et de consentement en vue de la prise en charge chirurgicale pour une lésion de Stener au pouce G. Elle sera vue par les anesthésistes ce jour. L'opération est agendée au 07.01.2019 en ambulatoire. Je reste à disposition si nécessaire. Je ne prévois pas de contrôle. Je retiens l'indication à une biopsie d'excision. J'informe le patient du déroulement intra et post-opératoire pour cette intervention qui est prévue pour le 28.01.2019. Mr. Y a été clairement informé des complications, comme une récidive et une nécrose cutanée. Il me donne son accord oral et signé. Je revois la patiente le 27.02.2019 pour une réévaluation radioclinique. Je souhaite le garder en surveillance afin d'objectiver un épisode douloureux. Après une surveillance prolongée, la famille demande à rentrer en l'absence de nouvel épisode. Le ventre reste parfaitement souple lors de plusieurs examens cliniques.Je suis très optimiste que nous arriverons à traiter les douleurs du patient avec un traitement de physiothérapie ciblé. Je préconise les ondes de choc avec recentrage de la tête humérale et renforcement de la coiffe des rotateurs. En outre, je prévois une infiltration sous-acromiale qui est programmée pour le 01.02.2019. Je suis un peu perplexe que le physiothérapeute ait décidé lui-même d'enlever la contention et de faire bouger le patient. Je ne crains pas un lâchage du montage sachant que j'ai fait un montage solide par contre il me semble sous-optimal que le physiothérapeute prenne des décisions qui appartiennent au chirurgien. Poursuite d'un traitement physiothérapeutique maintenant avec une mobilisation active, rotation externe maximale 30°. Pas de rotation interne active contre résistance. Je rappelle au patient qu'il doit être prudent en rééducation pour ne pas mettre en danger le montage. Il semble comprendre mon attitude. Prochain contrôle chez moi dans 6 semaines le 21.2.2019. Je suspecte chez Mme. Y en premier lieu une tendinite du pes anserinus du genou D. Étant donné qu'au testing les ménisques sont asymptomatiques, je ne pense pas à une lésion du ménisque interne malgré les petites altérations de la corne postérieure du ménisque interne visualisées sur l'IRM native du 03.07.2018. Je propose alors à Mme. Y de continuer la physiothérapie qui est ciblée cette fois-ci sur une tendinite du pes anserinus. Je lui prescris également du Voltarène dolo emulgel à appliquer 2x/j. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Je suspecte chez Mme. Y une atteinte du ménisque interne, éventuellement associée à une atteinte du ligament croisé antérieur du genou gauche. Je propose à la patiente de porter l'attelle jeans en extension lorsqu'elle sort de la maison. Elle n'a pas besoin de l'attelle à l'intérieur. Elle se déplace à l'aide de cannes anglaises pour des raisons de sécurité. La thromboprophylaxie sous forme de Clexane 40 mg sous cut. 1x/j. est poursuivie. Je reverrai la patiente après l'IRM du genou gauche pour discuter des résultats et du traitement. Jusque-là, elle reste en arrêt de travail à 100%. Prochain rendez-vous : 23.01.2019. Je suspecte chez Mme. Y une entorse du ligament collatéral externe, éventuellement associée d'une lésion du ménisque externe. Pour cette raison, on demande une IRM native du genou D et je reverrai la patiente après cet examen pour discuter des résultats et du traitement. Jusque-là, elle continue à porter la genouillère articulée. Je suspecte chez Mme. Y une lésion du LCA associée à une distorsion du ligament collatéral interne ainsi que probable lésion du ménisque interne (unhappy triad). Je l'adresse pour une IRM de son genou et je la revois suite à cet examen pour discuter des résultats et envisager la suite du traitement. Étant donné qu'elle a une phobie des piqûres, je lui propose de changer la prophylaxie antithrombotique de Clexane par du Xarelto 10 mg. Elle va poursuivre le port de l'attelle jeans en extension, ainsi que les cannes anglaises. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain rendez-vous. Je vais bilanter la situation actuelle par un arthro-CT le 28.1.2019 (claustrophobie de la patiente) pour faire l'état des lieux actuel par rapport à la glène, une éventuelle omarthrose post-traumatique et également pour juger de la coiffe des rotateurs. Je reverrai la patiente suite à cet examen le 18.2.2019. Je vais faire pacser ces images d'IRM pour que je puisse les consulter. Je reverrai le patient le 1.2.2019 pour discuter de l'IRM. Mr. Y est admis dans le service le 04.01 pour surveillance et prise en charge de douleurs abdominales. Au niveau étiologique, un bilan sanguin comprenant une formule sanguine et une CRP revient dans les limites de la norme. Un ultrason abdominal est réalisé et montre une vessie contenant un sédiment et une fine lame de liquide libre de 2 x 1 cm en fosse iliaque droite. Le CT-scan réalisé par la suite met en avant une coprostase colique avec fécalome rectal, pouvant expliquer les douleurs abdominales diffuses de Mr. Y. Au niveau digestif, au vu de la coprostase, selon avis chirurgical de Dr. X, nous réalisons un lavement de Freka-Klyss le 04.01 au soir, avec amélioration des douleurs, et gardons Mr. Y sur la nuit pour surveillance. Nous commençons le lendemain un schéma de désimpaction au Movicol, afin de favoriser la vidange intestinale, et prescrivons un traitement d'entretien par la suite. Au niveau infectieux, l'histologie de l'appendice prélevé lors de l'hospitalisation précédente a mis en avant la présence d'oxyures, pour lesquels nous prescrivons un traitement à J0 et J14 de Vermox 200 mg à Mr. Y et à sa famille. Au niveau urinaires, le stix et le sédiment prélevés aux urgences montrent des leucocytes à 21-40/champ, avec des nitrites négatifs. Au vu des brûlures mictionnelles associées, nous débutons un traitement de Bactrim forte 800/160 mg 2x/j. Les cultures d'urines restent négatives, c'est pourquoi le traitement antibiotique est stoppé. Au niveau de l'antalgie, Mr. Y développe un rash cutané suite à la prise de Novalgine, pour lequel du Xyzal 5 mg est prescrit. Les douleurs sont donc contrôlées par la suite par Dafalgan et Ibuprofène pour le reste de l'hospitalisation. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mr. Y rentre à domicile avec un schéma de désimpaction de Movicol et la poursuite de son traitement de Vermox. Mr. Y est un jeune patient âgé de 12 ans et 4 mois, connu pour une appendicectomie non compliquée laparoscopique le 28.12.2018, qui reconsulte les urgences en raison de douleurs abdominales en épigastrique survenues ce jour, après un effort de défécation, sans état fébrile ni autres symptômes organiques. Le bilan sanguin est sans particularité. Nous réalisons un CT scan abdominal, qui montre un iléus iléal mécanique, associé à un saut de calibre, un feces sign, ainsi qu'une quantité modérée de liquide libre et une diminution du rehaussement pariétal. Une indication pour une laparoscopie exploratrice en urgence est retenue. En peropératoire, nous mettons en évidence une bride entre un appendice épiploïque et la tranche d'agrafes du moignon caecal causant un coude de la dernière anse iléale, avec présence de liquide séreux. Nous procédons à la libération de la dernière anse et à une révision du grêle. Les suites opératoires sont sans particularité et le patient est resté afébrile sur toute la durée de l'hospitalisation. Au vu d'une évolution clinico-biologique favorable, nous laissons Mr. Y rentrer à domicile le 02.01.2019. J'encourage la patiente à poursuivre son traitement d'ergothérapie en vue d'une évolution correcte. Pas de mesure particulière, notamment pas d'infiltration. Un prochain contrôle est prévu dans 6 semaines : le 14.03.2019. J'encourage la patiente à réutiliser son index. Le but de mon opération est atteint. Je n'ai pas prévu de rendez-vous chez moi. Mme. Y est hospitalisée dans le contexte de vomissements et perte de poids. Durant son séjour, nous n'objectivons pas de vomissements et elle ne présente pas d'autres symptômes somatiques. Sur le plan biologique, un bilan digestif est globalement rassurant. Elle prend des quantités alimentaires faibles, avec surtout des grignotages fréquents mais prend graduellement du poids durant son séjour. Elle se plaint par intermittence d'épigastralgies diminuant à l'alimentation sans nausées ni troubles du transit et s'amendant en fin de séjour. Sur le plan pédopsychiatrique, une évaluation est réalisée le 28.01 qui met en évidence une angoisse de Mme. Y envers les migraines de sa mère (plusieurs fois par mois, très invalidantes et avec vomissements) avec des vomissements débutant chez Mme. Y au moment de la péjoration des plaintes chez la mère (il y a 3 ans). Mme. Y montre également un mal-être concernant les changements de son corps liés à la puberté.Après 4 jours de surveillance, nous n'objectivons pas de critères pour une cause somatique expliquant les plaintes de Mme. Y et gardons une probable cause psychiatrique, type angoisse dans le contexte de la maladie de la maman. Le suivi auprès de sa pédopsychiatre, Dr. X, est donc à poursuivre. Jeune homme de 16 ans qui se présente aux urgences suite à une chute en snowboard. Aux urgences, il bénéficie d'un status clinique ciblé. En raison d'une clinique et d'une anamnèse évocatrice, nous effectuons une radiographie du poignet droit. La radiographie montre une fracture dorsale du radius distal de type Salter-Harris 2. Nous prenons un avis orthopédique chez le Dr. X, orthopédiste, qui préconise un plâtre antébrachial circulaire fendu pour 10 jours avec ensuite contrôle à la policlinique d'orthopédie. Un second contrôle sera à faire à 4 semaines. Une radiographie de contrôle effectuée après la pose du plâtre ne montre pas de signe de lésion nouvelle ou de déplacement. Nous prescrivons au patient une antalgie et un arrêt de travail. Il est libre de rentrer à domicile en bon état général. Jeune patient de 26 ans qui présente une anse de seau du ménisque interne à D datant d'un mois environ et pour laquelle nous retenons une indication à une prise en charge chirurgicale. L'état du ménisque sera évalué en peropératoire et nous déciderons alors si une suture méniscale ou une résection méniscale devra être réalisée. Le patient reçoit les informations concernant l'intervention, entre autres risques et bénéfices de celle-ci et suites postopératoires. Il donne son accord en signant un formulaire de consentement. L'intervention est agendée en ambulatoire pour le 23.01.2019. Jeune patient de 6 ans qui se présente aux urgences après s'être coincé le pied sous une machine agricole. Il bénéficie d'un status ciblé aux urgences qui ne montre pas de lésion neuro-vasculaire. Une radiographie du pied gauche ne montre pas de fracture ou de luxation. Nous prenons l'avis orthopédique du Dr. X qui préconise une attelle plâtrée postérieure avec canne anglaise et contrôle à la policlinique d'orthopédie lundi 28.01.2019. Nous prescrivons un arrêt du sport et une antalgie au petit patient. Il est libre de rentrer à domicile en bon état général. Jeune patient de 8 ans qui se présente suite à une chute à ski. Suite à un examen ciblé effectué aux urgences, nous effectuons une radiographie du membre inférieur droit qui montre une fracture spiroïde peu déplacée du tibia distal. Nous prenons un avis orthopédique chez le Dr. X, qui préconise l'immobilisation de la jambe à l'aide d'un plâtre pour 6 semaines. Le patient aura un contrôle clinique en policlinique d'orthopédie. De plus, nous prescrivons au patient de la physiothérapie d'éducation à la marche avec béquilles. Nous prescrivons également une antalgie au patient ainsi qu'un arrêt de sport. Il reçoit également une dispense d'école pour 1 semaine. Une radiographie effectuée suite à la pose du plâtre ne montre pas de déplacement de la fracture. Le patient peut rentrer à domicile avec des cannes anglaises. Rendez-vous pris à la consultation du Dr. X le 04.02.2019. Jeune patient qui présente des douleurs au niveau du tendon d'Achille droit au réveil et après le sport. Les douleurs sont non constantes et non reproductibles à la palpation. Au vu du bon état général du patient et d'un examen parfaitement normal, nous prescrivons un peu d'Ecofenac gel à appliquer au besoin. Le patient peut rentrer à domicile en bon état général. Jeune patiente de 9 ans qui présente en raison de douleurs récidivantes à sa cheville droite depuis plusieurs mois. À l'examen clinique, on retrouve des douleurs à la palpation du ligament talo-fibulaire antérieur. La patiente n'a pas encore eu de radiologie diagnostique de sa cheville droite, raison pour laquelle nous effectuons cet examen. Une radiographie de la cheville droite ne montre pas de fracture. Au vu de la clinique peu aiguë de la patiente et de l'absence de torsion récente, nous prescrivons à la patiente une attelle Aircast avec repos et arrêt de sport pour un minimum de deux semaines. La suite de la prise en charge se fera par le médecin traitant. La patiente est libre de rentrer à domicile en bon état général. J'explique à la patiente le déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices pré et postopératoires, qu'elle accepte en signant le formulaire de consentement éclairé. La patiente sera hospitalisée durant 7 jours après l'intervention. L'intervention est prévue le 22.02.2019. J'infiltre dans la partie proximale de la cicatrice en profondeur où je touche le point maximum des douleurs. Dépo-Médrol et Ropivacaïne à cet endroit, et qui est, à mon avis, antérieurement du fascia clavi-pectoral puis sous le fascia clavi-pectoral en regard du ligament coraco-acromial. Contrôle scopique. Après ce geste, nette diminution de la symptomatologie douloureuse. J'instaure un traitement de miacalcic, de vitamine C et bains d'eau salée 3 à 4 fois par jour. Le patient devra également marcher en déroulant le pas à l'aide de cannes anglaises avec des souliers de ville. Joli résultat à 1 année postopératoire. Le patient va poursuivre une auto-mobilisation et stretching articulaire de son épaule. Fin du traitement. Je me tiens toutefois à disposition. J'organise un ENMG pour bilanter l'atteinte du nerf radial, et une IRM pour voir si on a une explication anatomique macroscopique à l'irritation du nerf. Je le revois après ces examens effectués pour discuter de la prise en charge. Concernant l'épicondylalgie, on peut l'expliquer par la surcharge liée au fait que le patient porte toutes les charges avec le bras D. J'organise une IRM de l'épaule D et je revois le patient après cet examen pour discuter de la suite de la prise en charge. J'organise une IRM native de ce poignet afin de faire la part des choses, à la recherche d'une éventuelle lésion scapho-lunaire. Je revois le patient suite à cet examen. Mr. Y est un jeune patient de 6 ans et 11 mois qui se présente aux urgences pédiatriques pour des douleurs testiculaires aiguës d'apparition subite 5h auparavant. À l'examen clinique, le testicule gauche est fort douloureux à la palpation, un ultrason ne permet pas de clairement visualiser la vascularisation du testicule. Devant le diagnostic différentiel d'une torsion testiculaire, nous décidons d'effectuer une exploration scrotale sous anesthésie générale. En per-opératoire, nous visualisons une torsion d'hydatide, l'hydatide est alors enlevée. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont favorables et Mr. Y peut retourner à domicile le 11.01.2019. Mr. Y est donc hospitalisé pour amygdalite aiguë et antibiothérapie intraveineuse. Suite à l'avis ORL, il n'y a pour l'heure pas d'indication à un drainage chirurgical. Sur le plan ORL, nous notons une rapide amélioration clinique avec une diminution du trismus et du torticolis après 24 heures d'antibiothérapie, totalement amendés à la sortie. Il est fébrile à maximum 38.9° durant son séjour mais est subfébrile le jour de la sortie. Un contrôle biologique le 23.01 démontre une nette diminution du syndrome inflammatoire. Sur le plan digestif, il s'alimente correctement durant son séjour. Il rentre à domicile le 23.01 avec une dernière dose d'antibiothérapie iv à la maison (48 heures iv en tout) puis relais par Co-Amoxicilline per os pour 7 jours au total. En cas de péjoration de l'état général, nous conseillons un contrôle aux urgences.Jour 3 de vaccin anti-rabique. Mr. Y est admis dans le service le 02.01 pour une insuffisance respiratoire dans le contexte d'une bronchiolite à RSV. Au niveau respiratoire, Mr. Y nécessite une oxygénothérapie aux lunettes maximum à 1L du 02.01 au 04.01. Il reçoit aux urgences 6 pushs de Ventolin sans amélioration clinique, ce traitement est donc stoppé par la suite. Un protocole de médecine anthroposophique est débuté. Le RSV dans les sécrétions nasopharyngées revient positif. Au niveau alimentaire, une sonde naso-gastrique est posée dès l'entrée avec hydratation de Normolytoral mais est retirée au cours de la nuit suivante. Mr. Y conserve une alimentation et une hydratation adéquates par la suite. Au niveau infectieux, le traitement antibiotique d'Amoxicilline 50 mg/kg/j pour l'otite moyenne aiguë est poursuivi pour un total de 5 jours. Il reste stable au niveau hémodynamique et ne présente pas d'état fébrile au cours de son séjour. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mr. Y rentre à domicile le 05.01 avec contrôle chez le pédiatre au cours de la semaine suivante et consignes de surveillance. Jumeau 1 (Monochorial-biamniotique), prématuré à 36 6/7, PN: 2455 g (p10), T 45.5 cm (P 5), PC 33 cm (P 25) S/p Maladie des membranes hyalines ; CPAP à la naissance pendant 4 jours S/p Hypotension artérielle sur trouble de l'adaptation respiratoire S/p Syndrome brady-apnéique post MMH K effervescent en ordre unique aux urgences. K Effervette 3x/jour jusqu'au prochain contrôle à la filière des urgences ambulatoires. K effervette en ordre unique aux urgences. Kaliémie normale. Echocardiographie : absence de répercussion pathologique. Mme. Y est donc gardée en surveillance suite à une probable décompensation psychotique sous influence de cannabis avec labilité émotionnelle accrue et angoisses impossibles à gérer autant par le foyer que par la mère. Elle est hospitalisée suite à une évaluation pédo-psychiatrique par le Dr. X. Elle est calme et collaborative durant son séjour et est stable hémodynamiquement. Elle garde le 11.01 des céphalées temporales gauches mais en diminution par rapport à la veille et diminuant sous Dafalgan. En accord avec l'équipe pédo-psychiatrique et le foyer, Mme. Y rentre au foyer le 10.01. Le suivi habituel avec le Dr. X reprendra le 15.01. Kalium per os 30 mmol/j. kamillosan bain 1x/j 2-3j. Kardiopathie hypertensive • St.n. récurrence cardiaque Dekompensation • Echocardiographie 15.04.2016 : fonction VG normale (EF 50 %), aortosclérose, minime insuffisance aortique, minime insuffisance mitrale, dilatation légère de l'oreillette gauche • ECG le 15.11.2018 : rythme sinusal, pouls 85/min, bloc AV 1°, bloc de branche gauche incomplet, axe gauche (hypertrophie cardiaque connue), QTc 405 ms • RX 14.11.2018 : signes d'une décompensation cardiaque accrue par rapport à RX 21.10.2018, plus d'épanchement du côté droit et il existe. Ostéoporose • Fracture de compression de la colonne vertébrale L2/L3 avec douleurs musculaires dorsales paravertébrales. Hernie ombilicale chronique, 4 cm de diamètre : connue depuis des années, surveillance clinique. Rhinite chronique (gauche > droite) - onguent nasal. Insuffisance énergétique et protéique modérée. Suspicions de neuropathie périphérique avec léger manque de vitamine B12. Manque sévère de vitamine D (22 nmol/l au 05.09.2016). Sténose du canal lombaire. Cholecystolithiasis. Kyste rénal à droite. Syndrome du canal carpien à droite. Déficit cognitif léger, cliniquement sans symptôme dépressif. • MMS : 25/30, Clock 3/6, GDS : 9/15 (05.05.2017). Visus diminué à droite > gauche suite à une thrombose de la veine centrale de l'œil droit en 2006. Surdité à droite. Vertiges chroniques d'étiologie incertaine, probablement vertige positionnel paroxystique bénin. Syndrome cardiopulmonaire avec décompensation cardiaque récurrente NYHA III au 14.11.2018 i.R.e. cardiopathie hypertensive chronique avec : • NT-proBNP >9000 ng/l au 15.11.2018. • ECG le 15.11.2018 : nkSR 85/min, axe gauche avec hypertrophie cardiaque gauche connue, AVB I°, bloc de branche gauche incomplet, QTc 405 ms. • Rx thorax au 14.11.2018 : décompensation cardiaque, augmentation de l'épanchement pleural droit. • ETT 2016 : FEVG 50 %, aortosclérose, dilatation légère de l'oreillette gauche. • consultation néphrologique au 27.11.2018 : traitement diurétique uniquement avec Torasemide. Mr. Y montre une bonne évolution des symptômes respiratoires et au niveau alimentaire. Cataracte - opération 2011. Diplopie 1994. Déséquilibre hyperglycémique d'un diabète sucré de type II, ED 1997 • Suivis tardifs : polyneuropathie et néphropathie. Anamnèse d'amnésie globale transitoire, anamnèse d'accident ischémique transitoire. KCL. KCL déjà prescrit. KCl eff 30 mmol/l aux urgences. KCl per os 2 fois par jour pendant 48h. KCl ret. 10 mmol - 2 x/jour. NaCl iv 0.9% 2000 ml/24h. Suivi biologique. KCl ret 10 mmol 2cp aux urgences. KCl retard. KCl retard pendant 2 jours. KCl retard pendant 2 jours. KCl retard pendant 2 jours. Mise en suspens du Torasemide et changement pour le Furospir. KCl retard pendant 2 jours. Suivi biologique. KCl retard pendant 3 jours. KCl retard 10 mmol 2 cp pendant 3 jours au total. KCl retard 3x/j pendant 48 heures. KCl 20 mmol iv + 30 mmol per os. Suivi chez le médecin traitant. KCl 30 mmol per os. • substitution orale. KCl 40 mmol sur 24h. Att: • Supplémentation orale. KCl 40 mmol/24h iv. KCl 40 mmol/24h iv. KCl 40 meq sur 24h en intraveineux le 28.12.2018 Puis 60 meq sur 24h le 29.12.2018 Potassium effervette 2x/j dès le 29.12.2018. KCl retard 2x/j jusqu'au 03.01.2019. Aucune. Pas de thérapie. Aucun. Prend aucun médicament. Keppra à partir du 16.01.2019. EEG le 17.01.2019. Avis Neurologue Dr. X. Keppra 750 mg deux fois/jour (matin et soir) à partir du 02.01.2019. Prendre un rendez-vous à votre consultation dès que possible. Kératite cornéenne œil droit le 04.01.2019. Kératite œil gauche avec hémorragie sous conjonctivale. Kératite œil gauche sur corps étranger. Kératite œil gauche. DD : uvéite gauche. Mr. Y est gardé hospitalisé dans le contexte d'un état fébrile avec inconfort. Sur le plan infectieux, il présente initialement des états fébriles maximaux à 39.5° avec bonne réponse aux fébrifuges. Hormis une infection des voies respiratoires supérieures, nous n'objectivons pas d'autres foyers. Un bilan urinaire ne montre pas d'infection et au vu de son bon état général, nous ne faisons pas de bilan supplémentaire. En raison de la persistance de l'état fébrile et de l'apparition de besoin en O2 dès le 13.01, il est décidé d'introduire un traitement par Co-Amoxicilline sur suspicion de surinfection bronchique. Il ne présente plus de pics fébriles par la suite et l'antibiothérapie est poursuivie pendant 1 semaine en tout. Sur le plan respiratoire, devant les sécrétions ORL importantes, une physiothérapie est mise en place dès le 12.01. De l'oxygène au masque est nécessaire dès le 13.01 et jusqu'au 16.01. Il présente une détérioration respiratoire dès le 15.01 de type spastique et avec amélioration suite à l'introduction d'Atrovent et Betnesol, le Ventolin n'apportant que peu de changements cliniques. L'Atrovent est progressivement diminué dans le but d'un retour à domicile. Sur le plan neurologique, le confort peut être assuré avec ses réserves habituelles. Les phases d'inconfort sont principalement liées aux pics fébriles avec amélioration par la suite. Mr. Y peut donc rentrer à domicile le 18.01.19 avec poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 19.01.Kompressionsstrümpfe Ernährungsberatung Konakion du 20.01 au 21.01.2019 Suivi biologique Konakion et Beriplex le 28.01.2019 Konakion et Beriplex le 28.01.2019. Konakion IV 1/semaine du 27.12.2018 au 07.01.2019 Suivi clinique et biologique Konakion le 14.12.2018 Cyklokapron le 14.12.2018 Transfusion de 2 PFC le 14.12.2018 Transfusion de 1 CE le 14.12.2018 Transfusion de 2 CE le 15.12.2018 Transfusion de 1 CE le 16.12.2018 Transfusion de 1 CE le 02.01.2019 Konakion 0.5 mg iv le 30.04.15 Guthrie à J4 Oleovit 1gtt/j dès J4 Konakion à J28 OEA passées Konakion 0.5mg IV J0 et J28 US cérébral le 08.01.19: Normal OEA avant la sortie - normal Pox-screening - normal Vitamine D dès J8 Maltofer 5mg/kg/j dès J15 Guthrie J4 et J14 Konakion 10 mg dose unique le 23.01.2019 Konakion 10 mg iv en dose unique à l'admission. Konakion 10 mg iv le 20.01.2019. Suivi biologique Konakion 10 mg 3x/j po du 06.01.18 Konakion 10mg iv le 27.12.2018 Suivi biologique Konakion 10mg 1x/j Suivi de la crase Konakion 2mg en ordre unique Suivi biologique Konakion 5 mg - 2 x le 20.12.2018. Konakion 5 mg iv le 07.01.2019. Konakion 2 mg per os le 11.01.2019. Suivi biologique avec adaptation du Sintrom. Konakion 5 mg per os dose unique le 26.12.2018 Suivi INR Attitude : • stop Sintrom, à rediscuter à distance Konakion 5mg intraveineux aux urgences Suivi biologique Koronare Kardiopathie • 1-Gefässerkrankung • seit 04/2018 Angina pectoris CCS II bis III • Koronarintervention 11.09.2018: PCI/1 DES RIVA medial (EF 60%) • Herz-MRI 17.05.2018: keine Hinweise auf eine klinisch relevante, belastungsinduzierte Myokardischämie. • Kardiovaskuläre Risikofaktoren: Diabetes mellitus Typ 2 (insulinbedürftig); Nikotinkonsum; leichte Hypercholesterinämie (11.09.18: Tc 5.3, LDL 3.4, HDL 1.2 Tg 1.5mmol/l) • Ergometrie 24.04.2018: bei submaximaler Belastung nicht aussagekräftig • Farbdoppler-Echokardiographie 24.08.2018: normale biventrikuläre Dimension und Funktion ohne relevante Klappenvitien, Regionalitäten bei eingeschränkter Schallqualität nicht beurteilbar, normaler pulmonaler Druck • Koronarographie (Dr. X) am 08.01.2019: Re-stenose vom Stent von 50% auf Höhe der proximalen RIVA, funktionell nicht signifikant (0.88). Verschluss eines septalen Astes (kollateralisiert durch die rechte Koronararterie) • Start von Plavix am 09.01.2019, die doppelte Antikoagulation wird vom Hausarzt im Verlauf reevaluiert • unter Atorvastatin und Aspirin cardio K-Ph 20 mmol/24h iv KCl 30 mmol po Att: • substitution iv et orale Mr. Y est admis pour des polyadénopathies réactionnelles latérocervicales gauches, dans un contexte de pharyngite et de rhinite au décours. Nous introduisons un traitement par Co-Amoxicilline et corticoïdes iv. L'évolution clinique et biologique est favorable avec une diminution des adénopathies. L'ultrason cervical de contrôle du 18.01.2019 montre une régression des adénopathies et une absence de complication. Au vu de l'évolution clinique favorable, il peut retourner à domicile. Kyste annexielle G de 3 cm connue : • probablement origine fonctionnelle • douleurs mammaires bilat. probablement associées Kyste arthro versus ténosynovial face dorsale de la main G, en regard de l'articulation métacarpo-métacarpienne 2-3. Kyste arthrosynovial face palmaire poignet gauche. Légère hypertension artérielle systolo-diastolique diurne et nocturne sur le Holter du 12.12.2018. Excès pondéral stable. Kyste arthrosynovial palmaire poignet gauche symptomatique Kyste au niveau de la cuisse droite Kyste dans la gouttière des pouls poignet gauche symptomatique. Kyste de Baker à gauche avec gonarthrose gauche (radiographie faite chez le médecin traitant) Kyste de Baker du genou droit. Kyste de la tête du pancréas de 20mm (en premier lieu IPMN de type main duct) • régression en taille (15mm) au CT du 07.05.2018 • pancréatite biologique le 02.10.15 non investiguée Cholécystolithiase Syndrome métabolique avec : • Hypertension artérielle • Diabète de type 2 insulino-requérant • Dyslipidémie • Obésité SAOS non appareillé Bradycardie sinusale, sans insuffisance chronotrope (test d'effort 08.2015) Polyneuropathie périphérique Kyste de la tête du pancréas déjà décrit sur CT abdominal de 09.2009 mesurant alors 10mm Discussion avec le radiologue Dr. X : lésion peut être compatible avec une IPMN, cependant au vu de la lente évolution de ces lésions et de l'absence de signes de malignité actuellement, il ne retient pas d'indication à un suivi, ni d'investigations supplémentaires à ce stade. Kyste de l'ovaire gauche. Kyste dorsal ITP Dig II main droite. Arthrose IPP et IPD Dig II main droite. Kyste du poignet droit au niveau radial. Kyste hémorragique gauche chez Mme. Y primigeste primipare de 44 ans Kyste hémorragique gauche (DD: torsion ovarienne gauche) chez Mme. Y 1P de 44 ans Kyste intra-osseux du semi-lunaire du poignet droit avec kyste scapho-lunaire multi-lobulé droit symptomatique. Bosse carpienne du latéral asymptomatique. Kyste ostéo solitaire condyle externe gauche. Kyste ostéo solitaire condyle externe gauche. Kyste ovarien de l'annexe droite le 09.01.2019 avec : • échographie ciblée des urgences (Dr. X, Dr. X) le 09.01.2019 : pas d'épanchement péritonéal, pas de dilatation des cavités pyélocalicielles perçue, aorte abdominale non dilatée, pas de globe vésical. • laboratoire le 09.01.2019 : leucocytes 11.8, pas de CRP Kyste ovarien gauche hémorragique rompu chez une Mme. Y de 2 gestes 2 pares de 51 ans Kyste para-tubaire gauche Tabagisme actif à 5-8 UPA Kyste péri-rénal surinfecté gauche de 5 x 6 cm le 24.12.2018 Kyste péri-rénal surinfecté gauche le 24.12.2018 Kyste péri-rénal surinfecté gauche le 24.12.2018 • s/p drainage sous guidance CT le 24.12.2018 • s/p lombotomie gauche, évacuation de l'abcès et drainage le 26.12.2018 (drainage retiré le 28.12.2018) -- lésions iatrogènes de la plèvre gauche conduisant à pneumothorax (drain thoracique du 26-28.12.2018) et du colon (suturée) • liquide d'abcès rénal gauche : Enterobacter aerogenes • antibiothérapie : ceftriaxone 24.12-26.12.2018, meronem 26.12-31.12.2018, ciproxine dès le 31.12.2018 Kyste pilonidal Kyste pilonidal de 1 cm de profondeur au niveau du sillon interfessier le 22.01.2019. Kyste pilonidal sacrum. Kyste pilonidal sacrum. Kyste pinéal suivi à Bern depuis 5 ans, asymptomatique Kyste poplité. Rétraction des chaînes postérieures. Crépitus fémoro-patellaire. Kyste rénal à D (découvert le 04.12.2018 au US abdominal) Diverticulose sigmoïdienne calme (CT abdominal 10.12.2018) Spondylarthrose dorso-lombaire modérée et coxarthrose G et D (CT abdominal 10.12.2018) Hernie inguinale G de contenu graisseux (CT abdominal 10.12.2018) Kyste rénal à D (découvert le 04.12.2018 au US abdominal) Diverticulose sigmoïdienne calme (CT abdominal 10.12.2018) Spondylarthrose dorso-lombaire modérée et coxarthrose G et D (CT abdominal 10.12.2018) Hernie inguinale G de contenu graisseux (CT abdominal 10.12.2018) Kyste rétro-auriculaire droit avec début de surinfection. Kyste salivaire Kyste salivaire sans signes de gravité. Après avis ORL, intervention si gêne décrite, sinon suivi simple et régression automatique. Kyste scapho-lunaire d'origine inconnue gauche. Status post probable arrachement du triquétrum poignet gauche. Kyste scapho-lunaire d'origine inconnue gauche. Status post probable arrachement du triquétrum poignet gauche. Kyste scapho-lunaire poignet gauche symptomatique. Kyste simple de l'ovaire gauche Kyste simple de l'ovaire gauche Kyste surinfecté du cuir chevelu pariétal gauche, de 1.5 cm de diamètre. Kyste synovial traumatique de l'articulation scapho-trapézoïde le 28.01.2019. Kyste ténosynovial gaine des fléchisseurs de l'index droit olygosymptomatique. Kyste très probablement téno-synovial face dorsale poignet G. Status post ancien arrachement du triquétrum gauche. Kystes ovariens. Kystes rénaux des deux côtés suivi par le Dr. X. Cystites à répétitions et pyélonéphrite. Kystes rénaux des deux côtés suivis par le Dr. X. Cystites à répétition et pyélonéphrite. Kystes rénaux droits de découverte fortuite le 30.12.2018 (stade Bosniak 2 F). La cicatrice post-opératoire reste calme sans signe infectieux, pas d'écoulement à l'appui ou de rougeur ou de chaleur. L'abdomen est souple dépressible indolore à la palpation et le patient est apyrétique. Nous le laissons rentrer à domicile avec un rendez-vous de contrôle et ablation des fils le 24.01.2019 chez son médecin traitant. La clinique du patient est rassurante, mais reste avec un diagnostic différentiel entre une douleur musculaire et une épididymite. Le laboratoire montre un léger syndrome inflammatoire sans leucocytose. Nous prenons l'avis du Dr. X et le patient rentre à domicile avec antalgie et AINS. Un contrôle est prévu demain à la filière des urgences ambulatoires avec laboratoire et clinique, si persistance des douleurs ad ultrason testiculaire-abdominal. La clinique est évocatrice d'une fissure anale bien que celle-ci ne soit pas objectivée à l'examen clinique. Nous laissons la patiente rentrer avec un traitement antalgique simple et un traitement topique pour les fissures anales. Elle reconsultera en cas de persistance des douleurs. La clinique est favorable, et le point d'incision reste ouvert sans signe inflammatoire. Nous réalisons l'ablation de la mèche et un rinçage abondant à l'aide d'une aiguille boutonnée. Nous effectuons un pansement simple par compresses et Mefix. Le patient débutera des rinçages à la douche 4x/jour sous pression, avec un contrôle à la policlinique à 3 jours de distance. La clinique est rassurante, et le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique, du Magnesiocard et l'indication de consulter un spécialiste si persistance des symptômes. La clinique et l'anamnèse évoquent une gastroentérite virale, ce qui est renforcé par le laboratoire. Le patient est hydraté IV et reçoit IV un antiémétique. La clinique s'améliore et il peut rentrer à domicile avec un traitement symptomatique. La clinique et le sédiment urinaire parlent en faveur d'une infection urinaire à germes résistants au Bactrim, raison pour laquelle nous administrons une dose de Ceftriaxone IV aux urgences relayée à domicile par Ciprofloxacine. La patiente reviendra à la filière des urgences ambulatoires dans 48h pour un contrôle clinique et les résultats de la culture urinaire. La clinique et les radiographies sont plutôt suggestives d'un problème scapho-lunaire. Je préconise une arthro-IRM afin de préciser la situation. Je revois le patient le 18.02.19 afin de discuter de la suite du traitement. La clinique me fait penser à une instabilité du long chef du biceps. Je préconise une IRM. Je reverrai le patient à la suite de cet examen. Prochain rendez-vous : 28.02.2019. La clinique respiratoire n'est pas typique pour un bronchospasme, même si la rhinite pourrait faire évoquer une origine plutôt virale. Au vu de l'état général moyen et de la tachypnée, nous débutons un traitement antibiotique pour une suspicion de pneumonie. Les parents se présenteront pour un contrôle en cas d'augmentation de la dyspnée ou de baisse de l'état général. La communication des résultats de la biopsie était prévue pour le 08.02.2019 à la consultation de chirurgie. La consolidation osseuse n'est pas acquise, il faut encore éviter les mouvements en actif, en élévation et rotation externe mais on peut travailler passivement sur la mobilité. Le déplacement millimétrique ne justifie pour l'instant pas de prise en charge chirurgicale. Poursuite de l'incapacité de travail et réévaluation clinique et radiologique dans 6 semaines. La demande de la patiente étant une opération ce jour à Riaz, nous lui expliquons que cela n'est pas possible. Elle insiste et demande à voir un orthopédiste car elle veut un 2ème avis quant à la faisabilité d'être opérée ici à l'HFR. Après discussion au colloque chirurgical, les orthopédistes de Riaz proposent à la patiente de revoir son orthopédiste traitant car la prise en charge maximale est déjà proposée. L'antalgie est maintenue comme prescrite en novembre. La douleur est due à l'arthrose qu'il a au niveau de son articulation tibio-astragalienne actuellement. Je lui propose, comme l'infiltration lui avait relativement peu apporté, que nous allons faire une ordonnance pour des chaussures Künzli avec un support plantaire et une rampe de déroulement. Je lui donne l'ordonnance ce jour et le reverrai dans 2 mois pour réévaluer la situation. La durée des symptômes parle en faveur d'une sinusite chronique. Après avis ORL, nous proposons de poursuivre le traitement symptomatique avec contrôle ORL le 14.01.2019 afin d'effectuer une naso-fibroscopie. La facture n'est pas encore totalement consolidée, raison pour laquelle nous ne pouvons pas encore procéder à l'ablation du matériel d'ostéosynthèse. Nous conseillons au patient de diminuer le tabac afin de permettre une consolidation fracturaire plus rapide. Suite de la prise en charge à la consultation du Dr. X dans 6 mois. La fracture est en bonne voie de consolidation. Il peut charger progressivement et faire du vélo ainsi que de la natation. Nous prolongeons l'arrêt de travail jusqu'au 28.02.2019 puis reprise à 50%. Nous le reverrons dans 2 mois pour un contrôle radioclinique. La fracture est pluri-fragmentaire, et potentiellement instable mais le patient ne désire pas de prise en charge chirurgicale. Confection donc d'une attelle thermo-formée en ergothérapie immobilisant les doigts III à V, laissant le poignet libre. Nous reverrons le patient dans 1 semaine pour un contrôle radio-clinique et il sera immobilisé pour une durée totale de 6 semaines. À la fin du traitement, nous initierons de l'ergothérapie et pourrons également faire un traitement pour la rhizarthrose symptomatique. La gastro-entérologue met en évidence des varices oesophagiennes susmentionnées, raison pour laquelle elle pose l'indication à une surveillance aux soins intensifs de Fribourg. Nous transférons donc le patient à l'HFR Fribourg, départ en ambulance. La gazométrie montre des valeurs acceptables pour une prise de sang capillaire. La bilirubine totale à 134umol/l est largement en dessous du seuil. Nous laissons Mme. Y rentrer à domicile mais elle devra être vue par son pédiatre le lendemain pour une nouvelle évaluation clinique plus à distance du début des symptômes. La lésion présente une collection en regard. Après anesthésie et champage, une incision est pratiquée en regard de la lésion. Par la suite, extériorisation de pus et de sang, et pose d'une mèche. Le patient viendra faire contrôler la plaie et l'ablation de la mèche le 05.01.2019 à la filière des urgences ambulatoires, puis contrôle en policlinique de chirurgie le 10.01.2019. La lésion qu'on voit en correspondance du fémur sur le fémoro-patellaire est sûrement une lésion ancienne liée probablement à une subluxation ou à un traumatisme de la rotule pour laquelle nous ne donnons pas de traitement. Elle doit reconditionner son genou avec de la physiothérapie selon douleurs. Prochain contrôle dans 2 mois. Elle pourra l'annuler en cas d'amélioration. La luxation est réduite avec succès. Suite à la réduction, diminution des douleurs, diminution de l'hypoesthésie dans le territoire du nerf axillaire. Nous mettons en place un gilet orthopédique et une antalgie simple. La patiente sera revue à la policlinique d'orthopédie dans 2 semaines avec bilan radiologique.La marche vers l'intérieur est provoquée par une antétorsion fémorale encore bien présente, un arrière-pied en valgus et un léger genou valgum. Les douleurs de la hanche sont plutôt localisées sur le tendon adducteur car l'examen des hanches est indolore. Il présente une importante rotation interne qui est explicable par l'antétorsion fémorale. Toutefois, une antétorsion fémorale liée n'a pas de risque de développer un problème de la hanche, comme une arthrose précoce. L'antétorsion pourra s'améliorer durant la croissance. Nous le reverrons dans 6 mois pour un contrôle clinique. La masse découverte à l'origine de la thrombose, du syndrome de Horner et de la paralysie diaphragmatique ipsilatérale a été biopsiée avec succès sans complication immédiate ni lors de la surveillance de 3h par la suite. Les résultats seront transmis au médecin traitant comme convenu par le laboratoire Promed à la consultation chez le médecin traitant durant la semaine 3 et Mr. Y consultera son médecin traitant pour les résultats. Mr. Y, son épouse et son fils ont été informés de la probabilité forte d'une maladie oncologique. D'un point de vue thérapeutique, Mr. Y a été informé de reprendre son traitement de Clexane thérapeutique à 60 mg 2x/jour dont l'efficacité a été contrôlée par un dosage de l'anti-Xa. Nous proposons un contrôle de la fonction rénale et de ne pas substituer ce traitement pour l'instant par un anticoagulant oral. Le traitement d'Aspirine a été mis en suspens le temps de l'anticoagulation. Un bilan angiologique est à prévoir à 3 mois dans notre service d'angiologie selon l'évolution. Nous nous tenons à disposition pour la suite de la prise en charge ou en cas de questions. La microhématurie trouvée au sédiment urinaire nous motive à faire un scanner natif abdomino-pelvien à la recherche d'un calcul. Pas de calcul visualisé et les gênes de Mr. Y qui disparaissent de manière spontanée sont interprétées comme le passage de calcul. Mr. Y n'émet pas de plainte particulière, il est mis au courant de l'absence de thrombose et se sent rassuré. Il poursuivra son traitement anti-inflammatoire pour ses douleurs. Il est libre de rentrer à domicile le 18.01.2019 en bon état général. Mr. Y répond bien à un traitement antalgique par perfalgan, novalgin 1g, ecofenac et buscopan. L'abdomen reste malgré tout diffusément sensible. Nous réalisons donc un ASP debout qui montrera une aérocopie importante. Au contrôle biologique, hypokaliémie en péjoration, raison pour laquelle nous la substituons avec 20 meq qu'on dilue dans 500mL de NaCl. Mme. Y a bénéficié de la mise en place d'une prothèse inversée de l'épaule gauche le 13.02.2018, avec une mauvaise évolution post-opératoire. Déjà en intra-opératoire, il s'est produit une fracture du rebord antéro-inférieur de la glène qui a été ostéosynthésée par vis puis la métaglène a été implantée. Sur les radiographies de contrôle, on observe un déplacement de la métaglène qui bascule vers crânial. Vu la mauvaise fonction et le déplacement, le Dr. X retient l'indication à une révision du site et nouvel ancrage de la métaglène, intervention qui se déroule le 22.01.2019. Dans les suites opératoires, les douleurs sont bien contrôlées, initialement par cathéter interscalénique jusqu'au 25.01.2019, puis par l'antalgie standard. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. La radiographie post-opératoire est en ordre et Mme. Y portera le coussin d'abduction durant 4 semaines post-opératoires, sans aucune mobilisation de l'épaule. Par contre, elle bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation des doigts, du poignet et du coude des deux côtés. Au laboratoire du 23.01.2019, mise en évidence d'une hypokaliémie à 2,9 mmol/l sous traitement par Indapamide, corrigée par potassium iv durant 24 heures à 3,4 mmol/l le 24.01.2019. Par la suite, Mme. Y reçoit du potassium effervescent 3 x 1 cpr/jour pour 3 jours. Par ailleurs, durant son séjour, Mme. Y bénéficie d'inhalations d'Atrovent et Ventolin 3 x/jour. L'évolution clinique est favorable et Mme. Y est transférée à l'HFR Billens le 28.01.2019. Mme. Y a bénéficié de l'intervention susmentionnée au début septembre 2018. Il s'agissait d'une fracture complexe du pilier radial du coude avec une fracture par cisaillement du capitelum et une fracture-arrachement associée de l'épicondyle. Une refixation du capitelum par vis libres et plaque d'appui a été réalisée, puis réinsertion de l'épicondyle. Déjà lors de la première opération, le Dr. X avait visé une stabilité haute avec une refixation à l'aide d'une ancre vissée dans la substance osseuse du condyle radial associée à une stabilisation en deuxième rangée. Bon contrôle radiologique à 6 semaines post-opératoires. Par contre, à 3 mois post-opératoires, mise en évidence d'un arrachement de l'épicondyle. Initialement, pas d'instabilité importante en varus, mais qui se péjore par contre lors du contrôle suivant, raison pour laquelle le Dr. X retient l'indication opératoire. L'intervention se déroule le 24.01.2019, sans complication. Les suites post-opératoires sont simples, le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et la cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation dans l'axe, en flexion-extension libre. Toute sorte de stress varus doit être évité. En dehors des séances de physiothérapie, le membre est immobilisé par une attelle BAB postérieure. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie standard et le contrôle biologique post-opératoire montre une hémoglobine à 116 g/l, la chimie est dans la norme. Devant la bonne évolution, Mme. Y peut retourner à domicile le 26.01.2019, après organisation des soins à domicile. Mme. Y a bénéficié d'un arrêt de travail de 100% de la date du traumatisme jusqu'au 15.02.2019. La reprise du travail sera réévaluée lors de la prochaine consultation avec le Dr. X. Mme. Y a déjà repris son activité professionnelle à 100%. Afin d'améliorer encore la situation, nous lui proposons du fitness médical et nous lui conseillons de reprendre le yoga. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Mme. Y a fait une chute de sa hauteur avec traumatisme du rachis sans déficit. Les radiographies ne montrent pas de fracture. Nous proposons dès lors à Mme. Y un traitement symptomatique avec suite de prise en charge chez son médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Les critères de reconsultation sont expliqués à Mme. Y. Mme. Y a présenté des signes d'hyperventilation expliquant les symptômes. Elle se rendra demain chez son psychiatre pour assurer le suivi psychiatrique. À noter le souffle aortique pour lequel un bilan plus avancé serait adéquat. Mme. Y a reçu un train de Ventolin, qui a fait disparaître la détresse respiratoire et des sibilances. Prescription de Betnesol pour 3 jours, et Ventolin faite pour la maison. Recô si péjoration. Mme. Y a rendez-vous avec son médecin traitant le 09.12.2018. Mme. Y a rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour contrôle clinique le 23.01.2019. Ablation des fils à 2 semaines post-opératoires en policlinique d'orthopédie. Mme. Y a rendez-vous le 07.01.2019 chez son médecin traitant pour changement du pansement et dans environ 5 semaines avec son opérateur.La patiente a rendez-vous le 22.01.2019 au Team Spine de l'HFR Fribourg pour contrôle et suite de la prise en charge. Nous vous remercions de bien vouloir organiser à distance des investigations complémentaires quant à l'hématurie microscopique mise en évidence. La patiente a retrouvé ses forces et demande à recommencer à retravailler à 50% le plus rapidement possible. Nous avons accordé une reprise de travail à 50% le 19.12.2018 et 100% à partir du 09.01.2019. Le traitement a pris fin le 17.12.2018. La patiente a souffert de la fracture susmentionnée en juin 2013, avec une mauvaise évolution post-opératoire. A distance de l'ostéosynthèse, formation d'une pseudarthrose avec le fragment capital qui se déplace de sa saisie par la plaque Philos. La plaque Philos est complètement désolidarisée du fragment capital, gênant le muscle deltoïde. Le Dr X retient alors l'indication à une cure de pseudarthrose avec AMO et comblement du défect osseux. En raison du mauvais état des tubérosités, la mise en place d'une prothèse n'est pas retenue. L'intervention se déroule sans complication le 14.01.2019, sous antibioprophylaxie par Cefuroxime prolongée durant 24 heures. Les douleurs post-opératoires sont bien gérées, initialement par cathéter interscalénique, puis par l'antalgie standard. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre. Mme. Y portera un gilet orthopédique durant 6 semaines et bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation passive hors gilet. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Le contrôle biologique post-opératoire révèle une hémoglobine à 97 g/l, motivant l'instauration d'un traitement par Tardyferon pour une durée d'un mois. Nous vous laissons le soin de recontrôler la valeur d'hémoglobine à distance. Devant la bonne évolution radio-clinique, Mme. Y peut retourner à domicile le 19.01.2019. La patiente ayant une symptomatologie peu invalidante et soulagée par l'antalgie et la physiothérapie, nous proposons la poursuite de ce traitement conservateur. Nous proposons néanmoins à la patiente qu'en cas de péjoration de ses douleurs ou des symptômes sensitifs, qu'elle nous recontacte et dans ce cas une infiltration foraminale L5-S1 à gauche sera organisée d'emblée. La patiente bénéficie ce jour de l'ablation des fils et de la mise en place d'un sparadrap. Nous lui recommandons d'enlever le sparadrap dans 24 à 48 heures et de s'assurer de l'absence d'écoulement ou d'autre signe inflammatoire. Prochain contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires. Poursuite de la marche sous protection d'un Vaco pedes. La patiente bénéficie de l'intervention susmentionnée le 08.01.2018 qui se déroule sans complication. Mme. Y présente une hypocalcémie asymptomatique post-opératoire pour laquelle elle est substituée pendant 2 jours avec retour à la norme. Ablation des Redon le 10.01.2019. Antibioprophylaxie par Co-Amoxicilline jusqu'au 12.12.2018. La patiente bénéficiera d'une substitution par Euthyrox per os 125 mcg 1-0-0-0/j, tous les jours, avec consultation en endocrinologie dans 1 mois pour contrôle laboratoire (TSH) et modifier la dose de la substitution orale le cas échéant. La patiente bénéficie de l'intervention susmentionnée sans complication. Les mèches sont retirées avant son départ le 15.01.2019. La patiente bénéficie de 75 mg de voltaren IV et d'une ampoule de primperan, qui la soulage. Après environ 30 minutes, disparition des douleurs, pas d'autres symptômes anamnestiques ou objectivés. Elle rentre à domicile avec une ordonnance pour de l'Aspegic 1000 mg et du motilium, en cas de nouvel épisode. Si les épisodes deviennent plus fréquents ou qu'elle n'est plus soulagée par les médicaments, la patiente reconsultera chez son médecin traitant ou à la Permanence. La patiente chute à snowboard avec réception sur le poignet gauche en extension le 20.01.2019. Aux urgences, le bilan radio-clinique permet de poser le diagnostic et l'indication opératoire. Une immobilisation plâtrée est mise en place et la patiente revient le lendemain pour l'intervention. Cette dernière se déroule sans complication, le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et l'antalgie efficace. Une immobilisation par attelle Velcro est mise en place pour 24 heures, puis remplacée par un plâtre AB fendu dont le port est prévu pour 6 semaines post-opératoires. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Une prophylaxie de la maladie de Sudeck par Redoxon 500 mg/jour est instaurée pour une durée d'un mois. Face à la bonne évolution, la patiente peut retourner à domicile le 22.01.2019. La patiente chute avec réception sur la cuisse gauche sur une bouche d'égout provoquant la plaie suscitée. Le bilan radiologique permet d'exclure la présence d'une fracture et/ou d'un corps étranger. L'indication à une révision au bloc opératoire est retenue, intervention qui est réalisée le 19.01.2019. A noter que Mme. Y a reçu un rappel antitétanique aux urgences. Le laboratoire d'entrée est aligné. Les suites post-opératoires sont simples, la plaie reste calme et le drain de Redon peut être retiré à 48 heures. L'antibiothérapie par Cefuroxime 3 x 1,5 g IV/jour est poursuivie durant le séjour. Le retour à la marche se fait en charge complète, selon douleurs. Devant la bonne évolution, Mme. Y peut retourner à domicile le 21.01.2019. La patiente consulte les urgences sur conseils de son médecin traitant suite à une stagnation de sa clinique. Elle est actuellement en traitement pour une pneumonie. Aux urgences, elle bénéficie d'un statut clinique ciblé. Un bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 108 mg/l, sans leucocytose. Une radiographie du thorax montre un foyer infectieux dans le lobe supérieur droit. Après discussion avec le Dr X, nous prescrivons des AINS à la patiente en plus de son traitement actuel pour 3 jours. Elle présente un CURB-score à 0 et des paramètres vitaux stables. Nous lui conseillons de poursuivre son traitement par Co-Amoxicilline et de prendre un rendez-vous chez son médecin traitant en début de semaine. La patiente est libre de rentrer à domicile. Elle reconsultera en cas de péjoration de la clinique. La patiente consulte suite à une syncope ce jour. Étant donné l'examen clinique et biologique rassurant, la patiente rentre à domicile. Bilan des vertiges prévu par le Dr X, le 04.02.2019. La patiente de 29 ans qui est en bonne santé habituellement consulte suite à un traumatisme du genou droit. Vu l'examen radiologique rassurant, nous immobilisons le genou droit avec une attelle Jeans et la patiente rentre à domicile avec antalgie simple. Contrôle clinique prévu à la policlinique d'orthopédie à l'HFR Fribourg car la patiente habite à Fribourg à côté de l'hôpital. La patiente de 31 ans qui est en bonne santé habituellement, enceinte de 21 semaines, présente une toux sèche depuis 2 semaines. Vu l'examen clinique et biologique rassurant, la patiente rentre à domicile avec le traitement symptomatique par NeoCitran sirop avec accord de la gynécologue de garde Dr. X. Contrôle chez sa gynécologue le 22.01.2019. La patiente de 35 ans présente des cervicalgies depuis 3 jours. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire. La patiente a reçu du Voltarène 75 mg IV avec une nette diminution des douleurs. Elle rentre à domicile avec antalgie par Dafalgan, Brufen et Tramal. Contrôle clinique et biologique à la filière des urgences ambulatoires le 29.01.2019 à 12h00. La patiente, déjà connue pour des calculs biliaires, présente un tableau de colique biliaire avec une perturbation des tests hépatiques nouvelle. Par ailleurs, le laboratoire ne montre pas de signe de syndrome inflammatoire et la patiente est stable et apyrétique. Après l'administration de Paracetamol et AINS IV, la patiente est soulagée. Nous la laissons rentrer à domicile avec un rendez-vous pour un ultrason le 06.01 à 10h pour la recherche de signes de cholécystite ou de dilatation des voies biliaires et puis contrôle à la filière des urgences ambulatoires par la suite. Selon les résultats, la patiente sera adressée à la consultation du Dr X afin de programmer une CCK à distance.La patiente dit être plus algique qu'au début du traitement antibiotique. Elle n'est pas soulagée par la prise de Tramadol, raison pour laquelle nous réalisons une prise de sang qui met en évidence une CRP à 92 mg/L et des globules blancs normaux. Vu l'augmentation du syndrome inflammatoire 24h après le début du traitement antibiotique, nous administrons 2 gr de Rocéphine IV, des antalgiques et laissons la patiente regagner son domicile. Elle reviendra le 12.01 en filière des urgences ambulatoires pour le contrôle comme prévu. La patiente doit commencer à faire des séances de renforcement musculaire en physiothérapie. Pas de sport de contact pour l'instant. Sport à pivot possible. Prochain contrôle clinique fin février 2019. La patiente doit encore faire une mobilisation avec une charge partielle de 15-20 kg. Prochain contrôle radio-clinique à notre consultation dans 6 semaines, soit le 19.02.2019. La patiente doit poursuivre une mobilisation selon tolérance avec l'aide du tintébin. Prochain contrôle radio-clinique le 19.02.2019. La patiente est actuellement en stage où elle est obligée d'écrire d'une façon inhabituelle, créant des douleurs qui ressemblent à une tendinite. Prescription de Flector pour le syndrome d'intersection. Vu que l'épitrochléite semble être plus importante, je préconise une infiltration de l'épitrochlée qui aura lieu le 25.01.2019. Pas d'arrêt de travail. La patiente est connue pour un hallux symptomatique à droite avec de légers signes de dégénérescence aux RX d'avril 2018. Elle souhaite une intervention pour cure d'hallux valgus mini-invasive en novembre 2019. On a discuté du déroulement opératoire, des risques et des bénéfices, un arrêt de travail de 3 mois. Elle va revenir en octobre 2019 avec une RX afin de planifier l'intervention et signer le consentement. La patiente est envoyée chez le plâtrier ce jour pour confection d'une surélévation longitudinale du bord latéral du pied. Prochain contrôle clinique dans 2 semaines afin d'évaluer l'efficacité de cette mesure, en cas d'échec, nous réadressons la patiente chez un ortho-prothésiste pour la confection de semelles sur mesure. La patiente est gardée en surveillance pour un total de 4h avec régression quasi-complète de la symptomatologie. Persistance d'un discret érythème sur le torse, ainsi qu'un petit œdème palpébral. Au vu de la bonne évolution clinique, nous autorisons la patiente à regagner son domicile avec bi-thérapie anti-histaminique pour 5 jours. Elle prendra contact avec son médecin traitant afin d'organiser des investigations allergologiques. Dans l'attente de cette consultation, nous lui conseillons une éviction des aliments qu'elle aura consommés aujourd'hui. Nous l'invitons à reconsulter rapidement un centre d'urgence en cas de réapparition de la symptomatologie. La patiente est hospitalisée le 21.01.2019 pour une adénite suppurée latérocervicale droite, cliniquement stable sans signe de sepsis, mais avec persistance d'un état fébrile. Une antibiothérapie IV par Augmentin 2.2 gr 3x/jour est débutée. Le 22.01.2019, le laboratoire retrouve une CRP à 430 et des leucocytes à 15 G/L. Elle bénéficie d'une ultrasonographie cervicale le 22.01.2019, retrouvant une adénite suppurée dont la partie liquidienne est ponctionnée et drainée ce même jour. On retrouve de multiples adénopathies réactionnelles dans les chaînes jugulo-carotidiennes bilatéralement. Par ailleurs, un avis en chirurgie thoracique est demandé en raison d'une suspicion d'épanchement médiastinal, finalement infirmé par un CT thoracique. La patiente est transférée pour évaluation clinique par le chirurgien thoracique de l'Inselspital le 22.01.2019, qui confirme l'absence de médiastinite et nous la transfère à nouveau pour suite de prise en charge. Elle bénéficie d'un drainage par cervicotomie droite le 23.01.2019. Ablation de la lame le 25.01.2019 permettant un retour à domicile le 26.01.2019 au vu de la bonne évolution clinique. La patiente est hospitalisée pour pneumonie en médecine à Meyriez. La patiente est informée de prendre rendez-vous avec sa neurologue avant son retour à domicile. La patiente est informée par rapport à la baisse de l'efficacité du stérilet en cuivre lors de la prise d'AINS et par rapport à la nécessité d'une contraception par préservatif pendant 4 à 6 semaines. Contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. La patiente est invitée à reconsulter aux urgences en cas de réapparition de la symptomatologie. La patiente est rassurée. Nous lui expliquons que dans la majorité des cas, les corps étrangers sont évacués par voie naturelle sans lésion intestinale. Cependant, si elle devait présenter une symptomatologie nouvelle (douleurs rétrosternales, douleurs abdominales, hématochézies, etc.), elle est invitée à reconsulter les urgences. La patiente est réassurée par rapport à ses crises d'angoisse et nous lui conseillons de continuer à prendre les réserves de Temesta, surtout dans les situations qui l'ont déjà angoissée et qui l'angoissent d'habitude. Nous conseillons également un suivi chez son psychiatre en cas de répétition des symptômes à plus haute fréquence. Elle est rassurée et soulagée par la discussion. La patiente est soulagée après administration de paracétamol 1 g IV et Nexium 40 mg IV. Elle reçoit une hydratation de 1000 ml de NaCl 0.9 % sur 2h30. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire : leucocytes à 9.1 G/l et CRP à 5 mg/l, les tests hépatopancréatiques sont par ailleurs alignés. Nous retenons une gastroentérite débutante et laissons la patiente rentrer avec un traitement symptomatique et des conseils sur une bonne hydratation. Si les épisodes sont récurrents, un ultrason abdominal serait recommandé afin d'exclure la présence de calculs biliaires. La patiente est toujours sous le bénéfice des infiltrations sacro-iliaques. Quelques séances de physiothérapie sont encore prévues prochainement. Prolongation de ces dernières. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle d'office mais restons à disposition en cas de recrudescence de la symptomatologie. La patiente est très satisfaite de son évolution après infiltrations et grâce à la physiothérapie. Le statut clinique est normal. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle, mais rappelons à la patiente que nous sommes à disposition en cas de recrudescence de la symptomatologie. La patiente est venue aux urgences avec une demande volontaire d'hospitalisation au RFSM de Marsens. Vu l'examen clinique rassurant, nous transférons la patiente au RFSM de Marsens, en ambulance. La patiente joue au tennis 2 à 3 fois par semaine. Pour cette raison, elle nécessite une reprise fonctionnelle complète et rapide. Elle reçoit un bon physio de 9 séances et un arrêt de sport valable jusqu'au 24.01.2019. Selon l'évolution clinique, elle pourra reprendre graduellement l'activité sportive. En cas de besoin et à la fin des séances de physiothérapie, la patiente pourra reprendre contact avec son médecin pédiatre. La patiente marche spontanément avec appui monopodal sans difficulté. En présence du Dr. X et du Dr. X, nous proposons à la patiente de rester active, éventuellement de poursuivre ses séances de physiothérapie pour s'entretenir.Au niveau de sa hanche, il n'y a pas de suivi fixé avec le Dr. X. Au niveau de son dos, nous ne prévoyons pas de contrôle non plus. Une série de séances de physiothérapie en piscine et antalgique pour la hanche et le genou est prescrite. Nous restons à disposition en cas de recrudescence de la symptomatologie. La patiente mérite d'abord une investigation par scanner de son épaule gauche et par IRM pour son genou gauche. Je reverrai la patiente à la suite de ces examens le 8.1.2019 pour discuter des options thérapeutiques. La patiente Mme. Y se présente le 08.01.19 à la permanence pour un état fébrile avec baisse de l'état général depuis 2-3 semaines. Anamestiquement, la patiente se plaint d'une douleur à la fesse droite sans autre indice permettant de déceler un foyer infectieux. L'examen clinique révèle une rougeur diffuse de 10x5 cm surchauffée sur le côté latéral droit du membre supérieur droit que nous interprétons dans le cadre d'érysipèle, une chute 2 mois en arrière sur le même côté pouvant s'avérer comme possible porte d'entrée. Au vu des crépitations pulmonaires basales droites, nous effectuons aussi une radiographie thoracique, qui ne montre pas d'infiltrat franc, avec un éventuel doute sur un foyer rétrocardiaque. En prenant aussi en compte les paramètres infectieux élevés, nous hospitalisons la patiente sous traitement à la Rocephin 2 g/jour ainsi que 2 L de NaCl sur 24 h. Une hémoculture s'avère négative. Le statut urinaire montre une hématurie sans leucocyte, avec une culture urinaire montrant des E. coli multisensibles malgré l'absence de symptôme dysurique. Nous conseillons une investigation de sa macrohématurie asymptomatique auprès de son médecin traitant, Dr. X, qui a été informé téléphoniquement à ce sujet. Au vu de l'évolution clinique favorable ainsi que des paramètres infectieux en déclin, nous pouvons laisser la patiente rentrer à son domicile le 11.1.19 en bon état général. La patiente montre tout d'abord une raideur articulaire post-traumatique. Je préconise une infiltration sous-acromiale intra-articulaire de l'épaule le 1.2.2019. Par la suite, initiation d'un traitement physiothérapeutique mobilisant. À distance, une fois que la mobilité sera récupérée, on pourra discuter de la nécessité d'une réinsertion du sus-épineux. Je reverrai la patiente après l'infiltration le 28.2.2019. La patiente montre une bonne évolution avec un traitement symptomatique. Nous lui proposons donc un traitement conservateur avec un contrôle clinique en filière à 48 h. La patiente multi-plaintive a pour plainte principale ces douleurs de type tiraillement en regard du territoire L4 à droite, c'est pourquoi nous proposons une infiltration foraminale à ce niveau. Nous reverrons la patiente pour un contrôle clinique suite à ce geste. Si cette infiltration venait à soulager la symptomatologie, nous initierons dans un 2ème temps des séances de physiothérapie pour le stretching de la musculature rachidienne et abdominale. La patiente n'a pas apporté ses images de l'IRM, nous n'avons donc pas pu les voir. La patiente n'a pas de perte de force ou de sensibilité grossière. Nous effectuons une radiographie qui ne montre pas de fracture ou la présence de corps étranger. Nous désinfectons par Bétadine, explorons sous anesthésie locale sans retrouver d'atteinte des structures nobles (fascia musculaire intact), rinçons abondamment la plaie par NaCl, excisons les tissus dévascularisés, suturons par 4 points simples à l'Ethilon 4-0 et 4 points sous-cutanés par Vicryl 4-0. Au vu de la plaie, nous donnons une dose d'antibiotique par Co-Amoxicilline 2.2 g en intraveineuse et faisons le rappel anti-tétanique. Nous immobilisons la patiente avec une attelle Splintpod et des cannes. Nous lui donnons une ordonnance pour une antalgie par Novalgine et Dafalgan, Clexane 40 mg. Elle prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle à 24 h pour le suivi de plaie. La patiente n'ayant pas encore bénéficié d'une IRM, nous organisons cet examen et la reverrons par après. Nous lui rappelons les consignes et les signes d'appel devant motiver une nouvelle consultation aux urgences dans l'intervalle. Poursuite de l'arrêt de travail à 100 % du 11.01.2019 au 25.01.2019. La patiente n'ayant pas eu de selles aux urgences, elle rentre à domicile et ramènera son prélèvement dès que possible. Elle est informée de ne pas débuter le traitement antibiotique avant le prélèvement des selles. La patiente ne désire plus attendre, a pris contact avec son médecin traitant et le verra demain. La patiente ne présente pas de critère d'auto-agressivité, ni d'hétéro-agressivité. Elle présente une capacité de discernement et avoue que son compagnon aurait dramatisé son épisode de vomissements dans le contexte d'éthylisation. Elle souhaite retourner à domicile. Nous réalisons un contrôle biologique qui revient parfaitement dans la norme. Nous autorisons donc la patiente à regagner son domicile accompagnée de son voisin. La patiente ne présente pas de critère de scanner. Nous lui proposons dès lors une surveillance neurologique et consulter en cas de persistance des céphalées. Par rapport à l'épaule, les radiographies mettent en évidence une fracture non déplacée de la clavicule distale pour laquelle nous proposons un traitement conservateur. La patiente sera revue en orthopédie à 1 et 6 semaines. La patiente ne présente pas de nouvel épisode de colique depuis la veille, elle est apyrétique et en bon état général, suite à l'ultrason montrant un empierrement de la vésicule biliaire sans dilatation des voies biliaires intrahépatiques, nous prenons l'avis du Dr. X qui préconise une cholangio-IRM à la recherche d'un calcul cholédocien. La patiente rentre à domicile avec un rendez-vous pour la cholangio-IRM le 08.01.2019 à 9h45 et rendez-vous de contrôle à la filière des urgences ambulatoires qui suivra. La patiente ne présente plus de douleur lors de la consultation, les paramètres sont stables. Les examens complémentaires sont rassurants. Nous convenons avec les collègues de cardiologie de la laisser rentrer à domicile. La patiente ne souhaite pas d'autre contrôle mais nous restons à disposition. Poursuite de la physiothérapie. Marche selon douleurs. La patiente ne souhaite pas entrer en matière quant à une éventuelle prise en charge chirurgicale tant qu'elle n'en a pas parlé avec son cardiologue, Dr. X. La patiente ne souhaite pas recevoir d'antalgie aux urgences. La patiente est soulagée suite au lavement. Nous la laissons rentrer avec un traitement laxatif PO. Elle reconsultera les urgences en cas de majoration des douleurs et ira chez son médecin traitant pour le suivi en cas de persistance des douleurs. La patiente ne veut pas consulter pour ses céphalées. Vu avec le Dr. X qui conseille d'aller voir la police. Selon protocole antalgie, elle a reçu Paracétamol 1 g per os. La patiente notant une amélioration de ses douleurs avec la physiothérapie, nous lui en prescrivons une nouvelle série. Au niveau de sa capacité de travail, (la patiente travaille à 80 % en tant qu'infirmière dans un foyer de personnes poly-handicapées), nous poursuivons donc l'arrêt de travail jusqu'au 31.01.2019 avec reprise à 50 % dès le 01.02.2019. Pas de prochain contrôle prévu à notre consultation, mais nous restons bien entendu à disposition en cas de nouvelle péjoration de sa symptomatologie. La patiente note une bonne diminution des douleurs au cours de son séjour aux urgences. Nous ne notons pas de critère de gravité et laissons la patiente retourner à domicile avec le traitement antalgique par Oméprazole. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour une consultation la semaine prochaine. Elle reconsultera les urgences avant en cas de péjoration clinique.La patiente nous rapporte avoir cessé toute activité sportive depuis juillet, et aucune séance de physiothérapie ne lui avait été prescrite depuis. Nous lui prescrivons donc une série de séances de physiothérapie pour renforcement de la musculature rachidienne, hygiène posturale et stretching de la musculature abdominale. La patiente n'ayant pas de médecin traitant, nous lui conseillons d'en trouver un pour prolonger les séances de physiothérapie d'ici au prochain contrôle clinique que nous ferons dans 3 mois. La patiente nous rapporte ne faire aucune activité sportive en dehors de l'école. Nous l'encourageons donc à commencer une activité sportive parascolaire type natation ou autre. En parallèle, nous l'envoyons faire des séances de physiothérapie pour renforcement de la musculature rachidienne, hygiène posturale et équilibrage du rachis à Courtepin. Nous prions la patiente de prendre ses clichés radiographiques avant sa 1ère séance. Nous reverrons la patiente dans 6 mois pour faire le bilan clinique et radiologique avec orthoradiogramme. La patiente opte pour la petite intervention, à savoir l'ablation des ostéophytes. Elle est informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices, qu'elle accepte en signant le formulaire de consentement éclairé. L'opération se fera en ambulatoire le 26.03.2019. La patiente peut abandonner la décharge avec les béquilles. Elle va diminuer le dosage des médicaments. Prescription de physiothérapie en piscine à débuter d'ici 2-3 semaines et physiothérapie à sec avec école de marche, renforcement musculaire, vélo d'appartement. Elle sera revue pour un contrôle clinique d'ici 6 à 8 semaines. Arrêt de travail à 100% jusqu'au 03.02.2019, reprise à 40% dès le 04.02.2019 pour une activité au bureau. La patiente peut dès lors mobiliser librement son poignet. Pour des questions de sécurité, nous l'immobilisons temporairement avec une attelle poignet. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. La patiente peut rentrer à domicile avec un traitement symptomatique et Sirdalud. Le suivi sera assuré par son médecin traitant au Portugal. La patiente peut reprendre gentiment toutes les activités sportives comme auparavant. Nous ne prévoyons pas d'ultérieur contrôle, mais restons à disposition en cas de nécessité. La patiente peut reprendre la charge progressive selon douleurs. Physiothérapie avec renforcement musculaire et exercices de stabilité. Les activités sportives sont encore à éviter. Elle peut arrêter le Xarelto lorsqu'elle chargera complètement. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines (rx axial/broden/pied oblique). La patiente prendra rdv avec un psychiatre pour la suite de la prise en charge. La patiente prendra rendez-vous à votre consultation pour ablation du Comfeel et des steristrips à 14 jours post-opératoires. En cas de perte d'étanchéité du Comfeel, il devra être remplacé par un pansement standard. En outre, étant donné l'utilisation de matériel résorbable, une ablation de fils ne sera pas nécessaire. Contrôle clinique à la consultation du Dr X à 6 semaines post-opératoires. La patiente prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à J10. Rendez-vous à la consultation du Dr X le 15.02.2019. La patiente prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 15 jours post-opératoires. Un contrôle radio-clinique est prévu à la consultation du Dr X à 6 semaines post-opératoires. La patiente prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et ablation des fils dès 5 jours du traumatisme. La patiente prendra rendez-vous dans 10 jours chez le Dr X pour contrôle et ablation des fils. Pas de grossesse pendant 6 mois. Pas de port de charges lourdes pendant 2 semaines. La patiente présentant des douleurs au bras gauche avec déficit sensitivo-moteur nouveau. En raison de ce déficit, ainsi que des douleurs du rachis cervical dans le contexte d'un traumatisme crânien, nous prenons l'avis du Dr X, chirurgien, qui préconise un CT-scan cérébro-cervical. Celui-ci ne montre pas de saignement, pas de fracture. Calcification C5-C6 paramédiane gauche déjà présente sur les scanners précédents. Après l'examen, la patiente admet tout de même que ce déficit était déjà connu et est actuellement traitée par physiothérapie. Dans ce contexte, au vu de l'amélioration clinique et la régression des déficits neurologiques suite à l'administration d'antalgiques simples, nous autorisons la patiente à regagner son domicile. Nous l'invitons à se représenter aux urgences en cas de réapparition de la symptomatologie. Nous lui proposons de prendre contact avec son médecin traitant afin d'évaluer la nécessité d'un avis de la part d'un neurologue. La patiente présente des douleurs au niveau du flanc à gauche, probablement d'origine musculaire. Nous lui proposons dès lors un traitement d'épreuve. Elle reconsultera son médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Les critères de reconsultation sont expliqués à la patiente. La patiente présente des douleurs crampiformes en fosse iliaque droite d'origine indéterminée depuis 3 jours. La patiente a déjà bénéficié d'une consultation la veille avec un laboratoire mettant en évidence une leucocytose sans CRP. Une échographie abdominale a été également organisée et se révèle sans particularité, mais l'appendice n'est pas visualisé. La patiente reconsulte ce jour en raison d'une persistance des douleurs. Le bilan biologique montre une absence de syndrome inflammatoire avec une normalisation des leucocytes. Un bilan gynécologique se révèle sans particularité. Un avis chirurgical est demandé et propose la réalisation d'un CT abdominal ou un contrôle clinique et biologique dans 48 heures. Lorsque ces propositions sont faites à la patiente et sa maman, la patiente dit en avoir marre, être fatiguée et souhaite rentrer à domicile. Elle refuse donc de faire le scanner et refuse également un rendez-vous aux urgences pour un contrôle biologique. Nous recommandons donc à la patiente de reconsulter en cas de persistance des douleurs afin de réaliser un CT abdominal. La patiente présente les lésions susmentionnées pour lesquelles je propose un traitement conservateur. Elle ira faire de la physiothérapie d'abord à but antalgique puis pour mobiliser le genou et finalement pour tonifier la musculature et stabiliser son genou. Je la reverrai dans 6 semaines pour une réévaluation clinique le 13.3.2019. La thrombo-prophylaxie est poursuivie jusqu'à ce que la patiente arrive à marcher en charge complète. Le port de l'attelle jeans n'est plus nécessaire. La patiente présente toujours des gonalgies G avec un statut clinique toujours peu concluant. Je suspecte néanmoins, au pire, un unhappy triad avec lésion du LCA, du ménisque interne ainsi que du ligament collatéral interne. Je propose d'effectuer une IRM du genou G. Je revois la patiente suite à cet examen afin d'envisager la suite du traitement. Poursuite de la thromboprophylaxie par Clexane, avec port de l'attelle Jeans en extension. Arrêt du sport pour 1 mois. La patiente présente probablement une double problématique. Premièrement une gêne de ses semelles correctrices et deuxièmement une inégalité de longueur des MI à D qui est symptomatique. Nous allons procéder comme suit : fin du port des orthèses plantaires et à la place la patiente portera une talonnette compensatrice de 1 cm à D. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. La patiente présente probablement une radiculopathie L5 à droite, sans impact sur ses activités de la vie quotidienne. La patiente rapporte avoir eu des infiltrations n'ayant eu qu'un effet partiel. Elle rapporte par ailleurs avoir bénéficié de séances de physiothérapie, pas assez ciblées selon la patiente. Au vu de la symptomatologie encore rassurante chez cette patiente, nous ne proposons pas de geste pour l'instant. Nous l'encourageons à perdre du poids, maintenir une activité sportive type natation ou nordic walking et de pratiquer du fitness. Nous lui prescrivons dans ce but des séances de physiothérapie avec enseignement d'exercices de fitness. Au niveau de sa colonne cervicale, étant donné que les symptômes s'apaisent sous traitement par Lyrica, nous ne proposons pas de geste non plus pour le moment. En cas de péjoration de la symptomatologie, nous lui rappelons qu'elle peut prendre rdv à notre consultation avec une éventuelle IRM. Nous la reverrons dans 6 mois pour un contrôle radioclinique.La patiente présente très probablement un conflit sous-acromial, mais vu son âge, je ne peux pas exclure une lésion dégénérative de la coiffe des rotateurs. Je préconise une arthro-IRM pour faire la part des choses. En parallèle, initiation d'un traitement de physiothérapie pour rééduquer l'épaule. Je reverrai la patiente à la suite de cet examen. Prochain rendez-vous : 20.02.2019. La patiente présente un hallux valgus du pied D qui est symptomatique. Nous l'informons que cette déformation est évolutive et que la prise en charge la plus efficace consiste en une intervention chirurgicale par ostéotomie de la tête du 1er métatarsien. Elle est favorable à cette intervention. Cependant, d'un point de vue professionnel et d'une limitation minime, elle nous recontactera à la fin de l'année pour refaire le point. La patiente présente un kyste surinfecté du cuir chevelu. Après anesthésie, la peau est incisée, le kyste enlevé, le site rincé abondamment. Une mèche est posée et sera enlevée le lendemain lors d'un contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires. Ensuite, contrôle en policlinique de chirurgie le 08.01.2019. La patiente présente une brûlure de 2ème degré A, que nous traitons conservativement. Au vu de l'étendue de la brûlure, nous lui proposons un contrôle à 48 h pour réfection du pansement au secteur ambulatoire des urgences puis d'effectuer la suite chez le médecin traitant ou en pharmacie. La patiente présente une déchirure complète du ligament croisé antérieur, pour laquelle nous lui proposons, dans un premier temps, de débuter un traitement en physiothérapie axé sur le drainage, la récupération des amplitudes articulaires et l'étirement des chaînes postérieures. Prochain contrôle clinique dans 3 semaines. L'arrêt de travail à 100 % est prolongé jusqu'au prochain contrôle. La patiente présente une déchirure de la corne postérieure du ménisque interne s'étendant en surface tibiale avec un fragment luxé postérieurement pour laquelle nous proposons à la patiente de débuter, dans un premier temps, un traitement en physiothérapie axé sur l'étirement des chaînes postérieures, le renforcement musculaire, la proprioception et le gainage. Nous referons un point de situation dans 3 mois. En cas de persistance de la symptomatologie, nous pourrions alors discuter d'une arthroscopie avec méniscectomie partielle interne à G. La patiente présente une décompensation psychotique aiguë, et, après un bilan somatique normal, nous convenons avec la collègue psychiatre de garde d'un transfert en PAFA au RFSM de Marsens, où elle a déjà été hospitalisée il y a quelques mois. Départ en ambulance. La patiente présente une épaule gelée suite à cette ostéosynthèse de la clavicule avec du matériel d'ostéosynthèse gênant. D'un côté, elle a bien gagné en amplitude, surtout en rotation externe, raison pour laquelle on attend les adhérences postopératoires surtout dans l'espace sous-acromial. D'autre part, elle est gênée par la plaque. On propose donc d'agender l'ablation du matériel d'ostéosynthèse dans environ 6 semaines. Jusqu'à l'intervention, la patiente va continuer de travailler en physiothérapie. En cas de non-amélioration des amplitudes, on va, durant la même opération, effectuer une AS de l'épaule avec boursectomie sous-acromiale. Si le statuts de l'amplitude s'améliore encore, on reste sur une AMO simple. Dans ce cas, un arrêt de travail d'une semaine sera à prévoir. En cas AS, l'arrêt sera de 3 semaines. Après explication à la patiente, elle signe le consentement éclairé. La patiente présente une évolution favorable à 7 mois postopératoires avec une fracture qui est actuellement guérie. Elle est autorisée à reprendre ses activités sans limitations. Elle poursuivra le traitement en physiothérapie axé sur le renforcement musculaire au MSD. Elle est autorisée à reprendre son activité professionnelle à 100 % dès ce jour. Prochain contrôle clinique comme prévu en mai 2019 à la consultation du Dr. X. À terme, l'AMO sera probablement nécessaire. La patiente présente une gonarthrose à prédominance fémoro-tibiale interne dans le cadre d'un morphotype des MI en varus, pour laquelle elle ne présente aucune limitation dans ses activités de la vie quotidienne. Nous lui proposons, dans ce contexte, de surseoir à toute prise en charge chirurgicale tant que les douleurs ne deviennent pas invalidantes. Nous lui proposons de débuter un traitement de Chondrosulf et de maintenir une activité de son genou selon tolérance. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. La patiente présente une instabilité du LCE de grade I, avec signes de ménisque pathologique pour le ménisque externe. Dès lors, nous proposons une IRM afin d'objectiver les symptômes. Cette patiente souffrant de claustrophobie forte, ne souhaite pas effectuer une IRM d'office et préfère attendre l'évolution clinique, avec antalgie et décharge avec cannes. Mme. Y sera revue en contrôle au Team Genou dans 1 semaine. Dans l'intervalle, charge d'environ 15 kg, avec cannes, attelle jeans en extension complète, antalgie simple et Clexane prophylactique. La patiente présente une limitation de la mobilité avec une flexion douloureuse à partir de 100°, ainsi qu'un léger flexum de 10°. Poursuite de la physiothérapie pour regagner les amplitudes articulaires. Nous reverrons la patiente le 13.02.2019 pour un contrôle clinique. En cas d'absence d'amélioration ou de persistance significative des douleurs, une IRM du coude est à envisager. La patiente présente une nette amélioration clinique de sa gastro-entérite. La PCR multiplex est négative et les hémocultures encore en cours pour la Listéria. Nous proposons dès lors de la contacter une fois ses résultats sortis et nous proposons une suite chez le médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Les critères de reconsultation sont expliqués à la patiente. La patiente présente une nette diminution des douleurs suite à l'Alucol Gel et Nexium. Nous retenons le diagnostic de gastrite et la patiente rentre à domicile avec traitement par Nexium 40 mg 1x/j et Alucol en réserve. Traitement d'épreuve pour 2 semaines puis suivi chez le médecin traitant : +/- OGD et discussion de recherche de H. Pylori. La patiente présente une omarthrose secondaire sur rupture chronique de la coiffe des rotateurs. Il s'agit d'une situation difficilement gérable sans proposition de mise en place d'une prothèse d'épaule inversée. Par contre, vu que la patiente a besoin d'un appui axial du MSG vu le port des cannes anglaises, ce fait représente un risque majeur pour la mise en place d'une prothèse inversée. La charge axiale peut mener à un déscellement au niveau de la gléno-sphère et mettre en cause la fonction de l'épaule dans son ensemble.Je préconise donc d'abord un bilan par IRM le 25.1.2019 puis une attitude plutôt prudente. Entre-temps, j'organise une infiltration sous-acromiale pour le 25.1.2019. Je reverrai la patiente à la suite de l'IRM et de l'infiltration le 18.2.2019. La patiente présente une petite plaie au niveau de l'articulation métacarpophalangienne de D2 de la main droite. Lors de l'exploration de la plaie, l'extension est minime et se restreint à l'espace sous-cutané, sans arthrotomie traumatique ou atteinte des tendons/des nerfs. La plaie est bien rincée, suturée par un point simple. Suite chez le médecin traitant. La patiente présente une plaie profonde de la main gauche avec trouble sensitif au niveau des doigts 3 et 4. Dans ce contexte, la plaie est révisée au bloc opératoire, ne montrant pas d'atteinte nerveuse. Elle est surveillée aux urgences après le geste, sans complication. Elle rentre donc à domicile avec une suite prévue en ambulatoire en orthopédie à 48h. La patiente présente une plaie superficielle en V sans trouble neuro-vasculaire. Après désinfection, rinçage abondant et anesthésie locale, la plaie est suturée par 5 points simples de Prolène 3.0. Un contrôle de plaie à la filière des urgences ambulatoires aura lieu le 06.01.2019. Ensuite, un contrôle en policlinique d'orthopédie aura lieu le 08.01.2019. La patiente présente une rupture complète du ligament collatéral ulnaire G sans effet Stener avec une laxité clinique tant en extension qu'en flexion. Au vu de la demande fonctionnelle de la patiente et de la fraîcheur de la lésion, nous retenons une indication chirurgicale consistant en une refixation du ligament collatéral ulnaire. La patiente est informée des risques et des bénéfices de l'intervention, qu'elle accepte en signant le formulaire de consentement éclairé. L'intervention est prévue le 28.01.2019. La patiente présente une sensation d'instabilité ainsi que des douleurs chroniques au niveau de la cheville D consécutives à des entorses à répétition malgré un traitement conservateur bien conduit. Cliniquement, la cheville est stable. Nous effectuons donc une immobilisation test par une bottine plâtrée pour 2 semaines. Nous la reverrons pour un contrôle clinique dans 2 semaines. Si les douleurs disparaissent avec cette immobilisation, nous pourrons envisager une opération stabilisatrice. Par contre, si les douleurs persistent, nous ferons une infiltration à but antalgique. Elle bénéficie d'un arrêt de travail par son médecin traitant jusqu'au 03.02.2019. La patiente présente une symptomatologie relativement diffuse et incomplètement compatible avec l'imagerie. La patiente partant au Portugal ce jour même pour toujours, nous ne prévoyons pas de traitement ou de suivi. Nous lui conseillons de prendre tous les rapports de consultation et l'imagerie avec elle au Portugal. Une éventuelle adaptation de l'antalgie ou ré-opération sera à discuter avec son prochain chirurgien spinal. La patiente quitte notre service sans nous en informer, pas de consultation médicale effectuée. La patiente rapportait des fourmillements intermittents en regard de la face du pouce D. Nous la rassurons sur le fait que ces symptômes, comme les plaintes mentionnées plus haut, risquent de persister en tout état de cause jusqu'à 1 an post-traumatisme. Prescription de nouvelles séances de physiothérapie avec mobilisation libre de la colonne cervicale. Sur le plan professionnel, poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'à la fin du mois de janvier puis reprise à 50% du 01.02.2019 au 28.02.2019 avant une reprise à 100% dès le 01.03.2019. Prochain contrôle radio-clinique fin mars. La patiente rapportant une persistance de céphalées avec sifflement en augmentation, nous lui recommandons de prendre rendez-vous chez un ORL, la pathologie rachidienne ne pouvant pas expliquer ses symptômes. Au niveau de sa diminution de sensibilité et sa sensation de perte de dextérité, nous l'informons du fait que ces symptômes seront en récupération au fil du temps. Au niveau de sa cicatrice, prescription d'une crème Keli-Med pour l'assouplir avec massage. La patiente travaillant dans la micro-technique, nous prolongeons son arrêt de travail jusqu'au 28.02.2019 et la reverrons à ce moment-là. Le but serait une reprise à 50% de son travail dès le 01.03.2019 et à 100% dès le 01.04.2019. La patiente rapporte ne pas avoir vu de réels bénéfices aux séances de physiothérapie, raison pour laquelle nous ne poursuivons pas les séances. Elle n'a pas besoin d'antalgie. Mme Y étant toujours sous le bénéfice de cette infiltration, nous ne prévoyons pas de contrôle pour le moment, mais nous lui proposons de reconsulter en cas de récidive de la symptomatologie. La patiente rapporte ne plus porter la minerve qu'elle portait jusqu'au 08.11.2018. L'évolution est globalement favorable avec un statut clinique rassurant. La patiente n'ayant plus de séance de physiothérapie, nous lui en prescrivons une nouvelle série pour antalgie, reprise de confiance en sa mobilisation cervicale et décontraction musculaire. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition en cas de recrudescence de la symptomatologie. Concernant son travail, une reprise à 100% dès le 15.02.2019 est autorisée. La patiente rapporte avoir eu un suivi psychologique avec un prochain rendez-vous dans quelques semaines pour faire le point. La patiente rapporte une amélioration partielle de la symptomatologie sous traitement antalgique. Au vu du contexte délicat chez cette patiente aux multiples symptômes, nous optons pour un traitement par étape avec un minimum de risques. Nous lui proposons donc dans un premier temps une infiltration C6-C7 sous CT puis la reverrons. En cas de non-amélioration, une infiltration au niveau C5-C6 pourra être envisagée. En dernier recours, une intervention chirurgicale pourra être discutée. Les risques d'une telle intervention sont d'ores et déjà expliqués à Mme Y. La patiente rapporte une évolution favorable au niveau de son épaule gauche sous physiothérapie. Au niveau de sa hanche, la patiente rapporte quelques douleurs inguinales à la palpation surtout. La patiente ayant été opérée au CHUV et habitant la région, elle préférerait un suivi au sein de notre service. Nous faisons rapatrier les documentations lausannoises et la ferons suivre au team hanche. Nous lui prescrivons dans l'intervalle des séances de physiothérapie pour renforcer sa coiffe des rotateurs et récupérer des amplitudes articulaires, et pour sa hanche, renforcement musculaire aussi surtout du quadriceps. La patiente recevra sa liste avec posologie par message. La patiente reçoit du Fentanyl iv 50 µg au total. La radiographie met en évidence une fracture métaphyse distale du radius, déplacée. Le Dr. X, orthopédiste, effectue une réduction provisoire aux urgences sous MEOPA puis mise en place d'un plâtre avant que la patiente ne soit transférée au bloc opératoire pour réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Aptus palmaire 2.5 Medartis. La patiente rentre à domicile ensuite. La patiente reçoit une ordonnance pour une chevillère élastique pour ses balades en forêt. La patiente continuera l'auto-physiothérapie à domicile et reconsultera notre service en cas de besoin. La patiente reçoit 50 µg de Fentanyl associé à 10 mg de Primpéran avec un bon effet antalgique sans effet secondaire. Au vu de cela, la patiente est transférée à l'HFR Tafers, par manque de place à l'HFR Riaz, pour poursuivre le traitement antalgique. À noter que son mari est hospitalisé avec elle au vu du contexte social. Départ avec son fils qui amène le couple à Tafers. La patiente refuse de rester plus de quelques heures aux urgences ainsi que d'être hospitalisée avant le 21.01. Au vu de cela, le Dr. X propose la pose d'une voie centrale le 21.01 puis un séjour hospitalier en médecine pour l'administration d'Ilomedin. À noter des veines périphériques très fragiles nécessitant la pose d'une voie centrale pour l'administration de l'Ilomedin. Nous prescrivons de la Clexane 40 mg 1x/jour jusqu'au 20.01.2018 inclus, associé au traitement anti-aggrégant par Aspirine cardio déjà en place.La patiente refuse la prise de sang et l'examen clinique car déjà effectué chez le médecin traitant. Nous proposons une hospitalisation comme demandé par sa doctoresse traitante à but antalgique mais à Tavel ou Morat car aucune place n'est disponible à Riaz. La patiente refuse car elle explique ne pas prendre la totalité de son traitement prescrit et préfère essayer d'adapter son traitement au maximum avant d'être hospitalisée. Nous conseillons donc la patiente sur son traitement et lui expliquons comment le prendre au mieux et restons à disposition en cas d'échec pour rediscuter d'une hospitalisation. La patiente rentre à domicile avec une attelle de maintien et un traitement algique pour 5 jours. La patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Elle reconsultera en cas de persistance des symptômes ou de péjoration de l'état général. La patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique par pantoprazole 20 mg 1 x/j. Elle reconsultera en cas de persistance des symptômes ou péjoration de l'état général. La patiente rentre à domicile une fois le bandage fait. Elle bénéficie d'une antalgie simple et un contrôle de plaie sera prévu le 14.01.2019. Elle refuse le vaccin pour le tétanos. La patiente et sa mère (qui traduit pour elle) ont bien été informées des signes et symptômes d'une infection. Elle reconsultera en cas d'apparition de ces derniers. La patiente rentre chez elle pour la nuit avec un plâtre AB fendu et de l'antalgie. Opération prévue demain le 17.01.19. La patiente rentrera en Albanie (endroit dont elle est originaire) sous peu. Nous avons donné à la patiente un CD avec les radios effectuées chez nous ainsi que son rapport de consultation des urgences et celui de ce jour avec proposition de retirer le plâtre à 2 semaines de l'accident avec mise en place d'une attelle postérieure amovible. Début de physiothérapie avec mobilisation en flexion-extension douce et progressive et pronsupination. La patiente repart avec une ordonnance de physiothérapie. Elle est déconseillée de faire du sport surtout de contact pour encore 3 semaines. Nous restons cependant à disposition en cas de besoin. La patiente, retraitée, n'a jamais bénéficié d'arrêt de travail pour ce traumatisme. La patiente se présente aux urgences en raison de douleurs aigües survenues au mollet gauche. À l'examen clinique, nous diagnostiquons un claquage musculaire. Nous prescrivons à la patiente une antalgie. En raison d'une marche actuellement impossible, nous prescrivons une prophylaxie antalgique et des cannes anglaises. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant en début de semaine. Elle devra reconsulter si péjoration de la situation. Elle peut rentrer à domicile. La patiente se présente en raison de l'apparition d'une plaie soudaine remarquée ce matin. Une inspection de la plaie montre une plaie calme avec quelques cloques restantes. Pas de signe infectieux. Aux urgences, nous nettoyons la plaie avec de l'Hibidil. Nous effectuons un pansement à l'aide d'Adaptic Touch et de Mefix 10x10. Le pansement est à changer tous les deux jours. Si le pansement est souillé ou enlevé, changer le pansement plus fréquemment. Nous prescrivons à la patiente de quoi changer les pansements. Elle peut rentrer à domicile. La patiente se présente pour des douleurs d'allure musculo-squelettiques au niveau du dos suite à un mécanisme de crispation musculaire il y a une semaine environ. Les douleurs sont clairement reproductibles à la palpation et sont absentes au repos. Nous effectuons un ECG qui ressort parfaitement normal. Nous lui proposons dès lors de tenter un traitement d'épreuve par antalgiques et anti-inflammatoires et effectuer la suite chez le médecin traitant. Les motifs de reconsultation sont expliqués à la patiente. La patiente se rend ce jour au centre psycho-social, d'entente avec Dr. X. La patiente se sent mieux suite à la prise du Tramal. Elle est très fatiguée par ses douleurs. Après discussion, elle se sent prête pour rentrer à domicile avec adaptation de l'antalgie jusqu'au rendez-vous d'IRM de vendredi. Elle prendra contact avec son rhumatologue demain pour l'informer de l'épisode de cette nuit. La patiente se tranquillise après l'administration du Temesta. L'examen clinique et le bilan sanguin ne sont pas inquiétants. Nous la laissons donc rentrer à domicile accompagnée par son mari qui vient la chercher. La patiente semble présenter principalement un conflit sous-acromial mais il faut bilanter cette épaule par une arthro-IRM le 4.2.2019. Poursuite de la physiothérapie que la patiente a déjà commencé. Contrôle chez moi le 15.2.2019 suite à l'IRM pour faire la part des choses. La patiente sera convoquée à la consultation du Dr. X en janvier 2019. Suivi psychothérapie en ambulatoire. La suite de la prise en charge nutritionnelle sera faite à domicile. La patiente sera convoquée en cardiologie dans un mois pour contrôle (évaluation des traitements y compris) et coronarographie. La patiente sera convoquée en infectiologie pour un suivi des paramètres hépatiques vs PCR pour dépister une HCV. La patiente sera convoquée par nos collègues endocrinologues. La patiente sera convoquée pour une consultation en neurologie en ambulatoire. La patiente sera convoquée pour une intervention élective en cours de semaine. Suite à la discussion avec le cadre orthopédique le 10.01.2019, traitement conservateur : plâtre AB 6 semaines, contrôle radio-clinique à J5 avec circularisation du plâtre. La patiente sera reconvoquée à la consultation du Dr. X pour la suite de la prise en charge. Nous vous laissons le soin d'organiser le bilan et le traitement de l'ostéoporose en ambulatoire. La patiente sera revue à la consultation du Dr. X à 7 jours post-opératoires pour contrôle. La patiente sera revue à votre consultation à 3 jours post-opératoires pour contrôle clinique, puis pour ablation des fils à 14 jours post-opératoires. Un contrôle radio-clinique est prévu à la consultation du Dr. X à 1 mois post-opératoire. La patiente sera revue à votre consultation le 10.01.2019 pour réfection du pansement et contrôle de plaie, puis à la consultation du Dr. X le 14.01.2019. Ablation des fils le 22.01.2019, puis contrôle clinique à 6 semaines post-opératoires à la consultation du Dr. X. La patiente sera revue à votre consultation pour contrôle clinique et ablation des fils le 23.01.2019. La patiente sera revue à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 10 jours post-opératoires. Jusque-là, elle procèdera aux changements de pansements tous les 3 jours. La patiente sera revue à votre consultation pour contrôle et nous vous saurions gré d'organiser une coloscopie à distance afin d'exclure toute cause somatique à ces douleurs. La patiente sera revue en ambulatoire par le Dr. X le 31 janvier. La patiente sera revue en policlinique d'orthopédie pour ablation du Comfeel et des fils à 2 semaines post-opératoires. En cas de perte d'étanchéité du Comfeel, il devra être remplacé par un pansement standard. Un contrôle est prévu à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. La patiente souffre d'une instabilité antéro-inférieure chronique de son épaule droite. L'IRM effectuée en pré-opératoire met en évidence un arrachement du bourrelet glénoïdien antéro-inférieur. Vu l'instabilité chronique, le Dr. X retient l'indication à une arthroscopie diagnostique avec refixation du bourrelet glénoïdien.L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples, sous une antalgie efficace. Initialement, l'épaule est immobilisée dans un gilet orthopédique, puis par une écharpe pour une durée de 6 semaines. Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation active et passive, l'abduction et la rotation externe combinées restant toutefois proscrites. Devant l'évolution favorable, Mme. Y peut regagner son domicile le 17.01.2019. Mme. Y souffre d'une proéminence de la phalange distale qui est très douloureuse à la palpation. Les radiographies montrent également ce diagnostic. Afin de la soulager, nous proposons une intervention chirurgicale avec une ablation de la partie proéminente. Nous souhaitons compléter le bilan et prions les angiologues de contrôler la perfusion distale. Nous la reverrons suite à cet examen. Mme. Y souffre surtout des symptômes de fascéïte plantaire. On discute avec Mme. Y de mettre une attelle dorsale lift pendant la nuit et continuer les exercices de stretching régulièrement. Elle doit également faire un traitement par ondes de choc. Au niveau de l'hallux valgus, comme elle est peu symptomatique actuellement, nous avons décidé d'attendre. Nous la reverrons dans 2 mois. Mme. Y souhaite être transférée à l'Hôpital de La Tour à Genève afin de poursuivre les soins proches de son domicile et de sa famille. Selon l'avis infectiologique, nous proposons de continuer l'antibiothérapie par Daptomycine et Clindamycine jusqu'à résolution de la symptomatologie. En cas de péjoration, il faudra envisager une antibiothérapie à large spectre (Vancomycine). Le Dr. X infectiologue à la Clinique de La Tour a été mis au courant de la situation. Nous restons à disposition pour toutes questions. Mme. Y souhaite une grossesse, alors elle désire arrêter la pilule contraceptive. Prescription de Acide folique et Elevit pour 3 mois. Mme. Y va continuer ses exercices elle-même, régulièrement, et si nécessaire traitement local avec du Flector. Elle ne désire pas d'intervention chirurgicale actuellement. Elle nous reconsulte si elle souhaite une excision de cette exostose. Mme. Y va reprendre contact. La pédopsychiatre a parlé au téléphone avec Mme. Y. Vu l'absence d'idées suicidaires, un examen clinique rassurant, une patiente très collaborative et prête à faire un contrat de ne pas passer à l'acte ou se mettre en danger et une mère bien présente elle peut rentrer à domicile sans évaluation pédopsychiatrique aux urgences, mais un rendez-vous le 07.01. à organiser par la mère. Le numéro de téléphone du CPP et un numéro d'urgence ont été donné à la mère par la pédopsychiatre. La physiothérapie n'a pas été efficace pour améliorer tous les symptômes de Mme. Y. C'est pour cette raison que je propose de quand même adapter des semelles orthopédiques comme déjà proposé lors du dernier contrôle. Une ordonnance est donnée à Mme. Y. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu. Mme. Y me recontactera en cas de persistance des douleurs après l'adaptation de semelles orthopédiques. Pour le moment pas de physiothérapie. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. La physiothérapie pour un traitement d'une dyskinésie scapulo-thoracique n'a pas eu d'effet chez ce patient. L'IRM effectuée visualise un lipome. Au vu de la clinique, nous proposons au patient d'exciser le lipome et le bilanter par histologie. Si les douleurs ne s'améliorent pas suite à ce geste, une maladie neurologique ne peut pas être exclue en regard d'un différent signal dans l'IRM des muscles innervés par le nerf axillaire. Nous informons le patient des risques et bénéfices de l'intervention qu'il accepte en signant le formulaire d'information et de consentement. La plaie est désinfectée et l'hémostase faite par compression achevée. Un pansement occlusif est mis en place. Le vaccin contre le tétanos est à jour. Mme. Y sera revue pour un contrôle en policlinique d'orthopédie dans 48 heures. La plaie est propre et sans signe inflammatoire, nous refaisons le pansement. Le patient sera vu pour ablation des fils le 02.02.2019 à la filière des urgences ambulatoires. La plaie est suturée par 2 points de suture, l'adaptation se déroule sans particularité. Nous effectuons un pansement par Adaptic, compresse et bande élastique. La plaie est très superficielles et ne nécessite pas de suture. La plaie est désinfectée puis des Stéristrips sont apposés. Mme. Y ira faire contrôler sa plaie le 21.01 chez le pédiatre traitant. La plaie est très superficielle et ne touche pas les muqueuses. Elle n'est pas suturable. Mme. Y est vaccinée et couverte pour le tétanos. Nous désinfectons la plaie et elle peut rentrer à domicile avec des Stéristrips pendant 5 jours. La plaie labiale ne nécessite pas de suture. Les dermabrasions sont désinfectées. Mme. Y bénéficiera d'un contrôle de plaie dans 48 à 72h par le dentiste qui s'occupera du recul de la dent 51. La plaie montre de bons signes de guérison hormis quelques croûtes. Le patient travaille comme serrurier. Il est plus prudent de prolonger l'arrêt de travail pour éviter la perte précoce des croûtes et lacération de la peau pendant le travail. Le traitement médical est terminé. Arrêt de travail jusqu'au 28.12.2018. Nous restons à disposition si nécessaire. La plaie ne montre aucun signe infectieux, déhiscence ou écoulement. Le pansement est refait. Le patient sera revu dans 4 jours à la filière des urgences ambulatoires pour nouveau contrôle de plaie et réfection du pansement. En cas de bonne évolution, prévoir l'ablation des fils à J14 post-opératoires à la consultation du médecin traitant. La plaie ne montre aucun signe infectieux, déhiscence ou écoulement. Le pansement est refait. Le patient sera revu le 06.01 en filière des urgences ambulatoires pour un nouveau contrôle de plaie et la réfection du pansement. En cas de bonne évolution, prévoir l'ablation des fils à J14 post-opératoires à la consultation du médecin traitant. La plaie ne montre aucun signe inflammatoire ou déhiscence. Le statut clinique objective une mobilité et sensibilité complètes sur l'index. La plaie est désinfectée et le pansement refait. Le patient ira faire contrôler sa plaie dans 3 jours chez son médecin traitant, puis ablation des fils le 11.01.2019 chez le médecin traitant également. La plaie présente une évolution favorable. Le patient sera revu le lundi 07.01.2018 à la filière des urgences ambulatoires pour contrôle de plaie et ablation des fils, le pédiatre traitant étant en vacances. La plainte principale concerne l'épaule D. Vu l'âge de Mme. Y, une rupture de la coiffe des rotateurs est probable. Il peut également s'agir d'une omarthrose mais Mme. Y ne souhaite pas de bilan radiologique pour l'instant. Je propose de faire de la physiothérapie et de réévaluer la situation à distance. Concernant le tunnel carpien et le tunnel cubital, elle ne souhaite pas de traitement actuellement car les plaintes ne le justifient pas. Si elle devait prendre contact dans l'intervalle, on pourrait réaliser une infiltration mais il faudrait à ce moment-là surveiller les glycémies. La prise d'AINS COX-1 est contre-indiquée, mais les COX-2 sélectifs et le paracétamol sont autorisés. Rendez-vous chez le médecin traitant d'ici 2 semaines avec bilan allergo-immunologique par la suite. La prise de sang a été faite à la collaboratrice et au patient, avec son accord. La collaboratrice est couverte pour l'HBV (anticorps à >1000), donc le screening pour l'hépatite B chez le patient n'a pas été fait. Mme. Y est reconvoquée le 08.01.2019 pour recevoir les résultats. Le questionnaire a été déposé dans le casier de la médecine du personnel et la collaboratrice a prévenu par mail les RH de l'accident.La pseudarthrose est cliniquement et radiologiquement encore visible et symptomatique. Nous avons discuté des options avec la patiente comme poursuivre le traitement conservateur avec encore 9 séances d'onde de choc et semelle en carbone pour ne pas dérouler le pied ou la possibilité d'une prise en charge chirurgicale avec une ostéosynthèse de cette fracture. La patiente est connue pour un myélome multiple, sous chimiothérapie actuellement, nous décidons donc de voir l'évolution spontanée car elle n'est pas trop limitée dans sa vie quotidienne. Nous la reverrons dans 3 mois pour un contrôle radio-clinique. Si elle souhaite une opération à un moment où elle n'a pas de chimiothérapie, nous pourrons en rediscuter. La radio des urgences ne montre pas de signe de fracture. La radio du genou droit faite aux urgences ne montre pas de fracture mais un léger épanchement. La radio du jour montre un bon cal osseux. La radiographie de ce jour montre une bonne position des fragments avec un début de résorption osseuse dans la région de la fracture. La radiographie de cheville et du pied ne met pas en évidence de fracture. Vu la présence d'oedèmes importants au niveau de la cheville et la charge douloureuse, nous immobilisons la cheville avec une attelle plâtrée. La patiente rentre à domicile avec antalgie simple. Contrôle clinique à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. La radiographie de contrôle réalisée le 18.12.2018 à cinq semaines et demie du traumatisme mettait en évidence la présence d'un cal osseux et l'absence de déplacement secondaire. La radiographie de la cheville n'a pas mis en évidence de lésion osseuse. Après discussion avec le Dr. X, nous retenons une entorse de stade III de la cheville droite et immobilisons le membre inférieur droit dans une attelle plâtrée postérieure. Nous lui recommandons une antalgie adaptée au poids, marcher avec des cannes anglaises avec décharge complète et nous lui donnons le numéro de téléphone de la secrétaire du Dr. X afin d'organiser un rendez-vous dans 7 jours. La radiographie de la clavicule droite montre une fracture du tiers moyen que nous traitons par Rucksack. Elle présente aussi, à la radiographie de la main droite, une fracture transverse de la base de la 1ère phalange de l'auriculaire droit et une suspicion de fracture de la tête de la 2ème phalange de l'auriculaire droit, que nous traitons par la mise en place d'une attelle Edimbourg et une syndactylie des 4ème et 5ème doigts droits. Le patient rentre à domicile avec une ordonnance d'antalgie, un arrêt de sport pour 4 semaines et prendra rendez-vous pour un contrôle en policlinique d'orthopédie le 25.01 pour la suite de la prise en charge. La radiographie de la colonne dorsale nous permet d'exclure une éventuelle fracture ostéoporotique à ce niveau. Les douleurs actuelles ne sont pas clairement mécaniques mais semblent plutôt musculaires. Nous proposons donc l'instauration d'un traitement par Perskindol sur 15 jours au minimum avec poursuite de la physiothérapie déjà en cours. Prochain contrôle en avril, comme prévu. La radiographie de la jambe gauche montre une fracture diaphysaire spiroïde non déplacée du tibia gauche. Nous mettons en place un plâtre cruro-pédieux avec le Dr. X, orthopédiste de garde. La patiente marchera en décharge complète. Nous lui prescrivons une antalgie par Paracétamol et Algifor. Un rendez-vous en policlinique d'orthopédie sera à organiser pour un contrôle clinique dans 7 jours. La radiographie de la main ne trouve pas de lésion osseuse. Nous retenons le diagnostic de contusion simple de la main pour laquelle nous recommandons une antalgie simple. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle si nécessaire. La radiographie de l'orteil ne montre pas de lésion osseuse traumatique. Nous retenons une contusion du gros orteil du pied droit. La patiente peut regagner son domicile le jour même avec un traitement par Algifor sirop et sera vue dans une semaine à la consultation de son pédiatre. La radiographie de 2017 a montré un déplacement du 2ème métatarsien de 1 cm par rapport au premier rayon sans signe d'arthrose. Le traitement conservateur a été essayé mais sans grand effet. La solution serait un allongement du tendon ainsi qu'une capsulotomie avec release. Les douleurs qu'elle décrit sur la face dorsale avec la bandelette sont dues à un raccourcissement du tendon extenseur. Elle va réfléchir à cette intervention et nous contacter. La radiographie du genou est interprétable au vu d'une gonarthrose importante. Nous demandons un CT-scanner du genou qui montre une fracture de compression du plateau tibial externe, avec une importante chondrocalcinose et une gonarthrose diffuse du genou droit. Nous immobilisons le genou dans une attelle jeans à 20°, avec une décharge complète du membre inférieur droit à l'aide de cannes anglaises. Nous mettons en place aussi une prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg SC 1x/24h durant l'immobilisation. Le patient peut regagner son domicile le jour même et appellera le Dr. X, son orthopédiste à l'HFR Fribourg, le 07.01.2019 pour la suite de la prise en charge. La radiographie du genou gauche effectuée aux urgences nous permet d'exclure une atteinte osseuse. Nous proposons au patient un traitement symptomatique. La radiographie du genou ne montre pas de fracture. Le patient rentre à domicile avec protocole RICE, attelle jeans à 0° à but antalgique et un traitement anti-inflammatoire/anti-douleur. Il prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle clinique à 3-5 jours. La radiographie du jour à 4 semaines hors attelle montre une fracture consolidée. La radiographie du jour montre un bon cal osseux. La radiographie du jour montre un bon cal osseux sans déplacement secondaire du site fracturaire. La radiographie du jour montre une bonne guérison osseuse. La radiographie du jour montre une bonne position du matériel d'ostéosynthèse avec une consolidation de la fracture. Un espace scapho-ulnaire légèrement élargi. La radiographie du jour montre une consolidation de la fracture sans déplacement secondaire. La radiographie du pied met en évidence une fracture de la tête du 5ème métatarse pour laquelle nous recommandons au patient de marcher avec des cannes anglaises en déroulant le pas pendant une semaine, de porter des chaussures à semelles rigides et nous lui donnons un traitement antalgique. Contrôle à la consultation du Dr. X, orthopédiste, dans 10 jours. La radiographie du thorax ne montre pas de fracture visualisée, signe d'arthrose au niveau du plateau tibial. Légère calcification de 3 mm de diamètre dans les tissus mous externes du genou droit. Nous diagnostiquons une élongation versus un claquage du gastrocnémien latéral. Pour cette raison, nous prescrivons une attelle jeans à 20° de flexion et une antalgie à la patiente. Nous lui prescrivons également des cannes anglaises et une prophylaxie anti-thrombotiques. Elle prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X dans 1 semaine. Elle peut rentrer à domicile en bon état général. La radiographie du 10.01.2019, soit à 3 mois de la fracture, montre des signes de consolidation avec formation de cal. La radiographie du 5ème doigt met en évidence une fracture Salter 2 de la 2ème phalange du 5ème doigt à gauche, pour laquelle nous recommandons une syndactylie des doigts 4 et 5 gauches et immobilisation dans une attelle Edimbourg. Nous donnons au patient une ordonnance pour une attelle thermoformée qui doit être portée pendant 4 semaines. Contrôle en policlinique d'orthopédie. Le patient ne souhaite pas d'ordonnance car il a du Dafalgan et de l'Algifor à domicile. Nous recommandons l'arrêt du sport pendant 8 semaines.La radiographie effectuée ce jour montre un cal qui est incomplet sur le bord latéral de la fracture sans déplacement secondaire. La radiographie effectuée ce jour ne montre pas de déplacement secondaire ni de rupture du matériel ni aucun changement par rapport à la radiographie effectuée en mars 2018. La radiographie effectuée ce jour montre la présence d'un cal et l'absence d'un déplacement secondaire. La radiographie effectuée le 03.01.2019 montre l'absence de déplacement secondaire et la présence d'un cal. La radiographie est effectuée et négative pour une fracture/arrachement. Nous prescrivons à Mme. Y des injections de Clexane 40 mg et donnons des cannes anglaises. Nous désinfectons la dermabrasion. La vaccination antitétanique est à jour. Nous lui donnons de l'antalgie et un prochain contrôle chez le médecin traitant doit être fait dans 5-7 jours. La radiographie exclut une fracture, et Mme. Y rentre à domicile avec protocole RICE, arrêt maladie de 3 jours, AINS et antalgiques. Elle contrôlera chez le médecin traitant si pas d'amélioration clinique d'ici 5 jours. La radiographie exclut une lésion osseuse. Nous concluons à une tendinite du muscle extenseur ulnaire du carpe. Mr. Y continuera de porter l'attelle qu'il a pendant 15 jours maximum. Il rentre à domicile avec une antalgie simple et un arrêt de travail jusqu'au 15.01.2019 (il refuse un arrêt plus long). La radiographie montre des signes de consolidation. La radiographie montre des signes de consolidation de la fracture, sans déplacement secondaire. La radiographie montre la petite vis au niveau de l'abdomen. Pendant l'observation aux urgences pas de douleur abdominale, ni de toux. Nous laissons sortir Mr. Y avec indications sur le procédé. Si douleurs abdominales, il devra se présenter aux urgences. Évaluation des selles tous les jours pendant 5 jours. La radiographie montre une fracture diaphysaire déplacée du tibia gauche. La fracture est réduite sous MEOPA, puis le membre immobilisé dans un plâtre cruro-pédieux fendu. Mme. Y sera revue dans 1 semaine en policlinique d'orthopédie. La radiographie montre une fracture non déplacée de la 2ème phalange de l'annulaire droit. Mme. Y rentre à domicile avec une antalgie, AINS et une syndactylie. Elle prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans 7 jours. La radiographie montre une tuméfaction des parties molles, mais pas de lésion traumatique ostéoarticulaire. Nous préconisons un protocole RICE, contrôle chez son médecin traitant dans une semaine. Consultation avant si péjoration clinique. La radiographie n'a pas montré de lésion osseuse. ENMG, janvier 2019, ne montre pas de lésion nerveuse. La radiographie ne met pas en évidence de fracture. Vu l'examen radiologique rassurant nous mettons un gilet orthopédique en place, dans un but antalgique et Mr. Y rentre à domicile avec antalgie en réserve. Contrôle clinique à la policlinique d'orthopédie le 24.01.2019. La radiographie ne met pas en évidence de signe de fracture. Nous retenons une entorse du ligament latéro-interne du genou droit de stade I que nous traitons avec protocole RICE, bandage, antalgie. Un contrôle sera réalisé chez le médecin traitant à 5 jours. La radiographie ne montre pas de fracture, et Mme. Y peut rentrer à domicile avec bandage élastique pendant quelques jours, RICE, AINS et Novagine en réserve (ne supporte pas les opiacés). La radiographie ne montre pas de fracture et Mr. Y rentre à domicile. Il reçoit des antalgiques et AINS ainsi qu'un arrêt de travail pour 3 jours. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant en cas d'absence d'amélioration clinique ou d'apparition de nouveaux symptômes. La radiographie ne montre pas de fracture et nous retenons les diagnostics différenciés susmentionnés. Le Dr. X conseille un arrêt du sport de 1 semaine, bande élastique, AINS, antalgie et protocole RICE. Elle prendra rendez-vous chez le Dr. X, orthopédiste, pour contrôle à J7-J10 afin de tester les ménisques et de discuter l'indication à une IRM. La radiographie ne montre pas de fracture. Immobilisation par attelle plâtrée jambière postérieure, cannes anglaises. Mr. Y rentre à domicile accompagné par son père avec antalgie en réserve. Contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. La radiographie ne montre pas de fracture mais une importante gonarthrose gauche et une chondrocalcinose. Nous prenons l'avis du Dr. X, orthopédiste, Mr. Y rentre à domicile avec le traitement susmentionné et prendra rendez-vous pour un contrôle orthopédique chez le Dr. X d'ici 10 jours. La radiographie ne montre pas de fracture. Vu l'examen radiologique rassurant Mme. Y rentre à domicile avec antalgie simple, Olfen gel. Contrôle chez le médecin traitant si les douleurs persistent. La radiographie permet d'exclure une atteinte osseuse de la coupure. Mr. Y bénéficie d'un pansement avec de l'Adaptic touch, une compresse et une bande élastique. Pas d'indication à un traitement antibiotique. La radiographie permet d'exclure une fracture, et nous en retenons le diagnostic différentiel susmentionné. Mr. Y rentre à domicile avec bandage élastique, protocole RICE, antalgie, arrêt de travail (travail physique) et rendez-vous dès que possible à la consultation du Dr. X. La radiographie permet d'exclure une fracture, mais Mr. Y est très algique. Après discussion avec le Dr. X, orthopédiste, nous mettons en place un plâtre antébrachial fendu à visée antalgique, des antalgiques, donnons un arrêt du sport et contrôle en policlinique d'orthopédie dans 7 jours. La radiologie effectuée lors de la dernière consultation ne montre pas de foyer fracturaire ni d'arrachement ni de déformations au niveau de l'avant-pied. La REGA a été activée mais n'a pas pu atterrir en raison des conditions météorologiques. La réanimation s'est poursuivie en ambulance et a été arrêtée après 50 minutes au total sans réponse cardiaque. Le constat du décès a été réalisé à 21h40 à l'hôpital de Riaz. La rotation interne est principalement due à une antétorsion fémorale, des jambes en X et des arrières-pieds en valgus, plus à G qu'à D. Toutefois, pour son âge, la situation est tout à fait normale. Nous ne voyons aucune indication à d'autres investigations. Nous lui proposons de renforcer le muscle tibial antérieur avec des exercices sur la pointe de pieds. Nous lui conseillons de souvent marcher à pieds nus. Pour les douleurs plantaires, elles sont dues à une surcharge de la musculature du pied avec un arrière-pied en valgus. Le renforcement musculaire va donc améliorer cette situation. Nous la reverrons dans 1 an pour un contrôle clinique. La rougeur et la tuméfaction dont Mme. Y parle ne sont pas visibles, de plus quand Mme. Y parle de rougeur elle indique 2 petites ecchymoses au niveau de la rotule qui, pour leur couleur, font penser à un traumatisme qui n'est pas récent. En ce qui concerne la marche en appui partiel, nous lui donnons une attelle jeans antalgique et thromboprophylaxie par Clexane à faire jusqu'à un rendez-vous au cabinet médical de l'orthopédiste qu'elle choisira ou jusqu'au rendez-vous chez son opérateur. Pendant l'attente aux urgences, elle ingère 20 ml de Relaroom et une faible quantité de Softa man. Nous contactons le Tox Centrum pour une identification des substances ingérées. Les substances ne donnent pas de risques de lésion organique digestive et nous pouvons laisser Mme. Y rentrer à Marsens.La RX effectuée ce jour montre un début de cal osseux sans consolidation complète. La situation clinique et radiologique reste stable. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition au besoin. Prescription de physiothérapie pour reconditionnement global et hygiène posturale. La situation est actuellement stable avec une qualité de vie maintenue. Les problèmes de la coxarthrose sont actuellement secondaires. Dans ce contexte, nous lui proposons de continuer la physiothérapie que nous lui prescrivons ce jour. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. La situation est peu claire. Théoriquement, il peut y avoir une compression du nerf cubital, basé sur l'examen clinique, toutefois suite à l'examen neurologique, il n'y a pas de certitude d'un tel diagnostic. Dans ces conditions, je propose dans un premier temps d'attendre l'effet du Lyrica. Un prochain contrôle chez le Dr. X est prévu pour le 20.3.19. Un rendez-vous à ma consultation est agendé pour le 21.3.19. Une neurolyse du nerf cubital du coude G est pré-programmée pour le 25.3.19. La situation est plutôt rassurante avec un patient bien soulagé au niveau de ses douleurs axiales par l'infiltration, l'IRM cervicale n'a pas montré de sténose, pour ces raisons, nous préconisons un traitement de physiothérapie basé sur le travail de l'équilibre, hygiène posturale et le renforcement musculaire. Nous reverrons le patient pour un nouveau contrôle clinique dans 3 mois. Si la situation devait se péjorer, nous envisagerions une IRM de la colonne dorsale. La situation évoque assez clairement un syndrome sacro-iliaque G, raison pour laquelle nous prescrivons des séances de chiropractie pour rebalancement de cette articulation et hygiène posturale. Prescription également d'une semelle compensatrice de 5 mm à porter à G. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. En cas d'absence d'amélioration, nous envisagerons alors une infiltration sacro-iliaque G. La situation fait penser à un problème plutôt lié au LCB et pas forcément à la tendinite calcifiante visualisée sur la radiographie. Je vais bilanter la situation par une arthro-IRM de l'épaule gauche le 25.2.2019. Je reverrai le patient le 27.2.2019. La situation n'est pas catastrophique, par contre, il faut bilanter la situation actuelle par scanner pour d'abord prévoir une éventuelle ablation des vis et confirmer une bonne position du péroné au niveau de la syndesmose. Poursuite d'une décharge de 15 kg. Je reverrai le patient suite au scanner. La situation peut être encore améliorée au niveau de l'épaule D avec de la physiothérapie. Concernant les tendinites des fléchisseurs, on peut expliquer cela avec la reprise de la marche après une longue période d'inutilisation des mains et la maladie rhumatismale de base. On propose des anti-inflammatoires locaux et de l'ergothérapie. Je revois la patiente dans 2 mois. La situation radiologique montre une évolution favorable grâce au traitement de phages au niveau du cunéiforme médial. Cependant, d'un point de vue clinique, l'évolution est défavorable avec des ulcères qui sont en péjoration. Nous posons donc l'indication pour une révision de plaie, débridement, rinçage et éventuellement mise en place d'un pansement VAC au niveau des deux pieds. Nous l'informons des risques et des bénéfices de l'intervention à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. La situation semble pour l'instant gérable. Nous préconisons une infiltration du mur méniscal externe afin de soulager le patient. Prochain contrôle fin août 2019. En cas de péjoration ou de non-amélioration, nous envisagerons à ce moment-là, la mise en place d'une prothèse totale du genou. La sonde naso-gastrique est remise en place et la radiographie de thorax montre un bon repositionnement. Le patient retourne à l'EMS. La sténose objectivée à l'IRM n'explique pas les symptômes, plus probablement liés aux antécédents chirurgicaux au niveau du bassin. Au vu de l'évolution favorable sous traitement conservateur, nous proposons une poursuite de la physiothérapie et ne prévoyons pas de nouveau contrôle. Nous restons disponibles au besoin. La symptomatologie actuelle est bien corrélée à l'imagerie du jour. Nous proposons dans un premier temps une infiltration péri-radiculaire C6 D à but diagnostique et thérapeutique puis reverrons le patient 3 semaines après ce geste pour faire le point. Nous avons déjà discuté de l'éventuelle nécessité de procéder à une fusion cervicale antérieure en cas de mauvaise évolution. La symptomatologie algique a quasiment entièrement disparu lors du contrôle. Le statut clinique est entièrement indolore hormis de légères douleurs à la dorsiflexion de la cheville contre résistance. Ceci fait suspecter une tendinite du long extenseur des orteils comme diagnostic différentiel, pour lequel le traitement aurait été le même. Sachant que les symptômes ont actuellement presque disparu, nous proposons de continuer le traitement anti-inflammatoire pour une durée totale de 7 jours, tout en laissant le membre au repos et de faire un contrôle clinique dans 5-6 jours à la consultation du médecin traitant. La symptomatologie de la patiente est en très lente amélioration. La patiente est actuellement sous 50 mg de Lyrica 1X par jour, probablement qui sera majorée lors de la prochaine consultation en antalgie. Nous proposons une poursuite des séances en ergothérapie mais nous ne prescrivons pas de séances de physiothérapie pour le moment. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. La symptomatologie du patient peut être expliquée par la dégénérescence L5-S1 déjà connue avec rétrécissement foraminal L5-S1 G (causant la sciatalgie) et l'insuffisance discale L4-L5. Le patient nous dit avoir encore de la peine à se décider quant à une intervention chirurgicale. Au vu du fait qu'il est de plus en plus gêné par les douleurs lombaires, nous proposerions une discectomie par abord antérieur pour résoudre les douleurs lombaires et les sciatalgies. Dans un premier temps, nous organisons une nouvelle IRM lombaire avec séquences vasculaires discales afin d'exclure une péjoration de la dégénérescence L4-L5 dans le cas contraire, poser également l'indication à un ALIF pour ce niveau. Prochain contrôle suite à l'IRM pour finaliser l'indication opératoire. La symptomatologie et le contexte de ce malaise sont très évocateurs d'un malaise vagal, et le Dr. X supporte notre supposition diagnostique. L'ECG revient normal, tout comme le laboratoire. L'état clinique et de faiblesse généralisée du patient s'améliore rapidement. Cependant, au vu de la perte de connaissance rapportée par le patient, nous lui proposons de rester pour une surveillance neurologique sur la nuit ; le patient refuse et rentre à domicile. La symptomatologie n'a pas évolué. L'IRM ne confirme pas de névrome de Morton. Dans ce contexte, nous lui prescrivons un appui rétro-capital et organisons une infiltration test au niveau du 2ème espace. Nous la reverrons 2 semaines après ce geste. La symptomatologie qui gêne actuellement le patient peut être expliquée à notre avis suite à une évolution neuropathique de la douleur, problème qui arrive souvent après une décompression par herniectomie extra-foraminale en raison de la stimulation directe du ganglion nerveux. Nous prescrivons au patient un traitement de cortisone durant 7 jours avec schéma de sevrage et Neurontin pour 30 jours. Nous reverrons le patient au mois de février. Le patient est informé qu'il doit nous recontacter en cas d'aggravation de la symptomatologie. La symptomatologie reste stable et intermittente, ce pourquoi nous ne proposons pas de prise en charge chirurgicale. La patiente avait bénéficié de physiothérapie jusqu'en novembre, ce que nous lui proposons de reprendre pour entretenir la musculature du rachis et étirer la musculature abdominale. Nous lui recommandons également de reprendre une activité sportive en parallèle.• Pas de nouveau contrôle prévu d'office, nous restons à disposition au besoin. • La température se normalise sans antipyrétique. Dans le contexte, malgré une clinique rassurante, nous effectuons un laboratoire qui est normal sans syndrome inflammatoire et une radiographie de thorax qui ne montre pas de foyer. Nous laissons donc le patient rentrer à domicile avec un traitement symptomatique. • La tension artérielle du patient descend à 140 mmHg après l'administration d'Adalat 20 mg PO. Vu que le test de Schellong est positif et que le patient a des TAS auto-mesurées qui descendent jusqu'à 110 mmHg, nous ne modifions pas le traitement anti-hypertensif. Nous conseillons au patient de consulter son médecin traitant pour contrôler la tension artérielle et adapter le traitement si nécessaire. • La tuméfaction diminue lors du séjour aux urgences. Le patient ne présente pas de signes de gravité. Il reçoit un anti-allergique per os aux urgences et poursuivra son traitement à domicile. Nous laissons le soin au médecin traitant d'organiser un bilan allergologique à distance. • La tuméfaction diminue lors du séjour aux urgences. L'érythème disparaît presque exclusivement pendant la surveillance. La médication du matin est semblable à celle du soir, excepté le Stilnox. Pas de nouvelle réaction. Devant l'amélioration de la symptomatologie, le patient est renvoyé à domicile après explication des critères de gravité devant l'inciter à reconsulter. Le diagnostic d'anaphylaxie est retenu. Le patient confirme avoir consommé à deux reprises du gingembre frais (qu'il n'avait jamais consommé auparavant, uniquement dans des thés mais déjà préparé). Nous préconisons également une consultation en allergologie dans 4 à 6 semaines afin de confirmer le diagnostic. En attendant, une éviction des agrumes est également préconisée. • La vis est proéminente sur le scanner mais ne montre pas d'irritation clinique. La fracture est consolidée et le patient a récupéré de bonnes amplitudes articulaires. On travaille le renforcement. Poursuite de l'incapacité de travail jusqu'à fin février et prochain contrôle dans 2 mois. En cas de gêne, on procéderait à l'ablation du matériel d'ostéosynthèse. • Labo urines • US aux URG (Dr. X - urgentiste) : Absence de liquide libre, pas de dilatation pyélocalicielle, pas de globe vésicale, appendice visualisé avec signe double cocarde et hyper échogénicité graisse viscérale. • Avis chirurgical (Dr. X) : ad hospitalisation. 2 g Rocephine + Flagyl 500, à jeun, ad op dès que possible. • Antalgie • L'abcès est incisé et drainé après une anesthésie locale par lidocaine (environ 8 mg utilisés). Une mèche de Ialugel est laissée en place et un contrôle est prévu le 09.01.2019. • L'abcès, une fois incisé, révèle une grande quantité de pus qui est drainé. Ce pus présente un aspect brunâtre et une odeur de matières fécales. Sur avis du Dr. X, chirurgien, nous organisons un CT-scanner avec gastrographine à la recherche d'une connexion avec l'appareil digestif. Ce dernier aura lieu lors du contrôle de plaie le 02.01.2019, et le patient sera revu en consultation suite à l'examen. • Labétalol iv du 17.01 au 18.01.2019. • Labétalol du 17.01.2019 au 20.01.2019. • Labétalol intraveineux. • Labétalol iv. • Labétalol iv du 07.01 au 08.01.2019. Introduction Métoprolol per os dès le 08.01.2019. • Labétalol iv du 07.01 au 08.01.2019. Métoprolol per os aux soins intensifs du 08.01.2019 au 11.01.2019. • Labétalol iv du 23.12.2018 au 24.12.2018. Lisinopril du 24.12.2018. Amlodipine du 24.12.2018. Physiotens du 24.12.2018. Stoppés le 28.12.2018. • Labétalol iv (5 mg), Urapidil iv (2 x 5 mg) pour TA systolique 140 mmHg. Acide tranexamique 1000 mg iv. Fibrinogène 2 g iv. Transfusion de 1 concentré plaquettaire d'aphérèse. Vitamine K 10 mg iv. Consilium hématologie le 17.01.2019 (Dr. X). Transfert à l'Inselspital à Berne le 17.01.2019. • Labilité tensionnelle, le 04.01.2018 avec : • Dyspnée et céphalée lors de pic hypertensif. • Vertige lors d'hypotension. • Labilité tensionnelle. • Labilité tensionnelle, le 04.01.2019 avec : • Dyspnée et céphalée lors de pic hypertensif. • Vertige lors d'hypotension. • Dans le contexte de trouble anxieux avec multiples plaintes. • L'ablation de plâtre permet de faire disparaître les plaintes de la patiente. La jambe est à nouveau immobilisée dans une attelle postérieure. La patiente sera revue le 24.01 comme prévu en policlinique d'orthopédie pour le suivi de l'entorse. • L'ablation des fils se déroule sans particularité. • Labo : aligné, pas d'élévation de la CRP. • Labo : alignée, pas de leucocytose, pas de CRP augmentée. Urines : propres. CT abdominal injecté : pas de retard de rehaussement au niveau rénal, pas d'abcès rénal, pas de dilatation pyélocalicienne. • Labo : ASAT 287, ALAT 207, LDH 602, PA 512, GGT 339, bilirubine totale 88.8, CRP 23, Lc 8.5, Hb 83. Urines : pas de signe d'infection. Hémocultures. Thérapie de confort. • Labo : Cf rapport. • Labo : CRP : <5 mg/L, Leucocytes : 7.6 G/L. • Labo : CRP : <5 mg/L, pas de leucocytose, INR : 1.5. • US : L'ensemble du réseau veineux profond du MIG gauche est compressible et perméable, avec un signal Doppler normal, sans signes de TVP. Pas de thrombose visible des veines grande et petite saphène. • Présence de multiples ganglions dans les régions inguinales, prédominant à gauche, dont le plus volumineux mesure 21 x 8 mm mais garde une architecture normale d'aspect réniforme et avec un hile graisseux conservé. Ce dernier est légèrement hyperhémique pouvant parler pour un agrandissement réactionnel (DD : sur infection de la peau ? sur trauma ?). • Le reste du volume exploré est sans particularité. • Labo : CRP < 5 mg/l, pas de leucocytose ou de leucopénie. • Labo : CRP 6.6 G/L, CRP : 45 mg/L. • Rx : Silhouette cardiomédiastinale dans la norme. Pas d'image pathologique en projection des plages pulmonaires. Pas d'épanchement pleural. Anciennes fractures costales ddc, inchangées. Le reste de l'examen est superposable. • Labo : CRP 7, Leuco 9.6, Hb 127, sans particularités. Stix, sédiment : propre. Avis gynécologue de garde HFR : ad consultation chez eux durant la nuit. Patiente part au HFR par ses propres moyens. • Labo : CRP 75 mg/mL, Leuco 8.3. • Labo : d-dimères 6988. ECG : Q 3 T 3 pas de S1. CT thoracique le 23.01.19 : multiples EP centrales bilatérales avec infarcissement basal gauche avec zone de nécrose, dilatation du tronc pulmonaire et des 2 ventricules mais le rapport VD/VG reste dans la norme. Avis cardio US cardiaque (Dr. X) : pas de signe de souffrance du VD, pas de dilatation des ventricules droit et gauche. Avis des soins intensifs : pas d'élément au niveau clinique, ultrasonographique ou du laboratoire pour une surveillance aux soins. • Aux urgences : bolus de liquémine 5000 UI puis 25000 UI/12h, contrôle du PT PTT et anti-xa à 00h30, adapter selon la crase. • ATT : hospitalisation en médecine pour poursuivre le traitement d'héparine. • Labo // ECG. CT thoracique le 23.01.2019. Avis cardio US cardiaque (Dr. X). • Anticoagulation : Liquémine i.v. pour 3 jours. Eliquis - 10 mg 2x/j du 25.1 au 31.01.2019 (7j) - puis 5 mg 2x/j du 1.2 au 01.08.2019 (6 mois) - puis 2.5 mg 2x/j à partir du 02.08.2019 à vie. • Labo // Gazo // ECG // Radio de thorax. • Atrovent / Ventolin. Oxygenothérapie. Physiothérapie. • Labo : Leucocytes : 12 G/L, CRP : < 5, Kaliémie : 2.7 mg/L. US : Conditions suboptimales en raison de gaz intestinaux, présence de liquide libre, pas de torsion ovarienne objectivée, parois utérines épaissies, appendice sans particularité.Labo : Leucocytose à 16 g/L, CRP 75, Creat : 130 µg/L Urée : 7.8, GFR selon CKIEPI : 30 ml/min Rx : tramme pulmonaire avec multiples épaississements, qualité mauvaise en raison de la position couchée ECG : en cours Labo : Pas de leucocytose, CRP 44 ml/l, première du laboratoire alignée Labo : pas de syndrome inflammatoire, D-dimères < 500 CT scanner thoracique : pas d'embolie pulmonaire Antalgie, Pantoprazol 40 mg Labo : sans particularité, TSH en attente ECG : sans particularité Labo : Troponines 2 x négatives, ECG : Bloc de branche droite Labo : Urée 13.3, Créat 162 Spot urinaire : 23.6 % Labo : voir annexes Labo Analyses urinaires : hématurie microscopique (sous anticoagulant oral) CT abdo : diverticulite du colon descendant avec infiltration de la graisse abdominale en regard ; épaississement focal du sigmoïde avec nombreux diverticules Avis Dr. X Mise en suspens anticoagulation par Lixiana ; début héparine le 11.01 au matin (bolus de 5000 UI + 15 UI/kg/24h) ; PTT prescrit à 12h Complément bilan avec CA 19-9 et CEA demandé pour le 11.01 Hospitalisation pour ATB par Tazobac (1e dose aux urgences à 19h) et surveillance biologique et clinique Labo Antalgie par morphine efficace Transfert à Riaz (manque de place à Fribourg) pour gestion antalgie ; réévaluation examens complémentaires (IRM lombaire ? pallesthésie ? bilan angiologique ?), éventuellement consultation en antalgie ; demandé suivi des CK pour le 21.01 au vu élévation Suspension Betmiga, qui peut faire des myalgies Labo : anti-Xa 1.15 ECG Rx thorax Fibroscopie (Dr. X) : caillot en regard du sinus piriforme à gauche, pas de saignement actif visible, corde vocale gauche fixée en position médiale Avis ORL (Dr. X) : hospitalisation en ORL Thérapie : • Aérosol adrénaline 1 mg • Cyklokapron 500 mg i.v. • Protamine 4000 UI i.v. en perfusion lente Attitude : • Hospitalisation en ORL pour surveillance, aérosol d'adrénaline, cyklokapron iv, Dicynone 250 mg 4x/j Labo : ASAT 205 U/l, ALAT 224 U/l, Bilirubine totale 22.2 µmol/l, Bilirubine directe 21.3 µmol/l, CRP <5 mg/l, Leucocytes 14.5 G/l, Lipase 9'167 U/l CT abdominal : pancréatite légère, tuméfaction du pancréas sans collection, pas de calcul radio-opaque mais dilatation des voies biliaires extra-hépatiques, lésion tissulaire prenant le contraste au niveau du cholédoque distal (à investiguer), petite prise de contraste des voies biliaires extra-hépatiques possiblement compatible avec une cholangite. Avis chirurgical (Dr. X) : faire CT abdominal, hospitalisation en chirurgie, ERCP à évaluer. Labo aux urgences et chez le médecin traitant Stix sédiment chez le MT Urotube aux urgences : à pister Hémocultures 2 paires à froid T° 37.2 : à pister Première dose d'antibiotique : Imipénème ATT • hospitalisation pour traitement par antibiotique iv • à faire : changer la sonde et pister l'uro-tube Labo : Bili directe 20 umol/l, gGT 158 U/l, ALAT 74 U/l, ASAT ECG : Sono abdomen supérieur le 30.01.2019 : Avis chir : hospitalisation, à jeun, contrôle du laboratoire le 31.01.2019 Labo : Bili directe 20 umol/l, gGT 158 U/l, ALAT 74 U/l, ASAT 105 U/l ECG : Sono abdomen supérieur le 30.01.2019 : Avis chir : Sono, Hospitalisation en chirurgie, à jeun, labo le 31.01.2019 Labo : Cf. annexe CT abdominal 02.01.2019 : Le foie est de taille, de configuration et de densité normales. Les veines sus-hépatiques et le tronc porte sont perméables. Pas de dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques. Aucun calcul radio opaque n'est objectivé dans la vésicule. Atrophie complète de la queue du pancréas avec dilatation du Wirsung jusqu'à 10 mm de diamètre et quelques calcifications. Pas d'évidente masse pancréatique mais suspicion d'une lésion hypodense en amont de la dilatation du Wirsung. La tête du pancréas et la jonction tête - corps du pancréas sont bien visibles. La rate et les surrénales ont une morphologie normale. Les reins sont de taille et de configuration normales en rapport avec l'âge du patient (86 mm de grand axe), sans dilatation du système excréteur. La vessie est en semi-réplétion. Pas d'anomalie dans la veine cave inférieure. Athéromatose aorto-iliaque calcifiée. L'artère splénique naît directement de l'aorte abdominale. L'artère mésentérique supérieure naît depuis le tronc coeliaque. Calcifications du départ des artères rénales, perméables. Diverticulose colonne sigmoïdienne calme. À noter que cet examen n'a pas été réalisé pour étudier les anses digestives et une éventuelle lésion sigmoïdienne ne peut être exclue. Importante ascite péritonéale avec aspect nodulaire du mésentère faisant suspecter une carcinomatose péritonéale. Pas de pneumopéritoine. Absence d'adénopathie rétropéritonéale. Pas d'altération dans les tissus mous. Sur les coupes passant par les bases pulmonaires, épanchement pleural de moyenne abondance avec atélectasie passive associée ddc. Atélectasie lamellaire lingulaire et dans le lobe moyen. Sur le volume osseux exploré, ostéopénie généralisée et tassement cunéiforme sévère de la vertèbre L2 avec recul du mur postérieur estimé à 5 mm. Altérations dégénératives du rachis axial et de la symphyse pubienne. Coxarthrose bilatérale. Conclusion : Atrophie complète de la queue du pancréas et dilatation du Wirsung avec suspicion d'une lésion hypodense en amont de cette dilatation. Mise en évidence d'une abondante ascite et aspect nodulaire du mésentère évoquant une carcinomatose péritonéale. Épanchement pleural de moyenne abondance avec atélectasie passive associée ddc. Tassement cunéiforme sévère de L2. Labo : cf. annexe ECG 25.12.2018 : Rythme sinusal régulier, FC 60/min, QRS fins, axe gauche, bloc BAV de 1er degré avec PR 214 ms ETT (28.12.18) : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (Simpson biplan). Remodelage concentrique. Aorte non dilatée. Valve aortique, d'ouverture normale. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale, d'ouverture normale. Insuffisance mitrale légère. Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Absence d'épanchement péricardique. Labo : cf annexe RX thorax 03.01.19 : pas de fracture, pas de foyer, pas de pneumothorax Labo : cf. annexes. Labo : CK 3829 U/L, CK-MB 506 U/L, Troponines T hs 8806 ng/L ECG 03.01.2019 : rythme sinusal régulier à 75 bpm, QRS fins, onde de Pardee en V4-V6, ondes Q en V4-V6, intervalle PR 170 ms, QTc 431 ms Coronarographie le 03.01.2019 (Dr. X) : pose de 1 stent actif sur la circonflexe : bon résultat final ETT 04.01.19 : Akinésie des parois postérieure, latéro-apicale, latérale moyenne, antéro-apicale et antérieure moyenne, une hypokinésie sévère des parois latéro-basale, inféro-apicale et inférieure moyenne. FEVG à 35-40 %. Pas de valvulopathie. Traitements : • Aspirine à vie • Prasugrel pour 1 an Labo : copie annexe Labo (copie cf) ECG du 04.01.2019 : rythme sinusal à 95 bpm, axe dans la norme, intervalles PR, QRS et QTc dans la norme, pas de trouble de la repolarisation ni de la conduction. Labo créat à 394 urée 20.9 2 x 500 ml de NaCl 0.9 % 1500 NaCl 0.9 % sur 24 h sonde urinaire Spot à pister ATT hospitalisation pour suivi Labo : créat 163, urée 15.9 Labo : créat 206 mcmol/l, NT-proBNP 8342 ng/l, CRP 302 mg/l, Lc 9 G/l Antigènes urinaires légionelle et pneumocoque : négatif ECG le 25.01.2019 Radiographie du thorax le 25.01.2019 US pulmonaire et cardiaque au lit du malade (Dr. X) le 25.01.2019 Beloc 5 mg iv et 2.5 mg iv aux urgences Lasix 40 mg iv du 25.01 au 26.01.2019 Pipéracilline/tazobactam 4.5 g 2x/j du 25.01 au 26.01.2019 Digoxine 0.25 mg iv (3x) le 25.01.2019 Magnésium 2 g iv le 25.01.2019 Deponit patch 5 mg le 25.01.2019 VNI le 25.01.2019 Pas de prise en charge aux soins intensifs au vu du contexte et des directives anticipées Soins de confort dès le 26.01.2019 Labo: creat 206 mcmol/l, NT-proBNP 8342 ng/l, CRP 302 mg/l, Lc 9 G/l ECG: FA rapide à 132/min Rx thorax: signes de surcharge cardiaque sans signes de décompensation, probables foyers bilatéraux. US pulmonaire et cardiaque au lit du malade (Dr. X et Sr. Schmutz): pas d'épanchement pleural, pas d'épanchement péricardique, bonne contractilité du cœur. Antigène urinaires légionelle et pneumocoque:____ Beloc 5 mg iv et 2.5 mg iv aux urgences Lasix 40 mg iv aux urgences VNI Pipéracilline/tazobactam 4.5 g 2x/j débuté aux urgences Digoxine 0.25 mg iv Magnésium 2 g iv Deponit patch 5 mg Appel représentant thérapeutique Labo: créatinine 139, urée 29 spot urinaire Hydratation Labo: CRP 123 mg/L, Leucopénie à 2.2 G/l Sédiment urinaire Urotube: E. Coli 10E5 résistant à Ciprofloxacine Rocéphine 2 g i.v. du 26.12.18 au 28.12.2018 Bactrim po. du 29.12.2018 au 03.01.2019 Hydratation i.v. Antalgie Physiothérapie Labo: CRP 25 mg/L, Pas de Lc Urines: propres CT abdominal (Rapport oral Dr. X): Diverticulite avec probable abcès de 15 mm x 9 mm. Pas d'ascite. Pas d'air ou de liquide libre. Rocéphine 2 g 1x/j IV Metronidazole 500 mg IV Avis chirurgie (Dr. X): Hosp en chir ATT • Pister labo • discuter colono à 6 semaines Labo: CRP 30, sans leucocytes. Reste du labo aligné. PT, aPTT 49, activité anti-Xa 156. Urines: Hématurie microscopique. Radio thorax: Pas de foyer visualisé. Pas de frottis de grippe réalisé au vu de l'absence de fièvre et symptômes depuis 5 jours ATT: • traitement symptomatique • suivi clinique, biologique. • bilan gériatrique, réadaptation Labo CRP 58 gamma GT 143 ph. alcaline 199 ASAT 64 LDH 640 ECG rythme sinusal, pas de trouble de la repolarisation, pas de sus ou sous élévation du segment ST, extrasystole auriculaire ATT • hospitalisation en médecine Labo CT angio scanner des MI le 28.01.19: MIG sténose du segment T3 de l'a. poplité avec prolongation dans l'artère péronière, reprise des collatérales au niveau de l'a. tibial post, pas d'opacification dans l'a. tibiale antérieure et péronière. Au niveau abdominal: image d'embolisation du parenchyme splénique, atrophie du rein gauche (chronique), thrombus dans le VG moins visible comparé au dernier scanner. Avis Dr. X: hospitalisation en chirurgie, avis chirurgie vasculaire et angiologie demain. Garder le patient à jeun ATT • hospitalisation en chirurgie Labo du 1.1.19: CRP 39, Lc 13, déviation gauche Urines du 1.1.19: leucocytes +++, nitrites +, sang ++, Urotube: Escherichia Coli multisensible 2 paires d'hémocultures à chaud le 1.1.19: négatif Ceftriaxone 2 g 1x/jour du 01.01.19 au 04.01.19, puis switch vers co-amoxi oral 2x1 g jusqu'au 09.01.2019 Labo du 15.01.2019: Hb 87 g/l, MCV 87, MCHC 327 Labo du 16.01.2019: Hb 93 g/l Labo du 16.01.2018: Lc 24 g/l, CRP 54 Labo du 18.01.2019: Lc 14 g/l, CRP 14 Labo du 18.01.2018: Lc 8.8 G/l, CRP 25 Labo du 19.01.2019: Urée 9.5, Créat 115, Na 142, K 5.1, TP 65, PTT 37 Labo du 24.12.2018: Vit. D à 38 nmol/l Poursuite de la substitution Vit. D Labo: électrolytes alignés, FSS et crase sans particularité, absence de syndrome inflammatoire ECG: rythme sinusal, fréquence auriculaire 75 bpm, fréquence ventriculaire 40 bpm, intervalle PR variable, QRS fins, normo-axé RX thorax post-intervention 03.01.2019: pas de pneumothorax Compatibilité IRM du pacemaker jusqu'à 3 T corps entier Attitude: • Contrôle de la plaie à 10 jours en cardiologie à l'HFR • Contrôle du pacemaker à 4-6 semaines en cardiologie à l'HFR Labo Gazo Rx thorax foyer pulmonaire lobe supérieur droit Hémocultures à chaud le 05.01.19 O2 4 L Levofloxacine du 05.01.2019 au _ Labo: K+ 3.3 mmol/L, glycémie 10.9 mmol/L. Reste du labo aligné. ECG: Sinusal régulier. Axe normal. BAV 1er degré. QRS fins. ST isoélectrique. CT crânio-cérébrale (Dr. X): Hématomes sous duraux bilatéraux à prédominance D d'aspect chronique avec composante aigüe. Sans effet de masse sur ligne médiane ou ventricules. Hématome sous-dural droit de la tente du cervelet. Hémorragie sous-arachnoïdienne à proximité de la tente du cervelet périmésencéphalique. Inondation hématique ventriculaire de la corne temporale et occipitale gauche. CT-scanner cérébral et colonne cervicale à 6 heures du premier (Dr. X): avis neurochirurgical (Inselspital Berne) Attitude: • Aspirine cardio en suspens • ad transfert aux soins intensifs pour surveillance neurologique aux 2 heures • répéter CT-scanner cérébral avec aussi colonne cervicale dans 4-6 heures • en cas de péjoration neurologique ou progression au scanner re-contacter les neurochirurgiens à l'Inselspital Labo: lc 11.3, CPR 68 Hémocultures: en cours Rx thorax: augmentation de la trame bronchique Hospitalisation en médecine • Suivi clinique • frottis grippe et isolement en attendant les résultats • Discuter antibiothérapie en fonction de l'évolution Labo le 01.01.2019: créat 53 mcmol/l, eGFR selon CKD-EPI 84 ml/min/1.73 m² Suivi laboratoire Labo le 02.01: 117 g/l, leuco 12.9: 2.1 à 15h30, 13.8 à 3h, CRP 82 mg/l: le 2.1 à 15h30, 20 mg/l à 3h Labo le 03.01: hb 120 g/l, leuco 8.1 g/l, crp 137 mg/l Labo le 04.01: hb 114 g/l, leuco 6 g/l, crp 70 mg/l Echographie trans-vaginale le 02.01: endomètre fin avec un utérus de taille de 9 x 8 x 4 cm. US du sein G 03.01: collection 2 x 3 cm péri-aérolaire infero-externe gauche de US sein D 03.01: masse non inflammatoire de 2.4 x 1.9 cm Frottis écoulement mammaire 03.01.2018: S. aureus MRSA Uricult 02.01.2018: contamination Frottis cervico-vaginal 02.01.2018: S. aureus sensible, chlamydia négatif Hémoculture (02.01.2018: 3h, 8h, 18h): stérile lors de la sortie de la patiente Labo: le 06.01.2019 TSH à 0.07 mU/L, T4 libre à 19 pmol/L, T3 libre à 5.03 pmol/L Ac anti-TPO 14 (N) Ac Anti- Thyroglobuline en cours Ac Anti- récepteurs de la TSH en cours (Laboratoire extérieur) Consilium endocrinologique: Dr. X est informé de la grossesse et la patiente sera convoquée pour une suite de prise en charge Labo le 10.11.2018 Labo: leuco 14.7 G/l, CRP <5 mg/l, Créat 106 µmol/l, Na 138 mmol/l, K 4.0 mmol/l Stix/sédiment urinaire: leuco 6-10, nitrites neg, sang ++++ UroCT: calcul mesurant 5 x 6 x 10 mm au niveau de l'uretère lombaire gauche avec dilatation pyélocalicielle en amont, le pyélon mesurant 24 mm et signes de souffrance rénale avec infiltration de la graisse petit calcul droit système caliciel inférieur, multiples lésions d'aspect kystique. Labo: Lipase 4645 U/l, CRP 9 mg/l, Lc 10.5 G/l CT-abdominal: pancréatite importante, coulées de nécrose péri-pancréatique, pas encore de nécrose du pancréas, lésion kystique du processus unciné du pancréas sans effet de masse mais en augmentation de taille depuis 2013, devra être suivie à distance de l'événement aigu par un IRM. Avis chirurgical (Dr. X): CT-abdominal, hospitalisation en chirurgie, hydratation 3000 ml/24h, antalgie, surveillance sevrage. Attitude • Traitement antalgique • Hydratation • Patient à jeun Labo: normal ECG: RSR à 53 bpm, PR 140, QTc 390 ms, QRS fins normoaxés, pas de troubles significatifs de la repolarisation Labo NT pro BNP 27'205 CRP 147 Leuco 9.1 ECG Rx thorax: signe de décompensation cardiaque, pas de foyer franc à la radiographie Hémocultures à froid à pister: Antigènes urinaires: à pister Aux urgences: digoxine 0.25 mg 3x, Nacl 0.9% 500 ml, Rocéphine 1000 mg iv, Klacid 500 mg p. o, Beloc Zok 25 mg retard, Lasix 20 mg PO ATT • hospitalisation en médecine pour suivi de la décompensation cardiaque et antibiotique iv Labo: PAL 172, bilirubine totale 21.5 et Bili directe 12.8, GGT 339 ATT: • suivit biologique Labo pas de syndrome inflammatoire Rx du membre inférieur gauche CT de la jambe gauche 11.01.19: cal autour de la fracture, prolongation du trait de fracture dans le cal, pas de signe d'ostéolyse, infiltration des tissus mous compatibles avec une dermo-hypodermite Avis ortho Dr. X: vu avec les chefs de l'orthopédie, hospitalisation du patient, reprise au bloc opératoire possible avec prélèvement pour culture Avis Dr. X: plusieurs éléments parlant contre une dermo-hypodermite, pas de fièvre, pas de syndrome inflammatoire au laboratoire, pas de progression fulgurante Aux urgences: Xyzal 5 mg, délimitation de l'érythème avec stylo hémocultures à froid: à pister ATT • hospitalisation en chirurgie, pour possible débridement de plaie et prélèvement pour une recherche d'infection Labo Rx thorax Labo Rx thorax Discussion avec Dr. X: éligible pour Frailty Care, mais pas de place disponible; appelé à Meyriez, pas de place en gériatrie, idem à Riaz; patient ne veut pas aller à Tavel Labo Spot osmolalité urinaire 196 Na urinaire 52 restriction hydrique à 1 l/j et 500 ml NaCl 0.9% suivi biologique hospitalisation à Riaz en gériatrie Labo: Syndrome inflammatoire avec CRP 71 mg/L et Lc 12.4. Urines propres CT abdominal le 11.01.2019: (rapport oral Dr. X): Collection intra-abdominale en regard de la cicatrice de laparotomie, de 4 cm de diamètre avec niveau liquidien de 7 mm de diamètre. Pas d'air ou de liquide libre intra-abdominale. EP en base droite segmentaire et sous-segmentaire (3 segments) Frottis du 10.01.2018: en attente Avis chir (Dr. X): Pip-Taz 3 x 4.5 g i.v., contrôle labo le 11.01.2019, à jeun, évaluation si Labo: trop H0 114, Trop H1 122, Trop H3 119 ECG: sous-décalage en V4-V6, pas de comparatif disponible Echo ciblée coeur, thorax, abdomen Dr. X: Insuffisance mitrale, tableau d'insuffisance cardiaque gauche, FEVG visuellement altérée Thérapie: • Aspirine 500 mg (ambulance) • Plavix 600 mg aux urgences Avis cardiologique (Dr. X): Avis soins intensifs Labo trop stable, pro-BNP 15008 Gazo PCO2 3.3 PO2 9.1 ph 7.52 lactate 3.1 ECG US cardiaque ciblé (Dr. X): dilatation de l'oreillette droite et gauche avec hypokinésie modérée du VG et akinésie du septum, dilatation des OD et OG et VG et VD. Dysfonction cardiaque globale. Pas d'épanchement péricardique. Pas de variation respiratoire du diamètre de la veine cave US pulm ciblé: épanchement de < 2 cm à droite, augmentation des lignes de Kerley jusqu'au 1/3 voir moitié des plages pulmonaires ddc. Aux urgences: 40 mg de lasix iv ATT • hospitalisation en médecine avec suivi du poids des OMI et auscultation pulmonaire • poursuivre lasix 40 mg 2x/j et potassium eff 3x/j Labo: T4 pmol/l, thyroglobuline dans la norme US thyroïde le 29.01.2019: pas d'atteinte Consilium endocrinologie (Dr. X) Euthyrox 50 mcg jusqu'au 23.01.2019 puis 100 mcg 1x/jour Le patient sera convoqué pour une consultation d'endocrinologie une semaine après sa sortie Labo 03.01.19: Cholestérol et triglycérides dans la norme, hémoglobine glyquée 5.5% Echocardiographie transthoracique le 04.01.2019: voir ci-dessous Traitements: • Lisinopril • Métoprolol • Atorvastatine • Spironolactone Attitude: Coronarographie pour traiter l'artère coronaire droite le 29.01.2018 à l'HFR Fribourg ETT le 12.02.2019 à 13h à l'HFR Fribourg Labo 16.12.18 Creatinin 123 umol/l (GFR 35) Labo 31.12.2018: CK 276 U/L, CK-MB 45 U/L, Troponines T 78 ng/L, cholestérol total 4.2 mmol/L, HDL 1.37 mmol/L, LDL 2.76 mmol/L, triglycérides 0.35 mmol/L, hémoglobine glyquée 5.6%. Investigations: Coronarographie le 31.12.2018 (Dr. X): Recanalisation coronaire droite distale avec pose de 1 stent actif Echocardiographie transthoracique 02.01.2019: Hypokinésie minime de la paroi inférieure moyenne et de la paroi inféro-basale. FEVG 52%, absence de thrombus dans ventricule gauche. Traitements: • Aspirine à vie et Efient pour 12 mois dès le 31.12.2018 • Physiothérapie Attitude: • Rendez-vous de contrôle en cardiologie à l'HFR le 01.02.2019 à 9h30 (Dr. X) Labo Analyses urinaires Rx thorax Angio CT cérébral: pas d'occlusion vasculaire, pas d'AVC constitué, pas de saignement Avis Dr. X: poursuite ttt, EEG dans la semaine Hospitalisation pour suite d'investigations en médecine Benerva, Seresta en réserve Taux de Keppra PERMIS A REEVALUER!! ainsi qu'encadrement à domicile (vit seul, CMS 1x/sem uniquement pour les médicaments) Labo ECG ECG Aux urgences: liquémine 5000 UI, Aspegic 500 mg antalgie 2 caps de nitroglycérine 0.8 mg, Pantozol 40 mg, Alucol 10 ml, morphine titrée ATT Coronarographie 14.01.2019: sténose significative de 1ère diagonale revascularisée par stent actif, fonction systolique du VG normale Labo ECG: FA rapide CT-cérébral avec vaisseaux pré-cérébraux: Avis Dr. X, neurologue de garde: ad dose de charge aspirine aux urgences puis poursuite per os; repos au lit ce jour puis mobilisation bord du lit avec physio le 17.01; bilan cardiologique avec ETT à organiser, bilan neuropsychologique également; début de semaine prochaine, IRM si possible, ou CT si trop agité, pour voir si possibilité d'introduire une anticoagulation; bilan lipidique et Hb glyquée demandée pour le 17.01 Labo ECG Rx thorax = pas de pneumothorax, pas de foyer infectieux Aérosol VENTOLIN 5 mg X3 sur une heure CAT: • Hospitalisation en médecine • Arrêt antibiothérapie • ECBC à prévoir si persistance des symptômes malgré antibiothérapie • Poursuite des aérosols à réévaluer en fonction de la clinique Labo ECG Urines: spot à pister ATT réhydratation Labo: • trop H0 18, H1 18, H3 18 • CK 287, CK-MB 22; contrôle CK 256, CK-MB 34 • D-dimères négatifs adaptés à l'âge ECG: rythme sinusal régulier, inversion des ondes T en V4-V6, pas d'altérations du segment ST, quelques extrasystoles ventriculaires score de Genève 3: risque faible avis cardiologique (Dr. X) US cardiaque (Dr. X): ventricule gauche dilaté, FEVG 35%, hypokinésie globale prédominante en apical avis soins intensifs (Dr. X): pas d'indication à une admission aux soins intensifs Attitude: • Aspegic 250 i.v, Héparine 5000 UI, Magnésium i.v • hospitalisation en médecine pour bilan cardiologique et surveillance, caveat patient isolé car hospitalisation à l'Insel • à jeun dès minuit pour coronarographie demain matin; Xarelto en suspens • ad IECA, diurétique À faire: • évaluer l'introduction d'un bêta-bloquant • pister le laboratoire du 03.01.2019 • pister frottis VRE Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax face et profil du 23.12.2018 (description en comparatif CT-Scan thoracique du 27.09.2018 par Dr. X, et Dr. X) : Aspect normal de la silhouette cardio-médiastinale. Léger déroulement de l'aorte. Hiles sans particularité. Absence d'épanchement pleural. Ventilation normale et symétrique des plages pulmonaires des deux côtés. Absence de consolidation pulmonaire. Tissus mous et structures osseuses sans particularité. Laboratoire : • Creatinine 115mmol/l / Fe urée : 42% (intrinsèque) / GFR 51ml/min/173m^2 selon MDRD / 64ml/min selon Cockroft ECG le 9.01.2019 : rythme sinusal régulier, défaut de progression du QRS dans les précordiales V1-3 (déjà connu en oct 2017) Ad captopril progressif : 6.25mg 3x/j dès le 9.01.2018 (puis doubler tous les jours selon tolérance, éventuellement stop torem) 12.5mg 3x/j dès le 10.01.2018 25mg 3x/j dès le 11.01.2018 Diminution du Torem à 2.5mg/j dès le 11.01.2018 Suite : contrôle biologique et clinique chez Dr. X le mardi 15.01.2019 à 14h Laboratoire : acide urique 493 umol/l, CRP 45 mg/l, leucocytes 14.9 G/l. Radiographie du genou gauche ap/lat/patella : volumineux épanchement intra-articulaire. Pas de fracture. Gonarthrose débutante avec ostéophytose du compartiment fémoro-patellaire. Tuméfaction des tissus mous. Aux urgences : Dafalgan 1 g, Voltarène 50 mg, Brufen 400 mg. Antalgie simple avec Naproxène 500 mg 2x/jour pendant 5 jours, Dafalgan. Colchicine 1 mg 1-0-0-0 pendant 5 jours. Contrôle chez le médecin traitant après 5 jours. Reconsultation si péjoration clinique avec fièvre/frissons, rougeur. Laboratoire : alcoolémie 4.12%, GGT 347 U/L, ASAT 64 U/L, PTT 45. CT-scan cérébral et cervical : pas de saignement intracrânien. Pas de fracture au niveau cérébral ni à l'étage cervical. Surveillance en salle d'observation sur la nuit. Retour à domicile. Laboratoire : aligné. Cf. annexes. Laboratoire : aligné. cf. annexes. Laboratoire : aligné (pas d'anémie, pas de perturbation de la crase). Cf. annexes. Laboratoire = anémie microcytaire à 45 g/l ECG KONAKION 10 mg IVD PANTOZOL 80 mg IVD puis relais pousse seringue électronique 8 mg/h Transfusion 2 culots globulaires Radiographie thoracique Discussion avec les filles de la patiente qui sont au clair sur l'intérêt de ne pas réaliser des investigations complémentaires invasives à la recherche d'une étiologie du saignement CAT : • Arrêt SINTROM • Arrêt IRFEN • Hospitalisation en médecine à Merriez pour carence de place sur Fribourg • Réévaluer l'intérêt d'une transfusion durant l'hospitalisation selon résultat formule sanguine et tolérance clinique • OGD et colonoscopie sans intérêt devant directive anticipée • Soins de confort si péjoration des symptômes Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé. US abdominal 09.01.2019 : les deux reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme pour l'âge du patient, sans dilatation pyélocalicielle. Plusieurs kystes corticaux des deux côtés, les plus volumineux du côté droit. La vessie en semi-réplétion présente des parois discrètement irrégulières avec un contenu d'environ 95 ml. Laboratoire : annexé. Bassin : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. Thorax : étalement des structures cardiovasculaires du médiastin en raison de la position couchée et d'une discrète obliquité vers la droite. Faible inspirium. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Pas de foyer pneumonique visible. Colonne lombaire : la hauteur des corps vertébraux est conservée sauf en L1, où l'on note un enfoncement du plateau supérieur de ce corps vertébral. Lombalisation de S1. Arthrose facettaire lombaire basse. Sacrum : angulation à la jonction sacro-coccygienne avec des bords corticalisés (ancienne fracture ?) CT colonne lombaire natif : fractures tassement plateau supérieur de L1 sans recul du mur postérieur. Angulation antérieure (variante de la norme) et déviation gauche du coccyx associée à une infiltration des tissus mous avec préservation de la corticale. IRM de la colonne lombaire native 17.01.2019 : aspect d'un tassement vertébral récent du plateau supérieur de L1 avec bombement du coin postéro-supérieur d'allure ostéoporotique, pas de signe de compression radiculaire ou médullaire par ailleurs. L'estimation de la perte de hauteur est approximativement à 50%. Laboratoire : annexé. Bladder scan : 175 ml. US du système urogénital le 20.12.2018 : les deux reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme avec des cavités pyélocalicielles discrètement visibles du côté gauche, mais pas de dilatation pyélocalicielle droite. La vessie est peu remplie mais présente des parois très irrégulières, compatibles avec une vessie de lutte avec également une image de polype d'environ 23 mm de diamètre. On constate que le ballonnet de la sonde vésicale n'est pas dans la vessie et se situe en contact avec la face inférieure de la prostate. Laboratoire : annexé. CT abdominal du 03.01.2019 : cholécystite multi-lithiasique sur enclavement de calculs au sein de l'infundibulum et du canal cystique avec aspect très infiltré de la graisse péri-vésiculaire. Multiples cholédocho-lithiases distales avec dilatation des voies biliaires intra-hépatiques et du cholédoque à 10 mm. Hypodensité focale de 20x20 mm du segment VII à corréler à un ultrason dd kyste? Nodule ?. Probable pancréas annulaire dd lobulation pancréatique ectopique para duodénale. ERCP du 07.01.2019, HFR Fribourg : extraction de 7 concréments cholédociens après papillotomie. Multiples concréments vésiculaires et suspicion de concrément dans le canal cystique. Petit saignement sur la papille interrompue par compression. OGD 11.01.2019, HFR Riaz, Dr. X : signes d'une hémorragie digestive haute récente (classification Forrest IIb avec des caillots de sang adhérents) à deux niveaux, premièrement à hauteur de la papille de Vater duodénale, deuxièmement dans la partie postérieure du fundus de l'estomac. Laboratoire : annexé. CT abdominal du 07.01.2019 : examen compatible avec une diverticulite marquée et probable perforation couverte. CT abdominal du 10.01.2019 : diverticulite aiguë sigmoïdienne en progression avec pneumopéritoine sur probable perforation sigmoïdienne abcédée. Laboratoire : annexé. CT abdominal du 21.12.2018 : infiltration graisse en regard du bord postéro-inférieur de la vésicule biliaire, pas de dilatation des voies biliaires. Rx thorax du 27.12.2018 : surélévation de la coupole diaphragmatique droite. Hypoventilation bi-basale avec bronchogramme aérique rétrocardiaque droit ouvrant le DD d'une progression d'atélectasie plus ou moins foyer par rapport au CT-Scan du 21.12.2018. Hypoventilation postéro-basale gauche. Pas de foyer parenchymateux aux apex pulmonaires. Cœur de volume dans la norme sans signe de décompensation. Élargissement du médiastin à droite sur obliquité du cliché.CT abdominal du 28.12.2018 : par rapport au comparatif du 21.12.2018, on retrouve des signes de cholécystite aiguë lithiasique avec également de possibles calculs dans le canal cystique, mais l'on constate également l'apparition d'une collection péri-vésiculaire en regard du segment V, suspecte pour un biliome sur perforation vésiculaire vs un abcès. IRM abdominale du 28.12.2018 : aspect d'une cholécystite aiguë lithiasique avec collection liquidienne et niveau liquidien au niveau du segment V de 4 cm de grand axe. Multiples calculs vésiculaires. Important œdème péri-vésiculaire. Calculs enclavés à la jonction du canal cystique et collet vésiculaire et au niveau du cystique. Laboratoire : annexé. CT cérébral natif 03.01.2019 : dans les limites de la norme. Pas de lésion post-traumatique aiguë décelable intra-cérébrale. Tuméfaction des parties molles frontales, avec de petites structures millimétriques denses, DD minimes corps étrangers. Laboratoire : annexé. CT cérébral natif 31.12.2018 : hématome sous-galéal frontal gauche. Pas de fracture du crâne ni de saignement cérébral. Lésion séquellaire frontale gauche. Laboratoire : annexé. CT cérébral/colonne cervicale du 05.01.2019 : CT cérébral dans la norme, sans lésion traumatique. Rx thorax du 05.01.2019 : normale, pas de lésion traumatique. Laboratoire : annexé. ECG : rythme sinusal régulier à 124/minute, bloc de branche droite incomplète, pas de signes d'ischémie active, pas d'ondes Q pathologiques. Rx thorax 26.12.2018 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable de façon bilatérale. IRM abdominale du 27.12.2018 : infiltration liquidienne de la graisse péri-pancréatique. Petite coulée liquidienne le long des fascias pré-rénaux ddc discrètement prédominante à droite. Coulée liquidienne le long de la gouttière pariéto-colique droite avec liquide libre en faible quantité dans le Douglas. Pas de collection systématisée visible. Status post-cholécystectomie. Ectasie des voies biliaires sans calcul intracanalaire visible. Pancréatite aiguë Balthazar D. Pas d'image de pseudokyste. Laboratoire : annexé. ECG du 30.12.2019 : pouls 41 bpm, PR 190 ms, QRS fins, pas de sus, sous-décalage, QTc 368 ms (bradycardie sinusale connue). Epaule gauche face/Neer le 31.12.2018 : fracture sous-capitale déplacée de l'humérus avec ascension de la diaphyse, engrainement des fragments. Remaniement ostéophytaire inférieur de la tête humérale. Irrégularité osseuse en regard du trochiter ne permettant pas d'exclure une petite fracture peu déplacée. Intégrité de la partie visible du gril costal. Epaule droite face/Neer le 31.12.2018 : remaniement arthrosique gléno-huméral inférieur modéré. Rapports articulaires gléno-huméraux conservés. Pas de lésion traumatique osseuse récente visible. IRM du neurocrâne natif et injectée le 03.01.2019 : dans les limites de la norme. Pas d'argument pour une lésion ischémique aiguë. Pas de lésion séquellaire d'AVC ischémique aigu (on ne retrouve plus la petite plage de restriction de la diffusion du gyrus frontal supérieur gauche sur l'examen actuel). US abdomen supérieur natif le 07.01.2019 : hémangiome de 2 cm du segment V, connu. Absence de pathologie décelable des voies biliaires. CT abdomen natif et injecté 08.01.2019 : probable hémangiome du segment IV hépatique. Présence de liquide dans la gouttière pariétocolique droite ainsi que dans le petit bassin à droite, aspécifique, sans signe véritablement inflammatoire du côlon et en particulier de l'angle colique droit. Pas de calcul radio-opaque au sein de la vésicule biliaire, pas de signe pour une cholécystite aiguë. Quelques calcifications de la queue du pancréas pouvant faire évoquer des séquelles de pancréatite chronique. OGD, Prof. X, le 15.01.2019 : petite hernie hiatale et reflux biliaire, sinon examen dans la norme. Pas d'évidence d'une hémorragie digestive haute active ou récente. Laboratoire : annexé. Hémocultures : négatives à 5 jours. Laboratoire : annexé. IRM cérébrale et de la colonne vertébrale du 09.01.2019 : pas de lésions cérébrales parenchymateuses. Condensation du plateau vertébral antéro-supérieur de D7. RX colonne dorsale face/profil : Par rapport à l'IRM de la veille, on ne visualise pas clairement de tassement au niveau D7, notamment en regard de l'œdème de moelle. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieur et postérieur. Lésion ronde avec fine capsule en projection de la base pulmonaire droite, partiellement visible, mesurant environ 10 cm de diamètre. CT thoracique du 10.01.2019 : l'image du poumon droit visualisée sur la radiographie du rachis dorsal du jour même correspond à une lésion kystique du lobe moyen avec des septas vascularisés et une fine capsule. US carotidiennes du 10.01.2019 : pas de lésion traumatique objectivée au niveau des vaisseaux précérébraux et à noter la découverte fortuite de multiples nodules thyroïdiens. Laboratoire : annexé. RX thorax du 20.01.2019 : aspect normal de la silhouette cardio-médiastinale. Pas d'épanchement pleural. Épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. US abdominal du 21.01.2019 : examen mettant en évidence une vésicule biliaire à parois modérément épaissies, contenant du sludge, sans calcul nettement discernable à l'intérieur, pouvant correspondre à une cholécystite aiguë débutante. Hépatosplénomégalie, mais pas de dilatation des voies biliaires objectivée, compte tenu de la qualité limitée de l'examen. CT abdominal du 21.01.2019 : aspect pouvant cadrer avec une cholécystite aiguë avec sludge vésiculaire. Laboratoire : annexé. RX thorax face : pas d'épanchement, pas de pneumothorax. Laboratoire : annexé. Sédiment urinaire : érythrocytes 11-20. CT abdominal natif 18.01.2019 : calcul radio-opaque à la jonction urétéro-vésicale gauche, associé à une discrète dilatation du système excréteur gauche. Légère infiltration de la graisse péri-rénale gauche, sans arguments pour une rupture du fornix. Deux nodules de 6 mm dans la LIG. D'après les recommandations de la Fleischner Society (2017), un suivi scanographique n'est recommandé que si le patient est à haut risque de cancer pulmonaire. Laboratoire : annexé. US abdominal 03.01.2019 : foie de surcharge stéatosique. Appendice non visible. L'interprétation reste par ailleurs difficile en rapport avec des contraintes techniques. CT abdominal du 03.01.2019 : pas d'image pathognomonique pour une APP ni d'autre cause objectivée aux douleurs abdominales de la patiente. IRM du pelvis natif et injectée 04.01.2019 : pas d'argument pour une endométriose sur cet examen. IRM des organes pelviens dans les limites de la norme. Rx genou droit le 04.01.2019 : contenu calcique, structures osseuses, rapports articulaires du genou conservés, sans lésion traumatique, dégénérative visible. Pas d'épanchement intra-articulaire. En défilé fémoro-patellaire, les rotules sont centrées, sans lésion. Laboratoire : annexé. US abdominal 13.01.2019 : examen compatible avec une appendicite aiguë (appendice en position classique en fosse iliaque droite). Forte infiltration de la graisse péri-appendiculaire. Petite lame de liquide péri-appendiculaire ainsi que dans le cul-de-sac recto-vaginal. Laboratoire : annexé. ASP du 11.01.2019 : répartition physiologique du gaz intestinal, pas de dilatation des anses intestinales. Pas de coprostase significative. Discrète attitude scoliotique sinitroconvexe de la colonne lombaire. Pas d'air sous les coupoles diaphragmatiques.CT abdominal du 11.01.2019 : examen mettant en évidence une appendicite non compliquée. Antérolisthésis L5-S1 sur lyse isthmique bilatérale. Laboratoire : annexé. Colonne cervicale face/profil/axiale 12.01.2019 : examen de qualité limitée, seuls les 5 premiers corps vertébraux étant analysables. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis cervical déjà avancées avec une importante arthrose des facettes articulaires postérieures. Le cliché transbuccal est difficilement interprétable, mais l'on visualise une solution de continuité au niveau de la base de la dent ainsi qu'une subluxation atlanto-axoïdienne, suspecte pour une fracture de l'apophyse odontoïde. CT colonne cervicale natif et cérébral natif le 12.01.2019 : fracture de la base de la dens de C2 classée Anderson-Alonso type III. Pas de lésion traumatique cranio-encéphalique. Laboratoire : annexé. Coprocultures : PCR toxines négative. Recherche clostridium difficile : négative. Laboratoire : annexé. CT abdomen natif et injecté 04.01.2019 : aspect d'une appendicite rétrocaecale de 16 mm, siège de stercolithe avec lame de liquide au niveau du péritoine. Laboratoire : annexé. CT abdominal du 01.01.2019 : duodénite segmentaire de la partie horizontale du duodénum sans signe d'abcédation. Pour le reste, on note une diminution de l'adénopathie se situant entre le duodénum et la tête du pancréas. Absence d'occlusion intestinale. Anastomose colo-anale après résection antérieure basse inchangée. Stase stercorale colique en amont de l'anastomose colique pelvienne. Laboratoire : annexé. CT abdominal du 21.01.2019 : aspect d'une caecite inflammatoire avec des ganglions inflammatoires, l'appendice paraît d'aspect normal. Laboratoire : annexé. CT abdominal du 21.12.2018 : infiltration graisse en regard du bord postéro-inférieur de la vésicule biliaire, pas de dilatation des voies biliaires. Rx thorax du 27.12.2018 : surélévation de la coupole diaphragmatique droite. Hypoventilation bi-basale avec bronchogramme aérique rétrocardiaque droit ouvrant le DD d'une progression d'atélectasie plus ou moins foyer par rapport au ct-scanner du 21.12.2018. Hypoventilation postéro-basale gauche. Pas de foyer parenchymateux aux apex pulmonaires. Cœur de volume dans la norme sans signe de décompensation. Élargissement du médiastin à droite sur obliquité du cliché. CT abdominal du 28.12.2018 : par rapport au comparatif du 21.12.2018, on retrouve des signes de cholécystite aiguë lithiasique avec également de possibles calculs dans le canal cystique, mais l'on constate également l'apparition d'une collection péri-vésiculaire en regard du segment V, suspecte pour un biliome sur perforation vésiculaire vs un abcès. IRM abdominale du 28.12.2018 : aspect d'une cholécystite aiguë lithiasique avec collection liquidienne et niveau liquidien au niveau du segment V de 4 cm de grand axe. Multiples calculs vésiculaires. Important œdème péri-vésiculaire. Calculs enclavés à la jonction du canal cystique et du collet vésiculaire et au niveau du cystique. Laboratoire : annexé. CT abdominal du 29.12.2018 : pancréatite focale Balthazar D. US abdominal du 30.12.2018 : pas de cholécystolithiases. Laboratoire : annexé. CT abdominal natif et injecté 14.01.2019 : aspect d'une sigmoïdite diverticulaire non compliquée. Laboratoire : annexé. CT cérébral natif du 07.01.2019 : dans la norme, sans lésion traumatique. Laboratoire : annexé. ECG du 23.01.2019 : RSR à 68/min, axe dans la norme, morphologie et durée du P dans la norme, Intervalle PQ dans la norme, QRS fin à 80 ms, pas d'onde Q pathologique, aspect rS en III, pas de sus/sous décalage du segment ST, onde T négative en V1, QTc dans la norme. Laboratoire : annexé. Rx abdominal du 03.01.2019 : importante coprostase essentiellement colique droite et colique transverse. Importante distorsion du côlon droit. Multiples phlébolithes pelviens bilatéraux. CT abdominal du 04.01.2019 : aspect d'une lésion tumorale circonférentielle du segment proximal du côlon sigmoïde avec adénopathies d'allure métastatique, satellites et importante dilatation colique. Lésion solitaire du segment VI du foie prenant le contraste intensément en temps artériel pouvant cadrer avec une malformation vasculaire, à mieux caractériser par IRM à distance. Laboratoire : annexé. Sédiment urinaire : négatif. Radiographie de la colonne lombaire : pas de fracture visualisée. Cunéisation de la vertèbre L3. RX thorax : pas de fracture costale visualisée. CT colonne lombaire natif : pas de tassement récent mis en évidence, notamment au niveau de L3. Laboratoire : annexé. US abdomen complet natif : cholécystolithiase d'environ 16 mm de diamètre dans l'infundibulum. Épaississement modéré des parois de la vésicule biliaire (maximum 5 mm). La vésicule contient également un peu de sludge. Pas de dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques. Laboratoire : annexé. US abdomen 05.01.2019 : argument échographique en faveur d'une appendicite aiguë non compliquée (pas de liquide libre). Laboratoire : annexé. US de la vessie du 14.01.2019 : discrète irrégularité de la vessie, possiblement en rapport avec le statut post-RTUV. Une structure d'environ 15 mm de plus grand diamètre dans le fond de la vessie, se déplaçant lors de la mise en décubitus latéral, pouvant correspondre à un caillot. Laboratoire : annexé. US vésical du 22.01.2019 : volumineux hématome intravésical, encaillant le ballonnet de la sonde vésicale avec également début de globe vésical. Laboratoire : anti-Xa 213 ng/ml, Hb 102 g/l. Rx lombaire ap/lat : pas de fracture. Rx bassin : pas de fracture. CT abdominal injecté (Dr. X, rapport téléphonique) : hématome dans tissus mous cutanés paravertébral gauche (140x53x113 mm), après injection saignement actif artériel (vaisseau lombaire, difficilement visualisable). Avis chirurgical (Dr. X) : saignement peu important, reste local, ne nécessite pas de Beriplex. Aux urgences : Voltarène 50 mg, Dafalgan 2x1 g, Morphine 6 mg i.v. Hospitalisation en chirurgie à visée surtout antalgique. Mise en suspens du Xarelto. Suivi de l'hémoglobine. Bottes anti-thrombotiques. Antalgie par Dafalgan, Brufen, Novalgine, Tramal. Mme. Y aurait rendez-vous en cardiologie le 15.01.2019. Merci d'appeler le secrétariat de cardiologie pour vérifier. Laboratoire : ASAT 306 U/l, ALAT 296 U/l, Hépatites A, B, C, D, E, HIV, CMV, EBV négatif. US hépatique le 25.01.2019 : pas de thrombose porte. Prednisone (1 mg/kg) 70 mg/j du 25.01 au 27.01.2019 puis 30 mg/j à partir du 28.01.2019. Laboratoire : bilirubine totale 55.4 umol/L, albumine 37.3 g/L, INR 1.6. Absence d'ascite et d'encéphalopathie. Laboratoire : BNP 2475 ng/l, 2 trains troponines négatifs. Anticoagulation : 5 mg Eliquis 2x/j. Lasix IV puis per os. Traitement de Digoxine instauré dans un premier temps puis arrêté au vu de la FEVG conservée le 04.01.2019. Introduction de Bilol, Lisinopril et diurétiques IV puis per os. ETT du 04.01.2019 : fonction systolique normale du VG (65%), oreillette gauche très dilatée, pas de valvulopathie significative. Laboratoire : BNP 7595 ng/L. Radiographie de thorax du 07.01.2019 : infiltrats interstitiels ddc globalement inchangés par rapport au comparatif, une composante de surcharge n'est pas exclue. Aspect émoussé des récessus costo-diaphragmatiques ddc. Lasix du 14.01 au 20.01.2019, passage au Torem dès le 21.01.2019. Métolazone du 18.01 au 21.01.2019. Attitude : • suivi du poids et de la volémie, poids sec : 93-94 kg. • poursuite traitement anticoagulant malgré un épisode de saignement cutané au vu d'un seul épisode et de l'absence d'autres épisodes d'extériorisation et d'une hémoglobine stable.Laboratoire : B12 : 308 pg/ml ; B9 : 3.8 ng/ml, TSH : 3.450 mU/L, Ferritine : 75 microgrammes/L Attitude : • substitution en acide folique pour 3 mois Laboratoire : cf. annexe. ECG : rythme sinusal régulier à 69/min, axe gauche, bloc atrio-ventriculaire du premier degré, image de bloc de branche droit incomplet, inversion onde T de V1-V4 connus. Radiographie du thorax du 28.12.2018 : aspect superposable de la cardiomégalie sans flou péri-hilaire ni péri-broncho-vasculaire évoquant une décompensation ou une surcharge cardiaque. Discrète péjoration de l'épanchement pleural bilatéral prédominant du côté droit. Les deux plages pulmonaires sont superposables à l'examen précédent. Apparition d'opacités pulmonaires bilatérales mal délimitées, à corréler éventuellement à un CT thoracique. Radiographie du thorax 04.01.2019 : silhouette cardio-médiastinale identique au comparatif avec cardiomégalie globale. Athéromatose sévère de l'arc aortique et avec déplacement de la trachée distale à droite. Légère augmentation d'un épanchement pleural bi-basal, prédominant à droite. Augmentation de la trame pulmonaire avec épaississement bronchique des deux côtés, compatible avec un tableau de BPCO exacerbée. Absence de foyer constitué. Reste de l'examen superposable au comparatif. Laboratoire : cf annexe CT abdominal le 12.01.2019 : pancréatite Balthazar E avec coulées nécrotiques pariéto-coliques bilatérales, probable perforation duodénale, cholangite réactionnelle. CT abdominal le 14.01.2019 : Apparition d'épanchements pleuraux des deux côtés, avec atélectasie bi-basale. Diminution des coulées de nécrose péri-pancréatique, en rapport avec la pancréatite aiguë, sans signe de collection. Disparition du pneumopéritoine, en rapport avec la perforation duodénale. Diminution des sites de cholangite, avec néanmoins persistance d'une dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. CT thoraco-abdominal du 21.01.2019 : Signes de surcharge hydrique avec épanchements pleuraux bilatéraux de grande abondance, surcharge pulmonaire avec infiltrat interstitiel diffus et infiltration des tissus mous. Probable foyer pulmonaire surinfecté sur atélectasie passive des lobes inférieurs. Majoration des coulées de nécrose péri-pancréatique avec une collection autour de la queue du pancréas, présentant des signes d'inflammation en périphérie (surinfection ?). Aspect mal limité des contours du canal anal. Coulée de nécrose dans la racine du mésentère et le long du fascia para-rénal sans signe de surinfection. Vésicule biliaire multi-lithiasique sans signe de cholécystite. Dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques, stable par rapport au comparatif. Pas de zone de nécrose pancréatique. Laboratoire : cf annexe CT cérébral le 22.01.2019 : Hémorragie intra-parenchymateuse sous-corticale frontale gauche de 5 mm. Hémorragies sous-arachnoïdiennes frontales gauches à proximité ainsi que para-falcorielle gauche avec discret passage sous-falcoriel droit. Hématome sous-cutané supra-orbitaire droit avec quelques bulles d'emphysème. Pas de fracture des os du crâne et du massif facial. CT cérébral le 23.01.2019 : Stabilité des hémorragies sous-arachnoïdiennes et des contusions hémorragiques corticales de la région frontale pré-centrale gauche, absence de nouveau saignement à distance. Absence de collection péri-cérébrale. Élargissement diffus des ventricules et des sillons corticaux en rapport avec une atrophie cortico-sous-corticale stable. Lésion séquellaire corticale frontale droite. Les structures médianes sont en place. Le reste est inchangé. Laboratoire : cf. annexe. ECG : rythme sinusal régulier à 95/min, axe hypergauche, bloc atrio-ventriculaire du 1er degré, hémibloc antérieur gauche, pas de troubles de la repolarisation. Radiographie de thorax du 07.01.2019 : signe de surcharge, émoussement des récessus bilatéraux. CT thoraco-abdominal le 07.01.2019 : multiples signes de décompensation cardiaque avec anasarque. Pas d'embolie pulmonaire, ni de lésion tumorale mise en évidence. Absence de foyer infectieux. ETT le 10.01.2019 : discrète dilatation du ventricule gauche avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 25 % (évaluation visuelle). Hypertrophie excentrique. Franche diminution du débit cardiaque calculé à 1,94 l/min avec un index cardiaque à 1,04 l/min/m² (46 % de la théorique). Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Surface aortique à 2,09 cm² (1,12 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Insuffisance mitrale moyenne (grade 3/4) fonctionnelle. SOR de l'IM à 0,31 cm². Oreillette gauche très dilatée. Fonction systolique du ventricule droit modérément altérée. Discrète dilatation de l'oreillette droite. HTAP modérée (PAPs à 48 mmHg). Insuffisance tricuspide importante (grade 4/4). Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. US abdominal le 14.01.2019 : examen compatible avec un foie de stase, avec signes de décompensation cardiaque droite et possible régurgitation tricuspidienne. Pas d'arguments pour une thrombose porte ou pour une autre complication au niveau hépatique, sous réserve d'un examen sous-optimal pour les raisons précitées. Pas d'anomalie des voies biliaires. On retrouve une ascite des 4 quadrants. Le reste de l'examen est superposable. Laboratoire : cf annexe ECG : rythme sinusal régulier normocarde à 92/min, axe QRS normal, pas d'élévation ST, sous-décalages du segment ST limite de 1 mm en inférolatéral, pas d'inversion de l'onde T. Radiographie thorax Laboratoire : cf. annexe. ECG le 10.01.2019 : tachycardie supraventriculaire régulière à 130/min, onde P non visible, axe hypergauche, pas de bloc de branche, sous-décalage du segment ST non significatif de V3 à V6 connus. ECG le 10.01.2019 : rythme sinusal régulier à 75/min, axe hypergauche, bloc atrio-ventriculaire du premier degré, pas de bloc de branche, sous-décalage du segment ST non significatif de V3 à V6 connus. Radiographie de thorax du 10.01.2019 : émoussement des récessus costo-diaphragmatiques des deux côtés, pas de foyer. Laboratoire : cf. annexe ETT le 15.01.2019 : • Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. • Présence d'une homogreffe en position aortique non sténosante mais fuyante. Le gradient moyen VG-aorte est de 3 mmHg. • Absence d'insuffisance mitrale. • Oreillette gauche non dilatée. • Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). • Minime épanchement péricardique circonférentiel avec bonne tolérance hémodynamique. Commentaire : l'examen du jour montre un minime épanchement péricardique circonférentiel avec bonne tolérance hémodynamique. Présence d'un épaississement du feuillet mitral antérieur. Ad ETO pour une meilleure visualisation de la valve mitrale à la recherche d'une endocardite. ETO le 15.01.2019 : • Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. • Aorte normale. Présence d'une homogreffe (Ross) en position aortique non sténosante mais fuyante avec une cinétique normale. La fuite est intra-prothétique avec un jet unique. Insuffisance aortique minime (grade 1/4).Valve mitrale normale. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. • Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Valve pulmonaire normale. Minime épanchement péricardique localisé antérieur, postérieur et en regard du ventricule droit. Bonne tolérance hémodynamique. L'examen du jour montre un bon fonctionnement de la plastie aortique. Il y a un strand visible sans argument pour une végétation. Il persiste une minime insuffisance centrale déjà visualisée sur les examens précédents. Il n'y a pas d'argument en faveur d'une endocardite au niveau mitral. ETT de contrôle le 18.01.2019 : • Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65% (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. • Présence d'une homogreffe en position aortique non sténosante mais fuyante. Le gradient moyen VG-aorte est de 3 mmHg. Insuffisance aortique minime, para-valvulaire (grade 1/3). • Excès tissulaire léger des 2 feuillets mitraux. Absence d'insuffisance mitrale. • Oreillette gauche non dilatée. • Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du VD est normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). • Minime épanchement péricardique circonférentiel. Bonne tolérance hémodynamique. Pas de variation respiratoire significative du flux mitral ni tricuspidien. Laboratoire : cf. annexe Radiographie de thorax le 23.01.2019 : silhouette cardio-médiastinale de morphologie normale. Pas de signe de décompensation cardiaque. Le parenchyme pulmonaire se présente normalement. Pas d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax. Anciennes fractures costales de l'arc latéral de la 4ème et 5ème côte à droite, consolidées. Pas de fracture d'aspect récent décelée. Radiographie d'épaule droite le 23.01.2019 : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Radiographies de bassin et hanches le 23.01.2019 : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Calcifications vasculaires. CT cérébral le 23.01.2019 : absence d'hémorragie intracrânienne. Pas de fracture. Laboratoire : cf. annexe. • Radiographie du pied 10.12.2018 : absence d'évidente érosion osseuse du métatarse du 1er rayon. La phalange proximale de ce même rayon est difficilement analysable mais, sur l'incidence oblique, pas d'évidente érosion mise en évidence. Tuméfaction des tissus mous le long de ce 1er rayon. Le reste de l'examen est superposable au comparatif. • Radiographie du thorax 11.12.2018 : pas de fracture, pas d'épanchement, pas de foyer. • US cheville et pied gauche du 11.12.2018 : épaississement avec infiltration liquidienne sous-cutanée de la plante du pied gauche, en regard de la plaie au niveau des têtes métatarsiennes des 1er et 2ème rayons, compatible avec une dermo-hypodermite. Pas de collection mise en évidence. • Artériographie des membres inférieurs le 12.12.2018 (Dr. X) : angioplastie au moyen d'un ballon 5 x 20 puis 5 x 150 de tout l'axe fémoral superficiel. Le résultat angiographique montre une nette amélioration avec toutefois des sténoses persistantes raison pour laquelle nous utilisons un ballon 6 x 40 avec de multiples angioplasties pluri-étagées notamment intra-stents. Le résultat final montre une nette amélioration avec une levée des sténoses fémoro-poplitées. La vascularisation du pied montre un flux plus rapide post-angioplastie. • IRM pied 21.12.2018 : comme l'œdème osseux est situé en-dessous d'une plaie cutanée, l'examen évoque une ostéomyélite de la tête, de la partie distale du 1er métatarsien. Le discret œdème de part et d'autre de l'articulation inter-phalangienne distale à ce niveau n'est pas spécifique mais peut entrer dans le cadre d'altérations dégénératives (DD : arthrite). • Biopsie métatarse 1, phalange 1, orteil 1, pied gauche : épaississement focal de lamelles osseuses de l'os lamellaire secondaire et moelle adipeuse avec rares foyers lipogranulomateux. Sur ce matériel, pas de nécrise affirmative, pas d'inflammation significative, pas de micro-organisme (Gram-), pas d'abcès, pas de granulome, pas de tissu néoplasique mis en évidence. Laboratoire : cf. annexe. Sans leucocytose, CRP à 8mg/l, pas de perturbation des tests hépato-pancréatiques. Laboratoire : cf. annexe. Sédiment urinaire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Co-Amoxicilline 625 mg 2x/jour pendant 7 jours avec 1ère dose de charge per os de 1g. Contrôle par le médecin du home à 3 jours. Laboratoire : cf. annexe. Urocultures : flore mixte 10*4. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexe. ASP du 10.01.19 : dilatation du cadre colique à gauche (6,5 cm) et du grêle dans le flanc gauche (4,5 cm). Le reste du status est superposable au comparatif. IRM cérébrale du 21.01.19 : • Pas d'argument en faveur d'une arachnoïdite, pas de prise de contraste pathologique de l'encéphale. • Lésion séquellaire frontale droite. Leucoaraïose Fazekas 1. Laboratoire : cf. annexe. Bilan angiologique le 21.01.2019 : TVP secondaire : • distale musculaire du membre inférieur droit sur 4 cm, à la jonction des veines péronières • jugulaire interne gauche post VVC Laboratoire : cf. annexe. Bilan angiologique 08.01.19 : absence de TVP ou de TVS du MID. Absence de collection visualisée au niveau de la jambe droite, mais plutôt une infiltration très diffuse. US membre inférieur 08.01.19 : dermohypodermite du versant antérieur de la jambe droite sans collection ou abcès visible. Perméabilité du réseau vasculaire veineux. IRM jambe droite 10.01.19 : infiltration œdémateuse des tissus graisseux sous-cutanés de la jambe droite prédominant en pré-tibial, sans mise en évidence d'abcès ni argument en faveur d'une ostéomyélite. CT thoraco-abdominale 16.01.19 : pas de lésion tumorale sur cet examen thoraco-abdominal. Laboratoire : cf. annexe. Coronarographie du 10.01.2019 : la fraction d'éjection du ventricule gauche est dans les limites de la normale (58%). La ventriculographie gauche montre une hypokinésie modérée apicale. Lésions tritronculaires. Absence de resténose de l'artère interventriculaire antérieure proximale au niveau du site d'implantation du stent nu. Resténose intermédiaire de l'artère interventriculaire antérieure moyenne au niveau du site d'implantation du stent nu. Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Sténose significative de la partie distale de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Occlusion de l'artère circonflexe proximale. Resténose significative chronique de l'artère coronaire droite proximale au niveau du site d'implantation du stent nu. Absence de resténose significative de l'artère coronaire droite moyenne au niveau du site d'implantation du stent nu. Sténose significative de l'artère interventriculaire postérieure. Succès d'angioplastie de l'artère coronaire droite proximale avec implantation de 1 stent actif. ETT du 10.01.2018 : ventricule gauche non dilaté avec une akinésie de la paroi apicale et une hypokinésie modérée des parois septale antérieure, latérale moyenne, latéro-basale, antérieure moyenne et antéro-basale. FEVG à 55-60 % (évaluation visuelle). Visuellement hypertrophie. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Insuffisance aortique minime. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale légère à modérée (1-2/3). Élévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche très dilatée. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. PAPs à 36 mmHg. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide légère. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique.Laboratoire : cf annexe Coronarographie en urgence le 12.01.2019 (Dr. X) : ballonisation apicale (DD : Tako-Tsubo/Phéochromocytome) avec dysfonction modérément sévère, EF 35%, sclérose coronarienne non significative, hypertension artérielle pulmonaire (secondaire) CT thoracique le 12.01.2019 : pas d'embolie pulmonaire. Signes d'insuffisance cardiaque avec surcharge. Status post vertébroplastie de D10 et L1 d'aspect superposable. Cunéiformisation de D12-L2 sans nette progression. Hernie hiatale par roulement. ETT le 14.01.2019 : • ventricule gauche non dilaté avec une akinésie de la paroi apicale, du septum moyen, de la paroi latérale moyenne, de la paroi septale antérieure moyenne et de la paroi postérieure moyenne. La fonction systolique globale est modérément diminuée. FEVG à 35% (évaluation visuelle). Bourrelet septal sous-aortique. • aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 7 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. • épaississement des 2 feuillets mitraux. Insuffisance mitrale légère. • oreillette gauche non dilatée. • oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/3). • hypertension pulmonaire avec PAPs estimée à 49 mmHg. • absence d'épanchement péricardique. Commentaire : la fonction systolique globale est modérément diminuée avec une akinésie prédominant en apical. Ballonisation apicale du ventricule gauche. Hypertension pulmonaire avec PAPs estimée à 49 mmHg. Optimisation du traitement médicamenteux : ad carvedilol 12.5 mg, lisinopril 5 mg, anticoagulation thérapeutique. ETT de contrôle dans 4 semaines. Laboratoire : cf annexe Coronarographie le 27.12.2018 (Dr. X) : l'examen invasif du jour confirme une dysfonction VG systolique modérée avec hypokinésie apicale. Coronarographie normale mais avec IVA de gros calibre et flux coronarien initialement TIMI2. Le DD se pose entre une myocardite (renforcé par un BBD intermittent), des vasospasmes et une embolisation dans l'IVA. À ce titre et au vu d'un voyage long depuis la Sicile, j'ai effectué un cathétérisme cardiaque droit avec recherche d'un FOP (fermé). Une cause éthyltoxique ou médicamenteuse est exclue à l'anamnèse. Au vu de l'âge et du manque de trigger, un Tako-Tsubo est aussi peu probable. Suivi rythmique, FSC (inflammation, éosinophiles ?), Na/K, créatiniémie, CRP, etc. Monitoring des indices inflammatoires et enzymatiques cardiaques (troponine/CK-MB). Carence en sport pour 3 mois. ETT le 27.12.2018 : la fonction systolique globale du VG est conservée avec une FEVG estimée à 50-55%. Présence d'une hypokinésie légère du septum apical, de la paroi latéro-apicale, de la paroi latérale moyenne et de la paroi septale antérieure moyenne. (DD : myo-péricardite, spasme IVA, embolisation IVA). Ad AINS selon douleurs et monitoring aux SI en fonction de la cinétique des troponines. Laboratoire : cf annexe CT cérébral du 04.01.19 : absence d'hémorragie intracrânienne ou de fracture. Laboratoire : cf. annexe. CT cérébral et vaisseaux pré-cérébraux injecté le 26.12.2018 : asymétrie de perfusion centimétrique en région frontale gauche avec une augmentation du MTT, une diminution du CBF, sans anomalie du CBV, faisant suspecter une lésion ischémique, à corréler à une IRM. Anévrisme de l'artère communicante antérieure mesurant 5 x 2 mm et anévrisme en distalité de l'artère carotide interne gauche mesurant 3 x 2 mm. Absence de sténose significative des vaisseaux pré-cérébraux. IRM cérébrale le 27.12.2018 : absence de lésion ischémique aiguë ou hémorragique. Polygone de Willis perméable. Anévrisme de l'artère communicante antérieure de 5 x 2 mm. Atrophie cortico-sous-corticale modérée et leucoaraïose. Echocardiographie transthoracique le 27.12.2018 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Fonction diastolique normale pour l'âge. Sigmoïdes aortiques modérément remaniées. Sclérose aortique, d'ouverture conservée. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Insuffisance aortique légère. Valve mitrale d'ouverture normale. Insuffisance mitrale légère. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide légère. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Veine cave inférieure se collapse en inspiration en faveur d'une hypovolémie. Absence d'épanchement péricardique. Pas de thrombus apical visualisé dans le ventricule gauche. Laboratoire : cf annexe CT cérébral natif et injecté le 07.01.18 : atrophie cérébrale en lien avec l'âge de la patiente et leucoaraïose. Absence de lésion traumatique, pas de saignement intracrânien ou de fracture. Calcification de 7 mm dans l'angle ponto-cérébelleux droit (méningiome calcifié ?). Rx Thorax de face en incidence AP en position couchée. Aspect agrandi de la silhouette cardiaque sous réserve d'une incidence antéro-postérieure. Redistribution vasculaire en lien avec la position couchée mais aspect de flou péri-hilaire et infiltrats alvéolaires bilatéraux en faveur d'une surcharge. Possibles troubles ventilatoires surajoutés dans le rétrocarde. Cadre osseux et tissus mous sans particularités. Laboratoire : cf annexe CT thoracique du 04.01.2019 : (comparatif du 24 octobre 2018). Apparition d'un épaississement bronchique diffus, avec quelques comblements des deux côtés, et des petites opacités dans le segment médio-basal du LID et le segment postéro-basal du LIG, compatibles avec des foyers de bronchopneumonie débutante. Le reste de l'examen est superposable au précédent, sans signe de pneumopathie liée à l'immunothérapie. Status post-résection des lobes supérieurs avec un hydro-fibrothorax persistant en apex droit, inchangé. Pas de changement de l'important emphysème pulmonaire, ainsi que de la dystélectasie en bande d'allure cicatricielle longeant le lobe inférieur droit. Petite opacité sous-pleurale dans le segment antéro-basal du lobe inférieur gauche superposable au comparatif. Les structures cardio-vasculaires sont superposables. Pas d'embolie pulmonaire mise en évidence. Lame d'épanchement péricardique de 9 mm au niveau de l'apex. Pas de changement des nombreux ganglions infracentimétriques médiastinaux, ou de l'adénopathie para-œsophagienne gauche. Les structures passant par l'étage abdominal sont superposables, sans particularité. Le cadre osseux est inchangé, sans lésion suspecte. Laboratoire : cf. annexe. CT thoracique le 03.01.2019 : en comparaison à l'examen de novembre 2018 : apparition d'une hypodensité dans le processus unciné du pancréas (lésion tumorale de la tête du pancréas ?) avec nette augmentation de la dilatation des voies biliaires intra- et extrahépatiques. Atrophie quasi complète du pancréas avec tête et queue encore en partie distinguables. Pas d'évidente métastase hépatique. Apparition d'une masse spontanément dense supracentimétrique au sein du colon ascendant et dans le muscle rectus abdominis à gauche, ouvrant le DD entre des hématomes spontanés (TP<10) et des lésions tumorales. Pas de saignement actif visualisé. Coprostase colique. Pas d'iléus.Laboratoire : cf annexe CT-scan cérébral avec cartes de perfusion, 17.01.2019 : pas de lésion ischémique. CT-scan cérébral 6 heures après la lyse : hémorragie intracérébrale temporo-pariétale droite avec œdème péri-lésionnel et hémorragie sous-arachnoïdienne péri-lésionnelle ; discret effet de masse sur le système ventriculaire droit, sans dérivation de la ligne médiane, sans signe d'engagement. Laboratoire : cf annexe CT-scan cérébral injecté avec vaisseaux pré-cérébraux, le 11.01.2019 : pas d'AVC hémorragique ou ischémique constitué ; atrophie cortico-sous-corticale diffuse. Sinusite maxillaire droite. Anévrisme de l'aorte ascendante distale de 42 mm. Rx jambe gauche : pas de lésion osseuse. Laboratoire : cf. annexe. ECG : axe hypergauche, rythme sinusal régulier à 94/min, pas de bloc atrio-ventriculaire, image de bloc de branche gauche incomplet connu. Laboratoire : cf. annexe. ECG : irrégulier, normocarde, QRS fins, bloc de branche droit incomplet, hémibloc antérieur gauche, sous-décalage V1-V5, ondes T négatives en V1 (superposable au comparatif). Radiographie de thorax le 07.01.2019 : comme sur le comparatif, on retrouve un élargissement de la silhouette cardio-médiastinale aspécifique, pouvant être en rapport avec la position. On retrouve des infiltrats interstitiels ddc globalement inchangés par rapport au comparatif, probablement en rapport avec la fibrose dans le contexte de l'asbestose. Une composante de surcharge n'est pas exclue. Importantes plaques pleurales calcifiées ddc. On retrouve un aspect émoussé des récessus costo-diaphragmatiques ddc. Le reste du statut est superposable. Scintigraphie pulmonaire le 08.01.2019 : absence d'image scintigraphique nette en faveur d'une embolie pulmonaire. Aspect très hétérogène des poumons dans les deux phases de l'examen, en relation très probablement avec la fibrose connue. Absence de signe indirect d'hypertension pulmonaire. CT thoracique natif du 11.01.2019 : en comparaison à l'examen de 2013, augmentation des calcifications des plèvres pariétales et viscérales des deux côtés avec léger épanchement pleural entre les deux. Discrète augmentation des remaniements interstitiels pulmonaires. Pas de masse pulmonaire nouvellement apparue. Augmentation de taille des artères pulmonaires des deux côtés, évoquant une hypertension pulmonaire artérielle. Laboratoire : cf. annexe ECG : rythme irrégulièrement irrégulier à 61/min, axe hypergauche à -60°, pas de bloc atrioventriculaire, hémibloc antérieur gauche, image de bloc de branche droit incomplet, transition de l'onde R en V3, inversion ondes T en V1-V3 et aVL connues. Pose de MitraClip le 14.01.2019 : comme convenu avec Mr. Y, nous avons procédé à un clipping mitral avec un bon résultat. Après une ponction en position supérieure du dispositif Atriasept, nous avons dilaté le septum et après introduit le MitraClip. Après plusieurs captures, finalement nous constatons une nette réduction de l'insuffisance (réduction importante de la pression dans l'oreillette gauche). Echocardiographie transthoracique le 14.01.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Aorte non dilatée, modérément calcifiée. Valve aortique normale. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Ballonisation du feuillet mitral antérieur. Absence de rétrécissement mitral. Gradient moyen OG-VG à 2 mmHg. Insuffisance mitrale importante (grade 4/4). SOR de l'IM à 0,5 cm². Oreillette gauche très dilatée, sans thrombus visible. Absence de thrombus visible au niveau de l'auricule gauche. Dilatation importante du ventricule droit. Dilatation importante des cavités droites. Insuffisance tricuspide importante (grade 4/4) par dilatation de l'anneau avec défaut de coaptation. Prothèse ATRIASEPT II de 30 mm en place au niveau du septum interauriculaire. Absence d'épanchement péricardique. Echocardiographie transthoracique ciblée le 14.01.2019 : absence d'épanchement péricardique. MitraClip en place. IM 1-2/3. FEVG conservée 65 %. Echocardiographie le 15.01.2019 : examen ciblé post-pose de MitraClip : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Sclérose aortique. Gradient moyen VG-Ao à 7 mmHg. Insuffisance aortique légère (grade 1/3), avec un jet central. MitraClip mitral en place, légèrement fuyant mais non sténosant. Insuffisance mitrale légère à modérée (grade 1-2/3). Gradient moyen OG-VG à 3 mmHg. Oreillette gauche très dilatée. Dilatation modérée des cavités droites. Insuffisance tricuspide moyenne (grade 3/3). Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf. annexe. ECG : rythme irrégulièrement irrégulier à 98/min, axe gauche, pas de bloc de branche, sous-décalage du segment ST en V4-V5-V6 non significatif connu, pas de troubles de la repolarisation. Radiographie de thorax du 08.01.2019 : infiltrat alvéolaire basal antérieur droit effaçant la coupole diaphragmatique droite antérieure sur l'incidence de profil et dont l'aspect évoque un foyer de pneumonie. Troubles ventilatoires également dans le rétrocarde. Sur l'incidence de profil, stabilité d'une formation nodulaire de 2.2 cm en surprojection de la silhouette cardiaque. Silhouette cardiaque à la limite supérieure de la norme. Cadre osseux inchangé. Laboratoire : cf annexe ECG : sus-décalage en antérieur V2V3V4 Coronarographie du 19.01.2019 : STEMI antérieur subaiguë corrélée à l'occlusion de l'IVA moyenne. Il existe également des sténoses de la branche marginale et de la Cx moyenne. La fonction VG est sévèrement limitée avec une akinésie antéro-apicale. Recanalisation avec thrombaspiration, angioplastie et pose de 2 stents actifs dans l'IVA moyenne et proximale avec un bon résultat immédiat. REOPRO en bolus intra-coronarien. CT abdominal du 20.01.2019 : hématome rétropéritonéal à droite et extra-péritonéal pelvien sans mise en évidence de saignement actif. Pas de signe de pseudo-anévrisme à hauteur du point de ponction fémoral. Foie de morphologie normale, aux contours réguliers, présentant une lésion kystique aux parois calcifiées dans le dôme hépatique, superposable au comparatif. Pas de mise en évidence de nouvelle lésion focale hépatique. Aspect inchangé de la dilatation du canal de Wirsung atteignant 6 mm de diamètre maximal, débutant à hauteur du corps, sans effet de masse notable. Rate accessoire de 10 mm. Hypertrophie de la glande surrénale gauche inchangée. Aspect inchangé de la structure kystique ovarienne droite mesurant 25 mm de diamètre. Atélectasie partielle de la pyramide basale droite au sein du récessus postérieur. Dystélectasies en bandes basales gauches. Discret épanchement péricardique. Discopathie pluri-étagée du rachis lombaire prédominante en L4-L5 et L5-S1 associée à une arthrose interfacettaire postérieure. Arthrose des articulations sacro-iliaques, coxo-fémorales et de la symphyse pubienne. Echographie abdominale du 20.01.2019 : forte suspicion d'un hématome en fosse iliaque droite dont l'étendue n'est pas claire. Le reste du volume exploré est sans particularité. Echographie abdominale du 21.01.2019 : (rapport provisoire) hématome stable, aucun signe de saignement actif. Echocardiographie transthoracique le 21.01.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une akinésie de la paroi apicale, du septum moyen, de la paroi inférieure moyenne et de la paroi septale antérieure moyenne, une hypokinésie sévère de la paroi latérale moyenne et une hypokinésie modérée de la paroi antérieure moyenne. FEVG à 35 % (évaluation visuelle). Bourrelet septal sous-aortique. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf annexe ECG 31.12.18 : sinusal irrégulier sur ESV, BAV1, pas de trouble de la repolarisation. Rx thorax 31.12.18 : Emoussement du cul de sac pleural latéral gauche. Troubles ventilatoires rétro-cardiaques gauches. Laboratoire : cf annexe ECG : Onde T inversée en latérale (V4-V6) CT scan abdominal du 19.12.2018 : Liquide libre intra-abdominal diffus de densité élevée, évoquant en premier lieu un hémopéritoine. Pas de saignement actif décelé ni de source potentielle de saignement. Discret épaississement pariétal de quelques anses grêles pelviennes, d'origine vraisemblablement irritative réactionnelle. Laboratoire : cf annexe ECG : RSR, axe verticale, fréquence 100 bpm, QRS fins, ondes T négatives en D3 et aVF Gastroscopie en urgence le 10.01.2019 (Dr. X) : Très volumineuses varices œsophagiennes avec visualisation d'un red spot sign sur une varice au niveau du cardia. Actuellement, pas de saignement actif. Pas d'autre source de saignement. Gastroscopie en urgence le 11.01.2019 (Dr. X) : Au niveau de l'œsophage moyen, présence d'une varice de stade 3. Dans l'œsophage distal, 3 varices de stade 3 avec Red spot signs. On pose 3 ligatures élastiques sur les varices. Il y a un peu de sang dans le fundus gastrique sans qu'on visualise de saignement actif. Recto-sigmoïdoscopie du 11.01.2019 (Dr. X) : présence de multiples caillots avec présence de vieux sang. Absence d'un saignement actif au niveau du rectosigmoïde. Laboratoire : cf annexe ECG 03.01.19 : Flutter à conduction variable, avec bloc de branche gauche connu OGD 04.12.18 : Introduction de l'endoscope vidéo Olympus par la bouche œsophagienne supérieure sous contrôle de la vue. L'œsophage proximal est sans particularité. Au niveau de l'œsophage distal, on visualise une œsophagite à reflux gastro-œsophagien, Los Angeles grade B. Entre le corps et l'antre gastrique, vers la petite courbure il y a une petite ulcération Forrest 3. Dans la part 2 duodénale, présence d'une grande ulcération et profonde Forrest 3 et une dernière ulcération Forrest 3 dans la part 3 duodénale. CT thoraco-abdominale 10.01.19 : Pas de signe scanographique en faveur d'une perforation intestinale ou gastrique. Pas de signe de colite ou de diverticulite. Pas de signe scanographique en faveur d'une ischémie mésentérique. Découverte fortuite de nombreuses embolies pulmonaires segmentaires dans tous les lobes (cf. descriptif). Multiples cholélithiases de la vésicule biliaire avec discrète infiltration de la graisse autour de la vésicule biliaire, laissant suspecter une cholécystite à confronter à l'échographie. Scintigraphie osseuse 16.01.19 : Mise en évidence d'une légère hypercaptation précoce et tardive aux niveaux L1-L2, correspondant très probablement à un tassement relativement récent. Absence d'autre image scintigraphique en faveur de fractures. Aspect dégénératif de la colonne vertébrale et des grandes articulations, et scoliose lombaire dextro-convexe. Absence d'autre image suspecte au niveau du squelette. Laboratoire : cf annexe ECG 10.01.19 : rythme sinusal régulier tachycarde, sans trouble de la conduction, sans trouble de la repolarisation. CT cérébral le 10.01.2019 : Sous réserve de la présence de multiples artefacts de durcissement du faisceau, mise en évidence d'une plage hypodense sous-corticale du lobe frontal droit, ainsi que suspicion de lésions similaires intéressant la région pariéto-temporale droite, y compris l'insula. Ces images sont aspécifiques mais pourraient correspondre à des lésions démyélinisantes ou microvasculaires. Pas de saignement ou de rehaussement pathologique après injection de produit de contraste. Pas de thrombose des sinus veineux. Plaie mentonnière connue, sans fracture mise en évidence. EEG le 10.01.19 : pas d'activité épileptique franche, pas de mise en place de traitement pour l'instant. Laboratoire : cf annexe ECG 28.12.2018 : RSR. Axe gauche. QTc 465 ms (Bazett). Extrasystoles ventriculaires. Transition S/R V3/V4. Pas de troubles de la repolarisation. Radiographie du thorax du 28.12.2018 : Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de signes de décompensation cardiaque. Condensation à la mi-plage pulmonaire droite, correspondant à un foyer dans le LSD. Pas d'épanchement pleural notable. CT cérébral natif du 02.01.2019 : Absence de nouvelle lésion ischémique constituée ou hémorragique. Lésion séquellaire frontale droite. Atrophie cérébrale en lien avec l'âge du patient. Radiographie du coude droit du 02.01.2019 : Troubles dégénératifs avec présence d'un pincement articulaire et sclérose sous-chondrale de l'articulation ulno-humérale ainsi que présence d'ostéophyte de l'articulation huméro-radiale. Absence de trait de fracture. Absence d'érosion ou d'ostéolyse. Épanchement articulaire avec présence d'un signe du fat pad postérieur, une fracture ne peut donc être exclue avec certitude. Tissus mous sans particularité. EEG du 03.01.19 : attente rapport définitif. Laboratoire : cf annexe IRM cérébrale le 21.01.2019 (Givison) Rx thorax du 21.01.2019 : Élargissement du médiastin supérieur (DD : goitre ?). Silhouette cardiaque dans la norme. Artères pulmonaires proéminentes (DD : HTAP ?). Absence d'épanchement pleural. Absence d'opacité pulmonaire suspecte de foyer infectieux. Status post prothèses mammaires. Discopathie pluriétagée du rachis dorsal. Laboratoire : cf annexe OGD 27.12.2018 (Dr. X) : lésion polyploïde de 2 cm avec ulcère Forest III de 1.5 cm, biopsies effectuées. Plusieurs ulcères de 5 à 6 mm dans la partie antrale, Forest III, qui ne saignent pas. Paroi altérée par une muqueuse œdémateuse en raison d'une hypertension portale. Proposition : Ad IPP 3X 40 mg et surveillance clinique. Recherche histologique du Helicobacter Pylori, en cas de positivité je vous prie d'introduire un traitement d'éradication selon le schéma standard. À la sortie du patient, 2x 40 mg d'IPP jusqu'à l'OGD de contrôle dans 6 semaines avec anesthésie stand-by. Biopsie antrale 27.12.2018 (Dr. X) : pas de H Pylori, pas de granulome, pas de métaplasie intestinale ou de dysplasie ou de signe de malignité. Laboratoire : cf. annexe. Radio thorax 07.01.2019 : cardiomégalie, sclérose du bouton aortique, et déroulement de l'aorte descendante. Égalisation vasculaire baso-apicale et réticulations marquées aux deux bases. Épaississements bronchiques diffus. Pas de foyer individualisé. Fins épanchements pleuraux. Pas de lésion suspecte du cadre osseux. EEG le 08.01.2019 : foyer hémisphérique droit, sans caractère épileptiforme. Défet osseux. Suivi du traitement par Phénytoïne à même dosage. IRM le 08.01.2019 : la séquence de diffusion ne met pas en évidence de lésion ischémique récente.Mise en évidence d'une large plage de gliose séquellaire fronto-pariétale droite. • Consilium rhumatologie : consultation en ambulatoire fixé. • Radio mains et pieds ddc organisé pour le suivi rhumatologique. • Anti-CCP et facteur rhumatoïde en attente pour le suivi rhumatologique. Laboratoire : cf annexe RX bassin et hanche axiale D 07.01.2019 : Dysmorphie de la jonction tête-col fémorale des deux côtés, pouvant rentrer dans le cadre d'un conflit fémoro-acétabulaire. Coxarthrose bilatérale modérée. Pas de fracture mise en évidence. RX genou droite 07.01.19 : Les structures osseuses se présentent normalement sans fracture. Calcifications au regard de l'articulation tibio-fibulaire proximale. Pas d'épanchement intra-articulaire. Laboratoire : cf annexe Rx épaule droite face/neer le 21.01.19 : Congruence articulaire gléno-humérale conservée. Pas de luxation visible. Mise en évidence d'ostéophytes marginaux au sein du bord inférieur de la glène, pouvant évoquer une arthrose. Arthrose acromio-claviculaire. Le reste des structures analysées se présente normalement. CT cérébral 22.01.19 : Statut post-drainage d'un hématome sous-dural convexitaires droit sans collection résiduelle. Le reste de l'examen globalement inchangé avec une leuco-araïose péri-ventriculaire, quelques probables séquelles ischémiques et une ectasie ex-vacuo du système ventriculaire. Pas d'argument pour une hydrocéphalie à pression normale. Laboratoire : cf. annexe. RX thorax du 17.12.2018 : silhouette cardio-médiastinale de taille et de morphologie normales. Atélectase en bande postéro-basale gauche. Pas de foyer parenchymateux. Cadre osseux et tissus mous sans particularité. Laboratoire : cf. annexe Rx thorax du 30.11.2018 : silhouette cardio-médiastinale inchangée. Status post-mise en place d'une SNG dont la pointe est en projection du cardio gastrique. Pas de changement de la VVC jugulaire interne gauche. Pas de foyer pulmonaire constitué. On retrouve une opacité lamellaire rétro-cardiaque devant correspondre à une atélectasie sous-segmentaire. Persistance d'une faible quantité d'épanchement pleural à gauche avec possible composante cloisonnée, mieux appréciable sur le cliché de profil. Laboratoire : cf annexe Rx thorax 11.01.19 : Thorax de face : silhouette cardiaque de taille à la limite supérieure de la norme. Pacemaker en surprojection de l'hémiplage supérieure droite avec deux sondes en projection de l'oreillette droite et le ventricule droit. Pas de foyer parenchymateux suspect. Pas d'épanchement pleural. Ancienne fracture claviculaire gauche. Laboratoire : cf annexe Rx thorax 15.01.19 : Comparatif du 21 novembre 2013. S/p mise en place d'un pacemaker bicaméral pectoral gauche, avec sondes connectées au boîtier, de positions inchangées. Silhouette cardio-médiastinale de morphologie normale, sans signe de décompensation cardiaque. Calcifications du bouton aortique. Le parenchyme pulmonaire se présente normalement, sans foyer. Pas d'épanchement pleural. Troubles dégénératifs du rachis thoracique avec ostéophytes antérieurs et latéraux. Pas d'altération des tissus mous. RX thorax du 21.01.19 : L'examen est globalement superposable aux comparatifs. Passage oeso-gastro-duodénal du 23.01.19 : TOGD considéré dans les limites de la norme, sans argument en faveur d'une fausse route en particulier. Laboratoire : cf annexe Rx thorax 15.01.19 : Discrète cardiomégalie avec index cardio-thoracique mesuré à 52%. Sclérose du bouton aortique. Déroulement de l'aorte thoracique. Absence d'épanchement pleural. Le parenchyme pulmonaire ne présente pas d'opacité suspecte de foyer infectieux. Petite atélectasie en bande dans le lobe supérieur droit. Status post mise en place d'une prothèse d'épaule gauche. Spondylose dorsale. Le reste des parties molles extra-thoraciques est sans particularité. US cardiaque le 16.01.19 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60%. Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Rétrécissement aortique lâche. Surface aortique à 1,43 cm² (0,66 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 8 mmHg. Insuffisance aortique physiologique (grade 0 à 1/4). Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Oreillette gauche très dilatée. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. CT thoraco-abdominale 17.01.19 : Présence d'une structure dense dans la lumière de l'estomac de nature inconnue. Légère hépatomégalie. Pas de dilatation des voies biliaires intra ou extrahépatiques. Cholécystolithiase avec présence de volumineux calculs calcifiés. La rate, le pancréas et les surrénales et les reins se présentent normalement, sans lésion. Pas d'adénopathie rétropéritonéale, pas d'ascite. Pas de lésion visible dans le petit bassin hormis la présence de myomes. Les anses intestinales mises en évidence se présentent normalement, sans signe d'hémorragie. Dans les bases pulmonaires mettent en évidence. Petit épanchement à droite et des zones de dystélectasie - de pneumonie. Laboratoire : cf annexe Rx thorax 31.12.2018 : Rx réalisée en position couchée. Cathéter de dialyse sous-clavier droit en place, dont l'extrémité distale se situe dans l'oreillette droite. Silhouette cardiomédiastinale normale. Épaississement des parois bronchiques. Pas de foyer parenchymateux systématisé visible. Uro-CT abdominal le 01.01.2019 : aspect globalement stable de la dilatation pyélocalicielle à droite avec infiltration péri-urétérale et péri-rénale. Mise en place d'une sonde double J à droite. Aspect globalement inchangé de l'atrophie rénale gauche et de la dilatation pyélo-urétérale. Laboratoire : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf. annexes Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf. annexes Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf. annexes Laboratoire : cf annexes Laboratoire : cf annexe Laboratoire : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. CRP 46 mg/l, leucocytes 13.9 G/l. Ultrason abdominal : décrite ci-dessous. Avis chirurgical du Dr. X. Antibiothérapie ci-dessous pour 7 jours. Contrôle clinique demain à la filière des urgences ambulatoires. En cas de péjoration, contrôle biologique et avertir le chirurgien de garde. Contrôle chez son médecin traitant dans 7 jours. Consultation avant aux urgences si péjoration clinique. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. RSR à 92 bpm, espace PR de 142 ms, QRS fins avec un axe à 65°. Pas de sus ou sous-décalage du segment ST. Pas d'inversion des ondes T. QTc de 463 ms. Laboratoire : cf. annexes. Status neurologique dans la norme. Disparition des douleurs avec Dafalgan 1g et Brufen 400 mg. Retour à domicile. Laboratoire : cf. annexes. Adaptation du schéma de Sintrom : 0-1/2-1/2-1-1. Contrôle biologique le 04.02.2019 et adaptation du Sintrom. Laboratoire : cf. annexes. Aligné. Sédiment urinaire : dans la norme. Cf. annexes. ECG : rythme sinusal régulier, axe normal, pas de signe d'ischémie active, pas de signe d'HVG. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Aux urgences elle reçoit du paracétamol IV 1g, de l'Ecofénac 75 mg iv et du Primpéran 10 mg iv.Laboratoire : cf. annexes. Avec troponines à H0, H1 et H3 à 111 ng/l, 113 ng/l et 104 ng/l. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier à 85 bpm, PR 166 ms, QRS à 118 ms avec extrasystole ventriculaire, aspect de BBG incomplet, QTc 471 ms, pas de signe d'HVG. Laboratoire : cf. annexes. avec troponines à H0 9 ng/L, à H1 8 ng/L. D-dimères 402 ng/mL. ECG : cf. annexes. RSR, axe vertical, fréquence 60 bpm, QRS fins, pas de trouble de la repolarisation. Radiographie du thorax en chambre : déformation de la cage thoracique par une scoliose dorsolombaire dextro-convexe. Cœur de taille dans les limites de la norme. Petite augmentation de la trame sous-hilaire ddc, mais pas d'image nette de foyer pulmonaire, ni d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax visualisé. Laboratoire : cf. annexes. Avis du Dr. X, chirurgien. Co-Amoxicilline 2.2 g iv aux urgences avec 1 cp de Novalgine 1 g. Appendicectomie le 23.01.2019. Laboratoire : cf. annexes. Avis du pédopsychiatre de garde. Retour à domicile avec un rendez-vous chez le pédopsychiatre de Fribourg le 23.01.2019 à 10 h. Laboratoire : cf. annexes. Avis et passage du Dr. X, chirurgien. CT-scan et contrôle clinique le 11.01.2019 à la filière des urgences ambulatoires. Avertir le Dr. X, chirurgien. Laboratoire : cf. annexes. Avis ORL de garde Dr. X : • Consigne de ne pas se moucher. • Si récidive de saignement, mettre de la glace et pincer le nez pendant 5 minutes. Si saignement important, reconsulter aux urgences. • Rendez-vous ORL à prendre par le patient pour le 21.01.2019 chez le Dr. X. Laboratoire : cf. annexes. Bilan biologique. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Hospitalisation au RFSM de Marsens sous PLAFA. Départ en ambulance. Laboratoire : cf. annexes. Bilan neuropsychologique : trouble neurocognitif modéré d'étiologie mixte probable (neurodégénérative et vasculaire), compatible avec l'imagerie cérébrale. ECG le 16.01.2019 : fibrillo-flutter tachycarde à 132/min, QRS fins à 80 ms, axe normal à 0°, transition précoce de l'onde R en V2, pas d'onde Q significative, pas de trouble de la repolarisation, QTc 430 ms. Sédiment urinaire : Lc +, nitrites nég, corps cétoniques ++, sang +++; éry 11-20/champ, densité 1031-1035, flore bact nég. Angio-CT cérébral le 16.01.2019 : AVC constitué subaiguë dans la région sylvienne droite / temporo-pariétal droit. Occlusion d'une branche M2 droite. Pas de saignement intra- ou extra-axial, pas d'hématome sous-dural, pas de thrombose du sinus veineux intra-crânien. IRM le 18.01.2019 : AVC ischémique aigu sur le territoire de l'ACM droite. Pas de transformation hémorragique. Remaniements athéromateux des artères cérébrales moyennes dans leur partie proximale, sans sténose visible. ETT le 17.01.2019 : ventricule gauche non dilaté, FEVG 70%, pas d'anomalie de la contractilité segmentaire. Oreillette gauche dilatée, aspect de cardiopathie hypertensive. Laboratoire : cf. annexes. Bilan urinaire : cf. annexes. Bladder Scan : 84 ml. CT-scan abdominal natif : comparatif du 29 juin 2012. Examen effectué en phase native et en procubitus. Présence d'une lithiase (478 HU) enclavée à la jonction urétéro-vésicale droite, mesurant 3 mm de diamètre. Dilatation urétérale et pyélocalicielle en amont avec un pyélon mesuré à 17 mm. Aspect tuméfié du rein droit associé à une infiltration de la graisse péri-rénale droite. Le rein gauche est de taille et de morphologie normales, présentant une hypodensité corticale compatible avec un kyste. Pas de dilatation du système excréteur gauche. Vessie et prostate sans particularité. Phlébolithes pelviens. Pour le reste et sous réserve d'un examen effectué sans injection de produit de contraste, le foie est de taille et de morphologie normales. Pas de dilatation des voies biliaires extrahépatiques. Aucun calcul radio-opaque n'est objectivé au sein de la vésicule biliaire. Les surrénales, la rate et le pancréas se présentent normalement. Absence de dilatation des anses grêles ou coliques. Diverticulose sigmoïdienne sans signe d'inflammation. Absence d'air ou de liquide libre intra-abdominal. Pas d'adénopathie de taille radiologiquement significative. Calcifications des parois de l'aorte et des axes vasculaires iliaques. Hernie inguinale indirecte des deux côtés, à contenu grêle du côté droit et à contenu graisseux du côté gauche. Structures osseuses : troubles dégénératifs de la colonne lombaire prédominant aux étages L1-L2 et L5-S1. Phénomène d'épaulement à la jonction col-tête fémorale des deux côtés, pouvant rentrer dans le cadre d'un conflit fémoro-acétabulaire. Les coupes passant par les bases pulmonaires sont sans particularité. CONCLUSION : lithiase de 3 mm enclavée à la jonction urétéro-vésicale droite, associée à une dilatation du système excréteur en amont. Note : résultats transmis par téléphone au Dr. X à 19 h 45. Laboratoire : cf. annexes. Cal corrigé à 2.19 pas de syndrome inflammatoire, PTT 18. Gazométrie : cf. annexes. Alcalose respiratoire à 7.64 Pco2 2.1 PO2 16.3 lactate 4.2. 2ème gazométrie : cf. annexes. Ph 7.39 PCO2 5.3 Lactate 1.5. Laboratoire : cf. annexes. CK à 71 U/l, troponines à 4 ng/L. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier à 67/min, QRS d'axe 50°, fins à 90 ms, transition de l'onde R en V2, ST isoélectriques dans toutes les dérivations, QTc à 410 ms. Laboratoire : cf. annexes. CK 391 U/l, taux thérapeutique d'acide valproïque à 71, pas de syndrome inflammatoire. Laboratoire : cf. annexes. Co-Amoxicilline per os pour 7 jours. Traitement symptomatique. Suivi chez le médecin traitant. Discuter d'un suivi chez l'ORL (contact donné à Mme. Y) si sinusite à répétition. Laboratoire : cf. annexes. CRP < 5 mg/l, leucocytes 11.6 G/l, reste sp. Laboratoire : cf. annexes. CRP < 5 mg/l, leucocytes 13.3 G/l. Radiographie de l'épaule gauche face/neer : décrite ci-dessous. Antalgie aux urgences : Irfen 400 mg à 21 h 00. Avis du Dr. X, du service d'orthopédie : • Retour à domicile avec antalgie simple, bretelle antalgique pour maximum 5 jours. • Physiothérapie en ambulatoire. • Suivi chez le Dr. X, orthopédiste, à 10 jours si persistance des symptômes malgré le traitement antalgique bien conduit. Laboratoire : cf. annexes. CRP < 5 mg/l, leucocytes 13.3 G/l. Radiographie de l'épaule gauche face/neer : structure dense en regard du rebord glénoïdien inférieur. Aspect dysplasique métaphyso-épiphysaire interne de l'humérus proximal avec îlots condensants multiples. Interligne articulaire conservé. Dysplasie fibreuse ? À confronter au reste des données cliniques et biologiques, une imagerie en coupes peut être demandée à distance, type scanner ou IRM pour meilleure caractérisation lésionnelle. Laboratoire : cf. annexes. CRP < 5 mg/l, leucocytes 15.6 G/l, pas de perturbation pancréatique, hépatique, rénale ni des électrolytes. Troponines à 4 ng/L puis 8 ng/L (1 h) puis 10 ng/L (3 h). ECG : cf. annexes. Rythme sinusal et régulier à 75/min, axe QRS à 40°, PR 160 ms, QRS 80 ms, QTc 426 ms, segment ST à 2 mvolt en V1, onde T physiologique. Radiographie du thorax face/profil : absence d'un bon inspirium. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. Laboratoire : cf. annexes. CRP à 23 mg/l, sans leucocytose. D-dimères négatifs à 356 ng/mL. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax face/profil : quelques dystélectasies à la base gauche. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Laboratoire : cf. annexes. CRP à 28 mg/l, sans leucocytose. Sédiment urinaire : cf. annexes. Leucocytes en purée, nitrites positives, pas de sang. Urotube : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. CRP à 29 mg/l, leucocytes 10.2 G/l, créatininémie 180 umol/l, urée 15,8 mmol/l, hyponatrémie 129 mmol/l, hypomagnésémie 0,72 mmol/l. Radiographie du thorax : cardiomégalie malgré la position couchée, sans signe notable d'insuffisance cardiaque. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Lésions dégénératives du rachis dorsal, prédominant dans la partie moyenne et inférieure. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. CRP et FSS normales. Laboratoire : cf. annexes. CRP 11 mg/l, leucocytes 4.9 G/l, Hb 146 g/l, tests hépato-pancréatiques dans la norme. Sédiment urinaire : cf. annexe. Propre. Laboratoire : cf. annexes. CRP 117 mg/l, acide urique 402 µmol/L. Radiographie du poignet droit face/profil : on visualise d'importants remaniements de la partie distale de l'ulna avec une arthrose radio-carpienne et intra-carpienne, notamment une arthrose STT, mais pas de signe de séquelle d'arthrite. Importantes calcifications artérielles. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. CRP 12 mg/L, pas de leucocytose, pas de trouble électrolytique. CT-scan cérébral natif et injecté : absence de comparatif CT du crâne. Citernes basales et mésencéphaliques et système ventriculaire de morphologie normale. Calcifications physiologiques et structures médianes de position normale. Pas de lésion focale parenchymateuse. Pas d'altération des sillons cérébraux. Absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Pas de prise de contraste pathologique aux étages supra et infra-tentoriels. Bonne opacification des sinus veineux intra-crâniens. Bonne perméabilité du polygone de Willis. Sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes libres. CONCLUSION : CT cérébral natif et injectés dans la norme (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. CRP 120 mg/l, créatinine à 109 µmol/l. ECG : cf. annexes. RSR à 86 bpm, PR à 132 ms, QRS fins avec un axe à 66°, QTc à 383 ms, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. Radiographie du thorax face/profil : aorte déroulée et calcifiée. Pas d'épanchement pleural visible. Épaississement bibasal de la trame broncho-vasculaire. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. CRP 14 mg/l, calcium corrigé à 2.12, TSH 4.64. Radiographie du thorax face/profil : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Épaississement modéré de la trame bronchovasculaire au niveau paracardiaque droit. Pas d'épanchement pleural visible. (Dr. X). ECG : cf. annexes. RSR à 67 bpm, PR à 184 ms, QRS fins avec un axe à 80°, QTc à 436 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. Laboratoire : cf. annexes. CRP 26 mg/l, leucocytose 13.6 G/l. Sédiment urinaire : cf. annexes. Leucocyturie, pas d'hématurie microscopique, nitrite négatif. Avis et passage du Dr. X, de médecine interne. Rocéphine 2 g iv aux urgences. Ciproxine 500 mg, cp, 2x/jour pour 10 jours. Contrôle clinico-biologique à 48 h à la filière des urgences ambulatoires. Arrêt de travail. Laboratoire : cf. annexes. CRP 28 mg/l, sans leucocytose. Laboratoire : cf. annexes. CRP 40 mg/l, pas de leucocyte. D-dimères 679 ng/mL. Beta HCG : 0. ECG : cf. annexes. RSR à 65 bpm, PR à 150 ms, QRS dans la norme avec un axe à 70°, QTc à 400 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V3, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. CT-scan thoracique pour recherche d'embolie pulmonaire injectée : examen réalisé après injection intraveineuse de Iomeron 400. Absence de comparatif à disposition. Les structures cardio-vasculaires se présentent normalement. Pas d'embolie pulmonaire mise en évidence. Pas d'épanchement péricardique. Absence d'adénopathie médiastinale ou hilaire, de même que dans les creux sus-claviculaires et axillaires. Petites condensations dans les segments apical et latéro-basal du lobe inférieur gauche pouvant correspondre à des petits foyers débutants. Pas d'épanchement pleural. Sur les coupes passant par l'étage abdominal, on met en évidence un pneumopéritoine devant correspondre au statut post-opératoire, sans autre particularité. Le cadre osseux est dans la norme. Pas d'anomalie des parties molles. CONCLUSION : pas d'embolie pulmonaire mise en évidence, ni d'autre anomalie thoracique pouvant expliquer les symptômes de la patiente (douleurs en rapport avec le pneumopéritoine ?). Deux petites condensations dans le lobe inférieur gauche pouvant correspondre à des foyers débutants, à corréler à la clinique. L'examen a été réalisé à l'hôpital de Riaz, et interprété en téléradiologie depuis l'hôpital cantonal de Fribourg, avec transmission des résultats par téléphone au médecin en charge de la patiente. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. CRP 42 mg/L, leucocytes 11.5 G/l. Laboratoire : cf. annexes. CRP 44 mg/l, leucocytes 5.8 G/l, pas de trouble rénal ni des électrolytes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal et régulier à 70/min, axe QRS à 5°, PR 180 ms, QRS 80 ms, QTc 423 ms, segment ST iso-électrique, onde T négative en III, aVR, aVF et V1. Test de Schellong : sans particularité. Laboratoire : cf. annexes. CRP 46 mg/l, leucocytes 13.9 G/l. Ultrason abdominal complet et recherche d'appendicite : le foie est de taille normale de contours réguliers, d'échostructure homogène. La vésicule biliaire est à parois fines sans image de calcul. Le pancréas, la rate et les reins sont sp. On trouve un discret épaississement de la paroi du côlon droit au niveau caecal, mesuré à 4,7 mm avec discrète hyperémie au doppler couleur. L'appendice visible est mesuré à 5 mm de diamètre maximal avec stercolithe proximal. Multiples ganglions péri-caecaux. Pas de liquide libre en intrapéritonéal. CONCLUSION : aspect pouvant cadrer avec une inflammation du caecum : caecite associée à des ganglions satellites d'allure inflammatoire, appendice de calibre conservé. À confronter au reste des données cliniques et biologiques. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. CRP 49 mg/l, leucocyte 10.8 G/l, pas de perturbation hépatique, pancréatique, rénale, électrolytique. Sédiment urinaire : cf. annexes. Erythrocytes incomptables, pas de leucocyturie, flore bactérienne +. Uro-CT abdominal natif : les 2 reins sont de taille normale, de contours réguliers. On trouve des kystes séreux bilatéraux. Le plus volumineux mesure approximativement 4,5 cm de grand axe, à mieux analyser par ultrason à distance. Pas de dilatation des voies urinaires de façon bilatérale. Pas d'image de calcul sur l'arbre urinaire. Vessie à parois fines de densité homogène. Pas d'anomalie de densité spontanée du foie, de la rate, du pancréas. Pas de liquide libre intrapéritonéal. CONCLUSION : pas de syndrome obstructif rénal bilatéral. Probables kystes séreux bilatéraux à mieux analyser par ultrason à distance. (Dr. X). Ultrason abdominal complet natif : le foie est de taille dans les limites de la norme, d'échostructure diffusément hypoéchogène, compatible avec une stéatose, mais sans lésion focale décelable. Les voies biliaires ne sont pas dilatées. La vésicule biliaire présente des parois fines et ne contient pas de calcul. Le pancréas et la rate sont sp. Les deux reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. Par rapport à l'URO-CT du même jour, on retrouve de multiples kystes corticaux ddc, le plus volumineux, du côté G, mesurant environ 4.5 cm de diamètre. La vessie, en semi-réplétion, présente des parois fines et la prostate n'est pas agrandie avec un diamètre d'environ 36 mm. CONCLUSION : pas de cholélithiase ni signe de cholécystite. Stéatose hépatique diffuse. (Dr. X).Laboratoire : cf. annexes. CRP <5mg/l et leucocytes 8.4G/l. Laboratoire : cf. annexes. CRP <5mg/l, leucocytes 2.4G/l. Laboratoire : cf. annexes. CRP <5mg/l, leucocytes 4.3G/l. Radiographie du 2ème doigt droit : corps étranger longiligne d'environ 7mm de long situé dans les parties molles à la face radiale et palmaire de l'interligne articulaire interphalangien distal du 2ème rayon. Structures osseuses sinon sans particularité. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. CRP <5mg/l, troponine 4 ng/l. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier normocarde à 63 bpm, syndrome du PQ court connu avec PQ à 100 ms, segment PQ isoélectrique mais dur à évaluer en raison d'un PQ court. Segment ST isoélectrique, QRS fins à 88 ms avec un axe à 57°, pas d'onde Q pathologique, onde T négative non-concordante en I, V3-V5, progression de l'onde R précoce avec une transition en V2-V3, présence d'une onde U. QTc à 406 ms. Radiographie du thorax face/profil : thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de foyer pneumonique visible. Pas de pneumothorax. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. CRP 58mg/l, leucocytes 11.6G/l, urée 3.5mmol/l. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, de médecine interne. Clairance à la créatinine 89 ml/min. Ad Tavanic 500mg 1x/jour pendant 7 jours. AG urinaire à pister, expectorations à pister. Curb 65 à 1 (âge uniquement). Prise en charge lundi 07.01.2018 à la consultation du médecin traitant, reconsultation aux urgences en cas d'évolution défavorable dans l'intervalle. Laboratoire : cf. annexes. CRP 6 mg/l, leucocytose 12.9 G/L, Na 135 mmol/l, K 3.7 mmol/l. Cf. annexes. ECG : cf. annexes. Tachycardie sinusale et régulière à 100/min, axe QRS à 45°, PR 130 ms, QRS 70 ms, QTc 421 ms, segment ST isoélectrique, onde T physiologique. Laboratoire : cf. annexes. CRP 6mg/l, pas de leucocytose, aligné. Irfen 400mg 3x/jour pendant 5-7 jours. Contrôle clinique à la consultation du médecin traitant dans 6 jours. Laboratoire : cf. annexes. CRP 7 mg/l, leucocytes 7.4 G/l, Creat 89 micromol/L. Analyse d'urine : cf. annexes. Propre. Ultrason abdominal complet natif et recherche d'appendicite : le foie est de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans lésion focale décelable. Les voies biliaires ne sont pas dilatées. La vésicule biliaire présente des parois fines et ne contient pas de calcul. Le pancréas et la rate sont dans les limites de la norme. Les 2 reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. La vessie en semi-réplétion présente des parois fines et l'on ne met pas en évidence de pathologie gynécologique. Pas d'image pathognomonique pour une appendicite avec un appendice qui n'a toutefois pas été visualisé. CONCLUSION : échographie abdominale dans les limites de la norme, notamment pas d'image pathognomonique pour une appendicite. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. CRP 79mg/L, leucocytose à 11.4G/l. Radiographie du bassin et hanche axiale droite : pas de fracture. Rapports articulaires physiologiques. Calcifications du labrum à droite. Pas de lyse osseuse. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. CRP 80mg/l, leucocytes 6.1G/l, créatinine 128 µmol/l, reste sans particularité. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal et régulier à 75/min, axe QRS à 30°, PR 120 ms, QRS 80 ms, QTc 409 ms, segment ST iso-électrique, onde T physiologique. CT-scan thoracique natif et injecté : le présent examen est comparé au CT-scanner du 08.07.2018. Par rapport au comparatif, on retrouve l'épanchement pleural à gauche multi-cloisonné avec toujours un drain pleural dans la partie postérieure de l'épanchement qui reste toutefois stable. Dans la partie antérieure de l'épanchement, on ne visualise plus les images aériques, mais pour le reste, hormis une petite composante postérieure en diminution de taille, l'épanchement pleural est globalement d'aspect superposable. On retrouve par ailleurs l'atélectasie partielle à la base également sans modification significative. On constate par contre l'apparition d'un épanchement pleural également du côté droit. Au niveau du médiastin, les ganglions sont de taille et d'aspect superposables. Sur les quelques coupes passant par l'abdomen supérieur, on visualise 2 lésions hypodenses hépatiques respectivement au niveau du segment VII d'environ 24mm de grand axe et du segment VIII d'environ 15mm, compatibles avec des métastases. CONCLUSION : aspect globalement superposable de l'épanchement pleural cloisonné à gauche avec la composante postérieure drainée. Apparition de 2 lésions hépatiques compatibles avec des métastases. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. CRP 82mg/l, leucocytes 11G/l. Laboratoire : cf. annexes. CRP 9 mg/l, leucocytes 15.2 G/l. Sédiment urinaire : nitrites négatif, leucocytes et érythrocytes <3/champs. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. CRP 9 mg/l, leucocytes 15.2 G/l. Sédiment urinaire : nitrites négatif, leucocytes et érythrocytes <3/champs. Cf. annexes. Avis chirurgical du Dr. X : • Ultrason abdominal à 08h00 le 17.01.2019 puis contrôle biologique et clinique à la filière des urgences ambulatoires. • À jeun dès ce soir. • Reconsultation sur la nuit si majoration des douleurs. Laboratoire : cf. annexes. CT cérébral natif et injecté le 28.12.2018 : absence de lésion secondaire métastatique sus-tentorielle, visible. Hypodensité ronde cérébelleuse droite : ischémie ? œdème sur métastase ? ECG le 30.12.2018. Rx du thorax le 30.12.2018 : cardiomégalie globale majorée par la position couchée. Par rapport au comparatif du 03.04.2017, progression d'une masse tissulaire apicale gauche évocatrice d'une métastase. Accentuation du hile droit en progression avec épaississement interstitiel péri-hilaire ouvrant le diagnostic différentiel d'une lymphangite carcinomateuse versus une composante de surcharge cardiaque surajoutée. Pas d'épanchement pleural visible. Ostéocondensation de D11, D12, L1 sur métastases osseuses. CT thoraco-abdominal le 30.12.2018 : atteinte tumorale pulmonaire, ganglionnaire sus et sous-diaphragmatique, hépatique et osseuse, dont l'évolutivité n'est pas évaluable en l'absence de comparatif à notre disposition. Possible lymphangite carcinomateuse en raison d'un épaississement des septa interlobulaires (diagnostic différentiel : surcharge hydrique). Épanchement péricardique circonférentiel à corréler à une échocardiographie en urgence. Multiples métastases hépatiques par endroit confluentes pouvant faire suspecter une abcédation. Hypodensités corticales des deux reins pouvant faire suspecter des foyers de pyélonéphrite. Multiples métastases osseuses avec fracture notamment de L1 avec recul du mur postérieur. Laboratoire : cf. annexes. CT scan injecté de l'aorte : décrit ci-dessous. Remplissage par 2000 ml aux urgences pour hypotension - normalisation des tensions (130/90mmHg). Transfert au CHUV, accepté par le Dr. X au CHUV. Laboratoire : cf. annexes. CT scan natif en urgence : décrit ci-dessous. Monitoring aux urgences pendant plus de 4 heures. Voltaren 75 mg iv, Paracétamol 1g iv. Voltaren 50 mg + Motilium lingual en R (comprimé donné à Mr. Y). Pas d'effort physique le 03 et 04.01.2018. Surveillance à domicile pendant 24 heures. En cas de récidive, consulter les urgences rapidement puis discuter une ponction lombaire, et IRM cérébrale ou CT-scan avec contraste. Laboratoire : cf. annexes. CT-scan cérébral : décrit ci-dessous. Aux urgences 50 mg de Tramal. Contrôle chez son médecin traitant.Laboratoire. cf. annexes. CT-scan cérébral natif : les structures médianes sont en place. Le système ventriculaire est non dilaté. Pas d'hémorragie méningée. Pas de collection hématique juxta-osseuse ou intraparenchymateuse. Pas de lésion osseuse traumatique cérébrale. Fracture des OPN. Laboratoire : cf. annexes. CT-scan thoracique injecté : décrit ci-dessous. • Peak flow avant aérosols : 360 l/min, 63 % du prédit. • Atrovent Ventolin. • Peak flow après aérosols : 390 l/min, 69 % du prédit. • Intervention brève pour l'arrêt du tabac. • Spiriva 18 µg 1x/jour. • Suivi pneumologique recommandé. • Arrêt de travail. Laboratoire : cf. annexes. CT-scanner injecté nécessaire pour diagnostic principal : décrit ci-dessous. Laboratoire : cf annexes. Culture urinaire du 21.01.2019 : Escherichia Coli multisensible. Laboratoire : cf. annexes. Dans la norme. Laboratoire : cf. annexes. dans la norme. Laboratoire : cf. annexes. Dans la norme. CT-scan cérébral natif et injecté : citernes basales et mésencéphaliques et système ventriculaire de morphologie normale. Calcifications physiologiques et structures médianes de position normale. Pas d'altération des sillons cérébraux. Absence d'hémorragie intraparenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de lésion focale parenchymateuse. Pas de collection sous-durale. Après injection, pas de prise de contraste pathologique aux étages supra et infra-tentoriels. Bonne opacification des sinus veineux intracrâniens. Épaississement muqueux de multiples cellules éthmoïdales, mais les sinus de la face sont libres. CONCLUSION : pas de thrombose des sinus veineux. Laboratoire : cf. annexes. D-dimères à 569 ng/mL, troponines à H0 à 7 ng/L, H3 à 9 ng/L. CT-scan thoracique natif et injecté : examen réalisé avec injection de produit de contraste iv (80 cc de Xenetix 350). Pas de comparatif. Opacification sous-optimale des artères pulmonaires en distal, notamment au niveau basal avec artefacts respiratoires. Absence de signe d'EP proximale et jusqu'en segmentaire. On ne peut exclure des EP au niveau sous-segmentaire en raison d'artefacts respiratoires, notamment au niveau de la base gauche. Aorte de calibre normal, régulier, sans signe de dissection, bonne perméabilité de l'origine des vaisseaux pré-cérébraux et des vaisseaux sous-claviers. La trachée et les bronches sont libres. L'œsophage se présente normalement. Adénopathies dans le médiastin, en pré-aortique, mesurant 18 mm, au niveau du hile droit, mesurant 20 mm. Multiples micros nodules pulmonaires, du segment dorsal du lobe supérieur droit mesurant de 4 à 5 mm ainsi qu'au niveau du segment apical du LID et de l'apex gauche sous-pleuraux. Pas d'épanchement pleural, pas d'épanchement péricardique. Hernie hiatale. Les structures osseuses se présentent normalement. Pas d'anomalie de la paroi thoracique. CONCLUSION : absence d'EP proximale jusqu'au niveau des artères segmentaires. On ne peut exclure des EP au niveau sous-segmentaire en raison d'artefacts respiratoires, notamment au niveau de la base gauche. Multiples adénopathies hilaires droites et médiastinales non spécifiques. Micronodules de 4-5 mm du LSD et du lobe supérieur gauche et du segment apical du LID et micronodules sous-pleuraux. DD sarcoïdose ? Laboratoire : cf. annexes. D-dimères négatifs. Laboratoire : cf. annexes. D-dimères négatives. Troponines H 0 < 5 ng/L. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal à 73/min, PR 168 ms, QRS fins à 80 ms, QRS d'axe 59°, transition de l'onde R en V3, ST iso-électrique, QTc 431 ms. Radiographie du thorax face : thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax. Laboratoire : cf. annexes. D-dimères 190 ng/mL, aligné. Laboratoire : cf. annexes. Discrète leucocytose à 12,6 G/l, alcoolémie à 1,52. Stix urinaire : pas de sang dans les urines. CT-scan du massif facial + cérébral natif : absence de comparatif CT. Fracture plurifragmentaire déplacée vers la droite des os propres du nez gauche et droit. Comblement du maxillaire gauche. Le reste des sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes sont libres. Absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Système ventriculaire et citernes de morphologie normale. Calcifications physiologiques et structures médianes de position normale. Pas de lésion focale parenchymateuse. Pas d'altération des sillons cérébraux. Hématome sous-cutané frontal droit. CONCLUSION : absence de saignement intracrânien. Fracture plurifragmentaire déplacée vers la droite des os propres du nez gauche et droit. Comblement du sinus maxillaire gauche. Hématome sous-cutané frontal droit. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. CT-scan abdominal natif et injecté : examen réalisé avant et après injection intraveineuse de 80 ml de Iomeron 400. Comparatif du 28 décembre 2018. Diminution de l'hématome du muscle grand droit, mesuré ce jour à une épaisseur de 25 mm contre 37 mm précédemment, dans l'axe antéro-postérieur, sans saignement actif mis en évidence. Pas de changement de l'infiltration des tissus mous sous-cutanés de la paroi abdominale antérieure. Coprostase intéressant l'ensemble du calibre colique, en majoration par rapport au dernier examen sans signe d'iléus. Hernie inguinale bilatérale à contenu graisseux et digestif du côté gauche et vésical du côté droit sans signe de complication. Absence de pneumopéritoine ni de liquide libre intra-péritonéal. Le reste de l'examen est superposable au précédent, sans nouvelle lésion traumatique mise en évidence. NOTE : l'examen a été réalisé à l'hôpital de Riaz, et interprété en téléradiologie depuis l'hôpital cantonal de Fribourg, avec transmission des résultats par téléphone au médecin en charge du patient. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. CT-scan thoracique natif et injecté et CT-scan de l'abdomen natif et injecté : mise en évidence d'un épanchement hyperdense hétérogène au niveau de l'espace intra-médiastinal postérieur avec épanchement pleural bilatéral. Intégrité des cavités cardiaques. Multiples ganglions médiastinaux. Discret effet de masse par l'épanchement sur l'oreillette gauche. Pas d'anomalie parenchymateuse pulmonaire d'allure suspecte. Étage abdomino-pelvien : on trouve l'anévrisme de l'aorte abdominale essentiellement sus-rénale avec fuite de produit de contraste sous forme d'image serpigineuse hyperdense colmatée par le sac anévrismal. Pas d'image d'hémopéritoine ou d'hémo-rétropéritoine. Reins atrophiques d'insuffisance rénale chronique. Pancréas, foie, rate d'aspect normal. CONCLUSION : aspect très probablement évocateur d'une endofuite compliquée de rupture au niveau de l'espace intra-médiastinal postérieur avec épanchement pleural bilatéral sans hémopéritoine ou hémo-rétropéritoine. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Départ pour le RFSM de Marsens, par ses propres moyens. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Isoket 1 push. Nifédipine 20 mg retard. Amlodipine 5 mg. Observation aux urgences. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Pantoprazole 40 mg iv, Adalat 20 mg retard PO, Morphine iv. Aspirine 500 mg, Héparine 5000 UI, Brilique 180 mg. Transfert aux soins intensifs et continus à l'HFR Fribourg avec l'accord du médecin de garde. Départ en ambulance. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. QTc long congénital à 539 ms connu, onde T négative en II, III, aVR, aVF et V1-V5 (pas de comparatif). Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Recherche de sang occulte dans les selles : positive. Nexium bolus 80 mg iv puis 8 mg/h. Hydratation avec NaCl et Ringerlactate (en total environ 2 litres). Primperan en réserve. Mr. Y à jeun strict. Groupe sanguin. Transfusion de deux culots érythrocytaires aux urgences. Somatostatine 0.05 mg en bolus puis 0.025 mg/h. Erythromycine 500 mg 1x. Gastroscopie le 10.01.2019. Rocéphine 2 g iv (prophylaxie). Transfert aux Soins Intensifs B de l'HFR Fribourg le 10.01.2018 sur avis du Dr. X et de la gastroentérologue Mme. Y. Départ en ambulance. Poursuite de la Somatostatine 0.025 mg/h et prévoir transfusion d'un 3ème culot érythrocytaire le 10.01.2018. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. RSR à 70 bpm, pas de signe d'ischémie active. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal à 65/min, PR à 168 ms, QRS d'axe 80°, QRS fins à 90 ms, transition de l'onde R en V3-V4, sus décalage isolé en DII (connu), QTc à 373 ms. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier à 100/min, QRS à 80°, QRS fins à 76 ms, transition de l'onde R en V3-4, ST iso-éléctrique, QTc à 506 ms. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier à 76/min, QRS à -26°, QRS fins à 92 ms, transition de l'onde R en V5, pas de signe d'ischémie, QTc à 427 ms. Test de Schellong : négatif. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier à 79/min, axe 65°, QRS fins à 80 ms, transition de l'onde R en V2, pas de signe d'ischémie, QTc 391 ms. Sédiment urinaire : cf. annexes. Radiographie du thorax face : pas de pneumothorax décelable. Aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier à 82/min, axe QRS à 52°, QRS fins à 82 ms, transition de l'onde R en V2, pas de signe d'ischémie avec ST isoéléctrique. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier à 91/min, PR à 146 ms, QRS fins à 92 ms, axe du QRS à 26°, transition de l'onde R en V3, ST iso-éléctrique, QTc à 410 ms. Laboratoire : cf annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, normocarde à 66 bpm, axe normal à 39°, QRS fins à 92 ms, segment ST iso-électrique, pas de trouble de la repolarisation, transition de l'onde R en V4. QTc 387 ms. Radiographie du thorax face : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Minime épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. CT-scan abdominal injecté : le foie est de taille, de configuration et de densité normales. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Aucun calcul radio opaque n'est objectivé dans la vésicule. La rate, le pancréas et les surrénales ont une morphologie normale. Les reins sont de taille et de configuration normales, sans dilatation du système excréteur. Pas de liquide libre intrapéritonéal. Quelques irrégularités des plateaux vertébraux dorsaux inférieurs et lombaires supérieurs avec de petits nodules de Schmorl. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Sur les coupes passant par les bases pulmonaires, on visualise un minime épanchement pleural gauche, de densité liquidienne avec petite atélectasie de contact. Pas de fracture de côte mise en évidence. CONCLUSION : pas de lésion des organes pleins, ni de liquide libre intrapéritonéal. Minime épanchement pleural gauche de densité liquidienne. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, normocarde à 83 bpm, axe normal à 43°, QRS fins à 90 ms, transition de l'onde R en V3, segment ST isoélectrique, QTc à 436 ms. Radiographie du thorax face : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, normocarde à 88 bpm, axe gauche à 11°, QRS fins à 146 ms, segment ST iso-électrique, QTc à 446 ms. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, tachycarde à 100 bpm, axe normal à 72°, QRS fins à 82 ms, segment ST iso-électrique, onde T négative chez une jeune en V1 concordante, QTc à 452 ms. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal, sans modification du segment ST. Hydratation Ringer Lactate 500 ml par les ambulanciers, 500 ml de NaCl, en cours 1000 ml de Glucosalin d'entretien. Mme. Y sondée, suivi de diurèse. Avis du Dr. X, chirurgien. CT-scan abdominal : décrit ci-dessous. Radiographie : décrite ci-dessous. À jeun. Antalgie Péthidine 50 mg i.v, puis 25 mg. Transfert à l'HFR Fribourg, départ en ambulance. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal tachycarde à 106/min, QRS d'axe normal à 82°, QRS fins à 100 ms, transition de l'onde R en V3, pas de signe d'ischémie, QTc à 421 ms. Sédiment urinaire : cf. annexes. Hémoculture : à suivre. Urotube : à suivre. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Surveillance clinique. Avis du Dr. X, de médecine interne. Consultation de contrôle chez le médecin traitant. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Test de Schellong : sans particularité. Avis et passage du Dr. X et du Dr. X, de médecine interne. Pas de conduite pour le retour en Allemagne. Décharge signée. Bilan plus avancé en Allemagne dès son retour. Laboratoire : cf annexes. ECG : RSR, QRS fin, pas de bloc de branche, pas de trouble de la repolarisation. Ultrason abdominal 06.01.2019 : Vésicule biliaire à parois épaissies à 7 mm, feuilletées, avec présence de sludge. CT abdominal 06.01.2019 : Pas de signe d'ischémie mésentérique du tube digestif ni de colite transverse. Empreinte du ligament arqué sur l'origine du tronc cœliaque. Suspicion de sludge vésiculaire à l'abouchement du canal cystique, avec signes de cholécystite débutante. Pas de calcul radio-dense mis en évidence à corréler à un ultrason des voies biliaires. Histologie : cf annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG : rythme sous pacemaker à 64/min, régulier, QRS à -48° et à 118 ms. cf. annexes. Test de Schellong : négatif. Laboratoire : cf annexes. ECG du 05.12.2018 : rythme électro-entraîné à 88 bpm, PR à 124 ms, QRS élargis à 210 ms avec aspect de bloc de branche gauche complet avec un axe hypergauche à -60°. QTc à 524 ms, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active (ECG superposable). Laboratoire : cf annexes. ECG du 05.12.2018 : rythme sinusal à 57 bpm, PR à 160 ms, QRS fins à 80 ms avec un axe à 45°, QTc à 400 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V3, ST isoélectrique avec un décalage de 1 mV isolé en V2, pas de signe d'ischémie active, pas d'onde Q pathologique. Radiographie épaule D face/profil du 06.12.2018 : arthrose gléno-humérale marquée avec des réactions ostéophytaires prédominant dans la partie inférieure des surfaces articulaires de la tête humérale et de la glène. Importante diminution de l'espace sous-acromial avec réaction ostéosclérotique sous-acromiale et de la tête humérale en regard, évoquant une rupture du tendon distal du muscle sus-épineux. Laboratoire : cf annexes. ECG du 07.01.2019 : rythme sinusal à 72 bpm, PR 140 ms, QRS fins à 80 ms avec un axe à 30°, QTc à 418 ms, bonne progression de l'onde R avec transition en V3, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active.Laboratoire : cf annexes. ECG du 07.01.2019 : rythme sinusal à 90 bpm, PR à 160 ms, QRS fins à 86 ms avec un axe à 12°, QTc à 446 ms, bonne progression de l'onde R avec transition en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. Radiographie genou D du 08.01.2019 : arthrose tricompartimentale déjà très avancée avec des réactions ostéophytaires prédominant au niveau du compartiment FTI. Calcifications artérielles avancées et déminéralisation osseuse diffuse. Laboratoire : cf annexes. ECG du 09.01.2019 : rythme sinusal à 73 bpm, BAV 1er degré avec PR 218 ms, QRS fins à 108 ms avec un axe à 5°, QTc à 449 ms, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, T concordant, bonne progression de l'onde R avec transition en V4. Radiographie épaule G face/Neer du 14.01.2019 : pas de déplacement secondaire de la fracture du tiers proximal de l'humérus. Bonne congruence gléno-humérale. Le reste du statut est inchangé. Radiographie genou G face/profil + rotule axial du 14.01.2019 : prothèse du genou en place. On trouve par ailleurs la clarté déjà connue en rapport avec une fracture multi-fragmentaire ancienne de la rotule sans déplacement secondaire. Laboratoire : cf annexes. ECG du 11.12.2018 : rythme sinusal à 88 bpm, PR 160 ms, QRS fins à 80 ms avec un axe dévié à gauche à -30°, QTc 427 ms, bonne progression de l'onde R dans les précordiales avec transition en V2, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, pas d'onde Q pathologique. Gazométrie du 11.12.2018, sous O2 2 lt/min : pH 7.46, pCO2 5.62 kPa, pO2 9.0 kPa. SpO2 94.3 %, HCO3 29.9 mmol/l. Laboratoire : cf annexes. ECG du 12.12.2018 : rythme sinusal à 89 bpm, PR à 120 ms, QRS fins à 80 ms avec un axe dévié à gauche à -50°, QTc à 444 ms, bonne progression de l'onde R dans les précordiales avec transition en V2, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. Gazométrie du 12.12.2018, sous O2 1 lt/min : pH 7.42, pCO2 6.29 kPa, pO2 7.7 kPa, SpO2 88.4 %, HCO3 30.0 mmol/l. Gazométrie du 27.12.2018, à l'air ambiant : pH 7.47, pCO2 4.86 kPa, pO2 7.8 kPa, SpO2 92.1 %, HCO3 25.9 mmol/l. Spirométrie du 18.12.2018 : CVF 51 % du prédit, VEMS 23 % du prédit, Tiffeneau 38 %. Polygraphie nocturne du 17.12.2018, sous 1 lt/min : IAH 37.3/h, IDO 2.3/h, SpO2 moyenne 85.1 %. Capnographie nocturne du 17.12.2018, sous O2 1 lt/min : tpCO2 6.9 kPa, SpO2 86.7 %, indice de désaturation par heure 1.63. Laboratoire : cf annexes. ECG du 13.12.2018 : rythme sinusal à 85 bpm, PR à 160 ms, QRS fins à 80 ms, avec un axe à 12°, QTc à 419 ms, bonne progression de l'onde R dans les précordiales avec transition en V2, ST isoélectrique dans toutes les dérivations sans signe d'ischémie active, pas d'onde Q pathologique. Présence d'une extrasystole supraventriculaire. Radiographie bassin et hanches en axiale droite et gauche du 21.12.2018 : st/p cimentoplastie des ailerons sacrés après fracture de fatigue en H. Cimentoplastie de la branche ilio-pubienne et du pubis à gauche. Importantes lésions dégénératives des derniers espaces intersomatiques lombaires avec atteinte interfacettaire postérieure prédominant à gauche. Articulations coxo-fémorales conservées ddc, sans remaniement dégénératif osseux visible. Sphéricité conservée des têtes fémorales. Massifs trochantériens sp ddc. Laboratoire : cf annexes. ECG du 14.01.2019 : rythme sinusal à 71 bpm, axe dans la norme, intervalles PR, QRS et QTc dans la norme, pas de trouble de la repolarisation ni de la conduction. Gazométrie du 14.01.2019, à l'air ambiant : pH 7.5, SpO2 99.6 %, pO2 14.4 kPa, pCO2 4.37 kPa, HCO3- 25.4 mmol/l (valeurs non fiables à cause d'une probable bulle d'air dans l'échantillon). Gazométrie du 22.01.2019, à l'air ambiant : pH 7.45, SpO2 96.9 %, pO2 10.4 kPa, pCO2 4.82 kPa, HCO3- 24.8 mmol/l. Spirométrie du 15.01.2019 : CVF 85 % du prédit, VEMS 45 % du prédit, Tiffeneau 41.1 %. Diffusion du CO du 15.01.2019 : DLCO 38 %. Radiographie thorax du 15.01.2019 : aspect distendu avec hyperclarté pulmonaire bilatérale. Aplatissement des coupoles diaphragmatiques de façon bilatérale. Pas d'épanchement pleural décelable. Test des 6 minutes, à l'entrée : distance parcourue 270 m. FC 70-75 bpm, TA 150/91 mmHg - TA 149/99 mmHg, satO2 97 % - 93 %, EVA dyspnée 4/10 - 6-7/10. Test des 6 minutes, à la sortie : distance parcourue 315 m. FC 63-67 bpm, TA 136/82 mmHg - TA 143/81 mmHg, satO2 96 %, EVA dyspnée 0/10 - 6/10. Laboratoire : cf annexes. ECG du 17.12.2018 : rythme sinusal à 66 bpm, PR à 180 ms, QRS fins à 80 ms avec un axe à 20°, QTc à 377 ms, bonne progression de l'onde R avec transition en V3, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. Laboratoire : cf annexes. ECG du 27.12.2018 : rythme sinusal, FC 90 bpm, axe dans la norme, intervalles PR, QRS, QTc dans la norme, pas de troubles de la repolarisation ni de la conduction. Radiographie hanche D du 04.01.2019 (comparatif du 20.12.2018) : la prothèse cimentée est en place, sans signe de complication précoce. Retrait du drain en projection des parties molles. Calcifications vasculaires artérielles. Laboratoire : cf annexes. ECG du 27.12.2018 : rythme sinusal à 82 bpm, PR à 160 ms, QRS fins à 88 ms avec un axe à 80°, QTc à 433 ms, bonne progression de l'onde R avec transition en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. Laboratoire : cf annexes. ECG du 28.12.2018 : rythme sinusal à 78 bpm, PR à 180 ms, QRS fins à 80 ms avec un axe à 0°, QTc à 398 ms, bonne progression de l'onde R avec transition en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. Radiographie bassin face et hanche D du 04.01.2019 : articulations sacro-iliaques symétriques. Lésions dégénératives modérées du pied des articulations sacro-iliaques. St/p enclouage par clou PFN alpha du fémur droit. Matériel en place, intact. Avulsion-crânialisation du petit trochanter. A gauche, st/p enclouage par clou PFN du col fémoral. Avulsion-crânialisation d'un fragment du petit trochanter. Actuellement, pas de lésion traumatique osseuse récente visible. Sclérose aortique. Radiographie colonne lombaire du 04.01.2019 : contenu calcique dans la norme. Discrète composante scoliotique dextro-convexe avec minime composante rotatoire. Pincement intersomatique D12-L1. Discrète cunéiformisation de D12 sans perte de hauteur du mur postérieur. Pas de fracture / tassement concave visible. Importante arthrose interfacettaire postérieure bilatérale des deux derniers espaces intersomatiques lombaires évoquant un canal secondaire étroit dégénératif. Maladie de Baastrup. Doppler veine jambe D du 10.01.2019 : pas de TVP objectivée au niveau du MID. Evaluation neuropsychologique du 07.01.2019 : cf rapport. Laboratoire : cf annexes. Envoyé à Fribourg le 08.01.2019 au matin. Laboratoire : cf annexes. Formule normale, K 3.4 mmol/l, CRP négative, bilirubine directe 4.5 µmol/l, lipase 120 U/l, reste des tests hépatiques et pancréatiques sp. Laboratoire : cf annexes. Frottis naso-pharyngé : en cours, à suivre le 29.01.2019. Laboratoire : cf annexes. FSS, CK, lactate, iono négatif, troponines 5 ng/L, 2ème contrôle à 6 ng/L. ECG : cf annexes. Rythme régulier, T proéminent, pas de signe d'ischémie. Score de Genève low risk, mais antécédent de fumeur et voyage récemment --> D-dimères < 190 ng/mL. Laboratoire : cf annexes. FSS et chimie normales, D-Dimères 569 ng/mL. Laboratoire : cf annexes. Gazométrie : cf annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Oxygénothérapie. Atrovent, Ventolin, Pulmicort et Solumedrol 125 mg iv aux urgences. VNI aux urgences. Morphine 2 mg sous-cutanée aux urgences. Patient intubé aux urgences de l'HFR Riaz. Transfert avec le SMUR aux soins intensifs de l'HFR Fribourg. Laboratoire : cf annexes. Hb à 139 g/l, INR 2.4, PTT 50.Laboratoire : cf. annexes. Hb 114 g/l, CRP 10 mg/l, leucocytes 6.3 G/l, Na 133 mmol/l, troponines 115 ng/L à H0, 113 ng/L à H1 et 109 ng/L à H3. ECG : cf. annexes. RSR à 100 bpm, PR à 122 ms, QRS dans la norme avec un axe à -40°, QTc à 460 ms, absence d'ondes Q pathologiques, présence de sus-décalages connus en V1-V2-V3. Laboratoire : cf. annexes. Hb 130 g/l. Laboratoire : cf. annexes. Hb 132 g/l, leucocytes 4.9 G/l, CRP 12 mg/l, créatinine 44 µmol/l, pas de trouble électrolytique. Laboratoire : cf. annexes. Hb 139 mg/l, tests hépato-biliaires dans les normes (ASAT 23 U/l, ALAT 20 U/l, LDH 383 U/l, PAL 82 U/l, GGT 42 U/l, amylase 65 U/l, lipase 60 U/l), crase dans les normes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Erythrocytes < 3/champs. Radiographies de thorax face/profil : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Hypoventilation basale gauche. Pas d'épanchement pleural à droite. Pas de foyer de condensation décelable de façon bilatérale. Aorte déroulée et calcifiée. Lésions dégénératives étagées de la colonne dorsale. CT-scan cérébral natif et CT-scan abdominal injecté : Cérébral : pas de fracture des os du crâne et du massif facial. Absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale. Système ventriculaire et citernes de morphologie normale. Calcifications physiologiques et structures médianes de position normale. Sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes libres. Abdomen : le foie est de taille, de configuration et de densité normales. Pas de dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques. Aucun calcul radio opaque n'est objectivé dans la vésicule. La rate, le pancréas et les surrénales ont une morphologie normale. Les reins sont de taille et de configuration normales, sans dilatation du système excréteur. Petit calcul au niveau du groupe caliciel inférieur du rein droit avec également un kyste cortical en regard. Infiltration de la graisse en périphérie des vaisseaux mésentériques avec également des ganglions agrandis. Athéromatose calcifiée diffuse encore modérée, sans sténose ni anévrisme. Pas de liquide libre intra-péritonéal. Diverticulose du côlon descendant et du sigmoïde d'aspect calme. Pas de pathologie gynécologique visualisée. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis lombaire avec surtout une arthrose des facettes articulaires postérieures ainsi qu'une discopathie de niveau L5-S1. CONCLUSION : cérébral : CT cérébral dans la norme, sans lésion traumatique. Abdomen : pas de lésion des organes pleins, ni de liquide libre intrapéritonéal. Infiltration de la graisse en périphérie des vaisseaux mésentériques avec également des ganglions agrandis (panniculite mésentérique ?) à confronter avec la clinique. Laboratoire : cf. annexes. Hémocultures : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Hydratation aux urgences. Primpéran 10 mg. Avis psychiatre de garde Dr. X. Retour à domicile avec suivi ambulatoire. Laboratoire : cf. annexes. Hydratation IV avec Nacl 1500 ml/24 heures. Prochain contrôle le 09.01.2019. Laboratoire : cf. annexes. Hydratation. Taux de carbamazépine en cours. Observation aux urgences. Retour à domicile accompagné par la mère. Laboratoire : cf. annexes. K 2.9 mmol/l, leucocytes 11.7 G/l, CRP négative, reste normal. ECG : RSR à 97 bpm, PR 120 ms, QRS fins normoaxés, pas de troubles significatifs de repolarisation, d'ischémie active ni de HVG. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. K 2.9 mmol/l. ECG : cf. annexes. Substitution per os par KCl 3x30 mmol pendant 3 jours. Laboratoire : cf. annexes. K 3.5 mmol/l, Hb 167 g/l, thrombocytes 253 G/l, PTT 35 sec, TP 100 %. Laboratoire : cf. annexes. Légère augmentation de la créatinine, troponines T0, T1 et T3 légèrement augmentés mais sans modification en dynamique. ECG : cf. annexes. FA avec transmission ventriculaire moyenne, axe HG, sus-décalage ST de 2 mm en V1 et V2, ondes T négatives en aVL, D2, aVL, V5 et V6 - superposable à l'ancien ECG. Radiographie du thorax face/profil : par rapport au 04.01.2019, silhouette cardiaque inchangée. St/p sternotomie. Sclérose et déroulement de l'aorte thoracique. Apparition d'un discret flou péri-hilaire un peu plus marqué à la base droite. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Laboratoire : cf. annexes. Légère insuffisance rénale déjà connue. CT-scan de la colonne cervicale natif : lésions dégénératives du rachis cervical encore modérées pour l'âge de la patiente, avec surtout une arthrose des facettes articulaires postérieures prédominant entre C2 et C5 du côté G, sans lésion osseuse traumatique visualisée. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Pas d'épaississement des tissus mous pré-vertébraux. CONCLUSION : pas de lésion osseuse traumatique. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 10.5 G/l, CRP < 5 mg/l. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 10.5 G/l, CRP < 5 mg/l. Pantozol 2x/jour pour 2 semaines avec Ulcar en réserve. Stimulation hydratation per os. Rendez-vous prévu avec son médecin traitant demain. Rendez-vous chez le médecin traitant à la fin du traitement : si persistance ou récidive des douleurs discuter d'une OGD. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 10.5 G/l, CRP 177 mg/l. Urotube : 10 E5 contamination. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 10.5 G/l, CRP < 5 mg/l, Hb 159 g/l, créatinine 52 µmol/l, Na 138 mmol/l, K 3.9 mmol/l. Laboratoire de contrôle : CRP < 5 mg/L, leucocytes 9.1 G/l. Stix/sédiment urinaire : cf. annexes. Leucocytes, nitrites et sang négatifs. bHCG urinaire : négatif. Ultrason abdominal complet natif : pancréas en place, homogène. Foie en place, de taille normale, d'échostructure conservée, au parenchyme homogène sans lésion focale. Vésicule biliaire alithiasique, à parois fines, indolores. Rate de taille normale, homogène, de diamètre bipolaire de 11 cm. Les reins sont en place, de taille normale, d'échostructure conservée, sans dilatation pyélocalicielle ou calcul visible. Gros vaisseaux rétropéritonéaux de calibre conservé. Vessie peu remplie, limitant l'analyse du petit bassin. Ovaires masqués par les superpositions aérodigestives. Pas de masse pelvienne. L'appendice n'est pas retrouvé. L'analyse rétrospective du scanner du 23.10.2012 montre un caecum bas localisé dans le pelvis. Ce jour, pas de douleur à l'appui profond de la sonde au niveau du petit bassin. Pas de liquide libre. CONCLUSION : appendice non visualisé. Vessie en faible réplétion. Pas de masse pelvienne. Pas de liquide libre. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 10.7 G/l, CRP 10 mg/l, créatinine 64 µmol/l, Na 140 mmol/l, K 3.9 mmol/l. Ultrason de l'abdomen complet et natif : le foie est de taille normale, de contours réguliers, d'échostructure homogène. La vésicule biliaire est contractée. Le pancréas, la rate et les reins sont sp. Pas de liquide libre en intrapéritonéal. Appendice non visible. Pas de masse ovarienne décelable. CONCLUSION : ultrason sans anomalie significative. Appendice non visible. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 11.1 G/l (16.6 G/l), CRP 145 mg/l (119 mg/l). Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 11.2 G/l, CRP normale, troponines négatives. ECG : cf. annexes. RSR, axe HG, fréquence 100 bpm, onde P négative en V1, bloc de branche droit incomplet, pas de trouble de repolarisation. Radiographie du thorax en chambre : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable de façon bilatérale. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 11.6 G/l, CRP négative, hyponatrémie à 129 mmol/l, reste sp. ECG : cf. annexes. RSR 98 bpm, BAV 1° (202 PR), QRS fins normoaxés, pas de troubles de repolarisation ni signes d'ischémie active, pas d'ondes Q pathologiques, mais signes d'HVG avec Sokolov à 3.9 mV.Radiographie du thorax face : surélévation de l'hémicoupole diaphragmatique gauche. Cœur de taille à la limite supérieure de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de signe notable d'insuffisance cardiaque, ni d'ailleurs de foyer, d'infiltrat ou d'épanchement pleural. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 11,6 G/l, CRP 8 mg/l, VS 30. Radiographie du pied entier droit : pas de lésion osseuse visualisée, notamment pas de séquelle d'arthrite. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 12.2 G/l, CRP 57 mg/l, créatinine 79 µmol/l, Na 138 mmol/l, K 4.6 mmol/l. Stix/sédiment urinaire : leucocytes +++, nitrites négatifs, sang ++++. Cf. annexes. Urotube : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 13.8 G/l, CRP 145 mg/l, reste sp. Avis ORL du Dr. X : poursuite de l'antibiothérapie en place, antalgie, prise en charge vendredi 04.01.2019 à sa consultation. Si le kyste devient rouge et chaud dans l'intervalle, ad nouvelle consultation aux urgences pour incision drainage. Antalgie, retour à domicile. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 14.1 G/l, CRP 26 mg/l, créatinine 77 µmol/l, Na 140 mmol/l, K 3.6 mmol/l. Stix/sédiment urinaire : cf. annexes. Leucocytes +++, nitrites positifs, sang +++. Urotube : suivra. Dépistage chlamydia/gonorrhée : suivra. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 14.3 G/l, CRP 9 mg/l. Radiographie de la cheville droite face : pas de corps étranger radio-opaque visualisé, ni d'ailleurs de lésion osseuse sur la seule incidence de face à disposition. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 15.4 G/l, CRP 30 mg/l, acide urique 260 µmol/l, crase sp. Stix et sédiment urinaire : sp. Cf. annexes. Radiographie du genou gauche et rotules des deux côtés : clou centromédullaire partiellement visible avec 2 vis de verrouillage qui ne sont plus en place, complètement sorties de leur emplacement. Importante gonarthrose tricompartimentale avec des réactions ostéophytaires ainsi qu'un pincement FTI sévère. Au niveau du compartiment FTE, on visualise des calcifications évoquant une chondrocalcinose, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. (Dr. X). Ponction articulaire : évacuation de 80 ml de liquide synovial jaune paille. 15000 éléments, PMN 70 %, lymphocytes 27 %, protéine 42 g/l, glucose 3.99 mmol/l. Coloration de Gram négative. Pas de cristaux. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 15.4 G/l, CRP 30 mg/l, acide urique 260 µmol/l. Radiographie du genou gauche face/profil/axiale : décrite ci-dessous. Ponction articulaire diagnostique (Dr. X, Dr. X) : décrite ci-dessous. Avis orthopédique du Dr. X : bandage élastique avec charge selon douleurs. Pas d'anticoagulation prophylactique. Suivi orthopédique à l'HFR Riaz refusé par le patient, il souhaite poursuivre la prise en charge orthopédique en France. Arrêt de travail. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 16 G/l, CRP 20 mg/l, Hb 124 g/l, créatinine 82 µmol/l, ASAT 20 U/l, ALAT 25 U/l, LDH, PA 297 U/l, GGT 19 U/l, Bilirubine totale 4.1 µmol/l, Bilirubine conj 1.8 µmol/l, amylase totale 54 U/l, lipase 19 U/l. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 17 G/l, Neutrophiles 13.8 G/l, Hb 131 g/l, CRP 66 mg/l, Na 136 mmol/l, D-Dimères 681 ng/mL. ECG : cf. annexes. RSR à 88/min. PR 132 msec, régulier. QSR fin à 80 msec, axe normal à 45°. Transition de l'onde R en V4. Pas d'onde Q. Pas de sus-sous ST. Onde T inversée en III. QTc à 402 msec. CT-scan thoracique pour recherche d'embolie pulmonaire, injecté : Thorax : embolie pulmonaire segmentaire latéro-basal du lobe inférieur droit, associée à une consolidation sous-pleurale avec plages en verre dépoli, mesurant approximativement 50 x 43 mm (sur le plan axial) en distalité de l'embolie, compatible avec un infarctus pulmonaire. Présence de quelques défauts d'opacification dans les artères sous-segmentaires du segment postéro-basal du lobe inférieur droit, compatibles avec des embolies pulmonaires. Pas de dilatation du tronc pulmonaire, ni de répercussion sur les cavités cardiaques droites avec un rapport VD/VG <1. Dans le parenchyme pulmonaire, présence de plages en verre dépoli dans la pyramide basale du lobe inférieur droit, associées à quelques consolidations sous-pleurales (dd : Troubles ventilatoires dus aux douleurs respiro-dépendantes ? Infarctus pulmonaires sous-pleurales, en distalité d'embolies pulmonaires sous-segmentaires ?). Pour le reste, les structures médiastinales et cardiaques ont une morphologie normale. Aorte thoracique de calibre régulier. Absence d'adénopathie médiastinale et axillaire. Pas de nodule suspect individualisé dans le parenchyme pulmonaire. Absence d'épanchement pleural. Sur les coupes passant par l'étage abdominal : sous réserve d'un temps d'injection précoce, les morphologies des parenchymes hépatique, splénique, pancréatique, surrénaliens et rénaux se présentent normalement. Osseux : absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. CONCLUSION : embolies pulmonaires segmentaires latéro-basal et sous-segmentaires postéro-basal du lobe inférieur droit, associées à un infarctus pulmonaire (segment latéro-basale), sans répercussion sur le tronc pulmonaire et les cavités cardiaques droites. Présence de plages en verre dépoli dans la pyramide basale du lobe inférieur droit, possiblement en lien avec des troubles ventilatoires dus aux douleurs respiro-dépendantes (dd : Infarctus pulmonaires dus aux embolies pulmonaires sous-segmentaires postéro-basal ?). Examen réalisé par télé-radiologie depuis l'hôpital cantonal de Fribourg avec résultats transmis à 22h40 au Dr. X. (Mme. Y). Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 1.9 G/l avec 63 % de segmentés, pas de bâtonnet, CRP 66 mg/l, érythrocytes 2.81 T/l, Hb 98 g/l. Hémocultures : cf. annexes. Pas de bouteille positive. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 3.9 G/l, CRP à 22 mg/l. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 4.2 G/l, CRP 66 mg/l, Hb 139 g/l, Glu 4.9 mmol/l, créatinine 74 µmol/l, Na 137 mmol/l, K 3.9 mmol/l. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 4.3 G/l, CRP 10 mg/l, Hb 137 g/l, créat 57 µmol/l, Glu 5.4 mmol/l, Na 141 mmol/l, K 3.9 mmol/l. Radiographie du thorax face/profil : par rapport au comparatif du 08.10.2018, on retrouve le status post-sternotomie pour pontage aorto-coronarien. Cœur de taille dans les limites de la norme, sans signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 5.1 G/l, CRP 8 mg/l, Na 138 mmol/l, K 3.9 mmol/l, ASAT 19 U/l, ALAT 14 U/l, LDH 514 U/l, PA 86 U/l, GGT 22 U/l, Amyl 77 U/l, Lipase 39 U/l. Stix/sédiment urinaire : cf. annexes. Leucocytes, nitrites, sang négatif. Radiographie du thorax face : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. St/p cerclages et sternotomie. Emoussement modéré du cul-de-sac costo-diaphragmatique à gauche. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 5.3 G/l, CRP < 5 mg/l. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 5.3 G/l, CRP 17 mg/l, éosinophiles 5.8 %, créatinine 80 µmol/l, Na 140 mmol/l, K 5.1 mmol/l. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 5.5 G/l, CRP 17 mg/l, créat 81 µmol/l, Na 135 mmol/l, K 3.9 µmol/l. Monotest EBV : négatif. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 5.5 G/l, CRP 17 mg/l, créatinine 81 µmol/l, Na 135 mmol/l, K 3.9 mmol/l. Monotest EBV : négatif. Test de dépistage HIV le 22.01.2019 : en cours. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 5.9 G/l, CRP 10 mg/l, créatinine 94 µmol/l, Na 139 mmol/l, K 3.8 mmol/l. Deux paires d'hémocultures : cf. annexes.Sédiment urinaire : leucocytes <3, érythrocytes <3, sang négatif. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 6.1G/l, CRP <5mg/l, Hb 133g/l, Na 134mmol/l, K 3.4mmol/l, TP 85%, PTT 27sec. ECG : cf. annexes. Sinusal régulier, QRS fins, pas d'élévation ST. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 6.9G/l, CRP 100mg/l. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 7.1G/l, CRP 30mg/l, Na 131mmol/l, K 3.4mmol/l, Osmol sérique 279mosmol/kg, Glu 8.3mmol/l, Créat 54µmol/l. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 7.2G/l, CRP <5mg/l, Hb 139g/l, créatinine 73µmol/l, Glu 5.2mmol/l, Na 138mmol/l, K 3.5mmol/l. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 7.3G/l, CRP 15mg/l, Hb 143g/l, Na 140mmol/l, K 4.1mmol/l, créatinine 129µmol/l. Stix/sédiment : leucocytes 3-5/champ, nitrites positifs, sang ++++. Spot urinaire : post rénal. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 7.4G/l, CRP <5mg/l, créatinine 65µmol/l, Na 139mmol/l, K 3.5mmol/l, Alcool 1.03. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 7.5G/l, CRP <5mg/l, Hb 141g/l, Na 139mmol/l, K 3.3mmol/l, créatinine 57µmol/l, ASAT 22U/l, ALAT 27U/l, LDH 377U/l, PA 104U/l, GGT 24U/l, Bili tot 8.2µmol/l, Amylase 75U/l, Lipase 30, TP 100%, PTT 25s. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 7.7G/l, CRP 41mg/l, bâtonnets 0, Ery 2.61T/I, Hb 91g/l, Na 133mmol/l, K 4.4mmol/l, osmol sérique 283mosmol/kg, créatinine 93µmol/l, Glu 5.8mmol/l, ASAT 26U/l, ALAT 26U/l, LDH 363U/l, PA 88U/l, GGT 54U/l, Bili tot 15.7µmol/l, lipase 92U/l. Stix urinaire et sédiment : cf. annexes. Leucocytes, nitrites, sang négatif. Radiographie du thorax face/profil : aorte déroulée et calcifiée. Ascension de la coupole diaphragmatique gauche avec troubles ventilatoires. Épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. 2 paires d'hémocultures suivront. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 8.4G/l, érythrocytes 4.99 T/l, Hb 159g/l. Ultrason de l'abdomen complet natif : on retrouve une lame d'épanchement hématique au niveau du muscle de la paroi abdominale à D : muscles obliques externe, interne et transverse, étendue sur 5cm de longueur et 6mm d'épaisseur, anéchogène, en voie de résorption. Par ailleurs, pas d'anomalie du foie, de la rate, du pancréas et des reins. Pas de liquide libre en intrapéritonéal. La vascularisation abdominale est conservée. CONCLUSION : aspect d'une lame d'hématome en voie de liquéfaction au niveau des muscles obliques D, étendue sur 5cm x 6mm. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 8.5G/l, CRP 29mg/l, Hb 136g/l, créatinine 57µmol/l, Glucose 6.2mmol/l, Na 139mmol/l, K 3.7mmol/l. Radiographie du thorax face/profil : comparatif du 27.10.2016 : cœur de volume dans la norme, sans signe de décompensation. Épaississement péri-bronchique infra-hilaire droit n'effaçant pas le bord du cœur, pouvant correspondre à un petit foyer débutant. Pas d'épanchement pleural. Squelette visible sans particularité. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 9G/l, CRP 15mg/l, Hb 154g/l, créatinine 99µmol/l, Na 141mmol/l, K 4.7mmol/l, d-dimères 9635 ng/ml. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 9.0G/l, CRP 16mg/l, reste sp. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Traitement symptomatique, reconsultation en cas d'évolution défavorable. Arrêt de travail. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytose à 13.3G/l, CRP 8mg/l. Avis de la Dresse X, orthopédiste. Réfection pansement. Patient adressé au CHUV en chirurgie de la main (garde prévenue). Départ avec son amie. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytose à 16.6G/l avec 14.49 G/l de neutrophiles, pas de CRP. Laboratoire : cf. annexes. Losartan en pause. Hydratation. Laboratoire : cf. annexes. Normal. Laboratoire : cf. annexes. Normal. Sédiment urinaire : négatif. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Normal. ECG : cf. annexes. RSR 96/min avec trigéminisme ventriculaire, PR 140ms, QRS fins normoaxés, QTc 426 ms, pas de signes d'ischémie aiguë ni d'ondes Q pathologiques. Laboratoire : cf. annexes. Paracétamol iv 1 gramme. Hydratation, 1500 ml/3 heures. Voltaren 75 mg. Contrôle chez le médecin traitant si persistance des symptômes. Laboratoire : cf. annexes. Paramètres hépatiques dans la norme, Hb 126 g/l, CRP <5 mg/l, leucocytes 8.6 G/l, créatininémie 69 umol/l. Béta-HCG : 0. Sédiment/stix urinaire : cf. annexes. Érythrocytes 21 - 40/champs, leucocytes 3-5/champs. Radiographie de la colonne cervicale face, profil et axiale : courbure disharmonieuse. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Pas d'épaississement des tissus mous prévertébraux. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée. 2ème sédiment urinaire à distance : pas de microhématurie. Ultrason de l'abdomen complet natif : le foie est de taille normale, de contours réguliers, d'échostructure homogène. La rate et les reins sont sans particularité. Pas de liquide libre en intra-péritonéal. Pas d'anomalie vasculaire décelable par ailleurs. CONCLUSION : ultrason abdominal sans lésion traumatique décelable. CT-scan de la colonne cervicale natif : par rapport à la radiographie standard du même jour, on retrouve une courbure disharmonieuse du rachis cervical, mais avec un bon alignement des murs antérieur et postérieur. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée. Pas d'épaississement des tissus mous prévertébraux. CONCLUSION : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Laboratoire : cf. annexes. Pas de leucocytose, CRP à 29mg/l. Sédiment urinaire : cf. annexes. Dans la norme. Laboratoire : cf. annexes. Pas de perturbation des tests hépatiques, CRP <5mg/l. Avis du Dr X, chirurgien. Sérologie echinococcose. Ultrason Doppler hépatique : décrit ci-dessous. Contrôle à la filière des urgences ambulatoires. Rendez-vous chez le Dr X dans 3 semaines. Laboratoire : cf. annexes. Pas de signe d'inflammation systémique. Laboratoire : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire. Laboratoire : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire. Laboratoire : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire, absence de leucocytose, fonction rénale sp, pas de trouble électrolytique. Laboratoire : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire, INR 3.7 (sous Sintrom), reste sans particularité. Radiographie du genou droit face/profil/axiale : rotule latéralisée, pas de fracture visible. Avis et passage de la Dresse X, orthopédiste. Attelle Jeans. Physiothérapie pour renforcement du quadriceps vaste médial, début à 3 semaines. Consultation chez la Dresse X à 3 semaines. Consultation avant si péjoration clinique. Laboratoire : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire, INR 3.7 (sous Sintrom), reste sans particularité. Radiographie du genou droit et rotule droite : comparatif du 02.11.2018. Discret pincement de l'interligne fémoro-tibial interne inchangé. Pas de fracture. Pas de déficit de l'appareil extenseur. Pas d'épanchement intra-articulaire. Laboratoire : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire, pas d'anémie, pas de trouble électrolytique. CT-scan cérébral natif : les citernes basales et mésencéphaliques ainsi que le système ventriculaire ont une morphologie normale. Les calcifications physiologiques et les structures médianes sont en position normale. Pas d'altération des sillons cérébraux. Pas de lésion focale parenchymateuse. Pas de collection sous-durale. Pas d'hémorragie intraparenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. CONCLUSION : CT scanner dans les limites de la norme, notamment pas d'hémorragie sous-arachnoïdienne.ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier à 95 / min, axe normal, pas de signes d'ischémie active, pas de signe d'HVG, pas d'onde Q pathologique. Laboratoire : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble électrolytique. Stix urinaire : propre. Radiographie du thorax face/profil : comparatif du 08.03.2018. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Ectasie et sclérose de l'aorte thoracique. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Grand volume pulmonaire avec discret remaniement de la trame pouvant correspondre à un emphysème. Pas d'épanchement pleural. Discrète spondylose dorsale. Pas de tassement de la colonne vertébrale. (Dr. X). ECG : cf. annexes. RSR, axe verticale, fréquence 75 bpm, QRS fins, ondes T plates en aVL. Laboratoire : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire, tests hépato-pancréatiques dans la norme. Ultrason abdominal complet natif : le foie est de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans lésion focale décelable. Les voies biliaires ne sont pas dilatées. La vésicule biliaire présente des parois fines et ne contient pas de calcul. Le pancréas et la rate sont sans particularité. Les deux reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. La vessie en réplétion présente des parois fines. Lame de liquide libre en fosse iliaque droite avec également des ganglions mésentériques agrandis mesurés jusqu'à 5 mm de petit axe, mais pas d'image pathognomonique pour une appendicite. CONCLUSION : lame de liquide libre et ganglions mésentériques agrandis en fosse iliaque droite, sans image pathognomonique pour une appendicite visualisée. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire. Appel du Dr. X : frottis de grippe, si positif Tamiflu, si négatif traitement symptomatique en cas d'état général conservé. Frottis grippe naso-pharyngé : en cours. Mme. Y vue avec le Dr. X, de médecine interne. Ordonnance. Contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 29.01.2019 à 9h45. Arrêt de travail pour 48h. Laboratoire : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire. Sédiment urinaire : cf. annexes. GR 21-40/champs, leucocytes 11-20/champs, flore bactérienne +. CT-scan abdominal natif : discret syndrome obstructif urétéro-pyélocaliciel gauche sur un obstacle lithiasique de 4 mm au niveau de l'uretère pelvien avec un bassinet dilaté à 10 mm. Probable kyste biliaire du dôme hépatique, à contrôler à distance par ultrason. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire. Sédiment urinaire et stix : cf. annexes. Erythrocytes 3-5/champs, leucocytes <3/champs. Test de grossesse urinaire : négatif. Laboratoire : cf. annexes. Patient vu par le Dr. X, chirurgien, avec réduction manuelle de la hernie ligne blanche. Après discussion avec le Dr. X, rendez-vous pour prise en charge de hernie ligne blanche et ombilicale le 09.01.2019 à 9h00. Laboratoire : cf. annexes. Primpéran 10 mg. Mise en suspend du traitement par Escitalopram. Discuter de reprendre à distance de la virose à 5 mg dans un premier temps. Contrôle biologique à 48h chez le médecin traitant pour suivi de la lipase notamment. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie : décrite ci-dessous. Traitement symptomatique, reconsultation en cas d'évolution défavorable. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie de la colonne cervicale face, profile et axiale : rectitude du rachis due à la minerve. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Pas d'épaississement des tissus mous prévertébraux. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Radiographie de la colonne lombaire face/profil : tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Progression harmonieuse des espaces intersomatiques entre L1 et L5. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Radiographie de la colonne lombaire : décrite ci-dessous. Avis orthopédique de la Dr. X. Antalgie. Suivi neurologique du membre inférieur gauche. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du genou gauche : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Traitement symptomatique. Cannes anglaises. Le patient a déjà un rendez-vous chez le Dr. X le 04.02.2019. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du pied : décrite ci-dessous. AINS, Pantoprazol. Suivi chez le médecin traitant le jeudi 24.01.2019. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Oxygénothérapie 2 litres. Gazométrie : cf. annexes. Lasix i.v 20 mg. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Sédiment urinaire : cf. annexes. Gazométrie : cf. annexes. Atrovent/Ventolin. Hydratation 3 L/min au total. 22h30 : Voluven 500 ml MSG. 22h48 à 22h52 : Phényléphrine 50, 3x. 23h00 : Début de Noradrénaline 0,02 µg/kg. Transfert aux soins intensifs de l'HFR Fribourg, en ambulance. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax face : décrite ci-dessous. ECG : cf. annexes. Stix urinaire. Antalgie simple. Retour à domicile. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax face profil : décrite ci-dessous. Ecofenac 50 mg aux urgences. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax face/profil : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Épaississement bibasal de la trame broncho-vasculaire. (Dr. X). ECG : cf. annexes. RSR à 82 bpm, Axe à -11°, PR 146 ms, QRS fins à 98 ms ST isoélectrique, QTc selon Bazett à 468 ms, onde T négative et concordante en III aVF et V1, progression de l'onde R précoce avec une transition en V1-V2. Laboratoire : cf. annexes. Retour à domicile avec antalgie, AINS, repos. Reconsultation en cas de persistance des douleurs à 2 semaines ou en cas de péjoration des douleurs. Laboratoire : cf. annexes. RX du thorax le 20.01.2019 : Pacemaker en position pré-pectorale gauche avec 2 sondes connectées au boîtier se terminant en surprojection de l'oreillette et du ventricule droit. Flou péri-hilaire et infiltrats pulmonaires bilatéraux, compatibles avec une surcharge. Absence d'opacité pulmonaire suspecte de foyer infectieux. Pas d'épanchement pleural. Au niveau osseux, on retrouve un remaniement ostéo-condensant au sein de la diaphyse humérale proximale gauche, aspécifique (DD : infarctus osseux ?). ETT le 24.01.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie modérée de la paroi septale antérieure. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Insuffisance aortique minime, d'origine dégénérative. Insuffisance mitrale minime. Dysfonction diastolique modérée (grade II). Élévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche modérément dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide minime. RX du thorax le 25.01.2019 : comme sur le comparatif, on retrouve une cardiomégalie avec flou péri-hilaire et épaississement péri-broncho-vasculaire dans un contexte d'insuffisance cardiaque décompensée, d'aspect stable. Pas d'épanchement pleural. Contrôle du pacemaker le 24.01.2019 : aucune arythmie enregistrée. CT-scan thoracique le 29.01.2019 : infiltration athéromateuse calcifiée de l'aorte thoracique et des troncs supra-aortiques ainsi que des artères coronaires. Cardiomégalie et lame d'épanchement pleural ddc. Discret épaississement bronchique diffus et quelques plages en verre dépoli notamment dans le LIG, aspécifiques (en lien avec une surcharge ?). Hyperdensité spontanée du parenchyme hépatique pouvant être en lien avec un traitement post cordarone.Laboratoire : cf. annexes. RX du thorax le 26.12.2018 : silhouette cardiaque dans les limites supérieures de la norme. Légère opacité rétro-cardiaque gauche (foyer débutant ?). Dystélectasie lamellaire basale gauche. Pas d'épanchement pleural. Spondylarthrose. RX de l'orteil droit le 01.01.2019 : Hallux valgus modéré avec légère arthrose et calcifications périarticulaires. DD : décompensation d'un hallux valgus, une phase précoce d'arthrite microcristalline ne peut être exclue (ex. goutte). Pas de signe en faveur d'une ostéomyélite. Laboratoire : cf. annexes. RX thorax le 15.01.2019 : examen effectué en position couchée. Les structures cardio-médiastinales se présentent normalement. Absence d'épanchement pleural. Épaississement de la trame péri-broncho-vasculaire en probable rapport avec des signes de surcharge cardiaque. Cadre osseux et parties molles extra-thoraciques sans particularité. ECG le 15.01.2019 : rythme sinusal régulier normocarde à 61/min, PQ 160 ms, QRS fins à 80 ms, axe normal à 50°, transition de l'onde R en V4, pas d'onde Q significative, pas de trouble de la repolarisation, QTc 430 ms. Laboratoire : cf. annexes. Sans particularité (syndrome inflammatoire, rénal, hépatique, électrolytes). Sédiment urinaire : cf. annexes. Sans particularité. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal et régulier à 70/min, axe QRS à -20°, PR 200 ms, QRS 60 ms, QTc 416 ms, segment ST iso-électrique, onde T négative en aVR et V1. CT-scan cérébral natif, de la colonne cervicale natif et abdominal natif et injecté : Étage cérébral : On trouve les séquelles de craniotomie occipitale en rapport avec la chirurgie sur la malformation type Chiari. Pas de collection hématique juxta-osseuse ou intra-parenchymateuse. Pas de processus expansif intracrânien. Pas d'hémorragie méningée. Les structures médianes sont en place. Pas de signe d'hydrocéphalie. Fracture très discrète des os propres du nez non déplacée. Colonne cervicale : pas d'image de fracture vertébrale. Mise en évidence par ailleurs d'une discarthrose avancée C5-C6 avec tassement discal, condensation sous-chondrale et ostéophytose marginale antérieure et postérieure. Discrète inversion de la lordose anatomique. Étage abdomino-pelvien : le foie est de taille normale, de contours réguliers, de densité homogène. La rate, le pancréas et les reins sont sans particularité. Pas de liquide libre intra-péritonéal. Probable kyste séreux simple du rein droit. Pas d'hémopéritoine. Pas de lésion osseuse traumatique du bassin et de la colonne lombaire. CONCLUSION : fracture non déplacée des os propres du nez discrète. Discarthrose C5-C6. Pas de lésion traumatique à l'étage abdomino-pelvien. Laboratoire : cf. annexes. Sans syndrome inflammatoire. CT-abdominal : décrit ci-dessous. Grand lavement : émission de selles et amélioration clinique. Patient vue par le Dr X, chirurgien et discussion de l'attitude. Traitement laxatif. Consultation chez son médecin traitant à une semaine et avant si péjoration clinique. Nous proposons au médecin traitant d'organiser une colonoscopie à distance dans le cadre de ce diagnostic. Laboratoire : cf. annexes. Sans syndrome inflammatoire. CT-scan abdominal injecté : le présent examen est comparé au CT-scanner abdominal du 22.11.2016. Par rapport au comparatif, on retrouve de multiples lésions hépatiques hypodenses compatibles avec des kystes, ainsi qu'une lésion hypodense moins bien délimitée au niveau du segment IV, compatible avec une zone de stéatose focale. Les voies biliaires ne sont pas dilatées et la veine porte est perméable. Aucun calcul radio-opaque n'est objectivé dans la vésicule. Aspect scanographique inchangé du pancréas, de la rate, des reins et des glandes surrénales. Pas d'adénopathie, pas d'ascite. Coprostase encore modérée au niveau du côlon ascendant ainsi que diverticulose d'aspect calme du côlon descendant et du sigmoïde. Pas d'adénopathie, pas d'ascite. Pas de signe d'iléus grêle. La vessie en réplétion présente des parois fines. Athéromatose diffuse en relation avec l'âge de la patiente. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis-lombaire en relation avec l'âge de la patiente. Apparition d'un petit tassement du plateau supérieur de L3. CONCLUSION : pas de cause objectivée aux douleurs abdominales de la patiente, notamment pas d'iléus. Tassement du plateau supérieur de L3 qui n'était pas présent sur le comparatif du 22.11.2016. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Aux urgences elle reçoit du Primpéran 10 mg, Dafalgan 1 g et 2 mg de morphine. Avis du chirurgien le Dr X. Ultrason : décrit ci-dessous. Laboratoire de contrôle : cf. annexes. Antalgie et AINS. Contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 06.01.2019. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. CT-scan abdominal natif : absence de comparatif. Abdomen : Calcul radio-opaque (340 HU), mesurant 3 x 2 x 2 mm, dans l'uretère distal à droite, juste en amont de la jonction vésico-urétérale, associée à une ectasie pyélocalicielle mesurée à 17 mm, sans infiltration de la graisse péri-rénale, ni d'argument pour une rupture de fornix. Présence de quelques calcifications dans les groupes caliciels du rein gauche, ainsi que dans le groupe caliciel supérieur du rein droit. Pas d'autre calcul radio-opaque le long des voies excrétrices urinaires. Les reins sont de taille et de configuration normale, sans dilatation du système excréteur à gauche. Les structures uro-génitales ont une morphologie normale. Pas de masse ou de collection pelvienne. Pour le reste, sous réserve d'un examen réalisé sans injection de produit de contraste, la morphologie des parenchymes hépatiques, spléniques, pancréatiques et surrénaliens sont de morphologie normale. Aucun calcul radio-opaque n'est objectivé dans la vésicule. Appendice fin et non infiltré. Coprostase colique ascendante. Pas d'adénopathie, ni de liquide libre intra-abdominal. Pas d'altération dans les tissus mous. Sur les coupes passant par l'étage thoracique : absence de lésion nodulaire suspecte. Pas d'épanchement pleural. Osseux : absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. CONCLUSION : lithiase calcifiée mesurant 3 x 2 x 2 mm dans l'uretère distal droit, juste en amont de la jonction vésico-urétérale, associée à une ectasie pyélocalicielle. Pas de signe de complication. Examen réalisé par télé-radiologie depuis l'hôpital cantonal de Fribourg avec résultats transmis à 07h30 à la Dresse Simonin. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Culture urinaire. Antalgiques. Avis du Dr X : Ceftriaxone 2 g IV en OU aux urgences. Ensuite Ciprofloxacine per os pendant 7 jours. Contrôle clinique et biologique à la filière des urgences ambulatoires dans 48 h pour résultats de l'uricult. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. CT-scan abdominal injecté : décrit ci-dessous. Avis chirurgical du Dr X. Antalgie. Arrêt de travail. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Vaccin tétanique fait aux urgences. Avis chirurgical du Dr X. CT-scan cérébral/cervicales/abdominal : décrit ci-dessous. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2 x/jour pour 5 jours. Pas de mouchage et Rhinomer. Consultation chez un ORL à J5 avec une photo d'avant l'évènement. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes.Hémocultures : cf. annexes. Avis chirurgical du Dr X. Uro-CT : décrit ci-dessous. US abdominal : sans particularité hormis 2 kystes séreux au rein G Consultation lundi 21.01.2019 chez son médecin traitant. Le patient reconsultera avant en cas de péjoration clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Négatif. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Radiographie du thorax face/profil : cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique. Petite désorganisation de la trame bronchovasculaire, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de fracture de côte, ni de pneumothorax visualisé. Petits tassements de D7 et D10, probablement anciens sur ostéoporose. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Uro CT-scan : décrit ci-dessous. Avis du Dr X, urologue, qui propose un traitement symptomatique avec Pradif et filtre des urines et rendez-vous le 24.01.2019 à sa consultation. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire et stix : cf. annexes. Test de grossesse urinaire : négatif. Avis du Dr X, chirurgien : • Traitement symptomatique pour colique néphrétique. • Filtration des urines. • Reconsulter si majoration ou persistance des douleurs à 5-6 jours et discuter d'une imagerie à ce moment. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment/stix urinaire : cf annexes. Radiographie cervicale : décrite ci-dessous. Constat de coup effectué. Antalgie aux urgences : Dafalgan 1 g. Avis chirurgical du Dr X : surveillance aux urgences. 2ème sédiment urinaire à distance : pas de microhématurie. Ultrason abdominal : cf. annexes. CT-scan cervical : cf. annexes. Documents et numéros pour les violences conjugales donnés. Police au courant du cas. Pas de peur pour un retour à domicile. Consultation aux urgences si péjoration clinique. Laboratoire : cf. annexes. Soins de confort. Laboratoire : cf. annexes. Stix et sédiment urinaire : cf. annexes. Uricult : cf. annexes. 2 paires d'hémocultures : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. CT-scan thoraco-abdominal natif : décrit ci-dessous. Remplissage par Ringer et NaCl 0.9% 2.5L sur 3 heures. Sonde nasogastrique de décharge. Tazobac 4.5g iv le 31.01.2019 à 14h00. Transfert aux Soins intensifs de Fribourg (accepté par le Dr X). Départ en ambulance. Laboratoire : cf. annexes. Stix et sédiment urinaire : sp. Cf. annexes. Gazométrie artérielle : cf. annexes. Acidose métabolique à 7.25, Lactates 21, Bic 12, pCo2 3.6kjPa, pO2 12.3. Hémocultures : cf. annexes. Uricult : cf. annexes. Radiographie du thorax face : pas de comparatif. Remaniement de la trame pulmonaire compatible avec un emphysème. Discret infiltrat basal droit DD foyer de pneumonie débutant. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Ectasie et sclérose de l'aorte thoracique. Pas d'épanchement pleural. Ligne radio-transparente de l'apex pulmonaire D DD pli de peau DD pneumothorax partiel antérieur. CT-scan thoraco-abdominal et cérébral natif : Etage cérébral : pas de collection hématique juxta-osseuse ou intra-parenchymateuse. Pas d'hémorragie méningée. Les structures médianes sont en place. Aspect élargi des espaces péri-cérébraux essentiellement au niveau de la convexité. Etage thoracique : pas d'épanchement pleural ou péricardique. Foyer de condensation du lobe moyen associé à des lésions micronodulaires peu denses floues. Lésion d'emphysème pulmonaire essentiellement centrolobulaire bilatérale et diffuse prédominant au niveau bibasal. Les troubles ventilatoires en bande aux 2 bases pulmonaires. Aspect dilaté à contenu liquidien avec niveau liquide-air de l'œsophage. Aspect sclérosé de l'aorte thoracique sans image d'anévrisme. Etage abdomino-pelvien : stase gastrique de l'estomac. Aspect modérément dilaté de quelques anses grêles jusqu'à 3.4cm. Pas de liquide libre en intrapéritonéal. Pas d'anomalie de densité spontanée du foie ou de la rate. Pancréas très atrophique. Calcifications vasculaires des artères rénales et de leurs branches de division. Lésions dégénératives étagées de la colonne dorso-lombaire avec ostéophytose marginale, ostéosclérose sous-chondrale. Très probable séquelle de fracture-tassement du plateau supérieur de D11. CONCLUSION : pas de signe d'hémorragie cérébrale. Probable foyer de bronchopneumonie avec bronchiolite infectieuse du lobe moyen. Estomac de stase. Aspect modérément dilaté de quelques anses grêles. ECG à 12h00 : cf. annexes. Rythme sinusal irrégulier avec nombreuses extrasystoles auriculaires. Rythme en moyenne normocarde. PR 200msec, régulier. QRS à 80msec, axe à 70°. Transition de l'onde R en V4. Ondes T négatives V4-V6. Sous-ST 1 mm en II, III, avF, V5-V6. ECG à 18h00 : cf. annexes. RSR à 85/min. PR 200msec, régulier. QRS à 90msec, axe à 82°. Transition de l'onde R en V4. Sus-ST de 3mm en II, III, avF. Sous ST de 3mm de V1 à V4. Absence d'onde Q. Ondes T négatives de V1 à V4. Qtc à 470msec. Laboratoire : cf. annexes. Stix urinaire : cf. annexes. Test de grossesse : négatif. Laboratoire : cf. annexes. Substitution IV 20 mEq sur 1h. Suivi biologique. Laboratoire : cf. annexes. Suivi chez le médecin traitant. Laboratoire : cf. annexes. Suivi biologique le 09.01.2019. Laboratoire : cf. annexes. Syndrome inflammatoire avec CRP à 10mg/L et leucocytes 11.9G/l. Laboratoire : cf. annexes. Test de grossesse urinaire : négatif. Urines : cf. annexes. sp. Laboratoire : cf. annexes. Test grossesse négatif, leucocytes 10.2G/l, reste de la FSS et chimie sp. Cf. annexes. Examen des urines : cf. annexes. Normal sauf bactérie. Laboratoire : cf. annexes. Traitement symptomatique. Laboratoire : cf. annexes. Troponine T-hs 5ng/L à T0, T-hs 5ng/L à T1. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, normocarde à 86 bpm, QRS fins à 80 ms, segment ST- isoélectrique. T négatif en III. Transition de l'onde R précoce en V3. QTc à 431 ms. Laboratoire : cf. annexes. Troponines. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Antalgie. Arrêt de travail. Laboratoire : cf. annexes. 02h15 : glycémie 15.5 mmol/l après prise de Coca. 03h40 : glycémie 10.3 mmol/l. 07h00 : glycémie 2.7 mmol/l (n'a rien ingéré d'autre que le Coca à 02:15 lors de son hypoglycémie) : ad G40 4 ampoules : glycémie 10.8 mmol/l. Pré-prandial de midi 19.7 mmol/l : schéma habituel de correction par 10 U. Contrôle postprandial : 20.04 mmol/l. Le patient rentre à domicile, il reconnectera sa pompe et contrôlera sa glycémie 2h plus tard puis régulièrement sur la journée. Patient qui habite avec sa mère. Laboratoire : cf. annexes. Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 31.01.2019 : absence d'argument en faveur d'une lésion ischémique constituée ou hémorragique. Les axes vasculaires artériels pré-cérébraux et le polygone de Willis sont perméables. Nodule thyroïdien centimétrique à corréler à un bilan endocrinologique spécialisé selon besoin. Echocardiographie le 30.01.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 45 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP (PAPs à 22 mmHg). Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf. annexes. Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 25.01.2019 : absence d'argument sur cet examen pour un AVC ischémique ou hémorragique aigu. Par rapport à 2014, aspect superposable de l'occlusion de l'artère vertébrale gauche dans sa portion V4 se prolongeant dans le tronc basilaire qui est opacifié uniquement dans sa partie toute distale ; aspect superposable de l'occlusion de l'artère vertébrale droite dans son segment V4. Lésion séquellaire du pont à gauche et du noyau caudé à gauche. IRM cérébrale le 28.01.2019 : absence de lésion ischémique récente. Lésion séquellaire pontique connue, inchangée. Occlusion vertébro-basilaire connue. Consultation ORL le 29.01.2019 : audiogramme tonal ce jour mettant en évidence une surdité de perception moyenne à sévère à droite avec un seuil évalué autour de 70 dB; à gauche presbyacousie avec surdité légère dans les fréquences graves. VHIT montrant un retard de latence au niveau des CSC post D et G et CSC lat G. Proposition : Prednisolone 1 mg/kg (80 mg) matin 1x/jour pendant 10 jours puis PC en ORL dans 10-15 jours pour AT+AV et réévaluation clinique. Laboratoire : cf annexes. Angio-CT cérébral et thoraco-abdominal le 18.01.2019 : pénombre ischémique sans nécrose du territoire sylvien droit superficiel et profond sur une occlusion du segment M1 de l'artère cérébrale moyenne droite sur une plaque calcifiée dans la portion proximale de cette artère (DD : embole athéromateux calcifié vs athéromatose in situ de cette artère). Athéromatose importante des axes pré cérébraux dans leur portion intracrânienne au niveau des siphons carotidiens et des segments V4 des artères vertébrales des deux côtés (sténose d'environ 60% de l'artère vertébrale gauche). Pas de lésion post-traumatique thoraco-abdominale. IRM cérébrale le 19.01.2019. (Inselspital) : status post thrombectomie sur occlusion du segment M1 de l'ACM D, avec lésions ischémiques du territoire de l'artère sylvienne D dans les territoires jonctionnels avec la vascularisation de l'artère cérébrale postérieure D. Lésions ischémiques punctiformes cérébelleuses G. Absence de signe de transformation hémorragique. Sténose courte du segment M1 à D, non significative. Echographie cardiaque transthoracique le 21.01.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Absence d'insuffisance mitrale. Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'un foramen ovale persistent (microbulles). Absence d'épanchement péricardique. Holter de 24h le 21.01.2019 : résultats en cours d'analyse. Examen neurosonologique le 21.01.2019 : (rapport définitif suivra). Persistance d'une sténose de l'artère cérébrale moyenne D à la jonction M1 et M2 estimée à < 50 %. Bilan neuropsychologique le 22.01.2019 : examen neuropsychologique, réalisé chez un patient de 58 ans, collaborant et adéquat, met en évidence des difficultés de programmation qui peuvent être une séquelle de l'AVC récent. Le reste des fonctions cognitives se trouve dans les limites de la norme. La conduite automobile n'est pas compromise d'un point de vue neuropsychologique après les 2 semaines recommandées. Laboratoire : cf annexes. Angio-CT cérébral le 17.01.2019 : AVC ischémique en cours de constitution dans le territoire de l'artère sylvienne gauche en regard des gyrus post-central et supra-marginal du lobe pariétal avec zone de pénombre périphérique. Pas d'occlusion identifiable sur le polygone de Willis. Anévrisme de l'artère communicante antérieure de 5 mm ainsi que de la jonction M1-M2 de l'artère sylvienne droite de 4 mm. Occlusion chronique du départ de l'artère sous-clavière gauche. IRM le 18.01.2019 : la séquence en T2 FLAIR montre de multiples anomalies de signal de la substance blanche péri-ventriculaire en rapport avec une leucoaraïose. Hypersignal T2 FLAIR du territoire sylvien gauche, se traduisant à la diffusion par une restriction (hypersignal DWI et hyposignal ADC). Lésion séquellaire du lobe occipital gauche. Le système ventriculaire ainsi que les sillons cérébraux se présentent normalement. Pas de perte de signal marquée sur la séquence en axial T2*. Après injection de Gadolinium, pas de rehaussement gyriforme du territoire sylvien gauche. Pas de rehaussement pathologique en infra et supra-tentoriel. Perméabilité des sinus veineux. La séquence angio-IRM centrée sur les vaisseaux du polygone de Willis ne montre pas d'occlusion vasculaire. Echographie cardiaque transthoracique le 21.01.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie minime de la paroi inféro-basale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Bourrelet septal sous-aortique modéré. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 1 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Épaississement léger des 2 feuillets mitraux. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime. Dysfonction diastolique minime (grade I). Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche discrètement dilatée. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Bilan neuropsychologique du 22.01.2019 : (rapport définitif en cours). Labilité émotionnelle importante. Manque du mot persistant, agraphie. Compréhension orale et écrite simple non altérée. MMS 25/30. Apraxie idéomotrice et idéatoire importante. MMS 25/30. BREF 11/18 avec troubles exécutifs. Désinhibition. Laboratoire : cf annexes. Angio-CT cérébral le 20.01.2019 : accident vasculaire cérébral ischémique aigu dans le territoire sylvien droit, sur occlusion de l'artère cérébrale moyenne homolatérale dans sa portion M1, associée à une zone de pénombre. Pas d'infarctus constitué. Athéromatose mixte des vaisseaux pré-cérébraux, associée à une sténose estimée à 53%, à la bifurcation de l'artère carotide commune gauche, contenant une dissection focale chronique inchangée. Pas de saignement intracrânien. CT cérébral natif le 24.01.2019 : apparition de deux lésions constituées de l'accident vasculaire cérébral du 20.01.2019 dans la corona radiata et la région insulaire droite, sans mise en évidence d'une transformation hémorragique. CT thoraco-abdominal injecté le 25.01.2019 : pas de lésion suspecte de néoplasie. Stabilité depuis 2014 d'un nodule juxta-hilaire droit avec des remaniements et calcifications parenchymateuses adjacentes. Volumineuse plaque mixte molle et calcifiée sur le versant latéral gauche de la crosse aortique en aval du départ de la sous-clavière gauche. Multiples cicatrices corticales du rein gauche et du parenchyme splénique, en augmentation depuis 2014, évoquant des séquelles d'infarctus sur de probables emboles vasculaires. Echographie cardiaque transthoracique le 21.01.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie sévère de la paroi latéro-apicale, de la paroi latérale moyenne, de la paroi antéro-apicale et de la paroi antérieure moyenne, une hypokinésie modérée de la paroi antéro-basale et de la paroi postérieure moyenne et une hypokinésie minime du septum apical, du septum basal, de la paroi latéro-basale, de la paroi inféro-apicale, de la paroi inféro-basale et de la paroi postéro-basale. FEVG à 40 %. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Absence d'insuffisance mitrale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique.Interrogation du pacemaker le 22.01.2019 (Dr. X) : contrôle du défibrillateur unicaméral : aucune arythmie enregistrée. Seuil, détection et impédances corrects. Reste environ 3 mois de vie à la pile du défibrillateur, une intervention est prévue le 04.02.2019 pour le changement du défibrillateur. Pacemaker-défibrillateur incompatible avec IRM. Bilan neuropsychologique du 25.01.2019 : Cet examen neuropsychologique, réalisé auprès d'un patient de 76 ans globalement collaborant, met en évidence : • une conscience diminuée des difficultés ; • des difficultés exécutives (incitation verbale, programmation motrice, flexibilité mentale) accompagnées d'un comportement apathique, amimique et ralenti ; • des difficultés en mémoire antérograde verbale ; • de légers signes d'héminégligence visuelle (exploration visuelle) ; • de légères difficultés pour les praxies idéomotrices. Comparativement à l'examen neuropsychologique de 2014, les difficultés touchent actuellement plusieurs sphères cognitives. Les légers signes d'héminégligence sont compatibles avec l'atteinte à droite. Le reste du tableau cognitif, associé aux éléments d'hétéroanamnèse, suggère une composante plus diffuse d'origine vasculaire probable, correspondant à l'imagerie et aux FRCV. D'un point de vue neuropsychologique, les difficultés attentionnelles et exécutives actuelles sont susceptibles d'interférer avec l'aptitude à la conduite automobile. Mr. Y est transféré en neuro-réhabilitation à l'HFR Meyriez le 29.01.2019. Nous reverrons le patient pour un bilan d'évolution à 3 mois post-AVC (le patient sera convoqué par écrit). Laboratoire : cf. annexes. Angio-CT cérébral le 21.12.2018 : absence de signe de lésion ischémique ou hémorragique. Les vaisseaux pré-cérébraux sont perméables, sans image de sténose. IRM cérébrale le 24.12.2018 : examen évoquant une lésion ischémique aiguë para-ventriculaire gauche, touchant également le bras postérieur de la capsule interne gauche et les noyaux gris centraux. Les plages d'hypersignaux au niveau de la substance blanche, sur les coupes FLAIR, ne sont pas spécifiques. Elles doivent correspondre à des altérations dégénératives vasculaires. Echographie cardiaque transthoracique le 24.12.2018 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Légère hypertrophie concentrique. Aorte normale. Valve aortique normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Insuffisance aortique physiologique (grade 0 à 1/4). Valve mitrale normale. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. L'examen du jour ne montre pas d'origine cardio-embolique évidente. Après microbulles, il n'y a pas d'évidence en faveur d'un FOP. En cas de bilan négatif, une ETO s'impose afin de compléter ce dernier. Holter de 72h posé le 27.12.2018 : en cours d'analyse. Bilan neuropsychologique du 27.12.2018 : examen neuropsychologique chez patient de 60 ans, collaborant, qui met en évidence quelques difficultés d'accès lexical ; des difficultés en mémoire antérograde plus marquées en modalité verbale ; de légers troubles exécutifs (contrôle inhibiteur et fausses reconnaissances). Les difficultés observées sont compatibles avec une atteinte sous-corticale gauche d'intensité légère. D'un point de vue neuropsychologique, il n'y a pas de contre-indication à la conduite automobile et aucune prise en charge n'est conseillée. Laboratoire : cf. annexes. Angio-CT cérébral le 26.12.2018 : examen compatible avec une lésion ischémique aiguë constituée du gyrus précentral à droite en région parafactorielle, sans occlusion vasculaire décelée ni sténose significative sur le cours des vaisseaux précérébraux. IRM cérébrale le 27.12.2018 : lésion ischémique aiguë touchant le gyrus frontal supérieur et s'étendant vers le gyrus précentral à droite. Pas de transformation hémorragique. Echocardiographie transthoracique le 27.12.2018 : ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie modérée de la paroi septale antérieure moyenne et une hypokinésie minime de la paroi latéro-apicale, de la paroi latérale moyenne, de la paroi antéro-apicale, de la paroi antérieure moyenne et de la paroi postérieure moyenne. FEVG à 40 % (méthode de Simpson). Hypertrophie concentrique. Aorte ascendante discrètement dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/3). Prothèse mécanique à ailettes en position mitrale non sténosante mais fuyante avec une cinétique normale, sans dysfonction. Gradient moyen OG-VG à 4 mmHg. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Oreillette gauche très dilatée. Discrète dilatation du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit normale. Oreillette droite modérément dilatée avec une discrète dilatation du ventricule droit. Absence d'HTP (PAPs à 36 mmHg). Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Absence d'épanchement péricardique. Passage de microbulles à travers du septum inter-auriculaire après Valsalva adéquat en faveur d'une FOP. Dysfonction légère du VG, connue anamnestiquement (documents d'ECHO précédents effectués par Dr. X à récupérer). Pas de dysfonction de la valve mécanique mitrale. Laboratoire : cf. annexes. Angio-CT scan du 02.01 : occlusion longue de l'AFS avec reprise en poplité connue + occlusion ATA et AF connue. Ultrason cardiaque du 08.01.2019 : FEVG conservés à 65 %. ETT le 08.01.2019 : trouble cinétique segmentaire mais sans diminution de la fonction globale sans indication à une coronarographie dans l'immédiat. Bilan angiologique du 10.01.2019 : pléthysmographie post-opératoire 30 mmHg à droite avec petite occlusion de l'artère fibulaire. Laboratoire : cf. annexes. Angio-CT (18.12) : status vasculaire superposable. FIG - sérome dans contexte post-op. Laboratoire : cf. annexes. Angio-IRM cérébrale le 01.01.2019 (CHUV) : occlusion courte du tronc basilaire avec plusieurs lésions ischémiques aiguës et subaiguës de la fosse postérieure G et D, pontique paramédiane G, thalamique G et occipitale D avec aspect subocclusif de l'artère cérébrale postérieure D au niveau P1 et P2. Pas de transformation hémorragique. Angio-CT cérébro-cervical le 02.01.2019 (CHUV) : status post-thrombectomie endovasculaire du tronc basilaire, sans hémorragie, sans lésion ischémique constituée visible avec recanalisation complète, sans occlusion mais avec une sténose partielle du tronc basilaire. Angio-IRM cérébral le 09.01.2019 : apparition de multiples AVC ischémiques aigus dans les territoires sylviens superficiels des deux côtés, profond à droite au niveau de la tête du noyau caudé, cortex occipital à droite avec une péjoration de la taille des lésions ischémiques cérébelleuses des deux côtés. Quelques lésions punctiformes du tronc cérébral au niveau de la protubérance. Reperméabilisation quasi complète du tronc basilaire avec néanmoins un aspect très irrégulier et grêle de l'artère cérébrale postérieure gauche. Aspect irrégulier des artères vertébrales gauches qui restent perméables. Sinusite maxillaire bilatérale.Examen neuropsychologique le 04.01.2019 (CHUV) : négligence unilatérale G corporelle et visuelle, atteinte mnésique antérograde bi-modale, dysfonction exécutive et troubles attentionnels non latéralisés. US doppler carotido-vertébral (CHUV) : sténose 50 % du tronc basilaire avec accélération ACP G compatible avec une recanalisation. Echographie cardiaque transthoracique le 08.01.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Valve aortique normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Valve mitrale normale. Oreillette gauche modérément dilatée. Ventricule droit normal. Discrète dilatation de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Cet examen (mauvaise qualité d'image) ne montre pas d'arguments en faveur d'une source cardio-embolique. Holter de 24h le 09.01.2019 : résultats en cours d'analyse. RX du thorax le 07.01.2019 : les structures cardio-médiastinales se présentent normalement, mis à part une importante infiltration athéromateuse calcifiée de l'aorte thoracique. Status post sternotomie avec cerclage intact. Absence d'épanchement pleural. Le parenchyme pulmonaire ne présente pas d'opacité suspecte de foyer infectieux. Cadre osseux sans particularité. Status post cholécystectomie. Laboratoire : cf. annexes. Avis du Dr X, de médecine interne : contrôle biologique à la filière des urgences ambulatoires le 04.02.2019. Laboratoire : cf annexes. Bilan angio 11.12.2018 : absence d'artériopathie significative aux membres inférieurs ddc avec pléthysmographies à gauche permettant port d'une contention élastique de classe 2, idéalement 3 vu syndrome post thrombotique sous-jacent. Insuffisance veineuse superficielle et profonde sans perforante visible au site de l'ulcère. IRM jambe gauche 14.12.2018 : absence d'argument pour une ostéite, notamment pas d'hyposignal T1 intraspongieux, pas d'hypersignal T2 fat sat ni de prise de contraste osseuse pathologique. Pas d'érosion osseuse visible. Présence par contre d'une importante infiltration oedémateuse sous-cutanée prédominant à la face médiale de la jambe. Involution lipomateuse partielle de la musculature postérieure, notamment le muscle soléaire et le muscle long fléchisseur de l'hallux. Laboratoire : cf annexes. Coronarographie en urgence le 22.01.2019 (Prof. X) : occlusion de la circonflexe moyenne qui est directement recanalisée, dilatée et traitée par la pose de 2 stents actifs dans la circonflexe moyenne et proximale avec bon résultat final. Echocardiographie transthoracique le 23.01.2019 (Dr X) : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie minime de la paroi inférieure moyenne, de la paroi inféro-basale et de la paroi postérieure moyenne. FEVG à 65 %. Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Valve aortique normale. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf. annexes. Coronarographie le 14.01.2019 (Prof. X) : l'examen invasif du jour démontre comme corrélat pour la SCA une occlusion de l'artère circonflexe distale (petite artère) et une sténose significative de la première diagonale. Échec de recanalisation de l'artère circonflexe avec le ballon, c'est bien possible que c'est une occlusion chronique (englobant l'origine de la seconde marginale (lésion de bifurcation). La lésion significative de la première diagonale peut être dilatée et stentée avec un stent actif avec un bon résultat. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est normale. Echographie cardiaque (Dr X) le 15.01.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 70 % (évaluation visuelle). Bourrelet septal sous-aortique. Aorte discrètement dilatée. Rétrécissement aortique lâche calcifié, d'origine dégénératif. Surface aortique par planimétrie à 1.7 cm² (0.94 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche discrètement dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Laboratoire : cf annexes. CT abdomen 27.01.2019 : image évocatrice d'une appendicite non compliquée (DD : mucocèle ? lésion tumorale sous-jacente ?). Histologie : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. CT abdominal du 01.01.2019 : on retrouve une inflammation du J-pouch comme sur le comparatif, s'étendant à l'iléon distal. Pas de signe de complication, notamment pas de perforation ou d'abcès. Radio thorax le 01.01.2019 : les structures cardiomédiastinales se présentent normalement. Pas d'épanchement pleural. Le parenchyme pulmonaire ne présente pas d'opacité suspecte de foyer infectieux. Épaississement bronchique diffus. Laboratoire : cf annexes. CT abdominal du 03.01.2019 : sigmoïdite diverticulaire avec phlegmon péri-sigmoïdien sans abcès (stade 2b selon la classification Hansen & Stock). Hernies inguinales bilatérales sans signe d'incarcération. Laboratoire : cf annexes. CT abdominal du 24.12.2018 : hypertrophie de la prostate (229 cc) faisant protrusion dans la vessie, avec signes de vessie de lutte. Laboratoire : cf annexes. CT abdominal du 27.01.2019 : appendicite perforée avec stercolithe à sa base de 16 mm, pneumopéritoine localisé, liquide libre péri-caecal et épaississement et prise de contraste du péritoine en regard évoquant des signes de péritonite. Épaississement de la jonction iléo-caecale en regard, probablement d'origine inflammatoire. Histologie : cf annexes. Laboratoire : cf. annexes. CT abdominal injecté du 15.01.2019 : stent cholédocien en place, en position inchangée. Nouvelle dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques, associée avec une diminution de l'aérobilie, faisant suspecter une obstruction du stent. Par ailleurs, au vu de la prise de contraste des parois des voies biliaires et des troubles de perfusion du parenchyme hépatique en regard, une cholangite est probable. ERCP du 16.01.2019 (Dr X) : retrait du stent de polyéthylène obstrué et mise en place d'un nouveau stent biliaire métallique auto-expansif semi-couvert. Laboratoire : cf annexes. CT abdominal injecté le 19.01.2019 : récidive d'un iléus grêle mécanique, avec saut de calibre au niveau de l'anastomose iléo-iléale, associé à du liquide libre inter-anse, sans défaut de rehaussement pariétal et sans autre signe de souffrance. Pas d'argument radiologique pour une ischémie mésentérique ou une diverticulite. Le reste de l'examen est superposable. Laboratoire : cf annexes. CT abdominal le 06.01.2019 : persistance d'un iléus grêle, touchant les anses iléales jusqu'à la jonction iléo-jéjunale et le colon ascendant, mécanique sur une sténose inflammatoire chronique au site opératoire (jonction iléo-caecale), sans signe de souffrance intestinale ni de complication. Lame de liquide en inter-anses. Laboratoire : cf. annexes. CT abdominal le 27.12.2018 : sous réserve d'un caecum pas totalement distendu, mise en évidence d'un épaississement pariétal sans adénopathie loco-régionale, dont il serait souhaitable de compléter l'examen par une colonoscopie. Sur le reste du volume abdominal exploré et des bases thoraciques, pas de manifestation tumorale visible. Troubles de la perfusion du segment IV hépatique sans thrombose portale visible, aspécifiques.Laboratoire : cf annexes CT abdominal le 31.12.2018 : épaississement de la paroi iléale avec infiltration de la graisse, pneumopéritoine ; liquide libre en quantité modérée, adénopathies mésentériques Histologie : cf annexes Laboratoire : cf annexes CT abdominal natif le 04.01.2019 : calcul radiodense uretère lombaire proximale mesuré à 7x7x8 mm, dilatation pyélocalicielle avec pyélon 28 mm, pas de rupture de fornix, infiltration graisse péri-rénale Laboratoire : cf annexes CT abdominal 22.12.2018 : apparition d'un épaississement sous-muqueux d'une vésicule biliaire lithiasique, mais sans hydrops et sans calcul obstructif visible. Pas de dilatation des voies biliaires et pas de calcul/masse obstructif. Discret œdème péri-portal. Pour le reste, status post-résection iléale terminale avec anastomose iléo-iléale sans complication. Pas de complication du status post-résection antérieure basse avec anastomose colo-anale. Pas d'iléus. Laboratoire : cf. annexes. CT abdominal 24.01.2019. Laboratoire : cf annexes CT abdominal 27.01 : plusieurs anses grêles jéjuno-iléales ectasique sans franc saut de calibre évoquant un sub-iléus, lame liquide libre, absence de défaut de rehaussement marqué des anses intestinales. Suivi clinique et biologique Laboratoire : cf annexes CT abdomino-pelvien natif le 28.12.2018 : légère péjoration de la dilatation pyélocalicielle à droite (76 mm contre 55 mm) Laboratoire : cf. annexes. CT cérébral et des tissus mous du cou injecté le 13.01.2019 : pas de franc argument pour un AVC constitué visible, néanmoins asymétrie de perfusion en défaveur de l'hémisphère cérébral droit diffusément, DD : migraine ? autre ? à corréler avec une IRM. Structures vasculaires extra- et intracrânienne perméables. Pas de thrombose des sinus veineux intracrâniens. IRM cérébrale le 15.01.2019 : absence d'AVC ischémique récent ou de lésion focale intra-cérébrale. Hyperperfusion corticale hémisphérique droite parlant en faveur d'une aura migraineuse. Laboratoire : cf annexes CT cérébral le 04.01.2019 : hématome intra-parenchymateux thalamique droit, avec saignement actif, avec déviation de la ligne médiane d'environ 2 mm vers le côté gauche, sans signe d'engagement. Persistance d'une asymétrie du T max avec augmentation dans l'hémisphère droit, plus marqué temporal droit que l'on ne retrouve sur aucune autre carte de perfusion. CT cérébral le 05.01.2019 : pas d'augmentation significative de taille de l'hématome thalamique droit ou de nouveau saignement. Absence d'argument pour un engagement ou un œdème compressif. Radiographie de thorax du 06.01.2019 : les structures cardio-médiastinales se présentent normalement. Pas d'épanchement pleural ou de pneumothorax. Parenchyme pulmonaire sans particularité. Status post-mise en place d'une sonde nasogastrique avec son extrémité distale en surprojection gastrique. Cadre osseux et parties molles extra-thoraciques sans particularité. Radiographie de thorax du 09.01.2019 : développement d'une opacité pulmonaire basale gauche silhouettant la coupole diaphragmatique pouvant correspondre à un status post broncho-aspiration (DD : atélectase lobaire inférieure gauche ? foyer surajouté ?). Épanchement pleural gauche de faible abondance. Le reste de l'examen est inchangé. Bilan neuropsychologique du 14.01.2019 : comparativement au bilan du 01.05.2018, cet examen neuropsychologique, réalisé chez Mr. Y de 84 ans, collaborant mais fatigable, met en évidence l'apparition : d'une anosognosie, d'une héminégligence visuelle G (péripersonnelle et extrapersonnelle) et signes associés, des difficultés exécutives (incitation, programmation), accompagnées d'un ralentissement. Ce tableau d'intensité modérée est compatible avec l'atteinte thalamique D. A noter que Mme. Y est capable de compenser l'héminégligence visuelle dans certaines tâches (lecture d'un texte, bissection de lignes). Laboratoire : cf. annexes. CT cérébral le 30.12.2018 : présence de deux lésions nodulaires parenchymateuses frontales gauches évoquant des nodules métastatiques au vu du contexte. Sinusite maxillaire droite. IRM cérébrale le 31.12.2018 : présence de quelques épaississements méningés prédominant en temporal polaire droit et dans les régions frontales, évoquant en premier lieu des lésions de type méningiome. Toutefois, compte tenu du contexte carcinologique de la patiente, une méningite carcinomateuse ne peut être exclue. Il convient de corréler ceci à l'étude du LCR. Comblement liquidien partiel du sinus maxillaire droit. Laboratoire : cf annexes CT cérébral le 31.12.2018 : s/p trépanation frontale droite, avec cavité de résection du glioblastome frontal droit, sans mise en évidence de récidive locale, ni de cause explicative à l'épisode de crise convulsive. Nous restons toutefois à disposition pour la réalisation d'une IRM, cette technique d'imagerie étant plus sensible pour la détection d'une récidive de glioblastome. IRM cérébrale le 31.12.2018 : large plage de gliose séquellaire frontale droite sans prise de contraste suspecte notable à ce niveau. Pas de lésion ischémique récente. Laboratoire : cf. annexes. CT cérébral natif et injecté avec vaisseaux précérébraux le 11.01.2019 : AVC en voie de constitution occipital droit avec aspect grêle de P2 distal et probable occlusion de P3 de l'ACP droite. Signes de surcharge pulmonaire. Echocardiographie transthoracique le 14.01.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie de la paroi inférieure moyenne et de la paroi postérieure moyenne. FEVG à 45 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Sténose aortique serrée de bas débit (low-flow/low gradient). Surface aortique à 0,96 cm² (0,46 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 26 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/3). Valve mitrale d'ouverture normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Pas de thrombus visualisé dans le ventricule gauche. La fonction systolique globale est légèrement diminuée avec une hypokinésie de la paroi inférieure moyenne et de la paroi postérieure moyenne. IRM cérébrale le 14.01.2019 : AVC constitué occipital droit avec transformation hémorragique. Comblement de l'apex pétreux gauche. Bilan neuropsychologique le 14.01.2019 : cet examen neuropsychologique, réalisé chez un patient de 95 ans, collaborant et adéquat, met en évidence : des difficultés gnosiques, des difficultés d'accès lexical et un manque du nom propre, des difficultés en mémoire antérograde verbale, des difficultés exécutives (incitation, programmation, inhibition). Ce tableau est d'intensité légère. Les difficultés gnosiques sont compatibles avec l'atteinte occipitale D et les séquelles d'hémianopsie homonyme G, cette dernière étant par ailleurs globalement bien compensée dans le cadre de cet examen. À cela s'ajoutent des difficultés mnésiques, exécutives et d'accès lexical, évoquant une atteinte plus diffuse dont l'origine reste à déterminer. Champs visuels automatisés le 17.01.2019 : AV : OD 0.7 au TS, OG 0.9 au TS. CV : difficilement interprétable, pas de pattern d'hémianopsie (pas bien compris l'examen pour OD). RNFL : ODG borderline TI. Laboratoire : cf. annexes. CT cérébral natif 02.01.2019 : on retrouve les métastases intra-orbitaires des muscles oculomoteurs des deux côtés ainsi que l'exophtalmie gauche. Pas de masse parenchymateuse visible sous réserve d'un examen sans injection de produit de contraste. Absence de saignement intracrânien.US abdominal le 03.01.2019 : absence de dilatation des voies biliaires ou des voies urinaires. Infiltration métastatique diffuse du parenchyme hépatique. Lame de liquide libre péri-hépatique et péri-splénique. IRM neurocrâne le 08.01.2019 : absence de lésion métastatique ou d'anomalie corticale pouvant expliquer la symptomatologie. Lacune ischémique d'allure récente punctiforme au niveau du noyau lenticulaire droit dd artéfact lié aux calcifications. Quelques lésions de la substance blanche d'origine microvasculaire Fazekas 1. Laboratoire : cf annexes CT cérébral/cervical le 31.12.2018 : hémorragie intraventriculaire gauche aiguë isolée, pas de fracture. Laboratoire : cf annexes CT cérébral/colonne cervicale le 30.12.2018 : pas de lésion traumatique à l'étage cérébral et cervical. Laboratoire : cf annexes CT cérébro-cervical le 08.01.2019 (Inselspital) : AVC ischémique sylvien gauche avec occlusion du segment M2 de l'artère sylvienne gauche. CT cérébral injecté le 09.01.2019 (Inselspital) : AVC ischémique sylvien gauche constitué avec transformation hémorragique avec HSA pariétale G et hémorragie périartérielle sylvienne G. IRM cérébrale le 14.01.2019 : status après thrombectomie mécanique le 08.01.2019. L'examen met en évidence une lésion ischémique aiguë à sub-aiguë dans une partie du territoire sylvien à gauche (cf. commentaire). Les plages d'hypersignaux en pondération T1, d'hypersignaux en pondération T2* siégeant dans la vallée sylvienne gauche et dans les espaces sous-arachnoïdiens en regard correspondent à des caillots sanguins, à de petites hémorragies sous-arachnoïdiennes. Atrophie cortico-sous-corticale modérée. Les plages d'hypersignaux au niveau de la substance blanche, sur les coupes FLAIR, doivent correspondre à des altérations dégénératives vasculaires. ECG le 09.01.2019 : rythme irrégulier, fibrillation auriculaire, QRS fins, pas d'allongement du QT, pas de trouble de la repolarisation. Radiographie de thorax le 11.01.2019 : cardiomégalie sans signe de décompensation cardiaque. Calcifications de l'anneau mitral. Sclérose et déroulement de l'aorte. Opacités pulmonaires de l'hémi-champ inférieur droit compatibles avec des foyers infectieux. Pas d'épanchement pleural. Scoliose sinistro-convexe du rachis lombaire. Echographie cardiaque transthoracique le 14.01.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile globale normale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Bourrelet septal sous-aortique. Aorte normale. Absence de rétrécissement aortique. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Oreillette gauche très dilatée. Discrète dilatation du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit discrètement altérée. Dilatation importante de l'oreillette droite avec une discrète dilatation du ventricule droit. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. FEVG globale normale. Laboratoire : cf annexes CT scan abdominal du 27.12.2018 : pyélo-urétrite gauche sans signe de néphrite. Dilatation pyélocalicielle et urétérale droite plus marquée par rapport au comparatif. Augmentation en taille de la tumeur prostatique. Laboratoire : cf annexes CT scan abdominal le 04.01.2019 : récidive d'iléus grêle touchant le jéjunum en rapport avec une probable bride en FIG. Discrète infiltration de la graisse sans défaut de rehaussement des parois intestinales. On note un pseudo-épaississement segmentaire de l'anse jéjunale dilatée, probablement en rapport avec un spasme. Pas de signes de souffrance. CT scan abdominal le 05.01.2019 : résolution de l'iléus du jéjunum, avec passage du produit de contraste jusqu'au rectum. CT scan abdominal le 08.01.2019 : l'épaississement de l'anse jéjunale mis en évidence lors du CT du 4 janvier 2019, n'est pas retrouvé sur le présent examen (DD : spasme ?). Examen dans les limites de la norme. Laboratoire : cf annexes CT scanner cérébral le 27.12.2018 : stabilité en taille des hématomes sous-duraux bilatéraux avec composantes aiguë et chronique, mesurant 11 mm à droite et 9 mm à gauche d'épaisseur maximale. Apparition d'une petite composante hémorragique aiguë à droite (spontanément hyperdense). Laboratoire : cf annexes CT sinus du 24.01.2019 : opacification subtotale voire totale des sinus frontaux, des cellules ethmoïdales, des sinus maxillaires et des sinus sphénoïdaux. Les cellules mastoïdiennes sont par contre normalement pneumatisées. Pas de mise en évidence d'ostéolyse. Laboratoire : cf annexes. CT thoracique le 31.12.2018 : plusieurs nodules pan-lobaires, en partie excavés, associés à des infiltrats micronodulaires, prédominants dans le segment apical du lobe inférieur droit. Présence de bronchectasies, associées à des épaississements bronchiques et quelques comblements endo-bronchiques. Rx du thorax le 04.01.2019 : absence de pneumothorax. Multiples petites condensations alvéolaires prédominant aux deux apex, correspondant aux infiltrats visibles sur le scanner comparatif du 31.12.2018, de même que les bronchectasies, principalement à l'apex gauche et dans la lingula. Laboratoire : cf annexes CT thoraco-abdominal le 01.01.2019 : en comparaison au CT-scan d'avril 2018. Persistance d'une hypodensité dans le corps du pancréas correspondant à la tumeur connue avec progression du magma tissulaire s'étendant vers le hile hépatique et l'estomac. Cavernome porte avec confluent spléno-mésaraïque sténosé par le magma tissulaire et développement d'un réseau de collatérales péri-spléniques. Thrombus dans la branche portale gauche. Progression des implants de carcinomatose péritonéale avec apparition d'une abondante ascite. Laboratoire : cf annexes. CT thorax-abdomen-pelvis 28.12.2018 : résorption des foyers d'embolie pulmonaire à droite, pas de nouveau foyer d'embolie pulmonaire. L'œsophage se présente normalement. Progression en taille des multiples adénopathies médiastino-hilaires, la plus volumineuse se situe dans la loge de Barety et mesure actuellement 14 mm contre 12 mm. OGD le 04.01.2019 : pas de sténose œsophagienne, trouble de la déglutition probablement sur hypomobilité buccale avec stase. Laboratoire : cf annexes. CT Time is brain le 03.01.2018 : pas d'argument pour une lésion ischémique récente. Les vaisseaux cérébraux et pré-cérébraux sont perméables, sans sténose mise en évidence. On retrouve les lésions séquellaires intéressant l'hémisphère gauche, correspondant aux lésions axonales connues, sans changement. Laboratoire : cf annexes. CT total body 14.01.2019 : hémorragie d'allure aiguë au sein de la cavité porencéphalique de séquelle post-traumatique frontale gauche. Condensations pulmonaires multiples à gauche évoquant des contusions pulmonaires dans la partie postérieure du poumon gauche avec des troubles ventilatoires. Fracture de l'arc postérieur de la 1ère, 2ème, 3ème, 4ème, 7ème, 8ème et 9ème côtes à gauche. Fracture du processus transverse gauche des vertèbres D2-D3, D7, D8, D9. Pas de lésion intra-abdominale notable. Lésion suspecte de néoplasie prostatique gauche. Radiographie du thorax (Inselspital Bern) 14.01.2019 : augmentation de la ventilation des lobes basaux à gauche, DD, un épanchement pleural/hématothorax supplémentaire est possible avec une fracture de côte connue. Pas de pneumothorax. CT cérébral (Inselspital) 14.01.2019 : cavité porencéphalique basi-frontale dd et petite hémorragie en son sein en frontale gauche au centre de l'hypodensité frontale gauche. Anciennes fractures multiples frontales. Status post-ostéosynthèse par multiples plaques maxillaires antérieures dd. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Citernes basales et mésencéphaliques et système ventriculaire de morphologie normale. Calcifications physiologiques et structures médianes de position normale. Laboratoire : cf annexes CT-abdominal le 03.01.2019 : par rapport à l'examen du 30 novembre 2018 : apparition d'une composante aérique au sein de la plus grande des masses péritonéales en dessous du foie et en avant du côlon ascendant, pouvant correspondre soit à une nécrose de cette dernière ou à une communication avec les structures digestives. Apparition d'une quantité modérée de liquide libre intra-abdominal (DD : souffrance de la masse péritonéale ?). Pas d'argument radiologique pour un iléus mécanique ou paralytique. Stabilité en taille des deux autres masses péritonéales. Apparition d'un épanchement pleural gauche de petite quantité associée à des atélectasies passives et partielles du lobe inférieur homolatéral. RX thorax 03.01.2019 : port-à-cath pectoral droit en place. Volumineuse masse médiastinale en surprojetant le hile pulmonaire gauche avec déplacement des structures médiastinales vers la droite, comparable à l'examen du 30.11.2018, sous réserve d'une modalité différente. Épanchement pleural modéré à gauche. Absence d'épanchement pleural à droite. Présence d'une chaînette d'agrafes au niveau de la base pulmonaire des deux côtés, compatible avec un statut post-résection avec troubles ventilatoires/remaniements cicatriciels adjacents, principalement à droite. Absence de foyer constitué. Tissus mous et structures osseuses sans particularités. Drainage percutané sous CT-scan le 07.01.2019 : selon technique de Seldinger, de la lésion péritonéale en dessous du foie. On pourrait discuter d'injecter du produit de contraste iodé par le drain pour voir s'il y a une éventuelle communication avec les anses digestives. Matériel : drain Resolve 10 French. Le drain doit être débloqué avant d'être retiré. Opacification du côlon 15.01.2019 : administration de Gastrographine diluée à 50% par voie rectale. Opacification du caecum, sans mise en évidence de fistule en rapport avec la masse kystique drainée. À noter qu'une petite fistule peut ne pas être visible sur la base de cet examen en raison de la difficulté à amener le produit de contraste jusque dans le caecum. Un complément d'examen par injection de produit de contraste par le drain peut être réalisé. Laboratoire : cf annexes CT-abdominal le 15.01.2019 : iléus mécanique sur probable bride dans le flanc droit sans signe de souffrance intestinale. CT-abdominal le 23.01.2019 : absence de liquide libre intra-péritonéal. Persistance d'un subiléus avec dilatation des anses intestinales proximales à 34 mm avec cependant une bonne progression du produit de contraste iléo-colique jusqu'au rectum. Disparition du fèces sign au niveau du flanc droit et le saut de calibre est moins marqué que sur le comparatif. Laboratoire : cf annexes CT-scan abdominal : pancolite sans signes de gravité, appendice à 6 mm de largeur. Laboratoire : cf. annexes. CT-scan cérébral Time is Brain le 16.01.2019 : zone de pénombre en région pariétale gauche avec légère asymétrie de vascularisation de l'artère cérébrale moyenne dans sa partie distale en défaveur de la gauche, sans arrêt brut du flux. Absence d'hémorragie intracrânienne visible. Lésion séquellaire en région frontale droite. IRM cérébrale le 17.01.2019 : AVC ischémique aigu situé dans la région frontale à hauteur du gyrus précentral et dans la région pariétale gauche. Anomalie de signal sur la séquence T2* au sein de ces lésions évoquant des dépôts d'hémosidérine. Remaniement athéromateux du siphon carotidien prédominant à gauche, non visualisation des branches corticales de l'artère cérébrale moyenne gauche probablement en lien avec des remaniements athéromateux. Asymétrie des artères cérébrales postérieures en défaveur de la droite. En marge de la séquelle frontale droite, petit hypersignal de diffusion qu'il est difficile de corréler avec l'ADC, pouvant correspondre à un artéfact. Echocardiographie transthoracique le 16.01.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Hypertrophie excentrique. Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale de cinétique normale. Insuffisance mitrale légère (grade 1/3). Dysfonction diastolique modérée (grade II). Oreillette gauche modérément dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide légère (grade 1/3). Hypertension pulmonaire avec une pression artérielle pulmonaire systolique estimée à 58 mmHg. Absence d'épanchement péricardique. Holter de 48h le 18.01.2019 : rapport définitif en cours. Bilan neuropsychologique le 21.01.2019 : rapport définitif en cours. Parésie faciale avec dysarthrie. Flou articulatoire, discret manque du mot. Diminution de l'empan verbal. Ralentissement psychomoteur important. Conduite contre-indiquée jusqu'à un bilan d'évolution à 3-4 mois. Proposition de logopédie en ambulatoire. Laboratoire : cf. annexes Cytologie LCR le 14.01.2019 (C2019.50) : pas de cellules malignes. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal et régulier à 60/min, axe QRS à 09°, PR 150 ms, QRS 86 ms, QTc 414 ms, segment ST isoélectrique, onde T physiologique, présence d'une onde U, progression précoce de l'onde R avec une transition en V2-V3. IRM neurocrâne/carotides : pas d'IRM comparative. Le système ventriculaire est de taille et de morphologie normales. Les structures de la ligne médiane sont en position correcte. Sur l'imagerie de diffusion, pas d'argument pour une lésion ischémique aiguë. Sur les coupes T2 FLAIR, perte de substance de la région pariétale haute et notamment du gyrus post-central avec des plages en hyperintensité de signal alentour devant correspondre à des zones de gliose. Dans le reste de la substance blanche profonde et périphérique, plusieurs lésions punctiformes en hyperintensité de signal sur les coupes en pondération T2 FLAIR. Sur les coupes en pondération T2*, pas d'hémorragie mise en évidence. Sur les coupes T1, perte de substance pariétale haute devant correspondre aux séquelles d'AVC ischémique connues chez cette patiente dans la région centrale. Sinon les noyaux gris centraux sont bien définis. Sur l'angio-IRM centrée sur le polygone de Willis, les artères carotides internes sont perméables et symétriques. Le tronc basilaire est perméable ainsi que les artères cérébrales postérieures (origine fœtale de l'artère cérébrale postérieure droite). Dominance de l'artère vertébrale droite, d'origine le plus probablement constitutionnelle. Sur l'angio-IRM centrée sur le polygone de Willis ou les vaisseaux précérébraux, on met en évidence une nette sténose au départ de l'artère carotide interne gauche, avec un trajet relativement filiforme mais avec toutefois un signal relativement marqué en aval dans la carotide interne, sans nette asymétrie entre la carotide interne droite et la carotide interne gauche. Il s'agit d'une sténose de haut degré avec plaque calcifiée, sans toutefois de subocclusion actuellement. Quelques lésions athéromateuses au départ de l'artère carotide interne droite, sans sténose significative. Dominance de l'artère vertébrale droite d'origine le plus probablement constitutionnelle. Après injection IV de Gadolinium, pas de prise de contraste pathologique intra-axiale. Les sinus veineux sont perméables. CONCLUSION : pas de lésion ischémique aiguë. Séquelle de lésion ischémique pariétale gauche dans la région centrale (gyrus post-central). Pas de lésion hémorragique. Une sténose de haut degré du départ de l'artère carotide interne gauche sur probable plaque athéromateuse calcifiée avec toutefois un bon signal en aval (DD surestimation de la sténose par une plaque circonférentielle athéromateuse calcifiée. Un doppler de la carotide interne permettrait de mieux quantifier cette sténose. (Dr. X)Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier à 81/min, QRS d'axe 1°, QRS fin à 80 ms, transition de l'onde R en V2, pas de signe d'ischémie. ESV isolée, QTc 428 ms. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier à 94/min, axe normal, pas de signe d'ischémie active, pas d'ondes Q pathologiques, pas de signes d'HVG, bloc de branche droite. Ultrason du cœur du 09.10.2018 : dans la norme. IRM cardiaque du 25.10.2018 : • VG de fonction systolique normale sans trouble de la cinétique segmentaire. • Masse ventriculaire gauche normale avec une épaisseur de paroi encore normale de maximum 12 mm au niveau du septum interventriculaire moyen. • VD de taille et fonction systolique normale. • Les valves sont d'allure et fonction normales. • Le rehaussement tardif ne montre pas de fibrose significative. Il existe une discrète prise de contraste aspécifique au point d'insertion postérieur du ventricule droit sur le septum interventriculaire. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, bradycarde à 49 bpm, axe normal à 55°, QRS fins à 88, segment ST iso-électrique, transition de l'onde R en V4, QTc à 371 ms. Radiographie du thorax face/profil : aspect allongé de la silhouette cardiomédiastinale. Hypertransparence pulmonaire bilatérale. Élargissement du cul de sac costodiaphragmatique. Pas de foyer pneumonique décelable. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, normocarde à 82 bpm, axe normal à 12°, QRS fins à 86 ms, Segment-ST isoélectrique, transition de l'onde R en V3, QTc à 412 ms. Radiographie du thorax face/profil : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. (Dr. X). Laboratoire : cf annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, normocarde à 82 bpm, axe normal à 56°, QRS fins à 102 ms, Segment ST isoélectrique, onde T négative en III. Transition de l'onde R précoce en V3. QTc à 449 ms. Aspect d'hémibloc de branche droit. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, normocarde à 90 bpm, intervalle PQ à 196 ms. QRS fins à 100 ms, normo axé à 34°. ST isoélectrique, ondes T négatives non-concordantes en V3-V4, transition onde R en V3, QTc à 432 ms. Radiographie de la colonne lombaire face/profil : lésions dégénératives multi-étagées du rachis lombaire avec des discopathies sévères entre L3 et L5 ainsi qu'un tassement concave du plateau supérieur de L3 et dans une moindre mesure L4, difficile à dater, mais pouvant être en relation avec la chute récente connue. Pas de recul du mur postérieur. Tassement d'allure plus ancienne de D12. Status post-cholécystectomie. Radiographie du thorax face : cœur de taille à la limite supérieure de la norme, sans signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. On retrouve le tassement de D12. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, bradycarde à 49 bpm, axe normal à -7°, QRS fins à 80 ms, segment ST iso-électrique, onde T négatives dans les précordiales concordantes. QTc à 402 ms. Radiographie du thorax face/profil : aorte déroulée et calcifiée. Lésion d'infiltrat pulmonaire bilatérale. Hypoventilation des 2 bases pulmonaires. (Dr. X). CT-scan cérébral natif : comparatif du 15.01.2018. Pas de fracture des os du crâne et du massif facial. Hyperostose frontale interne. Absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extra-durale. Ectasie des citernes basales et mésencéphaliques ainsi que du système ventriculaire et élargissement des sillons cérébraux et cérébelleux en rapport avec l'âge de la patiente. Hypophyse d'aspect agrandi pour l'âge de la patiente, mesurée à 8 mm de hauteur, faisant suspecter une lésion sous-jacente. Hypodensité diffuse de la substance blanche péri-ventriculaire et profonde compatible avec de la leuco-araïose. Calcifications des artères carotides internes à hauteur des siphons carotidiens des deux côtés. Sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes libres. Hématome sous-cutané péri-orbitaire droit. CONCLUSION : hématome sous-cutané péri-orbitaire droit. Absence de saignement intracrânien. Pas de fracture. Hypophyse d'aspect agrandi pour l'âge de la patiente, mesurée à 8 mm de hauteur, faisant suspecter une lésion sous-jacente. Si l'on souhaite aller plus loin dans les investigations, un complément d'examen par IRM spécifique à l'évaluation de l'hypophyse peut être réalisé. Examen réalisé en téléradiologie avec transmission des résultats au Dr. X à 00H20. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. ECG : RSR, axe verticale, fréquence 100 bpm, QRS fins, ondes T négatives en D3 et aVF. Gastroscopie en urgence le 10.01.2019 (Dr. X) : très volumineuses varices œsophagiennes avec visualisation d'un red spot sign sur une varice au niveau du cardia. Actuellement, pas de saignement actif. Pas d'autre source de saignement visualisée. Recto-sigmoïdoscopie en urgence le 11.01.2019 (Dr. X) : présence de multiples caillots avec présence de vieux sang. Absence d'un saignement actif au niveau du recto-sigmoïde. Conclusion : suspicion d'un saignement actif du tractus digestif supérieur. Gastroscopie en urgence le 11.01.2019 (Dr. X) : l'œsophage proximal est sans particularité. Au niveau de l'œsophage moyen, présence d'une varice de stade 3. Dans l'œsophage distal, 3 varices de stade 3 avec Red Spot Signs. On pose 3 ligatures élastiques sur les varices. Il y a un peu de sang dans le fundus gastrique sans qu'on visualise de saignement actif. Je ne peux par contre pas exclure un saignement sous le caillot. Conclusion : ligatures de 3 varices. US Doppler hépatique le 15.01.2019 : pas de thrombose porte mise en évidence. Signes d'hypertension portale. RX genou gauche le 21.01.2019 : rapport en cours. Laboratoire : cf. annexes. ECG : rythme irrégulièrement irrégulier à 40/min, axe hypergauche, pas de bloc atrio-ventriculaire, hémi bloc antérieur gauche et bloc de branche droite, onde T inversée V1-V6 connu. Échocardiographie le 24.12.2018 (Dr. X) : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 50 % (évaluation visuelle). (50 %). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte discrètement dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Valve mitrale normale. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Oreillette gauche très dilatée. Fonction systolique du ventricule droit discrètement altérée. Oreillette droite modérément dilatée. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. L'examen du jour ne montre pas d'altération significative comparé à l'examen précédent qui date de fin 2017. Je propose un Holter de 48h. Une pose de pacemaker devrait être discutée une fois les résultats obtenus mais semble a priori indiqué en l'absence d'une autre étiologie pour cette décompensation (CAVE cardiopathie ischémique formellement non-exclue). Radiographie du thorax du 07.01.2019 : on note un status post mise en place d'un pacemaker pré-pectoral gauche unicaméral avec sa sonde connectée et visible en surprojection du ventricule droit. Cardiomégalie avec index cardio-thoracique mesuré à 53%. Calcifications de l'aorte thoracique. Opacité péri-bronchique basale droite para-cardiaque dd infiltrat dd image construite par la position légèrement oblique, à corréler au status clinique. Le reste du parenchyme pulmonaire, cadre osseux et parties molles extra-thoraciques sans particularité.Laboratoire : cf. annexes ECG : rythme sinusal régulier, normocarde, pas de trouble de la conduction ni de trouble de la repolarisation RX thorax du 12.01.2019 : silhouette cardio-médiastinale normale. Suspicion d'infiltrat micronodulaire de la plage pulmonaire droite, sans foyer constitué. Laboratoire : cf. annexes. ECG : rythme sinusal régulier, normocarde, pas de troubles de la conduction ni de la repolarisation. CT cérébral et colonne cervicale du 07.01.2019 : hématome sous-galéal frontal gauche sans fracture sous-jacente. Discrète hyperdensité corticale fronto-polaire gauche probablement artéfactuelle mais sans qu'une minime hémorragie pétéchiale ne soit totalement exclue. Pas de franche hémorragie intracrânienne visible ailleurs et pas de lésion traumatique du rachis cervical. Les coupes passant par les apex pulmonaires montrent un épaississement des septa interlobulaires (décompensation cardiaque ?). RX thorax du 07.01.2019 : apparition d'opacités en bande en base gauche devant correspondre à des dystélectasies, vraisemblablement masquées précédemment par une incidence différente. Apparition d'une dystélectasie para-cardiaque droite. Pour le reste, l'examen est superposable au précédent, avec des épaississements bronchiques diffus, sans net foyer individualisé. RX colonne lombaire du 07.01.2019 : cf. rapport CT colonne lombaire. CT colonne lombaire du 08.01.2019 : on retrouve le tassement de la vertèbre L1 avec recul du mur postérieur, sans déplacement secondaire. Le reste de l'examen est également inchangé, avec notamment un antélisthésis de L5 sur S1 de grade I sur lyse isthmique bilatérale. Pour le reste, on visualise partiellement des comblements bronchiques avec des condensations en distalités des pyramides basales, devant correspondre à des foyers de bronchopneumonie. IRM colonne lombaire du 08.01.2019 : aspect inchangé de la fracture tassement du corps vertébral de L1 avec recul du mur postérieur estimé à 6 mm. Pas de nouveau tassement vertébral décelé. Rétrécissement foraminal L1-L2 à droite, L4-L5 et L5-S1 bilatéral, superposable au comparatif. Rétrécissement canalaire modéré L4-L5, superposable au comparatif. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 02.01.2019 : rythme sinusal régulier, QRS fin, inversion des ondes T en V4-V6, pas d'altérations du segment ST, extrasystoles ventriculaires isolées. ETT du 03.01.2019 (Dr. X, Prof. X) : discrète dilatation du ventricule gauche avec une hypokinésie sévère du septum apical, de la paroi latéro-apicale, de la paroi septale antérieure moyenne et de la paroi postérieure moyenne et une hypokinésie modérée des segments restants. Fonction systolique globale modérément diminuée. FEVG à 30 %. Hypertrophie excentrique. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Surface aortique à 2,86 cm² (1,66 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Excès tissulaire du feuillet mitral antérieur. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Dysfonction diastolique minime (grade I). Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche très dilatée. Dilatation importante de l'oreillette droite avec VD de taille à la limite supérieure de la norme. Fonction systolique du VD conservée. Absence d'HTAP (PAPs à 26 mmHg). Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Absence d'épanchement péricardique. Coronarographie du 03.01.2019 (Prof. X) : coronarographie normale. Dysfonction ventriculaire gauche sévère avec akinésie apicale, EF 25 %, DD Takotsubo myocardite. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 04.01.2019 : FA connue, normocarde, axe gauche, QRS fins, QTc à 462 ms, segment ST isoélectrique. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 06.12.2018 : rythme sinusal à 65 bpm, irrégulier, axe dans la norme, intervalle PR à la limite de la norme (200 ms), QRS, QTc dans la norme, pas de trouble de la conduction ou de la repolarisation. Radiographie bassin + hanche axiale D du 20.12.2018 (comparatif 29.11.2018) : st/p mise en place d'une PTH D avec élément fémoral cimenté, cupule acétabulaire vissée. Les éléments prothétiques sont en place, en bonne position sans signe de déscellement précoce. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 09.01.2019 : rythme sinusal à 112 bpm, axe gauche à -30°, intervalles PR, QRS et QTc dans la norme, ondes T négatives en V1, V2 et DIII. Radiographie thorax face du 10.01.2019 : cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement et des calcifications de l'aorte thoracique. Désorganisation de la trame broncho-vasculaire avec des épaississements bronchiques, mais pas d'image typique de foyer pulmonaire, ni d'épanchement pleural. On retrouve le st/p cimentoplasties transpédiculaires de D6 et D7. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 10.12.2018 : rythme sinusal à 60 bpm, PR à 160 ms, QRS fins à 100 ms avec un axe à 0°, QTc à 400 ms, progression retardée du R dans les précordiales avec transition en V5, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 10.12.2018 : rythme sinusal avec FC 83 bpm, axe dans la norme à 24°, intervalle PR à la limite de la norme, intervalles QRS et QTc dans la norme, ondes T négatives en V1 et V2. Gazométrie du 10.12.2018, à l'air ambiant : pH 7.43, pO2 11.3 kPa, pCO2 4.68 kPa, HCO3- 22.9 mmol/l, SpO2 93.7 %. Spirométrie du 11.12.2018 : CVF 80 % du prédit, VEMS 65 % du prédit, Tiffeneau 68.5 %. Spirométrie du 18.12.2018 : CVF 73 % du prédit, VEMS 59 % du prédit, Tiffeneau 68.2 %. Diffusion du CO du 18.12.2018 : DLCO 31 %. Radiographie thorax du 13.12.2018 : pas de surélévation des deux coupoles diaphragmatiques. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer ou de condensation décelable de façon bilatérale. Aorte déroulée et calcifiée. Test des 6 minutes, à l'entrée : distance parcourue 405 m. FC 86-87 bpm, TA 142/77 mmHg - TA 141/74 mmHg, satO2 98 % - 87 % (99 % après 1'), EVA dyspnée 3/10 - 4/10. Test des 6 minutes, à la sortie : distance parcourue 420 m. FC 81-88 bpm, TA 123/65 mmHg - TA 124/59 mmHg, satO2 97 % - 92 %, EVA dyspnée 0/10 - 3/10. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 11.01.2019 : FA à 70 bpm, axe dans la norme, pas de trouble de la repolarisation. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 13.12.2018 : rythme sinusal à 75 bpm, BAV 1er degré avec PR à 220 ms, QRS fins à 90 ms avec un axe à droite à -23°, QTc à 400 ms, progression retardée de l'onde R avec transition en V5, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. Oxymétrie nocturne du 18.12.2018, sous CPAP à l'air ambiant : SpO2 moyenne 93 %, index des événements de désaturation : 5.4/h. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 17.12.2018 : rythme pacemaker ventriculaire à 75 bpm. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 17.12.2018 : rythme sinusal à 80 bpm, PR 140 ms, QRS fins à 90 ms, avec un axe à -50°, QTc à 477 ms, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, bonne progression de l'onde R avec transition en V4. ECG du 28.12.2018 : ECG superposable à celui d'entrée. Radiographie thorax du 03.01.2019 (comparatif du 11.12.2018) : st/p sternotomie pour pontage aorto-coronarien, un cerclage rompu. Cœur de volume dans la norme, sans signe de décompensation. Sclérose aortique. Persistance de petites atélectasies en bandes fines péri-hilaires droites. Épanchement pleural postéro-basal droit inchangé. Surélévation de la coupole diaphragmatique droite. Ultrason abdomen complet natif du 03.01.2019 : volumineuse masse hépatique de 15 cm de diamètre maximal occupant l'ensemble du foie droit ouvrant le DD d'un cholangiocarcinome. Au moins 4 lésions hétérogènes suspectes d'atteinte métastatique.Laboratoire : cf annexes. ECG du 18.12.2018 : FA avec FC à environ 60 bpm (connue), axe à 0°, pas de signes d'ischémie. Gazométrie du 20.12.2018 : pH 7.45, pO2 9.2 kPa, pCO2 5.7 kPa, HCO3- 26 mmol/l, SpO2 92.8%. Spirométrie du 26.12.2018 : CVF 89% du prédit, VEMS 75% du prédit, Tiffeneau 64.4%. Oxymétrie nocturne du 05.01.2019, à l'air ambiant : index des événements de désaturation 44.1/heure, SpO2 moyenne 92.4%. Radiographie épaule D du 03.01.2019 : les rapports articulaires entre la tête humérale et la glène sont physiologiques. Pas de fracture. Arthrose AC. Structure bien calcifiée dans les parties molles DD exostose. Tendinite calcifiante du muscle supra-épineux. Radiographie thorax du 10.01.2019 (comparatifs du 03.12.2018) : on retrouve une cardiomégalie avec discret flou péri-hilaire et un épaississement bronchique ainsi qu'une sclérose et un déroulement de l'aorte thoracique relativement superposable. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Cadre osseux inchangé avec arthrose AC et petite ossification en regard de l'interligne articulaire acromio-claviculaire ddc plus gros à D qu'à G inchangée. Spondylose dorsale modérée, sans véritable tassement mis en évidence. Conclusion : le tout fait évoquer une insuffisance cardiaque légèrement décompensée. Pas de foyer de pneumonie. CT thoracique natif et injecté du 15.01.2019 : pas de foyer de pneumonie, pas d'épaississement interstitiel net. Discret épaississement bronchique. Cardiomégalie avec reflux de produit de contraste dans la veine cave inférieure pouvant correspondre à une insuffisance cardiaque D. Pas de masse médiastinale significative, pas de déviation de la trachée. Tassement de D4 possiblement ancien, à corréler à la clinique. Laboratoire : cf annexes. ECG du 18.12.2018 : rythme sinusal à 64 bpm, axe dans la norme, intervalles PR et QRS dans la norme, QTc à la limite de la norme, pas de trouble de la conduction ou de la repolarisation. Gazométrie du 18.12.2018, à l'air ambiant : pH 7.45, pO2 8.2 kPa, pCO2 4.10 kPa, HCO3- 21.2 mmol/l, SpO2 91.2%. Gazométrie du 11.01.2019, à l'air ambiant : pH 7.47, pO2 9.2 kPa, pCO2 4.96 kPa, HCO3- 26.4 mmol/l, SpO2 94.2%. Spirométrie du 18.12.2018 : CVF 51% du prédit, VEMS 39% du prédit, Tiffeneau 60%. Spirométrie du 08.01.2019 : CVF 54% du prédit, VEMS 48% du prédit, Tiffeneau 69.6%. Diffusion du CO du 26.12.2018 : DLCO 44%. Radiographie thorax du 20.12.2018 (comparatif du 07.11.2018) : discrète surélévation de la coupole diaphragmatique droite. Perte de volume modérée de l'hémithorax droit et remaniement para-médiastinal droit post-lobectomie inférieure. Une opacité triangulaire para-cardiaque effaçant le bord droit du cœur. Épaississement de la petite scissure et petit épanchement pleural du sinus costophrénique postérieure. À gauche, surélévation connue de la partie antérieure de la coupole diaphragmatique. Cœur de volume dans la norme, sans signe de décompensation. Radiographie thorax du 03.01.2019 (comparatif du 20.12.2018) : par rapport au comparatif, on retrouve un remaniement pleuro-parenchymateux basal droit post-lobectomie inférieure avec épanchement pleural postérieur et remaniement para-médiastinal droit triangulaire, inchangés. Surélévation de la coupole diaphragmatique gauche persistante. Pas d'évidence de foyer parenchymateux surajouté décelable. Le cœur difficilement évaluable, reste de volume dans les limites de la norme. Pas de signe de surcharge cardiaque. Le reste du status est superposable. Test des 6 minutes, à l'entrée : distance parcourue 220 m (avec rollator), FC 75-85 bpm, TA 130/90 mmHg - TA 140/100 mmHg, satO2 88%-89%, EVA dyspnée 2/10 - 4-5/10. Test des 6 minutes, à la sortie : distance parcourue 345 m (avec rollator), FC 69-95 bpm, TA 145/86 mmHg - TA 172/83 mmHg, satO2 97% - 90%, EVA dyspnée 0/10 - 3/10. Laboratoire : cf annexes. ECG du 19.01.2019 : sus décalage en antérieur V2-V3-V4. Coronarographie du 19.01.2019 : STEMI antérieur subaiguë corrélée à l'occlusion de l'IVA moyenne. Il existe également des sténoses de la branche marginale et de la Cx moyenne. La fonction VG est sévèrement limitée en akinésie antéro-apicale. Recanalisation avec thrombo-aspiration et pose de 2 stents avec un bon résultat immédiat. REOPRO en bolus ic. US abdomen complet du 20.01.2019, US bilan des parties molles du 20.01.2019 : sous réserve d'un examen de qualité limitée pour les raisons précitées, forte suspicion d'un hématome en fosse iliaque droite dont l'étendue n'est pas claire. Nous recommandons la réalisation d'un CT abdominal afin d'évaluer l'étendue de l'hématome et à la recherche d'une source/saignement actif. Le reste du volume exploré est sans particularité. CT abdomen natif et injecté du 20.01.2019 : hématome rétropéritonéal à droite et extra péritonéal pelvien sans signe de saignement actif. Échographie doppler artériel du MID proximal du 21.01.2019 : aorte, artère iliaque commune, externe perméables, sans signe de sténose, dissection visible. Pas de fuite visible. Carrefour fémoral perméable, sans dissection, hématome, sténose. Puis AFS perméable, flux triphasique, sans sténose, de même qu'en poplité. Échocardiographie transthoracique 21.01.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une akinésie de la paroi apicale, du septum moyen, de la paroi inférieure moyenne et de la paroi septale antérieure moyenne, une hypokinésie sévère de la paroi latérale moyenne et une hypokinésie modérée de la paroi antérieure moyenne. FEVG à 35 % (évaluation visuelle). Bourrelet septal sous-aortique. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Échocardiographie transthoracique du 22.01.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une akinésie de la paroi apicale et de la paroi septale antérieure moyenne, une hypokinésie sévère du septum moyen, une hypokinésie modérée de la paroi antérieure moyenne et une hypokinésie minime de la paroi latérale moyenne et de la paroi inférieure moyenne. FEVG à 40 % (évaluation visuelle). Bourrelet septal sous-aortique. Amélioration de la fraction d'éjection. Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Insuffisance mitrale stable par rapport à l'examen précédent. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP (PAPs à 29 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Il existe une image évocatrice de thrombus sessile, de petite taille. Laboratoire : cf annexes. ECG du 19.12.2018 : rythme sinusal à 77 bpm, axe dans la norme, intervalle PR à la limite inférieure, intervalle QTc dans la norme, T négative de V1 à V4, BBD avec surexcitation ventriculaire qui indique une surcharge ventriculaire - plus probablement liée à la BPCO. Gazométrie du 19.12.2018, à l'air ambiant : pH 7.46, SpO2 90.3%, pO2 8.0 kPa, pCO2 6.0 kPa, HCO3- 31.7 mmol/l. Gazométrie du 21.12.2018, à l'air ambiant : pH 7.44, SpO2 91.8%, pO2 7.5 kPa, pCO2 5.83 kPa, HCO3- 28.9 mmol/l.Capnographie nocturne du 21.12.2018, à l'air ambiant : SpO2 moyenne 81.7%, tcpCO2 6.2 kPa, indice de désaturation 22.89/heure. Oxymétrie nocturne du 22.12.2018, à l'air ambiant : SpO2 moyenne 77.8%, SpO2 <90% : 100%, index des événements de désaturation : 7.8/heure. Radiographie thorax du 21.12.2018 (comparatif du 04.04.2017) : on retrouve une hyperinflation thoracique associée à une oligémie périphérique, un épaississement bronchique et une horizontalisation des arcs costaux dans le contexte de la BPCO connue. Aspect émoussé des sinus costo-phréniques postérieurs évoquant de petits épanchements pleuraux para-pneumoniques. L'épanchement prédomine à gauche. Actuellement pas de net bronchogramme aérique surajouté visible. Ostéopénie. Lésions dégénératives pluri-étagées du rachis dorsal sans fracture/tassement. Cœur de volume dans la norme sans signe de décompensation décelable. Artères pulmonaires de forts calibres compatibles avec une hypertension artérielle pulmonaire. Radiographie poignet G du 21.12.2018 (incidence non stricte (spasme involontaire)) : ostéopénie. Pas de fracture visualisée. Discrète arthrose radio-scaphoïdienne. Arthrose métacarpo-phalangienne du pouce. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 20.01.2019 : fibrillation auriculaire à 127/min, axe 30°, QRS fin, segment ST isoélectrique, QTc mesuré à 436 ms. Radiographie de thorax du 19.01.2019 : cardiomégalie associée à un flou péri-hilaire et de discrets infiltrats pulmonaires bilatéraux à prédominance basale, compatibles avec une insuffisance cardiaque modérément décompensée. Déroulement de l'aorte thoracique. Absence de franche opacité pulmonaire suspecte de foyer infectieux. Pas d'épanchement pleural. Discopathie pluri-étagée du rachis dorsal. Echocardiographie transthoracique du 21.01.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire normale. La fonction systolique globale est légèrement diminuée. FEVG à 50 % (évaluation visuelle). Aorte normale. Sigmoïdes non-coronarien et gauche calcifiées. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 10 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime. Oreillette gauche très dilatée. Dilatation modérée des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est légèrement diminuée. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf annexes. ECG du 20.12.2018 : rythme sinusal à 55 bpm, axe dans la norme, intervalles PR, QRS, QTc dans la norme, pas de trouble de la repolarisation ni de la conduction. Laboratoire : cf annexes. ECG du 21.12.2018 : rythme sinusal à 63 bpm, axe gauche à 35°, intervalles PR, QRS, QTc dans la norme, pas de trouble de la repolarisation ni de la conduction. Laboratoire : cf annexes. ECG du 23.01.2019 : rythme irrégulièrement irrégulier compatible avec une fibrillation auriculaire à 108/min. Gazométrie du 23.01.2019 (effectuée à l'air ambiant) : pH 7.49. PCO2 4.8. PO2 7.6. Bicarbonates 27. BE 4.1. Sat 91%. Radiographie du thorax du 23.01.2019 : comparatif du 16.01.2019. Cardiomégalie sans signe de décompensation cardiaque. Sclérose et déroulement de l'aorte thoracique. Calcifications de l'arbre trachéo-bronchique. Absence d'opacité pulmonaire suspecte de foyer infectieux. Pas d'épanchement pleural. Scoliose sinistro-convexe du rachis dorsal avec discopathie pluri-étagée. Laboratoire : cf annexes. ECG du 25.01.2019 : rythme sinusal régulièrement irrégulier, FC à 86 bpm, extrasystole ventriculaire. Radiographie du thorax du 24.01.2019 : mise en place d'un pacemaker bicaméral avec sondes bien connectées au boîtier sous-clavier gauche. Pas de pneumothorax ou d'épanchement pleural visible. Cardiomégalie. Elargissement hilaire en lien avec une dilatation des artères pulmonaires, connue. Sclérose de la crosse aortique et élongation de l'aorte thoracique descendante. Cadre osseux sp. Arthrose AC à droite. Laboratoire : cf annexes. ECG du 26.12.2018 : rythme sinusal tachycarde, hémibloc antérieur droit. Radiographie du thorax du 26.12.2018 : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Status post mise en place d'un amplatzer dans l'auricule gauche (cf. CT-scan du 21.12.2018). Flou péri-hilaire avec augmentation de taille des hiles, épanchements pleuraux postérieurs et redistribution vasculaire vers les sommets, le tout en faveur de signes de surcharge cardiaque. Pas de foyer constitué. Le compartiment osseux se présente normalement. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 27.12.2018 : rythme sinusal régulier, normocarde, QTc dans la norme, pas de trouble de la conduction, pas de trouble de la repolarisation. CT thoracique du 27.12.2018 : pas d'embolie pulmonaire visible. CT membre inférieur gauche du 27.12.2018 : infiltration des tissus mous du membre inférieur gauche, sans franche collection mise en évidence, pouvant évoquer en premier lieu une dermo-hypodermite (DD : collection en voie de formation ?). Laboratoire : cf annexes. ECG du 28.11.2018 : rythme sinusal avec FC à 58 bpm, axe à 20° dans la norme, intervalles PR, QRS, QTc dans la norme. T inversé en V1-V6. ECG du 29.11.2018 : superposable à l'ECG du 28.11.2018. Laboratoire : cf annexes. ECG le 11.01.2019 : fibrillation auriculaire normocarde, axe normal, QRS fins, sous-décalage ST dans les dérivations V4-V5-V6 avec ST descendant en DI et aVL, pas de troubles de la repolarisation. RX du thorax le 11.01.2019 : pas de comparatif. Cardiomégalie avec notamment dilatation de l'oreillette gauche provoquant une séparation des bronches souches sur le cliché de face. Déroulement athéromateux de l'aorte thoracique. Redistribution vasculaire avec épaississement de la petite scissure, quelques lignes de Kerley B, infiltrats péri-broncho-vasculaires et fine couche d'épanchement pleural bilatérale, le tout étant compatible avec une décompensation cardiaque. Pas de foyer pulmonaire constitué. Status post-plastie de la coiffe des rotateurs à droite. Cunéiformisation de multiples vertèbres dorsales, pouvant parler pour des anciens tassements. Laboratoire : cf annexes. ECG le 16.12.2018 : FA normocarde. RX thorax du 16.12.2018 : on retrouve une cardiomégalie avec présence d'un flou péri-hilaire, redistribution vasculaire et des infiltrats péri-broncho-vasculaires, le tout étant compatibe avec une décompensation cardiaque. Émoussement du récessus costo-diaphragmatique gauche pouvant parler pour un épanchement de faible quantité. Pas d'épanchement pleural visible à droite. Pas d'argument pour un foyer pulmonaire infectieux. Le reste du status est superposable. Ultrason abdomen supérieur du 19.12.2018 (Dr. X et Dr. X) : image compatible avec une cholécystite lithiasique avec une vésicule biliaire aux parois épaisses. Pas de dilatation des voies biliaires intra- ou extra-hépatiques. CT-Scan cérébral natif du 19.12.2018 : absence de saignement intracrânien. Pas de fracture. Structure nodulaire basi-frontale sur la ligne médiane semblant en continuité avec l'artère cérébrale antérieure gauche, mesurant 8 mm de plus grand axe, suspecte d'anévrisme. Un complément d'examen avec injection de produit de contraste est recommandé. ETT du 02.01.2018 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié. La cinétique segmentaire n'est pas évaluable en raison de mauvaises conditions techniques. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Valve aortique d'ouverture normale. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/3). L'anneau mitral présente des calcifications importantes de l'anneau postérieur. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Élévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche.Oreillette gauche très dilatée. Fonction systolique du ventricule droit discrètement altérée. Dilatation importante de l'oreillette droite avec une discrète dilatation du ventricule droit. Insuffisance tricuspide modérée à moyenne (grade 2 à 3/4). Pas de reflux systolique dans les veines sus-hépatiques. Hypertension pulmonaire avec une pression pulmonaire systolique estimée à 41 mmHg. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf. annexes. ECG le 21.01.2019 : inversion des ondes T en V5 et V6. Radiographie de thorax et CT thoracique natif et injecté le 21.01.2019 (Dr. X, Dr. X) : insuffisance cardiaque gauche décompensée avec présence de volumineux épanchements pleuraux bilatéraux. Absence d'argument pour une embolie pulmonaire sous réserve des artéfacts de respiration. Echographie cardiaque transthoracique réalisée le 22/01/2019 (Dr. X) : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile hyper-dynamique, FEVG à 70 % (évaluation visuelle). Bourrelet septal sous-aortique. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Insuffisance aortique minime. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale sévère (grade 3/3) avec un jet excentrique sous le feuillet mitral post. d'origine probablement dégénérative (suspicion d'un prolapsus du feuillet mitral antérieur). Oreillette gauche modérément dilatée. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. L'examen du jour montre une insuffisance mitrale sévère comme corrélat de symptômes de la patiente. En considérant les comorbidités de la patiente, un traitement conservateur (diurétique, IEC et, le cas échéant, une ponction d'épanchement pleural) ou invasive (MitraClip) doit être discuté avec la famille et le médecin traitant. Si une reconstruction valvulaire mitrale est considérée, une ETO et une coronarographie pour bilan pré-invasive doivent être planifiés. Laboratoire : cf. annexes. ECG le 23.12.2018 : FA normocarde, sous-décalage en latéral non connus sur les comparatifs, extrasystoles. RX thorax du 23.12.2018 (Dr. X) : on retrouve une cardiomégalie avec majoration du flou péri-hilaire et des opacités péri-bronchovasculaires, le tout évoquant une décompensation cardiaque. Pas de foyer pulmonaire clairement visible. Persistance d'un épanchement pleural droit avec aspect épaissi et nodulaire de la plèvre d'origine métastatique. Pas d'épanchement pleural gauche. RX hanche et fémur gauche du 23.12.2018 (Dr. X) : status post-stabilisation du fémur gauche par un clou PFNA avec matériel intègre, en position correcte. Pas de fracture secondaire mise en évidence. Pas de changement significatif de la lésion ostéolytique de la diaphyse fémorale gauche. CT pelvis natif du 27.12.2018 (Dr. X) : status post-stabilisation du fémur gauche par un clou PFNA avec matériel intègre, en position correcte. On constate une nette progression de la lésion ostéolytique fémorale gauche mesurant actuellement 64 mm contre 45 mm sur un plan cranio-caudal. On note une disparition de la corticale latérale. Fracture non déplacée de la corticale médiale en regard de la lésion lytique. On note également une progression métastatique de la lésion ostéolytique du mur postérieur du cotyle, passant de 11x15 mm à 17x26 mm. Stabilité de la lésion lytique de l'os iliaque droit. Au vu d'un examen réalisé sans injection de produit de contraste, on ne peut exclure un envahissement des parties molles. Laboratoire : cf. annexes. ECG le 30.12.2018 : microvolté en précordial, RSR 90/min, axe -90, BBD, ST isoélectriques, pas de troubles de la repolarisation. Radiographie du thorax le 30.12.2018 : infiltrat à la base pulmonaire droite et en rétrocardiaque pouvant faire suspecter des foyers pulmonaires à ces endroits. Pas d'épanchement pleural massif visible. Silhouette cardiaque dans la norme. Pas d'argument en faveur d'une décompensation cardiaque. Athéromatose calcifiée de l'aorte. ETT le 04.01.2019 : ventricule gauche non dilaté. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Absence de rétrécissement aortique. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Insuffisance aortique physiologique (grade 0 à 1/4). Valve mitrale normale. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche discrètement dilatée. Dilatation modérée du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit normale. Dilatation modérée des cavités droites. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. L'examen du jour montre une mauvaise visibilité. La FEVG est conservée. Il n'y a pas de valvulopathie significative. Laboratoire : cf. annexes. ECG le 30.12.2018 : rythme sinusal régulier, normocarde à 94 bpm, QTc dans la norme, ESV isolée, pas de trouble de la repolarisation. Laboratoire : cf. annexes. ECG (11.01.2019) : rythme sinusal régulier à 90 bpm, déviation axiale gauche, BAV 1e degré. Oeso-gastro-duodénoscopie (15.01.2019) : l'examen effectué n'a pas mis en évidence de source de saignement ni de signe d'une hémorragie digestive récente au niveau du tractus digestif haut. Le bilan doit être complété par une colonoscopie. Colonoscopie (18.01.2019) : présence de quelques diverticules, pouvant expliquer les saignements. Présence de deux polypes de 6 et 8 mm, pouvant être retirés uniquement en dehors de la double anti-aggrégation. Pas d'autre lésion visible. Laboratoire : cf. annexes. ECG. CT cervical-thoraco-abdomino-pelvien 31.12.2018 : adénomégalies cervicales situées dans les stations Ib et IIa, dont les plus grandes mesurent jusqu'à 2,5 cm et se situent en jugulo-digastrique. Tuméfaction de l'anneau de Waldeyer sans collection ou masse suspecte. Pas de splénomégalie. Pas d'autre adénopathie ou lésion suspecte visible sur l'ensemble du volume exploré. Avis infectiologue le 28.12.2018 (Dr. X) : tableau d'adénopathies cervicales et rash prurigineux pourraient être expliqués par maladie de Kikuchi. Le rash est plus probablement lié à une allergie de type retardée à la clindamycine ou à l'Ibuprofène. Consilium ORL : Lymphadénectomie cervicale le 31.12.2018 (Dr. X). Biopsie adénopathie PROMED P2018.15.058 du 31.12.2018 : lymphadénite histiocytaire nécrosante et rarement granulomateuse ainsi que modification réactive non spécifique dans un ganglion lymphatique (excision, adénectomie niveau I B droit). Biopsies cutanées le 28.12.2018 Inselspital Dermatologie D 19-44 : dans le contexte de l'anamnèse l'image histopathologique est bien compatible avec un exanthème médicamenteux. PCR Tropheryma whipplei : à pister. Laboratoire : cf. annexes. Echocardiographie transoesophagienne le 16.01.2019 : hypokinésie globale modérée. FEVG à 40 %. Aorte non dilatée, présentant un athérome avec des plaques de moins de 4 mm d'épaisseur au niveau de l'aorte ascendante. Valve aortique normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Insuffisance aortique minime. Clip mitral non sténosant mais fuyante. Insuffisance mitrale modérée à moyenne (grade 2 à 3/4). 2 structures flottantes sur la valve mitrale suspectes d'endocardite. Oreillette gauche très dilatée, sans thrombus visible. Dilatation importante de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4). Valve pulmonaire normale. Foramen ovale perméable. Laboratoire : cf. annexes. Echocardiographie transthoracique le 21.01.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie minime du septum moyen et du septum basal. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Insuffisance aortique minime. Absence d'insuffisance mitrale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Coronarographie avis Dr. X le 24.01.2019 : prise en charge des anévrysmes coronaires nécessaire de préférence par chirurgie. Une alternative par traitement endoluminal serait possible. Le patient sera convoqué une fois la discussion avec les chirurgiens vasculaires tenue. Avis pneumologique le 23.01.2019 : proposition de refaire des tests de fonction pulmonaire à distance, et d'évaluer la nécessité d'un traitement chez le Dr. X. Pour le moment, la carence de l'allergène est le traitement le plus important. Laboratoire : cf annexe Sérologie HIV le 12.01.2019 : en cours Hémocultures et culture du liquide drainé en cours CT cervico-thoracique du 12.01.2019 : syndrome de Lemierre avec abcès amygdaliens bilatéraux prédominant à droite, thrombose jugulaire interne gauche multiples emboles septiques pulmonaires. Splénomégalie probablement réactionnelle Laboratoire : cf. annexes. ETT le 31.12.2018 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une akinésie du septum apical, du septum moyen et de la paroi septale antérieure moyenne, une hypokinésie modérée de la paroi latéro-apicale et de la paroi inférieure moyenne et une hypokinésie minime de la paroi latérale moyenne et de la paroi septale antérieure basale. Fonction systolique modérément diminuée. FEVG à 33 %. Géométrie normale du ventricule gauche. Débit cardiaque calculé à 4,07 l/min avec un index cardiaque à 2,11 l/min/m². Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP. Insuffisance tricuspide légère. Minime épanchement péricardique avec une bonne tolérance hémodynamique. ETT le 03.01.2019 : régression partielle de l'épanchement péricardique par rapport au comparatif du 31.12.2018. Arrêt du Brilique et remplacement par Plavix pendant 1 mois puis stop. Poursuite de l’anti-coagulation par Xarelto 20 mg pendant 1 mois puis contrôle cardiologique. Réévaluer ICD en raison de la fonction systolique sévèrement abaissée. Laboratoire : cf. annexes ETT (08.01.2019) : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Aorte discrètement dilatée. Présence d'une bioprothèse sans armature (stentless) en position aortique discrètement sténosante mais non fuyante avec une cinétique normale, sans dysfonction. Le gradient moyen VG-aorte est de 8 mmHg. Rétrécissement aortique lâche. Surface aortique à 1,9 cm². Pas d'insuffisance aortique. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche modérément dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Bon fonctionnement de la bioprothèse en position aortique qui présente après 14 ans uniquement une sténose légère. CT cérébral (07.01.2019) : pas d'hémorragie intracrânienne et pas de fracture des os du crâne. Hypodensité cortico-sous-corticale intéressant le lobule pariétal inférieur gauche devant correspondre à une séquelle ischémique ou post-traumatique. Radiographie du thorax (07.01.2019) : status post-sternotomie. Silhouette cardiomédiastinale de taille normale. Pas de signe de décompensation cardiaque. Pas de foyer pulmonaire constitué et pas d'épanchement pleural. Pas d'image de pneumothorax. Cunéiformisation de D12 et L1. Laboratoire : cf. annexes. ETT 09.01.2018 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Remodelage concentrique. Aorte normale. Valve aortique normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Valve mitrale normale. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche très dilatée. Ventricule droit normal. Dilatation importante de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. ETO 11.01.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Aorte non dilatée. Absence de rétrécissement aortique. Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/3). Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Oreillette gauche modérément dilatée, sans thrombus visible. Absence de thrombus visible au niveau de l'auricule gauche. Ventricule droit non dilaté. Oreillette droite modérément dilatée sans dilatation du ventricule droit. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/3). Foramen ovale fermé : absence de passage de microbulles au test après adéquate Valsalva. Absence de CIA. Retour veineux normal des 5 veines pulmonaires visualisées dans l'oreillette gauche. Absence d'épanchement péricardique. Ultrason mammaire le 10.01.2019 : ganglion intramammaire à cheval des quadrants externes du sein droit. BIRADS II (anomalie bénigne ne nécessitant ni surveillance ni examen complémentaire). Ganglions augmentés en taille et en nombre le creux axillaire ddc à corréler à un bilan biologique (syndrome inflammatoire ?). Uro-CT non-injecté le 08.01.2019 : absence de lithiase urinaire ou de signes de passage de calcul. Pas d'obstruction rénale ou de signe indirect de souffrance. CT thoraco-abdominal injecté le 08.01.2019 : multiples embolies pulmonaires segmentaires et sous-segmentaires bilatérales, intéressant au moins les 4 segments de la pyramide basale droite, les segments antérieur et postérieur du lobe supérieur droit, et le segment supérieur de la lingula. Occlusion de deux branches segmentaires du rein gauche, avec infarctus rénal bifocal. Il s'agit vraisemblablement d'une atteinte embolique paradoxale d'origine cardiaque (pas de MAV pulmonaire visualisée) à confronter à une échocardiographie. Le DD différentiel de vasculite/dysplasie fibromusculaire est possible mais moins probable. Il n'y a pas d'arguments pour une atteinte paranéoplasique sur le volume exploré. On visualise tout au plus des ganglions médiastinaux et axillaires légèrement augmentés en taille mais sans franche adénopathie. Il y a également un nodule oblong de 8 x 5 mm à cheval entre les quadrants externes du sein droit devant correspondre à un ganglion intra-mammaire. Une échographie mammaire est recommandée en dehors de l'épisode aigu. US-doppler des membres inférieurs le 10.01.2019 : pas de TVP ni TVS, mais thrombose au MIG sur le site du claquage début décembre 2018 ayant migré dans les poumons et au niveau rénal via FOP n'est pas exclue. Anticoagulation minimum 6 mois et contrôle en consultation ambulatoire dans 6 mois. CT thoraco-abdominal 11.01.2019 : pas d'argument pour une hémorragie au niveau thoraco-abdominal. Au niveau thoracique, légère diminution des embolies pulmonaires connues. Au niveau abdominal, meilleure perméabilité des deux branches artérielles segmentaires du rein gauche, avec infarctus rénal bifocal globalement inchangé. Infarctus splénique.Laboratoire : cf annexes Hémoculture positive (2 bouteilles sur 6) pour S. aureus Culture d'urines Analyse de selles (PCR multiplex) Rx thorax le 09.01.2019 : pas de consolidation pulmonaire pouvant parler pour un foyer infectieux. Pas d'épanchement pleural. On retrouve un status post-mise en place d'un pace/défi, le tout d'aspect inchangé. Silhouette cardiomédiastinale superposable. Calcification à proximité de l'insertion du muscle sus-épineux à gauche parlant pour une tendinite à hydroxyapatite. CT-scan thoraco-abdominal natif le 09.01.2019 : compte tenu d'un examen natif, pas d'argument en faveur d'un foyer pulmonaire ou abdominal. Pas de dilatation des systèmes excréteurs. Status post-mise en place d'un pacemaker et calcifications coronariennes. Calcul calcifié supra-centimétrique connu dans la lumière vésicale. Echocardiographie transthoracique le 10.01.2019 : dilatation importante du ventricule gauche d'origine ischémique avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 20 % (méthode de Simpson). Cardiomyopathie hypertrophique homogène. Aorte normale. Surface aortique à 1,71 cm² (0,87 cm²/m²). Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale sévère (grade 3/3) ischémique. SOR de l'IM à 0,3 cm². Oreillette gauche très dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP (PAPs à 26 mmHg). Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. L'examen montre une FEVG toujours effondrée d'un VG bien dilaté. Il n'y a pas d'argument franc pour une endocardite, mais étant donnée une valve aortique remaniée, cette dernière ne peut formellement pas être exclue. L'IM est secondaire à la dilatation et, avec une SOR à 0.3 cm², par définition sévère. Echocardiographie transoesophagienne le 11.01.2019 : dilatation importante du ventricule gauche d'origine ischémique avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 20 % (méthode de Simpson). Cardiomyopathie hypertrophique homogène. Aorte normale. Absence de rétrécissement aortique. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale modérée à moyenne (grade 2 à 3/4) ischémique. Oreillette gauche très dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP (PAPs à 26 mmHg). Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. L'examen du jour ne montre pas d'image franche d'endocardite (absence de végétation valvulaire ou au niveau des sondes de la CRT, ni abcès). Absence d'évidence également pour une valvulopathie significative outre que l'IM secondaire qui apparaît légère sous sédation (TAsys 90 mmHg). Laboratoire : cf annexes Histologie : cf annexes Ultrason abdominal le 29.12.2018 CT scan abdominal le 29.12.2018 Laboratoire : cf. annexes IRM cérébrale (CHUV) du 17.01.2019 : discret hypersignal de diffusion du pulvinar gauche associé à une vasodilatation et hyperémie temporo-pariétale gauche évoquant une origine post-ictale. Pas d'argument en faveur d'un AVC ni pour un saignement intracrânien. On retrouve les résidus tumoraux pariétaux gauches connus. CT cérébral du 27.01.2019 : sous réserve d'une comparaison sur des modalités différentes (IRM du 17.01.2019), pas de changement notable de l'œdème fronto-pariétal gauche, pas d'effet de masse, pas de signe d'engagement, pas d'hémorragie et pas de signe d'HTIC. Atrophie cérébrale. Laboratoire : cf. annexes. IRM cérébrale le 04.01.2018 : examen compatible avec un AVC ischémique aigu, multifocal, avec lésion la plus évidente et la plus récente située dans le gyrus préfrontal gauche. Plusieurs lésions de petites tailles d'allure subaiguë localisées au niveau cortical dans la région frontale gauche, pariétale droite et gauche. Séquelles d'AVC ischémique lacunaire dans le thalamus des deux côtés ainsi que dans l'hémisphère cérébelleux droit. Angio-CT cérébro-cervical le 04.01.2019 : mise en évidence d'une sténose à l'origine de la carotide interne gauche mesurant approximativement 60 %, mixte, avec composante calcique périphérique, composante lipidique centrale. Les artères vertébrales sont perméables de façon bilatérale. Pas d'anomalie visible au niveau du polygone de Willis. Examen neurosonologique le 07.01.2019 : (rapport définitif suivra) Absence de sténose significative des artères carotides internes des deux côtés. Plaque athéromateuse du mur postérieur isoéchogène, légèrement irrégulière du départ de l'artère carotide interne G. ECG le 04.01.2019 : rythme sinusal régulier à 79 bpm, BAV 1°, extrasystole supra-ventriculaire en précordiale, ST-isoélectrique, pas d'onde Q pathologiques, QTc 460 ms, pas de signe d'HVG. Echographie cardiaque transthoracique le 07.01.2019 : dilatation modérée du ventricule gauche avec une akinésie de la paroi postérieure moyenne, une hypokinésie minime du septum et de la paroi septale antérieure et une hypokinésie sévère des segments restants. FEVG à 30-35 % (évaluation visuelle). Cardiomyopathie hypertrophique homogène. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 1 mmHg. Insuffisance aortique minime, d'origine dégénérative. Épaississement de moins de 50 % des 2 feuillets mitraux. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche très dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. L'examen de jour montre une fonction systolique modérément à sévèrement diminuée du VG avec régionalité, absence de valvulopathie significative. Holter de 72h le 08.01.2019 : résultats en cours d'analyse. Bilan neuropsychologique le 07.01.2019 : examen neuropsychologique, réalisé chez un patient de 86 ans, collaborant et adéquat, met en évidence une conscience diminuée de ses difficultés, des difficultés exécutives (programmation) avec ralentissement et réflexe palmo-mentonnier, des difficultés praxiques (idéomotrices et constructives), des possibles difficultés gnosiques. Ce tableau, d'intensité légère à modérée, dépasse le cadre de la lésion aiguë la plus évidente en frontal postérieur gauche. Ces difficultés associées au profil de la tâche de dépistage mnésique et de l'imagerie cérébrale peuvent faire évoquer un trouble neurocognitif d'origine mixte possible (vasculaire et neurodégénérative). Laboratoire : cf annexes. IRM cérébrale le 14.01.2019 : absence d'argument en faveur d'une lésion ischémique récente. Comme sur le comparatif de 2015, on retrouve une sub-occlusion/occlusion de la partie proximale et intermédiaire du tronc basilaire. Echocardiographie transthoracique du 16.01.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Valve aortique normale. Absence de valvulopathie aortique. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Duplex transcrânien et des vaisseaux précérébraux le 18.01.2019 : occlusion de l'artère vertébrale D en V4, sténose > 50% du tiers proximal du tronc basilaire. Laboratoire : cf annexes IRM lombaire CIMF Fribourg 11.2018 : sans particularité IRM cérébrale CIMF Fribourg 01.2019 : Méningiome frontal bilatéral IRM cérébrale le 09.01.2019 Laboratoire : cf. annexes. Les résultats de laboratoire demandés par nos collègues rhumatologues sont en cours. ETT 31.12.2018 : fonction systolique légèrement diminuée avec une discrète hypokinésie du septum apical. FEVG à 53%. Ad AINS 400 mg 2x/j jusqu'à résolution des douleurs (1 semaine minimum) + Pantozol. Arrêt de sport pendant 3 mois. Arrêt de travail pendant 1 semaine (Mr. Y fromager). Contrôle ETT à 1 mois, 6 mois, 12 mois. Bilan par IRM cardiaque en ambulatoire. eFAST le 01.01.2019 : pas de liquide intra-abdominal (Douglas avec mauvaise visibilité, pleurale ou péricardique). Laboratoire : cf annexes Nasofibroscopie le 22.12.2018 : pas de saignement au niveau trachéal. CT thoracique natif le 23.12.2018 : par rapport aux examens comparatifs, réapparition de plages de consolidation du lobe inférieur gauche, associées à du verre dépoli et à un épaississement des septas interlobulaires. Ces altérations peuvent être en rapport avec des hémorragies alvéolaires dans le contexte de la maladie de Wegener. Toutefois, les consolidations parlent aussi fortement pour une origine infectieuse, particulièrement en présence de sécrétions endobronchiques. CT abdominal le 28.12.2018 : absence de lâchage de l'anastomose colo-rectale et de l'iléon terminal. Laboratoire : cf annexes Opacification colique du 09.01.2019 : fuite colo-anale postérieure connue CT abdomino-pelvien le 10.01.2019 : pas de nouvelle collection, absence d'abcès Laboratoire : cf. annexes Radio colonne lombaire face/profil le 11.01.2019 : aucune fracture vertébrale. Pas de zone de lyse ou d'ostéocondensation suspecte visualisée, pas de listhésis, troubles dégénératifs rachidiens (signes de pathologie discale L4-L5 avec bec ostéophytaire sur le bord antéro-supérieur de L5), des sacro-iliaques et des hanches. IRM lombaire le 16.01.2019 : volumineuse hernie discale intra-foraminale et récessale gauche à l'étage L3/L4 conflictuelle avec les racines L3 et L4 gauches. Discopathies dégénératives avec saillie discale postérieure L4/L5 sans conflit disco-radiculaire. Laboratoire : cf. annexes Radio colonne lombaire le 3.01.2019 : alignement ventral et dorsal conservé. Pas de perte de hauteur des corps vertébraux. Troubles dégénératifs multi-étagés prédominant au niveau des articulations facettaires avec présence de spondylophytes. Coprostase. Genou droit le 3.01.2019 : pincement de l'interligne articulaire du côté médial avec sclérose sous-chondrale et présence de nombreux ostéophytes, y compris au niveau de l'articulation fémoro-patellaire, compatible avec une arthrose modérée principalement du compartiment médial et fémoro-patellaire. Structures osseuses autrement sans particularité. Présence d'un épanchement articulaire. Radio thorax le 3.01.2019 : élargissement du médiastin en position couchée. Aspect inchangé des hiles pulmonaires. Absence de signe en faveur d'une décompensation cardiaque. Comblement du récessus costo-diaphragmatique droit avec opacité en gradient des deux bases, compatible avec un épanchement pleural bilatéral de position déclive. Ventilation pulmonaire symétrique, sans foyer constitué. Tissus mous et structures osseuses sans particularité. Radio hanche D et bassin le 4.01.2019 : coxarthrose modérée des deux côtés. Discrète sclérose sous-chondrale de l'articulation sacro-iliaque des deux côtés ainsi que de la symphyse pubienne. Têtes fémorales centrées dans l'articulation des deux côtés. Absence de trait de fracture visible. Scintigraphie osseuse le 8.01.2019 : mise en évidence d'une hypercaptation tardive en regard des compartiments internes des genoux, plus marquée à droite, correspondant à une atteinte arthrosique probablement érosive. Aspect dégénératif de la colonne vertébrale et des grandes articulations. Absence d'autre image suspecte au niveau du squelette. Rx genou en charge le 8.01.2018 : important pincement dégénératif articulaire du compartiment médial de l'articulation fémoro-tibiale droite et de l'articulation fémoro-patellaire, plus prononcé sur les radiographies effectuées en charge. Absence de fracture. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie de thorax (13.01.2019) : multiples nodules à contours flous infracentimétriques centro-lobulaires des deux plages pulmonaires associés à un aspect en mosaïque et à un épaississement discret des parois bronchiques. CT thoracique (14.01.2019) : pas d'embolie pulmonaire. Multiples nodules à contours flous infracentimétriques centro-lobulaires des deux plages pulmonaires, associés à un aspect en mosaïque et à un épaississement discret des parois bronchiques. DD : pneumopathie d'hypersensibilité de présentation subaiguë en premier lieu v infectieux (aspergillose ? mycobactérie ?, à corréler au contexte), vs carcinome bronchoalvéolaire disséminé (peu probable) vs vasculite de type Churg-Strauss (moins probable vu l'âge). Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du coude gauche : décrite ci-dessous. Avis de la Dresse X, orthopédiste et du Dr. X, médecine interne : • ponction articulaire avec retrait de 90mL de liquide hématique trouble avec quelques dépôts blanchâtres. • cultures envoyées pour chimie, bactériologie, cristaux. • Co-Amoxicilline 2.2 IV aux urgences, suivi de 1g 2x/jour per os. • Pansement écossais. • Il prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X, orthopédiste, pour le 15.01.2019 en policlinique d'orthopédie. Arrêt de travail. Laboratoire : cf annexes Radiographie du thorax de contrôle le 11.01.2019 Radiographie du thorax de contrôle le 14.01.2019 Histologie : cf annexes Laboratoire : cf. annexes Radiographie du thorax du 24.01.2019 : pas de comparatif à disposition. Mise en place d'un pacemaker bicaméral avec sondes bien connectées au boîtier sous-clavier gauche. Pas de pneumothorax. Pas d'épanchement pleural. Silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme. Calcification de la crosse aortique et élongation de l'aorte thoracique descendante. Spondylarthrose dorsale. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax face : comparatif du 08.06.2018. Étalement de la silhouette cardiomédiastinale lié à la position couchée. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Squelette visible sans particularité. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax face/profil : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Infiltrat alvéolaire au niveau du lobe supérieur D, compatible avec un foyer. On visualise également quelques épaississements bronchiques ddc, mais pas d'épanchement pleural. Attitude scoliotique dextro-convexe. Laboratoire : cf annexes Radiographie du thorax F/P du 23.01.2019 : comparatif du 26.10.2016. Silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme. Pas d'épanchement pleural ou de foyer pulmonaire. Ectasie de la crosse aortique et de l'aorte thoracique descendante. Cadre osseux superposable au comparatif. US abdomen supérieur du 23.01.2019 : pas de thrombose porte mise en évidence. Dysmorphie hépatique, en rapport avec une cirrhose connue. Dérivation porto-systémique, avec reperméabilisation de la veine ombilicale. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax le 06.01.2019 : • cardiomégalie avec redistribution vasculaire et flou péri-hilaire, le tout pouvant parler pour une décompensation cardiaque. • pas de foyer pulmonaire constitué • épaississements bronchiques diffus pouvant être en rapport avec la BPCO • probable fine lame d'épanchement pleural à droite. Pas d'épanchement pleural gauche. Echographie ciblée au service des urgences le 06.01.2019 : • thorax : pas d'épanchement pleural, glissement pleural présent, bilatéral, syndrome alvéolo-interstitiel bilatéral • coeur : pas d'épanchement péricardique, FEVG visuel d'allure conservée, pas de dilatation des cavités droites perçue, VCI non distendu. Echocardiographie le 07.01.2019 : • l'examen de jour montre une fonction systolique normale du VG avec probable dysfonction diastolique même si non évaluable en raison des extrasystoles de haute incidence, HTAP modérée. FEVG 65%. Holter 24h le 09.01.2019. Laboratoire : cf annexes Radiographie du thorax le 27.12.2018 : sclérose du bouton aortique et déroulement de l'aorte thoracique descendante. Pas d'épanchement pleural. Opacité alvéolaire rétro-cardiaque dans le lobe inférieur gauche correspondant à un foyer. Opacité mal délimitée dans le lobe inférieur droit, pouvant correspondre à un foyer débutant. Cadre osseux inchangé. Laboratoire : cf annexes Radiographie poignet gauche le 04.01.2019 : Examen fait dans le plâtre. Fracture compression du radius distal, avec rétroversion d'environ 21° de la surface articulaire du radius distal. Variante ulnaire positive avec petite sclérose sous-chondrale. Troubles dégénératifs avec arthrose de l'articulation scapho-trapézienne et trapézoïdale ainsi qu'une rhizarthrose. Subluxation de l'articulation MCP du 1er rayon. Reste des interlignes articulaires conservés. Trame osseuse ostéopénique. Radiographie poignet gauche le 05.01.2019 : Status post-réduction ouverte et fixation interne par plaque vissée du radius distal gauche. Le matériel est intègre. Pas de déplacement secondaire. Bonne congruence articulaire. Laboratoire : cf annexes Radiographie thorax du 25.01.2019 : Comparatif du 8 janvier 2019 : Cardiomégalie sans signe de décompensation cardiaque. Sclérose de l'arc aortique. Status post-résection extra-anatomique du LIG avec mise en évidence de dystélectasies en bande basales gauches. Aspect globalement inchangé des autres opacités nodulaires des deux champs pulmonaires correspondant aux métastases connues. Pas d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax. Les structures osseuses sont sans particularité. Histologie : cf annexes Laboratoire : cf annexes. RX du thorax : contrôle post-implantation du Pacemaker. Laboratoire : cf annexes. RX du thorax face et profil le 12.01.2019 (Dr. X) : comparatif du 10.01.2019. Cardiomégalie avec flou péri-hilaire et lignes de Kerley B en base droite compatibles avec une insuffisance cardiaque modérément décompensée. Sclérose et déroulement de l'aorte thoracique. Développement d'une opacité diffuse touchant le lobe inférieur gauche faisant suspecter un foyer infectieux. Pas d'épanchement pleural. Structures osseuses sans particularité. Ultrason système urogénital (Dr. X) le 16.01.2019. US des voies urinaires dans la norme. Laboratoire : cf annexes. RX du thorax le 01.01.2019 : on ne visualise pas d'épanchement pleural. Épaississement bilatéral des parois bronchiques avec infiltrat pulmonaire en faveur d'un foyer infectieux débutant en base droite. Le reste est superposable au comparatif. Laboratoire : cf annexes. RX du thorax le 08.01.2019 : apparition d'une opacité alvéolaire du LSG, compatible avec un foyer de pneumonie débutant. Petites opacités basales D pouvant correspondre également à un foyer de bronchopneumonie débutant. Quelques dystélectasies basales G. Cœur à la limite supérieure de la norme. Épaississements bronchiques plutôt dans le cadre d'une surinfection que d'une décompensation cardiaque. S/p sternotomie. Pacemaker pectoral G en surprojection inchangée. Pas d'épanchement pleural. Laboratoire : cf annexes. Rx du thorax le 14.01.2019 : silhouette cardio-médiastinale de taille et de morphologie normales. Ascension de la coupole diaphragmatique droite connue. Pas de foyer parenchymateux. Pas de pneumothorax. Petits troubles ventilatoires dans le récessus costo-diaphragmatique gauche. Sclérose de la crosse aortique. Cadre osseux et tissus mous sans particularité. ETT le 14.01.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique. Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 9 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. L'anneau mitral postérieur présente des calcifications importantes. Rétrécissement mitral lâche. Gradient moyen OG-VG à 2 mmHg. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Élévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche modérément dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Commentaire : aspect de cardiomyopathie hypertensive avec une fonction systolique contractile segmentaire et globale normale. Présence d'une sclérose aortique sans rétrécissement significatif et d'un rétrécissement mitral lâche. Contrôle de la tension artérielle et poursuite de l'anticoagulation en raison de la fibrillation auriculaire inaugurale. Test d'effort à distance pour évaluer une possible maladie coronarienne. Laboratoire : cf annexes. RX du thorax le 27.01.2019 : cardiomégalie. Déroulement athéromateux de l'aorte. Aspect proéminent des hiles pulmonaires, de contours flous. Discrète redistribution apicale des vaisseaux pulmonaires avec un aspect flou de ces derniers évoquant une stase d'origine cardiaque. Absence d'épanchement pleural. Ventilation symétrique des plages pulmonaires, sans foyer constitué. Trame osseuse ostéopénique. Hypercyphose dorsale, sans cunéiformisation des vertèbres dorsales visible. Discopathie multi-étagée de toute la colonne dorsale. Reste des structures osseuses sans particularité. Frottis de grippe le 27.01.2019 : PCR positive pour Influenza A. Laboratoire : cf annexes. RX du thorax le 29.12.2018 : les deux plages pulmonaires se présentent normalement, sans infiltrat visible. Pas d'épanchement pleural mis en évidence. Pas de pneumothorax. Index cardiothoracique à la limite supérieure de la norme, sans argument en faveur d'une décompensation cardiaque. CT crânien le 29.12.2018 : pas de lésion traumatique à l'étage cérébral et cervical. Lésion séquellaire de l'accident vasculaire cérébral sylvien gauche de 2011. CT de l'abdomen le 03.01.2019 : foie de morphologie, de taille et de densité normale. Mise en évidence d'une hypodensité ronde, bien délimitée située dans le segment IVa compatible avec un kyste biliaire simple. Pas de dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques. La vésicule biliaire ne présente pas de calcul radio-opaque. Le tronc porte et ses branches sont normalement opacifiés. Le pancréas, la rate et les surrénales se présentent normalement. Les reins sont de morphologie normale sans dilatation du système excréteur. Kyste cortical du rein gauche. Sous réserve d'artéfacts métalliques, la vessie se présente normalement. Hyperplasie prostatique. Diverticulose du côlon descendant et du sigmoïde sans argument pour une diverticulite. Le reste des anses intestinales se présente normalement. L'appendice est fin et normalement pneumatisé, il se situe en position rétro-caecale et se dirige en direction crâniale. Athéromatose mixte aorto-bi-iliaque. Impression du ligament arqué au niveau du tronc cœliaque avec dilatation post-sténotique. Ganglions infracentimétriques rétropéritonéaux et de la région cœliaque, la plus volumineuse se situe dans la région para-aortique gauche et mesurant 9 mm de petit axe dans le plan transverse. Pas d'ascite ni de pneumopéritoine. Nodule de 6 mm dans le segment postéro-basal droit à corréler avec un CT-scan de contrôle dans les 6 à 12 mois selon les critères Fleischner 2017. Lésion pleurale droite d'origine probablement séquellaire.Hémocultures le 29.12.2018 : 1/4 E. Coli, sensible au Co-amoxicilline. Urotube : flore mixte : • Enterococcus faecalis. • Staphylococcus epidermidis. • Streptococcus gallolyticus. Laboratoire : cf. annexes. Rx du thorax le 31.12.2018 : Examen réalisé en position assise. Élargissement de la silhouette cardiomédiastinale en relation avec une probable lipomatose médiastinale. Condensation parenchymateuse rétrocardiaque (atélectasie ?). Fractures costales non déplacées de l'arc moyen des 7ème et 8ème côtes gauches. Pas de pneumothorax visible. Laboratoire : cf. annexes. RX du thorax 02.01.2019 : pas d'épanchement, pas d'infiltrat. CT cérébral 02.01.2019 : atrophie cérébrale avec leucomalacie correspondant à l'âge, pas de prise de contraste, pas de masse. MOCA : 03.01.2019 : 12/30. Bilan neuropsychologique 04.01.2019 : cet examen neuropsychologique, réalisé chez une patiente de 81 ans, met en évidence : • une désorientation temporelle et, dans une moindre mesure, spatiale et personnelle, • un dysfonctionnement exécutif au niveau cognitif (difficultés d'incitation, d'abstraction, comportement de préhension, difficultés de programmation motrice, sensibilité à l'interférence et difficultés de mise à jour, persévérations d'une consigne à l'autre) et dans une moindre mesure, comportemental (anosognosie, rires inappropriés), • une atteinte importante des gnosies visuelles discriminatives et associatives, • une apraxie constructive ainsi que des difficultés dans les praxies idéomotrices, • des difficultés de calcul, • des difficultés attentionnelles sous la forme d'une certaine fatigabilité ainsi que de périodes de flou avec réponses à côté, • des difficultés de maintien à long terme de l'information apprise. Ce tableau est celui d'un trouble neurocognitif majeur d'intensité modérée à prédominance exécutive et instrumentale et dont l'étiologie reste ouverte. Un diagnostic de démence à corps de Lewy est possible compte tenu des troubles exécutifs, attentionnels, gnosiques, visuo-constructifs, de l'orientation fluctuante, ainsi que des hallucinations visuelles décrites dans le dossier de la patiente ; la participation d'un état confusionnel au décours en lien avec la baisse de l'état général ne peut être exclue. Pour ces raisons, un bilan d'évolution à distance de l'épisode actuel est recommandé, afin de pouvoir préciser le diagnostic. Dans la situation actuelle, un retour à domicile est compromis, compte tenu de l'anosognosie de la patiente ainsi que des difficultés susmentionnées, particulièrement exécutives et practo-gnosiques qui peuvent compromettre la bonne réalisation des AVQ. Laboratoire : cf. annexes. RX thorax du 04.01.2019 : très discret infiltrat alvéolaire lobaire supérieur droit au contact de la scissure en rapport avec un foyer infectieux débutant. Interposition des omoplates (plus marqué à droite), pas de changement significatif de la radiographie du thorax par rapport à l'examen précédent du 01.10.2018, par ailleurs. CT cérébral du 04.01.2019 : épaississement muqueux des sinus maxillaires et des cellules ethmoïdales sans signe de sinusite aiguë. Exophtalmie bilatérale. CT encéphalique dans la norme. Très discret infiltrat alvéolaire pulmonaire lobaire supérieur droit DD : foyer infectieux débutant ? Laboratoire : cf. annexes. Rx thorax du 16.01.2019 : par rapport au comparatif du 20.09.2018, on constate une régression, mais la persistance d'une opacité à la base droite. On retrouve une petite désorganisation de la trame bronchovasculaire dans le cadre de la BPCO connue. Cœur de taille à la limite supérieure de la norme en tenant compte de la position couchée. Calcification et déroulement de l'aorte. CT thoracique du 17.01.2019 : masse tumorale polylobée du segment basal latéral du lobe inférieur droit, suspecte de néoplasie primitive avec des nodules métastatiques satellites dans le poumon droit (LSD et LID). Présence de quelques nodules pulmonaires gauches non spécifiques dd granulomes, métastases. Adénopathies médiastinales et hilaires droites. PET-CT du 21.01.2019 : masse tumorale pulmonaire dans le lobe inférieur droit avec suspicion de métastase ganglionnaire médiastinale. Laboratoire : cf. annexes. Rx thorax le 03.01.2019 : les structures cardio-médiastinales se présentent normalement. Absence d'épanchement pleural. Dystélectasie en base droite. Pas de franc foyer visible. Cadre osseux et parties molles extra-thoraciques sans particularité. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Avec 1 croix de leucocytes sans nitrite mais présence de sang 2 croix. Ultrason du système urogénital : les 2 reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. La vessie est semi-réplétée, présente des parois fines. L'utérus est encore volumineux pour l'âge de la patiente et présente plusieurs images hypo-échogènes, compatibles avec des myofibromes. CONCLUSION : utérus myofibromateux connu, mais pas de dilatation pyélocalicielle, ni de signe de complication de pyélonéphrite. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Propre. Ultrason abdominal à 17H00 le 19.01.2018 et contrôle à la filière des urgences ambulatoires. Reconsultation aux urgences dans l'intervalle en cas de fortes douleurs, de fièvre ou d'extériorisation de sang. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Sonde vésicale. Laboratoire : cf. annexes. Stix et sédiment urinaire : sp. Cf. annexes. Contrôle clinique et biologique à la filière des urgences ambulatoires (classer comme cas médecine) le 01.02.2019 à 9h30. Laboratoire : cf. annexes. Stix urinaire : cf. annexes. Pas de sang dans les urines. Tétanos à jour. Avis du Dr. X, chirurgien : CT scan + surveillance. Le patient ne souhaite pas la réalisation d'un constat de coups. CT-scan : décrit ci-dessous. Laboratoire : cf annexes. Ultrason abdomen du 07.01.2019 : Splénomégalie, en rapport avec le status inflammatoire. Appendice non visible, raison pour laquelle nous recommandons la réalisation d'un CT. Pas d'argument en faveur d'une cholécystite. CT abdomen du 07.01.2019 : Colite aiguë du colon ascendant non compliquée, vraisemblablement d'origine infectieuse. Laboratoire : cf annexes. Ultrason abdomen 26.01.2019 : Appendicite, la partie la plus distale de l'appendice n'est pas identifiable, on ne peut pas exclure une perforation. Lame de liquide libre dans la fosse iliaque droite. Histologie : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Ultrason abdominal : mauvaise échogénéicité, rein droit non vu, pas d'épanchement dans le Morisson, doute sur lame d'épanchement dans le Douglas, doute sur lame d'épanchement pleural basale gauche, pas d'épanchement dans le Kohler. Vésicule alithiasique, pas de dilatation de VCI. Histologie : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Ultrason abdominal : appendice dilaté de 9mm de diamètre, hyperémique. Pas de liquide libre. Histologie : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Ultrason abdominal ciblée aux urgences (Dr. X) le 13.01.2019 : dilatation pyélo-calicielle bilatérale : à D 2.17cm, à D 1.64cm. Laboratoire : cf annexes. Ultrason abdominal du 15.01.2019 : lithiase 2-3 cm, sludge, paroi épaissie de 4,5mm, paroi hétérogène, hyperémique. CT abdominal du 15.01.2019 : cholécystite, paroi vésiculaire épaissie, irritation focale du parenchyme hépatique, pas de calculs et de sludge au CT, pas de signe en faveur d'une pancréatite.Histologie : cf annexes Laboratoire : cf annexes Ultrason abdominal du 28.12.2018 : Hydrocèle en légère augmentation à droite, pas d'abcès ou d'autre signe de complication. Laboratoire : cf annexes Ultrason abdominal le 14.01.2019 : appendicite débutante sans visualisation de complication. Histologie : cf annexes Laboratoire : cf annexes Ultrason abdominal le 30.12.2018 : liquide libre, présence d'une structure inflammée à côté du caecum mais appendice non visualisé. CT scan abdominal le 30.12.2018 : Appendicite rétro-caecale débutante avec stercolithe intra-luminal, associée à une petite quantité de liquide libre dans le pelvis. Histologie : cf annexes Laboratoire : cf annexes Ultrason abdominal 27.11.2018 : Rein droit de contour poly-lobulé mesurant 8,5 cm de grand axe avec une dilatation pyélo-calicielle. Le pyélon est mesuré à 2,2 cm au niveau du hile. Sonde double J bien positionnée dans le pyélon, dont l'autre extrémité est visible dans la vessie. Rein gauche également de contour poly-lobulé mesurant 7,9 cm de grand axe. Dilatation pyélo-calicielle avec pyélon mesuré à 2,1 cm. Présence également de ce côté d'une sonde double J bien positionnée dans le pyélon jusqu'à la vessie. Ultrason abdominal du 25.12.2018 : Dilatation pyélocalicielle stable à droite, à 20 mm contre 22 mm précédemment. Discrète régression de la dilatation à gauche, mesurée à 17 mm contre 21 mm précédemment. Les sondes double J sont en place dans les systèmes caliciels et leur extrémité distale est dans la vessie. Laboratoire : cf annexes Ultrason ciblé le 24.01.2019 (Dr. X) : Pas d'épanchement pleural ddc. Pas de liquide libre en Morrison, Koehler ou Douglas. Pas de cholestase intrahépatique. Vésicule biliaire avec des parois fines, pas de calcul visualisé. Veine cave inf. fine et variable à la respiration. Aorte fine. Vessie urinaire avec des parois fines, pas de liquide libre dans le Douglas. Rein droit sans dilatation pyélocalicielle. Suspicion de dilatation pyélocalicielle grade 1 gauche. Uro-CT (Transmission orale, Dr. X) : Calcul de 3 mm au méat vésical gauche. Dilatation de l'uretère. Dilatation pyélocalicielle 12 mm. Laboratoire : cf annexes Ultrason des voies urinaires le 28.12.2018 : dilatation des reins ddc D >> G, vessie avec paroi épaissie circonférenciellement. CT abdominal le 28.12.2018 : Dilatation rein D 24 mm, infiltration graisse péri-rénale ddc, pas d'obstruction claire visualisée sur le trajet de l'uretère (mais CT non injecté), pas d'adénopathie, vessie avec paroi très épaissie, augmentation +++ de la taille des métastases osseuses. Laboratoire : cf annexes Ultrason local (Dr. X) : Minime collection de 2x1 cm avec phlegmon. Ultrason artériel : intégrité artérielle (pas de fistule, pas de faux anévrisme). Laboratoire : cf annexes Uro-CT le 05.01.2019 : calcul à la jonction urétéro-vésicale droite de 2,5 mm avec dilatation pyélo-calicielle de 21 mm. Laboratoire : cf annexes Uro-CT le 13.01.2019 : Pas de néphrolithiases mise en évidence. Forte suspicion de décompensation de la maladie de la jonction pyélo-urétérale à gauche avec hydronéphrose (pyélon mesuré à 29 mm) associée et retard d'excrétion important. Kystes parapyéliques du rein droit. Laboratoire : cf annexes US abdominal / cardiaque (Dr. X / Dr. X) : pas d'épanchement pleural. Pas de liquide libre périhépatique. Veines hépatiques proéminentes. Veine porte intra-hépatique avec suspicion de signe de double duct. Radiographie du thorax le 27.12.2018 : cardiomégalie, sans signe d'insuffisance cardiaque. S/p mise en place d'un PM bicaméral avec sondes en surprojection de la silhouette cardiaque. Emoussement des récessus diaphragmatiques postérieurs. Pas de pneumothorax. Pas de foyer constitué. Attitude scoliotique dextro-convexe dorsale. Laboratoire : cf annexes. US cheville et pied gauche le 28.12.2018 : aspect infiltré et œdématié des tissus sous-cutanés de la cheville, de la voûte plantaire et des orteils, prédominant sur le côté médial. Absence de collection encapsulée. Examen compatible avec une infection phlegmoneuse (dermo-hypodermite). RX du thorax le 28.12.2018 : silhouette cardio-médiastinale de morphologie normale. Dispositif de type défibrillateur en surprojection de l'hémi-plage supérieure gauche avec une sonde se terminant en surprojection des cavités cardiaques. Absence d'opacité pulmonaire suspecte de foyer infectieux. Pas d'épanchement pleural. Cadre osseux et tissus mous sans particularité. RX du pied gauche face/profil et oblique le 28.12.2018 : érosion de la houppe du premier rayon sur le versant interne, pouvant être compatible avec une ostéomyélite (DD : pathologie rhumatismale ? psoriasis ?). Antécédents de fracture du tibia et de la fibula distale. Clips chirurgicaux à la face postérieure de la cheville à corréler aux antécédents. Remaniements dégénératifs de la cheville, du tarse, de l'articulation MTP1 et des articulations IP. Ossification des enthèses du tendon achiléen et du fascia plantaire sur le calcanéus. RX du pied droit le 31.12.2018 : cheville : aspect conservé de l'articulation de la cheville, sans signe d'arthrose, d'érosion ou de déminéralisation sous-chondrale. Petite zone hypodense de la malléole latérale, visible uniquement de face, à priori compatible avec un artéfact de superposition. Néanmoins, aspect tuméfié des tissus mous péri-articulaires sur le cliché latéral et sous-cutané bi-malléolaire sur le cliché de face. Reste des structures osseuses et des tissus mous sans particularités. Pied : atteinte dégénérative de l'articulation MTP 1 avec un discret pincement, sans érosion suspecte. Les autres articulations se présentent normalement. Minéralisation osseuse sans particularité. Bilan angiologique le 03.01.2019 : US-Doppler artériel du MIG : normal sauf occlusion chronique de l'artère tib post. La pédieuse reprend l'arcade plantaire. US-Doppler veineux du MIG : pas de TVP. Laboratoire : cf. copie annexée. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. Urotube : 10E3 germes, signe d'une contamination. ECG du 04.01.2019 : rythme sinusal régulier à 65/min, bloc atrio-ventriculaire du 1er degré, QRS fins avec un axe normal, pas d'onde Q pathologique, progression de l'onde R avec une transition en V3, segment ST-isoélectrique, QTc à 451 ms, pas de signe d'hypertrophie ventriculaire gauche. RX thorax du 04.01.2019 : infiltrat en projection de la partie supérieure de la plage pulmonaire droite, compatible avec un foyer de pneumonie. Cœur de taille dans les limites de la norme en tenant compte de la position couchée avec un déroulement de l'aorte thoracique. RX thorax du 08.01.2019 : par rapport au comparatif du 04.01.2019, on constate une stabilité du foyer pulmonaire de la plage droite. Pour le reste, l'examen est également superposable avec notamment un déroulement de l'aorte thoracique. Laboratoire : cf. copie annexée. Ultrason de l'abdomen complet natif : il s'agit d'un patient de 52 ans en bonne santé habituelle qui nous est envoyé par son médecin traitant Dr. X pour une suspicion de cholécystite. Le patient explique qu'il présente depuis le 31.12.2018 un état grippal avec frissons, toux sèche, car depuis hier douleurs abdominales en hypocondre droit avec nausées et vomissements. Pas de trouble respiratoire ni de plainte urinaire. Lithiase vésiculaire ? Signe de cholécystite ? Lithiase urinaire ? DESCRIPTION : pancréas en place, homogène sans masse ou dilatation du Wirsung. Le foie est en place, discrètement agrandi de taille, mesurant 15 cm sur la ligne médioclaviculaire droite. Parenchyme homogène, d'échostructure conservée. Une formation kystique centimétrique du foie gauche. Pas de distension des voies biliaires intra ou extra-hépatiques. Vésicule biliaire contenant du sludge et plusieurs calculs hyperéchogènes accompagnés de cônes d'ombre. Les parois de la vésicule biliaire sont épaissies jusqu'à 4 - 5 mm avec un aspect feuilleté débutant du bord libre. Le canal cholédoque est fin. Prostate de volume dans la norme. Vessie peu remplie. Les reins sont de taille normale, d'échostructure conservée, bien différenciés non obstructifs. Aorte abdominale de calibre conservé. Pas de liquide libre. CONCLUSION : cholécystite lithiasique aiguë sans répercussion sur les voies biliaires extra et intra-hépatiques. (Dr. X).Laboratoire : cf. copie ci-jointe Sédiment urinaire : leucocytes purés, érythrocytes, nitrite positif Urotube du 23.12.2018 : E. coli Hémocultures du 23.12.2018 : 2 paires négatives après 5 jours CT-abdominal du 15.12.2018 : réhaussement du rein gauche plus tardif que droit, pas de calcul visible Laboratoire : cf copie en annexe Remler : en annexe CT scan thoracique du 23.01.2019 : absence d'embolie pulmonaire. Pas de signe de surcharge. Rein gauche atrophique avec majoration en taille de deux structures corticales nodulaires, difficilement caractérisable en raison d'un temps d'injection non adapté, à corréler à un ultrason. Laboratoire : cf copies annexées. ECG : RSR, normocarde à 70, QRS fin avec bonne progression dans les précordiales, pas de trouble de la repolarisation. Radiographie thorax : pas de pneumothorax, pas de fracture de côte visualisée, pas de foyer, pas de cardiomégalie ou de signe de décompensation cardiaque. Laboratoire : cf copies annexées. Alcoolémie : 3,6 pour mille. ECG du 01.01.2019 : bradycardie sinusale à 50/min (selon scope bradycardie fluctuante entre 46-56 bpm) avec bloc AV du 1er degré à 224 ms, QRS fin à 104 ms, axe hyperdroit à 103°, QTc 422 ms, segment ST susdécalé à 0,125 mV en V4, sinon isoélectrique, ondes T négatives et concordantes en aVL, V1 et V2, transition de l'onde R en V5. RX colonne dorsale du 02.01.2019 : attitude scoliotique dextro-convexe. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis débutantes. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. CT scan cérébral du 02.01.2019 : pas de fracture des os du crâne et du massif facial. Absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale. Ectasie du système ventriculaire et élargissement des sillons cérébraux en lien avec une atrophie cortico-sous-corticale modérée qui semble stable par rapport au comparatif, sous réserve de techniques d'examen différentes. Calcifications physiologiques et structures médianes de position normale. Sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes libres. Épaississement muqueux du bas-fond du sinus maxillaire ddc. Défaut de substance de la dent 11, à corréler au statut local. Arthrose atlantoaxoïdienne. Laboratoire : cf copies annexées. Culture de selles : ++ Campylobacter jejuni. PCR multiplex selles : positive pour Campylobacter. Laboratoire : cf copies annexées. Culture de selles du 03.12.2018 : négatives. Calprotectine fécale du 05.12.2018 : 25, négative. Bactériologie cavité buccale langue : Candida albicans. Recherche MRSA rectum, aisselles, plis inguinaux, narine : négative. PCR multiplex selles du 04.12.2018 : négative. ECG du 03.12.2018 : rythme sinusal régulier, normocarde à 72 bpm, axe hyperdroit à 92°, QRS fins à 76 ms, segment ST isoélectrique, ondes T négatives en V1, transition normale de l'onde R en V4. ASP du 10.12.2018 : répartition physiologique du gaz intestinal avec des anses grêles de calibre normal, visible surtout en surprojection du petit bassin. Pas de dilatation des anses intestinales. Presque pas d'air dans le cadre colique. Plusieurs clips dans l'hémi-abdomen inférieur droit avec une petite chaînette chirurgicale pouvant correspondre à la zone de stomie à la peau en fosse iliaque droite. Cadre osseux sans particularité. Transit à la Gastrographine du 10.12.2018 : temps de transit relativement rapide avec un remplissage de la poche d'iléostomie 35 minutes après l'ingestion per os du produit de contraste. Laboratoire : cf copies annexées. Culture d'expectorations : flore mixte E. coli et flore bucco-pharyngée. Hémocultures : négatives. ECG du 09.01.2019 : rythme électro-entrainé à 60 bpm, PR à 242 ms, QRS dans la norme avec un axe à 60°, segment ST isoélectrique, pas d'onde Q pathologique, QTc à 400 ms. RX thorax du 09.01.2019 : par rapport au comparatif du 17.10.2018, on retrouve une radio-transparence à la base droite pouvant correspondre à une bulle d'emphysème avec une petite désorganisation de la trame bronchovasculaire, des épaississements bronchiques et un aplatissement des coupoles diaphragmatiques pouvant correspondre à une BPCO. Petit infiltrat postéro-basal gauche pouvant correspondre à un foyer pulmonaire. Un petit épanchement pleural bilatéral n'est pas exclu. Cœur de taille à la limite supérieure de la norme, sans signe d'insuffisance cardiaque. Voie veineuse centrale par abord sous-clavier droit avec extrémité dans la veine cave supérieure. Pacemaker bicaméral en position pectorale gauche. Laboratoire : cf copies annexées. Culture d'urines du 18.12.2018 : Escherichia coli ESBL, Enterococcus faecalis. Hémocultures du 18.12.2018 : positives pour Bactéroïdes caccae. RX thorax du 18.12.2018 : étalement de la silhouette cardiomédiastinale lié à la position couchée et l'obliquité du cliché. Accentuation du cœur gauche majorée par la position sans signe de décompensation. Sclérose aortique. Nombreux plis cutanés en projection de la plage pulmonaire droite et du médiastin supérieur. Absence de foyer parenchymateux systématisé visible. St/p mastectomie gauche et clips chirurgicaux en projection du creux axillaire. Pas de lésion nodulaire suspecte de métastase sur l'ensemble des deux champs pulmonaire. Pas d'épanchement pleural. Ostéopénie et lésions dégénératives étagées du rachis dorsal. Laboratoire : cf copies annexées. D-Dimères : 878 ng/ml. Troponines : H0 : 7 ng/l, H2 : 5 ng/l. TSH : dans la norme à 1,040 mU/l. ECG du 28.12.2018 à 18h10 : rythme irrégulièrement irrégulier avec conduction ventriculaire à 155/min. QRS fin à 92 ms, axe à 23°. Pas d'onde Q visible. Transition de l'onde R en V3. Sus-décalage du segment ST de V2 à V6. Ondes T négatives dans le territoire inférieur. QTc non mesurable. ECG du 28.12.2018 à 23h11 et 29.12.2018 : rythme sinusal régulier à 86/min. Intervalle PR à 140 ms avec PR descendant en I et II. Sus décalage PR en aVR. QRS fin à 90 ms, axe 28°. Transition de l'onde R en V4. Pas d'onde Q visible. Sus-décalage diffus ST dans toutes les dérivations sauf sous-décalage en aVR. Absence d'onde T négative. QTc non mesurable. CT scan thoracique injecté du 28.12.2018 : absence de comparatif. Examen réalisé avant et après injection iv : absence d'embolie pulmonaire. Épanchement péricardique mesurant jusqu'à 19 mm d'épaisseur. Calcul radio-opaque (540 HU) mesurant 4 mm de diamètre dans le groupe caliciel moyen du rein gauche, non obstructif. Avis cardiologique - Dr. X : origine virale probable. Pas d'échocardiographie transthoracique ni de ponction péricardique en urgence. Pas de traitement AINS au vu du risque hémorragique par anticoagulation thérapeutique pour fibrillation auriculaire avec Colchicine 0.5 mg 1x/j seule. Surveillance sur la nuit avec retour à domicile le 30.12.2018. Prévoir contrôle cardiologique avant le 02 - 03.01.2019 par échocardiographie transthoracique et ECG.Laboratoire : cf copies annexées. D-Dimères : 4895 ng/ml. ECG du 05.01.2019 : rythme sinusal régulier à 93/min, PR à 140 ms, QRS dans la norme avec un axe à 110°, QTc à 470 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V4, segment ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'onde Q pathologique. Angio CT scan thoracique du 05.01.2018 : embolie pulmonaire centrale droite et des artères lobaires et segmentaires des deux côtés, avec signes de répercussion sur les cavités cardiaques droites. Épanchement pleural droit de grande abondance avec atélectasie pulmonaire passive. Probables kystes ou nodules mammaires bilatéraux de 2 à 3 cm à corréler à un ultrason mammaire. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 01.01.2019 : fibrillation auriculaire rapide à 131/min, QRS fins d'axe normal à 10°, segment ST isoélectrique, pas d'onde T négative. ECG du 02.01.2019 : fibrillation auriculaire à 110/min, QRS fins d'axe normal, segment ST isoélectrique, pas d'onde T négative. RX thorax du 01.01.2019 : cœur de taille à la limite supérieure de la norme, sans signe d'insuffisance cardiaque. Petit trouble ventilatoire à la base gauche, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 01.01.2019 : rythme sinusal régulier à 100/min, axe vertical, petite onde Q en dérivations inférieures et en V5 et V6. QTc à 423 ms. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 01.01.2019 : rythme sinusal régulier à 74/min, axe normal, PR 184 ms, QRS fins à 90 ms, pas de sus- ni de sous-décalage significatif, QTc à 408 ms. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 01.01.2019 : rythme sinusal régulier à 75/min, axe hypergauche, bloc atrio-ventriculaire du 1er degré, bloc de branche droit incomplet, ondes T plates en D3. Test de Schellong : négatif à 5 minutes. RX thorax du 01.01.2019 : index cardiothoracique normal. Pas d'élargissement médiastinal. Sinus costo-diaphragmatiques libres. Pas d'épanchement, pas de pneumothorax, pas de foyer. Épaississement de la trame bronchique droite. Pas de surcharge. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 05.01.2019 : rythme sinusal régulier, bradycarde à 45/min, bloc atrio-ventriculaire du premier degré. QRS fins normoaxés. QTc à 423 ms. Transition de l'onde R en V3. Sus-décalage infra-millimétrique non significatif en V1-V2, V5-V6. RX/CT scan genou droit du 05.01.2019 : examen réalisé sans injection de produit de contraste. Absence de comparatif du genou droit. Examen sub-optimal en raison d'artéfacts métalliques. Prothèse du genou droit en place avec élargissement de l'interface entre la prothèse et le plateau tibial médial droit, formant un gap de 7 mm, associé à un remaniement osseux au-dessous, à corréler à la radiographie post-opératoire DD descellement ? Pas d'autre signe de descellement ni de fracture péri-prothétique. Pas de déplacement ou fracture de prothèse. Pas de pincement de l'interligne articulaire prothétique. Épanchement articulaire dans le récessus supra-patellaire. Calcifications vasculaires importantes. US genou droit du 06.01.2019 : épanchement intra-articulaire d'allure hyperéchogène, sans hyperémie au doppler couleur évoquant une hémarthrose. Intégrité du tendon rotulien, suivi sur toute sa longueur. Pas d'argument pour une atteinte du tendon quadricipital, qui est fin et régulier. Pas de lésion décelable au niveau des ailerons rotuliens interne et externe. Status post-PTG. Pas d'évidence de formation kystique ou lésion suspecte décelable au niveau latéral des deux genoux. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 06.01.2019 : rythme sinusal régulier à 100/min, axe vertical, bloc de branche droit incomplet, ondes T négatives en territoire inféro-latéral, extrasystoles supra-ventriculaires déjà présentes sur un ancien examen. RX thorax du 06.01.2019 : status post-sternotomie pour pontage aorto-coronarien. Cardiomégalie avec une augmentation de la trame bronchovasculaire bilatérale diffuse, des épaississements bronchiques ainsi qu'une redistribution de la vascularisation vers les apex et des épanchements pleuraux bilatéraux, compatibles avec une insuffisance cardiaque. Aplatissement des coupoles diaphragmatiques mais pas d'image nette de foyer pulmonaire. Déminéralisation osseuse diffuse avec un aspect cunéiforme des corps vertébraux moyens associés à une hypercyphose dorsale. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 07.01.2019 : rythme sinusal régulier à 75/min, PQ 156 ms, QRS fins, axe du QRS 70°, pas de trouble de la repolarisation, bonne transition de l'onde R dans les précordiales. IRM abdomino-pelvienne du 09.01.2019 : discret épaississement du ligament sacro-utérin des deux côtés pouvant correspondre à une minime atteinte d'endométriose. Sinon, le reste de l'examen gynécologique est dans les limites de la norme. Discrètes altérations de signal de l'os spongieux et de la symphyse pubienne pouvant faire évoquer une symphysite (patiente sportive ?) à corréler à l'examen clinique. Consilium gynécologique - Dr. X - du 09.01.2019 : syndrome lombaire douloureux origine X, dysménorrhée primaire, douleurs d'origine gynécologique probable (mais toutefois une endométriose stade I-II ne peut pas être exclue). Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 23.12.2018 : artéfacts respiratoires. Rythme sinusal régulier à 100/min, axe normal, QTc à 465 ms, QRS larges. RX thorax du 23.12.2018 : par rapport au comparatif du 19.12.2018, on retrouve un cœur de taille à la limite supérieure de la norme avec quelques épaississements bronchiques et une petite augmentation de la trame bronchovasculaire péri-hilaire, mais pas de signe majeur de décompensation cardiaque. Aplatissement des coupoles diaphragmatiques. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal en relation avec l'âge du patient. Test de Schellong : négatif. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 23.12.2018 : fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire normocarde à 90/min, axe gauche à -37°, QRS fins 98 ms, QTc 408 ms, segment ST isoélectrique, absence de troubles de la repolarisation spécifiques, progression de l'onde R précoce en V1-V2. RX thorax du 23.12.2018 : foyer de condensation de l'hémichamp pulmonaire inférieur à droite bien visible sur le cliché de profil en projection juxta-hilaire droite. Composante d'épanchement pleural à droite de faible abondance. Turgescence hilaire bilatérale. CT scan thoracique du 24.12.2018 : discrète progression de l'extension du magma tissulaire hilaire droit et progression en taille de ganglions médiastinaux (DD : progression tumorale ? Infectieux ? Inflammatoire ?). Infiltrats en verre dépoli dans les deux poumons, prédominant dans le lobe moyen, en régression par rapport au comparatif et ne prédominant pas dans les mêmes localisations (DD : Restes de la pneumopathie précédemment visible ? Hémorragies alvéolaires ? Foyers infectieux ?). Pas de saignement actif décelé. Test de Schellong : négatif. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 24.10.2019 : rythme sinusal régulier, bradycarde à 50/min, axe 28°, PQ 160 ms, QRS fins à 94 ms, QTc 383 ms, absence d'onde Q pathologique, segment ST isoélectrique, présence d'une onde U, bonne progression de l'onde R avec une zone de transition en V3-V4. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 24.12.2018 : rythme sinusal régulier normocarde à 74/min, hémibloc antérieur gauche avec un axe à -47°, bloc atrio-ventriculaire du 1er degré avec un PQ à 202 ms, image de bloc de branche droit complet avec une onde Q profonde en V1, une onde S large en V6 et un QRS à 126 ms, QTc 447 ms, segment ST sus-décalé de façon non significative en V2 et V3 probablement dans le contexte du bloc D (DD STEMI), onde T négative non-concordante en I et aVL, transition de l'onde R en V4-V5.ECG du 29.12.2018 : rythme sinusal régulier normocarde à 68/min, axe normal à 59°, bloc AV 1er degré persistant avec un PQ à 224 ms, QRS fin à 98 ms, QTc 466 ms, onde Q profonde en V1, segment ST discrètement sous-décalé en V2-V6, onde T négative non-concordante en I, aVL, V2-V6, microvoltage isolé des dérivations périphériques, transition de l'onde R en V4-V5. RX thorax du 26.12.2018 : silhouette cardiaque dans les limites de la norme, sans signe de décompensation cardiaque. Aspect déroulé de l'aorte thoracique. Pas d'image pathologique en projection des plages pulmonaires. Emoussement du récessus costo-diaphragmatique gauche parlant pour la présence d'un épanchement pleural de faible quantité. Pas d'épanchement pleural visible à droite. L'examen du cadre osseux est sans particularité. Coronarographie - Dr. X - du 25.12.2018 : cf copie annexée. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 26.12.2018 : rythme sinusal à 70/min, avec extrasystoles, PR > 200 ms, QRS larges d'axe gauche. QTc = 524 ms. QT long. ECG du 04.01.2019 : rythme sinusal à 67/min, avec extrasystoles, PR < 200 ms. QRS larges normoaxés avec déviation axiale gauche. QTc = 530 ms. Transition de l'onde R tardive en V6. Bloc de branche gauche et QT long. RX thorax du 27.12.2018 : absence d'un bon inspirium. Pseudo-élargissement de la silhouette cardio-médiastinale. Pseudo-épaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire. RX thorax du 03.01.2019 : changement de défibrillateur pectoral gauche avec trois sondes, les points de respectivement en projection de l'oreillette droite, ventricule droite et du ventricule gauche. Pas de signe de déconnexion. Persistance d'une cardiomégalie globale. Pas d'argument en faveur d'un épanchement pleural. Hiles pulmonaires proéminents. Par rapport au comparatif, apparition d'une petite condensation alvéolaire de la plage pulmonaire gauche. Aspect flou des vaisseaux pulmonaires avec redistribution apicale, compatible avec stase veineuse et décompensation cardiaque. Pas de foyer infectieux constitué. Tissus mous et structures osseuses superposables au comparatif. Rapport opératoire, remplacement défibrillateur : cf copie annexée. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 26.12.2018 : rythme sinusal régulier normocarde à 69/min, axe normal à 76°, PQ 142 ms, QRS fins à 88 ms, QTc 424 ms, segment ST isoélectrique, pas de troubles spécifiques de la repolarisation, présence d'une onde U, bonne progression de l'onde R avec une zone de transition en V3-V4. RX thorax du 26.12.2018 : aspect allongé de la silhouette cardiomédiastinale. Distension pulmonaire bilatérale. Pas de foyer parenchymateux. Pas d'épanchement pleural décelable. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 27.12.2018 : rythme sinusal régulier à 90/min, PR à 140 ms, QRS dans la norme avec un axe à 100°, QTc à 450 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V3, segment ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, pas d'onde Q pathologique. RX thorax du 27.12.2018 : gynécomastie prédominante du côté gauche, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal en relation avec l'âge de Mr. Y. CT scan thoraco-abdominal du 30.12.2018 : pas de lésion suspecte de néoplasie. Discrète gynécomastie bilatérale. US du membre inférieur droit du 31.12.2018 : examen discrètement limité par le morphotype de Mr. Y et un status post-arthrodèse du genou. Les veines profondes de la racine de la cuisse, de la cuisse, du creux poplité et du mollet sont visibles, comprimables, perméables, sans argument pour une thrombose veineuse profonde. Pas d'évidence de thrombophlébite. Pas d'argument pour une collection abcédée décelée compte tenu d'un pansement en place. Bilan angiologique - Dr. X - du 04.10.2019 : pas de thrombose veineuse profonde ni superficielle des membres inférieurs, pas d'insuffisance veineuse superficielle majeure, minime reflux en fémorale commune gauche. Poursuite du Xarelto thérapeutique bien supporté jusqu'à présent pour au moins 6 mois, date de nouvelle consultation prévue le 3 juillet 2019 en ambulatoire pour réévaluer la possibilité d'une éventuelle modification du dosage de Xarelto en fonction de l'évolution globale de Mr. Y. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 28.12.2018 : rythme régulièrement irrégulier avec bigéminisme auriculaire. PR < 200 ms, QRS fins normoaxés à 10°, QTc à 452 ms. transition de l'onde R en V2-V3. RX thorax du 28.12.2018 : atélectasies en bande fine connues basales droites objectivées sur le CT-Scanner du 10.12.2018. Actuellement pas de foyer parenchymateux surajouté décelable à droite. Discrète accentuation de la trame interstitielle basale gauche sans net foyer visible. Cœur de volume dans la norme. Déroulement et sclérose aortique. Port-à-cath sous-clavier droit en place. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 30.12.2018 : rythme sinusal régulier à 65/min, PR à 210 ms (bloc atrio-ventriculaire du 1er degré connu), QRS dans la limite de la norme avec un axe à 10°, QTc à 450 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'onde Q pathologique. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 31.12.2018 : rythme sinusal régulier à 62/min. Intervalle PR à 184 msec, isoélectrique. QRS à 68 msec, axe à 41°. Transition de l'onde R en V2. Pas d'onde Q. Absence de troubles de la repolarisation. QTc mesuré à 411 msec. RX thorax du 31.12.2018 : cœur de taille dans les limites de la norme en tenant compte de la position couchée. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Surélévation de l'hémi-coupole diaphragmatique gauche. Pas de fracture de côte, ni de pneumothorax visualisé. RX colonne lombaire du 31.12.2018 : petit tassement du plateau supérieur de L1, sans recul du mur postérieur. Discopathie de niveau D10-D11. Calcifications de l'aorte abdominale. CT scan colonne lombaire du 31.12.2018 : examen centré sur D12-L1-L2. Fracture-tassement récent du plateau supérieur de L1 avec perte de hauteur de la partie centrale de la vertèbre inférieure à 20%, atteinte du mur antérieur et bombement de ce dernier. Pas d'atteinte du mur postérieur ou des éléments articulaires postérieurs. Pas d'hernie discale post-traumatique. Légère tuméfaction des tissus mous péri-vertébraux en lien avec la fracture-tassement. Calcifications aortiques. RX colonne lombaire du 04.01.2019 : par rapport au comparatif du 31.12.2018, on retrouve la fracture du plateau supérieur de L1, avec discrète progression du tassement, mais sans recul du mur postérieur. IRM colonne lombaire du 08.01.2019 : fracture récente du plateau supérieur de L1 avec perte de hauteur stable de 20% de la partie centrale par rapport au 31.12.2018. Absence d'atteinte du mur postérieur ou de répercussion sur le contenu du canal rachidien. Discopathies des trois derniers espaces intersomatiques lombaires, sans conflit disco-radiculaire. Test de Schellong : négatif. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 31.12.2018 : rythme sinusal régulier à 96/min, PR à 100 ms, QRS fins normoaxés, QTc à 430 ms, pas de trouble de la repolarisation. CT scan cérébral natif du 01.01.2019 : CT scan cérébral natif dans les limites de la norme. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives à 5 jours. Culture d'expectorations : flore bucco-pharyngée. ECG du 05.01.2019 : rythme sinusal régulier, normocarde à 93 bpm, bloc de branche droit complet, PR à 182 ms, segment ST isoélectrique, QTc normal à 438 ms. RX thorax du 15.01.2019 : en comparaison avec la radio effectuée en extérieur (cabinet médical) le 05.01.2019, diminution de l'opacité alvéolaire visible à l'hémiplage pulmonaire gauche. Persistance de troubles ventilatoires à la base gauche, relativement inchangés. On retrouve le remaniement pleuro-parenchymateux du cul de sac costo-diaphragmatique gauche. Suspicion d'une discrète majoration d'un épanchement pleural basal droit. Dans l'apex pulmonaire droit, on retrouve des remaniements sous-pleuraux pouvant faire évoquer une fibrose ainsi qu'un aspect réticulaire de la trame interstitielle. La silhouette cardiaque est inchangée, à la limite supérieure de la norme. Status post-sternotomie pour pontage aortocoronarien. Sclérose et déroulement de l'aorte thoracique connus, inchangés. Ostéopénie et spondylose dorsale modérées, connues inchangées.Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives à 5 jours. Culture d'urines : négatif. ECG du 26.12.2018 : fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire normocarde à 96 bpm, axe normal pour l'âge à -14°, QRS fin à 80 ms, QTc 459 ms, ST isoélectrique, présence d'ondes T négatives non-concordantes en V5-V6 connues, transition précoce de l'onde R en V1-V2. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives à 5 jours. Recherche antigènes urinaires pneumophila : négative. ECG du 09.01.2019 : rythme sinusal régulier à 64/min, PR à 196 ms, QRS fins à 86 ms, normoaxé, QTc à 435 ms. Transition de l'onde R en V5. Ondes Q limites en II, III, aVF. Test de Schellong du 09.01.2019 : négatif. RX thorax du 09.01.2019 : cardiomégalie modérée avec un important déroulement de l'aorte thoracique ascendante. On visualise quelques épaississements bronchiques avec un aplatissement des coupoles diaphragmatiques correspondant à des signes de BPCO. Turgescence des hiles pulmonaires d'origine probablement vasculaire. Petit flou péri-hilaire péri-bronchovasculaire, pouvant correspondre à une décompensation cardiaque débutante. Petits infiltrats péri-hilaires droits pouvant correspondre à des foyers infectieux. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal avec ostéophytose intersomatique. CT scan thoracique injecté du 09.01.2019 : pas d'embolie pulmonaire mise en évidence. Dilatation du tronc pulmonaire et des artères pulmonaires pouvant évoquer une hypertension artérielle pulmonaire. Les plages de consolidation alvéolaire avec verre dépoli en halo sont aspécifiques mais parlent en premier lieu pour une origine infectieuse. Le DD principal est celui d'hémorragie alvéolaire. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives. ECG du 22.12.2018 : rythme sinusal régulier à 63/min, PR > 200 ms, QRS fins normoaxés, QTc à 439 ms, transition de l'onde R en V3. RX thorax du 22.12.2018 : compte tenu de la mauvaise incidence, des broncho-aspirations rétro-cardiaques ou un foyer pulmonaire ne peuvent être exclus et l'on visualise également un arrondissement du sinus costo-diaphragmatique latéral droit compatible avec un épanchement pleural. Cœur de taille dans les limites de la norme. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. ECG du 06.01.2019 : tachycardie sinusale à 123/min, PR 120 ms, QRS fins normoaxés, ST isoélectrique, pas d'onde Q pathologique, progression de l'onde R avec une transition en V4, QTc long à 513 ms, pas de signe d'hypertrophie ventriculaire gauche. RX thorax du 06.01.2019 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme avec des calcifications aortiques. Quelques épaississements bronchiques, mais pas d'image typique de foyer pulmonaire. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal avec ostéophytose intersomatique avancée. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. Urotube : négatif. Frottis de plaie : quelques Staphylococcus lugdunensis, Actinomyces odontolyticus. ECG du 01.01.2019 : rythme sinusal régulier à 116/min, PR < 200 ms, QRS fins légèrement droite, QTC 403 ms, transition de l'onde R en V3. RX thorax du 01.01.2019 : par rapport au comparatif du 30.04.2018, on retrouve une importante désorganisation de la trame bronchovasculaire avec des opacités aux bases encore plus marquées, une surinfection à ce niveau étant vraisemblable dans le contexte clinique. Cœur de taille dans les limites de la norme, sans signe d'insuffisance cardiaque. RX hanche droite du 04.01.2019 : image hypodense sur le cliché de face en projection du grand trochanter, évoquant une image gazeuse, à mettre en relation avec l'infection. On visualise également une géode au niveau de la partie inférieure de la tête fémorale, mais pas d'image typique d'ostéomyélite, notamment pas de réaction périostée, ni d'ostéolyse. Coxarthrose débutante. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négatives. Culture d'expectorations : cf copies annexées. M. tuberculosis complex (système GeneXpert) : positive. Sérologie hépatite A : positive. Sérologie hépatite B, C : négative. Sérologie HIV : négative. ECG du 19.12.2018 : rythme sinusal régulier à 119/min, PR < 200 ms, QRS fins d'axe gauche, QTc 429 ms, repolarisation tardive. RX thorax du 19.12.2018 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Lésions d'infiltrat pulmonaire bilatérales prédominant en péri-hilaire gauche et au niveau de l'hémi-champ pulmonaire supérieur à droite. Pas d'épanchement pleural associé. RX thorax du 04.01.2019 : par rapport au comparatif du 19.12.2018, on constate une stabilité des infiltrats péri-hilaires gauches et en projection de la partie supérieure du champ pulmonaire droit. Pour mémoire, cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique. CT scan thoracique du 24.12.2018 : infiltrats en verre dépoli et condensations dans les deux poumons, prédominant dans le segment postérieur du lobe supérieur droit et la lingula, compatibles avec des foyers infectieux. Fine lame d'épanchement péricardique. US abdominal du 27.12.2018 : pas de dilatation des voies biliaires. Pas d'image de calcul vésiculaire. Laboratoire : cf copies annexées. Liquide céphalo-rachidien : aspect eau de roche, transparent. Cf copie annexée. Syphilis anticorps dépistage : négatif. Hémocultures : négatives. RX thorax du 17.12.2018 : aorte déroulée et calcifiée. Pas d'anomalie pleuro-parenchymateuse significative. Présence d'un bon inspirium. CT scan cérébral du 21.12.2018 : CT scan normal. IRM neurocrâne du 04.01.2019 : peu - pas de lésion de la substance blanche (maximum Fazekas 1). Trophicité de l'encéphale dans les limites de la norme. Pas de dilatation des cornes temporales ni d'atrophie des hippocampes des deux côtés significative. Pas d'argument radiologique pour une maladie à prion.Western Blot protéine 14-3-3 (traduction) : la condition sine qua non pour l'évaluation d'un bilan positif 14-3-3 Liquorb est l'absence de congestion sanguine dans le liquide céphalo-rachidien, un pléocytose et une augmentation massive de protéines. En plus de la maladie de Creutzfeld-Jakob, la protéine 14-3-3 du liquide céphalo-rachidien peut être détectée dans un certain nombre de maladies du système nerveux central associées à la disparition rapide du parenchyme cérébral, en particulier lors de nouveaux infarctus ou saignements, d'encéphalites, de lésions cérébrales tumorales et métastatiques, et rarement dans diverses maladies neurodégénératives. En cas de suspicion clinique persistante, l'échantillon de LCR envoyé pour une tendance à l'agrégation pathologique de la protéine prion peut également être examiné sur demande clinique (RT-QUIC). L'addition de sang ne conduit pas à une falsification du résultat dans cette analyse. Laboratoire : cf copies annexées. NT-proBNP le 20.12.2018 : 13'053 ng/l. D Dimères le 20.12.2018 : 888 ng/l (négatifs pour l'âge). ECG du 20.12.2018 : fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide à 102/min, axe normal pour l'âge à -26°, QRS fins à 82 ms, QTc 466 ms, pas d'onde Q pathologique, ST isoélectrique, onde T négative et concordante en III et V1, mauvaise progression de l'onde R avec un microvoltage isolé des précordiales gauches, transition tardive en V5-V6. RX thorax du 20.12.2018 : par rapport au comparatif du 09.08.2018, on retrouve une cardiomégalie malgré la position couchée avec un déroulement de l'aorte thoracique qui est probablement également élargie. Pas d'évidence de foyer pulmonaire, ni d'épanchement pleural compte tenu de la position couchée. Laboratoire : cf copies annexées. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. Culture d'expectorations : quelques Candida albicans, ++ flore bucco-pharyngée. ECG du 01.01.2019 : ininterprétable au vu des artéfacts respiratoires importants. RX thorax du 01.01.2019 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Nodule calcifié en projection du hile pulmonaire droit. Probable gynécomastie. Laboratoire : cf copies annexées. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. ECG du 03.01.2019 : tachycardie sinusale à 114/min, PR à 180 ms, QRS fins normoaxés, pas de signes d'ischémie active ni d'hypertrophie ventriculaire gauche, pas d'onde Q pathologique, QTc à 420 ms. RX thorax du 03.01.2019 : par rapport au 7 août 2018, on retrouve un remaniement de la trame pulmonaire, des grands volumes pulmonaires compatibles avec un emphysème. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Les hiles sont relativement proéminents d'origine très probablement vasculaire, inchangés. Laboratoire : cf copies annexées. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. ECG du 11.01.2019 : rythme sinusal régulier à 73/min, intervalle PR à 120 msec, régulier. QRS fin, axe normal. Transition de l'onde R en V5. Absence de trouble de la repolarisation. QTc à 333 msec. RX thorax du 12.01.2019 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Attitude scoliotique dorsale dextro-convexe. Laboratoire : cf copies annexées. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. Hémocultures : négatives. ECG du 26.12.2018 : rythme sinusal régulier à 85/min, axe gauche à -41°, PQ 138 ms, QRS fins à 82 ms, QTc à 436 ms, pas d'onde Q pathologique, ST isoélectrique, onde T aplatie en aVL, négative et concordante en V1, présence d'une onde U, bonne progression de l'onde R avec une transition en V4. RX thorax du 26.12.2018 : cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique. Désorganisation de la trame broncho-pulmonaire avec une raréfaction de cette dernière en périphérie prédominant à la base droite. À la base droite on visualise une opacité lenticulaire bien délimitée correspondant probablement à une image construite. Opacité de tonalité calcique en projection de la fenêtre aorto-pulmonaire évoquant des ganglions calcifiés. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal en relation avec l'âge de la patiente. Pas de tassement vertébral. Laboratoire : cf copies annexées. Recherche de C. difficile dans les selles : négative. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. ECG du 07.01.2019 : fibrillation auriculaire à 90/min, PR non calculable, QRS fins normoaxés à 50°, QTc 469 ms. Transition de l'onde R en V4. RX thorax du 07.01.2019 : comparatif du 24.04.2014. Silhouette cardiaque à la limite supérieure de la norme. Sclérose et déroulement de l'aorte thoracique. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Remaniement de la trame pulmonaire avec de grands volumes pouvant faire évoquer un emphysème pulmonaire. Pas d'épanchement pleural. Spondylose dorsale avec des discopathies dorsales moyennes relativement marquées. Laboratoire : cf copies annexées. Recherche de sang occulte dans les selles : positive. Consilium neurologique, Dr. X, du 15.01.2019 : cet examen est compatible avec une polyneuropathie axonale à prédominance myélinique. Nous n'avons pas d'argument pour une lésion des cornes antérieures telle une SLA, ni pour une myasthénie. Les possibilités thérapeutiques sont très restreintes. On ne peut proposer qu'une physiothérapie régulière. Laboratoire : cf copies annexées. Recherche de sang occulte dans les selles : positive. ECG du 01.01.2018 : rythme sinusal régulier à 80/min, PR < 200 ms, QRS fins d'axe gauche, segment ST isoélectrique, transition de l'onde R en V4. CT scan abdominal du 01.01.2019 : foie de morphologie normale sans lésion focale suspecte. Statut post-cholécystectomie. Pas de dilatation des voies biliaires ou de calcul radio-opaque visualisé. Légère prise de contraste du cholédoque (passage de calcul ?). Cholangio-IRM du 04.01.2019 : pas de calcul visible au sein des voies biliaires. Pas de dilatation des voies biliaires. Le parenchyme hépatique se présente normalement sans lésion focale. Panniculite mésentérique. La patiente a présenté une sensation de malaise après l'injection de produit de contraste hépato-spécifique (Primovist), sans rougeur cutanée objectivable, mais avec une sensation de dyspnée modérée pour la patiente. Laboratoire : cf copies annexées. Recherche de sang occulte dans les selles : 1 échantillon positif le 19.12.2018. ECG du 11.12.2018 : rythme sinusal régulier à 60/min, intervalle PR à 160 ms. QRS à 80 ms, axe à 20°. Transition de l'onde R en V4. Pas d'onde Q. Absence de troubles de la repolarisation. QTc à 421 ms. RX thorax du 11.12.2018 : pas de signe de décompensation cardiaque. Le parenchyme pulmonaire se présente normalement. Pas d'épanchement pleural. Status post-mise en place d'une prothèse inversée humérale droite. Cadre osseux inchangé. Test de la déglutition : pathologique pour les liquides. Laboratoire : cf copies annexées. Troponines du 08.12.2018 : H0 24 ng/l, H1 23 ng/l, H3 21 ng/l. D-dimères du 08.12.2018 : 861 ng/ml. Pro-BNP du 10.12.2018 : 12'943 ng/l. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. ECG du 08.12.2018 : rythme régulier à 129/min. Pas d'onde P visible. Onde de flutter à conduction 2:1. QRS fin à 80/ms avec aspect de bloc de branche gauche, axe à 0°. Transition de l'onde R en V3. Onde Q en V1 et V2. QTc non évaluable. ECG du 11.12.2018 : rythme régulier à 125/min. Pas d'onde P visible. Onde de flutter à conduction 2:1. QRS fin à 80/ms avec aspect de bloc de branche gauche, axe à 9°. Transition de l'onde R en V4. Onde Q en V1 et V2. QTc non évaluable.ECG du 17.12.2018 : rythme irrégulièrement irrégulier en fibrillation auriculaire à 150/min en moyenne. QRS fin à 80 ms, axe à 0°. Transition de l'onde R en V3. Sous décalage du ST de V2 à V5. 1 Extrasystole ventriculaire isolée. QTc non évaluable. RX thorax/CT scan thoracique du 08.12.2018 : absence d'embolie pulmonaire centrale et jusqu'en sous-segmentaire. Pneumonie lobaire supérieure droite et gauche avec épanchements pleuraux de grande abondance des deux côtés. Bronchite chronique diffuse. Signes de surcharge avec infiltrats interstitiels aux bases. Majoration de la taille des adénopathies médiastinales. Status post-mise en place d'un stent de l'œsophage proximal avec comblement en son sein probablement en rapport avec la tumeur. RX thorax du 13.12.2018 : élargissement global de la silhouette cardiomédiastinale. Absence d'un bon inspirium. Importante lésion d'infiltrat pulmonaire bilatéral avec important épaississement de la trame bronchovasculaire. Foyer de condensation de l'hémichamp pulmonaire inférieur à droite. Épanchement pleural bilatéral. Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : +++ E. coli multisensible. Hémocultures : positives pour E. coli. RX thorax du 28.12.2018 : cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique. Par rapport au comparatif du 26.09.2018, on constate une augmentation d'un petit épanchement pleural droit, mais pas de foyer, ni d'infiltrat. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal avec ostéophytose intersomatique. US des voies urinaires du 29.12.2018 : pas d'hydronéphrose. Pas d'abcès prostatique mis en évidence. Plusieurs kystes rénaux à droite, certains contenant des structures hyperéchogènes, aspécifiques DD septa épaissis (Bosniak 2F). Un contrôle échographique de ces kystes est souhaitable (3 mois). US abdomen du 04.01.2019 : kystes rénaux corticaux connus à droite. Cholécystolithiase, sludge biliaire. Aspect épaissi non feuilleté des parois de la vésicule biliaire et du canal cholédoque. Ectasie du cholédoque et des voies biliaires intra-hépatiques sur calcul cholédocien en voie de passage de 9 mm de diamètre. ERCP - Dr. X - du 11.01.2019 : extraction de petits débris biliaires du cholédoque après papillotomie. Concréments vésiculaires multiples. Pancréatographie normale. Ad Cholecystectomie. Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : contamination. Recherche antigènes urinaires Légionnelle et pneumocoque : négative. Hémocultures : négatives. ECG du 31.12.2018 : tachycardie sinusale et régulière à 115/min, axe QRS à 80°, PR 160 ms, onde Q en 2, 3 et aVF, QRS 80 ms, QRS RR' à 125 ms en aVR, V1 et V2, QTc 460 ms, segment ST sous-décalé de 1 mm en V1 et V2, onde T négative en V1 et V2. Bloc de branche droit nouveau par rapport au dernier comparatif de juin 2018. RX thorax du 31.12.2018 : comparatif du 13.06.2018. Silhouette cardiaque de volume dans la norme, sans signe de décompensation. Sclérose aortique. Accentuation du volume thoracique, aplatissement des coupoles diaphragmatiques, épaississement bronchique péri-hilaire évoquant un syndrome obstructif lié à l'âge. Par rapport au comparatif, accentuation péri-bronchique postéro-basale gauche plus marquée évoquant un foyer de surinfection débutant. Pas d'épanchement pleural. Absence de fracture costale déplacée visible ou pneumothorax décelable dans le contexte de la chute. Omarthrose bilatérale. RX épaule gauche du 03.01.2019 : omarthrose très avancée, centrée avec ostéophyte céphalique. Ostéocondensation articulaire. Lésion micro-géodique au niveau des interlignes articulaires. L'espace sous-acromial reste conservé. Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : négatif. Hémocultures du 28.12.2018 : négatives à 5 jours. Hémocultures du 03.01.2019 : positives pour candida albicans à J2. PCR multiplex selles : négative. Culture d'expectorations du 28.12.2019 : présence de S. aureus et C. albicans. Recherche antigènes urinaires Légionnelle et pneumocoque : négative. ECG du 28.12.2018 : rythme de tachycardie sinusale régulière à 141/min, axe droit à 171°, onde P à 64 ms, PR 100 ms, QRS fins à 72 ms, QTc à 422 ms, onde P de morphologie normale, segment PR isoélectrique, QRS de morphologie normale avec transition de l'onde R en V4, segment ST isoélectrique, pas de trouble de la repolarisation. RX thorax du 28.12.2018 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Plis cutanés verticaux en projection des 2 plages pulmonaires, mais pas de pneumothorax. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural clairement visualisé. CT scan thoracique du 28.12.2018 : pas d'argument scanographique pour une embolie pulmonaire, mais à noter un volumineux infiltrat au niveau du lobe inférieur droit, compatible avec un foyer infectieux et atélectasie partielle. CT scan facio-cervico-thoracique du 03.01.2019 : dermo-hypodermique de la lèvre inférieure en regard de la mandibule. Une collection ou un abcès ne peuvent être exclus sur cet examen au vu d'importants artéfacts métalliques dus aux prothèses dentaires de la patiente. À corréler à une échographie. Adénomégalies cervicales en station II gauche en partie kystisées à explorer. Adénomégalies sous-mandibulaires et cervicales droites du groupe II. Persistance d'un épaississement d'allure inflammatoire de l'œsophage, DD oesophagite à corréler à un examen endoscopique. Disparition de la condensation pulmonaire du lobe inférieur droit. Sécrétions endo-trachéales et endo-bronchiques aux deux bases DD broncho-aspiration. Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : positif pour E. coli multisensible. Recherche antigènes urinaires Légionnelle et pneumocoque : négative. ECG du 31.12.2018 : rythme non sinusal régulier 96/min avec onde P positive en AVR et négative en II-III-AVF (inversion des électrodes ?). Intervalle PR à 80 ms. QRS fin, axe normal. Transition de l'onde R en V2. Absence de trouble de la repolarisation. QTc à 450 msec selon Bazett. RX thorax du 31.12.2018 : cœur de taille dans les limites de la norme en tenant compte de la position couchée avec un déroulement et une probable ectasie de l'aorte. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Test de la déglutition du 09.01.2019 : dans la norme. Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : 10E4 germe, signe d'une contamination. US rénal du 12.01.2019 : absence d'hydronéphrose, rein gauche rétréci (status post-néphrectomie partielle en 2013). Vésicule biliaire lithiasique avec paroi épaissie mais déjà connue au scanner de 2013. Pas de douleur au passage de la sonde au niveau rénal et à l'hypochondre droit. Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : 10E6 E. coli, multisensible. Hémocultures : E. coli multisensible. ECG du 02.01.2019 : tachycardie sinusale à 116/min, PR à 140 ms, QRS fins normoaxés, QTc à 470 ms, pas de trouble de la repolarisation. RX thorax du 02.01.2018 : cœur de taille dans les limites de la norme en tenant compte de la position couchée avec des calcifications au niveau de la crosse. Par rapport au comparatif du 28.05.2015, on retrouve des épaississements interstitiels avec une désorganisation de la trame bronchovasculaire, ainsi que des épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. US des voies uro-génitales du 04.01.2019 : reins d'échostructure conservée sans argument pour une pyélonéphrite aiguë compliquée actuellement décelable. Kyste cortical polaire inférieur du rein gauche, simple. Status post-hystérectomie.Laboratoire : cf copies annexées. • Urotube : 10E6 E.coli ESBL (sensibles à la Ciproxine, Nitrofurantoïne). • Recherche d'antigènes urinaires Légionnelle et pneumocoque : négative. • Culture d'expectorations : négative. • Hémocultures : négatives. • ECG du 28.12.2018 : tachycardie sinusale et régulière à 115/min, axe QRS à -30°, PR 160 ms, QRS 80 ms, QTc 456 ms, segment ST iso-électrique, onde T physiologique. • RX thorax du 28.12.2018 : par rapport au 12.09.2018, on retrouve un épanchement pleural basal droit relativement inchangé avec des condensations parenchymateuses (DD remaniements pleuro-parenchymateux) relativement stable. Pas d'opacité alvéolaire surajoutée nouvelle. À gauche, pas de foyer de pneumonie. Pas d'épanchement pleural. Silhouette cardiaque dans la norme. Clip en surprojection de l'angle costo-vertébral droit à corréler aux antécédents chirurgicaux de la patiente. Laboratoire : cf copies annexées. • ECG d'entrée (04.01.2019) : rythme à 91 bpm avec ondes P propres et spikes de resynchronisation, PR à 114 ms, aspect de BBD. • ECG de sortie (09.01.2019) : rythme à 87 bpm avec ondes P propres et spikes de resynchronisation, PR à 146 ms, aspect de BBD. • Test des 6 minutes du 24.12.2018 : distance parcourue 430 m, FC repos 95 bpm, FC fin 111 bpm. • Test des 6 minutes du 09.01.2019 : distance parcourue 470 m, FC repos 88 bpm, FC fin 107 bpm, FC récup 92 bpm, TA repos 88/58 mmHg, TA fin 96/65 mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies annexées. • ECG du 07.01.2019 : RSR à 64 bpm, BAV de 1er degré avec PR à 226 ms, QRS fins avec axe à -80°, ondes T négatives en VL et biphasiques en D1 et V6, QTc à 413 ms. • Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 215 m, FC repos 67 bpm, FC de fin 77 bpm, TA repos 131/84 mmHg, TA fin 137/87 mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies annexées. • ECG du 21.12.2018 : RSR à 92/min, PR à 148 ms, QRS à 130 ms avec axe hyperdroit, ondes Q en D2-D3-VF, V1-V-2, ondes QS de V3 à V6 avec sus-décalage du ST de V2 à V5. QTc 470 ms. Laboratoire : cf copies annexées. • ECG du 22.11.2018 : rythme sinusal régulier à 70/min, QRS fins à 106 ms, d'axe normal à -15°, progression de l'onde R normale avec transition en V3, présence d'extrasystoles ventriculaires, pas de signe d'ischémie, QTc à 430 ms. • RX thorax du 23.11.2018 : étalement de la silhouette cardiomédiastinale lié à la position couchée. Élongation aortique. Inspirium profond malgré la position. Raréfaction de la trame évoquant un syndrome obstructif lié à l'âge. Pas de foyer pulmonaire ni de signe de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Squelette visible sans particularité. • RX bassin + hanche du 23.11.2018 : statut après ostéosynthèse par lame/plaque coudée plus une vis du col fémoral droit. Statut après PTH gauche avec élément acétabulaire vissé et élément fémoral cimenté. Coxarthrose supéro-externe droite avec important remaniement dégénératif de la tête fémorale. Irrégularité de corticale du grand trochanter à droite évoquant une fracture peu déplacée. • US abdominal du 26.11.2018 : foie de taille normale, de contours réguliers, d'échostructure homogène. Pas de calcul vésiculaire. Le tronc porte est perméable. Le pancréas, la rate et les reins sont sans particularité. L'aorte abdominale est de calibre conservé, mesurant 18 mm en sus-rénal et 15 mm en sous-rénal. Les spectres sont normo-modulés avec des vitesses conservées. Pas d'ascite. Laboratoire : cf copies ci-jointes. Laboratoire : cf copies ci-jointes. Laboratoire : cf copies ci-jointes. Laboratoire : cf copies ci-jointes. • Colonoscopie du 20.12.2018, Dresse X : statut post-sigmoïdectomie. Absence de source de saignement dans le cadre colique et l'iléon terminal. Laboratoire : cf copies ci-jointes. • Ag. urinaires pour Légionnelle et Pneumocoques du 03.01.2019 : négatifs. • Hémocultures du 03.01.2019 : 2 paires négatives après 5 jours. • Culture d'expectoration du 04.01.2019 : Rothia mucilaginosa +, flore bucco-pharyngée. • RX thorax du 03.01.2019 : silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme. Augmentation de la trame broncho-vasculaire postéro-basale gauche, compatible avec un foyer de pneumonie débutant. On visualise également une diminution de la trame broncho-vasculaire dans les régions périphériques aux 2 bases, prédominant du côté droit avec également un aspect irrégulier du parenchyme pulmonaire à la base gauche évoquant dans le contexte clinique des séquelles d'une pneumopathie dans l'enfance versus des images construites dues à une surexposition. Par ailleurs, pas d'épanchement pleural. Laboratoire : cf copies ci-jointes. • Colonne lombaire du 28.01.2019 : pas de fracture. Discret antélisthésis de L5 sur S1, de grade I selon Meyerding. Absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. • CT abdominal du 29.01.2019 : pas de lésion traumatique ou organique pouvant expliquer la macro-hématurie du patient. • RX colonne dorsale : les corps vertébraux sont de hauteur conservée. Alignement conservé des murs vertébraux. Les espaces intersomatiques sont de hauteur conservée. • IRM lombaire du 29.01.2019 : pseudo-antélisthésis de grade 1 de L5 sur S1 avec rétrécissement neuroforaminal modéré des deux côtés d'origine dégénérative multifactorielle, sans conflit. Rétrécissement neuroforaminal modéré L4-L5 des deux côtés d'origine dégénérative multifactorielle, sans conflit. Arthrose facettaire L4-L5 et L5-S1. Pas de fracture. Pas de tassement. Laboratoire : cf copies ci-jointes. • Consilium psychiatrique du 24.12.2018 à 00h15, Dresse X : • Lésion auto-infligée par pendaison, strangulation, suffocation, à domicile • Réaction aiguë à un facteur de stress Laboratoire : cf copies ci-jointes. • Coproculture du 06.01.2019 : Clostridium difficile, Salmonella, Shigella, Campylobacter, Shiga-toxines négatifs. • ECG : RSR à 88 bpm, PR 170 ms, QRS fins, axe normal, pas de troubles de la repolarisation. QTc 430 ms. Laboratoire : cf copies ci-jointes. • Coronographie le 16.12.2018, Prof. X : l'examen invasif en urgence démontre comme corrélat pour le STEMI inférieur une re-sténose sub-occlusive de l'ostium de la coronaire droite. Les autres stents (TC/IVA ostiale, CX/MA) montrent des résultats excellents à long terme. La fonction systolique est légèrement diminuée avec une FEVG de 55% (akinésie postéro-basale) : PTCA avec mise en place d'un stent actif sur la CD ostiale. Laboratoire : cf copies ci-jointes. • CT abdominal du 27.01.2019 : trois calculs se trouvant dans l'uretère pelvien du côté gauche : • le plus inférieur et plus grand mesure 6 x 5 x 4 mm avec une densité à 430 HU • au-dessus, un autre mesure 4 x 3 x 4 mm avec une densité à 340 HU • et au-dessus, un autre de 2 x 3 x 2 mm avec une densité à 300 HU. L'uretère gauche est dilaté en amont jusqu'à 8 mm, le pyélon gauche jusqu'à 26 mm et les calices jusqu'à 10 mm. Splénomégalie. Pour le reste, l'examen est dans les limites de la norme. Laboratoire : cf copies ci-jointes. • CT abdominal du 29.01.2019 : colite descendo-sigmoïdienne, probablement d'origine diverticulaire, classée Hansen and Stock IIa. Multiples adénopathies mésentériques, compatibles avec une adénite mésentérique. Splénomégalie à la limite supérieure de la norme. Laboratoire : cf copies ci-jointes. • CT cérébral du 14.12.2018 : absence de lésion hémorragique intra ou extra-axiale. Absence de lésion traumatique osseuse. • Cervicarthrose C2-C3. RX colonne lombaire du 14.12.2018 : scoliose lombaire dextro-convexe, rendant l'analyse des corps vertébraux difficile, toutefois pas de tassement évident objectivé. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis avec notamment une discopathie de niveau L2-L3 ainsi qu'une arthrose des facettaires articulaires postérieures, prédominant entre L3 et S1. Les articulations sacro-iliaques sont bien délimitées.CT thoraco-abdominal du 19.12.2018 : pas de néoplasie objectivée aux étages thoracique et abdominal. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. CT cérébral du 27.01.2019 : absence de lésion traumatique visualisée. Sinusopathie maxillaire droite. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. CT cérébral et colonne cervicale du 24.01.2019 : absence de saignement intra-crânien. Pas de fracture des os du crâne, du massif facial ni de la colonne cervicale. En cas de persistance des symptômes ou de doute clinique, une IRM à la recherche d'une contusion médullaire est recommandée. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Culture d'urine du 12.12.2018 : négatif. Recherche de sang occulte du 16.12.2018 : positif. RX thorax du 10.12.2018 : comparatif du 27.11.2018. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Ectasie et sclérose de l'aorte thoracique. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Elargissement du médiastin supérieur à droite, déjà visible sur l'examen du 27.11.2018 aspécifique, DD vasculaire DD thyroïde DD lésion médiastinale. Si l'on veut aller plus loin dans les investigations, un scanner serait l'examen de choix. RX cheville droite du 10.12.2018 : rapports articulaires physiologiques. Pas de fracture. Pas de tuméfaction des parties molles. Calcifications vasculaires. RX cheville gauche du 10.12.2018 : rapports articulaires physiologiques. Petit ossicule bien corticalisé en regard de la pointe de la malléole externe, DD ancienne fracture-ancien arrachement. Ebauche d'os trigone. Pas de tuméfaction des parties molles. Uro-CT du 14.12.2018 : par rapport au comparatif, on constate que le volumineux calcul intra-vésical a été retiré et l'on visualise également un status post-mise en place de la sonde en double J au niveau de la voie urinaire gauche dont l'extrémité supérieure se situe dans le pyélon. On ne visualise plus actuellement l'empierrement intra-urétéral proximal gauche et l'on retrouve les multiples calculs intra-rénaux des deux côtés. On constate également la disparition de la dilatation pyélocalicielle gauche suite à la mise en place de la sonde en double J. L'aérobilie est nettement moins marquée actuellement. Pour le reste, l'examen est inchangé avec notamment une dilatation anévrismale de l'aorte abdominale sous-rénale. MMSE le 13.12.2018 : score à 23/30. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG : artéfacts respiratoires - RSR à 100 bpm, axe normal, QTc 465 ms, QRS larges. RX thorax du 19.12.2018 : aspect normal de la silhouette cardio-médiastinale. Epaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire. Pas d'épanchement pleural. Test de Schellong : négatif. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG : RSR à 100 bpm, pas de bloc AV, QRS fins, axe normal avec progression de l'onde R en V3, segment ST iso-électrique, onde T négative en V1. CT thoracique du 22.12.2018 : une embolie pulmonaire ne peut ni être visualisée ni exclue en l'absence d'imagerie post injection de produit de contraste en raison de problèmes techniques (CT en panne). Pas de foyer infectieux pulmonaire visualisé. Réaction allergique après injection de 60 ml d'Iomeron 300. Patient retransféré aux urgences pour les suites. Stéatose hépatique. Consilium angiologique, Dr. X, du 22.12.2018 : absence de thrombose veineuse profonde ou de thrombose veineuse superficielle aux membres inférieurs à l'écho-doppler. Malheureusement, l'absence de TVP/TVS aux MI ne peut pas exclure une EP à l'origine des DRS. Il existe plusieurs éléments en faveur d'une EP (voyage, tachycardie sinusale avec trait de S1Q3, douleurs au mollet), raison pour laquelle une imagerie pulmonaire alternative au CT injectée est indiquée, et il faudra faire une scintigraphie V/P dans les meilleurs délais (soit HFR soit CHUV, idéalement le lundi 24.12.2018). En attendant le diagnostic ou l'exclusion définitive du Dx d'EP, une anticoagulation soit par NACO soit par HBPM à dose thérapeutique est indiquée. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG : RSR à 66 bpm. PR <120 ms. QRS fins et normo-axés. QTc 474 ms. Transition de l'onde R en V4. Extrasystoles supra-ventriculaires visualisées. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG : RSR à 68 bpm, PR<120 ms, QRS fins, axe normal, QTc à 409 ms. Transition de l'onde R en V3. IRM cérébrale du 20.12.2018 : nouvelle lésion ischémique frontale droite dans la corona radiata, en péri-ventriculaire, sans transformation hémorragique. Séquelles d'AVC ischémique des noyaux gris centraux droits (diagnostiqué sur l'IRM du 17.09.2018). Séquelles de lésions ischémiques anciennes du pons, du thalamus droit et de la tête du noyau caudé à gauche. Importante altération de la substance blanche péri-ventriculaire et du pons Fazékas 3 devant correspondre à une maladie micro-vasculaire et évoluée. Artères intracérébrales perméables. Vaisseaux pré-cérébraux perméables avec une petite sténose focale au départ de l'artère carotide interne droite relativement inchangée par rapport à l'angio-IRM du 17.09.2018, devant correspondre à une sténose d'environ 50%, sans argument pour un événement aigu dans cette plaque sur les séquences de dissection. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG : RSR à 90 bpm, pas de bloc AV, QRS fins, axe hyper droit, QRS fins, ondes T négatives en V1, V2, V3 (nouvelles en V2, V3). Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG : RSR, axe vertical, fréquence 100 bpm, BBD incomplet, pas de trouble de la repolarisation. Test de Schellong : positif : malaise lipothymique 5 minutes après le lever avec hypotension et nausées. Ultrason abdominal du 21.12.2018 : appendice visible avec un diamètre limite mesuré à 6 mm. Les ovaires sont visibles sans masse décelable. Pas de liquide libre en intrapéritonéal. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG : RSR, pas de bloc AV, QRS fins, segment ST iso-éléctrique, pas d'onde T négative. RX thorax du 03.01.2019 : comparatif 13.11.2018. Cardiomégalie gauche majorée par la position couchée. Turgescence hilaire, égalisation de la vascularisation pulmonaire et accentuation de l'interstice aux 2 bases évoquant une surcharge cardiaque. Volumineuse hernie hiatale dans l'ombre cardiaque. Epanchement pleural postéro-basal non exclu. Status post spondylodèse lombaire. Plusieurs éléments métalliques correspondant aux plombs de chasse en projection paravertébrale des deux côtés. RX thorax du 04.01.2019 : par rapport au 03.01.2019, majoration d'une opacité rétro-cardiaque avec bronchogramme aérique, pouvant correspondre à un foyer de pneumonie, DD broncho-aspiration. Epanchements pleuraux bilatéraux un peu majorés à gauche. Silhouette cardiaque à la limite supérieure de la norme avec flou péri-hilaire et augmentation de la trame intersticielle. Entrée dans le cadre d'une insuffisance cardiaque décompensée. Oesogastroduodénoscopie du 04.01.2019, Dr. X : pas d'hémorragie active visible. Gastrite érosive de l'antre de l'estomac. Grande hernie hiatale. Oesophagite de reflux de stade II à III avec ulcération dans l'oesophage distal. Suspicion d'une candidose oesophagienne. Dysmotilité de l'oesophage (lien avec sa paraplégie ?). Histo-pathologie : en cours. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG : rythme sinusal à 75/min, axe cardiaque + 60°, pas d'hypertrophie cardiaque, QRS fins, ST iso-électrique, inversion de l'onde T en DII, DIII, avF, V4, V5 et V6. CT thoracique du 19.12.2018 : embolie pulmonaire touchant les artères lobaires inférieure, supérieure droite ainsi que de multiples branches. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG : rythme sinusal et régulier à 80/min, axe du QRS à 10°, PR 200 ms, QRS 80 ms, QTc 419 ms, segment ST iso-électrique, onde T physiologique.Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG : rythme sinusal régulier à 69/min, PR 128 ms, QRS 104 ms, QTc 420 ms. Hémibloc antérieur gauche connu avec un axe à -63°, pas de signe d'ischémie. Monitoring aux urgences pendant 16 heures : absence d'épisode d'arythmie. Test de Schellong le 08.01.2018 : négatif. RX thorax du 08.01.2019 : dans la norme. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG du 26.12.2018 : fibrillation auriculaire à 112 bpm, QRS fins, QTc à 426 ms, axe du QRS gauche à -38°, pas d'ondes Q significatives, ondes T négatives en aVL. ECG du 27.12.2018 après Cordarone : rythme irrégulier à 83 bpm avec passage entre flutter et fibrillation auriculaire, QRS fins, QTc à 404 ms, axe du QRS gauche à -29°, pas d'ondes Q significatives. ECG du 28.12.2018 : rythme sinusal régulier à 70 bpm, QRS fins, QTc à 404 ms, axe du QRS gauche à -25°, pas d'ondes Q significatives, segment ST iso-électrique, progression de l'onde R avec inversion entre V2-V3. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. ECG du 30.12.2018 : rythme à 41 bpm, PR 190 ms, QRS fins, pas de sus- ni de sous-décalage, QTc 368 ms. Bradycardie sinusale connue. CT cérébral et des tissus mous du 30.12.2018 : examen dans les limites de la norme sans lésion ischémique ou hémorragique. IRM neurocrâne du 03.01.2019 : IRM cérébrale dans les limites de la norme. Pas d'argument pour une lésion ischémique aigue. Pas de lésion séquellaire d'AVC ischémique aigu (on ne retrouve plus la petite plage de restriction de la diffusion du gyrus frontal supérieur gauche sur l'examen actuel). RX épaule droite et épaule gauche du 31.12.2018 : Epaule droite : Remaniement arthrosique gléno-huméral inférieur modéré. Rapports articulaires gléno-huméraux conservés. Pas de lésion traumatique osseuse récente visible. Epaule gauche : Fracture sous-capitale déplacée de l'humérus avec ascension de la diaphyse, engrainement des fragments. Remaniement ostéophytaire inférieur de la tête humérale. Irrégularité osseuse en regard du trochiter ne permettant pas d'exclure une petite fracture peu déplacée. Intégrité de la partie visible du gril costal. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Frottis MRSA du 09.01.2019 (plis inguinaux, narines, aisselles, oreille droite) : négatifs. CT abdominal du 08.01.2019 : on retrouve une récidive/persistance d'iléite terminale + une lésion hépatique au segment VII (DD : hyperplasie focale nodulaire) avec infiltration de la graisse en périphérie. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Hémocultures du 06.01.2019 : 2 paires négatives après 5 jours. RX thorax du 07.01.2019 : silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Status après ostéosynthèse par une plaque vissée d'une fracture de la clavicule gauche. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Hémocultures du 15.12.2018 : 2 paires négatives après 5 jours. Urotube du 15.12.2018 : Enterobacter aerogenes et Pseudomonas aeruginosa. Ag urinaires pour Pneumocoques et Légionnelle du 15.12.2018 : négatifs. ECG : RSR à 114 bpm. PR <200 ms, QRS fins normo-axé. QTc à 439 ms. Transition de l'onde R dès V6. RX thorax du 15.12.2018 : augmentation de la trame broncho-vasculaire sous-hilaire droite et rétro-cardiaque gauche pouvant correspondre à une hypoventilation, toutefois des foyers pulmonaires ne sont pas exclus. Épaississement bronchique diffus. Cœur de taille dans les limites de la norme en tenant compte de la position assise. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Hémocultures du 18.12.2018 : négatives après 5 jours. Ag urinaires pour Légionnelle et Pneumocoques des 19 et 23.12.2018 : négatifs. RX thorax du 18.12.2018 : infiltration lobaire supérieure droite. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Hémocultures du 18.12.2018 : 2 paires négatives après 5 jours. Ag urinaires pour Légionnelle et Pneumocoques : négatifs. Urotube du 18.12.2018 : flore mixte +++. Hémo-féca-test du 21.12.2018 : positif. Recherche de carence martiale : positive. ECG : RSR à 90 bpm, axe vertical, onde P bifide en V1, QRS fins, transition de l'onde R en V2-V3, indice de Sokolov >35, ESV, sous-décalages non significatifs du segment ST en D2, aVF. RX thorax du 18.12.2018 : status post-cerclages de sternotomie. Épaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire. Hypoventilation des 2 bases pulmonaires. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Hémocultures du 19.12.2018 : 2 paires négatives après 5 jours. Culture du liquide de drainage axillaire gauche du 21.12.2018 : S. agalactiae. ECG : RSR à 64 bpm, axe normal, BAV 1, PR 212 ms, QRS fins à 82 ms, pas de sous- ni sus-décalage de ST, ondes T négatives en aVL, V4, V5, V6. RX thorax du 18.12.2018 : aorte déroulée et calcifiée. Pas d'anomalie pleuro-parenchymateuse significative. Discret épaississement de la trame bronchovasculaire. Test de Schellong : hypotension orthostatique sévère avec passage en bradycardie et asystolie. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Hémocultures du 22.12.2018 : 2 paires négatives après 5 jours. ECG : rythme sinusal régulier à 84 bpm, axe normal, PR 190 ms, QRS fins à 94 ms, pas de sus- ni sous-décalage, onde T négative en aVR, V1. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Hémocultures du 27.01.2019 : en cours. Culture de selles du 28.01.2019, PCR et Clostridium difficile : négative. ECG : rythme sinusal régulier, sans modification du segment ST. RX thorax du 27.01.2019 : par rapport au comparatif du 27.01.2017, on retrouve le status post-sternotomie avec le cerclage supérieur brisé, d'aspect superposable. Cœur de taille à la limite supérieure de la norme en tenant compte de la position couchée. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. CT abdominal du 27.01.2019 : absence d'explication radiologique à la symptomatologie présentée par le patient. Diverticulose pancolique sans signe radiologique de complication. Absence de liquide libre. Absence d'air libre. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Hémocultures du 27.12.2018 : 2 paires négatives après 5 jours. Ag urinaires pour Légionnelle et L. pneumophila : négatifs. Culture d'expectoration : contaminée. ECG : RSR à 80 bpm, PR à 160 ms, QRS fins avec un axe à 3°, QTc à 440 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V4, ST iso-électrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. RX thorax du 27.12.2018 : silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme. Par rapport au comparatif du 11.12.2017, on retrouve une désorganisation de la trame broncho-vasculaire, compatible avec un emphysème, et l'on visualise de multiples épaississements bronchiques, mais pas d'image nette de foyer pulmonaire, ni d'épanchement pleural en tenant compte de la position couchée. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Hémocultures du 17.12.2018 : E. coli sensible à la Ceftriaxone et à la Ciproxine. ECG : rythme irrégulier de fibrillation auriculaire lente à 82 bpm. QRS fins, axe normal, QTc 449 ms. Transition de l'onde R en V4. RX thorax du 17.12.2018 : aorte déroulée et calcifiée. Status post-annuloplastie mitrale. Hypoventilation basale gauche avec probable foyer de condensation sous-jacente. Discret épaississement de la trame broncho-vasculaire au niveau basal à droite. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. IRM cervicale du 19.12.2018 : uncarthrose multi-étagée, plus marquée de C4 à C7 des deux côtés occasionnant des rétrécissements neuro-foraminaux C4-C5, C5-C6 et C6-C7 des deux côtés, d'origine multifactorielle, relativement inchangés par rapport à l'examen de 2012. Infiltration sous CT du 21.12.2018, colonne cervicale : explication du geste et de ses possibles complications à la patiente qui nous accorde son consentement éclairé. Réalisation d'un CT scan injecté de repérage entre les vertèbres C6 et D3, avec mise en place d'une grille pour marquage du point de ponction.Désinfection du point de ponction, suivie d'un champage stérile et d'une anesthésie locale, ainsi que des plans sous-cutanés avec environ 10 ml de Rapidocaïne 1%. Ensuite, mise en place d'une aiguille spinale de 22 G à proximité de la racine C8 à droite, à la sortie du neuroforamen de C7-D1. Injection d'environ 1 ml de produit de contraste iodé montrant une bonne diffusion autour de la racine. Pour finir, injection d'une ampoule de Fortecortin (4 mg de dexaméthasone sur 1 ml) en périradiculaire. Il n'y a pas de complication immédiate après l'intervention. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Recherche de MRSA (plis inguinaux, narines, aisselles, rectum) du 22.12.2018 : négative. ECG : fibrillation auriculaire tachycarde à 160 bpm. QRS fins, axe normal. Segment ST isoélectrique, onde T négative en V1. RX thorax du 21.12.2018 : cardiomégalie modérée avec déroulement de l'aorte thoracique. Épaississement bronchique avec un flou péri-hilaire péri-broncho-vasculaire ainsi qu'une redistribution de la trame broncho-vasculaire vers les apex, compatibles avec une insuffisance cardiaque débutante. Pas d'épanchement pleural ni de foyer pulmonaire constitué. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. RX thorax du 23.12.2018 : cœur de taille à la limite supérieure de la norme avec un déroulement et des calcifications de l'aorte, mais sans signe d'insuffisance cardiaque. Quelques épaississements bronchiques mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Aplatissement des coupoles diaphragmatiques, sans désorganisation notable de la trame broncho-vasculaire. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. RX thorax du 25.12.2018 : absence d'un bon inspirium. Pseudo-élargissement de la silhouette cardio-médiastinale. Lésions d'infiltrats pulmonaires bilatérales avec un important épaississement de la trame bronchovasculaire. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. RX thorax du 29.01.2019 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax visualisé. RX avant-bras gauche du 29.01.2019 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. RX nez du 29.01.2019 : fracture de l'os nasal avec petite marche d'escalier. US abdominal du 30.01.2019 : status post-cholécystectomie, mais pour le reste l'examen est dans les limites de la norme, notamment pas de lésion des organes pleins, ni de liquide intra-péritonéal objectivé. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. RX thorax du 30.12.2018 : comparatif du 13.12.2018. Amélioration de la ventilation aux bases pulmonaires par rapport au 13.12.2018, évoquant une régression des épanchements pleuraux objectivés au CT du 08.12.2018. Persistance d'altérations interstitielles et alvéolaires confluentes aux deux bases compatibles avec des foyers de broncho-aspiration. Amélioration de la ventilation pulmonaire à l'apex pulmonaire gauche. Régression d'un précédent foyer. On retrouve un stent oesophagien en place, en position inchangée. Le reste du statut compte tenu de la différence de position est superposable. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Urotube du 03.01.2019 : flore mixte. Sang occulte dans les selles du 06.01.2019 : positif. RX thorax du 02.01.2019 : par rapport au 18.09.2018, on retrouve une cardiomégalie. Disparition du flou péri-hilaire. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. RX bassin, hanche droite axiale du 02.01.2019 : ostéopénie. Pas de fracture. Calcifications vasculaires. CT cérébral du 03.01.2019 : CT cérébral dans les limites de la norme, sans lésion post-traumatique aiguë intra-cérébrale. Hématome sous-galéal pariétal droit. Leucoencéphalopathie probablement microvasculaire. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Urotube du 28.12.2018 : flore mixte. Ag urinaires pour Légionelle et Pneumocoques du 28.12.2018 et du 29.12.2018 : négatifs. Hémocultures du 28.12.2018 : 2 paires négatives après 5 jours. Coprocultures du 30.12.2018 et du 03.01.2019 : absence de Clostridium difficile, PCR multiplex négatif. ECG : RSR à 75 bpm, bloc de branche droit incomplet, extrasystoles supra-ventriculaires, axe normal, QTc 459 ms, pas de trouble de la repolarisation. RX thorax (réalisée à Bulle Santé) : foyer basal droit. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. US abdominal du 23.01.2019 : appendicite non compliquée associée à une iléite de contact. Le reste des structures intra-abdominales analysé se présente normalement. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG d'entrée : fibrillation auriculaire normocarde à 75 bpm. QRS fins avec un axe de -42°. QTc 434 ms. CT-scan thoraco-abdominal le 21.12.2018 : par rapport au comparatif du 08.12.2018, on constate une péjoration de l'épanchement péricardique qui paraît cloisonné avec prise de contraste dans sa périphérie évoquant une surinfection, ainsi qu'une augmentation des épanchements pleuraux ddc. Lithiase vésiculaire mais pas de signe de cholécystite, ni de calcul rénal obstructif. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 350 m, FC repos 83 bpm, FC fin 97 bpm, FC récup 87 bpm, TA repos 138/73 mmHg, TA fin 177/78 mmHg, BORG 5/10. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG d'entrée : RSR à 66 bpm. PR<200 ms, QRS à 106 ms normo-axés. Transition de l'onde R en V4 troubles aspécifiques de l'onde T dans les dérivations précordiales. QTc à 371 ms. ECG de sortie : RSR à 67 bpm. PR<200 ms, QRS à 108 ms normoaxés. Transition de l'onde R en V4. Troubles aspécifiques de l'onde T dans les dérivations précordiales. QTc à 479 ms. Épreuve d'effort à l'entrée du 17.01.2019 : bonne épreuve d'effort permettant d'obtenir une charge de 70%. L'exploration coronarienne est de 72% et négative cliniquement, électriquement et rythmiquement. Bonne récupération. Arrêt pour fatigue physiologique des membres inférieurs. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 425 m, FC repos/fin/récup 74/84/76 bpm, TA repos 119/74 mmHg, TA fin 130/68 mmHg, BORG à 3/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 565 m, FC repos/fin/récup 72/82/76 bpm, TA repos 117/68 mmHg, TA fin 129/74 mmHg, BORG 3-4/10. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG d'entrée : RSR à 76 bpm, onde P de 110 ms, espace PR de 176 ms. QRS fins avec un axe à 24°. Sus-décalage du segment ST non significatif en V2-V3. QTc de 391 ms. ECG de sortie : RSR à 64 bpm, onde P de 108 ms, espace PR de 178 ms. QRS fins avec un axe à 14°. Segment ST isoélectrique. QTc de 381 ms. Épreuve d'effort du 07.01.2019 : +80% de la réserve coronaire sont explorés; l'épreuve est négative sur les plans ischémique, électrique, rythmique et chimique. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 545 m, FC repos 72 bpm, FC fin 102 bpm, FC récup 72 bpm, TA repos 113/73 mmHg, TA fin 129/82 mmHg, BORG 3/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 630 m, FC repos 70 bpm, FC fin 104 bpm, FC récup 73 bpm, TA repos 113/71 mmHg, TA fin 136/80 mmHg, BORG 2/10. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG d'entrée : rythme en fibrilo-flutter à 60 bpm, QRS fins avec un axe à -30°, QTc à 410 ms, progression de l'onde R avec une transition tardive en V5, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, ondes Q pathologiques en inférieur, pas d'HVG. Radiographie du thorax face/profil du 28.08.2018 : cliché demandé et réalisé avec matériel électronique en projection de la cage thoracique (LifeVest). Pacemaker défibrillateur avec boîtier en position pectorale D et électrode intacte. Étalement de la silhouette cardiomédiastinale lié à l'inspirium diminué et la position assise. Tassement du parenchyme pulmonaire avec accentuation diffuse de l'interstice, toutefois moins marqué que le 27.07.2018. Décompensation au décours de surcharge chronique ? Pas d'épanchement pleural visible.Test de marche de 6 minutes à l'entrée : 0m (faiblesse extrême). Laboratoire : cf copies en annexe. ECG d'entrée (05.12.2018) : RSR à 77/min, PR 130 ms, QRS fins axe à 28°, pas de trouble de repolarisation, QTc à 436ms. ECG de sortie (21.12.2018) : RSR à 88/min, PR à 148 ms, QRS fins avec axe à 36°, pas de trouble de repolarisation, QTc à 456ms. IRM neuro-crâne le 13.12.2018 : lésion ischémique punctiforme d'allure subaiguë dans le centre semi-oval à droite. Perméabilité préservée des vaisseaux pré-cérébraux et intracrâniens, sans signe de dissection. Apparition de chute de signal punctiforme sur la séquence T2 dans les deux hémisphères cérébelleux, thalamique droite, sous-corticale pariétale droite et dans le centre semi-oval droit, évoquant des microbleeds. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 375m, FC repos 98 bpm, FC fin 121 bpm, TA repos 128/81mmHg, TA fin 144/80 mmHg, BORG 4/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 472 m, FC repos 91 bpm, FC fin 124 bpm, TA repos 112/70 mmHg, TA fin 139/78 mmHg, BORG 5/10. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG d'entrée (11.12.2018) : RSR à 73/min, PR à 152 ms, bloc de branche droit incomplet avec QRS 100 ms et axe à 67°, ondes QS de V1 à V3, persistance d'un léger sus-décalage du ST en V1-V2-V3 avec onde T biphasique, ondes T négatives en D1, VL et V5-V6. ECG de sortie (20.12.2018) : RSR à 76/min, PR à 162 ms, bloc de branche droit incomplet avec QRS 100 ms et axe à 60°, ondes QS de V1 à V3, persistance d'un léger sus-décalage du ST en V1 avec onde T biphasique en V2-V3, ondes T négatives en D1, VL et V4-V5-V6. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 520m, FC repos 76 bpm, FC fin 110 bpm, TA repos 124/81mmHg, TA fin 153/88mmHg, BORG 3/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 745m, FC repos 84 bpm, FC fin 136 bpm, TA repos 126/81mmHg, TA fin 175/87mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG d'entrée (14.12.2018) : RSR à 59/min, PR 118 ms, QRS fins avec axe à 9°, onde T négative isolée en D3 et aplatie en VF, QTc à 386 ms. ECG de sortie (30.12.2018) : RSR à 59/min, PR 120 ms, QRS fins avec axe à 3°, onde T négative isolée en D3 et aplatie en VF, QTc à 388 ms. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 385m, FC repos 67 bpm, TA repos 127/72mmHg, TA fin 148/66mmHg, BORG 4/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 460 m, FC repos 58 bpm, FC fin 96 bpm, TA repos 152/76mmHg, TA fin 165/72mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG d'entrée (27.12.2018) : RSR à 65/min, PR 174 ms, QRS 100 ms avec axe à 180°, ondes QS de V1 à V4. Ondes T négatives en D1-VL et de V2 à V4, onde T biphasique en V5. QTc 438 ms. ECG de sortie (15.01.2019) : RSR à 56/min, PR 182 ms, QRS 104 ms avec axe à -152°, ondes QS de V1 à V4. Ondes T négatives en D1-VL et de V2 à V4, QTc 416 ms. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 480m, FC repos 77 bpm, FC fin 81 bpm, TA repos 116/78 mmHg, TA fin 117/80 mmHg, BORG 2/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 645m, FC repos 74 bpm, FC fin 113 bpm, TA repos 94/66 mmHg, TA fin 124/76 mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. Radiographie de thorax le 20.12.2018 : status post sternotomie avec cerclages intacts pour pontage aorto-coronarien. Fenêtre claire rétro-sternale libre. Pas de bombement des parties molles rétro-sternales visibles. Silhouette cardiaque de volume dans les limites supérieures de la norme sans signe de décompensation. Absence d'épanchement pleural. Pas de foyer parenchymateux systématisé surajouté visible. Déminéralisation osseuse diffuse sans fracture/tassement. ECG d'entrée : RSR à 55 bpm, onde P de 132 ms, BAV 1° avec espace PR allongé à 220 ms, QRS BBG avec un axe de -24°. Sus-décalage non significatif de V1 à V3. QTc de 417 ms. ECG de sortie : RSR à 53 bpm, onde P de 116 ms, BAV 1° avec espace PR allongé à 220 ms, QRS BBG avec un axe de -27°. QTc de 409 ms. Echocardiographie le 27.12.2018 : échogénéicité non optimale. Cavités cardiaques non dilatées. Pas d'hypertrophie ventriculaire mais présence d'une dyskinésie inféro et antéro-apicale. Hypokinésie inférieure moyenne. FEVG (Simpson 2 & 4Cv) : 48%; dysfonction diastolique pseudo-normale. Fuite mitrale minime à légère. Aorte normale. Pas d'HTAP. VCI non vue. Péricarde : lame en regard de la pointe du VD. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 220 m, FC repos 72 bpm, FC fin 78 bpm, TA repos 124/62mmHg, TA fin 128/60mmHg, BORG 3/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 455 m, FC repos 57 bpm, FC fin 71 bpm, FC récup 61 bpm, TA repos 120/67mmHg, TA fin 138/78 mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. Radiographie de thorax le 20.12.2018 : status post sternotomie avec cerclages intacts pour pontage aorto-coronarien. Pas de comblement de la fenêtre claire rétro-sternale. Cœur de volume dans la norme sans signe de décompensation. Epanchement pleural postéro-basal gauche. Actuellement, pas d'épaississement péri-bronchique, de bronchogramme aérique en faveur d'un foyer systématisé visible. Pas d'épanchement pleural à droite. Lésions dégénératives étagées rachis dorsal. ECG d'entrée : RSR à 79 bpm, onde P de 144 ms, espace PR de 166 ms. QRS fins avec un axe de -28°. Inversion des ondes T de V4 à V6 et en aVL. QTc de 425 ms. ECG de sortie : RSR à 65 bpm, onde P de 112 ms, espace PR de 190 ms, QRS fins avec un axe dévié à gauche à -36°. Inversion des ondes T de V3 à V6 et en aVL. QTc de 411 ms. Echocardiographie le 28.12.2018 : très mauvaise échogénéicité sauf en sous-xyphoïdien. Oreillette gauche limite supérieure en volume. Bonne cinétique globale du VG avec FE conservée à 60% (FR 40%). Dysfonction diastolique de type II. Calcification aortique responsable d'une insuffisance aortique de grade léger. Petite insuffisance triscupide; signe indirect d'une HTP chronique modérée. Pas d'atteinte valvulaire mitrale retrouvée. Epanchement péricardique : lame résiduelle en regard du VD sans conséquence hémodynamique. VCI plutôt plate compliante aux mouvements respiratoires spontanés. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 410 m, FC fin 87 bpm, FC récup 80 bpm, TA fin 143/82 mmHg, BORG 4-5/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 485 m, FC repos 81 bpm, FC fin 96 bpm, FC récup 73 bpm, TA repos 106/79 mmHg, TA fin 143/78 mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. Radiographie de thorax le 21.12.2018 : comparatif du 03.08.2011. Status post valvuloplastie aortique. Cœur de volume dans la norme, sans signe de décompensation. Accentuation du cœur gauche. Emoussement du sinus costophrénique postérieur gauche sur minime épanchement pleural. Absence de foyer parenchymateux systématisé. Ostéopénie. Cunéiformisation de D7 avec respect de hauteur du mur postérieur. Ancien tassement ? ECG d'entrée : RSR à 61 bpm, onde P de 104 ms, espace PR 126 ms, QRS fin avec un axe de -23°. QTc 459 ms. ECG de sortie : RSR à 67 bpm, onde P de 104 ms, espace PR 130 ms, QRS fin avec un axe de -22°. QTc 436 ms. Segments ST isoélectriques. Echocardiographie le 27.12.2018 : bonne fonction cardiaque globale avec FEVG (Teicholz) : 58%. Pas d'hypertrophie pariétale; VGtd non dilaté (diam 51 mm); dilatation modérée de l'OG. Valves : bioprothèse aortique en place avec DP 3/7 mmHg (VTI 18.5 cm) sans fuite para ou trans-prothétique, petite régurgitation mitrale sans conséquence hémodynamique. Pas d'HTAP. VCI non dilatée compliante aux mouvements respiratoires. Présence d'une lame d'épanchement péricardique non significatif en regard des ventricules. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 240 m, FC repos 84 bpm, FC fin 101 bpm, FC récup 83 bpm, TA repos 141/77mmHg, TA fin 146/83mmHg, BORG 2/10.Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 505 m, FC repos 72 bpm, FC fin 120 bpm, FC récup 97 bpm, TA repos 130/80 mmHg, TA fin 178/94 mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. Radiographie du thorax du 04.01.2019 : status post sternotomie avec cerclages intacts pour triple pontage aorto-coronarien. Épanchement pleural basal bilatéral nettement prédominant à G, remontant dans le pied de la grande scissure. Probable hernie hiatale dans l'ombre cardiaque. Pas de foyer parenchymateux systématisé surajouté visible. Lésions dégénératives étagées du rachis. ECG d'entrée : RSR à 79 bpm, espace PR de 168 ms. QRS élargis avec un axe à -10° et un aspect de bloc de branche gauche. QTc de 491 ms. Inversion des ondes T en V4 à V6. ECG de sortie : RSR à 83 bpm, espace PR de 188 ms. QRS élargis avec un axe horizontal et un aspect de bloc de branche gauche. QTc de 488 ms. Inversion des ondes T en V5 et V6. Epreuve d'effort du 17.01.2019 : EE proxi-sous-maximale arrêtée pour atteinte de la limite musculo-respiratoire (post-opératoire). Présence d'un BBGc au repos, non modifié à l'effort ; pas d'arythmie et clinique négative. Pas d'argument pour une ischémie sous-jacente. Récupération normale. Profil TA en ordre. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 510 m, FC repos 81 bpm, FC fin 98 bpm, FC récup 92 bpm, TA repos 133/90 mmHg, TA fin 138/87 mmHg, BORG 3/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 570 m, FC repos 77 bpm, FC fin 104 bpm, TA repos 142/96 mmHg, TA fin 142/94 mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. Radiographie du thorax du 12.12.2018 : cœur de volume dans les limites de la norme sans signe de décompensation. Discrète élongation aortique. Absence de foyer parenchymateux systématisé visible. Pas d'épanchement pleural. Squelette visible sans particularité. ECG d'entrée : RSR à 49 bpm avec pause physiologique, onde P 124 ms, espace PR à 154 ms. QRS à 110 ms avec un axe à 69°. QTc 373 ms. Ondes T amples et asymétriques en V2, V3 et V4. Présence d'onde U en V2-V3-V4. Indice de Sokolow à 3.9 mV compatible avec une hypertrophie du ventricule gauche. ECG de sortie : RSR à 53 bpm, onde P de 112 ms, espace PR de 160 ms. QRS de 106 ms normo-axé à 65°. Ondes T amples et asymétriques en V2, V3 et V4. Indice de Sokolow à 3.8 mV compatible avec une hypertrophie du ventriculaire gauche. Epreuve d'effort le 27.12.2018 : EE menée jusqu'à 87% de la réserve coronarienne strictement négative sur le plan clinique, rythmique et électrique (sous-décalage ST ascendant, pas d'horizontalisation). Arrêt pour limite des membres inférieurs. Très bonne récupération. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 540 m, FC repos 59 bpm, FC fin 65 bpm, FC récup 59 bpm, TA repos 135/81 mmHg, TA fin 142/85 mmHg, BORG 2/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 671 m, FC repos 55 bpm, FC fin 78 bpm, FC récup 66 bpm, TA repos 144/81 mmHg, TA fin 144/83 mmHg, BORG 2-3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. Radiographie du thorax le 04.12.2018 : par rapport au comparatif du 30.11.2018, on retrouve la surélévation modérée de l'hémi-coupole diaphragmatique droite avec de petites atélectasies aux bases, mais pas d'épanchement pleural. Cœur de taille à la limite supérieure de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique. ECG d'entrée : RSR avec FC à 81 bpm. Onde P de 50 ms. Espace PR de 144 ms. QRS fins avec axe à -24°. Inversion des ondes T de V2 à V6. Indice de Sokolow 1.27 mV. QTc 428 ms. ECG de sortie : RSR à 84 bpm, onde P de 118 ms, espace PR de 160 ms, QRS fins avec un axe de -26°. QTc de 464 ms. Echographie cardiaque le 12.12.2018 : dilatation modérée de l'AG et du VD. Hypertrophie du ventricule gauche et droite. FEVG 55 %, calcification aortique avec fuite aortique minime. Régurgitation mitrale sur remaniement calcifié des feuillets. Péricarde sec. Pas d'HTAP. Séquelles ischémiques non visibles. Cœur pulmonaire sans HTP. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 150 m, FC repos 81 bpm, FC fin 94 bpm, FC récup 87 bpm, TA repos 85/55 mmHg, TA fin 80/57 mmHg, BORG 2/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 345 m, FC repos 72 bpm, FC fin 98 bpm, FC récup 81 bpm, TA repos 102/73 mmHg, TA fin 124/78 mmHg, BORG 4/10. Laboratoire : cf copies en annexe. Radiographie du 29.11.2018 : status post sternotomie pour pontage aorto-coronarien. Cœur de taille à la limite supérieure de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique et des franges graisseuses à la pointe. Petit épanchement pleural gauche en relation avec le status post opératoire, mais pas d'image de foyer pulmonaire. ECG d'entrée : RSR à 79 bpm. Onde P de 112 ms, espace PR 188 ms. QRS 108 ms avec axe à 16°. Onde Q en DIII, aVF. QTc à 418 ms. ECG de sortie : RSR à 71 bpm. Onde P de 120 ms, espace PR allongé de 214 ms, QRS de 110 ms avec un axe de 29°. Onde Q en DIII, QTc de 426 ms. Epreuve d'effort le 18.12.2018 : EE témoignant une relative faible réponse chronotrope secondaire au traitement bradycardisant. 70% de la réserve coronaire sont explorés ; l'épreuve est négative dans ces conditions sur les plans clinique, électrique et rythmique. Réponse chronotrope en récupération lente. Bonne capacité fonctionnelle retrouvée. Holter du 13.12.2018 : présence d'un épisode de tachycardie supraventriculaire en salve de 7 battements. 10 épisodes d'extrasystoles ventriculaires isolées. 12 épisodes d'extrasystoles supraventriculaires isolées. Echographie cardiaque le 11.12.2018 : présence d'un épanchement péricardique secondaire au post-opératoire, prédominant en regard du VD et de AD, avec une lame devant la paroi inférieure et postérieure du VG. Pas de répercussion hémodynamique. Bonne fonction cardiaque globale (FEVG à 51 %). Dysfonction diastolique de type pseudo-normale. Pas de valvulopathie significative (sclérose aortique débutante). Aorte thoracique ascendante à la limite supérieure de la norme (diamètre de 40 mm). Pas d'HTAP. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 480 m, FC repos 84 bpm, FC fin 106 bpm, FC récup 91 bpm, TA repos 118/82 mmHg, TA fin 152/84 mmHg, BORG 4/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 555 m, FC repos 75 bpm, FC fin 100 bpm, FC récup 84 bpm, TA repos 139/79 mmHg, TA fin 155/93 mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. RX du thorax du 27.12.2018 : en confrontation avec le CT-scanner du 15.12.2018, on note un status post sternotomie avec cerclages intacts et plusieurs clips en projection de l'aorte ascendante et de la silhouette cardiaque. Calcifications anévrismales de l'aorte ascendante. Déroulement de l'aorte descendante. Pas de signe de décompensation cardiaque. Cœur de volume dans les limites supérieures de la norme. Pas d'épanchement pleural. Actuellement, pas de pneumothorax. Remaniement costal de la 5ème côte postérieure gauche. Cunéiformisation à priori de D12-D9 et D4. ECG d'entrée : RSR à 79 bpm, espace PR de 150 ms, QRS de 100 ms normo-axé à -17°. Présence de signe de surcharge ventriculaire avec un indice de Sokolow de 4.66 mV. ECG de sortie : RSR à 79 bpm, bloc AV de 1er degré avec espace PR de 216 ms, QRS fin de 96 ms, axe -16°. HVG avec surcharge systolique (Sokolov 46 mm). Ondes T négatives en aVL, V5-V6. QTc 447 ms. Holter du 07.01.2019 : le rythme de base est sinusal. Enregistrement démontrant une irritabilité supraventriculaire modérée (ESSV > 15/h) sans caractère péjoratif. Un épisode de rythme idioventriculaire non soutenu à 110 bpm (4 battements). Adaptation du traitement par bétabloqueur. Épreuve d'effort du 14.01.2019 : épreuve d'effort sous traitement arrêté pour atteinte de la limite de la tolérance des membres inférieurs. 76% de la CPF sont atteints ; absence d'arythmie, de modifications ECG et clinique négatif pour cette charge de travail. Profil TA bien contrôlé sous la thérapie actuelle. Le patient n'atteint pas 170 mmHg de maximal.Mesure de la TA sur 24h le 15.01.2019 : profil TA normal pendant la journée, légère augmentation en fin de nuit ; effet dipper présent (TAs systolique minimale 88 mmHg - maximale 144 mmHg, moyenne systolique 118 mmHg. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 120 m, FC repos 83 bpm, FC fin 53 bpm, TA repos 120/78 mmHg, TA fin 124/75 mmHg, BORG 4-5/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 400 m, FC repos 78 bpm, FC fin 95 bpm, FC récup 88 bpm, TA repos 132/88 mmHg, TA fin 167/77 mmHg. Laboratoire : cf copies en annexe. RX thorax du 07.12.2018 : cœur de volume dans la norme sans signe de décompensation. Hile vasculaire, non agrandi. Absence de foyer parenchymateux systématisé décelable. Lésions dégénératives des articulations chondrocostales I. Squelette visible sans particularité. ECG d'entrée (07.12.2018) : RSR à 81/min, PR à 178 ms, QRS 96 ms avec axe à -26°, onde Q avec ondes T négatives en inférieur (D2-D3 VF). QTc à 433 ms. ECG de sortie (20.12.2018) : RSR à 87/min, PR à 164 ms, QRS à 90 ms avec axe à -30°, onde Q avec ondes T négatives en inférieur (D2-D3 VF). QTc à 429 ms. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 330 m, FC repos 83 bpm, FC fin 87 bpm, TA repos 103/69 mmHg, TA fin 102/77 mmHg, BORG 2/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 440 m, FC repos 79 bpm, FC fin 100 bpm, TA repos 100/71 mmHg, TA fin 110/68 mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. RX thorax le 06.12.2018 : épanchement pleural D avec des remaniements pleuro-parenchymateux. On visualise également un niveau hydro-aérique rétrocardiaque D à mettre en relation avec l'intervention connue au niveau de l'œsophage (tubulisation de l'estomac avec bulle aérique à ce niveau ?). On retrouve le status post sternotomie pour remplacement de la valve aortique et pontage aorto-coronarien. La plage pulmonaire G est sp. Clips chirurgicaux en projection de l'hypocondre G à confronter avec les antécédents du patient ainsi qu'omarthrose D. ECG d'entrée : RSR à 104 bpm, onde P à 100 ms. Espace PR à 172 ms. QRS fins normoaxés. QTc 437 ms. Indice de Sokolow à 3.4 mV compatible avec une hypertrophie du ventricule gauche. ECG de sortie : RSR à 90 bpm, onde P de 104 ms, espace PR de 166 ms. QRS fins avec un axe de 61°. QTc de 440 ms. Indice de Sokolow de 2.62 mV. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 430 m, FC repos 108 bpm, FC fin 124 bpm, FC récup 124 bpm, TA repos 129/81 mmHg, TA fin 129/70 mmHg, BORG 2/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 480 m, FC repos 89 bpm, FC fin 112 bpm, FC récup 104 bpm, TA repos 105/67 mmHg, TA fin 144/73 mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. RX thorax le 06.12.2018 : examen est superposable au comparatif du 12.11.2018 avec notamment un petit infiltrat micronodulaire bilatéral diffus, à confronter avec les antécédents du patient (varicelle ?). Pour mémoire, spondylarthrose dorsale marquée. ECG d'entrée : RSR à 87 bpm, onde P à 108 ms, espace PR de 148 ms, QRS fins avec axe dévié à -40° compatible avec un hémibloc antérieur gauche. QTc 415 ms. Sokolow à 2.25 mV. ECG de sortie : RSR à 63 bpm, onde P à 114 ms, espace PR de 164 ms, QRS fins avec un axe dévié à gauche compatible avec un hémibloc antérieur gauche. QTc 423 ms. Sokolow à 1.86 mV. Epreuve d'effort le 19.12.2018 : EE arrêtée pour atteinte de la limite musculo-respiratoire. EE sous-maximale et négative sur les plans clinique, électrique et rythmique. Bonne adaptation hémodynamique globale avec tension artérielle à tendance basse. Bonne récupération. Echocardiographie le 19.12.2018 : épanchement péricardique postérieur résiduel. OG et VG : limite supérieure en volume. Hypokinésie basale et moyenne inféro-latérale relative à modérée. FEVG à 49%. Dysfonction diastolique de type 2. VCI non dilatée et compliante aux mouvements respiratoires. Pas de vice valvulaire. Pas de CIA, pas de CIV. Holter le 10.12.2018 : nombre significatif d'extrasystoles ventriculaires monofocales et monomorphes (14% des QRS), avec bigéminisme. Holter le 19.12.2018 (après modification thérapeutique) : ectopie ventriculaire monomorphe moins fréquente en nombre, avec bigéminisme (8% des QRS). Laboratoire : cf copies en annexes. ECG du 28.11.2018 : rythme électro-entrainé à 80/min, un fond de FA normocarde. ECG du 24.12.2018 : rythme électro-entrainé à 85/min, un fond de FA normocarde. Radiographie du thorax du 29.11.2018 : par rapport au comparatif du 06.11.2018, on constate le status nouveau après plastie mitrale et tricuspide. Pour le reste, l'examen est superposable avec notamment une cardiomégalie ainsi qu'un pacemaker unicaméral en position pectorale gauche. Pas de foyer, d'infiltrat, ni d'épanchement pleural. Holter du 13.12.2018 : bon fonctionnement du stimulateur cardiaque (électro-entrainement ventriculaire sur fond de fibrillation auriculaire chronique). Alternance de QRS propres et électrostimulés (pas de complexe de fusion). Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 270 m, FC repos 94 bpm, FC fin 100 bpm, TA repos 135/69 mmHg, TA fin 155/75 mmHg, BORG 6/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 340 m, FC repos 89 bpm, FC fin 99 bpm, TA repos 127/73 mmHg, BORG 5/10. Laboratoire : cf. dossier. ECG à l'entrée : sus-décalages de 1 mm et de 2 mm respectivement en III et aVF. RX thorax (en chambre) du 27.12.2018 : absence d'un bon inspirium. Pseudo-élargissement de la silhouette cardio-médiastinale. Pseudo-épaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire. Laboratoire : cf impressions. Hémoculture positive le 09, le 10, le 15.01.2019 pour S. aureus. Culture d'urines : pas de germe. Analyse de selles (PCR multiplex) : négative. Rx thorax le 09.01.2019 : pas de consolidation pulmonaire pouvant parler pour un foyer infectieux. Pas d'épanchement pleural. On retrouve un status post-mise en place d'un pace/défi le tout d'aspect inchangé. Silhouette cardiomédiastinale superposable. Calcification à proximité de l'insertion du muscle sus-épineux à gauche parlant pour une tendinite à hydroxyapatite. CT-scan thoraco-abdominal natif le 09.01.2019 : compte tenu d'un examen natif, pas d'argument en faveur d'un foyer pulmonaire ou abdominal. Pas de dilatation des systèmes excréteurs. Status post-mise en place d'un pacemaker et calcifications coronariennes. Calcul calcifié supra-centimétrique connu dans la lumière vésicale. Echocardiographie transthoracique le 10.01.2019 : dilatation importante du ventricule gauche d'origine ischémique avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 20 % (méthode de Simpson). Cardiomyopathie hypertrophique homogène. Aorte normale. Surface aortique à 1,71 cm² (0,87 cm²/m²). Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale sévère (grade 3/3) ischémique. SOR de l'IM à 0,3 cm². Oreillette gauche très dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP (PAPs à 26 mmHg). Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. L'examen montre une FEVG toujours effondrée d'un VG bien dilaté. Il n'y a pas d'argument franc pour une endocardite, mais étant donné une valve aortique remaniée, cette dernière ne peut formellement pas être exclue. L'IM est secondaire à la dilatation et, avec une SOR à 0,3 cm², par définition sévère. Echocardiographie transoesophagienne le 11.01.2019 : dilatation importante du ventricule gauche d'origine ischémique avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 20 % (méthode de Simpson). Cardiomyopathie hypertrophique homogène. Aorte normale. Absence de rétrécissement aortique. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale modérée à moyenne (grade 2 à 3/4) ischémique. Oreillette gauche très dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP (PAPs à 26 mmHg). Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. L'examen du jour ne montre pas d'image franche d'endocardite (absence de végétation valvulaire ou au niveau des sondes de la CRT, ni abcès). Absence d'évidence également pour une valvulopathie significative outre que l'IM secondaire qui apparaît légère sous sédation (TAsys 90 mmHg).PET-CT le 16.01.2019 : Mise en évidence de multiples hypercaptations pulmonaires bilatérales ouvrant le diagnostic différentiel entre une origine infectieuse et métastatique. Mise en évidence d'une hypercaptation en regard de l'épaule droite, d'origine très probablement inflammatoire. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte. Laboratoire : cfr annexes. ECG : cfr annexes. RX du thorax : cfr ci-dessous. Antalgie par Dafalgan, Brufen, Sirdalud, Tramal. Contrôle chez le médecin traitant dans 5-7 jours. Arrêt de travail. Laboratoire : cfr annexes. RX du thorax face/profil : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. Hypoventilation bibasale (Dr. X). Laboratoire : cfr annexes. Avis et passage de Dr. X, chirurgien. Bladder scan 400 ml puis 12 ml en fin de séjour. Rinçage et évacuation de 850 ml, rouge-bordeaux avec caillots. Clair à la fin. Avis de Dr. X : retour au foyer sur souhait du patient. Avis de Dr. X, chef de clinique : 2 mg de Konakion iv. Appel à Dr. X, urologue, demain par le Foyer. Adaptation du Sintrom et contrôle INR au plus tard vendredi. Consultation si péjoration clinique. Laboratoire : cfr annexes. ECG : cfr annexes. RX de thorax : cfr ci-dessous. Avis et passage de Dr. X, chef de clinique. Avis de Dr. X, son pneumologue : absent. Fax de la dernière consultation spécialisée. Co-Amoxicilline 625 mg 3x/j pour 5 jours. Traitement symptomatique. Consultation chez son médecin traitant le 21.01.2019. Consultation avant si péjoration clinique. Consultation chez son pneumologue le 20.02.2019. Laboratoire : cfr annexes. ECG : cfr annexes. RX abdominale : cfr ci-dessous. Laxatif. Laboratoire : cfr annexes. RX de thorax face/profil. Traitement symptomatique. Laboratoire : cfr annexes. RX du coude gauche : cfr ci-dessous. CT du coude gauche : cfr ci-dessous. Plâtre BAB fendu. RX post-plâtre : cfr ci-dessous. Contrôle en policlinique d'orthopédie à une semaine. Consultation avant si péjoration clinique. Arrêt de travail. Laboratoire : CK normal, Lc normal, CRP 12 mg/L, formule alignée, pas de trouble électrolytique. Sédiment urinaire : Leucocyturie, nitrites et bactéries. Nitrofurantoïne du 05.01 au 09.01.2019. Ceftriaxone 2g IV du 09.01.2019 au 11.01.2019 puis relais per os par Co-amoxicilline 1g 2X/J du 12.01.2019 au 15.01.2019 pour une durée totale de 7 jours. Laboratoire : CK 192 U/l, CK-MB norme, troponine T hs H0 19 ng/l, H1 20 ng/l, H3 XXX NT-proBNP 637 ng/l, pas de franc syndrome inflammatoire. Gazométrie artérielle : Insuffisance respiratoire partielle avec rétention relative de CO2 (pH 7.41, pO2 6.7 kPa, pCO2 5.5 kPa, bicarbonate 26 mmol/l). ECG. Rx thorax ap/lat : comparable au comparatif, épaississement bronchique diffus, pas d'épanchement ni d'infiltrat, pas de pneumothorax. Aux urgences : 5x inhalation bronchoinhalative avec Atrovent et Ventolin, 125 mg Solu-Medrol i.v., ventilation non-invasive (VNI). Laboratoire : Clostridium difficile négatif le 23.10.2016. Ad traitement symptomatique. Laboratoire : créatinine 152 umol/l, clearance CKD-EPI 32 ml/min. Laboratoire : créatinine 182 micromol/L. Laboratoire : créatinine 257 umol/l, clearance selon MDRD à 23 ml/min. Laboratoire : CRP < 5 ; D-dimères 256, explication donnée par le médecin. Laboratoire : CRP < 5 mg/l, leucocytes 15 G/l, créatinine 257 umol/l. Sédiment urinaire : purée de leucocytes, érythrocytes 6-10/champ, nitrite nég. CT abdominal natif (Dr. X, rapport téléphonique) : calcul radiodense uretère lombaire proximale mesuré à 7x7x8 mm, dilatation pyélocalicielle avec pyélon 28 mm, pas de rupture de fornix, infiltration graisse périrénale. Aux urgences : Dafalgan 1 g, morphine 10 mg i.v., Temgesic 0.2 mg p.o., Fentanyl 50mg i.v. Avis chirurgical (Dr. X). Attitude • Hospitalisation en chirurgie • Ciproxine 250mg 2x/j p.o. • Pister laboratoire de contrôle 03.12.2018 • Numéro de la fille pour traduction si nécessaire : Mme. Y 076 683 76 76. Laboratoire : CRP à 127 mg/l, leucocytes à 11 G/l, Na à 119 mmol/l, urée à 10 mmol/l, créatinine à 73 µmol/l. Cf. annexes. ECG : cf. annexes. RSR à 100 bpm, PR à 208 ms, QRS dans la norme avec un axe à 90°, QTc à 430 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V3, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. Sédiment urinaire : cf. annexes. Pas d'infection urinaire. Radiographie du thorax face : cœur de taille dans les limites de la norme en tenant compte de la position couchée avec des calcifications aortiques. Calcifications chondrocostales, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Omarthrose bilatérale prédominant du côté droit. Scoliose sinistro-convexe lombaire. (Dr. X). Laboratoire : CRP à 23, leucocytes à 10.5. Rx thorax : pas de foyer mis en évidence. US pulmonaire et abdominal : Gazométrie. Aérosols avec Ventolin/Atrovent aux urgences. Hospitalisation en médecine. Laboratoire : • CRP à 38, Lc 5.7. Hémocultures périphériques et centrales : à suivre. Sédiment urinaire : à effectuer. Consilium infectiologique (Dr. X) : Essai préservation PAC avec Ttt de Daptomycine et verrou de Vancomycine. Attitude : • Hospitalisation en médecine pour traitement antibiotique IV. • Daptomycine 500 mg 1x/j (PAC), puis verrou de Vancomycine pour 24h. • Suivi clinique et biologique. Laboratoire : CRP à 66, leucocytes à 28. US aux urgences : appendice non visualisé, sludge de la vésicule (calcul connu). CT-Scan abdominal : inflammation de l'appendice. Antalgie aux urgences : Paracétamol 1 g, Irfen 400 mg, Novalgin 1 g i.v. Avis chirurgie (Dr. X) : • Rocéphine/Flagyl avant l'intervention. • Appendicectomie ce jour. • Hospitalisation en chirurgie. Laboratoire : CRP à 8 mg/l, sans leucocytose. Analyses urinaires. Poursuite de la Ciprofloxacine 500 mg 2x/j. pour 7 jours. Laboratoire : CRP à 8 mg/l, sans leucocytose. Echographie ciblée vasculaire (Dr. X) : œdème sous-cutané, hématome inguinal droit, pas de saignement actif, pas de signe indirect d'abcédation. Crème Hemeran localement. Laboratoire : CRP à 92, leucocytes à 11.4. RX thorax : bronchogramme sans mise en évidence de foyer. Co-Amoxicilline 2.2 g i.v. reçu aux urgences. Antigène urinaire envoyé. Hospitalisation en médecine. Laboratoire : CRP 10 mg/l, leucocytes 11.2 G/l, crase sans particularité. RX du coude gauche : rapports articulaires physiologiques. Épanchements intra-articulaires avec fat pad antérieur. Sur l'incidence de face comme sur l'incidence de profil, petite irrégularité du bord de la tête radiale à corréler à la clinique. Doute sur la présence d'un petit fragment osseux dans l'interligne radio-capitellaire. En cas de doute sur une fracture, un scanner doit être réalisé. 2ème cliché : examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé. Par rapport au comparatif du même jour, on ne visualise pas de déplacement secondaire de la fracture connue de la tête radiale qui n'est toutefois pas visualisée (Dr. X).CT du coude gauche : interruption de la corticale osseuse de la tête radiale réalisant l'aspect décroché cortical pouvant cadrer avec une fracture Mason I. Pas d'anomalie significative visible des autres structures osseuses. Les rapports anatomiques et articulaires sont conservés. Composante d'hémarthrose. Fine structure calcifiée infra-centimétrique nodulaire au niveau de l'interligne articulaire huméro-radial d'allure ancienne. CONCLUSION : aspect pouvant cadrer avec une fracture Mason I (Dr. X). Laboratoire : CRP 11 mg/l, Lc 11.8 G/l, tests hépato-pancréatiques normaux, Trop H0: 9 ng/l, Trop H1: 9 ng/l. ECG : pas de sus-décalage ST, reste normal. US abdominal au lit du malade (Dr. X) : examen limité par une mauvaise échogénéicité, pas de lithiase, pas de dilatation des voies hépatiques, pas d'épanchement péritonéal, aorte de diamètre normal. Pantoprazol 40 mg. Antalgie. Laboratoire : CRP 123 mg/l, leuco 11.3 G/l. 2 paires d'hémoculture : Pseudomonas aeruginosa multisensible. Sédiment urinaire : propre, urocult stérile. Culture venflon le 30.11.2018 positive pour un Pseudomonas aeruginosa multisensible, probable contaminant. Frottis écoulement plaie le 30.11.2018 : négatifs. Biopsie plaie peropératoire le 07.12.2018 : négatif. US ciblé (Dr. X) le 28.11.2018 : pas de globe urinaire, pas d'épanchement pleural. RX thorax le 29.11.2018 : suspicion foyer gauche. CT thoraco-abdo 29.11.2018 : pas de foyer infectieux pulmonaire ni abdominal, hématome glutéal D autour du foyer de fracture sans saignement actif. Avis infectiologique (Dr. X) : antibiothérapie, révision de plaie dans un 2ème temps. Avis orthopédique : révision plaie le 07.12.2018 (Dr. X), suivi à 6 semaines au Team Hanche. Avis anesthésique. Co-Amoxicilline iv du 28.11 au 29.11.2018. Cefepime iv du 29.11 au 06.12.2018. Ciproxine po du 06.12.2018 au 05.03.2019. Laboratoire : CRP 124 mg/L, Leucocyte 29.9 G/L. Hémocultures : 2/4 + pour Staphylocoques epidermidis le 19.01.2019. Hémocultures le 22.01.2019 : négative à 5 jours. C. difficile : négatif. Urotube : 10E3, contaminant. CT cérébral et thoracique le 19.01.2019 : présence de foyers de condensation dans le lobe inférieur gauche, compatible avec une origine infectieuse. Avis infectiologique (Dr. X) : bactériémie sans foyer, DD contexte arrachage VVP/VVC, proposition de stopper le Tazobac, refaire des hémocultures à froid à la recherche d'une décharge persistante de S. epidermidis (endocardite etc). En cas d'état fébrile, hémoculture et réévaluer le patient. Dose unique de Vancomycine le 20.01.2019. Tazobac du 19.01 au 21.01.2019. Attitude : • suivi clinique. Laboratoire : CRP 15 mg/l, leucocytes dans la norme. Contrôle orthopédique (Dr. X) : évolution favorable du site de la morsure au niveau du 4ème doigt de la main droite, rougeur et tuméfaction en nette diminution, pas d'écoulement. Attitude : • contrôle clinique (pas de laboratoire) au secteur ambulatoire des urgences le 25.01.2019. • évaluer poursuite de l'antibiothérapie. Laboratoire : CRP 18 mg/l, leucocytes dans la norme. Contrôle orthopédique (Dr. X) : petite incision locale au niveau du site de la morsure au niveau du 4ème doigt de la main droite et évacuation d'une petite quantité de pus, pansement. Contrôle clinique et laboratoire secteur ambulatoire des urgences le 23.01.2019 à 13h (prise de sang à 12h). Laboratoire : CRP 188 mg/l, leucocytes 18.3 G/l, déviation gauche avec 14.5% de bâtonnets. ECG. Hémocultures : en cours. CT abdominal injecté (Dr. X, rapport oral) : sigmoïdite segmentaire, avec quelques bulles extraluminales infra-centrimétriques péri-sigmoïdiennes. Aux urgences : Rocéphine 2 g i.v., Flagyl 500 mg i.v., NaCl 1000 ml i.v., Dafalgan 1 g p.o. Culture de selles à faire. Traitement conservateur avec Rocéphine, Flagyl, antalgie simple. Restriction hydrique à 500 ml/jour. Merci d'organiser une colonoscopie dans 6 semaines. Laboratoire : CRP 23 mg/l, leucocytes 5.8 G/l, le reste sans particularité. ECG : rythme sinusal et régulier à 80/min, axe QRS à 10*, PR 160 ms, QRS 80 ms, QTc 464 ms, segment ST iso-électrique, onde T physiologique. RX de thorax face/profil : par rapport au comparatif du 13.07.2016, on retrouve de multiples épaississements bronchiques avec une désorganisation de la trame broncho-vasculaire et un aplatissement des coupoles diaphragmatiques dans le cadre de la BPCO connue, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural d'apparition nouvelle. Silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme (Dr. X). Laboratoire : CRP 250 mg/l, leucocytose à 15.6 G/l. Sédiment urinaire : propre. Uricult : _______. 1 paire d'hémocultures à froid : en cours. Gazométrie : sans particularités. Rx thoracique du 02.01.19 : densification plage pulmonaire à droite. CT-scan thoracique du 02.01.19 : fins épanchements bilatéraux (n'expliquant pas la CRP), pas de foyer, nodule de 7 mm LIG nécessitant un contrôle, petite infiltration de la graisse sous-cutanée au niveau thoracique sans collection. US abdominal de débrouillage FAST (Dr. X) : épanchements pleuraux bilatéraux, pas de liquide libre. Aux urgences : Pantozol 40 mg i.v., Tazobac 4500 mg i.v., 3000 ml NaCl i.v. Attitude : • hospitalisation en médecine interne. Laboratoire : CRP 28, Lc 6.0. Pas d'élévation des valeurs hépatiques. Laboratoire : CRP 34 mg/l, leucocytes 9.3 G/l. Rx main gauche : pas de fracture. Ultrason des gaines des fléchisseurs (Dr. X, rapport téléphonique) : pas de collection, pas de communication avec les structures articulaires ou musculaires. Avis orthopédique (Dr. X). Antalgie. Co-Amoxi 3x1 g/jour. Hospitalisation à jeun en orthopédie avec opération prévue cette nuit. Laboratoire : CRP 34 mg/l, leucocytes 12.5 G/l, K 3.1 mmol/l, Na 131 mmol/l. Frottis naso-pharynx gauche : en cours. Laboratoire : CRP 36, leucocytes 3.5 G/l. Radiographie de thorax : pas de foyer mis en évidence, pas d'épanchement. Attitude : • contrôle biologique et clinique dans 3 jours au secteur ambulatoire des urgences. • compléter documentation avec image du CT scan thoracique effectué cette année (CD amené par le patient). • ad consultation en pneumologie (consilium demandé). • traitement symptomatique à continuer. Laboratoire : CRP 36 mg/l, Lc 9.5 G/l. Radiographie thorax : pas de franc foyer, signes de surcharge cardiaque non décompensée. Laboratoire : CRP 41 mg/l, leucocytes 8.7 G/l, D-dimères 190 ng/ml. 2 paires d'hémocultures à froid : en cours. Radiographie du thorax ap/lat : pas d'infiltrat franc. ECG : rythme sinusal régulier à 88/min, axe normal, pas de sur- ou sous-décalage ST. Antalgie simple avec Dafalgan, Novalgine, Brufen et Tramal. Codicalm 3x/jour. Laboratoire : CRP 41 mg/l, leucocytes 8.7 G/l, D-dimères 190 ng/ml. 2 paires d'hémocultures à froid : en cours. Radiographie thorax ap/lat : pas d'infiltrat franc. ECG : rythme sinusal régulier à 88/min, axe normal, pas de sur- ou sous-décalage ST. Antalgie simple avec Dafalgan, Novalgine, Brufen et Tramal. Codicalm 3x/jour. Le 23.01.2019. Laboratoire : CRP 43 mg/l, leucocytes 8.2 G/l. Continuation de l'antalgie au dosage prescrit, avec des patchs flector Tissugel. Laboratoire : CRP 43, pas de leucocytose. US abdominal : appendice de 7 mm, pas de perforation, pas de liquide libre, McBurney + à la sonde. Avis chirurgical : indication chirurgicale. Stix urinaire : 3 croix de cétone et prot. test grossesse : négatif. • Rocéphine 2 g iv. • Métronidazole 500 mg iv. • NaCl 1000/24 h. Prise en charge chirurgicale. Laboratoire : CRP <5, Lc 11.5. Laboratoire : CRP <5, Lc 11.5. Antalgie. Laboratoire : CRP <5 mg/l, K 3.4 mmol/l, formule dans la norme. Laboratoire : CRP 53, Lc 13.6.RX thorax : minime épanchement pleural G, pas de foyer constitué Ag legionnelle : en cours Gazométrie : pH 7.46, pO2 8 kPa, pCO2 4.4 kPa, SO2 92% à air ambiant ECG : tachycardie sinusale à 116/min, axe QRS normal, pas de BAV, transition tardive onde R en V6, pas de S1Q3, ni retard droit Oxygénothérapie au besoin Physiothérapie respiratoire Co-Amoxi 2.2 gr 3x/j du 06.01 au 11.01.2019 Laboratoire : CRP 53mg/L (pic de CRP à 177mg/L le 09.01), Leucocytose à 13.6 G/L Gazométrie : pH 7.46, pO2 8 kPa, pCO2 4.4 kPa, SO2 92% à air ambiant ECG : tachycardie sinusale à 116/min, axe QRS normal, pas de BAV, transition tardive onde R en V6, pas de S1Q3, ni retard droit Score de Wells 1.5 pts, Genève pour EP 1pts (2%) le 06.01.19 Antigènes urinaires (Pneumocoque et Légionelle) : négatifs Hémocultures du 09.01.19 : négatives Radiographie du thorax : Opacité périphérique du LSD et opacité rétrocardiaque mal délimitée, les deux pouvant parler pour des foyers infectieux. Epanchement pleural de faible quantité à gauche. Amélioration de l'épanchement à la radiographie de suivi du 08.01.19 Oxygénothérapie au besoin Physiothérapie respiratoire Céfuroxime du 04 au 06.01.2019 (en ambulatoire) Co-Amoxi 2.2g 3x/j du 06.01 au 11.01.2019 inclus Clarithromycine 500mg 2x/j du 10.01 au 11.01.2019 inclus Lévofloxacine 500mg 1x/j du 12.01 au 16.01.19 inclus Laboratoire : CRP 55, Lc 33.9 (déviation gauche), BNP 77 ECG : rythme sinusal régulier rapide à 140 btm, QRS fin, d'axe normal, pas de trouble de la repolarisation. Gazométrie artérielle 1 paire d'hémocultures le 03.01.2019 Négative Ag urinaire Legionnelle Négatif Rx thorax : pas de foyer Magnésium 2 g aux urgences Hydratation 1000 ml aux urgences Aérosol 4x/j avec Atrovent et Ventolin, diminués progressivement sur le séjour Prednisone 50 mg du 3.01.2018 au 6.01.2018 Pipéracilline Tazobactam 4,5 mg 2x/j du 03.01 au 10.01.2019 Physiothérapie respiratoire Refus par le patient d'une réadaptation cardio-pulmonaire Laboratoire : CRP 55 mg/L, Leucocytes 11 G/L Hémocultures : négatives Urotube : négatif Radiographie de thorax du 24.01.2019 : pas de foyer clair Tazobac du 24.01 au 27.01.2019 Dose unique de Vancomycine le 27.01.2019 Attitude : • suivi clinico biologique • fenêtre thérapeutique dès le 29.01.2019 Laboratoire : CRP 57 ng/L, Leucocytes 6.2 G/l Gazométrie du 04.01.2019 : pH 7.44, pCO2 5.7 kPa, pO2 5.6 kPa, bicarbonates 28 mmol/L Gazométrie du 16.01.2019 (sous 4 L d'O2) : pH 7.40, pCO2 5.9 kPa, pO2 10.3 kPa, bicarbonates 27 mmol/L, 1.8 mmol/l Gazométrie du 16.01.2019 (sous 2 L d'O2) : pH 7.46, pCO2 5.2 kPa, pO2 7.3 kPa, bicarbonates 27 mmol/L, 1.1 mmol/l Radiographie du thorax le 04.01.2019 : légère augmentation d'un épanchement pleural bi-basal, prédominant à droite. Augmentation de la trame pulmonaire avec épaississement bronchique des deux côtés, compatible avec un tableau de BPCO exacerbée. Absence de foyer constitué. Aérosols par Ventolin + Atrovent, poursuite du traitement habituel de BPCO Patch de nicotine Avis Dr. X : adaptation de l'oxygénothérapie en fonction gazométrie (3L/min), mise en place concentrateur portable par la ligue pulmonaire. Attitude : • mise en place concentrateur à oxygène portable, augmentation du débit de base à 3L d'O2/min • sevrage tabac intra-hospitalier, patient désirant le poursuivre en ambulatoire. Laboratoire : CRP 7mg/l, pas de leucocytose, reste sp. Sédiment urinaire : cf. annexes. Leucocyturie et une croix de flore bactérienne. Culture urinaire : cf. annexes. Laboratoire : CRP 8 mg/l, leucocytes 19.1 G/l. Sédiment urinaire : pas d'hématurie, pas de leucocyturie, nitrite nég., protéines nég. Ultrason abdominal (Dr. X) : pas d'appendice visualisée, quelques adénomégalies, pas de liquide libre. Consilium gynécologique (ultrason intra-vaginal) : pas de liquide libre dans le Douglas, grossesse intra-utérine normale, prélèvement intra-vaginal mais pas de signe d'infection, ovaires sans particularités. Attitude : • retour à domicile avec antalgie Dafalgan et Irfen • contrôle biologique et clinique au secteur ambulatoire des urgences le 04.01.2019 • si péjoration des symptômes ou augmentation du syndrome inflammatoire refaire un ultrason abdominal à la recherche d'appendicite, et éventuellement ad consilium urologique. Laboratoire : CRP 92, Lc 11.4 Gazométrie : pO2 9.1 kPa, pCO2 3.9 kPa, bic 22, SO2 96% RX thorax : bronchogramme sans mise en évidence de foyer Antigènes urinaires négatif Co-Amoxicilline 2.2 g IV reçu aux urgences Co-amoxicilline 1.2 g IV 04.01 au 07.01.2019 Co-amoxicilline 1 g per os du 08.01 au 10.01.2019 pour une durée totale de 7 jours Laboratoire : CRP <5, Lc 10.4, Hb 146, tests hépatiques/ choléstase et lipase dans la norme. Analyses urinaires : flore+++, pas de leucocyte, pas de nitrite, pas de sang (uricult en cours) Laboratoire : CRP >5, TSH dans la norme, VS dans la norme Mis en suspens d'Atorvastatine, introduit le jour de son hospitalisation à la place de la Simvastatine Avis infectiologique Laboratoire : • D Dimère nég, Pro BNP nég Attitude : • Pister résultat pneumologie • Physiothérapie respiratoire • ETT +/- coro Laboratoire : dans la norme. Laboratoire : dans la norme. Cf. annexes. Radiographie du thorax face/profil : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. (Dr. X). Laboratoire : dans la norme. Cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Hématurie (mais règles en cours). CT-scan de l'abdomen natif et injecté : examen réalisé avant et après injection de 100 ml de Iomeron 400. Abdomen : foie de morphologie, de taille et de densité normale. Pas de dilatation des voies biliaires intra et extrahépatiques. Mise en évidence d'un calcul cholestérolique dans la vésicule biliaire. Ses branches sont normalement opacifiées. Le pancréas, la rate et les surrénales se présentent normalement. Les reins sont de morphologie normale sans dilatation du système excréteur. L'utérus est dysmorphique et présente de multiples lésions nodulaires se rehaussant en phase portale et certaines présentant des calcifications. Masse para-utérine gauche de 55 x 31 mm venant au contact de l'utérus et pouvant correspondre à un myome. L'ovaire droit n'est pas clairement visualisé, l'ovaire gauche est d'aspect normal 2 x 1,5 cm. Importante dilatation des veines utérines et ovariennes. Les anses intestinales se présentent normalement. Coprostase du cadre colique. Lame de liquide libre dans le petit bassin, en quantité physiologique. Pas de pneumopéritoine. Pas d'adénopathie rétropéritonéale, mésentérique ou de la région cœliaque. L'aorte abdominale et ses axes sont normalement opacifiés. Les quelques coupes passant par les bases pulmonaires ne démontrent pas de lésion suspecte. Au sein du volume osseux exploré, pas de lésion ostéolytique ou ostéocondensante. Angiome des bras le de D12. CONCLUSION : pas de néphrolithiase mise en évidence. Syndrome de congestion pelvienne connu, associé à un utérus dysmorphique au sein duquel on met en évidence des masses intra-utérines d'origine probablement myomateuse à corréler au dossier de la patiente ou à une IRM. Masse para-utérine gauche pouvant correspondre à un myome pédiculé. Vésicule biliaire lithiasique. (Dr. X). Laboratoire : dans la norme, paracétamolémie dans les limites de non-toxicité. Cf. annexes. Laboratoire : dans la norme. Troponines H0 5ng/L, H1 4ng/L, H3 à 4ng/L. Cf. annexes. Radiothorax du thorax face/profil : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Petite désorganisation de la trame bronchovasculaire avec aplatissement des coupoles diaphragmatiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ou d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax visualisé. Fracture de l'arc latéral de la 6ème côte G. (Dr. X).Laboratoire : Ddimère = 3531, Troponine inf à 3 ECG US Ciblé = Dr. X Angio CT thoracique = Lame épanchement pleural gauche de 53 mm avec atelectasie complète du poumon en base gauche. Pas d'embolie pulmonaire, infiltration de la graisse péricardique et médiastinale. Ponction pleurale diagnostic et évacuatrice = Dr. X, Désinfection locale, champagne, ALR par LIDOCAINE 1%, ponction en une fois base pleurale gauche. Évacuation d'un liquide jaune brunâtre 750 ml post ponction. Analyse liquide pleural = en cours Contrôle radio post ponction = pas d'argument pour un pneumothorax CAT : • Hospitalisation en médecine pour investigation complémentaire à la recherche d'une étiologie Laboratoire : Ddimère 3000, BNP 7400 Gaz du sang artériel = Hypoxie à 9.9 mmHg sans hypercapnie sans modification du pH. ECG = sinusal régulier, pas de trouble de la conduction, onde T négative profonde en territoire antéro-latéral haut, pas de bloc de branche, hypertrophie ventriculaire gauche, microvoltage en D1, D2, D3, AVF, AVL. CT Thoracique avec injection = Embolie pulmonaire sous-segmentaire latéral lobe moyen, épanchement pleural bilatéraux avec atelectasie de contact. LASIX IV 40 mg CLEXANE 0.6 ml Stix et sédiment urinaire CAT : • Consilium cardiologie pour ETT (demandé) • Poursuivre diurétique avec relais per os Laboratoire : Ddimère 550 ng/ml US : Thrombophlébite de la veine petite saphène sur un segment d'environ 6 cm, près de l'abouchement dans la veine poplitée (à environ 1 cm). La grande veine saphène est perméable. Les veines fémorales superficielles, poplitées et du trépied jambier sont perméables à contenu anéchogène et compressibles (pas de thrombose veineuse profonde). Laboratoire : D-Dimères négatifs. ECG. US thoracique ciblé (Drs X et Y) : pas de pneumothorax, pas d'épanchement pleural. US vasculaire ciblé (Drs X et Y) : pas de thrombose veineuse proximale à l'échographie en 4 points. Disparition des douleurs lors de la surveillance aux urgences. Retour à domicile avec antalgie de premier palier. Laboratoire : D-Dimères négatifs, pas de syndrome inflammatoire, troponines négatives. ECG. US thoracique ciblé (Drs X et Y) : pas de pneumothorax, pas d'épanchement pleural. US cardiaque ciblé (Drs X et Y) : pas d'épanchement péricardique, pas de dilatation du ventricule droit, fonction du ventricule gauche d'allure conservée, veine cave collabée. US vasculaire ciblé (Drs X et Y) : pas de thrombose veineuse proximale à l'écho en 4 points. US abdominal ciblé (Drs X et Y) : pas d'anévrisme de l'aorte abdominale. Laboratoire : D-dimères non significatifs. US ciblé aux urgences (Dr. X) : veine poplitée compressible, veine fémorale compressible sur un long trajet au niveau de la jambe. Poursuite du port des bas de compression grade II que le patient a déjà. Consultation en angiologie la semaine prochaine avec un US des membres inférieurs. En cas de persistance, consultation chez le médecin traitant avec de possibles séances de physiothérapie à 6 semaines. Laboratoire : D-dimères 250 ng/ml US organisé le 28.01.19 avec contrôle médical Voltaren 25 mg 3x/jour, Voltarel gel localement Laboratoire : discret syndrome inflammatoire, Troponines H0 15 ng/l. H1 16 ng/l, H3 19 ng/l, BNP 878 ng/l ECG : tachycardie sinusale à 110/min. Ad consilium cardiologique à prendre Laboratoire : discret syndrome inflammatoire, Troponines H0 15 ng/l. H1 16 ng/l, H3 19 ng/l, BNP 878 ng/l Gazométrie artérielle ECG : tachycardie sinusale à 110/min. Radiographie de thorax : pas de franc foyer, pas de francs signes de surcharge Hémocultures en cours (2 paires) Culture d'expectoration en cours Frottis grippe en cours Ad Torasémide 5 mg 1x/jour Suivi du poids, créatinine et électrolytes quotidiennement avec adaptation du traitement diurétique en conséquence Ad oxygénothérapie Hospitalisation en médecine interne à Meyriez Laboratoire // ECG // Radio thorax US cardiaque transthoracique (Dr. X) Holter chez le médecin traitant le 17.01.2019 Adaptation bêtabloquant, introduction diurétique et poursuite IEC Laboratoire // ECG // Radiographie de thorax ETT, le 10.01.2019 Avis cardiologique (Dr. X) le 10.01.2019 Lasix IV du 17.01 au 23.01.2019 Augmentation du traitement diurétique par Torasémide 30 mg 1x/j Nouvelle radiographie du thorax, le 24.01.2019 Suivi du poids journalier (cible : 72-73 kg) avec contrôles électrolytiques et de la fonction rénale Traitement empirique donné en réserve : Métolazone 2.5 mg, 1x/j durant 3j si prise de >2 kg en 2 jours avec Consultation du Médecin traitant Laboratoire. ECG. RX thorax. Bilan nutritionnel. Test de la déglutition. Antibiothérapie prophylactique par Céfuroxime 1,5 g iv 1x/j du 18 au 19.12.2018 en vue de la pose de PEG. Pose de PEG le 18.12.2018 à l'HFR Fribourg. Nutrition entérale Isosource 500 ml/j sur 15 h dès le 19.12.2018. 1ère réfection et mobilisation de sonde le 24.12.2018 à 15h00 au E3 (HFR Fribourg) (0263061043) (Transport à organiser). Suivi neurologique par Dr. X (HFR Fribourg) le 15.03.2019 à 10h30. Laboratoire // ECG Sédiment urinaire Angio-CT cérébral le 16.01.2019 IRM cérébrale 18.01.2019 ETT du 17.01.2019 Aspirine dose de charge 250 mg aux urgences puis 100 mg/jour jusqu'au 21.01.2019 (relais par Xarelto) Lit strict 48h, 1er lever le 18.01.2019 // Test de déglutition dans la norme // Surveillance neurologique Sonde vésicale du 16.01.2019 au 17.01.2019 Bottes anti-thrombotiques jusqu'à l'introduction du Xarelto Physiothérapie, Ergothérapie Bilan neuropsychologique Bilan lipidique : LDL à 3.61 mmol/L et HbA1c à 5.5 % Atorvastatine et Xarelto 20 mg/jour Réhabilitation gériatrique à Meyrier Laboratoire // ECG Transit baryté le 09.01.2019 Consilium ORL le 10.01.2019 : hypertonie du muscle cricopharyngé sans répercussion fonctionnelle. Trouble à l'initiation de la déglutition. Lésion papillaire d'aspect bénin arcade dentaire sup. Poursuite du traitement d'insuline et suivi des glycémies Traitement anti-émétique en réserve Poursuite du Pantozol CT cérébro-thoraco-abdominal non injecté le 09.01.2019 CT cérébro-cervico-thoraco-abdominal injecté prévu en ambulatoire le 22.01.2019 (car artéfacts du transit baryté toujours présents sur l'ASP du 11.01.2019) Consultation en phoniatrie à prévoir en ambulatoire pour troubles de l'initiation de la déglutition Laboratoire : FeNa 0.06% Hydratation i.v. initiale puis traitement décompensation cardiaque Laboratoire : FeUrée 03.01.2019 : 41.0%, Fe Urée le 11.01.2019 : 34.3% Attitude : • adaptation des traitements diurétiques Laboratoire : formule sanguine dans la norme, CRP < 5. Sédiment urinaire : Leuco +++, Hb++, corps cétoniques +++, mais contradiction avec flore bactérienne négative, < 3 leuco/champ. Traitement symptomatique et antibiothérapie en dose unique. Arrêt de travail. Explications à la patiente de reconsulter le médecin traitant ou les urgences si péjoration de la symptomatologie à 48h. Laboratoire : formule sanguine simple alignée. Electrolytes et CRP dans la norme. Laboratoire / gazométrie / ECG / Hémocultures / Culture d'expectorations / Antigènes urinaires Oxygénothérapie Ventilation non invasive le 05.01.2019 Levofloxacine du 05.01 au 11.01.2019 Laboratoire // Gazométrie artérielle // Culture d'expectoration // Hémocultures Radiographie thorax ECG Avis infectiologique Aérosols de Ventolin et AtroventCo-Amoxicilline IV 1,2 g 4x/J (critères d'Anthonisen remplis) du 02.01 au 07.01.2019 Prednisone 40 mg pour 5 jours Physiothérapie respiratoire, pas d'indication à la VNI car rétention de CO2 stable Laboratoire // Gazométrie artérielle // ECG // Rx thorax Frottis grippe : influenza A positif Oxygénothérapie jusqu'au 23.01.2019 Aérosols de Ventolin et Atrovent Physiothérapie respiratoire Isolement respiratoire type gouttelettes du 18.01 au 21.01.2019 Tamiflu 30 mg 2x/j (adapté à la fonction rénale) du 19.01 au 24.01.2019 Fonctions pulmonaires à prévoir à distance (bilan BPCO) Laboratoire : Hb à 126, CRP <5. Anuscopie. Attitude : • Réassurance. • Suite chez le gastro-entérologue comme prévu à une semaine. Laboratoire : Hb 127 g/l. Cf. annexes. Laboratoire : Hb 185 g/l, absence de syndrome inflammatoire Avis gastro-entérologue (Dr. X) : Rocéphine 1x 2 g IV pendant 5 jours, OGD à prévoir. OGD 27.12.18 (Dr. X) : présence de lésions polyploïdes et d'ulcères Forrest III au niveau de l'antre gastrique, sans saignement actif. Muqueuse œdématiée en raison d'hypertension portale. Biopsies effectuées. Ad IPP 3x 40 mg, 2x 40 mg à la sortie. Biopsie antrale 27.12.18 (Dr. X) : pas d'H Pylori, pas de métaplasie intestinale ou de dysplasie ou de signe de malignité. Pas de granulome. Traitements : • Pantoprazole 1x 80 mg IV dose unique aux urgences • Pantoprazole 3x 40 mg PO pendant l'hospitalisation, à diminuer à 2x 40 mg à la sortie Suite : • Pister histologie, également avec recherche de H.pylori • Selon résultats histologiques, présenter Mr. Y au tumorboard. • OGD de contrôle le 05.02.2019 avec consultation pré-anesthésique le 28.01.2019 à 9h40 à l'HFR Laboratoire : HbA1c 24.09 à 9.6 Avis diabétologique le 21.09.2018 : suivi traitement et prescription insuline. Insuline selon prescription diabétologique Contrôle glycémique 4x/j Laboratoire : HbA1c 5.4 % Test de Schellong : normal ECG le 30.12.2018 CT cérébro-cervical le 30.12.2018 IRM cérébrale le 31.12.2018 Avis Neurochirurgie le 30.12.2018 (Dr. X) Avis Neurologie le 30.12.2018 (Dr. X) EEG le 03.01.2019 : pas de foyer épileptique Stop Aspirine, relais par Plavix Laboratoire : HbA1c à 7.3% Bilan lipidique : Cholestérol total 5.0 mmol/L, HDL 0.8 mmol/L, LDL 3.49 mmol/L, Triglycérides 2.15 mmol/L Sédiment urinaire : Albuminurie 159 mg/24h Suivi glycémique Avis diabétologique le 21.01.2019 : commencer avec du Trajenta 5 mg 1x/j jusqu'à correction de l'IRA, puis réévaluation du traitement et suivi à organiser par le médecin traitant Passage à la Metformin 2x 500 mg/j dès le 24.01.2019 > Prévoir un bilan ophtalmologique en ambulatoire Laboratoire // Hémoculture // Urotube Consilium infectiologique (Dr. X) Chirurgie : ablation du PAC le 23.01.2019 avec arrêt antibiothérapie Rendez-vous à l'HFR Fribourg avec Dr. X le 05.02.2019 à 14h30 : pour immunothérapie et réévaluer le besoin de poser un nouveau PAC selon état veineux de Mr. Y Laboratoire : Hémoglobine à 127 g/l, Leucocytes 13.3 G/l, Thrombocytes 147 G/l Hb post-partale : 113 g/l le 30.12.18 Groupe sanguin A +, AC irréguliers négatif le 28.12.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 18.12.2018 Sérologies : Toxo non-immune le 02.07.2018, CMV immune le 17.12.2012, Rubéole immune le 02.07.2018, VDRL négatif le 02.07.2018, HIV négatif le 21.10.2016, Varicelle positif Laboratoire : hémoglobine 89, MCV 60, ferritine 8. Laboratoire : H0 = 8, H = 9 ECG = sinusal régulier sans trouble de la conduction, sous décalage de 1 carreau en AVF et D2, sus décalage en V1 V2, pas de bloc de branche. Radiographie thoracique = pas de sd alvéolo-interstitiel, pas de foyer infectieux Avis Cardiologue = prise en charge par coronarographie de suite. Laboratoire : INR 1.0, TP 94 % ECG : fibrillation auriculaire nouvelle, bradycarde à 57/min, axe hypergauche, pas de sus- ou sous-décalages ST CT natif et injecté avec vaisseaux pré-cérébraux (Dr. X, rapport téléphonique) : AVC constitué territoire occipital droit (plage hypodense sur 4.8 cm), probablement petite occlusion en P3 de l'artère cérébrale postérieure droite, pas de saignement, signes de surcharge aux deux apex pulmonaires Avis neurologique (Dr. X) Aux urgences : 15 mg Xarelto Anticoagulation au Xarelto Début de thérapie avec atorvastatine Hospitalisation en stroke non monitoré, lit strict, tête à 30°, limites tensionnelles 220/120 mmHg IRM à organiser la semaine prochaine Laboratoire : INR 1.1, anti-Xa 56 ng/ml (en dessous de la norme), thrombocytes dans la norme Tamponnement au RhinoRapid Cautérisation à la bipolaire ; tache de Kiesselbach droite Application de Bloxang pendant 1 semaine, puis Bepanthen crème Laboratoire : Lc 10.4, Hb 146, Na 131, K 3.5, CRP <5, tests hépatiques et pancréatiques dans la norme. Sédiment urinaire en ordre. US : kyste ovarien gauche d'aspect hémorragique de 34 x 28 mm ovaire agrandi et d'aspect tuméfié, douleur au passage de la sonde, lame de liquide libre en regard de l'ovaire de 16x12 mm Laboratoire : Lc 4.7 G. CRP <5 mg/l. Créatinine 106 µmol/l, Na 138 mmol/l, K 4.0 mmol/l. Stix/sédiment urinaire : leucocytes 6-10/champ, nitrites négatifs, sang ++++. Uro-CT : calcul mesurant 5x6x10 mm au niveau de l'uretère lombaire gauche avec dilatation pyélocalicielle en amont, le pyélon mesurant 24 mm. Signes de souffrance rénale avec infiltration de la graisse. Petit calcul droit système caliciel inférieur, multiples lésions d'aspect kystique des deux côtés. Laboratoire : léger syndrome inflammatoire, pas de perturbation des tests hépatiques. Ultrason : pas d'argument pour cholécystite. Attitude : traitement symptomatique, contrôle laboratoire aux urgences à 24h. Laboratoire : léger syndrome inflammatoire Rx du thorax : sp • att Traitement symptomatique Rendez-vous de contrôle jeudi 17.01.2019 au CHUV Mr. Y a été instruit à reconsulter en cas de signes de gravité. Laboratoire : leuco à 14.7 (sans déviation G), INR à 2.2 2 paires d'hémocultures Culture de selles / recherche de Clostridium Sédiment urinaire ECG : superposable aux antécédents Gazométrie ____ Hospitalisation à Tafers Isolement de contact Hydratation aux urgences Attente des cultures de selles avant débuter l'antibiothérapie (tant que Mr. Y est stable) Si EF ou signes de choc septique -> appeler infectio garde (Dr. X) pour discuter choix AB iv Laboratoire : Leuco 11.1 G/l, CRP 26 mg/l ECG : rythme sinusal régulier sans trouble de la repolarisation Sédiment urinaire : leucocytes incomptables, nitrites + Urotube : Proteus mirabilis +++, sensible à Ciprofloxacine (médecin traitant) RX de thorax : pas de signe de foyer pulmonaire Rocéphine 2 g i.v. du 08.01 au 10.01.2019 Relais avec Ciprofloxacine 500 mg p.o. du 11.01 au 15.01.2019 Laboratoire : Leuco 19.4 G/l, CRP 204 mg/l Hémocultures à froid (2x2 paires) : négatives à 5 jours Sédiment urinaire : leucocytes 11-20/champ, nitrites négatifs. CT thoraco-abdominal le 08.01.2019 : pas de signe de foyer infectieux. Épanchement péricardique d'une épaisseur maximale de 17 mm. ECG 08.01.2019 : RSR, QRS fins, pas de signe d'ischémie aiguë. Troponines le 10.01.2019 : H0 86 ng/l, H1 76 ng/l Frottis grippe (Influenza A-B, RSV) : négatif ETT le 10.01.2019 (Dr. X) : FEVG à 60 %. Hypertrophie excentrique. Discrète lame d'épanchement péricardique. Épaississement intrapéricardique d'un diamètre maximal de 16 mm en regard de la paroi libre du VD composé de 2 couches d'échogénicité différentes. La première couche adjacente au VD est hyperéchogène (hypodense sur le CT) d'origine indéterminée. La deuxième couche est hypoéchogène (relativement hyperdense au CT) et correspond vraisemblablement à de la graisse. Avis radiologie le 11.01.2019 (Dr. X) : au vu de la progression de la masse rénale et du rehaussement des cavités droites sur le CT, les images pourraient correspondre à une péricardite carcinomateuse. Aspirine 1 g 2x/j du 11.01 au 18.01.2019 puis 1 g 1x/j du 19.01 au 25.01.2019 puis 500 g 1x/j du 26.01 au 01.02.2019. Rendez-vous le 12.02.2019 à 14h30 à l'HFR Fribourg chez le Dr. X pour contrôle échocardiographique. Laboratoire : leucocytes à 18.6 G/l, CRP <5 mg/l. Laboratoire : leucocytes 11.9 G/l, CRP 8 mg/l, reste dans la norme. Cf. annexes. Laboratoire : leucocytes 13 G/l ; bilan hépato-pancréatique négatif. Test de grossesse négatif. RX de thorax : silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat, ni d'épanchement pleural. Pas de pneumo-médiastin, ni d'air libre sous les coupoles diaphragmatiques. Laboratoire : leucocytes 23.7 G/l, CRP 36 mg/l, ASAT 252 U/l, ALAT 355 U/l, phosphat. alcaline 139 U/l, gamma-GT 357 U/l, bilirubine totale 65.7 umol/l, bilirubine directe 62.9 umol/l. Avis chirurgical (Dr. X). Aux urgences : titrage de morphine, Rocéphine 2 g i.v., Flagyl 500 mg i.v. Attitude : • Hospitalisation en chirurgie • À jeun • Rocéphine 2 g/24 h i.v., Flagyl 3x500 mg/jour • ERCP demandée • Laboratoire de contrôle le 19.01.2019. Laboratoire : leucocytose 17, CRP 9, lactate 3. CT abdominal : iléus sur hernie cicatricielle para-ombilicale gauche et possiblement médiane incarcérée en fosse iliaque gauche, collet 4 cm quelques anses grêles dilatées, infiltration de la graisse périphérique avec épaississement de la paroi. Avis chirurgical (Dr. X) : pas d'indication à une hospitalisation, retour à domicile préconisé, patient se représente si péjoration de la clinique ou apparition de nouveaux symptômes anormaux. Retour à domicile. Laboratoire : Lipase 106 U/l. Sonde naso-gastrique du 20.12 au 22.12 (clampée le 20.12). CT abdominal le 20.12.2018 : pas de distension grêle ou colique ni de signe de souffrance intestinale. Sténose sur l'anastomose gastrojéjunale (déjà présente en novembre 2017). Épanchement thorax gauche > droit. Suite : • Reprise alimentaire progressive le 22.12.2018 • Absence de vomissements. Laboratoire : Na à 132 mmol/l, le reste est dans la norme. ECG : RSR à 70 bpm, PR à 160 ms, QRS fins dans la norme avec un axe à 30°, QTc à 430 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. Présence d'une extrasystole ventriculaire. Cf. annexes. Laboratoire : NT pro BNP : 4361 ng/l. ECG : rythme irrégulièrement irrégulier à 40/min, axe hypergauche, pas de bloc atrio-ventriculaire, hémi-bloc antérieur gauche et bloc de branche droit, onde T inversée V1-V6 connu. Radiographie de thorax (ambulatoire) le 21.12.2018 : cardiomégalie et redistribution des hiles. Echocardiographie le 24.12.2018 : FEVG à 50 % (évaluation visuelle). Oreillette gauche très dilatée. L'examen du jour ne montre pas d'altération significative comparé à l'examen précédent qui date de fin 2017. Je propose un Holter de 48 h. Une pose de pacemaker devrait être discutée une fois les résultats obtenus mais semble a priori indiqué en l'absence d'une autre étiologie pour cette décompensation (CAVE cardiopathie ischémique formellement non-exclue). Holter posé le 27.12.2018 : pauses de 2675 ms max, bradycardie au plus bas à 30 bpm. Avis cardiologique (Dr. X) : indication à pose de pacemaker. Lasix IV du 21.12.2018 au 03.01.2019. Relai per os par Torasémide dès le 03.01.2019. Métolazone du 25.12.2018 au 03.01.2019. Pose de pacemaker le 07.01.2019 (Dr. X). Radiographie post-pose de pacemaker le 07.01.2019 : pacemaker en place. Attitude : • Contrôle du pacemaker prévu le 07.02.2019 à 11 h • Ablation des fils du pacemaker à votre cabinet • Suivi cardiologique à poursuivre • Fonction pulmonaire à distance à envisager. Laboratoire : • NT-proBNP à 2095 ng/l le 21.01.2019 • NT-proBNP à 117 ng/l le 24.01.2019 • Troponines négatives (2 trains). ECG : rythme sinusal, sans sus ou sous-décalage. Pas de S1Q3 ou d'élargissement du QRS. ETT le 22.01.2019. Radiographie thoracique le 23.01.2019. Introduction de Lasix 20 mg IV 2x/j stoppé le 23.01.2019. Oxygénothérapie entre le 21-24.01.2019. Reprise du traitement antihypertenseur habituel (Furospire) dès le 23.01.2019. Laboratoire : NT-pro-BNP dans la norme. Majoration du Torem. Bandage des jambes. Physiothérapie de mobilisation. Laboratoire : NT-Pro-BNP 446 ng/l, CRP 24 mg/l. Gazométrie : pH 7.43, pO2 4.7 kPa, pCO2 9.4 kPa, pas d'indication à oxygénothérapie. Radiographie de thorax le 20.09.2018 : pas de foyer, condensation apicale droite en lien avec la masse connue, pas de signe de surcharge. Laboratoire : NT-proBNP 6733, TSH sp, trouble électrolytique (HyperK+, HypoP, HypoMg+). Gazométrie artérielle : pH 7.44, pCO2 4.6, pO2 10.2, lactates 3.1. Radiographie de thorax. ECG du 06.01.2019 : FA entre 100-150 bpm, sans trouble de la repolarisation. ECG du 08.01.2019 : rythme sinusal régulier, 72 bpm, superposable aux ECG précédents celui du 06.01.2019. CHADs-VASC à 6 points. HAS-BLED score à 4 points. US de débrouillage bedside (Dr. X). Avis cardiologique. Lasix 40 mg i.v. Cléxane 80 mg x2/j du 06.01 au 08.01.2019. Eliquis dès le 08.01.2019. Fluarix tetra le 07.01.2019. Stop statine. Laboratoire : osmolalité sérique 254 mosmol/kg, sodium 116 mmol/l, chlore 83 mmol/l. Spot urinaire : osmolalité urinaire 447 mosmol/kg, Na+ 118 mmol/l. ECG. CT cérébral injecté (Dr. X, rapport téléphonique) : pas de masse, pas saignement, pas de signe d'ischémie. Restriction hydrique à 800 ml/jour. Pas de perfusion. Hospitalisation aux soins intensifs car convulsions, ralentissement/somnolence, troubles digestifs avec diarrhées/vomissements. Laboratoire : osmolalité sérique 274 mosmol/kg. Laboratoire : pancytopénie le 20.11.2018 avec Lc 1.8 G/l avec 1.12 G/l de neutrophiles, Hb 131 g/l, Tc 66 G/l. PET CT scanner 22.11.2018 : infiltration massive de la moelle osseuse sur tout le squelette, augmentation des adénopathies abdominales. Chimiothérapie du 26.11 au 28.11.2018 au C4 en oncologie (Dr. X) : • Gemzar 2000 mg • Mabthera 750 mg • Fortecortin 40 mg. Chimiothérapie du 03.12 au 04.12.2018 : • Gemzar 2000 mg. Agranulocytose du 01.12.18 au 04.12.2018 : • Neupogène 48 mio sc du 03.12.18 au 06.12.2018 inclus • Isolement du 03.12 au 12.12.2018 • Régime agranulocytose. Seuils transfusionnels : Hb < 70 g/l, Tc < 10 G/l ou < 20 G/l si état fébrile ou hémorragie. • CP : 1x le 07.12.2018 et 1x le 11.12.2018. Clexane contre-indiquée en raison de thrombocytes 55 G/L, en péjoration constante. Prochaine cure de chimiothérapie prévue le 17.12.2018 à l'HFR. Laboratoire = Paracétamolémie infra toxique à 4h00 post prise, Alcoolémie = 0. Gazométrie artérielle = pas de modification du pH. ECG = sinusal régulier, sans trouble de la conduction, repolarisation précoce du jeune, pas de bloc de branche, pas de signe effet stabilisant de membrane. Avis Psychiatre : Dr. X = ok pour transfert Marsens sous PAFA pour mise à l'abri devant risque létal élevé. Transfert Marsens. PAFA (fait par Dr. X). Laboratoire : pas d'anémie. Proposition de colonoscopie en ambulatoire chez le médecin traitant. Laboratoire : pas de carences, hypoalbuminémie légère. CT cervico-thoraco-abdominal le 21.09.2018. IRM cérébrale le 24.09.2018 : apparition de multiples métastases cérébrales, associées à de la carcinose leptoméningée. L'atrophie pariétale et frontale gauche est probablement séquellaire à des lésions ischémiques, déjà visibles sur les images du PET d'avril 2018. Avis oncologique (Dr. X) : suspicion de trouble du comportement, à IRM cérébrale. Avis radio-oncologique le 25.09.2018 : radiothérapie pan céphalique. Radiothérapie du 29.09 au 10.10.2018 (Dr. X).• pancéphalique de 30 gy en 10 séances de 3 Gy; • antalgique lombaire 10 séances de 3 Gy; • antalgique claviculaire droite 20 gy en 5 séances de 4 Gy. Poursuite de prise en charge palliative à la villa Saint-François Laboratoire : pas de perturbation des tests hépatiques. CT abdominal : pas de lésion au niveau du foie. Antalgie. Laboratoire : pas de signe d'inflammation systémique. Cf. annexes. Test de grossesse : fait aux urgences, négatif. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, D-dimères < 500 CT thoracique : absence d'embolie pulmonaire. CT thoracique dans les limites de la norme. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, électrolytes sans particularité, crase sans particularité. Avis neurochirurgical (Dr. X) : ad transfert à Berne pour IRM dorso-lombaire en urgence. Aux urgences : Morphine 4 mg, Sirdalud 2 mg, Irfen 600 mg, avec bonne évolution des douleurs. Transfert à l'Inselspital à Berne pour IRM dorso-lombaire en urgence. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, fonction rénale normale Avis neurochirurgical (Dr. X) : pas de nouvelles fractures lors du bilan radiologique du 30.10.2018, la symptomatologie algique est interprétable dans le contexte de sa sténose multi-étagée et la décompensation de son articulation sacro-iliaque gauche ; ad optimisation du traitement antalgique, évaluer l'indication à une infiltration de corticoïdes au niveau de la sacro-iliaque en fonction de l'évolution. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, gamma-GT 38 U/l, bilirubine totale 16 umol/l, directe 5.9 umol/l, lipase 84 U/l. Urines : propres. Contrôle biologique des tests hépatiques et lipase le 23.01.2019 secteur ambulatoire des urgences. Si péjoration des valeurs hépatiques, évaluer la nécessité d'une imagerie. La patiente organisera son suivi chez un nouveau médecin traitant (Dr. X). Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, Hb stable. Urines : microhématurie. Avis urologique (Dr. X) : saignement post-intervention encore possible dans la semaine qui suit l'intervention. Pas de répercussion sur l'Hb ni hémodynamique, saignements taris lors de la surveillance aux urgences. Echo ciblée abdomen. Retour au domicile avec traitement laxatif suite à l'avis du Dr. X. Contrôle chez l'urologue traitant le 23.01.2019. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, Na 132 mmol/l, acide urique 236 mmol/l. Cf. annexes. Radiographie du genou gauche et des rotules des deux côtés : pincement modéré de l'interligne articulaire fémoro-tibial interne. Pas d'anomalie suspecte de la trame osseuse. Enthésopathie d'insertion du tendon quadricipital. Surcroît d'opacité en projection du cul-de-sac sous-quadricipital. (Dr. X). Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, pas d'anémie. Sédiment urinaire : dans la norme. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Urines : test de grossesse : négatif. Bactériurie asymptomatique. Contrôle gynécologique. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Analyses urinaires : microhématurie. US abdominal ciblé (Dr. X) : pas de liquide libre intra-abdominal, aspect de l'utérus inhabituel. Consultation gynécologique : érythème du col utérin avec fluor malodorant, douleurs en regard de l'utérus. Ad Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 10 jours, Doxycycline 100 mg 2x/jour pendant 14 jours, Fluomizin 10 mg 1x/jour pendant 6 jours, Dafalgan 1 g 4x/jour en réserve, Brufen 400 mg 3x/jour en réserve. Contrôle clinique en policlinique de gynécologie à 48h. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Radiographie lombaire face/profil. Avis orthopédique (Dr. X) : pas de déplacement du matériel, retour à domicile avec majoration du traitement antalgique. Retour à domicile. Majoration du traitement antalgique (majoration Tramal, ajout de Novogin avec réduction Voltarène en raison de la durée de prise. Patient est instruit qu'il doit poursuivre le traitement antalgique et reconsulter en cas de persistance et symptômes graves. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire Urines : leucocytes 6-10/champ, nitrite négatif, pas d'hématurie. Traitement antalgique simple Reconsultation si péjoration de la symptomatique, persistance de la dysurie. Laboratoire : pic de CK à 3726 Ui/l Echocardiographie transthoracique le 22.01.2019 : ETT à 48h pour évaluer présence de thrombus Echocardiographie transthoracique le 24.01.2019 : absence de thrombus Aspirine (à vie) et Prasugrel (12 mois) dès le 22.01.2019 Anticoagulation thérapeutique : • HNF 22.02 au 24.01.2019 • HBPM 24.01 au 25.01.2019 • Rivaroxaban dès le 25.01.2019 Introduction d'IEC et Aldactone le 22.01.2019 Introduction de B-bloquants le 23.01.2019 Attitude : • échocardiographie de contrôle à 1 mois le 19.02.2019 à 11h15 (pour évaluation de suivi de l'anticoagulation et +/- implantation d'un défibrillateur implantable) • réadaptation cardiovasculaire à l'HFR Billens dès le 31.01.2019 Laboratoire : pic de leucocytose à 15.8 G/L. Pic de CRP à 32 mg/L. CT abdomino-pelvien du 12.01.2018 : pas d'image de colite infectieuse, inflammatoire ou diverticulaire Hémocultures du 12.01.2019 : stériles à 5 jours Coprocultures du 13.01.2019 : négatives pour C. Difficile, Salmonella, Shigella, Campylobacter, Shiga-toxines Ceftriaxone 2 g du 12.01 au 14.01.2019 Flagyl 3 x 500 mg du 12.01 au 14.01.2019 Traitement symptomatique par lopéramide dès le 14.01.2019 avec bonne évolution Laboratoire : Pro-BNP 7428 ng/L Gazométrie : hypoxie à 9.9 mmHg sans hypercapnie sans modification du pH. ECG : sinusal régulier, pas de trouble de la conduction, onde T négative profonde en territoire antéro-latéral haut, pas de bloc de branche, hypertrophie ventriculaire gauche, microvoltage en D1, D2, D3, AVF, AVL Introduction de Lasix IV puis Torem per os puis arrêt des diurétiques Introduction de Bilol le 10.01.2019 Introduction de Lisinopril le 18.01.2019 ETT du 10.01.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile globale normale. FEVG à 70 %. Dysfonction diastolique. Élévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Dilatation modérée du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit modérément altérée. HTAP (PAPs à au moins 48 mmHg) Contrôle échocardiographique à 3 mois Laboratoire : PSA 4.8 ng/mL, FPSA 1.19 ng/mL, FPSA/PSA 25 (21.01.2019) CT abdominal du 21.01.2019 Laboratoire : PTT 50, thrombocytes 120, pas de syndrome inflammatoire. ECG : rythme sinusal et régulier à 80/minute, axe QRS à 45, PR 180 ms, QRS 80 ms, QTc 493 ms, segment ST iso-électrique, onde T physiologique. Laboratoire // Radiographie du thorax // Gazométrie // ECG Culture d'expectoration le 06.01.2019 Nitroglycérine, Héparine et Aspegic au service des urgences Aérosols avec Ventolin/Atrovent Introduction de Prednison 40 mg le 07.01.2018 pour 5 jours Vaccination contre la grippe (Fluarix Tetra) le 08.01.2019 Physiothérapie respiratoire Suivi clinique Laboratoire // Radiographie du thorax // Sédiment urinaire // ECG CT-scanner cérébral natif 01.01.2019 IRM neurocrâne 04.01.2019 Résolution des facteurs déclenchants Laboratoire : sans particularité. Cf. annexes. Laboratoire : sans particularité. Cf. annexes. Sédiment urinaire : sans particularité. Cf. annexes. Radiographie de la colonne cervicale face, profil, axiale : tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Pas d'épaississement des tissus mous prévertébraux. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée, mais asymétrie des articulations atloïdo-axoïdiennes avec ouverture plus marquée à G, à confronter avec la clinique. (Dr. X). Radiographie de l'épaule gauche face/neer : pas d'image de fracture décelable. Bonne congruence gléno-humérale. Les rapports anatomiques sont conservés. (Dr. X). Laboratoire : sd inflammatoire Radiographie thoracique propre Ponction genou gauche du 14.01.2019 Stix/Sédiment propre • att Prise en charge chirurgicale le 14.01.2019 Hospitalisation en orthopédie pour suite de prise en charge Laboratoire : selon DPI. CT thoraco-abdominal du 24.01.2019 : épanchement pleural gauche avec cardiomégalie globale, épaississement des lignes septales pouvant cadrer avec des signes débutants de décompensation cardiaque probable. Très probable cholécystite aiguë. Foie modérément dysmorphique. CT abdominal du 28.01.2019 : vésicule collabée rendant un drainage à risque de fortes complications. De plus, l'indication au drainage n'existe plus, la vésicule s'étant drainée spontanément dans les voies naturelles. Consilium néphrologique du 28.01.2019, Dr. X : • sonde urinaire • adaptation du traitement médicamenteux : Flagyl à dose normale (3 x 500 mg/jour), stop Clexane car AKIN 3 et patient sur-anticoagulé (INR > 5.5) • suivi de la fonction rénale ces prochains jours, investigations de la composante chronique à distance • réévaluer cliniquement la pertinence du traitement diurétique. Laboratoire : selon DPI. ECG du 24.01.2019 : rythme sinusal régulier, normocarde à 69 bpm, axe normal à 76°, QRS fins à 102 ms, segment ST isoélectrique. Image de bloc de branche droit. QTc à 471 ms. RX thorax du 24.01.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Épanchement pleural bilatéral de faible abondance. Hypoventilation des 2 bases pulmonaires. CT cérébral natif du 24.01.2019 : contusion hémorragique du lobe cérébelleux gauche avec hémorragie sous-arachnoïdienne en regard ainsi qu'une composante sous-arachnoïdienne occipitale du même côté associée à une fracture occipitale, ainsi que contusion hémorragique frontale bilatérale associée à une hémorragie sous-arachnoïdienne correspondant à une lésion de contre-coup. CT cérébral du 25.01.2019 : le présent examen est comparé au CT cérébral de la veille. Par rapport au comparatif, on retrouve les contusions hémorragiques associées à des hémorragies sous-arachnoïdiennes frontales antérieures en regard de l'ethmoïde ainsi qu'au niveau du lobe cérébelleux gauche avec également une composante sous-arachnoïdienne occipitale gauche, le tout d'aspect superposable. Pour mémoire, fracture occipitale gauche. Pour le reste, l'examen est également inchangé. CT cérébral et cervical du 26.01.2019 : examen cérébral superposable au comparatif du 25.01.2019 du point de vue hémorragique et fracturaire, avec des sinus veineux perméables. Uncodiscarthroses cervicales étagées sans signe de fracture ou de luxation cervicale. Antécédent de fracture en cours de consolidation de l'arc postérieur de la 4ème côte gauche. Laboratoire : selon DPI. RX thorax du 25.01.2019 : importantes lésions d'emphysème des parties molles à gauche. Déviation du médiastin à droite de façon modérée : absence d'une bonne symétrie. Épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. RX thorax du 25.01.2019 : 2ème cliché : par rapport au comparatif du même jour, on constate un status post-mise en place d'un drain pleural gauche dont l'extrémité est trop à droite et une diminution du pneumothorax à la base gauche. On retrouve l'important emphysème des tissus sous-cutanés de la paroi thoracique gauche qui s'étend au-delà des limites du cliché. CT thoracique du 25.01.2019 : pneumothorax gauche d'environ 4 cm de hauteur maximum associé à des fractures des arcs latéraux des 3ème à la 6ème côtes du même côté ainsi qu'à un important emphysème des tissus mous. Laboratoire : syndrome inflammatoire avec CRP à 56 mg/l Urines : antigènes urinaires à pneumocoque et Légionnelle dans la norme Oxygénothérapie passagère Ceftriaxone 2 g intraveineux du 12.12.2018 au 19.12.2018 Laboratoire : syndrome inflammatoire avec déviation gauche et leucocytose à 31 CT-Scan : infiltration des tissus mous en sous-axillaire à droite, avec possible infiltration du muscle pectoral débutante ; 2 nodules pulmonaires avec verres dépoli compatibles avec infection fongique ou métastases Instabilité hémodynamique avec hypotension et tachycardie. Clindamycine 900 mg i.v. Ciprofloxacine 400 mg i.v. Vancomycine 1000 mg i.v. Remplissage reçu aux urgences : 2.5 L à 19:06 avec TAM 62. Gazométrie : • Lactates à 2.0, pH normal Transfert à l'Inselspital de Berne. Laboratoire : syndrome inflammatoire avec une CRP à 57 mg/L, sans leucocytose, anémie hypochrome microcytaire à 109 g/l. Laboratoire : syndrome inflammatoire Expectoration : flore bucopharyngée Hémocultures : négatif à J4 Co-Amoxicilline 1.2 g 3x/j iv du 25.01 au 28.01.2019 puis Co-Amoxiciline 1 g 2x/j du 29.01 au 07.02.2019 Laboratoire : Th H0 8, H1 : 8 ECG : rythme sinusal régulier, QRS fin, normo axé, index de Sokolow à 40, discrète hypertrophie auriculaire gauche, pas de trouble de la repolarisation. Radiographie thorax : Index cardio-thoracique à la limite de la norme, pas de foyer radiologique. Laboratoire : thrombocytes à 188 G/L Attitude : • stop Eliquis, passage au Sintrom Laboratoire : Trop H0 162 ng/L, H3 174 ng/L, NT-proBNP 3300 ng/l Gazométrie Sédiment urinaire du 21.01.2019 : propre ECG le 21.01.2019 Radiographie et CT-scan thoracique du 21.01.2019 : pas d'embolie pulmonaire Avis Cardiologie le 21.01.2019 (Dr. X/Dr. X) : ETT au service des urgences : insuffisance mitrale sévère avec FEVG conservé 65 %. Pas surveillance rythmique. Pas de prise en charge invasive au vu des comorbidités. Privilégier traitement symptomatique pharmacologique Lasix 20 mg i.v. dès le 21.01.2019 au service des urgences puis adaptation thérapeutique des diurétiques et traitements Discussion avec la famille le 22.01.2019 : discuter traitement pharmacologique vs interventionnel. Décision d'une attitude sans intervention ni acharnement Laboratoire : Tropo H0 = 105 Gaz du sang artériel = acidose métabolique compensée à 7.41 avec hypoxie à 8.3 mmHg ECG = sinusal régulier tachycarde, pas de trouble de la conduction, sus-décalage en V1 V2 avec miroir en V5V6 Radiographie thoracique = syndrome alvéolo-interstitiel bilatéral avec présence d'une masse para-médiastinale droite (ADP?) Avis soins intensifs = ok pour surveillance SIC avec discussion d'une prise en charge par coronarographie le 10/01/19 LIQUEMINE 100000 UI IV CAT : • Transfert SIC Laboratoire : Troponine hs H0 26 ng/l, H1 28 ng/l, H3 28 ng/l, CK et CK-Mb dans la norme, d-dimère 325 ng/ml, INR 1.0. ECG : rythme sinusal régulier à 72/min, axe QRS gauche, pas de sus- ou sous-décalage ST. Radiographie thorax ap/lat. Laboratoire : • Troponine H0 à 4 ECG : rythme sinusal régulier, onde Q en 1 et aVL présente sur comparatifs d'octobre, QRS fin, pas de trouble de la repolarisation. Radiographies thorax face/profil : pas de cardiomégalie, pas de pneumothorax, pas de foyer, pas d'élargissement du médiastin. Laboratoire : troponine H0 : 11, H1 : 11. ECG : sinusal irrégulier sur ESV, pas de trouble de la conduction, augmentation du sous-décalage en territoire inférieur par rapport à l'ECG du 22/11/18. Radiographie thoracique : pas d'argument pour une pneumonie, pas d'argument pour un pneumothorax, pas de syndrome alvéolo-interstitiel. Évolution aux urgences : • Surveillance clinique monitorée aux urgences. • Régression complète des douleurs sans aucun traitement. Propositions : • Antalgie simple. • Le patient sera réévalué par le Prof. X le 08/01/19 à 10h00 dans la consultation. Laboratoire : troponine négative, d-dimères négatif, reste du laboratoire aligné. Radiographie du thorax sans particularité. ECG sans particularité. Retour au domicile avec antalgie Dafalgan et Irfen. Laboratoire : • Troponines H0 à ECG : RSR, axe hyperdroit, BBD connu, quelques ESV. CT cérébral natif (Transmission orale du Dr. X) : pas d'hémorragie IC, thrombose du sinus non exclue (pister rapport définitif). CT thoracique protocole EP: Embolie pulmonaire segmentaire apicale droite, sans répercussion droite Aux urgences: • Héparine non fractionnée 5000 UI en bolus, puis 45000 UI sur 24h Attitude: • Hospitalisation en médecine • Contrôle anti Xa à midi • Prévoir ETT (souffle aortique) • Prévoir US membre inférieurs • Switch anticoagulation à 48h Laboratoire : Troponines H0 et H1 à 7, NT- ProBNP à 880 Holter chez Mr. Y le 17.01: FA avec phases rapides, sans pause ni bradycardie ECG : axe normal, fibrillation auriculaire, normocarde, pas de sus-décalage ST, pas de trouble de la repolarisation Radiothorax : bronchogramme de surcharge, pas d'épanchement visible US cardiaque transthoracique (Dr. X) : • pas de dysfonction systolique, dysfonction diastolique sur HTA mal réglée. Hypertrophie ventriculaire gauche légère sur hypertension. • Zestril 5 mg ; Torem 5 mg ; Majoration Meto Zerok : 50 le matin, 25 le soir puis 2 x 50 mg si bonne tolérance Hospitalisation en médecine Laboratoire : Troponines H0-5 ng/l, H1-5 ng/l. ETT à organiser en cardiologie le 15.1. En cas de nécessité d'un bilan complémentaire, il sera organisé par le médecin traitant que Mr. Y s'engage à trouver. Laboratoire : troponines négatives H0, H1, H3, pas de syndrome inflammatoire. ECG : sus-décalage en V2 de 2 mm, présence au comparatif d'une discrète augmentation. RX thorax : pas de pneumothorax, pas de signe de surcharge cardiaque. Administration de 250 mg d'Aspégic. Soulagement de Mr. Y après Pantozol 40 mg et Alucol. Réassurance avec retour à domicile sous Pantozol et Alucol en réserve. Suite de prise en charge par le médecin traitant. Laboratoire : troponines négatives. ECG. Ad Pantozol 40 mg et Alucol gel. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Laboratoire : troponines T hs H0 6 ng/l, CK 92 U/l, CK-MB 25 U/l, D-Dimères < 190 ng/ml ECG : rythme sinusal régulier à 75/min, axe normal, T hyper pointus d'étiologie peu claire Radiographie thorax : pas d'épanchement, pas de pneumothorax Antalgie simple. Laboratoire : TSH dans la norme Spot urinaire Gazométrie le 12.01.2019 Rx thorax le 12.01.2019 Hydratation IV NaCl 0.9% du 12.01 au 13.01.2019 Restriction hydrique du 12.01 au 14.01.2019 Contrôle clinico-biologique auprès de Dr. X, médecin traitant, prévu le lundi 21.01.2019 à 9h30 Laboratoire : TSH, T3, T4 dans la norme ECG Suivi clinique Laboratoire : vide annexes ECG : rythme sinusal régulier, présence d'un bloc de branche droit CT thoraco-abdomino-pelvien (18.01.2019) : embolie pulmonaire sous-segmentaire postéro-basale et segmentaire lobaire supérieure gauche, sans retentissement hémodynamique. Très forte suspicion de néoplasie mammaire droite du quadrant supéro-interne, de 25 x 14 mm à investiguer par biopsie sous US. Métastase osseuse de l'os iliaque gauche et costale droite. Pas de néoplasie intra-abdominale. Lésion pulmonaire du lobe moyen rétrécissant la lumière de la bronche, suspecte de tumeur à corréler à une bronchoscopie. Goitre multi nodulaire hétérogène. ETT (11.01.2019) : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65% (évaluation visuelle après injection de produit de contraste endocavitaire). Hypertrophie concentrique. Augmentation du débit cardiaque calculé à 6,26 l/min avec un index cardiaque à 3,25 l/min/m² (145% de la théorique). Aorte non dilatée. Rétrécissement aortique serré calcifié, d'origine dégénérative. Surface aortique par planimétrie à 0.7 cm² (0.36 cm²/m²) et par équation de continuité à 0.6 cm². Gradient moyen VG-Ao à 49 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 0 à 1/3). Épaississement de moins de 50% des 2 feuillets mitraux. Absence de rétrécissement mitral. Gradient moyen OG-VG à 4 mmHg. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Dysfonction diastolique modérée (grade II). Oreillette gauche très dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Absence d'épanchement péricardique. Ad Coronarographie pour bilan pré-TAVI. Coronarographie (16.01.2019) : l'examen invasif du jour démontre une cardiopathie hypertensive et bonne fonction VG systolique, mais sans sténose coronarienne. Intensifier traitement anti-HTA. US mammaire (21.01.2019) : étant donné la qualité limitée de l'échographie, nous recommandons un complément par IRM. Mammographie (21.01.2019) : lésion classée en BIRADS IV à cheval des QS du sein droit. Examen de qualité sub-optimale en raison de la mobilité très réduite de Mme. Y. Les QI du sein droit n'ont pas pu être étudiés de manière optimale. Creux axillaire droit non évaluable. L'opacité à cheval des QS du sein gauche de taille millimétrique n'est pas retrouvée à l'échographie (probable kyste). Biopsie mammaire sous US (21.01.2019) : lésion classée en BIRADS IV à cheval des QS du sein droit, biopsiée. Les prélèvements ont été envoyés chez Argot Lab (collaborateur du centre du sein). Laboratoire : vide annexes ECG (12.01.2019) : rythme sinusal régulier, pas de trouble de la repolarisation ni de la dépolarisation. Radiographie thorax (12.01.2019) : thorax de face et profil. Silhouette cardio-médiastinale sans particularité. Épaississement bronchique dans les lobes inférieurs sans foyer constitué. Emoussements des récessus costo-diaphragmatiques des deux côtés. Cadre osseux et tissus mous sans particularité. Laboratoire : vitamine B12 818 pg/ml, vitamine B9 31 ng/ml, vitamine D3 55 nmol/L MMS 19/30 le 11.12.2018 Avis médecin traitant : troubles mnésiques sans conséquences dans les AVQ Attitude : • rediscuter bilan neuropsychologique en ambulatoire selon évolution • Substitution acide folique pour 3 mois • Calcimagon Laboratoire : VitD3 diminué à 34 nmol/l, PTH intacte diminuée à 5 ng/l, PTHrp : inférieur < 0.78 (normal) Hydratation Calcitonine Xgeva 120 mg le 22.01.2019 puis supplémentation Vit. D Laboratoire : voir annexes US cérébral par voie transfontalle du 11.01.2019 à l'âge d'environ 25 heures de vie: INDICATION: Prématurité à 34 3/7 SA, anémie d'origine indéterminée, recherche de saignement intracrânien, de signe d'ischémie ou autre anomalie. DESCRIPTION: Le système ventriculaire est de morphologie normale. Pas de déviation des structures de la ligne médiane. Mise en évidence d'hyperéchogénicités diffuses de la substance blanche périventriculaire des deux côtés, prédominant à droite et présentant une orientation radiaire par rapport aux ventricules (suspicion d'une hémorragie parenchymateuse D). Présence également d'une hyperéchogénicité sub-épendymaire semblant en continuité avec le plexus choroïde du côté gauche mais asymétrique par rapport au côté contro-latéral. Il n'y a pas de collection sous durale ni extra-durale. Sinus veineux sagittal supérieur perméable. Cervelet dans la norme. IR(ACA) = 0.65. Corps calleux : longueur : 39 mm, épaisseur 2.7 mm. CONCLUSION: Hyperéchogénicités péri-ventriculaires bilatérales prédominant à droite dont l'évolution est à suivre par échographie. Laboratoire : 60 % de blastes. Laboratoire à Berne ECG Rx du thorax à Berne ATT • hospitalisation médecine • avis cardiologie Laboratoire à l'entrée: Hb 127 g/l; Leucocytes 9.3 G/l; Thrombocytes 144 G/l, CRP <5 Hb post-partale: 117 g/l Groupe sanguin O-, AC irréguliers négatif le 09.10.2018 Streptocoques du groupe B positif le 21.12.2018 Sérologies du 08.06.2018: Toxo non-immune; CMV non-immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle, faite Laboratoire à l'entrée le 10.01.2019: Hb 78 g/l, leuco 5.7 g/l Plaq 517 mg/l, Crase en ordre, ferritine à 9.IRM du 30.05.2018 : Utérus polymyomateux et adénomyosique de 120 x 90 x 110 mm comprenant 17 fibromes dont 1 sous-muqueux intra-cavitaire de 20 mm, les autres étant transmurales ou sous-séreux. Laboratoire à 17h30 : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal et régulier à 70/min, axe QRS à 10°, PR 160 ms, QRS 130 ms, rS de V1 à V4, QTc 440 ms, segment ST 2 mvolt en V1 et V2 (connu), onde T agrandie en V1, V2 et V3. Laboratoire : absence de syndrome inflammatoire, TG négatif. Dépistage MST : négatif pour VIH (dépistage sanguin), Chlamydia et Gonorrhée négatives (PCR urinaires). Status vaccinal HBV vérifié. Nouveau dépistage sanguin d'infection à VIH à répéter à 1 mois pour confirmation définitive de la séronégativité. Laboratoire : absence de syndrome inflammatoire. Rx thorax le 11.01.2019 : condensation base droite correspondant à une aspiration. Co-Amoxicilline 2.2 g IV. Laboratoire. Aérosols Atrovent/Ventolin aux urgences avec bonne évolution des sibilances, mais PF à 47 % après le 1er aérosol, amélioration à 55 % après le 2ème cycle d'aérosol. Antalgie et fébrifuge par Novalgine 500 mg. Radio thorax : pas de foyer visible. Retour à domicile avec antalgie par Novalgine, aérosols Sérétide pour 7 jours et Prednisone pendant 3 jours, contrôle en dialyse dans 48 h. Laboratoire : albumine 28.1 G/L le 28.01.2019, préalbumine 0.1 G/L le 21.01.2019. Nutrition parentérale du 22.12.2018 au 04.01.2019, reprise le 08.01.2018, diminution à 1250 ml Omegaflex dès le 21.01.2019. Alimentation entérale dès le 11.01.2019 au 24.01.2019. Suivi nutritionnel. Attitude : • en cas de reprise de nutrition entérale, diminution de la nutrition parentérale. • selon évolution clinique, envisager switch d'alimentation entérale par Nepro, contenant moins de sodium mais contenant plus de fibres. Laboratoire : alcoolémie 2.9 %o, discrète hépatolyse sans insuffisance hépatique. Laboratoire aligné. La patiente ne présente plus de céphalées après administration du Dafalgan. Selon avis de Dr. X, par la suite chez le médecin traitant. Laboratoire ambulatoire (effectué chez MT) : D-dimères 3000 (3.0 ug/L), CT-Thorax : épanchements bilatéraux. Pas d'embolie pulmonaire. Pas de foyer. Gazométrie le 09.01.2019 : pH 7,50, PCO2 2,8 kPa, PO2 13,6 kPa, Bicarbonate 16 mmol/l. Attitude : • suivi clinique au vu de l'amélioration au cours de l'hospitalisation. Laboratoire. Analyses urinaires. Monuril 3 g dose unique. Appel pour prendre des nouvelles de la patiente : régression totale des signes. Laboratoire. Antibiothérapie par Rocéphine 2 g IV pendant 7 jours. Laboratoire. Anuscopie du 26.01.2019 : présence de saignement. Avis chirurgical du 26.01.2019 : présence de saignement à l'anuscopie de contrôle, surveillance sur la nuit avec contrôle Hb. Avis gastro-entérologie du 26.01.19 (Dr. X) : pas d'indication à geste en urgence, à recontacter si péjoration de l'état clinique. • Mise en suspend de l'aspirine pour le 27.01.2019 à réévaluer avec nécessité et suivi hémoglobine. Hospitalisation en chirurgie pour surveillance. Contrôle hémoglobine à 6 h post première prise de sang. Laboratoire : augmentation de la GGT et des tests hépatiques. ECG : sp. US abdominal supérieur (Dr. X) : lithiase 2-3 cm, sludge, paroi épaissie de 4,5 mm, paroi hétérogène, hyperémique. CT abdominal : cholécystite, paroi vésiculaire épaissie, irritation focale du parenchyme hépatique, pas de calculs et de sludge au CT, pas de signe en faveur d'une pancréatite. Avis chirurgie (Dr. X). Rocéphine 2 g, Flagyl 500 mg IV aux urgences. Hospitalisation en chirurgie pour cholécystectomie. Laboratoire : augmentation des valeurs des tests hépatiques et de cholestase, LDH 2793 U/l. Gazométrie : alcalose respiratoire légère, lactates 7.8 mmol/l. Spot urinaire : à pister. Rx thorax : à pister. Score de Maddrey : 69.4. Avis gastro-entérologue (Dr. X) : pas de CT abdominal en urgence, faire US demain, début de Prednisone 40 mg en raison de la possible composante d'encéphalopathie alcoolique, faire bilan habituel avec acide folique. Benerva. Konakion. Hydratation. Prednisone 40 mg aux urgences, évaluer la poursuite du traitement. US abdominal à organiser. Pister laboratoire. Laboratoire avec ammoniémie. Duphalac dès le 24.01.2019. Laboratoire avec comparatif (Créatinine 123 mcol/l le 14.12.2018). Suivi en ambulatoire. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Traitement aux urgences : • transfusion de 1 CE. • 20 mg de Lasix post transfusion. • 1000 mg de Ferinject IV. • 1 mg Vitarubin SC. Propositions : • pas d'indication à une hospitalisation, retour à domicile. • compléter la dose de Ferinject. Déficit estimé à 1800 mg. • gastroscopie et coloscopie prévues. Le patient sera convoqué. • suivi biologique et clinique en ambulatoire. • reconsultation en cas de péjoration clinique. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. U/S ciblé (Dr. X) : pas d'épanchement pleural des deux côtés. Pas de dilatation pyélocalicielle des deux côtés. Aorte de taille normale, parois fines. Veine cave inférieure avec bonne mobilité à la respiration. Pas de cholestase intra hépatique. Vésicule biliaire avec des parois fines, pas de calculs. Visualisation de Douglas impossible au vu des gaz et une vessie urinaire vide. Propositions : • poursuite de la prise en charge débutée par Dr. X. • coloscopie à prévoir. • essai thérapeutique avec Iberogast. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Envoyée en ORL pour suite de prise en charge. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Hydratation avec 1500 cc NaCl 0.9 %. Traitement symptomatique, conseils d'usage (alimentation et hydratation). Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Réassurance de la patiente. Retour à domicile avec poursuite du traitement antalgique. Laboratoire. Avis nutritionnel. Laboratoire. beta HCG. U/S ciblé (Dr. X) : cf. examens complémentaires. Uro-CT (Transmission orale, Dr. X) : calcul de 3 mm au méat vésical gauche. Dilatation de l'urétère. Dilatation pyélocalicielle de 12 mm. Traitement aux urgences : • Morphin IV. • Brufen 400 mg PO. • Ciproxin 500 mg PO. Avis urologique (Dr. X) : hospitalisation avec Rocéphine pour prise en charge opératoire le 25.01.19. Laboratoire. Bilan nutritionnel. Avis Dr. X. Introduction d'un traitement. Enseignement diabétique. Laboratoire : BNP à 13000 ng/l, CRP à 117 mg/l. Radiographie du thorax. ECG. Ad Lasix 40 mg IV en bolus aux urgences, puis Lasix 20 mg IV 3 x/j. Suivi du poids quotidien, suivi de la créatinine et des électrolytes. Oxygénothérapie. Hospitalisation en Frailty Care. Laboratoire : bonne amélioration des tests hépatiques et de la CRP. Hémocultures : 2 paires en cours. Sérologies EBV et CMV : CMV IgM légèrement positif mais probablement réaction croisée, EBV : compatible pour primo-infection. RAD avec traitement antalgique et symptomatique en R. • diète liquide-froide. • contrôle chez Dr. X le 23.01.2019. • arrêt de travail jusqu'à samedi 26.01.2019 inclus. Le patient a reçu des explications par rapport aux situations dans lesquelles il faudra reconsulter en urgence. Nous avons expliqué au patient de s'abstenir complètement des sports de contact et du vélo. Laboratoire : bonne fonction rénale, pas de trouble électrolytique, test hépato-pancréatique dans la norme. Sédiment urinaire : une croix de sang. ECG : rythme sinusal régulier, axe vertical, fréquence 75 bpm, QRS fins, ondes T plates en aVL. Radiographie du bassin face et hanche axiale droite du 29.01.2019 : status post mise en place de PTH ddc, en bonne position du côté G, sans signe de complication. Fracture de la branche ilio-pubienne D, s'étendant au toit du cotyle avec protrusion acétabulaire de la cupule.Radiographie du thorax face du 29.01.2019: par rapport au comparatif du 14.02.2018, on retrouve une désorganisation de la trame bronchovasculaire avec un aspect d'attraction du hile droit vers le sommet à mettre en relation avec des séquelles post-opératoires. On visualise par ailleurs un aspect remanié des côtes moyennes latérales droites et déplacement du médiastin vers la droite. Pas d'évidence de foyer pulmonaire, ni d'épanchement pleural. Cœur de taille à la limite supérieure de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique. Pas de pneumothorax, ni de fracture de côte récente visualisée. (Dr. X) CT-scanner de la hanche/cuisse droite natif du 29.01.2019: par rapport à la radiographie standard du même jour, on retrouve la fracture du toit du cotyle droit qui s'étend à la branche ilio-pubienne du même côté avec protrusion acétabulaire de la cupule de la PTH droite. Pas de fracture péri-prothétique en regard de l'élément fémoral de la PTH droite. Status après mise en place d'une PTH gauche. Calcifications artérielles diffuses. (Dr. X) Laboratoire: bonne fonction rénale, pas de trouble ionique, syndrome inflammatoire à une CRP 20 mg/l et leucocytose 18.6 g/l. Lymphocytose à 65%. Test hépatique augmenté. EBV (mononucléose) IgM Test rapide qualitatif positif. Laboratoire: B12 823 pg/ml, B9 5.4 ng/ml, ferritine 313 microgramme/L 1 CE le 21.01.2019 Suivi biologique Seuil à 70 g/L Laboratoire ce jour: leucocytes 6.5 G/l, CRP <5 mg/l. Laboratoire: cf. annexe ECG 09.01.2019: Fibrillation auriculaire connue à 58 bpm, axe normal, QRS fins, pas de sus- ou sous-décalage, transition QRS V2-V3. Radiographie de thorax 09.01.2019: Silhouette cardiomédiastinale de taille et de morphologie normale. Déroulement de l'aorte thoracique. Condensation alvéolaire basale droite bien visible sur l'incidence de profil en surprojection du rachis dorsal bas pouvant être d'origine infectieuse. Pas d'épanchement pleural. Arthrose acromio-claviculaire bilatérale. Discopathie dorsale étagée. Angio-CT le 23.01.2019: Multiples altérations athéromateuses vasculaires avec plaques molles ulcérées dans l'aorte abdominale infrarénale. Thrombus flottant dans le segment P1 de l'artère poplitée droite, et plusieurs plaques d'athéromatose mixte dans le segment P2. Infiltration liquidienne sous-cutanée, possiblement hématique de la cuisse et de la jambe ainsi que du pied, sans collection visible. Absence d'hématome rétropéritonéal, ou de pseudo-anévrisme sur le site de ponction fémoral commun droit. Consilium d'angiologie le 24.01.2019 CT thoracique du 27.12.2018: Fracture pathologique des marges du corps vertébral de Th3 avec atteinte des pédicules et du bord postérieur sans saillie dans le canal rachidien. Métastase ostéoblastique paramédiane gauche au niveau du manubrium sterni. Métastases ostéoblastiques, presque circulaires, dans les deux pédicules, ainsi que dans les deux lames et processus costaux Th3 et Th4. Métastases focales costales gauches 7 et 8. ECG du 07.01.2019: inversion des ondes T en DI, II, AVF; V3-V6. CT cérébro-cervical et CT cérébral injecté du 07.01.2019: Effacement du noyau lenticulaire gauche et perte de la dédifférenciation substance blanche-grise en pariétal gauche devant correspondre à une lésion ischémique aiguë constituée dans le territoire profond et superficiel de l'ACM gauche. Perméabilité du polygone de Willis et absence de sténose significative des vaisseaux pré-cérébraux. Pas de saignement cérébral. IRM cérébrale du 07.01.19: AVC ischémique constitué en hypersignal diffusion avec restriction de l'ADC atteignant le territoire sylvien superficiel et profond gauche au niveau des noyaux lenticulaire et caudé gauches ainsi que le cortex temporo-pariétal gauche. Sur la séquence FLAIR, quelques zones ischémiques se présentent en hypersignal FLAIR au niveau du cortex et à moindre degré au niveau du noyau lenticulaire ce qui permet de dater l'AVC entre au moins 4 et 6h. Absence de transformation hémorragique. Les structures médianes sont en place. Absence de lésion thalamique ou du tronc cérébral pouvant expliquer le trouble de la conscience. Quelques hypersignaux FLAIR du tronc cérébral à droite d'allure ancienne. Séquelle ischémique corticale frontale gauche. CT cérébral du 08.01.2019: Mise en évidence de deux plages hypodenses dans les noyaux lenticulaires gauches, ainsi que dans le cortex temporo-pariétal homolatérale, correspondant à des lésions constituées de l'accident vasculaire cérébral du 7 janvier. ETT du 08.01.2019: Ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie minime de la paroi apicale et de la paroi postérieure moyenne. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Bourrelet septal sous-aortique. Aorte normale. Valve aortique normale. Absence de valvulopathie aortique. Valve mitrale normale. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Pas de FOP à l'état basal et pas d'ASIA. Manoeuvre de Valsalva à faire. ECG le 08.01.2019: RSR, FC 83/min. Axe gauche. QRS limite à 120 ms. ESV. R/S en V4-V5. S persistantes en V5-V6. T négatifs en V1-V6, isoélectriques en DI-DIII, aVL, aVF. QTc 447 ms. IRM cérébrale du 04.01.2018: Examen compatible avec un AVC ischémique aigu, multifocal, avec lésion la plus évidente et la plus récente située dans le gyrus préfrontal gauche. Plusieurs lésions de petites tailles d'allure subaiguës localisées au niveau cortical dans la région frontale gauche, pariétale droite et gauche. Séquelles d'AVC ischémique lacunaire dans le thalamus ddc ainsi que dans l'hémisphère cérébelleux droit. Origine cardio-embolique semble le plus probable. CT-cérébral du 04.01.2019: sténose artère carotide interne gauche à son origine de 60%, vaisseaux intracérébraux sans particularité. ECG du 04.01.2019: rythme sinusal régulier à 79 bpm, BAV 1°, extrasystole supra-ventriculaire en précordiale, ST isoélectrique, pas d'onde Q pathologiques, QTc 460 ms, pas de signe d'HVG. MMS/GDS le 19.12.2018: MMS test 30/30 points, Clock test 6/6 points, GDS test 2/15 points. ECG le 19.12.2018: Rythme sinusal, régulier 73/min. QRS fins. Axe gauche. Ondes Q en DI, aVL d'aspect normal. Progression de R est retardée, R/S en V4/V5. QTc 387 ms. Rx thorax le 19.12.2018: Cœur de taille normale. Sclérose aortique. Pas d'infiltrat, pas d'épanchement pleural et pas de pneumothorax. Grande hernie axiale hiatale avec déplacement gastrique en intrathoracique. Modifications dégénératives de la colonne thoracique avec réduction de hauteur des corps vertébraux. Bilan de déglutition le 19.12.2018: pas de dysphagie. Évaluation nutritionnelle le 19.12.2018: pas de malnutrition. ETT le 27.12.2018: Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique. Aorte normale. Valve aortique normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Insuffisance aortique physiologique (grade 0 à 1/4). Valve mitrale normale. Dysfonction diastolique modérée (grade II). Oreillette gauche très dilatée. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Apport d'une traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce de min. 14 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus en raison d'une acutisation de gonalgies gauches invalidantes. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 23 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mardis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 14/28 avec 2 cannes Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 51/26 MMS/CLOCK 30/30 - 6/6 GDS 2/15 Evaluation sociale (5 domaines) 19.12.2018 Colloque interdisciplinaire 1 19.12.2018 Colloque interdisciplinaire 2 27.12.2018 Colloque interdisciplinaire 3 03.01.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 17/28 avec 2 cannes Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 78/33 Laboratoire: cf annexe OGD le 27.12.2018 (Dr. X): pangastrique, polype au niveau du duodénum biopsié, à pister, Importante béance du cardia, pas de signe de saignements actifs ou anciens. Importante inflammation de la paroi gastrique. Proposition: 3 x 40 mg iv de Pantoprazol. En cas de poursuite de chute Hb, rediscuter OGD et colonoscopie. Pister biopsie pour H. Pylori, traiter si positif. Biopsie: H.pylori positif. Radiographie de thorax du 01.01.2019: Examen compatible avec un foie de stase, avec signes de décompensation cardiaque droite et possible régurgitation tricuspidienne. Pas d'arguments pour une thrombose porte ou pour une autre complication au niveau hépatique, sous réserve d'un examen sous-optimal pour les raisons précitées. Pas d'anomalie des voies biliaires. On retrouve une ascite des 4 quadrants. Le reste de l'examen est superposable. Radiographie du thorax du 03.01.2019: Examen réalisé en position couchée, en incidence antéro-postérieure. Comparatif du 21 décembre 2018. VVC jugulaire droite en position inchangée. Pas de changement de l'opacité rétro-cardiaque basale gauche (DD: Atélectase? Foyer?). Épanchement pleural droit étendu en région déclive. US abdominal du 04.01.2019: VVC jugulaire droite en position inchangée. Pas de changement de l'opacité rétro-cardiaque basale gauche (DD: Atélectase? Foyer?). Épanchement pleural droit étendu en région déclive. Radiographie du thorax du 08.01.2019: Status post mise en place d'une sonde nasogastrique se projetant au niveau de l'estomac. Status post mise en place d'une voie veineuse jugulaire gauche repositionnée, se projetant au niveau de la veine cave supérieure. Absence de pneumothorax. Le reste est superposable aux comparatifs. CT abdominal du 08.01.2019: Absence de signe en faveur d'un iléus à l'examen actuel. On retrouve une ascite importante et des épanchements pleuraux bilatéraux avec atélectasies associées dans le cadre d'une décompensation cirrhotique connue. Radiographie du thorax du 11.01.2019: SNG se terminant en surprojection de l'estomac. Le reste de l'examen inchangé avec relative stabilité de l'épanchement pleural droit. ASP le 17.01.2019: Distension des anses grêles jusqu'à 3.7 cm en projection coronale et du côlon transverse jusqu'à 6.5 cm, parlant en faveur d'un iléus. Sonde nasogastrique se terminant en surprojection de l'estomac. CT abdominal du 24.01.2019: Iléus d'aspect paralytique. Foie de configuration cirrhotique associé à une splénomégalie et à de l'ascite diffuse, en quantité moindre par rapport au comparatif. Épanchements pleuraux bilatéraux avec atélectase de contact des lobes inférieurs. Radiographie du bassin et hanche D du 11.09.2018. Radiographies standard le 08.01.2019. US voies urinaires le 21.01.2019: Vessie en réplétion partielle (le patient a uriné 15 min avant l'examen). On note des parois en partie épaissies avec forte suspicion de pseudo-diverticules dans le cadre d'une vessie de lutte. Prostate de taille augmentée avec un volume mesuré à 32 cc. Loge rénale droite vide. Rein gauche de taille normale mesurée à 115 mm, sans dilatation pyélocalicielle. IRM cérébrale le 21.01.2019: Atrophie cortico-sous-corticale. Les plages d'hypersignaux au niveau de la substance blanche sur les coupes FLAIR doivent correspondre à des altérations dégénératives vasculaires. Élargissement également des cornes temporales, correspondant à une atrophie, ceci pouvant être classé Sheltens 3. Compte tenu de l'aspect IRM, le DD devrait plus se poser avec une atteinte type Alzheimer. L'imagerie évoque moins une démence vasculaire qu'une démence à corps de Lewy. Rx genou droit le 11.12.2018: Gonarthrose avancée avec rétrécissement de l'interligne articulaire, sclérose sous-chondrale et ostéophytes. Rotule légèrement latéralisée avec arthrose rétropatellaire avancée. Pas de fracture. Pas d'épanchement articulaire. Athérosclérose. Ostéopénie. Rx hanche droite le 13.12.2018: pas de déplacement secondaire, pas de signes de descellement. Rx hanche droite le 07.01.2018: implants en place. Consolidation débutante de l'os. Bilan de déglutition le 28.12.2018: pas de dysphagie. Evaluation gériatrique standardisée de base Mobilité (Tinetti) 3/28 en fauteuil roulant Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 34/19 MMS/CLOCK 20/30 - 2/6 GDS 0/15 Evaluation sociale (5 domaines) 04.12.2018 Laboratoire: cf annexe RX thorax Laboratoire: cf. annexes Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. Ultrason de l'abdomen complet natif du 02.01.2019: le foie est de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans lésion focale décelable. Les voies biliaires ne sont pas dilatées. La vésicule biliaire présente des parois épaissies, mesurées jusqu'à 6mm d'épaisseur et contient de multiples calculs mesurés jusqu'à 8mm de diamètre. Le pancréas et la rate sont sans particularité. Les deux reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. Plusieurs kystes parapyéliques du côté gauche. La vessie est peu remplie mais la prostate n'est pas agrandie. CONCLUSION: examen compatible avec une cholécystite lithiasique. (Dr. X) Laboratoire: cf annexes. Radiographie de la cheville droite du 15.01.2019: pas d'image de fracture décelable. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X) Laboratoire: cf annexes. Ultrason abdominal: décrit ci-dessous. Avis du Dr. X, chirurgien de garde. Antalgie, Buscopan et antibiothérapie. Contrôle clinique et biologique chez le médecin traitant à 1 semaine. Consultation avec le Dr. X dans 1 mois. Co-Amoxicilline 2.2 g IV aux urgences puis relais 3 x 1 g/jour, durée totale 10 jours. Régime pauvre en graisses. Laboratoire: cf annexes. Angio-CT avec produit de contraste, CT-scanner thoracique natif, CT-scanner abdominal natif du 09.01.2019: pas de signe de dissection aortique, notamment pas d'hématome intra-mural sur les coupes natives, ni d'intimal flap au niveau de l'aorte sur les coupes en phase artérielle. Au niveau du médiastin, on visualise des ganglions infra-centimétriques mais pas d'adénomégalie. Au niveau du parenchyme pulmonaire, on ne visualise pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis en relation avec l'âge du patient avec quelques petites irrégularités des plateaux vertébraux dorsaux inférieurs et une arthrose des facettes articulaires postérieures lombaires, ainsi qu'une discopathie de niveau L5-S1. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Abdomen: compte tenu de la phase artérielle, le foie, le pancréas, la rate, les surrénales et les reins sont sans particularité. Pas d'adénopathie, pas d'ascite. Arthrose de l'articulation sacro-iliaque droite. CONCLUSION: pas de dissection aortique, ni d'autre cause objectivée aux douleurs thoraciques du patient. (Dr. X) Laboratoire: cf annexes. Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant. Laboratoire: cf annexes. Avis et évaluation clinique par le Dr. X. Contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires le 03.01 à 11h00 avec laboratoire et avis infectiologique. Pas de traitement pour l'instant. Photos prises et mises sur Synedra. Laboratoire: cf annexes. Consultation chez le médecin traitant en cas de persistance à une semaine. Consultation aux urgences avant si péjoration clinique. Laboratoire: cf annexes. Contrôle clinico-biologique le 04.01 en filière des urgences ambulatoires. Conseils de bien s'hydrater. Antalgie. Laboratoire: cf annexes. CT abdominal le 17.01.2019: épaississement inflammatoire de la dernière anse iléale sur environ 16 cm avec importante infiltration de la graisse autour et collection adjacente inter-iléo-sigmoïdienne de 4.5 cm, non accessible à un drainage sous CT. Il existe probablement des petites fistules iléo-mésentériques. CT abdominal le 23.01.2019: diminution de la collection inter-iléo-sigmoïdienne, actuellement 2.5 cm. Laboratoire: cf annexes. CT cervico-thoracique injecté le 12.01.2019: syndrome de Lemierre avec abcès amygdaliens bilatéraux prédominant à droite, thrombose jugulaire interne gauche, multiples emboles septiques pulmonaires. Splénomégalie probablement réactionnelle. RX thorax et CT thoracique injecté le 16.01.2019: majoration d'épanchements pleuraux de moyenne abondance, plus marqués à gauche avec atélectasie passive postéro-basale bilatérale, sans argument pour un empyème. Stabilité des multiples lésions infectieuses pulmonaires abcédées. Radiographie de thorax post-ponction le 23.01.2019: en comparaison avec la radiographie du 16.01.2019, aspect globalement stable de l'épanchement pleural gauche et légèrement augmenté de l'épanchement pleural droit. Pas de pneumothorax visualisé. Mise en place d'une PICC-Line à droite de position inchangée. Le reste de l'examen est superposable. CT thorax injecté du 30.01.2019: régression en taille des emboles septiques mis en évidence précédemment. Disparition d'épanchement pleural droit et régression de l'épanchement pleural gauche, avec persistance d'une atélectasie partielle du lobe inférieur gauche. Disparition de l'épanchement péricardique. Laboratoire: cf annexes. CT-scanner abdominal: décrit ci-dessous. Avis du Dr. X, chirurgien. Une dose de Co-Amoxicilline 2.2 g IV. Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour pendant une semaine. Régime pauvre en fibres. Contrôle clinico-biologique chez son médecin traitant le 07.01. Coloscopie en ambulatoire dans 6 à 8 semaines. Laboratoire: cf annexes. CT-scanner de l'abdomen natif et injecté du 05.01.2019: volumineuse hernie hiatale. Le foie est de taille, de configuration et de densité normales. Présence de 3 kystes biliaires, dont 2 ne sont pas visibles dans l'examen du 21.08.2010: Segment VIII: 8 x 7 mm en axial. Jonction entre le segment V et segment VIII: 22 x 24 mm de diamètre axial, présentant une densité d'environ 12 HU. Comparatif de 2010: 16 x 18mm. Jonction entre le segment VII et le segment VI: 8 x 8 mm de diamètre axial. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Aucun calcul radio dense n'est objectivé dans la vésicule. La rate, le pancréas et les surrénales ont une morphologie normale. Les reins sont de taille et de configuration normales, sans dilatation du système excréteur. Dolichocôlon. Diverticulose sigmoïdienne avec présence d'un épaississement de la paroi du sigmoïde au niveau du petit bassin avec infiltration de la graisse méso colique. Absence de collection visualisable, au vu d'importants artéfacts métalliques de la grande partie le site d'inflammation. Pas d'air libre intra-abdominal. Pas de masse ou de collection pelvienne. Pas d'adénopathie, pas d'ascite. Pas d'anomalie de l'aorte ou de la veine cave inférieure. Les structures vasculaires pelviennes sont sans particularité. Pas d'altération dans les tissus mous. Sur les coupes passant par l'étage thoracique: absence de lésion nodulaire suspecte, absence d'épanchement pleural. Osseux: absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte, PTH bilatérale. CONCLUSION: diverticulite sigmoïdienne sans signe de péritonite associée. Au vu d'importants artéfacts métalliques suite à la pose de prothèse de hanche totale des deux côtés, une complication locale, telle qu'une perforation couverte ou un abcès, ne peut être exclue. Présence de plusieurs structures kystiques du foie, compatibles avec des kystes biliaires, néanmoins en augmentation de taille et de nombre. (Dr. X) Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. Avis du Dr. X, chirurgien de garde. Transfert en ambulance aux urgences de l'HFR Fribourg pour la suite de la prise en charge à cause d'un CT-scanner hors d'usage à Riaz. Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. AINS avec Angina MCC. Contrôle chez le médecin traitant si absence d'amélioration. Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. Avis du Dr. X: • Beloc Zok 25 mg PO à 2h35, • Digoxine 0.5 IV à 3h20, 0.25 mg IV à 6h30. Troponine 6 cette nuit puis 8 ce matin (sous décalage déjà présent aux ECG de comparaison lors des fibrillations auriculaires précédentes). TSH: à pister Avis cardiologique: • Tambocor 200 mg PO: la patiente se cardioverse. FC à 80 bpm, rythme sinusal régulier, • Arrêt de l'Amlodipine et mise en place d'un traitement par Dilzem 60 mg 2x/jour, • Xarelto 20 mg à vie vu la fibrillation auriculaire récidivante, • rendez-vous chez le cardiologue dans 1 mois. Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. Ultrason FAST par le Dr. X: pas de liquide libre intra-abdominal visualisé. Avis du Dr. X, chirurgien de garde. Antalgie. Pas d'indication à faire une imagerie pour une lésion de 4 jours. Physiothérapie respiratoire. Contrôle chez le médecin traitant. Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. Radiographie du thorax face du 05.01.2019: silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax visualisé. Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. 2 push Isoket. Nifédipine 20 mg. Contrôle chez le médecin traitant. Laboratoire: cf annexes. ECG du 03.01.2019 : FA avec FC moyenne 90 bpm, QRS fins à 100 ms avec un axe à 45°, QTc à 449 ms, bonne progression de l'onde R avec transition en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. Gazométrie du 03.01.2019, à l'air ambiant : pH 7.41, pCO2 5.85 kPa, pO2 6.8 kPa, SpO2 86%, HCO3 27.0 mmol/l Gazométrie du 16.01.2019, sous 1.5 lt/min d'O2 : pH 7.42, pCO2 5.37 kPa, pO2 8.7 kPa, SpO2 92.5%, HCO3 25.5 mmol/l Capnographie nocturne du 02-03.01.2019, sous BiPAP (IPAP 18 - EPAP 10) + 3 lt/min d'O2 : tcpCO2 moyen 6.5 kPa, SpO2 moyenne 95.5%, indice de désaturation par heure: 0.88. Capnographie nocturne du 17-18.01.2019, sous BiPAP (IPAP 19 - EPAP 10) + 3 lt/min d'O2 : tcpCO2 moyen 5.5 kPa, SpO2 moyenne 93.7%, indice de désaturation par heure: 16.26. Oxymétrie nocturne du 05.01.2019, sous BiPAP avec 3 lt/min d'O2: SpO2 moyenne 87%, index des évènements de désaturation: 10.3/heure. Oxymétrie nocturne du 15.01.2019, sous BiPAP avec 3 lt/min d'O2: SpO2 moyenne 91.5%, index des évènements de désaturation: 3.2/heure. Spirométrie du 08.01.2019: CVF 66% du prédit, VEMS 65% du prédit, Tiffeneau à 50%. Spirométrie du 22.01.2019: CVF 73% du prédit, VEMS 68% du prédit, Tiffeneau à 71.9% Pléthysmographie du 08.01.2019 : CV 4.12 lt, CPT 6.90 lt, VR 2.56 lt : distension. Diffusion du CO du 08.01.2019 : DLCO 64% : trouble de la diffusion de degré léger. Radiographie du thorax du 04.01.2019 (comparatif du 26.11.2015) : on retrouve une accentuation du diamètre antéro-postérieur de la cage thoracique associé à un aplatissement des coupoles diaphragmatiques, un épaississement bronchique péri-hilaire diffus bilatéral dans le contexte de la BPCO connue. Pas d'argument pour un foyer systématisé surajouté décelable. Le cœur est de volume dans les limites de la norme sans signe de décompensation. Ostéopénie. Pas de fracture/tassement des corps vertébraux. Excès pondéral. Deux opacités de tonalité calcique en projection du trochiter droit ouvrant le DD entre calcifications capsulaires versus tendineuses. Test des 6 minutes, à l'entrée, à l'air ambiant : distance parcourue 110 m (avec rollator). FC 94-96 bpm, TA 138/85 mmHg - TA 144/90 mmHg, satO2 83% - 83%, EVA dyspnée 3/10 - 6-7/10. Test des 6 minutes, à la sortie, à l'air ambiant : distance parcourue 285 m (avec rollator). FC 108-109 bpm, TA 134/72 mmHg - TA 138/82 mmHg, satO2 89% - 86%, EVA dyspnée 0/10 - 3/10. Laboratoire: cf annexes. ECG du 03.12.2018 : rythme sinusal à 75 bpm, PR 140 ms, QRS fins à 90 ms avec un axe à 30°, QTc 443 ms, bonne progression de l'onde R en précordial avec une transition en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. Gazométrie du 03.12.2018, à l'air ambiant : pH 7.45, pCO2 5.01 kPa, pO2 8.4 kPa, satO2 90.9%, HCO3 25.9 mmol/l. Spirométrie du 11.12.2018: CVF 196% du prédit, VEMS 108% du prédit, Tiffeneau 43.2%. Spirométrie du 18.12.2018: CVF 138% du prédit, VEMS 82% du prédit, Tiffeneau 46.5%. Radiographie thorax du 06.12.2018 (comparatif du 30.11.2018) : on retrouve une désorganisation de la trame bronchovasculaire avec des remaniements para-hilaires droit un peu moins marqués malgré une lésion en bande fine mieux visible devant correspondre à la petite scissure. On visualise également une opacité un peu plus marquée au niveau sous-pleural latéral G et une régression de l'emphysème des tissus mous de la paroi latéro-thoracique D. Quasi disparition de l'épanchement pleural bilatéral. Radiographie thorax du 13.12.2018 : régression modérée du foyer de condensation de l'hémichamp pulmonaire moyen gauche. Test des 6 minutes, à l'entrée : distance parcourue 340 m. FC 101-123 bpm, TA 139/63 mmHg - TA 140/68 mmHg, satO2 93% - 84% (91% ap 1'), EVA dyspnée à la fin 3-4/10. Test des 6 minutes, à la sortie: distance parcourue 395 m. FC 76-101 bpm, TA 140/64 mmHg - TA 166/79 mmHg, satO2 97% - 94%, EVA dyspnée 0/10 - 3/10. Laboratoire: cf annexes. ECG du 08.01.2019 : rythme sinusal à 94 bpm, PR 156 ms, QRS fins à 92 ms avec un axe à -8°, QTc 423 ms, bonne progression de l'onde R avec transition en V3, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, T élevée à 9 mm en V3. Gazométrie du 08.01.2019, à l'air ambiant: pH 7.47. pCO2 5.34 kPa, pO2 6.9 kPa, SpO2 87.5%, HCO3 29.0 mmol/l. Spirométrie du 22.01.2019: CVF 102% du prédit, VEMS 58% du prédit, Tiffeneau 46.4%. Capnographie nocturne du 06-07.01.2019, sous O2 1 lt/min: tcpCO2 5.7 kPa, SpO2 moyenne 93%, indice de désaturation par heure: 3.13. Diffusion du CO du 22.01.2019: DLCO à 46%. Radiographie thorax du 10.01.2019 (comparatif du 21.12.2018) : on retrouve un infiltrat à la base D, d'aspect superposable, sans évolution notable et de multiples épaississements bronchiques. Cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique. PAC sous-clavier D avec extrémité dans la partie distale de la veine cave supérieure. Pas d'épanchement pleural notable. Radiographie thorax du 15.01.2019: aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Lésion rétractile basale bilatérale avec épaississement de la trame bronchovasculaire essentiellement au niveau basal à D. Pas d'épanchement pleural décelable. Radiographie thorax du 22.01.2019 (comparatif du 15.01.2019) : on retrouve l'image d'infiltrat basal droit, d'aspect superposable. Pour le reste, l'examen est également superposable avec quelques épaississements bronchiques et un cœur de taille dans les limites de la norme, sans signe d'insuffisance cardiaque. Pour mémoire, PAC sous-clavier droit avec extrémité à la jonction entre la veine cave supérieure et l'oreillette droite. Test des 6 minutes, à l'entrée, à l'air ambiant : distance parcourue 270 m. FC 95-105 bpm, TA 143/84 mmHg - TA 141/83 mmHg, satO2 91% - 81%, EVA dyspnée 1/10 - 3/10. Test des 6 minutes, à la sortie, à l'air ambiant: distance parcourue 425 m. FC 89-120 bpm, TA 118/69 mmHg - TA 149/78 mmHg, satO2 94% - 83% (90% ap 1'20''), EVA dyspnée 0/10 - 3/10.Laboratoire ECG du 15.01.2019 : rythme sinusal régulier normocarde à 92/min, PQ 150 ms, QRS fins à 90 ms, axe -20°, hémibloc antérieur gauche, transition de l'onde R en V5, pas d'onde Q significative, pas de trouble de la repolarisation, QTc 430 ms ETT du 15.01.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 70%. Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Dysfonction diastolique minime (grade I). Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche discrètement dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP (PAPs à 37 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Radiographie du thorax du 15.01.2019 : cardiomégalie sans signe de décompensation cardiaque. Le parenchyme pulmonaire se présente normalement, sans signe de foyer infectieux. Pas d'épanchement pleural. Lésions ostéocondensantes diffuses touchant l'ensemble des structures osseuses visualisées en rapport avec des métastases de cancer de la prostate connues. Radiographie du thorax du 17.01.2019 : développement d'un épanchement pleural droit de faible abondance. Pas d'épanchement pleural à gauche. Le reste de l'examen est inchangé. CT thoracique injecté le 15.01.2019 : embolie pulmonaire centrale à droite avec extension lobaire et segmentaire, lingulaire et lobaire inférieure gauche avec extension segmentaire. Probable début d'infarctus pulmonaire dans le LID. Pas de répercussion cardio-vasculaire. Aspect plus hétérogène du volume osseux exploré dans le contexte de la maladie oncologique du patient avec tassement de D3. Laboratoire ECG du 19.12.2018 : rythme sinusal à 80 bpm, PR à 140 ms, QRS élargis à 160 ms avec image de bloc de branche droit, avec un axe à 50°, QTc à 446 ms, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, T inversée en V1. Gazométrie du 20.12.2018, à l'air ambiant : pH 7.44, SpO2 94.2%, pCO2 3.87 kPa, pO2 9.7 kPa, HCO3 19.3 mmol/l. Gazométrie du 17.01.2019, à l'air ambiant : pH 7.42, SpO2 96.3%, pCO2 4.20 kPa, pO2 10 kPa, HCO3 19.9 mmol/l. Spirométrie du 08.01.2019 : CVF 78% du prédit, VEMS 80% du prédit, Tiffeneau 81.6%. Pléthysmographie du 08.01.2019 : CV 4.16 lt, CPT 7.06 lt. Diffusion du CO du 08.01.2019 : DLCO 43%. US uro-génital du 03.01.2019 : absence d'hypertrophie prostatique. Vessie sondée avec ballonnet en place. Radiographie thorax du 20.12.2018 (comparatif du 19.11.2018) : disparition de la plage d'infiltrat alvéolaire inférieur D, mais apparition d'un infiltrat alvéolaire lobaire supérieur D encore non confluant, pouvant faire suspecter un nouveau foyer de pneumopathie organisée versus une pneumonie. La plage pulmonaire G est bien ventilée avec quelques dystélectasies basales, sans véritable foyer de pneumonie mis en évidence. Une plage un peu moins radio-transparente dans l'apex G, de forme triangulaire, en surprojection de l'arc postérieur de la 4ème côte DD image construite. Un contrôle par radio standard serait souhaitable. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas d'insuffisance cardiaque. Emoussement des sinus costo-diaphragmatiques ddc, connu inchangé. SNG en surprojection correcte. Radiographie thorax face/profil du 10.01.2019 (comparatif du 20.12.2018) : disparition des infiltrats alvéolaires pulmonaires D. Pas de nouveau foyer apparu, ni à D, ni à G. Il persiste quelques petites dystélectasies à la base G. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Spondylose dorsale. Radiographie thorax face/profil du 17.01.2019 (comparatif du 10.01.2019) : pas d'apparition d'opacité alvéolaire nouvelle ni à droite ni à gauche. Pas d'épanchement pleural. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Test des 6 minutes, à l'entrée, sous O2 2 lt/min : distance parcourue 180 m. FC 100-100 bpm, TA 121/79 mmHg - TA 114/71 mmHg, satO2 98% - 91%, EVA dyspnée 0/10 - 3/10. Test des 6 minutes, à la sortie, sous O2 2 lt/min : distance parcourue 465 m. 80-126 bpm, TA 113/72 mmHg - TA 179/85 mmHg, satO2 97% - 80%, EVA dyspnée 0/10 - 7/10. Laboratoire ECG : rythme sinusal régulier à 61/min, pas de signe d'ischémie active, pas de signe d'HVG, pas d'ondes Q pathologique. Radiographie du thorax face/profil du 15.01.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. Laboratoire ECG : rythme sinusal régulier 64/min, PR 174 ms, QRS 94 ms avec transition RS en V3, ST isoélectrique, QTc 402 ms. Laboratoire Histologie : cf. annexes Laboratoire Histologie : cf. annexes Laboratoire Histologie : cf. annexes Laboratoire Histologie : cf. annexes Laboratoire Histologie : cf. annexes Laboratoire Histologie : cf. annexes Laboratoire Histologie : cf. annexes Ultrason abdominal du 05.01.2019 : petite lame de liquide libre à la pointe du caecum avec présence de plusieurs adénopathies mésentériques. Appendice non visualisé, mais signe de McBurney échographique. Reste de l'examen dans les normes. Une appendicite ne peut être exclue actuellement, mais l'examen actuel est aussi compatible avec une adénite mésentérique. Ultrason abdominal du 06.01.2019 : par rapport à l'examen précédent, légère majoration du liquide libre en fosse iliaque droite, sans liquide libre visualisé en rétrovésical. Appendice non visualisé en raison d'une coprostase importante persistante, mais signe de McBurney au passage de la sonde. Paroi des anses intestinales fines, sans signe d'inflammation. Motilité intestinale conservée. Persistance d'adénopathies mésentériques. CT-abdominal du 06.01.2019 : appendice non clairement visualisé, néanmoins absence d'abcès ou d'infiltration inflammatoire en fosse iliaque droite. Présence de plusieurs ganglions, du mésentère, compatible avec une adénite mésentérique. Kystes ovariens bilatéraux, prédominant à gauche. Un contrôle échographique à 6 semaines est recommandé. Laboratoire Histologie : cf. annexes CT abdominal 20.12.2018 : dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques, avec un cholédoque distal non visualisé, sans véritable masse visible en son sein ni calcul radio-opaque. Le pancréas est le siège d'une lésion focale, hypodense mal délimitée au niveau de sa tête, mesurant 19 mm de diamètre juste en avant de l'aorte abdominale, mais à distance de l'artère mésentérique supérieure et de la veine mésentérique supérieure avec un discret effet de masse sur le canal cholédoque DD pseudo-kyste DD cystadénome - cystadénocarcinome. ERCP 04.01.19 (cf. rapport) : kyste de 2 cm au niveau de la tête du pancréas, dilatation du Wirsung et du cholédoque, présence d'une masse près de la papille de plus de 1 cm de longueur, papille très enflée qui saigne spontanément au touché. Papillotomie, prélèvement de tissu pour biopsie, puis interruption de l'examen. ERCP 07.01.19 (cf. rapport) : papille duodénale masquée par une prolifération tumorale d'aspect villeux, mesurant env. 15 mm. Canal pancréatique dilaté irrégulier dans la tête du pancréas, importante dilatation du cholédoque et des voies biliaires intra-hépatiques, élargissement de la papille, mise en place d'un stent 10 French et 5 cm de longueur qui ramène de la bile trouble mélangée à du sludge.CT thoraco-abdominal 09.01.19: stabilité en taille de la masse de la tête du pancréas, associée à un double duct sign, stabilité en taille de la 2ème lésion hypodense de la queue du pancréas, vésicule biliaire à contenu hétérogène, aux parois d'épaisseur à la limite supérieure de la norme, lésion supra-centimétrique thyroïdienne gauche, à corréler à un avis endocrinologique, apparition d'un épanchement pleural gauche de petite quantité, associé à une atélectasie passive et partielle du lobe inférieur homolatéral. Pet-CT 10.01.19: intense hypercaptation en regard de la tête du pancréas, correspondant à la lésion tumorale connue. Mise en évidence d'hypercaptations parotidiennes bilatérales suspectes, à contrôler. Absence de lésion hypermétabolique suspecte d'éventuelles métastases. CT abdominal 15.01.19: Stent biliaire en position sub-optimale sans franche migration avec suspicion d'occlusion du fait d'une péjoration de la dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques et d'une diminution de l'aérobilie avec des signes de cholangite. ERCP 15.01.19 (Cf. rapport) Stent biliaire de polyéthylène en place sans écoulement de bile, intubation du cholédoque par le cathéter, opacification sans calcul visible, sludge sortant de la papille mélangé à de la bile, mise en place d'un nouveau stent 10 French, 5 cm de longueur. IRM abdominal 16.01.2019: Lésion de la tête du pancréas, mal délimitée avec de multiples formations kystiques, sans infiltration vasculaire, de l'aorte notamment. Persistance d'une dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques et d'un contenu hétérogène au sein de la vésicule et du cholédoque. Laboratoire: cf annexes. Hydratation IV par 250 ml. Adéquate hydratation per os. Contrôle Na chez le médecin traitant le 07.01. Laboratoire: cf annexes. Lavement Practomil. Laboratoire: cf annexes. NaCl 500 ml. Retour à domicile accompagnée d'un voisin. Laboratoire: cf annexes. Radiographie de la colonne lombaire face/profil du 02.01.2019: attitude scoliotique sinistro-convexe à large rayon de courbure, centrée sur L3-L4. La hauteur des corps vertébraux est conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Pas de lyse osseuse. (Dr. X) Radiographie du bassin/hanches du 02.01.2019: les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X) Laboratoire: cf annexes. Radiographie de l'abdomen couché du 25.01.2019: coprostase diffuse encore modérée, prédominant au niveau du côlon descendant et du sigmoïde. Pas de signe d'iléus en position couchée. Pas de calcification pathologique. (Dr. X) Laboratoire: cf annexes. Radiographie de l'abdomen: décrite ci-dessous. Voltarène 75 mg IV, Tramal 50 mg avec amélioration. Avis du Dr. X, chirurgien de garde. Lavement. Sirop figue pendant 3 jours. Contrôle chez le médecin traitant. Laboratoire: cf annexes. Radiographie de l'épaule droite du 05.01.2019: luxation gléno-humérale antéro-inférieure avec lésion de Hill-Sachs. (Dr. X) Radiographie post-réduction de l'épaule droite du 05.01.2019: par rapport au comparatif du même jour, on constate une bonne réduction de la luxation gléno-humérale antéro-inférieure et on retrouve la lésion de Hill-Sachs. Arthrose gléno-humérale. (Dr. X) CT-scanner cérébral natif et sinus/massif facial natif du 05.01.2019: pas de fracture des os du crâne et du massif facial. Absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Système ventriculaire et citernes de morphologie normale. Calcifications physiologiques et structures médianes de position normale. Petite lacune dans les noyaux gris centraux à droite (max. 6 mm). Pas d'autre lésion focale parenchymateuse. Hypodensité diffuse dans la substance blanche péri-ventriculaire des deux côtés, compatible avec une leuco-araïose. Pas d'altération des sillons cérébraux. Plusieurs calcifications du polygone de Willis. Épaississement polypoïde de la muqueuse dans le sinus frontal à droite, le reste des sinus para-nasaux, les oreilles moyennes et les cellules mastoïdes sont libres. CONCLUSION: CT cérébral dans la norme, sans lésion traumatique. (Dr. X) Laboratoire: cf annexes. Radiographie du bassin/hanche gauche axiale du 02.01.2019: comparatif du 1er mai 2012. Status post-PTH gauche en position inchangée, sans changement significatif, sans signe de descellement ou de fracture péri-prothétique. A droite, majoration en taille de la collerette ostéophytaire à la jonction tête - col fémoral dans le cadre d'une coxarthrose connue. Symphyse pubienne sp. Le reste des structures osseuses examinées se présente normalement. (Dr. X) Radiographie de la colonne lombaire face/profil du 02.01.2019: hauteur des corps vertébraux conservée. Bon alignement des murs antérieur et postérieur. Discopathie multi-étagée plus marquée en L3-L4, L4-L5 et L5-S1. Arthrose facettaire. Sur l'incidence de face, discrète attitude scoliotique en S de la colonne lombaire. (Dr. X) Laboratoire: cf annexes. Radiographie du pied entier gauche du 09.01.2019: par rapport au comparatif du 19.10.2018, on retrouve une importante déminéralisation osseuse diffuse avec une radio-transparence plus marquée dans la partie postérieure de l'astragale et des remaniements tarsiens, mais sans nette destruction osseuse et sans image d'ostéomyélite au niveau du talon. Calcifications artérielles débutantes. (Dr. X) Laboratoire: cf annexes. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. Laboratoire: cf annexes. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. Dose Rocephin 2 g IV aux urgences. Co-Amoxicilline cpr 1 g 2x/jour pendant 7 jours. Laboratoire: cf annexes. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. Traitement symptomatique par Brufen et Dafalgan, Nasonex, Rhinomer. Laboratoire: cf annexes. Radiographie du thorax face/profil du 15.01.2019: silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. (Dr. X) Laboratoire: cf annexes. Radiographie du 2ème doigt droit du 11.01.2019: les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. Pas de CE radio-opaque visualisé. (Dr. X) Laboratoire: cf annexes. Radiographies de la colonne lombaire et du bassin/hanches: décrites ci-dessous. Olfen 75 mg aux urgences. Irfen 400 mg 3x/jour durant 5 jours avec couverture par IPP. Dafalgan 1 g 4x/jour en réserve. Physiothérapie ambulatoire. Laboratoire: cf annexes. Sang occulte dans les selles: négatif. Laboratoire: cf annexes. Sang occulte dans les selles: négatif. Avis et passage du Dr. X, chirurgien de garde: fissure anale. Crème Ialugen. Consultation chez le Dr. X en cas de récidive. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Antalgie par Brufen et Dafalgan. Contrôle gynécologique. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Antibiothérapie par Rocéphine 2g IV aux urgences et relais PO par Ciprofloxacine 2x/500 mg pendant 7 jours. Contrôle clinico-biologique le 19.01 en filière des urgences ambulatoires, avec réception des résultats de l'urotube. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Avis du Dr. X, chirurgien de garde. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. Excellente efficacité du Nexium aux urgences.Traitement antalgique par Oméprazol à domicile. Consultation chez le médecin traitant la semaine prochaine. Consultation avant aux urgences si péjoration clinique. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Avis du Dr. X et du Dr. X. 2 mg Konakion IV. Stop Sintrom le 19.01, reprise le 20.01 (CHADVASC à 3). Contrôle clinique à la consultation du Dr. X le 21 ou 22.01. Nouvelle consultation aux urgences si urines rouges foncées/couleur vin rouge dans l'intervalle. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Culture urinaire: cf annexe. Avis et passage du Dr. X. Rocéphine 2 g IV aux urgences. Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour du 12.01 au 18.01. Contrôle chez le médecin traitant le 15.01, pister l'antibiogramme. Consultation aux urgences si péjoration. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. ECG: cf annexe. Avis et passage du Dr. X. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. Traitement symptomatique. Consultation chez le médecin traitant en début de semaine prochaine. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. ECG: décrit ci-dessous. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. Dafalgan 1 g. Brufen 400 mg. Tramal 50 mg. Retour à domicile avec antalgie par Dafalgan et Brufen. Arrêt de travail. Contrôle chez le médecin traitant dans 5 jours. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Nexium 20 mg aux urgences. Reconsulter les urgences pédiatriques à l'HFR Fribourg si récidive. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Radiographie du thorax face/profil du 25.01.2019: silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Petite désorganisation de la trame bronchovasculaire avec des épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax, ni de fracture costale visualisée. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Ultrason abdominal complet et recherche d'appendicite du 09.01.2019: le foie est de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans lésion focale décelable. Les voies biliaires ne sont pas dilatées. La vésicule biliaire présente des parois fines et ne contient pas de calcul. Le pancréas et la rate sont sans particularité. Les deux reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. La vessie en réplétion présente des parois fines et l'on ne visualise pas de pathologie gynécologique. Pas d'image pathognomonique pour une APP ni de liquide libre intrapéritonéal. CONCLUSION: pas d'image pathognomonique pour une APP ni d'autre cause objectivée aux douleurs de la patiente. Laboratoire: cf annexes. Stix et sédiment urinaire: cf annexe. CT-scanner abdominal natif du 29.01.2019: comparatif de janvier 2019. Abdomen: présence de deux calculs radio-opaques (525 HU) mesurant respectivement 4 x 3 x 2 mm et 2 x 2 x 2 mm, accolés dans l'uretère distal gauche, correspondant vraisemblablement à une fragmentation du calcul mis en évidence le 9 janvier. Pas de dilatation pyélocalicielle et urétérale en amont, ni d'infiltration de la graisse péri-rénale ou d'argument radiologique pour une rupture de fornix. Absence d'autre calcul radio-opaque le long des voies excrétrices urinaires. Les reins sont de taille et de configuration normale. Les structures uro-génitales ont une morphologie normale. Pas de masse ou de collection pelvienne. Pour le reste, sous réserve d'un examen réalisé sans injection de produit de contraste, les morphologies des parenchymes hépatiques, spléniques, pancréatiques et surrénaliens se présentent normalement. On retrouve les deux rates accessoires mesurant respectivement 13 et 4 mm de diamètre au niveau du hile. Aucun calcul radio opaque n'est objectivé dans la vésicule. Pas d'adénopathie, ni de liquide libre intra-abdominal. Pas d'altération dans les tissus mous. Sur les coupes passant par l'étage thoracique: stabilité en taille des deux nodules dans le segment latéro-basal du lobe inférieur gauche (images 21 et 30). Pas d'épanchement pleural. Osseux: absence de lésion ostéolytique ou ostéo-condensante suspecte. CONCLUSION: par rapport à l'examen du 9 janvier 2019, migration en distalité et fragmentation du calcul présent initialement dans l'uretère lombaire gauche, sans dilatation pyélocalicielle en amont. Examen réalisé par télé-radiologie depuis l'hôpital cantonal de Fribourg avec résultats transmis à 23h15 au Dr. X. Laboratoire: cf annexes. Stix urinaire: leucocytes ++, nitrite positif, sang ++++. Sédiment urinaire: globules rouges incomptables, leucocytes 6-10/champs, flore +++. CT-scanner abdominal natif du 09.01.2019: reins en place, mesurant 11,7 cm de grand axe à droite, 11,2 cm de grand axe à gauche. Absence de calcification radio-opaque en projection du rein droit ou des voies excrétrices à droite. Discrète tuméfaction rénale gauche sans infiltration de la graisse péri-rénale. Absence de calcul radio-opaque en projection du rein. Un calcul urétéral moyen gauche de 5 x 4,3 mm de diamètre d'une densité moyenne de 519 HU. Absence de dilatation urétérale ou pyélocalicielle d'amont. Le calcul est situé à la hauteur du promontoire sacré aux croisements des vaisseaux iliaques. Compte tenu de la non-injection de contraste, foie, rate, pancréas, surrénales sans particularité. Pas de calcul radio-opaque en projection de la vésicule biliaire. Stase stercorale pancolique modérée. Pas d'iléus grêle ou colique. Pas de liquide libre. Pas d'évidence d'adénomégalie rétropéritonéale, mésentérique ou pelvienne. Absence d'altération suspecte au niveau du volume osseux exploré. CONCLUSION: calcul urétéral moyen gauche aux croisements des vaisseaux iliaques, de 5 x 4,3 mm de diamètre. Pas d'obstruction des voies urinaires d'amont. Laboratoire: cf annexes. Stix/sédiment urinaire: cf annexe. Test de grossesse urinaire: négatif. Radiographie de l'abdomen couché: décrite ci-dessous. Lavement aux urgences: soulagement des douleurs. Traitement laxatif PO. Reconsulter les urgences si majoration des douleurs. Suivi chez le médecin traitant si persistance des douleurs. Laboratoire: cf annexes. Toxicologie: cf annexe. Laboratoire: cf annexes. Ultrason abdominal complet et recherche d'appendicite du 15.01.2019: le foie est de grande taille, mesurant environ 18,5 cm de diamètre antéro-postérieur sur la ligne médio-claviculaire et présente un parenchyme diffusément hyperéchogène, mais sans lésion focale décelable. Les voies biliaires ne sont pas dilatées. La vésicule biliaire présente des parois fines et ne contient pas de calcul. Le pancréas et la rate sont sans particularité. Les deux reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. La vessie en semi-réplétion présente des parois fines et l'on ne visualise pas d'image pathognomonique pour une APP, ni de liquide libre intra-péritonéal. CONCLUSION: hépatomégalie et stéatose hépatique, mais pas de signe de cholécystite, ni de liquide libre intrapéritonéal. Laboratoire: cf annexes. 2 paires d'hémocultures. Groupage sanguin. ECG: cf annexe. CT-scanner abdominal: décrit ci-dessous. Avis du Dr. X, chirurgien: 2 paires d'hémocultures puis ad Rocéphine 2 g IV et Flagyl 500 mg IV. Transfert à l'HFR Fribourg pour chirurgie en urgence. Dr. X (chef de clinique de chirurgie HFR Fribourg) au courant du cas et qui accepte le transfert. Rocéphine 2 g IV et Metronidazole 500 mg IV le 02.01 à 22h15. Antalgie par Tramal 50 mg et Olfen 50 mg ou morphine 2 mg IV pour le transfert. Transfert en ambulance au service d'urgences (HFR Fribourg, Dr. X contacté) dans l'attente d'une intervention chirurgicale.A jeun. Laboratoire: Cf annexes. Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 24.12.2018: Lésions parenchymateuses hypodenses cortico-sous-corticales frontale droite, insulaire gauche, corticale frontale gauche et au sein de la corona radiata à gauche, d'allure séquellaire. Hypodensités moins prononcées et moins bien définies occipitales gauches, posant le diagnostic différentiel entre une lésion ischémique subaiguë et chronique. Malgré des artéfacts de mouvement, les cartes de perfusion mettent en évidence un allongement du MTT et un ralentissement du CBF diffusément dans le territoire de l'artère cérébrale moyenne gauche, en rapport avec une occlusion au départ du segment M2, témoignant d'une lésion ischémique aiguë à subaiguë. Le CBF est difficilement interprétable en raison des artéfacts de mouvement. Vaisseaux précérébraux normalement perméables. Naissance fœtale des artères cérébrales postérieures. IRM cérébral le 24.12.2018 (Inselspital): Occlusion M1 G. Ischémie subaiguë sans transformation hémorragique du territoire sylvien G avec mismatch DWI-Perfusion. IRM cérébral le 25.12.2018 (Inselspital): Ischémie connue du territoire sylvien G. Discrète hémorragie pétéchiale dans la région infarcie occipitale G. Status post thrombectomie distale segment M1 G, perfusion des gros vaisseaux régulière en post-interventionnel. Angiographie cérébrale, thrombectomie et spasmolyse le 24.12.2018 (Inselspital): Recanalisation complète d'une occlusion M1 à G par thrombectomie mécanique en deux fois (TICI 3). Après la thrombectomie, vasospasmes sévères, qui se corrigent partiellement avec administration intra-artérielle de Nimodipine 4 mg. Echographie transoesophagienne le 26.12.2018 (Inselspital): Absence de foramen ovale perméable, pas de cause structurelle de l'AVC retrouvée. FEVG 60%. Holter de 72 heures posé le 07.01.2019: Résultats en cours d'analyse. Examen neuropsychologique et aphasiologique le 04.01.2019: Examen neuropsychologique et logopédique, réalisé chez un patient collaborant de 44 ans, met en évidence une apraxie de la parole ; des difficultés d'expression orale (langage aboli, quelques productions de phonèmes en répétition) ; des difficultés de compréhension orale et écrite ; des difficultés d'expression écrite (mots, pseudo-mots et phrases) ; des difficultés dans les praxies bucco-linguo-faciales ; des difficultés de calcul écrit ; des difficultés attentionnelles, associées à des signes d'héminégligence droite. Les difficultés relevées sont compatibles avec les lésions observées, avec une altération du langage dans toutes les modalités. Laboratoire: cf annexes. Angio-CT cérébral le 08.01.2019 (CHUV): Pas de lésion ischémique ni hémorragique visualisée. ASPECTS 10. Cartes de perfusion symétriques. L'artère vertébrale droite hypoplasique se terminant en PICA avec plusieurs artéfacts. Pas d'occlusion vasculaire intra ou précérébrale. IRM cérébrale le 09.01.2019: AVC ischémique aigu dans le territoire de l'artère cérébrale postérieure gauche (cortex occipital gauche et thalamus) avec transformation hémorragique. Séquelle ischémique focale du cortex frontal droit. Bonne perméabilité de l'ensemble des vaisseaux intracrâniens. Examen neurosonologique le 09.01.2019 (CHUV): Athéromatose modérée à la bifurcation carotidienne D, sans sténose hémodynamiquement significative. Flux physiologique au niveau carotidien G. Axe vertébro-basilaire: taille de l'artère vertébrale D à la limite inférieure de la norme. Flux physiologique (V0 non visualisés). Flux physiologique au niveau intracrânien. Artère cérébrale antérieure D non visualisée (probable absence congénitale). Echographie cardiaque transthoracique le 10.01.2019: Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie minime de la paroi antéro-apicale, de la paroi antérieure moyenne et de la paroi septale antérieure moyenne. FEVG à 50 %. Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Valve aortique normale. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Holter de 72 heures du 10.01.2019: Rapport définitif en cours. Bilan neuropsychologique le 11.01.2019: Cet examen neuropsychologique, réalisé chez un patient collaborant de 81 ans, met en évidence : des difficultés attentionnelles, non latéralisées (empan faible, ralentissement psychomoteur, fatigabilité), latéralisées en défaveur de la droite (hormis pour l'écriture spontanée où l'on observe un mauvais espacement sur la page en défaveur de la gauche), quelques difficultés exécutives, surtout d'incitation verbale, une altération du graphisme et de l'écriture, quelques difficultés dans les praxies constructives, une thymie triste. Les aspects attentionnels sont compatibles avec la localisation occipitale gauche et thalamique de la lésion aiguë. Cependant, compte tenu du caractère plus global du tableau, la participation d'une composante vasculaire et/ou dégénérative plus large n'est pas exclue, ce qui est également compatible avec les données de l'IRM cérébrale. De plus, le patient décrit des difficultés pour la détection de mots ou d'objets du côté droit présents depuis avant son AVC, ce qui pourrait laisser suspecter la présence d'une lésion antérieure ; nous avons discuté du cas au colloque de neurologie/neuropsychologie du 15.01.2018 mais après relecture des images, aucune lésion antérieure hormis la séquelle frontale droite du TCC de 2017 n'a été mise en évidence. Bilan ophtalmologique le 17.01.2019: Hémianopsie homonyme droite compatible avec l'AVC. Glaucome pseudoexfoliatif G>D. Pseudophakie. Laboratoire: Cf annexes. Angio-CT cérébral le 23.12.2018: AVC ischémique aigu des territoires de l'artère cérébrale antérieure et de l'artère cérébrale moyenne à droite sur occlusion de l'artère calloso-marginale droite (segment A3) et à la jonction de la branche supérieure M2/M3 à droite. Les cartes de perfusion montrent une zone centrale d'infarctus constitué dans les deux territoires touchés. Par ailleurs, présence de minimes hémorragies sous-arachnoïdiennes pétéchiales pariétales gauche ainsi qu'un hématome sous-galéal frontal gauche en rapport avec le status post-TC. Grosse séquelle d'AVC ischémique sylvien gauche. CT cérébral et thoraco-abdominal le 27.12.2018: On retrouve une transformation hémorragique dans les territoires pariétale et frontale à droite d'aspect inchangé par rapport à l'IRM du 24 décembre 2018. Pas d'effet de masse ou de signe d'engagement. Quelques lésions pétéchiales visibles en région frontale droite et pariétale gauche. Lésion hypodense dans le côlon sigmoïde correspondant probablement à un polype, DD : lésion tumorale. Un complément d'examen par colonoscopie est souhaitable. Pas de lésion tumorale suspecte visible sur l'ensemble de l'examen. CT cérébral du 03.01.2019: Régression des foyers d'hémorragie frontale et pariétale droite. Stabilité du foyer d'hémorragie sous-arachnoïdienne pariétale gauche. AVC constitué de la région fronto-pariétale droite et pariétale gauche. IRM cérébrale le 24.12.2018: Examen évoquant une lésion ischémique aiguë sylvienne droite et dans le territoire de l'artère cérébrale antérieure à droite. Les plages d'hyposignaux à l'intérieur des lésions, sur les coupes T2*, doivent correspondre à des dépôts d'hémosidérine. Les plages d'hypersignaux au niveau de la substance blanche principalement à gauche, sur les coupes FLAIR, doivent correspondre à des séquelles, des lésions ischémiques anciennes.Echographie cardiaque transthoracique le 24.12.2018: • Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. • FEVG à 75 % (évaluation visuelle). • Aorte normale. • Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. • Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. • Valve mitrale normale. • Oreillette gauche discrètement dilatée. • Ventricule droit normal. • Ventricule droit non dilaté. • VCI se collabe en inspiration en faveur d'une hypovolémie. • Absence d'épanchement péricardique. • L'examen du jour (qui est de mauvaise qualité d'image) ne montre pas d'évidence en faveur d'un thrombus intracardiaque, bien qu'un thrombus au niveau du LAA ne puisse pas être exclu par ETT. • Il n'y a pas d'autre source cardioembolique apparente. Radiographie du bassin et hanche G le 25.12.2018: • Pas de fracture mise en évidence. • Coxarthrose bilatérale. • Altérations dégénératives des articulations sacro-iliaques. Radiographie du poignet G le 25.12.2018: • Pas de fracture mise en évidence. • Importante rhizarthrose et arthrose STT. • Importante arthrose de l'articulation MCP2 avec calcifications des parties molles parlant pour une chondrocalcinose. • Arthrose modérée de l'articulation MCP1 et de l'articulation IP du pouce. • Chondrocalcinose du TFCC. Laboratoire: cf. annexes Cholangio-IRM du 08.01.2019: • Deux macros lithiases du bas-cholédoque avec majoration de la dilatation des voies biliaires intra et extra hépatiques. • Diverticule para papillaire duodénal inchangé depuis le comparatif. ERCP le 09.01.2019: • Ablation d'un calcul et mise en place d'un stent. Laboratoire: cf. annexes Cholangio-IRM du 08.01.2019: • Deux macros lithiases du bas-cholédoque avec majoration de la dilatation des voies biliaires intra et extra hépatiques. • Diverticule para papillaire duodénal inchangé depuis le comparatif. ERCP le 09.01.2019: • Destruction partielle d'un concrément et mise en place d'un stent. ERCP le 14.01.2019: • Extraction d'un calcul cholédocien résiduel et ablation de stent. Laboratoire (cf. annexes) Coronarographie en urgence à l'Inselspital à Berne le 23.12.2018 : • Angioplastie avec implantation de 1 stent actif dans l'IVA. 2ème coronarographie en électif le 27.12.2018 : • Maladie coronarienne tritronculaire avec excellent résultat après PCI de l'IVA pour STEMI antérieur le 23.12.2018. • Sténose de 75 % de l'artère circonflexe distale traitée par angioplastie avec implantation de 1 stent actif. • Sténoses de 75 % de l'artère coronarienne droite moyenne et distale traitées par angioplastie avec implantation de 2 stents actifs, avec bon résultat. • Fraction d'éjection ventriculaire gauche de 48 %. Echocardiographie transthoracique le 25.12.2018: • Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une akinésie du septum apical, des parois inféro-apicale et septale antérieure moyenne, une hypokinésie sévère du septum moyen, une hypokinésie modérée des parois latéro-apicale et antéro-apicale et une hypokinésie minime de la paroi inférieure moyenne. • FEVG à 45 %. • Aorte normale. • Valve aortique normale. • Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. • Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. • Valve mitrale normale. • Dysfonction diastolique minime (grade I). • Oreillette gauche non dilatée. • Oreillette droite normale. • Ventricule droit normal. • Absence de dilatation des cavités droites. • VCI se collabe en inspiration en faveur d'une hypovolémie. • Valve tricuspide normale. • Valve pulmonaire normale. • Absence d'épanchement péricardique. Echocardiographie transthoracique ciblée le 28.12.2018 : • Absence d'évidence pour un thrombus apical (SonoVue). Laboratoire (cf annexes) Coronarographie le 14.01.2019 : • L'examen invasif du jour démontre comme raison pour le STEMI subaigu une occlusion de l'IVA proximale. • L'artère circonflexe et l'ACD montrent des lésions <30 %. • La fonction systolique du VG est sévèrement diminuée à cause d'une akinésie antéro-septal-latéral. • Succès de recanalisation de l'artère interventriculaire antérieure proximale et implantation de 3 stents actifs. • Le résultat est bon, le flux est un peu diminué (TIMI 2-3). • Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 12 mois, statines, ICE, BB. • ETT dans 2-3 jours. Echocardiographie transthoracique du 16.01.2019 (Dr. X) : • Ventricule gauche non dilaté avec une akinésie de la paroi apicale étendue, de la paroi antérieure moyenne et de la paroi septale antérieure moyenne et une hypokinésie sévère du septum moyen et de la paroi latérale moyenne. • FEVG à 42 % (méthode de Simpson biplan). • Absence de thrombus apical après injection de produit de contraste endocavitaire. • Bourrelet septal sous-aortique avec obstruction dynamique sous-aortique au repos avec une majoration importante après manœuvres de Valsalva sans SAM (gradient max de 20 mmHg à 60 mmHg après Valsalva). • Aorte non dilatée. • Valve aortique normale. • Gradient moyen VG-Ao à 8 mmHg. • Pas d'insuffisance aortique. • Valve mitrale normale. • Absence d'insuffisance mitrale. • Dysfonction diastolique minime (grade I). • Discrète augmentation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. • Ventricule droit non dilaté. • Cinétique ventriculaire droite normale. • Fonction systolique du ventricule droit normale. • Absence de dilatation des cavités droites. • VCI se collabe en inspiration en faveur d'une hypovolémie. • Absence d'insuffisance tricuspide. • Absence d'épanchement péricardique. • Akinésie apicale étendue avec FEVG diminué à 42 % sans thrombus apical (injection de produit de contraste endocavitaire). • Obstruction dynamique sous-aortique par bourrelet septal sous-aortique asymptomatique : ad inotropie négative (ex. bêta-bloquant). • Suivi échocardiographique proche avec ETT à 10 jours à Billens et à 1 mois post-infarctus afin d'évaluer l'introduction d'une anticoagulation orale à distance. Laboratoire (cf. annexes) Coronarographie le 31.12.2018 ETT le 02.01.2019: • Ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie modérée de la paroi latérale moyenne et de la paroi latéro-basale. • FEVG 39 %. Laboratoire: cf. annexes CT abdominal du 26.12.2018: • Diverticulite sigmoïdienne perforée couverte avec un abcès de 20 mm au niveau de la paroi sigmoïdienne non-drainable. CT abdominal le 31.12.2018: • Nette diminution de l'épaississement pariétal focal de la boucle proximale sigmoïdienne et disparition de la collection pariétale décrite au comparatif, avec persistance d'une minime infiltration de la graisse au contact. • Pas de nouvelle collection, d'infiltration ou de pneumopéritoine. • On retrouve le remaniement focal de la graisse en regard de la jonction entre le colon descendant et le sigmoïde, séquellaire de l'appendagite visible au CT-scan de 2016. • Le reste de l'examen est superposable au comparatif. Laboratoire: cf. annexes CT abdominal du 27.12.2018: • Abdomen : Appendice épaissi, mesurant jusqu'à 11 mm de diamètre, s'étendant jusqu'en regard du muscle psoas droit, associé à une légère infiltration de la graisse au contact ainsi qu'à des adénopathies iliaques externes droites et iliaques communes droites (remontant jusqu'à la bifurcation aorto-bi-iliaque) ainsi que iléo-caecales. • Pas de liquide libre. • Pas de pneumopéritoine. • Diverticule à la jonction colo-rectale. • Absence d'iléus. • Pas de signe d'iléite terminale. • Le foie est de taille, de configuration et de densité normale. • Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. • Aucun calcul radio opaque n'est objectivé dans la vésicule. • La rate, le pancréas et les surrénales ont une morphologie normale. • Les reins sont de taille et de configuration normale, sans dilatation du système excréteur. • Les structures uro-génitales ont une morphologie normale. • Pas de masse ou de collection pelvienne. • Pas d'anomalie de l'aorte ou de la veine cave inférieure. • Les structures vasculaires pelviennes sont sans particularité. • Sur les coupes passant par l'étage thoracique : Troubles ventilatoires en région déclive des deux poumons. • Os : Sans particularité.Laboratoire: cf. annexes CT abdominal le 18.01.2019: Rehaussement des parois des voies biliaires dd cholangite avec calcul choledocien inchangé. Absence de thrombose porto-veineuse. Laboratoire cf annexes CT abdominal le 19.12.2018: Iléus grêle iléal mécanique avec saut de calibre en fosse iliaque droite (fèces sign, niveaux hydro-aériques, dilatations par endroit jusqu'à 3 cm) avec liquide libre pelvien mais bonne préservation du rehaussement muqueux, dont l'étiologie reste indéterminée dd bride, tumeur. Sous réserve d'une seule acquisition en temps veineux d'emblée, on note la présence d'un épaississement focal centimétrique de la paroi iléale en FID soulevant le diagnostic différentiel avec une tumeur du grêle partiellement obstructive. Importante stase gastrique nécessitant la mise en place d'une sonde gastrique. Nodule hépatique du segment VI à caractériser par IRM. CT thoraco-abdominal 30.12.2018: Foyer infectieux pulmonaire lobaire supérieur droit et basal gauche. Épanchements bilatéraux avec troubles ventilatoires passifs possiblement également surinfectés notamment en base droite. Pas de signe indirect de fuite anastomotique visualisé à l'étage abdominal sous réserve de l'absence d'opacification de l'anastomose en raison d'une progression lente du contraste per os. Pas de signe d'iléus. Pas de saut de calibre. Infiltration diffuse des parties molles du mésentère et pariétales en faveur d'une surcharge hydrique. Histologie (Promed 2018.14778) du 27.12.2018: tumeur neuroendocrine (diamètre maximal 1,3 cm) de l'intestin grêle, grade G2. Histologie (Promed: 2018.14981) du 04.01.2019: Trois métastases ganglionnaires d'une tumeur neuroendocrine bien différenciée (0.3/0.7/1.5 cm) sur onze ganglions lymphatiques, microfoyer de 0.05 cm d'une tumeur neuroendocrine bien différenciée engainant 2 artérioles dans tissu adipeux mésentérique Laboratoire: cf. annexes CT abdominal le 26.11.2018: Apparition d'une collection sous-cutanée de 37 mm en fosse iliaque droite se remplissant de produit de contraste, vraisemblablement en rapport avec une fistule entéro-cutanée mais dont le trajet n'est pas clairement visible. Aspect inchangé des autres fistules de la ligne médiane sous-ombilicale avec collection millimétrique sous-cutanée. Éventration de 6 cm para-ombilicale gauche avec saillie d'anses et de graisse sans signe d'incarcération. Hernie parastomiale gauche inchangée. CT abdominal le 14.12.2018: Disparition de la collection de la paroi abdominale précédemment visible en fosse iliaque droite, avec persistance d'un remaniement tissulaire en lieu et place. Fine lame liquidienne sous-cutanée en regard du VAC mesurant 30 x 13 x 3 mm. Pas de nouvelle fistule entéro-cutanée décelée. Laboratoire: cf annexes CT cérébral 15.01.19: Status post-résection complète d'une lésion occipitale droite sous-corticale avec persistance d'une plage d'hypodensité en rapport avec l'œdème sous-cortical. Apparition d'une collection épidurale en regard du site de crâniotomie mesurant 7 mm d'épaisseur avec contenu hypodense et de multiples bulles d'air. Cette collection communique avec les tissus mous péri-crâniens où on note également une petite collection de 5 mm. Laboratoire: cf. annexes CT cérébral/colonne cervicale 02.01.2019: Multiples fractures du massif facial: Fracture de la paroi latérale de l'orbite droite avec disjonction sphéno-malaire sans incarcération musculaire ou graisseuse. Fracture du plancher de l'orbite droite à proximité du canal infra-orbitaire sans incarcération musculaire ou graisseuse. Fractures des murs antérieur et postérieur du sinus maxillaire droit. Hémato-sinus associé. Emphysème para-maxillaire. Fracture non déplacée de l'arcade zygomatique droite associée à une fracture de la partie postérieure du processus zygomatique. Fracture du ramus de la mandibule droite. Absence de fracture de la colonne cervicale. Absence d'hémorragie intracrânienne Laboratoire: cf. annexes CT crâne du 26.12.2018: Absence de saignement intracrânien. Pas de fracture. Importante infiltration et tuméfaction des tissus mous périorbitaires à droite en pré-septal et en avant du processus zygomatique droit. Laboratoire: cf annexes CT 22.12.2018: Sigmoïdite diverticulaire aiguë avec doute quant à une perforation couverte versus diverticule géant enflammé en regard de la paroi antéro-inférieure du sigmoïde (classe IIa versus IIb selon Hansen & Stock). CT abdominal 28.12.2018: Diverticulite perforée couverte de type 2b selon H&S. Pas d'abcès visible. Laboratoire (cf annexes) CT-Scan cérébral et carotides natif et injecté du 28.12.2018 (Dr. X et Dr. X): Pas d'argument radiologique pour un accident vasculaire cérébral ischémique ou hémorragique. Absence de processus expansif aux étages supra- et infra-tentoriels. Nous restons toutefois à disposition pour la réalisation d'une IRM en cas de forte suspicion d'une atteinte de l'oreille interne (dd: Neurinome de l'acoustique?). IRM neurocrâne du 31.12.2018 (Dr. X): IRM cérébrale dans les limites de la norme, sans lésion ischémique récente ou anomalie notable de la fosse postérieure. Laboratoire: cf annexes CT-scan thoraco-abdominal le 24.01.2019: épanchement pleural gauche avec cardiomégalie globale, épaississement des lignes septales pouvant cadrer avec des signes débutants de décompensation cardiaque probable. Très probable cholécystite aiguë. Foie modérément dysmorphique. CT-scan abdominal le 28.01.2019: vésicule collabée, rendant un drainage à risque de fortes complications. De plus, l'indication au drainage n'existe plus, la vésicule s'étant drainée spontanément dans les voies naturelles. US abdominal 29.01.2019: vésicule biliaire collabée avec calculs en son sein, sans franc signe de cholécystite. Laboratoire: cf. annexes ECG: RSR, pas de trouble de la repolarisation, pas de signes d'ischémie CT-scan natif cérébral du 08.01.2019: pas de saignement visualisé Test de Schellong négatif Holter de 24h: pas de trouble du rythme ETT le 10.01.2019: examen dans les limites de la norme, pas de valvulopathie, pas de dilatation, FEVG à 65 % Laboratoire: cf. annexes ECG du 13.12.2018: rythme sinusal régulier, FC 76 bpm, onde T aplatie en aVL, sinon ECG sp. Oxymétrie nocturne du 27.12.2018, à l'air ambiant: SpO2 moyenne 86%, SpO2 <90%: 18.5%, index des événements de désaturation 5.3/heure. Oxymétrie nocturne du 03.01.2019, sous O2 1lt/min: SpO2 moyenne 87%, SpO2 <90%: 3.3%, index des événements de désaturation 4.4/heure. Radiographie colonne lombaire face/profil du 03.01.2019: en confrontation avec l'IRM du 18.10.2018, on note à présent une extension de la spondylodèse lombaire postérieure, étendue de L2 en L5. Vis pédonculaires en place, intactes. Tiges de Harrington intactes. Pas de signe de rupture ou déscellement. Les cages discales sont également en place. Antélisthésis connu de grade I de L4 sur L5. Pas de fracture des vertèbres sus-jacentes. Scoliose lombaire sinistro-convexe avec importante composante rotatoire. Articulations SI symétriques. PTH bilatérale. Doppler jambe D (thrombus) du 03.01.2019: pas de thrombophlébite décelable. Importante infiltration œdémateuse de la graisse cutanée de la jambe droite. Laboratoire: cf. annexes. ECG du 14.12.2018: RSR à 76/min, PR 182 ms, QRS fins avec axe à 90°, pas de trouble de repolarisation, QTc à 430 ms. Laboratoire: cf. annexes. ECG du 17.12.2018: FA à 72/min, bloc de branche gauche avec axe à 50°, pas de trouble de repolarisation, QTc 459 ms.Laboratoire: cf. annexes. ECG du 18.12.2018: RSR à 75/min, PR à 184 ms, QRS fins avec axe à 10°, ondes T négatives en V1, pas de signe d'ischémie. QTc 420 ms. Laboratoire: cf annexes. ECG: rythme sinusal régulier, normocarde à 70 bpm environ, axe normal à - 14°, QRS fins à 84 ms, segment-ST isoélectrique. Onde T en pointe > QRS en V2 comparable aux précédents. Transition de l'onde R retardée en V5. QTc à 398 ms. Laboratoire: cf. annexes ECG: rythme sinusal régulier, normocarde, bloc de branche droit connu. Laboratoire: cf. annexes ECG Rx thorax du 20.01.2019: Silhouette cardiaque dans la norme. Apparition d'une surélévation de la coupole diaphragmatique gauche associée à une atélectase partielle de la pyramide basale en regard (DD foyer surajouté ?). Absence d'épanchement pleural. Séquelles de fracture de la clavicule droite. CT abdominal du 20.01.2019: Absence d'iléus. Diverticulose du colon descendant et sigmoïde, sans signe de diverticulite. Hépatomégalie et discrète splénomégalie inchangées. Apparition d'une surélévation de la coupole diaphragmatique gauche avec atélectase partielle de la pyramide basale en regard. CT thoracique du 22.01.2019: Par rapport aux comparatifs, apparition de multiples adénopathies médiastinales, axillaires; majoration de la splénomégalie (DD: récidive de la leucémie ? PTLD ?). Image de pneumonie en base gauche associée à une atélectasie. Absence de perforation digestive à l'étage abdominal supérieur. PT-CT du 24.01.2019: Augmentation en taille et en nombre des ganglions aux étages cervical, thoracique, dans le rétropéritoine et en regard du hile hépatique (à noter que l'examen est d'étude suboptimale en raison de l'absence de contraste IV). Laboratoire: cf annexes Echocardiographie transthoracique le 21.12.18: Aspect de cardiopathie hypertrophique, plus marquée en apical sans signe d'obstruction mi-ventriculaire gauche au repos (DD: HCM, cardiopathie hypertensive). Fonction diastolique non évaluable en raison de la fibrillation atriale. Fonction systolique du VG légèrement diminuée sur hypokinésie globale (probablement sous-estimée dans le contexte de FA rapide). Insuffisance mitrale modérée, d'origine dégénérative. Dilatation biventriculaire. Sous réserve d'un examen transthoracique, pas de masse flottante suspecte de végétation visualisée sur les valves cardiaques. Contrôle de la réponse ventriculaire et réintroduction d'une anticoagulation thérapeutique dès que possible. Diminution de la post-charge. Fond d'œil le 27.12: pas de signe de vasculite, pas d'embole. Biopsie cutanée le 20.12.18. Laboratoire: cf annexes Gazométrie artérielle Électrocardiogramme Colonoscopie 15.01.19 (Dr. X): Tumeur au niveau du rectum proximal à 10-15 cm de la marge anale occupant ¼ de la circonférence. Présence d'un polype pédiculé de 15 mm de taille au niveau du sigmoïde proximal, à 30 cm de la marge anale également biopsiée. Présence de quelques diverticules au niveau de l'ensemble du cadre colique sans signe inflammatoire. Conclusion : diverticulose colique calme, polype pédiculé supra-centimétrique du sigmoïde, suspicion d'adénocarcinome rectal. Proposition : ad bilan d'extension et dosage CEA ainsi qu'IRM pelvienne si prise en charge chirurgicale envisageable. Résultats biopsies 15.01.19: • Biopsie sur polype sigmoïde: fragments superficiels de tissu adénomateux tubulovilleux avec dysplasie épithéliale/néoplasie intraépithéliale de bas grade (trois fragments sigmoïde). • Biopsie de la tumeur du rectum: adénocarcinome moyennement différencié de type colorectal exprimant les protéines du système MMR (trois fragments rectum). Laboratoire cf annexes Hémocultures 2x2 le 11.1.19: Uriculte: à pister. Sonographie abdomen le 14.01.2019: pas de cholécystite. Transfusion de 2 CE le 15.1.2019. Laboratoire: cf. annexes Histologie : cf annexes. Laboratoire: cf. annexes Histologie: cf annexes. Laboratoire: cf. annexes Histologie: cf annexes. Laboratoire: cf. annexes Histologie: cf annexes. Laboratoire: cf annexes Histologie: cf annexes. Laboratoire: cf annexes Histologie: cf annexes. Laboratoire: cf. annexes Histologie: cf. annexes. Ultrason abdominal le 08.01.2019: Mise en évidence d'une appendicite aiguë (image en cocarde avec infiltration de la graisse au contact). Laboratoire: cf. annexes Histologie: cf annexes. ECG: rythme sinusal tachycarde à 106/min, QRS d'axe normal à 82°, QRS fins à 100 ms, transition de l'onde R en V3, pas de signe d'ischémie, QTc à 421 ms. Sédiment urinaire. Hémoculture. Urotube. Laboratoire: cf. annexes Histologie: cf annexes. ERCP le 21.01.2019: cf. annexes. Ultrason abdomen supérieur le 21.01.2019: Cholécystolithiases et cholédocholithiase, associées à une dilatation des voies biliaires extra-hépatiques et une ectasie des voies biliaires intra-hépatiques, sans argument radiologique pour une cholécystite. Laboratoire: cf. annexes Histologie: cf annexes. Ultrason abdominal du 09.01.2019: absence de liquide libre, appendice visualisé avec signe double cocarde et hyper-échogénicité de la graisse viscérale. Laboratoire: cf. annexes Histologie: cf annexes. Ultrason abdominal du 16.01.2019: Appendice non visualisable. Cependant, la présence de quelques ganglions de tailles infracentimétriques en fosse iliaque droite associée à une infiltration de la graisse et des douleurs au passage de la sonde doivent faire suspecter une appendicite. Diagnostic différentiel: appendice rétro-caecale ? Nous sommes à disposition pour un complément d'imagerie par CT-scanner. CT-scanner abdominal du 16.01.2019: Appendicite rétro-caecale non perforée provenant d'un caecum mobile bas situé. Fine lame de liquide libre dans le cul-de-sac de Douglas. Stase stercorale de tout le cadre colique sans dilatation des anses grêles ou coliques. Laboratoire: cf. annexes Histologie: thyroïde d'architecture folliculaire préservée avec inflammation chronique. Deux glandes parathyroïdes de 3 mm à gauche et une glande parathyroïde de 4 mm à droite. Laboratoire: cf. annexes Histopathologie: cf. annexes. Rx abdominal du 03.01.2019: Importante coprostase essentiellement colique droite et colique transverse. Importante distorsion du colon droit. Multiples phlébolithes pelviens bilatéraux. CT abdominal du 04.01.2019: Aspect d'une lésion tumorale circonférentielle du segment proximal du côlon sigmoïde avec adénopathies d'allure métastatique, satellites et importante dilatation colique. Lésion solitaire du segment VI du foie prenant le contraste intensément en temps artériel pouvant cadrer avec une malformation vasculaire, à mieux caractériser par IRM à distance. PET-scan le 08.01.2019: Néoplasie hypermétabolique du sigmoïde. La masse hyperactive utérine/parautérine droite pourrait correspondre à une métastase de la tumeur primaire. La lésion hépatique n'a pas été mise en évidence (flash hémangiome ?). Absence de lésion hypermétabolique suspecte d'éventuelles métastases pulmonaires, hépatiques, ganglionnaires ou osseuses. Colonoscopie le 08.01.2019: volumineuse lésion bourgeonnante du sigmoïde à 30 cm de la marge anale non franchissable par l'endoscopie. Pas de lésion visualisée dans le côlon transverse proximal et le côlon ascendant par la stomie. Echographie vaginale le 08.01.2019: Utérus d'aspect myomateux de taille légèrement augmentée avec 1 myome centimétrique de la paroi antérieure de l'utérus. Ovaires de morphologie normale. Ovaire droit discrètement moins folliculaire et de taille discrètement augmentée par rapport à l'ovaire gauche. IRM pelvienne du 10.01.2019: multiples lésions nodulaires utérines compatibles en premier lieu avec des léiomyomes. L'une de ces lésions située dans la partie antérieure droite de l'utérus doit très vraisemblablement correspondre à la lésion hyper-captante au PET-scanner. Ses caractéristiques à l'IRM ne sont pas évocatrices d'un léiomyosarcome, mais l'hypercaptation au PET-scanner à ce niveau doit être corrélée à un avis spécialisé en médecine nucléaire. Pas de mise en évidence d'autre lésion suspecte en fosse iliaque droite pouvant correspondre à l'hyper-captation visualisée au PET, notamment pas de signe d'implant tumoral. Fine lame de liquide libre dans le pelvis. Masse tumorale du colon sigmoïde proximal avec adénopathies dans le mésentère en regard.Laboratoire: cf annexes. IRM cérébrale le 14.01.2019: Absence d'argument en faveur d'une lésion ischémique récente. Comme sur le comparatif de 2015, on retrouve une sub-occlusion/occlusion de la partie proximale et intermédiaire du tronc basilaire. Echocardiographie transthoracique du 16.01.2019: Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Valve aortique normale. Absence de valvulopathie aortique. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Duplex transcrânien et des vaisseaux précérébraux le 18.01.2019: Rapport définitif en cours. Laboratoire: cf annexes. Oesogastroduodénoscopie et colonoscopie du 25.01.2019: polype atypique à côté d'un diverticule duodénal qui contient la papille, résection de masse polypoïde qui saigne légèrement. Résection de polype dans le colon transverse. Laboratoire: cf annexes. Oesogastroduodénoscopie le 03.01.2019: Candidose oesophagienne. Oesophagite (par reflux) de stade B à C selon Los Angeles sur hernie hiatale. Gastrite antrale. Laboratoire: cf annexes. Radiographie de la hanche droite le 05.12.2018: Fracture du col fémoral droit déplacée avec angulation en varus, classée Garden 4. Séquelles de fractures des branches ilio- et ischio-pubiennes des deux côtés. CT cérébral le 05.12.2018: Atrophie cortico-sous-corticale modérée en lien avec l'âge de la patiente et vraisemblable présence d'une leucoaraïose. Pas d'argument en faveur d'une lésion ischémique constituée ou hémorragique. À noter une asymétrie des artères cérébrales moyennes en défaveur du côté droit. Si persistance des symptômes, bilan à compléter par une IRM cérébrale. Radiographie du thorax le 06.12.2018: Examen réalisé en position couchée. Index cardio-thoracique à la limite supérieure de la norme, sous réserve de la position. Opacité rétrocardiaque gauche, suspecte d'un foyer. Toutefois, en raison de la position, une image construite par les surprojections est également possible. Suspicion d'épanchement pleural gauche. Cadre osseux sans franche particularité. Radiographie du bassin et hanche axial à droite le 07.12.2018: Status post-mise en place d'une prothèse céphalique du fémur droit sans luxation visible et sans fracture péri-prothétique. Sonde vésicale en place. Le reste du status est superposable. Radiographie du thorax le 11.12.2018: Examen réalisé en position couchée et en incidence antéro-postérieure. Dans ce contexte, il est difficile d'évaluer la taille du cœur qui semble être néanmoins légèrement augmentée. On retrouve un important flou péri-hilaire ainsi qu'une redistribution vasculaire et des infiltrats péri-bronchovasculaires pouvant être compatibles avec une décompensation cardiaque. On retrouve également un discret épanchement pleural à gauche, avec une opacité rétrocardiaque pouvant correspondre à une atélectasie passive mais sans qu'un foyer infectieux ne puisse être exclu. Le reste du status est superposable. Passage oesogastro-duodénal le 11.12.2018: Pas d'obstacle au passage du produit de contraste ni de broncho-aspiration mis en évidence. CT thoracique le 12.12.2018: Absence d'embolie pulmonaire. Comblements bronchiques du tronc intermédiaire, des bronches lobaire moyenne et inférieure droite ainsi que des bronches de plus petit calibre dans le lobe moyen, le lobe inférieur droit et le lobe inférieur gauche, parlant en faveur d'un status post bronchoaspiration. Atélectases partielles dans les deux lobes inférieurs et dans la lingula. Épanchements pleuraux bilatéraux de faible abondance. Sonde nasogastrique en place se terminant au sein de l'estomac. Au niveau osseux, tassement des corps vertébraux de D4, D6, D7, D10, D11 et D12, d'aspect récent en D12, sans recul significatif des murs postérieurs. Les autres tassements ne sont pas datables. Radiographie colonne dorsale le 13.12.2018: Sous réserve des différentes modalités et de l'examen réalisé en position assise, il n'y a pas de perte de hauteur supplémentaire clairement visible de la vertèbre D12. Pas de nouvelle fracture clairement mise en évidence, sous réserve de l'examen de qualité limitée. Pour le reste, épanchement pleural bilatéral avec troubles ventilatoires des bases pulmonaires. Le reste du status est superposable. Laboratoire: cf annexes. Radiographie du thorax le 03.01.2019: Signes d'insuffisance cardiaque non décompensée avec cardiomégalie (CTR 54 %), redistribution baso-apicale et turgescence hilaire bilatérale. Léger déroulement athéromateux de l'aorte. Absence d'épanchement pleural. Absence de signe en faveur d'une décompensation cardiaque. Ventilation symétrique des plages pulmonaires sans foyer visible. Tissus mous et structures osseuses sans particularité. ETT le 03.01.2019: Examen de qualité très limitée chez patient peu échogène : Ventricule gauche non dilaté. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Cinétique segmentaire non analysable au vu de la qualité des images. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 11 mmHg. Insuffisance aortique minime. Il existe une accélération des vitesses dans la CCVG d'origine peu claire. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche discrètement dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique. Absence d'épanchement péricardique. Examen grossièrement superposable à celui de 10/2018. Add ETO pour évaluation plus en détail l'accélération sous aortique d'origine peu claire. Laboratoire: cf. annexes. Radiographie du thorax le 04.01.2019. CT thoracique le 08.01.2019: • Pas d'embolie pulmonaire ni de foyer infectieux visualisé. • Stéatose hépatique. • Le reste de l'examen est dans la norme. Laboratoire: cf annexes. Radiographie du thorax le 19.12.2018: Silhouette cardio-médiastinale normale, sans signe de décompensation cardiaque. Pas de foyer infectieux ni de nodule suspect décelé. Pas d'épanchement pleural. Surélévation de la coupole diaphragmatique gauche. Cadre osseux sans particularité. US abdominal supérieur natif le 19.12.2018: En comparaison avec l'examen précédent du 12.09.2018. Foie de morphologie et d'échostructure normales, de contours réguliers, avec présence d'un hémangiome connu dans le segment II (max. 14 mm). Pas d'autre lésion focale. Diamètre cranio-caudal sur la ligne médio-claviculaire 146 mm. Tronc porte perméable, de flux hépatopète. Vitesse non concluante en raison d'importants artéfacts de mouvement. Veines sus-hépatiques perméables, de flux hépatofuge. Vésicule biliaire à contenu liquidien anéchogène, aux parois épaisses (max. 5 mm), superposable au comparatif. Pas de dilatation significative des voies biliaires intra- et extra-hépatiques décelée. Pancréas non visualisé. Rate homogène mesurant 111 mm de grand diamètre. Pas de liquide libre péri-hépato-splénique. Aorte abdominale de calibre régulier à 19 mm. Veine cave inférieure sans particularité.Conclusion : Pas de dilatation significative des voies biliaires. Épaississement des parois vésiculaires sans signe de cholécystolithiase, superposable au comparatif. Surélévation de la coupole diaphragmatique gauche. Pas de foyer pulmonaire. Biopsie hépatique par voie transjugulaire le 10.01.2019 : Désinfection cutanée et champage de la région du cou à droite. Anesthésie locale à la peau et en profondeur au moyen de Rapidocaïne 1 %. Ponction échoguidée de la veine jugulaire interne droite et mise en place d'un introducteur court 9 French. Cathétérisation de la veine hépatique droite qui s'avère difficile. Contrôle de position au moyen d'une petite quantité de Iopamiro, puis passage d'un guide Amplatz. Nous descendons ensuite le trocart rigide, puis réalisation de plusieurs biopsies dans le parenchyme hépatique, qui ramènent extrêmement peu de matériel. Après de multiples tentatives, nous décidons de renoncer à prélever du meilleur matériel chez ce patient en état général fortement altéré. Retrait du matériel et fermeture du point de ponction par compression manuelle durant plusieurs minutes. Avis neurologique (Dr. X, le 07.01.2019) : vu protéinorachie, suspicion de Guillain-Barré chronique et propose Ig iv, une fois l'étiologie de la cholestase trouvée. Laboratoire, cf annexes Radiographie du thorax le 28.12.2018 : silhouette cardiomédiastinale dans la norme. Calcifications du bouton aortique. Status post-mise en place d'un pacemaker bicaméral pré-pectoral gauche, avec sondes intègres et reliées au boîtier. Quelques atélectasies lamellaires sous-segmentaires du LIG. Pas de foyer pulmonaire constitué et pas d'épanchement pleural. Le reste de l'examen est superposable. ETT le 03.01.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie globale modérée. La cinétique segmentaire n'est pas évaluable en raison de mauvaises conditions techniques. FEVG à 45 % (évaluation visuelle). Hypertrophie excentrique. Aorte non dilatée. Rétrécissement aortique lâche. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Insuffisance aortique minime. Épaississement des 2 feuillets mitraux. Insuffisance mitrale légère (grade 1/3). Élévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est discrètement altérée. Absence d'insuffisance tricuspide. Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. Pas de masse flottante/mobile visualisée sur les valves cardiaques. Toutefois, épaississement des feuillets aortiques ne permettant pas d'exclure formellement des végétations en raison de mauvaises conditions techniques. Commentaire : fonction systolique globale modérément diminuée. Aspect de cardiopathie hypertensive avec une hypertrophie excentrique. Pas de masse flottante/mobile visualisée sur les valves cardiaques. Toutefois, épaississement des feuillets aortiques ne permettant pas d'exclure formellement des végétations en raison de mauvaises conditions techniques. L'apex du VG est mal visualisé, ad Sonovue demain. En cas de persistance d'une suspicion d'endocardite, ad ETO. US abdominal le 04.01.2019 : absence de dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. Voies biliaires extra-hépatiques non visualisées. CT abdominal le 09.01.2019 : sous réserve d'un examen réalisé avec protocole pour fonction rénale altérée, pas d'argument en faveur d'une cholangite. On retrouve un status post-cholécystectomie avec aérobilie en lien avec un status post-ERCP. Pas de dilatation des voies biliaires. Lame d'épanchement pleural bilatérale. Laboratoire : cf annexes. Radiographie du 1er orteil gauche du 18.01.2019 : pas de signe spécifique de chondrocalcinose, ni de goutte, mais l'on visualise un pincement métatarso-phalangien interne, compatible avec une arthrose, mais des séquelles d'une arthrite d'une autre nature ne sont pas formellement exclues. Pas d'image typique de goutte, ni de chondrocalcinose. (Dr. X) Laboratoire : cf annexes Rx Thorax : condensation nouvelle en base droite, pas de signe de surcharge ECG : rythme sinusal régulier, normocarde dans la limite à 76 bpm, axe normal à -28°, QRS fins à 94 ms, Segment-ST isoélectrique, transition de l'onde R tardive en v4. QTc à 451 ms. Laboratoire : cf annexes Rx thorax du 01.01.2019 : apparition d'une opacité basale droite compatible avec un foyer de pneumonie associé à un épanchement pleural de petite abondance sous-jacent. Multiples opacités de tonalité calcique en surprojection des deux hémi-thorax correspondant à des calcifications pleurales. Épanchement pleural gauche de petite abondance. Status post-mise en place d'un pacemaker à droite bicaméral en position inchangée. Rx thorax du 02.01.2019 : projection comparable du pacemaker pectoral droit. Stabilité de la cardiomégalie. Déroulement important de l'aorte avec plaque d'athéromatose. Petit épanchement pleural gauche. Diminution de l'épanchement pleural droit post-ponction, avec présence d'une fine lame de pneumothorax au niveau de l'épanchement, d'environ 6 mm en cranio-caudal. Reste de l'examen superposable au comparatif. Rx thorax du 08.01.2019 : on note une péjoration de l'épanchement pleural droit. Augmentation également des opacités du champ pulmonaire droit compatibles avec un foyer infectieux. On retrouve un épanchement pleural à gauche inchangé. Le reste est superposable au comparatif. Rx thorax du 11.01.2019 : discrète régression de l'épanchement pleural droit et mise en évidence d'un pneumothorax droit mesuré à 16 mm d'épaisseur maximale en base droite en regard de l'épanchement. Le reste de l'examen est inchangé avec stabilité des opacités pulmonaires droites et basale gauche ainsi que de l'épanchement pleural gauche. Rx thorax du 14.01.2019 : régression du pneumothorax basal droit qui n'est pratiquement plus visible. Majoration de l'épanchement pleural droit. Relative stabilité des opacités dans les deux champs pulmonaires et de l'épanchement pleural gauche. Laboratoire : cf annexes Rx thorax du 23.01.2019 : silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme. Pas d'épanchement pleural ou de foyer pulmonaire. Ectasie de la crosse aortique et de l'aorte thoracique descendante. Cadre osseux superposable au comparatif. US abdomen supérieur du 23.01.2019 : pas de thrombose porte mise en évidence. Dysmorphie hépatique, en rapport avec une cirrhose connue. Dérivation porto-systémique, avec reperméabilisation de la veine ombilicale. Laboratoire : cf annexes. Sédiment urinaire : cf annexes. Radiographie du poignet gauche du 02.01.2019 : fracture de l'extrémité distale du radius surtout à sa face dorsale, bien visible sur l'incidence de profil, non déplacée. Après mise sous plâtre, pas de déplacement secondaire. Le reste des structures osseuses ne présente pas d'anomalie notable hormis un remaniement de l'articulation radio-ulnaire. (Dr. X) Radiographie du genou droit et des rotules des deux côtés du 02.01.2019 : rapports articulaires physiologiques. Pas de fracture aiguë. La petite image calcifiée visible en regard du condyle fémoral interne peut correspondre à un ancien arrachement du ligament collatéral interne (lésion de Pellegrini-Stieda). Pas d'épanchement intra-articulaire significatif (petite lame liquidienne). Remaniement arthrosique de la patella. (Dr. X) Laboratoire : cf annexes Ultrason abdominal du 26.12.2018 : appendicite, sans signe de complication. CT abdominal du 27.12.2018 : pas de signe de saignement intra-abdominal. Discrète infiltration de la graisse au contact du cæcum et liquide libre en faible quantité dans le pelvis, sans argument franc pour une perforation ou un lâchage. Comblement bronchique au sein de la bronche segmentaire latéro-basale droite. Condensation dans le segment postérobasal et latéro-basal droit. Épanchements pleuraux bilatéraux de faible abondance prédominant à droite.Histologie : cf annexes Laboratoire: cf annexes Ultrason abdominal le 29.12.2018 Histologie: cf annexes Laboratoire: cf annexes Ultrason Doppler testiculaire le 07.01.2019 Laboratoire: cf annexes Ultrason Doppler testiculaire le 07.01.2019 : .... Laboratoire: cf annexes (19.12.2018) MMS 25/30, Clock test 5/6, GDS 3/15 Apport d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce de min. 14 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus en raison d'un trouble de la marche d'origine multifactorielle. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 23 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mardis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 18/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 60/25 MMS/CLOCK 25/30 - 5/6 GDS 3/15 Evaluation sociale (5 domaines) 19.12.2018 Colloque interdisciplinaire 1 27.12.2018 Colloque interdisciplinaire 2 03.01.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 21/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 78/32 Laboratoire: cf copie Laboratoire: cf copie Laboratoire: cf copie. Laboratoire: cf copie. Laboratoire c.f. copie Laboratoire: cf. copie annexée. IRM cérébrale du 04.01.2018 : accident vasculaire cérébral frontal postérieur gauche ischémique aigu. ECG : rythme sinusal régulier à 79 bpm, BAV 1°, extrasystole supra-ventriculaire en précordiale, ST isoélectrique, pas d'onde Q pathologiques, QTc 460 ms, pas de signe d'HVG. Cf. annexes. CT-scan cérébral des tissus mous du cou injecté : mise en évidence d'une sténose à l'origine de la carotide interne gauche mesurant approximativement 60%, mixte, avec composante calcique périphérique, composante lipidique centrale. Discrète infiltration athéromateuse calcifiée à l'origine de la carotide interne droite, sans sténose significative. Pas d'image de sténose significative sur les autres segments des carotides internes de façon bilatérale. Pas d'image de sténose des artères carotides communes de façon bilatérale. Discrète infiltration athéromateuse au niveau du tronc supra-aortique, sans sténose significative. Les artères vertébrales sont perméables de façon bilatérale. Pas d'anomalie visible au niveau du polygone de Willis. CONCLUSION : sténose à l'origine de la carotide interne gauche mesurée approximativement à 60% de réduction de surface. (Dr. X). Laboratoire: cf copie. CT abdominal (transmission orale Dr. X) : passage serré au niveau de la valve iléo-caecale, pas d'iléus, pas de colite, pas de perforation. Laboratoire: cf copie ECG du 08.01.2019 : rythme sinusal régulier à 67bat/min, axe gauche, bloc AV du 1er degré, QRS 76ms, QTc 413ms, segment ST isoélectrique. Radiographie du thorax 08.01.2019 : Pas de foyer. CT cérébral natif le 08.01.2019 : Pas de lésion cérébrale traumatique. Atrophie cérébrale en lien avec l'âge de la patiente et leucoaraïose. Evaluation gériatrique standardisée de base Mobilité (Tinetti) 11/28 en fauteuil roulant Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 28/17 MMS/CLOCK 17/30 - 0/6 GDS 3/15 Evaluation sociale (5 domaines) 08.01.2019 Laboratoire: cf copie ECG le 09.01.2019 : Axe hyperdroit, Fibrillo-flutter à 58 bat/min avec bloc de branche droit superposable à l'ECG du 31.12.2018, QTc 434, segment ST isoélectrique. US abdominal le 10.01.2019 : Sur les deux côtés des signes d'atteinte rénale parenchymateuse avec cortex rénal hyperéchogène, à droite avec une lésion parenchymateuse ancienne au pôle supérieur du rein, DD postinflammatoire, principalement vasculaire semblable au CT du 17.10.2014. Rein droit légèrement parenchymateux, gros rein gauche normal. Aucun signe de rétention urinaire. Pas d'organomégalie. Aucune adénopathie rétropéritonéale. Apport d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce de min. 9 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur douleur épigastrique d'origine peu claire le 08.01.2019 et par réduction/perte des capacités fonctionnelles au niveau locomoteur, autonomie, nutritionnel et l'état général. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 13 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mercredis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 24/28 avec une canne anglaise Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 59/19 MMS/CLOCK 19/30 - 2/6 GDS 2/15 Evaluation sociale (5 domaines) 08.01.2019 Colloque interdisciplinaire 1 09.01.2019 Colloque interdisciplinaire 2 16.01.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 24/28 avec une canne anglaise Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 63/19 Laboratoire: cf copie ECG: RSR, normocarde à 88 bpm, Hypertrophie auriculaire gauche, normoaxé, QRS fin, pas de trouble de la repolarisation. Laboratoire: cf copie ECG 31.12.2018: Axe hyperdroit, FA à 60 bat/min avec bloc de branche droit superposable à l'ECG du 13.12.2018, QTc 444, segment ST isoélectrique. Radiographie cheville droite le 03.01.2019: Pas de fracture. Pas d'érosion osseuse. Aucun signe indirect d'épanchement à la cheville supérieure. Calcification de la paroi diffuse de l'artère tibiale antérieure et postérieure. DD: artériosclérose. Laboratoire: cf copie Echo cible thorax coeur et abdomen aux urgences (Dr. X et Dr. X) Motif: dyspnée Thorax: Epanchement pleural gauche, lignes B bilatérales en faveur d'un syndrome alvéolo-interstitiel, glissement pleural perçu aux deux champs pulmonaires. Coeur: Pas d'épanchement péricardique, pas de dilatation des cavités droites, VC mesurée à 2 cm, non compliante, FEVG visuelle d'allure très altérée. Abdomen: Pas d'épanchement péritonéal. Aorte abdominale mesurée à 2.3 cm, globe vésicale, pas de dilatation des cavités pyélocalicielles perçues. Conclusion: Probable tableau d'OAP, globe vésicale. Radiographie thorax: Laboratoire: cf copie Rx bassin et hanche droite le 28.11.2018: Comparaison avec la radiographie du 21.11.2018 et le CT scan du 22.11.2018. Pas de déplacement secondaire. Rx bassin le 12.12.2018: Pas de déplacement secondaire, pas de nouvelle fracture. Apport d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce de min. 14 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus en raison d'une fracture des branches ilio- et ischiopubiennes gauches avec symptomatologie douloureuse et troubles de la mobilité. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 29 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mercredis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 6/28 avec Arjo Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 25/9 MMS/CLOCK 12/30 • 0/6 (limitée par les troubles de la vision) GDS 2/15 Evaluation sociale (5 domaines) 28.11.2018 Colloque interdisciplinaire 1 05.12.2018 Colloque interdisciplinaire 2 12.12.2018 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 15/28 avec Arjo Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 41/14 Laboratoire (cfr annexe) Laboratoire (cfr annexe) Radio thorax du 14.01.2019 (Dr. X). Comparatif du 17.12.2018: Indication: Contrôle après pose de VVC. VVC jugulaire interne droite se terminant en surprojection de la veine cave supérieure. Pas de signe de décompensation cardiaque ou d'épanchement pleural, sous réserve d'un examen effectué en position couchée. Le parenchyme pulmonaire se présente normalement. Structures osseuses sans particularité. Laboratoire (cfr annexes) Laboratoire (cfr annexes) ECG le 25.01.2019: Fibrillation auriculaire rapide à 132/minutes. US pulmonaire et cardiaque au lit du malade le 25.01.2019 (Dr. X et Dr. X): pas d'épanchement pleural, pas d'épanchement péricardique, bonne contractilité du cœur. Radiographie du thorax du 25.01.2019 (Dr. X; Dr. X): Absence de comparatif. Index cardiothoracique dans la norme. Infiltrats bronchiques et bronchiolaires multiples des deux plages pulmonaires, de manière prédominante en rétro cardiaque et en base gauche avec foyer de pneumonie en base gauche. Epanchements pleuraux bilatéraux. Redistribution de la perfusion pulmonaire aux apex. Troubles dégénératifs étagés du rachis. Laboratoire (cfr annexes) Radiographie du thorax du 12.01.2019 dans la norme. Laboratoire (cfr annexes) Radiographie du thorax le 24.01.2019: normal. Laboratoire: CK 1300, Trop H0: 21, H1 20, H3 20, D-Dimères négatifs. Echographie cœur ciblée: pas d'épanchement péricardique. ECG: rythme sinusal régulier, normocarde 64/minute, normoaxé, QRS fins, bonne progression dans les précordiales, ST isoélectrique. Aux urgences: • Paracétamol 1 g • Voltarène 50 mg Attitude: • Aspirine 100 mg jusqu'à la consultation cardiologique. • Le patient sera convoqué pour une consultation cardiologique à 7-10 jours. Laboratoire: CK = 486 US aux Urgences (Dr. X/Dr. X): pas de liquide libre visualisé CT Total-body: pas de fracture visualisée, pas de liquide libre Antalgie IV Laboratoire: CK = 486 US aux Urgences (Dr. X/Dr. X): pas de liquide libre visualisé CT Total-body: pas de fracture visualisée, pas de liquide libre Antalgie IV Laboratoire CK en augmentation CT scanner polytraumatisme le 19.01.2019: pas de pneumothorax, pas de pneumopéritoine, kyste rénal gauche, pas de sang, pas de fracture visualisée, pas de décellement au niveau de la prothèse ECG: sans particularité. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Attitude: • Retour à domicile avec antalgie. Laboratoire. Colonoscopie en ambulatoire - Dr. X, le 04.04.2019 à 14h30. Laboratoire: (consilium gastro-entérologique) Dr. X. Attitude: le service de gastro-entérologie prendra contact avec Mme. Y pour un contrôle clinique et biologique au cours de la semaine. Explications données à la patiente. Laboratoire: CPR 31, leuco 3,5. Gazométrie artérielle: pO2 8,5 kPa, reste aligné. Radiographie de thorax: pas de foyer. Score CURB-65 à 0. Frottis grippe: en cours. Aérosol Ventolin et Atrovent avec bon effet au niveau de la dyspnée. Attitude: • Retour à domicile avec poursuite de l'antibiothérapie de Co-amoxicilline et Symbicort 2 fois par jour. • Contrôle en filière le 28.01.2018: suivi du syndrome inflammatoire, pister le frottis grippe. • Expliqué à la patiente dans quelles conditions il faudra reconsulter en urgence. Laboratoire: créatinine à 128 umol/l, Na 130 mmol/l, CRP 51 mg/l, leuco à 11,5 G/l.Analyses urinaires: pas de signes d'infection urinaire. Spot urinaire: FeNa 1.5 % Contrôle biologique Laboratoire: créatinine à 128 umol/l, Na 130 mmol/l, CRP 51 mg/l, leuco à 11.5 G/l. ECG Analyses urinaires: pas de signes d'infection urinaire. Radiographie de thorax, bassin et hanches: pas de foyer pulmonaire ni de signes de surcharge ni de pneumothorax, pas de fractures ni costales ni du bassin ou des hanches. CT cérébral: pas de saignement intracrânien. CT bassin: pas de fracture. Physiothérapie Evaluation de soins à domicile lors de RAD (allo fille 079 291 94 42) Laboratoire: créatinine à 128 umol/l, Na 130 mmol/l, CRP 51 mg/l, leuco à 11.5 G/l. Spot urinaire Contrôle biologique +/- mise en suspend de l'esidrex Laboratoire: créatinine 111 mg/l, reste dans la norme. CT-scanner abdominal natif du 09.01.2019: reins en place, mesurant 11 cm de grand axe à droite, 10,7 cm de grand axe à gauche. Absence de calcification radio-opaque en projection du rein droit ou des voies excrétrices à droite. Discrète tuméfaction de la graisse péri-rénale gauche sans collection liquidienne. Une lésion hypodense bien délimitée de 15 mm de diamètre évoquant un kyste cortical. Calcification millimétrique dense calicielle supérieure. Calcification dense de 3 mm de diamètre, intra-vésicale sur la ligne médiane correspondant à un calcul. Hypotonie pyélo-urétérale gauche. Pyélon à 9 mm de diamètre antéro-postérieur. Absence de calcification radio-opaque en projection de la vésicule biliaire. Compte tenu de la non injection de contraste, foie, rate, pancréas, surrénales sans particularité. Stase stercorale pancolique modérée. Absence d'iléus grêle ou colique. Pas de liquide libre. Pas d'adénopathie rétropéritonéale suspecte visible. Les gros vaisseaux sont de diamètre conservé. Prostate sans particularité. Bases pulmonaires libres. Lésion dégénérative de la jonction dorso-lombaire ainsi qu'en L3-L4. Pas de destruction osseuse suspecte visible. CONCLUSION: st/p passage de calcul. Un calcul de 3 mm intra-vésical. Hypotonie pyélique d'amont à 9 mm à gauche. Un micro-calcul caliciel supérieur du rein gauche. Laboratoire: créatinine 252, urée 21.5 stix et sédiment urinaire spot urinaire US voies urinaires de débrouillage (Dr. X, Dr. X): pas d'arguments pour une cause post-rénale hydratation 1000 NaCl aux urgences Attitude: • hydratation avec NaCl 1500 mL/24h • stop médicaments néphrotoxiques • suivi biologique Laboratoire: CRP < 5 mg/l, Lc 13.1 G/l, pas de perturbation des tests hépato-pancréatiques, pas de choléstase. US au lit du malade (Dr. X): cholécystolithiase, paroi à 6 mm. US abdominal supérieur: pas de cholécystite, cholécystolithiase. Mr. Y sera convoqué à la consultation de chirurgie pour planification d'une cholécystectomie. Laboratoire: CRP < 5 mg/l, Leucocytes 6.0 G/l, Hb 110 g/l, INR 3.7, Urée 11.3 mmol/l. Sédiment urinaire: érythrocytes purée, Leucocytes 6-10/champ, flore bactérienne 3+. Laboratoire: CRP à la baisse (13), pas de leucocytose. US des tissus mous (Dr. X) pas de collection mise en évidence, tissu sous-cutané oedématié. Avis orthopédique (Dr. X): prolongation d'antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour pour 14 jours. Suivis réguliers aux 48h au secteur ambulatoire des urgences, le mercredi 9.01 et vendredi 11.01.2019. Consignes de reconsultation en cas de majoration de la tuméfaction ou d'écoulement via la plaie. Laboratoire: CRP à Radiographie du Thorax, le 31.01.2019: pas de foyer Frottis grippe: Grippe A positif Hémocultures 2 paires, le 31.01.2019 Antigène urinaire, Legionnella et pneumocoque, le 01.02.2019: Demandé, PAS FAIT AUX URGENCES (désolé) Oseltamavir 30 mg 2x/J pendant 5j Ceftriaxone 2 g IV Clarithromycine 250 mg p.o. (proposition de stopper selon antigène au plus vite, risque de QT long accru (Amiodarone)) Laboratoire: CRP à 12 mg/l, Leucocytes 4 G/l, K 3.6 mmol/l. Radiographie du thorax face/profil du 05.01.2019: cœur de taille à la limite supérieure de la norme, sans signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pacemaker bicaméral sous-clavier gauche. Laboratoire: CRP à 147 mg/l, Leuco 13.3 G/l, LDH 492 U/l, Na 133 mmol/l, bilirubine directe à 3.9 umol/l TG urinaire négatif Sédiment urinaire: 6-10 leucocytes/champs, 3-5 GR/champs, flore bactérienne +++ Frottis bactériologique : Gardnerela Vaginalis, Chlamydia et Gonorrhée: négatif US abdominal du 30.12.2018: Appendice de morphologie normale, mesurant jusqu'à 5 mm de diamètre. Présence de plusieurs ganglions augmentés en taille et en nombre, hyper-vascularisés, sans mise en évidence de liquide libre intra-abdominal. Utérus sans particularité. Ovaires non visualisés. CT abdominal du 30.12.2018: Pas de signe d'appendicite, iléite ou colite. Structure tubulaire para-utérine droite faisant suspecter un hydro- ou pyo-salpinx. US transvaginal le 30.12.2018: Utérus antéversé avec épaisseur endométriale de 1.5mm, ovaire droit de morphologie normale, ovaire gauche de morphologie normale avec trompe gauche dilatée à 2cm. Présence d'une collection liquidienne dans le cul de sac de Douglas. Laboratoire de sortie: Leuco 5 G/l, CRP 60 mg/l Laboratoire: CRP à 23 mg/l et leucocytes 10.4 G/l dans le contexte d'une angine avec otite traitée, Hb à 130 mg/l, Tests hépatiques normaux. Stix et sédiment urinaire: Erythrocytes 6-10/champs. Radiographie du genou gauche et des rotules des deux côtés du 15.01.2019: pas d'image de fracture décelable. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. Radiographie de la colonne lombaire face/profil du 15.01.2019: pas d'image de tassement vertébral décelable évidente. Les vertèbres lombaires L1, L2 et dorsale D12 sont mal explorées et sont difficiles à analyser en rapport avec les superpositions et en l'absence d'un profil strict. Pas de visibilité de fragment osseux détaché dans les limites des incidences. Rectitude de la colonne lombaire avec perte de la lordose anatomique. Ultrason de l'abdomen complet natif du 15.01.2019: le foie est de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans lésion focale décelable. Les voies biliaires ne sont pas dilatées. La vésicule biliaire présente des parois fines et ne contient pas de calcul. Le pancréas et la rate sont normaux. Les 2 reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. Par ailleurs, pas d'hématome intrarénal ou périrénal. La vessie est peu remplie et l'on ne visualise pas de liquide libre intrapéritonéal. CONCLUSION: pas de lésion des organes pleins, ni de liquide libre intrapéritonéal objectivé. Laboratoire: CRP à 26, leuco à 11.1 sans déviation G ECG: rythme sinusal régulier sans troubles de la repolarisation stix et sédiment urinaire: leucocytes incomptables, nitrites + urotube: en cours radiographie de thorax Attitude: • hospitalisation en médecine • Rocéphine 2 g i.v • Introduction de Torem (à la place d'hydrochlorothiazide) à réévaluer • prendre contact avec le Prof. X pour dernier taux de CD4 Laboratoire: CRP à 266 mg/l, Leucocytes 12.5 G/l, K 3.5 mmol/l. Radiographie du thorax face/profil du 02.01.2019: pas de comparatif. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Épaississement bronchique. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Sonde de neurostimulation en surprojection du canal spinal. Status post-refixation des tendons de la coiffe des rotateurs à gauche.Urotube prélevé par medhome le 07.01.2019 PCR selles pour entérobactéries habituelles prélevé aux urgences après première dose antibiothérapie le 09.01.2019 Radiographie du thorax, le 09.01.2019: pas de foyer visible CT thoraco-abdominale, le 09.01.2019 Avis infectiologique (Dr. X): probable cause bactérienne par entéro-colite aiguë, ad ceftriaxone et klacid, prélever entéropathogènes habituels pour PCR Aux urgences: • Ceftriaxone 2g IV et Klacid 500 mg i.v. • Paracétamol p.o. Attitude: • ad SIC Laboratoire: CRP à 45, leucocytose à 12,9 sans déviation gauche 2 paires d'hémocultures à pister Délimitation de l'érythème et suivi clinique Augmentin 1,2 g iv 3x/j (adapté à la fonction rénale) hospitalisation en médecine Laboratoire: CRP à 57 mg/l Gazométrie artérielle: acidose respiratoire compensée, hypoxémie à 10.8 kPa sous FiO2 28% Radiographie thorax: pas de franc foyer visualisé. ECG Culture d'expectoration en cours Aérosols de Ventolin et Atrovent Co-amoxiciline 1g 2x/j pendant 7-10 jours (critères d'Anthonisen remplis) Prednisone 40 mg pour 5 jours Physiothérapie respiratoire, pas d'indication à la VNI car rétention de CO2 stable Hospitalisation en division de médecine interne Laboratoire: CRP à 60 mg/l sans leucocytose. Hémocultures en cours Frottis de grippe: Grippe Influenza A Analyses urinaires: microhématurie. ECG Radiographie de thorax: pas de franc foyer, pas de surcharge. Isolement gouttelette et Tamiflu 75 mg 2x/j car péjoration symptomatique respiratoire et BEG depuis hier Antigènes urinaires: pneumocoque positif, légionellose en cours Ad Rocéphine 2g iv 1x/j Laboratoire: CRP à 60 mg/l sans leucocytose. Hémocultures en cours Frottis de grippe: Grippe Influenza A Analyses urinaires: microhématurie. ECG Radiographie de thorax: pas de franc foyer, pas de surcharge. Suspens du thiazide et ad NaCl 0.9% 1000ml par 24h Laboratoire: CRP à 70, US aux urgences (Dr. X): Liquide libre visualisé dans l'ensemble de la cavité abdominale CT abdominale, injecté, le 02.01.2019: • Mise en évidence d'une abondante ascite avec aspect nodulaire du mésentère évoquant une carcinomatose péritonéale. Hospitalisation en Médecine: • Discuter Bilan oncologique • Paracentèse à but antalgique/diagnostique à discuter Laboratoire: CRP à 89 mg/l, leuco 9.8G/l US abdomen supérieur (transmission orale, Dr. X): dilatation des voies biliaires extra- et intra-hépatiques stable, 1 calcul biliaire, sludge, cholédoque distal non visualisé Avis gastro-entérologique (Dr. X) Aux urgences: Rocéphine 2g i.v., Flagyl 500 mg i.v. Attitude: • Rocéphine 2g 1x/j, Flagyl 500 mg 3x/j • Surveillance des tests hépatiques • Evaluer nécessité ERCP en un deuxième temps Laboratoire: CRP à 96, pas de leucocytose ECG Physiothérapie Att: Hospitalisation en médecin pour investigation de la masse, revoir image du CT Laboratoire: CRP d'entrée à 117 mg/ml Urines: leuco +, nitrites neg, flore ++ Radiographie thorax: absence de foyer Hémoculture par PAC du 11.12.18: Staphylocoque lugdunensis Hémoculture par PAC et périphérique de contrôle le 12.12.18 (avant début antibiothérapie): confirme bactériémie à Staphylocoque Lugdunensis Culture du liquide pleural du 12.12.18 (après début antibiothérapie): stérile. PCR eubactérienne négative. Hémoculture périphérique du 13.12.18: 1/2 positive pour Staph Lugdunensis Hémocultures périphériques du 14 au 17.12.18: stériles Culture du liquide pleural du 17.12.18: stérile à 5j. Cytologie liquide pleural du 17.12.18: Exsudat, forte inflammation neutrophilique, pas de cellules tumorales malignes, pas de bactéries au gram. Hémocultures du 03.01.19: en cours Consilium infectiologique: PAC infecté vu que les deux paires d'hémocultures prélevées en regard du PAC sont positives. En commun accord avec Mr. Y et oncologue: maintien du PAC avec stérilisation de ce dernier par antibiothérapie pendant 2 semaines • Floxapen 2g 6x/j iv du 12.12.18 au 13.12.18 • Cubicine 350mg 1x/j (1x/2j quand clairance rénale <30ml/min) du 13.12.18 au 26.12.18 yc • Verrou du PAC à la vancomycine du 13.12.18 au 26.12.18 yc • Rifampicine 600mg 1x/j per os du 14.12.18 au 26.12.18 yc (pour action sur biofilm sur matériel) Att: • Pister hémocultures du 03.01.19, soit 1 semaine post arrêt de l'antibiothérapie (si stériles, PAC réutilisable) Laboratoire: CRP 119 mg/l, Leucocytes 16.9 G/l, reste aligné. Sédiment urinaire: Erythrocytes 21-40/champ, leucocytes 21-40/champ, flore bactérienne 2+, Protéinurie 0.98 g/l. Laboratoire: CRP 136 mg/l, leucocytes 8.3 G/l. Laboratoire: CRP 139 mg/L, leucocytes 11.5 G/L Gazométrie: pH 7.42, pCO2 6.0 kPa, pO2 11.12 kPa, bicarbonate 28 mmol/l, excès de base 4.2 mmol/L. Rx thorax: foyer débutant rétro-cardiaque au lobe inférieur gauche Ag urinaires: négatifs Culture expecto: négative Rocéphine 2 g iv du 26.12 jusqu'au 02.01.19 (7j) Laboratoire: CRP 156 mg/l, leucocytes 6.9 G/l reste sans particularité. Sédiment urinaire: sans particularité. ECG: rythme sinusal et régulier à 75/min, axe QRS à 60°, PR 150 ms, QRS 80 ms, QTc 333 ms, segment ST iso-électrique, onde T physiologique. Radiographie du thorax face/profil du 11.01.2019: silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. (Dr. X) Laboratoire: CRP 16 mg/l, leucocytes 11.3 G/l, NT-proBNP 4'170 ng/l Gazométrie : acidose respiratoire (pH 7.21, bicarbonate 39 mmol/l, pO2 12.8 kPa, pCO2 13.7 kPa, excès de base 11.7 mmol/l, lactate 0.7 mmol/l) Radiographie du thorax ECG Aux urgences : Ventilation non-invasive, Cefepime 2 g i.v., Klacid 500 mg i.v., Solu-Medrol 125 mg i.v., aspirine cardio 250 mg i.v., hydratation intraveineuse NaCl Hospitalisation aux soins intensifs Laboratoire: CRP 160 mg/l, Leucocytes 12.4 G/l. Laboratoire: CRP 17, sans leucocyte, le reste du laboratoire aligné. Perfusion de NaCl 1000 ml. Retour à domicile avec réassurance et conseils d'hydratation. Poursuite du traitement symptomatique, avec arrêt du Lopéramide. Ad Pérentérol. Mme. Y prélèvera un échantillon des selles en vue d'une coproculture. Mme. Y n'ayant pas de médecin traitant, nous lui proposons de ramener l'échantillon et de prendre rendez-vous le jour suivant pour communication des résultats. Laboratoire: CRP 19, leucocytes 9.2, trop H0 8, trop H1 8, D-dimères et nt-proBNP négatifs Radiographie de thorax Gazométrie artérielle: pO2 8.7, pCO2 4.7, pH 7.44, bicarbonates 24 Attitude aux urgences: • aérosols Atrovent et Ventolin • hospitalisation en médecine • Prednisone 50 mg x1/j pendant 3 jours • physiothérapie respiratoire Laboratoire: CRP 193 et leucocytes 14400 Gazométrie artérielle le 05.01.2019 Sédiment urinaire Antigènes urinaires (Legionnella, pneumocoque): négatifs Hémocultures le 04.01.2018: négatives RX thorax 04.01: pas de foyer ECG du 04.01: tachycardie sinusale à 115/min, axe QRS normal, pas d'onde Q, ni trouble de la repolarisation, QTc 430 ms 08.01.2019: Gazométrie artérielle à air ambiant: persistance d'une hypoxémie Au vu des D-dimères à 528 et l'histoire clinique, ad CT-thoracique pour exclure une EP CT thoracique le 08.01.2019: pas d'embolie pulmonaire, pas de foyer infectieux Co-Amoxi 2.2 gr i.v. 3x/j du 05.01 au 07.01.2019, puis 1 g 2x/j du 08.01 jusqu'au 11.01.2019 Rinçages nasaux à l'eau salée Oxygénothérapie au besoin Laboratoire: CRP: 20 mg/l suivi et traitement symptomatique Laboratoire: CRP 22 mg/l, leucocytes dans norme. Hydratation intraveineuse. Motilium en réserve. Laboratoire: • CRP 221g/l, Lc 15.6G/l • CK à 50U/L, facteur anti-nucléaire à 80 • Troponines: H0 29 ng/l, H5 26ng/l ECG: absence de signes ischémiques Sédiment urinaire: propre Uricult du 03.01.19: absence de germesHémocultures à froid du 02.01.19: stériles à 5j Rx thoracique du 02.01.19 : densification plage pulmonaire à droite US abdominal de débrouillage FAST : épanchements pleuraux bilatéraux, pas de liquide libre CT-scan thoracique du 02.01.19 : • fins épanchements bilatéraux, pas de foyer, atélectases de contact • Infiltration de la graisse de la paroi thoracique en avant des muscles pectoraux et en arrière des cartilages costaux associée à quelques ganglions de taille agrandie dans la graisse para cardiaque droite, sans collection. Pipéracilline-tazobactam du 02.01.2019 au 04.01.2019 AINS puis Celecoxib, à diminuer progressivement selon évolution de la douleur Avis infectiologique le 4.01.2019 (Dr. X) : Origine infectieuse non retenue, arrêt Tazobac Avis rhumatologique le 7.01.2019 : Myosite non retenue en raison du caractère des douleurs et des CK basses. Sérologie Bartonella : négatif Quantiféron : négatif Physiothérapie Les rhumatologues restent à disposition pour une nouvelle évaluation rhumatologique en ambulatoire à distance, si les douleurs persistent. Laboratoire : CRP 259, leucocytes 18, déviation gauche Gazométrie veineuse : hypoxémie PO2 8,3 Stix/Sédiment urinaire ECG : rythme sinusal régulier à 93/mn, P positif en DI et aVF, QRS fin, PR < 200ms, QRS fin, QT < 440ms, ST iso Radiographie thorax : pas de foyer CT abdominal (transmission orale du Dr. X) : Infiltration Aux urgences : • Hydratation 1500ml • Tienam 500mg Attitude : • Hospitalisation en chirurgie • Hydratation 2500ml/24h • à jeûn boisson libre • Antibioprophylaxie par Tienam 500mg 3x/j • Thromboprophylaxie par Clexane 40mg Laboratoire : CRP 26, leucocytes 7.6. Sédiment urinaire. ECG. US abdominal (Dr. X) : pas d'arguments sonographiques pour une cholecystolithiase ou une cholécystite. Aspect sans particularité. Attitude : • retour à domicile avec antalgique et traitement anti-émétique • contrôle en filière à 48 heures pour suivi des paramètres hépatiques et du syndrome inflammatoire. Laboratoire : CRP 294 mg/l, Lc 11.7 G/l ECG Co-amoxicilline 2.2 g aux urgences Co-amoxicilline 2.2 g 3x/j pour 10-14j (adapté à la fonction rénale) Décharge du membre inférieur droit et surélévation Laboratoire : CRP 33 mg/l, Leu 13 G/l, Creatinin 59 mmol/l, Neutrophil 11,57 G/L ECG : superposable à celui d'octobre 2018 Clinique : sans particularité Bas de contention à domicile Laboratoire : CRP 37 mg/l, leucocytes 6.4 G/l, lipase 102 U/l, pas de perturbation hépatique ni rénale ni électrolytique. Sédiment urinaire : sans particularité. Radiographie du thorax face du 11.01.2019 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas d'air libre sous les coupoles diaphragmatiques. (Dr. X) Laboratoire : CRP 40 mg/ml, Lc 13.4 G/l ECG Gazométrie légère alcalose respiratoire Rx thorax : pas de foyer, signes de surcharge cardiaque sans décompensation. Oxygénothérapie Traitement de l'infection urinaire Laboratoire : CRP 40 mg/ml, Lc 13.4 G/l Status urinaire : Leuco 10-20, flore bactérienne +++, nitrite nég Rocéphine 2g iv aux urgences à 23h Laboratoire : CRP 44 mg/l, Lc 11.1 G/l. Status urinaire : nitrite nég, Lc 21-40/champs, érythrocytes <3, flore bactérienne négative. Toucher rectal indolore. Culture d'urine : à pister. Introduction de Pradif. Proposition d'organiser un suivi urologique en ambulatoire. Laboratoire : CRP <5, Lc 14.7 G/l, acide urique 573 mcmol/l. Radiographie cheville droite : pas de fracture. Avis orthopédique (Dr. X) : pas d'argument pour une arthrite infectieuse; probable crise de goutte. AINS, antalgie et suivi ambulatoire. Suite de prise en charge chez le médecin traitant le 25.01.2019. Laboratoire : CRP 51 mg/L, Leucocytes 9 G/l Clostridium : négatif Attitude : • suivi clinique Laboratoire : CRP 6 mg/l, leucocytes 8.9 G/l, tests hépatiques dans la norme, bilirubine directe 5.3 umol/l. ECG : rythme sinusal régulier à 77 bpm, pas de signe d'ischémie active. Sédiment urinaire : négatif. Radiographie du thorax face/profil du 29.01.2019 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de fracture de côte, ni de pneumothorax visualisé. (Dr. X) Laboratoire : CRP 68, leuco 10.9 Stix et sédiment urinaire : leucocytes 11 - 20, nitrites + Urotube : en cours Toucher rectal : indolore Attitude : • Ciprofloxacine 500 mg x2/j, une dose donnée aux urgences • pister l'urotube Laboratoire : CRP 7, leucocytes 10.5 Stix et sédiment urinaire : sans particularités Test de grossesse : négatif US de l'abdomen complet (Dr. X) CT-scanner abdominal (Dr. X) : appendicite rétro-caecale avec importante infiltration de la graisse, quelques adénopathies, pas de liquide libre Avis chirurgical (Dr. X) Rocéphine 2 g et Flagyl 500 mg i.v NaCl 500 ml Attitude : • opération le 17.01.2019 • hospitalisation en chirurgie Laboratoire : CRP 7 mg/l, GB normales. ECG : rythme sinusal régulier, axe HG, fréquence 75 bpm, petite onde Q en D1 et aVL, QRS fins, transition onde R en V5-V6, ondes T négatives en D3 et plates en aVF, QTc allongé. Radiographie du thorax face/profil du 09.01.2019 : cœur de taille à la limite supérieure de la norme, sans signe net de décompensation cardiaque. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Status après mise en place d'une prothèse discale de niveau C7-D1. (Dr. X) Laboratoire : CRP 71 mg/l, Leuco 13.4 G/l (23.01.19), CRP 72 mg/l, Leuco 10.6 G/l (25.01.2019) Gazométrie artérielle : • 23.1.19 : sans oxygène : pO2 9 kPa, pCO2 6.2 kPa • 24.1.19 : avec oxygène : pO2 9.2 kPa, pCO2 5.6 kPa ECG : ncSR, Indifférence type, Bloque droit, aucune ERBS Radiographie de thorax du 23.1.19 : petits infiltrats bibasaux sans franche condensations (patiente couchée) Culture d'expectoration du 23.1.19 : flore bucco-pharyngée Antigènes pneumocoques + légionelles urinaires du 24.1.19 : absents Rocéphine 2g iv du 23.1.19 au 30.1.19 Klacid 500 mg 2x/j per os du 23.1.19 au 27.1.19 Hydratation NaCl 1500 ml sur 24h iv Aérosols de Ventolin et Atrovent Physiothérapie respiratoire Oxygénothérapie Laboratoire : CRP 72 mg/l, Lc 13 G/l, CK-MB 15 U/l, lactate 1.0 mmol/l, Trop H0 : 6 ng/l, H1 : 8 ng/l Bilirubine totale 24.0 µmol/l Bilirubine directe 11,3 µmol/l. CK et CK-MB stables ECG : PR descendant, sus-décalage ST diffus. Rx thorax : pas de foyer US au lit du malade (Dr. X) : épanchement péricardique de 2 cm TTE (PD Dr. X, Dr. X) : épanchement péricardique infra-centrimétrique, suspicion de végétation ETO (PD Dr. X, Dr. X) : pas de signe pour une végétation Avis soins intensif (Dr. X) : pas d'indication à transfert aux soins Avis cardio (Dr. X) : probable récidive de Dressler, traitement avec AINS 2e avis soins intensifs (Dr. X) : surveillance et suite de prise aux soins intensifs Thérapie NaCl 500 ml Pantozol 20 mg Prednisone 40mg p.o. Ecofenaxc 75mg p.o. Attitude : • Transfert aux soins intensifs • Traitement par AINS Laboratoire : CRP 9 mg/l, leucocytes 13 G/l, beta HCG négatifs. Sédiment urinaire : négatif. Laboratoire : CRP 9 mg/l sans leucocytose. Radiographie du pouce gauche du 11.01.2019 : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X) Laboratoire CT abdominal = Ileus avec stase dernière anse iléale (sténose? Adhérence ?) Pose de sonde nasogastrique sous Pré médication par MIDAZOLAM 2 mg IVD. Pas de complication post geste. Avis Chirurgien = Dr. X = Hospitalisation en chirurgie pour surveillance. Traitement conservateur initial. Si pas de bonne réponse au traitement conservateur, prise en charge chirurgicale. Anticoagulation préventive par HNF.CAT : • Hospitalisation en chirurgie pour surveillance clinico-biologique • Laboratoire. • CT scan cérébral natif et injecté le 28.12.2018. • Avis neurologique - Dr. X. • Ponction lombaire - Dr. X - le 29.12.2018. • CT scan thoraco-abdominal injecté le 30.12.2018. • Transfert HFR Fribourg le 30.12.2018. • Laboratoire. • CT scan facio-cervico-thoracique. • Antibiothérapie par : • Cubicine 350 mg 1x/j du 03 au 05.01.2019 • Fluconazole 400 mg 1x/j du 03 au 17.01.2019 • Fluconazole 200 mg 1x/semaine en prophylaxie dès le 18.01.2019. • Laboratoire. • CT scan thoracique injecté. • Hydratation parentérale par NaCl 0,9% 1000 ml/12h. • Avis cardiologique - Dr. X : traitement cardio-freinateur comme sous-indiqué avec anticoagulation thérapeutique orale : • Diltiazem 20 mg iv sur 2 min en ordre unique à 20h00 puis à 23h00 le 28.12.2018 • Beloc 5 mg iv en ordre unique à 23h59 le 28.12.2018 • Beloc 25 mg per os en ordre unique à 23h59 le 28.12.2018 • Metoprolol 50 mg 1x/j dès le 30.12.2018 • Anticoagulation thérapeutique par Clexane 80 mg le 28.12.2018 • Anticoagulation orale par Xarelto 20 mg 1x/j dès le 29.12.2018. • Laboratoire. • Culture d'urines. • Hémocultures. • Antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv 1x/j du 26.12.2018 au 02.01.2019 (7 jours au total). • Laboratoire • D Dimère à 9000 • Troponines positives, mais sans cinétique (contexte IRA) • Scintigraphie pulmonaire : absence d'embolie pulmonaires, absence de signes indirects d'hypertension pulmonaire • Surveillance clinique • Discuter éventuellement Holter • Laboratoire : D-dimère à 1200, Activité Anti-Xa • CT-Thoracique injecté, le 18.12.2018 : pas d'EP • Laboratoire : D-dimères à 7200 ng/ml (contexte de dissection aortique chronique) • ECG : superposable au comparatif de 03/2018 • CT protocole aorte • Avis chirurgie vasculaire : pas d'indication opératoire, suivi par imagerie avec CT 1x/an • Laboratoire. • D-Dimères. • Angio CT-scan thoracique. • Xarelto 15 mg 2x/j pendant 3 semaines, puis 20 mg 1x/j pendant 3 mois au total. • Contrôle angiologique à 3 mois et réévaluation de l'anticoagulation. • Laboratoire : D-dimères négatifs. • ECG • Radiographie Thorax • Avis cardiologique (Dr. X) : Tachycardie type AVRT orthodontique, Ad Isoptin 80 mg cpr 1x/j + avis Dr. X. • Examens effectués expliqués à la patiente. • Aux URG : Manœuvre vagales infructueuses • Cardioversion pharmacologique : Adénosine 6 mg IV OU avec ralentissement et reprise du rythme sinusal tachycarde 110 bpm. • Laboratoire : D-dimères 3'919 ng/ml. • Xarelto 2x15 mg/jour pendant 3 semaines, à prolonger par les angiologues si thrombose confirmée. • Convocation en angiologie demandée pour réalisation de Doppler veineux, et suite de la prise en charge. • Laboratoire de contrôle à 21h30 : ____ • Laboratoire de contrôle à 21h30 : 60 • Laboratoire de contrôle de l'anémie • Suivi clinique et biologique par vos soins • OGD dans 6 à 8 semaines. La patiente sera convoquée. • Colonoscopie. La patiente sera convoquée. • Laboratoire de contrôle pour suivi de l'anémie et kalémie • Contrôle radio-clinique chez le Dr. X le 04.01.2019 à 10h30 • Laboratoire de contrôle • Consilium hématologique • Laboratoire de thrombophilie • Laboratoire d'entrée : créatinine 257 umol/l, clearance selon MDRD à 23 ml/min • Laboratoire d'entrée : CRP < 5 mg/l, leucocytes 15 G/l, créatinine 257 umol/l • Sédiment urinaire : purée de leucocytes, érythrocytes 6-10/champ, nitrite négatif. • Hémoculture pos. à staph aureus le 02.01.2019 • CT abdominal natif le 04.01.2019 • Pose de sonde double J gauche le 03.01.2019 (Dr. X) • Consilium infectiologique le 04.01.2019 • Consilium stomatothérapie le 07.01.2019 • Ciproxine per os du 02.01 au 04.01.2019 • Co-amoxicilline intraveineux du 04.01 au 18.01.2019 • Laboratoire du jour : CRP à 45. En amélioration par rapport à la dernière prise de sang (70). • Laboratoire du 01.01.2019 : Hb 109 g/l, Leucocytes 9 G/l, Thrombocytes 291 G/l, CRP < 5 mg/l, Crase en ordre • Hb post-partale : 108 g/l • Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 01.01.2019 • Sérologies : Toxo immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle, faite. • Laboratoire du 02.01.19 : troponine H0 29 ng/l, H5 • Radiographie thoracique du 02.01.19 • ECG du 02.01.18 • Pantoprazole 40 mg i.v. • Laboratoire du 02.01.2018 • Laboratoire du 02.01.2019 : Hb 132 g/L, leucocytes 15.2 G/l, CRP 6 mg/l, BHCG 119 U/l • 03.01.2019 : Hb 85 g/L, Ferritine 208 mcg/l, BHCG 57 U/l • Sédiment urinaire : nitrites négatifs, leucocytes et érythrocytes à < 3/champs • Frottis vaginal : Gardenella + • À l'échographie trans-vaginale : présence d'une bonne quantité de liquide libre avec un caillot de 8 x 5 cm. • Laboratoire du 02.01.2019 : Hb 104 g/l, Leucocytes 9.3 G/l, Thrombocytes 193 G/l, Crase en ordre • Hb post-partale 95 g/l • Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatifs le 02.01.2019 • Streptocoques du groupe B négatif le 19.12.2018 • Sérologies : CMV immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif. • Laboratoire du 02.01.2019 : Hémoglobine 108 g/l, Leucocytes 9.3 G/l, Thrombocytes 245 G/l, Crase eo. Bilan de gestose aligné • Hb post-partale : 105 g/l • Groupe sanguin A Rhésus négatif, immunoglobuline anti-D 18.10.2018. AC irréguliers négatif le 02.01.2019. Rhésus bébé : positif • Streptocoques du groupe B négatif le 21.12.2018 • Sérologies : CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS, Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. • Laboratoire du 03.01.2019 : leucocytose 11.6, pas de CRP. • Stix urinaire : 2 croix de sang, pas de leuco, pas de nitrite. • Uro-CT du 03.01.2019 : rein gauche atrophié, rein droit sans particularité, pas de signe d'infiltrat péri-urétérale, pas de dilatation rénale, infiltrations de la graisse péri-annexielle. • DD : ad US endovaginal. • US endovaginal du 03.01.2019 : pas d'infiltrations péri-annexielle. • Traitement symptomatique. • Ad contrôle chez le médecin traitant pour suite de prise en charge si persistance de la symptomatologie. • Laboratoire du 03.01.2019 : Hb 108 g/l, Leuco 13.1 G/l, Tbc 243 G/l, Crase eo. Hb foetale à 0 • Hb post-partale : 104 g/l • Groupe sanguin AB positif • Streptocoques du groupe B positif 21.11.2018 • Sérologies : Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. • Laboratoire du 03.01.2019 : Hb 129 g/l, Leucocytes 8.4 G/l, Thrombocytes 180 G/l, Crase en ordre • Hb post-partale : 116 g/l • Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 03.01.2019 • Streptocoques du groupe B négatif le 13.12.2018 • Sérologies : Rubéole immune, Syphilis négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif. • Laboratoire du 03.01.2019 : Hb 152 g/L, Lc 10.8 G/L, Tc 305 G/L, CRP < 5 mg/L, ASAT 18 U/L, ALAT 11 U/L, Na+ 137 mmol/L, K+ 3.3 mmol/L, créatinine 61 micromol/L, TSH 1.69, T3 totale 1.6, T4 libre 27 pmol/L • K+ de contrôle le 04.01.2016 à 4.1 mmol/l • USTV du 03.01.2019 : utérus AVF de 61 mm x 50 mm x 54 mm, avec SG de 19 mm et embryon unique dont LCC 2.5 mm, activité cardiaque +, ovaires vus sans particularités, corps jaune à gauche, pas de liquide libre • Laboratoire du 03.11.2018 : TSH à 15.26 mU/l • Laboratoire du 14.11.2018 : TSH à 58.97 mU/l, T4 libre à 11 pmol/l, T3 libre à 1.86 pmol/l • Laboratoire du 03.12.2018 : TSH à 51.01 mU/l, T4 libre à 12 pmol/l, T3 libre à 1.75 pmol/l • Avis endocrinologie (Dr. X) : Au vu d'hypothyroïdie pouvant favoriser l'iléus + iléus paralytique récidivant avec stop TTT per os, attitude discutée avec Dr. X : • Passage à de la L-thyroxine (=T4) IV avec objectif de substitution d'environ 350 mcg IV/semaine. • Traitements : • 200 mcg de L-Thyroxine en IV 22.12.18, 26.12.18, 31.12.18, 03.01.2018 • 300 mcg de L-Thyroxine dès le 08.01.2018 2x/semaine • Attitude : • Passage à Euthyrox per os dès que régulation du transit : 125 micromol/j 6/7, 62.5 micromol 1/7 (dimanche) CAVE: Il est nécessaire d'avoir une pause dans l'alimentation entérale de 3 à 4 h avant de donner le traitement puis l'alimentation doit être reprise 30 min après la prise médicamenteuse. Laboratoire du 04.01.2019: Hémoglobine 113 g/L, Leucocytes 13.0 g/L, Thrombocytes 263 g/L Groupe sanguin: A positif Laboratoire du 04.12.2018: Hb 119 g/l ; Leuco 9.7 G/l ; Tbc 260 G/l Hb post partale le 03.01.2018: 130 g/l Groupe sanguin A-, RAI négatif le 04.12.2018 (conjoint O Rh négatif). Rh bébé: Rhésus négatif Streptocoques du groupe B négatif le 04.12.2018 Sérologies: Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. Laboratoire du 05.01.2018: Hb 100 g/l, Lc 11.5 G/l ; Tc 229 G/l ; CRP 11 mg/l Hb post-partale: 104 g/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 04.01.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 13.12.2018 Sérologies: Toxo non-immune ; CMV immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif Laboratoire du 05.01.2018: Hb 74 g/l, Lc 24 G/l ; Tc 194 G/l Hb post-partale: 74 g/l Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 04.01.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 30.12.2018 Sérologies: Toxo non-immune ; CMV immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle positif Laboratoire du 05.01.2019 : CRP 26, leucocytes 7.6. Sédiment urinaire : leucocyturie. Urotube envoyé. Pas de nouvelle prise de sang au vu de l'anamnèse. Traitement antibiotique par Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour pendant 14 jours. Consignes de reconsultation en cas d'aggravation des symptômes à 5 jours. Laboratoire du 06.01.2019: Hb 120 g/l, Lc 8.1 G/l, Tc 148 G/l Hb post-partale: 135 g/l Groupe sanguin A positif, AC irréguliers négatif le 10.08.2018 Streptocoques du groupe B négatif 28.12.2018 Sérologies du 28.02.2018: Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif 10.08.2018, faite ; particularités: vaccin grippe et Boostrix fait chez med. traitant 15.11.2018 Laboratoire du 06.01.2019: Hb 126 g/l, Lc 11.5 G/l, Tc 172 G/l, CRP 43 mg/l Hb post-partale: 78 g/l Groupe sanguin A positif, AC irréguliers négatif le 27.06.2018 Streptocoques du groupe B positif le 17.12.2018 Sérologies: Toxo immune le 16.07.2018, VDRL négatif le 22.12.2017, HBS, Vaccinée, HCV négatif le 22.12.2017, HIV négatif le 22.12.2017, Varicelle, faite. Rubéole inconnue (contrôle sur prise de sang au post-partum) Laboratoire du 07.01.19 Laboratoire du 07.01.19. Attitude : • Tavegyl 2 mg/2 ml + surveillance 4 h aux urgences avec amendement de la symptomatologie • Retour à domicile avec Xyzal pendant 5 jours Le patient est au courant qu'il doit prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour suivi allergologique. Laboratoire du 07.01.19 Urines du 07.01.19 ECG du 07.01.19 Rx Thorax: pas de foyer CT scan cérébral natif (Dr. X): pas de saignements, pas de fracture visualisée US des vaisseaux des membres inférieurs (Dr. X): pas de TVP Avis cardiologique (Dr. X): pas de sténose aortique significative, FEVG conservée, ad hospitalisation avec Holter sur 5 jours 5000 UI d'héparine sous-cutanée en raison de suspicion d'EP 1 g Mg lent sur 1 h IV Hydratation 500 ml NaCl 0.9 % Une hospitalisation avec un Holter est indiquée. Un rapatriement sanitaire est possible. Les examens effectués à ce jour ainsi que les examens prévus sont urgents. Laboratoire du 07.01.19 US doppler testicule droit confirmant la torsion att Bloc opératoire en urgence antalgie Laboratoire du 07.01.2019 : CRP 75 mg/l, leucocytes 7,5 G/l Excision fistule, bursectomie pré-patellaire totale, débridement, rinçage, genou D (OP le 07.01.2019) Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g 3x/j du 07.01. au 09.01.2019 puis co-amoxicilline 1 g 2x/j du 10.01. au 16.01.2019 Diagnostic anatomopathologique (bourse pré-patellaire D) - Rapport Promed du 14.01.2019 (reçu après départ de la patiente), en annexe : malgré l'absence de microorganisme à la coloration Gram, une origine infectieuse est possible. Dans le matériel examiné, pas de dépôt cristalloïde ni de signe de malignité. Laboratoire du 07.01.2019: Hb 104 g/l, Lc 16 G/l, Tc 494 G/l, CRP 114 mg/l Hb post-partale: 94 g/l Groupe sanguin A-, immunoglobuline anti-D le 02.10.2018, AC irréguliers négatif le 02.10.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 21.12.2018 Sérologies:Toxo immune le 08.06.2018 ; Rubéole immune le 08.06.2018 ; VDRL négatif le 08.06.2018 ; HBS négatif le 08.06.2018 ; HCV négatif le 24.12.2018 ; HIV négatif le 08.06.2018 Laboratoire du 07.01.2019: Hb 112 g/l ; Leuco 11.9 G/l ; Tbc 159 G/l, CRP à 2 mg/l Hb post-partale: 88 g/l Groupe sanguin A positif, RAI négatif le 07.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif Sérologies: Toxo non-immune ; CMV non-immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; particularités: Boostrix fait. Laboratoire du 07.01.2019 Urines du 07.01.2019 ECG du 07.01.2019 Test de Schellong du 08.01.2019 : sans particularité Troponines : H0 44, H1 40, H2 37 ng/l 5000 UI héparine sous-cutanée pour suspicion d'EP 1 g Mg lent sur 1 h IV Hydratation 500 ml NaCl 0.9 % Arrêt du traitement bêtabloquant RX thorax : pas de foyer CT scan cérébral natif (Dr. X) : pas de saignements, pas de fracture visualisée US des vaisseaux des membres inférieurs (Dr. X) : pas de TVP Echocardiographie le 08.01.2018 : FEVG 60%, pas de trouble de la cinétique, bon fonctionnement de la valve aortique Avis cardiologique (Dr. X) : pas de sténose aortique significative, proposition de Holter sur 5 jours Proposition de Holter, +/- Reveal en Espagne Laboratoire du 07.12.2018 : ASAT 58 U/L, ALAT 31 U/L US abdominal le 12.12.2018 : pas de dilatation des voies biliaires, pas de signe de cholécystite, œdème périportal Attitude : • traitement décompensation cardiaque Laboratoire du 08.01.2018 : Ca corrigé Alb 40 g/l 2,09 mmol/l. Ca corrigé le 09.01: 2,15 mmol/l. Laboratoire du 08.01.2019: Hb 116 g/l, Leucocytes 9.2 G/l, Thrombocytes 329 G/l, Crase en ordre Hb post-partale: 94 g/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 26.01.2019 Streptocoques du groupe B positif le 08.01.2019 Sérologies: Rubéole immune, HBS négatif: Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, AC syphilis négatif Laboratoire du 08.01.2019: Hb 125 g/l, Lc 12 G/l ; Tc 241 G/l ; CRP 7 mg/l Hb post-partale: 104 g/l Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif 31.07.2018 Streptocoques du groupe B positif le 19.12.2018 Sérologies du 30.07.2018: Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle positif 30.07.2018 Laboratoire du 08.01.2019: Hb 128 g/l, Lc 9.8 G/l, Tc 216 G/l Hb post-partale: 117 g/l Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif 08.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 07.12.2018 Sérologies: Toxo immune, CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif: vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite Laboratoire du 09.01.2019: Hb 129 g/l, Leuc 8.7 G/L, Pl 191 G/l Hb post-partale: 132 g/l Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif 14.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif 21.12.2018 Sérologies 2018: Toxo non-immune, CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif Laboratoire du 09.01.2019: Hb 123 g/l, Lc 9.6 G/l, Tc 156 G/l Hb post-partale: 80 g/l Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 20.06.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 18.12.2018 Sérologies: Toxo non-immune 25.04.2014 ; CMV non-immune 25.04.2014 ; Rubéole immune 25.04.2014 ; VDRL négatif ; HBS négatif 20.06.2018 ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle positif ; particularités: Boostrix fait le 23.10.2018 Laboratoire du 09.01.2019: Hb 134 g/l, Leucocytes 13.9 G/l, Thrombocytes 248 G/l, Crase en ordreHb post-partale: 117 g/l Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatifs le 09.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 20.12.2018 Sérologie: inconnues, faites le 10.01.2019: Rubéole immune (2017); VDRL négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Laboratoire du 10.01.2019: Hb 111 g/l, Leucocytes 14.6 G/l, Thrombocytes 213 G/l, Crase en ordre Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif 10.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif 05.01.2019 Sérologies: Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite Laboratoire du 10.01.2019: Hb 119 g/l; Leucocytes 10.1 G/l; Thrombocytes 253 G/l; CRP <5 Hémoglobine post-partale: 117 g/l Groupe sanguin O Rhésus positif; AC irréguliers négatif 29.05.2018 Streptocoques du groupe B positif 17.12.2018; Sérologies: CMV immune; Rubéole immune; VDRL négatif le 29.05.2018; HBS négatif 29.05.2018; HCV négatif 29.05.2018; HIV négatif 09.07.2018; Varicelle faite Laboratoire du 10.01.2019: Hb 122 g/l, Lc 6.6 G/l; Tc 224 G/l; Hb foetale 0 Hb post-partale: 118 g/l Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 10.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 03.01.2019 Sérologies: CMV immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif Laboratoire du 10.01.2019: Hb 127 g/l, Lc 10.6 G/l; Tc 277 G/l Hb post-partale: 129 g/l Groupe sanguin B positif, AC irréguliers négatif le 10.01.2019 Sérologies 2018:Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HCV négatif, HIV négatif, HBV négatif Laboratoire du 11.01.19 (ANCA, FAN) Laboratoire du 11.01.19: Hb 126 g/l, Leucocytes 17.3 G/l, Thrombocytes 266 G/l, Crase en ordre Hb post-partale: 94 g/l Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif 11.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif 03.01.2019 Sérologies: Toxo immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite Laboratoire du 11.01.2019: bilan de gestose aligné, tests hépatico-pancréatiques normaux, pas de syndrome inflammatoire Spot: absence de protéinurie Protéinurie sur 24h négative Rapport SFLT1/PLGF négatif le 08.01.2019 Examen spéculum: pertes liquidiennes en petite quantité sans saignement actif Toucher vaginal: col postérieur mou long de 2 cm perméable à un doigt Actim Prom: faiblement positif Frotti bactériologique: en cours Frotti streptocoques du groupe B: en cours Echographie abdominale: fœtus eutrophique avec PFE 2766 g en présentation céphalique, manning 8/8, excellente vitalité fœtale, liquide amniotique dans la norme avec grande citerne à 4.8 cm, placenta fundique normalement inséré, doppler ombilical en ordre. Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif 22.10.2018 Sérologies: Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif Laboratoire du 11.01.2019: Hb 137 g/l, Leucocytes 8.8 G/l, Thrombocytes 223 G/l, Crase en ordre Hb post-partale: 112 g/l Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif 22.05.2018 Streptocoques du groupe B négatif 12.12.2018 Sérologies: Rubéole immune, VDRL négatif, HBS: Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite Laboratoire du 11.01.2019: Hb 141 g/l, Leucocytes 17.6 G/l, Thrombocytes 231 g/l, Crase en ordre Hb post-partale: 122 g/l Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif 11.12.2018 Sérologies: Toxo immune, CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif, Zika négatif Laboratoire du 11.01.2019: Hb 141 g/l, Leucocytes 9.4 G/l, Thrombocytes 188 g/l, Crase en ordre Hb post-partale: 112 g/l Groupe sanguin AB Rhésus positif, AC irréguliers négatif 29.01.2018 Streptocoques du groupe B dépassé Sérologies: Rubéole immune, VDRL négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. Hépatite B guérie Laboratoire du 11.01.2019: Hb 142 g/l, Leucocytes 9.2 G/l, Thrombocytes 148 g/l, CRP <5 mg/l, Crase en ordre Hb post-partale: 134 g/l Groupe sanguin: B positif, AC irréguliers négatifs le 11.01.2019. Streptocoques du groupe B négatif 18.12.2018 Sérologies: Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif. Rappel Boostrix le 5.11.18 Laboratoire du 12.01.19: sans particularité. Stix/Sédiment effectué en gynécologie sans particularité. Avis gynécologique du 12.01.19: Manning sans particularité, retour à domicile avec conseils d'usage. Réassurance. Retour à domicile avec prochain contrôle chez gynécologue traitant le 16.01.2019. Laboratoire du 12.01.2019 : CRP 160 CT-scan du 08.01.2019 : fistule vésico-vaginale nouvelle Avis gynécologique : vulve inflammatoire, douloureuse +, pertes malodorantes, grises avec membranes, ad hospit et antibiothérapie iv pour suite de prise en charge Laboratoire du 12.01.2019: Hb 106 g/l, Leucocytes 13.7 G/l, Thrombocytes 273 G/l, CRP 8 mg/l, Crase en ordre Labo 18.01.2019: Hb 117 g/l, leuco 8 G/l, CRP 20 mg/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 11.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 09.01.2019 Sérologies: Toxo immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS: Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. Frottis transmembranaire: Staphylococcus epidermidis et warneri Hémoculture: E. Coli multisensible Laboratoire du 12.01.2019: Hb 115 g/l, Lc 9.4 G/l, Tc 189 G/l Laboratoire du 12.01.2019: Hb 115 g/l, Leucocytes 8.7 G/l, Thrombocytes 202 G/l, Crase en ordre Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif 12.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif 17.12.2018 Sérologies: Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. Absence d'hémoglobinopathie Laboratoire du 12.01.2019: Hb 124 g/l, Lc 12 G/l, Tc 158 G/l, CRP 32 mg/l Laboratoire du 13.01.2019: Hb 110 g/l, Lc 10.2 G/l, Tc 185 G/l, CRP 87 mg/l Sédiment urinaire du 12.01.2019: Leuco++++, Erythrocytes+++, Nitrites positif Urotubes: E. coli +++, sensible à la ceftriaxone et à la ciprofloxacine Laboratoire du 12.01.2019: Hb 133 g/l, Leucocytes 10 G/l, Thrombocytes 240 G/l, Crase en ordre Hb post-partale: 114 g/l Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif 12.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 10.12.2018 Sérologies 2018: Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. Laboratoire du 12.01.2019: Hb 137 g/l, Leucocytes 15.9 G/l, Thrombocytes 249 G/l, Crase en ordre Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif 28.06.2018 Streptocoque du groupe B négatif 12.12.2018 Sérologie: Rubéole immune, VDRL négatif, HCV négatif, HIV négatif. HBV non connu Laboratoire du 12.01.2019 ECG Rx thoracique du 12.01.2019: pas de foyers franc Gazométrie du 12.01.2019: pH à 7.39, PC02 à 5.5, PO2 à 13.3, lactate à 1.2 mmol/l Frottis grippe du 12.01.2019 > att > aérosol Atrovent 250 mcg/2 ml > aérosols Ventolin 0.5 mg/2 ml > Solumédrol 125 mg iv > Sulfate de magnésium 2 g iv > évaluation par les soins intensifs: bonne évolution clinique de la patiente, surveillance pendant 2 h aux urgences puis réévaluation. Au vu de la bonne évolution, hospitalisation en médecine. > ad hospitalisation en médecine pour suite de prise en charge Laboratoire du 12.12.2018: CRP < 5 mg/l, Leuc 5.7 G/l Avis neurologique (Dr. X): ad PL, IRM, EEG PL du 12.12.2018: échec après 5 tentatives en position couchée, puis assise, difficulté liée à anatomie et mauvaise compliance du patientPL du 14.12.2018: eau de roche, 1 élément, protéinorachie 0.97 g/l, pression d'ouverture à 10 cm d'H2O Consilium neuro le 14.12.2018 Consilium psychiatrique le 14.12.2018 IRM cérébrale du 14.12.2018: IRM cérébrale dans les limites de la norme. Pas de signe en faveur d'un abcès ou d'une encéphalite. EEG prévu 17.12.2018: à faire à Marsens PAFA et transfert à la clinique de Marsens en accord avec le neurologue et psychiatre de garde. Mr. Y pas en sécurité à l'hôpital cantonal Fribourg vu le risque de fugue. Laboratoire du 13.01.2019 : pas de cinétique de troponine. ECG du 13.01.2019. Poursuite du traitement habituel. Consilium en cardiologie effectué pour proposition d'holter sur 24h. Mr. Y est prévenu qu'il doit reconsulter si représentation de la symptomatologie. Laboratoire du 13.01.2019 Gazométrie du 13.01.2019 : pH 7.49, PCO2 à 3.4, PO2 à 9.9, Bicarbonate à 20 mmol/l, Lactate à 1.4 mmol/l CT-scan cérébral natif du 13.01.2019 : fracture plancher orbitaire à gauche et du mur latéral sans incarcération musculaire, fracture de l'arcade zygomatique sur 2 points, fracture du mur de l'orbite postérieur toutes déjà présentes au CT-scan du 11.01, pas de saignement intra-parenchymateux, pas de fracture des cervicales. Avis ORL Dr. X du 13.01.2019 : si pas de limitation à la poursuite oculaire ni diplopie - ne nécessite pas de traitement. Pas de mouchâge et triofan spray 3-4x par jour pendant 1 semaine. • att ad consilium ORL dès le 14.01.2019 Laboratoire du 13.01.2019: Hb 105 g/L. Lc 8.9 G/L, Tc 170 G/L, CRP 156 mg/L, K+ 2.8 mmol/L, Na+ 133 Sédiment du 13.01.2019: leucocytes +++, bactériurie++ Urotube du 13.01.2019: négatif Frottis vaginal : flore normale Hémocultures du 13.01.2019: négatif US endovaginal du 13.01.2019: utérus AVF de taille normale avec endomètre fin à 7.9 mm, ovaires dans la norme, pas de liquide libre. Us rénal: pas de dilatation pyélocalicielle US le 16.01.2019 des voies urinaires, nécessite un examen complémentaire par URO-CT: images de néphrite. Laboratoire du 13.01.2019 ECG du 13.01.2019 Radiographie thoracique du 13.01.2019 • att Nitroglycérine caps O.U Introduction IECA et aspirine cardio dès 14.01 ad hospitalisation en médecine interne pour suivi tensionnel ad avis cardio dès le 14.01 au matin Pister bilan lipidique Laboratoire du 14.01.2019 : CRP inférieur à 5, leucocyte à 5.4. Laboratoire du 14.01.2019: Hb 116 g/l, Lc 11.5 G/l; Tc 285 G/l; CRP 14 mg/l Hb post-partale: 110 g/l Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 13.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 10.01.2019 Sérologies: Toxo non immune; CMV immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Laboratoire du 14.01.2019: Hb 150 g/l, Lc 26.1 G/l; Tc 307 G/l; CRP 9 mg/l Hb post-partale: 123 g/l Groupe sanguin O-. Streptocoques du groupe B négatif le 02.01.2019 Sérologies:Toxo non-immune; CMV immune; Rubéole non-immune; TPHA négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle négatif; Laboratoire du 14.01.2019: Hb 151 g/l, Lc 13.7 G/l; Tc 228 G/l; Hb post-partale: 112 g/l Groupe sanguin O Rhésus positif Streptocoques du groupe B négatif 08.01.2019 Sérologies:Toxo non-immune 03.07.2018; CMV immune 03.07.2018; Rubéole immune 03.07.2018; HBS, Vaccinée; HCV négatif 03.07.2018; HIV négatif 03.07.2018; Varicelle positif 03.07.2018 Laboratoire du 15.01.2019: Hb 115 g/l, Lc 11.3 G/l; Tc 294 G/l, Crase en ordre Hb post-partale: 110 g/l Groupe sanguin AB+, AC irréguliers négatifs le 15.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 14.12.2018 Sérologies:Toxo immune, CMV immune, Rubéole immune, HBS, Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif. Laboratoire du 15.01.2019: Hb 122 g/L, Leucocytes 13.1 G/l; Thrombocytes 325 G/l, CRP <5 mg/L Groupe sanguin A+ AC irréguliers négatif; Sérologies:Toxo non-immune; Rubéole immune; TPHA négatif; HBS négatif Vaccinée; HIV négatif; Laboratoire du 15.01.2019: Hb 134 g/l; Leucocytes 9.4 G/l; Thrombocytes 154 G/l Hb post-partale: 129 g/l Groupe sanguin AB+; AC irréguliers négatif le 10.07.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 15.01.2019 Sérologies:Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif Laboratoire du 15.01.2019: Hb 137 g/l, Lc 13.4 G/l; Tc 323 G/l Hb post-partale: 104 g/l Groupe sanguin A+, RAI - le 15.01.2019 Streptocoques du groupe B positif le 19.12.2018 Sérologies: Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Laboratoire du 15.01.2019: Hb 151 g/l, Lc 11.5 G/l, Tc 301 G/l Hb post-partale: 101g/l Groupe sanguin A+ Streptocoques du groupe B négatif le 27.12.2018 Sérologies: Toxo non immune; CMV non immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite, Boostrix 12.11.2018 Laboratoire du 16.01.19 : aligné. Laboratoire du 16.01.2019: Hb 134 g/l, Lc 10.7 G/l; Tc 255 G/l; CRP <5 mg/l Hb post-partale: 131 g/l Groupe sanguin A+, RAI négatifs le 16.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 20.12.2019 Sérologies: Toxo non immune; CMV immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Laboratoire du 16.01.2019. Traitement symptomatique. Réassurance. Mme. Y est instruite qu'elle doit reconsulter en cas de symptômes graves. Laboratoire du 17.01.2019: Hb 107 g/l, Leucocyte 9.7 G/l, Thrombocytes 243 G/l, Crase en ordre Hb post-partale: 89 g/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 10.07.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 14.12.2018 Sérologies: Toxo immune, CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS: Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif. Laboratoire du 17.01.2019: Hb 119 g/l, Leucocytes 9.8 G/l, Thrombocytes 234 G/l, Crase en ordre Hb post-partale: 110 g/l Groupe sanguin B+, AC irréguliers négatif le 17.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 20.12.2019 Sérologies: CMV immune, Rubéole immune, AC syphilis négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif. Laboratoire du 17.01.2019: Hb 132 g/l, Lc 11.7 G/l; Tc 250 G/l Hb post-partale: 137 g/l Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif 23.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif 20.12.2018 Sérologies:Toxo non-immune 12.06.2018; CMV non-immune 06.07.2018; VDRL négatif 06.07.2018; HBS négatif 16.10.2018; HCV négatif 16.10.2018; HIV négatif 06.07.2018; Varicelle, faite; particularités: rubéole douteuse Laboratoire du 17.01.2019: Hb 135 g/l, Leucocytes 8.6 G/l, Thrombocytes 214 G/l Hb post-partale: 137 g/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 17.01.2019 Sérologies: Toxo immune, CMV non-immune, Rubéole immune, TPHA négatif, HBS, Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif. Laboratoire du 17.01.2019: Hb 93 g/l, Leucocytes 9.3 G/l, Thrombocytes 223 G/l, CRP <5 mg/l, Crase eo Hb post-partale: 87 g/l Groupe sanguin AB+, AC irréguliers négatif le 17.01.2019 Sérologies: Toxo non-immune, CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif. Laboratoire du 17.12.2018 Radiographie de la hanche gauche Avis orthopédique Dr. X et Dr. X : • Clinique en faveur d'une tendinite des adducteurs, pas de douleur à la mobilisation passive de la hanche gauche • Si absence d'amélioration ou péjoration de l'état clinique : à confronter à un CT scanner pour bilancer un descellement (dans le cadre âge et comorbidités, remise en question de cet examen et ses conséquences dans l'état actuel) • Pas d'indication à une poursuite d'investigations orthopédiques (CT scan) • Antalgie • Physiothérapie Frottis bactériologique: flore normale Streptocoques du groupe B: négatif ActimPartus négatif Urotube du 18.01.2019: bactériurie 10^3 (probable contamination) Sérologies: Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle, faite. Laboratoire du 18.01.2019: Hb 111 g/l, Leucocyte 14.7 G/l, Thrombocytes 164 G/l, CRP <5 mg/l, Crase en ordre Hb post-partale: 80 g/l Groupe sanguin B-, AC irréguliers négatif le 16.11.2018. Rhésus bébé positif. Rhophylac 300 mcg le 19.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 21.12.2018 Sérologies: Rubéole immune, Syphilis AC négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif. Laboratoire du 18.01.2019: Hb 121 g/l, Leucocytes 9.6 G/l, Thrombocytes 191 G/l, Crase eo, CRP 18 mg/l, bilan de gestose aligné ActimPartus négatif Frottis bactériologique: flore normale Streptocoques du groupe B: positif Urotube: bactériurie 10^3 Echographie trans-vaginale: Col de 30 mm avec funeling en amont stable au Valsalva Echographie transabdominale: Foetus eutrophique avec PFE le 16.01.19 à 2330 g en présentation céphalique, manning 8/8, liquide amniotique en quantité normale avec grande citerne à 4, placenta antérieur normalement inséré, doppler ombilical en ordre. CTG: tachycardie foetale, R NP Groupe sanguin O+, AC irrégulier le 18.01.2019 Sérologies: Rubéole immune, TPHA négatif, HBS: Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif. Laboratoire du 18.01.2019: Hb 131 g/l, Leucocytes 9.6 G/l, Thrombocytes 259 G/l, CRP 15 mg/l, Crase eo Hb post-partale: 107 g/l Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif Streptocoques du groupe B positif 13.12.2018 Sérologies: Rubéole immune, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif. Laboratoire du 18.01.2019: Hb 95 g/l, Leucocytes 18 G/l, Thrombocytes 313 G/l, Crase en ordre, CRP 10 mg/l Groupe sanguin: A rhésus positif, AC irréguliers négatifs le 18.01.2019 FAST: important hémopéritoine Hb post-opératoire: 87 g/l Laboratoire du 18.01.2019 (taux résiduels d'anti-épileptiques) Laboratoire du 18.12.2018: Hb 110 g/l, Lc 7.3 G/l ; Tc 158 G/l Hb post-partale: 109 g/l Groupe sanguin B Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 13.01.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 18.12.2018 Sérologies: CMV immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; VZV négatif. Laboratoire du 19.01.2019: Hb 131 g/l, Leucocytes 9.2 G/l, Thrombocytes 345 G/l, CRP 10 mg/l, Crase en ordre Hb post-partale: 115 g/l Groupe sanguin AB+, AC irréguliers négatif le 18.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 08.01.2019 Sérologies: CMV immune, Rubéole immune, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif. Laboratoire du 19.01.2019: Hb 132 g/l, Leucocytes 16.6 G/l, Thrombocytes 214 g/l Hb post-partale: 113 g/l Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatif 19.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif 11.01.2019 Sérologies: Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. CMV séroconversion objectivée en début de grossesse. Laboratoire du 19.01.2019 • att ad surveillance des tests hépatiques Laboratoire du 19.11.2018: Hb: 113 g/l, GB: 16.6 g/l, Plaq: 324 G/L, CRP: 97, Créat: 46, Na+: 132, K+: 3.4, ASAT/ALAT: 23/19, GGT/PAL: 17/54, TSH: 0.710, T4: 14 Laboratoire du 21.11.2018: Créat: 40, Na+: 134, K+: 3.9, Créat: 59. Hb: 112 g/l, GB: 6 g/l, Plaq: 326 G/L Groupe sanguin: A rhésus positif Sérologies VIH, VHB, VHC, négatives Stix ++ cétones Uricult en cours Frottis vaginal en cours. Laboratoire du 20.01.2019: Hb 119 g/l, Leucocytes 11.6 G/l, Thrombocytes 230 G/l, Crase en ordre Hb post-partale: 100 g/l Groupe sanguin B+, AC irréguliers négatif le 20.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif Sérologies: Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif. Laboratoire du 20.01.2019: Hb 122 g/l, Leucocytes 15.4 G/l, Thrombocytes 284 G/l, Crase en ordre Hb post-partale: 108 g/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatifs le 20.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif Sérologies: CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle négatif. Laboratoire du 20.01.2019: Hb 130 g/l, Lc 11.3 G/l ; Tc 247 G/l Hb post-partale: 124 g/l, leuk. 12.4 Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif 21.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif 12.01.2019 Sérologies: Rubéole immune 09.07.2018 ; TPHA négatif 09.07.2018 ; HBS négatif 09.07.2018 ; HCV négatif 09.07.2018 ; HIV négatif 09.07.2018 ; Varicelle positif 09.07.2018 ; particularités: 09.07.2018: Rubéole IgM POS 31.8 - IgG 124,0 - avidité >= 0.65 infection ancienne datant de plus de 3 mois 22.08.18: Rubéole IgM POS 27,3 - IgG 97.1. Laboratoire du 21.01.2019: Hb 123 g/l, Lc 9.5 G/l ; Tc 215 G/l Hb post-partale: 121 g/l Groupe sanguin O Rhésus positif, anticorps irréguliers négatifs 21.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 07.01.2019 Sérologies: Toxo immune ; CMV immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle faite. Laboratoire du 21.01.2019: Hb 112 g/l, Lc 8.6 G/l ; Tc 122 G/l Hb post-partale: 100 g/l Groupe sanguin O Rhésus négatif, immunoglobuline anti-D 19.11.2018, AC irréguliers négatif 21.01.2019 Hb foetale le 21.01.2019: 0 Streptocoques du groupe B négatif 03.01.2019 Sérologies 18.07.2018: Rubéole immune ; TPHA négatif ; HBS négatif ; Vaccinée ; HCV négatif ; HIV négatif ; particularités: AC dépistage Syphilis négatif boostrix fait le 19.11.18. Laboratoire du 21.01.2019: Hb 130 g/l, Lc 8.2 G/l ; Tc 181 G/l Hb post-partale: 129 g/l Groupe sanguin A-, immunoglobuline anti-D le 14.11.2018 Bébé rhésus négatif Streptocoques du groupe B négatif le 26.12.2018 Sérologies: CMV non-immune le 13.07.2018 ; Rubéole immune le 13.07.2018 ; VDRL négatif le 13.07.2018 ; HBS négatif le 14.11.2018 ; HCV négatif le 14.11.2018 ; HIV négatif le 13.07.2018. Laboratoire du 21.01.2019: Hb 131 g/l, Lc 10.8 G/l ; Tc 201 G/l ; CRP 7 mg/l Hb post-partale: 98 g/l Groupe sanguin O négatif, AC irréguliers négatif le 21.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 30.12.2019 Sérologies: Toxo non-immune ; CMV non-immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle positif. Laboratoire du 22.01.2019: CRP 167, leuco 10.5, CK 460 CT cérébral natif du 22.01.2019: plusieurs séquelles ischémiques anciennes, lambeau graisseux intra-crânien au niveau temporal, plaque d'ostéosynthèse, pas de lésion hémorragique, atrophie compatible avec l'âge Rx du thorax: pas de foyer Stix/sédiment: propre • att ad hospit Laboratoire du 22.01.2019: Hb 139 g/l, leuco 7.3 g/l, Plaq 234 mg/l, Crase en ordre PAP du 24.01.2019: absence de cellules suspectes Chlamydia du 24.01.2019: négatif Sérologies IST du 23.01.2019: HBV, HCV, HIV : négatifs US le 22.01.2019: grossesse intra-utérine avec présence d'un sac gestationnel et vésicule viteline avec un embryon estimé à 5 4/7 semaines d'aménorrhée. Laboratoire du 22.01.2019: Hb 125 g/l, Lc 9.5 G/l ; Tc 203 G/l, CRP <5 mg/l Hb post-partale: 89 g/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 03.07.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 18.12.2018 Sérologies le 23.10.2018: Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; Vaccinée ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle positif ; particularités: Boostrix fait (23.10.2018). Laboratoire du 22.01.2019: Hb 133 g/l, Lc 8.9 G/l, Tc 225 G/l Hb post-partale: 119 g/l Groupe sanguin A négatif (enfant Rhésus négatif), Ac irréguliers négatifs le 22.01.2019 Streptocoques du groupe B positif le 19.12.2019. Sérologies: CMV non-immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; HBS négatif ; Varicelle faite. Laboratoire du 23.01.2019: Hb 132 g/l, Lc 12.3 G/l; Tc 245G/l; CRP 19 mg/l Hb post-partale: 107 g/l Groupe sanguin B positif, AC irréguliers négatif le 23.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 30.12.2018 Sérologies: Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif. Laboratoire du 24.01.2019: Hb 109 g/l, Lc 6.9 G/l, Tc 196 G/l, CRP <5 mg/l Hb post-partale: 118 g/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 12.07.2018 Streptocoques du groupe B positif le 17.12.2018 Sérologies du 12.07.2018: CMV immune le 03.09.2013; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS, Vaccinée; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle, faite; particularités: Vaccin grippe Laboratoire du 24.01.2019: Hb 140 g/l, Leucocytes 9.9 G/l, Thrombocytes 141 G/l, Crase en ordre Hb post-partale: 111 g/l Groupe sanguin A-, AC irréguliers négatif le 26.01.2019. Rhésus bébé: négatif. Streptocoques du groupe B négatif le 07.01.2019 Sérologies: Toxo non-immune, Rubéole immune, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif Laboratoire du 25.01.2019: CRP à 46, pas de leucocytose Laboratoire du 26.01.2019: CRP à 70, pas de leucocytose US abdominal du 25.01.2019: appendice non visualisée CT-scan abdominal du 25.01.2019: pas d'appendicite. Sédiment urinaire le 26.01.2019: négatif Culture de selles du 26.01.2019: négative Test de grossesse négatif Avis chir du 26.01.2019 (Dr. X): antibiothérapie pendant 5 jours, surveillance et hydratation IV. Hydratation IV dès le 26.01.2019 Ciproxin 500 mg IV OU puis Ciproxin 500 mg 2x/j po du 26.01 au 28.01.2019 Laboratoire du 25.01.2019: Hb 129 g/l, Leucocytes 5.2 G/l, Thrombocytes 190 G/l, CRP <5mg/ml, Crase en ordre Hb post-partale: 108 g/l Groupe sanguin O+; AC irréguliers négatif le 25.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 17.01.2019 Sérologies: Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune. VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif Laboratoire du 25.12.2018: Hb 133g/l, Lc 14 G/l; Tc 344. G/l; Hb post-partale: 120 g/l le 30.12.2018 Groupe sanguin A+, RAI négatifs Streptocoques du groupe B négatif le 20.12.2018 Sérologies: Toxo non-immune; CMV non-immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif. Laboratoire du 26.01.2019: Hb 126g/l, Leucocytes 11 G/l, Thrombocytes 251 G/l, Crase en ordre, Bilan de gestose aligné hormis protéinurie positive au sport urinaire Protéinurie des 24h: 0.24g/24h Hb post-partale: 97g/l Groupe sanguin A+; AC irréguliers négatif le 27.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 09.01.2019 Sérologies: Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif. Laboratoire du 26.01.2019: Hb 127g/l, Leucocytes 14.7 G/l, Thrombocytes 163 G/l Hb post-partale: 108 g/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 02.11.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 20.12.2019 Sérologies: CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif Laboratoire du 26.01.2019: Hb 131 g/l, Leucocytes 11.7 G/l, Thrombocytes 212 G/l, Crase en ordre Hb post-partale: 122 g/l Groupe sanguin A-, AC irréguliers négatifs le 26.01.2019. Rhésus bébé négatif. Streptocoques du groupe B positif le 11.01.2019 Sérologies: CMV immune, Rubéole non-immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle, faite. Laboratoire du 26.01.2019: Hb 131 g/l, Leucocytes 8 G/l, Thrombocytes 218 G/l, CRP <5mg/ml, Crase en ordre Hb post-partale: 116 g/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 26.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 27.12.2018 Sérologies: Toxo immune, CMV immune, Rubéole immune, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle, faite. Laboratoire du 26.01.2019 Avis Dr. X: ad hospitalisation chirurgie sur la nuit pour suivi hémoglobine. Consilium gastroentérologie pour OGD en électif Hydratation IV à 26.01.2019 Pantoprazol 80mg IV en D.U. aux urgences Pantozol 8mg/h pompe A jeûn jusqu'au 27.01 à réévaluer Contrôle Hb à 22h à pister Laboratoire du 27.01.2019: Hb 119 g/l, Leucocytes 14.3 G/l, Thrombocytes 258 G/l, CRP 62 mg/l Laboratoire du 28.01.2019: Hb 118 g/l, Leucocytes 16.6 G/l, Thrombocytes 250 G/l, CRP 97 mg/l Laboratoire du 29.01.2019: Hb 113 g/l, Leucocytes 9.1 G/l, Thrombocytes 245 G/l, CRP 105 mg/l Plaie calme, abdomen souple et indolore TV: utérus mobile, col utérin douloureux à la mobilisation Speculum: lochies de quantité normale, malodorantes Echographie abdominale du 27.01.2019: Utérus involué avec cavité utérine, un endomètre de 11 mm. Les ovaires sans particularité des deux côtés. Pas de liquide libre dans le Douglas. Urotube négatif Frottis vaginal négatif Hémoculture positive pour Clostridium Laboratoire du 27.01.2019: Hb 136g/l, Leucocytes 19.6 G/l, Thrombocytes 379 G/l, Crase en ordre Hb post-partale: 109 g/l Laboratoire: Groupe sanguin B+, AC irréguliers négatif le 27.01.2019 Streptocoques du groupe B inconnu Sérologies: Rubéole immune, Syphilis négatif, HBS, Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif. Laboratoire du 27.01.2019 Radiographie bassin Avis orthopédie (Dr. X): CT-scan pour meilleure visualisation bassin CT-scan du 27.01.2019: fracture branche illio-ischio-pubienne à gauche, hématome sous la branche ischio-pubienne gauche. Épaississement très suspect du sigmoïde qui peut être compatible avec une tumeur (à confronter à une imagerie adaptée). Pas de deuxième fracture de l'anneau visualisé Avis orthopédique Dr. X: charge selon douleur, plâtre pour 6 semaines. Contrôle radiographique la semaine prochaine dans le plâtre Ad hospitalisation en orthopédie pour antalgie Laboratoire du 27.01.2019: CRP à 328, leucocytes à 18.8 CT-scan du 27.01.2019: appendicite perforée avec début de péritonite et liquide libre au niveau du flanc droit Stix: sang+++, leuco+ Rocéphine 2g IV + Métronidazole 500mg IV 3x/j Ad hospitalisation chirurgie pour suite de prise en charge Laboratoire du 27.12.2018: Hb 123 g/l, Lc 11 G/l; Tc 275 G/l Hb post-partale: 106g/l Groupe sanguin O+, RAI négatifs le 14.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 31.12.2018 Sérologies: Toxo non-immune; CMV non-immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Laboratoire du 27.12.2018: Hémoglobine 141 g/l, Leucocytes 10.2 G/l, Thrombocytes 486 G/l Hb post-partale: 130 g/l Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatifs le 27.12.2018 Streptocoques du groupe B inconnu Sérologies: Toxo non-immune, CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif Laboratoire du 28.12.2018: Hb 114g/l, Leucocytes 14.5 G/l, Thrombocytes 318 G/l Hb post-partale: 89 g/l Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 17.07.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 28.12.2018 Sérologies: Rubéole immune le 17.07.2018; HBS négatif le 17.07.2018; Vaccinée; HCV négatif le 17.07.2018; HIV négatif le 17.07.2018; particularités: AC dépistage syphilis: négatif, varicelle faite Laboratoire du 28.12.2018: Hb 116 g/l, Leucocytes 16.5 G/l; Thrombocytes 349 G/l Hb post-partale: 119 g/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 28.12.2018. Streptocoques du groupe B positif le 17.12.2018 Sérologies: Toxo immune; CMV immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif. Laboratoire du 28.12.2018: Hb 118 g/l, Leucocytes 8.7 G/l, Thrombocytes 195 G/l Hb post-partale: 130 g/l Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 10.07.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 21.12.2018. Sérologies 10.07.2018: • Toxo non-immune • Rubéole immune • VDRL négatif • HBS, Vaccinée • HCV négatif • HIV négatif Laboratoire du 28.12.2018: légère hyponatrémie à 131 mmol/l, syndrome inflammatoire avec CRP à 54 mg/l sans leucocytose, tests hépatiques et pancréatiques alignés hormis élévation des LDH à 217 U/l et bilirubine directe à 3.8 umol/l, crase normale Laboratoire du 30.12.2018: légère hyponatrémie à 133 mmol/l, légère hypokaliémie à 3.3 mmol/l, CRP à 10 mg/l, leucocytes à 10.2 Sérologies 2018: • Rubéole immune • Toxoplasmose non immune • CMV non immune • 2015: hépatite C, B et HIV négatif Sérologies CMV et toxoplasmose négatives. CTG: R-NP, 2 CU sur 40 minutes US: Présentation céphalique, dos à droite. Bonne vitalité fœtale, Manning 8/8, ILA normal avec grande citerne à 7, PFE 3000 g (p70), Doppler ombilical normal, placenta antérieur normalement inséré Laboratoire du 29.01.2019: Hb 133 g/l, leucocytes 14 G/l, thrombocytes 170 G/l, crase en ordre Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 20.07.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 07.01.2019 Sérologies: • Toxo immune • Rubéole immune • VDRL négatif • HBS négatif: vaccinée • HCV négatif • HIV négatif • Varicelle, faite Laboratoire du 29.05.2018: Hb 128 g/l, leucocytes 5.7 G/l, thrombocytes 302 G/l Hb post-partale: 103 g/l Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 29.05.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 12.12.2018 Sérologies du 29.05.2018: • Toxo non-immune • CMV non-immune • Rubéole immune • VDRL négatif • TPHA négatif • HBS négatif • HCV négatif • HIV négatif • Varicelle positif Laboratoire du 29.12.2018: Hb 127 g/l, Leuco 11.4 G/l, Tbc 293 G/l, CRP à 5 mg/l, crase eo Groupe sanguin O rhésus +, RAI nég le 29.12.2018 Sérologies effectuées auprès de son gynécologue traitant Actim Prom: négatif Actim Partus: positif Frottis bactériologique vaginal du 28.12.2018: flore normale, chlamydia négatif Streptocoques du groupe B du 28.12.2018: positif Urotube du 29.12.2018: négatif CTG à l'entrée: R-NP, ligne de base à 140-145 bpm, CUs aux 5 min ressenties par la patiente CTG à la sortie: R-NP, pas de CU US le 28.12.2018: Manning à 8/8, céphalique dos à droite, PFE à 1975 g, placenta fundique, ILA à 11.6 avec GC à 4.1 cm, Do: IR à 0.58, IP à 0.85, col stable à 23 mm US le 29.12.2018: col stable à 25 mm Laboratoire du 30.01.2019: cf. annexes. Examens urinaires: normaux. Laboratoire du 30.01.2019: CRP 196 mg/l, leucocytes 12.8 G/l. Cf. annexes. Laboratoire du 30.01.2019: CRP 20, pas de leucocytose Avis Dr. X: au vue de la sortie d'hospitalisation hier, pas d'indication à un CT d'emblée, pas d'indication à sonde d'emblée. Mise à jeûn jusqu'à demain matin. Laboratoire du 30.01.2019: potassium 3 mmol/L Temesta 0.5 mg D.U aux urgences Substitution de 30 Meq dans 1000 NaCl 0.9% aux urgences Laboratoire du 30.01.2019 IRM colonne lombaire + sacrée le 30.01.2019: rapport oral: infiltration de la colonne lombaire + sacrée Avis Dr. X: ad hospitalisation pour bilan d'extension, traitement par Fortecortin iv 12 mg en D.U et poursuite par dexaméthasone 3x4 mg dès le 31.01.2019 ad hospitalisation en médecine interne pour bilan extension thoraco-abdominale le 31.01.2019 PET-scan déjà prévu le _ Laboratoire du 30.01.2019 ECG Rx thoracique Adalat cpr 20 mg ret O.U ad hospitalisation en médecine interne pour réadaptation du traitement antihypertenseur. Laboratoire du 30.12.2018: Hb 128 g/l, Leuco 10 G/l, Tbc 271 G/l Hb post-partale: 129 g/l Groupe sanguin A positif, RAI négatif le 23.05.2018 Streptocoques du groupe B positif du 26.11.2018: pas d'antibioprophylaxie car travail rapide Sérologies: • Rubéole immune • VDRL négatif • HBS négatif • HCV négatif • HIV négatif • Varicelle faite Laboratoire du 30.12.2018: Hb 130 g/l, Leuco 17.1 G/l, Tbc 220 G/l, CRP à 10 mg/l Groupe sanguin O rhésus +, RAI négatif le 30.12.2018 Stix urinaire: normal Actim Prom: négatif Frottis bactériologiques vaginal et streptocoques du groupe B du 30.12.2018: négatifs Urotube du 30.12.2018 en cours CTG à l'entrée: R-NP, ligne de base à 130 bpm, 3 CUs/10 min douloureuses US le 30.12.2018: Manning à 8/8, céphalique dos antérieur, PFE à 1680 g, placenta fundique-postérieur, ILA à 17 avec GC à 5.1 cm, Do: IR à 0.78, IP à 1.41, col de 17 mm hors contraction et 14 mm à la contraction avec funneling de 37x20 mm Sérologies: • Toxo non-immune • CMV immune • Rubéole immune • VDRL négatif • HBS négatif • HCV négatif • HIV négatif • Varicelle immune Laboratoire du 30.12.2018: Hb 135 g/l, leucocytes 9.8 G/l, thrombocytes 109 G/l Hb post-partale: 137 g/l Tc le 01.01.19: 108 G/l Groupe sanguin O+. AC irréguliers négatif le 17.02.2017 Streptocoques du groupe B négatif le 21.12.2018 Sérologies: • Toxo non-immune • CMV immune • Rubéole immune • VDRL négatif • HBS négatif • HCV négatif • HIV négatif • Varicelle positif • PV B19 immune Laboratoire du 31.12.2018: Hb 116 g/l, Leuco 21.9 G/l, Tbc 225 G/l Hb post-partale: 116 g/l Groupe sanguin O+, RAI négatif le 31.12.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 20.12.2018 Sérologies: • Toxo non-immune • CMV non-immune • Rubéole inconnue • VDRL négatif • HBS négatif • HCV négatif • HIV négatif • Varicelle immune. Laboratoire. ECG. Avis psychiatre de garde: surveillance en lit d'observation avant transfert au RFSM CSH Marsens. Laboratoire. ECG. Avis ToxInfo Suisse. Solution charbon actif 200 ml per os. Anexate 2 x 0.5 mg. Surveillance en lit d'observation aux urgences. Avis psychiatrique, Dr. X. Transfert sous PAFA au RFSM CSH Marsens. Laboratoire. ECG. CT scan thoracique injecté. Avis cardiologique - Dr. X. Colchicine 0.5 mg 1x/j dès le 29.12.2018. Antalgie par Paracétamol. Surveillance en lit d'observation. Contrôle clinique à la Filière Urgence Ambulatoire le 31.12.2018 avec contrôle biologique et ECG Échocardiographie transthoracique à organiser. Laboratoire. ECG. CT scan thoraco-abdominal le 30.12.2018. Transfert au Soins continus de l'HFR Fribourg avec échocardiographie transthoracique en urgence. Laboratoire. ECG. Délimitation de l'érysipèle. Antibiothérapie par: • Floxapen 2 g iv 4x/j du 21 au 24.12.2018 puis du 25.12.2018 au 03.01.2019 • Amoxicilline 1 g per os du 25 au 25.12.2018 (jusqu'à l'obtention d'une VVC) Mise en place d'une VVC du 25.12.2018 au 14.01.2019. Bilan angiologique le 28.12.2018 Majoration du traitement diurétique: Torem 5 mg => Torem 10 mg per os. Avis infectiologique, Dr. X, le 03.01.2019: • Changement d'antibiothérapie le 03.01.2019 par Cubicin 350 mg iv 1x/24h du 03 au 12.01.2019. • Drainage lymphatique à prévoir post-antibiothérapie. Laboratoire. ECG du 11.01.2019: rythme sinusal à 80/min, PR 190 ms, QRS fins à 70 ms avec un axe à 50°, progression rapide de l'onde R avec transition en V2, ST isoélectriques sans signe d'ischémie active. ECG du 17.01.2019: rythme sinusal régulier à 93/min. Intervalle PR régulier à 172 msec. QRS à 60 msec, axe à 31°. Transition de l'onde R en V2. Absence de troubles de la repolarisation. QTc à 400 msec.RX thorax du 15.01.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Composante d'épanchement pleural à droite de faible abondance. Troubles ventilatoires des 2 bases pulmonaires. Composante d'emphysème pulmonaire bilatéral. RX thorax du 17.01.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Epanchement pleural bilatéral de faible abondance. Epaississement bibasal de la trame broncho-vasculaire. CT scan thoraco-abdominal du 10.01.2019 : néoplasie prostatique maligne à droite, mesurant un peu plus de 4 cm de grand diamètre, avec infiltration du fascia méso-rectal, du rectum et probablement de la paroi postérieure droite de la vessie. Métastases ganglionnaires à la bifurcation aortique et dans la chaîne iliaque interne droite. Pas de dilatation des voies urinaires. Métastases osseuses ostéolytiques intéressants la 6ème et la 10ème côte à gauche ainsi que le massif articulaire costo-vertébral 9 à droite. Fracture pathologique d'allure métastatique de la vertèbre D9. Pas de lésion traumatique des organes internes. IRM colonne totale du 17.01.2019 : lésions tumorales métastatiques diffuses prédominant nettement au niveau dorso-lombaire et essentiellement au niveau dorsal en regard de D8, D9, D10 et D11 avec épidurite métastatique engainant le cordon médullaire de façon circonférentielle et extension au niveau des parties molles péri-vertébrales : muscles para-vertébraux, arcs costaux postérieurs et différents éléments des arcs postérieurs des vertèbres déjà décrites. Laboratoire. ECG du 25.01.2019 : rythme sinusal régulier, normocarde à 66 bpm, axe normal à -25°, QRS fins à 92 ms, sous-décalage du segment ST à 0.1 mV en V4 et V5, transition de l'onde précoce en V2. QTc à 406 ms. RX thorax du 25.01.2019 : cœur de taille dans les limites de la norme, avec un important déroulement de l'aorte thoracique. Pas de signe de décompensation cardiaque. Petits troubles ventilatoires à la base gauche mais pas de foyer, ni d'épanchement pleural. Echocardiographie transthoracique - Dr. X - du 28.01.2019 : cf CardioReport. Laboratoire. ECG du 30.12.2018 : rythme sinusal régulier à 102/min, PQ à 156 ms, QRS fin à 72 ms, hémibloc antérieur gauche avec un axe du QRS à -68°, QTc à 425 ms, segment ST isoélectrique, microvoltage isolé des dérivations périphériques, bonne progression de l'onde R avec une zone de transition en V3-V4. Ponction lombaire du 29.12.2018 : absence de protéinorachie, absence d'élément. CT scan cérébral du 28.12.2018 : absence de lésion secondaire métastatique sus-tentorielle, visible. Hypodensité ronde cérébelleuse droite : ischémie ? œdème sur métastase ? RX thorax du 30.12.2018 : cardiomégalie globale majorée par la position couchée. Par rapport au comparatif du 03.04.2017, progression d'une masse tissulaire apicale gauche évocatrice d'une métastase. Accentuation du hile droit en progression avec épaississement interstitiel péri-hilaire ouvrant le DD d'une lymphangite carcinomateuse versus une composante de surcharge cardiaque surajoutée. Pas d'épanchement pleural visible. Ostéocondensation de D11, D12, L1 sur métastases osseuses. CT scan thoraco-abdominal du 30.12.2018 : atteinte tumorale pulmonaire, ganglionnaire sus et sous-diaphragmatique, hépatique et osseuse, dont l'évolutivité n'est pas évaluable en l'absence de comparatif à notre disposition. Possible lymphangite carcinomateuse en raison d'un épaississement des septa interlobulaires (DD : surcharge hydrique). Épanchement péricardique circonférentiel à corréler à une échocardiographie en urgence. Multiples métastases hépatiques par endroit confluentes pouvant faire suspecter une abcédation. Hypodensités corticales des deux reins pouvant faire suspecter des foyers de pyélonéphrite. Multiples métastases osseuses avec fracture notamment de L1 avec recul du mur postérieur. Laboratoire. ECG. RX thoracique puis CT : pas d'embolie, confirmation de l'absence d'épanchement ; infiltration légère de la graisse péri-vésiculaire biliaire. ETT et avis cardiologique (Dr. X) : pas d'argument pour retenir un diagnostic de péri-myocardite, pas d'argument pour une coronarographie en urgence ou soins intensifs. Ergométrie d'effort en ambulatoire : consilium demandé en cardiologie. Laboratoire. ECG. RX thorax. Antibiothérapie empirique par : • Klacid 500 mg 2x/jour du 24 au 27.12.2018 • Rocéphine 2 g 1x/jour du 24 au 29.12.2018. Prednisone 20 mg 1x/jour le matin. Laboratoire. ECG. RX thorax. Beloc 5 mg iv, puis 50 mg retard per os. Diltiazem 25 mg iv (2x 12,5 mg iv). Hospitalisation avec traitement d'entretien par Metoprolol retard 50 mg 1x/j et Diltiazem 60 mg en réserve. Xarelto 20 mg 1x/jour dès le 02.01.2018 Beloc Zok 75 mg 1x/j per os à domicile. Suivi par le Dr. X - le patient prendra rendez-vous. Laboratoire. ECG. RX thorax. CT scan thoracique injecté. Isoket aux urgences. Traitement bronchodilatateur par Atrovent/Ventolin aux urgences. Hydratation parentérale du 09 au 10.12.2018. Antibiothérapie par co-amoxicilline 1.2 g iv 3x/j du 08 au 11.12.2018 Lasix 20 mg iv. 3x/j du 08 au 11.12.2018. Majoration du traitement habituel par Atenolol à 125 mg/j du 08 au 12.12.2018. Diltiazem 60 mg en ordre unique le 11.12.2018 puis 90 mg 2x/j le 12.12.2018. Beloc 50 mg 1x/j dès le 18.12.2018. Oxygénothérapie. Arrêt de Eliquis 2.5 mg 2x/j le 11.12.2018, avec relais par anticoagulation prophylactique par Clexane puis Héparine prophylactique jusqu'au 20.12.2018. Laboratoire. ECG. RX thorax. Délimitation érysipèle. Avis orthopédiste de garde (Dr. X) : érysipèle, pas d'atteinte des structures musculo-squelettiques, donner des immunoglobulines pour le tétanos, que la patiente a refusé. Antibiothérapie par : • co-amoxicilline iv 2,2 g 4x/j du 01 au 08.01.2019 • co-amoxicilline 1 g per os 2x/j du 09 au 10.01.2019 inclus. Laboratoire. ECG. RX thorax. Lasix 30 mg iv du 27 au 30.12.2018, puis reprise Torem 40 mg 1x/j per os. Lasix 40 mg 2x/j dès le 04.10.2019, à réévaluer par le médecin traitant. Bilan angiologique. Laboratoire. ECG. RX thorax. Oxygénothérapie 3 l au masque. Traitement diurétique par : • Lasix 20 mg iv aux urgences, puis 20 mg iv 4x/j • Lasix 20 mg 2x/j dès le 04.01.2019. Avis cardiologique - Dr. X : • introduction d'IEC et bêtabloquant petites doses. (fonction rénale péjorée, attente pour IEC). • éventuelle échocardiographie ambulatoire à organiser. Laboratoire. ECG. RX thorax. Test de Schellong. Benerva 300 mg iv aux urgences. Surveillance neurologique aux 4 heures pendant 24 heures. Laboratoire. ECG. RX thorax. Traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. Antibiothérapie par Co-Amoxi 1 g per os 2x/j du 25 au 31.12.2018. Prednisone. Laboratoire. ECG. RX thorax. Traitement diurétique iv puis per os. Laboratoire ECG Sédiment urinaire : leucocyturie, nitrites + Urotube : à pister Coproculture : à pister Laboratoire ECG Stix et sédiment urinaire: négatifs US FAST = Dr. X. Cf compte rendu Radiographie jambe + thorax : pas de lésion osseuse. Explications des examens effectués données à la patiente par le médecin. Annonce du décès du conjoint de la patiente faite en présence de la fille et du beau-fils. Contact hôpital psychiatrique de Marsens pour prise en charge d'un trouble de stress post-traumatique en urgence. Attitude : • Retour à domicile avec suivi psychologique en ambulatoire • Traitement symptomatique • Téléphone de garde de la cellule de psychologie d'urgence en cas de détresse psychique. Laboratoire. ECG. Surveillance en lit d'observation aux urgences. Avis neurologue de garde (Dr. X). CT scan cérébral. Laboratoire. ECG. Test de Schellong. Laboratoire ECG Analyses urinaires Radiographie de thoraxLaboratoire. ECG. Attitude : • retour à domicile avec traitement d'épreuve Pantozol 40 mg 1x/j pendant 4 semaines et Alucol cpr 3x/j en réserve • contrôle chez le médecin traitant à 2 semaines pour la tension et réponse au traitement. Laboratoire, ECG Coronarographie le 19.01.2019 (Dr. X) Echocardiographie transthoracique 21.01.2019 Echocardiographie transthoracique du 22.01.2019 Traitement d'Aspirine à vie, Efient pour une durée de 12 mois Traitement IEC dès le 19.01.2019, Metoprolol dès le 21.01.2019, Aldactone dès le 22.01.2019 Anticoagulation thérapeutique par Liquémine du 22.01 au 25.01.2019 avec relais pour l'Arixtra 7.5 mg dès le 25.01.2019 Laboratoire. ECG CT scan cérébral natif. Surveillance en lit d'observation aux urgences. Flumazénil 0.5 mg iv. Naloxone 0.4 mg iv. Feuille de surveillance neurologique donnée. La mère de Mr. Y vient le chercher. Suivi chez le médecin traitant la semaine prochaine. Laboratoire ECG Radiographie de thorax Laboratoire ECG Radiographie de thorax Ad lasix 40 mg ivd aux urgences puis 20 mg 2x/j Majoration du métoprolol à 200 mg 1x/jour Suivi du poids quotidien avec contrôle des électrolytes et de la créatinine Oxygénothérapie Avis cardiologie à prendre (demande de consilium faite) Hospitalisation en médecine interne Laboratoire. ECG. Radiographie thoracique. TSH à pister. Laboratoire. ECG. RX thorax. Laboratoire. ECG. RX thorax. Oxygénothérapie. Traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. Prednisone 50 mg/j pendant 5 jours. Flutiform 125 ug. Adaptation du traitement - ajout du Spiriva. Avis Dr. X, pneumologue : exploration fonctionnelle respiratoire à faire à distance de l'épisode aigu. Laboratoire. ECG. Schellong : négatif. Massage du sinus : négatif. Holter de 48 heures en ambulatoire. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant. Laboratoire effectué chez le médecin traitant : CRP à 181 mg/L, leucocytes à 14.7 G/L Stix, sédiment Urotube du 27.12.2018 par médecin traitant : Pseudomonas aeruginosa non productrice de carbapénèmase et Entérocoque Faecalis Urotube du 05.01.2019 : Flore mixte Furadantine retard 2x/j et Monuril du 03.01 au 04.01.2019 (en ambulatoire par médecin traitant) Céfépime 2g iv du 04.01 au 11.01.2019 inclus Klacid 500 mg iv du 04.01 au 07.01.2019 Changement de la sonde vésicale le 10.01.2019 Avis infectiologique : • Pas de relais par PEG réalisable qui couvrirait suffisamment bien le Pseudomonas urinaire • Poursuite du traitement Céfépime pour 7 jours au total Laboratoire effectué chez le médecin traitant : CRP à 181, leucocytes à 14.7 RX thorax : début de foyer base D ? Céfépime 2g iv. Klacid 500 mg iv. Physiothérapie respiratoire Aérosols par NaCl au besoin, soins de bouche au besoin Hospitalisation en médecine Attitude à discuter en détail avec la famille Laboratoire et ECG : annexés. Laboratoire et examen clinique refusé. Hospitalisation (demandée par le médecin traitant) refusée. Conseils quant à l'adaptation de l'antalgie. Reconsultera en cas de besoin. Laboratoire et sédiment urinaire : cf annexes. Aux urgences, il reçoit Tramal 20 gouttes. Traitement symptomatique. Contrôle chez son médecin traitant lundi le 21.01.2019. Laboratoire et sédiment urinaire : cf annexes. Nitrofurantoïne 100 mg 2x/j pour 5 jours. Laboratoire (examen avec explication donnée par le médecin). Laboratoire (examen avec explication donnée par le médecin). Consilium psychiatrique (Dr. X) : hospitalisation volontaire à Marsens. Laboratoire (explication donnée par le médecin). Contact ophtalmologue de garde Dr. X : contrôle en ophtalmologie ce jour en accord avec Mme. Y. Laboratoire, expliqué par le médecin. Apports oraux de liquide à augmenter. Revoir le médecin traitant la semaine prochaine pour contrôle créatinine et sédiment urinaire. Laboratoire : Gamma-GT 221 U/l, bilirubine totale 18.9 mcmol/l et direct 6.1 mcmol/l, Lipase 50 U/l. Nous proposons qu'un laboratoire de suivi des tests hépatiques avec bilirubine, Gamma-GT et lipase soit réalisé par son médecin traitant d'ici 10 jours-3 semaines. Mme. Y informée de reconsulter les urgences en cas de récidive des douleurs. Laboratoire Gaz du sang = Acidose métabolique et respiratoire à 7.35 de pH, hypoxie à 10.6 mmhg, pas d'hypo ou d'hypercapnie ECG = sinusal régulier, tachycarde, sans trouble de la conduction, sans trouble de la repolarisation Hémoculture 2 paires Antigénurie pneumocoque et légionnelle en cours PCR grippe en cours Stix et sédiment urinaire Radiographie thoracique = foyer infectieux bilatéraux Sondage vésical Remplissage par NaCl 0.9% 2000 ml sur 1h30 ROCEPHINE 2g IV PIPERACILLINE/TAZOBACTAN 4g AEROSOL VENTOLIN 5 mg 2X sur une heure Discussion avec la famille par rapport à l'attitude de réanimation = soins maximum. Avis soins intensifs = ok pour transfert SIC CAT : • Transfert SIC pour suite de prise en charge. Laboratoire Gazométrie artérielle ECG Scanner abdominal Laboratoire. Gazométrie. ECG. Hospitalisation pour surveillance neurologique aux 4 heures. Avis neurologique, Dr. X : • Augmentation du Vimpat à 2 x 200 mg/j sous réserve que l'ECG le permette • poursuite du Lyrica 2 x 25 mg/j • surveillance clinique et électrocardiographique jusqu'au 27.12.2018 • contrôle neurologique/EEG selon évolution. Diminution du Vimpat aux doses habituelles en raison de l'état confusionnel aigu. Laboratoire : Gly 10.8 mmol/l, Trop H0 47 ng/l, H1 47 ng/l. ECG : pas de sus-décalage ST, superposable au comparatif CT-cérébral natif : pas de saignement, pas de fracture, lésions séquellaires vasculaires au niveau des noyaux gris centraux, dilatation du système ventriculaire suspect d'une hydrocéphalie à pression normale. Surveillance neurologique à domicile post-TCC. Laboratoire : Hb à 100 g/l (123 g/l le 12.01.2019). Mise en place d'un rapid rhino 7.5 cm dans la narine droite. Hospitalisation en ORL pour surveillance avec consultation ORL le 14.01.2019. Suspension du Xarelto. Laboratoire : Hb 109 g/l, leucocytes 7.6 G/l, thrombocytes 376 G/l, crase en ordre Hb post-partale : Hb 98 g/l Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 03.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 13.12.2018 Sérologies : Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif (hépatite B guérie), HIV négatif Laboratoire : Hb 114 g/l, leucocytes 9.4 G/l, thrombocytes 156 G/l Hb pp 120 g/l Groupe sanguin O Rhésus positif. AC irréguliers négatif 19.07.2018 Sérologies du 27.02.2015 : CMV immune, Rubéole immune, du 19.07.2018, HBS négatif, vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle, faite ; AC dépistage syphilis négatif Laboratoire : Hb 134 g/L, leucocytes 9.4 G/L, plaquettes 343, CRP 39 mg/l Laboratoire : Hb 140 g/l, leucocytes 15.3 G/l, CRP 23 mg/l, créatinine 65 umol/l, pas de trouble électrolytique. Beta-HCG urinaire : négatif. Sédiment urinaire : hématurie ++, bactériurie ++, pas de leucocyturie ni de nitriturie. Urotube : en cours. CT abdominal injecté du 25.01.2019 : absence de comparatif CT. Examen réalisé avant et après injection de cc de IV. Abdomen : sous réserve de la non-opacification des anses digestives, épaississement circonférentiel de la dernière anse iléale associé à la présence de multiples adénopathies en fosse iliaque droite et d'une fine lame de liquide dans le cul-de-sac de Douglas. À noter que l'appendice n'est pas clairement visible. Le foie est de taille, de configuration et de densité normale. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Aucun calcul radio opaque n'est objectivé dans la vésicule. La rate, le pancréas et les surrénales ont une morphologie normale. Les reins sont de taille et de configuration normale, sans dilatation du système excréteur. Les structures uro-génitales ont une morphologie normale. Pas de masse ou de collection pelvienne. Pas d'anomalie de l'aorte ou de la veine cave inférieure. Les structures vasculaires pelviennes sont sans particularité. Pas d'altération dans les tissus mous. Sur les coupes passant par l'étage thoracique : absence de lésion nodulaire suspecte. Absence d'épanchement pleural. Os : absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. CONCLUSION : image compatible avec une iléite terminale. À noter que l'appendice n'est pas clairement visible. Dr. X Laboratoire : Hb 141 g/l, Leucocytes 10.4 G/l, Thrombocytes 135 G/l Hb post-partale : 110 g/l Groupe sanguin O+. AC irréguliers négatif le 18.11.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 10.12.2018 Sérologies 2018 : Toxo non-immune, CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif. Laboratoire. Hémocultures. Antibiothérapie par Invanz 1 g dose de charge, puis 500 mg 1x/j du 18 au 24.12.2018. Stimulation à l'hydratation per os. Laboratoire. Hémocultures. Culture d'expectorations. RX thorax. Antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv du 09 au 15.01.2019. Prochaine chimiothérapie repoussée. Laboratoire. Hémocultures. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. Culture d'expectorations avec bactériologie classique et BAAR. Prélèvement Système GeneXpert. CT scan thoracique. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv • Klacid 500 mg 2x/j. Isolement aérosols. Avis infectiologique - Dr. X, Dr. Y. Rimstar 5 cpr 1x/24h dès le 23.12.2018, avec une date de fin à déterminer selon suivi infectiologique. Annonce au service du médecin cantonal. Laboratoire. Hémocultures. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. Culture d'expectorations. CT scan thoracique. Antibiothérapie par Tazobac 4,5 g 3x/j du 28.12.2018 au 03.01.2019. Laboratoire. Hémocultures. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. Culture d'expectorations. Oxygénothérapie avec sevrage progressif. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 05 au 09.01.2019 • Klacid 500 mg per os 2x/j du 05 au 07.01.2019 • co-amoxicilline 1 g per os 2x/j du 10 au 14.01.2019. Bilan pulmonaire à organiser en ambulatoire. Physiothérapie respiratoire et de mobilisation en ambulatoire. Laboratoire. Hémocultures. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. Urotube. ECG. RX thorax. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 10 au 14.01.2019 • Klacid 500 mg per os 2x/j du 10 au 12.01.2019 • co-amoxicilline 1 g 2x/j du 15 au 19.01.2019. Nicotinell patch 14 mg pendant 4 semaines, puis 7 mg pendant 2 semaines. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire. Hémocultures. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. Hydratation iv 1000 ml/3h. Oxygénothérapie 2 l/min. Traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv du 01 au 07.01.2019 • Klacid 500 mg per os le 01.01.2019. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire. Hémocultures. Recherche antigènes urinaires Légionelle pneumophila. RX thorax. CT scan thoracique. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 09 au 15.01.2019 • Klacid 500 mg per os 2x/j du 09 au 23.01.2019. Prednisone 40 mg per os du 10 au 15.01.2019. CT scan thoracique de contrôle le 31.01.2019 à 11h30. Laboratoire. Hémocultures. RX thorax. Ponction lombaire diagnostique le 28.12.2018. Antibiothérapie par : • Co-Amoxi 2,2 g iv aux urgences, puis 1,2 g iv 3x/j • Co-Amoxi 1 g per os du 19 au 28.12.2018. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire. Hémocultures. Urotube. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. ECG. RX thorax. Antibiothérapie par : • Tavanic 500 mg 1x/j iv du 28.12.2018 au 01.01.2019 • Ciproxine 500 mg per os 2x/j du 01 au 03.01.2019. Majoration de la corticothérapie : Prednisone 9 mg => 15 mg 1x/j. Laboratoire. Hémocultures. Urotube. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. RX thorax. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv du 31.12.2018 au 02.01.2019 • Klacid 500 mg per os 2x/j du 31.12.2018 au 02.01.2019 • Co-Amoxi 1 g per os 2x/j du 03 au 09.01.2019. Laboratoire, hémocultures. Culture du liquide de drainage axillaire gauche avec examen direct (GRAM). RX thorax. Surveillance clinique. Avis Dr. X, CHUV. Antibiothérapie iv par Co-Amoxi 2.2 g - 4 x/jour. RDV pour immunothérapie du 20.12.2018 annulé. Laboratoire Hémoculture Stix et sédiment urinaire Urotube en cours KEPPRA 500 mg (total de 1000 mg lors de la prise en charge initiale) RIVOTRIL 1 mg = arrêt total des tremblements CT cérébral = Pas d'hémorragie cérébrale Avis Neurologue ; Dr. X = Probable état de mal épileptique partielle, augmentation des doses de KEPPRA à 1000 mg matin et soir. Prévoir EEG pendant hospitalisation et réalisation d'une IRM cérébrale durant l'hospitalisation à la recherche d'une étiologie. Discussion avec la famille de la patiente et la patiente sur projet de réanimation = pas de réanimation invasive (pas de massage cardiaque, pas d'intubation) mais surveillance soins intensifs à court terme ok. KEPPRA 400 mg IV devant recrudescence des crises (vue avec Neurologue) RIVOTRIL 1 mg IVD (vue avec soins intensifs) DALACINE 600 mg IV Avis Soins intensifs = ok pour surveillance aux SIC CAT : • Transfert SIC • EEG à partir du 02/01/19 (demandé) • Augmentation des doses de KEPPRA à 1000 mg matin et soir • IRM cérébral à effectuer durant hospitalisation Laboratoire Hémoculture :______ Stix/Sédiment : négatif Antigènes urinaires :________ Radiographie thorax : foyer basal gauche ECG Rocéphine 2 g iv Klacid 500 mg 2x/j iv Hospitalisation en médecine pour suite de prise en charge. Laboratoire. Hydratation au NaCl 2000 ml/24h. Suivi biologique. Laboratoire. Hydratation par NaCl 1500 ml/24h. Mise en suspens Co-Candesartan et Metformine. Laboratoire : hypophosphatémie à 0.72 mmol/L, hypomagnésémie à 0.64 mmol/L. Substitution iv. Laboratoire : hypophosphatémie ECG : inversion ondes T en DI, II, AVF; V3-V6 -- Actuellement pas de comparatif CT cérébrale, le 07.01.2019 : pas d'hémorragie CT time is brain, le 07.01.2019 : pas de lésion visible, IRM cérébrale, le 07.01.2019 : lésion constituée pariétale. Lésion noyau caudé, et noyau gris basale. Avis Neurologie (Dr. X). Protocole Thrombolyse à 10h20 : Lévétiracétam 2 mg IV Clonazépam 0.5 mg IV Hospitalisation au SIC : • Stroke unit monitorée Laboratoire : H0 45, H1 122 D-dimères 2297 ECG : onde T négative en V4 CT injecté (Sovilla) : pas d'embolie pulmonaire, structure oblong qui se termine en fourche en continuation d'une artère distale au niveau du lobe supérieur droit 5 mm de diamètre et 2 cm de longueur. MAV ? Nodule ? Structure vasculaire ? 3 nodules sous pleuraux au niveau du lobe moyen. Emphysème. Pas de signes en faveur d'une décompensation cardiaque. Imagerie de contrôle pour les 3 nodules à 6 mois. Avis cardiologique (Dr. X/Dr. Y) Aux urgences : Aspégic 500 mg, Liquémine 5000 U Attitude : • ad coronarographie puis ad SI Laboratoire : INR 1.5. Antalgie simple. Consigne surveillance neurologique. Laboratoire (Inselspital) : 10.01.2019 : CRP à 68 mg/L, 11.01.2019 : CRP à 58 mg/L Bonne évolution clinique de la plaie Retrait des agrafes à J10 (jeudi 17.01.2019). Laboratoire : K 2.9 mmol/l, tests hépatiques dans la norme, reste dans la norme. ECG : rythme sinusal régulier à 102 bpm, PR 134 ms, QRS fin avec axe à 50°, QTc 424 ms, pas de signe d'ischémie active. Laboratoire lactate à 3.4 sans CK, puis 1.2 pas de couverture anti-épileptique sur la nuit consilium neuro à prévoir le 29.01. Laboratoire : lactates à 5.8 mmol/l, CK à 363 U/l. Gazométrie artérielle : acidose métabolique sur acidose lactique à pH 7.36, lactates à 5.8 mmol/l, avec compensation respiratoire en cours. Analyses urinaires Hémocultures en cours.ECG Radiographie de thorax CT cérébral : pas de saignement intracrânien, pas de masse intracérébrale. Contention mécanique et médicamenteuse aux urgences, par Midazolam 3 mg iv (suite à agitation psycho-motrice), contention levée le 30.01.2019 à 23h50. Hospitalisation en médecine interne Avis neurologique à prendre avec réévaluation d'une imagerie cérébrale par IRM (évaluer nécessité d'un EEG après correction de la natrémie) Laboratoire : Lc 11.8 G/l, CRP < 5 mg/l Status urinaire Troponine H0 : 9 ng/l, H1 : 8 ng/l CT abdominal : iléus de l'iléon avec saut de calibre, pas de signe de souffrance. Dilatation du canal pancréatique de 9 mm, image de diverticule du duodénum. Avis chirurgical (Dr. X) : pose de sonde gastrique, hospitalisation en chirurgie pour surveillance clinique Attitude : • Hospitalisation en chirurgie • A jeûn Laboratoire : Lc 13, CRP 145 Hémoculture : à pister CT tissu mou (transmission orale Dr. X) : infiltration tissu mou, pas de collection, pas d'argument pour une fascéite nécrosante. Consilium orthopédique (Dr. X) : dermohypodermite, traitement IV et hospitalisation en médecine. Se tiennent à disposition. Attitude : • Hospitalisation en médecine pour surveillance et antibiothérapie IV • Recherche déficit en complément ? Laboratoire : Lc 2.9, CRP 18 Sédiment urinaire : propre Uricult : en cours Gazométrie artérielle : hypoxémie légère, lactate à 2.1 Hémoculture 2 paires en périphérie : à pister Hémoculture 1 paire sur le PAC : à pister ECG : RSR, normoaxé, QRS fin, bonne progression dans les précordiales, pas de trouble de la repolarisation. Rx thorax : pas de foyer Aux urgences : • Cefepime 2 g IV Attitude : • Hospitalisation à Tafers pour manque de place à Fribourg • Poursuite Cefepime IV • Pister hémocultures • Suivi biologique • ETT ? Laboratoire le 01.01.2018 : Hb 120 g/l, leucocytes 6.7 G/l, thrombocytes 215 G/l, CRP 7 mg/l, bilan de gestose aligné. Hb fœtale le 01.01.2018 : 0 US transvaginale : col fermé long de 4 cm, stable le jour de la sortie US abdominale : fœtus eutrophique en position céphalique. Placenta postérieur normalement inséré. Doppler ombilical et cérébral en ordre. Liquide amniotique dans la norme. CTG : élévation de tonus irrégulières env 1/10-20 min, non douloureuses, R-NP Frottis bactériologiques : urotube et frottis cervical en cours Frottis vaginal : E. coli. Actim PROM négatif Sérologies le 13.08.2018 : toxoplasmose négatif. 07.09.2018 : VIH négatif, rubéole positif, CMV positif, VDRL négatif Laboratoire le 04.01.2019 : Hb 138 g/L, Lc 25.9 G/L, Tc 176 G/L, CRP 6 mg/L, Laboratoire du 06.01.2019 : Hb 132 g/L, Lc 14.4 G/L, Tc 137 G/L, CRP 80 mg/L, Échographie transvaginale nous notons un hématomètre. Laboratoire le 06.01.2019 : Lc 10.6, Hb 140, Tc 327, créatinine 46, Na 137, K 4, ASAT 20, ALAT 9, PAL 46, GGT 16, TSH 0.07 mU/L, T4 libre à 19 pmol/L Stix : corps cétonique ++ US le 06.01.2019 : grossesse intra-utérine évolutive, bonne vitalité fœtale avec fréquence cardiaque à 154/min, LCC 33 mm (correspondant à 9 6/7 SA) Laboratoire le 07.01.2019 : créat 96 umol/l, DFG selon CKD-EPI 61.9 ml/min/1.73 m² Suivi laboratoire Laboratoire le 07.12.2018 : TSH à 7.9 mU/l, T3 à 0.6 nmol/L, T4 20 pmol/L Attitude : • Majorisation Euthyrox 75 mcg 2j/7, Euthyrox 50 mcg 5j/7 • Contrôle des tests thyroïdiens à 3 mois Laboratoire le 08.01.2019 : Hb 105 g/l, leucocytes 5.4 G/l, thrombocytes 233 G/l Hb post-partum : 82 g/l Groupe sanguin A Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 08.01.2019 Sérologies 17.07.2018 : toxo immune, CMV immune, rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; varicelle positif Laboratoire le 08.01.2019 : Hb 134 g/l ; leucocytes 11.9 G/l ; thrombocytes 180 G/l Hb post-partum : 120 g/l Groupe sanguin A Rhésus positif ; AC irréguliers négatif 26.11.2018 ; Streptocoques du groupe B négatif 17.01.2019 ; Sérologies 12.06.2018 : VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; varicelle positif ; faites ; particularités : rubéole limite Laboratoire le 08.01.2019 : TSH 5.38 mU/l, fT4 14 pmol/l, fT3 4.43 pmol/l Augmentation de la Levothyroxine à 100 mcg/j Laboratoire le 08.01.2019 : vit. D 34 nmol/l Substitution vitaminique Laboratoire le 12.01.2019 Haloperidol et Lorazépam Diminution des opiacés Hydratation par NaCl du 11.01.2019 au 13.01.2019 Mise en place sonde urinaire le 13.01.2019 Entretien de famille le 14.01.2019 Laboratoire le 14.01.2018 : créat 159 umol/l, eGFR selon CKD-EPI 34.8 ml/min/1.73 m² Suivi laboratoire Laboratoire le 20.01.2019 : Hb 113 g/l, leucocytes 9.0 G/l, thrombocytes 310 G/l Groupe sanguin A Rhésus négatif, AC irréguliers négatif le 25.01.2019. Immunoglobuline anti-D le 07.11.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 20.12.2018 ; Sérologies : CMV immune, rubéole immune, VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; varicelle positif Laboratoire le 22.01.2019 : cf. annexes. Leucocytes 4.3 G/l (5.5 G/l le 20.01.2019), CRP < 5 mg/l (17 mg/l). Test de dépistage HIV 22.01 : en cours. Cf. annexes. Poursuite du traitement symptomatique de réserve. Consultation à la filière des urgences ambulatoires le 24.01.2019 pour annonce des résultats de dépistage de VIH. Laboratoire le 23.01.2019 : Hb 108 g/l ; leucocytes 9.3 G/l ; thrombocytes 217 G/l ; Hb post-partum : 105 g/l Groupe sanguin A-, immunoglobuline anti-D le 30.10.2018 ; AC irréguliers négatif le 23.09.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 14.01.2019 Sérologies le 31.07.2018 : rubéole immun ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; varicelle faite ; particularités : Boostrix fait Laboratoire le 24.01.2019 : Hb 100 g/l ; leucocytes 11.5 G/l ; thrombocytes 330 G/l ; CRP < 5 Hb post-partum : 100 g/l Groupe sanguin A+ ; AC irréguliers négatif 24.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif 29.12.2018 Sérologies 17.07.2018 : rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; vaccinée ; HCV négatif ; HIV négatif ; particularités : syphilis AC négatif Laboratoire le 24.01.2019 : Hb 116 g/l ; leucocytes 11.9 G/l ; thrombocytes 256 G/l ; Hb post-partum : 97 g/l Groupe sanguin B+ ; AC irréguliers négatifs le 24.01.2019 ; Streptocoques du groupe B négatif le 10.01.2019 Sérologies le 22.08.2018 : toxo non-immune ; CMV immune ; rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif Laboratoire le 25.01.2019 Gazométrie artérielle le 25.01.2019 Sédiment urinaire le 25.01.2019 Antigènes urinaires le 25.01.2019 (légionelle, pneumocoques) : négatifs Frottis du nasopharynx le 25.01.2019 : PCR négatives pour influenza A, B et RSV Hémocultures le 25.01.2019 : en attente ECG le 25.01.2019 Radiographie de thorax le 25.01.2019 Échographie ciblée aux urgences le 25.01.2019 Aérosols Ventolin/Atrovent en ambulance NaCl 0.9% 750 ml rapide au service des urgences Tamiflu 75 mg p.o. en ordre unique le 25.01.2019 Rocephin 2 g/jour du 25.01 au 29.01.2019 Laboratoire le 28.12.2018 : Hb 107 g/l, GB 8.6 g/l, Plaq 356 g/L, crase en ordre, TP 1.2 PTT 24 Groupe sanguin : O Rhésus positif PAP du : absence de cellules suspectes 2017 Chlamydia du : négatif le 28.11.2018 Sérologies IST négative pour : HBV, HCV, HIV, syphilis. Laboratoire : léger syndrome inflammatoire, pas de perturbation des tests hépatiques. Antalgie par Perfalgan. Buscopan. Réhydratation NaCl 0.9% 2 L. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Conseil de réhydratation. Reconsultera si péjoration des douleurs ou des nausées. Laboratoire : légère augmentation de la CRP, pas de leucocytose. Test hépatique aligné. Analyses urinaires : microhématurie. US abdominal : hydrops vésiculaire, pas de lithiase ni de sludge. Dilatation du cholédoque à 9 mm, pas d'obstruction visualisée, pas de dilatation intrahépatique. Uro-CT, CT injecté : dilatation du cholédoque à 9 mm, pas de calcul rénal. Avis chirurgical (Dr. X) : pas de signe de gravité, contrôle en filière à 24 h.Attitude: • RAD avec pantoprazol et alucol gel • RDV en filière 34 le 16.01.2019 Laboratoire: leuco 9.9 G/l, CRP <5 mg/l, Créat 144 µmol/l, Na 144 mmol/l, K 3.9 mmol/l Stix/sédiment urinaire: sang +, leuco nitr nég Laboratoire: leucocytes à 11.4 G/l (formule pas complétable après car échantillon coagulé), CRP 22 mg/l, reste sans particularité. Laboratoire: leucocytes à 17.7 radiographie du thorax stix et sédiment urinaire ECG: rythme sinusal régulier sans troubles de la repolarisation, artéfacts de mouvement, QTc à 449 ms (Bazett) CT-scanner cérébral natif (Dr. X): pas de saignement, pas d'AVC constitué Attitude: • hospitalisation en médecine pour suite de prise en charge • prise en charge des facteurs précipitants • réafférentation Laboratoire: leucocytes 10.6 G/l, CRP négative, reste normal. Laboratoire: leucocytes 11.5 G/l, CRP <5 mg/l, Glucose 5.9 mmol/l. Sédiment urinaire: flore bactérienne +, leucocytes <3, erythrocytes <3. Laboratoire: leucocytes 11.7 G/l, CRP 5 mg/l. Laboratoire: leucocytes 13, CRP 50 Explications données à la patiente de reconsulter en urgence en cas de péjoration des symptômes Suite de cas chez le médecin traitant. Laboratoire: leucocytes 13.4 G/l, CRP <5 mg/l. Sédiment urinaire: 3-5 erythrocytes, pas de leucocyte Laboratoire: leucocytes 15.2 G/l, CRP 6 mg/l, Béta Hcg 119 U/l. Sédiment urinaire: nitrites négatifs, leucocytes et erythrocytes à < 3/champs. Laboratoire: leucocytes 24 G/l, neutrophiles 20.86 G/l, CRP 481 mg/l, Na 134 mmol/l, Créatinine 96 µmol/l. ECG: rythme sinusal régulier à 114/min, PR à 134 msec, régulier, QRS fin à 80 msec, axe à 81°, transition de l'onde R en V3, troubles aspécifiques de la conduction intraventriculaire, pas d'onde Q, pas d'onde T négatives, QTc mesuré à 404 msec. CT-scanner de l'abdomen natif et injecté du 02.01.2019: absence de comparatif. Examen effectué avant puis après injection de 90 ml de Iomeron 400 bien tolérée par le patient. On visualise un appendice de taille agrandie (1 cm de diamètre) à parois épaissies, contenant un stercolithe, associé à une importante infiltration de la graisse péri-appendiculaire ainsi que de quelques bulles d'air extradigestives en faveur d'une perforation sans abcès. Epaississement inflammatoire de la dernière anse iléale dd Iléite de contiguïté dd maladie de Crohn sous-jacente. Pour le reste des structures abdominales, le foie est de taille et de morphologie normale avec plage de stéatose focale du segment IV. Les veines portes et hépatiques sont perméables. Pas de dilatation des voies biliaires intra ou extra-hépatiques. Pas de calcul radio-dense visible dans la vésicule biliaire. Adénomyomatose dans le fundus vésiculaire. Les surrénales, la rate (petite rate accessoire de 6 mm) et le pancréas se présentent normalement. Les reins sont de taille et de morphologie normales et symétriques sans dilatation des systèmes excréteurs. Vessie à parois fines. Pas de dilatation des anses grêles ou coliques. Iléite de contiguïté décrite ci-dessus. Structures vasculaires: perméabilité des réseaux vasculaires artériel et veineux. Structures osseuses: séquelles de maladie de Scheuermann. Pas d'autre lésion suspecte. Sur les quelques coupes passant par les bases pulmonaires, on ne note pas de lésion suspecte. CONCLUSION: appendicite perforée associée à une iléite de contiguïté dd maladie de Crohn sous-jacente. Pas d'abcès visible. Adénomyomatose focale du fond de la vésicule biliaire à corréler à un ultrason. Note: résultats transmis par téléphone à Dr. X à 22h00. Radiographie du thorax face/profil du 02.01.2019: thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution du patient. La petite opacité visible entre les arcs antérieurs des côtes 5 et 6 à gauche pouvant correspondre au mamelon. (Dr. X) Laboratoire: leucocytes 7.9 G/l, CRP <5 mg/l, Hb 149 g/l, Glucose 6.9 mmol/l, Créatinine 62 µmol/l, Na 134 mmol/l, K 3.4 mmol/l. Stix/sédiment urinaire: leucocytes et nitrites négatifs, sang négatif. hCG urinaire: négatif. Laboratoire: leucocytes 9.2 G/l, ALAT 24 U/l, ASAT (hémolysé), CK 107 U/l, Cr 73 µmol/l, Na 134 mmol/l, K 4.9 mmol/l. Sédiment urinaire: < 3 erythrocytes/champs. ECG: rythme sinusal régulier à 72/min. PR à 152 msec, régulier. QRS fin à 80 msec, axe normal à 52°. Transition de l'onde R en V4. Pas de trouble de la repolarisation. Pas d'onde Q visible. QTc à 378 sec. Ultrason FAST (Dr. X): absence de liquide libre dans l'espace de Morrison, l'espace splénorénal, petit bassin. Absence d'épanchement péricardique. Radiographie de la colonne lombaire face/profil du 29.01.2019: examen effectué de L1 jusqu'au sacrum. La hauteur des corps vertébraux est conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Rectitude de la colonne lombaire. Quelques becs ostéophytaires antérieurs. Pas de fracture visible des corps vertébraux ni des processus transverses. Pas de lyse osseuse. Les portions examinées des articulations sacro-iliaques se présentent normalement. (Dr. X) Radiographie du bassin de la hanche axiale droite du 29.01.2019: pas d'anomalie visible d'allure suspecte de la trame osseuse. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie du thorax face du 29.01.2019: aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. (Dr. X) Laboratoire: leucocytes 9.7 G/l, CRP <5 mg/l. Stix/sédiment urinaire: leucocytes 3-5/champs, erythrocytes <3/champs. Test de grossesse urinaire: négatif. Radiographie de l'abdomen couché: composante de stase colique droite. Pas d'anomalie décelable des structures osseuses. Pas de distension digestive significative. (Dr. X) Laboratoire: leucocytes 9.8 G/l, CRP 25 mg/l, Na 142 mmol/l, K 3.7 mmol/l, Hb 116 g/l, Créatinine 57 µmol/l. Stix/sédiment urinaire: leucocytes, nitrites et sang négatifs. ECG: rythme sinusal régulier, sans bloc AV, QRS fin d'axe normal, ST isoélectrique, onde T négative. Radiographie du thorax face/profil du 25.01.2019: élargissement global de la silhouette cardiomédiastinale. Troubles ventilatoires en bandes au niveau basal pulmonaire à D. Pas d'épanchement pleural visible. Aorte déroulée et calcifiée. (Dr. X) CT-scanner cérébral natif du 25.01.2019: séquelles étendues d'un AVC Sylvien superficiel et profond D, mais pas d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne, ni d'hématome sous-dural ou épidural. Atrophie cortico-sous-corticale déjà avancée. Pas de signe d'AVC ischémique récent. Polypes au niveau des sinus maxillaires. CONCLUSION: séquelles d'AVC Sylvien D mais pas d'hémorragie intracrânienne, ni de signe d'AVC ischémique récent. (Dr. X) Laboratoire: leucocytose à 16 G/l, CRP 8 mg/l. Gazométrie artérielle: légère alcalose respiratoire sur hyperventilation. ECG Radiographie de thorax: foyer lobaire droit. Frottis de grippe en cours (laboratoire HFR) Antigènes légionellose et pneumocoques en cours Rocéphine 2 g iv 1x/j + Klacid 500 mg 2x/j per os Hydratation NaCl 1000 ml par 24h iv Poursuite du traitement bronchodilatateur habituel Oxygénothérapie Hospitalisation en médecine interne Laboratoire: leucocytose à 17.5 G/l, pas de CRP. Osmo sang 246 mosmol/Kg Natrémie 20 h 112 mmol/L, 23h00 118 mmol/l, 2h00 125 mmol/L, 5h 125 mmol/l, 7h 129 mmol/l Gazométrie artérielle: acidose métabolique sur acidose lactique à pH 7.36, lactates à 5.8 mmol/l, avec compensation respiratoire en cours. Analyses urinaires à l'entrée: Lc négatif, nitrites négatifs, glucose +, corps cétoniques ++. osm sanguine 246 mosmol/kg, osm urinaire 305 et NaU 45 mmol/L Radiographie de thorax: pas de foyer pulmonaire, pas de surcharge.Diurèse de 5L au cours de la surveillance de la nuit aux urgences entre le 30 et le 31.01.2019 avec correction spontanée de la natrémie. Pose d'une SV aux urgences. Contrôle biologique électrolytique et spot urinaire le 01.02.2019 Laboratoire. Mise en suspens du Torasémide, de l'Hydrochlorothiazide et du Candesartan. Hydratation iv 500 ml en bolus puis 2 l/24h. Suivi biologique. Laboratoire. NaCl 0,9% 500 ml sur 3 heures le 20.12.2018. Adaptation du traitement de Torem. Suivi biologique. Laboratoire. NaCl 0,9% 500 ml sur 3 heures le 20.12.2018. Oxygénothérapie. Digoxine 0.250 mg iv (dose de charge) : pas d'effet. Diltiazem 12.5 mg iv lente aux urgences. Diltiazem 90 mg retard 2x/jour. Adaptation du traitement de Bilol et Torem. Suivi pondéral. Laboratoire. Nexium 20 mg 2x/j per os. Ranitidine 300 mg 1x/j. Test de déglutition. Adaptation du régime. OGD à prévoir le 03.01.2018. Laboratoire : normale Antiémétique Métoclopramide. Triptans intra-nasale. Hydratation IV. Avis gynécologie : transfert pour suite de prise en charge en gynécologie. Laboratoire : normale ECG : normale Radiographie thoracique : pas de foyer CT cérébral natif : pas de saignement, pas de fracture Stix et sédiment urinaire : A FAIRE Hospitalisation en gériatrie à Tavel : • Bilan de chute Laboratoire : NT-proBNP 1077 ng/l Gazométrie artérielle ECG : RSR, BBG (connu), QTc 460ms Rx thorax : Flou péri-hilaire et épanchement pleural droit de faible abondance, compatible avec une surcharge. CT thoracique protocole embolie pulmonaire le 21.01.2019 : pas de signe d'embolie pulmonaire. Insuffisance cardiaque gauche décompensée. Arrêt Bactrim Adaptation des diurétiques Laboratoire : nt-proBNP 6733 Gazométrie artérielle : pH 7.44, pCO2 4.6, pO2 10.2, lactates 3.1 Radiographie de thorax CHADS-VASC à 6 points HAS-BLED score à 4 points US de débrouillage bedside (Dr. X) Attitude : • oxygène 4L aux lunettes • Lasix 40 mg iv • anticoagulation thérapeutique avec Cléxane 80 mg x2/j • prévoir avis cardiologique • pister résultat de la TSH Laboratoire : NT-proBNP 8593 ng/l ECG 19.12.18 : Rythme sinusal régulier à 70/min, QRS fins, normo-axé Rx de thorax : épanchement pleural gauche avec atélectasie pulmonaire basale sous-jacente. Probable surcharge interstitielle. ETT 21.12.18 : signes d'hypertrophie ventriculaire gauche, FEVG 65%, pas de troubles de la cinétique segmentaire, cavités droites normales. Insuffisance aortique modérée, avec gradient moyen à 13 mmHg. Traitements : • Lasix 40 mg aux urgences • Lasix 20 mg 2x/j IV • Oxygénothérapie au besoin aux lunettes (SpO2 cible 88-92%, connu pour BPCO) Attitude : Suivi clinique + poids quotidien Laboratoire Oesogastroduodénoscopie le 21.12.2018 (Dr. X) Xarelto en suspens depuis le 20.12.2018 Poursuite du Pantozol 40 mg/jour Duodénoscopie-colonoscopie du 25.01.2019 (Dr. X) Résection de masse polypoïde duodénale le 25.01.2019 Pister l'histologie de polype duodénal réséqué Suivi biologique avec seuil Hb > 90 g/l Laboratoire : OH 2.78. Pas de syndrome inflammatoire, pas d'atteinte hépatique. ECG : superposable au comparatif. CT cérébral natif : pas de saignement. Aux urgences : Becozym forte, Benerva 300 mg iv. Surveillance sur la nuit aux urgences. Laboratoire : OH 4.20 o/oo. Désinfection de plaie, 4 points de suture avec fil de prolène 5.0. Consilium psychiatrique : PAFA à Marsens. Ablation de fils le 27.01.2019 chez le médecin traitant. Transfert en ambulance par PAFA à l'hôpital psychiatrique de Marsens. Laboratoire : OH 4.92 %o. Hydratation 500 ml iv. Benerva 300 mg iv. ECG. Tentative de suture avec fil de prolène 4.0, patient non collaborant. 4 agrafes. Rappel de tétanos. CT cérébral natif et injecté : pas d'hémorragie, ni fracture. Avis neurologique (Dr. X) le 11.12.2018 : surveillance non monitorée et EEG le 12.12.2018. EEG le 12.12.2018 : normal. Benerva 300 mg iv puis po, Becozym. Seresta 15 mg 6x/j. Consilium psychiatrique. Laboratoire : osmolalité 249 mosmol/kg, spot : Na 50mmol/l, osmolalité 203 mosmol/kg Traitement : • hydratation initiale 500ml NaCl 0.9% • restriction hydrique 800ml du 23.01.2019-24.01.2019 Attitude : • suivi biologique Laboratoire. Oxygénothérapie. Lasix 40 mg iv en ordre unique aux urgences. Mise en place d'une sonde vésicale. Lasix 20 mg 3x/j le 27.12.2018. Torasemide 40 mg en dose unique le 28.12.2018. Laboratoire : paracétamolémie 21.6 mg/l (en dessous de la limite de substitution). Pas d'administration de N-acétylcystéine. Laboratoire : pas de CRP, leucocytose 16.5 G/L Stix et sédiment urinaire négatif CT abdo : signe d'appendicite avec dilatation de 13 mm de l'appendice, pas de grosse infiltration. Avis chir : hospitalisation en chirurgie, antalgie et antibiotique. Aux urgences : 1ère dose de Rocéphine 2g iv Attitude : • hospitalisation en chirurgie Laboratoire : pas de leucocytose, CRP à 8 mg/l, pas d'anémie. Sédiment urinaire : dans la norme. Radiographie du thorax face du 29.01.2019 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Attitude scoliotique dorsale dextro-convexe. (Dr. X) Laboratoire : pas de leucocytose, CRP 77 mg/l, légère perturbation des tests hépatiques (ASAT, ALAT, GGT, LDH). Laboratoire pas de syndrome inflammatoire. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, augmentation isolée de la bilirubine conjuguée à 7.5 umol/l Contrôle biologique Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, augmentation isolée de la bilirubine conjuguée à 7.5 umol/l Contrôle biologique Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, augmentation isolée de la bilirubine conjuguée à 7.5 umol/l. ECG : fibrillation auriculaire à 58/min connue. Analyses urinaires en cours Radiographie de thorax : pas de foyer pulmonaire, pas de signes de surcharge cardiaque. Hospitalisation en médecine interne. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, BNP 2965 ng/l ECG : Flutter auriculaire normocarde à 83/min, QRS larges avec image de bloc de branche gauche, sus-décalage ST non-significatif en aVR et V2-V4, ondes S profuses en V1-V5, ondes T négatives en V6. (discrète augmentation du sus-décalage ST dans les précordiales par rapport au comparatif en 2015, flutter nouveau) Radiographie de thorax : pas de francs signes de surcharge CHADS-VASC à 7 pts HAS-BLED à 5 pts TSH en cours Ad Xarelto 15 mg 1x/j Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, BNP 2965 ng/l ECG : Flutter auriculaire normocarde à 83/min, QRS larges avec image de bloc de branche gauche, sus-décalage ST non-significatif en aVR et V2-V4, ondes S profuses en V1-V5, ondes T négatives en V6. (discrète augmentation du sus-décalage ST dans les précordiales par rapport au comparatif en 2015, flutter nouveau) Radiographie de thorax : pas de francs signes de surcharge Hospitalisation en médecine interne Augmentation du traitement diurétique par Torasémide 15 mg 1x/j Suivi du poids journalier avec contrôles électrolytiques et de la fonction rénale Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, BNP 2965 ng/l Stop antibiothérapie Laboratoire pas de syndrome inflammatoire, créatinine 120. Urine. US abdominal ciblé Dr. X le 05.01.19 : pas de lithiase dans la vésicule biliaire, petite dilatation au niveau du rein droit Uro-CT le 05.01.19 : calcul de 4-5 mm au niveau du 1/3 supérieur de l'uretère droit, dilatation pyélo-calicielle de 26 mm, infiltration de la graisse rénale compatible avec une pyélo-néphrite. Avis urologue Dr. X : contrôle clinique et biologique en filière à 24h. Filtration des urines avec consultation chez un urologue en ambulatoire. AINS, Dafalgan, Tamsulosine. Critère de reconsultation expliqué au patient. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, D-dimères à 7200 ng/ml (contexte de dissection aortique chronique) Sédiment urinaire : bactériurie asymptomatique ECG: superposable au comparatif de 03/2018 CT thoraco-abdominal le 03.12.2018: fracture-tassement de L1 aiguë/subaiguë. Dissection aortique abdominale chronique (connue et stable depuis 03/2018) Rx lombaire le 04.12.2018: tassement vertébral de L1 avec une perte de hauteur centrale d'environ 50% Avis team spine 03 et 04.12.2018 (Dr. X): pas d'indication opératoire urgente, réévaluer l'indication opératoire selon radiographie colonne lombaire debout pour voir position de la colonne vertébrale et indication ou non à vertébroplastie. Après Rx, pas de vertébroplastie indiquée au vu des images et des comorbidités de la patiente. Traitement conservateur • Antalgie par AINS, Oxycontin Retard et Oxynorm en réserve • Physiothérapie • Calcimagon D3 Attitude: • Proposition d'introduire des biphosphonates après bilan dentaire • Rx lombaire de contrôle à 1 semaine (11.12.2018, Profil, debout) à effectuer à Meyriez, puis appel Team Spine (Dr. X) Transfert à Meyriez le lundi 10.12.2018 à 9h Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, discrète leucocytose à 10.2 G/l. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, gamma-GT 38 U/l, bilirubine totale 16 umol/l, directe 5.9 umol/l, lipase 84 U/l Urines: propres. Contrôle biologique des tests hépatiques et de la lipase le 23.01.2019 en filière 34. Si péjoration des valeurs hépatiques, évaluer nécessité d'une imagerie. Mr. Y organisera le suivi chez un nouveau médecin traitant (Dr. X à Romont). Le 23.01.2019: Laboratoire: gamma-GT 38 U/l, normalisation bilirubine et lipase. Aux urgences: 5 mg morphine per os. Suivi ambulatoire chez Dr. X à Romont. Proposition d'un contrôle gynécologique pour exclusion de douleurs d'origine gynécologique. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, K 3.5 mmol/l. Radiographie de l'abdomen couché du 05.01.2019: scoliose lombaire en S avec importante composante rotatoire inférieure, convexité supérieur gauche. Status après fixation interépineuse postérieure L4-L5 et cimentoplastie L4. Aérocolie, aérogrélie aspécifique sans distension grêle ou colique pathologique décelable. Stase stercorale du colon droit (physiologique). Phlébolite pelvienne droite. (Dr. X) Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, paramètres pancréatiques et hépatiques dans la norme. Sédiment urinaire: nitrites positifs, leucocytes 21-40/champ, érythrocytes 3-5/champ. RX de thorax face/profil: silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural (Dr. X). Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, pas d'anémie. Sédiment urinaire: dans la norme. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, pas de leucocytose, pas de perturbation des tests hépatiques, CRP <5 mg/l. Sédiments/stix urinaire: traces de sang dans les urines. CT-scanner de l'abdomen natif et injecté: absence de comparatif CT. Examen réalisé avant et après injection IV de produit de contraste. Abdomen: aspect diffusément discrètement spontanément hyperdense à 75 HU du parenchyme hépatique. Lésion de 49 x 43mm à cheval entre les segments V et VIII, au centre calcifié et à la périphérie hypodense sans prise de contraste. Lésion de 28 x 28mm, à cheval entre les segments II et IVa, au centre hypodense avec des calcifications périphériques, sans prise de contraste. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Aucun calcul radio opaque n'est objectivé dans la vésicule. La rate, le pancréas et les surrénales ont une morphologie normale. Les reins sont de taille et de configuration normale, sans dilatation du système excréteur. Structure ovale radio-opaque de 4 x 3 mm (290HU) située dans le pelvis gauche postéro-vésical, devant correspondre à une lithiase urétérale distale gauche (DD: un phlébolithe n'est pas totalement exclu en l'absence d'une dilatation pyélocalicielle en amont). Les structures uro-génitales ont une morphologie normale. Pas de masse ou de collection pelvienne. Pas d'adénopathie. Présence d'une fine lame de liquide libre dans le cul-de-sac de Douglas. Pas d'anomalie de l'aorte ou de la veine cave inférieure. Les structures vasculaires pelviennes sont sans particularité. Pas d'altération dans les tissus mous. Sur les coupes passant par l'étage thoracique: absence de lésion nodulaire suspecte. Quelques minimes opacités en verre dépoli du segment médial du lobe moyen. Absence d'épanchement pleural. Os: absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. CONCLUSION: structure ovale radio-opaque de 4 x 3mm (290HU) située dans le pelvis gauche en postéro-vésical, devant correspondre à une lithiase urétérale distale gauche (DD: un phlébolithe n'est pas totalement exclu en l'absence d'une dilatation pyélocalicielle en amont). Découverte fortuite de deux lésions hépatiques en partie kystiques et calcifiées, évocatrices d'une échinococcose alvéolaire. A corréler à une sérologie, une IRM est recommandée. (Dr. X) Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, pas de leucocytose. Radiographie du coude gauche du 27.01.2019: tuméfaction des tissus mous en regard de l'olécrâne, compatible avec une bursite, probablement hémorragique, dans le contexte clinique, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. Pas d'épanchement articulaire. (Dr. X) Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, pas de perturbation rénale ni des électrolytes ni hépatique ni pancréatique. Sédiment urinaire: leucocyturie à 11-20/champ et érythrocytes 11-20/champ. Culture urinaire: à pister. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, pas de perturbations des tests hépato-pancréatiques, pas de cholestase. Antalgie. Pantoprazol 40 mg. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble électrolytique. Taux de valproate 40 mg/l (n: 50-100). ECG. Radiographie de thorax. Avis neurologue (Dr. X): Keppra 15 mg/kg = 1500 mg en dose de charge, Keppra 500 mg 2x/j, suivi ambulatoire neurologique avec EEG chez Dr. X le 1.4.2019. Retour à domicile sans aide à domicile (refusé par la patiente), suivi chez le médecin traitant. Pas de conduite. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. Physiothérapie, traitement avec Irfen 400 mg pendant 5 jours. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. Prescription de Pantozol et de Gaviscon. Fin de prise en charge au secteur ambulatoire des urgences. Explications des signes qui devraient amener la patiente à consulter notre service. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. Stix et sédiment urinaire: leucocyturie mais patiente asymptomatique. ECG: rythme sinusal régulier sans trouble de la repolarisation. CT scan abdominal (Dr. X): sans particularité, adénome surrénalien gauche connu stable. Attitude: • Retour à domicile avec introduction de Duspatalin retard, patiente a déjà été traitée avec du Buscopan • Nous proposons de consulter chez son médecin traitant en cas de persistance des douleurs à 3-4 semaines, évaluer l'indication à une colonoscopie. Explications données à la patiente. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, thrombocytopénie 94 G/l stable. CT cérébral: pas de signe de thrombose des sinus veineux, pas de réhaussement des méninges. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, urines propres (sous réserve de la prise de Cirpoxine). Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. Analyses urinaires: pas de signes d'infection urinaire. Discuter l'antibiothérapie par Ciprofloxacine 500 mg 2x/j pendant 7 jours prescrite par le médecin traitant. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. Buscopan, Paracétamol. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. Consilium neurologique du 08.01.2019 (Dr. X): Demande d'un bilan neuropsychologique et IRM. Proposition de bilan par ponction lombaire.Labo du 09.01.2019 (bilan démence) : TSH dans la norme, bilan vitaminique dans la norme Sérologie VIH et syphilis négative Bilan vasculites et immunologique dans la norme CT cérébral natif du 08.01.2019 : Absence d'arguments pour une démarcation ischémique ou une lésion ischémique constituée. Pas de saignement cérébral, atrophie marquée, élargissement des ventricules dans le cadre de l'atrophie IRM cérébrale 09.01.2019 : sous réserve qualité moyenne des images, pas de signe d'ischémie, pas d'atteintes vasculaires, pas de sténose des vaisseaux pré-cérébraux, atrophie temporale, corticale et sous-corticale Homocystéine élevée à 21.5 mcromol/L (norme < 12) Phénotype Apo-E E3/E4 PL : dans la norme, pas de signes pour une infection Electrophorèse du LCR : pas de production intrathécale d'immunoglobulines Résultats finaux en attente (Tau, phospho-Tau, A-beta40) Bilan neuropsychologique 11.01.2019 : trouble neurocognitif majeur d'intensité sévère d'origine probablement dégénérative, au vu du type de difficultés susmentionnées et des résultats de l'imagerie cérébrale. MoCA effectué le 18.01.2019 : score de 8/30 chez un patient confus Traitement de Distraneurine et de Zyprexa sans amélioration, actuellement sous Quétiapine avec réponse moyenne Avis psychiatrie le 21.01.2019 (Dr. X) : indication en psychogériatrie pour adaptation traitement, épouse d'accord. Au vu besoin contention, PAFA effectué Transfert en psychogériatrie à Marsens le 22.01.2019 Consultation Prof. X le 23.04.2019 à 10h00 Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire CT abdominal (Dr. X) : Masse caecale d'allure tumorale touchant la valve de Bauhin et le colon ascendant, iléus mécanique en amont à 30 mm, pas d'air libre, quelques adénopathies loco-régionales, pas d'indice pour métastases à distance. Avis chirurgical (Dr. X) : hospitalisation pour surveillance, colonoscopie dans les meilleurs délais, CT-thoracique pour bilan d'extension, à jeun, pas de sonde naso-gastrique. CT-Thoracique : à organiser Colonoscopie : à organiser à jeun antalgie Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire CT-scan lombaire : pas d'hématome, pas d'abcès. Traitement symptomatique. Mme. Y instruite qu'elle doit reconsulter en cas de symptômes graves. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire ECG : bigéminisme CT Time is brain le 14.01.2019 : athéromatose des vaisseaux pré-cérébraux sans sténose significative, perméabilité des vaisseaux conservée, hyperperfusion hémisphérique gauche. EEG : foyer irritatif fronto-temporal gauche Ponction lombaire : désinfection, champagne, anesthésie par 4 ml de lidocaïne, 2 essais non traumatiques, pression d'ouverture à 12 mmHg, liquide eau de roche, 5 tubes. PCR HSV envoyé. LCR : < 1 élément, protéinorachie 0.66 Bactério, PCR HSV en cours Keppra 20 mg/kg soit 1000 mg iv Keppra 500 mg 2x/j po Aspirine cardio 100 mg po Avis neurologique (Dr. X) : • AVC ne pouvant être totalement exclu, rediscuter de l'IRM, cibles tensionnelles < 180 • Acyclovir 500 mg iv 3x/j Att : • Ad test de déglutition • IRM cérébral le 15.01 à la recherche d'un AVC demandé • cibles tensionnelles < 180 mmHg • mobilisation 30° jusqu'à l'IRM Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Examen clinique. Retour à domicile avec antalgie et contrôle à 48h à la filière. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire US : col à 17 mm et 13 mm à la contraction CTG Actim Prom négatif Tocolyse par Atosiban du 30.12.2018 au 01.01.2019 Maturation pulmonaire le 30.12 et 31.12.2018 (21h) Frottis bactériologique vaginal et streptocoque du groupe B : négatif Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire US : col à 23 mm CTG : R-NP, 5 CU aux 10 minutes Actim partus + Protocole Nifédipine 4 cpr avec bonne réponse Maturation pulmonaire le 29.12 et 30.12.2018 Frottis bactériologique vaginal, streptocoque du groupe B Urotube Laboratoire : pas de trouble électrolytique, pas de syndrome inflammatoire. ECG : fibrillation auriculaire rapide à 140 bpm, sous décalage ST en V2 à V6 et I, II, aVF avec sus décalage en aVR. Radiographie du thorax face/profil du 02.01.2019 : cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Attitude scoliotique dorsale sinistro-convexe. (Dr. X) Laboratoire : pas de trouble électrolytique, pas de syndrome inflammatoire. EEG : sans particularité. Avis neurologique (Dr. X) : ad IRM cérébrale. IRM cérébrale du 24.01.2019 : sans particularité. Retour à domicile avec réassurance. Mme. Y est instruite qu'elle doit reconsulter dans l'immédiat si représentation de la symptomatologie. Laboratoire : Pas de troubles électrolytiques, pas de syndrome inflammatoire Urines propres RX thorax : absence de foyer visualisé Consilium psychiatrique (Dr. X) le 20.12.2018 : hospitalisé dans le service de médecine pour des investigations après l'opération. Comme elle présente une attitude méfiante par rapport à la prise en charge et vue d'une faible conscience morbide (anosognosique). Risque d'une agitation psychomotrice. Introduction Haldol per os. Pas sa capacité de discernement. Si agitation incontrôlable, Marsens prévenu du cas pour la psychogériatrie. Pas de risque suicidaire. Consilium neuropsychologique le 21.12.2018 (post-haldol) Dr. X : atteinte frontale, fonctions exécutives, difficulté de reconnaissance des émotions, pas d'atteinte majeure, Mme. Y se sent fatiguée et aimerait surtout du calme car trouve que son mari attend beaucoup d'elle à domicile. Au cours du séjour, la nécessité d'une curatelle est révoquée, la famille souhaitant s'impliquer pour gérer les dépenses à l'interne. Hospitalisation en médecine interne sous PLAFA Temesta et Haldol en réserve Colloque avec la famille le 28.12.2018 pour annonce de mauvaise nouvelle, explications sur le trouble du comportement (évaluation au jour le jour à l'interne par la famille pour les dépenses d'argent, pas de curatelle nécessaire pour l'instant), mise en place d'un soutien psychologique (réseau santé Gruyère) 3x/semaine avec suivi psychiatrique par le Dr. X et discussion du traitement radio-chimiothérapeutique palliatif que toute la famille et Mme. Y acceptent. En cas de situation de crise sur le plan psychologique, une consultation en urgence directement à Marsens est préconisée. Laboratoire Pervaryl crème 1% Laboratoire Pervaryl crème 1% Laboratoire Pevaryl crème 1% Laboratoire. Physiothérapie. Adaptation de l'antalgie. Laboratoire Plafa par psychiatre Dr. X Hospitalisation en médecine pour la suite de la prise en charge Laboratoire polytraumatise : Trop H0 12, H1 11. ECG. Stix et sédiment urinaire. Radiographie du thorax. Radiographie de la colonne lombaire. Radiographie du genou. Radiographie du pied droit. CT-scan du pied droit (Dr. X) : fracture de la base du 5ème métatarse, fracture de la phalange proximale du 4ème rayon. Avis orthopédique (Dr. X) : suspicion d'atteinte du Lisfranc. Attitude (discuté avec orthopédiste) : • ad botte plâtrée, contrôle radio-clinique à 10 jours en orthopédie au team pied (Mme. Y sera convoquée) • Mme. Y habite seule, ad surveillance sur la nuit • ad Xarelto 20 mg (Mme. Y a eu un antécédent de TVP). Laboratoire polytraumatise. Analyse urinaire. CT cérébral, rachis cervical et cou vasculaire : pas de saignement intra-crânien, pas de fracture au niveau des vertèbres cervicales, pas de dissection au niveau des artères vertébrales. US FAST réalisé aux urgences (Dr. X et Dr. X) : pas d'épanchement péricardique, pas de liquide libre intra-abdominal, pas de pneumothorax. Explication donnée au patient quant à la surveillance de traumatisme crânio-cérébral avec information écrite donnée au patient. Traitement empirique. Consultation en ophtalmologie concernant le nystagmus et les troubles visuels. Laboratoire: pro-BNP 11'255 Gazométrie: 7.11 de pH, 13,6 de pCO2 kPa ECG: R Perte sur la paroi avant Radiographie du thorax 29.01.2019 VNI 29.01.- xx Lasix 40 mg Laboratoire: proBNP 2'596 ng/L Gazométrie ECG ETT dès que possible AUX URG: Lasix 40 mg IV OU Laboratoire: PTT 50, thrombocytes 120, pas de syndrome inflammatoire. ECG: rythme sinusal et régulier à 80/min, axe QRS à 45°, PR 180 ms, QRS 80 ms, QTc 493 ms, segment ST iso-électrique, onde T physiologique. Laboratoire Radiographie de thorax ECG Laboratoire Radiographie du thorax Cefepime 2g/j pendant 7 jours à partir du 24.12.2018 Laboratoire Radiographie thoracique Aérosol SALBUTAMOL 5 mg Aérosol ATROVENT 0.5 mg Aérosol ADRENALINE 5 mg Avis ORL = indication à la réalisation d'une trachéotomie en urgence. Discussion avec la fille du patient et le patient par rapport au projet de réanimation. Patient réa non mais soins intensifs oui à court terme. CAT : • Transfert bloc opératoire pour suite de prise en charge Laboratoire. Recherche d'antigènes urinaires Légionnelle et pneumocoque : négative. Hémocultures à froid du 21.01.2019 : à pister. Rx thorax f/p du 15.01.2019 : Poumons de BPCO avec hypertransparence pulmonaire bilatérale et aplatissement des coupoles diaphragmatiques et élargissement des espaces intercostaux. Épaississement de la trame broncho-vasculaire au niveau de l'hémichamp pulmonaire inférieur à droite. Aspect allongé de la silhouette cardiomédiastinale. Rx thorax du 17.01.2019 : status post-mise en place d'une sonde nasogastrique avec un bouclier pas en place, réalisant une boucle remontant à l'œsophage. Poumons de BPCO avec lésion d'infiltrat pulmonaire au niveau basal à droite. Hypertransparence pulmonaire bilatérale avec des poumons distendus. RX thorax du 19.01.2019 : distension pulmonaire bilatérale. Sonde nasogastrique en place. Très discret épaississement de la trame bronchovasculaire au niveau basal droit. Minime épanchement pleural bilatéral. CT scan abdominal natif du 15.01.2019 : Pas d'argument pour un iléus (pas de dilatation des anses intestinales ou coliques). Pas de liquide libre en quantité significative dans l'abdomen, pas d'air libre dans l'abdomen. Stomie en FID avec une poche. Image d'une probable stomie en hypocondre D, à corréler à la clinique. St/p pontage aorto-bi-fémoral pour anévrisme de l'aorte abdominale. St/p stenting de l'artère mésentérique supérieure. La perméabilité de ces structures vasculaires n'est pas évaluable en raison de l'absence d'injection i.v. de produit de contraste liée à l'insuffisance rénale. Pneumonie basale D DD bronchoaspiration. Atrophie pancréatique avec signes de pancréatite chronique calcifiante. CT abdominal natif et injecté du 18.01.2019 : pas de signe d'ischémie mésentérique et pas d'autre anomalie abdominale pouvant expliquer les symptômes du patient. Perméabilité conservée du stent de l'artère mésentérique supérieure, sans occlusion visible des artères viscérales. Perméabilité conservée du pontage aorto-bi-fémoral. Faible quantité de liquide libre aspécifique dans la cavité péritonéale. Pour le reste, progression d'une pneumonie de la base pulmonaire droite avec actuellement apparition d'une zone de nécrose excavée. Laboratoire. Recherche d'antigènes urinaires Légionnelle et pneumocoque. Culture d'expectorations. ECG. RX thorax. Oxygénothérapie 4 l/min. Aérosols d'Atrovent et Pulmicort 0,5 mg. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 01 au 03.01.2019 • Klacid 500 mg per os 2x/j du 01 au 02.01.2019 • Co-Amoxi 1 g per os 2x/j du 04 au 06.01.2019. Solumédrol 125 mg iv, une dose le 02.01.2019. Prednisone 40 mg 1x/jour du 03 au 07.01.2019. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire. Recherche d'antigènes urinaires Légionnelle et pneumocoque. ECG. RX thorax. Isolement et protecteur de contact du 07.01.2019 au 09.01.2019. Methotrexate en suspens. Antibiothérapie par : • Cefepime 500 mg 1x/jour iv du 07 au 10.11.2019 • Co-amoxicilline 1 g 2x/j per os du 11 au 13.01.2019 (durée totale 7 jours). Suivi biologique. Laboratoire. Recherche d'antigènes urinaires Légionnelle et pneumocoque. ECG. RX thorax. Traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin d'office et en réserve. Prednisone 40 mg pour 5 jours. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire. Recherche d'antigènes urinaires Légionnelle et pneumocoque. Hémocultures à froid. ECG. RX thorax. CT scan abdominal natif. Angio-CT scan abdominal. Physiothérapie respiratoire. Consilium infectiologique, Dr. X. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 15 au 21.01.2019 • Klacid 500 mg per os 2x/j du 15 au 16.01.2019 • co-amoxicilline 1,2 g iv 4x/j dès le 21.01.2019 sur avis du Dr. X. Prévoir TB spot et sérologie HIV. Laboratoire. Recherche d'antigènes urinaires Légionnelle et pneumocoque. Hémocultures. ECG. RX thorax. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv du 26 au 02.01.2019 • Klacid 500 mg per os 2x/j du 26 au 27.12.2018 Thromboprophylaxie par Clexane 40 mg sous-cutané 1x/j. Laboratoire. Recherche d'antigènes urinaires Légionnelle et pneumocoque. Hémocultures. ECG. RX thorax. Oxygénothérapie. Traitement bronchodilatateur. Antibiothérapie par : • co-amoxicilline 2,2 g iv 3x/j du 06 au 08.01.2019 • co-amoxicilline 1 g per os 2x/j du 09 au 10.01.2019 inclus. Laboratoire. Recherche d'antigènes urinaires Légionnelle et pneumocoque. Hémocultures. Traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 26 au 30.12.2018 • Tavanic 500 mg per os jusqu'au 03.01.2019 • Klacid 500 mg iv 2x/j du 26 au 28.12.2018. Fonctions pulmonaires à réaliser à distance. Laboratoire. Recherche de sang occulte dans les selles. Hydratation NaCl 500 cc en ordre unique. Antalgie par Morphine 2 mg iv en ordre unique. Nexium 40 mg iv. Alucol gel per os. Avis chirurgical, Dr. X. CT scan abdominal. Cholangio-IRM. Laboratoire (rhumatologie) Laboratoire. Rocéphine 2 g iv du 10.01 au 14.01.2019. Laboratoire : RX colonne lombaire et colonne dorsale. Avis Dr. X pour la macrohématurie : CT abdominal. IRM lombaire. Avis Spine Team, HFR Fribourg - Hôpital cantonal le 28.01.2019. Antalgie par Dafalgan, Irfen. Surveillance en lit d'observation. Laboratoire. RX genou droit. Avis orthopédique, Dr. X : • CT scan genou droit. • US genou droit • traitement conservateur avec poche de glace 4 fois par jour, immobilisation par attelle jean 0° • antalgie • contrôle dans 1 mois à la polyclinique d'orthopédie, Dr. X, HFR Riaz. Physiothérapie de mobilisation. Laboratoire. RX thorax. CT scan abdominal natif. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv aux urgences • Rocéphine 1 g iv le 16.12.2018. Laboratoire. RX thorax du 20.01.2019 : Aorte déroulée et calcifiée. Épaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire. Pas d'épanchement pleural visible. CT scan thoracique du 20.01.2019 : épaississement pariétal des anses jéjunales dans le flanc gauche, difficilement caractérisable en raison de l'absence d'injection de produit de contraste (DD : origine infectieuse, inflammatoire, ischémique, lymphomateuse). Liquide libre intra-abdominal diffus (DD : en lien à l'atteinte grêle versus décompensation ascitique au vu d'un foie d'aspect cirrhotique). Une péritonite bactérienne spontanée ne peut être exclue. Pas de signe de perforation ou de cholécystite. Laboratoire. RX thorax. Hémocultures Antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv 1x/j du 22 au 28.12.2018. Laboratoire. RX thorax. Lasix iv du 13 au 15.12.2018. Torasemide 20 mg 1x/j du 15 au 17.12.2018, puis 5 mg 1x/j dès le 20.12.2018. Oxygénothérapie. Sondage urinaire du 14 au 17.12.2018. Laboratoire RX thorax 28.01.2019 : pas de pneumothorax Dafalgan en réserve Attitude : • Contrôle de la plaie à 10 jours en cardiologie à l'HFR Fribourg • Contrôle du pacemaker à 2-3 semaines en cardiologie à l'HFR Fribourg Laboratoire sanguin Laboratoire sanguin d'entrée le 05.01 US abdominal du 05.01.2019 : petite lame de liquide libre à la pointe du caecum avec présence de plusieurs adénopathies mésentériques. Appendice non visualisé, mais signe de McBurney échographique. Reste de l'examen dans les normes. Une appendicite ne peut être exclue actuellement, mais l'examen actuel est aussi compatible avec une adénite mésentérique. US abdominal du 06.01.2019 : par rapport à l'examen précédent, légère majoration du liquide libre en fosse iliaque droite, sans liquide libre visualisé en rétrovésical. Appendice non visualisé en raison d'une coprostase importante persistante, mais signe de McBurney au passage de la sonde. Paroi des anses intestinales fines, sans signe d'inflammation. Motilité intestinale conservée. Persistance d'adénopathies mésentériques. CT abdominal du 06.01.2019 : appendice non clairement visualisé, néanmoins absence d'abcès ou d'infiltration inflammatoire de la fosse iliaque droite. Présence de plusieurs ganglions du mésentère, compatible avec une adénite mésentérique. Kystes ovariens bilatéraux, prédominant à gauche. Un contrôle échographique à 6 semaines est recommandé. Bilan complémentaire le 11.01 : fonction rénale, hépatique en ordre, crase en ordre, carence martiale sans anémie. Laboratoire sanguin d'entrée Laboratoire de contrôle Dosage Imipenem : dans la cible Hémoculture positive à entérocoque faecalis Prélèvement urinaire néphrostomie gauche : candida albicans CT abdominal le 31.12.2019 : volumineuse masse de la vessie avec infiltration des structures avoisinantes. Réhaussement pathologique de l'uretère G et du rein G compatible avec pyélonéphrite. Néphrostomie rein gauche pas en place (va jusqu'à la musculature) ; sur le plan thoracique, augmentation d'opacités déjà présentes sur le dernier PET CT ; pas d'embolie pulmonaire. CT abdominal le 08.01.2019 : obstruction pré-vésicale de l'uretère gauche, dû au contexte oncologique. Nombreux foyers de néphrite des deux côtés. Péjoration de la thrombose de la veine iliaque droite, avec extension en distalité. US voies urinaires le 01.01.2019 US voies urinaires le 04.01.2019 US voies urinaires le 07.01.2019 Consilium infectiologique (Dr. X) Tazobac iv du 01.01 au 05.01.2019 Tienam 1000 mg iv 4x/j du 05.01.2019 au 17.01.2019 Co-Amoxi 1.2 g po 2x/j du 18.01 au 01.02.2019 Fluconazole 400 mg iv du 05.01 au 18.01.2019 Fluconazole 400 mg po du 18.01 au 01.02.2019 Status post-pose de néphrostomie gauche le 12.2018 par le Dr. X Changement de néphrostomie droite et gauche le 01.01.2019 au bloc opératoire par le Dr. X Changement de néphrostomie à droite le 03.01.2019 radiologie interventionnelle par le Dr. X Échec de pose de néphrostomie à gauche le 03.01.2019 radiologie interventionnelle par le Dr. X Changement de néphrostomie gauche le 05.01.2019 en radiologie interventionnelle par le Dr. X Changement de néphrostomie le 07.01.2019 en radiologie interventionnelle par le Dr. X Retrait guide néphrostomie gauche le 11.01.2019 en radiologie interventionnelle par le Dr. X Changement de néphrostomie droite le 11.01.2019 en radiologie interventionnelle par le Dr. X Laboratoire sanguin d'entrée Laboratoire sanguin de contrôle Hydratation intraveineuse Laboratoire sanguin d'entrée Laboratoire sanguin de contrôle Sédiment urinaire SVTU 3 voies du 31.12 au 03.01.2019 Avis urologique Dr. X Cyklokapron du 01.01 au 03.01.2019 Laboratoire sanguin : sans particularité CT abdominal le 14.01.2019 : sans particularité Laboratoire sanguin Contrôle biologique Laboratoire sanguin CT-scan abdominal le 24.12.2018 : colostomie terminale avec collection à la sortie (9x7mm), herniation du grêle avec 2 sauts de calibre à l'entrée de la stomie, iléus mécanique en amont, liquide libre au pourtour et dans la gouttière para-colique gauche. Laparotomie exploratrice avec réduction de la hernie para-stomiale le 25.12.2018 Laboratoire sans particularité. ECG sans particularité. Réassurance avec conseils d'usage. Rendez-vous de contrôle chez cardiologue prévu le 14.01.2019. Laboratoire : sans particularités Avis chirurgical (Dr. X) Attitude • Hospitalisation en chirurgie • CT abdominal demandé • Cure d'éventration à planifier • A jeûn jusqu'au résultat du CT Laboratoire : screening toxique ECG : RSR, pas de QT long CT cérébral natif + injecté (Transmission orale Dr. X) : doute sur une hémorragie au niveau de la craniectomie pariétale (2008) Aux urgences : • Intubation oro-trachéale Attitude : • Suite aux soins intensifs Laboratoire Sédiment urinaire Rocéphine 2g iv Changement d'antibiothérapie en fonction de l'antibiogramme pour 7 jours in toto par ciprofloxacine Laboratoire, sédiment urinaire Ciproxine 500 mg 2x/j pour deux semaines Contrôle urologique à prévoir à distance Laboratoire : sortie d'agranulocytose le 30.12.2018 Sédiment urinaire Urotube (non significatif 10E4 Staphylococcus epidermidis + Staph. haemolyticus) RX thorax le 28.12.2018 : pas de foyer Hémocultures (2 paires) le 28.12.2018 : en cours Céfépime du 28.12.2018 au 31.12.2018 y compris Mycostatine du 28.12.2018 au 31.12.2018 Fluconazole 200 mg en ordre unique le 28.12.2018 Neupogène 48 mio UI du 28.12.2018 au 30.12.2018 y compris Laboratoire spécial : • VitD3 diminué à 34 nmol/l, PTH intacte diminuée à 5 ng/l, PTHrp en cours • Hépatites A, B, C, D, E, HIV, CMV, EBV négatif US le 18.01.2019 : masse des parties molles sous-cutanées en région inguinale gauche d'échostructure hétérogène et hypervascularisée au doppler mesurant approximativement 3 x 6 x 5.5 cm, suspecte de récidive tumorale. US hépatique le 25.01.2019 : pas de thrombose porte. PET-CT le 22.01.2019 : volumineuse masse tumorale présentant une intense hypercaptation inguinale gauche correspondant très probablement à une récidive tumorale du mélanome connu. Absence d'autre lésion hypermétabolique en faveur d'autre métastase. L'hypercaptation squelettique est à mettre sur le compte de la stimulation médullaire par l'immunothérapie. Scintigraphie osseuse le 23.01.2019 : absence de lésion focale typique de métastase osseuse. Ponction biopsie de moelle aile iliaque G le 25.01.2019 (Dr. X) : métastases ostéomédullaire d'un mélanome malin Ponction de la masse inguinale gauche le 25.01.2019 (Dr. X) : mélanome malin dans le tissu stromal ETT 30.01.2019 : pas de dysfonction ventriculaire. Pas de valvulopathie. Laboratoire spéciaux : LDL 4.12 mmol/l et cholestérol 6.3 mmol/l. Radiographie thorax 29.12.2018 : les deux plages pulmonaires se présentent normalement, sans infiltrat évident visible. Pas d'épanchement pleural mis en évidence. Flou péri-hilaire et péri-broncho-vasculaire évoquant une surcharge hydrique sans cardiomégalie. Déviation de la trachée vers la droite évoquant la présence d'un goitre thyroïdien. US abdomen supérieur 01.01.2019 : multiples lithiases vésiculaires sans argument radiologique en faveur d'une cholécystite. CT cérébral natif + injecté 29.12.2018 : pas de saignement intracrânien, ni de processus expansif aux étages supra- et infra-tentoriels, pouvant expliquer l'état confusionnel de la patiente. Hyperostose frontale interne. IRM neurocrâne natif + injecté et carotides injectées le 04.01.2019 : sous réserve d'importants artéfacts de mouvement du fait du manque de collaboration de la patiente : pas de lésion ischémique notable ou de saignement. Pas de signe évident d'encéphalite. Mauvaise opacification du départ de l'artère vertébrale droite, à confronter à une imagerie CT.US des vaisseaux précérébraux le 08.01.2019 : rapport en cours. Oralement : pas de sténose significative visualisée. EEG 03.01.2019 Rapport en cours. Oralement : EEG compatible avec une encéphalopathie médicamenteuse ou métabolique. Holter entre le 03-04.01.2019 Rythme sinusal. Fréquence cardiaque moyenne de 90 bpm, maximale de 120 bpm, minimale de 70 bpm. Pas d'événement ventriculaire. Une extrasystolie supraventriculaire de faible incidence (un doublet). Pas de pause ni de battement manquant, le RR max est de 980 msec. Pas de sus ni de sous-décalage du segment ST significatif. Pas d'enregistrement volontaire ni de symptôme décrit. ETT le 09.01.2019 : ventricule gauche non dilaté. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche discrètement dilatée. Ventricule droit normal. Ventricule droit non dilaté. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Mauvaise échogénéicité. La FEVG semble conservée, estimée à 55%. Il n'y a pas de valvulopathie majeure ou de calcifications valvulaires significatives. Après injection de microbulles et après Valsalva (suboptimal), il n'y a pas de passage de microbulles à travers le septum interauriculaire. Nous sommes à disposition pour une ETO si la suspicion d'AIT se confirme et qu'aucune étiologie n'est retrouvée. Laboratoire Stix/sédiment : Radio thorax : CT abdominal : abcès de 7x5x6 cm dans la loge de cholécystectomie avec compression des voies biliaires intra-hépatiques, prise de contraste du cholédoque compatible avec un cholangite. Ileus mécanique, avec saut de calibre au niveau para-ombilical à D, adénopathies similaires au CT comparatif de 2017-2018. Infarctus spléniques connus. Tazobac 4.5 g aux urgences Avis chirurgical (Dr. X) • Pas de drainage en urgences • Hospitalisation en chirurgie Laboratoire. Stix/sédiment urinaires : présence de bactéries, leucocyturie importante. Bactério : 2 paires d'hémoculture à froid. Urotube : à pister. Avis téléphonique néphrologue : traitement en ambulatoire possible. Avis téléphonique infectiologue : 1 dose de Ceftriaxone 2 g iv, puis traitement Ciprofloxacine 500 mg 2x/j PO pendant 7 jours. Aux urgences : Ceftriaxone 2 g iv 1 dose. Antibiothérapie orale par Ciprofloxacine pendant 7 jours. Consultation avec Dr. X prévue le 18.01.19. Rendez-vous au Secteur Ambulatoire des Urgences le 20.01.19 à 10h00 pour contrôle laboratoire et pister les cultures. Laboratoire. Substitution en potassium en iv et per os. Laboratoire. Substitution per os. Suivi biologique. Laboratoire. Substitution vitamine D. Suivi biologique. Laboratoire. Suivi biologique. Laboratoire. Suivi biologique. Laboratoire. Suivi biologique. Laboratoire. Suivi biologique. Laboratoire. Suivi clinique Co-Amoxi 1 g x 2/j du 10.01 au 15.01.2019 Rx thorax + CT thoracique injecté Laboratoire : suivi Troponines : H0 39 ng/L, H1 36 ng/L, H3 _ ECG : inversion ondes T territoires II-III-AvF et V1-V4 US aux URG (Dr. X) Consilium Cardio : Prévoir coronarographie élective à 24h après pose de PM. si DRS/cynétique trop appeler Prof. X directement. PAS aspirine vu attente pose PM. Laboratoire • Surveillance électrolytes et de la fonction rénale Hydratation soutenue du 08.01.2019 au 12.01.2019 Laboratoire : syndrome inflammatoire à la baisse Sérologie de Lyme en cours (demande du patient) Laboratoire : syndrome inflammatoire avec CRP à 58 mg/l. Analyses urinaires ECG : rythme sinusal normocarde à 70/min. Radiographie de thorax : pas de francs foyers pulmonaires, pas de signes de surcharge. Scanner thoracique : pas d'embolie pulmonaire, nodules infracentimétriques centro-lobulaires bilatéraux. Frottis de grippe en cours. Hospitalisation en médecine interne. Avis pneumologie Laboratoire : syndrome inflammatoire avec CRP à 58 mg/l, osmolalité 277 mOsm/kg Analyses urinaires Spot urinaire ECG Restriction hydrique à 1000 ml par 24h Laboratoire : syndrome inflammatoire avec CRP à 69, pas de leucocytose Laboratoire : Syndrome inflammatoire avec leucocytose à 14.4 G/L et CRP à 150 mg/L. Gazométrie : Lactate à 2.3 mmol/l CT abdominal du 03.01.2019 : Pyélonéphrite gauche. ECG avec absence de QTc long Hémocultures du 03.01.19 : stériles à 5j Uricult du 03.01.19 : S. Epidermidis (contaminant probable) Ciproxine 500 mg 2x/j en ambulatoire du 1 au 3.01.19 Ceftriaxone iv du 3 au 6.01.19 inclus Ciproxine du 7.01.19 au 9.01.19 inclus Laboratoire : syndrome inflammatoire le 28.12.2018 en régression US abdominal le 01.01.2019 Suivi clinique Laboratoire : syndrome inflammatoire, NT pro BNP à 14'990 ng/L / gazométrie ECG le 26.12.2018 RX thorax le 26.12.2018 : surcharge en aile de papillon, pas d'épanchement ni foyer visible Consilium cardiologie : • pas d'investigations supplémentaires nécessaires concernant la décompensation cardiaque • TAVI agendé le 07.01.2019 Furosémide IV du 26.12.2018 au 01.01.2019 puis relai par Torasémide per os dès le 02.01.2019 Métolazone du 31.12.2018 au 01.01.2019 Introduction d'un traitement d'aldactone Physiothérapie cardio-respiratoire Pose de TAVI le lundi 07.01.2019 à la clinique Cecil à Lausanne Laboratoire : Syndrome inflammatoire Prélèvement de plaie (laboratoire RISCH), le 09.01.2019 : A PISTER 2 paires d'hémocultures, le 10.01.2019 : A PISTER Radiographie du pied gauche, le 10.01.2019 : IRM pied gauche, le 10.01.2019 : ostéoarthrite de l'articulation MTP 5ème, avec ostéomyélite de la phalange proximale et 2/3 distale du 5e métacarpe Avis Orthopédie (Dr. X), le 10.01.2019 : Avis Infectiologie (Dr. X), le 10.01.2019 : Mis en suspens d'ATB pour prélèvement, puis Tazobac. Si culture négative, réduire le spectre à du Co-amoxicilline qui a probablement été assez efficace. Avis Angiologie (Dr. X), le 11.01.2019 : demande faite Hospitalisation Laboratoire. Test de la grippe : à pister, mettre traitement pour la grippe si positif. NaCl 0.9% 500 ml iv. • Retour à domicile avec traitement symptomatique et arrêt de travail. • Contrôle à la filière 34 à 24h. Laboratoire : tests hépato-pancréatiques dans la norme, Hb 136 g/l. ECG : rythme sinusal régulier, axe HD, ondes P bifides en V1, petite onde Q en D1, aVR, aVL, V2, BBD complète, pas de trouble de la repolarisation. Ultrason FAST par Dr. X : pas de liquide libre intra-abdominal visualisé. Radiographie du thorax, face/profil du 29.01.2019 : comparatif 30.01.2011. Silhouette cardiaque dans la norme, sans changement significatif. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax mis en évidence. Pas de fracture de côtes. Pas d'air libre sous les coupoles diaphragmatiques. Laboratoire. Titration de la morphine. Buscopan iv. Avis chirurgical, Dr. X : lavement. Avis gynécologique. IRM abdomino-pelvienne. Laboratoire. Traitement symptomatique. Laboratoire Trop : premier train 30 / 2ème train 42 / 3ème train à 95 ECG Aux urgences : Aspegic 500 mg IV, Plavix 600 mg et Héparine 5000 ui IV. Morphine 5 mg IV puis 2 mg Avis Dr. X : ETT ETT (Dr. X) superposable à celui de juin 2016 Avis Dr. X : Transfert à HFR Fribourg SI Laboratoire : Trop H0 16, H1 17, H3 15, D-dimères 1755, NT-proBNP 507 ECG : superposable au précédent hormis BAV de 1er degré avec intervalle PR à 272 msLaboratoire: Trop H0 162 ng/L, H3 174 ng/L, NT-proBNP 3300 ng/L Gazométrie Sédiment urinaire: propre ECG Radiographie de thorax CT thoracique: pas d'embolie pulmonaire Avis cardiologique le 21.01.2019 (Dr. X/Dr. X): ETT aux URG: Insuffisance mitrale sévère, FEVG conservé 65%, pas de surveillance rythmique. Pas de PEC invasive selon avis spécialisé au vu des comorbidités. Privilégier traitement symptomatique pharmacologique. Lasix 20 mg i.v. aux Urgences Adaptation diurétiques et traitements Discussion avec la famille le 22.01.2019: Discuter traitement pharmacologique vs interventionnel. Décision d'une attitude sans intervention ni acharnement Laboratoire: trop H0 35, H1 47 ECG Radiographie du thorax Avis cardiologique Dr. X: transfert SI, charger en Efient, anticoagulation par Héparine bolus puis 24'000 UI/24h, poursuivre ASA, coronarographie à programmer demain Aux urgences: 3x0.8 mg de nitroglycérine, 60 mg d'Efient, 5000 UI d'héparine iv puis 24'000 UI/24h, Atorvastatine 40 mg p. o., Deponit patch Attitude: • Transfert aux soins intensifs Laboratoire: trop H0 35, H1 47 ECG Radiographie du thorax Avis cardiologique Dr. X: transfert SI, charger en Efient, anticoagulation par Héparine bolus puis 24'000 UI/24h, poursuivre ASA, coronarographie à programmer demain Aux urgences: 3x0.8 mg de nitroglycérine, 60 mg d'Efient, 5000 UI d'héparine iv puis 24'000 UI/24h, Morphine 2 mg i.v. Laboratoire • Trop H0 64, H1 à 248 Gazométrie artérielle: Acidose métabolique d'origine lactique avec pH à 7.14, Lactate à 9.1 Gazométrie artérielle: Acidose lactique en amélioration ECG Rx thorax Echo cible thorax cœur et abdomen aux urgences (Dr. X et Dr. X) Sondage urinaire: 1L urine claires Préhospitaliser • Aspirine 500 mg IV Aux urgences: • Lasix 40 mg IV • Cordarone 300 mg IV sur 1 heure • VNI 2 séances aux urgences Consilium cardiologie (Dr. X, Dr. X) Consilium SICO (Dr. X) Attitude: • Hospitalisation en médecine • Réévaluation par la cardiologie demain • Mise en suspens traitement Aldactone et Torem, remplacé par Lasix 40 mg 2x/j et KCL • Cordarone 400 mg pour 10 jours dès ce jour • Morphine 1 mg en R Laboratoire: Trop H0 64, H1 à 248 Gazométrie artérielle initiale: Acidose métabolique d'origine lactique avec pH à 7.14, Lactate à 9.1 ECG Rx thorax Aspirine 500 mg i.v. en pré-hospitalier Lasix 40 mg i.v. et Cordarone i.v. aux urgences 2 séances de VNI aux urgences Consilium cardiologie le 14.01.2019 (Dr. X, Dr. X) Consilium SICO le 14.01.2019 (Dr. X): Pas de prise en charge aux SI Adaptation des traitements cardiaques, introduction Cordarone Sur demande de Mr. Y, retrait thérapeutique le 15.01.2019 en accord avec la famille et introduction de soins de confort. Décès le 16.01.2019 à 12:35 Laboratoire: Troponines H0 à 30 ng/l, H1 41 ng/l ECG (postérieures et droites): fibrillation auriculaire tachycarde à 110/min inaugurale. Transition vers un bloc de branche gauche nouveau (asymptomatique) lors de la surveillance aux urgences. Radiographie de thorax: pas de signes de surcharge cardiaque, pas de pneumothorax. Ad héparine 5000 U iv aux urgences Hospitalisation aux soins intensifs Laboratoire: Troponines H0 à 30 ng/l, H1 41 ng/l ECG (postérieures et droites): fibrillation auriculaire tachycarde à 110/min inaugurale. Radiographie de thorax: pas de signes de surcharge cardiaque, pas de pneumothorax. Ad Beloc 15 mg iv aux urgences Laboratoire: Troponines H0 11, Troponines H1 11, pas de cinétique significative en l'absence de douleurs rétrosternales. ECG: sans particularité. Mise en place d'un traitement par Torasémide 2.5 mg à majorer si bonne tolérance selon évolution. Ergométrie: Mme. Y sera convoquée en ambulatoire. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Mme. Y informée de reconsulter en cas de récidive de douleur, pic hypertensif important. Laboratoire: troponines H0 29 ng/l, H1 80 ng/l, H3 200 ng/l, D-dimères à 2000 ng/ml, BNP 5200 ng/l Gazométrie artérielle ECG: présence d'extrasystolie ventriculaire à prédominance de 50%. Radiographie de thorax: surcharge cardiaque. Scanner thoracique: pas d'embolie pulmonaire. Avis cardiologique (Dr. X): troponinémie dans le contexte de la tachyarythmie. Pas de NSTEMI retenu, dernière coronarographie en 2016 avec coronaires saines. Pas d'indication à une coronarographie en urgence. Hospitalisation en médecine interne Lasix 40 mg iv, 20 mg aux urgences à poursuivre par 20 mg iv 2x/j Augmentation du bêta-bloquant Bisoprolol 10 mg per os (7.5 mg habituel) Oxygénothérapie Surveillance rythmique par Holter Discuter thermoablation de la tachyarythmie Laboratoire: troponines H0 57 ng/l, H1 65 ng/l, D-dimères négatifs. ECG: FA connue. Avis cardiologique Dr. X Charge en Plavix 600 mg per os, puis poursuite 75 mg 1x/j Stop Lixiana, ad héparine iv continu thérapeutique en remplacement avant coronarographie Coronarographie 01.02.2019 Hospitalisation aux soins intensifs pour surveillance rythmique et hémodynamique Augmentation du Métoprolol à 150 mg 1x/j pour l'hypertension artérielle Laboratoire: Troponines H0 75 ng/l, H1 85 ng/l Pas de surveillance aux soins intensifs au vu du refus de Mr. Y Traitement aux urgences: • Nitroglycérine caps ETT le 14.01.2019: Status quo par rapport à l'examen précédent. Pas d'évidence pour un trouble de la cinétique segmentaire. Avis cardiologique (Dr. X): reprise Aspirine dès que possible, indication à fermeture LAA au vu de la FA connue (déjà présente le 24.12.2018), mais abandonnée au vu du contexte Traitement de l'angor par Dancor et Deponit Laboratoire: troponines H0 9 ng/L, H1 9 ng/L. ECG. Attitude: • Retour à domicile. • Nous recommandons une consultation chez un cardiologue pour la suite de la prise en charge (Holter, test d'effort, éventuellement. ETT) • Mme. Y reconsulte en cas de récidive des symptômes avec persistance ou associés de symptômes tels que malaise, douleurs rétrosternales. Laboratoire: troponines négatives Surveillance clinique Antalgie OGD en ambulatoire si récidive Laboratoire. Troponines. TSH. ECG. RX thorax. Nitroglycérine 0.8 mg. Avis Dr. X: coronarographie à organiser pour le 28 ou le 29.01.2019. A jeun le 27.01.2019, dès minuit. Introduction statine. Laboratoire Ultrason du membre inférieur droit le 15.01.2019 (en ambulatoire) Avis infectiologique Co-Amoxicilline 2.2g 4x/j IV du 18.01.2019 au 22.01.2019, relais per os le 22.01.2019 jusqu'au 29.01.2019 Consultation de suivi chez médecin traitant (Dr. X) le 28.01.2019 à 15h Laboratoire Urines: leucocytes positives, sang positif Test de grossesse: négatif Echographie abdominale cible aux urgences Dr. X: pas de liquide libre entre le rein droit et le foie, pas de liquide libre entre le rein gauche et la rate, pas de liquide libre dans le Douglas Avis antalgique: Pas d'utilité à discuter d'un traitement chronique dans l'immédiat, un rendez-vous en consultation antalgique est déjà prévu le 29.01.19, la gestion de la douleur peut se poursuivre aux urgences avec pose de PCA si nécessaire. Surveillance 6h minimum pour la morphine. Avis gynécologique: petite lame de liquide dans le Douglas physiologique dans le cadre des règles, pas d'hospitalisation prévue en gynécologie car Mme. Y est peu compliante avec son traitement. Frottis chlamydia, gonocoque négatif. Aux urgences: • Morphine 24 mg iv • Paracétamol 1g iv • Buscopan 10 mg po et 10 mg iv Novalgine 1g iv Attitude: • Retour à domicile avec surveillance, si la patiente remarque une difficulté respiratoire, elle devra se rendre à nouveau aux urgences • Poursuivre le traitement qu'elle a en réserve pour les douleurs dans l'attente de la consultation en antalgie le 29.01.19 Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. Urotube. Coprocultures. Isolement de contact durant l'hospitalisation. ASP. Antibiothérapie par : • Flagyl 500 mg 3x/j du 17 au 26.12.2018 • Vancomycine 125 mg per os 4x/j du 26.12.2018 au 03.01.2019. Avis infectiologue - Dr. X : • Diminution dégressive de l'antibiotique (à partir de J11, 7 jours de Vancomycine 125 mg 2x/jour puis 7 jours de Vancomycine 125 mg 1x/jour puis 20 jours de Vancomycine 125 mg 1 jour/sur 2 pour un total de 6 semaines) • Retrait isolement dès objectivation de selles formées. Laboratoire. Urotube. Hémocultures. ECG. RX thorax. Hydratation. US des voies urinaires. Antibiothérapie par : • Ceftriaxone 2 g iv • Ciprofloxacine (réaction anaphylactique à la Ceftriaxone). Laboratoire. Urotube. Hémocultures. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. RX thorax. US des voies urinaires. Pradif 0,4 mg dès le 08.01.2019. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 05 au 14.01.2019 • Ciproxine 500 mg per os 2x/j du 15 au 18.01.2019. Physiothérapie de mobilisation. Laboratoire. Urotube. Hydratation iv 2000 ml/24 h. Sonde vésicale du 15.12.2018 au 08.01.2019. Remise de sonde vésicale le 09.01.2019 car patient en globe vésical. Laboratoire. Urotube. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv du 04 au 07.01.2019 • Klacid 500 mg iv du 04 au 05.01.2019 • Co-amoxicilline 1 g per os 2x/j du 08 au 10.01.2019. RX thorax de contrôle à 2 semaines, si pas d'évolution favorable, prévoir CT scan thoracique. Laboratoire. Urotube. US rénal. Antibiothérapie par : • Co-Amoxi 2,2 g iv le 11.01 au soir et le 12.01.2019 au matin • Co-Amoxi 1 g per os 2x/j pour 7 jours au total. Laboratoire. US abdominal : rétention urinaire, pas d'ascite visible Stix/sédiment : leucocyturie CT-Scan cérébral : pas de saignement visualisé, pas de fracture du crâne NaCl 0.9% 500ml Benerva 300mg i.v. Rocéphine 2gr i.v. Hospitalisation en médecine interne. Laboratoire. US abdominale le 10.01.2019 : sténose des voies biliaires extrahépatiques Antalgie Laboratoire. U/S ciblé (Dr. X) : pas d'épanchement pleural des 2 côtés. Pas de liquide libre en Morrison, Koehler ou Douglas. Pas de cholestase intra hépatique. Vésicule biliaire avec parois fines, pas de calcul visualisé. Veine cave inférieure fine et variable à la respiration. Aorte fine. Vessie urinaire avec parois fines, pas de liquide libre dans le Douglas. Rein droit sans dilatation pyélocalicielle. Suspicion de dilatation pyélocalicielle de grade 1 gauche. Uro-CT (Transmission orale, Dr. X) : calcul de 3 mm au méat vésical gauche. Dilatation de l'uretère. Dilatation pyélocalicielle 12 mm. Traitement aux urgences : • Morphine i.v. • Brufen 400 mg po • Ciproxin 500 mg po Laboratoire US Fast = Dr. X (cf compte-rendu) Body CT = Fracture omoplate droite avec enfoncement 6 mm, fracture importante de L1 avec enfoncement plateau supérieur multifracturé avec perte de hauteur 40 % et recul du mur postérieur de 4 mm, fracture instable à ne pas mobiliser, pas d'hématome intracanalaire. Pas de fracture cervicale, pas d'hémorragie intracrânienne Radiographie genou gauche = Fracture de la fibula gauche Radiographie cheville gauche Radiographie clavicule droite Avis orthopédiste = Traitement conservateur pour la fracture de l'omoplate par bretelle 15 jours et physiothérapie, pas de fracture en regard de la cheville, traitement conservateur pour la fibula gauche Avis neurochirurgien = Réalisation d'une IRM en urgence à 16h00, mobilisation en monobloc autorisé, à jeun jusqu'à résultats IRM, lit strict Ok pour transfert en orthopédie pour suite de prise en charge Sondage vésicale CAT : • IRM rachis lombaire (demandé) • Transfert orthopédie Laboratoire : vide annexes ECG 04.01 : RSR normocarde, axe QRS normal, pas de trouble de la repolarisation, QTc 450 ms CT cérébrale avec vx précérébraux le 04.01.2019 : Hormis une arche bovine avec tronc commun de l'artère brachio-céphalique et artère carotide commune gauche, pas d'anomalie vasculaire sur le volume exploré. Lésion focale cortico-sous-corticale pariétale droite (image de 166-155 sur série injectée) à caractériser par IRM cérébrale. IRM cérébrale (07.01.2019) : Lésion multifocale (en nombre de 7) de la substance blanche sus-tentorielle, compatibles avec des lésions démyélinisantes inflammatoires avec une lésion active frontale droite. Laboratoire : vide annexes ECG (11.01.19) : rythme sinusal régulier à 90 bpm, déviation axiale gauche, BAV 1e degré Oeso-gastro-duodénoscopie (15.01.19) : l'examen effectué n'a pas mis en évidence de source de saignement ni de signe d'une hémorragie digestive récente au niveau du tractus digestif haut. Le bilan doit être complété par une colonoscopie. Colonoscopie (18.01.19) : présence de quelques diverticules, pouvant expliquer les saignements. Présence de deux polypes de 6 et 8 mm, pouvant être retirés uniquement en dehors de la double anti-aggrégation. Pas d'autre lésion visible. Laboratoire : vide annexes ECG CT (22.01.19) : Pas d'hémorragie. Discrète progression tumorale probable avec effet de masse un peu plus prononcé. Pas de déviation de la ligne médiane. IRM mapping (25.01.19) : ___ Laboratoire : vide annexes IRM cervicale (07.12.18) : Lésion tumorale métastatique infiltrant la vertèbre C2, l'espace épidural antérieur et postérieur, réalisant une empreinte postérieure sur la moelle sans signe de myélopathie (Cf. descriptif) et infiltration para-vertébrale prédominante à gauche, notamment infiltration de l'artère vertébrale gauche. Lésion du corps vertébral de D1 avec infiltration épidurale antérieure sans compression médullaire. Masse latéro-cervicale droite de 25 mm compatible avec une adénopathie métastatique. Rx fémur G (13.12.18) : Pas de lésion lytique ou condensante suspecte mise en évidence. Discrète coxarthrose. Pas de fracture. Laboratoire : vide annexes Radiographie thorax (23.12.18) : Status après mise en place d'un port-à-cath en position inchangée. On retrouve de volumineuses opacités dans les deux plages pulmonaires, en augmentation en taille (par exemple, la plus volumineuse dans le poumon gauche passe de 38 x 31 mm à 51 x 36 mm). Pas de foyer individualisé. Apparition d'un comblement du sinus costodiaphragmatique gauche. Le reste de l'examen est superposable. Laboratoire : vitamine B12 : >2000 pg/ml, vitamine B9 11.6 ng/ml, TSH 1.660 mU/L, Ferritine 96 microgramme/l Attitude : • Contrôle de la B12 à distance • Rediscuter Ferinject à distance Laboratoire 04.01.2019 : CRP à 13 mg/l, Lc à 11,4 G/l, Hb à 117 g/l. Pas de CIVD biologique ============= Investigations au Kantospital Frauenfeld : • ANA, ANCA, FR (30.12.2018) : négatifs • C4 normal, C3 discrètement diminué (28.12.2018) • Hémocultures du 28-29.12.2018 : négatifs Images sur le PACS : • Radiographie du thorax 28.12.2018 : cœur de taille normale, pas d'infiltrat • Radiographie de la jambe 28.12.2018 : pas de fractures, pas d'ostéomyélite • Radiographie du pied gauche 30.12.2018 : pas de fracture • IRM jambe et pied gauche 30.12.2018 : œdème cutané et sous-cutané de la jambe jusqu'au pied, à gauche > droite, avec atteinte mineure de la paroi musculaire antérieure du mollet gauche DD : phlegmon G > D. Pas de fascéite, pas d'ostéomyélite. Collection de 20x6 mm au niveau de l'articulation du gros orteil gauche • Avis chirurgical : soins locaux, pas d'intervention nécessaire pour collection liquidienne au niveau du pied gauche A l'HFR Fribourg : • Avis infectiologique (Dr. X, HFR Fribourg) : arrêt des antibiotiques le 07.01.2019 après 11 jours de traitement • Sérologies VIH et Syphilis : négatives Traitements : • Héparine en continu (cible PTT 50-80 sec) du 31.12.2018 au 09.01.2019 • Clexane prophylactique • Co-Amoxicilline 3x 2.2 g IV du 28.12.2018 au 07.01.2019 • Clindamycine 3x 600 mg IV du 28.12.2018 au 07.01.2019 Attitude : • réadaptation musculo-squelettique Laboratoire 06.12.2018 : NT-proBNP 1'863 ng / l Sintrom mis en suspens Réversion de la crase par Konakion 10 mg i.v. les 06 et 07.12.2018 Clexane 40 mg 1x/j Reprise Sintrom le 12.12.2018 Echocardiographie ETT le 07.12.2018 (en annexe) : absence d'embolie pulmonaire. Signes d'insuffisance cardiaque décompensée. Laboratoire 07.01.2019 : ASAT 476 U/L, ALAT 694 U/L, LDH 694 U/L, PA 2063 U/L, GGT 2591 U/L, bilirubine totale 474 umol/L, bilirubine directe 460 umol/L CT 02.01.2019 : voir ci-dessous Laboratoire 07.12.2018 : ASAT à 64 U/l, ALAT à 82 U/l, Phosphat. alcaline à 558 U/l, Gamma-GT à 904 U/l, Bilirubine totale à 5,7 mcg/l, Bilirubine directe à 4,0 mcg/l US abdominal 07.12.2018 : Hépatomégalie stéatosique. Pas d'argument en faveur d'une cholécystite, d'une lithiase biliaire ou de choléstase Attitude : • Diminution de la nutrition entérale • Suivi clinique et biologique Laboratoire 09.01.2019 : Hb 111 g/l, Leucocytes 10.8 G/l ; Thrombocytes 159 G/l ; Crase en ordre Hb post-partum : 109 g/l Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif 09.01.2019 Sérologies 15.05.2018 : Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole non-immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle négatif. Laboratoire 09.01.2019 : pas de syndrome inflammatoire, pas de troubles électrolytiques, augmentation isolée de la bilirubine conjuguée à 7.5 umol/l. ECG : fibrillation auriculaire à 58/min connue. Radiographie de thorax : pas de foyer pulmonaire, pas de signes de surcharge cardiaque. Analyses urinaires le 12.01.2019 : propres Attitude : Suivi clinique Hospitalisation en médecine interne en attente d'un EMS Laboratoire 10.01. Hb 142 g/l, Leucocytes 9.9 G/l, Thrombocytes 240 G/l Hb post-partale : 131 g/l Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif 10.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif 12.12.2018 Sérologies : Toxo non-immune 25.06.2018, CMV non-immune 12.07.2018, Rubéole immune 12.07.2016, VDRL négatif 12.07.2018, HIV négatif 12.07.2018, HBV négatif 11.01.2018, Boostrix effectué durant la grossesse Laboratoire 10.01.2019 : Hb à 110 g/L Avis cardiologique (Dr. X) : continuer Efient et Aspirine tant que l'Hb le permet Aux urgences : Pantozol 80 mg bolus i.v. Laboratoire 10.01.2019 : Hb 121 g/l, Leucocytes 5.5 G/l, Thrombocytes 195 G/l Hb post-partale : 123 g/l Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif 10.11.2019 Streptocoques du groupe B négatif 17.12.2018 Sérologies 2018 : Toxo non-immune, CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, TPHA négatif, HBS, Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif. Laboratoire 11.01.2019 : CRP 7, Lc 5.4, Consilium téléphonique orthopédie 11.01.2019 Dr. X : retrait des points immédiat, antibiothérapie par Augmentin, contrôle clinique orthopédie HFR 14.01.2019 à 10h45 Patient mis sous Clindamycine 600 mg IV puis 300 mg x 3/j oral et non pas Augmentin au vu d'un antécédent d'œdème de Quincke sous Pénicilline Consilium orthopédie HFR 14.01.2019 à 10h45 : probable granulome superficiel, poursuite antibiothérapie, réfection de pansement après désinfection avec Bétadine, prochain RDV clinique 16.01.2019 HFR Meyriez Dr. X Laboratoire 17.01.2019 : ASAT 401 U/L, ALAT 267 U/L, LDH 511 U/L, PA 94 U/L, GGT 189 U/L, bilirubine totale 64.8 umol/L, bilirubine directe 35.9 umol/L, thrombocytes 136 G/L, TP 36%, PTT 52 sec, INR 1.8 Attitude : • suivi clinique • antalgie • Prednisone 40 mg PO 1x/j à la sortie (avis Dr. X) • rendez-vous pour discussion des résultats chez Dr. X Laboratoire 19.01 : Leucocytes 11.1 G/l ; Thrombocytes 217 G/l ; Hémoglobine : 118 g/l Hb post-partale : 100 g/l Groupe sanguin AB Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 19.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif 07.01.2019; Sérologies : Toxo non-immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS, Vaccinée ; HCV négatif, HIV négatif ; Varicelle positif Laboratoire : 2.7 mmol/litre. 30 mmol per os aux urgences. Laboratoire 29.01 : FSS et CRP normaux. Laboratoire 29.01.2019 : CRP à 33 mg/l, Leucocytose à 13 G/L Status urinaire 29.01.2019 : Négatif Laboratoire ActimPartus Frottis bactériologique et streptocoques du groupe B Urotube Echographie trans-vaginale et abdominale Hospitalisation pour surveillance CTG 4x/j Cure de maturation pulmonaire les 18.01.19 et 19.01.19 Tocolyse par Adalat Laboratoire Adaptation des médicaments Hydratation intraveineuse Laboratoire Adaptation Euthyrox à 100 µg le 19.12.2018 Contrôle TSH à 3 mois Laboratoire. Alcoolémie 1.74 pour mille. Consilium pédopsychiatrique (Dr. X) : pas d'indication à une hospitalisation. Organiser la suite de la prise en charge en ambulatoire. Le piquet du SEJ (Mme. Y) est avertie car le SEJ a l'autorité parentale. Mme. Y va transmettre à Mr. Y de contacter le CPP lundi pour un rendez-vous rapide avec un collègue germanophone. Les parents vont également appeler le CPP lundi. Atarax 50 mg pour une insomnie. Laboratoire Alpha-1-antitrypsine : 1,27 ng/l Alpha-Foetoprotéine : 3 ng/ml Sérologie HBV/HCV/HIV : négatives Imagerie CT abdominal du 04.12.2018 : Par rapport au comparatif du 29.11.2018, on retrouve un foie de configuration cirrhotique et l'on constate une petite augmentation de l'ascite, mais une diminution des signes d'iléus grêle et la persistance d'une anasarque et d'atélectasie aux bases pulmonaires associées à un petit épanchement pleural, pouvant être potentiellement surinfectés, à confronter avec la clinique. US abdominal le 18.12.2018 : importante quantité d'ascite US abdominal le 04.01.2019 : Perméabilité préservée de la veine porte. Ascite diffuse dans les quatre quadrants. CT abdominal le 08.01.2019 : Absence de signe en faveur d'un iléus à l'examen actuel. On retrouve une ascite importante et des épanchements pleuraux bilatéraux avec atélectasies associées dans le cadre d'une décompensation cirrhotique connue. Geste Ponction d'ascite sous US à Riaz le 18.12.2018 : • 1.250 Litres, substitution albumine 20 g • analyse liquide : 33 neutrophiles/mm3, cultures négatives à 2 jours Ponction ascite le 25.12.2018 • 5,4 Litres, substitution albumine 40 g • analyse liquide : 74 neutrophiles/mm3, culture ascite négative Ponction ascite le 09.01.2019 • 8 Litres d'ascite, substitution albumine 60 g • analyse liquide : 182 neutrophiles/mm3, cultures ascite : négatives Ponction ascite le 20.01.2019 • 10.2 Litres d'ascite, substitution albumine 60 g • analyse liquide : 23,64 polynucléaires/mm3, cultures ascite : négatives Traitements • Soldactol du 22.12.2018-14.01.2019, reprise aldactone dès le 14.01.2019 • Lasix dès le 27.12.2018 Attitude : • suivi du poids et de la volémie, périmètre abdominal • limitation apport en sel • rediscuter pleurix si ascite ingérable Laboratoire. Analyse urinaire : compatible avec une infection urinaire. Ordonnance de Monuril donnée en réserve à la patiente si symptômes urinaires. Laboratoire Analyses urinaires Laboratoire Analyses urinaires ECG Laboratoire Analyses urinaires Avis urologique (Dr. X/Dr. X) : ad Uro CT --> pas de dilatation des voies urinaires ou de calcul le long des uretères ou dans la vessie ; calcul de 6x4 mm dans le groupe caliciel inférieur du rein gauche et un calcul de 4x4 mm dans le groupe caliciel supérieur du rein droit. Retour à domicile avec antalgie en réserve et rendez-vous en ambulatoire chez Dr. X ; reconsulte si douleurs non gérables à domicile, fièvre, frissons. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire • Analyses urinaires • ECG • Radiographie de thorax Laboratoire • Analyses urinaires • ECG • Radiographie de thorax • Augmentation Torasémide à 15 mg 1x/j • Hospitalisation en médecine interne • Suivi poids, créatinine, élytes quotidiennement • Avis cardiologue Laboratoire • Analyses urinaires • ECG • Radiographie de thorax • Scanner thoracique Laboratoire • Analyses urinaires • ECG • Radiographie thorax, bassin, épaule droite • Scanner cérébral Laboratoire • Analyses urinaires • ECG • Scanner abdominal • Avis chirurgie (Dr. X) • Hospitalisation en chirurgie avec prise au bloc opératoire pour laparotomie exploratrice • Avis Tazobac 4.5 g 3x/j, hydratation NaCl 1500 ml par 24h • Pose du SNG aux urgences Laboratoire • Analyses urinaires • ECG • Scanner cérébral Laboratoire • Analyses urinaires • ECG • Scanner cérébral • Avis Dr. X (garde neurochirurgie) • Surveillance aux soins intensifs • Contrôle imagerie le 23.01.2019 • Rivotril 1 mg iv en réserve (risque d'épilepsie) • Aspirine cardio en suspens, à réévaluer dans les 48h Désinfection, anesthésie locale, suture par 3 points simples Dermalon 4-0, ablation des fils à J5 Laboratoire • Analyses urinaires • ECG • Scanner protocole aorte Laboratoire • Analyses urinaires • Echo abdominale ciblée. Laboratoire • Analyses urinaires • Echo abdominale ciblée (Dr. X/Dr. X) : pas de dilatation pyélocalicielle. • Urotube en cours. • Rocéphine 2 g iv aux urgences, poursuite par Ciproxine 500 mg 2x/jour pour 7 jours. Laboratoire • Analyses urinaires • Gazométrie artérielle • ECG • Radiographie de thorax • Culture d'expectoration en cours • Antigènes pneumocoques + légionelles à pister • Avis Rocéphine 2g iv + Klacid 500 mg 2x/j par voie orale • Hydratation NaCl 1500 ml par 24h iv • Aérosols de Ventolin et Atrovent en réserve • Hospitalisation en médecine interne à Meyriez • Physiothérapie respiratoire • Oxygénothérapie Laboratoire • Analyses urinaires • Mise à jeun et surveillance • Hospitalisation en gynécologique Laboratoire • Analyses urinaires • Poursuite Ciproxine 500 mg 2x/j • Suivi biologique (CRP) +/- renouveler imagerie Laboratoire • Analyses urinaires • Spot urinaire • Hydratation iv • Sondage urinaire aux urgences Laboratoire • Analyses urinaires • Uricult. • Nitrofurantoïne. • Les résultats de l'Urotube seront transmis à la patiente par téléphone dans 3 jours. Laboratoire • Analyses urinaires • Urotube en cours • Avis Rocéphine 2g iv 1x/j • Changement de la sonde à 72h Laboratoire • Analyses urinaires • US abdominal Laboratoire • Analyses urinaires • US abdominal • Uro-CT Laboratoire • Angio CT Thoraco Abdomino pelvien le 21.01.2019 • Biopsie sous CT de la masse costale le 21.01.2019 • IRM cérébrale du 22.01.2019 Rendez-vous radio-oncologie le 23.01.2019 Rendez-vous en oncologie le 30.01.2019 Laboratoire Angio CT Thoraco Abomin pelvien = Multiple lésions d'allure métastatique avec 3 lésions hépatiques, 1 lésion lobe supérieur gauche, une adénopathie axillaire gauche, une lésion 2ème côte gauche. Avis Radiologue = Possibilité d'une biopsie de la lésion costale gauche en vue du diagnostic histopathologique. CAT : • Hospitalisation médecine pour étiologie néoplasie • Biopsie sous CT (fait par consilium) Laboratoire • Antalgie. • Hydratation, caféine et repos. • Avis anesthésiste : pas de blood patch systématique. • Rendez-vous de suivi au secteur ambulatoire des urgences au 24.01.2019 (et en cas de mauvaise évolution, évaluation de blood patch). Laboratoire • Antigènes urinaires, hémocultures. • RX thorax. • ECG. • Aérosols Atrovent / Ventolin. • Antibiothérapie par Rocéphine 2 g - 1 x/jour du 28.12.2018 au 03.01.2019 et Klacid 500 mg - 2 x/jour du 28.12.2018 au 30.12.2018. • Physiothérapie respiratoire. Laboratoire • Anuscopie. Attitude : • Retour à domicile avec préparation magistrale Nifédipine 0.2% crème 3x/j. • Suite de la prise en charge chez le médecin traitant. • Nous recommandons au médecin traitant d'organiser une coloscopie. Laboratoire ATT : • Suivi clinique • Majorer diurétique selon évolution de l'infection Laboratoire Att : • Retour à Marsens avec poursuite du sevrage. Laboratoire Attitude : • Colonoscopie et gastroscopie demandées • Pister bilan vitaminique et FSS demain Laboratoire Attitude : • Groupage Laboratoire Attitude : • Poursuite traitement habituel. Laboratoire Attitude : • Suivi biologique Laboratoire Attitude : • Suivi biologique Laboratoire Attitude : • Surveillance clinique Laboratoire Attitude : • Traitement symptomatique. • Contrôle en clinique et biologique en filière à 48h. • Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Laboratoire Aux urgences : • Buscopan 20mg IV • Morphine 5mg IV • Paracétamol 1g • Voltarène 75mg IV Consilium gynécologique Attitude : • Antalgie • Transfert en gynécologie pour suite de la prise en charge Laboratoire Aux urgences : • Konakion 10mg Attitude : • Konakion 10mg IV 3x/j • Contrôle biologique demain matin Laboratoire Aux urgences : • Nitroderm patch 20 mg/24h. • Adalat retard 20 mg. • Trandate 10 mg IV. • Lisinopril 20 mg. Attitude : • Réassurance. • Antalgie pour les névralgies. • Surveillance aux urgences durant la nuit (femme hospitalisée le même soir). • Introduction d'un traitement par Adalat 20 mg le matin avec réserve. • Réévaluation par le médecin de famille. Laboratoire Aux urgences : • Pantozole 80mg IV puis 8 mg/h Attitude : • Surveillance clinique et biologique • Mise en suspend Sintrom, Aspirine et Effient • Demande gastroscopie faite, à réévaluer en fonction de l'évolution Laboratoire Aux urgences : • Petit lavement avec bon résultat symptomatique Attitude : • Movicol et Laxobéron • Hydratation +++ • Mobilisation +++ Laboratoire Aux urgences : • Substitution 4g Magnésium iv sur 4h • Hydratation aux urgences. Attitude : • Suivi biologique avec substitution si nécessaire • Spot urinaire Laboratoire Aux urgences : • 2 concentrés plaquettaires • Contrôle biologique à H1 : Tc 25 • Patient informé de reconsulter en cas de récidive de la symptomatologie. • Contrôle en oncologie le 25.01.2019. Laboratoire Aux urgences : NaCl 0.9% 500 ml iv. Retour à domicile avec Primpéran en réserve. Recommandations de reconsulter en cas de signe de gravité. Laboratoire Aux urgences • Résonium 15g Attitude : • Suivi biologique Laboratoire Aux urgences : Analgésie multimodale efficace. Au vu de l'amélioration clinique, retour à domicile avec traitement habituel. Proposition de faire un carnet des migraines pour évaluation de la nécessité d'un traitement de fond. Laboratoire Avis angiologique (Dr. X) Angio-CT abdominal et membres inférieurs le 23.01.2019 Hospitalisation en médecine interne pour surveillance Laboratoire Avis chirurgical (Dr. X) : opération au bloc opératoire Attitude : • Incision d'abcès au bloc opératoire Laboratoire Avis chirurgical (Dr. X) : pas d'indication opératoire malgré discrète augmentation de la bilirubine totale uniquement. Tests hépatiques en amélioration. Retour à domicile avec antalgie simple. La patiente est informée de reconsulter en cas de présence de douleurs et si état fébrile. Laboratoire Avis neurologique (Dr. X) : prise en charge ambulatoire avec traitement symptomatique par AINS et IRM cérébrale en ambulatoire +/- consultation neurologique post IRM. Retour à domicile. Réassurance. Antalgie et AINS. IRM en ambulatoire. Réévaluation avec médecin traitant pour suite de prise en charge d'une migraine avec aura. Laboratoire Avis neurologique (Dr. X, Dr. X) : probable migraine, IRM en ambulatoire à organiser. Sérologie HIV et HCV en cours, les résultats seront communiqués au médecin traitant.IRM en ambulatoire, le patient sera convoqué. Laboratoire. Avis ophtalmologique : poursuivre antibiothérapie, contrôle clinique ophtalmologique le 21.01.2019 à 15h. Laboratoire. Avis ophtalmologique (garde) : décollement corps vitré avec hémorragie (9h), pas d'indication à effectuer un CT scan car clinique expliquée par l'atteinte décrite. Contrôle clinique dans 4-6 semaines. Reconsulter en urgence si myodésopsies ou douleurs. Réassurance, explication des risques, retour à domicile. Laboratoire. Avis ortho (Dr. X) : Probe to bone non conclusif. Absence collection. Probablement mal plantaire chronique, actuel sec et en diminution selon patient. Ad traitement antibiothique et IRM à la recherche ostéomyélite. Podologue. Laboratoire. Avis orthopédie (Dr. X) : ad exploration plaie au bloc opératoire • att Co-amoxicilline 2.2g iv ad hospitalisation orthopédie. Laboratoire. Avis orthopédique (Dr. X) : indication opératoire retenue US main : inflammation des tissus sous-cutanés du 3ème doigt sans atteinte des autres doigts, espacement de la gaine des fléchisseurs jusqu'au poignet avec liquide libre, pas de collection • att Prise au bloc opératoire le 14.01.2019 Chambre prise à Taffers pour suite d'hospitalisation. Laboratoire. Avis orthopédique (Dr. X, Dr. X). Interventions aux urgences (Dr. X) : anesthésie locale, désinfection, champs stériles. Rinçage avec NaCl. Suture à points simples Traitement aux urgences : • 2.2 g Co-Amoxi i.v. Propositions : • Plaie provisoirement fermée • Antibiothérapie • Débridement et exploration prévu en bloc opératoire ce jour • Hospitalisation en orthopédie. Suite selon orthopédistes. Laboratoire. Avis psychiatrique. Laboratoire. Avis psychiatrique (garde) : Laboratoire. Avis psychiatrique (psy de garde). Transfert à Marsens pour hospitalisation. Laboratoire. beta HCG urinaire négatif. Avis chirurgie. US, puis CT abdominal. Antalgie, laxatifs, conseils d'usage. Au vu de l'importance des douleurs et inquiétude de la patiente, contrôle clinique à 48h. Recommandation de reconsulter en cas de signes de gravité. Laboratoire. Bilan otoneurologique le 31.12.2018 matin avec audiogramme vocal et tonal. IRM cérébral le 31.12.2018. CT cérébral injecté avec vaisseaux pré-cérébraux le 29.12.18 : pas de signe d'AVC, vaisseaux cérébraux et pré-cérébraux perméables, pas de signe d'ischémie, pas de masse, pas d'argument pour un AVC. Petit neurinome ne peut pas être exclu avec le CT. • Avis neurologue Dr. X le 29.12.2019 : La présentation clinique parle plutôt pour un vertige d'origine périphérique vestibulaire gauche (Halmagi positif à droite). Le symptôme de diminution de l'acuité est le seul symptôme non compatible avec une cause périphérique. Demander un avis ORL et faire un CT cérébral injecté. • Avis ORL Dr. X aux urgences le 28.12.18 : pas de tableau typique pour un vertige périphérique. Les céphalées ne collent pas avec des vertiges d'origine périphérique. Il n'y a pas de déviation axiale. Il ne s'agit pas d'un tableau typique d'une névrite vestibulaire. • Avis ORL (Dr. X) le 29.12.2018 : aucune déviation axiale, nystagmus rotatoire, bilan avec audiogramme, physio, corticoïde : solumédrol 125mg 1x/j jusqu'au 1.01.2019 puis 1mg/kg jusqu'au 6.01.2019 + protection gastrique, tanganil 500mg IV 2x/j si vertige empêche la mobilisation. • Avis ORL (Dr. X) 31.12.2018 : déficit cochléovestibulaire droit périphérique sévère confirmé, poursuite solumédrol, réévaluation le 1.1.2019. • Avis ORL (Dr. X) 04.01.2019 : cophose persistante à droite avec nystagmus spontané persistant. Poursuite de la prise en charge ambulatoire en ORL le 10.01.2019 à 13h45 pour proposer un audiogramme et des injections transtympaniques de solucortef et acide hyaluronique. Physiothérapie de mobilisation. Tanganil 500 mg i.v. 2x/j dès le 30.12.2018. Suivi ORL clinique et biologique. Laboratoire. Bilan urinaire à demander. Attitude : • hydratation parentérale avec NaCl. Laboratoire. Bilan vitaminique à discuter. Laboratoire. Bilan vitaminique à discuter. Bilan Physio + Ergo. Laboratoire. Bilan vitaminique. Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 17.12.2018 au 31.12.2018, avec : • Physiothérapie • Ergothérapie • Nutrition • Tests de la cognition du 16.12.2018 : MMSE à 22/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 2/15 • Bilan neuropsychologique le 27.12.2018. Laboratoire. Bladder scan 400 ml puis 12 ml en fin de séjour. Laboratoire. Clexane proscrite. Laboratoire. Coloscopie en électif le 20.12.2018, Dr. X. Laboratoire. Conseils d'usage. Antalgie simple, Pérentérol. Laboratoire. Consilium chirurgie. Attitude : • Hospitalisation pour surveillance clinique et biologique. • Contrôle biologique au matin. Laboratoire. Consilium psychiatrique le 15.01.2019 (Dr. X). Taux de Sertraline le 18.01.2019 : dans la norme. Augmentation Rispéridone le 19.01.2019. Réadaptation pulmonaire à Billens en attente (reclassement le 21.01.2019). Laboratoire. Continuer l'antibiotique jusqu'au 10.01.2019 inclus. Continuer explorations urologiques et gynécologiques. Fin de prise en charge au secteur ambulatoire des urgences. Laboratoire. Contrôle chez le médecin traitant dans 1 mois. Laboratoire. Coproculture : en cours. Laboratoire. CT Abdominal = Aspect de sub-ileus avec dilatation des anses intestinales dans réel saut de calibre. Petite lame épanchement parieto-colique droite et pelvis. Avis Chirurgien = Dr. X = Hospitalisation en chirurgie pour surveillance clinico-biologique et radiologique. A jeun strict. CAT : • Transfert chirurgie. Laboratoire. CT abdominal le 27.01.2019. Voltaren 75 mg iv aux urgences. Avis Dr. X, urologue. Urétéroscopie avec lithotripsie. Laboratoire. CT abdominal (transmission orale Dr. X) : Diverticulite perforée couverte 2B. Hernie inguinale bilatérale, avec herniation à droite du grêle, sans signe de souffrance, et à gauche d'un diverticule. Consilium chirurgie. Aux urgences : • Rocéphine 2g et Flagyl 500mg • 500ml NaCl. Attitude : • Hospitalisation en chirurgie. • Poursuite antibiothérapie. • Antalgie simple. • A jeun. • Piste laboratoire demain matin. • Colonoscopie à prévoir. Laboratoire. CT abdominal (transmission orale Dr. X). Consilium chirurgical (Dr. X). Attitude : • Traitement symptomatique. • Contrôle en filière à 48h. • Le patient prendra également contact chez son gastro-entérologue traitant. • Critères de reconsultation expliqués au patient. Laboratoire. CT cérébral : pas de fracture du massif facial. Retour à domicile avec antalgie et information traumatisme crânien. Rendez-vous en filière 34 pour constat de coup à 48h le 07.01.19. Laboratoire. CT cérébral injecté le 31.12.2018 : pas de récidive tumorale, pas de masse ni saignement (comparatifs faits au CHUV). Avis neurologique le 31.12.2018 (Dr. X) : pas d'indication à un traitement d'emblée, compléter le bilan par une IRM à la recherche d'une récidive. Si récidive de crise, ad Valproate 500 mg 2x/j. IRM cérébrale le 31.12.2018 : large plage de gliose séquellaire frontale droite sans prise de contraste suspecte notable à ce niveau. Pas de lésion ischémique récente. EEG le 02.01.2019 : tracé avec rythme de fond alpha, plus ample à droite, bouffées de ralentissement thêta, voire delta antérieures diffusant en postérieur, plus marquées à droite, mêlées par moments à des éléments plus rapides, prenant un caractère pseudo-rythmique, voire rythmique, faisant suspecter des crises électriques d'origine lésionnelle (provisoire).Avis neurologique le 02.01.2019 (Dr. X) : sur la base de l'EEG, dans le contexte de crises cliniquement objectivées précédemment et en présence d'une lésion frontale droite (séquelle opératoire), traitement par Depakine 500 mg 2x/j. Contre-indication à la conduite automobile sur le plan épileptologique et probablement cognitif. Réévaluer les deux aspects à distance avant de se prononcer sur la capacité à la conduite automobile. Introduction de Valproate 500 mg 2x/j dès le 02.01.2019. Laboratoire. CT cérébral. Surveillance neurologique de 24h. Laboratoire CT cervico-thoraco-abdominal le 28.12.2018. OGD le 04.01.2019. Laboratoire CT scan Abdominale. Avis Chirurgie (garde) : Ad 2g Rocephine, Hosp, à jeun, pose double J demain. Aux URG : 2g Rocephine IV. Laboratoire CT scan (Dr. X) : Absence arguments pour EP ou dissection aortique. US cardiaque (Dr.sse X) : FEVG 65%, absence hypokinésie franche, Insuffisance mitrale minime 1/6. Suivi troponines. Laboratoire CT scan : pister rapport radiologie défini. Prévoir electrophorèse + immunofix selon résultats scanner + marqueurs tumoraux. Laboratoire CTG. US abdominal. Avis neurologue de garde. CT cérébral non injecté. Thromboprophylaxie par clexane 40mg 1/j. Laboratoire. Culture de selles. PCR multiplex selles. Hydratation par NaCl 1000 ml. Antibiothérapie par Azithromycine du 03 au 06.01.2019. Laboratoire. C3/C4 : à pister. Dosage tryptase : à pister. Aux urgences : Solumedrol 0.125 mg + Tavegyl 2 mg IV. Cétirizine, Aerius, Prednisone pour 5 mg. Bilan allergologie dans 4-6 semaines. Éviction allergène supposé : gingembre, agrumes. Critères de reconsultation expliqués au patient. Laboratoire. Désinfection, rinçage abondant, exploration de la plaie qui ne montre pas d'atteinte des structures nobles. Suture par 7 points simples. Attitude : • Surveillance aux urgences + surveillance traumatisme crânien au domicile. • Contrôle clinique de plaie en filière 34 dans 48h. • Ablation des fils à 10 jours. Laboratoire. Discuté avec Dr. X, psychiatre de garde : en l'absence de facteurs de risque, retour à domicile avec numéro du tri pour organiser prise en charge, en ambulatoire ou milieu hospitalier ; pas d'Anxiolit en réserve ; à noter que la patiente désire d'abord contacter sa psychologue Mme. Y avant d'appeler le numéro donné ; s'engage à la contacter le 13.01.19. À noter que la patiente ne désire pas que son médecin traitant soit informé de la consultation. Laboratoire Discuter ETT vs avis cardiochir. Laboratoire Discuter investigations. Laboratoire. Dosage tryptase : à pister. 125 mg de Solumedrol IV, 4 mg de Tavegyl et 0.4 mg d'Adrénaline en aérosol aux urgences. Courte hospitalisation aux urgences. Prednisone 40 mg et Tavegyl 1 mg durant 5 jours. Epipen Secours expliqué et ordonnance. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences à 5-7 jours pour un contrôle clinique et +/- biologique. Contrôle chez un allergologue dans 6 semaines. Laboratoire Duphalac : dose initiale 3x 30ml dès le 26.12.2018, diminution à 2x 30ml dès le 31.12.2018. US abdominale le 27.12.2018. Adaptation traitement diurétique. Suivi clinique. Laboratoire Duphalac : 40ml 3x/j, à continuer à domicile. Adaptation traitement diurétique. Suivi clinique. Laboratoire ECG. Laboratoire ECG. Laboratoire. ECG. Laboratoire. ECG. Laboratoire ECG : pas de sus- ou sous-décalage ST. Ambulance : 250 mg aspirine cardio. Urgences : capsule de nitroglycérine, titrage de morphine. Echographie de débrouillage (Dr. X) : masse. CT aorte abdominale : globe vésical, pas de rupture aortique. Attitude : • Hospitalisation pour surveillance clinique. • À demander avis cardiologique. Laboratoire. ECG : rythme régulier et sinusal, axe normal, pas de trouble de la conduction, pas de signe d'hypertrophie auriculaire ou ventriculaire, pas de trouble de la conduction en faveur d'une ischémie. RX abdominale couchée sans préparation : coprostase diffuse prédominant au niveau du côlon ascendant et du caecum. Quelques phlébolithes pelviens. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis lombaire (Dr. X). Laboratoire. ECG : rythme sinusal régulier à 101/min, PR 148 ms, QRS fins à 76 ms, d'axe -1°, transition de l'onde R en V3, ST isoéléctrique, QTc 428 ms. Laboratoire. ECG : rythme sinusal régulier à 64/min, PR 148 ms, QRS fins à 74 ms, QRS d'axe 58°, transition de l'onde R en V3, ST iso-éléctrique, QTc 400 ms. RX de thorax : silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural (Dr. X). Laboratoire ECG : rythme sinusal régulier à 82/min, QRS gauche, pas de surélévation ou sous-décalage ST significatif. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Dans l'ambulance : 3x Labétalol. Aux urgences : 20 mg Adalat p.o., Deponit 10 mg/24h. Retour à domicile avec surveillance documentation des tensions artérielles. Adalat retard en réserve. Adaptation du traitement anti-hypertenseur par le médecin traitant. Laboratoire. ECG : rythme sinusal régulier, normoaxé, QRS fin, pas de trouble de la repolarisation. CT crânien natif (transmission orale Dr. X) : pas de lésion traumatique. Aux urgences : • Rappel tétanos. • Désinfection, anesthésie locale par de la Rapidocaïne. Exploration de la plaie qui ne montre pas d'atteinte des structures nobles. Rinçage abondant au NaCl, suture par 3 points de Dermalon 3-0. Attitude : • Consigne de surveillance neurologique. • Ablation des fils à 12 jours. • Le patient sera convoqué pour un Holter en ambulatoire. Laboratoire. ECG : rythme sinusal régulier, normocarde, normoaxé, QRS fin, pas de trouble de la repolarisation. Radiographie thorax face/profil : petit émoussement du recessus costo-diaphragmatique à droite. Aux urgences : • Co-Amoxicilline 2.2g IV. • Hydratation 500ml IV. Attitude : • Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1g 3x/j pour 5 jours. • Traitement symptomatique. • Critères de reconsultation expliqués au patient. • Suite chez le médecin traitant. Laboratoire. ECG : rythme sinusal régulier sans trouble de la conduction, sans trouble de la repolarisation, QT normal. Discussion avec le père de la patiente et la patiente : au vu du risque très faible psychiatrique devant l'absence d'étiologie suicidaire, la patiente sera revue par son pédopsychiatre le 08.01.2019 au matin. Réassurance. Retour à domicile. Laboratoire ECG = sinusal régulier sans trouble de la conduction, sans trouble de la repolarisation, sans bloc de bloc de branche, sans HVG. CT cérébral avec injection = masses intracérébrales X4 type méningiome avec zone hypodense avec effet de masse au niveau de la zone semi-ovale. Avis Neurochirurgien Berne = Transfert sur Berne pour investigation complémentaire avec IRM cérébrale durant l'hospitalisation. Discussion avec la patiente et son mari par rapport à la découverte de masses intracrâniennes nécessitant une investigation complémentaire à Berne. Attitude : • Transfert à Berne. • Arrêt XARELTO. Laboratoire ECG. Antalgie simple à domicile. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire ECG. Aspiration sur cathéter pleural. Antalgie par patch de Fentanyl, relais iv. Temesta iv. pour agitation. Patchs de scopolamine le 02.01.2019. Soins de confort. Laboratoire ECG : BAV 1, avec passage en BAV 2:1. Pause sinusal de quelques secondes. Laboratoire. ECG. Colonoscopie élective le 20.12.2018, Dr. X. Laboratoire ECG. CT cérébral injecté (transmission orale Dr. X) : status quo, sténose des aa vertébrales V4 ddc s'étendant au niveau du tronc basilaire, avec polygone de Willis bien perméable. Séquelle d'AVC au niveau du noyau caudé et du pont à gauche.Consilium Neurologique (Dr. X): Plutôt périphérique, ad consilium ORL, Betoserc, IRM au moindre doute, hospitalisation non monitorisée, maintenir Plavix uniquement. Attitude: • Hospitalisation en médecine • Traitement symptomatique • Consilium ORL demandé • IRM au moindre doute Laboratoire ECG CT cérébral natif = Pas d'hémorragie intracranienne, pas de lésion osseuse, pseudarthrose de la dent de C2 type II selon classification Andersson et Laurenson. CAT: • Transfert Hôpital TAVEL pour suite de prise en charge. • Contrôle radio pour pseudarthrose Laboratoire ECG: fibrillation auriculaire normocarde, pas de troubles de la repolarisation. CT Time is brain (Dr. X). Aspegic 500 mg aux urgences. Avis neurologique (Dr. X): pas d'indication à une lyse/thrombectomie, ad transfert aux soins intensifs. Attitude: • Transfert aux soins intensifs • Ad anti-agrégation plaquettaire • Surveillance et contrôle des FDRCV Laboratoire. ECG. Hospitalisation en mode volontaire à Marsens (discuté avec psychiatre de garde Dr. X); PAFA établi mais non envoyé. Laboratoire. ECG. Massage carotidien. Diltiazem 30 mg iv en bolus/2 min. Clexane 100 mg sc. Surveillance en lit d'observation. Cordarone 300 mg iv le 27.12.2018 puis 600 mg/jour per os jusqu'au 02.01.2019. Suivi électrocardiographique. Laboratoire ECG normal. Traitement d'épreuve par IPP. Laboratoire ECG: Pause sinusal, BAV 1er degré, avec passage en BAV 2:1. Consilium cardiologie (Dr. X): Pose de Pacemaker le 17.01.19 Consilium SICO (Dr. X). Attitude: • Suite aux SI avec pose de pacemaker le 17.09. Laboratoire ECG (postérieures et droites) Radiographie de thorax. Laboratoire ECG Radiographie coude gauche. Avis Orthopédiste = Nécessité d'une prise en charge chirurgicale. CAT: • Transfert orthopédie. Laboratoire. ECG. Retour à domicile, patient réassuré. Nous recommandons au médecin traitant d'introduire un traitement anti-hypertensif et d'investiguer les fréquences cardiovasculaires. Laboratoire ECG: RSR, BBD connu. Alcoolémie à 1.44. CT Time is Brain (transmission orale Dr. X): Pas d'hémorragie, pas d'AVC, carte de perfusion symétriques. Consilium neurologie (Dr. X): Possible AVC, réévaluation clinique et IRM au matin. Seresta en R et vitamines. Pas de charge. Hospitalisation au SIC. Attitude: • Hospitalisation au SIC • Réévaluation clinique et IRM au matin • Pister document de cardiologie. Laboratoire ECG: RSR, pas de. Rx thorax. Laboratoire ECG: RSR, QRS fin, pas de bloc de branche, pas de trouble de la repolarisation. Laboratoire ECG: Rythme sinusal régulier à 104/min, PR 180ms, QRS 100ms de morphologie normale, sans troubles de repolarisation avec QTc à 443ms. ASP: Iléus colique avec distension caecale. CT Natif Abdomen: Iléus colique avec pneumatose pariétale au niveau du caecum sans obstacle visualisé, évoquant jusqu'à preuve du contraire une ischémie mésentérique. Pas de pneumopéritoine. Intestin grêle non dilaté en faveur d'une valve iléo-caecale compétente. Laboratoire. ECG: rythme sinusal régulier sans trouble de la conduction, sans trouble de la repolarisation, QT long. TEMESTA 2.5 mg PO aux urgences. Avis psychiatrique téléphonique: transfert à Marsens pour suite de prise en charge. Laboratoire. ECG: rythme sinusal régulier sans trouble de la conduction sans trouble de la repolarisation sans bloc de branche. Radiographie thoracique: pas d'argument pour un syndrome alvéolo-interstitiel, pas de foyer infectieux. TEMESTA 2.5 mg per os. Attitude: • Retour à domicile. • TEMESTA 1 mg en réserve si angoisse. • Conseil de réévaluer avec médecin de famille si recrudescence des symptômes. Laboratoire ECG: rythme sinusal régulier sans troubles de la repolarisation. CT-scanner time is brain (Dr. X): discrète asymétrie dans le territoire de l'artère sylvienne droite, vaisseaux perméables. Avis neurologique (Dr. X): Aux urgences: • Aspegic 500 mg i.v • Charge en Plavix 300 mg Attitude: • Pas d'indication à une thrombolyse/thrombectomie, hospitalisation au SIC non régie monitorée • Prévoir IRM, échocardiographie et Holter • Introduire une statine. Laboratoire ECG: rythme sinusal régulier sans troubles de la repolarisation. Test de Schellong: négatif. Massage carotidien: négatif. Attitude: • Hospitalisation en médecine • Bilan cardiologique à prévoir. Laboratoire ECG: rythme sinusal régulier sans troubles de la repolarisation. Test de Schellong: négatif. Massage carotidien: négatif. ETT le 03.01.2019. Laboratoire ECG: rythme sinusal régulier, image de BBD incomplet. Avis psychiatrique (Dr. X): pas d'indication à une hospitalisation en psychiatrie, division de dose d'Haldol en 2 prises, fixation sur la nourriture. Attitude: • Hospitalisation à Meyriez pour la suite de la prise en charge. Laboratoire. ECG: rythme sinusal, 75 bpm, axe 0°, PR/QT/ST normaux, signes de dilatation gauche. Retour à domicile avec traitement hypotenseur et consigne modification hygiène de vie. Contrôle tension à 1 semaine chez un nouveau médecin traitant. Laboratoire. ECG: sinusal, irrégulier, tachycarde, bloc de branche gauche, extrasystoles ventriculaires monomorphes à répétition. Avis Cardio (Dr. X): absence d'hypokinésie segmentaire ou focale, Ad Mg PO 5 mmol pour 5 jours, contrôle chez cardiologue à Tafers dans 10 jours. Patient sera convoqué. Ringer 500 ml i.v. Une ampoule de magnésium en i.v. sur 30 minutes. 1 mg de Temesta en per os. Magnesiocard 5 mmol 1x/jour pour 5 jours. Laboratoire ECG: superposable au comparatif de 02/2018. Scanner protocole aorte: pas de dissection aortique, pas de fracture ni de métastases vertébrales, présence d'un calcul dans le cholédoque connu mais en augmentation avec dilatation du cholédoque et dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. Avis chirurgie. Avis gastro-entérologue (Dr. X). Hospitalisation en chirurgie. Ad Rocéphine 2g iv + Flagyl 500 mg iv 3x/j. À jeun dès minuit. ERCP le 08.01 ou le 09.01 ou selon évolution. Laboratoire ECG: T pointu en V3-V5. Traitement symptomatique. KCL 60mEq IV. Magnésium 2mg IV. Substitution potassium per os. Hospitalisation en médecine interne • Discussion de sevrage avec suivi psy. Laboratoire ECG. • Tienam en intraveineux 500 mg aux urgences + NaCl 1500 ml 0.9 %. Laboratoire ECG. Analyses urinaires. Radiographie de thorax, bassin et hanches. CT cérébral natif. CT bassin. Laboratoire. ECG. Angio CT cérébral + carte de perfusion = occlusion au niveau du stent de la sylvienne M1 avec ralentissement du flux au niveau de M2 M1. Effacement des sillons à gauche. Examen difficilement interprétable du fait de la présence de coils. Au total, accident vasculaire cérébral ischémique sylvien gauche. Avis Neurologue = Dr. X = AVC aigu nécessitant un transfert vers Stroke Center. Pas d'indication à la lyse devant heure du début des symptômes. Avis neurologue CHUV = ok pour transfert vers Stroke Center. CAT: • Transfert CHUV par REGA. Laboratoire ECG. Attitude: réassurance. Traitement spasmolytique et antalgique. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Suite chez le médecin traitant. Laboratoire ECG. Aux urgences: • Aspirine 500mg IV • Effient 60mg • Héparine 5000UI • Hydratation 500ml Attitude: • Suite en coronographie. Laboratoire. ECG. Aux urgences: • Paracétamol 1g IV • Morphine 11 mg IV • Pantoprazol 40 mg • Buscopan 20 mg IV • Motilium 10 mg IV. Attitude: • Traitement symptomatique • Contrôle clinique en filière à 48h. Laboratoire ECG. Avis Cardio (Dr. X): pas indication ETT en urgence, ad hospitalisation pour surveillance rythmique. Aux urgences: Début Isoprénaline 2 mcg/L IV en continu.Laboratoire ECG Avis Cardio (Dr. X): ETT aux URG, Introduction Dilzem 90 mg 2x/j, stop Coversum, contrôle chez MT pour adaptation médicamenteuse. Aux URG: • Maneuvre vagales • 18 mg Adenosine IV • Dilzem 37.5 mg IV • 1 mg Temesta Laboratoire. ECG. Avis neurochirurgie (CHUV). Trandate 10 mg IV, Lit 30°, K 40 mEq IV sur 12h avec NaCl 0.9 % 2015 ml. Ad transfert REGA aux CHUV pour suite de PEC. CAVE. Mme. Y témoin de Jéhovah, pas de transfusion. Laboratoire ECG Avis psychiatrique (Dr. X): Ad Temesta avant les repas pour lever la sensation d'obstruction dans la gorge. Poursuite Trittico et Xanax. Réévaluation au décours si changement pour Remeron. Nouvel avis psychiatrique selon lui inutile pour l'instant. Suivi nutritionnel avec prévention d'un syndrome de renutrition Hospitalisation en milieu psychiatrique à la Clinique La Métairie à Nyon une fois la phase somatique résolue (entrée prévue le 28.01.2019) Laboratoire ECG Consilium oncologie (Dr. X) Hospitalisation en gériatrie aiguë à Riaz Physiothérapie Suivi nutritionnel Traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 11.12.2018 au 24.12.2018, avec : • Physiothérapie • Ergothérapie • Nutrition • Tests de la cognition du 12.12.2018 : MMSE à 26/30, test de la montre à 4/7 ; GDS à 9/15 Laboratoire ECG Consilium oncologie (Dr. X) Hospitalisation en gériatrie aiguë HFR Riaz Physiothérapie Suivi nutritionnel Traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 11.12.2018 au 24.12.2018 (séjour n°1), avec : • Physiothérapie • Ergothérapie • Nutrition • Tests de la cognition du 12.12.2018 : MMSE à 26/30, test de la montre à 4/7 ; GDS à 9/15 Laboratoire ECG Consilium oncologie (Dr. X) Physiothérapie Suivi nutritionnel Traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 11.12.2018 au 24.12.2018 (lettre n°1), avec : • Physiothérapie • Ergothérapie • Nutrition • Tests de la cognition du 12.12.2018 : MMSE à 26/30, test de la montre à 4/7 ; GDS à 9/15 Laboratoire ECG Consilium radiologie (Dr. X) Aux urgences: • Trandate 30 mg • Morphine Attitude: • Hospitalisation aux SI pour surveillance tensionnelle (cibles <140 de TAS) • Discussion du cas au colloque de chirurgie ce jour Laboratoire. ECG. CT cérébral injecté: Hémorragie intraparenchymateuse de 6.5x5.5x4.5 cm, avec effet de masse, et composante d'hémorragie ventriculaire. Début d'engagement sous-falcoriel. Aux urgences: • Rivotril 1 mg • Trandate 60 mg • Keppra 1500 mg • Dormicum 2 mg • Acide tranexamique 1 g • Primpéran 10 mg. • Intubation orotrachéale en séquence rapide. Consilium neurochirurgie (Bern, Dr. X): ad transfert. Attitude: • Transfert médialisé à l'Inselspital. Laboratoire. ECG. CT cérébral injecté (transmission orale, Dr. X): sténose à 75% au départ de l'artère vertébrale droite (artère dominante), pas d'occlusion des vaisseaux intra-cérébraux, pas de lésions ischémiques visualisées. Manoeuvre de Dick et Hallpike: symptomatique, pas de nystagmus visualisé. Avis neurologique (Dr. X). Retour à domicile avec consultation en ORL, consilium fait. IRM cérébrale avec vaisseaux pré-cérébraux et Doppler et des vaisseaux pré-cérébraux demandés. Recommandation de reconsulter en cas de signes de gravité. Laboratoire ECG CT scan Affidéa 07.01.2019; rapport Avis ortho selon souhaite du patient, actuellement refuse prise en charge chirurgicale. Souhaite soins de confort globaux. Antalgie Laboratoire ECG CT scan cérébral (Dr. X): absence de saignements nouveaux Avis neurologique: Ad Aspirine 250 mg IV + hospitalisation stroke unit monitorisée. Ad surveillance neuro aux 2h aux URG + Aspirine 250 mg Réévaluation par neurologues par la suite Avis neuro (Dr. X/Dr. X): Vertiges probablement périphériques. Pas d'origine centrale. Demander avis ORL. Test de Schellong négatif Avis ORL: • Pas d'argument pour un VPPB ou déficit vestibulaire aigu. Léger nystagmus gauche. • Mme. Y sera convoquée pour un VHIT en ambulatoire. Laboratoire ECG CT scan cérébral (Dr. X): absence d'hémorragie intracrânienne ou fractures Laboratoire. ECG. CT scan en ambulatoire le 08.01.2019 Avis Chirurgie (Dr. X/Dr. X): au vu de l'absence d'état fébrile et de douleur, et d'un bon état général, un bilan en ambulatoire est organisé. Suivi en ambulatoire, reconsulter si douleurs/nouveaux symptômes. Examens effectués expliqués au patient par le médecin traitant. Laboratoire ECG CT scan natif cérébral (Dr. X): absence de saignements Laboratoire ECG CT time is brain: pas de saignement intracranien, pas d'asymétrie aux cartes de perfusion. Avis neurologique (Dr. X): pas d'indication pour lyse. Hospitalisation en stroke unit monitorisée avec protocole AVC (tête < 30°, cible TAS < 210 mmHg) Aspégic 500 mg IV aux urgences Investigations cardiaques à réaliser durant l'hospitalisation Recherche des facteurs de risques cardiovasculaires IRM cérébrale à organiser Laboratoire. ECG. CT-thoracique: pas d'embolie pulmonaire visualisée. Avis angiologique: US Doppler membre inférieur: pas de thrombose. Retour à domicile avec réassurance. Mme. Y est instruite de reconsulter si nouvelle symptomatologie. Laboratoire. ECG. Diminution de la tension artérielle à 120/80 mmHg. Relaxation du patient après Temesta 1 mg sous linguale. Recommandation de consulter un psychologue ou psychiatre pour traitement de fond contre l'anxiété refusé par le patient. Prescription de Temesta en réserve. Suite de prise en charge avec le médecin traitant avec évaluation d'un traitement de fond. Laboratoire ECG ETT Avis Cardio (Dr. X): monitoring jusqu'à stabilisation ECG/Trop, AINS office, ETT, avis infectiologique Ad Hosp aux SI pour surveillance et investigations. Laboratoire ECG Gazométrie artérielle Radiographie de thorax Laboratoire ECG Gazométrie artérielle Radiographie de thorax Ad Adénosine 6 mg IV 2x aux urgences permettant de mettre en évidence des ondes de flutter Ad Dilzem 15 mg IV aux urgences avec normocardisation Laboratoire ECG Gazométrie CT abdominal injecté: pas d'ischémie mésentérique, mais colite et ascite Aux urgences: • Morphine • Hydratation IV Consilium chirurgical (Dr. X) Attitude: • Poursuite TazoBac • Ponction ascite Laboratoire ECG Gazométrie Rx du thorax CT thoracique injecté (transmission orale, Dr. X): embolies pulmonaires multiples centrales droite et segmentaires à droite et à gauche avec possible début d'infarctus pulmonaire inférieur droit Echocardiographie transthoracique (Dr. X): pas de surcharge cardiaque droite, bonne contractilité Avis SI: pas de critères d'hospitalisation en SI Aux urgences: Liquémine 5000 UI i.v. bolus Attitude: • Liquémine i.v. continu: 24 000 UI/24h avec contrôle laboratoire le 16.01.2019 à 4h00 avec cible 51-68s de PTT Laboratoire ECG Hémocultures 2 paires à froids Stix et sédiment urinaire Urotube en cours Radiographie thoracique Avis urologue = Poursuite des rinçages quotidiens 3000 ml à 6000 ml jusqu'à éclaircissement des urines. Hospitalisation en médecine avec couverture antibiotique. Urologue se tient à disposition. Arrêt du MARCOUMAR pendant 2 jours à réévaluer avec la médecine interne. CAT: • Hospitalisation en médecine • Dialyse à 13h00 • Couverture antibiothérapie par Céfépime + Vancomycine post dialyse (prévue à 13h00) Laboratoire ECG Mg 2 g i.v. aux urgences Substitution potassique i.v. puis orale, substitution orale du phosphate Traitement anti-émétique Suivi psychiatrique pour sevrage du cannabis en ambulatoire par psychologue à Laupen. Laboratoire. ECG. Pas de suture, simple désinfection et pansement. CT cérébral natif: pas de saignement, pas de fracture. Feuille de TCC donnée et expliquée à la fille de Mme. Y. Mme. Y va passer la nuit chez sa fille. Laboratoire ECG Poids 33 kg BMI estimé à 13.7 kg/m2 versus 14.6 kg/m2 le 11/12/18 Au vu du critère d'hospitalisation sur le BMI inférieur à 14 kg/m2 et le risque de syndrome de renutrition, Mme. Y est hospitalisée en service de médecine sous PAFA (car non compliante) CAT : • Hospitalisation médecine • Réalisation d'un PAFA par Dr. X • Consilium nutrition à demander • Consilium psychiatrique demandé Laboratoire ECG Radio thorax CT cérébral : pas de saignement, pas de fracture, Urines : Mr. Y n'a pas uriné aux urgences Acide folique, TSH, Vitamine D, Vitamine B12 Laboratoire. ECG. Radiographie. Laboratoire ECG Radiographie cheville F/P Radiographie pied O Consilium orthopédie (Dr. X) Aux urgences • Réduction fermée et immobilisation dans botte fendue • Radiographie post-réduction : résultat satisfaisant Attitude : • Hospitalisation pour ORIF dès que l'état cutané le permet • Prévoir bilan ostéoporose • Surveillance cutanée, RICE, lit strict Laboratoire ECG Radiographie de thorax Laboratoire ECG Radiographie de thorax Laboratoire ECG Radiographie de thorax Laboratoire. ECG. Radiographie de thorax. Laboratoire ECG Radiographie de thorax Radiographie de la hanche gauche CT-scan cérébral natif (Dr. X) : pas de saignement, pas de fracture, pas d'hématome Attitude : • Hospitalisation en médecine à Tavel • Physiothérapie intensive • Discussion d'un placement au vu des chutes à répétition Laboratoire ECG Radiographie de thorax Pantozol 80 mg iv bolus puis 8 mg/h iv continu Sandostatine 50 mcg iv bolus puis 25 mcg/h iv continu À jeun Avis gastro-entérologie (consilium fait) Contrôle Hb le 24.01.2019 Mise en suspens des traitements anti-hypertenseurs Hydratation NaCl 1500 ml iv par 24h Hospitalisation en médecine interne Laboratoire ECG Radiographie de thorax Présence d'agglutinines froides in vitro Avis hématologue (Dr. X) : investigations pour hémolyse (LHD, Haptoglobine, test de Coombs) Seuil de transfusion à 80 g/l (Mr. Y groupé) Hospitalisation en médecine interne Ad sang occulte à l'étage Laboratoire ECG Radiographie de thorax Scanner abdominal Laboratoire ECG Radiographie de thorax Scanner abdominal : condensation pulmonaire basal gauche Avis infectiologique (Dr. X) : Rocéphine, Klacid si péjoration ou foyer abdominal clair, changement pour tazo-bactam Frottis grippe en cours Laboratoire ECG Radiographie de thorax 2 culots érythrocytaires (seuil à 80 g/l chez Mr. Y ischémique) aux urgences Contrôle Hb le 24.01.2019 Laboratoire ECG Radiographie de thorax 2 culots érythrocytaires (seuil à 80 g/l chez Mr. Y ischémique) aux urgences Contrôle Hb le 24.01.2019 Laboratoire ECG Radiographie du thorax Gazométrie Avis téléphonique Dr. X (gastroentérologie) : gastroscopie, coloscopie à organiser, Pantozol 40 mg 2x/j po. 2 concentrés érythrocytaires le 09.01.18 Dernière OGD en 01.2018 Dernière colono en 06.2018 Pantozol 40 mg 1-0-1-0 2 concentrés érythrocytaires dès le 09.01.18 Laboratoire ECG Radiographie du thorax Gazométrie OGD le 11.01.2019 Avis téléphonique Dr. X (gastroentérologie) : dernière OGD en 01.2018, et dernière colono en 06.2018. Organiser une gastroscopie et une coloscopie. Ad Pantozol 40 mg 2x/j p.o. et transfusion de 2 concentrés érythrocytaires le 09.01.18 Pantozol 40 mg 1-0-1-0 du 09.01 au 11.09.2018 Transfusion de 2 concentrés érythrocytaires dès le 09.01.18 Laboratoire ECG Radiographie épaule droite + Bras droit = Luxation antérieure de l'épaule droite et lésion de Bankart associée Réduction épaule droite = Dr. X sous 1 mg MIDAZOLAM + 10 mg de KETAMINE. Réduction en une fois sans complication notable Radiographie contrôle post-réduction = ok pour réduction Avis orthopédique = Immobilisation en gilet ortho pendant 2 semaines + consultation en ortho urgence à prévoir à J15 avec contrôle radiologique. Physiothérapie de mobilisation. Si persistance de parésie de n. ulnaire, ENMG à 4 semaines. CAT : • Hospitalisation Meyriez devant maintien à domicile non possible Laboratoire ECG Radiographie thoracique CT-scan thoracique du 23.01.2019 : pas d'embolie pulmonaire, lésions nodulaires au niveau de la rate (résidus spléniques en légère augmentation par rapport au comparatif, lésions kystiques du rein atrophique gauche nettement augmentées en taille, densité liquidienne dedans. (quadruplé de taille). Pas de signe d'hypertension artérielle, pas d'épanchement pleural ou péricardique. Attitude : • 2 caps de Nitré • 1 cpr d'Adalat ret 20 mg • 1 cpr de Trandat • Ad hospitalisation médecine interne • Ad avis cardio le 23.01.2016 pour réadaptation traitement antihypertenseur Laboratoire ECG Radiographie thorax, bassin, épaule droite Scanner cérébral Pantozol 80 mg iv en bolus puis 8 mg/h iv continu Avis gastro-entérologie pour gastroscopie (demande consilium faite) À jeun Contrôle Hb le 24.01.2019 Hydratation par NaCl 1500 ml iv par 24h Laboratoire ECG Radiographie thorax, bassin Scanner cérébral Laboratoire ECG Radiographie thorax, bassin Scanner cérébral Ad Dexaméthasone 8 mg, avec protection gastrique par IPP Suite de la prise en charge à organiser avec Dr. X, oncologue traitant Scanner thoraco-abdomino-pelvien prévu pour fin janvier Laboratoire ECG Radiographie thorax F : signe de surcharge Laboratoire ECG Radiographie thorax. Attitude : • Réassurance • Antalgie • Suite chez le médecin traitant avec proposition d'une MAPA. • Consultation ambulatoire en cardiologie pour une échographie trans-thoracique. Laboratoire ECG Radiographies thorax face/profil. Examens effectués expliqués à Mme. Y par le médecin. Attitude : • Réassurance • Antalgie simple • Suite chez le médecin traitant • Critères de reconsultation expliqués à Mme. Y. Laboratoire. ECG. Réassurance. Antalgie simple. Laboratoire. ECG. Réassurance. Antalgie simple. Critère de reconsultation expliqué à Mme. Y. Laboratoire ECG Rx du thorax Aux urgences : inhalation avec Ventolin 2.5 mg et Atrovent 250 mcg Laboratoire ECG Rx thoracique Spot du 12.01.2019 Gazométrie du 12.01.2019 Attitude : • Hydratation 1250 ml de NaCl 0.9% en 24h avec contrôle de la natrémie à 00h00 • Ad hospitalisation médecine interne pour suite de prise en charge Laboratoire. ECG. RX thorax. Laboratoire ECG Rx thorax F Rx hanche F/A Aux urgences : • Morphine • Sondage urinaire Consilium orthopédie (Dr. X) Attitude : • Hospitalisation en orthopédie pour une intervention le 22.01 • À jeun • Thromboprophylaxie après l'intervention Laboratoire. ECG. RX thorax. Bladder scan. Hydratation. Surveillance clinique. Laboratoire. ECG. RX thorax. CT cérébral les 24, 25 et 26.01.2019. CT cervical. Avis neurochirurgien de garde. Contrôle neurologique aux 4 heures. NaCl 0.9%/24h. Transfert dans le service de gériatrie aiguë le 28.01.2019. Laboratoire. ECG. RX thorax. Oxygénothérapie. Aérosols Ventolin et Atrovent. Ajout de Spiriva 18 mcg 1 x à son traitement de fond de Flutiform 125/5. Prednisone 50 mg/jour pendant 5 jours. Surveillance clinique. Laboratoire ECG Scanner cérébral + cervical Avis neurochirurgie (Dr. X) Contrôle imagerie à 24h Surveillance neurologique aux 2hLaboratoire. ECG. Scanner cérébro-cervical + massif facial. Laboratoire. ECG. Scanner cérébro-cervical + massif facial : déviation du septum à gauche avec aplatissement du nez sur probable fracture de l'os propre du nez, DD aigu ou chronique. Ad Co-amoxiciline 2.2 g iv aux urgences à poursuivre per os pour 5 jours. Ad Xylométhazoline spray. Rappel vaccin anti-tétanique. Interdiction de se moucher. Consilium ORL, sera convoqué en ambulatoire pour contrôle. Laboratoire. ECG. Scanner cérébro-cervical + massif facial. Surveillance aux urgences. Laboratoire. ECG. Scanner protocole aorte. Laboratoire. ECG. Stix et sédiment urinaire. CAT : • Hospitalisation médecine pour suite de prise en charge • Anticoagulation préventive par CLEXANE 40 mg • Consilium diététique à prévoir durant l'hospitalisation Laboratoire. ECG. Test de Schellong : pas de chute de tension artérielle mais vertiges au lever. Ad Primpéran 10 mg, Betaserc 24 mg aux urgences. Soulagement partiel de la symptomatologie après manœuvre libératrice de Semont. Hospitalisation aux urgences. Ad Betaserc 8 mg 3x/jour et Primpéran 10 mg max 3x/jour. Laboratoire. ECG. Urines. Urotube prélevé : à pister. CT abdominal : globe vessie 12x15x18cm, dilatation rénale dd, prostate augmentée à 7.5x5.5x6cm, hernie inguinale a priori indirecte à droite à contenu graisseux avec une petite infiltration de la graisse avec collet à 3.5cm, pas d'argument pour diverticulite, quelques diverticules sans infiltration de la graisse. Aux urgences : • 2x 500ml NaCl/2h • pose de sonde urinaire impossible à 4 reprises • pose de Cystofix (Dr. X), avec diurèse 2600ml aux urgences • Ciprofloxacine 500mg p.o. Attitude : • Hospitalisation en médecine avec ciprofloxacine 500 mg 2x/j p.o. • Demander avis urologique Laboratoire. ECG. Urines. CT thoraco-abdominal le 01.01.2019 : thrombose veine porte. Ponction ascite (Dr. X) : 1630ml, pas de signe infectieux. Laboratoire. ECG. Urines. CT cérébral + cervical (Dr. X) : fracture partie antérieure proximité de foramen intra-orbitaire, et post sinus maxillaire D, hématosinus, fractures arcade zygomatique multiples, (pas d'entrappement musculaire) dont la partie post du processus zygomatique, fracture ramus mandibule D, pas de fracture colonne. Pas de saignements intracrâniens. Lit stricte, surveillance neuro aux 4h, prévoir avis ORL (pister). Aux URG : 1.2g Co Amoxi IV + antalgie + Laboratoire. ECG. 2x Hémoc. Avis chirurgical (garde) : récidive d'abcès. Ad hospitalisation. • Tienam en intraveineux 500 mg aux URG + NaCl 1500ml 0.9 %. Laboratoire. Echocardiographie transthoracique du 04.01.2019. ECG du 23.01.2019. Consultation anesthésie le 24.01.2019 (refus de la cardioversion par Mme. Y). Poursuite du traitement bêta-bloquant. Digoxine 0.25 mg le 23.01.2019, ensuite 0.125 mg 1J/2. Adaptation des diurétiques. Réévaluer la poursuite du traitement de digoxine. Laboratoire. Echographie abdomen (Dr. X) : Appendicite. Consilium chirurgical (Dr. X). Attitude : • Hospitalisation en chirurgie pour intervention. Laboratoire. Echographie abdominale à la recherche d'une masse obstructive (Dr. X) : • Avis gastro-entérologue (Dr. X) : • Att : • hosp médecine. Laboratoire. Echographie abdominale du 20.01.2019. CT abdominal du 20.01.2019. Mise en suspens de l'anticoagulation prophylactique avec reprise le 21.01.2019 à 12h. Poursuite du traitement anti-agrégant. Suivi biologique avec seuil Hb >90 g/l. Laboratoire. Echographie ciblée des urgences (Dr. X). Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Antalgie : Suivi chez le médecin traitant, reconsulter si récidive des symptômes. Laboratoire. Évaluation nutritionnelle. Évaluation psychiatrique (Dr. X). Suivi psychiatrique ambulatoire. Laboratoire. Évaluer bilan selon projet. Laboratoire. Facteur V et VIII en cours. PARACETAMOLEMIE en cours. Stix et sédiment urinaire : Lc +, N-, Sang ++++. US aux urgences (Dr. X) : Liquide périhépatique, péri-splénique. Lame d'ascite minime. Épanchements pleuraux bilatéraux minimes. CT abdominal : Liquide périhépatique et périsplénique. Pas de lésion néoplasique. Sérologie : HBV, HIV, HCV, EBV, CMV en cours. CAT : • Hospitalisation en médecine pour surveillance clinico-biologique. Laboratoire. Fe urée : 33 %. Attitude : • hydratation avec résolution de l'IRA au labo 12.12.18. Laboratoire. Frottis bactériologique et streptocoques du groupe B. ActimPartus. Urotube. Cure de maturation pulmonaire avec Celestone les 18.01.19 et 19.01.2019. Tocolyse par Adalat CR 30 2x/j. Surveillance CTG 3x/j. Laboratoire. Frottis de plaie : Streptocoque groupe mitis, Streptocoque groupe salivarius, Candida krusei. Hémocultures : 2/4 positives à S. pneumoniae, Co-Amoxicillin sensible. CT abdomen injecté par la PEG 30.12.2018 : pas de fuite visualisée, infiltration des tissus mous en pourtour de la sonde, avec espacement de la paroi gastrique. CT Thorax et ORL 1.1.19 : Absence de foyer pulmonaire ou ORL. Apparition d'une lésion hypodense dans le foie droit, de densité liquidienne, évoquant un abcès hépatique. Consilium gastro-entérologie (Dr. X). Consilium chirurgical (Avis Dr. X) : pas de collection. Avis infectiologique : S. pneumoniae ne provient pas de la plaie, chercher un autre foyer pour bactériémie, poursuite du traitement par Co-Amoxicillin. Avis infectiologique après exclusion de foyer ORL et pulmonaire : abcès hépatique avec septicémie, nécessité d'antibiothérapie, réflexion sur drainage transhépatique vu la situation oncologique. Traitement : • Tazobactam 4.5g IV • Co-Amoxicillin 2.2g 4x/j 30.12.-4.1.19 • Co-Amoxicillin 1g 2x/j p.o. du 4.1 pour minimum 4 semaines. Laboratoire. Gaz du sang = acidose métabolique à pH = 7.26 à trou anionique augmenté sur hyperlactatémie et insuffisance rénale aiguë sur chronique. CT cérébral avec injection et carte de perfusion = pas d'argument pour un AVC ischémique ou hémorragique, doute sur une hypodensité supérieure à la lésion séquellaire en pariétal-occipital droit. Vaisseaux perméables. Prémédication MIDAZOLAM au vu de l'agitation (5mg + 5mg). Avis neurologue = Dr. X = AVC ischémique aigu peu probable au vu de la clinique confrontée aux images radiologiques. Pas d'indication à une thrombolyse. Introduction d'une thérapie antiepileptique par KEPPRA 1000 mg à adapter à la fonction rénale. Discuter l'indication d'une sédation intubation au vu de la non-réponse aux drogues. Avis soins intensifs = ok pour intubation sur critère neurologique avec transfert aux soins intensifs. Intubation orotracheale = Dr. X = Séquence rapide ETOMIDATE 20 mg + CELOCURINE 80 mg, intubation avec lame 4, Cormack 2, pose d'un tube 7.5 à 23 lèvres. Pas de collapsus de réventilation. Entretien par FENTANYL + MIDAZOLAM. Radiographie thoracique post-intubation. CAT : • Transfert soins intensifs pour suite de prise en charge. Laboratoire. Gaz du sang artériel = acidose métabolique à 7.36 à trou anionique augmenté sur hyperlactatémie. ECG. Remplissage 2000 ml NaCl 0.9 % sur une heure trente. Sondage vésical à demeure. Stix et sédiment urinaire. Spot urinaire. Hémoculture 1 paire à froid en cours. Antigénurie légionnelle + pneumocoque en cours. CT cérébral natif = pas de lésion osseuse, pas d'hémorragie intracrânienne. NORADRENALINE 4.5 mcg/kg. Hemosuccinate Hydrocortisone 200 mg IV. Avis soins intensifs = Ok pour transfert SIB. Laboratoire. Gaz du sang artériel = pH 7.44, hypoxie à 7.9mmHg, CO2 à 7.5 mmHg. Radiographie thoracique. ECG = rythme électro-entrainé. LASILIX IV 40 mg. CAT : • Hospitalisation médecine. • Poursuite des diurétiques. • Discuter d'un consilium cardiologique en vue d'une récidive de décompensation cardiaque. • Transfert hôpital TAVEL pour carence de place sur HFR. Laboratoire. Gazo : acidose métabolique avec début d'une compensation respiratoire, lactate 2,1 mmol/l (possiblement sur Janumet). Radio thorax Hémoculture Urine Antigène urinaire pour Légionelles et Pneumocoques Rocéphine 2 g i.v. aux urgences 40 mg de Prednison pendant 5 jours Laboratoire Gazométrie : insuffisance respiratoire partielle ECG : bloc de branche droit, tendance bradycarde RX thorax : fibrose pulmonaire diffuse, pas de foyer, pas de pneumothorax • Hospitalisation en médecine, oxygénothérapie et soins de confort • Co-Amoxicilline 1.2 g + Solumedrol 125 mg • Dormicum 2 mg i.v. • Morphine 1 mg i.v. Décès à 5h00 le 14.12.2018 Laboratoire Gazométrie artérielle ECG : RSR, BBG, QTc 460ms Rx thorax F Score de Wells à 0 Aux urgences : • Lasix 20 mg IV • Metoprolol • Primpéran 10 mg • Paracétamol 1 g • Novalgine 1 g IV Attitude : • Hospitalisation en médecine • Arrêt Bactrim • Lasix 20 mg 2x/j • Discuter ETT (souffle nouveau, décompensation cardiaque) Laboratoire Gazométrie artérielle ECG Attitude : • Surveillance clinique Laboratoire Gazométrie artérielle ECG Consilium chirurgie (Dr. X) Attitude : • Hospitalisation en chirurgie • Colonoscopie demain • Boisson libre + Moviprep • Aspirine en Suspend • CA 19-9 à pister Laboratoire Gazométrie artérielle : pH 7.45, hypoxémie à 8.0 ECG Radiographie de thorax : poumon blanc à droite Radiographie post drainage : pas de pneumothorax Ultrason ciblé (Dr. X) • Epanchement pleural droit VNI aux urgences avant la ponction Ponction pleurale droite évacuatrice de 2.8L de liquide séro-sanguinolant, sans complication le 20.01.19 • répartition : à suivre • chimie : critère de Light : à suivre • pH : 7.4 • Bactériologique : à pister Bonne évolution clinique après la ponction pleurale, avec des saturations stables à 92 % sous 2-3 L d'O2 Attitude : • Hospitalisation à la Villa St François • Prévoir pose de PleurX à droite Laboratoire Gazométrie artérielle Screening toxicologique sanguin et urinaire Flumazénil 0.5 mg en préhospitalier, puis 0.5 mg/h en IV continu Naloxone 0.4 mg IV bolus 2x aux urgences avec amélioration sur le point de vue respiratoire et état général du patient Hydratation IV aux urgences Hospitalisation aux Soins Intensifs Laboratoire Gazométrie artérielle 2 paires d'hémocultures : en cours frottis grippe : en cours antigènes urinaires : en cours Radiographie de thorax Attitude aux urgences : • remplissage au total 1000 mL de NaCl et 500 mL de Ringer • Rocéphine 2 g i.v • Prednisone 50 mg • VNI Laboratoire Gazométrie artérielle Analyses urinaires ECG du 23.1.19 : ncSR, Indifferenztyp, keine ERBS Radiographie de thorax d 23.1.19 (au couché) : petits infiltrats bibasaux sans franches condensations (patiente couchée), signes d'insuffisances cardiaques compensées Laboratoire Gazométrie artérielle Analyses urinaires ECG Radiographie de thorax Laboratoire Gazométrie artérielle Analyses urinaires ECG Radiographie de thorax Radiographie hanche + bassin Laboratoire Gazométrie artérielle Analyses urinaires ECG Radiographie de thorax Radiographie hanche + bassin Traitement antalgique par Dafalgan, AINS avec protection par IPP et Tramadol en réserve Physiothérapie de mobilisation Consilium avec diététicienne Hospitalisation en gériatrie Laboratoire Gazométrie artérielle ECG Laboratoire Gazométrie artérielle ECG Analyses urinaires Urotube Hémocultures Scanner thoraco-abdominal Laboratoire Gazométrie artérielle ECG Analyses urinaires Urotube Hémocultures Scanner thoraco-abdominal Ad Rocéphine 2 g iv Avis urologie (Dr. X) : drainage abcès par guidage CT Avis infectiologie (Dr. X) : ad Tienam 500 mg 4x/j iv Remplissage par NaCl 4L aux urgences Ad Noradrénaline iv continu (max 2 mcg/min) Hospitalisation aux soins intensifs après le drainage Laboratoire Gazométrie artérielle ECG Radiographie de thorax Laboratoire Gazométrie artérielle ECG Radiographie de thorax Laboratoire Gazométrie artérielle ECG Radiographie de thorax Ad Co-amoxicilline 1 g 2x/j (Critères d'Anthonisen 2/3) pendant 7 jours, à réévaluer Ad Prednisone 40 mg per os 1x/j pendant 5 jours Aérosols Ventolin et Atrovent Majoration du Torasémide à 10 mg 1x/j Organiser fonctions pulmonaires en ambulatoire avec introduction de bronchodilatateurs au long cours Physiothérapie respiratoire Suivi du poids quotidien, créatinine et électrolytes Isolement gouttelettes en attendant frottis de grippe Hospitalisation en médecine interne Laboratoire Gazométrie artérielle ECG Radiographie de thorax Frottis de grippe Laboratoire Gazométrie artérielle ECG Radiographie de thorax Scanner thoracique Laboratoire Gazométrie artérielle ECG Rx thorax CT abdominal natif Coproculture dès que possible NaCl 50 ml iv, Ringer lactate 1000 ml ATT : Hospitalisation en médecine pour la suite de la prise en charge Laboratoire Gazométrie artérielle ECG Rx thorax Frottis grippe Aux urgences : • Ventolin 2.5 mg • Atrovent 250 mcg Attitude : • Isolement jusqu'à résultat frottis grippe • Hospitalisation en médecine • Physiothérapie respiratoire • Vérifier médication • Antibiothérapie à débuter en fonction de l'évolution • Poursuite des aérosols de Ventolin et Atrovent Laboratoire Gazométrie artérielle ECG Scanner cérébral + cervical Naloxone iv continu 0.2 mg/h Oxygénothérapie Hospitalisation aux soins intensifs Laboratoire Gazométrie artérielle ECG Scanner cérébral + cervical Radiographie de thorax Radiographie colonne lombaire Scanner lombaire Laboratoire Gazométrie artérielle Radiographie thorax ECG Laboratoire Gazométrie artérielle Radiographie thorax ECG Laboratoire Gazométrie artérielle Rx thorax Frottis de grippe : à suivre Urines : Antigènes urinaires à suivre Aux urgences : • Pose cathéter artériel en fémoral droit • Intubation (induction par Propofol 200, fentanyl 200, Listenon 150) • Solumedrol 125 mg IV • Remplissage IV • Cefepime 1 g Attitude : • Hospitalisation aux SI Laboratoire Gazométrie Aux URG : VNI 40 min 2x bien toléré au niveau clinique physioresp Laboratoire Gazométrie avec lactate normale à 1.2 CT-Scan abdominal le 24.01.2019 Morphine iv Stop Primpéran Ad Buscopan Retrait de liquide gastrique aux deux heures Laboratoire Gazométrie du 12.01.2019 : pH à 7.39, PC02 à 5.5, PO2 à 13.3, lactate à 1.2 mmol/l Urine Att suivi glycémique Laboratoire Gazométrie ECG Transfert en ambulance avec le SMUR aux soins intensifs de l'HFR Fribourg. Laboratoire Gazométrie Attitude : • Hydratation Laboratoire Gazométrie ECG : RSR, Tachycardie à 100, normoaxé, QRS fins, pas de trouble de la repolarisation Rx thorax le 25.01.18 : disparition de l'épanchement à droite. Attitude : • Poursuite Antibiotiques jusqu'au 28 • Physiothérapie respiratoire • Antalgie Laboratoire Gazométrie ECG urines sédiment et uricult à pister CT time is brain (transmission orale Dr. X) : pas de lésion nouvelle, vx perméables, pas de saignement Avis neuro (Dr. X) hospitalisation en médecine Ciprofloxacine 500 mg 2x/j dès le 03.01.2019 Taux de Phénytoïne prélevé le 03.12.2018 : à pister Laboratoire Gazométrie Radiographie de thorax du 23.01.2019 Status urinaire Antigènes urinaires (Légionelle et pneumocoque) Culture des expectorations du 25.01.2019 Rocéphine 2 g le 23.01.2019, Klacid 500 mg 2x/j du 23.01 au 24.01.2019 Tazobac 2.25 g 3x/j du 23.01 au 28.01.2019 Laboratoire Gazométrie Radiographie du thorax Hémocultures : négatives après 5 jours Antigènes urinaires (Légionelle) négatifs Hospitalisation en gériatrie aiguë du 04.01.2019 au 18.01.2019 Antibiothérapie par Rocéphine 2 g et Flagyl 500 mg 3x/j aux urgences, puis Co-Amoxicilline 1.2 g 3x/j du 05.01.2019 au 12.01.2019 Physiothérapie respiratoire 2x/jour Bilan déglutition Laboratoire Gazométrie Radiographie du thorax Hémocultures Antigènes urinaires (Légionelle) Hospitalisation en gériatrie aiguë Antibiothérapie par Rocéphine 2g et Flagyl 500mg 3x/j aux urgences, puis Co-Amoxicilline 1.2g 3x/j du 05.01.2019 au 12.01.2019 Physiothérapie respiratoire 2x/jour Bilan de déglutition Laboratoire. Gazométrie. Spot urinaire. Pose de sonde vésicale, bilan diurèse. Hydratation NaCl 0.9% 2500 ml le 20.01.2019, puis 2000 ml/24h. Mise en pause des traitements néphrotoxiques. Laboratoire Gazométrie 2x Hemoc Ag urinaires en cours RX Thorax Ad hosp aux SI pour suite de PEC AUX URG Rocephine + Klacid IV Prednisone 45 mg PO OU Laboratoire Gazométrie 2x Hemoc Uricult Rx Thorax US cou (Dr X) le 7.1.2019 : pas de thrombose jugulaire, pas d'abcès Avis Infectiologique (Dr X) : vu contexte avec tableau clinique et biologique discordant, ad couverture par Tavanic à dose rénale et évaluer imagerie par la suite selon évolution FR Évaluer CT scan thoracique selon évolution fonction rénale AUX URG : NaCl 0.9 % 500 ml sur 30 min IV, puis 2000 ml sur 24h. Tavanic adapté à dose rénale 250 mg IV OU Tramal pour douleurs Laboratoire Groupée, pas de culot érythrocytaire commandé pour l'instant (réévaluer transfusion ces prochains jours en fonction de la surcharge cardiaque) (transfusion prévue normalement pour la semaine prochaine) Suivi par Dr X Laboratoire Groupe ECG Aux urgences : 80 mg Pantozol IV bolus Transfusion avec 2 EC Attitude : • hospitalisation en médecine • Pantozol 8 mg/h en IV continu • Pister labo FSS • Colo/gastroscopie à évaluer Laboratoire Hb fœtale Frottis bactériologique et streptocoque du groupe B Actim Partus Échographie transvaginale et abdominale CTG 3x/j Hb fœtale à 24h Laboratoire Hémoculture en cours Urines US abdominal = Dr X (cf compte rendu) US abdominal = Dr X = Cholecystite avec hydrops vésiculaire, dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatique. Wirsung visualisé. Consilium chirurgical (Dr X) Aux urgences : • Rocéphine Flagyl • Morphine 7 mg Attitude : • Hospitalisation en chirurgie pour intervention le 30.01.2019 Laboratoire. Hémocultures, Ag urinaires. ECG. RX thorax. Méropénème 1 g du 15.12.2018 au 18.12.2018. Tavanic 500 mg du 18.12.2018 au 29.12.2018. Changement de la sonde urinaire à demeure. Laboratoire. Hémocultures, Ag urinaires. RX thorax. 2 VNI aux urgences. Antibiothérapie par Klacid 500 mg per os - 2 x/jour du 25.12.2018 au 28.12.2018, Rocephin 2 g IV - 1 x/jour du 25.12.2018 au 03.01.2019. Corticothérapie par Prednisone 40 mg per os - 1 x/jour du 27.12.2018 au 03.01.2019, puis en schéma régressif. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire Hémocultures en cours Frottis de grippe : négatif. Céfépime 1 g post-dialyse Réévaluer si patient est d'accord pour prise en charge (radiographie de thorax, analyses urinaires) Suspicion d'infection urinaire haute traitée par Cefepime Hospitalisation en médecine interne à Meyriez. Laboratoire Hémocultures le 01.01.2019 négatives à 5 jours Co-Amoxicilline 1.2 g 4x/j du 01.01 au 04.01.2019 puis relais per os Co-Amoxicilline 1 g 2x/j du 04.01 au 06.01.2019 Laboratoire Hémocultures le 15.01.2019 : négatives CT abdominal injecté le 15.01.2019 ERCP le 16.01.2019 (Dr X) : mise en place d'un stent métallique auto-expansif Avis gastro-entérologique (Dr X) : en cas de nouvelle obstruction, ad nouvelle ERCP Meropenem du 15.01 au 17.01.2019, puis Ciprofloxacine et Flagyl pour une durée totale de 7 jours Isolement de contact (colonisation par K. pneumoniae ESBL) Laboratoire Hémocultures le 16.11.2018 : positives Hémocultures le 17.11.2018 : négatives Avis infectiologique, Dr X Rocéphine 2 g intraveineux dès le 17.11.2018 Gentamycine 80 mg 3x/j et pénicilline G 4 Mio UI 6x/j dès le 22.11.2018 Gentamycine : passage à 180 mg/j puis à 120 mg/j à partir du 30.11.2018, stop le 11.12.2018 (Dr X) Pénicilline G : stop le 20.12.2018 après 4 semaines de traitement (Dr X) Échographie transœsophagienne le 21.11.2018 (Dr X) Échographie transthoracique à prévoir à la fin des 6 semaines d'antibiothérapie (avis Dr X) effectuée par Dr X le 18.12.2018 Colonoscopie à prévoir éventuellement dans le but de chercher un cancer colorectal (infection à S. Bovis) : décision de différer cet examen après un colloque de famille le 11.12.2018 (à réévaluer en ambulatoire) Laboratoire Hémocultures 2x : en cours Gazométrie Streptotest : négatif Bactérie sur frottis amygdales : en cours Radiothorax CT cervico-thoracale (Dr X, transmission orale) : Abcès amygdales pharyngées droite. Pas de collection rétropharyngée. Thrombose de la veine jugulaire interne. Emboles d'allure septique des deux plages pulmonaires. Avis infectiologique (Dr X) : À prévoir antibiothérapie avec Co-Amoxi 2.2 6x/jour Avis angiologique (Dr X) : Héparine thérapeutique sans bolus pendant l'hospitalisation. Pas d'anticoagulation à long terme à priori. Avis ORL (Dr X) : Amygdalectomie bilatérale à prévoir Traitement aux urgences • Hydratation avec 1 l NaCl 0.9 % IV. • 20 mmol KCl en 1 l NaCl 0.9 %. • 2.2 g Co-Amoxi IV. Évolution aux urgences • Amélioration de la dyspnée ATT • Amygdalectomie bilatérale, drainage abcès pharyngé droit (Dr X) • Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 2.2 g 6x/j du 12.01.2019 au....... • Solumedrol 125 mg du 12.01.2019 au 13.01.2019 (2 doses) • Anticoagulation à Héparine prophylactique dès le 12.01.2019, thérapeutique dès le 13.01.2019 (à confirmer avec les angiologues) • Régime lisse-froid dès le 12.01.2019 Laboratoire Hémocultures 2x2 le 11.1.19 : négatives à 5 jours Hémocultures 2x2 le 14.1.19 : à pister Uriculte : à pister sédiment urinaire : propre Transfusion de 2 CE le 15.1.2019 Essai avec Ritaline mal toléré (troubles du sommeil) Réintroduction de Prednisone le 16.1.19 Avis infectiologique : Votre patient présente un syndrome inflammatoire persistant d'origine indéterminée. Au vu de l'absence de foyer franc mais d'une suspicion de cholécystite, nous vous laissons effectuer une imagerie. Dans l'intervalle, dans l'attente des résultats de microbiologie et de l'imagerie, il n'est pas nécessaire de débuter une antibiothérapie. Le patient présente actuellement des CD4 à 20. Cette valeur n'est pas interprétable car la chute des CD4 peut être mise sur le compte de la pathologie infectieuse active. Laboratoire. Hémocultures. Ag. urinaires. Culture d'expectoration. RX thorax. Klacid 500 mg - 2 x/jour et Rocéphine 2 g IV du 04.01 au 05.01.2019, puis Co-Amoxi 1 g - 2 x/jour du 06.01 au 10.01.2019. Laboratoire Hémocultures :___ Coprocultures :___ Isolement de contact Hydratation par NaCl 0.9 % 1000 ml Rocéphine et Flagyl Att : • Isolement de contact • poursuite de l'antibiothérapie par Ciprofloxacine 500 mg 2x/j PO • pister hémocultures et coproculture Laboratoire. Hémocultures. Délimitation de la rougeur. Co-Amoxi 2.2 g - 3 x/jour IV. Physiothérapie de mobilisation. Suivi clinique et biologique. Laboratoire. Hémocultures. ECG. RX thorax. Co-Amoxicilline 2.2 g IV - 3 x/jour, puis Rocéphine du 19.12.2018 au 22.12.2018. Relais per os par Ciprofloxacine le 23.12.2018. Laboratoire Hémocultures Frottis de grippe Analyses urinaires ECG Radiographie de thorax Laboratoire. Hémocultures. Radiographie du genou face/profil. Radiographie de la cheville face/profil. Radiographie du poignet face/profil. Consilium orthopédique (Dr X) : pas d'indication à une ponction articulaire. Arthrite microcristalline, probablement goutte. Attitude : • Traitement antalgique. • Prednisone 40 mg pour 5 jours. • Colchicine adaptée à la fonction rénale. • Arrêt de travail. • Cannes anglaises en charge selon douleurs. • Suite chez le médecin traitant. • Critères de reconsultation expliqués au patient. Laboratoire Hémocultures Scanner du cou : collection cervicale de 14x25 mm entre le muscle sterno-cléido-mastoïdien et la veine jugulaire interne, pas de thrombose jugulaire, présence de liquide péri-aortique au niveau de l'aorte ascendante, pas de signes pour médiastinite (Dr X) Ad Co-amoxicilline 2.2 g iv 3x/j Ré-évaluer avis chirurgie thoracique. Laboratoire Hémocultures Scanner du cou : collection cervicale de 14x25 mm entre le muscle sterno-cléido-mastoïdien et la veine jugulaire interne, pas de thrombose jugulaire, présence de liquide péri-aortique au niveau de l'aorte ascendante. Ad Co-amoxicilline 2.2 g iv 3x/j Antalgie A jeûn Avis ORL (Dr. X) : pas d'indication opératoire urgente, à réévaluer demain. Hospitalisation en chirurgie sous responsabilité ORL Laboratoire Hémocultures Scanner du cou Scanner cérébral Laboratoire. Hémoculture. Urines. Gazométrie. Radiographie thorax face/profil. Traitement antibiologique de Co-amoxicilline pour 7 jours. Traitement symptomatique. Arrêt de travail. Contrôle clinico-biologique en filière 34 (pister hémoculture et antigène urinaire). Laboratoire. Hémocultures. RX thorax. Antigènes urinaires. Antibiothérapie par Rocéphine du 18.12 au 23.12.2018, puis Tavanic 500 mg - 1 x/jour jusqu'au 27.12.2018. Antibiothérapie par Klacid du 18.12 au 23.12.2018. Laboratoire Hydratation intraveineuse de NaCl 0.9 % Coproculture le 02.01.2019 positive pour Campylobacter Zithromax 500 mg 1x/j pendant 3 jours Reclassement en attente d'une place au foyer de Morlon Laboratoire. Hydratation NaCl 0.9 % 500 ml. Recherche de Listéria. Echo ciblée abdomen (Dr. X). Retour à domicile avec conseils d'usage. Traitement antibiotique par Azithromycine 500 mg 1x/jour pendant 3 jours. Traitement symptomatique. Contrôle secteur ambulatoire des urgences le 09.01.2019 pour résultats de l'hémoculture pour recherche de Listéria. Laboratoire Hydratation Antalgie : AINS, Dafalgan, Morphine iv Oxygénothérapie Avis hématologique (Dr. X) CT cérébral du 06.01.2019 IRM cérébrale du 07.01.2019 Laboratoire IRM cérébrale (Affidea, 19.12.2018) : Formations nodulaires à l'étage sus-tentoriel dont les plus volumineuses sont localisées au niveau frontal gauche et thalamique homolatérale, mesurant environ 30 et 23 mm de grand axe. Important œdème vasogénique entraînant un effet de masse modéré sur le système ventriculaire. Réhaussement périphérique. Deux lésions frontales avec stigmates hémorragiques (présence de microbleed). Aspect IRM très évocateur de localisations secondaires. Leucopathie vasculaire. CT thoraco-abdominal 20.12.2018 : multiples métastases (pulm, hépatiques, rénal, thyroïde) Biopsie ganglion axillaire sous US (Dr. X) le 28.12.2018 : en cours Mammographie : en cours Avis neurochirurgical (Dr. X) : Installer Dexaméthasone 3x4 mg. Recontacter NCH après bilan oncologique Avis oncologique (Dr. X/Dr. X) : bilan oncologique à compléter par CT et biopsie d'un ganglion. Débuter les séances de radiothérapie dès que possible si accord de la patiente, sans attente d'un primaire Avis radio-oncologue (Dr. X) : 12 séances de RT à raison de 5x/semaine Calculs et masque en radiothérapie le 24.12.2018 (Dr. X) Radiothérapie dès le 27.12.2018 (12 séances) au 10.01.2018 Régime hâché-fin Score ECOG à 1-2 Index de Karnofsky à 50-60 % Physiothérapie ATT : • Patiente et famille au courant du bilan provisoire des métastases au CT scan thoraco-abdo • Rediscuter avec onco selon le résultat de la biopsie (cf. directives anticipées) et décider du retour au domicile avec investigations en ambulatoire Laboratoire Labo chez MT ce matin : INR 2.4, CRP 15, Hb 131, leuco 6.3, thrombo 141 ECG : FA 69/min, BBD, QTc 472 msec superposable au comparatif de juillet 2018 Consilium neurologique (Dr. X/Dr. X) : Hallpike positif à G, origine périphérique vestibulaire G Consilium ORL (Dr. X) : pas de nystagmus lors du statut, sera reconvoqué pour un video head impulse test, doit être mobilisé. Laboratoire Lactate Avis néphrologique (Dr. X) : • Hydratation NaCl 0.9 % 500 ml avant et après CT injecté • Prograf en pause, majoration Prednisone par 30 mg iv 1x/j CT scan abdominal injecté (Dr. X) : • Iléus grêle avec saut de calibre au FID, signe de souffrance, réhaussement conservé Avis chir (Dr. X) : • Sonde NG Att : • Garder JEUN • Majoration de l'antalgie selon douleurs par Fentanyl Patch/iv • Dialyse le 21.01.2019 Laboratoire. Marquage. Antibiothérapie par : • Co-Amoxi 2,2 g iv 4x/j du 01 au 04.01.2019 • Co-Amoxi 1 g per os 2x/j du 05 au 10.01.2019. Laboratoire Marqueurs tumoraux 20.12.2018 : ca-125 35 u/ml, CEA 1,2 mg/ml, CA 15-3 5,4 U/ml, CA 19-9 3 U/ml IRM cérébrale le 18.12.2018 : deux lésions intra-axiales de la fosse postérieure probablement métastatiques avec œdème péri-lésionnel effectuant un effet de masse sur le 3ème ventricule avec une hydrocéphalie active CT cervico-thoraco-abdo-pelvien 19.12.2018 : métastases ganglionnaires rétropéritonéales inter-aorto-cave et rétro-cave et iliaque droite nouvelles. pas d'autre lésion Dexaméthasone 16 mg dès le 18.12.2018 Anti-émétiques Avis oncologue (Dr. X) : contrôle en oncologie après résultats des prélèvements. Avis neurochirurgie (Dr. X) : prise en charge chirurgicale au vu de la compression. Avis radio-oncologues (Dr. X) : les contacter en post-op (demande DPI) dès lundi 24.12.2018 Craniotomie sous occipitale gauche pour résection de la lésion prévue le 21.12.2018 Rendez-vous en radio-oncologie post-intervention (consilium déjà demandé) Laboratoire Mis en suspend torasémide et lisinopril Attitude : • Suivi biologique • Pister spot urinaire • Hydratation 1000 ml/24h Laboratoire. Morphine 5 mg. Retour à domicile. Arrêt de travail. Buscopan et Dafalgan. Suite de prise en charge chez médecin traitant. Laboratoire. Movicol et sirop de figue en réserve. Contrôle chez le gynécologue traitant en cas de persistance des symptômes. Laboratoire Oxygénothérapie. Co-Amoxiciline 1.2 i.v. 3x/j Klacid 500 mg 2x/jour p.o. Physiothérapie Hospitalisation en médecine interne. Laboratoire Pantoprazole 80 mg IV bolus et 8 mg/h IV continu Hospitalisation en Médecine • OGD à programmer Laboratoire Pas de couverture AB Ad suivi clinique + biologique Réévaluation selon évolution Laboratoire Physiothérapie mobilisation Prévoir réhabilitation respiratoire et mobilisation à Billens le plus vite possible Laboratoire Poursuite Céfuroxime (7j au total) Laboratoire Poursuite Céfuroxime (7j au total) Laboratoire. Poursuite de l'antibiothérapie durant 10 jours. Consultation chez le médecin traitant avant la fin du traitement antibiotique. Laboratoire Poursuite substitution acide folique Recherche de sang occulte dans les selles positif le 22.01.2019 Avis cardiologique (Dr. X) le 23.01.2019 : En l'absence de FA prolongée, peu de risque d'arrêter le Xarelto d'autant plus que la patiente est porteuse d'un Reveal. Arrêt du Xarelto le 23.01.2019, si apparition de FA au Reveal introduction d'Eliquis à réévaluer Majoration de l'Esomeprazole à 40 mg dès le 23.01.2019 Laboratoire Prévoir ammonium dès que possible Discuter introduction Prednisone selon score MELD Pister suivi gastro/évaluer suite de PEC Laboratoire Prévoir substitution Benerva/Becozym Seresta d'office et en réserve, à réduire progressivement Laboratoire. Primperan iv + Nexium 80 mg aux urgences. Nexium iv continu 8 mg/h du 25.12 au 28.12.2018. Pantoprazole 40 mg per os - 1 x/jour pendant 14 jours. Laboratoire. Primperan 10 mg Hydratation. Attitude : • Retour à domicile avec traitement symptomatique • Suivi oncologique le 23.01.19. Laboratoire. Proposition de suivi biologique lors de prochain contrôle chez le médecin traitant le 14.01.2019 +/- suivi néphrologique si persistance. Consultation chez le médecin traitant pour adaptation des traitements selon évolution de la fonction rénale le 14.01.2019. Laboratoire Proposition de suivi biologique lors de prochain contrôle chez Mr. Y le 14.01.2019 +/- suivi Néphrologique si persistance Consultation chez Mr. Y pour adaptation des traitements selon évolution de la fonction rénale le 14.01.2019 Laboratoire Proposition d'hydratation par NaCl isotonique 500 ml sur 6h à l'UATO. PRISE DE SANG A EFFECTUER AVANT ANESTHESIE ET OP LE 11.01.2019 : ordre demandé. Laboratoire Radio thorax 21.01.2019 Hémocultures 2 paires 22.01.2019 : négatives Avis ORL (Dr. X) : mucite, traitement antalgique, soins locaux, Mycostatine 14j, +/- antibiothérapie. Avis infectiologique (Dr. X) 21.01.2019 : pas d'indication à une antibiothérapie. Dose unique de Fluconazole puis suivi clinique. En cas de récurrence à évaluer 100 mg Fluconazole par jour pendant une semaine Avis radio-oncologue (Dr. X) 24.01.2019 : zones radiées ne correspondent pas à la muqueuse de l'oesophage Reprise radiothérapie dès le 28.01.2019 Avis oncologique (Dr. X) 24.01.2019 : chimiothérapie en pause Traitement au service des urgences : 400 mg Fluconazole Mycostatine dès le 21.01.2019 pour 14 jours Antalgie par Fentanyl patch Antalgie locale par gel anesthésiant, rinçages de morphine, bains de bouche et Plakout Suivi clinique et biologique Laboratoire Radiographie abdomen sans préparation Avis chirurgical, Dr. X CT abdominal le 13.12.2018 Traitement conservateur Laboratoire Radiographie cheville/jambe f/p à droite avant et après réduction Fentanyl 100 mcg, Dafalgan 1000 mg, Voltaren 75 mg, Morphine 4 mg, Primpéran 10 mg S/p réduction fermée sous MEOPA et 20 mg de Kétamine, immobilisation avec botte plâtrée fendue le 22.01.2019 Avis orthopédiste (Dr. X) Traumanase 26 mg 2x/j, Redoxon Clexane 40 mg 1x/j s.c. Antalgie CT cheville droite le 23.01.2019 staging préop Hospitalisation en orthopédie, prise en charge quand l'état cutané permettra Laboratoire Radiographie de thorax Laboratoire Radiographie de thorax Analyses urinaires Laboratoire Radiographie du bras droit avant et après la pose du plâtre. Radiographie de thorax. Antalgie : • En pré-hospitalier : 60 mg de Kétamine, 2 mg de Midazolam. • Aux urgences : 80 mg de Kétamine, 2 mg de Midazolam, 9 mg de Morphine, 1 g de Paracétamol. Avis orthopédique (Dr. X). Attitude : • Plâtre Sarmiento au niveau du bras droit. • Retour à domicile avec contrôle radio-clinique avec le team membre supérieur le 01.02.2019. • Explications données à Mr. Y dans quelles situations il faudra reconsulter en urgence. Laboratoire Radiographie du fémur gauche CT bassin : rapport oral Dr. X : vis distale cassée, dissolution de la continuité au niveau de la fracture pertrochantérienne (fracture ancienne non consolidée en comparaison avec la radiographie de novembre 2017) Avis Dr. X Hospitalisation en orthopédie Antalgie Thromboprophylaxie Avis Dr. X (colloque orthopédie du 01.01.2018) : pas d'opération Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 02.01.2019 au 11.01.2019 avec : • Physiothérapie • Ergothérapie • Nutrition • Tests de la cognition : pas réalisables Laboratoire Radiographie du genou D face/profil US du genou D (Dr. X) Avis orthopédique (Dr. X, Dr. X) Attitude : • Bursectomie au bloc prévue le 28.01.2019, Mr. Y à jeun Laboratoire Radiographie du thorax Attitude : • Antalgie • Physiothérapie respiratoire. Laboratoire Radiographie du thorax du 07.01.2019 US abdomen complet et des voies biliaires le 08.01.2019 Analyses urinaires Hémocultures sur PAC et en périphérie le 07.01.2019 Ablation pompe de 5 FU (discuté avec oncologue traitant Dr. X, à tenir au courant au 079 754 88 67) le 07.01.2019 Pipéracilline-Tazobactam du 07.01 au 09.01.2019 4.5 g 3x Rocéphine 2 g 1x/j du 10.01 au 11.01.2019, puis Ciproxine 500 mg 2x/j du 11.01 au 14.01.2019 Flagyl 500 mg 3x/j du 10.01 au 14.01.2019 Laboratoire Radiographie du thorax du 28.12.2018 CT cérébral injecté 29.12.2018 EEG 03.01.2019 IRM neurocrâne et carotides injecté le 04.01.2019 US des vaisseaux pré-cérébraux le 09.09.2019 Bilan lipidique Holter le 03.01.2019 ETT le 09.01.2019 Consilium neurologie le 09.01.2019 Contact téléphonique avec psychiatre (Dr. X) : dernière modification : majoration du Lyrica le 06.12.2018, pas d'autre modification récente. Traitement lourd, mais stable. Possibilité de réduire Sertraline à 150 mg puis 100 mg Consilium psychiatrique le 09.01.2019 Introduction d'Aspirine Remplacement du Temesta par du Lexotanil sur avis psychiatrique Laboratoire Radiographie du thorax le 08.12.2018 Sédiment urinaire Urotube le 08.12.2018 : négatif Hémocultures le 08.12.2018 : négatives à 5 jours Ceftriaxone 2 g en intraveineux dès le 08.12.2018, stoppée le 10.12.2018 Co-Amoxicilline 625 mg 3x/j dès le 10.12.2018 jusqu'au 18.12.2018 Laboratoire Radiographie du thorax le 12.12.2018 Co-Amoxicilline 1.2 g 3x/j dès le 12.12.2018, stoppée le 13.12.2018 Hémoculture positive le 13.12.2018 : E. Coli Avis infectiologique, Dr. X : Rocéphine du 13.12.2018 au 18.12.2018 y compris Bactrim forte 800/160 mg, du 18.12.2018 au 22.12.2018 y compris Laboratoire Radiographie du thorax le 17.12.2018 Suivi biologique et clinique Laboratoire Radiographie du Thorax : pas de foyer Antigènes urinaires Pneumocoque/Legionelle : négatifs Antibiothérapie par Co-Amoxicilline iv 1.2 g 3x/j du 30.12.2018 au 02.01.2019 y compris Solumédrol 125 mg IV en ordre unique puis Prednisone 50 mg p.o. pour 4 jours soit jusqu'au 02.01.2019 y compris Physiothérapie Respiratoire Oxygénothérapie Laboratoire Radiographie du thorax Physiothérapie respiratoire Rocéphine 2 g en intraveineux jusqu'au 16.12.2018 Relais par Co-Amoxicilline 1.2 g 3x/j du 17.12.2018 au 24.12.2018 Laboratoire Radiographie du thorax. Stix sédiment. • Retour à domicile avec antalgie et traitement symptomatique. • Proposition de consulter chez son médecin traitant en fin de semaine. • Explication quant aux situations pour lesquelles il faudra reconsulter en urgence. Laboratoire Radiographie ECG Avis cardio • Att Coronarographie le 21.01.2019 Hospitalisation soins pour surveillance Laboratoire Radiographie genou gauche US Vasculaire = Dr. X (cf compte rendu) Avis Orthopédiste n°1 = Dr. X = demande de réalisation d'un US patellaire gauche afin d'identifier le contenu œdématié (Liquide VS Tissus) US Genou gauche le 27.01.2019 : épanchement articulaire Dr. X : ponction articulaire au bloc, arthroscopie selon le résultat. Hospitalisation de Mr. Y en orthopédie • Att • Ponction au bloc, arthroscopie selon résultat • Hospitalisation en orthopédie Laboratoire Radiographie lombaire : pas de fracture visible, arthrose sévère. CT lombaire (Dr. X) : pas de fracture, pas de lésion suspecte, troubles dégénératifs importants. US abdominal au lit du malade (Dr. X) : pas de globe urinaire, kyste rénal droit (connu), pas de dilatation pyélo-calicielle. Antalgie.Retour à domicile, rendez-vous en radiothérapie le 14.01.2019. IRM en ambulatoire, le patient sera convoqué. Laboratoire Radiographie poignet F/P Consilium orthopédie Attelle plâtrée fendue sans réduction de la fracture Aux urgences: • paracétamol 1g • Voltarène 50mg • Morphine 10mg po • Fentanyl 150 mcg Attitude: • Hospitalisation en orthopédie pour intervention • À jeun pour intervention dès que possible • Antalgie, surélévation et glace Laboratoire Radiographie poignet F/P Radiographie poignet F/P post réduction Consilium orthopédie (Dr. X) Aux urgences: • Morphine • Paracétamol • Voltarène Réduction sous doigtier japonais et attelle plâtrée Attitude: • Hospitalisation en chirurgie orthopédique • À jeun pour intervention le 06.01.2019 Laboratoire Radiographie thoracique = sd alvéolaire bilatéral ECG = sinusal régulier sans trouble de la conduction sans trouble de la repolarisation LASILIX 40 mg IVD GDS n°1 = Alcalose ventilatoire à 7.53 pH, Hypoxie à 8.1 mmHg, Hypocapnie à 4.0 VNI = PEP à 6, Aide à 9, FIO2 rapidement dégressif à 30%, Cyclage 25% GDS n° 2 (post VNI) = Amélioration de l'alcalose respiratoire avec Hyperoxie à 15.3 mmHg et résolution hypocapnie Discussion avec la patiente par rapport au projet de réanimation qui refuse toute réanimation invasive, pas de massage cardiaque, mais accepte une surveillance en SIC. CAT: • Hospitalisation en médecine pour surveillance clinico-biologique • Majoration TORASEMIDE Laboratoire Radiographie thorax, bassin CT cérébral le 21.01.2019 Add Dexaméthasone dès le 21.01.2019 Rendez-vous en radio-oncologie le 25.01.2019 à 09h00 Rendez-vous pour suite de prise en charge chez le Dr. X en oncologie le 30.01.2019 à 15h30 Laboratoire. Radiographie thorax face/profil. Laboratoire. Radiographie thorax. CT cérébral natif. Retour à domicile et contrôle dans la semaine chez le médecin traitant, pour entre autres réévaluer l'indication à une reprise du suivi psychiatrique. Laboratoire Radiographies de thorax Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Laboratoire Radio Hémocultures à froid: à suivre Avis orthopédique (Dr. X) ATT: • Opération prévue • Hospitalisation en orthopédie pour suite de la prise en charge Laboratoire Radiothorax Avis ORL (Dr. X): Probable radiomucite. Antalgie, soins de bouche. Évaluer antibiothérapie/antifongique Avis infectiologique (Dr. X): Pas d'indication à une antibiothérapie. Dose unique de Fluconazole puis suivi clinique. En cas de récurrence, à évaluer 100mg Fluconazole par jour pendant une semaine Traitement aux urgences: • 400mg Fluconazole ATT: • Mycostatine • Adaptation de l'antalgie • Suivi clinique et biologique • Suivi diététique à prévoir Laboratoire. Réassurance de la patiente. Soulagement par Dafalgan et Irfen aux urgences, retour à domicile avec ce même traitement. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Laboratoire. Réassurance. Retour à domicile avec Dafalgan, Irfen, Mébucaïne. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Laboratoire Recherche clostridium à pister Laboratoire. Recommandation de bien s'hydrater. Laboratoire. Repérage au crayon de la lésion pour suivre évolution (patient en meilleur état général depuis sa sortie le 31.12.18) Avis orthopédique : pas d'arthrite septique. Attitude: • Retour à domicile • Poursuite de l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1g 3x/j. • Réévaluation clinique au secteur ambulatoire des urgences à 48h. Laboratoire. Rocéphine 2g iv aux urgences puis relais par Ciproxine. Urotube du 03.01.2019 en attente. Laboratoire. RX thorax. Bladder scan. Hydratation iv. Mise en suspens du traitement habituel néphrotoxique et diurétique. Suivi biologique. Suivi pondéral. Laboratoire Rx bassin, hanche D ax. 05.12.2018 : fracture du col fémur déplacée avec angulation en varus, classée Garden III. Séquelles de fractures des branches ilio- et ischio-pubiennes des deux côtés. CT cérébral 05.12.2018: atrophie cortico-sous-corticale modérée en lien avec l'âge du patient et vraisemblable présence d'une leucoaraïose. Pas d'argument en faveur d'une lésion ischémique constituée ou hémorragique. À noter une asymétrie des artères cérébrales moyennes en défaveur du côté droit. Si persistance des symptômes, bilan à compléter par une IRM cérébrale. Rx bassin, hanche D ax. 07.12.2018 Rx thorax du 06.12.2018 CT thoracique 12.12.2018: absence d'embolie pulmonaire. Comblements bronchiques du tronc intermédiaire, des bronches lobaire moyenne et inférieure D ainsi que des bronches de plus petit calibre dans le lobe moyen, le lobe inférieur D et le lobe inférieur G, parlant en faveur d'un status post bronchoaspiration. Atélectases partielles dans les deux lobes inférieurs et dans la lingula. Épanchements pleuraux bilatéraux de faible abondance. Sonde nasogastrique en place se terminant au sein de l'estomac. Au niveau osseux, tassement des corps vertébraux de D4, D6, D7, D10, D11 et D12, d'aspect récent en D12, sans recul significatif des murs postérieurs. Les autres tassements ne sont pas datables. Rx colonne dorsale 13.12.2018 : sous réserve des différentes modalités et de l'examen réalisé en position assise, il n'y a pas de perte de hauteur supplémentaire clairement visible de la vertèbre D12. Pas de nouvelle fracture clairement mise en évidence, sous réserve de l'examen de qualité limitée. Pour le reste, épanchement pleural bilatéral avec troubles ventilatoires des bases pulmonaires. Le reste du status est superposable. Laboratoire Rx cheville et jambe droite F/P Rx cheville F/P D en charge Consilium orthopédie (Dr. X, Dr. X) Attitude: • Immobilisation dans une attelle préformée • Hospitalisation en orthopédie pour ORIF dès que possible • Antalgie simple Laboratoire. RX chevilles. MMSE. Antalgie par Dafalgan et Tramal en réserve. Physiothérapie de mobilisation. Laboratoire Rx épaule droite: sans particularité Rx lombaire: pas de fracture (confirmé par radiologue au scanner abdo) CT cérébrale (Dr. X): pas de lésion traumatique intracrânienne ni extracrânienne Traitements: • Fentanyl • Réserves d'Effentora Laboratoire Rx épaule F/N CT épaule Consilium orthopédie (Dr. X, Dr. X) Aux urgences: • Immobilisation dans un gilet orthopédique • Consentement effectué (Dr. X) Attitude: • Hospitalisation en orthopédie pour intervention dès que possible • Antalgie simple (intolérance morphine) Laboratoire Rx main gauche et genou gauche le 11.01.2019 CT cérébral natif le 11.01.2019 Avis orthopédique (Dr. X) le 11.01.2019: Gonarthrite septique peu probable. Suivi clinique rapproché, mobilisation selon douleurs. Antalgie Laboratoire Rx MID Co-amoxicilline 2.2 g iv Avis ortho (Dr. X) • Prise en charge opératoire Att: • Prise en charge au bloc opératoire Laboratoire Rx thoracique CT-scan cérébral natif du 26.01.2019 : pas de lésion traumatique Attitude: • Surveillance Laboratoire. Rx thoracique. Stix/Sédiment. US abdominal ciblé aux urgences : pas d'épanchement péricardique, pas de dilatation aortique, calculs visualisés dans la vésicule biliaire, léger épaississement de la paroi vésiculaire. Patient vu par Dr. X, chirurgienne de garde : pas d'argument pour cholécystite aiguë car pas de douleur de l'hypochondre droit à la palpation et Murphy négatif. US abdomen supérieur (transmission orale, Dr. X): paroi vésicule biliaire augmentée à 6 mm avec sludge, pas d'infiltration du foie, cholédoque distal pas visualisé. Kyste rein gauche complexe. -> IRM en ambulatoire à discuter. Aux urgences: Rocéphine 2g i.v., Flagyl 500 mg i.v. Avis chirurgical (Dr. X, Dr. X, Dr. X):• retour à domicile. • cholécystite probablement chronique. • pas d'antibiothérapie à domicile • contrôle biologique et clinique le 24.01.2019 en filière 34 (ad avis chirurgie). Laboratoire. RX thorax. Physiothérapie de mobilisation. Laboratoire Rx thorax Gazométrie Aérosols: Atroven, ventolin, Solumédrol 125 mg le 21.01.19, puis Prednisone 50 mg du 22.01.19 au 25.01.19 Une séance de VNI d'une heure le 21.01.19 Physiothérapie respiratoire Att: Hospitalisation en soins intensifs pour la suite de la prise en charge Laboratoire. RX thorax. Lasix 40 mg iv en ordre unique le 26.12.2018, puis 20 mg - 3 x/jour le 27.12.2018. Oxygénothérapie. Torasemide 40 mg en dose unique le 28.12.2018. Mise en place d'une sonde vésicale. Laboratoire. RX thorax. Restriction hydrique à 1.5 l/jour. Laboratoire. Rx thorax. Urines. Aux urgences: • Co-Amoxicilline 2.2 g IV • 1000 ml en IV Traitement de Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 5 jours. Retour au EMS le 23.01.2019 au matin. Contrôle clinique et biologique au secteur ambulatoire des urgences le 23.01.2019. Laboratoires Laboratoires : cf annexe RX thorax : image cardiovasculaire normale sans signe d'insuffisance cardiaque. Il n'y a pas d'image pathologique dans les champs pulmonaires, notamment pas d'opacité en faveur d'un foyer de pneumonie. Pas d'épanchement pleural. Cadre osseux sans particularité. US abdominal : examen dans les limites de la norme. En particulier pas de dilatation des voies biliaires ou d'anomalie rénale. CT-scan cérébral : pénombre ischémique frontale gauche, compatible avec la symptomatique, sans signe de thrombus ou de sténose significative des vaisseaux intra et pré cérébraux. Athérome calcifié des siphons et des bulbes carotidiens. IRM cérébrale : AVC ischémique constitué de petite taille en regard du splénium du corps calleux latéralisé à droite dans le territoire de la cérébrale antérieure. Leucopathie micro vasculaire avec séquelles d'AVC ischémique post-central gauche et multiples lacunes des centres semi-ovales. Perméabilité des vaisseaux intracrâniens. Coronarographie : l'examen invasif démontre une lésion significative au niveau de l'artère circonflexe ostiale/proximale et au niveau de l'ACD proximale. L'IVA montre une lésion à 30-50%. Echocardiographie transthoracique : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60% (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Valve aortique normale. Absence de rétrécissement aortique. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Valve mitrale normale. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. L'examen ne montre pas d'origine cardio-embolique. Une injection de microbulles devrait avoir lieu pour compléter le bilan. Echocardiographie transthoracique avec test aux microbulles : visualisation d'un FOP (attente rapport définitif). Ultrason des carotides : athéromatose avec plaques aux bulbes sans sténose significative. Holter sur 72h le 10.01.2019 : lors de cet enregistrement nous avons pu constater : une fréquence cardiaque moyenne de 77 bpm, maximale 94 bpm, minimale 64 bpm. La présence d'une extrasystolie ventriculaire complexe de faible incidence. Doublets. La présence d'une extrasystolie supraventriculaire complexe de faible incidence. Doublets. RR Max : 1090 ms. Pas de sus ni sous décalage du segment ST significatif. Les enregistrements volontaires sont sans particularités. Laboratoires : cf annexes. Laboratoires : cf annexes ECG le 24.12.2018 : rythme sinusal régulier, normocarde à 79 battements par minute, axe gauche à -23°, QRS fin à 106ms, segment ST iso-électrique, image en rsR' en v1, transition précoce en V2. QTc à 487ms. RX thorax du 31.12.2018 : étalement de la silhouette cardiomédiastinale lié à la position couchée. Status après sternotomie avec deux cerclages intacts pour pontage aorto-coronarien. Sclérose aortique. Artères pulmonaires accentuées, épaississement bronchique péri-hilaire évoquant un syndrome obstructif lié à l'âge. Pas de foyer systématisé visible. Pas d'épanchement pleural décelable. RX abdomen du 31.12.2018 : status après résection antérieure basse avec anus praeter dans le flanc gauche. Stase stercorale modérée. Pas de distension colique ou grêle visible. Multiples phlébolithes pelviens. Endoprothèse aortique plus double endoprothèse aorto-bi-iliaque. Anévrisme calcifié de l'artère iliaque interne gauche. Importantes lésions dégénératives pluri-étagées du rachis lombaire. Prothèse totale de hanche gauche. Coxarthrose droite. US abdomen du 31.12.2018 : status après cholécystectomie. Ectasie du canal cholédoque sans évidence de calcul. Discrète stéatose hépatique sans évidence de masse secondaire compte tenu des antécédents de cancer du bas rectum. Absence de dilatation pyélocalicielle droite. Suspicion de double système urétéral gauche. Pas de dilatation massive visible. Pas de liquide libre. CT scanner thoraco-abdominal le 03.01.2018 : pas de cause objectivée aux troubles alimentaires, notamment pas d'anomalie visualisée au niveau de l'œsophage et avec un examen superposable pour la partie abdominale au comparatif du 09.11.2016. Pour mémoire, dilatation pyélocalicielle bilatérale sans cause obstructive clairement objectivée, mais probablement en partie du moins à l'origine de l'insuffisance rénale connue. Echocardiographie transthoracique du 07.01.2019 (Dr. X) : pas de végétations clairement visibles sur les valves gauches. Toutefois, comme discuté, cet examen transthoracique de qualité moyenne ne permet pas d'exclure une endocardite, notamment droite. De plus, la bactériémie datant de moins de 72 heures et le patient étant traité depuis lors, la probabilité de la présence d'une végétation suffisamment grande pour être visualisée est faible. Cf rapport annexé. Tests de la cognition du 27.12.2018 : MMSE à 24/30, test de la montre à 6/7, GDS à 0/15. Laboratoires : cf. annexes. Coronarographie en urgence le 22.01.2019 (Dr. X) : occlusion de la circonflexe moyenne qui est directement recanalisée, dilatée et traitée par la pose de 2 stents actifs dans la circonflexe moyenne et proximale avec bon résultat final. Echocardiographie transthoracique le 24.01.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie minime de la paroi inférieure moyenne, de la paroi inféro-basale et de la paroi postérieure moyenne. FEVG à 65 %. Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Valve aortique normale. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoires : cf annexes. Coronarographie le 05.01.2019 : maladie coronarienne de 3 vaisseaux. Cet examen montre une maladie coronarienne sévère calcifiée de 3 vaisseaux, avec une occlusion ancienne de l'artère coronaire droite, très bien collatéralisée par l'artère coronaire gauche avec une bonne qualité du lit de l'artère coronaire droite jusqu'à sa partie distale, une sténose longue très calcifiée de 70-80% de l'IVA proximale et une sténose focale de 90% d'une 1ère marginale. Les fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche sont conservées (FE : 60%). Il existe donc une indication claire à une revascularisation chirurgicale, mais il faut d'abord compléter le bilan (pneumo, onco, angio). Dans l'intervalle traitement médicamenteux optimal (nitrés ou Dancor, BB faiblement dosé, etc.).Echocardiographie transthoracique le 07.01.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique. Aorte normale. Valve aortique normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Dysfonction diastolique modérée (grade II). Oreillette gauche modérément dilatée. Ventricule droit normal. Oreillette droite modérément dilatée sans dilatation du ventricule droit. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Bilan angiologique avec écho-doppler des MI et vaisseaux pré-cérébraux le 07.01.2019 : US-Doppler artériel précérébral : perméabilité des artères carotides communes, internes et externes, des deux côtés avec flux physiologiques, peu résistifs et antérogrades. Minime athéromatose des bifurcations, sans sténose. Les artères vertébrales sont perméables en V1 et V2 avec des flux antérogrades et peu résistifs. Repérage veineux des 2 MI : le patient a été opéré des varices 2 fois. La grande saphène G peut être prélevée du pli inguinal au genou. Fonctions pulmonaires le 08.01.2019 : rapport en cours. Laboratoires : cf annexes Coronarographie le 07.01.2019 : L'examen invasif du jour démontre comme raison pour le SCA une thrombose aiguë du stent actif de l'ACD proximale. Après aspiration de plusieurs caillots et une dilatation de l'ACD moyenne, le flux est normal. Les stents plus distaux ne montrent pas de resténoses. Le résultat après stenting au niveau de l'IVA est bon. Juste avant le stent au niveau de l'IVA proximale, on note une lésion intermédiaire (50 %). La fonction systolique du VG est normale (le territoire de l'ACD reçoit une perfusion par des collatérales de l'IVA). Laboratoires : cf annexes. Coronarographie le 22.01.2019 : occlusion thrombotique de l'IVA proximale comme corrélat angiographique à l'infarctus STEMI antéro-latéral qui est directement recanalisé par thrombo-aspiration, dilaté et stenté en urgence avec bon résultat final. La fonction systolique du VG est sévèrement diminuée (EF 25 %) avec une akinésie apicale et antéro-latérale étendue. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 12 mois et anticoagulation avec DOAC. IEC, BB, antagoniste du récepteur minéralocorticoïde. ETT aujourd'hui et dans 4 semaines pour réévaluer l'anticoagulation. Évaluation d'un défibrillateur implantable par la suite. Echocardiographie transthoracique le 22.01.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une akinésie du septum apical, du septum moyen, de la paroi latéro-apicale, de la paroi latérale moyenne, de la paroi antéro-apicale, de la paroi antérieure moyenne et de la paroi septale antérieure moyenne, une hypokinésie sévère de la paroi inféro-apicale et une hypokinésie minime du septum basal et de la paroi septale antérieure basale. FEVG à 30 % (évaluation visuelle). Cœur droit normal. Pas de valvulopathie significative. Communication interventriculaire périmembraneuse s'étendant vers la chambre de chasse de petite taille d'origine congénitale peu importante. Cette CIV nécessite une simple surveillance régulière. Absence d'épanchement péricardique. Absence d'évidence pour un thrombus apical. CIV de probable origine congénitale sans critères de gravité. Echocardiographie transthoracique le 24.01.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une akinésie de la paroi apicale, du septum moyen, de la paroi latérale moyenne et de la paroi septale antérieure moyenne, une hypokinésie sévère de la paroi antérieure moyenne et de la paroi septale antérieure basale, une hypokinésie modérée de la paroi postérieure moyenne et une hypokinésie minime du septum basal. FEVG à 30 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Absence d'épanchement péricardique. Absence d'évidence pour un thrombus apical. Continuation de l'OAC, ASA, Efient et traitement de l'insuffisance cardiaque. Suivi échocardiographique d'ici 4 semaines. Laboratoires : cf annexes. CT cérébral le 07.01.2019 : examen de l'encéphale dans les limites de la norme. CT abdominal le 07.01.2019 : foie stéatosique avec atrophie du foie gauche connue. Atrophie du corps du pancréas, connue. Pas de foyer abdominal, et notamment pas d'argument scannographique en faveur d'une cholécystite aiguë. Laboratoires : cf annexes. CT cérébro-thoraco-abdominal le 11.01.2019 : absence de lésion ischémique constituée ou hémorragique. Comblement du sinus maxillaire droit. Calcifications coronariennes tritronculaires. Épaississement bronchique diffus avec quelques impactions dans la pyramide basale droite. Condensations dans les parties déclives et périphériques des lobes inférieurs (broncho-aspiration ?). Épaississement modéré de tout l'œsophage (œsophagite ?). Stéatose hépatique diffuse, sans lésion focale parenchymateuse. Lésion nodulaire infracentimétrique dans le processus uncinatus du pancréas. Laboratoires : cf annexes. ECG du 10.12.2018 : rythme sinusal normocarde à 60/min, PR 200 ms, QRS 90 ms, QTc 476 ms. Onde Q en III et aVF. Contrôle pacemaker le 11.12.2018, HFR Fribourg - Hôpital cantonal : cf rapport annexé. RX bassin et hanche droite du 10.12.2018 : pas de lésion traumatique ostéoarticulaire décelable. Interlignes articulaires réguliers, d'épaisseur conservée. Congruence coxo-fémorale préservée, sans argument radiologique pour un conflit fémoro-acétabulaire. Pas d'altération de la structure osseuse. Mise en évidence d'une structure fécaloïde mesurant 88 x 96 mm en projection du pelvis et devant correspondre à un fécalome dans l'ampoule rectale. US parties molles de la cuisse droite du 10.12.2018 : mise en évidence d'une déchirure du tiers proximal du biceps fémoral, sans rétraction musculaire mise en évidence et associée à un hématome intramusculaire. Pas de tuméfaction des tissus mous, ni d'hématome sous-cutané. Nous proposons de corréler l'examen à une IRM afin de mieux visualiser l'atteinte. US partie molle de la cuisse droite du 11.12.2018 : nous retrouvons une déchirure du biceps fémoral droit avec une interruption des fibres et un hématome qui s'étend sur environ 4 cm de longueur. Dans la périphérie du muscle, nous visualisons un hématome plus étendu qui s'étend sur environ 8 cm d'extension crânio-caudale. Plus proximalement, nous visualisons un 3ème hématome en partie sous-cutanée, mal délimité, d'environ 4 cm x 4 cm pour un 1,2 cm d'épaisseur. Tests de la cognition du 12.12.2018 : MMSE à 26/30, test de la montre à 7/7 ; GDS à 1/15. Test de Schellong du 17.12.2018 : négatif. Laboratoires : cf annexes. ECG du 13.12.2018 : cf copies annexées. CT crâne le 25.12.2018 : absence de saignement intracrânien. L'examen a été réalisé à l'hôpital de Riaz, et interprété en téléradiologie depuis l'hôpital cantonal de Fribourg, avec transmission des résultats par téléphone au médecin en charge du patient. RX thorax du 26.12.2018 : aorte déroulée calcifiée. Pas d'épanchement pleural visible. Épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. US abdominale le 27.12.2018 : foie de configuration cirrhotique avec une thrombose porte et une petite ascite, ainsi qu'une splénomégalie. Vésicule biliaire contenant un matériel hyperéchogène, compatible avec du sludge et des calculs (connus).RX genou gauche le 29.12.2018 : ostéochondrose avec épanchement intra-articulaire dans le contexte d'une gonarthrose. Tests de la cognition du 07.11.2018 : MMS 23/30 (atteinte cognitive légère), GDS à 7/15. Consilium géronto-psychiatrique du 09.01.2019, Dr. X : cf rapport annexé. Laboratoires : cf. annexes. ECG le 27.12.2018 : normal. CT abdominal non injecté du 27.12.2018 (Dr. X, revu par Dr. X le 28.12.2018) : iléus de l'intestin grêle avec faible dilatation des anses de >3cm, pas de liquide libre, pas de signes de souffrance, pas de saut de calibre (pas d'élément pour un iléus mécanique). Kystes au niveau des deux reins. Stéatose hépatique avec cholécystolithiase sans signes de cholécystite. Hyperplasie bénigne de la prostate. Une ischémie mésentérique ne peut être formellement exclue par cet examen. Laboratoires : cf. annexes. ECG 04.01.2019 : rythme irrégulier sans onde P clairement visualisée, bloc de branche gauche déjà présent à l'ECG du mois d'octobre, ondes T pointues dans le cadre d'hyperkaliémie. ECG 05.01.2019 : rythme sinusal régulier avec FC à 52/min, image de bloc de branche gauche. ECG 06.01.2019 : rythme irrégulier sans onde P, image de bloc de branche gauche superposable. Rx colonne lombaire le 04.01.2019 : perte de hauteur de la vertèbre L2 connue, avec une scoliose sinistro-concave. Discret antérolisthésis de L3 sur L4 de <25%, correspondant à un grade I selon Meyerding, inchangé par rapport au comparatif de 2012. RX de thorax le 04.01.2019 : cardiomégalie sans signe d'insuffisance cardiaque. Pas de nodule suspect ni de foyer infectieux dans les deux champs pulmonaires. Pas d'épanchement pleural, pas de pneumothorax. Les tissus mous et le cadre osseux sont de morphologie normale, sans évidence de fracture costale en particulier. CT cérébral natif le 04.01.2019 : hématome sous-galéal frontal droit, post-traumatique. Petite contusion hémorragique punctiforme temporale gauche. Atrophie cérébrale et leuco-araïose. CT cérébral natif et injecté le 06.01.2019 : la petite contusion hémorragique punctiforme temporale gauche n'est plus visible actuellement. Le reste de l'examen cérébral est superposable, sans hémorragie intracrânienne notable et sans signe d'AVC ischémique constitué. Occlusion du segment V2 et V4 de l'artère vertébrale droite (DD : dissection?). Athéromes calcifiés avec sténose d'environ 50% du départ des artères carotides internes. Pas d'anomalie notable du polygone de Willis. Echocardiographie transthoracique le 07.01.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie globale légère à modérée. FEVG à 45% (estimé visuellement). Visuellement cardiomyopathie hypertrophique homogène. Sténose aortique légère avec surface aortique à 1,68 cm² (0,91 cm²/m²) et gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale légère. Elévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche très dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. IRM cérébrale le 08.01.2019 : absence d'AVC ischémique aigu. Leucopathie microvasculaire Fazekas II. Quelques micro-saignements corticaux punctiformes. Athérome calcifié de l'artère vertébrale droite dans son segment V4 avec occlusion du segment proximal et re-perméabilisation plus distale rétrograde. Calcification athéromateuse des siphons carotidiens, sans sténose significative. Laboratoires : cf. annexes. Hémocultures : négatif à 5 jours. Expectorations : flore bucopharyngée. Antigènes urinaires : négatifs. ETT du 05.01.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie modérée de la paroi postérieure et de la paroi inféro-basale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. HTAP minime (PAPs à 45 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Absence d'épanchement péricardique. Coronarographie du 14.01.2019 (Dr. X) : l'examen invasif du jour démontre une maladie tritronculaire sévère avec des calcifications aortiques extrêmes (porcelain aorta). La fonction systolique du VG est normale. L'artère subclaviaire gauche montre une lésion significative avant le départ de l'artère mammaire gauche. Nous avons discuté deux options thérapeutiques parce que le patient aimerait un traitement interventionnel ou opératoire. • PTA/Stent A. subclav. et après PAC LIMA-RIVA. • PTCA tronc commun/IVA : intervention à haut risque. Laboratoires : cf annexes. Hémocultures le 10.01.2019. Frottis naso-pharyngé négatif pour Influenza et RSV le 10.01.2019 : négatifs. Antigènes urinaires pour Légionelle et Pneumocoque le 12.01.2019 : négatifs. ECG : Qtc 391 ms. CT thoracique le 12.01.2019 : au sein du parenchyme pulmonaire, mise en évidence de plages en verre dépoli à distribution centrale et prédominant dans les lobes supérieurs, aspécifiques, dont une origine infectieuse ne peut pas être exclue (DD : PCP ? CMV ? Autre ?). Pas d'embolie pulmonaire mise en évidence. Emphysème centro-lobulaire prédominant aux apex ddc. Avis pneumologique (Dr. X) le 12.01.2019 : le CT-scan montre 1) emphysème centro-lobulaire et 2) infiltrats verre dépoli péribronchovasculaire => DD : atteinte toxique sur méthotrexate possible, léflunomide possible, Infliximab peu probable. Immunosuppression met à risque de PCP, germes atypiques, origine virale moins probable. Proposition d'un traitement empirique d'un PCP et discuter de faire une bronchoscopie (mardi 15.01.2019) pour obtenir PCR à la recherche de PCP. Laboratoires : cf. annexes. IRM cérébrale le 14.01.2019 : pas d'argument en faveur d'une lésion ischémique aiguë sur le présent examen. Laboratoires : cf annexes. Oeso-gastro-duodénoscopie le 03.01.2019 : suspicion légère de gastrite antrale. Reste de l'examen oeso-gastro-duodénoscopique sans particularité et sans trace de saignement. Laboratoires : cf. annexes. Radiographie de thorax le 13.01. et le 14.01.2019. Echocardiographie transthoracique le 14.01.2019 : rapport en cours (à suivre). Laboratoires : cf. annexes. RX thorax le 03.01.2019 : silhouette cardio-médiastinale dans les normes. Hiles pulmonaires proéminents des deux côtés. Discret épanchement pleural gauche. Récessus costo-diaphragmatique droit situé en dehors du cliché. Pas de pneumothorax visible, sous réserve d'un examen effectué en position couchée. Emphysème pulmonaire diffus et bilatéral avec ventilation symétrique des plages pulmonaires, sans foyer visualisé. Tissus mous et structures osseuses sans particularité. RX thorax le 03.01.2019 : st/p intubation avec projection de la pointe du tube à environ 4,5 cm de la carène. Silhouette cardio-médiastinale dans les normes. Hiles pulmonaires sans particularité. Petit épanchement pleural gauche, DD adhérences pleurales. Pas d'épanchement pleural droit. Absence de pneumothorax. Hyperinflation des plages pulmonaires des deux côtés avec raréfaction des vaisseaux dans un contexte de BPCO connu. Absence de foyer alvéolaire. Tissus mous et structures osseuses sans particularité. RX thorax le 03.01.2019 : st/p intubation, d'aspect identique au comparatif. Mise en place d'une sonde naso-gastrique sans signe de complication. Persistance d'un petit épanchement pleural gauche. Reste de l'examen superposable au comparatif.ETT le 03.01.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile globale normale. FEVG à 65 %. Aorte normale. Valve aortique normale. Valve mitrale normale. Oreillette gauche non dilatée. Dilatation importante du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit modérément altérée. Dilatation importante des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Valve pulmonaire normale. Décollement péricardique systolique isolé. Laboratoires : cf copies annexées. Echocardiographie transthoracique du 16.01.2019, Dr. X : conclusion : examen globalement superposable au comparatif du 11.10.2018. Cf rapport annexé. Tests de la cognition : MMSE à 22/28 ; GDS à 8/15. Laboratoires : cf copies annexées. Coprocultures : • 17.12.2018 : C. difficile + avec toxines A/B • 29.12.2018 : C. difficile + avec toxines gène ADN. ECG du 15.12.2018 : rythme sinusal irrégulier à 82/min, PR 88 ms, QRS larges avec bloc de branche gauche complet connu, ondes T négatives de V1 à V3, QTc 522 ms. RX thorax du 15.12.2018 : cardiomégalie avec un déroulement de l'aorte thoracique ainsi qu'un infiltrat bilatéral diffus avec épanchements pleuraux ddc, notamment dans la petite scissure, évoquant une décompensation cardiaque. Omarthrose droite. CT scan abdominal du 15.12.2018 : sous réserve d'un examen en séries natives, pas de franche collection mise en évidence. Volumineux globe vésical provoquant une hydronéphrose en amont, sans calcul radio-opaque visible. Liquide libre dans les quatre quadrants probablement en lien avec une insuffisance rénale aiguë. Sous réserve d'un examen en phase native, signes de pancolite. Est associée une importante coprostase. Dilatation des anses grêles modérées sans franc saut de calibre mise en évidence, probablement en lien avec l'effet de masse provoqué par le globe vésical, une bride n'est pas totalement exclue. Foyer infectieux basal droit. Lésion ronde en regard de la pointe du foie, aspécifiques à corréler avec une échographie ou un IRM. Abdomen sans préparation du 28.12.2018 : iléus grêle avec des anses mesurées jusqu'à 3,5 cm de diamètre. Pas de calcification pathologique. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis lombaire avec ostéophytose intersomatique prédominant en L3-L4 du côté gauche. Laboratoires : cf copies annexées. CT scan abdominal du 03.01.2019 : pas d'urolithiase ni de dilatation des voies urinaires. En l'absence d'anomalie visible mais dans le contexte clinique compatible avec une pyélonéphrite, il a été choisi de ne pas injecter de produit de contraste. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 01.01.2019 : fibrillation auriculaire à 106 bpm, bloc de branche gauche, QTc 400 ms, pas de trouble de la repolarisation. RX thorax du 03.01.2019 : cardiomégalie avec flou péri-hilaire. Epanchements pleuraux bilatéraux avec opacités bibasales DD atélectasies passives versus foyers surajoutés. Important élargissement de la carène devant correspondre à une dilatation de l'oreillette gauche dans le cadre d'une insuffisance cardiaque décompensée. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 01.01.2019 : rythme sinusal avec extrasystoles auriculaires et ventriculaires avec fréquence cardiaque à 101 battements par minute, normoaxé, QRS fin, pas de signes d'ischémie aiguë, QTc à 447 ms. ECG long du 02.01.2019 (avis Dr. X dans un contexte de suspicion de FA) : rythme sinusal avec présence d'extrasystoles auriculaires et jonctionnelles. ECG du 08.01.2019 : rythme sinusal avec extrasystoles auriculaires, avec fréquence cardiaque à 79 battements par minute, normoaxé, QRS fin, pas de signe d'ischémie aiguë, QTc à 391 ms. CT cérébral natif du 02.01.2019 : conclusion : absence d'hémorragie intracrânienne ou de fracture. RX de face et profil, bassin et sacrum du 03.01.2019 : thorax : par rapport au CT-Scanner thoracique du 17.10.2011, nous retrouvons une surélévation de l'hémi-coupole diaphragmatique droite avec des troubles ventilatoires à la base en regard, mais pas d'évidence de foyer pulmonaire. Nous retrouvons également des granulomes calcifiés au niveau de la plage pulmonaire droite ainsi qu'une hernie hiatale. Coeur de taille à la limite supérieure de la norme avec un déroulement des calcifications de l'aorte, mais pas de signe d'insuffisance cardiaque. Déminéralisation osseuse diffuse. Bassin, sacrum : lésions dégénératives multi-étagées avancées du rachis lombaire avec scoliose dextro-convexe. Calcifications artérielles avancées. Aspect irrégulier de la jonction sacro-coccygienne, à confronter avec la clinique, mais pas d'autre image suspecte de fracture. Tests de la cognition du 10.01.2019 : MMSE à 22/30, test de la montre à 5/7 ; GDS à 7/30. Test de Schellong du 09.01.2019 : négatif. Laboratoires : cf copies annexées. Hémocultures : négatives à 5 jours. Urotube : positif pour E. coli. Culture d'expectorations : contamination buccale. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. ECG du 10.01.2019 : rythme sinusal régulier à 94 bpm, PR 178 ms, QRS fin avec un axe normal à 45°, ST isoélectrique, pas d'onde Q pathologique, progression de l'onde R avec une transition en V2-V3, QTc 413 ms, pas de signe d'hypertrophie ventriculaire gauche. RX thorax du 10.01.2019 : opacité alvéolaire para-cardiaque gauche silhouettant le bord gauche du coeur devant correspondre à un foyer de pneumonie lingulaire. Pas de foyer de pneumonie à droite. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Cadre osseux sans particularité. RX thorax du 15.01.2019 : par rapport au 10.01.2019, nette diminution de l'opacité alvéolaire lingulaire témoignant d'une évolution favorable du foyer pulmonaire. A droite pas de foyer de pneumonie. Pas d'épanchement pleural. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Cadre osseux sans particularité. Laboratoires : cf copies annexées. Hémocultures positives pour E. coli. Urotube : positif pour E. coli. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. ECG du 05.01.2019 : rythme en fibrillation auriculaire à 97/min, QRS fins, segment ST isoélectrique, pas d'onde Q pathologique, progression de l'onde R avec une transition en V3, QTc à 428 ms, pas de signe d'hypertrophie ventriculaire gauche. RX thorax du 05.01.2019 : thorax de taille dans les limites supérieures de la norme avec indice cardio-thoracique de 16/33. Pas de décompensation cardiaque. Frange graisseuse à l'apex cardiaque. Sclérose aortique. Absence de foyer parenchymateux systématisé visible. Pas d'épanchement pleural. Lésion dégénérative du rachis. Status après ostéosynthèse humérale droite. Arthrose acromio-claviculaire bilatérale. RX épaule droite du 05.01.2019 : status après enclouage centro-médulaire de l'humérus verrouillé proximalement et distalement par une vis pour une fracture spiroïde diaphysaire moyenne de l'humérus. Matériel en place intact. Présence d'une cale. Arthrose acromio-claviculaire. CT scan cérébral du 05.01.2019 : pas de saignement intra- ou extra-axial, pas de fracture sur le volume exploré. On note la présence d'une hyperdensité spontanée du tronc basilaire dd thrombus dd artefact pour lequel nous recommandons une injection de produit de contraste en fonction de l'examen clinique. Remaniements séquellaires post-accident vasculaire cérébral du territoire sylvien du côté droit. Pour exclure un accident vasculaire cérébral aigu sur chronique et en raison de l'insuffisance rénale aiguë, nous recommandons d'effectuer une IRM.US des voies urinaires du 08.01.2019 : les deux reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. La vessie est peu remplie mais ses parois paraissent tout de même épaissies et irrégulières pouvant correspondre à une vessie de lutte, versus en relation avec l'infection urinaire. Toutefois la prostate n'est pas agrandie avec un diamètre transverse mesuré à 43 mm, sans signe d'abcès intra-prostatique. La sonde vésicale à ballonnet est en bonne position. Laboratoires : cf copies annexées. • Hémofécatest le 28.12.2018 : positif. • Recherche anti PF4 (HUG) : négative. • HIPA test in-vitro (Inselspital) : négatif Test de Schellong du 19.12.2018 : négatif. Laboratoires : cf copies annexées. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. PCR multiplex selles : négative. ECG du 03.01.2019 : rythme en extra-supraventriculaire à 72 bpm, bloc atrio-ventriculaire du 1er degré, QRS fin avec un axe 65°, aspect de bloc de branche gauche incomplet, ST isoélectriques, pas d'onde Q pathologique, progression de l'onde R avec une transition V3, QTc 475 ms, pas de signe d'hypertrophie ventriculaire gauche. Bladder scan post-mictionnel : résidu de 534 ml. RX thorax du 03.01.2019 : élargissement global de la silhouette cardiomédiastinale. Aorte déroulée calcifiée. Épanchement pleural gauche de faible abondance avec hypoventilation basale. RX thorax du 10.01.2019 : par rapport au 03.01.2019, on retrouve une cardiomégalie. Le flou péri-hilaire est un peu moins prononcé ainsi que l'épaississement de la trame interstitielle (résolution de l'insuffisance cardiaque). Régression de l'épanchement pleural bilatéral qui était plus marqué à gauche. Pas de foyer pneumonique visible. Ostéopénie. Spondylose dorsale avec tassement dorsal moyen inchangé. Net remaniement de l'articulation de l'épaule droite, à confronter à un examen ciblé si l'on veut aller plus loin dans les investigations. Laboratoires : cf copies annexées. RX thorax du 25.12.2018 : aorte déroulée et calcifiée. Épaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire. Probable composante d'épanchement pleural bilatéral de faible abondance. Bilan angiologique - Dr. X - du 28.12.2018 : situation artérielle aux membres inférieurs stable des deux côtés. Pas de thrombose veineuse profonde ni superficielle du membre inférieur droit avec bon flux jusqu'en tibial postérieur et pédieux et valeur de pléthysmographies au-dessus du seuil d'ischémie des deux côtés. Bon flux au niveau du stent poplité à gauche et bon flux en pédieux à gauche. Laboratoires : cf copies annexées. • Sédiment urinaire : +++ leucocytes, ++++ sang. • Uriculture : Staphylococcus lugdunensis. ECG du 15.01.2019 : rythme irrégulier, sinusale, à 100 battements par minute, espace PR à 176ms, QRS fins et normo-axé à -26°, inversion des ondes T en V5-V6, variations des QRS en mV. RX thorax de face du 15.01.2019 : aorte déroulée calcifiée. Pas d'épanchement pleural visible. Hypertransparence pulmonaire bilatérale. Laboratoires : cf copies annexées. • Sédiment urinaire : leucocytes et érythrocytes inférieurs à 3 par champs. RX thorax de face, bassin, hanche axiale droite et colonne lombaire de face et profil du 02.01.2019 : thorax : cœur de taille dans les limites de la norme en tenant compte de la position couchée. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de fracture de côte, ni de pneumothorax visualisé. Colonne : lésions dégénératives multi-étagées du rachis lombaire en relation avec l'âge de Mme. Y, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Petit anthérolisthésis de niveau L5-S1. Bassin, hanche droite : status après mise en place de prothèses totales bilatérales. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée, notamment pas de fracture périprothétique. Tests de la cognition du 06.01.2019 : MMSE à 29/30, test de la montre à 2/7 ; GDS à 0/15. Laboratoires : cf copies annexées. • Sédiment urinaire : leucocytes (3+) sans nitrites. Cf copies annexées. ECG du 07.12.2018 : rythme sinusal régulier, fréquence cardiaque à 52 battements par minute, PR allongé à 280ms, QRS fins, ST isoélectriques, transition onde R en V2, absence d'onde Q, pas de troubles de la repolarisation spécifiques. BAV de type I. Holter du 11.12.2018, Dr. X : cf rapport annexé. CT cérébral natif et injecté et des vaisseaux du cou du 07.12.2018 : 3 petites hypodensités corticales en rapport vraisemblablement avec des lésions ischémiques subaiguës du gyrus frontal moyen de chaque côté et du gyrus temporal supérieur gauche. Absence de thrombose des vaisseaux intra crâniens. Tests de la cognition du 12.12.2018 : MMSE à 19/30, test de la montre à 1/7 ; GDS à 5/15. Consilium neuropsychologique du 13.12.2018 : profil cognitif diffus et sévère ayant probablement une étiologie multiple, à savoir vasculaire (AVC) et possiblement neurodégénératif, mais serait à confronter avec une hétéroanamnèse afin de confirmer l'apparition des troubles. Au vu des résultats et d'un point de vue strictement neuropsychologique, la conduite est contre-indiquée. Cf rapport annexé (à pister). Test de Schellong du 09.12.2018 : négatif. Laboratoires : cf copies annexées. • Stix et sédiment urinaires : leucocytes, nitrites et sang : négatifs. ECG du 04.01.2019 : normoaxé, extrasystoles ventriculaires. Laboratoires : cf copies annexées. • Stix/sédiment urinaire : leucocytose+++, sang, nitrites négatives. ECG du 05.01.2018 : normoaxé, fibrillation auriculaire, QRS fins, pas de prolongation QT. RX thorax de face et profil du 05.01.2019 : épanchement pleural d'allure cloisonnée à la base droite, mais pas d'image nette de foyer pulmonaire. Cardiomégalie modérée. Déminéralisation osseuse diffuse. Tests cognitifs le 08.01.2019 : MMSE 20/30, test de l'horloge 0/7 ; GDS 4/15. Bilan neuropsychologique en ambulatoire : rendez-vous le 05.03.2019 à 14h HFR Billens. Laboratoires : cf copies annexées. • Urotube : cf copies annexées. • Deux paires d'hémocultures : négatives RX du thorax du 18.12.2018 : composante d'épanchement pleural bilatéral avec comblement du cul-de-sac costo-diaphragmatique, essentiellement à gauche avec troubles ventilatoires. Aspect élargi de façon globale de la silhouette cardio-médiastinale : aorte déroulée, calcifiée. Pas d'image de foyer décelable dans les limites de la radiographie réalisée, un foyer rétro-cardiaque ne peut être exclu. Aspect très déminéralisé de la trame osseuse. US voies urinaires du 20.12.2018 : les 2 reins sont en place, de taille à la limite inférieure de la norme, mesurant environ 9cm de grand axe, mais sans dilatation pyélocalicielle. Quelques kystes corticaux ddc, plus nombreux du côté gauche. La vessie en réplétion présente des parois fines. Conclusion : pas de signe de complication de pyélonéphrite, ni de dilatation pyélocalicielle. Laboratoires : cf copies annexées. • Urotube du 08.01.2019 : Enterococcus faecalis et Enterococcus faecium. • Urotube et examen direct urine du 14.01.2019 : propres OGD du 17.01.2019 : ulcère en cours de guérison au niveau de la face postérieure du bulbe duodénal. Multiples polypes d'allure glandulo-kystique au niveau du corps gastrique, diagnostic différentiel : sur prise chronique d'IPP. Colonoscopie du 17.01.2019 : impossible à effectuer vu la mauvaise préparation.Diagnostic anatomopathologique de biopsie du duodénum du 17.01.2019, Promed P2019.655 : muqueuse duodénale normale. Muqueuse gastrique normale. Cf apport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. Angio-CT cérébral le 12.12.2018 : accident vasculaire cérébral ischémique sylvien droit, sur occlusion de l'artère carotide interne dans son segment pétreux (C2) jusqu'au segment M1 de l'artère cérébrale moyenne homolatérale, associée à une large zone de pénombre fronto-pariéto-temporo-occipitale droite et une lésion constituée touchant les noyaux gris de la base et le lobe frontal à droite. CT cérébral natif le 17.12.2018 : absence de saignement intracrânien. Hypodensités au sein des noyaux gris centraux et la partie médiale du lobe temporal à droite en rapport avec des lésions ischémiques constituées. IRM cérébrale le 12.12.2018 (Inselspital) : ischémie démarquée au niveau des ganglions de la base droite, mesio-temporal, ainsi que parahippocampal D avec signes d'une transformation hémorragique mesio-temporale. Absence de lésion vasculaire, observée (compte tenu d'un protocole raccourci en raison de douleurs dorsales). Angiographie cérébrale avec thrombectomie mécanique le 12.12.2018 (Inselspital) : recanalisation intégrale d'une occlusion en T de la carotide droite par thrombectomie mécanique en deux fois. TICI 3. Angio-CT thoracique le 12.12.2018 (Inselspital) : absence d'embolie pulmonaire. Images compatibles avec un œdème pulmonaire modéré. DD bronchite, bronchiolite. Lésion pulmonaire basale G. Recommandation de contrôle scannographique à 6 à 12 mois. Ostéopénie diffuse. Fracture T12 d'allure récente. Multiples fractures des corps vertébraux au niveau thoracique et lombaire. Échographie cardiaque transthoracique le 12.12.2018 (Inselspital) : fonction systolique conservée, ventricule gauche de taille normale, hypertrophie concentrique sans hypokinésie segmentaire. Fraction d'éjection ventriculaire gauche à 65%. Dysfonction diastolique de grade II. Ventricule droit de taille et fonction normale. Dilatation biatriale. Hypertension pulmonaire avec PAPs à 46 mmHg. Absence de valvulopathie. Bilan neuropsychologique du 19.12.2018 : légères difficultés exécutives. Ralentissement psychomoteur global léger. Cf rapport annexé. Tests de la cognition du 28.12.2018 : MMSE à 30/30, test de la montre à 6/7 ; GDS à 4/15. Laboratoires : cf copies annexées. Biopsie sous guide CT du 18.01.2019 : conclusion : biopsie L5-S1 sans complication per procédurale. IRM colonne lombaire native et injectée du 16.01.2019 : conclusion : discopathies multi-étagées. RX colonne lombaire de face et profil du 17.01.2019 : lésions dégénératives multi-étagées avec une petite scoliose sinistro-convexe de niveau L4-L5 associée à une discopathie sévère de même niveau. Petits tassements d'allure ancienne de D12 et L1. Réactions ostéophytaires intersomatiques étagées. RX bassin et hanche axiale gauche du 24.01.2019 : fracture inter et sous-trochantérienne gauche. Coxarthrose bilatérale. Aspect ostéopénique de la trame osseuse. RX thorax de face du 24.01.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Épanchement pleural bilatéral de faible abondance. Minime épaississement bi-basal de la trame bronchovasculaire. Tests de la cognition : non réalisables. Laboratoires : cf copies annexées. Consilium gérontopsychiatrique, Dr. X, le 12.12.2018 : cf copies annexées. Tests de la cognition du 20.12.2018 : MMSE à 29/30 et test de la montre à 6/7. Laboratoires : cf copies annexées. Consilium géronto-psychiatrique le 12.12.2018, Dr. X : cf copies annexées. Bilan cognitif le 14.12.2018 : MMSE à 24/30, GDS 2/15 ; test de la montre 6/7. Tests de Schellong du 19.12.2018 et 20.12.2018 : non pathologiques. Laboratoires : cf copies annexées. Consilium infectiologique du 13.12.2018 : cf rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. CT cérébral du 03.12.2018 à 08h11 : hématome occipital gauche supra-centimétrique, engendrant un léger effet de masse sur la corne occipitale du ventricule latéral gauche. Pas de signe d'engagement actuellement. IRM cérébral du 03.12.2018 (Inselspital) : hémorragie occipitale gauche. Absence de source de saignement mise en évidence. Angiographie cérébrale 04.12.2018 (Inselspital) : pas de source de saignement mise en évidence, absence de malformation vasculaire, pas de signe de syndrome de PRES. CT cérébral du 06.12.2018 (Inselspital) : pas de signe de progression de l'hémorragie. RX thorax de face du 11.12.2018 : comparatif du 12.07.2016 : silhouette cardio-médiastinale dans la norme. Nous retrouvons des calcifications du bouton aortique. Apparition d'une opacité en base pulmonaire gauche, dont le diagnostic différentiel se pose entre une atélectasie et un foyer. Pas d'épanchement pleural. L'examen du cadre osseux est superposable. Pas de fracture costale visible. RX genou et rotule gauches du 11.12.2018 : comparatif du 13.03.2017 : pas de fracture mise en évidence. Chondrocalcinose de l'articulation fémoro-tibiale. Importante tuméfaction des parties molles sur le versant médial du genou. Possible épanchement articulaire. US pour bilan des parties molles du membre inférieur gauche le 17.12.2018 : conclusion : hématome sous-cutané de 18 cm de longueur sur la face inféro-interne distale de la cuisse. EEG du 05.12.2018 : ralentissement diffus hémisphérique gauche, sans foyer épileptique observé. Tests de la cognition du 14.12.2018 : MMSE à 22/30, test de la montre à 3/7 ; GDS à 2/15. Laboratoires : cf copies annexées. CT cérébral natif du 18.01.2019 : conclusion : pas de lésion d'allure traumatique cérébrale. Discrète atrophie sous-corticale. Leucopathie vasculaire. Bilan neuropsychologique du 17.01.2019 : cet examen neuropsychologique, réalisé chez une patiente de 76 ans, anosognosique, au discours abondant et à la collaboration légèrement fragile, met en évidence une atteinte cognitive diffuse et sévère avec une désorientation temporelle et spatiale, des difficultés mnésiques antérogrades verbales et visuelles avec possible atteinte sémantique, un déficit de mémoire à court terme (verbale), une atteinte exécutive cognitive (programmation, inhibition, incitation, abstraction) et comportementale (anosognosie et persévérations), un déficit de traitement des nombres, des difficultés praxiques constructives et gestuelles (imitation de gestes sans signification et pantomimes) et une perturbation des gnosies visuelles discriminatives. Le profil cognitif est compatible avec une étiologie neurodégénérative de type Alzheimer, mais est aussi à mettre en lien avec une composante médicamenteuse (Citalopram) et métabolique. D'un point de vue strictement neuropsychologique, en absence de contre-indication somatique ou d'interaction médicamenteuse, le traitement par Donepezil pourrait être augmenté à la dose thérapeutique de 10 mg/jour. Cf rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. CT thoracique injecté du 21.12.2018, CT abdomen natif et injecté du 21.12.2018 : nous retrouvons de multiples lésions hypodenses intra spléniques, mais pas d'autre lésion suspecte de métastases aux étages thoracique et abdominal. Diminution de l'ascite, mais péjoration des signes d'iléus grêle. IRM de l'abdomen native et injecté du 27.12.2018 : multiples lésions spléniques dont l'aspect évoque des kystes simples probablement épithéliaux, pas de signe de métastases ce jour. Test de la cognition le 17.12.2018 : MMS à 22/30, test de la montre à 3/7 ; GDS à 1/15. Test de Schellong du 18.12.2018 : négatif. Test de Schellong avec bas le 08.01.2019 : négatif. Laboratoires : cf copies annexées. ECG : rythme sinusal régulier, normocarde à 78 bpm, axe normal avec QRS à -21°, hémibloc droit, segment ST isoélectrique, transition de l'onde R précoce en V2.RX thorax de face du 10.01.2019 : cœur de volume dans les limites supérieures de la norme majorée par la position couchée. Artère pulmonaire gauche de fort calibre. Hypo-ventilation bibasale. Analyse limitée du rétrocarde gauche. Pas d'épanchement pleural visible. Lésions dégénératives du rachis dorsal. Omarthrose bilatérale. CT abdominal natif et thoracique natif du 10.01.2019 : conclusion : tronc et artères pulmonaires de fort calibre évoquant une hypertension artérielle pulmonaire dans un contexte de syndrome restrictif probable. Infiltrats alvéolaires lobaires inférieurs bilatéraux à prédominance gauche, dans un moindre degré lobaire moyen sans épanchement pleural surajouté visible. À l'étage abdominal, atrophie rénale bilatérale sans pathologie lithiasique en projection des voies urinaires actuellement décelable. Tests de la cognition du 15.01.2019 : MMSE à 9/30, test de la montre à 0/7 ; GDS non réalisable. Laboratoires : cf copies annexées. ECG des 4, 7, 8, 9 et 11.01.2019 : fibrillation auriculaire à 135 battements par minute. RX thorax de face du 04.01.2019 : par rapport au comparatif du 04.01.2019, nous retrouvons une cardiomégalie avec un déroulement et des calcifications de l'aorte ainsi qu'une opacité rétrocardiaque bien délimitée évoquant une hernie hiatale plutôt qu'un foyer pulmonaire, mais une atélectasie n'est pas formellement exclue. Pour mémoire, présence d'ancre au niveau de la tête humérale droite, ainsi que diastasis acromio-claviculaire des deux côtés. RX thorax de face et assis du 07.01.2019 : par rapport au comparatif du 04.01.2019, nous retrouvons une cardiomégalie avec un déroulement et des calcifications de l'aorte ainsi qu'une opacité rétrocardiaque bien délimitée évoquant une hernie hiatale plutôt qu'un foyer pulmonaire, mais une atélectasie n'est pas formellement exclue. Pour mémoire, présence d'ancre au niveau de la tête humérale droite, ainsi que diastasis acromio-claviculaire des deux côtés. RX thorax de face et profil du 09.01.2019 : par rapport au comparatif du 07.01.2019, nous retrouvons une cardiomégalie modérée avec un déroulement et des calcifications de l'aorte, mais pas d'image nette de foyer. Petit épanchement pleural bilatéral. Pour mémoire, présence d'ancre au niveau de la tête humérale droite ainsi que diastasis acromio-claviculaire des deux côtés. CT thoracique pour recherche d'embolie pulmonaire injecté et CT abdomen injecté du 11.01.2019 : conclusion : images suspectes avec une dissection de type A de l'aorte associée à un épanchement péricardique, le récessus postérieur comprimant l'artère pulmonaire droite, mais pas d'argument scannographique pour une embolie pulmonaire. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 01.01.2019 : rythme sinusal régulier à 76 battements par minute avec des extra-systoles supraventriculaires intermittentes, QRS fins, pas d'ondes Q pathologiques, ST iso-électrique. RX thorax le 01.01.2019 : cardiomégalie malgré la position couchée avec des calcifications et un déroulement de l'aorte. Ancienne fracture de côte du côté gauche. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Tests de la cognition du 10.01.2019 : MMSE à 17/30, test de la montre à 0/7 ; GDS irréalisable. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 02.01.2019 : rythme sinusal régulier, avec fréquence cardiaque à 103 battements par minute. Axe normal, QRS fins, pas d'onde Q pathologique, ST iso-électrique. QTc à 447ms. RX épaule gauche le 02.01.2019 : fracture 4 parts impactée de la tête humérale gauche, avec surface articulaire encore en regard de la glène (minime décalage vers le bas). CT cérébral 02.01.2019 : hématome sous-galéal frontal gauche et tuméfaction des tissus mous en regard du processus zygomatique gauche. Pas de saignement cérébral ou de fracture du crâne. RX épaule gauche le 03.01.2019 : par rapport au comparatif du 02.01.2019, nous retrouvons la fracture multi-fragmentaire impactée de la tête humérale avec atteinte du trochiter et du trochin, sans déplacement secondaire. Pour mémoire, minime subluxation inférieure. RX épaule gauche le 09.01.2019 : par rapport au comparatif du 04.01.2019, nous retrouvons la fracture multi-fragmentaire capitale et sous-capitale de l'humérus avec ascension du fût diaphysaire et bascule postérieure de la tête, mais sans déplacement secondaire. Examen neuropsychologique le 10.01.2019 : examen neuropsychologique réalisé chez une patiente collaborante et adéquate, ralentie, présentant une mimique et une prosodie peu modulée mettant en évidence : • Un fléchissement exécutif (programmation, inhibition) • Des difficultés praxiques constructives • Des difficultés attentionnelles accompagnées d'un ralentissement idéomoteur • Des difficultés d'initiation motrice • De légères difficultés dans le traitement des nombres • Très discret micrographisme L'orientation, le langage oral et écrit, la mémoire à court terme et la mémoire antérograde sont globalement préservés. Nous n'observons ni flou articulatoire, ni hypophonie. MMSE : 24/30, PANDA : 15/30. Ce profil cognitif d'intensité légère est compatible avec la maladie de Parkinson. Au vu des difficultés exécutives et attentionnelles, une supervision de la gestion administrative est recommandée. Tests de la cognition du 10.01.2019 : MMSE à 26/30 ; test de la montre et GDS non réalisés (tests faits après bilan neuropsychologique). Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 03.01.2019 : rythme sinusal irrégulier à 77 battements par minute, sans trouble de la repolarisation. RX thorax face et profil du 03.01.2019 : distension pulmonaire bilatérale (signe de bronchopneumopathie chronique obstructive). Aplatissement des coupoles diaphragmatiques. Aorte déroulée calcifiée. Tests de la cognition du 14.01.2019 : MMSE à 22/30, test de la montre refusé ; GDS à 3/15. Évaluation neuropsychologique du 11.12.2018, en ambulatoire : cf rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 03.12.2018 : rythme sinusal avec présence d'extrasystole ventriculaire. Onde U en accord avec l'hypokaliémie. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 04.01.2019 : rythme sinusal régulier à 100 battements par minute, PR à 240ms (bloc atrioventriculaire du 1er degré connu), QRS fins avec un axe à -20°, QTc à 440ms, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. RX thorax de face du 04.01.2019 : comparatif du 27.09.2017 : examen d'interprétation limitée en raison d'une position couchée, oblique avec un inspirium médiocre. On retrouve une surélévation de la coupole diaphragmatique droite associée à un Chilaïditi. Silhouette cardiaque difficilement quantifiable. Turgescences hilaires bilatérales ne permettant pas d'exclure une surcharge hydrique. Un foyer parenchymateux débutant postéro-basal droit ne peut être exclu. Pas d'évidence de volumineux épanchement pleural. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 04.05.2019 : rythme en fibrillation auriculaire avec une fréquence cardiaque à 109 battements par minute, normoaxé, QRS fins, pas de signe d'ischémie aiguë. ECG du 10.01.2019 : rythme en fibrillation auriculaire avec une fréquence cardiaque à 116 battements par minute, normoaxé, QRS fins, pas de signe d'ischémie aiguë. RX bassin de face et hanche axiale droite du 04.01.2019 : status après mise en place de prothèses totales de hanches bilatérales, en bonne position, sans signe de complication secondaire. Anciennes fractures des branches ischio et ilio-pubiennes gauches consolidées, ainsi que fractures des branches ischio et ilio-pubiennes droites d'allure récente. CT du bassin du 04.01.2019 : mise en évidence d'une fracture non déplacée de la branche ischiopubienne droite. Fracture ancienne consolidée de la branche ischiopubienne gauche. Les deux prothèses des deux hanches sont en place sans signe de descellement ou de fracture. Aspect très ostéopénique de la trame osseuse. Arthrose lombaire basse. Arthrose sacro-iliaque bilatérale.RX thorax de face du 05.01.2019 : cardiomégalie malgré la position couchée avec un déroulement et des calcifications de l'aorte. Trouble ventilatoire postéro-basal gauche avec également des épaississements interstitiels péri-hilaires du même côté, mais pas d'image nette de foyer pulmonaire. Tests de la cognition du 10.01.2019 : MMSE à 10/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 7/30. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 06.01.2019 : fibrillation auriculaire rapide à 136 battements par minute. ECG après hydratation du 06.01.2019 : rythme sinusal régulier à 77 battements par minute, PR à 200ms, QRS fins avec un axe à 70°, QTc à 470ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V2, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. RX thorax du 06.01.2019 : cœur de taille dans les limites de la norme avec des calcifications et déroulement de l'aorte thoracique. Infiltrats en grande partie interstitiels, touchant toute la plage pulmonaire droite avec également des épaississements bronchiques, compatibles avec une pneumonie atypique. Luxation acromio-claviculaire droite ainsi que diminution des espaces sous-acromiaux des deux côtés, prédominante à gauche. RX thorax du 14.01.2019 : par rapport au comparatif du 06.01.2019, nous constatons une bonne évolution avec la quasi-disparition du foyer de la plage pulmonaire droite. Pour le reste, l'examen est superposable avec notamment une silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme et une luxation acromio-claviculaire droite. Tests de la cognition du 10.01.2019 : MMSE 27/30, test de la montre à 4/7 ; GDS à 0/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 06.12.2018 : rythme sinusal régulier à 60 battements par minute, QRS fin d'axe normale à 5°, progression de l'onde R en V4, segment ST isoélectrique, pas d'onde T négative. RX thorax face et profil du 06.12.2018 : aorte déroulée et calcifiée. Pas d'anomalie pleuro-parenchymateuse d'allure significative. RX thorax face et profil du 17.12.2018 : pas d'anomalie pleuro-parenchymateuse. Discrète calcification du bouton aortique. Echocardiographie transthoracique du 18.12.2018, Dr. X : cf rapport annexé. Tests de la cognition du 19.12.2018 : MMSE à 25/30, test de la montre à 5/7 ; GDS à 5/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 06.12.2018 : rythme sinusal normocarde à 91 battements par minute, bloc atrioventriculaire du 1er degré, PR 208ms, QRS 108ms, QTc 448ms. ECG du 08.12.2018 : rythme sinusal normocarde à battements par minute, bloc atrioventriculaire du 1er degré, PR 218ms, QRS 106ms, QTc 442ms. RX poignet et main droite du 03.11.2018 : contrôle après réfection. Bonne immobilisation plâtrée. Les rapports anatomiques restent conservés. RX poignet et main droites du 05.11.2018 : contrôle après réfection. Bonne immobilisation plâtrée. Les rapports anatomiques sont conservés. RX bassin du 12.12.2018 : par rapport au comparatif du 29.11.2018, nous retrouvons la fracture peu déplacée du cotyle droit qui s'étend à l'aile iliaque avec toutefois un petit déplacement secondaire surajouté. Pour mémoire, status après mise en place d'une prothèse totale de hanche droite avec cupule vissée. Pas de déplacement secondaire de la fracture de la branche ischio-pubienne droite. Tests de la cognition du 10.12.2018 : MMS à 24/28 (patiente ne peut pas écrire), GDS à 3/15, test de la montre : la patiente ne peut pas écrire. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 07.01.2019 : rythme sinusal régulier avec fréquence cardiaque à 104 battements par minute, normoaxé, PR allongé à 240ms, QRS fins, transition de l'onde R en V3, QTc à 453ms ; bloc atrioventriculaire de type I. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 10.12.2018 : rythme sinusal régulier à 80 battements par minute, PR à 160ms, QRS fins avec un axe à 90°, QTc à 465ms, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, ondes T négatives de V1 à V6 (superposable au précédent). RX thorax du 14.12.2018 : par rapport au 07.11.2018, mise en place d'une sonde nasogastrique en surprojection correcte. Cœur à la limite supérieure de la norme. Ectasie et sclérose de l'aorte thoracique. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Rapport d'oeso-gastro-duodénoscopie du 18.12.2018, Prof. X : gastrite érosive hématinique. Petite hernie hiatale. Forte suspicion d'une candidose oesophagienne. Cf rapport annexé. Rapport Promed de biopsie gastrique du 19.12.2018, P2018.14750 : cf rapport annexé. Tests de la cognition du 12.12.2018 : MMSE à 26/30, test de la montre à 4/7 ; GDS à 9/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 11.01.2019 : rythme sinusal régulier à 80 battements par minute, bloc atrioventriculaire du 1er degré avec un espace PR prolongé à 272ms, QRS fins avec un axe horizontalisé. QTc à 479ms. RX thorax de face du 11.01.2019 : cœur de taille à la limite supérieure de la norme, sans signe d'insuffisance cardiaque. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat, ni d'épanchement pleural. Calcifications en regard des espaces sous-acromiaux d'évoquant des tendinites calcifiantes avec également une omarthrose bilatérale prédominant à gauche. RX bassin et hanche axiale gauche du 11.01.2019 : coxarthrose bilatérale plus marquée à gauche, se caractérisant par une collerette ostéophytaire à la jonction tête-col fémorale gauche. La collerette est nettement moins marquée à droite mais également présente. Pincement de l'interligne articulaire coxofémorale dans le contexte de la coxarthrose. Remaniement de la symphyse pubienne. Pas de fracture visualisée. CT-scan cérébral natif et injecté le 11.01.2019 : hypodensité au niveau du cervelet compatible avec un AVC de l'hémisphère cérébelleux droit subaigu. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 14.01.2019 : rythme en fibrillation auriculaire bradycardie 55 battements par minute, déviation axiale gauche connue, pas d'élargissement QRS, QTc 421ms, segment ST abaissé en DI et aVL connu et ST élevés en V1, V2, V3 connus, inversion onde T en aVL et V5. ECG du 06.01.2019 : rythme en fibrillation auriculaire, avec fréquence cardiaque à 122 battements par minute, déviation axiale gauche connue, pas d'élargissement QRS, QTc 434ms, segment ST abaissé en DI et aVL connu et ST élevés en V1, V2, V3 connus, inversion onde T en aVL. RX thorax de face et profil du 14.12.2018 : comparatif au 22.12.2018 : cœur à la limite supérieure de la norme inchangé. Ectasie et sclérose de l'aorte thoracique. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. US système urogénital du 19.12.2018 : conclusion : pas de dilatation pyélocalicielle, ni d'obstacle mis en évidence au niveau des voies urinaires. RX épaule gauche face et Neer du 20.12.2018 : pas d'image de fracture décelable. Bonne congruence gléno-humérale. Discrète arthrose acromio-claviculaire. Omarthrose centrée modérée. RX thorax de face du 27.12.2018 : en position couchée, inspirium médiocre. Étalement de la silhouette cardiomédiastinale. Sclérose aortique. Pas d'évidence de foyer ou d'épanchement pleural. RX thorax de face du 29.12.2018 : status après mise en place d'une sonde nasogastrique. Extrémité de la sonde en projection du corps gastrique. Cœur de taille dans la norme sans signe de décompensation. Accentuation de l'interstice péri-bronchique péri-hilaire droit ne permettant pas d'exclure une surinfection. Épaississement de la petite scissure sans épanchement pleural visible. RX thorax de face du 06.01.2019 : cœur de taille à la limite supérieure de la norme en tenant compte de la position couchée, avec des calcifications aortiques. Augmentations interstitielles bilatérales diffuses de la trame bronchovasculaire, avec des épaississements bronchiques. Pas d'évidence de foyer pulmonaire en position couchée. Sonde nasogastrique dont l'extrémité distale n'est pas visible, probablement au-delà du pylore.CT cérébral natif du 07.01.2019 : conclusion : nous retrouvons des séquelles d'AVC sylvien postérieur gauche mais pas de signe pour une lésion ischémique récente, ni d'hémorragie intracrânienne. Test Schellong le 19.12.2018 : positif. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 14.12.2018 : rythme sinusal à 95 battements par minute avec extrasystoles, bloc atrioventriculaire du 1er degré, QRS à 150 ms avec un axe à -30°, QTc à 472 ms, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. RX du 1er orteil du pied gauche de face et oblique du 17.12.2018 : important remaniement dégénératif sésamoïdo-métatarso-phalangien de l'hallux associant pincement articulaire, sclérose et réaction ostéophytaire. Remaniement arthrosique interphalangien à prédominance compartimentale interne. Sur la face discrète, aspect d'ostéolyse focale en regard de la diaphyse, ne permettant pas d'exclure une éventuelle ostéomyélite sous-jacente. RX thorax du 14.12.2018 : étalement de la silhouette cardiomédiastinale lié à la position couchée et l'obliquité du cliché. Discrète cardiomégalie majorée par la position. Pas de signe de décompensation. Sclérose aortique. Hypoventilation basale bilatérale. Analyse limitée du rétrocarde gauche. Pas d'évidence de foyer parenchymateux. IRM du pied gauche, native et injectée du 20.12.2018 : pas d'argument pour une ostéomyélite de l'articulation métatarso-phalangienne du 1er rayon. Prise de contraste de l'interligne articulaire inter-phalangien du 1er rayon avec œdème de l'os spongieux irrégulier de part et d'autre de cet interligne. Impression d'une collection liquidienne sous-unguéale du gros orteil. Les altérations de l'interligne inter-phalangien pourraient rentrer dans le cadre de lésions dégénératives. S'il existe une lésion cutanée en regard de cet interligne, une ostéomyélite n'est pas exclue ou une arthrite (infectieuse ? Microcristalline ?). La petite collection sous-unguéale est aspécifique, à corréler à l'examen clinique, diagnostic différentiel : inflammation du lit de l'ongle par contiguïté. RX du pied gauche le 23.12.2018 : par rapport au comparatif du 17.12.2018, nous retrouvons une arthrose métatarso-phalangienne du 1er rayon et nous ne visualisons pas de séquelle d'arthrite au niveau de l'IP de O1. Les autres articulations interphalangiennes et métatarso-phalangiennes sont encore conservées. Tests de la cognition du 16.12.2018 : MMSE à 22/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 2/15. Brève évaluation neuropsychologique du 27.12.2018 : évaluation limitée en raison de la situation d'isolement, mais mettant en évidence : une dysarthrie rendant le discours presque inintelligible bien qu'informatif, de légères difficultés de compréhension orale, des difficultés mnésiques antérogrades, des difficultés exécutives (programmation, incitation, inhibition, abstraction, raisonnement), des difficultés praxiques constructives et de possibles difficultés attentionnelles. L'orientation et la mémoire autobiographique sont globalement préservées. Au questionnaire de Silberfeld adapté à la question du retour à domicile, Mr. Y affirme avoir des doutes sur sa capacité à vivre seul, notamment en raison de difficultés de mobilisation. En revanche, il est peu nosognosique de ses limitations cognitives. Ainsi, malgré la conscience des limitations physiques, au vu de la faible nosognosie des troubles cognitifs et des difficultés mnésiques et exécutives importantes, avec atteinte du raisonnement, la capacité de discernement pour le choix du lieu de vie pourrait être perturbée. Par ailleurs, d'un point de vue strictement neuropsychologique, la conduite automobile est contre-indiquée. Cf copies rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 14.12.2018 : rythme sinusal régulier normocarde à 69 battements par minute, axe normal à -7°, QRS fins à 74 ms, segment ST isoélectrique, transition de l'onde R normale en v4, QTc 402 ms. Holter 30.11.2018, HFR Fribourg : un rythme de base sinusal avec une fréquence cardiaque moyenne à 71 battements par minute, maximale à 99 battements par minute et minimale à 50 battements par minute. Une extrasystolie ventriculaire complexe, de faible incidence (salves de 3 complexes). Une extrasystolie supraventriculaire complexe, de faible incidence (doublets, salves de 3 et 4 complexes et plusieurs épisodes de TSV le plus long d'une durée de 9 complexes à 120 bpm à 20h27 le premier jour). RR maximal à 1365 ms. Pas de sus, ni sous décalage du segment ST significatif. Mme. Y a vomi et ressent des douleurs au dos pendant l'enregistrement ne correspondant à aucune modification du tracé. Cf copies annexées. RX épaule droite le 12.12.2018 : solution de continuité au niveau de la corticale externe du trochiter avec petite marche d'escalier, compatible avec une fracture possiblement déjà ancienne. Arthrose gléno-humérale et acromio-claviculaire en relation avec l'âge de la patiente. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. L'espace sous-acromial est conservé. RX abdomen couché le 14.12.2018 : aérocolie et aérogrêlie de répartition physiologique, sans distension pathologique visible. Stase stercorale physiologique du côlon droit. Ampoule rectale pleine de selles, sans argument pour un fécalome. Absence de double contour en faveur d'un pneumopéritoine. Phlébolithe pelvien droit. Compte tenu de la stase stercorale, pas d'évidence de lésion calcique en projection des voies urinaires. Importante lombo-discarthrose pluri-étagée. St/p ostéosynthèse par PFN alpha du col fémoral gauche. IRM des seins native et injectée du 03.01.2019 : conclusion : une lésion de 7 mm à l'union des quadrants inférieurs du sein gauche, à environ 1 cm sous la peau, suspecte d'être une tumeur du sein (BIRADS 5), à confronter à un ultrason de second look avec biopsie. Tests de la cognition du 12.12.2018 : MMSE à 19/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 4/15. Consilium neuropsychologique du 13.12.2018 : conclusion : cet examen neuropsychologique, réalisé chez une patiente collaborante et non fatigable après 1 h d'évaluation, met en évidence une désorientation temporelle, spatiale et personnelle, de légères difficultés de compréhension orale, des troubles gnosiques visuels discriminatifs, une atteinte sévère de mémoire antérograde verbale et visuelle et un dysfonctionnement exécutif (incitation, programmation, inhibition, raisonnement, abstraction, mémoire de travail et des difficultés attentionnelles). Le langage écrit, le traitement des nombres, les praxies constructives et idéomotrices et la mémoire à court terme verbale sont globalement préservés. En regard de l'examen de juillet 2011, nous notons une aggravation de l'ensemble du tableau cognitif. Les troubles cognitifs ont vraisemblablement une étiologie multiple à savoir vraisemblablement vasculaire et médicamenteuse. De plus, une composante neurodégénérative ne peut être exclue, de même que paranéoplasique et/ou confusionnelle au décours. Afin de préciser le diagnostic, une hétéroanamnèse complète serait indiquée de même qu'un bilan neuropsychologique d'évolution à distance de l'épisode récent. Cf rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 15.01.2019 : fibrillation auriculaire à 50 battements par minute. Tests de la cognition : MMS à 22/30 ; GDS à 7/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 18.12.2018 : flutter auriculaire à 150 battements par minute, QRS fins, axe normal, pas de signes d'ischémie active.ECG du 19.12.2018 : rythme sinusal régulier à 60 battements par minute, PR à 170 ms, QRS fins avec un axe à 80°, QTc à 460 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V3, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. Tests de la cognition du 14.12.2018 : MMS à 27/30, test de la montre à 3/7. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 18.12.2018 : rythme irrégulier en fibrillation auriculaire avec un axe gauche, fréquence cardiaque à 116 battements par minute, QRS fins, pas de signes d'ischémie aiguë, pas de troubles de la repolarisation spécifiques. ECG du 20.12.2018 : rythme irrégulier en fibrillation auriculaire avec un axe gauche, fréquence cardiaque à 133/min, QRS fins, pas de signes d'ischémie aiguë, pas de troubles de la repolarisation spécifiques. RX thorax de face du 18.12.2018 : aspect élargi de façon globale de la silhouette cardiomédiastinale. Aorte déroulée calcifiée. Pas de foyer décelable de façon bilatérale. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 18.12.2018 : rythme sinusal régulier, fréquence cardiaque à 70 battements par minute, QRS fins, ST isoélectrique, transition V4, présence d'une extrasystole auriculaire. ECG du 26.12.2018 : rythme sinusal régulier, fréquence cardiaque à 51 battements par minute, QRS fins, ST isoélectrique, transition V4. Rapport d'OGD du 27.12.2018, Dr. X : conclusion : oeso-gastro-duodénoscopie normale. Cf rapport annexé. Rapport de colonoscopie du 27.12.2018, Dr. X : conclusion : préparation colique de très mauvaise qualité, arrêt de l'endoscopie au niveau de l'angle colique gauche. Cf rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 19.12.2018 : rythme sinusal régulier, axe hyper gauche, fréquence à 75 battements par minute, intervalle PR limite, QRS fins, sus-décalage ST de 1 mm en D3 et aVF, sous-décalage de 1 mm en V3, ondes T négatives en aVL. RX thorax de face du 19.12.2018 : étalement de la silhouette cardiomédiastinale lié à la position couchée. Sclérose aortique. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas de pneumothorax décelable compte tenu de la position. Absence de fracture costale déplacée visible. Pas d'épanchement pleural. CT colonne cervicale native et CT cérébral natif du 19.12.2018 : acquisition tomodensitométrique hélicoïdale cérébro-cervicale en phase native. • Cerveaux : pas de fracture des os du crâne et du massif facial. Absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Système ventriculaire et citernes de morphologie normale. Leuco-araïose péri-ventriculaire discrète prédominant dans les lobes pariétaux. Calcifications physiologiques et structures médianes de position normale. Athéromatose calcifiée des siphons carotidiens des deux côtés. Pas de lésion focale parenchymateuse. Pas d'altération des sillons cérébraux. Sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes libres. Status après phakectomie droite. • Colonne cervicale : remaniements dégénératifs atlanto-axiaux, unco-discarthrose pluri-étagée et arthrose facettaire. Pas de lésion traumatique. • Conclusion : pas de lésion traumatique. IRM du neurocrâne native et injectée, des carotides injectées et CT des tissus mous du cou injecté du 27.12.2018 : conclusion : altération de la substance blanche correspondant à des lésions dégénératives vasculaires au vu de l'âge de la patiente, de stade FAZEKAS I. Nous retrouvons une ancienne lésion ischémique située latéralement à la corne temporale droite. Actuellement, pas de restriction de la diffusion en faveur d'une atteinte ischémique récente visible sus ou sous-tentorielle. Pas d'hémorragie intra-parenchymateuse des espaces méningés. Calcifications à la bifurcation carotidienne droite, sans sténose significative. Pas d'occlusion des troncs supra-aortiques ou du polygone de Willis. Échec de la séquence angiographique à l'IRM après injection via le système sous-clavier droit. Thrombose partielle de la veine sous-clavière droite à la confluence avec les vaisseaux jugulaires ? Holter posé le 21.12.2018 (Dr. X) : un long épisode de fibrillation auriculaire durant un peu moins de quatre heures. Cf rapport annexé. Test de Schellong du 21.12.2019 (sans bas de contention) : négatif. Test de Schellong du 04.01.2019 (avec bas de contention) : positif. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 21.12.2018 : rythme sinusal régulier, normocarde à 51 battements par minute, axe normal à 31°, QRS fins à 84 ms, segment ST iso-électrique. Transition de l'onde R précoce en V2, QTc à 413 ms. ECG du 30.12.2018 : rythme sinusal régulier, normocarde à 55 battements par minute, axe normal à 16°, QRS fins à 82 ms, segment ST iso-électrique, transition de l'onde R précoce en V2, QTc à 425 ms, comparable aux précédents. RX colonne dorsale le 25.12.2018 : aspect très ostéopénique de la trame osseuse. Discarthrose étagée. Ostéophytose marginale étagée. Scoliose dégénérative sinistro-convexe. RX colonne lombaire le 25.12.2018 : aspect très ostéopénique de la trame osseuse. Arthrose interfacettaire postérieure étagée prédominante au niveau lombaire bas. Troubles de la statique rachidienne avec une attitude scoliotique sinistro-convexe. Coprostase colique droite. Importante calcification athéromateuse de l'aorte abdominale sous-rénale. RX bassin le 25.12.2018 : coxarthrose bilatérale. Coxarthrose et arthrose des articulations sacro-iliaques de façon bilatérale. Calcifications athéromateuses des artères iliaques externe et fémorale de façon bilatérale. Lésions dégénératives étagées et lombaires basses. Remler du 20.12.2018 au 21.12.2018 : le rapport suivra. Consilium rhumatologique le 28.12.2018 : cf rapport annexé. Tests de la cognition du 27.12.2018 : MMSE à 29/30, test de la montre à 7/7 ; GDS à 3/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 22.12.2018 : rythme électro-entraîné avec réponse ventriculaire. RX thorax de face et profil du 22.12.2018 : status après sternotomie pour pontage aorto-coronarien. Silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme pour l'âge. Petite désorganisation de la trame broncho-vasculaire, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Nous retrouvons un corps étranger métallique en projection sous-hilaire droite, déjà présent sur le comparatif du 30.01.2017. Status après mise en place d'un pacemaker tricaméral en position pectorale gauche. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 24.12.2018 : fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire avec une FC à 57 battements par minute, normoaxé, bloc de branche droit (connu), pas de trouble spécifique de la repolarisation. RX thorax de face du 24.12.2018 : élargissement global de la silhouette cardiomédiastinale. Aorte déroulée et calcifiée. Pas de foyer parenchymateux. Pas d'épanchement pleural. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 25.12.2018 : rythme sinusal à 81 battements par minute, normoaxé, QRS fins, pas de troubles de la repolarisation, transition de l'onde R normale. RX bassin et hanche axiale droite du 25.12.2019 : prothèse de la hanche droite en place. Importante ostéo-arthropathie de la hanche droite. Coxarthrose à gauche. CT hanche droite du 28.12.2018 : par rapport à la radiographie standard de la hanche droite du 25.12.2018, nous retrouvons le status après mise en place d'une prothèse totale de hanche, sans signe de complication et nous constatons que le trait radio-transparent visualisé au niveau de la corticale postérieure du fémur en regard de la partie distale de l'élément fémoral correspondant à un canal nourricier. Par ailleurs pas d'autre image suspecte de lésion osseuse traumatique. Pour mémoire, important remaniement du fémur droit prédominant dans la région du grand trochanter.Tests de la cognition du 08.01.2019 : MMSE à 22/30, test de la montre refusé par le patient ; GDS à 3/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 25.12.2018 : rythme sinusal irrégulier, normocarde à 61 battements par minute, axe QRS à -14°, progression de l'onde R normale avec transition en V4, QRS fins à 84 ms, pas de signe d'ischémie, QTc à 430 ms. RX thorax en chambre du 25.12.2018 : superposable à la radiographie de février 2018 : aorte déroulée, calcifiée. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. Ascension modérée de la coupole diaphragmatique gauche avec discrets troubles ventilatoires en bande au niveau basal à gauche. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 26.12.2018 : rythme sinusal régulier normoaxé, QRS fin, pas de trouble de la repolarisation. RX du thorax le 26.12.2018 : aorte déroulée calcifiée, pas d'épanchement pleural visible, pas de foyer parenchymateux décelable. RX genou droit le 26.1.2018 : gonarthrose tricompartimentale avec ménisco-calcinose. Aspect déminéralisé de la trame osseuse. Pas d'image de fracture visible. RX thorax le 02.01.2019 : par rapport au 26.12.2018, cardiomégalie inchangée. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Image radio-transparente en surprojection de l'ombre cardiaque, devant correspondre à une distension gazeuse d'une hernie hiatale. Pas de foyer pneumonique visible. Minimes épanchements pleuraux ddc, nouveaux. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 26.12.2018 : RS à 70 bpm, PQ 144 ms, QRS fins, QTc 411 ms, pas de troubles de la dé- ou repolarisation, extrasystoles supra-ventriculaires. CT cérébral natif du 26.12.2018 : absence de saignement intracrânien. Pas de fracture mise en évidence. Plaie frontale gauche. Image scanographique compatible avec une sinusite sphénoïdale droite aiguë sur chronique, à corréler à la clinique. RX poignet droit du 02.01.2019 : par rapport au 23.12.2018, pas de déplacement secondaire notable de la fracture de l'extrémité distale du radius sur cette radiographie effectuée sous plâtre. Rapports articulaires inchangés. Les os du carpe se présentent de façon inchangée. Arthrose méta-carpo-phalangienne du 1er rayon connue, inchangée, avec subluxation superposable. Echographie hépatique du 03.01.2019 : pas d'image de calcul vésiculaire. Foie d'aspect normal. Kyste biliaire du segment IV de 6.4 cm de grand axe. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 27.12.2018 : rythme sinusal régulier, fréquence cardiaque à 75 battements par minute, normo-axé, QRS fins, pas de signes d'ischémie aiguë, pas de troubles de la repolarisation spécifiques. RX épaule gauche de face et Neer du 27.12.2018 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. Petite calcification en projection de l'insertion du tendon du muscle sus-épineux sur le trochiter évoquant une tendinopathie calcifiante. RX bassin de face et hanche axiale droite du 27.12.2018 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Pas de signe majeur de coxarthrose. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis lombaire inférieur avec des discopathies de niveau L4-L5, L5-S1. RX bassin inlet et outlet du 15.01.2019 : par rapport au comparatif du 27.12.2018, nous ne visualisons pas de déplacement primaire ou secondaire de la fracture connue de l'acétabulum et de la branche ilio-pubienne gauche. RX thorax de face et profil du 10.01.2019 : par rapport au 13.06.2014, silhouette cardiaque dans la norme. Ectasie, sclérose et élongation de l'aorte thoracique. Aspect proéminent du hile droit relativement inchangé, diagnostic différentiel : vasculaire. Une adénopathie semble moins probable au vu de sa présence sur l'examen de 2014. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Spondylose dorsale. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 28.12.2018 : rythme sinusal régulier à 74 battements par minute avec extrasystoles ventriculaires, PR à 200 ms, QRS à 94 ms avec un axe à -5°, QTc à 447 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition tardive en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 28.12.2018 : rythme sinusal régulier à 88 battements par minute avec extrasystoles, PR à 200 ms, QRS à 100 ms avec un axe à 50°, QTc à 467 ms, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. RX thorax du 28.12.2018 : trouble ventilatoire à la base droite, avec des lésions en bande. Le récessus costo-diaphragmatique gauche n'est plus visualisé en raison d'un épanchement pleural avec possible foyer pulmonaire ou atélectasie associée, à confronter avec la clinique. Cœur de taille à la limite supérieure de la norme en tenant compte de la position couchée, sans signe net d'insuffisance cardiaque. Matériel d'ostéosynthèse partiellement visible au niveau de l'humérus droit, à confronter avec les antécédents du patient. CT thoracique du 28.12.2018 : épanchement pleural basal bilatéral associé à une atélectasie passive accompagnatrice lombaire et inférieure bilatérale. Pas d'évidence de masse suspecte ou de foyer compte tenu des épanchements. Pas d'embolie pulmonaire. RX thorax du 31.12.2018 : par rapport au comparatif du 28.12.2018, nous retrouvons un épanchement pleural bilatéral, prédominant du côté gauche, qui paraît en diminution, mais il est difficile de juger précisément de l'évolution en raison de la différence de position. Cœur de taille à la limite de la supérieure de la norme, sans signe net d'insuffisance cardiaque. Matériel d'ostéosynthèse partiellement visible au niveau de l'humérus proximal droit, à confronter avec les antécédents du patient. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 31.12.2018 : bradycardie sinusale avec extrasystoles supraventriculaires. Présence d'onde P bifides. RX fémur gauche du 31.12.2018 : en confrontation avec des radiographies standards du 16.11.2017 et les radios effectuées à l'extérieur, nous retrouvons un statut après ostéosynthèse par PFN verrouillée par une vis d'une fracture pertrochantérienne du fémur gauche. Rupture de la vis de verrouillage. Actuellement, l'extrémité distale du clou se trouve contre la corticale osseuse diaphysaire postéro-externe. Une irrégularité de corticale postérieure ne permettant pas d'exclure une éventuelle fracture sous-jacente, un CT scanner a été effectué en complément de bilan. Rapport séparé. Statut après implantation de prothèse totale de hanche gauche. CT du pelvis natif du 31.12.2018 : conclusion : statut après enclouage centro-médullaire fémoral gauche par clou PFN verrouillé par une vis distale qui est cassée. Pas de consolidation de la fracture. Pas de nouvelle fracture périprothétique. Fécalome. Examen réalisé par télé-radiologie avec transmission des résultats à 17h00. Tests de la cognition : impossibles à effectuer. Laboratoires : cf copies annexées. ECG le 13.12.2018 : rythme sinusal régulier, normocarde à 80 battements par minute, QRS fins à 80 ms, segment ST isoélectrique, transition de l'onde R précoce en v3, QTc à 435 ms. CT abdominal natif le 11.12.2018 : reins de taille dans les limites inférieures de la norme, sans infiltration péri-rénale suspecte visible. Pas de pathologie lithiasique des voies urinaires. Bassinet ampullaire connu des deux côtés. Diverticulose sigmoïdienne calme. RX thorax le 13.12.2018 : cœur de volume dans la norme sans signe de décompensation. Sclérose aortique. Absence d'un foyer interstitiel ou alvéolaire systématisé visible. Pas d'épanchement pleural. Lésions dégénératives pluri-étagées du rachis dorsal. Pas de fracture tassement. Calcifications chondrocostales. US abdominale du 13.12.2018 : cholécystolithiase sans signe de cholécystite. Pas d'obstruction des voies biliaires.Consilium gynécologique du 16.12.2018, Dr. X : poursuivre le traitement topique avec Ovestin ovules et crème 2x semaine. Proposition complémentaire : ad Urovaxom 1-0-0 pour 6 semaines. Cf rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. ECG le 23.12.2018 : rythme sinusal régulier, normocarde à 66 battements par minute, PQ à 128ms, QRS large à 120ms, bloc de branche droit connu, segment-ST isoélectrique, transition de l'onde R précoce en v3. RX thorax du 23.12.2018 : comparatif du 25.06.2016 : examen réalisé en position couchée. Cardiomégalie. Calcifications du bouton aortique et aorte déroulée. Pas d'épanchement pleural ni de pneumothorax. Pas de foyer constitué. Cadre osseux superposable comparatif. RX colonne lombaire du 23.12.2018 : comparatif du 09.04.2015 : vertebra plana au niveau D11 d'aspect inchangé. Pas d'autre fracture nouvelle mise en évidence. Aspect inchangé d'un pseudo-antélisthésis de L4 sur L5 sans image de spondylolisthésis. Le reste de l'examen est superposable. CT-scan colonne lombaire du 27.12.2018 : tassement sévère de D11 en galette ancien avec hypercyphose associée, mais pas de tassement récent mis en évidence. Tests de la cognition du 27.12.2018 : MMSE à 18/30, test de la montre à 2/7 ; GDS à 5/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG le 30.12.2018 : rythme sinusal régulier, normocarde à 77 battements par minute, axe hypergauche à -44°, QRS fins à 82ms, segment ST isoélectrique, possible présence d'un hémibloc antérieur droit visible en dérivation V3, transition de l'onde physiologique en V4. QTc à 436ms. CT-scanner cérébral et carotidien le 30.12.2018 : pas de lésion traumatique aux étages cérébral et cervical. Pas d'argument radiologique pour un accident vasculaire cérébral ischémique, avec perméabilité préservée des vaisseaux pré-cérébraux, du polygone de Willis et des artères cérébrales jusqu'en distalité. RX thorax du 31.12.2018 : par rapport au comparatif du 09.05.2018, nous retrouvons une cardiomégalie modérée avec un déroulement de l'aorte thoracique, sans signe d'insuffisance cardiaque. Nous retrouvons également une surélévation de l'hémi-coupole diaphragmatique droite avec des lésions d'allure séquellaire à la base droite ainsi que quelques troubles ventilatoires à la base gauche, mais pas d'image typique de foyer pulmonaire, ni d'épanchement pleural. Déminéralisation osseuse diffuse, mais pas de tassement vertébral notable. Test de Schellong du 31.12.2018 : négatif. Laboratoires : cf copies annexées. Echocardiographie transthoracique du 18.12.2018, Dr. X : cf rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. Fonctions pulmonaires du 29.11.2018, Dr. X : cf rapport annexé. Tests de la cognition du 27.11.2018 : pas terminés car refus de la part de Mr. Y. Evaluation neuropsychologique le 06.12.2018 : cf rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. Radiographie du thorax le 19.12.2018 : distension pulmonaire bilatérale. Épanchement pleural bilatéral de faible abondance. Lésions d'infiltrat pulmonaire bilatéral avec aspect désorganisé de la trame bronchovasculaire. Laboratoires : cf copies annexées. RX bassin de face du 10.12.2018 : comparatif du 29.11.2018 : évolution favorable sans déplacement secondaire des fractures des branches ilio et ischio-pubiennes droites. Pincement articulaire coxo-fémoral bilatéral à prédominance droite inchangé. Lésions dégénératives des derniers espaces intersomatiques lombaires. Importantes calcifications des axes vasculaires. RX thorax du 18.12.2018 : pas d'anomalie pleuro-parenchymateuse. Aorte déroulée et calcifiée. RX bassin du 18.12.2018 : évolution favorable, sans DS surajouté, des fractures connues des branches ilio- et ischio-pubiennes droite. Pas de nouvelle lésion traumatique décelable dans le contexte d'une chute plus récente, sous réserve de l'analyse limitée en raison de l'excès pondéral et des superpositions aérodigestives. Lésions dégénératives de la jonction lombosacrée et importantes calcifications vasculaires artérielles connues. Test de Schellong : négatif. Laboratoires : cf copies annexées. RX bassin et hanche axiale gauche du 13.12.2018 : pas d'image de fracture visible. Signe de coxarthrose bilatérale avec ébauche d'ostéophyte au niveau du coin supéro-externe. Aspect modérément ostéopénique de la trame osseuse. IRM de la colonne lombaire native du 27.12.2018 (ambulatoire) : conclusion : vertebra plana D10 connue inchangée par rapport au 08.11.2018. Recul du mur postérieur sans conflit radiculaire ou myélopathie associée. Progression d'un tassement de L2 avec aspect de vertebra plana. Net recul du mur postérieur avec conflit radiculaire L2 ddc contre les massifs articulaires, à l'origine des douleurs de Mme. Y. Bilan cognitif du 21.12.2018 : MMS à 22/30, test de la montre à 1/7 ; GDS à 9/15. Laboratoires : cf copies annexées. RX coude droit du 29.12.2018 : par rapport au 27.12.2018, status après retrait de la plaque et des vis du cubitus proximal, sans matériel résiduel visible. L'olécrâne est encore détaché, désolidarisé, avec une angulation relativement superposable à l'examen précédent. Mise en évidence d'un drain en surprojection de la zone opératoire. Laboratoires : cf copies annexées. RX épaule gauche de face Neer du 17.12.2018 : contenu calcique et structures osseuses conservés. Pas de lésion traumatique visible. Tendinopathie calcifiante avec calcifications en projection de l'espace sous-acromial à l'insertion sur le trochiter. Boîtier de pacemaker en position pectorale. Laboratoires : cf copies annexées. RX hanche axiale droite, bassin en cliché spécial et bassin du 15.01.2019 : fracture des branches ilio-ischio-pubiennes gauche en voie de consolidation avec visibilité de cal osseux. Aspect très ostéopénique de la trame osseuse. Les rapports anatomiques restent conservés. CT du pelvis natif du 15.01.2019 : comparatif du 25.08.2018 : fractures des branches supérieur et inférieur droites du pubis, extra-articulaire, avec légers déplacements antérieurs des fragments distaux, estimés à 5mm. Irrégularité de la corticale de l'aile sacrale inférieure gauche, pouvant correspondre à une petite fracture non déplacée. On retrouve les anciennes fractures des branches supérieure et inférieure gauches du pubis, extra-articulaires, déplacées antérieurement, non consolidées, compatibles avec une pseudarthrose. Pas d'autre lésion traumatique sur le volume osseux exploré. Tuméfaction du muscle obturateur interne droit en lien avec un hématome. Collection spontanément dense (62 HU), évoquant un hématome, mesurant 32 x 14 mm (sur le plan axial) en avant et en arrière de la symphyse pubienne. Important troubles dégénératifs du rachis lombaire bas, avec ostéophytes antérieurs et latéraux, ainsi qu'une arthrose zygapophysaire. Discopathies L4-L5 et L5-S1, avec phénomènes de vides discaux. Pour le reste, pas de liquide libre dans le pelvis. Calcifications de l'aorte abdominale infra-rénale, ainsi que des artères iliaques et fémorales. Examen réalisé par télé-radiologie depuis l'hôpital cantonal de Fribourg avec résultats transmis au Dr. X à 19h. Laboratoires : cf copies annexées. RX hanche axiale gauche du 17.12.2018 : status après implantation de prothèses totales bilatérales. Pas de fracture péri-prothétique mise en évidence. Liséré péri-prothétique homogène sur le versant latéral de la composante fémorale gauche mesurant entre 2 et 3mm d'épaisseur maximale (Zones Gruen 1 à 3), pouvant être compatible avec un début de descellement mécanique. Pas de zone d'ostéolyse péri-prothétique franche des deux côtés. La déminéralisation des massifs trochantériens est compatible avec du stress shielding. Pas de luxation des prothèses. Pour le reste, altérations dégénératives des articulations sacro-iliaques. Calcifications artérielles importantes bilatérales.Doppler veine jambe gauche (thrombus) du 18.12.2018 : conclusion : pas de thrombose veineuse profonde objectivée, mais l'examen est compatible avec une petite déchirure musculaire au niveau du vaste externe. Laboratoires : cf copies annexées. RX sacrum et colonne lombaire de face et profil du 18.01.2019 : lésions dégénératives multi-étagées du rachis lombaire avec réaction ostéophytaire prédominant en L3-L4 ainsi qu'arthrose des facettes articulaires postérieures prédominant en L4-L5 et L5-S1, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Status après mise en place d'une prothèse de hanche droite avec protrusion acétabulaire ainsi que calcifications marquées de l'artère splénique. Laboratoires : cf copies annexées. RX thorax de face du 29.12.2018 : épaississement bronchique et discrète accentuation de la trame, liés à l'âge. Pas d'évidence de foyer de broncho-aspiration sous réserve des importantes calcifications chondrocostales. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de bronchogramme aérique. Omarthrose bilatérale. Lésions dégénératives du rachis. Laboratoires : cf copies annexées. RX thorax de face et profil du 03.12.2018 : aorte déroulée et calcifiée. Emoussement bilatéral des culs-de-sac costo-diaphragmatiques. Épaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire. Tests de la cognition du 26.11.2018 (patient malentendant) : MMSE à 15/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 3/15. Évaluation neuropsychologique du 13.12.2018 : cf rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. RX thorax de face et profil du 16.01.2019 : électrodes de neurostimulation bien visibles. Aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale avec fine calcification du bouton aortique. Pas d'épanchement pleural décelable. Pas de foyer de condensation décelable. Minime épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. ECG du 19.01.2019 : rythme sinusal et régulier à 75 battements par minute, axe QRS à 5*, PR 200ms, QRS 140ms, RR' en V1 à V3, QTc 464 ms, segment ST iso-électrique, onde T négative en V1 et aVR. Test de Schellong du 16.01.2019 : négatif. Laboratoires : cf copies annexées. RX thorax de face et profil du 26.12.2018 : aorte déroulée calcifiée. Pas d'anomalie pleuro-parenchymateuse. RX thorax de face et profil du 07.01.2019 : par rapport au comparatif du 26.12.2018, nous retrouvons un cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique descendante ainsi qu'un status après spondylodèse, de D8 à D11, et un status après mise en place de stent coronarien, le tout d'aspect superposable, notamment sans foyer pulmonaire visualisé. CT thoraco-abdominale du 16.01.2019 : par rapport au comparatif du 26.11.2018, on constate une stabilité des multiples métastases osseuses, mais l'apparition d'adénopathies rétropéritonéales, mesurant jusqu'à 15 mm de petit axe. Apparition d'un petit épanchement pleural gauche. US tissu mou le 17.01.2019 : adénopathies d'allure suspecte métastatique jugulo-carotidienne et sus-claviculaire gauche, la plus volumineuse mesure 3.5cm de grand axe. Tests de la cognition : MMS à 22/30 et un test de la montre à 0/7. Laboratoires : cf copies annexées. RX thorax du 07.01.2019 : par rapport au 02.01.2019, nous retrouvons un cœur à la limite supérieure de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Sclérose et élongation de l'aorte thoracique. Pas de foyer pneumonique visible. Émoussement du sinus costo-diaphragmatique droit nouveau. Opacité rétro-cardiaque devant correspondre à une hernie hiatale avec disparition de la composante gazeuse. Laboratoires : cf copies annexées. RX thorax du 08.12.2018 : absence de comparatif. Examen réalisé en position couchée et en incidence oblique. Calcifications du bouton aortique. Asymétrie de radio-transparence entre les plages pulmonaires probablement en lien avec l'incidence du cliché. Pas de foyer constitué. Pas d'épanchement pleural. Clips métalliques en surprojection de l'angle costo-diaphragmatique droit à corréler aux antécédents. Cadre osseux dans les limites de la norme. Laboratoires : cf copies annexées. RX thorax du 24.12.2018 : absence d'un bon inspirium. Aorte déroulée et calcifiée. Lésions d'infiltrat pulmonaire bibasale avec troubles ventilatoires en bandes et épaississement de la trame broncho-vasculaire. Laboratoires : cf copies annexées. RX thorax le 17.12.2018 : cardiomégalie globale associée à une turgescence hilaire bilatérale, un discret élargissement du médiastin, évoquant une surcharge hydrique. Pas d'épanchement pleural visible. Par rapport au 02.10.2018, on retrouve une hypoventilation en bande, arciforme, postéro-basale droite. Pacemaker à une électrode en place. Pas d'air libre sous les coupoles diaphragmatiques. Sclérose aortique. Lésions dégénératives étagées du rachis dorsal. RX abdomen sans préparation le 17.12.2018 : répartition aspécifique de la pneumatisation intestinale, grêle et colique. Ampoule rectale aérée, vide de selles. Pas d'image pour un fécalome. Pas de distension pathologique décelable en faveur d'un iléus. Multiples phlébolithes pelviens. Absence de calcification radio-opaque en projection des voies urinaires. Prothèse totale de hanche gauche. Coxarthrose droite. Lésions dégénératives de la région lombosacrée. Contrôle de stimulateur cardiaque du 12.12.2018 (séjour B) : cf rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. Test de Schellong le 11.12.2018 : pathologique. Test de Schellong le 12.12.2018 : dans les limites de la norme après remplissage. Laboratoires : cf copies annexées. Tests de la cognition : MMSE à 24/30, test de la montre à 1/7 ; GDS à 3/15. Test de Schellong sans bas : positif. Test de Schellong avec bas : négatif mais moins symptomatique. Laboratoires : cf copies annexées. Tests de la cognition : MMSE à 27/30, GDS à 4/15. Laboratoires : cf copies annexées. Tests de la cognition : MMSE et GDS non réalisables au vu de la maladie d'Alzheimer avancée. Laboratoires : cf copies annexées. Tests de la cognition : MMSE pas réalisable en raison de l'état général, de même que le GDS. Laboratoires : cf copies annexées. Tests de la cognition du 14.12.2018 : MMS à 27/30, test de la montre à 3/7 ; GDS à 1/15. Laboratoires : cf copies annexées. Tests de la cognition du 14.12.2018 : MMSE à 29/30 et test de la montre à 5/7. Laboratoires : cf copies annexées. Tests de la cognition du 28.12.2018 : MMSE à 30/30, test de la montre à 6/7 ; GDS à 4/15. Laboratoires : cf copies annexées. Uro-CT le 21.01.2019 : sonde J en place. Calculs rénaux bilatéraux sans mise en évidence de dilatation obstructive aiguë, discrète pyélectasie d'allure ancienne pyélique gauche. Agglomérat de calculs au contact de la sonde double J au niveau de l'uretère lombaire le plus volumineux mesure 7mm. Tests de la cognition : MMSE à 21/30 ; GDS 0/15. Laboratoires : cf copies annexées. US abdominale le 14.12.2018 : examen mettant en évidence une lithiase vésiculaire, sans signe de cholécystite aiguë, ainsi qu'un kyste à la jonction entre le corps et la queue du pancréas. Tests de la cognition du 17.12.2018 : MMSE à 24/30, test de la montre à 3/7 ; GDS à 3/15. Laboratoires : cf copies annexées. US de la fesse droite du 15.01.2019 : dans la musculature du grand fessier, nous visualisons un volumineux hématome mesurant environ 17cm d'extension crânio-caudale pour 5cm de diamètre antéro-postérieur et 4cm de largeur. Cet hématome est liquidien avec un aspect qui paraît discrètement hyperéchogène, qui pourrait correspondre à du pu.Biopsie sous ultrasonographie de la cuisse droite du 17.01.2019 : par rapport à l'échographie du 15.01.2019, nous retrouvons la collection dans la musculature du grand fessier, compatible avec un hématome surinfecté. Après repérage et désinfection soigneuse de la peau puis champage, cette collection a été ponctionnée, mais seulement 20 ml d'un liquide sanguinolent purulent visqueux ont pu être retirés et envoyés au laboratoire pour analyse. Le geste s'est déroulé sans complication immédiate. CT du pelvis natif du 18.01.2019 : conclusion : collection hétérogène, musculaire, aux dépens des muscles glutéaux, étendue sur approximativement 11 cm de grand axe en hauteur. Très probable abcès ou hématome infecté. Tests cognitifs du 11.01.2019 : MMS à 15/30, test de la montre à 2/7 ; GDS à 8/30. Bilan neuropsychologique le 17.01.2019 : cf rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. US doppler du membre inférieur gauche le 03.01.2019 : aspect d'une thrombose veineuse profonde de la veine poplitée à gauche. Évaluation angiologique du 14.01.2019, Dr. X : cf rapport annexé. Tests cognitifs du 10.01.2019 : MMS à 18/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 3/15. Évaluation neuropsychologique du 17.01.2019, séjour en réadaptation : cf rapport annexé à la lettre du séjour n°2. Laboratoires : cf en annexe. Coronarographie le 31.12.2018 : l'examen invasif en urgence démontre comme corrélat pour le STEMI inférieur une occlusion aiguë de la coronaire droite distale. Légère dysfonction ventriculaire gauche avec akinésie postéro-basale, FEVG 40 %. Recanalisation de la CD distale avec mise en place d'un stent actif. ETT le 02.01.2019 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie minime de la paroi inférieure moyenne et de la paroi inféro-basale. FEVG à 52 % (méthode de Simpson). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Valve aortique d'ouverture normale. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Excès tissulaire des 2 feuillets mitraux. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3), d'origine dégénérative. Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche discrètement dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Pas de thrombus visualisé dans le ventricule gauche. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoires : NT pro BNP 27'205 CRP 147 mg/L Leuco 9.1 G/L. ECG : FA rapide => Digoxine IV puis poursuite du traitement Bêta-bloquant. Rx thorax le 23.01.2019. Introduction diurétiques IV puis per os. Poursuite de l'Entresto (introduit par le médecin-traitant). Sevrage progressif O2. ETT du 24.01.2019 : FEVG 65 %. Réadaptation gériatrique à Riaz demandée. Laboratoires : cf annexes. Laboratoires : cf annexes. Laboratoires : cf annexes. Laboratoires : cf annexes. Laboratoires (cf annexes). ECG du 11.01.2019 : rythme sinusal régulier normocarde à 84/min, PQ 160 ms, QRS fins à 80 ms, axe normal à 90°, transition de l'onde R en V4, pas d'onde Q significative, onde T pointues de V4 à V6, QTc 460 ms. Laboratoires (cf annexes). RX du thorax le 20.12.2018 : Trouble ventilatoire en bande des deux bases sans franc foyer. Silhouette cardio-médiastinale de taille et de morphologie normales. Cadre osseux et tissus mous sans particularité. CT cérébral natif le 20.12.2018 : Status post craniotomie frontale droite en rapport avec la cavité d'exérèse de la tumeur frontale droite sans hémorragie visible. Stabilité de la petite collection liquidienne et en partie aérienne extra-axiale frontale droite de 8 mm d'épaisseur, en regard de la craniotomie. Consilium psychiatrie (Dr. X) le 20.12.2018 (cf annexes). IRM neurocrâne le 21.12.2018 : Comparatif IRM du 04.12.2018. Status post craniotomie frontale droite en rapport avec l'exérèse de la tumeur gliale frontale droite avec remaniement hémorragique. Résidu tumoral glial cortico-sous-cortical au niveau de la berge antérolatérale et inférieure de la cavité de résection, en progression avec apparition en son sein d'une prise de contraste de 5 mm en région temporo-frontale droite. Consilium neuropsychologique le 21.12.2018 (cf annexe pour les détails) : • Dysfonctionnement exécutif (flexibilité mentale, abstraction, inhibition) • Difficultés de cognition sociale, sous la forme de difficultés de reconnaissance d'émotions faciales • Légère atteinte des praxies constructives. Laboratoires : cf annexes. Stix/sédiment urinaire : cf annexe. Radiographie de l'épaule droite face/neer du 18.01.2019 : pas d'image de fracture décelable. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie du thorax face/profil du 18.01.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. (Dr. X) Laboratoires : cf annexes. Bilan angiologique le 21.01.2019 : TVP secondaire : • distale musculaire du membre inférieur droit sur 4 cm, à la jonction des veines péronières. • jugulaire interne gauche post VVC. Laboratoires : cf annexes. Coronarographie le 05.01.2019. Échocardiographie transthoracique le 07.01.2019. Bilan angiologique avec écho-doppler des MI et vaisseaux pré-cérébraux le 07.01.2019. Fonctions pulmonaires le 08.01.2019. Laboratoires : cf annexes. Coronarographie le 08.01.2019 (Dr. X) : re-sténose in-stent de 50 % au niveau prox. RIVA, fonctionnellement non significative (FFR = 0.88). Occlusion d'une branche septale (collatéralisée par l'ACD), FEVG 60 %. Échocardiographie transthoracique le 08.01.2019. CT-scan thoracique le 08.01.2019. Laboratoires : cf annexes. Coronarographie le 12.01.2019 : l'examen invasif démontre une atteinte coronarienne bitronculaire avec occlusion fonctionnelle de la marginale distale (lésion coupable), une atteinte diffuse la RCx proximale dans la MA, une sténose serrée de l'IVA proximale et de la branche diagonale. La fonction ventriculaire gauche systolique est quasi-normale. Selon entente avec Mr. Y, angioplastie du réseau RCx/MA, puis IVA/DA avec utilisation de 4 stents actifs. Échocardiographie transthoracique le 12.01.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Valve aortique normale sans insuffisance. Valve mitrale normale, sans insuffisance. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoires : cf annexes. Coronarographie (le 22.01.2019) : occlusion thrombotique de l'IVA proximale comme corrélat angiographique à l'infarctus STEMI antéro-latéral qui est directement recanalisé par thrombo-aspiration, dilaté et stenté en urgence avec bon résultat final. La fonction systolique du VG est sévèrement diminuée (EF 25 %) avec une akinésie apicale et antéro-latérale étendue. L'examen invasif du jour démontre une occlusion thrombotique de l'IVA proximale comme corrélat angiographique à l'infarctus STEMI antéro-latéral qui est directement recanalisé par thrombo-aspiration, dilaté et stenté en urgence avec bon résultat final. La fonction systolique du VG est sévèrement diminuée (EF 25 %) avec une akinésie apicale et antéro-latérale étendue. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 12 mois et anticoagulation avec DOAC. IEC, BB, antagoniste du récepteur minéralocorticoïde. ETT aujourd'hui et dans 4 semaines pour réévaluer l'anticoagulation. Évaluation d'un défibrillateur implantable par la suite.Echocardiographie transthoracique (22.01.2019): ventricule gauche non dilaté avec une akinésie du septum apical, du septum moyen, de la paroi latéro-apicale, de la paroi latérale moyenne, de la paroi antéro-apicale, de la paroi antérieure moyenne et de la paroi septale antérieure moyenne, une hypokinésie sévère de la paroi inféro-apicale et une hypokinésie minime du septum basal et de la paroi septale antérieure basale. FEVG à 30 % (évaluation visuelle). Cœur droit normal. Pas de valvulopathie significative. Communication interventriculaire périmembraneuse s'étendant vers la chambre de chasse de petite taille d'origine congénitale peu importante. Cette CIV nécessite une simple surveillance régulière. Absence d'épanchement péricardique. Absence d'évidence pour un thrombus apical. CIV de probable origine congénitale sans critères de gravité. Echocardiographie transthoracique (24.01.2019): Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une akinésie de la paroi apicale, du septum moyen, de la paroi latérale moyenne et de la paroi septale antérieure moyenne, une hypokinésie sévère de la paroi antérieure moyenne et de la paroi septale antérieure basale, une hypokinésie modérée de la paroi postérieure moyenne et une hypokinésie minime du septum basal. FEVG à 30 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Absence d'évidence pour un thrombus apical. Propositions: Continuation de l'OAC, ASA, Efient et traitement de l'insuffisance cardiaque. Suivi échocardiographique d'ici 4 semaines. Laboratoires: cf annexes Coronarographie le 30.12.2018: l'examen montre une maladie coronarienne de 3 vaisseaux avec comme culprit lésion une occlusion proximale de l'IVA, suivie de 2 longues sténoses de l'IVA moyenne, traitées par désoblitération avec mise en place de 3 stents actifs. Proposition de compléter la revascularisation en traitant dans 24h la sténose focale subtotale de l'artère coronaire droite moyenne. Coronarographie le 31.12.2018: l'examen invasif démontre un excellent résultat après recanalisation de l'IVA proximale. La fonction systolique du VG est légèrement majorée à une FEVG de 45% avec une dyskinésie apicale. Il est procédé à une dilatation de la coronaire droite proximale et moyenne avec mise en place de deux stents actifs avec bon résultat final. Proposition d'effectuer une coronarographie de contrôle dans 1 mois avec possiblement traitement de la circonflexe moyenne. Echocardiographie le 03.01.2019: l'examen de jour montre une fonction systolique légèrement diminuée avec une dyskinésie apicale et contraste spontané, absence de valvulopathies significatives. FEVG à 45%. • Attitude: anticoagulation orale avec DOAC, stop Efient et commencer avec Plavix 75mg par jour (après charge de 600 mg), suivi échocardiographique d'ici 4 semaines. Laboratoires: cf annexe Screening toxicologique sanguin positif pour benzodiazépines Screening toxicologique urinaire positif pour benzodiazépines et opiacés Rx thorax le 11.01.2019: silhouette cardiomédiastinale dans la norme. Quelques discrètes condensations alvéolaires prédominant en base pulmonaire droite pouvant correspondre à des foyers sur aspiration. Discrets épaississements bronchiques diffus. Pas d'épanchement pleural. Laboratoires: cf annexes CT abdominal du 10.01.2019 : Par rapport au comparatif du 07.09.2013 : Volumineuse masse caecale polylobée d'environ 8 cm de grand axe à centre liquidien, qui semble communiquer avec la lumière caecale et qui infiltre le muscle iliaque droit. Sténose de la valve iléo-caecale avec iléus en amont et dilatation de l'ensemble de l'intestin grêle, de l'estomac et de l'œsophage. Pas de signe franc de souffrance des anses dilatées. L'hypothèse diagnostique principale est celle d'une masse néoplasique nécrotique localement avancée et possiblement surinfectée. Un abcès sur possible cæcite n'est pas totalement exclu. Présence de petites adénopathies à proximité de la valve iléo-caecale, suspectes de métastases ganglionnaires dans le contexte de la patiente (DD: ganglions réactionnels ?). Quantité modérée de liquide libre dans l'abdomen. Pas de perforation. Insuffisance cardiaque décompensée avec épanchement pleural bilatéral, liquide libre péri-hépatique et des signes d'anasarque. Comblements bronchiques en base gauche avec condensations compatibles avec une broncho-aspiration. Laboratoires cf annexes CT abdominal 02.01.2019: Appendicite perforée associée à une iléite de contiguïté. Pas d'abcès visible. Rx thorax 02.01.2019 Histologie: cf annexes Laboratoires: cf. annexes CT thorax du 23.12.2018: Pneumonie lobaire inférieure gauche. Status post-mise en place d'un drain pleural gauche avec résorption quasi complète du pneumothorax connu. Status post-bullectomie de l'apex droit sans complication. Laboratoires: cf annexes CT-scan abdominal 21.01.2019: Status post EVAR avec status post-embolisation à l'Onyx pour endofuite de type II. Augmentation du diamètre du sac anévrismal avec probable début de rupture latérale. Probable endofuite de type V avec progression du sac anévrismal. Stabilité du volumineux anévrisme de l'artère coronaire droite. Coronarographie le 22.01.2019: l'examen invasif confirme une maladie coronarienne ectasique avec anévrisme énorme de l'ACD moyenne (45 x 42 mm) et ectasie de l'IVA et de la Cx prox. Absence de sténoses significatives. La fonction systolique du VG est normale. Avis infectieux (téléphonique) Dr. X le 24.01.2019: BGP sur prélèvement du bloc opératoire du 24.01.2019 avec suspicion d'infection de matériel ? Nocardia et Actinomyces peu probables, aspect très spécifique en bactériologie. Listéria peu probable. Possible erreur de lecture CGP ? notamment SCN, ou Corynebacterium ==> Vancomycine arrêt de la ceftriaxone. Laboratoires: cf annexes CT-scan cérébral le 03.01.2019: IRM cérébrale le 04.01.2019: ETT le 04.01.2019: Laboratoires: cf annexes CT-scan cérébral le 07.01.2019: pas d'argument en faveur d'une lésion ischémique constituée ou d'anomalie des cartes de perfusion. Pas de saignement cérébral. Atrophie cortico-souscorticale et leucoaraïose. Perméabilité des axes artériels précérébraux et du polygone de Willis. IRM cérébrale le 08.01.2019: AVC ischémique aigu de la corona radiata et de la partie supérieure de la capsule interne gauche dans le territoire sylvien profond. Perméabilité des artères cérébrales avec des irrégularités de calibre des artères cérébrales moyennes et antérieures.Echocardiographie transthoracique le 08.01.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique. Dysfonction diastolique minime (grade I). Aorte non dilatée. Aspect de sclérose de la valve aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale légère à modérée (grade 1-2/3). Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTP (PAPs à 22 mmHg). VCI se collabe en inspiration en faveur d'une hypovolémie. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Absence d'épanchement péricardique. Laboratoires : cf annexes CT-scan cérébral le 20.01.2019 : absence d'argument pour un accident vasculaire cérébral ischémique ou hémorragique. Perméabilité préservée des vaisseaux pré-cérébraux et intracrâniens. Rx thorax du 21.01.2019 : Mise en place d'un tube orotrachéal. SNG dont l'extrémité se termine en-dehors du champ d'exploration. Absence d'opacité pulmonaire suspecte sur la partie visible des plages pulmonaires. Laboratoires : cf annexes CT-scan cérébral Time is Brain le 07.01.2019 : pas d'argument en faveur d'une lésion ischémique constituée ou d'anomalie des cartes de perfusion. Pas de saignement cérébral. Atrophie cortico-sous-corticale et leucoaraïose. Perméabilité des axes artériels précérébraux et du polygone de Willis. IRM cérébrale le 08.01.2019 : AVC ischémique aigu de la corona radiata et de la partie supérieure de la capsule interne gauche dans le territoire sylvien profond. Perméabilité des artères cérébrales avec des irrégularités de calibre des artères cérébrales moyennes et antérieures. Echocardiographie transthoracique le 08.01.2019 (Dr. X) : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique. Dysfonction diastolique minime (grade I). Aorte non dilatée. Aspect de sclérose de la valve aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale légère à modérée (grade 1-2/3). Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTP (PAPs à 22 mmHg). VCI se collabe en inspiration en faveur d'une hypovolémie. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Absence d'épanchement péricardique. ECG-Holter de 72 heures le 14.01.2019 (Dr. X) : Un rythme de base sinusal, avec une fréquence cardiaque moyenne à 61 bpm, minimale à 43 bpm et maximale à 129 bpm. Une extrasystolie ventriculaire complexe, de faible incidence (1 épisode de TV de 15 complexes à une fréquence max. de 148 bpm). Une extrasystolie supraventriculaire complexe, de faible incidence (doublets, salves de 3 et 4 complexes, trigéminisme, épisode de rythme auriculaire, épisode de bloc à bascule). Un RR maximal à 1555 msec. Pas d'analyse possible du segment ST, compte tenu du bloc de branche. Pas d'enregistrement volontaire. Prise en charge neuropsychologique et aphasiologique dès le 09.01.2019 : en cours Laboratoires : cf annexes CT-scan cérébro-cervico-thoracique le 30.12.2018 : pas d'AVC hémorragique ou ischémique constitué. Cardiomégalie avec signes d'hypertension pulmonaire et perfusion mosaïque en faveur d'une atteinte micro-circulatoire ou des petites voies aériennes. Lame d'épanchement pleural des deux côtés avec troubles ventilatoires passifs en regard et possible broncho-aspiration. Laboratoires : cf annexes CT-scan thoracique le 20.01.2019 : épanchement pleural des deux côtés, plus marqué du côté gauche, avec des atélectasies de contact dans les deux lobes inférieurs et de la lingula présentant des signes de surinfection. Présence également de quelques opacités nodulaires spiculées du segment apical du lobe inférieur gauche et de la lingula parlant également pour une origine infectieuse mais dont un suivi scanographique est recommandé à distance pour exclure de vrais nodules. Pas de franche masse tumorale visible. Les ganglions médiastinaux légèrement augmentés parlent en premier lieu pour une origine réactionnelle. Sonde nasogastrique se terminant dans le duodénum. Laboratoires : cf annexes Echocardiographie transthoracique le 12.01.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie globale minime. FEVG à 52 % (méthode de Simpson bi-plan, 48 % en 4CV et 55 % en 2CV). Géométrie normale du ventricule gauche. Diminution du débit cardiaque calculé à 6,72 l/min avec un index cardiaque à 2,89 l/min/m² (79 % de la théorique). Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Absence de valvulopathie aortique. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Discrète dilatation de l'oreillette droite avec bombement du SIA vers la gauche. Qp/Qs<1. Absence de shunt au doppler couleur. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Avis infectiologique (Dr. X) : probable phénomène immunologique sur péricardite virale (hypothèse d'une infection par virus X avec réaction immunologique croisée entraînant une récidive des péricardites). Pas de bilans supplémentaires nécessaires. Avis rhumatologique le 14.01.2019 (Dr. X) : pas de bilans supplémentaires nécessaires. Laboratoires : cf annexes EEG 05.11.2018 : EEG pathologique, prédominé par une bradydysrythmie diffuse dans la bande thêta-delta, éventuellement légèrement accentuée au niveau de la région temporale gauche, toutefois sans caractère irritatif, avec en revanche des potentiels triphasiques à répétition, le tracé parlant d'emblée en premier lieu en faveur d'une encéphalopathie. Compte tenu du contexte clinique, il faut suspecter une encéphalopathie d'origine plurifactorielle sur méningo-encéphalite, compliquée par une hypertension intracrânienne maligne résultant en lésions cérébrales multiples/étendues et plus récemment, par une pneumonie sous traitement antibiotique par Tazobac en cours. EEG le 09.11.2018 : bradyarythmie d'origine métabolique essentiellement avec pingpong aze associée. Bouffées delta rythmiques à une ou deux reprises. Rx thorax du 25.10.2018 : trachéostome en surprojection de la trachée. La sonde nasogastrique se termine en surprojection de l'estomac. Voie veineuse centrale sous-clavière droite se terminant en surprojection de la veine cave supérieure. Pas de signe de décompensation cardiaque. Suspicion d'épanchement pleural gauche (DD : surprojection du diaphragme ?). Pas d'anomalie notable dans le parenchyme pulmonaire. Pas de signe de pneumothorax. Structures osseuses sans particularité. Rx thorax du 26.10.2018 : accentuation de la trame pulmonaire diffuse, sans signe pour une décompensation ou d'atélectasie. Opacité mal délimitée en surprojection du 8ème arc costal postérieur gauche pouvant correspondre à un foyer débutant. Diminution quasi complète de l'épanchement pleural gauche. Trachéostomie en surprojection de la trachée. La sonde nasogastrique se termine en surprojection de l'estomac. Voie veineuse centrale sous-clavière droite se terminant en surprojection de la veine cave supérieure.Rx thorax du 28.10.2018: discrète accentuation de la trame pulmonaire prédominant dans les régions sous-hilaires bilatérales, prédominant à gauche pouvant être en lien avec des foyers débutants. Persistance d'un épaississement bronchique. Le reste est superposable. Rx thorax du 31.10.2018: apparition d'opacités alvéolaires bi-basales devant correspondre à des foyers de pneumonie. On ne peut exclure un épanchement pleural à gauche en raison d'un émoussement du cul-de-sac pleural. Reste de l'examen inchangé. CT-scan cérébral du 05.11.2018: St/p craniectomie occipitale connue mais retrait du capteur de PIC frontal droit précédemment visible. Pas d'hémorragie intra ou extra-axiale, ni effet de masse, ni déviation de la ligne médiane. Pas de dédifférenciation cortico-sous-corticale ou hypodensité en faveur d'une atteinte ischémique. Pas de dilatation du système ventriculaire. Citernes de la base libres. Pas de signes d'hypertension intracrânienne. Laboratoires: cf annexes Hémocultures le 10.01.2019 Frottis naso-pharyngé négatif pour Influenza et RSV le 10.01.2019 : négatifs Antigènes urinaires pour Légionelle et Pneumocoque le 12.01.2019 : négatifs CT thoracique le 12.01.2019: Au sein du parenchyme pulmonaire, mise en évidence de plages en verre dépoli à distribution centrale et prédominant dans les lobes supérieurs, aspécifiques, dont une origine infectieuse ne peut pas être exclue (DD : PCP ? CMV ? Autre ?). Pas d'embolie pulmonaire mise en évidence. Emphysème centro-lobulaire prédominant aux apex ddc. Avis pneumologique (Dr. X) le 12.01.2019: le Ct-scan montre 1) emphysème centro-lobulaire et 2) infiltrats verre dépoli péribronchovasculaire => DD: atteinte toxique sur méthotrexate possible, léflunomide possible, Infliximab peu probable. Immunosuppression met à risque de PCP, germes atypiques, origine virale moins probable. Proposition d'un traitement empirique d'un PCP et discuter de faire une bronchoscopie (mardi 15.01.2019) si PCR pour PCP pas obtenue autrement. Laboratoires: cf annexes Hémocultures le 10.01.2019 Frottis naso-pharyngé négatif pour Influenza et RSV le 10.01.2019 : négatifs Antigènes urinaires pour Légionelle et Pneumocoque le 12.01.2019 : négatifs ECG: Qtc 391 ms CT thoracique le 12.01.2019: Au sein du parenchyme pulmonaire, mise en évidence de plages en verre dépoli à distribution centrale et prédominant dans les lobes supérieurs, aspécifiques, dont une origine infectieuse ne peut pas être exclue (DD : PCP ? CMV ? Autre ?). Pas d'embolie pulmonaire mise en évidence. Emphysème centro-lobulaire prédominant aux apex ddc. Avis pneumologique (Dr. X) le 12.01.2019: le CT-scan montre 1) emphysème centro-lobulaire et 2) infiltrats verre dépoli péribronchovasculaire => DD: atteinte toxique sur méthotrexate possible, léflunomide possible, Infliximab peu probable. Immunosuppression met à risque de PCP, germes atypiques, origine virale moins probable. Proposition d'un traitement empirique d'un PCP et discuter de faire une bronchoscopie (mardi 15.01.2019) pour obtenir PCR à la recherche de PCP. Laboratoires: cf annexes Hémocultures le 11.01.2019 Antigènes urinaires négatifs le 12.01.2019 Cultures d'expectorations le 12.01.2019 CT cérébro-thoraco-abdominal le 11.01.2019: absence de lésion ischémique constituée ou hémorragique. Comblement du sinus maxillaire droit. Calcifications coronariennes tritronculaires. Épaississement bronchique diffus avec quelques impactions dans la pyramide basale droite. Condensations dans les parties déclives et périphériques des lobes inférieurs (broncho-aspiration?). Épaississement modéré de tout l'oesophage (oesophagite?). Stéatose hépatique diffuse, sans lésion focale parenchymateuse. Lésion nodulaire infracentimétrique dans le processus uncinatus du pancréas. Laboratoires: cf annexes IRM neurocrâne/carotides le 10.01.2019: pas de lésion ischémique aiguë. Séquelle de lésion ischémique pariétale gauche dans la région centrale (gyrus post-central). Pas de lésion hémorragique. Une sténose de haut de degré du départ de l'artère carotide interne gauche sur probable plaque athéromateuse calcifiée avec toutefois un bon signal en aval (DD surestimation de la sténose par une plaque circonférentielle athéromateuse calcifiée). Angio-CT vaisseaux pré-cérébraux le 11.01.2019: sténose au départ de l'artère carotide interne gauche évaluée à 75% selon les critères de NASCET. Électro-encéphalo-gramme le 11.01.2019: EEG dans les limites de la norme pour l'âge Echocardiographie transthoracique le 11.01.2019: ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique légère. Dysfonction diastolique minime (grade I). Aorte non dilatée. Aspect de sclérose de la valve aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Oreillette gauche discrètement dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTP. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/3). Minime épanchement péricardique systolique isolé localisé hémodynamiquement non significatif. Laboratoires: cf annexes IRM neurocrâne/carotides le 10.01.2019: pas de lésion ischémique aiguë. Séquelle de lésion ischémique pariétale gauche dans la région centrale (gyrus post-central). Pas de lésion hémorragique. Une sténose de haut de degré du départ de l'artère carotide interne gauche sur probable plaque athéromateuse calcifiée avec toutefois un bon signal en aval (DD surestimation de la sténose par une plaque circonférentielle athéromateuse calcifiée). Angio-CT vaisseaux pré-cérébraux le 11.01.2019: Sténose au départ de l'artère carotide interne gauche évaluée à 75% selon les critères de NASCET. Électro-encéphalo-gramme le 11.01.2019: rapport à pister Echocardiographie transthoracique le 11.01.2019: Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique légère. Dysfonction diastolique minime (grade I). Aorte non dilatée. Aspect de sclérose de la valve aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Oreillette gauche discrètement dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTP. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/3). Minime épanchement péricardique systolique isolé localisé hémodynamiquement non significatif. Laboratoires: cf annexes IRM neurocrâne/carotides le 10.01.2019: pas de lésion ischémique aiguë. Séquelle de lésion ischémique pariétale gauche dans la région centrale (gyrus post-central). Pas de lésion hémorragique. Une sténose de haut de degré du départ de l'artère carotide interne gauche sur probable plaque athéromateuse calcifiée avec toutefois un bon signal en aval (DD surestimation de la sténose par une plaque circonférentielle athéromateuse calcifiée). Angio-CT vaisseaux pré-cérébraux le 11.01.2019: Sténose au départ de l'artère carotide interne gauche évaluée à 75% selon les critères de NASCET. Électro-encéphalo-gramme le 11.01.2019: rapport à pister Echocardiographie transthoracique le 11.01.2019: Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique légère. Dysfonction diastolique minime (grade I). Aorte non dilatée. Aspect de sclérose de la valve aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Oreillette gauche discrètement dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTP. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/3). Minime épanchement péricardique systolique isolé localisé hémodynamiquement non significatif. Laboratoires: cf annexes paracétamolémie à 85 mg/l à 8h Consilium de psychiatrie le 11.01.2019 (Dr. X): probable trouble de personnalité borderline avec risque suicidaire faible. Pas d'indication à une hospitalisation en milieu psychiatrique. Proposition d'un suivi psychiatrique ambulatoire. En absence de dangerosité immédiate et de critères francs pour une hospitalisation au CSH de Marsens, proposition à la patiente de commencer un suivi psychiatrique ambulatoire à l'unité psychiatrique ambulatoire de Payerne, également un arrêt de travail jusqu'au 16.01.2019. La mère et le copain de la patiente s'engagent à rester auprès d'elle et à faire appel aux urgences psychiatriques du canton de Vaud (AOP) en cas de nécessité. Laboratoires: cf annexes Radiographie du thorax le 13.01.2019 et le 14.01.2019 Laboratoires: cf annexes Radiographie du thorax le 13.01.2019 et le 14.01.2019 Coronarographie le 17.01.2019 La fraction d'éjection du ventricule gauche est dans les limites de la normale (60%). La ventriculographie gauche montre une akinésie diaphragmatique. Coronaires discrètement athéromateuses. La dysfonction VG est probablement secondaire à un embole coronaire dans le cadre de la FA. Laboratoires: cf annexes Radiographie du thorax le 19.01.2019: pas de signe de décompensation cardiaque, ni mise en évidence d'opacité pulmonaire suspecte de foyer infectieux Radiographie du thorax le 20.01.2019: grand volume pulmonaire ddc en lien avec la BPCO connue. Lobe azygos. Epaississement bronchique diffus. Pas de foyer pulmonaire constitué. Emoussement du sinus costo-diaphragmatique gauche. Cadre osseux inchangé. Laboratoires: cf annexes Rx thorax le 03.01.2019 ETT le 03.01.2019: ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile globale normale. FEVG à 65%. Aorte normale. Valve aortique normale. Valve mitrale normale. Oreillette gauche non dilatée. Dilatation importante du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit modérément altérée. Dilatation importante des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Valve pulmonaire normale. Décollement péricardique systolique isolé. Laboratoires: cf annexes Rx thorax le 05.01.2019: image cardiovasculaire normale sans signe d'insuffisance cardiaque. Il n'y a pas d'image pathologique dans les champs pulmonaires, notamment pas d'opacité en faveur d'un foyer de pneumonie. Pas d'épanchement pleural. Cadre osseux sans particularité. Us abdominal le 05.01.2019: Examen dans les limites de la norme. En particulier pas de dilatation des voies biliaires ou d'anomalie rénale. CT-scan cérébral le 06.01.2019: pénombre ischémique frontale gauche, compatible avec la symptomatique, sans signe de thrombus ou de sténose significative des vaisseaux intra et pré cérébraux. Athérome calcifié des siphons et des bulbes carotidiens. IRM cérébrale le 07.01.2019: AVC ischémique constitué de petite taille en regard du splénium du corps calleux latéralisé à droite dans le territoire de la cérébrale antérieure. Leucopathie micro vasculaire avec séquelles d'AVC ischémique post-central gauche et multiples lacunes des centres semi-ovales. Perméabilité des vaisseaux intracrâniens. Coronarographie le 07.01.2019: L'examen invasif démontre une lésion significative au niveau de l'artère circonflexe ostiale/proximale et au niveau de l'ACD proximale. L'IVA montre une lésion à 30-50%. Echocardiographie transthoracique le 07.01.2019: ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60% (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Valve aortique normale. Absence de rétrécissement aortique. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Valve mitrale normale. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. L'examen ne montre pas d'origine cardio-embolique. Une injection de microbulles devrait avoir lieu pour compléter le bilan. Laboratoires: cf annexes Ultrason abdominal le 10.01.2019: examen de qualité suboptimale en raison du morphotype du patient. Foie étudié de manière partielle par voie intercostale, perméabilité des veines sus-hépatiques et de la veine porte. Ectasie des voies biliaires intra-hépatiques, pouvant être compatibles avec l'âge du patient. Multiples calculs vésiculaires, en partie calcifiés, mesurant en moyenne 1 cm de grand axe. Le pancréas est partiellement visible, d'aspect lipomateux avec perméabilité de la veine splénique. Rate de taille normale, mesurée à 113 mm de grand axe. Reins de taille et de configuration normales, sans dilatation pyélo-calicielle. CT abdominal du 11.01.2019 : Vésicule biliaire qui présente une dilatation avec des calculs radio-opaques dans sa lumière et une infiltration de la graisse péri-vésiculaire s'étendant à la gouttière pariéto-colique droite. Aspect dilaté des voies biliaires extra-hépatiques (cholédoque 10 mm) avec nodule hyperdense dans le cholédoque distal évoquant une lithiase obstructive. Les voies biliaires intra-hépatiques ne sont pas dilatées. Reins, surrénales, rate et pancréas sans particularité. Pas de dilatation des voies urinaires. Sonde vésicale en place dans la vessie. Hypertrophie prostatique. Dilatation aérique de l'estomac. Athéromatose calcifiée de l'aorte et ses branches. Dissection ancienne de l'artère iliaque commune droite. Pas de liquide libre. Pas d'adénopathie. A l'étage thoracique, emphysème majeur avec impactions bronchiques en base droite et troubles ventilatoires consécutifs possiblement surinfectés. Os : Pas de lésion lytique ou condensante suspecte. Drainage per cutané vésiculaire sous guidage CT le 11.01.2019: drainage sous contrôle scanographique de la vésicule biliaire par voie transhépatique sans complication. Laboratoires: cf annexes Us abdominal le 14.01.2019: cirrhose hépatique sans arguments pour un CHC ou pour une thrombose porte/hépatique. Ascite modérée intéressant les 4 quadrants associée à une discrète splénomégalie. Vésicule biliaire lithiasique avec des parois épaissies en rapport avec la cirrhose. Le reste de l'examen est sans particularité, sous réserve d'une exploration sous-optimale en raison du manque de collaboration par la patiente. CT-scan cérébral natif le 12.01.2018: volumineux foyer d'hémorragie intraparenchymateuse centrée dans la région de la tête du noyau caudé et des noyaux gris centraux à droite dont la localisation évoque en premier lieu une origine hypertensive. Engagement sous-falcoriel. Indondation ventriculaire avec sang dans les cornes occipitales des deux ventricules latéraux.Sinusite chronique fronto-éthmoidio-maxillaire gauche, avec probables mucocèles. CT-scan cérébral natif le 13.01.2018: examen globalement superposable au comparatif sans majoration de l'extension hémorragique ni de son effet de masse sur le parenchyme adjacent. Pas de nouvelle lésion. Laboratoires c.f. copie Schellong le 22.01.2019 (sous Coveram 10/10 mg et Torasémide 10 mg): Hypotension orthostatique Schellong le 24.01.2019 (sous Corvaton en plus du traitement de base): Hypotension orthostatique Schellong le 28.01.2019 (sous Cardura en plus du traitement de base): Hypotension orthostatique MMS 25/30, Clock-Test 4/6, GDS 1/15 le 21.01.2019 ECG le 22.01.2019: Rythme sinusal régulier à 61 bat/min, axe normal à 7°, intervalle PR limite pour BAV 1°, QRS fin, pas de trouble de la repolarisation. US abdominal le 25.01.2019: Pas de concrétions intrahépatiques. Légère dilatation des voies biliaires intrahépatiques. Canal pancréatique très dilaté. DD. sténose papillaire. CT abdominal le 28.01.2019: • Canaux biliaires intra et extrahépatiques très proéminents, DD sténose papillaire, DD s/p cholécystectomie. Canal pancréatique dilaté et allongé avec possible sténose au niveau de la transition corps-tête du pancréas. Lésion kystique au niveau du processus uncinatus, comparable au CT du 19.12.2017. • Modification athérosclérotique du départ des artères rénales, une sténose significative ne peut pas être exclue en particulier à gauche (artère accessoire irriguant le parenchyme ventral). Apport d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce de min. 7 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus en raison d'un déconditionnement multifactoriel ainsi que de syncopes récidivantes. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 16 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mercredis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 18/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 70/30 MMS/CLOCK 25/30 - 4/6 GDS 1/15 Évaluation sociale (5 domaines) 21.01.2019 Colloque interdisciplinaire 1 23.01.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 21/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 87/33 Laboratoires Radiographie du thorax GDS : alcalose respiratoire Sédiment urinaire : pathologique Uroculture : Staph. haemolyticus Ciprofloxacine par voie orale, adaptée à la fonction rénale du 02.12.2018 au 09.12.2018 Tests de Schellong le 10.12.2018 : négatif Laboratoires: vide annexes Fluoroscopie abdominale (28.12.18): Retrait du pansement et désinfection. Les trois ancres sont toujours en place. Présence de dépôts brunâtres au pourtour de la plaie associés à des dépôts fibrineux sur le point d'entrée de la gastrostomie. Celle-ci sort spontanément de l'estomac en raison d'un ballonnet dégonflé. Rinçage de la sonde. Remise en place par le point d'entrée sans difficulté. Injection de 10 ml de Iopamiron 300 réalisant une opacification de l'estomac et confirmant donc que le bon positionnement. On regonfle le ballonnet à l'aide de 5 ml d'eau distillée. Les fils des ancres ne sont pas retirés au vu de l'aspect inflammatoire. Pansement simple avec IV 3000. Fluoroscopie abdominale (31.12.18): Désinfection et champagne habituels. L'orifice de la GPR est calme, sans signe infectieux. Mise en place d'un Amplatz sous contrôle radiographique. Introduction d'une nouvelle sonde Flocare (Ch 14). Gonflement du ballonnet par 5 ml d'eau distillée. Contrôle de la position par injection de Iopamiro qui montre un bon positionnement. Rinçage par de l'eau distillée. Pas de complication immédiate. Fluoroscopie abdominale (03.01.19): Examen réalisé sous scopie, avec injection de Iopamiro dilué par la sonde de gastrostomie, bonne opacification de l'estomac et bon passage du produit de contraste sans fuite notable, ni dans la paroi, ni dans le péritoine. Ballonet en place et bien gonflé contre la paroi. On retrouve les ancres en place autour de la GPR, le patient étant suivi par le Dr. X, les ancres seront enlevés sur son avis. CT abdomen (23.12.18): Status post gastrostomie avec ballonnet semblant faire une discrète protrusion en dehors de la lumière gastrique. Discrète majoration de l'infiltration de la graisse à ce niveau et mise en évidence d'une bulle d'air en contact de la sonde en sous-cutané. Pas de pneumopéritoine ni de liquide libre intra-abdominal. Le reste de l'examen est inchangé. CT crâne (23.12.18): Large lésion parenchymateuse hypodense fronto-pariéto-temporale droite, insulaire droite et touchant les noyaux gris centraux à droite, correspondant à une lésion ischémique constituée en rapport avec l'AVC connue. Matériel radio-opaque en région temporo-polaire droite, au sein de la région ischémiée, dont il est difficile de dire s'il s'agit d'un reste de parenchyme cérébral ou d'un saignement intracrânien. Status post craniotomie fronto-pariéto-temporale droite avec collection hypodense extra-axiale mesurant 20 mm d'épaisseur maximale. Le reste de l'examen est inchangé. CT crâne (31.12.18): Status post craniotomie fronto-pariéto-temporale droite avec collection hypodense extra-axiale mesurant jusqu'à 24 mm d'épaisseur maximale, globalement stable par rapport au comparatif. On retrouve la large lésion parenchymateuse hypodense fronto-pariéto-temporale droite, insulaire droite et touchant les noyaux gris centraux à droite, correspondant à la lésion ischémique connue et stable par rapport au comparatif. Pas de saignement nouvellement apparu ou d'engagement cérébral. Le reste de l'examen est inchangé. CT crâne (08.01.19): Status post craniotomie fronto-pariéto-temporale droite. Aspect légèrement plus bombé de la collection hypodense extra-axiale mesurant jusqu'à 22 mm d'épaisseur maximale, globalement stable par rapport au comparatif. Cette collection se situe probablement dans l'espace sous-dural, au vu d'une probable membrane de séparation avec le reste de l'espace sous-arachnoïdien. On retrouve la large lésion parenchymateuse hypodense fronto-pariéto-temporale droite, insulaire droite et touchant les noyaux gris centraux à droite, correspondant à la lésion ischémique connue et stable par rapport au comparatif. Pas de saignement nouvellement apparu ou d'engagement cérébral. Le reste de l'examen est inchangé. EEG (04.01.19) : hypo-activité corticale diffuse, pas d'argument pour une piste comittiale. EEG (08.01.19) : résultat en attente ECG : BBD, QTc long Laboratoire. Scanner abdominal. Laboratoire. Scanner abdominal sans particularités. Ferritine en cours. Surveillance aux urgences avec suivi de l'hémoglobine. Proposition : pister ferritine par médecin de famille pour voir si substitution nécessaire ; au vu des saignements fréquents et abundants, proposition de faire une consultation gynécologique non urgente. Laboratoire. Schellong négatif. Manoeuvre de libération. Consilium Oto-neurologie. Consultation chez médecin traitant si réapparition de la symptomatologie. Laboratoire. Score de Genève 8 : probabilité clinique intermédiaire. Angio-CT thoracique injecté le 19.12.2018. Anticoagulation thérapeutique par Xarelto 15 mg - 2 x/jour pour 3 semaines. Oxygénothérapie. Laboratoire Sédiment : propre Urotube 04.01.2019 (chez médecin traitant/MCL) : E.coli 10E6 (résistant à Amoxicilline et Bactrim) Urotube 05.01.2019 : Germes/ml [globalement] <10E3 Hémocultures le 05.01.2019 : négatives à 5 jours Rx thorax 07.01.2019 : pas de foyer Rocéphine 2 g du 05.01 au 09.01.2019 Relais avec Co-amoxicilline 1 g 2x/j du 10.01 au 12.01.2019 Laboratoire. Sédiment urinaire. Poursuite de l'antibiothérapie par Ciprofloxacine 500 mg 2x/j durant 12 j. Contrôle clinique chez le médecin traitant. Laboratoire Sédiment urinaire Urotube du 10.12.2018 : Klebsiella oxytoca ++, Staphylococcus (sp) + CT abdominal natif le 11.12.2018 Consultation gynécologique le 13.12.2018, Dr. X : ad uro-vaxom 1x/j dès le 19.12.2018, ad Ovestin dès le 18.12.2018 2x/semaine Avis infectiologique Dr. X : ad Furadantine 100 mg 2x/j pour 5 jours dès le 11.12.2018, stoppée le 13.12.2018 Ad Rocéphine 2g dès le 13.12.2018 jusqu'au 19.12.2018 y compris ECG le 13.12.2018 Gazométrie le 13.12.2018 Radiographie du thorax le 13.12.2018 Ultrasonographie abdominale le 13.12.2018 Stop Betmiga le 19.12.2018 Avis Dr. X le 20.12.2018 : sonde vésicale à demeure Laboratoire Sédiment urinaire Urotube Hémocultures CT abdominal du 15.12.2018 Perfusion 1500 ml/24 h Paracétamol 1 g iv aux urgences Rocéphine iv 2 g 1x/j, Laboratoire Sédiment Urotube 2 paires d'hémocultures Gazométrie Cefepime 1 g 2x/j du 18.12.18 au 25.12.2018 Laboratoire Sérologie H. pylori le 07.12.2018 : positif OGD le 07.12.2018 (Dr. X) IPP 80 mg i.v. de charge puis 8 mg/h pendant 24 h Dès le 08.12.2018, IPP 2x40 mg p.o. pendant 6 semaines puis 1x/j Eradication du H. pylori à effectuer (Amoxicilline 1 g 2x/j, Métronidazole 500 mg 3x/j et Clarithromycine 500 mg 2x/j avec IPP 40 mg 2x/j) Contrôle OGD dans 8 semaines (patiente sera convoquée) Laboratoire. Sérologies. Anticorps. Radiographie thorax. Avis neurologique (Dr. X / Dr. X) : • neuropathie optique d'origine indéterminée DD vascularite, maladie démyélinisante. Proposition : • investigations : HCV, HBV, HIV, Toxoplasmose, Syphilis, Tuberculose, ANA, ANCA, antiC-SSA/SSB, anti cardiolipines, Vit B1, B6, B12, Acide folique • PL et IRM crânio-lombaire injecté et angiographie à la fluorescéine en ophtalmologie • Suivi ambulatoire par Dr. X. Retour à domicile avec suivi ambulatoire en neurologie (Dr. X). Multiples investigations ambulatoires par PL, IRM crânio-vertébrale, ophtalmologique. Retour aux urgences en cas d'apparition de nouveau symptôme neurologique tel que trouble s/m, céphalées importantes. Laboratoire Examen neurologique Taux de clozapine : en cours Laboratoire Schellong Hospitalisation pour bilan de chute Laboratoire Spot : FeUrée à 32 % Cockroft à 56 ml/min le 07.01.2019 Laboratoire Spot • hydratation 1500 NaCl sur 24 h Mise en pose des traitements à risque Laboratoire Spot et sédiment urinaire le 10.01.2019 : ______________ US ciblé aux urgences (Dr. X/Dr. X): globe urinaire et dilatation pyélocalicielle ddc Pose de sonde vésicale traumatique le 10.01.2019 Laboratoire Spot urinaire Laboratoire Spot urinaire : FE Na <1 % Laboratoire Spot urinaire : FEUrée 16 % Hydratation iv puis per os Laboratoire Spot urinaire ECG le 23.12.2018 Radiographie du thorax le 23.12.2018 Diminution du Xarelto à 15 mg dès le 23.12.2018 Diminution de l'Aldactone à 12.5 mg dès le 23.12.2018 Laboratoire Spot urinaire FeUrée : 30.1 % composante pré-rénale 1000 ml NaCl/24 h Laboratoire Spot urinaire :___ Hydratation IV 750 ml NaCl 0.9 % Att : • hydratation Laboratoire. Spot urinaire. Mise en suspens de l'Arcoxia et du Lisinopril. Hydratation par 1500 ml de NaCl/24 h. Suivi biologique. Laboratoire Spot urinaire Suivi biologique Laboratoire Spot urinaire Suivi biologique Laboratoire Spot urinaire TSH normale Restriction hydrique Correction au laboratoire du 21.01.19 Laboratoire Spot urinaire US ciblé Adaptation Eliquis Aldactone, Lisinopril et Irfen mis en pause Hydratation i.v. Aldactone repris le 13.12.2018 Laboratoires Stix du 19.12.18 : leucocytes +++ Hémocultures du 19.12.18 : Négatives Hémocultures du 22.12.18 : Négatives Radiographie du thorax du 19.12.18 US abdominal ciblé 19.12.2018 : pas de globe Urotube : négatif Flagyl 500 mg iv & Cefepime 1500 mg iv le 19.12.2018 aux urgences Rocéphine 1000 mg iv du 20.12.18 au 27.12.2018 Suivi diététique avec régime hâché de courte durée Physiothérapie Majoration des soins à domicile à 2x/jour pour la sortie Laboratoire Status urinaire et culture urinaire Laboratoire. Status urinaire : propre ECG : pas de sus-décalage ST, reste sans particularité. Radiographie thorax : superposable au comparatif. Antalgie. Laboratoire Stix / Sédiment : leucocytes +++, sang +++ Urologie Laboratoire Stix / Sédiment : leucocytes +++, sang +++ Urologie • att ad hospitalisation en gynécologie pour antibiothérapie iv Laboratoire Stix / Sédiment : leucocytes +++, sang +++ Urologie 13 Zinat du 13 au 23.01.2019 Laboratoire Stix et sédiment en cours Test de grossesse urinaire = + Groupage sanguin US Abdominal = Dr. X (cf compte rendu) Avis Gynécologue = Gynécologue prévenue du diagnostic et de l'urgence d'une prise en charge chirurgicale. CAT : • Transfert Gynécologie Laboratoire. Stix et sédiment urinaire : leuco +, sang +++, flore +, Nit - Test de grossesse urinaire négatif. US abdominal (Dr. X) : pas d'épanchement spléno-rénal, pas de dilatation pyélocalicielle, pas d'épanchement dans le Douglas, stérilet visible en place, pas d'épanchement dans le Morrison. VCI non dilaté. Aorte visible sans signe de dissection. Attitude : • Retour à domicile. • Réassurance. • Pas d'antibiothérapie au vu de l'absence de plaintes urinaires. Laboratoire Stix et sédiment urinaire = négatif Test de grossesse urinaire = négatif US Ciblé Abdominal : Dr. X = Cf compte rendu US abdominal (Dr. X) = Appendicite confirmée, confirmation de l'absence du rein droit à confronter à une IRM à distance de la chirurgie Avis chirurgien = Prise en charge chirurgicale, hospitalisation en chirurgie avec antibiothérapie par Rocéphine, Métronidazole. CAT : • Transfert Chirurgie pour suite de prise en charge • Explorer à distance l'absence de rein droit Laboratoire Stix et sédiment urinaire ECG Radiographie thoracique = pas de foyer infectieux, nombreux niveaux hydroaériques présents US abdominale = Dr. X (cf compte rendu) CT Abdominal = Anevrisme aortique connu de 37 mm avec pré-rupture visible en comparaison avec le CT abdominal de 2017 avec infiltration péri-anévrysmale Avis Chirurgien vasculaire : Dr. X : Possible étiologie infectieuse ou inflammatoire, peu de risque de rupture aiguë. Pas de corticothérapie. Surveillance en soins intensifs avec contrôle CT à 48 h avec opération à distance.Hemoculture 2 paires en cours Pose de cathéter artériel : Dr. X, désinfection locale, champage, pose d'un cathéter 20 G en radial gauche. Pas de complication post geste. Sondage vésical Avis infectiologue = en cours Avis soins intensifs : Ok pour transfert soins intensifs CAT : • Transfert soins intensifs. Laboratoire Stix et sédiment urinaire le 08.01.2019 ECG le 08.01.2019 Radiographie thoracique le 08.01.2019 CT cérébral natif le 08.01.2019 Schellong impossible Laboratoire. Stix et sédiment urinaire. Retour à domicile avec antalgie et Pantozol 40 mg 1x/j pendant 10-14 jours. Expliqué à Mme. Y qu'il faudra prendre rendez-vous chez son médecin traitant dans 2 semaines pour la suite de la prise en charge. Explications des critères de reconsultation données à Mme. Y. Laboratoire. Stix et sédiment urinaire. Traitement symptomatique. Explication quant aux signes de gravité devant reconsulter et/ou persistance des symptômes à 7-10 jours. Laboratoire. Stix et sédiment urinaire. ECG : sinusal régulier sans trouble de la conduction, sans trouble de la repolarisation, sans bloc de branche. US Fast (Dr. X). Body-CT (Dr. X) : absence de fracture ou atteinte viscérale profonde au CT total Body. Second Survey négatif : absence de symptômes ou atteinte neurologique à l'examen ciblé. Laboratoire Stix et sédiment urinaire Radiographie de thorax ECG CT-scan cérébral natif (Dr. X) : pas de saignement, pas de fracture, hydrocéphalie dans le contexte d'atrophie cérébrale, lésion séquellaire pariétale droite 1 paire d'hémocultures à froid : en cours Urotube : en cours Attitude : • Hospitalisation en médecine • Ad Rocéphine 2 g i.v • Prévoir un avis psycho-gériatrique pour adaptation du traitement • Re-discuter attitude REA Laboratoire Stix et sédiment urinaire Radiographie de thorax Frottis grippe : en cours 2 paires d'hémocultures : en cours Isolement gouttelettes depuis le 27.01.2019 Tamiflu 75 mg x2/j du 27.01.2019 au ____ Attitude : • Hospitalisation en médecine • Pister frottis grippe et en fonction de cela évaluer la poursuite de l'isolement et du Tamiflu Laboratoire. Stix et sédiment urinaire. Radiographie du thorax. 1 paire d'hémocultures à froid. Attitude : • Retour à domicile avec absence de foyer infectieux et baisse du syndrome inflammatoire, probable fièvre d'origine tumorale. • Suite à la consultation de Dr. X mardi prochain. • Explications données à Mme. Y et à sa fille dans quelles conditions il faudra re-consulter en urgence. Laboratoire Stix et sédiment urinaire Spot urinaire US bedside (Dr. X) : pas de dilatations des voies urinaires, pas de rétention urinaire Attitude : • NaCl 1000 ml sur 12 heures • Stimulé à boire • Stop médicaments néphrotoxiques Laboratoire. Stix et sédiment urinaire. Urotube : en cours. Test de grossesse urinaire. Avis urologique (Dr. X) : pas d'argument pour une investigation radiologique, retour à domicile avec AINS et antalgique. Mme. Y sera revue en consultation urologique de Dr. X le 18.01.2019. Antalgie et myorelaxant. Consultation urologique le 18.01.2019. Laboratoire Stix et sédiment urinaire US abdominal = Dr. X, confirmation d'un globe vésical. Hydratation 1500 ml sur 6 heures Attitude : • Traitement IU • Suivi état confusionnel • Discuter du lieu de vie pour la suite de prise en charge Laboratoire. Stix et sédiment urinaire. US abdominal ciblé aux urgences : 6 mm calibre APP. CT scan (Dr. X) : APP visualisé 6 mm sans infiltration graisse. Avis Chirurgical (Dr. X) : contrôle clinique et biologique à 24 h avec +/- US. Mme. Y est avertie de reconsulter les urgences si état fébrile ou frissons. Consilium Gynécologique. Antalgie. Laboratoire Stix et sédiment urinaire US abdominal (Dr. X) le 20.01.2019 Mesures de réafférentation Antibiothérapie par Rocéphine (cf. diagnostic supplémentaire 1), suivi par relais per os. Laboratoire Stix/ Sédiment Gazométrie Urotube ECG : FA nouvelle Avis chirurgie : suspicion de lithiase. Ajout UroCT UroCT (Dr. X) : pas de calcul urinaire, pas de dilatation ddc, pas d'obstacle Hydratation 2,5 L Ceftriaxone 2 g Sondage urinaire : 150 cc Soins intensifs Laboratoire Stix urinaire : pathologique Cultures urinaires : Corynebacterium Striatum Hémocultures : négatives Avis infectiologique le 15.01.2019 : relais par Ceftriaxone, US rénal, recherche d'autres foyers US voies urinaires le 15.01.2019 : hydronéphrose bilatérale (connue depuis 2001 selon Dr. X) CT-abdominal natif le 17.01.2019 : suspicion de tumeur de la vessie (cf. diagnostic supplémentaire 1) Avis gynécologique le 18.01 : pas d'arguments en faveur d'une infection vaginale. Changement du cystofix par l'urologue de garde le 16.01.2019 Imipenem IV du 12.01.2019 au 15.01.2019 Ceftriaxone IV du 16.01.2019 au 25.01.2019 Cultures urinaires le 22.01.2019 : stérile Laboratoire Stix urinaire Consultation rhumatologie (Dr. X) le 15.01.2019 Consultation neurologie (Dr. X) le 16.01.2019 Consultation à la Clinique Daler (Dr. X) prévue le 18.01.2019 Consultations psychiatriques par Dr. X les 16.01 et 18.01.2019 Antalgie Physiothérapie Prise en charge psychiatrique par le RFSM (Hôpital de jour à Bulle) planifiée • Premier rendez-vous le 21.01.2019 Consultation antalgie (Dr. X) prévue le 24.01.2019 Laboratoire Stix urinaire Consultation rhumatologie (Dr. X) prévue cette semaine Consultation neurologie (Dr. X) prévue cette semaine Consultation Dr. X prévue le 24.01.2019 Hospitalisation pour gestion de l'antalgie +/- ajout nouvelle imagerie Physiothérapie Laboratoire Stix CTG et US Consilium chirurgical Réhydratation Anti-émétique iv Sérologie CMV et toxoplasmose Coproculture Laboratoire. Stix/sédiment. US ciblé aux urgences : visualisation d'un kyste rénal gauche. Avis urologique : ad cystoscopie en ambulatoire avec rendez-vous chez Dr. X, Mme. Y sera convoquée. Laboratoire. Streptotest : négatif. Traitement symptomatique. Patient instruit qu'il doit reconsulter en cas de symptômes de gravité. Laboratoire. Substitution avec 1 cpr de Potassium effervette les 27 et 28.12.2018. Suivi biologique. Laboratoire Substitution par acide folique. Laboratoire Substitution par acide folique Sang occulte dans les selles positif le 16.12.2018 Pantozol 40 mg 1x/j dès le 19.12.2018. Laboratoire Substitution PO et IV. Laboratoire Suivi avec Dr. X à organiser/TTT à évaluer selon évolution. Laboratoire Suivi biologique. Laboratoire Suivi biologique. Laboratoire Suivi biologique. Laboratoire. Suivi biologique. Laboratoire Suivi biologique. Éviction traitement hépatotoxique. Laboratoire Suivi glycémie. Laboratoire Suivi glycémies. Laboratoire Suivi pondéral Adaptation du traitement. Laboratoire Suivi pondéral Lasix 20 mg/j du 12.12.2018 au 13.12.2018 Torasémide 10 mg dès le 13.12.2018, diminution à 5 mg dès le 20.12.2018. Laboratoire Supplémentation per os en calcium et magnésium. Suivi biologique. Laboratoire Surveillance aux urgences (hémodynamique et Hb). Hb à 6h le 23.01 : 113 g/l (perte de 11 points). Hb à 16h le 23.01.2019 : à pister. Avis angiologique (Dr. X) : faire angio-CT abdominal et membres inférieurs à la recherche d'une complication. CT rassurant mais baisse de l'hémoglobine pas expliquée, possible saignement à bas bruit, poursuite de l'aspirine, arrêt du Plavix. Hospitalisation pour suivi de l'hémoglobine demain matin, pas de Clexane en raison du saignement. Pas d'Atorvastatine pour le moment, évalueront son introduction en ambulatoire.Angio-CT abdominal et membres inférieurs : pas de signes de complications post-angioplastie, plaque molle ulcérée au niveau de l'aorte infra-rénale, possible source d'embole, thrombus flottant au niveau de l'artère poplitée à droite sans occlusion (résultat téléphonique). Laboratoires US abdominal le 03.01.2019 : volumineuse masse hépatique de 15 cm de diamètre maximal occupant l'ensemble du foie droit, ouvrant le DD d'un cholangiocarcinome. Au moins 4 lésions hétérogènes suspectes d'atteinte métastatique. CT thoraco-abdo le 04.01.2019 : Au niveau thoracique : adénopathies dans la graisse cardio-phrénique droite. Séquelle d'infarctus de l'apex cardiaque gauche. Au niveau abdominal : volumineuse masse située dans le lobe hépatique droit associée à de multiples nodules satellites du foie droit et gauche correspondant en premier lieu à un CHC multifocal. Néanmoins, peu de signes de dysmorphie hépatique (hypotrophie du IV) et pas de franche hypertension portale (sauf lame d'ascite sous-hépatique). IRM cérébrale le 14.01.2019 : atrophie cortico-sous-corticale liée à l'âge du patient, avec leucoaraïose microvasculaire. Pas de prise de contraste pathologique aux étages sus- et sous-tentoriels. Laboratoire Taux infra-thérapeutique de Keppra, le 12.01.2019 : 12.1 ug/l (cible : 20-40) Analyses urinaires Avis neurologique (Dr. X) : poursuite traitement et réalisation d'un EEG Radiographie du thorax Angio CT cérébral : pas d'occlusion vasculaire, pas d'AVC constitué, pas de saignement EEG le 15.01.2019 (rapport oral) : dans la norme Nouvel avis neurologique (Dr. X) : pas de conduite pendant 3 mois. Poursuite de traitement de Keppra. Bilan neuropsychologique à prévoir en ambulatoire. Laboratoire Taux Lithium : à pister Holter demandé à pister : Avis neuro à évaluer. Laboratoire. Tavegyl 2 mg. Solumedrol 125 mg. Surveillance aux urgences pendant 4 heures. Consultation spécialisée chez un immuno-allergologue pour tests allergiques et désensibilisation dans les 3 mois. Patient a reçu le kit d'urgence et les explications relatives. Laboratoire Test de grossesse urinaire négatif Sédiment urinaire Frottis bactério + Chlamydia + Gonocoque Echographie endo-vaginale Hospitalisation pour antalgie et antibiothérapie parentérale selon protocole : • Rocéphine, flagyl, doxycycline Antibiothérapie orale par Co-amoxicilline pour 10 jours au total et Doxycycline pour 14 jours au total. Laboratoires TG : négatif Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Avis psychiatrique (Dr. X) • prise en charge ambulatoire avec surveillance et contrat avec la mère en cas de récidive. • en cas de récidive, nous proposons une hospitalisation à Marsens en PAFA Attitude : • Retour à domicile avec contact aux urgences, chez la mère ou chez ses amis en cas de crise d'angoisse avec idées suicidaires. Laboratoire Toxique urinaire = Méthadone ECG : rythme sinusal régulier, tachycarde, sans trouble de la conduction, sans trouble de la repolarisation. CT cérébral le 10.01.2019 : Pas de lésion osseuse, pas d'hémorragie intracrânienne, pas de thrombose veineuse centrale. Lésion d'hypodensité frontale et sous-corticale droite dans la substance blanche sur le scan natif + syndrome pyramidal gauche. • EEG le 10.01.19 : pas d'activité épileptique franche, pas de mise en place de traitement pour l'instant. • Avis neuro (Dr. X) : crise avec facteur déclenchant (intoxication au Tramal). Crise provoquée par un facteur déclenchant, pas d'indication à un traitement à long terme. Suspicion de SEP au CT, la patiente a refusé un IRM car elle est claustrophobe. La patiente présente une hyper-réflexie à gauche > au côté droit. Babinski positif à gauche. ATT • hospitalisation en médecine pour surveillance et oxygénothérapie. • selon avis neuro : IRM cérébro-cervical injecté + PL ou PL puis IRM. • contrôle avec examen neurologique à distance. Laboratoire Traitement au service des urgences : hydratation i.v. 1L NaCl + 10 IU Actrapid i.v. Insulatard 40-0-20 UI dès le 30.12.2018 avec schéma de correction. Consilium diabétologique : remplacer l'insuline Insulatard par de la Tresiba 52 UI. Adaptation du schéma de correction par insuline Novorapid. Bilan lipidique le 08.01.2019 : Cholestérol total 6.3 mmol/l, LDL 4.17 mmol/l. Introduction de l'Atorvastatine. Bilan à organiser en ambulatoire pour dépistage d'autres complications du diabète : • rénal : screening de néphropathie diabétique. • neuropathie/podologie : contrôle régulier préconisé. • ophtalmologique : fond d’œil à effectuer 1x/an. Laboratoire. Traitement aux urgences • 1l NaCl 0.9 % i.v. Propositions : • traitement symptomatique • hydratation p.o. • évaluer coprocultures + parasites dans les selles en cas de persistance. • contrôle clinique le 13.01.2019 au secteur ambulatoire des urgences (la patiente sera convoquée). Laboratoire Traitement aux urgences : • 750 ml NaCl 0.9 % i.v. en 2 heures. • 1 l NaCl 0.9 % i.v. en 12 heures. ATT : • Hydratation. • Suivi clinique et biologique. Laboratoire. Traitement symptomatique. Laboratoire traitement symptomatique + physio resp. Laboratoire. Traitement symptomatique, laxatifs. Laboratoire Traitement symptomatique par Dafalgan et Ibuprofène. Laboratoire Trop Ho : 8, H1 : 8. ECG Echographie ciblée aux urgences (Dr. X, Dr. X) : • Aorte de calibre normal, pas de liquide libre, paroi vésiculaire sp, pas de lithiase visualisée. Echographie abdominale : signe de cholecystite. Avis chirurgical (Dr. X) : indication opératoire retenue. • Pantoprazol 40 mg pour 4 semaines. • Alucol. • Paracétamol. Att : hospitalisation en chirurgie pour la suite de la prise en charge. Laboratoire Urine. ECG. IRM wake up stroke (Dr. X). Avis neuro (Dr. X, Dr. X) : Ad lit 0°, surveillance SIC stroke unit vu persistance des symptômes, NaCl 0.9 % 1000 ml sur 24h, discuter bilan EEG + CT, Pas charge vu prise de médication habituelle (Aspirine + Plavix). Laboratoire Ultrason abdominal le 23.01.2019. Radiographie du thorax du 23.01.2019. Konakion dès le 23.01.2019. Solumedrol 32 mg dès le 23.01.2019, relais per os pour Prednisone 40 mg le 24.01.2019. Laboratoire Ultrason abdominal le 23.01.2019. Radiographie du thorax du 23.01.2019. Urines ___. Biopsie transjugulaire hépatique ____. Konakion dès le 23.01.2019. Solumedrol 32 mg dès le 23.01.2019, relais per os pour Prednisone 40 mg le 24.01.2019. Laboratoire Ultrason abdominal le 23.01.2019. Solumedrol 32 mg dès le 23.01.2019. Laboratoire Ultrasonographie abdominale le 14.12.2018. Laboratoire. Urine. Laboratoire Urines. Laboratoire urines. Laboratoire urines : à pister ag+uricult. Culture de selles : Clostridium à pister. RX thorax. Doubler Prednisone 40 mg/J vu contexte infectieux. Stop Ciproxine, Ad Rocephine 2g IV, suivi clinique. Laboratoire Urines : à pister. Hydratation PO + IV NaCl 0.9 % 500 ml sur 3h. Laboratoire Urines. ECG. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Echographie ciblée abdomen (Dr. X, Dr. X) : multiples calculs intra-vésiculaires sans franc épaississement de la paroi ni de dilatation. Bilan par US + consultation en chirurgie organisée en ambulatoire à 7 jours. Reconsulter si péjoration. Laboratoire. Urines : Lc 1+++, nitrites (-), 2+ flore bactérienne. Test de grossesse (-). Monuril monodose. Reconsulter les urgences si péjoration des symptômes ou contrôle chez médecin traitant si persistance des symptômes. Laboratoire. Urines : pas d'hématurie. Radiographie thorax : pas de pneumothorax, pas d'épanchement, pas de fracture visualisée. Echographie aux urgences ciblée abdomen, thorax et cœur (Dr. X, Dr. X) :Abdomen: pas de liquide libre, aorte de calibre normal Thorax: pas de pneumothorax, pas d'épanchement pleural Fonction ventriculaire préservée, pas de dilatation des cavités droites, pas d'épanchement péricardique. Aux urgences: pas d'antalgie désirée. Antalgie. Consultation chez le Dr. X dans une semaine. Laboratoire Urines Avis Chirurgical (Dr. X): Ad hospitalisation, à jeun, Rocéphine 2 g + Flagyl 500 mg, Cholangio IRM à 24h AUX URG: AB IV + antalgie Tramal 15 mg 2x PO Hospitalisation Laboratoire Urines Avis gynécologique (Dr. X): fine lame de liquide libre pelvien, trompes et ovaires sp Avis chirurgical (Dr. X): ad op US abdominal (transmission orale, Dr. X): appendicite non compliquée avec iléite de contact Aux urgences: Rocéphine 2 g i.v., Flagyl 500 mg i.v. Attitude: ad hosp en chirurgie HFR Riaz pour opération ce jour (demande acceptée par Dr. X) à jeûn hydratation 1500 ml NaCl/24 h Rocéphine 2 g 1x/j, Flagyl 500 mg 3x/j Laboratoire Urines Avis Infection (Dr. ): Proposition stop Bactrim, Ad Clindamycine 600 mg 3x/j + Primaquine 25-30 mg/j Schellong: positif à l'entrée Schellong après remplissage: AUX URG: NaCl 0.9% 2000 ml sur 2h. Laboratoire Urines Avis psychiatrique (Dr. X): pas de symptomatologie floride de la lignée psychotiques. Pas de signe d'agressivité ou trouble de comportement. Nous notons un pseudo-délire de jalousie (fluctuant). Pas d'indication à une hospitalisation. Attitude: Retour à domicile. Continuer le traitement. Le mari va gérer la médication. Contacter Dr. X pour rapprocher son rendez-vous (initialement prévu pour le 19.02.2019). Dr. X va contacter Dr. X. Le mari assume la situation et va contacter le RFSM sur le numéro d'urgence en cas de décompensation aiguë. Laboratoire Urines Coproculture: en cours. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Antibiothérapie en réserve si état fébrile, douleurs abdominales localisées en majoration. Retour aux urgences en cas d'hydratation impossible. Laboratoire Urines Correction glycémie Laboratoire Urines CT cérébrale (Dr. X): absence de saignements ni hydrocéphalie APN Laboratoire Urines CT-abdomen natif le 16.01.2019 : lithiase à la jonction pyélo-urétérale de 5 mm, pas de dilatation des voies urinaires. Avis urologique (Dr. X) 16.01.2019 : consultation chez Dr. X lundi 22.11.2019 pour un contrôle clinique. Consultation du Dr. X du 22.01.2019 : pas de dilatation pyélo-calicielle gauche (résultat téléphonique selon rapport). Laboratoire Urines ECG Laboratoire Urines ECG Avis Cardio (Dr. ): ETT demandé à pister. Lasix 20 mg aux URG OU. Laboratoire Urines ECG Bilan SIADH en cours. Suivi biologique Restriction hydrique Laboratoire Urines ECG CT scan abdominale (Dr. X) Avis chirurgie (Dr. X/Dr. X): Eviter AINS. Recherche tumeur neuroendocrine (CT +/- marqueurs plasmatiques). Avancer colonoscopie et OGD pour recherche étiologie. Si persistance, évaluer avis gynécologique vs psy (troubles somatisation? Syndrome Münchhausen ?) Antalgie Transfert Meyriez pour gestion antalgie et suite PEC/investigations Laboratoire Urines ECG CT scan cérébral natif (Dr. X): absence de saignements. Laboratoire Urines ECG US cérébrale aux URG CT scan cérébral (Dr. X): saignements noyau gris centraux D, taille 38x24 mm avec compression foramen Monro et hydrocéphalie Avis Neurochir (Dr. X): absence d'indication à intervention chirurgicale, corriger crase et surveillance neuro. Si péjoration, reprendre contact Avis Hématologique (Dr.sse X): Ad 2 PFC et 1 CP, pas de Konakion, suivi crase et FSS AUX URG: 2 PFC IV + 1 CP Surveillance neuro toutes les 1h Laboratoire Urines ETT à prévoir dès que possible Considérer recherche EP si persistance vu antécédents. Laboratoire Urines FeNa: 0.5% Avis Néphro (Dr.sse X): Diagnostic initial de IRA d'origine pré-rénale vs néphrite interstitielle dans contexte allergique sur prise de Co Amoxi. Ad Hydratation et suivi diurèse. En cas d'acidose secondaire, ad surveillance SI. Si péjoration FR avec signes inflammatoires francs, reprendre avis pour traitement par prednisone. Éviction traitement néphrotoxiques. Ad récolte urines 12h. Beta NAG et Lysozyme à évaluer selon avis Néphro Hydratation IV Suivi diurèse Laboratoire Urines FeNa 0.7% Restriction hydrique et suivi biologique pour réévaluation Laboratoire Urines Hémocultures: ___ Ag urinaires: ___ Rx thx: suspicion foyer basal gauche Rocéphine 2 g iv Klacid 500 mg po Attitude: poursuite de l'antibiothérapie suivi des paramètres inflammatoires Laboratoire Urines Hydratation Laboratoire Urines Hydratation aux URG suivi chez Dr. X Laboratoire Urines Test de grossesse négatif Uro CT : pas de dilatation pyélo-calicielle, pas de lithiase urinaire ; volumineux tératome de 73x89 mm Aux urgences: Morphine 5 mg IV Paracétamol 1 g IV Primpéran 10 mg IV Suite : consultation gynécologique Laboratoire Urines Test de Schellong : positif Hydratation IV par NaCl 0.9% Supplémentation en NaCl po Magnésium 2 g IV Sur avis infectiologique (Dr. X) : Bactrim stoppé et antibiothérapie par Clindamycine 600 mg 3x/j et Primaquine 30 mg/j jusqu'au 02.02.2019 Laboratoire Urines TG: négatif. Examens effectués expliqués à Mr. Y par Dr. X. Hydratation NaCl 0.9% 1000 ml iv Zofran Primperan Buscopan Attitude: Retour à domicile avec traitement symptomatique Contrôle clinique chez médecin traitant en début de semaine. Laboratoire Urines Urotube Radiographie Thorax F Rocéphine 2 g aux urgences Attitude: Rocéphine 2 g Hospitalisation en médecine pour traitement IV Pister Urotube et adaptation pour retour en Home (non médicalisé) Laboratoire. Urines. US abdominal (Dr. X): appendice non visualisé. Épaississement de l'annexe droite, vascularisation conservée. Consilium gynécologique: Ovulation récente avec CJ n'expliquant pas la clinique. Avis chirurgical téléphonique (Dr. X): contrôle clinique et biologique au secteur ambulatoire des urgences à 24h. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Contrôle clinique et biologique au secteur ambulatoire des urgences à 24h afin d'écarter une APP débutante. Avec avis chirurgical. Conseils de reconsulter les urgences en cas de péjoration des symptômes, état fébrile et/ou nausées et vomissements. Laboratoire. Urines. Avis chirurgical, Dr. X. CT scan abdominal. Antalgie. Antibiothérapie par : Rocéphine 2 g iv 1x/j du 03 au 07.01.2019 Ciproxine 500 mg per os 2x/j du 08 au 12.01.2019. Laboratoire US abdomen complet et des voies biliaires le 08.01.2019 Surveillance clinique et biologique Laboratoire US abdominal Laboratoire. US abdominal : pas de calcul visualisé, pas d'épaississement des parois, pas de signe de cholécystite. Signes de stéatose, reste des organes explorés sans particularité. CT abdominal : collection qui touche les apophyses épineuses de L4 jusqu'au canal médullaire compatible avec un sérome devant l'absence de syndrome inflammatoire et l'absence de clinique. CT thoracique : pas d'embolie pulmonaire centrale mais stigmate en base droite et gauche (possible embolie pulmonaire périphérique ou séquelle d'embolie pulmonaire de 2008). Léger trouble de la ventilation à gauche. Stix et sédiment urinaire : négatif. Retour à domicile. Réassurance devant l'intégralité des examens biologiques et radiologiques sans anomalie notable. Traitement symptomatique.Conseil de réévaluer avec le médecin traitant si persistance des symptômes +/- consultation gastro-entérologique en ambulatoire. Laboratoire US abdominal du 23.01.2019 A1-antitrypsine (1.07), sérologies hépatites virales (HAV, HBV, HCV) négatives, dépistage HIV négatif, dépistage CMV (négatif) • EBV (infection ancienne), FAN (80, limite) Electrophorèse des protéines avec immunofixation (douteuse) Bilan thyroidien (TSH 0.201) Aldactone 100 mg 1x/j dès le 24.01.2019 Discuter ponction ascite après réversion de la crase et selon évolution clinique Prévoir bilan urinaire Prévoir une nouvelle électrophorèse et immunofixation à 6 semaines Prévoir OGD à distance de la situation aiguë Laboratoire US abdominal le 16.01.2019 Adaptation des médicaments au GFR le 14.01.2019 Hydratation par Nacl 0.9% le 14.01.2019 Laboratoire US abdominal: sans particularité (résultat téléphonique) Évaluer l'indication à une gastro-scopie Laboratoire US abdominal supérieur (transmission orale, Dr. X): stéatose hépatique DD NASH, 1 calcul vésicule biliaire infra-centimétrique, pas de dilatation des voies biliaires intra-hépatiques, cholédoque partiellement impossible à suivre en raison des anses intestinales, paroi VB à la limite de la norme Avis chirurgical (Dr. X): ad hosp avec antibiothérapie prophylactique i.v. et contrôle laboratoire des tests hépatiques et de cholestase demain matin, selon évolution ERCP Attitude: • Rocéphine 2 g i.v. et Flagyl 500 mg i.v. reçu aux urgences • Hospitalisation en chirurgie • A jeûn • Laboratoire de contrôle le 02.01.2019 Laboratoire US abdominale (Dr. X): absence d'arguments pour cholecystite. Au vu du rémaniment reste impossible à évaluer au vu de l'important rémaniment. CT abdominale pas possible vu fonction rénale altérée Attitude: Couverture AB large spectre pour infection intra abdominale (Tazobac 4.5g en charge , adaptation selon GFR) Amélioration IRA, si possible prévoir CT abdominale injectée (DDx Cholangite vs progression tumorale). Laboratoire US abdominale le 14.12.2018 Majoration motilium 10mg 3x/j Ad Primpéran 10mg en réserve Laboratoire. US ciblé aux urgences (Dr. X): thrombose profonde de la veine fémorale. Doppler veineux et avis angiologique (Dr. X). Propositions: • Anticoagulation avec Clexane thérapeutique minimum 6 mois. • Contrôle clinique et biologique (Thrombocytes?) chez le gynécologue prévu 29.01.2019. • Contrôle biologique tous les deux semaines. • Reconsultation en cas de péjoration clinique. • Consultation angiologique dans un mois. La patiente sera convoquée. Laboratoire. US ciblé aux urgences par (Dr. X). • Essai thérapeutique avec Motilium • Consultation en filière 34 prévue le 24.01.2019 pour évolution clinique. La patiente sera convoquée • Hospitalisation pour évaluation des douleurs en hospitalier si non-amélioration clinique le 24.01.2019 • Évaluation stationnaire à prévoir avec OGD, colonoscopie Laboratoire US Doppler du membre inférieur gauche aux urgences Xarelto 15mg 2x/j pour 3 semaines, puis 20mg 1x/j jusqu'à la prochaine consultation en angiologie Bilan angiologique : • Anticoagulation thérapeutique pour au moins 6 mois • Évaluer bilan ciblé à la recherche d'une néoplasie • Suivi de la prise en charge en angiologie dans 6 mois • Contention élastique classe II au long cours jusqu'au genou pendant la journée Physiothérapie de mobilisation Passage en réadaptation gériatrique le 16.01.2019 Laboratoire. US (Dr. X): Sludge avec possible lithiase infra centimétrique (DD: artéfacts). Pas d'argument pour une cholécystite. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Attitude: • Retour à domicile avec antalgie+spasmolytique, arrêt de sport de compétition. Contrôle chez le médecin traitant dans 5-7 jours • Recommandation de reconsulter en cas de signes de gravité. Laboratoire US FAST le 14.01.2019 CT total body du 14.01.2019 CT cérébral natif du 14.01.2019 EEG du 16.01.2019 Avis neurochirurgical (Dr. X) Avis neurologique (Dr. X) Keppra 1 g 2x/jour et Lamotrigine 25 mg 1x/jour dès le 14.01.2019 Majoration de Lamotrigine selon le schéma suivant • Lamotrigine 25 mg 1-0-0-0 du 15.01 au 29.01.2019 • Lamotrigine 25 mg 1-0-1-0 du 29.01 au 12.02.2019 • Lamotrigine 25 mg 2-0-1-0 du 12.02 au 26.02.2019 • Lamotrigine 25 mg 2-0-2-0 du 26.02 au 12.02.2019 Effectuer une prise de sang avec le taux résiduel de Lamotrigine le 13.02.2019 --> Si taux résiduel de Lamotrigine thérapeutique: diminuer Keppra par palier de 250 mg aux 3 jours jusqu'à l'arrêt complet --> Si taux résiduel de Lamotrigine infrathérapeutique, majorer Lamotrigine par palier de 25 mg aux 2 semaines. Suivi en ambulatoire chez le médecin traitant (consultation prévue le mardi 29.01.2019, 14h15, Dr. X) Arrêt médical de travail jusqu'au 29.01.2019, interdiction de travaux dangereux pendant 1 année IRM cérébrale à prévoir à 6 semaines Laboratoire. US fast. Ringer lactate. 2 convulsions de 10 secondes, puis 1mn30 --> Rivotril au CT avec chute de GCS à 5/15. Intubation. CT total body : hémorragie intraparenchymateuse frontale gauche, ancienne fracture massif facial, cervicales sans particularité, pas de pneumothorax, contusion pulmonaire avec condensation et épanchement basal gauche, condensation inférieure droite, arc postérieur côtes 1-2-3-4-7-8-9, processus transverse gauche de D2,3,7,8,9, sternum intact. Pas de liquide dans l'abdomen avec quelques artéfacts (bras), pas de liquide libre autour des organes non exclu totalement. Suspicion de cancer de la prostate gauche à vérifier avec IRM. Intubation au niveau de la carène. Avis neurochirurgie (Dr. X) : Keppra 1 g iv. Transfert à l'Inselspital à Berne pour prise en charge neurochirurgicale. Laboratoire US main droite le 06.01.19: • pas d'abcès, inflammation des tissus sous-cutanés, mais pas de collection profonde. Lame de liquide dans la gaine des fléchisseurs au niveau du 2ème rayon de l'IPP jusqu'à la tête du 2ème méta Avis orthopédique (Dr. X): • phlegmon stade I, opération en urgences le 06.01.19 pour rinçage et nettoyage de la gaine. Pas de Co-amoxicilline 2.2 g iv pour l'instant en attente pour faire des prélèvements si opération Att: • hospitalisation en orthopédie • opération de la gaine des fléchisseurs Laboratoire. 2 mg Sintrom + Héparine 5000 UI 2x/j. Laboratoire 23.01.2019: Hb 118g/l le; Leucocytes 8,0 G/l; Thrombocytes 177G/l Hb post-partum: 106 g/l Groupe sanguin B+; AC irréguliers négatif le 06.11.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 18.01.2019 HGPO: normal; TSH: 2.41 en ordre le 20.08.2018; Sérologies 22.06.2018: Toxo non-immune; CMV immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; Vaccinée; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle, faite; Boostrix fait le 20.12.2018 Laboratoire ECG CT cérébral natif le 22.01.2019 (Dr. X, transmission orale): Pas d'hémorragie. Discrète progression tumorale probable avec effet de masse un peu plus prononcé. Pas de déviation de la ligne médiane. Avis radio-oncologique (Dr. X): IRM de planning à prévoir le 25.01.19 puis planning de radiothérapie. Avis neurologique (Dr. X): Traitement aux urgences: • 200mg Vimpat i.v. • 2mg Rivotril i.v. sur 24h ATT: Laboratoire ECG CT cérébral natif (Dr. X, transmission orale): Pas d'hémorragie. Discrète progression tumorale probable avec effet de masse un peu plus prononcé. Pas de déviation de la ligne médiane. Avis radio-oncologique (Dr. X): IRM de planning à prévoir le 25.01.19 puis planning de radiothérapie. Avis neurologique (Dr. X): Envisager hospitalisation au SICO. EEG selon évolution. Rajouter Vimpat, évaluer Phenytoin selon évolution. Traitement aux urgences: • 200mg Vimpat i.v. 2mg Rivotril i.v. sur 24h ATT: • Surveillance aux soins intensifs • Evaluer EEG le 23.01.2019 • Contacter le Dr. X et le Dr. X pour suite de la prise en charge Labor Klinische Kontrolle Labo Rx thorax Gazométries artérielles Thérapie: • Inhalation avec atrovent et ventolin • Prednison 50mg p.o. • Ventilation non invasive (40 min): PEEP 6, IPAP 10 Attitude: • Continuer inhalation avec atrovent et ventolin • Continuer corticothérapie avec Prednison • Pas d'antibiothérapie d'emblée (1/3 critères), à réévaluer en cas de péjoration • Hospitalisation aux soins intensifs pour VNI Labo Rx thorax Séances de VNI aux soins intensifs ; revoir traitement de fond avec pneumologue traitant Labo Status urinaire ECG RX thorax physiothérapie Inscription dans homes Colloque interdisciplinaire le 20.12.2018 Réhabilitation gériatrique Labo Suivi natrémie Bouillon 3x par jour Labo Thérapie: • Hydratation Labo Urines propres Uricult US abdomen ciblée (Dr. X): dilatation pyélo-calicielle bilatérale: à D 2.17cm, à D 1.64cm Avis urologique (Dr. X): Ad 2g Rocephine, hospitalisation et discussion pose sonde double J le 14.01.2019 Thérapie: • Morphine 10mg p.o. Attitude: Hospitalisation 2 g Rocephine aux URG Labo Urines propres US abdo (Dr. X): persistance des dilatations pyélo-calicielles bilatérales Thérapie: • Morphine 6mg p.o. Attitude RàD avec augmentation du traitement antalgique Contrôle prévu chez le Dr. X le 16.01 Labo US abdominal (CIF, code S112176103): appendicite aiguë non perforée en zone anatomique, épaississement à 15mm, hyperhémie Doppler Avis chirurgical (Dr. X): ad Rocéphine/Flagyl, prise en charge au bloc opératoire dès que possible ; hospitalisation en chirurgie dans l'intervalle Labo US testiculaire le 07.01.19 : image de torsion testiculaires à droite Aux urgences : antalgie avec titrage de la morphine ATT Détorsion testiculaire droite et orchidopexie bilatérale en urgence le 07.01.2019 Labo 1x2 hémocultures (périphérique), 1x2 hémocultures (Port-A-cath) à pister Uricult ECG: tachycardie sinusale à 120/min Rx thorax: épanchement pleural D, masse médiastinale CT-abdomen: suspicion de perforation du caecum avec gaz au niveau de la masse tumorale Avis chirurgical (Dr. X): pas d'indication chirurgicale en raison du contexte palliatif. Drainage par voie percutanée à discuter avec le Prof. X demain. Thérapie: • Hydratation i.v. 1500mL rapide • Rocéphine 2g i.v., metronidazole 500mg i.v. Attitude: • Hospitalisation en médecine interne pour antibiothérapie i.v. • Hémocultures à pister • Attitude: REA non Lâchage de la suture faite le 30.12 : sous MEOPA, désinfection à l'Hibidil et ablation de l'ongle au complet, désinfection et rinçage généreux au NaCl. Pansement avec Adaptic. Co-Amoxicilline pour 7 jours Contrôle à 48 heures (pédiatre ou HFR) Discuté avec le Dr. X, orthopédie Lâchage du genou D sur : • status post stabilisation L3-S1 et décompression des racines L3 à L5 à droite au Salem Spital. Lâchage d'un plombage de la 6ème dent supérieure droite le 01.01.2019. Lâchage genou gauche. Lâchage secondaire après réinsertion du tendon bicipital distal sur la tubérosité bicipitale du radius par Endobutton, bras D, le 11.08.2017. Epaule D : suspicion d'une lésion de la coiffe des rotateurs avec tendinite du LCB. Epaule G : suspicion d'une atteinte de la coiffe des rotateurs avec tendinite du LCB. Lacosamide dès le 22.01 (200 mg en dose de charge puis 100 mg 2x/j), Levetiracetam 1 g 2x/j IV Clonazépam 2 mg/24h du 22.01 au 23.01.2019, puis 1 mg/24h IV continu dès le 24.01.19 CT cérébral natif le 22.01.2019 (Pas d'hémorragie. Discrète progression tumorale probable avec effet de masse un peu plus prononcé. Pas de déviation de la ligne médiane) EEG le 24.01.2019 prévu Lactulose avec cible de 3 selles molles/jour Aldactone Indéral Xifaxan 2x/jour Suivi ascite (poids et périmètre abdominal) En cas d'agitation préférer les benzodiazépines L'adaptation se déroule sans particularité. L'adolescent, qui vient par ailleurs seul en consultation, part avant qu'on puisse lui remettre l'ordonnance et le certificat pour l'école. Laminectomie L2-L3 et L3-L4 en 2015 (Dr. X). Déformations douloureuses des 2 avant-pieds avec : • Cure hallux valgus selon Scarf, OST Akin P1, libération ouverte de la sangle des sésamoïdes, section du long fléchisseur des 2ème et 3ème orteils, Hohmann 2ème rayon, embrochage des orteils pied D le 24.10.2011; Dr. X. • Cure hallux valgus selon Scarf, OST Akin P1, section long fléchisseur 2ème orteil, pied G le 24.10.20121; Dr. X Lombosciatalgies D non déficitaires sur canal lombaire étroit L2-L3, L3-L4 avec discopathies pluri-étagées + hernie extra-foraminale L4-L5 droite. Laminectomie L4, décompression récessale et foraminale ainsi que discectomie L4-L5. Spondylodèse L4-L5 par système Viper. (OP le 19.12.2018) Consilium infectiologie du 18.12.2018 par le Dr. X (c.f. en annexe) : Poursuite de l'antibiothérapie par: • Co-amoxicilline 2.2 g 4x/j i.v. du 19.12.2018 au 20.12.2018 • Ceftriaxone 2g 1x/j i.v. uniquement le 21.12.2018 • Co-amoxicilline 2.2 g 4x/j i.v. du 22.12.2018 au 06.02.2019 Hémoculture anaérobie du 18.12.2018 : négative. PCR eubactérienne (réalisé au CHUV) : négative. L'anamnèse est compatible avec une infection urinaire. Le toucher rectal indolore écarte le diagnostic de prostatite, et le sédiment renforce la suspicion diagnostique d'infection urinaire. Le patient est mis au bénéfice d'une antibiothérapie empirique par ciprofloxacine. Il ira faire un contrôle clinique dans 14 jours chez son médecin traitant, et il a reçu instruction de s'abstenir de rapports sexuels durant l'antibiothérapie. Un urotube est prélevé, les résultats seront envoyés chez le médecin traitant. L'anamnèse est difficile, mais si l'état fébrile devait persister/récidiver, nous proposons aux parents de reconsulter à votre cabinet. L'anamnèse est fortement évocatrice d'une infection des voies respiratoires supérieures. Une radiographie du thorax permet d'écarter un diagnostic de pneumonie. Un bilan biologique révèle une petite CRP à 6 mg/dl sans leucocytose. Ceci couplé au status clinique nous fait retenir le diagnostic de bronchite virale. La percussion douloureuse des sinus maxillaires fait évoquer un diagnostic de sinusite, a priori sur le même pathogène. Un traitement symptomatique est prescrit et nous conseillons au patient de prendre son Symbicort qu'il a d'habitude en réserve, d'office pour 5 jours. L'anamnèse et le status ne révélaient pas d'élément typique évoquant une cause périphérique ou centrale. Le bilan a permis d'exclure une cause inquiétante. Le Schellong ne montre pas d'hypotension orthostatique, mais une non-accélération de la fréquence cardiaque qui pourrait contribuer aux vertiges. Les vertiges étaient spontanément améliorés avant l'examen physique du patient. L'anamnèse et l'examen clinique évoquent les diagnostics susmentionnés. En cas de bursite péri-trochantérienne, une infiltration test pourrait être envisagée. Nous l'adressons au team hanche pour la suite de la prise en charge et prions le secrétariat de bien vouloir convoquer la patiente. L'anamnèse et l'examen clinique initial nous évoquent des vertiges mal systématisés dans un contexte d'épuisement professionnel et familial sur un problème financier de son frère. Toutefois, en raison de possibles ménométrorragies, nous effectuons un laboratoire qui met en évidence une anémie à 89 g/l microcytaire ferriprive. La patiente, connue pour une thalassémie, dit présenter des règles particulièrement abondantes. Dans ce contexte, nous décidons de débuter un traitement de substitution ferrique par voie orale. Nous recommandons un contrôle gynécologique dans la semaine auprès de son gynécologue traitant et proposons à la patiente de prendre contact avec un médecin généraliste pour un suivi. Nous recommandons à ce médecin généraliste d'effectuer une hémoglobine de contrôle dans deux semaines, avec une ferritine et si nécessaire de procéder à une substitution ferrique par voie intraveineuse.L'anamnèse et l'examen clinique nous évoquent une rupture de la coiffe des rotateurs. La radiographie ne met pas en évidence de fracture. Après avis orthopédique, il est décidé d'une nouvelle immobilisation par une bretelle antalgique. Une IRM sera organisée en ambulatoire et le patient sera revu en consultation orthopédique, team membre supérieur. Dans l'intervalle, le patient commencera d'emblée une physiothérapie de mobilisation active et passive. L'anamnèse et l'examen clinique sont plutôt rassurants, l'état général est bon. Au laboratoire, on constate une CRP à 78, ce pourquoi nous réalisons une radiographie thoracique, qui ne met pas en évidence de foyer, mais probablement des signes de surcharge. Le patient n'étant pas cliniquement décompensé, nous convenons avec lui qu'il suive son poids régulièrement et adapte à la hausse son traitement diurétique en cas de surcharge clinique. Par ailleurs, nous laissons le soin au médecin traitant de redoser la ferritine si pas réalisée récemment et d'administrer le Ferinject si nécessaire (cible à 100 et TSAT >20% selon transmissions Dr. X). Le patient présente une hypothyroïdie subclinique dans les antécédents et un transit plutôt ralenti, nous laissons également le soin au médecin traitant de répéter le bilan thyroïdien dans le contexte de cette asthénie. L'anamnèse et l'examen clinique sont sans particularités. Le contrôle biologique revient dans la norme. Un électrocardiogramme est réalisé qui ne montre pas de signe d'ischémie aiguë ou de trouble du rythme. Sur avis du Dr. X, de médecine interne, nous ne donnons pas de traitement à la patiente comme elle a déjà pris ses réserves sur la journée. La tension artérielle redescend progressivement sur l'heure où elle est aux urgences. Au vu de la bonne évolution clinico-biologique, la patiente peut rentrer à domicile sans traitement supplémentaire avec un contrôle à la consultation de son médecin traitant dans la semaine qui suit sa consultation aux urgences. Nous expliquons à la patiente l'importance de reconsulter en cas de symptômes nouveaux. L'anamnèse et l'examen physique ne montrent pas de signe d'une éventuelle lésion structurelle. Au vu de la symptomatologie actuelle, nous soulignons l'importance d'effectuer un traitement physiothérapeutique pour au moins 4 semaines avec un traitement médicamenteux en réserve. Pas de prochain contrôle à notre consultation mais nous restons à disposition. L'antibiothérapie sera à poursuivre jusqu'au 05.02.2019 selon schéma ; un traitement par probiotiques sera à débuter à la fin des antibiotiques. Lantus diminuée à demi-dose, à réévaluer selon glycémies et alimentation. Metformine stoppée dans le contexte palliatif. Lantus 20 UI le 07.01.19. Reprise Lantus 40 UI dès le 08.01.19. Laparoscopie diagnostique le 29.01.2019. Examen anatomo-pathologique du prélèvement per-opératoire 1 - Nodules péritonéaux superficiels para-urétrale droite 2 - Nodules péritonéaux superficiels en regard de l'utéro-sacré gauche 3 - Nodule péritonéal superficiel en regard de la cloison recto-vaginale. Laparoscopie diagnostique, mini-laparotomie de 5 cm pour l'extraction du pièce, gastrectomie sub-totale avec curage ganglionnaire D1 et gastro-jéjunostomie, gastroscopie transabdominale par un Trocard de 5 mm, reconstruction selon Roux-Y (anse biliaire 40 cm, anse alimentaire 60 cm) le 07.11.2018 (Dr. X). IOT (Cormack 2) le 07.11.2018. Voie veineuse centrale jugulaire droite du 07.11.2018 au 19.11.2018. Cathéter artériel radial du 07.11.2018 au 08.11.2018. Alimentation parentérale à 50% des apports recommandés depuis le 08.11.2018. Avis oncologique le 11.12.2018, Dr. X : suivi au tumor board du 14.11.2018, surveillance : • La patiente sera convoquée fin janvier 2019. Laparoscopie en urgence avec adhésiolyse large, annexectomie gauche et salpingectomie droite sous AG le 14.01.19. Analyse anatomo-pathologique de la pièce opératoire. Laparoscopie exploratrice, biopsie peropératoire, conversion en laparotomie, transversostomie de décharge en FIG le 04.01.2019. Laparoscopie exploratrice, conversion en laparotomie, adhésiolyse, appendicectomie, lavage abdominal, mise en place d'un drain et pansement PICO le 24.12.2018. Rocéphine et Metronidazole du 24.12.2018 au 28.12.2018. Co-amoxicilline du 28.12.2018 jusqu'au 07.01.2019. Laparoscopie exploratrice, conversion en laparotomie, résection iléo-caecale avec anastomose latéro-latérale iléo-ascendante le 17.01.2019. Antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine et Flagyl du 16.01.2019 au 23.01.2019. Laparoscopie exploratrice en urgence sous anesthésie générale le 11.01.2019 : Annexectomie droite. Envoi du matériel en analyse anatomopathologique. Laparoscopie exploratrice et fermeture de hernie interne le 25.01.2019. Laparoscopie exploratrice le 22.01.2019 : • Résection d'un nodule endométriosique superficiel à gauche au niveau de l'utéro sacré par vaporisation Laser PURE • Résection d'un nodule para-utérin superficiel à gauche au niveau de la face postérieure du ligament large par vaporisation Laser PURE • Test au bleu de méthylène : trompe perméable à droite, non perméable à gauche Examen anatomo-pathologique des prélèvements. Laparoscopie le 15.01.2019 : 1 - Annexectomie droite et kystectomie droite (kyste dermoïde + fibrome ou fibro-thécome) 2 - Annexectomie gauche 3 - Biopsie nodule péritonéal vésical 4 - Washing péritonéal. Laparoscopie pour péritonite en 2003 (+ appendicectomie). Traumatisme crânien avec plaie superficielle arcade sourcilière gauche le 17.03.2013. Multiples biopsies musculaires. Suspicion d'une fuite d'anastomose le 03.01.17. • Status post sigmoïdectomie avec anastomose directe par laparotomie le 05.12.2016 pour diverticulites à répétition. Antibiothérapie : Tazobac du 03.01.17 au 09.01.2017. Ciproxin et Flagyl du 10.01.2017. Diverticulite colique gauche inflammée stade IIA avec infiltration graisseuse + collection HA 9 x 9 mm au contact de l'infiltration. Laboratoire CRP à 18 ng/l, pas de leucocytose. Urine. Beta-HCG urinaire négative. CT abdominal : diverticulite colique gauche inflammée stade IIA avec infiltration graisseuse + collection HA 9 x 9 mm au contact de l'infiltration. Pas de pneumopéritoine. Avis chirurgical (Dr. X) : Ciprofloxacine per os et Flagyl per os pendant 7 jours. Contrôle à J6 chez le médecin traitant. Si péjoration, consulter en urgence. Laparoscopie : stérilisation tubaire. Envoi du matériel pour examen anatomopathologique. Laparotomie avec excision de 10 cm de grêle nécrosé et anastomose latéro-latérale le 16.01.2019. Voie veineuse centrale jugulaire gauche dès le 16.01.2019. Cathéter artériel radial gauche dès le 16.01.2019. Sonde urinaire dès le 16.01.2019. Pipéracilline/Tazobactam du 16.01.2019 au 17.01.2019. Imipenem du 17.01.2019 au 21.01.2019. Noradrénaline du 17.01.2019 au 18.01.2019. Nutrition parentérale du 17.01.2019 au 21.01.2019. Laparotomie exploratrice, adhésiolyse, entérectomie segmentaire (10 cm) à 30 cm de la valve iléo-caecale le 23.12.2018. Sonde naso-gastrique de décharge du 22.12.18 au 10.01.2019.Rocéphine et Metronidazole intraveineux dès le 22.12.2018 jusqu'au 04.01.2019 Pipéracilline-Tazobac du 04.01.2019 au 14.01.2019 Laparotomie exploratrice avec adhésiolyse 60 min, résection segmentaire de l'anastomose iléo-colique et confection d'une anastomose iléo-ascendante en deux plans le 08.01.2019 Pansement PICO du 09.01.2019 au 14.01.2019 Laparotomie exploratrice, lavage 50 litres, sigmoïdectomie selon Hartmann, VAC sous-cutané le 24.01.2019 VNI du 24.01 au 25.01.2019 Tazobac dès le 24.01.2019 Noradrénaline du 24.01 au 25.01.2019 Catheter artériel radial du 24.01 au 25.01.2019 Réfection de VAC sous-cutané le 28.01.2019 Sonde naso-gastrique en décharge dès le 27.01.2019 Laparotomie pour occlusion intestinale en 2000. Accident vasculaire cérébral cérébelleux en 1991. Appendicectomie en 1948. Cure de hernie inguinale droite. Plusieurs opérations de la colonne vertébrale. Laparotomie pour raison inconnue. PTH gauche en 1999. PTH droite en 1998. L'arthro-IRM montre une lésion transfixiante du sus-épineux et des parties du sous-épineux avec une ténopathie du long chef du biceps assez marquée ainsi qu'une lésion géodique au niveau de la tête humérale. En outre, on trouve une arthrose acromio-claviculaire. L'arthrose augmente le risque de récidive de kyste. Selon le souhait de la patiente, j'organise une prise en charge en ambulatoire avec anesthésie endoveineuse pour une ablation du kyste et excision de la fistule articulaire si elle est présente. Dans ce cas, on pourra envisager une ostéophytectomie dorsale si l'articulation doit être de toute façon ouverte. Je proposerais également par la suite une évaluation en rhumatologie. J'ai rempli avec elle le formulaire d'information et de consentement et une date opératoire est agendée. Laryngectomie + évidement cervical bilatéral + trachéotomie le 18.01.2019 (Dr. X) Héparine thérapeutique à adapter progressivement (ad anti-Xa 0.3-0.5), reprise de xarelto à distance de l'intervention Poursuite augmentin 1.2 g/8h jusqu'au retrait des drains. Robinul post-op jusqu'à reprise de l'alimentation. Laryngite Laryngite aigue Laryngite d'origine a priori virale. Laryngite sous-glottique Laryngite sous-glottique PRAM <3 Laryngite sous-glottique stade 3 Laryngitis sicca, Dysphonie hypofonctionnelle, Presbyphonie St. n. TUR-P (2009 - Dr. X) Morbus Parkinson • sous Madopar Hypogonadisme Hypoandrogenique • Gynécomastie et Hypotonie • sous Florinef, Testogel Insuffisance rénale chronique • eGFR chez le médecin de famille: 40 ml/min/1.73m2 • eGFR selon CKD-EPI (10.12.2018): 55 ml/min/1.73m2 Laryngo-pharyngite aigue. Laryngo-pharyngite avec œdème laryngé 09.01.2019. Laryngo-pharyngite le 31.01.2019. Laryngo-trachéo bronchite virale. Laser de la cornée des deux yeux pour myopie en 2007. Lasix intraveineux le 23.12.2018 Torem du 24.12.2018 Lasix intraveineux le 26.12.2018 Introduction Torem 5 mg du 27.12. au 28.12.2018, puis 10 mg dès 29.12.2018 Lasix IV avec bon effet Relais par Lasilacton Lasix iv continu 4mg/h du 24.12 au 27.12.2018 Torasémide dès le 28.12.2018 Esidrex du 28.12.2018 au 01.01.2019 Suivi clinique Physiothérapie Lasix iv du 10.01.2019 au 12.01.2019 puis relais po CPAP à partir de 11.01.2019 Adaptation du traitement pour l'insuffisance cardiaque Lasix iv du 28.12.2018 au 01.01.2019 Torasémide dès le 02.01.2019 Esidrex du 04.01 au 07.01.2019 NT Pro-BNP : 2916 ug/L ECG : rythme électro-entrainé Suivi poids ETT le 03.01.2019 Lasix i.v. le 22.12.2018 O2 aux lunettes pour satu cible > 94% Surveillance du poids Lasix 2x 20mg en intraveineux le 14.12.2018, puis passage à 60mg le 16.12.2018 : • Passage à Lasix intraveineux continu à 144mg/24h au vu de la prise de poids le 17.12.2018, passage à 8mg/h le 27.12.2018, puis 7mg dès le 29.12.2019 • Laboratoire • GDS le 13.12.2018 : lactate à 2.6mmol/l, GDS le 14.12.2018 lactate à 2mmol/l • Morphine 3mg 4x/j pour dyspnée introduite le 31.12.2018 • Stop Morphine le 02.01.2019 au vu de l'état confusionnel aigu et reprise Torasemide et spironolactone • Metolazone 2.5mg : bon effet Lasix 2x20 mg 11.01.2019. Reprise du traitement habituel le 11.01.2019. Suivi clinique. Lasix 20 mg iv aux urgences Augmentation du Torasémide à 20 mg per os Suivi du poids quotidien, électrolytes et créatinine Lasix 20 mg i.v. 2x/j du 27.11. au 30.11.2018 Torem 10 mg 1x/j p.o. dès le 30.11.2018, à réévaluer lors du séjour de rééducation à Billens Bandes de contention Lasix 20 mg iv Att : • Torem 5 mg 1x/j à adapter selon l'évolution clinique Lasix 20mg 3x/j en intraveineux Suivi clinique et biologique Lasix 3 x 20 mg iv. Suivi clinique et biologique. Lasix 40 mg i.v. au service des urgences Lasix 40 mg i.v. le 07.01.2019 Lasix Oxygénothérapie Furospir dès le 21.12.2018 Amlodipine en suspens Bilol 2.5mg dès le 21.12.2018, à augmenter selon tolérance toutes les 2 semaines Lasix VNI intermittente Lasix VNI intermittente Bonne réponse rapide aux traitements L'auscultation pulmonaire est propre et ne nécessite pas d'imagerie. La sphère ORL est sans particularité. Le reste de l'examen clinique est également sans particularité. Le bilan sanguin montre une bonne fonction rénale, pas de trouble ionique, un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 47 mg/l sans leucocytose. Devant l'examen clinico-biologique, nous retenons un diagnostic d'état grippal. Le patient peut regagner son domicile le jour même avec un traitement symptomatique. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle en début de semaine prochaine. Il reconsultera les urgences en cas de péjoration de la clinique. Lavage draps et habits portés depuis 48 heures à 60°C Cétirizine en réserve, couper les ongles pour éviter surinfection sur lésions de grattage Contrôle chez pédiatre le 07.01, si prurit localisé aux sillons interdigitaux, reconsulter avant pour probable gale Lavement et laxatifs Lavement Freka Clyss Suivi transit Lavement intra-rectal par Freka-Clyss (100 ml). Soulagement de la patiente après évacuation d'une importante quantité de selles. Majoration laxatifs. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Laxatif. Laxatif au besoin (Movicol Junior) Analyse des selles (Rotavirus, Adénovirus, bactériologie) en cours Contrôle chez pédiatre en cas de persistance des symptômes Laxatif (Movicol) Antalgie au besoin (Algifor) Contrôle chez le pédiatre dans 5-7 jours si persistance des douleurs ou baisse de l'état général Laxatif pour 5 jours (Movicol Junior) Consignes d'alimentation équilibrée et d'hydratation Laxatifs Laxatifs. Laxatifs CT abdominale (rapport oral, Dr. X): Pas d'iléus, pas de saut de calibre, selles présentes en quantité normale Laxatifs Lavement Résolution le 07.01.2019 Laxatifs Refus du patient à rester à l'hôpital malgré avis médical L'axe des MI ainsi que les pieds plats sont absolument normaux dans le contexte de l'âge du patient. Pour l'instant, je ne vois aucune pathologie. J'ai informé les parents qu'il faut plus laisser marcher le patient à pieds nus. J'aimerais refaire un contrôle dans 1 an. • Laxobéron PO • Movicol en R • Frékaclyss en R • Laxoberon, sirop de figue, Moviprep • Freka Clyss • Flatulex transitoire • ASP LCR: Bilan immunologique (à l'Inselspital): Ac anti HU, anti RI, anti YO, antiamphiphisine, anti CRMP5, anti NMDA, anti LGI 1: négatif LCR: PCR Entérovirus négative, PCR HSV négative (transmission orale uniquement), PCR eubactérienne: négative CT-scan cérébral natif le 14.01.2019: absence de lésion traumatique cérébrale CT-scan cérébral natif le 16.01.2019: pas de changement significatif par rapport au comparatif CT du 14.1.2019. Pas de saignement intracrânien. IRM cérébral le 17.01.2019 : pas de lésion ischémique mise en évidence. Tuméfaction du ruban cortical de la région hippocampique droite, dont les caractéristiques peuvent rentrer dans le cadre d'une tumeur gliale de bas grade ou réactionnel post crise d'épilepsie. Une encéphalite herpétique semble moins probable, mais pas totalement exclue. Un IRM de contrôle en dehors des crises d'épilepsie est indiquée. Lésion séquellaire au niveau de la tête du noyau caudé à droite. Sténose du segment V4 de l'artère vertébrale gauche sans défaut d'opacification distalité. EEG le 14.01.2019 : EEG pathologique, mettant en évidence une légère bradydysrythmie diffuse et, surtout, des foyers lents intermittents à prédominance bifrontale, en alternance gauche-droite, plus marqués à gauche avec, par moments, un caractère irritatif là également. Pas d'état de mal épileptique persistant. EEG le 16.01.2019 : EEG pathologique, témoignant d'un état de mal épileptique à point de départ fronto-central droit, se propageant par moment vers les régions frontales gauches. Plusieurs crises électriques lors de l'enregistrement associées sur le plan clinique à une déviation tonique de la tête vers la gauche avec ouverture des yeux, sans autres mouvements anormaux. Aggravation sur le plan clinique et électrophysiologique par rapport à l'examen précédent du 14.01.2019. EEG le 17.01.2019: EEG pathologique, mettant en évidence dans un premier temps un tracé de type Burst suppression en lien avec la sédation par Propofol avec, par la suite, une activité progressivement plus continue dans la bande thêta-delta. Il persiste des décharges épileptiformes au niveau fronto-central droit, souvent de manière pseudo-périodique (PLEDs) avec, toutefois, à plusieurs reprises également une activité thêta rythmique sur quelques secondes, suspecte pour une crise électrique de forme frustre. Ce tracé est compatible avec un état de mal épileptique en décours. EEG le 18.01.2019: EEG pathologique, restant prédominé par une bradydysrythmie diffuse et des décharges épileptiques de type PLEDS au niveau fronto-temporo-central droit, avec propagation fréquente vers la région frontale gauche, absence de crises électriques. Globalement, amélioration du tracé par rapport à l'enregistrement du 17.01.2019. EEG le 21.01.2019: EEG pathologique, prédominé par une bradydysrythmie diffuse et quelques éléments triphasiques à prédominance bifrontale. En revanche, que rares PLEDs au niveau fronto-central droit et absence de crise électrique. Amélioration par rapport à l'examen précédent du 18.01.2019. EEG le 23.01.2019: EEG légèrement hors norme, essentiellement caractérisé par une bradydysrythmie diffuse légère à modérée, évocatrice d'une encéphalopathie. En revanche, absence de focalisation lente ou de foyer irritatif. Amélioration par rapport au tracé du 21.01.2019. US testicules 25.01.2019: Absence de lésion suspecte au sein des testicules. Dilatation des veines spermatiques à la limite supérieure de la norme. Hydrocèle bilatéral. Radiographie de la main/poignet droit: Mise en évidence d'une rhizarthrose avancée, sans clair trait de fracture de la base du 1er métacarpe. Petites ossifications en dessous de la base du 1er métacarpe et en projection du lunatum. Le bandage mis au triage arrête le saignement. Nous effectuons une exploration chirurgicale qui montre le fascia ilio-tibial sans déchirure (testé à la flexion-extension du genou), pas de visualisation des nerfs ou des vaisseaux. Nous fermons la plaie plan par plan et mettons en place une attelle alu postérieure à garder jusqu'à guérison de la plaie. Le bilan angiologique est dans la norme. Au vu de la régression des douleurs et d'un status dans la norme, nous retenons le diagnostic de claquage. La patiente rentre à domicile avec poursuite de l'antalgie en réserve et retrait de l'immobilisation mise en place hier. Charge et mobilisation selon douleurs. Elle reconsultera en cas de réapparition de la clinique. Le bilan aux urgences met en évidence une progression de l'adénopathie de la patiente sans lésions vasculaires. La patiente est transférée à l'HFR Fribourg en ambulance pour hospitalisation et prise en charge. Le bilan aux urgences est en faveur d'une insuffisance veineuse chez une patiente connue pour des varices opérées il y a 20 ans en arrière. Nous lui prescrivons des bas de contention et la patiente a déjà un rendez-vous prévu le 17.01 chez son médecin qui pourra la référer chez un angiologue pour un bilan. Le bilan aux urgences est rassurant et met en évidence le diagnostic susmentionné. La patiente est traitée symptomatiquement avec un suivi chez son pédiatre selon besoin. Le bilan aux urgences est rassurant. Les D-Dimères ajustées à l'âge de la patiente sont négatives pour une maladie thrombo-embolique. Les troponines et l'ECG écartent un SCA. Les paramètres hépatiques écartent une origine hépato-biliaire. La patiente présente une fréquence cardiaque par la suite autour de 90 bpm. Nous retenons des épigastralgies sur gastrite chronique et débutons un traitement en fonction avec suivi chez le médecin traitant. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic de kyste pilonidal sacrum. Sous avis chirurgical du Dr. X, nous effectuons une incision et un drainage avec un léger écoulement purulent. L'abcès est drainé et la patiente rentre à domicile avec une antalgie et des consignes de douche régulière. Elle sera revue à la consultation du Dr. X pour le reste de la prise en charge. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. La patiente est suturée. Elle sera suivie par son pédiatre pour le contrôle de plaie. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Le kyste est incisé et drainé avec du pus qui est évacué. Le patient sera revu pour un contrôle chez son médecin traitant dans 48 heures. Nous lui expliquons la possibilité qu'une intervention chirurgicale à distance sera nécessaire. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Sous avis chirurgical nous procédons à un traitement de plaie local avec du Prontosan gel et un suivi en ambulatoire à la policlinique de chirurgie une fois par semaine. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement est mis en place avec antibiothérapie et la patiente serait revue dans 2 jours pour contrôle clinique et pour résultats de l'uricult. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement par laxatifs est mis en place avec un contrôle chez le médecin traitant dans 48 heures si persistance. Une colonoscopie à distance est conseillée au patient. Le bilan aux urgences met en évidence une contusion para-vertébrale au niveau de L3 sur coup de marteau. Un constat de coup est fait à la demande du patient. Une copie lui est donnée. Le bilan aux urgences met en évidence une plaie de 1.5 cm transverse au niveau de la face palmaire de la 5ème métacarpe droite avec une hypoesthésie sur la face palmaire ulnaire en distalité. Sous avis du Dr. X, orthopédiste de garde, nous rinçons et suturons la plaie. Le patient reviendra le 10.01 en filière des urgences ambulatoires à jeun pour un contrôle. En cas de persistance d'hypoesthésie, une intervention chirurgicale pour exploration de plaie et suture d'éventuelle lésion nerveuse sera faite.Le bilan aux urgences met en évidence une plaie superficielle de l'occiput gauche de 1.5 cm. La plaie étant superficielle, nous n'effectuons pas de suture. Nous désinfectons et mettons en place un pansement. Le rappel anti-tétanos est fait aux urgences. Mme. Y sera revue par son médecin traitant dans 48 heures pour un contrôle de plaie. Le bilan aux urgences ne met pas en évidence de surinfection. Le patient est bien soulagé par l'antalgie. Nous lui recommandons un contrôle chez son médecin traitant dans les prochains jours et de reconsulter en urgence en cas de fièvre/frissons. Le bilan aux urgences ne met pas en évidence un foyer pulmonaire. Mme. Y est traitée symptomatiquement et sera recontrôlée chez son médecin traitant dans 2 jours avec une prise de sang. Le bilan biologique, clinique et radiologique étant rassurant, nous ne retenons pas de signe d'appel pour une infection ou autre cause nécessitant un traitement spécifique. A savoir que Mme. Y présentera une crise d'angoisse pendant son séjour aux urgences, que nous traitons avec 1 mg de Temesta. Nous vous transférons donc Mme. Y pour suite de prise en charge de son anxiété. À l'arrivée des ambulanciers, Mme. Y se lève spontanément de son lit et chute avec traumatisme crânien, sans perte de connaissance. Dans ce contexte et face à une patiente non collaborante pour la réalisation d'un statut neurologique, nous prenons l'avis du Dr. X (chirurgien de garde) qui préconise la réalisation d'un CT-scan cérébral ne montrant pas de saignement ou de lésion osseuse. Une hospitalisation pour surveillance neurologique rapprochée n'est pas indiquée. Le bilan biologique est aligné : absence de syndrome inflammatoire, pas de perturbation des tests hépatiques et pancréatiques. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer pulmonaire ni pneumothorax ni hémothorax. Vu l'examen clinique, biologique et radiologique rassurant, Mme. Y rentre à domicile avec traitement par Dafalgan, Brufen, Sirdalud, Tramal et contrôle chez le médecin traitant dans 5-7 jours. Si la douleur persiste, nous proposons de discuter d'une éventuelle imagerie complémentaire. Le bilan biologique est aligné et la radiographie du thorax ne montre pas de foyer. Aux urgences, le patient a reçu du Voltaren 75 mg en intraveineuse, Atrovent 250 mcg en dose unique avec un effet favorable. Après la prise du traitement aux urgences, nous observons une nette diminution des symptômes : le patient peut parler, avaler et ouvrir la bouche complètement. D'après le Dr. X, ORL de garde, le patient peut rentrer à domicile avec un traitement symptomatique par Dafalgan, Irfen et Collunosol. Il a un rendez-vous à la consultation du Dr. X pour un contrôle clinique le 15.01 à 13h45. Le bilan biologique est aligné, et le statut neurologique rassurant avec absence de Red Flags. Nous administrons une antalgie de première ligne par paracétamol/AINS en IV et Motilium avec bon effet et résolution des symptômes sur surveillance aux urgences. Nous laissons Mme. Y rentrer à domicile, elle reconsultera en urgence si changement du caractère des douleurs, ou de douleurs persistantes non résolues sous antalgie simple. Le bilan biologique est aligné. Étant donné l'absence de signe d'ischémie active sur l'ECG, l'examen laboratoire rassurant et l'absence de symptôme aux urgences, le patient rentre à domicile accompagné par son épouse. Le bilan biologique est dans la norme. La radiographie lombaire montre un pincement L5 S1 et la radiographie du bassin/hanches ne montre pas de fracture ou de coxarthrose. Nous retenons une lombosciatalgie droite non déficitaire pas suffisamment soulagée par l'antalgie qu'elle a prise à domicile (Dafalgan, Irfen, Tramal et Sirdalud). Aux urgences, elle reçoit 4 mg de Morphine avec une amélioration partielle des douleurs. En raison de cette forme hyperalgique, nous adressons Mme. Y à l'HFR Tafers pour hospitalisation et adaptation d'antalgie (par manque de place à l'HFR Riaz). Une IRM est à discuter. Mme. Y se rend à Tafers par ses propres moyens. Le bilan biologique est dans la norme. Nous débutons un traitement antibiotique pour sinusite. Compte tenu de la récidive de la sinusite en l'espace de 2 mois, nous proposons une consultation ORL dans un second temps. Mme. Y reverra son médecin traitant à la fin du traitement. Le bilan biologique est dans la norme (pas de trouble électrolytique ou anémie), le statut neurologique est dans la norme. L'ECG montre une bradycardie et BAV 1er degré déjà connu. Nous ne mettons pas d'évidence de trouble du rythme lors du monitoring aux urgences. Compte tenu de la description des symptômes et du bilan, nous retenons une origine probablement hypotensive bien que le Schellong soit négatif (effectué après hydratation IV de 500 ml NaCl 0.9% rapide). Les tensions artérielles restent dans la norme basse (TAS 110-120 mmHg). Mme. Y arrive à se mobiliser aux urgences et marcher sans récidive de symptômes. Mme. Y rentre à domicile avec des consignes de prévention : se lever lentement, hydratation 2 l/jour. Elle reconsultera les urgences en cas de récidive. Le bilan biologique est normal à part des BHCG à 715 U/L. Mme. Y est soulagée après l'administration de Dafalgan et de Primperan. Nous lui conseillons un traitement symptomatique, des vitamines prénatales et de prendre rendez-vous avec un gynécologue afin de surveiller la grossesse. Le bilan biologique est normal. La radiographie de thorax ne trouve pas de foyer infectieux, pas d'épanchement, pas de pneumothorax. Nous retenons une rhinopharyngite virale avec une toux irritative. Nous considérons les taches sanguinolentes dans les expectorations probablement suite à l'effort prolongé et important de la toux. Nous conseillons un traitement symptomatique avec un contrôle chez le médecin traitant par la suite. Le bilan biologique est normal. Nous retenons un syndrome dépressif et demandons l'avis de Dr. X, la pédopsychiatre de garde, qui, après une évaluation téléphonique, ne retient pas l'indication d'une hospitalisation. Elle recommande une évaluation le 23.01.2019 à 10h au centre de pédopsychiatrie de l'HFR Fribourg. Le rendez-vous est communiqué au père, qui accompagne la fille. Le bilan biologique est rassurant, sans anémie ou syndrome inflammatoire. Les mouvements fœtaux sont présents, normaux selon la maman. Après avoir écarté des diagnostics d'atteinte d'organes internes, nous prenons avis des gynécologues de Fribourg. Ces derniers préconisent un contrôle en urgence sur la nuit. Mme. Y part par ses propres moyens pour se rendre en gynécologie au HFR. Le bilan biologique et les tests hépato-pancréatiques sont dans la norme hormis une petite CRP à 16 mg/l. Les douleurs épigastriques et thoraciques sont soulagées par 40 mg de Nexium. Mme. Y étant à son arrivée tachycarde et au vu des douleurs du membre inférieur droit, nous prenons l'avis du Dr. X qui préconise le dosage des D-dimères qui reviennent positifs à 905 ng/mL. Au vu de l'absence de dyspnée, de la résolution spontanée et rapide de la tachycardie et de la diminution des douleurs sous Nexium, nous ne recherchons raisonnablement pas d'embolie pulmonaire. Cependant, au vu des douleurs du membre inférieur droit avec augmentation légère de la circonférence et Homans positif, nous organisons un ultrason du membre inférieur droit pour le 17.01.2019 à 10h30 suivi d'un contrôle à la filière des urgences ambulatoires.Elle reçoit 15 mg de Xarelto à 2h avant son retour à domicile. Le traitement sera à prescrire selon les résultats de l'ultrason. Le bilan biologique, l'ECG et la radiographie du thorax sont rassurants. Vu qu'une pneumonie, un syndrome coronarien aigu et un pneumothorax sont exclus et qu'il n'y a pas d'argument clinique pour une dissection aortique, ni d'embolie pulmonaire, nous laissons Mr. Y regagner son domicile avec une antalgie simple. Contrôle chez le médecin traitant. Le bilan biologique met en évidence des GGT augmentés, mais déjà connus. La radiographie du thorax permet d'exclure un pneumothorax et un épanchement pleural. Nous retenons une fracture de la 9ème côte droite pour laquelle nous conseillons une antalgie simple, de la physiothérapie respiratoire et un contrôle chez le médecin traitant par la suite. Le bilan biologique met en évidence des lactates et un LDH augmentés, des troponines stables et une bonne fonction rénale. La radiographie du thorax trouve un foyer pulmonaire basale G dans le contexte de broncho-aspiration. Mr. Y est tachypnéique, désaturé et est tachycarde. Nous perfusons 2 L de NaCl, mettons de l'oxygène en lunettes à 4 L, lui administrons de la Rocéphine iv et de l'Atrovent en aérosols. Vu la douleur à la palpation de l'abdomen et les nausées, ainsi que la grosse hernie inguinale, un scanner abdominal est réalisé qui met en évidence une occlusion intestinale sur hernie inguinale. Après consilium de chirurgie et anesthésie, nous contactons la chirurgie digestive de Fribourg et transférons Mr. Y pour suite de la prise en charge. Le bilan biologique met en évidence des lactates et un LDH augmentés, des troponines stables et une bonne fonction rénale. La radiographie du thorax trouve un foyer pulmonaire basale gauche dans le contexte de broncho-aspiration. Mr. Y est tachypnéique, désaturé et est tachycarde. Nous perfusons 2 L de NaCl, mettons de l'oxygène en lunettes à 4 L, lui administrons de la Rocéphine iv et de l'Atrovent en aérosols. Vu la douleur à la palpation de l'abdomen et les nausées, ainsi que la grosse hernie inguinale, un scanner abdominal est réalisé qui met en évidence une occlusion intestinale sur hernie inguinale. Après consilium de chirurgie et anesthésie, nous contactons la chirurgie digestive de Fribourg et transférons Mr. Y pour suite de la prise en charge. Consilium multidisciplinaire (urgences, soins intensifs, anesthésie, chirurgie) : au vu de la qualité de vie de Mr. Y, de ses comorbidités, de l'état de choc actuel et du pronostic, la décision est prise de passer à des soins de confort. Le frère de Mr. Y (représentant thérapeutique) est informé et est d'accord avec la décision. Mr. Y est transféré dans son home après l'accord du médecin traitant pour la suite des soins de confort. Le bilan biologique met en évidence un CRP à 45 mg/L et des leucocytes normaux. À l'arrivée aux urgences, les nausées sont résolues spontanément. Vu que l'examen clinique est rassurant et que la prise de sang montre juste une CRP augmentée sans modification des leucocytes, nous laissons Mr. Y regagner son domicile avec un sachet de Movicol et un comprimé de Primperan et organisons un contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le lendemain. Le bilan biologique met en évidence une CRP stable à 54 mg/L, sans leucocytose, et est normale autrement. Les nausées ont probablement été causées par la constipation. Nous remettons à Mr. Y une ordonnance pour traitement laxatif ; le suivi sera assuré par le médecin traitant. Le bilan biologique met en évidence une hyperbilirubinémie qui pourrait être dans le contexte d'un trouble congénital du métabolisme de la bilirubine. Mr. Y est soulagé, donc nous le laissons regagner son domicile. Vu que c'est le deuxième épisode de douleurs dans l'hypochondre droit dans les trois derniers mois, nous organisons un ultrason abdominal le 13.01.2019 suivi par un contrôle à la filière des urgences ambulatoires pour discussion du résultat. Le bilan biologique met en évidence une légère hyperbilirubinémie et une GGT augmentée, leucocytes 11.7 G/L, mais CRP normale. Le stix urinaire montre des leucocytes, pas de nitrite, des corps cétoniques et des protéines. Nous retenons une gastro-entérite probablement d'origine virale et recommandons un traitement symptomatique avec un contrôle chez le médecin traitant par la suite. L'hyperbilirubinémie est probablement dans le contexte d'une perturbation congénitale du métabolisme de la bilirubine (Dubin Johnson). Le bilan biologique met en évidence une légère hypokaliémie et une hyperleucocytose à 13.3 G/L. Le stix urinaire trouve des leucocytes et du sang, pas de nitrite. Le test de grossesse est négatif. Les douleurs sont soulagées après la prise d'un comprimé de Dafalgan. Vu qu'une appendicite ne peut pas être exclue, nous proposons à Mme. Y une réévaluation clinico-biologique le lendemain à la filière des urgences ambulatoires. Le bilan biologique montre des D-dimères à 190 ng/mL, ce qui permet d'exclure le diagnostic d'embolie pulmonaire. Par conséquent, nous retenons le diagnostic de présomption initiale, à savoir une tendinite. Poursuite du traitement initial par AINS, antalgie et repos. Reconsultation en cas de persistance des douleurs à deux semaines ou en cas de péjoration des douleurs. Le bilan biologique montre des leucocytes à 14.1 G/L et une CRP à 26 mg/L avec un stix positif. Mr. Y est par ailleurs stable et apyrétique. Nous réalisons un toucher rectal avec une prostate indolore. Un urotube et un dépistage chlamydia/gonorrhée suivront. Nous retenons une infection urinaire sans signe de prostatite ; Mr. Y reçoit un traitement par Rocéphine 2 g iv et Ciprofloxacine 500 mg 2 fois/jour par la suite prévu pour un total de 7 jours. Mr. Y est reconvoqué à la filière des urgences ambulatoires à trois jours de distance pour contrôle clinique et résultats des examens en cours. Il reconsultera en urgence en cas d'état fébrile et de frissons. Le bilan biologique montre des troponines légèrement augmentées mais sans modification en dynamique. L'ECG est superposable à l'ancien. La radiographie du thorax ne trouve pas de pneumothorax, ni d'épanchement ni de foyer infectieux. La tension artérielle a des valeurs dans la norme à l'arrivée aux urgences, sans traitement supplémentaire par rapport au traitement habituel. Vu qu'un syndrome coronarien aigu, une pneumonie, un pneumothorax sont exclus et que nous n'avons pas d'argument clinique pour une embolie pulmonaire (Mr. Y étant déjà anticoagulé), ni pour une dissection aortique, ni pour une décompensation de l'insuffisance cardiaque, nous laissons Mr. Y regagner son domicile sans changement du traitement. Mr. Y a rendez-vous avec son chirurgien cardio-vasculaire le 28.01.2018. Nous lui conseillons de reconsulter en cas de persistance ou de péjoration de la symptomatologie. Le bilan biologique montre également un syndrome inflammatoire avec une CRP à 66 mg/L et une leucocytose à 17 G/L. Au vu du contexte de maladie de Leiden ainsi qu'un traumatisme de membre avec immobilisation, nous décidons de mesurer les D-Dimères sur la base d'un score de Genève à 3 points. Au vu d'une valeur des D-Dimères à 681 ng/mL, un angio-CT-scan est demandé. Le CT-scan montre des embolies pulmonaires segmentaires latéro-basales et sous-segmentaires postéro-basales du lobe inférieur droit associées à un infarctus pulmonaire (segment latérobasal), sans répercussion sur le tronc pulmonaire et les cavités cardiaques droites. En plus, présence de plages en verre dépoli dans la pyramide basale du lobe inférieur droit, possiblement en lien avec des troubles ventilatoires dus à des douleurs respiro-dépendantes.Etant donné que la patiente est stable et d'un score de PESI à 56 nous effectuons une prise en charge ambulatoire. Nous mettons en place une anticoagulation par Xarelto 15 mg 2x/jour pendant 3 semaines puis 20 mg 1x/jour pour une durée minimale de 3 mois. Etant donné le facteur V, nous recommandons de rediscuter la durée avec un angiologue. La patiente est convoquée à la filière des urgences ambulatoires le 30.01.2019 à 13h pour un contrôle du syndrome inflammatoire et contrôle clinique avec pour but de voir si les douleurs sont contrôlées et si la patiente ne présente pas d'effet secondaire au Xarelto. Le bilan biologique montre l'absence d'anémie, l'absence de trouble électrolytique, pas de perturbation de la crase. Le sédiment revient dans la norme. Vu l'examen clinique et biologique qui sont rassurants, l'absence d'anticoagulation, la patiente rentre au home où elle commence à vivre ce jour. Les explications et les conseils concernant la surveillance neurologique ont été donnés aux infirmiers. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire, cinétique de troponines négative. La radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer pulmonaire. Avec la cinétique des troponines qui revient négative, nous écartons la possibilité d'une ischémie myocardique aiguë. Vu la résolution des symptômes avec Temesta, nous retenons le diagnostic de crise d'angoisse. Un événement subaigu comme un angor reste possible. Contrôle clinique chez le médecin traitant prévu la semaine prochaine. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire, hyponatriémie à 135mmol/l, pas d'anémie. La radiographie du thorax ne montre pas de pneumothorax ni d'hémothorax. Le test de Schellong est revenu négatif. Vu l'examen clinique et radiologique et biologique rassurants, la patiente rentre à domicile. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire, pas d'anémie, pas de perturbation de la crase, pas de perturbation des tests hépatiques. Le sédiment urinaire revient dans la norme. Les radiographies ne montrent pas de fracture. Vu l'examen clinique, radiologique et biologique rassurants, la patiente rentre à domicile avec antalgie en réserve par Dafalgan, Irfen et Tramal. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire, pas d'anémie, pas de trouble électrolytique. Aux urgences, le patient a reçu du Tavegyl 2 mg en intraveineuse avec une nette amélioration au niveau des thénars. Vu l'examen clinique et biologique rassurant, l'amélioration de l'état du patient et vu que le père du patient est rassuré, il peut rentrer à domicile avec le traitement par Dafalgan, Brufen et Makatussin. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec leucocytes à 12.2G/l et CRP à 57mg/l. Le stix urinaire est positif. Le patient est stable hémodynamiquement et apyrétique aux urgences. Au vu de l'âge du patient et de l'anamnèse négative pour des rapports sexuels à risque, nous n'effectuons pas de dépistage chlamydia/gonorrhée. La culture des urines est en cours. Au toucher rectal, la prostate est douloureuse. Nous retenons une prostatite aiguë. Le patient est traité avec une dose de Rocéphine 2g iv et relais par Ciprofloxacine 500mg 2x/jour pour un total de 14 jours. Il revient en contrôle le 08.01.2018 à la filière des urgences ambulatoires. En cas d'état fébrile persistant ou d'évolution non favorable des symptômes il est averti de consulter en urgence. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec leucocytose à 14,3G/l et CRP à 88mg/l. Nous prenons contact avec l'ORL de garde, le Dr. X, qui ne voit pas de critères pour une hospitalisation. Aux urgences, la patiente a reçu de la Co-Amoxicilline 2200mg iv + Solumedrol 125 mg iv. La patiente rentre à domicile avec le traitement par Co-Amoxicilline 1g per os 2 fois par jour pendant 7 jours, AINS et Dafalgan. Contrôle clinique à la consultation ORL du Dr. X le 04.01.2019 à 10h45 dans son cabinet à Châtel-Saint-Denis. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec leucocytose à 16G/l et CRP à 20mg/l. Les tests hépatiques et pancréatiques sont alignés. Le patient montre une clinique rassurante avec un abdomen souple et reste stable et apyrétique. Le patient est soulagé après antalgie simple aux urgences. Sur des douleurs localisées en hypochondre droit avec irradiation vers le mi-abdomen du côté droit, peu spécifiques, nous laissons le patient rentrer à domicile avec un ultrason abdominal prévu demain et résultats à la filière des urgences ambulatoires par la suite. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire léger avec une CRP à 16 mg/l ainsi qu'une leucocytose à 12.9 G/l. Un taux d'acide urique revient élevé à 455 umol/l. Le bilan radiologique de l'orteil gauche montre un pincement articulaire au niveau de la 1ère métacarpophalangienne. Nous prenons un avis auprès du Dr. X, orthopédiste, et au vu de la constellation, il confirme le diagnostic de crise de goutte. Nous mettons en place une attelle Splintpod pour l'orteil gauche, un traitement antalgique et anti-inflammatoire. Nous prescrivons de la Colchicine. Le patient bénéficie également d'une attelle Splintpod avec prophylaxie contre les thromboses. Un contrôle est prévu le 21.01 à 10h15 à la consultation du Dr. X, avec une prise de sang avant la consultation à 09h15. Le patient est libre de rentrer à domicile. Le bilan biologique montre une absence de syndrome inflammatoire. La patiente reçoit une antalgie par Olfen 75 mg aux urgences. Nous lui prescrivons de l'Irfen 400 mg 3x/jour durant 5 jours avec une couverture par IPP ainsi que du Dafalgan 1 g 4x/jour en réserve. Nous lui conseillons d'organiser de la physiothérapie en ambulatoire. Le bilan biologique montre une bonne fonction rénale, pas de trouble ionique, syndrome inflammatoire avec une CRP 51 mg/l, leucocytose 10.6 g/l, les tests hépatiques sont légèrement augmentés avec une ALAT 46 U/I, LDH 530 U/I, phosphatase alcaline 39 U/I, gamma GT 98 U/I, bilirubine directe à 4.9 µmol/l. Le reste des tests hépatiques est dans la norme et les tests pancréatiques dans la norme avec une lipase 16 U/I. Le sédiment urinaire est propre. Nous demandons un ultrason abdominal complet qui montre une cholécystite lithiasique aiguë sans répercussion sur les voies biliaires extra et intra-hépatiques. Sur avis du Dr. X, chirurgien, le patient reçoit une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 2.2 g iv en ordre unique aux urgences puis par la suite Co-Amoxicilline 1g 3x/24h per os pendant 7 jours inclus. Le patient peut regagner son domicile le jour même avec poursuite de l'antibiothérapie durant 7 jours avec un contrôle clinico-biologique (CRP, FSS, et tests hépatiques complets) en début de semaine prochaine par le médecin traitant. Puis un rendez-vous à la consultation du Dr. X, chirurgien, dans une semaine pour discussion d'une cholécystectomie. Le bilan biologique montre une CRP à 14mg/l sans leucocytose. La radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer. Etant donné l'état confusionnel du patient et l'ataxie à la marche, nous réalisons un CT-scan cérébral qui ne montre pas de signe de méningite ni d'abcès intracrânien. Aux urgences, le patient a reçu du Paracétamol et du Brufen. L'examen neurologique après résolution de l'état fébrile est dans la norme : absence de trouble de l'équilibre ou de la marche. Le streptotest qui a été réalisé aux urgences est négatif. Vu l'examen clinique et radiologique rassurant, le patient rentre à domicile avec le traitement symptomatique. Contrôle clinique et laboratoire prévu demain à 8h15 à la filière des urgences ambulatoires.Le bilan biologique montre une CRP à 15 mg/l et des leucocytes normaux. Les troponines sont normales. Vu que des D-dimères sont élevés, nous effectuons un scanner thoracique à la recherche d'une embolie pulmonaire, examen qui infirme le diagnostic. A l'ECG il n'y a pas de modification significative. Le stix urinaire est propre. Etant donné que les douleurs sont soulagées après l'administration de Tramadol, nous laissons la patiente regagner son domicile avec une antalgie simple et lui conseillons de consulter en cas de persistance ou de péjoration de la symptomatologie. Le bilan biologique montre une CRP à 19 mg/l sans leucocytose. La gazométrie montre une hypoxémie à 10.9 sous 3 litres d'O2. La radiographie de thorax ne montre pas de foyer mais est parlante pour une bronchite. La patiente reçoit 3 aérosols d'Atrovent/Ventolin/Pulmicort avec nette diminution des symptômes et une normalisation de l'auscultation pulmonaire. Elle rentre à domicile avec un traitement par Seretide, Prednisone et Ventolin en réserve. Elle verra son médecin traitant la semaine prochaine pour contrôle. Le bilan biologique montre une CRP à 7 mg/l et des globules blancs. L'ECG montre des ondes T négatives en D3 et un intervalle QT long. La radiographie met en évidence un épanchement pleural du côté droit, déjà présent sur une radiographie faite en 2011. Nous lui conseillons une antalgie simple et de la physiothérapie respiratoire. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle le 14.01.2019. Le bilan biologique montre une disparition de l'hématurie, mais une élévation des CK à 1400 U/l. Cette valeur n'est pas inquiétante pour autant que le patient s'hydrate bien. Un bilan radiographique est effectué pour le coude droit, mais ne révèle rien de particulier. Le patient sera revu le 09.01.2019 à la consultation orthopédique du Dr. X pour le genou, puis le même jour en policlinique d'orthopédie pour suivi de la fracture du poignet et nouveau laboratoire avec suivi des CK. Le bilan biologique montre une Hb à 159 g/l. La cicatrice est calme sans signes infectieux ou écoulement. Nous réalisons un ultrason abdominal qui ne met pas en évidence de liquide libre intra-abdominal, présence d'un hématome du muscle oblique de 5 cm x 6 mm. Nous laissons le patient rentrer à domicile avec contrôle clinique chez le médecin traitant. Le bilan biologique montre une légère élévation de la CRP à 16 mg/l, sans leucocytose associée. La radiographie du thorax ne révèle pas de foyer ou d'épanchement. Nous retenons les diagnostics de bronchite et rhinite, de cause probablement virale. Nous prescrivons un traitement symptomatique et donnons les instructions à la patiente de reconsulter en cas d'évolution défavorable. Le bilan biologique montre une légère élévation de la CRP sans leucocytose. Le diagnostic de laryngite est retenu, avec une probable origine virale. La patiente bénéficie d'un traitement symptomatique, et a reçu les instructions de consulter son médecin traitant en cas de péjoration de son état ou de non-amélioration à 2 semaines. La patiente sait qu'elle doit reconsulter les urgences en cas d'apparition d'un état fébrile, dyspnée. Le bilan biologique ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire. La radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer. Nous retenons des douleurs musculosquelettiques sur toux persistante et nous instaurons un traitement symptomatique. Nous laissons le patient rentrer à domicile avec un contrôle prévu chez son médecin traitant à 5-7 jours selon évolution. Le bilan biologique ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire. Nous notons une créatininémie à 144 µmol/l (116 µmol/l valeur comparative). Le patient est par ailleurs stable hémodynamiquement et apyrétique et ne présente plus de douleurs à sa présence aux urgences après l'administration d'une antalgie simple. Nous laissons le patient rentrer à domicile avec un traitement conservateur par anti-douleur et filtrage des urines. Un contrôle biologique et clinique est prévu à la filière des urgences ambulatoires le 26.01 pour +/- imagerie selon l'évolution. Le patient est averti de reconsulter les urgences en cas d'état fébrile, de frissons ou de douleurs non gérées par l'antalgie à domicile. Le bilan biologique ne montre pas de leucocytose, CRP à 29 mg/l. La radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer pulmonaire. Le strepto-test revient négatif. Etant donné l'examen clinique, biologique et radiologique rassurant, le patient rentre à domicile avec le traitement par Irfen, Dafalgan, Angina MCC et Makatussin. Contrôle clinique et biologique (+ résultats des hémocultures) prévu le 22.01.2019 à la filière des urgences ambulatoires. Le bilan biologique ne montre pas de signe de fracture. Nous retenons une contusion que nous traitons symptomatiquement avec protocole RICE, antalgie et syndactylie à but antalgique. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire avec CRP à 6 mg/l sans leucocytose. La radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer pulmonaire ni pneumothorax ni hémothorax. Vu l'examen clinique, biologique et radiologique rassurant, la patiente rentre à domicile avec le traitement symptomatique par Dafalgan, Irfen, Makatussin et Triofan spray nasal. Contrôle chez le médecin traitant dans 5 jours. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, des troponines à 4 ng/L, des D-dimères à 202 ng/mL. La gazométrie artérielle est dans la norme hormis la présence d'une légère alcalose. L'ECG est effectué, normal. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer pulmonaire. Vu l'examen clinique et le laboratoire rassurant et la diminution des douleurs après le traitement empirique par Nexium 40 mg, Ulcar, nous retenons le diagnostic d'un début de gastrite ou d'un spasme œsophagien. La patiente rentre à domicile avec le traitement par Nexium 40 mg et de l'Ulcar en réserve. Une gastroscopie est déjà prévue le 31.01.2019 à l'HFR Riaz, pour des épigastralgies typiques. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire et la radiographie ne révèle pas d'atteinte osseuse ou séquestre. L'ongle est traité comme décrit plus haut, et le patient sera recontrôlé le lendemain par le Dr. X, orthopédiste. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, la radiographie du thorax ne montre pas de signe de foyer. La patiente par ailleurs est stable et apyrétique et présente une symptomatologie d'infection des voies respiratoires supérieures. On met en place un traitement symptomatique anti-inflammatoire et antidouleurs. La patiente fera un contrôle chez le médecin traitant à 5-7 jours selon besoins si persistance de la symptomatologie ou état fébrile (hormis toux avertie que persistance possible sur plusieurs semaines). Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire (leucocytes à 12,7 G/l, CRP à <5 mg/l), T0 à 9 ng/L, T1 à 9 ng/L, D-dimères <190 ng/mL. La radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer pulmonaire. Les douleurs sont complètement résolues après la prise de Brufen 400 mg per os. Vu la cinétique des troponines négatives, nous écartons un événement coronarien aigu. Le patient présente un facteur de risque comme tabagisme actif. Nous mesurons la valeur des D-dimères qui reviennent <190 ng/mL. Nous pouvons raisonnablement exclure une embolie pulmonaire. Compte tenu de l'aggravation des douleurs par les mouvements de l'épaule gauche, nous retenons le diagnostic de douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique. Le patient rentre à domicile avec le traitement par Dafalgan et Irfen. Nous proposons au patient d'avoir une consultation de contrôle avec son médecin traitant dans les jours qui suivent afin d'évaluer la nécessité d'un bilan cardiologique à distance.Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, pas de perturbation des tests hépato-pancréatiques. Aux urgences, le patient a reçu un lavement avec Practomil avec une bonne évolution sur les douleurs. Le patient rentre à domicile avec du Movicol jusqu'à obtention de selles molles, Dafalgan en réserve si douleurs. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, pas de perturbation des tests hépato-pancréatiques. Le sédiment urinaire revient dans la norme. L'abdomen sans préparation ne montre pas de signes d'iléus. Vu l'examen clinique et biologique rassurants, nous effectuons un lavement avec Practomil. Le patient rentre à domicile avec du Movicol, du Laxoberon. Contrôle clinique et biologique le 30.01.2019 à la filière des urgences ambulatoires. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble électrolytique, pas d'anémie, troponine à 3 ng/L. L'ECG montre un rythme sinusal régulier à 68/min, axe normal, pas de signe d'ischémie active, pas d'onde Q pathologique, pas de signe d'HVG. La patiente a reçu de l'Adalat 30 mg et du Brufen 400 mg. Nous mesurons régulièrement la tension artérielle qui revient dans la norme. La patiente rentre à domicile avec les conseils de fixer les valeurs de tension artérielle dans un carnet et un contrôle clinique chez le médecin traitant qui est prévu le 04.02.2019. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire significatif. L'auscultation, par ailleurs, est propre. On note une hypokaliémie à 3.4 mmol/l, la patiente reçoit un cp de KCL retard en dose unique. Nous retenons une infection des voies respiratoires supérieures, la patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique, conseils sur bonne hydratation. Un rendez-vous de contrôle sera pris à 5-7 jours chez son médecin traitant selon évolution. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, troponine à 4 ng/L, bHCG à 0. La radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer pulmonaire. Les douleurs sont complètement résolues après la prise de Paracétamol IV. Vu l'examen clinique, radiologique et laboratoire rassurant, la patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire. Vu l'examen clinique, nous retenons le diagnostic de dermohypodermite débutante post-traumatique et débutons un traitement par Co-Amoxicilline 1 g per os 3x/jour pendant 6 jours. Le patient rentre à domicile. Un contrôle clinico-biologique est prévu le 28.01.2019 en filière des urgences ambulatoires. Le bilan biologique ne révèle rien de particulier, hormis une légère leucocytose. Cette dernière peut être expliquée par le contexte d'infection au décours de la lèvre supérieure. Les douleurs ayant disparu après l'administration d'un gramme de Dafalgan et 400 mg de Brufen, le patient rentre à domicile avec antalgie simple. Il a reçu les instructions de reconsulter en cas d'évolution défavorable. Le bilan biologique ne trouve pas de syndrome inflammatoire. Le score de Genève montre une probabilité intermédiaire d'embolie pulmonaire, raison pour laquelle nous dosons les D-dimères, qui sont dans la norme. L'ECG et la radiographie de thorax sont rassurantes. Vu qu'une embolie pulmonaire, une pneumonie, un pneumothorax, un syndrome coronarien aigu sont exclus, et qu'il n'y a pas d'argument en faveur d'une dissection aortique, et que la douleur est reproductible à la palpation, nous considérons la douleur d'origine musculo-squelettique et la laissons regagner son domicile avec un traitement symptomatique. Contrôle chez le médecin traitant. Le bilan biologique ne trouve pas de syndrome inflammatoire, légère hypokaliémie. Le CT-scan abdominal ne trouve pas d'occlusion intestinale, ni d'autre lésion aiguë intra-abdominale. Dans ce contexte, nous retenons des douleurs dans le cadre d'une constipation chronique. Nous conseillons un traitement antalgique simple, la poursuite du traitement laxatif et de respecter le rendez-vous avec son chirurgien (déjà prévu pour le 09.01.2019). Le bilan biologique oriente le diagnostic vers une cholécystite, ce que l'ultrason confirme. Après avis du Dr. X, le patient rentre à domicile avec une antibiothérapie et une antalgie. Un contrôle clinico-biologique est à prévoir par le patient dans 1 semaine à la consultation de son médecin traitant, ainsi qu'un rendez-vous à la consultation du Dr. X dans 1 mois. Par ailleurs, le patient amène un ECG comparatif de 2007 où nous retrouvons déjà à cette époque le bloc de branche gauche. La Dr. X recommande une consultation en cardiologie dans le mois qui vient, sachant que le patient aura besoin d'une cholécystectomie à distance et que des investigations cardiologiques seront nécessaires d'un point de vue anesthésique. Le bilan biologique retrouve une CRP et des leucocytes dans la norme ainsi que le ionogramme sanguin. Le patient reçoit une perfusion de 500 ml de NaCl 0.9% ainsi que 1 g de Dafalgan IV et 10 mg de Buscopan. Au vu du bilan biologique rassurant ainsi que d'une stabilisation de la symptomatologie digestive, le patient ne présentant plus de diarrhée ni de vomissement, il rentre à domicile avec un traitement symptomatique par Dafalgan 1 g 3x/jour et Buscopan 10 mg 2x/jour. Le bilan biologique révèle un INR supra thérapeutique. Le patient reçoit du Konakion pour renverser la crase. Le bilan biologique est rassurant avec une hémoglobine acceptable et l'absence de syndrome inflammatoire. Nous retenons le diagnostic d'hématurie sur lésion par le Cystofix. Le patient étant stable hémodynamiquement, avec des urines rose claire, il rentre à domicile. Il sera revu le 21 ou 22.01 à la consultation du Dr. X pour le changement du Cystofix. Dans l'intervalle, il a reçu l'instruction de consulter en cas d'émission d'urines très rouges ou de grande quantité. Le patient continuera son antibiothérapie prescrite pour l'infection urinaire, avec contrôle à la consultation de son médecin traitant en fin de traitement. Le bilan biologique révèle un léger syndrome inflammatoire. Ceci corrélé à la clinique fait suspecter une infection pulmonaire. En l'absence de foyer franc à la radiographie, nous retenons comme diagnostic probable une surinfection bactérienne de bronchite virale. La patiente est mise au bénéfice d'une antibiothérapie par Tavanic, et sera revue à la consultation de son médecin traitant le 07.01.2019. Elle reconsultera aux urgences en cas d'évolution défavorable. Le bilan biologique révèle un syndrome inflammatoire avec 145 mg/l de CRP et une leucocytose à 13.8 G/l. Un avis auprès du Dr. X, ORL, est demandé. Ce dernier retient comme diagnostic un kyste rétro-auriculaire avec début de surinfection, propose de continuer le traitement antibiotique mis en place, et propose aussi de voir le patient à sa consultation le 04.01.2019. Le patient a reçu les instructions de reconsulter aux urgences dans le cas où le kyste deviendrait rouge et chaud. Dans ce cas, une incision et drainage seraient de mise. Le bilan biologique révèle uniquement une élévation de la CRP à 11 mg/l. Le reste du laboratoire est aligné, notamment les tests hépato-pancréatiques. Au vu de l'anamnèse, nous retenons le diagnostic de douleurs abdominales post-traumatiques, les nausées et diarrhées étant dues à un œdème intestinal suite au traumatisme. Une atteinte différée de la rate ne peut pas être exclue, et le patient a reçu l'instruction de reconsulter urgemment en cas d'évolution défavorable, notamment douleurs, pâleur, tachycardie ou extériorisation de sang. Le bilan biologique trouve une CRP à 8 mg/l, mais les leucocytes dans la norme, une légère augmentation de la GGT et FA. Le stix urinaire est propre et le test de grossesse est négatif. Vu qu'une appendicite débutante ne peut pas être exclue, nous organisons un contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires dans 12 h.Le bilan clinico-biologique retient le diagnostic de pyélonéphrite gauche. Mme. Y était déjà sous traitement de Ciprofloxacine, mais n'a eu le temps de prendre qu'un comprimé quelques heures avant sa visite aux urgences. En conséquence, nous ne pouvons pas suspecter une résistance à l'antibiotique pour l'instant. Mme. Y reçoit une dose IV de Rocéphine et relais PO par Ciprofloxacine comme déjà prescrit. Elle sera revue le 19.01 en filière des urgences ambulatoires avec un nouveau bilan biologique à effectuer et réception des résultats bactériologiques. Elle reconsultera les urgences dans l'intervalle en cas d'évolution défavorable. Le bilan clinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. L'hémostase est achevée par compression. Un pansement simple est mis en place. Mme. Y reviendra en filière des urgences ambulatoires dans 24h pour un contrôle et un changement à un pansement occlusif. Le reste des contrôles sera fait en policlinique d'orthopédie. Le bilan clinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Une hémostase par compression ne suffit pas à arrêter le saignement, une coagulation par bipolaire est alors effectuée. Un pansement occlusif est mis en place et Mme. Y serait revue dans 48 heures à la filière des urgences ambulatoires pour un contrôle. Le bilan clinique et biologique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Selon avis urologique du Dr. X, nous adressons le patient à l'Hôpital Daler pour prise en charge chirurgicale et pose de sonde double J. Le bilan clinique et radiologique permet de conclure à une entorse du genou droit, ligament latéro-interne, avec diagnostic différentiel de lésion du ménisque interne. Nous conseillons une attelle Jeans, de la Clexane, de l'antalgie et un contrôle chez le Dr. X, orthopédiste, dans 1 semaine. Arrêt de travail pour 1 jour parce que Mme. Y travaille depuis chez elle. Le bilan clinique et radiologique permettent d'exclure une usure du genou gauche et le lâchage doit être imputé au problème d'équilibre dont souffre le patient. Ceci n'est pas en lien avec le genou. Pas de contrôle. Le bilan est dans la norme. Nous mettons les douleurs sur le compte de l'attaque de panique. Nous proposons à Mme. Y un traitement en cas de récidive d'attaque de panique dans l'attente de son rendez-vous chez son médecin traitant pour l'introduction du traitement de fond. Le bilan ne met pas en évidence de foyer. Le patient ne présente pas de critère au score de Centor. Les douleurs du patient sont en nette diminution suite à la prise du Dafalgan 1g au tri. Le patient sera revu à la filière des urgences ambulatoires vendredi 18.01.2019 pour suivi clinique et biologique compte tenu de l'important syndrome inflammatoire. Le patient veut rentrer pour aller travailler ce matin à 05H30 dans sa fromagerie. Le bilan ne retient pas d'étiologie pour ce malaise et le status est dans la norme. Nous laissons donc le patient rentrer à domicile. Il reconsultera en cas de récidive. Le bilan par scanner met en évidence un volumineux fécalome caecal, sans signe de complication. L'abdomen est souple, sans défense ou contracture, mais il reste sensible. Mme. Y est convoquée à 24h pour réévaluation clinique. Le bilan par scanner met en évidence un volumineux fécalome caecal, sans signe de complications. L'abdomen est souple sans défense ni contracture mais reste sensible. Mme. Y est reconvoquée à 24h pour réévaluation clinique. Après une nuit de surveillance, nous n'observons pas de complication. Le bilan par scanner met en évidence un volumineux fécalome caecal, sans signes de complications. Mme. Y demeure extrêmement algique, difficilement soulagée par l'antalgie simple et par les opiacés, que nous décidons néanmoins d'administrer même au vu de la constipation en raison de l'intensité des douleurs. Mme. Y demeure dubitative quant au diagnostic malgré nos explications, car dit n'avoir jamais eu de constipation. Le bilan par ultrason confirmant la suspicion clinique de rupture de l'insertion distale du vaste latéral, nous organisons une IRM, prévue le 29.01 à 13h45, afin de mieux caractériser la lésion et d'affirmer l'intégrité du tendon quadricipital. Pour la suite, le patient sera vu à la consultation du Dr. X le 05.02 à 13h30. Il gardera d'ici là l'immobilisation par attelle Jeans et l'anticoagulation par Clexane. Le bilan permet d'exclure une embolie pulmonaire ou une origine ischémique. Le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Compte tenu de l'ECG, nous conseillons de prendre contact avec un cardiologue pour un bilan et discussion de l'indication à la pose d'un défibrillateur. Le patient prendra rendez-vous avec son médecin traitant d'ici la fin de semaine. Le bilan radio clinique aux urgences met en évidence une fracture du tiers moyen de la clavicule droite. Un traitement conservateur est mis en place. Mme. Y sera revue en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans 1 semaine. Le bilan radio-clinique aux urgences met en évidence le diagnostic de corps étranger dans la commissure entre les 1er et 2ème doigts de la main droite. L'écharde est enlevée sous anesthésie locale aux urgences. Le patient sera revu pour un contrôle de plaie en policlinique d'orthopédie dans 48h. Le bilan radio-clinique aux urgences met en évidence le diagnostic de fracture Salter Harris II du radius distal gauche. Nous immobilisons Mme. Y dans un plâtre AB fendu. Elle prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans une semaine. Le bilan radioclinique aux urgences met en évidence le diagnostic d'entorse de la cheville gauche de grade I. Un traitement conservateur est mis en place. Le patient est informé que ses douleurs à la reprise du sport sont probablement dues à un temps de repos insuffisant pour son entorse. Le bilan radio-clinique aux urgences met en évidence le diagnostic d'entorse de la plaque palmaire de l'interphalangienne du majeur gauche. Un traitement conservateur est mis en place. Mme. Y sera revue à la consultation de policlinique d'orthopédie dans 5-7 jours. Le bilan radioclinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Mme. Y est immobilisée en attelle en extension et il lui est prescrit une décharge et de l'antalgie. Une IRM en ambulatoire est organisée pour jeudi 17.01.2019 à 9h et Mme. Y serait revue par la suite à la consultation du Dr. X. Le bilan radioclinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Mme. Y est vite soulagée par antalgie simple et le status est rassurant. Mme. Y regagne son domicile alors accompagnée par ses parents avec un suivi chez le pédiatre. Le bilan radioclinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement avec attelle Aircast et antalgie est mis en place et Mme. Y regagne son domicile. Le bilan radio-clinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement conservateur est mis en place avec un contrôle en policlinique d'orthopédie prévu dans une semaine. Le bilan radio-clinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement conservateur est mis en place avec une attelle Edimbourg. Le patient prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans 1 semaine et puis en ergothérapie pour confectionner une attelle en équerre pour un total de 6 semaines. Le bilan radioclinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement par AINS et repos est mis en place. Mme. Y sera revue par son médecin traitant pour un contrôle et réévaluation de reprise de travail.Le bilan radioclinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement symptomatique est mis en place. La patiente peut regagner son domicile. Le bilan radioclinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement par AINS et immobilisation en attelle palmaire est mis en place avec un contrôle chez le médecin traitant. Le bilan radioclinique aux urgences met en évidence les diagnostics susmentionnés. Selon l'avis orthopédique du Dr. X, nous organisons une artho-IRM pour mieux bilanter les lésions et la patiente sera revue par la suite à la consultation d'orthopédie. La patiente est immobilisée dans un plâtre antébrachial fendu, prenant le pouce, jusqu'à l'arthro-IRM. Le bilan radioclinique aux urgences met en évidence les diagnostics susmentionnés. La patiente est traitée avec décharge et bande élastique, ainsi qu'antalgiques. Une masse molle est mise en évidence aussi lors de l'examen clinique, un ultrason est organisé pour demain pour caractériser la lésion. Le bilan radioclinique aux urgences met en évidence les diagnostics susmentionnés. Un traitement par plâtre fendu et décharge est mis en place en vue de la suspicion de la fracture. La patiente sera recontrôlée dans une semaine en orthopédie pour la suite de la prise en charge. Le bilan radioclinique aux urgences met en évidence une fracture du tiers distal de l'ulna gauche. Un traitement conservateur avec un plâtre BAB fendu est mis en place sous avis orthopédique du Dr. X. Le patient sera revu en policlinique d'orthopédie dans 1 semaine pour un contrôle radioclinique. Le bilan radioclinique aux urgences met en évidence une fracture spiroïde diaphysaire tibiale gauche. Un traitement par plâtre cruropédieux est mis en place sous avis orthopédique. Le patient sera revu dans 1 semaine pour un contrôle en orthopédie. Le bilan radioclinique met en évidence la présence d'un cal osseux et l'absence de déplacement secondaire. Le bilan radioclinique met en évidence le diagnostic de sténose focale de haut degré au départ de l'artère sous-clavière droite sur une plaque athéromateuse du membre supérieur droit. Sous avis du chirurgien vasculaire, nous procédons à un bilan angiologique complémentaire pour voir le gradient de pression entre les membres supérieurs et le patient sera revu par la suite en consultation de chirurgie vasculaire. Le traitement est adapté et le patient avisé. Le bilan radioclinique permet d'exclure une fracture du coude. Nous effectuons un bandage antalgique et conseillons un rendez-vous chez le médecin traitant si besoin dans 1 semaine. Le bilan radiographique de l'épaule et de la clavicule gauche est complété par une radiographie des 2 articulations acromioclaviculaires en charge, étant donné un doute radiographique concernant l'articulation acromioclaviculaire, sans pour autant retrouver de douleur à la palpation. L'ensemble du bilan radiographique est sans particularité, le patient est donc autorisé à rentrer à domicile avec une bretelle à visée antalgique pour 5 jours maximum, puis mobilisation libre selon douleurs. Antalgiques et anti-inflammatoires. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X, orthopédiste, en cas de persistance des douleurs à 7-10 jours. Le bilan radiographique du poignet droit ne met pas en évidence de lésion osseuse. Nous proposons donc un traitement symptomatique par antalgique et anti-inflammatoires, bandage élastique et conseils de glace et repos. Concernant le poignet gauche, le bilan radiographique ne met pas en évidence de fracture mais le statut clinique est suspect d'une fracture du scaphoïde. Le patient bénéficie donc d'une immobilisation antébrachiale par plâtre fendu prenant le pouce, puis d'un CT-scan qui retrouve une fracture du lunatum. Le patient rentre donc à domicile avec un traitement antalgique et anti-inflammatoire et sera revu le 30.01.2019 à la consultation du Dr. X. Consignes de surveillance sous le plâtre données au patient. Le bilan radiographique met en évidence la fracture susmentionnée. Le patient bénéficie d'une immobilisation par plâtre antébrachial fendu. Il sera revu dans 1 semaine en policlinique d'orthopédie pour contrôle radioclinique et circularisation du plâtre. Le bilan radiographique met en évidence les diagnostics sus-cités, et la patiente bénéficie d'une immobilisation dans une attelle jeans en extension, en décharge avec des cannes anglaises et une thromboprophylaxie par Clexane. Elle sera revue à la consultation du Dr. X dans une semaine. Le bilan radiographique mettant en évidence une fracture peu déplacée du tiers moyen de la clavicule droite, nous équipons la patiente d'une attelle Rucksack pour une durée totale de 4 semaines. Elle sera revue à 1 semaine en policlinique d'orthopédie pour contrôle clinique +/- radiographique selon l'évolution. Antalgiques et anti-inflammatoires de réserve. Le bilan radiographique montre la fracture susmentionnée. Après avis du Dr. X, ORL, le patient est mis au bénéfice d'une antibiothérapie par Augmentin pour 5 jours et le patient sera vu à la consultation du Dr. X dans 5 jours pour réduction de la fracture et suivi. Le bilan radiographique ne montre pas de fracture. Le statut retrouve une entorse bénigne du ligament latéro-interne, et le patient bénéficie d'une immobilisation par attelle jeans, avec thromboprophylaxie par Clexane. Le patient sera recontrôlé dans 1 semaine chez son médecin traitant. Le bilan radiographique ne montre pas de fracture. Le testing ligamentaire conclut à une entorse stade II du ligament latéro-externe. La patiente bénéficie d'une immobilisation par attelle Aircast, avec laquelle les douleurs diminuent grandement. Elle a reçu l'instruction de consulter son médecin traitant dans 6 semaines pour évaluation clinique. Le bilan radiographique ne retrouve pas d'atteinte osseuse. La patiente étant trop algique, le statut ne peut pas être réalisé. Nous décidons alors d'immobiliser le membre dans une attelle en extension avec cannes et Clexane dans l'attente d'une consultation avec le Dr. X, orthopédiste, dans une semaine. À cette occasion, le genou devrait être "refroidi" et un statut complet réalisable. Le bilan radiographique ne retrouve pas d'atteinte osseuse. Le diagnostic d'entorse bénigne du poignet droit est retenu, principalement les ligaments radio-carpiens. Le patient bénéficie d'une immobilisation par attelle palmaire à but antalgique et de la prescription d'AINS, et il a reçu comme instruction d'effectuer un contrôle clinique à la consultation de son médecin traitant dans 1 semaine. Nous restons à disposition en cas d'évolution défavorable. Le bilan radiographique ne révèle pas de fracture. Le statut clinique oriente le diagnostic vers une entorse du ligament latéro-interne sans pouvoir exclure une atteinte du ménisque interne. Par conséquent, le patient bénéficie d'une immobilisation par attelle jeans en extension, avec cannes anglaises et thromboprophylaxie par Clexane. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X, orthopédiste, dans 1 semaine, il prendra lui-même rendez-vous, les coordonnées du cabinet lui sont données. Le bilan radiographique permet d'écarter des fractures, et le statut clinique retient les diagnostics susmentionnés. La patiente bénéficie d'une immobilisation par attelle Aircast qu'elle devra porter pour une durée totale de 6 semaines. Une attelle alu palmaire à but antalgique est mise en place pour le pouce droit, la patiente s'en sèvrera d'elle-même lorsque les douleurs auront disparu. Au vu d'une capacité de charge diminuée, une thromboprophylaxie est mise en place. Son indication sera à réévaluer lors d'un contrôle clinique dans 1 semaine à la consultation du médecin traitant.Le bilan radiographique permet d'écarter un diagnostic de fracture, ou de rupture des ligaments acromio-claviculaire ou coraco-claviculaire. L'examen clinique oriente le diagnostic vers une entorse bénigne de l'articulation acromio-claviculaire gauche. Mr. Y bénéficie d'une immobilisation relative par bretelle à but antalgique et de la prescription d'une antalgie simple. Mr. Y ira faire un contrôle clinique chez son médecin traitant dans 5-7 jours. Un arrêt de travail de 3 jours est délivré (travailleur de force). Le bilan radiographique permet d'écarter une fracture. Le status clinique retrouve une entorse du ligament latéro-externe de stade II. Mr. Y bénéficie d'une attelle Aircast, avec marche en charge totale avec uniquement de légères douleurs. Les suites se feront chez le médecin traitant, avec un contrôle clinique final à 6 semaines du traumatisme. Mr. Y a reçu l'instruction de reconsulter dans l'intervalle en cas d'évolution défavorable. Le bilan radiographique permet d'écarter une fracture. Nous retenons le diagnostic de contusion versant externe du pied droit et prescrivons une antalgie standard. Mme. Y rentre à domicile. Le bilan radiographique révèle une fracture déplacée de la base du 2ème métacarpien à droite. Après avis du Dr. X, nous décidons d'immobiliser le membre dans une attelle Edimbourg, dans l'attente d'un CT-scan le lendemain pour bilan pré-opératoire. Mr. Y sera pris au bloc opératoire après le scanner si l'indication chirurgicale se maintient. Mr. Y viendra à jeun. Le bilan radiographique soulève un doute sur une fracture non déplacée de la base du 5ème métacarpien. Mme. Y présente des douleurs en regard. Nous immobilisons Mme. Y dans une attelle Edimbourg et donnons les instructions de faire un contrôle radio-clinique dans 1 semaine sur le lieu de résidence. Le bilan radiologique est non révélateur et le bilan clinique et biologique est rassurant. Nous laissons alors Mr. Y rentrer à domicile avec les consignes de reconsulter en cas de péjoration. Le bilan radiologique est rassurant. Au niveau clinique, au vu de la légère amélioration sous physiothérapie et de la proximité de l'intervention, nous ne proposons pour l'instant pas d'autre traitement que la poursuite de la physiothérapie, néanmoins avec insistance sur le renforcement postural et séances en piscine. Nous faisons par ailleurs une lettre d'indication à une hospitalisation en cure thermale, pour physiothérapie intensive en piscine. Ce courrier sera adressé à Mr. Y qu'il soumettra à son assurance. Pour la suite, nous prévoyons de revoir Mr. Y dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. Le bilan radiologique est rassurant, mais au vu de la symptomatologie, nous organisons une arthro-IRM du poignet droit de Mme. Y à la recherche d'une éventuelle lésion du ligament scapho-lunaire ou autre lésion ligamentaire. Nous reverrons Mme. Y à la suite de cet examen. Le bilan radiologique est satisfaisant. Concernant l'épaule, poursuite du gilet orthopédique. Nous enseignons à Mme. Y la mobilisation du poignet et du coude qu'elle peut faire hors de l'attelle. Nous la reverrons dans 3 semaines pour un contrôle radio-clinique. À ce moment-là, nous débuterons la physiothérapie si la fracture n'est pas déplacée. Le bilan radiologique est satisfaisant. Mise en place d'une attelle thermo-formée immobilisant le pouce de type pouce du skieur. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 semaines. Le bilan radiologique et biologique permet d'écarter les diagnostics de pneumonie, ou de surinfection bactérienne pulmonaire. Nous retenons le diagnostic de grippe saisonnière, et prescrivons un traitement symptomatique. Mme. Y a reçu l'instruction de reconsulter en cas d'évolution défavorable. Le bilan radiologique et clinique pose la suspicion des diagnostics susmentionnés. Nous donnons une attelle Jeans 0° et de la Clexane à Mr. Y, il arrive à marcher en sécurité sans canne. En cas d'aggravation des douleurs dans les prochains jours, il reconsultera. Nous posons un gilet orthopédique à gauche. Contrôle orthopédique avec le chef-de-clinique d'orthopédiste dans 1 semaine. Le bilan radiologique et l'IRM confirment la coxarthrose centrale plus prononcée à gauche qu'à droite, mais également un canal lombaire étroit sur spondylarthrose multi-étagée, sans mise en évidence d'un vrai conflit radiculaire potentiellement au niveau L5-S1 à gauche. J'ai discuté des différentes options avec Mme. Y. Vu son âge et le fait qu'elle est actuellement plutôt asymptomatique, je ne pose pas d'indication opératoire. Mme. Y me recontactera en cas de péjoration des douleurs. Dans un premier temps, nous pourrions alors commencer par une infiltration neuroforaminale de la colonne lombaire, particulièrement au niveau L5-S1 gauche. Pas de contrôle prévu d'emblée à ma consultation. Mme. Y me recontactera en cas de besoin. Le bilan radiologique et scannographique ne montre pas de lésion traumatique. Nous proposons dès lors à Mr. Y un traitement symptomatique et une suite de prise en charge par le médecin traitant avec proposition d'une IRM en cas de persistance des douleurs. Le bilan radiologique met en évidence une endofuite sur la prothèse aorto-bi-iliaque posée en 2004. Mr. Y présente une insuffisance rénale aiguë, mais un CT-scan injecté est nécessaire pour le diagnostic de l'endofuite. Une intervention chirurgicale est nécessaire. Le médecin de garde en chirurgie vasculaire de l'HFR Fribourg refuse le transfert de ce patient, estimant Mr. Y inopérable. Le CHUV accepte le transfert de Mr. Y (Dr. X) et Mr. Y part en ambulance pour le CHUV. Le bilan radiologique montre un retard net de consolidation chez cette patiente paraplégique et fumeuse. Nous programmons donc des séances de physiothérapie avec thérapie par ondes de choc dans le but de stimuler le foyer fracturaire, les transferts peuvent être effectués en charge libre. Pour des raisons de pratique (patiente qui habite au Schoenberg et qui est à mobilité réduite), une suite de prise en charge au HFR de Tavel est souhaitée par Mme. Y. Elle prendra contact avec le secrétariat du Dr. X qu'elle connaît déjà, afin de savoir si la prise en charge de cette pathologie peut être effectuée à sa consultation. Dans le cas contraire, le prochain rendez-vous sera à 3 mois pour un contrôle radio-clinique. Le bilan radiologique montre une fracture d'arrachement au niveau de la base de la phalange proximale du 5ème doigt de la main droite, nous mettons en place une attelle prenant les métacarpes en intrinsèque pour un total de 4 semaines, anti-inflammatoires et anti-douleurs. Un contrôle sera fait en policlinique à 1 semaine de distance. Le bilan radiologique montre une fracture Weber B de la malléole externe gauche. Nous mettons en place une immobilisation par attelle jambière postérieure et prophylaxie par Clexane 40mg 1x/soir sous-cutanée. Une indication quant à une prise en charge chirurgicale pourrait être envisagée, versus traitement conservateur. Mme. Y rentre au Portugal mardi 22.01.2019 et consultera un orthopédiste sur place pour suite de la prise en charge. Le bilan radiologique ne met pas de pathologie en évidence, mais Mme. Y a de très grandes douleurs, raison pour laquelle nous organisons un CT-scan afin d'exclure une possible fracture de l'épicondyle latéral ou de la tête radiale non visible sur les radios. Prochain contrôle clinique à la suite de cet examen. D'ici là, poursuite de l'immobilisation par écharpe. Le bilan radiologique ne met pas en évidence de fracture ou d'épanchement. Nous retenons une entorse du ligament latéro-interne du genou gauche de stade I, que nous traitons avec protocole RICE, bandage et antalgie. Une consultation de contrôle clinique sera réalisée chez le médecin traitant à 5 jours de distance.Le bilan radiologique ne met pas en évidence de signe de fracture ou d'épanchement. Nous retenons une entorse du ligament latéro-interne de stade I, que nous traitons avec protocole RICE, bandage et relais par genouillère que la patiente a à domicile, antalgie et AINS. Un contrôle sera réalisé en policlinique à 5 jours de distance. Le bilan radiologique ne montre pas de fracture, hormis un probable cortical défect péronier supérieur décrit sur la radiographie du genou en 2016. Nous retenons une suspicion d'entorse du ligament latéral interne du genou gauche. Nous mettons en place une attelle Jeans avec marche en charge selon les douleurs avec l'aide de cannes anglaises, et une prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg sous-cutanée 1x/24 heures. La patiente peut regagner son domicile le jour même et sera vue à la consultation du Dr. X à une semaine. Le bilan radiologique ne montre pas de signe de fracture. Nous retenons une contusion, un traitement symptomatique est mis en place, protocole RICE et antalgiques. Le bilan radiologique permet d'écarter une atteinte osseuse. Après anesthésie en bague, les plaies sont explorées sans retrouver d'atteinte de structures nobles. La plaie de l'annulaire est suturée. Un essai de pansement occlusif est réalisé pour la pulpe de l'auriculaire, mais un saignement actif à bas bruit remplit trop rapidement le pansement qui se décolle. Nous décidons alors de réaliser un pansement sec, et le patient reviendra en filière des urgences ambulatoires le 19.01 pour la confection d'un pansement occlusif avec un contrôle de plaie après. Le bilan radiologique révèle une fracture non déplacée de l'extrémité distale du radius à gauche, pour laquelle un traitement conservateur est décidé. La patiente bénéficie d'une immobilisation par plâtre antébrachial fendu. Le contrôle radiologique post-plâtre est sans particularité. La patiente sera revue dans 1 semaine en policlinique d'orthopédie pour contrôle radio-clinique et circularisation du plâtre. Le bilan retient une fracture de la malléole externe gauche pour laquelle nous retenons une indication opératoire. Nous mettons en place une attelle jambière postérieure et la patiente reviendra le lendemain à la filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinique et pour discuter à ce moment-là d'une opération, le jour même ou à distance, dépendant du statut local. Nous encourageons la patiente à maintenir son membre inférieur gauche en surélévation d'ici là. Elle sera à jeun dès minuit. Le bilan sanguin met en évidence une alcoolémie à 1.6 pour mille. La surveillance aux urgences reste sans particularité. La patiente est hospitalisée à Marsens sous PAFA. Le bilan sanguin montre une bonne fonction rénale, pas de trouble ionique, CRP à 8 mg/l sans leucocytose. Les troponines à H0, H1 et H3 sont à 111, 113 et 104 ng/l. L'ECG montre des extrasystoles ventriculaires, avec un aspect de BBG incomplet. Lors du séjour aux urgences, le patient reste toujours asymptomatique. Nous prenons l'avis du cardiologue de garde, le Dr. X, qui nous conseille un retour à domicile avec la coronarographie de contrôle déjà prévue le 16.01.2019. De plus, vu les bonnes tensions, un patch de Nitroderm 5 mg est conseillé, avec un contrôle clinique chez le médecin traitant lundi 07.01.2019. Enfin, le Dr. X nous demande de prévenir le patient qu'en cas d'aggravation de l'intensité de ces douleurs ou d'augmentation de la fréquence de ces douleurs, il devra reconsulter directement l'hôpital cantonal. Le patient quitte les urgences asymptomatique. Le bilan sanguin montre une bonne fonction rénale, pas de trouble ionique, un syndrome inflammatoire avec une CRP à 20 mg/l et une leucocytose à 18.6 g/l, une lymphocytose à 65%. Les tests hépatiques sont augmentés. EBV (mononucléose) IgM Test rapide qualitatif est positif. Le streptotest revient positif. Nous mettons le patient sous antibiotique par Co-Amoxicilline comprimés 1 g 2x/24h durant 7 jours inclus en traitant l'angine streptococcique. Nous expliquons au patient qu'en cas de mauvaise évolution y compris une dysphagie importante, une dysphonie ou une dyspnée, il doit rapidement reconsulter les urgences. Concernant la mononucléose infectieuse, il poursuivra son traitement symptomatique. Nous proposons d'effectuer un contrôle clinico-biologique avec les tests hépatiques en Angleterre en début de semaine prochaine à la consultation de son médecin traitant. Le patient rentre le 07.01 en Angleterre. Le bilan sanguin nous permet d'exclure un syndrome coronarien aigu. Au vu de l'amélioration de la clinique de la patiente après le Primperan iv, un traitement symptomatique est installé. Le bilan sanguin nous permet d'exclure un syndrome coronarien aigu. Nous proposons un traitement symptomatique au patient que le patient refuse. Il se sent rassuré de ne pas avoir subi une crise cardiaque. Le bilan sanguin nous permet d'exclure une embolie pulmonaire. Le bilan sanguin nous permet d'exclure un syndrome coronarien aigu et une embolie pulmonaire. Les gênes du patient s'améliorent pendant le séjour aux urgences. Nous recommandons au patient de rediscuter un bilan cardiologique et respiratoire en ambulatoire. Le bilan somatique est normal. L'examen clinique ne parle pas en faveur d'un syndrome confusionnel aigu mais met en évidence quand même des pertes de mémoire et une difficulté à s'exprimer. Nous demandons l'avis du psychiatre de garde qui conseille une hospitalisation vu le contexte social. Le patient accepte l'hospitalisation. Il est transféré en ambulance au RFSM de Marsens. Le caractère des douleurs et leur localisation à l'examen clinique évoquent le conflit péronéo-astragalien comme possible origine des douleurs. Nous organisons donc une infiltration avec un anesthésique local. Nous le reverrons 2 semaines après ce jour pour un contrôle clinique. Le cas est discuté avec le psychiatre de garde. Nous convenons d'une hospitalisation à Marsens en volontaire. Nous proposons un transport en taxi et effectuons un pacte avec la patiente pour qu'elle se rende bien à Marsens. Le contrôle biologique de ce jour montre une diminution de l'atteinte hépatique secondaire à sa mononucléose. Nous prenons contact avec la Dr. X qui propose un suivi ambulatoire à sa consultation. Le service de gastro-entérologie prendra contact avec la patiente pour fixer le rendez-vous. Les motifs de consultation sont expliqués à la patiente. Le contrôle clinique, avec les clichés de 2017, présente un jeune patient avec une instabilité gléno-humérale post-traumatique. Le patient présente également une hyperlaxité. Il rapporte qu'il souhaite faire du foot. Après évaluation globale, nous proposons une prise en charge chirurgicale qui consiste en une AS diagnostique, puis une refixation du Bankart et remplissage de la Hill-Sachs. Possibilité de faire une procédure selon Latarjet qui serait plus agressive. Après discussion des possibilités, le patient est d'accord avec la prise en charge de la refixation de Bankart et remplissage de Hill-Sachs par AS. L'intervention est expliquée à l'aide du consentement éclairé qu'il signe par la suite. Il sera vu ce jour par nos collègues de l'anesthésie et l'intervention est agendée pour le 21.01.2019. Le contrôle clinique concernant l'encrage du tendon bicipital se présente avec une évolution favorable. Concernant ses épaules, nous posons la suspicion pour une atteinte de la coiffe des rotateurs, plus accentuée à droite. En conséquence, nous organisons une IRM pour les deux épaules afin de mieux visualiser les lésions. Nous reverrons le patient suite aux IRM, dans 6 semaines.Le contrôle clinique de ce jour montre une évolution favorable, avec notamment une absence de signe inflammatoire ou infectieux. Nous proposons dès lors de continuer le traitement antalgique anti-inflammatoire et antibiotique comme prévu. Le patient sera revu à la consultation ambulatoire des urgences à 48h. Nous prévoyons également un rendez-vous en orthopédie à 3 semaines au vu de l'arrachement de l'ongle. Le contrôle clinique démontre une bonne évolution avec un coude stable avec une laxité possible d'être compensée. Nous lui prescrivons des séances de physiothérapie pour un meilleur guidage surtout au niveau de la réhabilitation pour renforcement musculaire. Le patient peut reprendre toutes activités de façon progressive selon tolérance. Nous le reverrons dans 3 à 4 mois à notre consultation si nécessaire. Le contrôle clinique démontre une évolution favorable avec déjà une mobilisation active des tendons profond et superficiel compétent. Nous proposons alors désormais d'augmenter la fonction articulaire et la force avec l'aide d'ergothérapie et de physiothérapie. Nous reverrons la patiente pour un contrôle clinique dans 6 mois. Elle travaille à 70% jusqu'à la prochaine consultation. Le contrôle clinique démontre une évolution favorable avec une amélioration de la symptomatique, des mouvements et du gainage de l'épaule surtout en antéversion. Guidage de l'épaule avec des rotations externes et abduction encore difficile mais faisable, atrophie encore de la partie postérieure du deltoïde. Nous proposons au patient de continuer les exercices acquis en physiothérapie. Nous prions la SUVA de réévaluer le patient pour l'admettre à une physiothérapie intensive à la Clinique Romande de réhabilitation à Sion, afin qu'il puisse reprendre son activité professionnelle comme constructeur métallique par la suite étant donné le potentiel présent. Nous reverrons le patient pour un prochain contrôle clinique le 10.04.2019. Poursuite de l'incapacité de travail à 50% jusqu'à la prochaine consultation. Le contrôle clinique démontre une évolution favorable avec une mobilité encore réduite, en conséquence physiothérapie selon San-Antonio, amplitude libre selon douleur et renforcement musculaire. Nous reverrons la patiente pour un contrôle clinique dans 2 à 3 mois à notre consultation. Le contrôle clinique démontre une évolution favorable et comme la patiente démontre déjà en salle de consultation une légère perte d'extension après ablation de l'attelle, nous lui proposons encore de garder celle-ci jour et nuit pour 4 semaines puis de se déshabituer et de l'utiliser alternativement jour ou nuit. Nous reverrons la patiente à notre consultation dans 2 mois. Le contrôle clinique démontre une évolution favorable mais persistance d'une douleur à la mobilisation forcée dans le territoire de l'épicondyle ulnaire. Il présente encore un déficit à l'extension, raison pour laquelle nous proposons de continuer la physiothérapie. Prise d'antalgie et anti-inflammatoire nécessaire. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'à fin février 2019 où nous reverrons le patient à notre consultation. Le contrôle clinique démontre une instabilité complète de la MCP 1, face ulnaire, parlant pour un pouce du skieur. Nous posons l'indication pour une prise en charge chirurgicale consistant en une refixation du ligament collatéral ulnaire. Les risques et bénéfices sont expliqués au patient qui les accepte en signant le formulaire d'information et de consentement. L'intervention est agendée pour le 17.01.2019. Le contrôle clinique montre une évolution favorable avec une amélioration de la symptomatologie. Nous proposons au patient de continuer le traitement conservateur. Nouveau contrôle dans 6 mois. Dans l'intervalle, s'il devait y avoir une péjoration de la symptomatologie, le patient pourra avancer son rendez-vous. Le contrôle clinique montre une évolution lente mais favorable avec une amélioration d'une partie du complexe gléno-huméral claviculaire. Nous expliquons à la patiente qu'elle est sur le bon chemin avec les exercices qu'elle fait tous les jours. Nous lui prescrivons des séances de physiothérapie pour continuer à gagner en amplitudes articulaires. Nous changeons la médication par du Brufen 600 3X jour avec une protection gastrique, Pantozol 20 et en réserve de la Novalgine 4X 500 mg. Nous reverrons la patiente pour un contrôle clinique dans 2 à 3 mois. Le contrôle clinique parle pour un conflit sous-acromial avec une tendinite du sus-épineux. Vu la profession de la patiente, nous lui proposons d'approfondir le diagnostic par une IRM. Poursuite du traitement conservateur. Nous reverrons la patiente pour discuter du résultat de l'IRM et contrôle clinique. Le contrôle clinique présente au niveau du tunnel carpien une évolution favorable avec une légère persistance d'hypoesthésie mais sinon bien évoluée. Concernant le genou gauche, nous proposons d'une part de la physiothérapie pour un renforcement musculaire dans l'axe du quadriceps et avec un relâchement des chaînes postérieures. École à la marche avec la canne qu'elle porte à gauche. Nous souhaitons que l'équipe du Dr. X convoque la patiente à leur consultation pour un contrôle clinique. Le contrôle clinique présente une évolution atteinte avec une épaule encore rigide nécessitant de la physiothérapie à piscine et à domicile. Au niveau de la main droite, nous proposons la mobilisation cicatricielle par ergothérapie à continuer et la désensibilisation avec un soutien médicamenteux par Becozym forte et Benerva. D'autre part, nous reverrons la patiente pour une infiltration du doigt à ressaut du pouce à droite chez nous puis 6 semaines post infiltration. Le contrôle clinique présente une évolution avec une bonne amélioration et un patient qui compense de très bonne manière le déficit du nerf ulnaire au niveau de son pouce. Continuation de la physiothérapie et de l'ergothérapie. Arrêt de travail jusqu'à la prochaine consultation qui aura lieu dans 6 semaines à notre consultation pour un contrôle clinique. Le contrôle clinique présente une évolution favorable à temps. Au niveau du petit nodule palpable symptomatique, l'évolution améliorera cette situation. Au niveau du pouce, nous avons encore un léger flexum mais qui est réductible avec le ligament collatéral ulnaire stable et qui permet la reprise du travail sans restriction. Continuation des exercices acquis et reprise du travail à 100%. Nous reverrons le patient pour un contrôle clinique dans 2 mois. Le contrôle clinique présente une évolution favorable avec une persistance d'amélioration au niveau de la mobilité. La patiente est indolore. Continuation des exercices acquis en physiothérapie pour améliorer l'état de l'épaule en général. Nous reverrons la patiente pour un contrôle clinique dans 3 mois à notre consultation. Le contrôle clinique présente une évolution postopératoire excellente avec une mobilisation complète au niveau du dig V. Le patient est satisfait du résultat. Nous ne prévoyons pas de contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Le contrôle clinique une excellente évolution avec un tendon compétent. Désormais, il est absolument nécessaire de faire de la physiothérapie pour mobilisation cicatricielle et renforcement musculaire. Ergothérapie également encore en suivi. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines, jusque-là arrêt de travail à 100% comme électro-monteur. Le contrôle de la plaie montre une bonne évolution. Un pansement occlusif est remis et la patiente sera revue dans 5 jours en policlinique d'orthopédie. Le contrôle de plaie est sans particularité. Un IRM est agendé pour le 03.01. La patiente a reçu l'instruction de doucher la cavité 3x/jour.Le contrôle montre une bonne évolution clinique des brûlures. Selon l'avis du Dr. X, chirurgien, nouveau contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 31.01.2019 et pansement sur l'hémi-scrotum gauche par Ialugen tous les jours. Le contrôle radioclinique de ce jour montre une évolution favorable chez une patiente retraitée connue pour un parkinson et institutionnalisée à Bulle. Nous proposons la poursuite de la physiothérapie pour renforcement de la coiffe, et maintien voire gain sur les amplitudes articulaires. Nous reverrons la patiente à 1 an post-opératoire pour un contrôle radioclinique à notre consultation en octobre 2019. Le contrôle radioclinique de ce jour présente une excellente évolution avec une bonne croissance et une bonne fusion des noyaux articulaires. Poursuite de toutes les activités sportives comme le patient désire. Plus de contrôle à notre consultation mais restons à disposition si nécessaire. Le contrôle radioclinique démontre une évolution favorable avec diagnostic susmentionné. Nous lui expliquons qu'une mobilisation est désormais absolument nécessaire en physiothérapie active selon douleur surtout au niveau des doigts et du poignet. Nous reverrons le patient pour un contrôle radioclinique dans 6 semaines à notre consultation. L'arrêt de travail continue jusqu'à là à 100%. Prise d'antalgie selon besoin. Le contrôle radioclinique démontre une évolution favorable avec une bonne amélioration de la mobilité comparée à la dernière consultation, il y a 4 mois. Nous prescrivons des séances de physiothérapie car la patiente présente un potentiel de gain au niveau de la mobilisation de son poignet avec une meilleure stabilité de la force. Pas d'ablation de matériel d'ostéosynthèse. Nous reverrons la patiente dans 6 mois. Le contrôle radioclinique démontre une évolution favorable. Concernant l'amyotrophie musculaire, nous lui prescrivons des séances de physiothérapie avec le but de relâchement des chaînes postérieures et renforcement dans l'axe surtout du quadriceps. Également exercices de proprioception. Nous ne prévoyons pas de contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Le contrôle radioclinique démontre une luxation acromio-claviculaire stade 5. Comme le patient est jeune, sportif et pratiquera un travail avec des charges lourdes, ainsi qu'au cliché radiologique une luxation postérieure et au bilan clinique une instabilité acromio-claviculaire antéro-postérieure, nous posons l'indication d'une prise en charge chirurgicale. Nous expliquons au patient l'intervention avec l'aide d'un consentement avec les risques et les gains. La mère et le patient sont d'accord avec la prise en charge. Le patient signe le consentement et sera vu par les anesthésistes. Nous essayons d'organiser l'opération dans les prochains jours. Le contrôle radioclinique est rassurant et comme le patient mentionne une évolution améliorée, nous proposons clairement de continuer avec le traitement conservateur avec physiothérapie selon schéma San-Antonio avec mobilisation complète. Nous lui prescrivons également une cure d'anti-inflammatoire par la suite selon nécessité. Nous reverrons le patient pour un contrôle clinique dans 2 à 3 mois à notre consultation. Le contrôle radioclinique est satisfaisant avec encore une limitation des amplitudes qui peut être améliorée en physiothérapie que nous lui prescrivons ce jour. Nous reverrons la patiente pour un prochain contrôle radioclinique à 1 an post-opératoire. Le contrôle radio-clinique est satisfaisant avec la possibilité de poursuivre le traitement conservateur. Au niveau du TFCC, la patiente ne présente pas d'instabilité, ni de douleur. En général, les douleurs sont en régression. Nous lui prescrivons encore une antalgie par Irfen avec une protection gastrique et de la Novalgine en réserve. Nous reverrons la patiente pour un contrôle radio-clinique le 08.02.2019. D'ici là, la patiente reste à l'arrêt de travail à 100%. Le contrôle radioclinique est satisfaisant avec un patient qui a une mobilité encore restrictive surtout au niveau du poignet. Nous lui prescrivons à nouveau des séances de physiothérapie. Nous l'informons qu'il peut reprendre des activités sportives comme il le souhaite avec une certaine prudence au début. Reprise du travail sans problème à 100%. Nous reverrons le patient pour un contrôle radioclinique dans 4 mois pour le poignet. Comme anti-douleur, nous lui prescrivons du Arthrotec®. Le contrôle radioclinique est satisfaisant avec une patiente désormais adéquate avec ses activités quotidiennes. La patiente ne souhaite plus suivre la physiothérapie et finira encore les séances d'ergothérapie. De notre part, nous reverrons la patiente pour un contrôle radioclinique dans un an post-opératoire. Le contrôle radioclinique montre une évolution favorable sans douleurs. J'explique au patient de reprendre les activités sportives de façon progressive, en commençant par un renforcement musculaire général en évitant les activités avec des chocs axiaux répétés. Le contrôle radioclinique présente un patient avec quasi plus de douleurs, une bonne trophicité musculaire et un bon guidage de l'omoplate et de l'humérus. Les radiographies montrent que le fragment de l'ostéotomie de la coracoïde est en place sans déplacement. Nous prescrivons quand même de la physiothérapie pour améliorer le guidage et le renforcement musculaire surtout au niveau du biceps. Reprise des activités sportives sans restriction. Nous reverrons le patient dans 3 mois. Le contrôle radioclinique présente une évolution à temps avec encore des conditionnements du contrôle du pouce post arthrodèse MCP. Nous prescrivons de la physiothérapie et de l'ergothérapie. Nous reverrons le patient après un contrôle radioclinique dans 6 semaines. Le contrôle radioclinique présente une évolution excellente avec une bonne amélioration des douleurs. Nous lui expliquons qu'il est absolument nécessaire de continuer avec les exercices acquis en physiothérapie pour améliorer les derniers degrés d'amplitude manquants. Nous ne prévoyons plus de contrôle clinique mais restons à disposition en cas de besoin. Le contrôle radioclinique présente une évolution favorable avec encore une arthrose pas complètement guérie. D'une part, nous prescrivons au patient de nouvelles séances de physiothérapie et d'ergothérapie. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. Prise d'antalgies selon besoin, pas d'anti-inflammatoires. Le contrôle radioclinique présente une évolution favorable avec un traitement conservateur possible à continuer. Immobilisation encore pour 7 semaines dans un plâtre scaphoïdien circularisé avec un contrôle par CT et contrôle clinique à notre consultation. Contrôle radiologique au niveau du pied dans 7 semaines. Il portera la semelle rigide 5 semaines puis enlèvera celle-ci de façon autonome. Prise d'antalgie selon besoin. Arrêt de travail à 100% jusqu'à la prochaine consultation. Le contrôle radioclinique présente une évolution favorable avec une fracture guérie et un patient indolore, qui a repris toutes les activités. Nous prévoyons un contrôle clinique un an postopératoire pour voir s'il y a un trouble de croissance qui nécessiterait alors un bilan radiologique. Entre-temps, nous restons à disposition si nécessaire. Le contrôle radioclinique présente une évolution favorable avec une fracture guérie et une bonne mobilisation, néanmoins la perte qu'elle présente aujourd'hui pourrait être récupérée par la suite. Mobilisation libre avec reprise de toutes les activités sportives sans restriction. Nous reverrons la patiente pour un contrôle radioclinique 1 an post-traumatisme pour voir un éventuel trouble de croissance.Le contrôle radioclinique présente une évolution favorable avec une fracture guérie. Pas de signe pour une nécrose de la tête fémorale. Poursuite des exercices acquis en physiothérapie. Prochain contrôle radioclinique 1 an postopératoire. Le contrôle radioclinique présente une évolution favorable avec une patiente peu gênée par la fracture ouverte subite. Elle a repris les activités. Néanmoins, dans le futur, en cas de douleur persistante avec tuméfaction au niveau de l'articulation IPP, il pourrait s'agir d'une arthrose précoce au niveau de cette articulation. Dans ce cas, il sera peut-être nécessaire d'intervenir à nouveau. La patiente nous contactera en cas de besoin. Le contrôle radioclinique présente une évolution favorable. Nous prescrivons une nouvelle série de séances de physiothérapie pour mobilisation active avec des amplitudes libres, charge progressive et schéma selon San Antonio. Nous reverrons le patient pour un contrôle radioclinique dans 6 semaines. Le contrôle radioclinique présente une évolution favorable pour ce type de fracture. Désormais, il sera nécessaire de pouvoir commencer avec la mobilisation des articulations selon douleurs avec un renforcement musculaire et des charges de façon douce et progressive. Nous lui prescrivons également de la physiothérapie pour la piscine. Prochain contrôle radioclinique dans 2 mois. Le contrôle radioclinique présente une évolution tout à fait favorable avec un patient qui peut désormais continuer et augmenter les charges. Poursuite de la physiothérapie. Reprise du travail à partir du 16.01.2019. Nous reverrons le patient dans 3 mois pour un contrôle radioclinique. Le contrôle radioclinique présente une évolution tout à fait favorable avec une bonne guérison. Reprise de toutes les activités sans restriction. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Le contrôle radioclinique présente une évolution tout à fait favorable avec une visible réaction périostale dans les 4 corticales. Bon alignement. Poursuite de l'arrêt de sport ainsi que pour les activités à haut risque de chute, jusqu'à la prochaine consultation. Nous reverrons le patient pour un contrôle radioclinique dans 5 semaines et prévoyons par la suite une éventuelle ablation du matériel d'ostéosynthèse. Le contrôle radioclinique présente une situation stable où un traitement conservateur est possible. Poursuite de la décharge, comme prévu, avec immobilisation dans un VacoPed. Arrêt de travail à 100% jusqu'à la prochaine consultation qui aura lieu dans 5 semaines. Le contrôle radioclinique 3 mois post-opératoire présente une évolution favorable avec diagnostic susmentionné. Plus de contrôle à notre consultation prévu mais nous restons à disposition si nécessaire. Le contrôle radiographique met en évidence la présence d'un cal osseux et l'absence d'un déplacement secondaire. Le contrôle se révèle rassurant, raison pour laquelle la patiente regagne son domicile avec des consignes de reconsulter les urgences en cas de péjoration. Le CT a confirmé que la consolidation osseuse au niveau de l'arthrodèse de TMT 1-2 est en cours. Nous lui prescrivons des ondes de choc afin de stimuler la consolidation. Poursuite de la physiothérapie avec renforcement et des exercices de stabilité. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle radioclinique. Reprise du travail 80% au bureau, avec le moins de déplacements possible, dès le 01.03.2019 jusqu'au prochain contrôle. Le CT effectué aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Le traitement antibiotique est donc débuté aux urgences. Le CT montre une fracture consolidée et les vis ne gênent pas. Nous lui expliquons donc que nous ne recommandons pas d'AMO et nous l'autorisons à prendre son poste dans la sécurité. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Le CT-scan cérébral met en évidence une fracture de la partie postérieure du sinus frontal droit, encombrement liquidien du sinus frontal, pas d'hémosinus, pas de signe d'hémorragie post-traumatique. Selon l'avis ORL du Dr. X, pas de mouchage pendant 2 semaines, Co-Amoxicilline 1 g per os 2 fois par jour pendant 5 jours. Contrôle clinique à la consultation de chirurgien maxillo-facial à l'HFR Fribourg (la patiente sera reconvoquée par le service de chirurgie maxillo-faciale). Sur la radiographie du poignet, nous avons une suspicion de fracture du radius et nous complétons le bilan par un CT-scan du poignet qui confirme le diagnostic de fracture intra-articulaire du radius distal gauche. Nous immobilisons l'avant-bras par un plâtre fendu brachio-antébrachial. Contrôle clinique et radiologique à la consultation du Dr. X, orthopédiste, le 06.02.2019. Le CT-scan cérébral met en évidence les calcifications et la fracture aux niveaux des ligaments entre C1-C2, pour cette raison nous proposons de compléter le bilan par IRM en ambulatoire. Le CT-scan cérébro-cervical montrera une fracture occipitale droite non déplacée avec atteinte du foramen magnum, sans saignement intracrânien, sans lésion cervicale associée. Nous pouvons donc retirer la minerve cervicale. Nous prenons l'avis du neurochirurgien de garde qui propose la réalisation d'un phlebo-CT pour exclure la présence de lésion des sinus veineux. Le phlebo-CT ne montre pas de lésion. Dans ce contexte, nous autorisons le patient à regagner son domicile. Nous l'invitons à reconsulter en cas d'apparition de symptômes neurologiques. Concernant l'hypoacousie, si celle-ci persiste plus de 3 jours, nous invitons le patient à prendre contact avec un ORL pour investigations complémentaires. Le CT-scan confirme la ligne de fracture intra-articulaire. Nous effectuons une réduction et organisons une opération (la patiente signe le consentement et nous marquons le membre). Rendez-vous à l'Hôpital de Jour à 08H30, à jeun depuis minuit. Le CT-Scan du 19.12.2018 montre une consolidation du scaphoïde. Proéminence de la vis proximalement à la moitié de la distance cortico-corticale. Le CT-scan effectué la veille ne montre pas de fracture. Le CT-scan permet d'exclure un saignement intra-cérébral. Le patient présente une amélioration des céphalées suite à l'hydratation IV et Ecofenac 75 mg IV. Il ne présente plus de ralentissement psychomoteur. Statut neurologique dans la norme. Nous le laissons rentrer à domicile avec stimulation à boire et surveillance neurologique par la mère. Le CT-scanner avec scout et reconstruction frontale, sagittale montre sur le côté gauche que la prothèse est bien en place sans aucun signe de descellement, ni d'usure. Ossifications hétérotopiques postérieures et supéro-latérales. En ce qui concerne la hanche droite, il existe un début d'arthrose radiologique avec léger pincement antérieur, kyste dans l'os sous-chondral et petite couronne ostéophytaire autour de la tête. Le scout montre clairement une dégénérescence des 2 segments de la colonne lombaire avec des disques diminués en hauteur et signe de vide avec des spondylophytes partant de L3 jusqu'à S1. Le déplacement est acceptable, raison pour laquelle nous préconisons une circularisation du plâtre avec fenestration pour 3 semaines. Nous la reverrons dans 3 semaines pour un contrôle radioclinique et pour l'ablation du plâtre ainsi que des broches. Le diagnostic de rupture partielle du tendon d'Achille D est mis en évidence par l'US. Nous exposons au patient les deux options thérapeutiques soit traitement chirurgical soit traitement conservateur. Après discussion, nous retenons le traitement conservateur. Nous lui prescrivons de la Clexane pour 6 semaines (facteur de risque tabagique). Nous le reverrons dans 3 semaines pour mettre le Vacoped à 15° de flexion plantaire.Le Dr X, chirurgien de garde, confirme la fissure anale à 6h en position gynécologique. Nous prescrivons de la crème Ialugen. Mr. Y prendra rendez-vous à la consultation du Dr X en cas de récidive. Le Dr X propose à Mr. Y de revenir le lendemain lors de sa consultation proctologique afin d'examiner plus en profondeur le rectum. Consultation le 11.01.2019 en proctologie avec le Dr X. Le laboratoire de ce jour montre des leucocytes dans la norme qui étaient à 12'000 la veille et une baisse importante de la CRP 70 (2'010 la veille). Le traitement par Céfuroxime 500 mg 2x/jour est à poursuivre pour un total de 10 jours. Le laboratoire est dans la norme. Le laboratoire et l'ECG sont dans la norme. Au vu de douleurs oppressives, nous dosons les troponines qui sont d'emblée négatives. Mme. Y note une quasi-disparition des douleurs après 1 g de paracétamol et 1 cp de Brufen. Nous concluons à des douleurs pariétales et la laissons rentrer à domicile avec une antalgie simple. Le laboratoire montre de l'ammonium à 57 (67 en 2012) une cholestase connue (les résultats détaillés sont envoyés en annexe). Le laboratoire montre du calcium à 2.14, des troponines à H0 à 10 ng/L, puis à H1 à 9 ng/L. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer ou de pneumothorax. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire et une uricémie augmentée, et la radiographie montre des fines calcifications intra-articulaires. Compte tenu de la localisation anatomique et du contexte alimentaire et de la prise de thiazidiques, le diagnostic différentiel entre une crise de goutte et de pseudogoutte reste ouvert. Nous soulageons les douleurs par AINS et renvoyons Mr. Y à domicile avec un traitement par AINS pendant 5 jours et du Tramadol en réserve, et l'indication de consulter un rhumatologue en cas de récidives fréquentes. Un dosage de l'uricémie sera à prévoir d'ici 4 semaines, avec début d'un traitement par Allopurinol à long terme et Colchicine prophylactique pendant 6 mois. Le laboratoire montre une baisse des leucocytes avec augmentation de la CRP à 145 mg/l, éventuellement en lien avec un pic tardif de la CRP. L'urotube montre un arthrobacter cumminsii et l'antibiogramme suivra demain. Au vu d'une clinique en nette amélioration, nous poursuivons le traitement antibiotique empirique comme tel et prévoyons de revoir Mme. Y le lendemain pour résultats de l'antibiogramme. Le laboratoire montre une minime leucocytose sans CRP, et la radiographie thoracique ne montre pas de foyer. Nous attribuons l'état fébrile à une virose respiratoire légère. Nous demandons un avis psychiatrique concernant les crises d'angoisse, et après discussion avec Mr. Y, la décision est d'un transfert volontaire à Marsens pour suite de la prise en charge. Départ avec sa famille. Le laboratoire montre une rhabdomyolyse sans atteinte rénale, et le sédiment urinaire une modeste hématurie avec leucocyturie. Compte tenu de l'anamnèse de chute de 3 mètres de hauteur et du statut, nous prenons l'avis du Dr X, chirurgien, qui propose un CT-scan abdominal afin d'exclure une rupture de la rate et costale. Le CT-scan ne montre pas d'anomalie abdominale, costale, thoracique ni au niveau des hanches. Le bilan radiologique ostéo-articulaire de la hanche gauche, du bassin et de l'épaule gauche ne montre pas de fracture ni de luxation. Mme. Y rentre donc à domicile avec un traitement antalgique et AINS, repos fonctionnel et indication de bien s'hydrater per os. Elle reconsultera si apparition de nouveaux symptômes. Le laboratoire ne met pas de syndrome inflammatoire en évidence et le sédiment urinaire est propre. Un test à la fluorescéine ne montre pas d'atteinte de la cornée. Mr. Y peut rentrer à domicile avec des gouttes à la vitamine A, des larmes artificielles et une antalgie. Il verra un ophtalmologue pour un bilan plus poussé. Il est très demandeur d'un arrêt de travail car il se sent fatigué car il n'a pas bien dormi avec ses symptômes. Nous lui en faisons un pour ce jour. Le laboratoire ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire. Mme. Y reste stable et apyrétique, avec un abdomen souple dépressible sans signe d'abdomen aigu. Nous réalisons un ultrason qui ne montre pas de liquide libre dans le Douglas (appendicite non visualisée), probable rupture de kyste folliculaire. Au vu d'une clinique rassurante et diminution des douleurs, nous laissons Mme. Y rentrer à domicile avec un contrôle gynécologique à distance. Le laboratoire revient dans la norme et l'analyse urinaire n'est pas contributive (règles). Nous effectuons un uro-CT à la recherche d'un calcul, qui n'est pas retrouvé, par contre, présence d'une importante congestion vasculaire pelvienne, qui selon la gynécologue de garde n'explique par contre pas les douleurs. La constipation reste donc la cause la plus probable, et Mme. Y peut rentrer à domicile avec un traitement symptomatique et laxatifs. Elle reconsultera en gynécologie aux urgences de Fribourg si réapparition des douleurs (qui entre-temps ont cédé spontanément). Sinon, elle gardera son rendez-vous fin janvier chez son gynécologue. Le laboratoire s'est révélé sans particularité. Nous prenons l'avis du Dr X, psychiatre de garde, qui propose une hospitalisation au RFSM Marsens en mode volontaire. Mme. Y y est amenée par transport interne. Mr. Y a bénéficié de radiographies lors de la consultation initiale et aux contrôles à 1 semaine et à 6 semaines. Elles montrent une bonne évolution de la fracture sans déplacements secondaires. Mr. Y a bénéficié, le 13.12.2018, d'une bursectomie olécrânienne pour bursite inflammatoire du coude gauche. L'intervention et les suites opératoires s'étaient déroulées sans complication, mais Mr. Y revient aux urgences de l'HFR Riaz le 13.01.2019 avec une tuméfaction, une rougeur et une chaleur localisées en regard de la cicatrice. Le bilan biologique révèle une leucocytose sans élévation de la CRP. Il bénéficie d'une ponction ramenant du liquide trouble dont l'examen bactériologique revient positif à un Staphylococcus aureus. Mr. Y reçoit aux urgences une dose de Co-Amoxicilline 2,2 g iv et rentre à domicile avec un relais per os par Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour pour 5 jours. Mr. Y revient en contrôle le 15.01.2019 à la consultation du Dr X, policlinique d'orthopédie, avec une clinique similaire. Un nouveau bilan biologique révèle alors un syndrome inflammatoire avec une CRP à 85 mg/l et une leucocytose à 11,4 G/l. L'indication chirurgicale est retenue et une première intervention est réalisée le 16.01.2019, puis Mr. Y est repris au bloc opératoire le 18.01.2019 pour un second look. Mr. Y bénéficie d'une antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 4 x 2,2 g/jour. Les prélèvements bactériologiques reviennent positifs pour un Staphylococcus aureus, sensible à la Co-Amoxicilline. Les prélèvements effectués lors de la deuxième intervention reviennent négatifs à 2 jours. L'évolution est favorable, les contrôles de plaie ne montrent pas de signe de surinfection, ni d'écoulement. Le membre supérieur gauche est immobilisé dans un pansement écossais dont le port est prévu jusqu'à cicatrisation. Sur le plan biologique, on assiste à une diminution, puis à une disparition du syndrome inflammatoire lors du dernier contrôle le 20.01.2019 (CRP 5 mg/l, leucocytes 6,7 G/l). En raison d'une décompensation diabétique, un consilium diabétologique est effectué durant le séjour et un traitement par Metformine, Januvia et Lantus est instauré, avec bonne réponse. Vu la bonne évolution globale, Mr. Y peut retourner à domicile le 23.01.2019. L'antibiothérapie est relayée per os à raison de Co-Amoxicilline 3 x 1 g/jour, à poursuivre jusqu'au 01.02.2019 inclus.Le patient a besoin de nouvelles semelles au vu de sa croissance avec une pointure et demie de plus depuis le contrôle d'il y a 2 ans. Il reçoit une ordonnance à cet effet. Comme le patient approche de sa majorité, nous proposons un contrôle radio-clinique dans 1 an avec RX en charge du pied D f/p/o. Le patient a déjà bénéficié d'une suture de la coiffe des rotateurs en 2007 par le Dr. X avec, initialement, une bonne évolution post-opératoire, puis péjoration des douleurs par la suite. Mr. Y souffre de douleurs mécaniques, mais également nocturnes. Vu la gêne constante, une IRM est effectuée au mois de mars 2018 montrant une éventuelle lésion du sus-épineux. L'IRM a été répétée au mois d'octobre, non concluante. Vu l'IRM suggestive et la clinique, ainsi que l'anamnèse de douleurs nocturnes, le Dr. X retient l'indication opératoire. L'intervention se déroule sans complication le 08.01.2019, sous antibioprophylaxie par Cefuroxime qui est poursuivie durant 24 heures. Les suites opératoires sont simples, les douleurs étant gérées initialement par un cathéter interscalénique, puis par l'antalgie standard. Un coussin d'abduction est mis en place, que le patient portera durant 6 semaines. Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation passive, la flexion forcée contre résistance et l'extension brusque étant toutefois totalement proscrites. Les cicatrices, contrôlées à travers un pansement Comfeel étanche, sont propres et calmes. Devant la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 16.01.2019. Le patient a des symptômes dans la main qui sont compatibles avec le syndrome du tunnel carpien. Toutes les images des symptômes du patient ne sont pas toutes congruentes avec une seule pathologie. Une étiologie spinale est possible et vu qu'une infiltration est prévue le 28 janvier, on attend le résultat de cette infiltration. Dans le cas de persistance des symptômes dans la main, à la prochaine consultation, il faudrait programmer une intervention chirurgicale. Le patient a été revu à 10 semaines de la fracture pour la dernière consultation. Nous constatons une bonne évolution et le patient bénéficie également de séances de physiothérapie. Face à une évolution favorable, nous concluons à la fin du traitement en policlinique d'orthopédie. Le patient doit cependant encore poursuivre des séances de physiothérapie. Nous l'adressons ensuite chez son médecin traitant afin d'investiguer les œdèmes des membres inférieurs. Le patient a peur d'avoir mal et n'est pas compliant lorsque nous discutons de l'incision. Il est d'accord pour le faire sous MEOPA. La collection est drainée suite à une incision de 0.5 cm. Le patient sera revu en contrôle clinique à la policlinique à 48h. Le patient a reçu une prescription pour des anti-inflammatoires pour une courte durée et surtout, une prescription de physiothérapie pour massages transverses profonds et stretching de l'ECRB. Le patient a reçu l'instruction d'effectuer un contrôle chez son médecin traitant dans 5 jours, pour évaluer son retour au travail. Le patient a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 06.01.2019 au 15.01.2019 avec reprise du travail à 100% dès le 16.01.2019. Le patient a subi une nouvelle distorsion de son ligament collatéral ulnaire en octobre 2018 sur un ligament qui a, vraisemblablement, déjà été traumatisé il y a 10 ans. Un acte chirurgical uniquement pour faire un release de la plaque palmaire pour lui permettre une extension complète au niveau de la MP sans acte chirurgical au niveau du ligament collatéral ulnaire n'est pas indiqué. Un acte chirurgical au niveau du ligament collatéral ulnaire est uniquement indiqué si le patient reste symptomatique dans ses activités professionnelles et de la vie quotidienne. Pour juger de cela, le patient va reprendre ses activités professionnelles cette semaine et nous le reverrons d'ici 3 mois. Le patient a une relative bonne fonction de son épaule droite. Il présente une probable boursite sous-acromiale provoquant ces douleurs à la mobilisation de l'épaule droite. Le patient prenant une antalgie per os depuis plusieurs semaines, nous proposons une infiltration sous-acromiale à droite à visée antalgique et thérapeutique. Nous poursuivons en parallèle les séances de physiothérapie pour antalgie et entretien de la coiffe. Nous reverrons le patient à 6 semaines de l'infiltration. Le patient a 15 ans, ses zones de croissance au niveau des radiographies conventionnelles ne sont pas encore fermées, présageant qu'il va encore continuer sa croissance. Un acte chirurgical pourrait être envisagé à la fin de sa croissance, je pense à une ostéotomie de correction au niveau des 2 métacarpes sur lesquels nous pourrions prélever un coin osseux que nous pourrions insérer dans les 2 os trapezium. Dans le même temps opératoire, nous pourrions effectuer une stabilisation, respectivement, une augmentation des ligaments de la CM 1 selon Brunelli. Nous reverrons le patient dans 6 mois pour juger de l'évolution clinique et de la fin de la croissance. Le patient âgé de 57 ans, en bonne santé habituelle, qui pratique un travail très manuel. Nous posons l'indication d'une prise en charge chirurgicale qui consiste en une refixation par Endobutton du tendon bicipital au niveau de son insertion. Le patient est informé des risques et bénéfices. Il signe le consentement éclairé. L'opération est agendée le 31.01.2019, date qui doit être confirmée par le patient, et le patient sera vu par les anesthésistes. Nous organisons une IRM pour l'épaule D pour approfondir le bilan radiologique. Le patient appellera le secrétariat d'ORL demain afin de fixer rendez-vous. Le patient arrive aux urgences asymptomatique. L'ECG est sans particularité. Nous mettons le patient en surveillance, sans remarquer des anomalies au niveau cardiaque. Le statut, y compris le statut neurologique, est dans la norme. La prise de sang est sans particularité sauf une hyponatriémie à 132mmol/l. Aux urgences, nous suspectons soit une crise d'épilepsie (vu que le patient a crié avant du malaise) soit une syncope vaso-vagale sur l'hyperextension de la tête. Pensant l'observation aux urgences, le patient reste asymptomatique et vu la clinique et la biologie rassurantes, il peut regagner son domicile. Il va reconsulter les urgences si réapparition des symptômes. Le patient arrive aux urgences avec une TA à 101/46mmHg, fébrile à 39.4°C, tachycarde à 107/min. Nous l'hydratons avec un bolus de 500 ml de NaCl. Le patient a pris 1 g de paracétamol à minuit, nous complétons l'antalgie par 1 g de Novalgine et 10 mg de Primperan pour les nausées. Le bilan biologique montre une CRP à 32mg/l sans leucocytose. Les tests hépatiques sont dans la norme. Au vu des lactates à 1.3mmol/l, de la créatinine à 102µmol/l et d'une tension descendant épisodiquement jusqu'en dessous de 90mmHg de systolique, nous pensons à un sepsis sévère. Nous répétons l'hydratation avec 3 autres bolus de 500 ml de NaCl. La tension artérielle remonte jusqu'à 105/64mmHg mais la tachycardie et l'état fébrile perdurent. Des hémocultures et un urotube sont à pister. La clinique évoquant une appendicite comme source infectieuse, nous prenons l'avis chirurgical du Dr. X qui préconise la réalisation d'un CT-scan abdominal et la mise sous Rocéphine 2 g iv et Flagyl 500 mg. Le CT-scan montre une appendice de 14 mm de diamètre et une paroi de 4 mm, rétrocaecale. Pas de perforation, pas de liquide libre. Sur avis du Dr. X qui avertit le Dr. X et l'assistant de garde, nous transférons le patient à l'HFR Fribourg pour prise rapide au bloc opératoire. Départ en ambulance.Le patient arrive aux urgences hémodynamiquement stable. Par précaution, nous instaurons une hydratation de 1000 ml de NaCl 0.9% sur 3 heures. Un laboratoire de contrôle montre un léger syndrome inflammatoire à 14 mg/L de CRP, sans leucocytose associée. La formule sanguine simple est alignée. Une recherche de sang occulte revient négative. Durant sa prise en charge, le patient ne présente pas d'épisode de nausées ou de vomissements et pas de récidive des diarrhées. Nous gardons le patient en observation quelques heures, il ne montre pas de récidive des nausées et des diarrhées. Nous informons la famille qu'elle peut reconsulter en cas de récidive. Nous lui conseillons d'éviter les repas gras pour 1-2 jours. Nous laissons la suite de la prise en charge au médecin traitant. Nous proposons une gastroscopie et coloscopie de contrôle. Le patient rentre à domicile hémodynamiquement stable et en bon état général. Le patient ayant présenté une recrudescence des douleurs paralombaires G, concordant avec une pause de la physiothérapie depuis la fin de l'année, nous prescrivons une nouvelle série de séances. De plus, afin qu'il puisse se déplacer avec un minimum de risques à l'extérieur, nous lui prescrivons une paire de chaussures Kuenzli qu'il portera à l'extérieur. Il peut garder l'attelle Heidelberg pour les déplacements à domicile. Prolongation de l'incapacité de travail à 100% pour 3 mois au minimum, à renouveler. Une demande AI est en cours, ce pourquoi nous établissons un rapport ce jour. En effet, le patient est en incapacité de travail à 100% pour une durée indéterminée et, dans le meilleur des cas, pourra espérer une reconversion à 20-30% dans 2 ans au minimum. Prochain contrôle radio-clinique en fin d'année 2019. Le patient bénéficie de l'ablation des fils qui restent. Pas de déhiscence après l'ablation des fils. Application d'un Sparadrap après nouvelle désinfection, celui-ci pourra être retiré par le patient lui-même demain ou après-demain. L'exanthème mal délimité et les douleurs à la palpation des 2ème et 3ème rayons évoquent un problème infectieux, mais qui est situé distalement à la cicatrice. Il n'y a pas d'effraction du tégument au niveau des orteils ni des espaces interdigitaux. Compte tenu d'une légère suspicion clinique de dermo-hypodermite (sans continuité directe avec la cicatrice), nous réintroduisons un traitement antibiotique par co-amoxicilline per os 1g 2x/j pour 10 jours. Prochain contrôle clinique dans 5 jours. Nous lui expliquons qu'en cas de péjoration de la tuméfaction ou de l'apparition de rougeur, de fièvre, d'écoulement ou d'une déhiscence cicatricielle, il doit immédiatement se présenter aux urgences. Poursuite de la prophylaxie thrombo-embolique. Nous expliquons au patient comment marcher en touchdown afin d'éviter un raccourcissement des ischio-jambiers. Le patient bénéficie de l'intervention susmentionnée, il rentre à domicile le 18.09.2018 après déméchage. Le patient bénéficie de multiples investigations radiologiques et biologiques, qui révèlent les diagnostics sus-cités. Le patient sera recontrôlé en filière des urgences ambulatoires dans 48 heures pour un suivi des CK et de l'hématurie. Il sera revu dans 1 semaine en consultation du Dr. X pour le suivi de la fracture du poignet. Il repart des urgences en marchant. Le patient bénéficie d'un examen clinique orthopédique ciblé aux urgences ne nécessitant pas d'examen radiologique en aigu. Nous proposons un traitement antalgique et un arrêt de travail de 3 jours au patient. Poursuite du suivi chez le médecin traitant. Nous laissons rentrer le patient en bon état général à domicile. Le patient bénéficie d'un statut ciblé aux urgences qui montre une poche liquidienne calme sans signe inflammatoire. Nous diagnostiquons un épanchement post-traumatique. Nous expliquons dans un premier temps au patient que ce genre d'épanchement se résorbe d'eux-mêmes avec un arrêt de sport et du repos. Nous proposons au patient de revenir demain pour effectuer un ultrason, chose qu'il ne juge pas nécessaire après avoir été rassuré. Il est informé qu'il doit reconsulter en cas d'apparition de rougeur, chaleur ou douleur. Nous prescrivons un peu d'Hirudoid crème au patient à mettre sur l'hématome. Nous lui conseillons un contrôle de la situation chez le médecin traitant. Le patient est libre de rentrer à domicile en bon état général. Le patient bénéficie d'une antalgie iv avec bon effet. Un sédiment urinaire montre la présence de sang et l'Uro-CT confirme la présence d'un calcul en uretère distal de 3 x 2 x 2 mm. Nous laissons donc le patient rentrer à domicile avec un traitement conservateur, soit antalgie par Dafalgan, Irfen et Tramal en réserve (que le patient a déjà) et Pradif ainsi que filtration des urines. Il verra son médecin traitant en contrôle la semaine prochaine. Le patient bénéficiera en ambulatoire du changement de sa PEG le 18.02.2019 à 11h30. Le patient a bénéficié de la consultation anesthésiologique pré-interventionnelle lors du séjour. Nous proposons d'effectuer un contrôle électrolytique à 1 semaine et d'adapter les substitutions en fonction. Selon avis dermatologique : stop Elocom et introduction de Nizoral crème 2% 1 à 2x/jour pendant 4 semaines et Nizoral shampoing environ 3x/semaine. Le patient, connu pour un adénocarcinome pulmonaire, se présente le 3.12.2018 après sa chimiothérapie du 27.11.2018 avec un état fébrile et des douleurs abdominales. Une agranulocytose avec jéjunite et bactériémie par E.coli est diagnostiquée par CT thoraco-abdominal et par hémocultures. Le patient est hospitalisé pour un traitement par Cefepime et Metronidazole. Pendant l'épisode de bactériémie, une péjoration de l'insuffisance rénale est notée avec des valeurs de créatinine frôlant les 600, et une urémie à 65. Le patient, avec sa fonction rénale péjorée sur probable nécrose tubulaire aiguë, développe une encéphalopathie urémique, DD médicamenteuse sur accumulation de Cefepime et refuse une dialyse. À ce moment, une discussion prend place entre le patient, à état de vigilance fluctuant, et sa femme en possession de directives anticipées et nous. Nous décidons alors de passer en soins de confort et arrêtons le traitement, en tolérant des glycémies plus hautes que normales. Le patient commence une phase polyurique sur sa décompensation diabétique et améliore sa fonction rénale. Sous les soins de confort, le patient améliore son état lentement et commence à manger et boire, et sa fonction cérébrale s'améliore. À ce moment et après discussion avec la famille et le patient, nous avons recommencé les traitements nécessaires. Le suivi diabétologique est poursuivi et l'insuline continuellement adaptée, la proposition de remettre une pompe en place n'est pas souhaitée à cause de l'état de faiblesse et de la mauvaise compliance du patient. Dans la nuit du 3-4.1.19, Mr. Y chute et se blesse le front en tapant de la tête contre le sol. La plaie frontale est adaptée avec des Steri-strips. La surveillance ne montre pas de troubles neurologiques. Le patient, connu pour un adénocarcinome pulmonaire, se présente le 3.12.2018 pour un état fébrile et des douleurs abdominales suite à une chimiothérapie le 27.11.2018. Nous mettons en évidence une agranulocytose compliquée d'un état fébrile sur une jéjunite et bactériémie à E.coli, le patient est hospitalisé pour un traitement par Cefepime et Metronidazole. L'évolution se complique avec une aggravation AKIN 3 d'une insuffisance rénale chronique dont l'origine est probablement associée à une encéphalopathie possiblement urémique, DD médicamenteuse sur accumulation de Cefepime. En accord avec la volonté du patient (exprimée sur les directives anticipées) et son épouse, nous passons à des soins de confort.L'évolution est lentement favorable avec une nette amélioration de la fonction rénale, la reprise de l'alimentation et l'hydratation spontanées et une amélioration aussi de l'état cognitif. Les traitements arrêtés lors du passage en soins de confort sont réintroduits. Le suivi diabétologique est poursuivi et l'insuline continuellement adaptée, la proposition de remettre une pompe en place n'est pas souhaitée à cause de l'état de faiblesse et de la mauvaise compliance du patient. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Pendant le séjour de reclassement, la nuit du 3-4.1.19 Mr. Y chute et se blesse le front en tapant de la tête contre le sol. La plaie frontale est adaptée avec des Steri-strips. La surveillance ne montre pas de troubles neurologiques. Un transfert n'étant pas possible aux soins palliatifs, un retour à domicile est organisé avec le soutien de Voltigo et des soins à domicile, le patient rentre le 9.1.2019 en compagnie de Mme. Y. Le patient consulte après l'accident au travail. Nous réalisons le test à la fluorescéine qui met en évidence la prise de contraste (un point de 1 mm de diamètre à 4h, pas de corps étranger visible). Nous mettons dans l'œil les gouttes TobraDex + Vitamine A en pommade et un pansement occlusif. Le patient rentre à domicile avec antalgie en réserve. Consultation en ophtalmologie le lendemain. Le patient continuera les changements de pansements régulièrement, tous les 2-3 jours. Prochain contrôle chez le médecin traitant dans 2 jours. Prochain contrôle à 6 semaines de l'intervention. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 13.01.2019. Fin de rinçage de la plaie ainsi que fin d'immobilisation avec une attelle du coude. Nous remercions le médecin traitant pour sa collaboration. Le patient de 20 ans qui est connu pour des douleurs abdominales chroniques, une entérocolite nécrosante sur naissance prématurée à 34 2/7 avec un statut post-résection iléon terminal et stomie puis fermeture de stomie en 1998, un statut post-laparotomie pour adhésiolyse en 2007 avec deux reprises pour iléus sur bride par la suite, s/p iléite traitée par Ciprofloxacine et Flagyl du 20.09 au 26.09.2018, actuellement hospitalisé à Marsens par rapport aux troubles bipolaires, a été adressé aux urgences avec des douleurs abdominales au niveau de l'hypochondre gauche, la fosse iliaque gauche et la fosse iliaque droite (++++) Les dernières selles il y a 5 jours. Pas de fièvre ni frissons. Pas de plaintes urinaires. CV : b1b2 bien frappés, pas de tachycardie, pas de souffle audible. Resp : murmure respiratoire bilatéral et symétrique, pas de bruits surajoutés. Dig : abdomen souple, palpation abdominale douloureuse diffusément, pas de défense ni détente, bruits intestinaux normaux en fréquence et en intensité. TR : selles dans l'ampoule rectale, pas de douleur provoquée. Uro : loges rénales indolores à la percussion. Le bilan biologique montre une perturbation ASAT à 63, ALAT à 131, GGT à 100, CRP à 6, leucocytose à 12,8 (concentration des leucocytes liée à une déshydratation). Le sédiment urinaire revient dans la norme. ASP ne montre pas de signes d'iléus. Vu l'examen clinique et radiologique rassurant, nous réalisons un lavement avec Practomil 1L. Le patient de 22 ans qui est en bonne santé habituellement présente une douleur, un œdème, une rougeur et une chaleur au niveau du 3ème doigt gauche depuis hier, en péjoration ce jour. La radiographie du doigt ne montre pas d'atteintes osseuses. Le bilan biologique met en évidence une leucocytose à 10,5, CRP à 46. US de la main gauche : Patient à jeun. Intervention chirurgicale. Le patient de 59 ans qui est en bonne santé habituellement vient ce jour à la filière des urgences ambulatoires pour ablation des fils. Vu l'examen clinique rassurant, nous faisons l'ablation des fils et le patient rentre à domicile. Le patient de 6 ans est en bonne santé habituellement et présente des douleurs au niveau de la jambe droite depuis la chute en arrière en faisant du ski cet après-midi. La radiographie de la jambe montre une fracture diaphysaire de tibia droit. Nous immobilisons la jambe avec un plâtre fendu cruro-pédieux. Contrôle clinique et radiologique à la consultation du Dr. X le 01.02.2019. Le patient décide de ne plus porter l'attelle en huit. Pas de sport de contact pendant un mois. Nous décidons de la fin du traitement ce jour. Le patient décrit un mécanisme et une anamnèse très suspecte pour une luxation de l'épaule. Dans ce contexte, il est immobilisé dans un gilet orthopédique pour 3 semaines. Il a un examen physique pour entrer à la police dans 1 semaine. Les risques de ne pas immobiliser l'épaule sont expliqués et compris par le patient. Le patient dit ne pas réussir à marcher. Nous essayons de le lever avec deux bandes élastiques et suite à l'application de glace topique. Le patient n'y arrive pas en raison de douleurs. Nous laissons le patient dans le box le temps de voir d'autres patients. 20 minutes plus tard, le patient est debout dans le couloir et demande à partir. Marche testée à ce moment avec lui, il arrive à marcher lentement en chargeant. Il demande des cannes anglaises. Marche en alternant les cannes. Retour à domicile avec des antalgiques simples et contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Le patient doit être revu dans moins d'un mois par son orthopédiste. En l'absence d'argument pour une fracture, nous convenons de ne pas effectuer de radiographie ce jour, mais lui proposons de recontacter son orthopédiste pour un examen à froid et réévaluation de l'indication à une imagerie à ce moment-là. Le patient doit garder le gilet orthopédique jusqu'à 6 semaines post-accident. Nous le reverrons le 04.02.2019 pour un contrôle radio-clinique et évaluer la guérison. Le patient est adressé au RFSM de Marsens sous PAFA, il quitte les urgences de l'HFR Riaz en ambulance. Le patient est amené aux urgences en raison d'une macrohématurie et d'un saignement urétral suite à l'arrachage de la sonde urinaire. Un premier essai de sondage revient infructueux, raison pour laquelle nous demandons l'avis de l'urologue de garde, le Dr. X, qui propose la mise en place d'une sonde béquillée. Mr. Y est gardé pour surveillance en lits d'observation aux urgences. Le lendemain, un ultrason met en évidence une malposition de la sonde avec l'extrémité au niveau de la prostate. La vessie ne comporte pas de calcul, ni d'autres anomalies. Au vu des résultats, la sonde est retirée et une sonde Charrière 16 béquillée, tenue par un filet, est mise en place. Le patient peut retourner au RFSM CSH Marsens le 20.12.2018. Nous vous proposons, ainsi qu'aux différents intervenants dans la prise en charge de Mr. Y, et à la demande de la famille, une réévaluation de son état clinique, la famille s'inquiétant de la péjoration rapide de l'état mental et physique de Mr. Y. Le patient est asymptomatique avec un statut normal. L'ultrason montre une lithiase biliaire, sans signe de cholécystite. Le patient est vu par le Dr. X, chirurgien, qui lui explique sa pathologie. Il peut donc rentrer à domicile avec antalgie simple, indication de reconsulter les urgences en cas de nouvelle crise. Il suivra un régime pauvre en graisses et prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X rapidement pour suite de la prise en charge et discussion d'une opération. Le patient est autorisé à reprendre la rééducation sans restriction avec charge selon douleurs et mobilisation libre. Nous reverrons le patient pour un contrôle clinique dans 6 semaines. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% d'ici-là.Le patient est confortable au repos. Nous le laissons rentrer à domicile. Il reviendra pour un ultrason abdominal le lendemain à 08H00 avec contrôle biologique par la suite. Le patient sera à jeun dès minuit. Il reconsultera sur la nuit si majoration des douleurs. Le patient est demandeur d'une reprise du travail à 100% qui va se faire à partir de la semaine prochaine. Je préconise un arthro-CT pour le 11.6.2019 pour discuter de l'AMO au mois de juillet combinée à une arthrolyse pour gagner en mobilité. Je reverrai le patient le 13.6.2019. Le patient est évalué par le Dr. X, psychiatre de garde. Évaluation par le Dr. X. Il se rend ensuite par ses propres moyens au RFSM Marsens pour hospitalisation en mode volontaire à l'unité Thalassa. Le patient est évalué par le psychiatre de garde. Suite à une discussion avec le psychiatre traitant de Mr. Y, une hospitalisation au RFSM de Marsens est prévue ce soir à l'unité Jasmin. Mr. Y est d'accord. Il est donc transféré à Marsens. Départ en ambulance. Le patient est évalué par les soins intensifs, mais n'est pas transféré dans la nuit du 30 au 31.01.2019 aux soins en raison du manque de place, raison pour laquelle il est surveillé aux urgences. Nous gardons Mr. Y en observation avec contrôle neurologique et suivis de la natrémie aux 3h. Il présente une importante polyurie (5L) avec une amélioration de la natrémie et une bonne évolution du point de vue neurologique, avec un GCS à 15. Lors de l'évaluation clinique à 12h de l'arrivée aux urgences, le patient est orienté et collaborant, présente une légère tuméfaction et plaie de la langue après morsure de langue. Au vu de l'amélioration clinique et biologique parlant probablement en faveur d'une potomanie, nous proposons une hospitalisation en médecine pour suite de prise en charge. Le patient est informé de l'opération, des bénéfices et des risques pour lesquels il signe un consentement éclairé. L'ablation du Spacer et la mise en place d'une prothèse de révision est prévue pour le 13.02.2019. Le patient est informé du risque de cholangite et de nécessité de se présenter chez un médecin si de la fièvre ou des douleurs devaient apparaître. -> contrôle des tests hépatiques dans 7 jours chez le médecin traitant. Suite du traitement par Colestyramine et De-ursil. Consultation en oncologie, le patient est convoqué, avec CT Staging Thoraco-Pelvien. Convocation en chirurgie viscérale au CHUV, convocation suit • les images du CT et de l'IRM sont parvenues aux intervenants du CHUV. Le patient est prié de prendre rendez-vous chez le Dr. X début janvier pour discuter la suite de prise en charge des macrohématuries répétitives. Le patient est rassuré sur l'origine de la lésion, il ne souhaite pas de prise en charge pour l'instant. Je le revois dans 6 mois. Le patient est soulagé par l'antalgie de Buscopan prise à domicile et par 1 g de Paracétamol aux urgences. Un laboratoire montre une bonne fonction rénale et un syndrome inflammatoire avec leucocytes à 12.7 G/l et une CRP à 10 mg/l. Il présente une macrohématurie, le stix montre des leucocytes ++, des nitrites + et du sang ++++. Le sédiment montre des globules rouges incomptables, des leucocytes à 6-10/champs et une flore +++. Le bilan aux urgences est suspect pour une colique néphrétique. Sur avis du Dr. X, chirurgien de garde, nous réalisons un Uro-CT qui met en évidence un calcul de 4.3 mm x 5 mm dans l'urètre moyen gauche sans dilatation du pyélocaliciel. Un traitement par Tamsulosine, AINS et filtration des urines est mis en place. Le patient a comme consigne de ramener le calcul et nous lui expliquons les signes de gravité pour lesquels il devrait reconsulter les urgences. Le patient est stable et il part aux urgences pédiatriques de l'HFR Fribourg. Il y est amené par ses parents. Le patient est surtout gêné par des lombosciatalgies non déficitaires, ne nécessitant donc pas de prise en charge chirurgicale en urgence. Il nous explique avoir assez d'antalgie à domicile et reprendra contact avec son médecin traitant pour suite de la prise en charge. Concernant l'élévation des D-Dimères (14'545 mcg/l sur les documents), en raison de l'absence de suspicion clinique forte d'embolie pulmonaire, nous décidons en premier lieu de répéter le dosage, les D-Dimères reviennent négatives. Dans ce contexte, nous décidons de ne pas pratiquer d'imagerie et laissons le patient rentrer à domicile. À noter que nous avons pris contact avec le laboratoire externe pour signaler cette discordance. Le patient est traité conservativement avec une attelle en extension avec charge selon douleur et antalgie. La plaie du clou demeure calme sans signe inflammatoire ni infectieux, les douleurs sont en diminution avec le traitement conservateur. Vu l'évolution favorable, nous procédons à la fin du traitement. Le patient est transféré dans le service d'ORL pour une endoscopie. Le patient est très au clair sur la marche à suivre, à savoir, maintien des exercices de physiothérapie ainsi que physiothérapie en piscine. Nous maintenons également son arrêt de travail à 50% jusqu'au 31 mars 2019. Le patient sera revu avant ce délai. Le patient est vu par le Dr. X, chirurgien, et nous concluons à une brûlure du 1er degré au niveau de la face dorsale de la main droite. Le patient rentre à domicile avec une application de crème Ialugen tous les jours. Le patient étant très algique, avec une suspicion de fracture épiphysaire du radius distal gauche, nous immobilisons le poignet dans un plâtre antébrachial fendu sur le bord ulnaire. Le patient est confortable dans le plâtre, la radiographie de contrôle est satisfaisante. Nous lui donnons les consignes de surveillance sous le plâtre et de surélévation du membre supérieur gauche. Antalgiques et anti-inflammatoires de réserve. Ablation du plâtre et réévaluation clinique à 1 semaine à la consultation du Dr. X, +/- CT scanner du poignet gauche. Le patient étant très algique, et le statut clinique étant en faveur d'une contusion de la face dorsale des cunéiformes tout en ne pouvant pas exclure une lésion de Lisfranc, nous immobilisons le patient dans une attelle jambière postérieure avec anticoagulation prophylactique et consigne de décharge du membre inférieur gauche à l'aide de cannes, repos et surélévation du membre inférieur gauche. Le patient sera revu à 1 semaine en policlinique d'orthopédie pour réévaluation clinique. Consignes de surveillance dans l'attelle données au patient. Le patient évolue favorablement au niveau clinique et au niveau fonctionnel. Il rapporte être resté efficace sur son lieu de travail (à noter qu'il travaille en atelier). Nous proposons pour la suite une poursuite des exercices de renforcement à la maison, et nous le reverrons pour un contrôle radioclinique dans 6 mois. Le patient évolue favorablement sous traitement physiothérapeutique. Néanmoins, au vu de la progression de ses douleurs et du Tinel fibulaire positif, nous organisons un ENMG du MI D au Neurocentre à la recherche d'une compression du trajet du SPE et le reverrons à la suite de cet examen. Dans l'intervalle, poursuite de la physiothérapie et prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'en juin. Le patient évolue favorablement suite à l'intervention susmentionnée. Nous préconisons une reprise du travail à 70% dès demain jusqu'au 31.01.2019 puis à 100%. Mr. Y nous rapporte qu'il lui avait été recommandé en France de ne pas garder le matériel plus d'un an, ce que nous confirmons. Nous planifions donc une ablation de ce matériel d'ostéosynthèse en ambulatoire, au mois d'avril selon ses préférences.Il est clairement informé des risques, des bénéfices et du déroulement de l'intervention et nous donne son accord. Le formulaire de consentement éclairé est rempli en sa présence et lui est remis pour réflexion et signature. Une date opératoire est fixée au 20.04.2019. Le set universel de Medtronic pour ablation des vis est commandé à cet effet. Le patient glisse sur une plaque de glace et est amené aux urgences avec des douleurs et une déformation au tiers inférieur de la jambe gauche. A l'examen, sensibilité conservée, pouls périphériques palpés. Le bilan radio-clinique permet de poser le diagnostic et l'indication opératoire. L'intervention se déroule sans complication le 19.01.2019. Les suites post-opératoires sont simples, sous une antalgie efficace. Le suivi montre une plaie calme, le contrôle radiologique est en ordre et l'hémoglobine est stable (128 g/l le 24.01.2019). Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation en décharge du membre inférieur gauche, sous protection de cannes anglaises. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour a été instaurée et sera poursuivie durant 6 semaines post-opératoires. Vu la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 24.01.2019. Le patient montre une bonne évolution au niveau de la mobilité, nous lui proposons de commencer un renforcement musculaire intense avec un entraînement médicalement assisté. Le patient commencera une réorientation professionnelle avec l'AI dès que possible. Actuellement, en tant que menuisier, il reste en arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle clinique dans 2 mois. Le patient montre une évolution clinique favorable. Nous lui proposons dès lors une suite de prise en charge chez son médecin traitant avec ablation des fils à J10 puis ablation du point type cadre sur l'ongle à 3 semaines. Le service d'orthopédie reste à disposition en cas de questions. Le patient n'a aucune plainte et l'examen neurologique est rassurant. Nous désinfectons la plaie, réalisons un pansement et laissons l'enfant regagner son domicile. Nous conseillons à la mère de surveiller l'enfant selon les consignes de surveillance des traumatismes crâniens mineurs et de consulter le médecin traitant pour réévaluation de la dermabrasion. Le patient n'a pas encore récupéré la totalité de sa mobilité. Il existe un déficit de flexion d'environ 15-20° comparé au côté opposé (actuellement 120° de flexion). Il souhaiterait poursuivre la physiothérapie afin d'atteindre une meilleure flexion. Une prescription de 9 séances lui est remise. Une réévaluation clinique est prévue d'ici 3 mois (13.3.19). Reprise de travail à 100% dès le 01.01.2019. Le patient n'arrivant pas à charger sur son pied gauche, nous proposons un traitement par attelle postérieure plâtrée avec décharge complète. Radiographie de contrôle du plâtre satisfaisante. Prophylaxie anti-thrombotique donnée. Il sera suivi par la Dresse X à sa consultation orthopédique. Le patient n'ayant pas bénéficié de traitement conservateur hormis l'antalgie par Nisulid, nous prescrivons une série de séances de physiothérapie pour stretching de la musculature abdominale et hygiène posturale. Nous reverrons le patient dans 3 à 4 mois pour faire le point. En cas d'échec, une éventuelle infiltration pourra être discutée. Le patient ne note pas d'élément nouveau dans sa crise et nous ne notons pas de critère d'urgence lors de sa surveillance aux urgences. Nous proposons aux parents de contacter le neurologue dès demain. Prochain contrôle prévu dans deux semaines. Le patient ne présente pas de fracture à la radiographie de l'épaule et les douleurs s'atténuent avec la prise de Dafalgan et de Sirdalud et la mobilisation devenant bien plus facile. Par rapport à l'hypertension qui était présente à l'entrée avec des valeurs au-dessus de 190/100 mmHg, symétrique, nous décidons d'une simple surveillance et la tension se normalise au fur et à mesure. A son départ des urgences, la tension est de 158/95 mmHg, nous vous laissons le soin de recontrôler les valeurs en ambulatoire et d'adapter le traitement si besoin. Le patient ne présente plus aucune plainte. Fin du traitement chez moi. Je me tiens toutefois à disposition. Le patient ne souffre pas assez pour vouloir une infiltration. Je propose de poursuivre le traitement conservateur avec de bonnes chances de réussites. Physiothérapie programme San Antonio. Terra band à domicile et reprise progressive des activités sportives avec des anti-inflammatoires en réserve. Prochain contrôle dans 2 mois. Il me montre des lésions eczémateuses sur la face dorsale des IPP, celles-ci sortent facilement après un coup de stress. Je proposerai un bilan dermatologique. Il se plaint en outre de tendinites à répétition au niveau des tendons d'Achille et de l'épaule, je pense qu'un bilan glycémique, lipidique et calcium parathormone serait indiqué. Je prie le médecin traitant de faire le nécessaire. Le patient ne souhaite pas se faire opérer en hiver, il désire plutôt planifier l'opération autour de Pâques. Nous allons donc planifier cela en fonction des disponibilités soit du Professeur X, soit du Professeur X et convoquerons le patient en conséquence. Le patient n'est pas demandeur pour une ablation de matériel étant donné l'absence de gêne au quotidien. Nous ne proposons pas donc d'ablation du matériel d'ostéosynthèse. Pas de nouveau contrôle prévu, mais nous restons à disposition. Le patient nous informe avoir organisé avec son médecin traitant une hospitalisation à Riaz pour une réadaptation alimentaire et prise en charge pour une réhabilitation pour laquelle nous donnons un avis favorable. Nous prions le médecin traitant d'évaluer la possibilité de débuter l'intégration alimentaire avec des produits comme par exemple Ressources Protéines ou autres produits similaires. A notre avis, le patient peut se déplacer d'une façon libre mais il serait raisonnable d'utiliser un rollator lors de déplacement hors de la maison. Nous allons discuter avec le PD Dr. X de la possibilité de réaliser une infiltration facettaire L3-L4 à droite où le patient a plus de douleurs qui sera éventuellement organisée à Riaz. Le patient nous recontacte. Le patient peine à réaliser le peak flow en raison de douleurs bronchiques à l'expiration forcée, mais il est cliniquement amélioré par les aérosols. Nous le laissons rentrer à domicile avec un traitement symptomatique. Le patient peut reprendre gentiment toutes les activités physiques. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Le patient peut reprendre graduellement toutes les activités sans restriction, également les impacts qui impliquent la compétence de jouer des matchs. Il ne va toutefois pas jouer les matchs de ce week-end mais reprendre d'abord l'entraînement tous les jours (un tiers à une moitié) pour permettre au genou de reprendre une fonction sportive. Poursuite de la physiothérapie pour renforcement musculaire. Prochain contrôle en mars. Le patient peut reprendre son activité professionnelle à 50% dès le 01.02.2019 et à 100% dès le 15.03.2019. De plus, nous avons expliqué de façon détaillée au patient les activités sportives et professionnelles pour lesquelles il devra faire attention durant toute sa vie puisque le spondylolisthésis L5-S1 dû à la lyse isthmique L5 peut présenter une aggravation durant les prochaines années de vie. Le patient poursuivra des exercices à domicile et à son fitness pour renforcement de la musculature de son bras droit. Il reprendra son activité professionnelle à 100% dès le lundi 14.01.2019, sans charge pendant 1 mois, puis avec charge normale dans les deux bras. Prochain contrôle clinique le 10.04.2019.Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X, cardiologue. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour suite de la prise en charge. Le patient prendra rendez-vous à votre consultation pour suivi de l'hémoglobine. Le patient prendra rendez-vous à votre consultation dans 4 à 7 jours pour un contrôle clinico-biologique (tests hépatiques et syndrome inflammatoire). Le patient prendra rendez-vous à votre consultation pour ablation des fils et contrôle clinique le 26.01.2019. Le patient prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle. Le patient prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle à la fin de l'antibiothérapie, à savoir une semaine après l'hospitalisation. Nous vous laissons le soin d'organiser une coloscopie d'ici 2 à 3 mois afin de compléter l'examen précédent et obtenir une meilleure visualisation du caecum. Le patient prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et ablation des fils dès J10. Le patient présente des douleurs d'origine pariétale, qui sont reproductibles à la palpation. L'ECG montre des signes d'hypertrophie ventriculaire, avec cliniquement des tensions artérielles élevées lors de son séjour aux urgences. Nous organisons dès lors une consultation cardiologique pour une échographie et nous proposons au médecin traitant de réaliser une MAPA pour bilancer cette hypertrophie. Le patient présente des douleurs suite au soulèvement d'une charge lourde au niveau de l'épaule gauche. Les radiographies et l'examen clinique sont rassurants. Nous lui proposons dès lors un traitement anti-inflammatoire d'épreuve et une réévaluation chez le médecin traitant dans une semaine pour l'indication à une IRM si suspicion d'une lésion de la coiffe. Le patient présente des frissons à l'arrivée dans le box des urgences, avec température auriculaire à 37,9°C, raison pour laquelle nous demandons des hémocultures. Le patient étant rassuré, nous observons une diminution des tremblements, ainsi qu'un passage à un rythme cardiaque régulier inférieur à 100 bpm. Le contrôle biologique étant rassurant, nous autorisons le patient à regagner son domicile. Nous lui mettons à disposition 1mg de Temesta Expidet en réserve en cas de réapparition des palpitations et de l'anxiété. Il est invité à se représenter aux urgences en cas d'apparition de symptômes nouveaux tels que des douleurs rétrosternales. Le patient présente des iléus à répétition sur une sténose du grêle dans un contexte de maladie de Crohn. Le scanner confirme une récidive. Lors de sa surveillance aux urgences, il montre une évolution clinique favorable, et reprend un transit. Dans ce contexte, et vu une consultation prévue demain chez le Dr. X, le patient peut rentrer avec un traitement symptomatique. Les consignes de reconsultation lui sont expliquées. Le patient présente des symptômes persistants 6 semaines après l'infiltration qui malgré tout l'a beaucoup aidé. A l'examen clinique, on voit bien que le patient évite d'activer son sus-épineux, ce qui provoque probablement l'inflammation suite à une compression chronique au même endroit. Nous proposons donc de reprendre la physiothérapie pour éviter ces mouvements de déviation et réapprendre à utiliser ses muscles de manière correcte. On effectue également une IRM pour recontrôler l'état du sus-épineux. Prochain contrôle dans 6 à 8 semaines après l'IRM. Le patient présente des troubles sensitifs post-opératoires sur allodynie cicatricielle. Dans ce contexte, nous allons orienter le traitement avec des séances d'ergothérapie à visée de programme d'imagerie motrice et désensibilisation. En parallèle, nous prescrivons une médication neuro-modélatrice par Lyrica 75 mg 2x/j. Le patient est averti des risques à la conduite sous cette médication. Poursuite des auto-exercices. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Le patient présente des troubles statiques avec une tendance à se voûter. Nous lui prescrivons une nouvelle série de séances de physiothérapie pour stretching de la musculature abdominale sans renforcement de la musculature rachidienne. Nous prévoyons de revoir le patient dans 6 mois. Nous ne proposons pas d'autre geste pour le moment. Le patient présente une première luxation de son épaule gauche non dominante le 12.01.2019 lors d'une chute à ski. La luxation est réduite en Valais et Mr. Y est adressé à la consultation du Dr. X pour prise en charge. La radiographie fait suspecter une lésion Hill Sachs suffisamment grande avec une fracture pluri-fragmentaire du trochiter. Le bilan par scanner met en évidence une grande lésion Hill Sachs d'environ 20% de la tête humérale sur la coupe axiale du scanner. On trouve un petit fragment de Bankart de la glène antéro-inférieure. Vu la combinaison de ces lésions, le Dr. X retient l'indication à une désimpaction de la lésion Hill Sachs avec stabilisation du bourrelet glénoïdien. L'intervention et ses suites se déroulent sans complications, avec des douleurs bien contrôlées initialement par cathéter interscalénique, puis par l'antalgie standard. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Un gilet orthopédique est en place pour une durée de 6 semaines. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation passive en abduction-élévation 90°, rotation interne sur le ventre, rotation externe 10°. L'abduction et la rotation externe combinées sont proscrites. Devant la bonne évolution radio-clinique, Mr. Y peut retourner à domicile le 21.01.2019. Le patient présente encore des inflammations des tendons au niveau des extenseurs, prescription d'ergothérapie et de physiothérapie. Le patient se plaint également de douleurs au niveau de son pouce, sur les clichés radiologiques, nous ne mettons pas en évidence d'arthrose au niveau de la CMC 1. Prochain contrôle clinique le 15.04.2019, le patient ne nécessite pas d'incapacité de travail. Le patient présente encore une hypoesthésie avec une suspicion d'une formation d'un névrome. Nous proposons alors une application topique avec des Neurodol patch et une poursuite des séances d'ergothérapie. Nous reverrons le patient dans 3 mois pour un contrôle clinique. Le patient présente plutôt une suspicion d'une lésion du TFCC, que nous décidons d'évaluer cliniquement dans 2 semaines. Dans ce contexte, poursuite de l'immobilisation par plâtre BAB pour 2 semaines supplémentaires. Prochain contrôle clinique hors plâtre dans 2 semaines. Le patient présente toujours des douleurs, et lors du contrôle aux urgences, les collègues de l'orthopédie avaient proposé une IRM pour suite du bilan en cas de persistance des douleurs. L'enfant n'a pas de signe pathologique au niveau des hanches. Nous organisons une IRM du genou pour exclure un ménisque discoïde ou une lésion osseuse. A la suite de cet examen, le patient sera revu au team genou pour la suite de la prise en charge.Le patient présente un enraidissement important de l'épaule, ainsi qu'une difficulté importante à l'élévation. Afin d'exclure une lésion de la coiffe, nous organisons une arthro-IRM que le patient effectuera le 31.01.2019. Prescription de physiothérapie active, assistée et passive à débuter le plus rapidement possible. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X à la suite de cet examen. Le patient présente un état confusionnel sur la nuit avec fluctuation : par moment désorienté, oublis par moment des événements précédents et discret ralentissement psychomoteur. Le bilan biologique ne montre pas de trouble électrolytique, la CRP est à 25 mg/l, probablement dans un contexte postopératoire. Le sédiment urinaire est propre. Nous réalisons un CT-scanner cérébral qui montre des lésions séquellaires d'AVC ischémique sylvien droit sans signe d'hémorragie aiguë. Nous gardons le patient sous surveillance et réalisons un examen neurologique à distance de 6h qui est sans particularité par la suite chez un patient orienté aux 3 modes et alerte. Nous notons une spasticité discrète du membre supérieur gauche connue post-AVC. Le bilan revient sans pathologie infectieuse ou neurologique à l'origine de l'épisode. Anamnestiquement, nous notons la prise d'hypnotique environ 1-1h30 avant l'événement. Nous avertissons le patient sur les effets secondaires de ce médicament qu'il est d'accord d'arrêter. Nous le laissons rentrer à domicile, accompagné et en accord avec son épouse. Le patient présente un état de choc septique, avec comme source une entérocolite. Le patient est transféré aux soins pour la prise en charge du sepsis. Le patient présente un foyer clinique en base droite, ainsi qu'un syndrome inflammatoire. Au vu du terrain pulmonaire du patient, nous lui proposons un traitement par antibiotique pour 5 jours. Le patient présente un léger déficit moteur post-opératoire. Il est encore trop tôt pour parler de déficit neurologique à proprement parler. Mr. Y n'a pas encore bénéficié de séances de physiothérapie, ce pourquoi nous lui prescrivons une série de 9 séances pour stimulation musculaire et renforcement. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Si la symptomatologie devait persister, une éventuelle étude de conduction pour le SPE serait à discuter. Le patient présente un petit phlegmon au niveau de la cuisse droite secondaire à l'implantation d'un corps étranger. Ce dernier est incisé sans pour autant que nous puissions retrouver le corps étranger qui est décrit comme millimétrique à l'échographie. Cependant, l'induration palpée lors de l'examen clinique disparaît et le patient sort soulagé. Nous lui proposons un traitement d'antibiotique et anti-inflammatoire pour 5 jours, un contrôle au secteur ambulatoire des urgences à 48h puis une ablation des fils à J10 chez le médecin traitant. En cas de fièvre, de frisson, de rougeur ou de suppuration locale, le patient est averti qu'il doit reconsulter aux urgences. Le patient présente un syndrome grippal d'origine virale. Il rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Le patient présente un traumatisme crânien simple avec une plaie occipitale qui est suturée avec des agrafes. Nous lui déconseillons de reprendre la route en raison de ce traumatisme. Il est averti des risques que cela peut entraîner, il décide cependant contre avis médical de rentrer à Villeneuve avec son camion. Le patient présente une discopathie multi-étagée dégénérative diffuse. Au vu de l'imagerie et du statut clinique, nous ne proposons pas de prise en charge chirurgicale d'emblée. Il avait été lors de la dernière consultation question d'une éventuelle hospitalisation en école du dos. Le patient rapporte une légère amélioration de la symptomatologie, ce pourquoi nous proposons la poursuite des séances de physiothérapie avec notamment renforcement des stratégies posturales et reprise progressive de son activité professionnelle. Nous réduisons donc son incapacité de travail à 50% à partir de la mi-février et ce durant 2 mois. Reprise du travail à 100% dès le 15.04.2019. Prochain contrôle dans 6 mois pour un contrôle clinique. Nous lui conseillons par ailleurs de porter sa ceinture de soutien lombaire au travail. Nous restons à disposition dans l'intervalle en cas de péjoration de la symptomatologie. Le patient présente une entorse de la cheville gauche de grade II, que nous traitons conservativement par attelle Aircast durant 2 semaines en permanence et ensuite uniquement à la mobilisation. Charge avec cannes, et contrôle clinique chez le médecin traitant à 14 jours. Le patient présente une épaule gauche dominante avec une certaine instabilité et d'appréhension surtout pour les mouvements en rotation externe. Il présente également un signe de laxité général. Nous lui proposons de continuer avec les exercices acquis en physiothérapie pour conserver la bonne musculature. Au niveau professionnel, en tant qu'informaticien, il n'y a pas de limite. Au niveau militaire, nous ne recommandons pas le retour au service actif étant donné que le patient présente une instabilité de son épaule gauche avec des mouvements d'appréhension. Il doit éviter les activités sportives à haut risque surtout celles avec des mouvements rotatoires au-delà de l'horizontal. Vu le jeune âge du patient, il y a un risque d'instabilité qui perdure. Le patient présente une évolution en amélioration au niveau des amplitudes et de la force mais on remarque encore une épaule très déséquilibrée, mal guidée, par conséquent nous soutenons absolument le choix de la SUVA que le patient puisse suivre une rééducation intensive pour un profit à long terme. Nous reverrons le patient en mai 2019 à notre consultation. Le patient présente une évolution favorable après traitement antibiotique et réfection régulière du pansement. Le patient présente actuellement uniquement une légère rougeur persistante autour d'une plaie millimétrique, avec un écoulement minimal. Le patient ne prend plus d'antibiotique depuis 1 semaine et ne présente actuellement aucun signe d'infection. Nous nous proposons par conséquent une fin du suivi aux Urgences et recommandons au patient de reconsulter en cas d'apparition de tuméfaction, rougeur ou majoration de l'écoulement. Le patient présente une excellente évolution avec le diagnostic susmentionné. Nous lui prescrivons encore des séances de physiothérapie pour regagner encore le maximum possible des amplitudes articulaires. Prochain contrôle dans 3 mois. Le patient présente une gonarthrose fémoro-tibiale du genou gauche infiltrée le 09.01.2019. Le patient est actuellement très satisfait de l'évolution de sa symptomatologie qui a été nettement améliorée avec l'infiltration. Le patient sera revu dans 3 mois. Prochain rendez-vous : 24.04.2019. Le patient présente une oligo-arthrite d'évolution rapide au niveau des grandes articulations (genou gauche, cheville droite et poignet droit). Le patient ne rapporte pas de fièvre ou de porte d'entrée et est en bon état général. Nous retrouvons cliniquement des signes inflammatoires au niveau des trois articulations, ainsi qu'un souffle aortique non décrit. Le bilan biologique montre une discrète leucocytose à 12, mais une CRP élevée à 294. L'acide urique est également élevé à 453. Le bilan radiologique ne montre pas d'arthrite destructive ni de chondrocalcinose. Nous prenons avis auprès de nos collègues orthopédistes, qui ne proposent pas de ponction articulaire. Devant la suspicion d'oligo-arthrite goutteuse (afébrile, oligo-articulaire, bon état général et facteur de risque), nous proposons un traitement anti-inflammatoire simple et suite chez le médecin traitant. Au cours de sa surveillance, le patient présente une température à 38°C, avec défervescence spontanée. Nous lui expliquons bien les critères menant à une reconsultation aux urgences.Le patient présente une omarthrose symptomatique droite, le gênant dans sa vie quotidienne. Une IRM effectuée en pré-opératoire exclut une atteinte de la coiffe des rotateurs et confirme principalement une omarthrose avec des douleurs du versant huméral. Vu la gêne ressentie par le patient, le Dr. X retient l'indication d'un resurfaçage par une prothèse Affinis short, intervention qui se déroule sans complication le 15.01.2019. Les suites opératoires sont simples, les douleurs sont bien gérées, initialement par cathéter interscalénique, puis par l'antalgie standard. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre. Un gilet orthopédique est en place pour 6 semaines et Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation active assistée en dehors du gilet. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Face à la bonne évolution, Mr. Y peut rentrer à domicile le 19.01.2019. Le patient présente une stabilité de ces troubles sensitifs, mais une aggravation significative de ses douleurs, ce pourquoi il est très demandeur d'un avancement de la date opératoire. Il a déjà lu et signé le consentement éclairé. Le consilium anesthésiologique conclut à une classification ASA II ne contre-indiquant pas l'intervention proposée. Nous n'avons malheureusement pas de disponibilité opératoire pour cette foraminotomie et ablation de kyste avant le 18.02.2019. Nous proposons donc au patient de poursuivre l'antalgie mise en place par son médecin traitant. Nous n'avons malheureusement pas les dosages prescrits par le médecin traitant et lui proposons de reconsulter celui-ci pour qu'il adapte les dosages selon ses prescriptions de base. Le patient présente une suspicion de lésion méniscale datant d'il y a 1 mois, actuellement décompensée. Nous lui proposons dès lors une IRM en ambulatoire suivie d'une consultation en orthopédie team genou. Dans l'attente, nous lui conseillons un traitement anti-inflammatoire, du repos et de la glace. Le patient rapporte de faibles épisodes de vertiges et de céphalées, mais se sent surtout angoissé par le contexte familial avec plusieurs décès de problèmes cardiaques ainsi qu'un décès de sa belle-soeur suite à une embolisation d'une thrombose veineuse profonde. Le patient dit se sentir stressé par ces décès et voudrait faire des examens complémentaires (CT-scan, ECG, laboratoire, ...) afin d'être rassuré par sa situation. Après discussion avec le patient de ses angoisses et au vu d'un examen clinique rassurant, nous conseillons au patient de poursuivre son traitement antibiotique et d'effectuer un suivi chez son médecin traitant afin de discuter de ses angoisses au sujet des décès dans sa famille proche. Le patient reçoit du Midazolam en intranasal 5 mg dans l'ambulance. À son arrivée aux urgences, il n'a aucune plainte et souhaite rentrer. Il est attaché au lit dans un premier temps en raison de son agitation motrice. Il reçoit de l'Haldol 1 mg sc puis Haldol 1 mg iv et finalement Temesta 1 mg iv, ce qui permet de diminuer son agitation motrice et verbale. Pas d'hétéroagressivité aux urgences, mais agressivité verbale. Le bilan somatique permet d'exclure une étiologie somatique à cette agitation et nous organisons un transfert à l'hôpital de Marsens pour suite de prise en charge. La belle-soeur du patient est mise au courant du transfert. À noter qu'une transfusion sanguine pour ce patient est prévue à l'hôpital de Riaz pour le 28.11.2018. Transfert à l'hôpital de Marsens unité Jasmin sous PLAFA, transfert en ambulance. Le patient reçoit du potassium per os aux urgences et l'état clinique du patient s'améliore considérablement après la réhydratation. Le patient reçoit un aérosol d'Atrovent/Ventolin, 2 mg de Tavegyl et 0.5 mg d'adrénaline en intraveineuse avec une nette amélioration de la symptomatologie et la normalisation de l'examen clinique. Le patient reste en surveillance aux urgences pendant 5 h sans renouvellement de la symptomatologie. Il est donc libéré avec l'arrêt du traitement prévu par le dentiste et relais par Clindamycine. Il reçoit aussi une prescription de Xyzal 5 mg pour 5 jours. Il consultera son médecin traitant pour un contrôle. Le patient reçoit un Temesta 1 mg aux urgences. Nous prenons l'avis de la Dr. X qui propose une hospitalisation à l'hôpital de Marsens. Il se rend au RFSM Marsens accompagné de ses proches. Le patient reçoit 5 mg de Xyzal au tri avec quasi disparition de la symptomatologie. Nous le laissons donc rentrer à domicile avec du Xyzal 5 mg 1x/jour pour 5 jours. Nous supposons une réaction sur la Co-Amoxicilline que nous arrêtons et remplaçons par de la Clindamycine 300 mg 4x/jour jusqu'au 18.01.2019. Il verra son médecin traitant pour contrôle. Le patient reconsulte ce matin pour un ultrason du membre inférieur gauche électif. L'examen montre la présence d'une thrombose veineuse profonde. Nous essayons de déterminer anamnestiquement les pistes possibles pour cette thrombose. Il ressort un épisode similaire il y a deux mois et un alitement prolongé dernièrement en raison d'une grippe. S'il s'agit d'une récidive, la durée du traitement peut se voir prolongée. Nous laissons le soin au médecin traitant de poursuivre la prise en charge et en informons le patient également. Nous lui donnons des conseils concernant l'attitude à adopter lors de longs voyages pour prévenir les récidives. Le patient rentre à domicile avec une dose de 1000 mg de co-Amoxicilline en raison de l'heure tardive. Il sera traité par Amoxicilline 375 mg 3 x/j pour 5 jours, Dafalgan 1 g max 4 x/j, Ibuprofen 600 mg max 3 x/j, Angina MCC. Il est mis au courant qu'il est contagieux encore 24 h. Le patient rentre à domicile après avoir été réassuré quant à l'absence de troubles sanguins visibles dans son hémogramme. Le patient rentre à domicile après réhydratation 1 L par NaCl et passage de 1 g de paracétamol. Il sera traité de manière conservatrice par Dafalgan et Motilium. Il reconsultera si persistance des symptômes. Le patient rentre à domicile avec indications à reconsulter si apparition de symptômes nouveaux, et un traitement antalgique pour la contracture musculaire du trapèze. Le patient rentre à domicile avec un antalgie simple après la pose de 4 points de suture. Il consultera lui-même pour retirer les fils à 10 jours. Il est informé des signes d'infection et reconsultera si apparition de ces derniers. 3 jours d'arrêt de travail sur le terrain sont prescrits. Le patient rentre à domicile avec un antalgie simple. Au vu de l'œdème important, nous décidons de ne pas tenter de réaligner les fragments. Le patient rentre à domicile avec un traitement antalgique au vu de l'absence de fracture à la radio. Il sera revu par son médecin traitant pour un contrôle dans environ 7-8 jours. Au vu de l'absence de symptômes respiratoires ou cardiaques, nous vous laissons le soin d'évaluer la prise en charge du souffle cardiaque. Le patient rentre à domicile avec un traitement anti-inflammatoire. Il consultera son médecin traitant pour suite de prise en charge. Au vu du mécanisme de chute et de l'examen clinique difficilement réalisable, nous vous laissons réévaluer s'il y a une atteinte des ménisques. Le patient rentre à domicile avec un traitement contre la rhinite. Il va consulter son ORL pour un contrôle de l'audition plus poussé. Il a pour consigne de se représenter aux urgences de Fribourg en cas de péjoration des troubles de l'audition. Le patient rentre à domicile avec un traitement par application de corticoïdes topiques et crème hydratante.Le patient rentre à domicile avec un traitement par gouttes de vitamine A, antibiothérapie topique, larmes artificielles. Il reconsultera les urgences ophtalmique en cas de persistance des douleurs à l'œil ou péjoration de l'état actuel. Le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique au vu de l'absence de signe de complication aux examens cliniques et parcliniques. Le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique de ce qui semble être une infection virale aspécifique. Il a pour instruction de se représenter à la Permanence en cas de persistance des symptômes ou de péjoration de l'état général. Le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique par dafalgan 1 g max 4 x/j, novalgin 500 mg max 4 x/j, sulmucol 600 mg le matin, bexine sirop 10 ml le soir. Il reconsultera en cas de péjoration des symptômes ou de persistance des symptômes au-delà d'une semaine. Le patient rentre à domicile avec une antalgie simple par Ibuprofen 600 mg 3 x/j. Le patient rentre à domicile avec une antalgie simple par Irfen et Novalgin. Il bénéficie d'un arrêt de travail d'une semaine. Il reconsultera en cas de persistance des douleurs. Le patient rentre à domicile avec une antibiothérapie par Co-Amoxiciline 1 g/j pour 7 jours. Il reprendra contact pour un contrôle à la fin de l'antibiothérapie. Plusieurs naevus suspects ont été observés sur le dos du patient, il demandera à son médecin traitant d'évaluer si une consultation dermatologique est nécessaire. Le patient rentre à domicile en vue de l'absence de signes cliniques indiquant une complication et d'une cinétique d'impact jugée faible. Le patient reste asymptomatique et apyrétique. L'examen clinique montre un abdomen souple et dépressible, indolore à la palpation sans défense ou détente. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire à la baisse. Nous laissons ainsi le patient regagner son domicile avec contrôle chez le médecin traitant à la fin des antibiotiques. Le patient retrouve un état de conscience dans la norme suite à l'administration de Naloxone avec pupilles qui sont ensuite en mydriase et réactives. Le patient nie tout autre consommation hormis l'OH. Notion que son ami avec qui il était ce soir-là prendrait de la cocaïne. Le patient reste en observation aux urgences. Pas de complication. Il ne souhaite pas de prise en charge aux urgences pour son problème d'OH mais explique qu'il va revoir sa psychologue et prendre contact avec le service d'addictologie. Il a deux filles et souhaite se reprendre en main. Nous laissons le patient rentrer avec sa mère. Le patient revient à l'hôpital le 27.12.2018 pour difficulté de gestion de la situation à domicile, malgré une aide 24h/24. La fille du patient décrit des angoisses nocturnes, surtout lorsqu'il fait sombre, avec hyperventilation et confusion. À l'entrée, nous avons un patient somnolent, il n'a pas de dyspnée, ni de nausée. Il rapporte des douleurs au pied, soulagées après le retrait des bas de compression. Il présente une désorientation dans le temps et le lieu. L'anamnèse est difficile, le patient présente des troubles cognitifs importants. Le statut est sans particularité. Des lésions cutanées sont néanmoins visibles au membre inférieur ainsi que des hématomes au niveau des deux membres supérieurs. Devant la gravité de l'état avec une insuffisance rénale terminale et de multiples autres comorbidités, et en accord avec le patient et sa famille, nous décidons de n'entreprendre que des thérapies de confort. Le 01.01.2018, le patient décède des suites de son insuffisance rénale terminale. Le patient s'adressera à son médecin traitant pour la suite du traitement avec rendez-vous le 21.12.2018. Arrêt de travail à 100 % jusqu'au 03.01.2019. Le patient se cardioverse après hydratation IV. Nous retenons une fibrillation auriculaire inaugurale et n'introduisons pas pour l'instant d'anticoagulation au vu du CHA2Ds2VASC à 1, mais laissons le soin au médecin traitant d'organiser un bilan cardiologique en ambulatoire. Nous avons complété le bilan par une TSH, que nous laissons le soin au médecin traitant de pister. À noter 1 croix de sang au stix urinaire, sans signe infectieux. Nous laissons également le soin au médecin traitant de répéter les analyses urinaires à distance. Nous encourageons le patient à reprendre dès que possible son traitement d'Aspirine Cardio et à réévaluer sa consommation de tabac. Le patient se présente après la résolution de symptomatologie de réaction d'origine indéterminée. Nous lui conseillons de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinique si besoin et d'arrêter la prise de Néocitran. Le patient se présente aux urgences en marchant à l'aide de sa canne. Aux urgences, il bénéficie d'un statut qui montre des douleurs à la palpation au niveau des articulations sacro-iliaques. En raison des douleurs lombaires, le patient reçoit aux urgences du Tramal 50 mg sans bonne réponse clinique. Nous majorons le traitement à Oxycontin 5 mg retard 2 x/jour avec Tramal en réserve. Un sédiment de contrôle revient parfaitement propre. En raison d'une bonne réponse au traitement antalgique et du bon état général du patient, nous le laissons rentrer à domicile. Le patient se présente aux urgences le 07.01.2019 suite à un traumatisme du pouce gauche par écrasement entre deux plaques de bois. Le bilan radio-clinique effectué aux urgences permet de poser le diagnostic et l'indication opératoire en urgence. Les suites opératoires sont simples, avec bon contrôle de l'antalgie. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre. L'antibiothérapie intraveineuse par Cefuroxime 3 x 1.5 g/jour est poursuivie durant 24 heures post-opératoires, avec un relais per-os par Cefuroxime 2 x 500 mg/jour à poursuivre jusqu'au 10.01.2019 inclus. Le 08.01.2019, face à la bonne évolution clinique, le patient peut retourner à domicile. Le patient se présente donc pour montrer l'hématome mentionné ci-dessus qu'il a, à son avis, depuis la veille. Il a gardé l'immobilisation en gilet jusqu'à hier, pas de nouveau traumatisme, pas de douleur, pas de fièvre, pas de limitation fonctionnelle. Selon le patient, tuméfaction et douleurs au niveau de l'olécrâne en nette diminution. À l'examen clinique, pas de signe de bursite olécranienne, il y a une tuméfaction résiduelle très légère à la région olécranienne sur une région d'un diamètre de 3 cm, et l'hématome mentionné ci-dessus n'a pas de collection à la palpation, ni d'autre signe de surinfection comme gradient thermique, tuméfaction, douleurs à la palpation. Les examens de laboratoire sont rassurants et confirment la bonne évolution clinique. Nous conseillons un contrôle clinique à la policlinique d'orthopédie lundi ou mardi selon disponibilité et de garder le gilet jusqu'au contrôle à la policlinique. Pour cette raison et vu le métier manuel du patient, nous prolongeons l'arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle. Le patient se présente en raison de douleurs inconstantes au niveau du testicule gauche. Nous retrouvons cliniquement et échographiquement des varices gradées II pouvant expliquer les symptômes que présente le patient. Nous lui proposons un traitement anti-inflammatoire et une suite chez le médecin traitant et éventuellement chez l'urologue traitant en cas de persistance de la plainte. Le patient se présente en raison de douleurs secondaires à la mise en place d'un Rapid rhino au niveau de la narine gauche en raison d'un épistaxis. Les douleurs passent rapidement avec une antalgie simple. Suite comme prévue lors de la dernière consultation en ORL le lendemain pour ablation de la mèche. Le patient se présente en raison d'une tuméfaction douloureuse de sa lèvre supérieure ce matin. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic sus-mentionné. Nous demandons un avis chirurgical au Dr. X qui ne pose pas d'indication à une incision de la lèvre. Un traitement par antibiothérapie est initié et le patient sera revu par son médecin traitant dans 48 heures pour un suivi.Le patient se présente pour des symptômes d'urétrite depuis un jour. Les examens urinaires montrent une leucocyturie. Au vu de l'anamnèse positive pour une relation sexuelle à risque 2 semaines auparavant, nous lui administrons le traitement pour chlamydia et gonocoque. Les cultures et la PCR urinaire seront envoyées au médecin traitant dans 48h avec un dépistage VIH. Le patient se présente pour un contrôle biologique et clinique à la filière des urgences ambulatoires. Nous réalisons un bilan biologique qui ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire. Nous notons une créatininémie à 112µmol/l contre 144umol/l hier. Le patient est par ailleurs stable hémodynamiquement et apyrétique et ne présente pas de symptôme. Il n'a pas eu besoin de l'antalgie prescrite hier. Nous informons le Dr. X, chirurgien, de l'évolution de la situation : pas besoin d'imagerie. Arrêt du filtrage des urines. Il nous confirme que le patient peut rentrer à domicile. Le patient se présente pour un contrôle clinique suite à l'incision d'un abcès la veille. Il note une évolution favorable. Cliniquement, nous retrouvons cependant un léger écoulement purulent. Le fil est donc enlevé et la plaie abondamment rincée avec curetage en profondeur. Nous lui proposons un suivi clinique à 24h. Le patient se présente pour un contrôle clinique suite à sa consultation aux urgences. Au vu de la situation stable, nous demandons un avis au Dr. X, qui connaît le patient et qui propose de continuer le traitement actuel, avec une suite de la prise en charge en début de semaine prochaine chez le médecin traitant. Le patient doit reconsulter en cas de péjoration de la situation. Le patient se présente pour un ulcère probablement traumatique au niveau du moignon de son pied droit. L'examen clinique est rassurant, néanmoins en raison de son diabète, nous proposons un suivi en F34 à 48h pour un contrôle clinique. Le patient sera convoqué à la consultation du Dr. X pour cet ulcère. Dans l'attente, nous lui proposons une décharge complète et les critères de reconsultation sont expliqués au patient. Le patient se rendant en Angleterre dans 2 semaines pour une durée totale de 4 mois, nous concluons à la fin de traitement en policlinique d'orthopédie. Le patient a reçu l'instruction de consulter un orthopédiste en Angleterre dans 3 semaines pour faire un contrôle radiologique et en cas de bonne consolidation, ablation du plâtre et fin de traitement. En cas de non-consolidation radiologique, poursuite de l'immobilisation pour 2 semaines supplémentaires puis nouveau contrôle radiologique. Le patient se rendra chez son médecin traitant à 6 semaines du traumatisme pour ablation de l'attelle Aircast plus ou moins prescription de physiothérapie pour proprioception et renforcement des muscles fibulaires si le médecin traitant le juge nécessaire. Concernant le sport, le patient bénéficie d'un arrêt de sport pour 6 semaines. Il est autorisé à reprendre le sport dès le 01.02.2019. Le patient se sent mieux après avoir reçu de l'Alucol sous ordre médical. Le patient se sent rassuré par les examens effectués aux urgences. Nous lui recommandons de s'hydrater plus et de recouvrer son alimentation habituelle avant l'épisode du mois d'octobre. Nous lui recommandons une meilleure hygiène de sommeil que celle qu'il aurait eue ces derniers mois. Nous ne retenons pas l'indication à installer un traitement par bêtabloquant. Le patient ne souhaite pas de Temesta en réserve. Le patient semble présenter des problèmes dégénératifs lombaires et cervicaux. La situation va être bilantée par IRM, puis je revois le patient le 16.01.2019 afin de discuter de la suite de la prise en charge. • Le patient sera cité par nos collègues radiologues • Suivi de tension artérielle chez le médecin traitant • Contrôle à la consultation de chirurgie vasculaire dans 1 mois • Scanner de contrôle à 1, 3 et 12 mois post-intervention Le patient sera convoqué au plus vite pour une consultation urologique ambulatoire. Le patient sera convoqué en ambulatoire par le Dr. X pour prolonger le jambage D. Le patient sera convoqué en cardiologie pour le résultat Holter et d'ergométrie. Le patient sera convoqué le 13.01 au soir en filière 34 pour suivi clinique, constat d'agression et réfection des pansements. Le patient sera convoqué pour une colonoscopie en ambulatoire. Contrôle clinique et biologique (fonction rénale et électrolytes) à votre cabinet d'ici 2 semaines. Nous proposons au patient de se peser et de noter son poids 3x/semaine et de vous appeler en cas de prise pondérale afin d'adapter le traitement diurétique. Le patient sera reconvoqué par la consultation de pneumologie pour suite de prise en charge. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X pour contrôle et ablation des agrafes le 06.02.2019. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X à 2 semaines post-opératoires pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X à 2 semaines post-opératoires pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X pour ablation du Comfeel et des fils à 2 semaines post-opératoires, puis à la fin de la 3ème semaine post-opératoire pour confection d'une botte de marche. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique jusqu'au 21.02.2019. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Le patient sera revu à votre consultation pour ablation du Comfeel et des steristrips à 2 semaines post-opératoires. En cas de perte d'étanchéité du Comfeel, il devra être remplacé par un pansement standard. En outre, étant donné l'utilisation de matériel résorbable, une ablation de fils ne sera pas nécessaire. Un contrôle est prévu à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Le patient sera revu à 1 an postopératoire pour discuter d'une éventuelle ablation de la plaque si celle-ci devait le déranger. Nous restons à disposition dans l'intervalle. Le patient sera revu dans les semaines qui arrivent après avoir réalisé un CT avec schéma lyonnais afin de planifier la stabilisation de la rotule. Le patient sera revu en consultation de contrôle dans 1 semaine chez le Dr. X. Le patient sera revu en consultation ORL le 17.01.2019 à 11h et le 24.01.2019 à 10h45. Physiothérapie vestibulaire par Mr. Y (Centre ITS, Rue des Cerisiers 2, 026 322 62 62) le mardi 15.01.2019 à 15h. Le patient sera revu en ortho-urgences à une semaine, avec une radiographie de contrôle. Le patient sera vu à la consultation du Dr. X. Étant donné les lombosciatalgies chroniques, initiation d'un traitement par corticoïdes avec Dexamethasone en schéma dégressif. Prochain contrôle prévu chez le Dr. X début février. Je reste bien évidemment à disposition en cas de péjoration de la perte de force, incontinence urinaire ou des selles. Le patient s'est fait agresser cette nuit avec un tesson de bouteille sur le haut de la tête, pas de plaie, léger hématome arcade sourcilière gauche ; griffures au couteau au niveau de l'oreille droite, et au niveau occipital à droite. Le patient reviendra pour un constat de coup. Le patient s'est fait heurter à l'épaule droite lors d'un match de foot le 30.10.2018. L'IRM effectuée par la suite met en évidence une rétraction avancée du sus-épineux, sans signe d'omarthrose. Atteinte du sous-épineux avec une rétraction moins importante. Il s'agit sûrement d'une lésion chronique, par contre accentuée, voire complétée par l'accident précédent. Cliniquement, le patient présente une pseudo-paralysie assez marquée avec une abduction globale possible jusqu'à 80°. Vu la mauvaise fonction suite à une rééducation en physiothérapie, le Dr. X retient l'indication opératoire.L'intervention se déroule sans complication le 22.01.2019, les suites opératoires sont simples avec des douleurs bien gérées, initialement par cathéter interscalénique jusqu'au 25.01.2019, puis par l'antalgie standard. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et le laboratoire du 23.01.2019 montre une hémoglobine à 138 g/l, la chimie est normale. Un coussin d'abduction est en place pour une durée de 6 semaines et le patient bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation passive en abduction-élévation 90°, rotation interne sur le ventre et rotation externe libre. Vu la bonne évolution clinique, Mr. Y peut retourner à domicile le 26.01.2019. Le patient souffre clairement d'une coxarthrose. On lui suggère de tenter une thérapie anti-inflammatoire fixe et de songer à l'implantation d'une PTH à droite. Nous ne fixons pas de rendez-vous d'office, mais restons à disposition pour suite de prise en charge. Le patient souffre de cette lésion lors d'une chute au sport. Il présente une clinique assez parlante, avec une instabilité acromio-claviculaire en antéro-postérieur et cranio-caudal assez marquée. Sur l'imagerie pré-opératoire, on trouve le double de distance coraco-claviculaire du côté droit par rapport au côté gauche. Ouverture de l'articulation acromio-claviculaire. Il s'agit donc d'une lésion Tossi III pour laquelle le Dr. X retient l'indication opératoire. L'intervention se déroule sans complication, les suites opératoires sont favorables. L'épaule droite est immobilisée dans un gilet orthopédique, puis par une écharpe. Une physiothérapie de mobilisation passive et active assistée en abduction-élévation de 90° et rotations libres est débutée. La charge axiale est proscrite. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et la cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et sèche. Devant la bonne évolution et sous une antalgie efficace, Mr. Y peut retourner à domicile le 12.09.2018. Le patient souffre de 2 pathologies différentes; discopathie au niveau L5-S1 ainsi qu'un conflit fémoro-acétabulaire de type cam de la hanche droite. En ce qui concerne la colonne lombaire, nous lui prescrivons de la physiothérapie avec école du dos. Afin de compléter le bilan concernant la hanche droite et pour évaluer les dégâts cartilagineux suspectés, nous organisons une Arthro-IRM prévue le 17.01.2019. Prochain contrôle à notre consultation pour discuter des résultats de l'Arthro-IRM le 12.02.2019. Le patient souffre d'ongle incarné du bord latéral de l'hallux à D. Nous discutons avec lui les options, traitement conservateur avec Dakin et Bétadine ou prise en charge chirurgicale avec une excision du bord latéral selon Kocher. Il se décide pour l'intervention. Les risques et les bénéfices lui sont expliqués. Il signe le consentement. Le patient souffre d'une discopathie antérieure à l'accident le plus probablement, ainsi qu'une hernie discale objectivée sur l'IRM avec protrusion sur le canal médullaire sans le comprimer. Nous ne proposons pas d'intervention pour le moment. Le patient peut éventuellement effectuer encore quelques séances de physiothérapie. Nous ne prévoyons pas de contrôle nouveau, mais nous rappelons au patient les signes d'appel devant motiver une nouvelle consultation au sein de notre équipe. Le patient souffre d'une hyperextension au niveau de l'IPP du 2ème et 3ème orteils qui est reliée à une dysbalance du tendon après statut post cure d'orteil en griffe. On discute avec lui et sa maman d'une prise en charge chirurgicale pour corriger ce défaut. Il est prévu de faire un raccourcissement des 2 orteils avec mise en place d'une arthrodèse par Pip tree du 2ème et 3ème orteils. Il faut bien libérer les MTP II et III. On a expliqué le déroulement opératoire, les risques et les bénéfices, les suites postopératoires. Ils signent le consentement éclairé. Le patient travaille dans une usine de fabrication de ciment et est donc amené à porter souvent des charges relativement lourdes avec de nombreux aller-retours et des escaliers. Nous prolongeons donc l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle dans 6 semaines. Dans l'intervalle, prescription de séances de physiothérapie pour hygiène posturale, école du dos et renforcement musculaire. Le patient va bien. L'attelle articulée est bien supportée. La physiothérapie est en cours. Flexion extension 140-0-0° à peine sensible à la flexion et extension extrêmes. Il n'a pas eu d'arrêt de travail. Un 2ème bon de physiothérapie est fait et donné au patient. Le patient nous recontacte en cas de nécessité. Le traitement est terminé ce jour le 20.12.2018. Il portera l'attelle encore 6 semaines. Le patient va refaire un contrôle à 5 ans de l'intervention, puis tous les 5 ans même s'il reste asymptomatique. En cas de symptômes, il reprendra contact. Le patient va reprendre son travail à 50% jusqu'à fin janvier 2019 puis à 100%. Le traitement en ergothérapie est fini. On a encore prescrit quelques séances de physiothérapie pour traiter la cicatrice indurée avec pressothérapie. On le reverra dans 6 semaines. Le patient va se représenter pour le contrôle à 1 an. Le patient vient ce jour avec l'impression de péjoration de la situation. Il a été vu par le Dr. X, de médecine interne, qui constate l'absence d'augmentation de tuméfaction et l'absence de collection à la palpation. Nous conseillons de continuer le traitement par Co-Amoxicilline et complétons le traitement par Brufen 600 mg per os 2 fois par jour et Bépanthène comme traitement local. Contrôle clinique le 18.01.2019 à la filière des urgences ambulatoires: enflement subjectivement moindre. Lèvre supérieure toujours enflée, mais plaie calme et propre. Présence de croûte, plaie non purulente. Pas de fièvre rapportée par le patient. Nous prenons l'avis du Dr. X, qui préconise de continuer le traitement actuel, suite de la prise en charge début de semaine prochaine chez le médecin traitant. Le patient doit reconsulter si péjoration de la situation. La patiente présente une boursite sous-acromiale suite à cette 2ème opération. On propose de faire une IRM pour objectiver les symptômes et par la suite on propose une infiltration sous-acromiale de l'épaule G. La patiente rentre à domicile avec un traitement cutané symptomatique. Les résultats lui seront communiqués par téléphone. Le plâtre scaphoïde est refait ce jour et il sera porté pour 1 semaine. Prochain contrôle clinique après scanner dans 1 semaine. Le psychiatre ne retient pas d'indication à une prise en charge en milieu hospitalier. La patiente rentre à domicile et aura un suivi en ambulatoire. Le psychiatre retient une indication à une hospitalisation à Marsens en raison de l'hétéroagressivité verbale et de menaces, avec une patiente qui méconnaît le caractère morbide de ses troubles et refuse une hospitalisation. Le patient présente de plus des propos bizarres d'allure délirante: idées de persécution floues vis-à-vis de la police. Le patient est amené au RFSM de Marsens par la police. Le raccourcissement du membre inférieur est dû au raccourcissement du foyer de fracture. Nous expliquons au papa qu'une compensation progressive va se faire durant les prochains mois. À 3 semaines de l'ablation du plâtre, nous ne voyons pas la nécessité de faire de la physiothérapie. Nous le reverrons à 3 mois de la fracture pour un contrôle radioclinique.Le rappel anti-tétanos est effectué aux urgences. Après désinfection, anesthésie locale à la Rapidocaïne, exploration de la plaie (ne retrouvant pas de corps étranger) et rinçage abondant au NaCl, nous suturons par 5 points à l'Ethilon 3-0. Nous appliquons un pansement par Opsite spray. Mr. Y prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle de la cicatrice à 72h chez le médecin traitant, puis à 7 jours pour l'ablation des fils. Il rentre à domicile où il vit avec sa femme, les consignes de surveillance neurologique post-traumatisme crânien lui sont données. Le résultat histologique confirme une ostéomyélite. Le RhinoRapid est bien installé, nous le laissons donc en place et regonflons le ballonnet avec 4 cc. Mr. Y est confortable. L'Hémoglobine est dosée à 127 g/l (139 g/l le 21.01.2019). Nous réassurons Mr. Y et le laissons rentrer à domicile avec maintien du rendez-vous chez le Dr. X demain à 11h. Le Sintrom reste en pause. Le saignement cesse après la mise en place des deux points de suture au Prolène 5.0. Mr. Y bénéficie d'un pansement légèrement compressif et peut retourner à domicile. Le scanner cérébral est négatif. Nous expliquons la surveillance neurologique à la famille à faire pendant 24h et leur donnons la feuille. Nous réduisons la luxation par Fentanyl 50 mcg (no dormicum- bias TC). Nous mettons en place un gilet à garder pour 2 semaines. Le scanner exclut une lésion osseuse et vu la stabilité du coude, nous gardons le diagnostic de contusion. Prescription de physiothérapie à but de mobilisation libre, passive et active assistée. Nous la reverrons dans 3 semaines pour un contrôle clinique. L'arrêt de travail sera géré par le médecin traitant qui l'a prescrit en raison du traumatisme crânien. Le Schellong se révèle négatif. Au vu de l'absence de critère nécessitant une imagerie cérébrale et d'un examen neurologique normal, nous proposons une surveillance post-TCC à domicile avec information donnée à Mme. Y. Le score de Genève modifié de Mme. Y montre un score moyen à élevé de thrombose veineuse, nous effectuons un ultrason des veines qui montre une thrombophlébite de la veine superficielle à 2 cm de la petite veine saphène. Au vu de l'absence d'atteinte de la circulation profonde, Mme. Y rentre à domicile avec un traitement symptomatique par antalgique simple et une prophylaxie par Clexane 40 mg/j pour un minimum d'une semaine. Un contrôle chez le médecin traitant est à prévoir dans 5 jours environ afin de décider de la suite du traitement. Mr. Y se plaint d'une recrudescence des douleurs sous physiothérapie. Nous l'encourageons néanmoins à reprendre ces séances, dont musculation, car son déconditionnement est probablement la cause des douleurs. Mr. Y étant également obèse malgré un bypass en 2012 (et une perte de 40 kg), nous lui proposons la reprise d'un conseil diététique afin de perdre du poids et diminuer les contraintes sur son rachis. Au vu de l'absence de franche pathologie objectivée à la dernière IRM, nous ne proposons pas de traitement chirurgical d'emblée mais vu la persistance des douleurs, organisons une myélographie fonctionnelle suivie d'une infiltration de la racine L4 G sous CT. Prochain contrôle à la suite de ces examens. En cas de persistance de la symptomatologie malgré l'infiltration, nous discuterons à ce moment-là d'un éventuel traitement chirurgical par XLIF L4-L5. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain rendez-vous. Nouvelle prescription de physiothérapie pour fitness médical. Le sédiment ainsi que l'anamnèse sont parlants pour une infection urinaire. Mr. Y relate n'avoir aucun rapport extraconjugal. Le toucher rectal ne retrouve aucune douleur à la palpation prostatique, en conséquence, nous retenons le diagnostic d'infection urinaire et prescrivons le traitement susmentionné. Le sédiment urinaire montre des leucocytes à 11-20. Le laboratoire est dans la norme. Le sédiment urinaire montre une leucocyturie et une hématurie. Au vu de la clinique, nous retenons une infection urinaire simple et nous mettons en place un traitement avec Furadantin 100 mg 2x/jour pendant 5 jours. Un diagnostic de gastrite aiguë est retenu et un traitement d'épreuve est mis en place avec 40 mg de Pantozol pendant 2 semaines et de l'Ulcar en réserve. Mme. Y reçoit des renseignements par rapport à une alimentation correcte en cas de gastrite aiguë. En cas d'échec du traitement d'épreuve, une oesogastroduodénoscopie sera à rediscuter. Mme. Y devra reconsulter en cas d'état fébrile ou de douleurs des loges rénales. Le sédiment urinaire montre 3-5 érythrocytes, le laboratoire est normal. Le status est normal. Nous traitons la plaie comme mentionné dans le diagnostic ci-dessus et remplissons la fiche documentaire pour le traumatisme cervical. Mr. Y peut ensuite rentrer à domicile avec contrôle de la plaie à 48h chez son médecin traitant et ablation des fils à J7 chez le médecin traitant. Le status clinique comme l'exploration de la plaie ne retrouvent pas d'atteinte de structures nobles. La plaie est désinfectée, rincée abondamment puis la peau est suturée par 5 points simples à l'Ethilon 5-0. Mme. Y prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle de sa plaie dans 48h, puis dans 14 jours pour l'ablation des fils. Un rappel anti-tétanique est effectué aux urgences. Le status clinique est peu contributif et le toucher rectal est refusé par Mr. Y. Le sédiment urinaire exclut une infection et au niveau anamnestique une MST semblerait aussi peu probable. La fonction rénale calculée est normale. Nous retrouvons une hypokaliémie légère sur probable manque d'apport que nous substituons per os. Notre hypothèse diagnostic est d'une CPPS débutante et nous renvoyons Mr. Y à domicile avec un traitement symptomatique par Nimesulide (selon review Duclos et al, Ther Clin Risk Manag. 2007 Aug). Nous lui demandons de prendre un rendez-vous urologique rapidement afin de poursuivre les investigations et éventuellement d'effectuer un ultrason prostatique. Le status clinique est rassurant sans déficit associé. Nous laissons Mme. Y rentrer à domicile avec une antalgie et une prescription de physiothérapie. Elle consultera son médecin traitant si absence d'évolution favorable d'ici 5 jours. Nous la prévenons sur les bénéfices de garder une mobilisation malgré les douleurs et les risques de conduite automobile avec le Sirdalud et le Tramal. Le status clinique est très rassurant et la radiographie exclut une fracture. Mr. Y rentre à domicile avec antalgiques (en principe en réserve, mais la mère préfère lui administrer d'office pendant 2 jours), protocole RICE et contrôle chez le pédiatre si récidive des douleurs. Le status clinique et l'anamnèse évoquent en premier lieu un syndrome du piriforme mais certains aspects cliniques évoquent plutôt un syndrome sacro-iliaque G. Dans un premier temps, traitement par physiothérapie et prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Le status est dans la norme, et le laboratoire aussi. Il rentre à domicile avec traitement des cervicalgies, et en cas de persistance des symptômes, nous conseillons au médecin traitant de faire un dosage vitaminique et de poursuivre les investigations. Le status est rassurant et le bilan biologique montre une leucocytose à 16.6 G/l sans CRP. Nous retenons un diagnostic de gastro-entérite. Mme. Y rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Elle reconsultera en cas de péjoration ou de survenue de fièvre.Le status est rassurant. Nous renvoyons la patiente à domicile avec traitement anti-histaminique et conseil de contacter un allergologue (en lui donnant les numéros des spécialistes de la région) pour poursuite des investigations. Le status et le laboratoire nous orientent sur une douleur de l'articulation temporo-mandibulaire référée sur une angine non-bactérienne. Un abcès est très peu probable. Le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique et une indication à consulter le pédiatre traitant en cas de persistance des symptômes ou d'apparition de nouveaux symptômes. Le status met en évidence une paralysie bilatérale des cordes vocales en position paramédiane, avec des fausses routes primaires, sans œdème laryngé ni masse tumorale. Le CT-scan ne permet pas d'expliquer la nouvelle paralysie à droite. Il peut donc s'agir d'une atteinte inflammatoire du nerf dans le contexte actuel de la radio/chimiothérapie des apex pulmonaires des deux côtés, ou moins probablement d'une ankylose de l'articulation crico-aryténoïdienne. Sous aérosols d'Adrénaline et de corticoïde, l'évolution est rapidement favorable avec persistance d'un léger stridor au repos sans tirage. L'alimentation orale est stoppée au profit d'une alimentation par la PEG exclusive. Le patient rentre à domicile le 28.12.2018 et sera revu prochainement par les radio-oncologues. En cas de péjoration respiratoire, le patient est avisé de reconsulter, avec proposition d'une trachéotomie chirurgicale, un geste unilatéral glottique étant dans ce contexte contre-indiqué au vu des fausses routes. Le status ne retrouve aucune atteinte des structures nobles. La main est désinfectée, puis les plaies susmentionnées sont suturées par 1 ou 2 points simples. Le patient ira faire contrôler ses plaies dans 2 jours chez son médecin traitant, et à J 14 pour l'ablation des fils. Le patient a reçu l'instruction de reconsulter en cas de signes infectieux. Le status neurologique est normal et Mr. Y ne présente pas de récidive de vomissements durant la surveillance aux urgences, raison pour laquelle nous ne retenons pas d'indication à la réalisation d'un scanner cérébral. La paupière droite est et reste un peu plus refermée que la contre-latérale probablement en raison de l'extension à ce niveau de la tuméfaction de l'arcade sourcilière droite. Les paires crâniennes sont testées et symétriques. Le status neurologique et l'état de conscience sont normaux. Nous suturons les plaies après avoir fait un rappel antitétanique. Compte tenu de la probable alcoolisation aiguë nous gardons le patient en observation pour surveillance neurologique sur la nuit, et cette dernière reste normale. Nous substituons une hypokaliémie modérée asymptomatique per os. Le patient présente une bonne évolution clinique. Pas de trouble neurologique. Peu de douleurs. Il peut rentrer à domicile le 01.01.2019 avec sa tante. Le status neurovasculaire et ostéo-articulaire est rassurant, et la radiographie permet d'exclure une fracture (de stress ou non) et une luxation. La patiente peut donc rentrer à domicile avec protocole RICE, antalgiques, AINS et 3 jours de repos fonctionnel. Elle reconsultera les urgences s'il n'y a pas d'amélioration d'ici la fin de la semaine (pas de médecin traitant). Le status ostéo-articulaire montre seulement des douleurs à la flexion de la cheville et à la palpation malléolaire interne. La radiographie permet d'exclure une fracture et une luxation. Il s'agit d'un stade 1 d'entorse de cheville. La patiente bénéficie de la pose d'un bandage élastique, et rentre à domicile avec antalgie, AINS et protocole RICE, avec contrôle à J7 chez son médecin traitant. Le status retrouve une plaie superficielle, sans atteinte de structures nobles. La plaie est désinfectée, puis la peau est suturée par 3 points simples à l'Ethilon 5-0. Le patient ira faire contrôler sa plaie dans 48h chez son médecin traitant et les fils seront à enlever à J14 à sa consultation. Nous ne lui donnons pas d'arrêt de travail. Le status respiratoire de Mr. Y reste stable tout au long de l'hospitalisation. Le monitorage montre quelques épisodes de désaturation pendant le sommeil, spontanément résolutifs rapidement. Du point de vue alimentaire, malgré une légère perte de poids, Mr. Y continue de bien s'alimenter et prend nettement plus que la moitié de ses apports journaliers. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mr. Y rentre à domicile le 09.01.19. Le syndrome du tunnel carpien n'est pas au premier plan chez ce patient qui présente des pathologies multiples que je ne pourrai pas aborder par un geste chirurgical. Je lui explique pour la forme le déroulement intra et post-opératoire d'une neurolyse du nerf médian. Le patient va réfléchir à cette proposition et il va me recontacter s'il se décide pour l'intervention. Le test de Schellong est négatif. Le laboratoire montre des leucocytes à 11.9 G/l, le reste est dans la norme. Cf. annexes. Le tétanos n'est pas à jour (la mère refuse la vaccination de sa fille malgré les explications). Nous procédons à une désinfection par Hibidil, champagne stérile, rinçage abondant au NaCl 0.9%, exploration de la plaie et suture par 6 points à l'Ethilon 5-0. Nous prescrivons un traitement par AINS et antalgie au besoin. La réfection du pansement se fera le 14.01 et l'ablation des fils à J5 chez le pédiatre traitant. La mère est informée dans quels cas il faut reconsulter les urgences. Concernant les douleurs de l'articulation temporo-mandibulaire et de la fracture horizontale de la couronne de la dent 71, nous prenons l'avis du Dr. X qui propose de l'antalgie et AINS avec une consultation dentaire le 12.01. Le traitement par physiothérapie a déjà été stoppé. Toutefois, au vu de la récente croissance et l'âge de la patiente, nous proposons la poursuite d'une prise en charge spécialisée à Courtepin, afin d'éviter une éventuelle mauvaise évolution. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 mois. Le traitement prend fin ce jour. Rendez-vous est pris dans une année pour l'ablation du matériel. Le traitement semble être suffisant actuellement pour soulager la patiente mais au vu du syndrome sacro-iliaque déjà connu et de la récidive de la symptomatologie, nous agendons une infiltration sacro-iliaque droite avec de la cortisone pour mardi prochain le 29.01.2019. Si la symptomatologie devait être suffisamment soulagée par le traitement anti-inflammatoire, elle nous rappellera pour annuler ce geste. Le 01.02: Echo genou gauche: pas d'épanchement. Le 01.02.19: • Contrôle clinique • Echo genou gauche • Avis téléphonique Dr. X (assistant d'Orthopédie) • Contact avec Dr. X, assistante d'Hématologie (Avis Dr. X) • Advate: 2000 UI x 1/jour pendant une semaine • Décharge et arrêt des sports pendant une semaine • Cannes • Contrôle chez le pédiatre dans 1 semaine Le 02.01.2019, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque de reconstruction LCP 3.5 mm, 9 trous. Le 02.01.2019, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos 3.5, humérus proximal droit. Le 02.01.2019: Instauration d'un traitement freinateur, anticoagulation thérapeutique. Le 03.09.2018: Consilium psychiatre = propose un retour à domicile avec suite de prise en charge par le médecin traitant. Par la suite, le patient essaie de rentrer à domicile, mais angoisses trop fortes. Proposition de rester en chambre d'observation sur la nuit. Lors de la réévaluation du 04.09.2018 au matin, patient totalement calme, rentre à domicile avec rendez-vous à 13h chez le Dr. X. Le 04.09.2018 appel du psychiatre de liaison: ok pour une hospitalisation en mode volontaire à Marsens. Le 04.01.2019, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos.Le 04.01.2019, Dr. X : drainage de l'abcès et amygdalectomie bilatérale. Antibiothérapie par Klacid 3 x 500 mg per-os/jour du 04 au 13.01.2019 inclus. Contrôle à la consultation de Dr. X à J7. Le 04.01.2019, Mr. Y est de retour dans notre établissement pour la poursuite de sa réadaptation cardiovasculaire suite à la pose d'un CRT-D dont le geste se déroule sans complication. Le traitement à l'entrée comprend : Aspirine Cardio 100 mg, Efient 10 mg, Xarelto 20 mg, Atorvastatine 40 mg, Aldactone 25 mg, Lisinopril 2.5 mg, Beloc Zok retard 50 mg, Pantozol 80 mg, Distraneurin 1 caps/j, Dafalgan 1 g max 3x/j si douleurs, Ulcar susp 1 g max 3 sachets/j si épigastralgies. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 20 minutes à une puissance de 25-30 W sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 40 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Au bilan lipidique de sortie, on retrouve un LDL à 1.78 mmol/l, un HDL à 1.12 mmol/l et des triglycérides à 1.29 mmol/l. Le 05.01.2019, Dr. X : réduction ouverte, stabilisation par deux cerclages Dall-Miles, ostéosynthèse par clou Gamma long. Reprise du traitement de Xarelto 20 mg/jour à 48 heures post-opératoires, avec bridging par Clexane. Le 06.01.2019, Dr. X : cholécystectomie laparoscopique. DAP : cholécystite chronique d'intensité légère avec fibrose réactionnelle légère. Ablation des fils à J10 à votre consultation. Le 06.01.2019, Dr. X, Dr. X : mise en place d'une prothèse céphalique type Zimmer. Matériel implanté : tige MS30 standard taille 10 cimentée, cotyle 48, tête 28, col XL. Physiothérapie de rééducation à la marche. Le 07.01.2018 RDV chez Dr. X pour dosage de l'INR et réglage du Sintrom. IEC à reprendre à distance une fois la fonction rénale améliorée. Suivi de la calcémie et phosphatémie dans 2 semaines, contrôle de la PTH à 3 mois. Le 07.01.2019 : contrôle clinique et ultrason, pas de thrombose veineuse profonde. Contrôle chez l'angiologue de la patiente et suivi chez lui. Le 07.01.2019, Dr. X : cure d'hernie inguinale bilatérale laparoscopique. Anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg sc/jour du 07 au 10.01.2019. Rendez-vous à votre consultation à 10 jours post-opératoires pour contrôle et ablation des fils. Rendez-vous à la consultation de Dr. X le 12.02.2019 à 14h00 pour contrôle clinique. Le 07.01.2019, Dr. X : lavage abondant, ostéosynthèse de P2 D1 gauche par deux broches 1.0 mm croisées, suture du lit de l'ongle, réimplantation de l'ongle. Mise en place d'un ongle artificiel. Antibiothérapie intraveineuse par Cefuroxime 3 x 1.5/jour durant 24 heures, puis relais per-os à raison de Cefuroxime 2 x 500 mg/jour jusqu'au 10.01.2019 inclus. Le 07.01.2019, Dr. X, Dr. X : bursectomie olécrânienne du coude gauche, biopsie et prélèvements bactériologiques. Antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 4 x 2,2 g/jour, puis relais per-os par Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour jusqu'au 22.01.2019 inclus. Le 07.01.2019, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse du radius distal et de l'ulna distale, poignet gauche. Matériel implanté : plaque Aptus radius 2.7 mm pour le radius, plaque droite 5 trous 2.5 mm au niveau de l'ulna. Prophylaxie d'une maladie Sudeck par Redoxon 500 mg/jour pendant 4 semaines. Le 07.01.2019, Dr. X : ablation du matériel d'ostéosynthèse et cure d'hallux valgus selon Scarf et Akin du pied gauche. Le 07.01.2019, Dr. X : cure d'hallux valgus selon Scarf et Akin, pied droit. Le 07.01.2019, Dr. X : excision du névrome de Morton. Le 07.01.2019, Dr. X : plastie selon Broström-Gould, cheville gauche. Le 08.01.2019 : contrôle clinique et biologique, amélioration clinique, pas de syndrome inflammatoire, créatinine dans la norme, germe résistant au Bactrim mais sensible au reste. Poursuite de l'antibiothérapie comme prescrit le 06.01.2019. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Culture urinaire : cf. annexes. Le 08.01.2019 : contrôle de plaie et ablation des fils. Le 08.01.2019 : le patient a pu aller à selles, il a eu de multiples épisodes de diarrhées, il a stoppé les laxatifs. Le 08.01.2019, Dr. X : arthroscopie diagnostique, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps, réinsertion du sus-épineux en deux rangées, épaule droite. Cathéter interscalénique antalgique. Le 09.01.2019, Dr. X : néphrolithotomie percutanée et urétéroscopie rigide. Antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv/jour du 09 au 10.01.2019. Le patient prendra rendez-vous à la consultation de Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le 09.01.2019, Dr. X : résection transurétrale de la vessie. DAP : carcinome urothélial papillaire non invasif de bas grade (G1 et G2). Clexane 20 mg/jour dès 18h00 le jour opératoire. Antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour jusqu'au 11.01.2019 inclus. Ablation de la sonde vésicale le 11.01.2019. Le patient sera revu à la consultation de Dr. X à 2 semaines post-opératoires pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le 09.01.2019, Dr. X : résection transurétrale de la vessie. DAP : copeaux de paroi vésicale sièges de foyers de nécrose ischémique, d'un remaniement fibreux et d'une inflammation chronique active, sans malignité. Antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour du 09 au 16.01.2019. Ablation de la sonde vésicale le 11.01.2019. Thromboprophylaxie par Clexane 20 mg le 09.01.2019 puis par Clexane 40 mg sc/jour dès le 10.01.2019. Poursuite de l'anticoagulation par Clexane 40 mg sc/jour jusqu'au 26.01.2019 avec reprise du Xarelto dès le 27.01.2019. Contrôle à la consultation de Dr. X le 24.01.2019. Le 09.01.2019, Dr. X : résection transurétrale de la vessie pour tumeur papillaire millimétrique de la vessie. DAP : carcinome urothélial papillaire non invasif, de bas et de haut grade (G2). Antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour du 09 au 11.01.2019. Clexane 20 mg le soir de l'intervention, puis 40 mg sc/jour. Uro-CT injecté le 11.01.2019. Le patient sera revu à la consultation de Dr. X à 2 semaines post-opératoires pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le 09.01.2019, Dr. X : urétrotomie interne. Antibiothérapie par Cefuroxime 2 x 500 mg/jour du 09 au 16.01.2019 inclus. Ablation de la sonde vésicale le 11.01.2019. Le patient sera revu à la consultation de Dr. X pour contrôle à 2 semaines post-opératoires. Le 09.01.2019, Dr. X : greffe de Thiersch. Soins à domicile 3 x/semaine pour réfection des pansements. Rendez-vous en stomatothérapie le 04.02.2019. Le 09.01.2019, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte, ostéosynthèse par plaque LCP tiers-tube 6 trous. Matériel implanté : vis de compression 2.7 30 mm de longueur, plaque LCP tiers-tube 6 trous. Immobilisation de la cheville droite dans une attelle AirCast Sport pour une durée totale de 6 semaines post-opératoires, avec marche en touch down durant 6 semaines. Thromboprophylaxie par Clexane 40 mg sc/jour pour toute la durée de l'immobilisation. Le 09.01.2019, Dr. X : plastie du ligament croisé antérieur du genou droit selon Kenneth Jones, méniscectomie partielle de la corne postérieure du ménisque externe.Le 09.01.2019, la patiente, conductrice, glisse et perd le contrôle de sa voiture à 70 km/heure et fait des tonneaux. Traumatisme crânien avec probable perte de connaissance, sans amnésie circonstancielle. La patiente est amenée aux urgences par ambulance. Elle décrit des céphalées temporales droites ainsi qu'une sensation nauséeuse. Pas de vomissement. Au status neurologique, patiente collaborante, orientée dans les trois modes. Pupilles isocores et isoréactives. Nerfs crâniens dans la norme. Force M4+ au membre supérieur et M5 pour les autres articulations. Hypoesthésie du membre inférieur droit avec sensibilité grossière normale sur les autres membres. Réflexes ostéo-tendineux vifs et symétriques aux quatre membres. Percussion douloureuse des vertèbres D7, D12, L1 et L2, le reste du rachis étant indolore. Le reste de l'examen clinique est dans les limites normales. Le bilan biologique est aligné. L'IRM cérébral ne met pas en évidence de lésions parenchymateuses. Une IRM de la colonne vertébrale est effectuée dans le même temps et met en évidence une condensation du plateau vertébral antéro-supérieur de D7. Sur avis conjoint entre le Dr. X et le service de neurochirurgie (team Spine) de l'HFR Fribourg, la patiente est hospitalisée dans le service de chirurgie pour surveillance neurologique. Le 10.01.2019, une radiographie de la colonne dorsale est effectuée, mettant fortuitement en évidence une lésion ronde avec fine capsule en projection de la base pulmonaire droite, partiellement visible, mesurant environ 10 cm de diamètre. Ceci motive la réalisation d'un CT thoracique le jour même. L'image du poumon droit visualisée sur la radiographie du rachis dorsal du jour même correspond à une lésion kystique du lobe moyen avec des septas vascularisés et une fine capsule. Un ultrason carotidien est également effectué le 10.01.2019, à la demande du team spine de Fribourg et ne met pas en évidence de lésion traumatique des vaisseaux pré-cérébraux avec, cependant, la découverte fortuite de plus de 8 nodules thyroïdiens. Au vu de ces différents éléments, un avis est demandé à l'équipe de chirurgie thoracique de l'HFR Fribourg. Ces derniers préconisent un rendez-vous le 11.01.2019 pour évaluation et suite de prise en charge de cette lésion pulmonaire. Au cours de l'hospitalisation, la surveillance neurologique est sans particularité. Une potentielle fracture lombaire étant écartée par la radiographie standard, Mme. Y peut rentrer à domicile le 10.01.2019, munie d'une feuille de surveillance neurologique. En plus de la consultation agendée en chirurgie thoracique, la patiente est également attendue à la consultation du team spine de l'HFR Fribourg dans 2 semaines pour contrôle neurologique à distance. Nous vous laissons le soin de coordonner ces différents problèmes et d'investiguer plus profondément les nouvelles lésions thyroïdiennes découvertes fortuitement à l'ultrason. Le 10.01.2019 à 13h00 à la consultation du Dr. X. Le 10.01.2019, Dr. X : réduction ouverte, reconstruction du calcar à l'aide d'une plaque Aptus main 2.0 6 trous, comblement du défect osseux spongieux par de multiples greffes d'allo-bone, ostéosynthèse par plaque Philos 3 trous. Physiothérapie. Le 10.01.2019, Dr. X : arthroscopie diagnostique, résection partielle du ménisque interne. Physiothérapie. Anticoagulation prophylactique durant l'hospitalisation. Le 10.01.2019, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque antiglide tiers-tube 3 trous de la malléole externe, cheville droite. Le 10.01.2019, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque tiers-tube antiglide de la malléole externe, cheville droite. Le 11 décembre, il avait été discuté d'éventuellement proposer une prise en charge chirurgicale en cas de non-amélioration de la symptomatologie. Au vu de la bonne évolution clinique sous physiothérapie, nous prescrivons une nouvelle série de séances. Nous reverrons la patiente dans 3 mois pour contrôle clinique. Nous lui rappelons les signes d'appels devant motiver une nouvelle prise de rendez-vous dans l'intervalle. Le 11.01.2019, Dr. X : appendicectomie et adhésiolyse laparoscopique. DAP : appendicite aiguë ulcéro-phlegmoneuse et focalement nécro-hémorragique, avec péri-appendicite fibrino-leucocytaire. Contrôle et ablation des fils le 21.01.2019. Le 11.01.2019, Dr. X : cure bilatérale selon Lichtenstein avec mise en place d'un filet UltraPro Mesh lot ME8DQZW0. Bloc ilio-inguinal bilatéral à la Naropine 0,5%, 26 cc au total. Ablation des fils et contrôle clinique à votre consultation le 21.01.2019. Le 11.01.2019, Dr. X : ablation d'une plaque DCP 3.5. Cure de pseudarthrose par décortication, greffe iliaque et ostéosynthèse par plaque de reconstruction du tibia distal droit 3.5. Physiothérapie de rééducation à la marche en charge de 5 à 15 kg pour 6 semaines, puis de 15 à 30 kg de la 6ème à la 12ème semaines. Anticoagulation par Clexane 40 mg sc/jour pour 6 semaines post-opératoires. Le 11.09.2018, Dr. X : stabilisation acromio-claviculaire droite par la technique Twin tail TightRope. Le 12.02.2019 à la consultation du Dr. X. Le 12.12.2018 : ablation du matériel d'ostéosynthèse, réduction de la fracture oléocrânienne, ostéosynthèse par 2 plaques Medartis 2.8 Trilock hum. dist. 10 trous et vis (2 cortical long. 18, et 11 trilock angular stability de longueur 20-22-24-26-28). Ablation des fils au 15ème jour : le 27.12.2018. À partir du 15ème jour et pendant 2 semaines : mobilisation douce du coude droit selon douleur, puis physiothérapie de mobilisation. Contrôle radiographique le 27.12.2018. Ablation des fils au 15ème jour : le 15.01.2019. Le 12.12.2018, Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à une plastie mitrale réalisée par le Dr. X le 19.11.2018 (Clinique Cecil). Le traitement à l'entrée comprend : Aspirine Cardio 100 mg, Pantozol 20 mg, Atorvastatine 40 mg, Néomercazole 15 mg, Aldactone 12.5 mg, Zolpidem 10 mg, Sintrom selon schéma, Ramipril 1.25 mg, Beloc Zok 37.5 mg. Durant son séjour, le patient présente une hyperthyroïdie persistante sous traitement de 15 mg de Néomercazole justifiant une augmentation du traitement à 20 mg/jour dès le 19.12.2018 avec un contrôle biologique de la fonction thyroïdienne à 2 semaines de la modification du traitement, qui sera effectué par son médecin traitant. Sur le plan respiratoire, le patient décrit toujours des douleurs basithoraciques D respiro-dépendantes. Le CT-scan du 07.12.2018 avait permis d'exclure la présence d'une embolie pulmonaire, d'une lithiase rénale ou d'une lithiase vésiculaire. Une RX du thorax du 13.12.2018 n'a pas montré d'épanchement pleural significatif. À l'auscultation pulmonaire du 17.12.2018, présence de râles crépitants fins bilatéralement, raison pour laquelle nous ajoutons du Torasemide 5 mg 1x/jour. Au vu de l'évolution favorable, nous diminuons le Torasemide à 2.5 mg/jour dès le 27.12.2018. Par ailleurs, le patient dit que depuis qu'il est sous traitement d'Anoro Ellipta, la symptomatologie respiratoire s'est péjorée, à la suite de quoi nous renonçons à la réintroduction de ce traitement. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité faible et il a pu progresser jusqu'à un groupe d'intensité modérée. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du tapis roulant à une vitesse de 5 km/h pendant 25 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue de 5 mètres avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Le tracé rythmique met en évidence une ectopie atriale asymptomatique et de rares extrasystoles ventriculaires à aspect de BBD.Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Il avait déjà participé à certaines conférences lors de son dernier séjour en réhabilitation cardiovasculaire (août 2018). Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.3 mmol/l, des HDL à 1.2 mmol/l, des LDL à 2.07 mmol/l, des triglycérides à 0.99 mmol/l. • Poursuite du sevrage tabagique. • Sous traitement, la fréquence cardiaque et la tension artérielle sont dans la norme. • Contrairement à la réhabilitation précédente, le patient a accepté sa maladie et a retrouvé un statut d'euthymie. Le 13.01.2019 contrôle chez son dermatologue. RDV au Secteur Ambulatoire des Urgences pour discussion des résultats. Le 13.01.2019, Dr. X : appendicectomie laparoscopique, lavage avec 3 litres. DAP : appendicite aiguë ulcéro-phlgemoneuse, micro-abcédante et focalement hémorragique avec péri-appendicite fibrino-leucocytaire. Contrôle clinique et ablation des fils à votre consultation le 23.01.2019. Le 13.01.2019, Dr. X, Dr. Y : réduction ouverte et ostéosynthèse de la malléole externe par plaque tiers tube, embrochage de la syndesmose et ostéosynthèse de la malléole interne (vis malléolaire/broche 2.0). Le 13.12.2018, bursectomie olécranienne. Le 13.12.2018, Dr. X : implantation d'une prothèse céphalique bipolaire de la hanche droite (matériel implanté : tige MS30 12 standard, centralized 12/14, bouchon Weber 4, tête bipolaire 52 28M). Le 17.12.2018, Dr. X : changement des implants céphaliques d'hémi-arthroplastie de la hanche droite (matériel implanté : insert 50/28 mm, tête fémorale 28/0M - 12/14). Xarelto 20 mg/jour pour 6 semaines. Le 14.01.2019, Dr. X : rectopexie laparoscopique et colpomyorraphie postérieure. Rendez-vous à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à J10. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 15.02.2019. Le 14.01.2019, Dr. X : AMO. Décortication, impaction de la diaphyse humérale dans la tête humérale, stimulation du site local par DBX Putty, reconstruction du trochin et ostéosynthèse par plaque Philos 3 trous et plaque Aptus main 2.0 en treillis. Cathéter interscalénique antalgique. Le 14.01.2019, Dr. X : arthroscopie diagnostique, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps, réinsertion des parties hautes du sous-scapulaire. Cathéter interscalénique antalgique. Le 15.01.2019, Dr. X : cure selon Lichtenstein d'une hernie inguinale gauche de type indirect, avec mise en place d'un filet Ultrapro Mesh, lot MK8DJGW0. Bloc ilio-inguinal à la Naropine 0,5 %, 40 cc au total. Ablation des fils et contrôle clinique le 26.01.2019 à votre consultation. Le 15.01.2019, Dr. X : arthroscopie diagnostique, réinsertion du bourrelet glénoïdien par 6 ancres BioRaptor. Le 15.01.2019, Dr. X : resurfaçage par prothèse Affinis short tête 51, tige taille 4. Cathéter interscalénique antalgique. Le 16.01: Avis Dr. Y Anxiolyse par Méopa (difficile ++) Sur le front : Désinfection à l'hybidil, débridement, Aquacel simple, pansement Sur le nez : Application de Bépanthène onguent plusieurs fois par jour, pas de pansement Sur la paume de la main droite : Bépanthène onguent, pas de pansement Antalgie au besoin Contrôle dans 48 heures aux urgences Le 19.01 : Débridement de la plaie de la main droite, Ialugen et Adaptic Aquacel sur le front tombé, laissé à l'air Contrôle dans 48h Le 21.01 : Sur le front : Débridement par Prontosan inefficace, reprise Ialugen et Adaptic Sur le nez : Poursuite Bépanthène onguent Sur la paume de la main droite : Poursuite Ialugen et Adaptic Contrôle dans 48h, à rediscuter à ce moment avec un chirurgien Le 23.01 : Sur le front : Ialugen et Adaptic, croûte en nette amélioration. pas de débridement, évaluer si nécessité de continuer Ialugen et Adaptic le 25.01 Sur le nez : Poursuite Bépanthène onguent Sur la paume de la main droite : peau saine, rouge pâle. Bépanthène onguent, massage léger de la nouvelle peau. Laisser à l'air Le 16.01 : Avis Dr. Y Anxiolyse par Méopa (difficile ++) Sur le front : Désinfection à l'hybidil, débridement, Aquacel simple, pansement Sur le nez : Application de Bépanthène onguent plusieurs fois par jour, pas de pansement Sur la paume de la main droite : Bépanthène onguent, pas de pansement Antalgie au besoin Contrôle dans 48 heures aux urgences Le 19.01 : Débridement, soin de plaie Adaptic et Ialugen Contrôle dans 48h Le 16.01.2019, Dr. X, Dr. Y : incision, drainage, prélèvements bactériologiques, lavage. Le 18.01.2019, Dr. X, Dr. Y : second look et fermeture cutanée, coude gauche. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 4 x 2,2 g iv/jour, puis relais per-os à la sortie par Co-Amoxicilline 3 x 1 g/jour jusqu'au 01.02.2019 inclus. Le 16.01.2019, Dr. X, Dr. Y : mise à plat du phlegmon de la gaine des fléchisseurs de D3 de la main gauche, lavage, prélèvements bactériologiques. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 4 x 2,2 g iv/jour, relais per-os à la sortie par Co-Amoxicilline 3 x 1 g/jour jusqu'au 31.01.2019 inclus. Le 16.01.2019, Dr. X : résection transurétrale de la vessie. DAP : carcinome urothélial de haut grade (G2 à plus focalement G3) en partie papillaire et en partie à pattern de croissance inversé, infiltrant le chorion. Classification pathologique TNM : pT1. Antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour du 16 au 19.01.2019. Anticoagulation par Clexane 20 mg sc du 17 au 19.01.2019. Ablation de la sonde urinaire 19.01.2019. Contrôle et suite de la prise en charge urologique à la consultation du Dr. X. Le 16.01.2019, Dr. X : résection transurétrale secondaire de la vessie. DAP : copeaux de paroi vésicale emportant la tunique musculeuse en profondeur, sièges de foyers étendus de nécrose en partie de type ischémique, sans malignité. Inflammation érosive de l'urothélium et quelques îlots de Von Brunn kystisés. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour du 16 jusqu'à l'ablation de la sonde vésicale, soit le 24.01.2019.Anticoagulation thérapeutique par Clexane 2 x 60 mg sc/jour du 16 (6 heures post-opératoires) au 24.01.2019 inclus. Reprise de l'Aspirine Cardio le 17.01.2019. Contrôle et ablation de la sonde vésicale à la consultation du Dr. X le 24.01.2019. Le 16.01.2019, Dr. X : arthroplastie totale de la hanche gauche par voie antérieure minimale invasive. Matériel implanté : cupule MPact 54/liner E polyéthylène/col S céramique tête 32/tige 3 standard non cimentée. Le 17.01.2019, Dr. X : arthroscopie diagnostique, remise en place du bourrelet glénoïdien avec stabilisation du petit fragment de Bankart, désimpaction de la lésion Hill Sachs par voie d'abord antérieure avec comblement du défect osseux par des chips de Tutoplast, stabilisation par plaque Philos 3 trous et plusieurs fils de fiber wire. Antibioprophylaxie durant 24 heures post-opératoires. Cathéter interscalénique antalgique. Le 17.12.2018, je contrôle la patiente à 2 semaines et 2 jours : évolution très favorable. Mobilisation complète de l'épaule, avec presque disparition de douleur. Le 18.01 : Débridement complet avec extraction de 1 ml de pus, rinçage avec 20 ml Nacl, soin de plaie par Hibidil, pansement par adaptic et ialugel. Contrôle dans 48h. Le 18.01.2019 à la consultation du Dr. X. Le 18.01.2019, Dr. X, Dr. X, Dr. X : arthroscopie diagnostique, lavage articulaire, révision de la plaie et suture de l'aileron rotulien interne, genou droit. Rappel antitétanique. Le 18.01.2019, Dr. X : AMO. Le 18.01.2019, Dr. X, Dr. X : correction d'hallux valgus par ostéotomie selon Scarf et Akin de P1 des deux côtés. Le 19.01.2019, Dr. X, Dr. X : réduction fermée et enclouage du tibia gauche par clou T Stryker. Matériel implanté : clou Stryker 300 mm de longueur, 10 mm de diamètre, verrouillage distal statique par 2 vis, verrouillage proximal, distal et dynamique. (OP le 19.01.2019) Le 19.01.2019, révision de plaie, débridement des berges contuses, rinçage par jet-lavage, mise en place de Redon et suture au bloc opératoire. Le 19.04.2016, Dr. X : laparoscopie exploratrice et cholécystectomie laparoscopique. Malaise d'origine indéterminée le 20.02.2018. Le 20.01.2019, Dr. X : ostéosynthèse de la fracture radiale par plaque Aptus. Le 20.11.2018, Dr. X, Dr. X : débridement, prélèvement, rinçage et pose de VAC. Le 22.11.2018, Dr. X, Dr. X : débridement de plaie et changement de VAC. Le 26.11.2018, Dr. X, Dr. X : débridement, greffe de Tiersch, pose de VAC. Ablation du VAC et passage à des pansements Jelonet le 03.12.2018. Antibiothérapie prophylactique par Co-Amoxicilline 26.11.2018-10.12.2018. Suivi par stomatothérapeute et avis orthopédique (Dr. X) Soins de plaies et suivi clinique. Antalgie par Novalgine. Le 21.01.2019, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par allogreffe de compaction et plaque palmaire Aptus 2.5 mm. Le 21.01.2019, Dr. X : arthroplastie totale du genou gauche. Cathéter fémoral antalgique. Le 22.01.2019, Dr. X : cure de hernie inguinale bilatérale selon Lichtenstein avec filets Progrip TEM1208G. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X pour contrôle et ablation des agrafes le 06.02.2019. Le 22.01.2019, Dr. X : arthroscopie diagnostique, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps, augmentation de la coiffe des rotateurs par patch du tendon bicipital, avec reconstruction du rotator cable et réinsertion du sous-épineux et du sus-épineux, épaule droite. Cathéter interscalénique antalgique. Le 22.01.2019, Dr. X : reprise de la prothèse avec ablation de la métaglène glénosphère ancienne, changement de l'insert sur 39 + 0, réimplantation d'une glénosphère 39 avec une métaglène standard et augmentation de la glène par une allogreffe fémorale. Cathéter interscalénique antalgique. Le 22.06.2018 : Salpingotomie gauche par laparoscopie avec adhésiolyse et cytologie péritonéale per-opératoire pour grossesse extra-utérine ampullaire gauche. Épreuve au bleu de méthylène : trompes imperméables. Status abdominal adhérentiel : Adhésiolyse en fosse iliaque droite ; des ligaments utéro-sacrés ; pelvien droit. Grossesse extra-utérine gauche persistante et échec de réponse au traitement conservateur, chez une patiente de 36 ans, primigeste. Dosage bêta HCG. Salpingectomie gauche par laparoscopie sous anesthésie générale le 01.07.2018. Envoi du matériel opératoire en anatomo-pathologie. S/p Salpingotomie gauche le 22.06.2018 par laparoscopie avec adhésiolyse et cytologie péritonéale per-opératoire pour grossesse extra-utérine ampullaire gauche. Épreuve au bleu de méthylène : trompes imperméables des deux côtés. Status abdominal adhérentiel : Adhésiolyse en fosse iliaque droite ; des ligaments utéro-sacrés ; pelvien droit. Le 23.01.2019, Dr. X : orchiectomie bilatérale dans le but d'un traitement par castration. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge. Le 23.01.2019, Dr. X : RTUV secondaire. DAP, Promed - P2019.916 : Remaniement fibro-inflammatoire en partie résorptif et foyers de nécrose ischémique de la paroi vésicale, sans malignité. Antibiothérapie par Céfuroxime 500 mg - 1 x/jour du 23.01 au 25.01.2019. Retrait de la sonde vésicale le 25.01.2019 avec bladder scan post 4 mictions sans sonde à 100 cc. Le 23.01.2019, Dr. X : appendicectomie par laparoscopie. DAP : Appendicite aiguë ulcérante et hémorragique avec péri-appendicite fibrineuse au niveau de la pointe (fragmentée). Antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 3 x 2,2 g/jour du 23 au 25.01.2019. Rendez-vous à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à J10. Le 23.01.2019, Dr. X : arthroplastie totale de la hanche droite par voie antérieure minimale invasive. Matériel implanté : cupule MPact 56/liner F/tête céramique 32/tige cimentée 4. Le 23.06.2018, la patiente chute lors d'un match de foot avec mécanisme de torsion du genou droit. Elle présente d'importantes douleurs et une impotence fonctionnelle. Elle consulte un hôpital à Butte où le diagnostic suscité est objectivé. La patiente résidant dans la région de Bulle, elle prend contact avec Dr. X qui retient l'indication opératoire. L'intervention se déroule le 09.01.2019 sans complication, les suites opératoires sont simples avec bonne gestion de l'antalgie. Les plaies opératoires sont sèches, sans signes de surinfection. Le membre inférieur droit est immobilisé dans une attelle jeans et la patiente bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche en charge selon douleurs, sous protection de deux cannes anglaises. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée et sera à poursuivre jusqu'au 26.01.2019. Face à la bonne évolution, Mme. Y peut retourner à domicile le 11.01.2019. Le 24.01 : Nous évoquons une hémorragie digestive basse d'origine probablement traumatique vu la constipation sous-jacente avec un état général excellent et rassurant sans autres signes digestifs associés. D'ailleurs, nous donnons des consignes de suivi strict de son traitement laxatif et nous donnons des consignes de retour aux urgences si présence du sang dans les selles de nouveau malgré des selles normales ou même aujourd'hui dans la nuit si quantité du sang importante ou douleurs abdominales importantes. Le 24.01 : Nous évoquons une lésion kystique inflammée sur une verrue de la plante du pied incisée hier et sous antibiothérapie per os. Traitement symptomatique, désinfection et contrôle aux urgences si douleurs locales ou tuméfaction survenue de nouveau ou état fébrile. Avis dermatologique à envisager pour incision de la tuméfaction fibrineuse.Le 24.01.2019 à la consultation du Dr. X. Le 24.01.2019, Dr. X : révision du site, avivement du foyer fracturaire, réostéosynthèse de l'épicondyle radial avec réinsertion du ligament collatéral radial sur deux ancres Helicoil, stabilisation en deuxième rangée par un passage trans-osseux. Le 28.12.2018, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos de l'humérus proximal gauche. Le 28.12.2018, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos courte et vis. Le 31.01.2019 : Radiographie genou gauche : pas d'épanchement ni de fracture Avis orthopédie (Dr. X) : • Contrôle clinique normal sans signe d'épanchement • Décharge avec béquilles jusqu'à l'arrêt des douleurs pour prévenir une hémarthrose • Antalgie au besoin par Dafalgan • Avis hématologie CHUV (Dr. X / Dr. X au numéro 079.556.72.54) : • Advate : 3000 UI ce soir et demain matin • Contrôle clinique aux urgences avec US genou gauche le 01.02.2019 - informer Dr. X (CHUV) du résultat TIP le 01.02.2019 : • Contrôle clinique • Echo genou gauche • Avis téléphonique Dr. X (assistant d'Orthopédie) • Contact avec Dr. X, assistante d'Hématologie (Avis Dr. X) • Advate : 2000 UI x 1/jour pendant une semaine • Décharge et arrêt des sports pendant une semaine • Cannes • Contrôle chez le pédiatre dans 1 semaine Le 31.12.2018, cette patiente de 46 ans consulte aux urgences suite à un traumatisme de la cheville droite en inversion. Le bilan radio-clinique révèle une fracture Weber B peu déplacée de la cheville droite. Lors de la consultation aux urgences, l'état cutané ne permet pas une approche chirurgicale d'emblée, raison pour laquelle la patiente rentre à domicile avec la consigne de surélever son membre inférieur droit. Mme. Y est suivie ambulatoirement et, l'état cutané étant favorable, l'intervention peut avoir lieu le 10.01.2019. Dans les suites opératoires, la patiente présente de fortes nausées, raison pour laquelle elle est hospitalisée pour surveillance. Le 11.01.2019, l'évolution est favorable, les nausées ont disparu et les douleurs sont très bien contrôlées par l'antalgie standard. La plaie opératoire, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. La patiente se mobilise sous couvert de cannes anglaises, en touch down du membre inférieur droit, et peut retourner à domicile le 11.01.2019. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour a été instaurée pour une durée de 6 semaines post-opératoires. Le 06.01.2019 à 17h : Stable, maman trouve qu'elle dort beaucoup 22h/24, la réveille pour l'allaiter et complète le sein par LM au biberon (aux 3h, 50ml à 13h après les 2 seins, ce matin uniquement au biberon 60ml). Ictère conjonctival. Bien réveillable, a besoin d'être stimulée. Selles à chaque tétée jaune. Pas de toux. Contage d'enfants en visite à la maison (rhume toux). Examen clinique dans la norme pour l'âge. T = 36°4. P = 2725g nue (2640g = poids nu sur balance de la sage-femme) en augmentation (PN = 2870g). P après la tétée lors de la consultation = 2720g (après 1 tétée 1 sein, 1 miction, 1 selle). => Suivi au domicile par sage-femme, lavage de nez Mr. Y, 15 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un coma secondaire à un tentamen médicamenteux (Xanax 2.5 mg) avec intoxication alcoolique aiguë et consommation de cannabis. Le patient présente depuis quelques mois des idées suicidaires avec une tristesse et un sentiment d'isolement social. Un des facteurs déclenchants est le suicide récent d'un couple d'amis proches. Le 06.01.2019, il a consommé à visée suicidaire 10 comprimés de Xanax 0.25 mg, de l'alcool et du cannabis. L'ambulance a été appelée par son frère. À l'arrivée aux urgences, le patient présentait un coma avec un score de Glasgow à 3 ayant nécessité l'administration de flumazénil. Le traitement a été maintenu en perfusion continue jusqu'au 07.01.2019 en raison de la fluctuation de la vigilance, avec une évolution neurologique favorable. La consultation de pédopsychiatrie du 07.01.2019 confirme la persistance d'une idéation suicidaire latente et une thymie triste dans le contexte d'un état dépressif plurifactoriel. Une hospitalisation en milieu psychiatrique en mode volontaire est indiquée, avec l'accord de la mère. Le patient a été transféré le 07.01.2019 dans le service de pédo-psychiatrie de l'hôpital de Marsens. L'ECG est superposable au comparatif. La radiographie du thorax montre un foyer en base du lobe supérieur gauche. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec CRP à 186 mg/l et leucocytes à 12.7 G/l ainsi qu'une insuffisance rénale aiguë AKIN 2 avec une clearance à 21. La gasométrie montre un pH à 7.32, une pCO2 à 4.3, une pO2 à 9.1 et des bicarbonates à 16, lactate à 0.9. Les troponines ne montrent pas de cinétique. Nous hydratons le patient avec 3 bolus de 500 ml de NaCl. Malgré cela, il peine à remonter ses tensions et garde une systolique variant entre 78 et 85 mmHg. Nous administrons de la Noradrénaline avec suivi de la tension artérielle par le SMUR. Il reçoit une dose de 2 g de Céfépime aux urgences. La saturation se stabilise à 90 % sous 1 litre d'O2. Les hémocultures sont à pister et les Ag urinaires ainsi que les cultures d'expectoration à pister. Le patient est transféré par le SMUR en ambulance aux soins intensifs de Fribourg pour suite de prise en charge. L'ECG et la prise de sang sont rassurants. Le CT-scan montre une légère progression de l'épanchement pleural et donc du cancer, pas d'embolie pulmonaire. Vu qu'un syndrome coronarien aigu, un pneumothorax, une pneumonie, une embolie pulmonaire sont exclus et qu'il n'y a pas d'argument clinique pour une dissection aortique, nous laissons le patient regagner son domicile. Contrôle chez le médecin traitant si nécessaire. L'ECG et le laboratoire permettent d'exclure une cause cardiaque, et la clinique d'exclure une embolie pulmonaire. Nous retenons une origine pariétale pour ces douleurs, et le patient rentre à domicile avec traitement symptomatique. L'ECG met en évidence un intervalle QT normal, raison pour laquelle nous conseillons la poursuite de l'Escitalopram, de l'Olanzapine et de la Ciprofloxacine, et un ECG de contrôle chez le médecin traitant. Vu la sensation de vidange incomplète de la vessie, nous recommandons un traitement par Tamsulosine. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'au 12.01.2019 et contrôle chez le médecin traitant le 11.01.2019. L'ECG montre un rythme de BAV et bloc de branche droit superposable à un comparatif. La radiographie du thorax montre une cardiomégalie et des signes de surcharge. Le patient est stable hémodynamiquement, hypertendu et bradycarde 38-44 bpm. Le patient reçoit une dose de Lasix 40 mg iv en bolus, avec suivi rapproché de la diurèse, ramenant 520 cc. Le bilan biologique ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire, le dosage du NTproBNP revient à 820 ng/l. Sur une anamnèse d'angor de type crescendo les derniers jours, nous réalisons un dosage des troponines revenant à 42, 43 et 55 ng/L respectivement à T0, T1 et T3. Sur des troponines positives avec une cinétique, nous retenons un NSTEMI. Sur un score de GRACE à 134 points/13 %, nous décidons de transférer le patient aux soins intensifs de Fribourg pour suite de la prise en charge. Départ en ambulance.Sur une anamnèse d'angor de type crescendo les derniers jours, nous réalisons un dosage des troponines revenant à 42, 43 et 55 ng/L respectivement à T0, T1 et T3. Sur des troponines positives avec une cinétique, nous retenons un NSTEMI. Sur un score de GRACE à 134 points/13%, nous décidons de transférer le patient aux soins intensifs de Fribourg pour suite de la prise en charge. Départ en ambulance. L'ECG ne montre pas de signe d'ischémie, et la cinétique des troponines l'exclut. Le patient rentre à domicile avec traitement symptomatique. L'ECG ne montre pas de signe d'ischémie ou de trouble du rythme. La patiente par ailleurs ne présente pas de symptôme de type angor. Nous réalisons un bilan biologique qui revient sans particularité. Le test de Schellong est négatif. La patiente ne présente pas de plainte aux urgences et n'évoque pas de perte de connaissance. Nous retenons un probable prodrome de malaise vasovagal, avec diagnostic différentiel de trouble du rythme. Une évaluation cardiologique serait préconisée avec pose de Holter à distance. L'ECG ne montre pas de signes d'ischémie aiguë avec des ondes T aux précordiales déjà présentes sur un comparatif. Sur un score de Genève à 6 points et une notion de long voyage, nous réalisons un dosage de D-Dimères revenant négatifs à <190 ng/ml et permettant d'exclure une embolie pulmonaire chez un patient par ailleurs anticoagulé avec un INR thérapeutique à 3. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire ou de troubles électrolytiques, nous réalisons deux dosages de troponines à T0 et T1 revenant à 9 ng/L et 9 ng/L sans cinétique permettant d'exclure un NSTEMI. Le patient est par ailleurs porteur d'un Reveal qui a été posé il y a bientôt 2 ans. Nous préconisons au patient de fixer une consultation pour un avis cardiologique à distance avec un test d'effort (dernier contrôle chez le Dr X il y a 1 an). Sur résolution des douleurs après la prise de l'antalgie simple et la surveillance aux urgences, nous laissons le patient rentrer à domicile. L'ECG réalisé montre une tachycardie à QRS fins, régulière à 150 bpm. Nous réalisons des manoeuvres vasovagales avec ralentissement graduel puis accélération nouvelle. Échec quant à l'administration de l'Adénosine 6 mg et 12 mg en IV. À noter que nous n'objectivons pas d'onde de flutter. La patiente reçoit une dose de Dilzem 25 mg iv permettant le retour en rythme sinusal régulier à 83 bpm, nous n'objectivons pas d'onde delta. Nous concluons à une tachycardie supraventriculaire par réentrée intra-nodale. La patiente reste pendant la surveillance aux urgences sur 12 heures, présente une stabilité hémodynamique. Nous mettons en place le traitement par Beloc Zok 25 mg. La patiente va prendre un rendez-vous chez le cardiologue prochainement. L'échographie confirme une thrombose veineuse profonde du membre supérieur droit, la radiographie du thorax montre une surélévation de la coupole diaphragmatique droite qui nous indique une paralysie du nerf diaphragmatique droit. Globalement, la clinique nous fait suspecter la présence d'une néoplasie. Après discussion entre le Dr X et le médecin traitant, le patient reçoit un traitement par Clexane, il rentre à domicile avec contrôle aux urgences demain le 07.01.2019 à 10H00 pour prise de sang (Anti-Xa pour adapter la Clexane et la créatinine). Un CT-scan du cou-thorax injecté est agendé le 07.01.2019 à 11H30. L'écoulement purulent objectivé est imputable à un granulome superficiel, en l'absence d'argument franc pour une collection ou une infection en profondeur. Toutefois, on recommande la poursuite d'antibiothérapie par Clindamycin. On procède à la réfection du pansement après désinfection avec Bétadine. Nous recommandons de poursuivre la réfection du pansement quotidiennement et le prochain contrôle clinique aura lieu à Meyriez par le Dr X. Lecture de l'ECG. Léger saignement du col sur pose de mobilisateur utérin. Léger stridor inspiratoire aux pleurs (mais connu d'après les parents) et contexte de respiration laryngée bruyante. Proposition de réévaluation avec pédiatre en dehors d'un épisode infectieux, DD: laryngomalacie? Légère amélioration avec un épisode de boiterie de moindre intensité ce matin, asymptomatique en consultation. Foyer ORL en amélioration sous antibiothérapie. Légère contusion de la lèvre supérieure suite à une chute. Status post-tumeur de Wilms rein droit : traité par chirurgie, radiothérapie et chimiothérapie. Status post-récidive pulmonaire de tumeur de Wilms en 2009, traitée par chimiothérapie. Légère décompensation cardiaque. Légère hématémèse sur efforts de vomissements. Légère hyperkaliémie à 5,1 mmol/l. Légère hypokaliémie à 3.3 mmol/l le 14.12.2018. Légère hypokaliémie à 3.4 mmol/l le 10.12.2018. Légère hypokaliémie à 3.6 mmol/l et hyponatrémie à 134 mmol/l. Légère hypomagnésiémie le 20.12.2018 à 0.63 mmol/l. Légère hyponatrémie hypoosmolaire à 131 mmol/l. Légère protéinurie le 20.01.2019. Légères douleurs abdominales basses sur constipation, contrôle de l'évolution d'un hématome du grand droit à droite. Léiomyosarcome FIGO 1B et hystérectomie en 2011. Lombosciatalgies récidivantes associées à des gonalgies ddc le 11.10.2012. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 20.06.2014. Éventration sur cicatrice de laparotomie incarcérée avec : • iléus grêle mécanique. Ct-scanner abdominal le 22.10.2014. Cure de hernie cicatricielle avec filet ProGrip selon Rives et adhésiolyse le 23.10.2014. Léiomyosarcome utérin FIGO IIIA (L1, V2, R1) • date du diagnostic : mai 2008 • histologie : léiomyosarcome peu différencié, G3, ER +, PR + • status post-laparotomie médiane avec hystérectomie et annexectomie bilatérale, mai 2008 • status post-radiothérapie à visée curative sur le bassin en juin 2008 (54 Gy) • status post-iléus de l'intestin grêle sur radiothérapie, octobre 2012 • récidive en août 2014, deux tumeurs de l'épiploon et une tumeur fixée au côlon sigmoïdien, août 2014 • status post-résection des trois masses tumorales avec résection segmentaire du sigmoïdien et anastomose latéro-terminale le 20.08.2014 • status post-laparotomie de révision, démontage de l'anastomose colorectale et descendo-stomie terminale selon Hartmann, lavage abdominal sur lâchage d'anastomose sigmoïdienne et péritonite le 28.08.2014 • histologie : léiomyosarcome dans 3 nodules réséqués et dans un nodule lors de la reprise • anamnèse familiale : frère maladie de Hodgkin, grand-mère carcinome utérin, grand-mère carcinome de l'estomac • status post-chimiothérapie par Taxotere et Gemzar du 29.10.2014 au 11.02.2015 (4 cycles complets, dernière cure sans Taxotere) • status post-rétablissement de la continuité iléo-colique, 09.09.2015 • forte suspicion d'une métastase isolée au niveau de la lingula (pulmonaire 12 x 8 mm), pas d'autre métastase (adénopathie suspecte hile rénale gauche) • rechute avec nodule solitaire pulmonaire, segment inférieur de la lingula, janvier 2016 • status post-résection Wedge d'un nodule situé dans la lingula pulmonaire gaucheléiomyosarcome épithélioïde de haut grade mesurant 1.6 cm, Promed P2065.16), 25.02.2016 • progression tumorale en décembre 2017 avec apparition d'une masse médiastinale, petit nodule dans la plèvre médiastinale au niveau de la lingula sans évolution, apparition d'implants abdominaux • status sous thérapie par Votrient depuis fin décembre 2017 • progression tumorale des multiples métastases pulmonaires et abdominales, mars 2018 • status post-5 cycles de chimiothérapie par Caelyx du 06.04 au 14.08.2018, réponse dissociée • discrète progression des masses tumorales intra-abdominales (17%) décembre 2018 • actuellement : introduction d'une chimiothérapie par Gemzar Léiomyosarcome utérin FIGO IIIA (L1, V2, R1) • date du diagnostic : mai 2008 • histologie : léiomyosarcome peu différencié, G3, ER +, PR + • status post-laparotomie médiane avec hystérectomie et annexectomie bilatérale, mai 2008 • status post-radiothérapie à visée curative sur le bassin en juin 2008 (54 Gy) • status post-iléus de l'intestin grêle sur radiothérapie, octobre 2012 • récidive en août 2014, deux tumeurs de l'épiploon et une tumeur fixée au côlon sigmoïdien, août 2014 • status post-résection des trois masses tumorales avec résection segmentaire du sigmoïdien et anastomose latéro-terminale le 20.08.2014 • status post-laparotomie de révision, démontage de l'anastomose colorectale et descendostomie terminale selon Hartmann, lavage abdominal sur lâchage d'anastomose sigmoïdienne et péritonite le 28.08.2014 • histologie : léiomyosarcome dans 3 nodules réséqués (Promed P7467.14) et dans un nodule lors de la reprise (Promed P7745.14) • status post-chimiothérapie par Taxotere et Gemzar du 29.10.2014 au 11.02.2015 (4 cycles complets, dernière cure sans Taxotere) • status post-rétablissement de la continuité iléo-colique, 09.09.2015 • forte suspicion d'une métastase isolée au niveau de la lingula (pulmonaire 12 x 8 mm), pas d'autre métastase (adénopathie suspecte hile rénale gauche) • rechute avec nodule solitaire pulmonaire, segment inférieur de la lingula, janvier 2016 • status post-résection Wedge d'un nodule situé dans la lingula pulmonaire gauche (histologie : léiomyosarcome épithélioïde de haut grade mesurant 1.6 cm, Promed P2065.16), 25.02.2016 • progression tumorale en décembre 2017 avec apparition d'une masse médiastinale, petit nodule dans la plèvre médiastinale au niveau de la lingula sans évolution, apparition d'implants abdominaux • status sous thérapie par Votrient depuis fin décembre 2017 • progression tumorale des multiples métastases pulmonaires et abdominales, mars 2018 • status post-5 cycles de chimiothérapie par Caelyx du 06.04 au 14.08.2018, réponse dissociée • discrète progression des masses tumorales intra-abdominales (17%) décembre 2018 • actuellement : introduction d'une chimiothérapie par Gemzar depuis le 11.12.2018 pour progression métastatique intestinale le 30.11.2018 L'électrocardiogramme fait par les ambulanciers montre une tachycardie sinusale à 114/min, à l'entrée le patient s'est spontanément ralenti à 100 et demeure ainsi. L'ECG aux urgences est superposable à un comparatif d'avril, il n'y a pas de cinétique des troponines. On constate un syndrome inflammatoire modéré au laboratoire, il n'y a pas de signe d'appel pour un foyer à l'anamnèse et au status. En l'absence d'autres étiologies pour cette tachycardie, on complète avec des D-dimères qui sont positives. L'angio CT permet d'exclure une embolie pulmonaire, mais met en évidence quelques infiltrats en verre dépoli qui pourraient être compatibles avec une infection. Nous décidons de ne pas introduire de traitement en l'absence de clinique. Selon les transmissions de notre collègue de radiologie, il y a un nodule spiculé du lobe moyen qui est nouveau par rapport à un comparatif de l'été 2018, non signalé dans la description du CT thoracique effectué à Berne. Nous laissons le soin au médecin traitant de récupérer le rapport définitif du scanner et de le comparer à celui de Berne, avec consultation pneumologique à organiser également. Le patient a pour consigne de prendre rendez-vous dans la semaine chez son médecin de famille. Merci au médecin de famille de pister la TSH réalisée ce jour également. L'EMG confirme un syndrome du tunnel carpien bilatéral à prédominance droite. L'EMG confirme un syndrome du tunnel carpien droit net. L'ENMG montre une persistance d'atteinte du radial avec une prolongation de la latence différentielle motrice. Au niveau du nerf médian, il a une atteinte sensible et motrice. Mr. Y présente une rupture partielle de l'aileron rotulien interne suite à une luxation de la rotule gauche. L'IRM a pu exclure des lésions cartilagineuses. Je propose un traitement conservateur, le patient est équipé d'une orthèse articulée type jbrace qu'il portera pour une durée totale de 6 semaines. Il ira faire de la physiothérapie pour tonifier le vaste médial du quadriceps afin de centrer la rotule. Arrêt de sport pour deux mois. Prochain contrôle le : 15.02.2019. Mr. Y est admis dans le service le 02.01.2019 pour une insuffisance respiratoire dans le contexte d'une bronchite spastique. Au niveau respiratoire, il reçoit aux urgences 3x6 pushs de Ventolin et une première dose de Betnesol (0,25 mg/kg), avec une bonne amélioration clinique. Les pushs de Ventolin sont par la suite espacés progressivement aux 6h, et le traitement de corticoïdes est poursuivi jusqu'au jour de la sortie. Il nécessite de l'oxygène aux lunettes du 02.01.2019 au 03.01.2019. Un protocole de médecine antroposophique pour bronchite obstructive est mis en place dès l'entrée. Il reste stable au niveau hémodynamique au cours du séjour, et l'alimentation et les mictions sont conservées. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mr. Y rentre à domicile le 04.01.2019, avec un schéma dégressif de Ventolin et un contrôle chez le pédiatre en début de semaine suivante. Mr. Y est hospitalisé pour surveillance respiratoire et difficultés alimentaires dans le contexte d'une bronchiolite à RSV. Sur le plan respiratoire, il nécessite de l'oxygénothérapie aux lunettes en raison de désaturation. Il présente une péjoration respiratoire le 21.01 avec une détresse majorée et une acidose respiratoire à la gazométrie. Dans ce contexte, il est transféré en néonatologie pour bénéficier d'une oxygénothérapie avec HighFlow (max 8L à 30%). Les contrôles démontrent par la suite une bonne évolution de sa détresse respiratoire avec un sevrage complet d'O2 le 27.01. Sur le plan digestif, il est entièrement sondé jusqu'au 22.01, avec reprise progressive de l'alimentation par la suite. Des apports oraux suffisants sont possibles dès le 25.01.2019. Son poids de sortie est 4010g. Sur le plan infectieux, une PCR RSV revient positive. Il reste afébrile durant son séjour. Mr. Y est un prématuré de 34 3/7 SA, hospitalisé en néonatologie en raison de la prématurité. Sur les plans hémodynamique, Mr. Y présente à l'entrée une pâleur avec des hypotensions artérielles d'emblée. Une anémie à 113 g/L est également mise en évidence. L'hypotension est corrigée par l'administration de Solucortef et non d'un bolus afin de ne pas diluer son hémoglobine davantage. Mr. Y bénéficie également d'une transfusion sanguine le 10.01.2019 permettant de corriger l'anémie à 155 g/L. Par la suite, il reste hémodynamiquement stable.Sur le plan neurologique, en raison de son anémie, un ultrason cérébral est effectué le 11.01.2019, à la recherche d'hémorragie. Celui-ci met en évidence des hyperéchogénicités péri-ventriculaires bilatérales prédominant à droite. Dès le premier jour de vie, il commence à présenter des désaturations/apnées, qui sont en augmentation relative à la fréquence et à la sévérité nécessitant de plus en plus la stimulation tactile. Dans la soirée du 11.01, Léon présente une nette augmentation de ses apnées stimulées, raison pour laquelle nous craignons des convulsions infracliniques. Ce pourquoi un transfert dans un centre universitaire permettant une surveillance cardio-respiratoire et neurologique (aEEG) ainsi qu'un traitement approprié est justifié. Léon est donc transféré au CHUV pour suite de prise en charge. L'épanchement articulaire et la tuméfaction du patient viennent soit d'une irritation du genou avec arthrose débutante et inflammation de la graisse de Hoffa ou quand même DD d'une crise de goutte. Pour l'instant, je propose tout de même de faire de la physiothérapie avec mobilisation du genou, massage et stretching des tendons de l'appareil extenseur. Prochain contrôle dans 4-6 semaines. L'épistaxis est spontanément résolue et le patient sera vu par l'ORL le lendemain. Pour ce qui est de l'hypertension artérielle, la tension se normalise après la prise de son traitement habituel, majoré par la prise de 5 mg d'Amlodipine en ordre unique. Le patient prendra rendez-vous avec son médecin traitant pour évaluer l'indication à adapter le traitement antihypertenseur. L'épistaxis n'est pas objectivée lors de la consultation, mais nous retrouvons quelques croûtes sanguines au niveau de la narine gauche. Il n'y a pas d'écoulement postérieur. Nous essayons de déclencher un nouveau saignement par un mouchage fort, sans récidive. Nous autorisons donc la patiente à regagner son domicile. En cas d'apparition d'épistaxis fréquents, nous invitons la patiente à prendre contact avec un ORL. L'équipe médicale de la SUVA sera contactée par les neurochirurgiens. Un contrôle fluoroscopique du gastrotube est à agender par les médecins de la SUVA. Les analyses sanguines ne mettent pas en évidence de signes inflammatoires, les urines ne montrent pas de signe d'infection. La patiente étant tout de même symptomatique, nous introduisons un traitement de Furadantine et lui proposons de rappeler dans 3 jours pour avoir les résultats de l'Uricult prélevé ce jour. Les conditions de la cute ne sont pas connues chez un patient ne présentant pas de prodrome. Nous proposons une suite de prise en charge par le Dr. X, qui connaît déjà le patient. Veuillez s'il vous plaît convoquer le patient au plus tôt pour suite de prise en charge. Le patient reviendra à la Permanence le 03.01.2019 pour effectuer un CT du poignet afin d'exclure une fracture de l'os scapulaire. Les critères de Centor sont positifs, nous effectuons un streptotest qui est positif. Nous donnons à la patiente de la Co-Amoxicilline et de l'antalgie. Les défauts d'axes des MI peuvent être encore physiologiques à cet âge. Dans ce contexte et étant donné qu'il est asymptomatique, nous ne proposons pas pour le moment d'investigation complémentaire. Il s'agira de suivre son évolution. En cas de persistance de la déformation ou d'une progression, la situation sera à réévaluer. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Les deux fils nommés respectivement représentant administratif et thérapeutique. Discussion avec la Justice de Paix le 11.12.2018 : institutionnalisation en EMS. Les deux options sont expliquées à la grand-mère. Désinfection, pas d'immobilisation. Les différentes options thérapeutiques sont discutées avec la patiente. Mise en place d'un traitement conservateur avec ergothérapie, infiltration et mise au repos jusqu'à une opération. La patiente ne désire pas, pour l'instant, se faire opérer. Nous prescrivons 9 séances d'ergothérapie pour stabilisation et mesure anti-inflammatoire. La patiente reprendra contact avec notre service si les douleurs devaient se péjorer pour discuter d'une opération. À ce moment-là, la patiente refera des clichés radiologiques. Les données cliniques parlent en faveur de douleurs musculo-squelettiques, ce qui est confirmé par un bilan biologique et radiologique normaux. Nous conseillons à la patiente un traitement symptomatique et un contrôle chez le médecin traitant si nécessaire. Les douleurs actuelles sont probablement liées à des discopathies L4-L5 et L5-S1. Avant de planifier une intervention chirurgicale, nous proposons de compléter le bilan par une IRM avec séquences discales. Prochain contrôle à la suite de cet examen. Les douleurs disparaissent après 1 g de paracétamol et la patiente veut rentrer rapidement à domicile, nous devons insister pour qu'elle attende les résultats et les papiers. Elle dit vouloir voir son médecin traitant demain plutôt. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire. En ce qui concerne la demande de changement de traitement antihypertenseur, nous lui expliquons que son médecin traitant est le mieux placé pour procéder à une modification car nous ne pouvons pas la suivre ensuite. Elle le verra donc en contrôle. En ce qui concerne l'otalgie, un suivi étant déjà en place chez le spécialiste, nous n'entreprenons rien de plus. Les douleurs lombaires semblent plutôt d'origine musculo-squelettique, mais au vu des antécédents de la patiente et de l'intensité des douleurs, nous effectuons tout de même des examens complémentaires, qui mettent uniquement en évidence une infection urinaire. Les douleurs ne nous semblent pas être causées par cette persistance de pseudarthrose entre le greffon et le pôle proximal, mais plutôt dues à une tendinite ou à cette cicatrice au niveau du tuberculum scaphoidei. Nous demandons ainsi au Dr. X de bien vouloir effectuer une sonographie du tendon FCR et d'effectuer une infiltration du tendon avec de la cortisone. Nous reverrons le patient 6 semaines après l'infiltration. Nous le reverrons également 6 mois après notre consultation de ce jour pour un contrôle par CT. Les douleurs ont nettement diminué, et ceci sans prise d'antalgique. Nous ne répétons donc pas de bilan biologique, et n'effectuons pas d'ultrason pour investiguer une éventuelle appendicite. La palpation d'un cordon de selles dures, couplée à l'absence de transit depuis 48 heures, nous fait suspecter une coprostase comme origine aux douleurs. Nous prescrivons un traitement de sirop de figue. La patiente reconsultera en cas d'évolution défavorable ou de persistance de douleurs à 1 semaine. Les douleurs persistent malgré la prise de Dafalgan et sont soulagées par la prise de Temesta. Vu qu'un syndrome coronarien aigu, une pneumonie, un pneumothorax ont été exclus et qu'il n'y a pas d'argument clinique en faveur d'une embolie pulmonaire ou d'une dissection aortique, nous considérons les douleurs probablement dans le contexte d'une crise d'angoisse. Nous conseillons au patient de chercher du soutien moral et entre-temps nous lui conseillons un traitement par Temesta maximum 1x/jour. Contrôle chez le médecin traitant si nécessaire. Les douleurs semblent liées au contexte psycho-social difficile du patient. Au vu de troubles de la repolarisation à l'ECG, nous effectuons néanmoins des troponines, qui sont dans la norme. Nous expliquons au patient, qui aimerait un traitement pour dormir, que nous ne prescrivons pas de somnifère à long terme mais qu'il pourra en discuter avec le psychiatre qu'il a prévu de voir la semaine prochaine, voire avancer le rendez-vous en cas de besoin.Les douleurs sont bien palliées avec la prise de Dafalgan. Vu l'absence de notion de traumatisme et de signe neurologique au niveau des membres inférieurs, de la bonne évolution clinico-biologique et après discussion avec le Dr. X, nous décidons de ne pas faire d'imagerie. Nous prescrivons une antalgie et conseillons un contrôle chez le médecin traitant selon l'évolution des douleurs. Les douleurs sont imputables à la persistance d'une inflammation des tendons péroniers. Nous lui prescrivons une cure d'anti-inflammatoires pour 3 semaines avec une protection gastrique. Bien qu'il demande de la physiothérapie, nous estimons que cela pourrait exacerber les douleurs. Nous le reverrons dans 1 mois pour un contrôle. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% pour 1 mois. Les douleurs sont mal systématisées et ne correspondent pas à une racine en particulier. Vu que la patiente décrit un épisode similaire du côté controlatéral juste quelques jours avant, nous soupçonnons une polyneuropathie due à la compression prolongée par la mauvaise position du dos (cyphose) et par les mouvements répétitifs (caissière) et conseillons un traitement symptomatique. Nous laissons le médecin traitant faire le bilan complémentaire afin d'exclure une autre étiologie possible de la polyneuropathie. Les douleurs sont peu intenses, l'examen clinique est plutôt rassurant. Les analyses urinaires sont dans la norme. Au laboratoire, on ne retrouve pas de syndrome inflammatoire important. Nous proposons à la patiente soit d'être vue ce soir en gynécologie, soit de prendre contact avec son gynécologue traitant dès demain, en l'absence de douleur intense ou de signe inquiétant aux différents examens. Elle choisit la 2ème option et reconsultera en urgence en cas d'aggravation. Les douleurs sont reproductibles à la palpation, augmentées au port de charges et localisées au niveau du point d'appui du soutien-gorge. Il n'y a pas d'argument pour une atteinte organique. Nous donnons à la patiente les conseils d'usage et lui recommandons également de reconsidérer sa consommation de cigarettes. Score de Genève : 1 Les douleurs sont reproductibles à la palpation. L'ECG est sans particularité. Nous lui proposons donc un traitement antalgique simple et de reconsulter en cas de nouveau symptôme. Les douleurs sont soulagées par la prise d'AINS. Le status neurologique est normal. Le status montre une contracture musculaire paravertébrale cervicale droite qui reproduit des douleurs frontales droites. Les douleurs sont également reproductibles à la palpation du sinus frontal à droite et lorsque le patient se penche en avant. Nous retenons le diagnostic de céphalées cervicogéniques. Le patient effectuera également des rinçages nasaux 3x/jour afin de dégager le nez (DD : sinusite virale). Le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique simple et consultera son médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Les douleurs sont soulagées par une titration d'opiacés et la marche redevient possible. En l'absence de red flags d'une lombalgie, le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique et une prescription de physiothérapie à faire à distance. Les douleurs thoraciques sont de résolution spontanée aux urgences. L'ECG trouve un BAV de premier degré et des ondes plates en D3. La radiographie de thorax est normale. Vu que les douleurs sont soulagées sans prise d'antalgique et que les examens clinico-radiologiques sont rassurants, nous laissons la patiente regagner son domicile. Nous conseillons à la patiente de consulter un cardiologue afin de décider si des investigations plus approfondies (Holter, ECG, R-test, etc.) sont nécessaires. Les examens biologiques sont dans la norme avec l'alcoolémie à 0.04. Nous avons pris contact avec les soins intensifs à Fribourg pour le transfert du patient. Le patient a été intubé par le SMUR et il est transféré à Fribourg. Mr. Y, patient de 22 ans, est admis aux soins intensifs pour coma profond sur intoxication au GHB dans un contexte d'alcoolisation associée. Les examens complémentaires effectués aux urgences le 12.12.2018 ne montrent pas de fracture. Les examens complémentaires ne mettent pas en évidence de pathologie aiguë hormis une insuffisance rénale légère et une alcoolémie somme toute relativement élevée. Les NT pro BNP sont plutôt élevés, mais le patient ne montre pas de signe de décompensation cardiaque, c'est pourquoi nous le stimulons plutôt à l'hydratation. Les examens complémentaires sont rassurants, le patient ne se plaint pas d'une dyspnée nouvelle. Nous constatons une désaturation asymptomatique à 83% à l'air ambiant après un aller-retour dans le couloir, mais la gazométrie effectuée dans les 5 minutes après l'effort est superposable au comparatif d'octobre 2018. Dans ce contexte et au vu d'une auscultation modérément spastique, nous laissons le patient rentrer à domicile avec du Ventolin et un contrôle dans la semaine chez son médecin traitant. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Radiographie cheville gauche : fracture Weber B. Ex cheville gauche en charge. Avis orthopédique (Dr. X) : botte plâtrée fendue, retour à domicile avec antalgie et Clexane, opération prévue le 25.01.2019 (la patiente sera convoquée) Attitude : • Botte plâtrée fendue. • Retour à domicile avec antalgie et Clexane prophylactique + cannes. • Décharge complète. • La patiente sera convoquée par les orthopédistes pour une opération prévue le 25.01.2019. Les examens effectués sont expliqués au patient. ECG : rythme sinusal régulier, PR normal, QRS fin, pas de sus-décalage ST, bonne progression de l'onde R, T normaux. Schellong : normal. Laboratoire : Troponines H0: 11 ng/l; H1 9 ng/l. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Anamnèse et examen clinique. Examen ophtalmique à la Fluorescéine : lésion type kératite cornéenne visualisée. Gel Floxal et pansement compressif œil droit. Suite de prise en charge en ophtalmologie le 05.01.2019. Recommandation de reconsulter en cas d'état fébrile, frissons. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Avis orthopédie (Dr. X) : proposition d'infiltration refusée par la patiente, physiothérapie, traitement symptomatique. Radiographie face et Neer : pas de calcification. Attitude : • Traitement anti-inflammatoire. • Physiothérapie. • Immobilisation. • Proposition de consultation chez le médecin traitant si persistance symptomatologie +/- infiltration, +/- IRM. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. CT cérébro-cervical : volumineux hématome sous-galéal, pas de saignement intra-crânien, doute sur une lésion ligamentaire au niveau atlanto-axial gauche car densité décentrée. Avis orthopédique (Dr. X/ Dr. X). Immobilisation par minerve de Philadelphie. IRM cervicale le 10.01.2019. Consultation au Team Spine le 10.01.2019 après l'imagerie. Antalgie par Dafalgan, Irfen. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. CT du massif facial (transmission orale) : pas de fracture du plancher orbitaire, pas de fracture des os propres du nez Attitude : • Retour à domicile avec antalgie. • Recommandation de reconsulter en cas de signes de gravité. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Examen clinique. Radiographie du 15.01.2019 : face + profil + axiale : pas de lésion osseuse visualisée. Avis orthopédiste (Dr. X) : Attitude : • Traitement antalgique. • Décharge. • Arrêt de travail. • Contrôle chez le médecin traitant pour suite de prise en charge.Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Hypnose par infirmière spécialisée. Morphine iv 5 mg. Débridement sur environ 2 cm. Pansement. Attitude: • Contrôle à la filière à 24 h pour suivi. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire : hypokaliémie légère. ECG : normal. Schellong : symptomatique avec voile noir et palpitations. Substitution per os potassium. Recommandation de consulter les urgences en cas de douleur rétrosternale / dyspnée. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire : leucocytes 8.8 G/l, CRP 76 mg/l. Sédiment urinaire : purée de leucocytes, érythrocytes 3-5/champ, nitrite négatif. Culture d'urines : en cours. 2 x 2 hémocultures : en cours. Aux urgences : 1 L NaCl 0.9 % i.v., Dafalgan 1 g, Voltarène 50 mg, Rocéphine 2 g i.v. Ciprofloxacine 2 x 500 mg/jour p.o. pendant 7 jours. Pister la culture d'urines dans 48 heures. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Radiographie de thorax : aplatissement des coupoles diaphragmatiques, pas de foyer pulmonaire visualisé. Traitement symptomatique. Proposition de réaliser des fonctions pulmonaires en ambulatoire. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire : troponines H0 négatif. ECG. Attitude: • Retour à domicile avec Valverde. • Proposition de consulter un psychiatre ou son médecin traitant. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire : troponines négatives. ECG. Ad Zolmitriptan 2.5 mg intra-nasal. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire. Avis Neurologie (Dr. X) : IRM colonne cervicale, la patiente sera convoquée. Feuille d'information IRM remplie. Antalgie simple. Arrêt maladie. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Recommandation de consulter en cas de péjoration, de douleurs intenses. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire de contrôle. Attitude: • Retour à domicile avec poursuite du traitement. • Recommandation de reconsulter en cas de signes de gravité. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire patient source : HIV négatif. Consilium infectiologie (Dr. X) . Attitude: • Pas de PEP, suivi en infectiologie à distance (convocation pour suivi à 6 semaines pour PCR HCV vs tests hépatiques 1 x/mois). Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire. Streptotest : positif. Attitude : • Retour à domicile avec antibiothérapie par Pénicilline V 1.5 mio U pendant 10 jours. • Traitement symptomatique. • Retour aux urgences en cas de péjoration des symptômes. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire. Aux urgences : Dafalgan 1 g p.o., Morphine 10 mg p.o., Morphine 4 mg i.v. Attitude: • Retour à Transit avec antalgie. • Recommandation de reconsulter le rhumatologue traitant si récidive ou en urgence en cas de signes de gravité. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire. Avis neurologique par téléphone (Dr. X) : pas de nécessité d'un scanner en urgence. Convocation en ambulatoire pour EEG. Urbanyl 10 mg 1 x/jour au coucher dans l'attente de l'EEG. Retour au domicile. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire. Coproculture : négative. Évolution spontanément favorable. Attitude : • Arrêt de la Ciprofloxacine 500 mg 2 x/jour. • Traitement symptomatique. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire. ECG. Test de Shellong symptomatique avec léger vertige, pas de baisse significative de la tension artérielle. Retour à domicile. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire. Radiographie genou gauche ap/lat/tangentiel : pas de fracture visible. CT natif genou gauche (Dr. X, rapport téléphonique) : pas de fracture, tendon patellaire intact, pas de rupture tendon quadriceps. Avis orthopédique (Dr. X / Dr. X) . Retour à domicile avec poursuite du Xarelto. Consultation recommandée chez son orthopédiste à la clinique St-Anne pour un contrôle clinique. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Radiographie : fracture distale du radius droit avec bascule postérieure. Avis orthopédique : opération prévue le 17.01.19. Laboratoire : Na 134, K 3.7, Hb 89, MCV 75, MCHC 303, Crase : TP 78 %, INR 1.1, PTT 33. Plâtre AB fendu. Retour à domicile avec antalgie pour la nuit. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Radiographie bassin : pas de fracture. Radiographie lombaire : pas de fracture visible. Avis orthopédique (Dr. X) : décompensation de l'articulation sacro-iliaque à gauche, la patiente présente déjà une arthrose avancée du dos. Il n'y a pas eu de traumatisme aigu. Pour compléter le bilan, il faudrait une IRM. Antalgie avec Brufen 400 mg 3 x/jour et majoration du traitement Pantozol si besoin. Mettre en place un traitement avec physiothérapie. Si la patiente ne présente pas d'amélioration, elle devra prendre contact avec le Dr. X. • Retour à domicile avec antalgie et physiothérapie. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Radiographie bras et clavicule gauche. Avis orthopédique (Dr. X) : • Fracture claviculaire gauche : prise en charge conservatrice. • Adressée au Team membre supérieur en cas de péjoration des douleurs ces 10 prochains jours. • Retour à domicile avec majoration de l'antalgie. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Radiographie cheville gauche : pas de fracture. Attelle Aircast. Contrôle chez son médecin traitant à 5 jours. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Radiographie du genou gauche. Avis orthopédique (Dr. X) . Attitude : • Retour à domicile avec antalgie, décharge avec cannes anglaises selon douleurs, importance du déroulé du pied expliquée. • Contrôle clinique en team genou à J7-10. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Radiographie du thorax : pas de foyer. Traitement symptomatique. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Radiographie du thorax. Streptotest : négatif. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Recommandation de reconsulter en cas de signe de gravité. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Radiographie orteil 5 face /oblique. Avis orthopédique (Dr. X) . Syndactylie orteil 4 et 5. Chaussure à semelle rigide Darco. Glace, repos et anti-inflammatoire. Contrôle radio-clinique en consultation ortho urg à 10 jours. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Radiographie thorax (Dr. X) : suspicion de foyer au niveau lobaire inférieur droit. Co-Amoxicilline 1 g, 2 x/jour pendant 7 jours. Traitement symptomatique. Rendez-vous de suivi en fin de semaine prochaine chez son généraliste. Radiographie de contrôle à 1 mois. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Radiographies colonne cervicale colonne dorsale. Scanner colonne dorsale. Avis orthopédique : Dr. X. Antalgie par Dafalgan, Irfen et Sirdalud. Retour à domicile. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Radiographies du pouce droit face + profil : congruence osseuse normale, pas de fracture. Avis orthopédique (Dr. X) : immobilisation par gantelet type pouce du skieur, IRM en ambulatoire, contrôle team membre supérieur après réalisation de l'imagerie (10 jours). Traitement antalgique. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Stix / Sédiment. Uriculture envoyé. Attitude : Ciprofloxacine 500 mg 2 x/jour pendant 7 jours. Le patient est instruit qu'il doit reconsulter en cas de symptômes de gravité. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Test de grossesse négatif. Analyses urinaires. Laboratoire. Soulagement de la patiente avec la Morphine per os. Retour au domicile avec Tramadol en réserve, laxatif en réserve et Iberogast.Consultation prévue chez le gastro-entérologue dans une semaine. Les examens effectués sont expliqués au patient. Analyse urinaire : pas de micro-hématurie, pas de douleur au moment de la consultation. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant. Les examens effectués sont expliqués au patient. Anamnèse et examen clinique. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Avis angiologie (Dr. X) : thrombose de la veine saphène superficielle et de la veine fémorale commune. Traitement par anticoagulation de Rivaroxaban 15 mg 2x/jour pendant 3 semaines puis Xarelto 20 mg 1x/jour pendant 6 mois. Suite de la prise en charge chez le chirurgien vasculaire Dr. X la semaine du 14.01.2019. Recommandation de reconsulter en cas de saignement, feuille d'information donnée au patient. Les examens effectués sont expliqués au patient. Anamnèse et examen clinique. Radiographie de l'épaule et acromio-claviculaire le 04.01.2019. • avis orthopédique (Dr. X). • proposition de traitement conservateur ou chirurgical dans le contexte d'une atteinte acromio-claviculaire stade 3 selon Rockwood. • antalgie. • arrêt maladie. • IRM en ambulatoire : le patient sera convoqué. • contrôle Team membre supérieur après IRM dans une semaine. Les examens effectués sont expliqués au patient. Antalgie. Biologie sanguine. CT-lombaire et bassin injecté : pas de fracture, hématome musculature para-lombaire droit sans saignement actif. Retour à domicile avec traitement antalgique. Arrêt de travail 1 semaine et revoir selon évolution. Les examens effectués sont expliqués au patient. ECG normal : rythme sinusal régulier à 44/min, QRS étroit, QTc dans la norme, pas de trouble de la repolarisation. Radiographie du thorax : pas de pneumothorax, pas de fracture costale, pas d'infiltrat. Retour à domicile avec antalgie simple. Suite de cas au besoin chez le médecin traitant. Les examens effectués sont expliqués au patient. ECG pas de signe d'ischémie aiguë, ECG comparable à un comparatif. 2ème ECG après les troponines : pas de modification, superposable au premier ECG. Laboratoire troponine négative. Radiographie thorax sans particularité. Attitude : • retour à domicile avec réassurance, exclusion d'un problème cardiaque, nous lui proposons de revenir en cas de nouvelles thoraciques. • rendez-vous chez le Prof. X prévu le 08.01.19. Les examens effectués sont expliqués au patient. ECG. Temesta. Holter en ambulatoire : le patient sera convoqué. Contrôle chez le médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Les examens effectués sont expliqués au patient. Examen clinique rassurant. Radiographie épaule face/Neer : pas de fracture ou de signe indirect de rupture de coiffe visualisée, pas de calcification au niveau du tendon. Antalgie et anti-inflammatoire. Arrêt de travail pour une semaine. Réévaluation clinique chez le médecin traitant à une semaine pour évaluer IRM en cas de doute sur une lésion de la coiffe. Critères de reconsultation expliqués au patient. Les examens effectués sont expliqués au patient. Examen clinique. Radiographie genou face + profil + axial : pas d'avulsion osseuse. Avis orthopédiste (Dr. X) : antalgie, repos 1 semaine. • Attitude : Traitement antalgique. Arrêt de travail 1 semaine. Patient instruit qu'il doit reconsulter en cas de persistance de la symptomatologie. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire : acide urique et CRP stable. Avis rhumatologique (Dr. X) : probable crise de goutte du genou D, indication à un traitement de fond pour la goutte, en avait un mais a été stoppé pour une raison indéterminée, proposition au médecin traitant de le reprendre, son à disposition pour suivi ambulatoire, actuellement n'a pas besoin de traitement. Résolution clinique. Attitude : • Retour à domicile sans antalgie. • Consultation de suivi chez son médecin traitant en début de semaine prochaine avec suivi de la fonction rénale. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire : CPR 28 mg/L. Urines propres. Pas d'argument pour une hépatite virale. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Reconsulte si péjoration des symptômes. Si persistance des diarrhées, recherche de parasites dans les selles. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire : CRP <5 mg/l, Lc 8.3 G/l. Antalgie. Avis gastro-entérologue de garde (Dr. X) : clinique et laboratoire rassurant, pas de nécessité de faire d'imagerie, donner antalgie par Dafalgan et Arcoxia, le patient doit contacter son gastro-entérologue demain. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire : D dimères négatifs. Score de Wells à 17 % (modéré). • Au vu du score de Wells modéré avec des D-Dimères négatifs, nous ne retenons pas d'indication pour une échographie des membres inférieurs. Réassurance du patient avec retour à domicile. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant avec évaluation ambulatoire d'un bilan angiologique pour éventuelle mise en évidence d'une insuffisance veineuse chronique. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire : H0: 6, H1: 4. ECG. Radiographie thorax face. Attitude : • Réassurance. • Traitement antalgique simple. • Suite chez le médecin traitant pour un bilan cardiologique à distance. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire de contrôle : thrombocytes 20 G/l. Avis hémato-oncologique (Dr. X) : poursuite du traitement par Prednisone 60 mg (1 mg/kg) avec IPP pendant 5 jours. Consultation de contrôle clinico-biologique en hématologie le 14.01.19. Consignes de reconsultation en urgence expliquées au patient. Contre-indication des activités à risque de traumatisme. Prochain rendez-vous de contrôle au CHUV en mars 2019. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire du 18.01.2019 : CRP 8 mg/l, Leuc 4,2 G/l. • Avis chirurgical (Dr. X) du 18.01.2019 : examen clinique rassurant, pas d'indication à faire un scanner. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire. ECG superposable à comparatif dans dossier. Transfusion de 2 CE. Contrôle de l'hémoglobine par le foyer le 21.01.19. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire (GIVIMED), le 07.01.2019 : pas de CRP, NT-PROBNP : 449, Créat : 298 ; gazométrie effectuée après l'effort superposable à contrôle en pneumologie d'octobre 2018. ECG : superposable. Radiographie du thorax, le 07.01.2019 : épanchement pulmonaire droit, stable. Aérosols Atrovent + Ventolin : amélioration de la saturation au repos ; retour à domicile avec Ventolin (enseignement effectué) et contrôle chez le médecin traitant. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire le 25.01.2019. CT cérébral le 25.01.2019 : pas de thrombose du sinus, pas de saignement intra-crânien. Attitude : • Retour à domicile avec traitement antalgique. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire. ECG. Réassurance du patient avec retour à domicile. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire. Radiographie genou droit. Avis orthopédique (Dr. X) : pas d'argument actuellement pour une arthrite septique, contrôle clinique et biologique à 24h. Aux urgences : Tramal 25 gttes, Colchicine 1 mg p.o. Attitude : • Retour à domicile avec Tramal 50 mg 2 comprimés donnés au patient. • Contrôle clinique et biologique à 24h à la consultation ambulatoire des urgences pour évaluation amélioration clinique et biologique suite à la Colchicine. • Proposition de demander un avis rhumatologique pour préciser le diagnostic. En fonction de la fonction rénale, introduction d'AINS. Évaluer poursuite du traitement à la Colchicine. Les examens effectués sont expliqués au patient.Laboratoire. Stix et sédiments urinaires : négatifs. Urotube en cours. • Retour à domicile. • Réassurance. • Traitement symptomatique. • Conseil de réévaluer avec médecin de famille si persistance des symptômes malgré l'antalgie. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire. Urines propres. US abdomen ciblé (Dr. X) dilatation pyélo-calicielle bilatérale à D 2,17 cm, à D 1,64 cm. Avis urologique (Dr. X) : • Retour à domicile avec traitement symptomatique. Thérapie : • Morphine 10 mg p.o. Attitude : • Retour à domicile avec traitement symptomatique. • Contrôle chez Dr. X le 16.01.19 comme prévu. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie cheville/pied droit. CT cheville droite (Dr. X, rapport téléphonique). Avis orthopédique (Dr. X). Plâtre avec extension du pied à 90°. Clexane 40 mg/jour. Antalgie simple. Retour à domicile avec opération prévue le 18.01.2018. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie du genou gauche. US des parties molles genou gauche (transmission orale, Dr. X) : rupture partielle du chef latéral du tendon du quadriceps gauche, Avis orthopédique (Dr. X). Attitude : • Retour à domicile avec antalgie, attelle jeans 0°, charge selon douleurs, cannes anglaises, Clexane 40 mg 1x/jour. • IRM demandée, questionnaire de sécurité rempli. • Rendez-vous ortho genou à 7-10 jours. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie épaule droite face/neer. Avis orthopédie (Dr. X) : manœuvre de Davos dans un premier temps, puis réduction passive. Radiographie de contrôle. Antalgie par Fentanyl IV et MEOPA, puis Midazolam 1 mg. Retour à domicile avec gilet orthopédique pour 7 jours, puis renforcement de la coiffe des rotateurs en physiothérapie ; suivi par le médecin traitant. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie épaule droite face/neer. Avis orthopédique (Dr. X). Attitude : • Immobilisation dans un gilet orthopédique pour 3 semaines. • Consultation en orthopédie team épaule à 3 semaines. • Antalgie simple. • Arrêt de travail. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie genou : pas de fracture, pas d'épanchement. Avis orthopédique (Dr. X) : contusion du genou, charge selon douleurs, contrôle à 10-14 jours. Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant dans 10-14 jours. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie genou droit et rotule : pas de fracture, pas d'épanchement. Avis orthopédique (Dr. X) : suspicion d'atteinte méniscale, IRM en ambulatoire, cannes pour décharge et Clexane, rendez-vous team genou pour résultat et suite de prise en charge. Antalgie. Clexane et apprentissage Clexane. IRM organisé, le patient sera convoqué ainsi que pour le rendez-vous team genou. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie genou gauche : pincement de l'interligne ostéo-articulaire en faveur d'une arthropathie arthrosique. Laboratoire. • Retour à domicile. • Traitement d'épreuve par ALLOPURINOL. • Réévaluation par médecin traitant le 28/01/19 avec réévaluation clinique post introduction d'hypouricémiant. • Conseil de se présenter aux urgences si péjoration des symptômes ou fièvre. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie poignet droit. Retour à domicile avec attelle poignet pour < 7 jours, antalgie. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie poignet face profil : absence de fracture. Immobilisation dans une attelle poignet à visée antalgique pour une semaine. Antalgie, anti-inflammatoire pour une semaine. Contrôle en cas de persistance chez le médecin traitant à une semaine. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie thorax : pas de pneumothorax, pas d'épanchement. Antalgie. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie thorax. Attitude : • Retour à domicile avec Ventolin et traitement symptomatique. • Suite de la prise en charge chez le médecin traitant si persistance ou péjoration des symptômes. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie. Attelle du poignet. Contrôle chez son médecin traitant. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie. Avis orthopédie Dr. X. Écharpe. Consultation ortho urgence avec contrôle radiographie dans 1 semaine. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographies D4 et D5 main droite : pas de fracture. Les examens effectués sont expliqués au patient. Rinçage de l'œil. Floxal gouttes. Consultation ophtalmologique à planifier le 03.01.2019. Les examens effectués sont expliqués au patient. Traitement symptomatique. Radiographie thorax : pas de foyer. Les examens techniques confirment un déficit vestibulaire droit sévère isolé compatible avec une neuronite droite, sans atteinte cochléaire. Le patient s'améliore rapidement permettant un retour à domicile le 04.01.2019. Un traitement par Betaserc sera poursuivi un mois et le patient sera réévalué après une physiothérapie vestibulaire. Les investigations ne mettent pas en évidence de pathologie aiguë. Nous convenons après discussion avec nos collègues de la chirurgie, de laisser rentrer le patient à domicile avec un traitement symptomatique et de le revoir le 08.01.2019 au secteur ambulatoire des urgences pour contrôle clinique pour redoser la lipase et s'assurer qu'elle reste négative. Les lésions cutanées et le laboratoire nous font pencher vers une problématique infectieuse, pour laquelle nous n'arrivons pas à identifier un diagnostic précis. La patiente, sur avis du Dr. X, rentre à domicile et reviendra en filière des urgences ambulatoires le 03.01 à 13h pour un contrôle biologique et un avis infectiologique sera à demander. Nous prenons des photos que nous mettons sur Sinedra. Les lombalgies sont non-déficitaires. La patiente reçoit du Paracétamol 1 g iv, de la Morphine 2 mg aux urgences. Par la suite, douleurs contrôlées. La patiente est rassurée de la consultation. Elle pense que le traitement antalgique par Brufen, Dafalgan et Sirdalud est suffisant. Nous lui rappelons que le Sirdalud contre-indique la conduite. Nous l'encourageons à continuer la physiothérapie. Elle reverra son médecin traitant dans 1 semaine. Les plaies sont désinfectées puis rincées abondamment et explorées sous anesthésie locale avant suture. Le patient sera revu à la policlinique le 31.01.2019 pour un contrôle de la plaie. Selon avis du Dr. X, de médecine interne, pas d'AINS vu l'antécédent d'ulcère gastrique. Bretelle pour surélévation donnée, il devra se représenter aux urgences si douleurs pas contrôlées par traitement. Retrait des fils dans 15 jours chez le médecin traitant. Les plaies sont traitées comme des brûlures, avec débridement puis pansement de Ialugen en extension. 11.01.2019 : Réfection pansement avec Ialugen plus et Adaptic, main en extension, contrôle dans 48 heures. 13.01.2019 (Dr. X, Dr. X) : bonne évolution, cicatrisation avec croûtes. Réfection pansement avec Ialugen plus et Adaptic, main en extension, contrôle et réfection pansement dans 48 heures chez le pédiatre. Les problèmes principaux présentés par Mr. Y ont déjà été discutés lors des séjours précédents. D'un point de vue digestif, le stent oesophagien, confirmé comme perméable lors de l'OGD du 01.01.2019, ne sera plus changé et évalué par une nouvelle oesogastroduodénoscopie. Il peut s'agir une nouvelle fois d'une dysmotilité oesophagienne pour laquelle le régime alimentaire doit rester lisse. Une nutrition autre (parentérale, PEG) ne doit plus être évoquée. D'un point de vue cardiaque, la situation semble stabilisée avec le traitement médicamenteux actuel, alors que Mr. Y avait survécu récemment à un choc cardiogène sans faire recours à des moyens diagnostics ou thérapeutiques invasifs, jugés alors déraisonnables.Nous ne faisons aucune modification thérapeutique. Dans la situation de Mr. Y, nous proposons dans le futur des soins de confort en cas de nouvel évènement aigu en relation avec la problématique cardiaque ou digestive connue. Les radiographies du poignet effectuées à 1, 6 semaines et 3 mois appuient le diagnostic susmentionné et l'évolution est favorable. On note la présence d'un cal osseux sans déplacements secondaires. Les radiographies du jour mettent en évidence une fracture consolidée, en bonne position. Un noyau d'ossification sur l'épicondyle interne bien visible et aligné avec une réaction périostée externe. Les radiographies du jour montrent une consolidation osseuse de la fracture. Le matériel d'ostéosynthèse est en place. Les radiographies du 21.12.2018 montrent une bonne évolution des arrachements. Les radiographies effectuées lors du dernier contrôle ne montrent pas de déplacement secondaire, et le foyer fractureux qui avait été visualisé sur le scanner n'est plus visualisé sur les radios du jour. Les radiographies effectuées montrent une légère bascule palmaire du 5ème métacarpien, mais pas de trouble de la rotation au statut clinique. Lors du statut, nous découvrons fortuitement une tuméfaction de l'articulation sterno-claviculaire droite, et ceci motive la réalisation d'un bilan d'imagerie, qui révèle la fracture susmentionnée. Un avis est pris auprès de la chirurgie pédiatrique de l'hôpital de l'enfance, ces derniers retiennent un traitement conservateur avec immobilisation antalgique dans un gilet orthopédique. Le patient sera revu dans 1 semaine en policlinique d'orthopédie pour suivi radioclinique des différentes fractures (pour le contrôle au niveau sternoclaviculaire droit, faire un serendipity view comme cliché radiologique). Les radiographies effectuées ne montrent pas de fracture. Nous préconisons le port d'une collerette en mousse pour 5 jours. Consultation chez son médecin traitant en cas de persistance des douleurs à une semaine. Consultation avant si péjoration clinique. Les radiographies faites aux urgences ainsi que l'IRM effectuée par la suite. Les radiographies laissent suspecter une infraction osseuse de la première phalange distale du 3ème doigt droit. Nous mettons en place une attelle Alu. Nous prenons l'avis du Dr. X, orthopédiste, au colloque : contrôle en policlinique d'orthopédie dans 1 semaine, si persistance des symptômes, faire un CT-scan. Les radiographies montrent une fracture de Winterstein du 1er métacarpe gauche avec déplacement <30°. En faisant le plâtre, nous testons la réduction mais vu l'hyperalgésie, il n'est pas possible de le faire. Nous expliquons que le traitement peut être conservateur ou chirurgical. Le contrôle post-plâtre ne montre pas d'aggravation du degré de déplacement. Vu les douleurs au niveau du ligament collatéral ulnaire de la première métacarpophalangienne, nous avons expliqué à la patiente la possibilité de faire des examens pour un diagnostic supplémentaire (ultrason ou IRM) pour exclure une lésion de Steiner, DD étirement ligamentaire. Les radiographies montrent une fracture polaire distale du scaphoïde gauche et laissent suspecter une fracture de la styloïde radiale gauche, non déplacée. Nous mettons en place un plâtre incluant le pouce. Nous expliquons à la patiente qu'elle sera probablement contactée pour un rendez-vous et un éventuel examen radiologique supplémentaire, pour une meilleure évaluation des lésions osseuses et pour exclure une lésion ligamentaire au niveau du 1er métacarpien. Les radiographies ne montrent pas de fracture et nous retenons un traumatisme de hanche droite simple ainsi qu'une entorse du genou droit avec des douleurs au Griding test qui sont probablement dues à une atteinte méniscale médiale chronique (selon l'anamnèse). Nous prescrivons AINS, antalgie et bandage élastique. Le patient prendra rendez-vous en consultation du Dr. X pour clarifier l'atteinte méniscale dans 7 jours. Les radiographies ne montrent pas de fracture. La partie arrachée de l'ongle est enlevée et la partie mise à nu du lit de l'ongle est intacte. Dans ce contexte, nous proposons au patient un pansement simple, un suivi à 48h au secteur ambulatoire des urgences et la suite du traitement chez le médecin traitant. Les radiographies permettent d'écarter une fracture. Le statut clinique conclut à une entorse du poignet. La patiente bénéficie d'une immobilisation par attelle poignet palmaire à but antalgique, et elle ira faire un contrôle chez son médecin traitant dans 1 semaine. Les radiographies sont difficiles à évaluer. Un CT-scanner permet d'exclure une fracture récente au niveau lombaire. Nous retenons le diagnostic de douleurs lombaires mécaniques atraumatiques. La patiente présente une nette amélioration de ses douleurs avec un traitement par Tramal 25 mg. La patiente rentre à domicile et sera revue à la consultation du médecin traitant de sa fille dans 1 semaine. Les radiologies montrent une bonne évolution au niveau des foyers fracturaires, sans déplacement secondaire. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. Avant de remettre l'attelle BAB, nous désinfectons le site de l'excoriation qui est couverte par un sparadrap. Les signes de détresse respiratoire sont expliqués à la mère qui pose beaucoup de questions pertinentes afin de reconnaître les signes. Les signes de détresse respiratoire sont expliqués à la mère qui pose beaucoup de questions pertinentes afin de reconnaître les signes. Contrôle pédiatrique au fast track demain. Consultation aux urgences pendant la nuit si fièvre ou si inquiétude. Les suites sont simples sans saignement, la patiente bénéficie d'une transfusion de 2 culots érythrocytaires ramenant l'hémoglobine à 100 g/l avant son départ. Contrôle en policlinique dans 2 semaines. Les symptômes du tunnel carpien sont clairement en arrière-plan, et Mr. Y ne souhaite pas, pour l'instant, de prise en charge chirurgicale pour ce problème. Il est plus gêné par les douleurs, sur le trajet du nerf radial, qui sont récidivantes et liées à l'effort. Je parle avec lui des options qui s'offrent avec un nouvel essai par des infiltrations sous US, qui avaient permis de bien réduire la symptomatologie. Je parle également d'une prise en charge chirurgicale qui présente, elle, un taux de réussite de lors de 70%. Je propose que le patient soit vu en consultation d'antalgie pour infiltration du nerf radial, éventuellement infiltration itérative. En cas d'échec, on pourrait discuter d'une prise en charge chirurgicale avec la libération du nerf radial à l'arcade de Frohse et dans un même temps la cure de tunnel carpien. Les symptômes évoluent depuis deux semaines, avec en particulier des douleurs à la percussion des sinus frontaux et une rhinorrhée verdâtre, laissant suspecter une sinusite surinfectée. Dans ce contexte, nous décidons d'introduire des antibiotiques en plus du traitement symptomatique. La patiente prendra son Tétralysal à midi durant cette période (diminution de l'effet de l'Augmentin si tétracycline prise dans les deux heures selon UpToDate). Les vomissements, nausées et douleurs abdominales depuis environ 1 mois et arthralgie intermittente depuis 3 mois. Les yeux rouges, vomissements, perte d'appétit.Lésion à la lèvre. Lésion AC gauche, Rockwood II. Rupture du tendon d'Achille à la jonction musculo-tendineuse, jambe gauche, actuellement sous traitement conservateur. Lésion anse de seau luxée, ménisque interne, genou G. Fracture 4-parts de l'humérus proximal G déplacée. Lésion antérieure du sus-épineux avec lésion fissuraire des parties hautes du sous-scapulaire épaule D. Status post infiltration AC le 14.9.2018. Status post infiltration sous-acromiale épaule D le 14.12.2018. Lésion artérielle intraopératoire de l'artère perforante le 16.01.2019. Lésion artérielle per-opératoire au niveau artère perforante le 16.01.2019. Lésion aspécifique corps vertébral L3 découverte à l'IRM injectée du 20.12.2018 • DD : métastase ostéo-condensante, lymphome osseux, dysplasie fibreuse. Lésion cartilagineuse fémoro-patellaire externe grade IV sur status post luxation de la rotule D chez une patiente qui présente une patella alta, une dysplasie de la trochléa type A selon Dejour. Chondropathie stade IV fémoro-tibiale externe. Suspicion de souris articulaire genou D. Lésion cavitaire excavée du LID de découverte fortuite (CT abdominal) et d'origine peu claire le 15.01.2019 • DD : pneumonie bactérienne cavitaire, néoplasie pulmonaire, tuberculose • Majoration d'une plage de consolidation avec nécrose excavée basale droite avec infiltrat en verre dépoli le 18.01.2019. Lésion cavitaire excavée du lobe inférieur droit, de découverte fortuite et d'origine peu claire le 15.01.2019 : • DD : pneumonie bactérienne cavitaire, DD néoplasie pulmonaire, DD tuberculose • majoration d'une plage de consolidation avec nécrose excavée basale droite avec infiltrat en verre dépoli le 18.01.2019 • suspicion d'immunosuppression. Lésion centrale TFCC gauche. Lésion du ligament luno-triquétral gauche. Tendinite du ECU avec contusion os triquétrum pisiforme et lunatum gauche. Lésion cérébelleuse. Lésion chondrale rotule D. Lésion chronique de la coiffe des rotateurs épaule D. Cervicalgies chroniques. Lésion chronique sans perte de continuité bandelette latérale cubitale de l'appareil extenseur à hauteur de l'IPP D2 main D. Lésion complète du ligament collatéral ulnaire du pouce G le 15.01.2019. Lésion complexe de la corne postérieure et du corps du ménisque interne, genou G. Status post arthroscopie genou G pour résection partielle du ménisque interne en 1996 et 2008 (Dr. X). Status post arthroscopie genou D, résection partielle de la corne postérieure du ménisque interne en 2009 (Dr. X). Lésion corne postérieure ménisque interne à droite datant de décembre 2016. Douleurs lombaires basses. Lésion cornéenne oeil gauche. Lésion cornéenne traumatique oeil gauche. Lésion cutanée érosive supraclaviculaire gauche sur patch auto-chauffant le 14.12.2018. Lésion cutanée. Lésion cutanée d'origine indéterminée fesse droite mise en évidence le 03.01.2019 • Bourgeonnement cutané de <1 cm, noirâtre (croûte ?), gratté par le patient. Lésion cutanée érosive d'environ 8 mm de diamètre au niveau de la face latérale du mollet droit, inflammatoire. Lésion identique à celle déjà décrite de 2 cm en dessus de la malléole externe gauche. (DD : piqûre d'insecte surinfectée, infection cutanée autre). Lésion cutanée érosive d'environ 8 mm de diamètre au niveau de la face latérale du mollet droit, inflammatoire. Lésion identique à celle déjà décrite 2 cm en dessus de la malléole externe gauche. DD : piqûres d'insectes surinfectées, infections cutanées autres. Lésion cutanée ouverte coude des deux côtés sur chute au domicile, avec : • Temporel anamnestiquement non établi. Lésion cystique inflammée sur verroue de la plante du pied droit. Lésion de Chopart avec arrachement du talus antéro-supérieur et du processus antérieur du calcanéus à gauche et distorsion de l'articulation calcanéo-cuboïde le 6.7.2018. Lésion de contusion à la base du 1er métacarpe de la main droite. Plaie de la base du 1er métacarpe superficielle. Traumatisme crânien simple, sans perte de connaissance avec : plaie pariétale très superficielle d'environ 4 cm. Lésion de la bouche non douloureuse. Lésion de la coiffe des rotateurs. Lésion partielle du tendon sus-épineux. Lésion partielle du tendon sous-scapulaire dans sa partie supérieure à D. Arthrose acromio-claviculaire. Lésion de la coiffe des rotateurs épaule D avec : • rupture complète du sus-épineux • rupture partielle sous-épineux • tendinite du long chef du biceps. Lésion de la coiffe des rotateurs épaule gauche. Scapulalgies gauches séquellaires. Lésion de la coiffe des rotateurs et de l'épaule droite, le 29.01.2019. Lésion de la coiffe des rotateurs suite à une contusion de l'épaule gauche, le 10.10.2018 • tendinopathie sus-épineux et sous-scapulaire. Probable entorse plaque palmaire Dig II gauche. Lésion de la corne postérieure du ménisque interne du genou gauche. Lésion de la plaque palmaire du PIP du 5ème doigt à G le 05.12.2018. Lésion de la plaque palmaire IPP D V G le 28.11.2018. Lésion de la plaque palmaire PIP 4ème doigt de la main G le 17.11.2018. Lésion de ligne de Chopart avec arrachement du rostre du calcanéum gauche. Arrachement face dorsale (arrachement ligament dans le naviculaire dorsal à gauche). Lésion de Stener du pouce G, opérée par le Dr. X (CHUV). Lésion dégénérative C5-C6 découverte fortuitement; DD : Spondylodiscite. Lésion dentaire n°46 le 22.1.2019 • avec goût métallique. Lésion des ménisques interne et externe avec suspicion de lésion du LCA du genou gauche le 24.05.2017. Status post-opération des ligaments du poignet gauche et droite il y a 20 ans à 2 reprises. Lésion des parties hautes du sous-scapulaire, épaule D avec instabilité du long chef du biceps, éventuellement déjà rupture du LCB. Lésion doigt à droite. Lésion du Chopart à G avec : arrachement du processus antérieur du calcanéum et fracture oblique de la diaphyse du 5ème métatarsien à G le 01.10.2018. Lésion du cuire chevelu au niveau pariétal DD : kératose séborrhéique. Lésion du ligament collatéral antérieur du genou droit. Lésion du LLI grade II genou D en 2016. Plastie du LCA genou G en 2011. Lésion du pouce droit. Lésion du tendon d'Achille à droite. Lésion en anse de sceau luxée du ménisque interne du genou gauche, sur traumatisme du 05.01.2019. Lésion en anse de seau du ménisque interne du genou G. Lésion exophytique de la malléole interne, cheville droite. Lésion exulcérante non cicatrisante de la tête (8 mm) DD kératose actinique. Lésion génitale : Épisiotomie médio-latérale droite Déchirure vaginale. Lésion génitale : Épisiotomie médio-latérale droite + déchirure grade 2. Lésion génitale : Éraillures et à la fourchette. Lésion grade II du ligament collatéral interne du genou gauche. Lésion hépatique hypoéchogène au segment II (max. 11 mm) à US du 21.11.2017 DD : hémangiome • US du 15.11.2018 : lésion identique.Lésion Hill Sachs étendue sur status post luxation de l'épaule gauche le 12.01.2019. Lésion hypodense aspécifique de l'insula. Lésion iatrogène per-opératoire du nerf phrénique droit Lésion jambe droite. Lésion kystique sur ancien hématome par choc direct prétibiale G en octobre 2018. Lésion LCA à G avec fracture de la partie postéro-externe du plateau tibial suite à une entorse datée du 27.12.2018. Lésion LCA et lésion LLI grade II genou gauche. Lésion LCA genou gauche. Status post-arthroscopie avec suture ménisque interne le 08.05.2018 par le Dr. X. Status post-arthroscopie pour débridement d'une hypercicatrisation post-plastie LCA avec méniscectomie interne partielle genou droit le 12.11.2014. Status post-arthroscopie genou droit avec adhésiolyse le 25.01.2009 par le Dr. X. Status post-arthroscopie et plastie du LCA avec tendon rotulien, genou droit, le 14.10.2009, par le Dr. X. Lésion ligament astragalo-navulaire dorsal Lésion ligamentaire genou droit. Lésion Lisfranc pied D avec des fractures/arrachements osseux du cunéiforme médial, base du 2ème métatarsien plantaire et du cunéiforme latéral le 09.10.2018. Contusion du condyle fémoral externe et de la tête du péroné D le 09.10.2018. Lésion médullaire D5-D6 d'origine indéterminée avec: • Atteinte sensitivo-motrice des membres inférieurs à prédominance gauche et des troubles sphinctériens symptomatiques dès 2014, avec nouvelle aggravation neurologique dès septembre 2018 • IRM lombaire en 2014: pas d'évidence d'atteinte lombaire ni de compression • Décembre 2016: discrète éosinophilie: suspicion d'atteinte parasitaire (sérologie toxocara positive) • PL 2016: hyperprotéinorachie (valeur pas trouvée) sans pléocytose (immunofixation non retrouvée) • Décembre 2016: thérapie avec Albendazole et Prednisone (pour suspicion de toxocarose) avec amélioration partielle des troubles sensitifs et sphinctériens, persistance de l'atteinte motrice du membre inférieur gauche • IRM médullaire le 28.10.2016: lésion intra et extra-médullaire D5-D6 • IRM thoraco-lombaire le 16.11.2018: Pas de changement de la lésion intra-médullaire non rehaussée de D5 à D7. Nodule d'env. 8 mm juxta-médullaire au niveau D5 • PET scan 20.11.2018: pas en évidence d'hypercaptation pathologique • Bilan sérologique exhaustif 10.2018 (immuno: FAN, ANCA. Infectieux: Schistosomiase (ELISA), Burdorferi, TPHA, HIV/HTLV1, TB spot): négatif • PL du 21.11.2018: 1 élément, Protéines 0.54 g/L (pas d'immunofixation trouvée) • Biopsie glandes salivaires le 10.12.2018 (recherche neurosarcoïdose): pas d'anomalie • Contrôle immunologique (sérum) le 19.12.2018: Anticorps anti-Gangliosides (bilan négatif sauf GM2 Ak IgM: 72 % (Ref. Val. 50%)). Lésion méniscale corne postérieure du ménisque interne genou G le 17.09.2018. Lésion méniscale D traumatique le 22.11.2018: • testing du ménisque interne positif Lésion méniscale interne en anse de seau genou D. Lésion méniscale interne genou gauche. Lésion ménisque G • avec intervention prévue au mois d'avril Lésion ménisque interne droit avec greffe et arthroscopie en octobre 2017 (Dr. X). Lésion nodulaire du foie de 3 cm d'origine indéterminée DD: adénome, hémangiome Lésion non spécifique au niveau basal du poumon gauche de découverte fortuite au CT angio thoracique du 12.12.2018 (effectué à l'Inselspital), avec: • Tabagisme ancien à 7 unités paquets par an environ, stoppé il y a 40 ans Lésion osseuse de l'humérus gauche d'origine indéterminée: une géode et formation osseuse. Lésion osseuse en regard de la malléole interne G. Lésion ostéochondrale de la facette médiale de la rotule à D secondaire à un premier épisode de luxation. Lésion ostéochondrale facette médiale de la rotule à D secondaire à un premier épisode de luxation le 08.01.2019 Lésion papulaire d'environ 2 cm d'origine indéterminée en regard du tibia le 29.12.2018. Lésion par scie circulaire au niveau de la main D le 19.12.2018 avec: • Fracture comminutive ouverte tête MC 4 et base de P1 D4. • Section complète appareil extenseur D4 • Section complète nerf digital ulnaire D4 et du nerf digital radial D5. • Sub-amputation P3 D5. Lésion partielle de l'aileron rotulien interne genou gauche. Lésion partielle de l'insertion antérieure du sus-épineux de l'épaule D, arthrose acromio-claviculaire D. Lésion partielle du collatéral radial du pouce G le 04.01.2019. Lésion partielle du sus-épineux, boursite sous acromiale. Status post cure de Dupuytren Status multiples opérations lombaires. Surdité bilatérale: prothèse cochléaire à droite Lésion partielle du tendon d'Achille gauche du 12.11.2018. Lésion partielle non-transfixiante du sus-épineux épaule droite sur entorse de l'épaule droite en septembre 2018. Status post cure de pouce à ressaut droit le 8.9.2018. Lésion partielle sus-épineux à G. Status post infiltration sous-acromial G pour tendinite calcifiante du sus-épineux de l'épaule G avec lésion partielle du sus-épineux et conflit sous-acromial. Status post suture de la coiffe des rotateurs à D en 1993. Typhus abdominal anamnestique. Lésion partielle sus-épineux épaule D traumatique. Lésion partielle transfixiante du sus-épineux, épaule droite. Rhizarthrose avancée gauche. Status post-infiltration de l'articulation CMC1 le 09.11.2018. Status post-infiltration sous-acromiale de l'épaule droite le 14.12.2018. Lésion partielle trans-fixiante du tendon du sus-épineux épaule droite traumatique avec raideur articulaire post-traumatique marquée. Lésion pédonculée mamelonnaire droite. Lésion plaque palmaire IPP dig. V à G avec: status-post luxation postérieure IPP D5 G le 02.09.2018. Status-post réduction aux urgences. Lésion plaque palmaire 4e rayon de la main droite, traitement avec attelle en ergothérapie Lésion plaque palmaire 4ème rayon de la main droite. immobilisation plaque palmaire pendant 6 semaines avec attelle faite en ergothérapie. contrôle consultation orthopédique des urgences dans 6 semaines. Lésion post-traumatique de la corne postérieure du ménisque interne du genou gauche. Lésion prostatique hyperdense d'origine indéterminée DD: lésion néoplasique Lésion pulmonaire d'allure kystique découverte fortuitement. Lésion pulmonaire d'allure nécrotique au lobe supérieur gauche Lésion Rockwood IV articulation AC gauche aigüe. Lésion SLAP épaule droite avec cliniquement haute suspicion d'instabilité du LCB droit. Infiltration du sillon bicipital droit le 14.12.2018. Lésion SLAP épaule gauche avec tendinopathie du sus-épineux. Insertionite du muscle deltoïde. Status post infiltration intra-articulaire épaule G le 16.3.2018. Status post infiltration sous acromiale épaule G le 14.6.2018. Lésion splénique de grade 2 après chute dans un contexte d'éthylisme aigu en 2015. QT long (490 ms) sur neuroleptiques. Chute du lit le 02.06.2017 et station prolongée au sol durant 5 heures, sans traumatisme crânien avec : • rhabdomyolyse et CK à 3878 U/l • contusion du genou et cheville gauche • atteinte du nerf sciatique poplité externe • contusion des côtes 7 et 8 à gauche. Fracture de type Pouteau-Colles déplacée - ostéosynthèse 15.11.2017. Ablation de kyste synovial L4-L5 gauche et foraminectomie L4-L5 gauche en 2006. Fracture du 1er cunéiforme du pied gauche en consolidation et entorse du Lisfranc. Douleurs lombaires traumatiques suite à une chute d'origine multifactorielle le 08.10.2018. Hyponatrémie paucisymptomatique hypoosmolaire probablement sur SIADH dans un contexte de consommation éthylique à risque. Lésion stade II à III du ligament collatéral interne du genou gauche. Lésion superficielle et dermabrasion poignet gauche le 10.02.2018 sur idées suicidaires. Intoxication alcoolique aiguë le 26.01.2018 avec traumatisme crânien et idées suicidaires. Hallucinations visuelles le 15.11.2014 avec ecchymoses et hématomes multiples sur gestes de défense. Cure de hernie discale lombaire (niveau inconnu, HUG). Ostéosynthèse d'une fracture de la clavicule gauche (Daler). Opération hernie cervicale C5-C6. Suspicion d'intoxication aux médicaments (Valium, Fentanyl, Oxynorm, Klacid) avec : • perte de connaissance le 15.06.2018 • état confusionnel aigu sur Valium. Insuffisance respiratoire globale d'origine mixte sur pneumonie de broncho-aspiration 06.2018. Hyponatrémie euvolémique hypo-osmolaire modérée chronique d'origine mixte à 120 mmol/l le 17.06.2018 avec : • composante potomanie • SIADH (sur infection pulmonaire, ablation hippocampe) • médicamenteuse (Cymbalta, Remeron, Valium, Levetiracetam). Hyponatrémie à 128 mmol/l sur SIADH le 24.12.2018 : • avec minimum à 123 mmol/l le 26.12.2018 • d'origine probablement médicamenteuse (sur Cymbalta et Pantoprazol). Tentamen médicamenteux avec intoxication aux opiacés et à l'alcool le 23.12.2018 : • Ingestion de 10 ml d'Oxynorm de 10 mg/ml • Alcoolémie à 2.4 pour mille • Transfert à Marsens en mode volontaire. TSV non soutenue le 24.12.2018 d'origine probablement médicamenteuse sous Naloxone. Lésion superficielle et dermabrasion poignet gauche le 10.02.2018 sur idées suicidaires. Intoxication alcoolique aiguë le 26.01.2018 avec traumatisme crânien et idées suicidaires. Troubles électrolytiques le 26.01.2018. Acidose respiratoire d'origine indéterminée le 27.01.2018. État de mal épileptique le 28.04.2016 avec : • status post-deux crises d'épilepsie tonico-clonique rapprochées le 01.03.2017 • status post-ablation de l'hippocampe droit en 2008 au CHUV • status post-crise d'épilepsie le 31.12.2016 sur interruption du traitement (Keppra) • status post-crise d'épilepsie sur interruption du traitement et éthylisation aiguë en juillet 2015. Hallucinations visuelles le 15.11.2014 avec ecchymoses et hématomes multiples sur gestes de défense. Cure de hernie discale lombaire (niveau inconnu, HUG). Ostéosynthèse d'une fracture de la clavicule gauche (Daler). Opération hernie cervicale C5-C6. Suspicion d'intoxication aux médicaments (Valium, Fentanyl, Oxynorm, Klacid) avec : • perte de connaissance le 15.06.2018 • état confusionnel aigu sur Valium. Insuffisance respiratoire globale d'origine mixte sur pneumonie de broncho-aspiration 06.2018. Hyponatrémie euvolémique hypo-osmolaire modérée chronique d'origine mixte à 120 mmol/l le 17.06.2018 avec : • composante potomanie • SIADH (sur infection pulmonaire, ablation hippocampe) • médicamenteuse (Cymbalta, Remeron, Valium, Levetiracetam). Lésion supéro-postérieure de la coiffe des rotateurs transfixiante de l'épaule droite. Lésion suspecte dermatologique dans le dos au niveau TH 12 à gauche le 10.05.2016. • aspect symétrique, couleur variable avec naevus en fond. Hypertension artérielle traitée. Lésion suspecte pôle supérieur rein G de 1 cm sur CT-scan du 03.01.19. • CT-scan : Lésion tissulaire centimétrique du pôle supérieur du rein gauche devant faire suspecter un carcinome rénal. Lésion thalamique D, DD métastase dans le contexte d'un adénocarcinome prostatique. Lésion Tossy II épaule G avec lésion partielle non transfixiante et partie haute du sous-scapulaire et des parties hautes du sous-éppineux sans déficit. Lésion transfixiante avec rétraction du 1er degré tendon du sus-épineux épaule droite. Lésion transfixiante avec rétraction du 2ème degré du sus-épineux épaule gauche avec atteinte des parties hautes du sous-scapulaire, arthrose AC asymptomatique avec déconditionnement post-traumatique assez marqué. Lésion transfixiante du sus-épineux de l'épaule droite avec tendinopathie du long chef du biceps. Lésion traumatique complète du EPL G en zone 3 le 30.11.2018 avec : Status post exploration, débridement, suture du EPL et rinçage (OP le 01.12.2018). Lésion traumatique du conduit auditif externe gauche. Lésion tumorale métastatique de la vertèbre C2. • instabilité de la vertèbre • pas de compression de la moelle épinière. Lésion type anse de seau ménisque interne genou D. Arthroscopie genou D, résection anse de seau le 28.01.2019. Lésion type anse de seau ménisque interne genou droit. Lésion ulcérante en regard de la couronne du gland le 11.01.2019. DD : • lésion cancéreuse. Lésion ulcéro-hémorragique pénienne. Lésions bitronculaires avec : • Bon résultat à long terme après stenting de l'IVA moyenne à distale • Sténose intermédiaire de l'IVA moyenne • Sténose 50-70% de la première diagonale • Bon résultat à long terme après stenting de l'ACD moyenne • Occlusion chronique de l'artère rétroventriculaire postérieure • LVEDP 36 mmHg.Lésions cérébelleuses avec oedème péri-lésionnel le 18.12.2018 DD lésion primaire vs métastase du carcinome ovarien Lésions cérébrales multiples d'allure métastatique de primaire indéterminée 19.12.2018 • Neuro: Péjoration d'une ptose labiale droite connue, dysarthrie et aphasie intermittentes • Lymphadénopathie axillaire ddc. Induration mammaire droite et joue G. • Excision d'un mélanome malin nodulaire du bras D en 2011 Lésions cutanées épidermolytiques traitées par Fucidin et Eosine solution. Thermo-ablation d'une lésion au niveau de l'hélix de l'oreille gauche, avec retard de cicatrisation. Arthroscopie du genou gauche en 2010. Prothèse totale de la hanche droite en 2006 • descellement de tige de la prothèse totale de la hanche droite • réaction inflammatoire sur couple de frottement métal-métal • révision et changement de la prothèse totale de la hanche droite le 05.12.2013 (Dr. X). Lésions érythémateuses prurigineuses sur le torse, les MS et MI • stables depuis cet automne, malgré traitement topique corticoïdes Lésions fongiques Lésions maculo-papulaires diffuses d'aspect vésiculaire et croûteux en 2016 • probablement sur porphyrie Ostéite métatarsiens I-IV pied D et abcès dorso-médial jusqu'au niveau de la cheville en 2011 post amputation du gros orteil D en 2008 ainsi que mal perforant plantaire • amputation transmétatarsienne pied D, débridement, rinçage le 14.12.2011 • plusieurs débridements et lavages pied D • débridement, prise de greffe face latérale cuisse D et greffe de Thiersch face antérieure et médiale cheville D le 27.01.2012 Nécrose tendineuse infectée de l'extrémité distale du tendon tibial D en 2011 avec plusieurs débridements Parésies fluctuantes des MS d'origine indéterminée le 06.10.2016 DD : Polymyalgia rheumatica débutante AIT sylvien D avec parésie ataxique à prédominance facio-crurale et dysarthrie d'origine indéterminée le 11.11.2016 avec NIHSS à 3 pts à l'entrée, 0 pt à la sortie • Score ABCD2 à 5 pts (risque modéré) Lésions pétéchiales croûteuses et pustuleuses sur la face dorsale des 2 pieds sur hyperpression veineuse 05/2018 • Histologie lésion pied droit le 05.12.2018: pas de vasculite, saignements sur hyperpression veineuse, traiter les oedèmes, pas d'autre traitement à introduire. Choc d'origine mixte le 09.01.2018 • hypovolémie sur diarrhées aqueuses • sepsis sur pneumonie lobaire inférieure droite surinfection d'une grippe Décompensation cardiaque sur FA rapide dans un contexte de choc mixte le 09.01.2018 Globe vésical le 12.01.2018 Candidose oro-pharyngée le 29.11.2018 Mr. Y habite un immeuble au 6ème étage avec ascenseur, il est marié avec 2 enfants. Il est indépendant au niveau des AVQ et IAVQ. Il passe à la pharmacie hebdomadairement pour son semainier. L'état cutané ne permet pas une approche chirurgicale ce jour. Par conséquent, la patiente rentre à domicile immobilisée dans une attelle jambière postérieure en décharge avec thromboprophylaxie par Clexane. Elle sera revue à la consultation orthopédique du Dr. X le 08.01.2019 pour une nouvelle évaluation de l'état cutané et pour envisager l'intervention chirurgicale. L'état de la patiente s'améliore avec la prise d'adalat retard 20 mg et la diminution de la tension artérielle (de 180/95 à 125/90 mmHg). La patiente rentre à domicile avec une ordonnance pour de l'Adalat si retour des symptômes. Elle reconsultera son médecin traitant dans environ 1 semaine pour suite de prise en charge et investigation. Elle a pour consigne d'effectuer un profil de ses tensions à domicile. L'état du patient est comme d'habitude aux urgences et le trouble de l'état de conscience non objectivé aux urgences. Le patient rentre à domicile. Concernant la conjonctivite des deux côtés probablement bactérienne, nous prescrivons du Floxal collyre 3x/j pendant 5 jours et Voltarène gouttes 2x/j après discussion avec Dr. X. L'état général de l'épaule est bon, ce qui est rare à cet âge. Il y a cliniquement une boursite sous-acromiale et un traitement conservateur avec physiothérapie, le programme San Antonio devrait permettre d'améliorer la situation. Prochain contrôle le 20.03.2019. Lettre pour Dr. X, chirurgien pédiatre Lausanne Mr. Y, Tu vas voir en consultation le jeune Mr. Y pour nodule de la racine de la cuisse droite face interne. Il m'a été envoyé par son médecin traitant pour adenopathies inguinales que je n'ai pas retrouvées (cf. courrier ci-joint). C'était un peu compliqué de trouver une date de consultation en chirurgie pédiatrique et adulte à l'HFR avant les fêtes et compatible avec l'emploi du temps de Mr. Y et sa maman, et finalement ils ont retenu tes coordonnées que je leur avais transmises. La maman était très inquiète mais je vois que finalement elle arrivera à patienter jusqu'à ta consultation. En restant à disposition si besoin, et dans l'attente des conclusions de l'anatomopathologie de cette lésion, je te souhaite ainsi qu'à toute ta famille mes Meilleurs Vœux pour l'année qui commence ! Lettre pour Dr. X, Hématologie spéciale, HUG Mme. Y, Chère Consœur, J'aimerais avoir votre avis sur le dossier concernant Mme. Y qui m'a été adressé en février dernier par son médecin traitant pour thrombopénie dans un contexte douloureux chronique (céphalée de tension, douleurs dorso lombaires) d'évolution favorable avec médecines complémentaires physiques (sophrologie, massage, à priori par de prise de phytothérapie). La thrombopénie a été détectée par son médecin lors d'un bilan pour fatigue, céphalées, dorsalgies. Les premiers chiffres notés remontent à mai 2017 avec des plaquettes à 96 G/l sur un prélèvement veineux, contrôlées au mois de juin à 73 G/l sur un prélèvement capillaire puis en décembre 2017 à 98 G/l sur un prélèvement veineux. Un chiffre de plaquettes à 135 G/l en 2006, contrôle fait par le pédiatre est également évoqué (pas de documentation). Les contrôles ont été faits en dehors d'épisodes infectieux. La morphologie des thrombocytes est notée avec + à ++ d'anisocytose pour le prélèvement du mois de mai 2017, avec thrombocytes géants +. Mme. Y est à ce moment-là sans signe hémorragique avec le reste des lignées sanguines dans la norme (hémoglobine 133 à 136 g/l, MCV 92, leucocytes 3,9 à 4,1 G/l). cf. doc ci-joints. Ses antécédents personnels et familiaux sont mentionnés ci-dessous. L'évolution clinique est favorable sans syndrome hémorragique notamment depuis le début des menstruations (juin 2018) avec des cycles encore irréguliers (3 en 5 mois) avec examen clinique sans particularité. Les examens complémentaires réalisés ne montrent pas de signe en faveur de Willebrand ni orientation pour une coagulopathie. Pas d'atteinte rénale ni hépatique (nov. 2018, stix urinaire non refait) Bilan thyroïdien normal, facteurs anti-nucléaires négatifs (fev 2018)US abdominal normal (décembre 2018). Sérologie CMV nég, Parvovirus et EBV positif. US abdominal normal. Groupe A positif. Leucémie. Leucémie, en rémission. Appendicectomie à l'âge de 7 ans. Leucémie lymphatique chronique B, de stade initial A selon Binet et 0 selon RAI • Diagnostiquée le 29.08.2013 • Hémogramme au diagnostic : Hb 133 g/l, GB 16,5 G/l (PNM 23,5%, mono 7%, lympho 58%, cellules écrasées 10,5%), Tc 282 G/l. • PBM du 29.08.2013 : infiltration lymphocytaire dépassant par endroit les 80% au médullogramme ; infiltration diffuse (70-80% du tissu hématopoïétique) par un infiltrat lymphoïde B mature, CD20+, CD79A+, Pax -5, CD23+, CD5+, CD43 faible, cycline D1-, compatible avec une LLC à la biopsie ostéomédullaire. • Cytométrie en flux d'aspiration médullaire du 29.08.2013 : matériel insuffisant pour une immunophénotypisation. • Cytogénétique médullaire du 29.08.2013 : délétions del (14q) et del (13q) de type 1. • Absence d'adénopathie périphérique et d'hépatosplénomégalie palpables au diagnostic. • Progression de la LLC le 25.06.2015 (stade C selon Binet), avec une rapide progression de la lymphocytose de 52,64 G/l le 13.03.2015 à 90,24 G/l le 25.06.2015, avec présence, au CT scan du 25.06.2015, de multiples adénopathies cervicales bilatérales (taille maximale 23,43 mm), d'adénopathies axillaires bilatérales (taille maximale 2 cm), de multiples petites adénopathies médiastinales et abdominales, et d'une nette splénomégalie (volume de la rate de 380 cm³). • Traitement : status après 6 cycles de chimiothérapie de type FCR (Fludarabine, Cyclophosphamide, Rituximab) du 07.07.2015 au 30.11.2015, avec obtention d'une rémission complète hématologique (disparition de la lymphocytose périphérique, et fonte des multiples adénopathies et de la splénomégalie au CT scan du 28.01.2016), et cytométrique (MRD négative à la cytométrie en flux du sang périphérique du 14.12.2015) • Situation actuelle (22.11.2017) : rémission complète hématologique • Suivi : contrôles hématologiques aux 6 mois. Dyslipidémie. Hémangiome du corps vertébral D10 (CT scan du 25.06.2015). Zona ophtalmique droit le 25.09.18 avec : • Kerato-uvéite droite sans ulcération cornéenne • Hospitalisation en médecine du 25.09 au 04.10, puis du 07.10 au 22.10.2018 puis 15j en EMS court séjour, pour des douleurs post-zoostériennes importantes • Semi-mydriase fixe sur probable synéchies dans le contexte d'une uvéite antérieure • Valtrex 1g 3x/j du 25.09.18 au 23.10.18 puis 500mg 3x/j jusqu'au 06.11.18 • Dernier contrôle ophtalmologique le 06.11.18 : chambre antérieure calme, absence de KPS • 12.11.18 : diminution du traitement antalgique par médecin traitant en raison de tremblements importants avec hallucinations -> diminution Oxycontin de 20mg 2x/j à 10mg 2x/j et prégabaline de 150mg 2x/j à 100mg 2x/j Disparition des effets indésirables médicamenteux, mais recrudescence des douleurs post-zoostériennes depuis. • Re-hospitalisation pour antalgie insuffisante le 18.11.2018 (frailty care) Laboratoire. Leucémie lymphatique chronique en stade initial Binet A : • Date du diagnostic : 29.04.2011 • Leucocytose 14G/l avec 60% de lymphocytes • Immunophénotypisation du sang périphérique du 29.04.2011 : expression des antigènes CD5, CD19 et CD23, compatible avec une leucémie lymphatique chronique ; CD38 nég • CT thoraco-abdominal du 27.05.2011 : présence de ganglions modérément agrandis dans les creux axillaires des deux côtés, dans le médiastin, dans le hile hépatique et au niveau pancréatique ainsi que para-aortique gauche. Adénopathie de 2cm de diamètre dans la racine du mésentère ; pas d'hépato-splénomégalie • Status après une cure de chimiothérapie par Mabthera et Bendamustine le 21.11.2013 en raison d'une progression tumorale sous forme d'une leucocytose et des adénopathies ainsi qu'une splénomégalie (arrêt de Bendamustine en raison d'une myélotoxicité) • Status après 5 cures d'une immunothérapie par Mabthera du 19.12.2013 au 03.04.2014 (disparition de la leucocytose et régression des adénopathies) • Actuellement : progression tumorale avec pancytopénie, thérapie par Mabthera et Zydélig (idélalisib) depuis 3 mois, suivie par le Dr X • Mme. Y ne souhaite plus faire de chimiothérapie Incidentalome du sein gauche au CT scan thoraco-abdominal le 23.10.2018 : • Avis oncologique Dr X • Pas d'investigation désirée par Mme. Y pour le moment Traitement complexe en médecine palliative : • Facteur de performance : ECOG 3 • MIF (motrice) : marche seule, sécuritaire • Malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec des besoins augmentés (contexte onco) NRS 4/7 avec une perte de 5.1% en 2 mois et totale de 9.8% en 7 mois • Problématique principale (selon SENS/ESAS) : diarrhées et dysgueusie avec anorexie • Orientation planifiée (lieu) : réhabilitation à l'HFR Riaz ; alternative : retour à domicile ou soins palliatifs Hyperlipidémie traitée Ancien tabagisme (stoppé en 1997 avec 50 unités paquets par an) Status après PTCA pour sténose de l'IVA avec mise en place d'un stent en octobre 1998 Déconditionnement global dans un contexte de status après pancolite probablement sur chimiothérapie dans le contexte d'une leucémie lymphatique chronique en stade initial Binet A Hypotension orthostatique Dysgueusie depuis 1 mois avec anorexie et dénutrition sévère : • Diagnostics différentiels : chimiothérapie, déficit en zinc, candidose orale • Nutrition par sonde nasogastrique jusqu'au 26.11.2018 et nutrition par voie orale Déficit de vitamine D : • Substitution par voie orale 24000 UI/semaine pendant 3 semaines Hypotension orthostatique Dysgueusie depuis 1 mois avec anorexie et dénutrition sévère : • Diagnostics différentiels : chimiothérapie, déficit en zinc, candidose orale • Nutrition par sonde nasogastrique jusqu'au 26.11.2018 et nutrition par voie orale Déficit de vitamine D : • Substitution par voie orale de 24000 UI/semaine pendant 3 semaines Leucémie lymphatique chronique en stade initial Binet A : • Date du diagnostic : 29.04.2011 • Leucocytose 14 G/l avec 60% de lymphocytes • Immunophénotypisation du sang périphérique du 29.04.2011 : expression des antigènes CD5, CD19 et CD23, compatible avec une leucémie lymphatique chronique ; CD38 négatif • CT thoraco-abdominal du 27.05.2011 : présence de ganglions modérément agrandis dans les creux axillaires des deux côtés, dans le médiastin, dans le hile hépatique et au niveau pancréatique ainsi que para-aortique gauche ; adénopathie de 2 cm de diamètre dans la racine du mésentère. Pas d'hépato-splénomégalie • Statut après une cure de chimiothérapie par Mabthera et Bendamustine le 21.11.2013 en raison d'une progression tumorale sous forme d'une leucocytose et des adénopathies ainsi qu'une splénomégalie (arrêt de Bendamustine en raison d'une myélotoxicité) • Statut après 5 cures d'une immunothérapie par Mabthera du 19.12.2013 au 03.04.2014 (disparition de la leucocytose et régression des adénopathies) • Actuellement : progression tumorale avec pancytopénie, thérapie par Mabthera et Zydélig (idélalisib) depuis 3 mois, suivie par le Dr. X • La patiente ne souhaite plus faire de chimiothérapie Incidentalome du sein gauche au CT scan thoraco-abdominal le 23.10.2018 : • Avis oncologique Dr. X • Pas d'investigation désirée par la patiente pour le moment Traitement complexe en médecine palliative : • Facteur de performance : ECOG 3 • MIF (motrice) : marche seule, sécuritaire • Malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec des besoins augmentés (contexte onco) NRS à 4/7 avec une perte de 5.1% en 2 mois et totale de 9.8% en 7 mois • Problématique principale (selon SENS/ESAS) : diarrhées et dysgueusie avec anorexie • Orientation planifiée (Lieu) : réhabilitation à Riaz ; alternative : retour à domicile ou soins palliatifs Hyperlipidémie traitée Ancien tabagisme (stoppé en 1997 avec 50 unités paquets année) Statut après PTCA pour sténose de l'IVA avec mise en place d'un stent en octobre 1998 Déconditionnement global dans un contexte de statut après pancolite probablement sur chimiothérapie dans le contexte d'une leucémie lymphatique chronique en stade initial Binet A Hypotension orthostatique Dysgueusie depuis 1 mois avec anorexie et dénutrition sévère : • Diagnostics différentiels : chimiothérapie, déficit en zinc, candidose orale • Nutrition par sonde nasogastrique jusqu'au 26.11.2018 et nutrition per os Déficit de vitamine D : • Substitution par voie orale 24000 UI par semaine pendant 3 semaines Leucémie lymphoblastique aiguë B, CD20- et Philadelphie - le 15.10.2018 Leucémie lymphocytaire chronique (non traitée) stable. Leucémie lymphoïde chronique avec : • immunosuppression partielle par l'absence d'anticorps. Leucémie lymphoïde chronique de stade initial A selon Binet et de stade II selon RAI, diagnostiquée en 1996 avec : • 1ère lignée de chimiothérapie par Leukeran et Prednisone, 3 cycles d'octobre à décembre 2010 • 2ème lignée de chimiothérapie par FCR (Fludarabine, Cyclophosphamide et Rituximab), 6 cycles de mai à octobre 2012 • actuellement rémission complète hématologique avec reconstitution hématologique incomplète sous forme d'insuffisance médullaire Insuffisance médullaire chronique sévère post-chimiothérapie • dépendante à l'administration de facteurs de croissance (Aranesp aux 2 semaines ; Neulasta aux 4 semaines) • transfusions itératives de CE irradiés Cardiopathie ischémique avec maladie tritronculaire : • infarctus du myocarde en 1996 • PTCA en 1996 et 1999 • quadruple pontage aorto-coronarien en mai 2004 • échocardiographie le 03.02.2011 : FEVG 35%, hypertrophie excentrique, dilatation discrète du ventricule gauche avec hypokinésie de la paroi, dysfonction diastolique modérée, PAPS à 38 mmHg • Coronarographie le 13.12.2018 : FEVG à 20% Tabagisme ancien 30 UPA (stoppé 2002) Insuffisance rénale chronique Pandiverticulose colique avec • diverticulites sigmoïdiennes à répétition Leucémie lymphoïde chronique de type B (année du diagnostic 2001) avec : • Leucocytes stables jusqu'à récemment, leucocytose croissante depuis la fin du mois de mars et actuellement hausse nette du taux de leucocytes et anémie en progression (chez le Dr. Y : Hb 72 g/L, leuc 78 G/L, thrombocytes normaux) • Altération progressive de l'état général depuis le 18.04.18, démence d'évolution croissante, inappétence Mild Cognitive Impairment • MMS 13.04.18 : 25/30 • Test de l'horloge 13.04.18 : 5/7 FA sous Xarelto Hypertension artérielle Polyarthrose Ostéoporose Dépression récidivante Leucémie myéloïde aiguë (AML) diagnostiquée en 09/2018 avec : • Bi-/Pancytopénie le 12.09.2018 • PBM le 17.09.2018 (Dr. X) • 37.5 % blastes CD 45 (+) / SSC low à la cytométrie de flux, sous-type M2 • Phénotype : CD 34+, CD 117+, CD 13+, CD 33+, HLA-DR+, MPO+, CD 105+ • Typisation génétique : (en cours) • Electrophorèse de protéines : albumine 46%, alpha-1-globulines 7%, alpha-2-globuline 20%, bêta+2 globulines 17%, gamma-globuline 10%, bêta 2 microglobulines 1.7 mg/L • Chimiothérapie Vidaza 150 mg sc 1x/jour du 19.09 au 24.09.2018 ; deuxième cycle dès le 22.10.2018 ; troisième cycle prévu le 19.11-23.11.2018, repoussée car état fébrile dès le 14.11.2018 Leucémie myéloïde aiguë (AML) diagnostiquée en 09/2018 avec : • Bi-/Pancytopénie le 12.09.2018 • PBM le 17.09.2018 (Dr. X) • 37.5 % blastes CD 45 (+) / SSC low à la cytométrie de flux, sous-type M2 • Phénotype : CD 34+, CD 117+, CD 13+, CD 33+, HLA-DR+, MPO+, CD 105+ • Typisation génétique : (en cours) • Electrophorèse de protéines : albumine 46%, alpha-1-globulines 7%, alpha-2-globuline 20%, bêta1+2 globulines 17%, gamma-globuline 10%, bêta2 microglobulines 1.7 mg/L • Chimiothérapie Vidaza 150 mg sc 1x/jour du 19.09 au 24.09.2018 ; deuxième cycle dès le 22.10.18 ; troisième cycle prévu le 19.11-23.11.18, repoussée car état fébrile dès le 14.11.18 • Neupogen 30 mioU 1x le 11.01.2019 et 1x le 14.01.2019 Suivi par le Dr. X Cardiopathie mixte ischémique et valvulaire avec statut post-infarctus inférieur en 2007 stenté • ETT 17.09.18 (Dr. X) : FEVG 54%. Insuffisance mitrale modérée voire sévère (grade 2-3/3) secondaire, insuffisance aortique minime (grade 1/3), dysfonction diastolique modérée (grade II). HTA traitée Tabagisme actif (20 UPA) Traitement complexe en médecine palliative dès le 25.09.2018 • Facteur de performance : ECOG 3 PPS : 50% • MIF (motrice) : 75 • Malnutrition protéino-énergétique grave (NRS 5/7) • Problématique principale (selon SENS/ESAS) : Mobilité, Fatigue • Orientation planifiée (Lieu) : Retour à domicile avec aide ; alternative : hôpital aigue Trouble anxieux et de l'adaptation Leucémie myéloïde aiguë avec mutation NPM1 selon OMS 2016, hyperleucocytaire à caryotype normal, FLT3-ITD positif (ratio élevé), hyperexpression WT1 positif, diagnostiquée le 30.07.2018 : • Pré-greffe : rémission hématologique complète. MRD en flux : 0.03%, MRD NPM1 positive à 0.023% • Allogreffe de cellules souches hématopoïétiques HLA identique le 07.12.2018, sérologie R/D : CMV-/CMV-, EBV+/EBV-, Toxoplasmose receveur : positif • Suivi post-greffe (14.01.2019) : réactivation EBV, pas de signe de GvHD, PBM du 08.01.19 : MRD indétectable, WT1 : 0.292, Chimérisme 100% donneur, médullogramme en attente Leucémie myéloïde aiguë, FLT3-ITD positif, mutation NPM1 positif, hyperexpression WT1 positif, nouvellement diagnostiquée le 27.07.2018 :• Hémogramme au diagnostic : Lc 152 G/L, Hb 107 g/l, Tc 111 G/l, 38 % de Blastes • Sérologies de dépistage : HSV1 et HSV2, tuberculose, HBV, HCV, HIV, EBV : négatifs VZV IgG positif, Toxoplasmose : ancienne infection • Electrophorèse des protéines le 02.08.2018 : non relevant • Echocardiographie transthoracique le 30.07.2018 (Dr. X) • Typisation HLA réalisée le 31.07.2018 Typisation HLA de la fratrie (2 soeurs) le 06.08 et le 19.08.2018 et envoyée au HUG : 1 soeur haplo-identique (compatible 50 %), 1 soeur non compatible. • PBM du 30.07.2018 : Biologie moléculaire : FLT3-ITD positif, Mutation NPM1 positif à 41.3 % avec une mutation de type A, hyperexpression WT1 augmentée avec un nombre de copies normalisé (NCN) de 8563, mutations dans le gène DNMT3A détectées à 46.2 %. Cytométrie en flux médullaire : AML de type FAB M4, 16.3 % blastes myéloïdes et 37.8 % blastes monocytaires Biopsie (Promed P2018.8701) : leucémie myéloïde aiguë, histomorphologiquement et immunohistochimiquement avec différenciation myélo-monocytaire, avec infiltration diffuse (environ 80 à 90 %) du tissu hématopoïétique compatible avec une leucémie myélo-monocytaire (selon OMS 2017, M4 selon FAB) • Chimiothérapie d'induction par 7+3 du 01.08 au 07.08.2018, puis Midostaurin (Rydapt) du 08.08 au 20.08.2018 • PBM du 17.08.2018 (J17) Médullogramme : stromas quasi dépourvus de cellules hématopoïétiques, sans excès de blaste, compatible avec un leukemia free state Cytométrie de flux Biopsie (Promed P2018.9242) : tissu hématopoïétique pratiquement aplasique ainsi que modifications réactives dans le cadre d'un statut post-chimiothérapie, aplasie post-chimiothérapie, sans évidence d'une persistance de blastes dans le cadre de la leucémie myéloïde connue • PBM du 30.08.2018 (J30) Biologie moléculaire : normalisation du niveau d'expression du gène WT1 • PBM du 10.10.2018 : rémission complète. normalisation du niveau d'expression du gène WT1, nombre de copies normalisé de 95. • Chimiothérapie de consolidation 2e cycle : Cytosar le 15.10, 17.10 et 19.10.2018, Midostaurin du 22.10 au 04.11.2018 Dépression réactionnelle Leucémie myéloïde aiguë, FLT3-ITD positif, mutation NPM1 positif, hyperexpression WT1 positif, nouvellement diagnostiquée le 27.07.2018 : • Hémogramme au diagnostic : Lc 152 G/L, Hb 107 g/l, Tc 111 G/l, 38 % de Blastes • Sérologies de dépistage : HSV1 et HSV2, tuberculose, HBV, HCV, HIV, EBV : négatifs VZV IgG positif, Toxoplasmose : ancienne infection • Electrophorèse des protéines le 02.08.2018 : non relevant • Echocardiographie transthoracique le 30.07.2018 (Dr. X) • Typisation HLA réalisée le 31.07.2018 Typisation HLA de la fratrie (2 soeurs) le 06.08 et le 19.08.2018 et envoyée au HUG : 1 soeur haplo-identique (compatible 50 %), 1 soeur non compatible. • PBM du 30.07.2018 : Biologie moléculaire : FLT3-ITD positif, Mutation NPM1 positif à 41.3 % avec une mutation de type A, hyperexpression WT1 augmentée avec un nombre de copies normalisé (NCN) de 8563, mutations dans le gène DNMT3A détectées à 46.2 %. Cytométrie en flux médullaire : AML de type FAB M4, 16.3 % blastes myéloïdes et 37.8 % blastes monocytaires Biopsie (Promed P2018.8701) : leucémie myéloïde aiguë, histomorphologiquement et immunohistochimiquement avec différenciation myélo-monocytaire, avec infiltration diffuse (environ 80 à 90 %) du tissu hématopoïétique compatible avec une leucémie myélo-monocytaire (selon OMS 2017, M4 selon FAB) • Chimiothérapie d'induction par 7+3 du 01.08 au 07.08.2018, puis Midostaurin (Rydapt) du 08.08 au 20.08.2018 • PBM du 17.08.2018 (J17) Médullogramme : stromas quasi dépourvus de cellules hématopoïétiques, sans excès de blaste, compatible avec un leukemia free state Cytométrie de flux Biopsie (Promed P2018.9242) : tissu hématopoïétique pratiquement aplasique ainsi que modifications réactives dans le cadre d'un statut post-chimiothérapie, aplasie post-chimiothérapie, sans évidence d'une persistance de blastes dans le cadre de la leucémie myéloïde connue • PBM du 30.08.2018 (J30) Biologie moléculaire : normalisation du niveau d'expression du gène WT1 • PBM du 10.10.2018 : rémission complète. normalisation du niveau d'expression du gène WT1, nombre de copies normalisé de 95. • Chimiothérapie de consolidation 2e cycle : Cytosar le 15.10, 17.10 et 19.10.2018, Midostaurin du 22.10 au 04.11.2018 Dépression réactionnelle Leucémie myéloïde chronique en rémission. Dyslipidémie. Leucémie myéloïde chronique en rémission. Dyslipidémie. Leucocytes à 2,6 G/l le 07.01.2019 Thrombocytes à 139 g/l le 07.01.2019 Neutrophiles 56,5% le 07.01.2019 Consilium de médecine interne le 07.01.2019 (en annexe) Eventuelle carence vitaminique. Ad dosage Vit. B12, acide folique et ferritine chez le médecin traitant La thrombopénie et la neutropénie peuvent être médicamenteuses (Voltarène). Mise en suspens du Voltarène. Suivi chez le médecin traitant. Leucocytose à 14.6 G/l le 9.1.10 : • DD sur maladie oncologique Leucocytose à 14.6 le 9.1.10 : • DD sur maladie oncologique Leucocytose à 17 G/L le 20.09.2018 sur probable injection de méthylprednisolone • absence de foyer infectieux clinique • CRP à 7 mg/dL Leucocytose à 53 G/l le 27.12.2018 : • Diagnostics différentiels : état inflammatoire, réaction leucémoïde Leucocytose avec état fébrile d'origine indéterminée le 02.11.18 Dans un contexte de suspicion d'état de mal épileptique Hypokaliémies dans le contexte de l'insuffisance rénale chronique puis aiguë avec introduction du diurétique thiazidique le 06.11.18 Arthrite chronique d'origine probablement mixte, sous Allopurinol Anémie normochrome, normocytaire d'origine multifactorielle depuis 2014 S/p thrombose V. jugulaire interne droite 10/2017 S/p hémorragies digestives sous anticoagulation • Ulcus gastrique (forrest IIa) 08.07.2014 • Fissure anal et hémorroïdes 03/ 2014 S/p hernie inguinale opérée en 2005 Contusion du genou gauche le 29.12.18 Anémie hypochrome microcytaire avec hémoglobine à 75 g/L le 02.01.19 • DD dans un contexte de syndrome myéloprolifératif de type thrombocytose essentielle, inflammatoire Hyponatrémie à 121 mmol/L le 17.12.2018 Insuffisance rénale aiguë sur chronique AKIN 1 le 17.12.2018, créatinine à 191 umol/L, clairance à 40 ml/min. Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée dès le 17.12.2018 avec • DD urinaire • Etat fébrile le 17.12.2018 • Etat fébrile le 26.12.2018 Leucocytose avec état fébrile d'origine indéterminée le 02.11.2018 : • Dans un contexte de suspicion d'état de mal épileptique Hypokaliémies dans le contexte de l'insuffisance rénale chronique puis aiguë avec : • Introduction du diurétique thiazidique le 06.11.2018 Cardiopathie hypertensive, valvulaire et dysrythmique : • Suivi par Dr. X • Fibrillation auriculaire anticoagulée par Eliquis • Echocardiographie transthoracique en avril 2018 : FEVG 60 % • Echocardiographie transthoracique 15.11.2018 (Dr. X) rapport oral : distension importante des deux oreillettes, FEVG toujours à 60 % Décompensation cardiaque globale le 05.11.2018 avec : • Importants oedèmes des membres inférieurs bilatéraux, râles crépitants en base droite, sans oedème pulmonaire aigu • Diagnostics différentiels étiologiques : syndrome inflammatoire d'origine indéterminée le 02.11.2018, éventuel pic hypertensif sur douleurs dans le contexte de chute sur probable crise d'épilepsie le 02.11.2018 (cf ci-dessous) • Cardiopathie hypertensive, valvulaire et dysrythmique (fibrillation auriculaire) avec une FEVG à 60 % (ETT en novembre 2018) Diabète type 2 insulino-requérant Insuffisance rénale chronique Démence débutante multifactorielle (vasculaire, dépression, neurodégénérative) IRM en juin 2014 : atrophie cérébrale Bilan cognition du 07.11.2018 : MMS à 23/30, atteinte cognitive légère Troubles de la marche et chutes récidivantes avec : • Polyneuropathie post-traumatique • Coxarthrose et arthrose des artères ilio-sacrales bilatérales • Maladie de Scheuermann à la jonction thoraco-lombaire • Spondylarthrose L4-L5, antélysthésis L4-L5 Arthrite chronique d'origine probablement mixte, sous Allopurinol Anémie normochrome, normocytaire d'origine multifactorielle depuis 2014 Insuffisance rénale chronique, cirrhose Syndrome myéloprolifératif de type thrombocytose essentielle, diagnostiqué en novembre 2009 : • Suivi par le Dr. X • Biopsie médullaire du 11.11.2009 (pathologie CHUV Lausanne H0915524) : moelle osseuse tri-linéaire légèrement hypercellulaire avec hyperplasie de la série mégacaryocytaire évoquant la possibilité d'un syndrome myéloprolifératif débutant ; JAK-2 négatif Leucocytose avec état fébrile d'origine indéterminée le 02.11.2018 Hypokaliémies dans le contexte de l'insuffisance rénale chronique puis aiguë avec introduction du diurétique thiazidique le 06.11.2018 Arthrite chronique d'origine probablement mixte, sous Allopurinol Anémie normochrome, normocytaire d'origine multifactorielle depuis 2014 Status après thrombose de la veine jugulaire interne droite en octobre 2017 Status après hémorragies digestives sous anticoagulation : • Ulcus gastrique (Forrest IIa) le 08.07.2014 • Fissure anale et hémorroïdes en mars 2014 Status après hernie inguinale opérée en 2005 Contusion du genou gauche le 29.12.2018 Anémie hypochrome microcytaire avec hémoglobine à 75 g/l le 02.01.2019 : • Diagnostics différentiels : dans un contexte de syndrome myéloprolifératif de type thrombocytose essentielle, inflammatoire Hyponatrémie à 121 mmol/l le 17.12.2018 Insuffisance rénale aiguë sur chronique AKIN 1 le 17.12.2018, créatinine à 191 µmol/l, clearance à 40 ml/min Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée dès le 17.12.2018 Leucocytose et thrombocytose post-opératoire le 21.01.2019 Leucocyturie asymptomatique • en premier lieu secondaire à cystoscopie récente chez le Dr. X, DD infection urinaire Leuco-encéphalopathie d'origine micro-vasculaire Fazekas 2-3 avec : • troubles cognitifs sévères • IRM en 03.2018 • IRM de contrôle le 08.08.2018, refusée par le patient. Diverticule de Zenker mis en évidence au CT du 31.03.2018 : • refus d'une oesogastroduodénoscopie et d'une éventuelle intervention chirurgicale par le patient. Malnutrition protéino-énergétique modérée. Insuffisance rénale chronique stade G2 selon KDIGO. Leucoencéphalopathie postérieure réversible (PRES) le 18.01.2019 avec : • cécité nouvelle gauche et céphalées transitoires • crise d'épilepsie secondaire au PRES le 18.01.2019 Leucopénie à 2.4 g/l avec lymphopénie à 0.47 g/l et neutropénie légère à 1.44 g/l le 11.01.2019 : DD : Réaction médicamenteuse (co-amoxicilline) Leucopénie afébrile d'origine probablement médicamenteuse. Anémie hypochrome d'origine indéterminée (DD : ferriprive, inflammatoire, rénale). Pancréatite aiguë Ranson 3, d'origine probablement médicamenteuse (acide valproïque) en juin 2014. Prothèse totale de hanche gauche. Trouble schizo-affectif avec décompensation dépressive et psychotique le 23.07.2018 avec : • idées suicidaires, hallucinations. Leucopénie anamnestiquement connue. Leucopénie fébrile dans un contexte de chimiothérapie le 31.01.2019 • DD : urinaire (Dysurie mais stix propre), pulmonaire, infection endovasculaire (souffle et PAC), post-chimiothérapie, fièvre tumorale Leucoplasie des bords de langue. L'évaluation psychiatrique à la demande de son médecin traitant a été refusée par le patient. L'évaluation somatique est sans particularité. Nous prenons contact avec le psychiatre de garde le Dr. X qui accepte le transfert et l'hospitalisation au RFSM de Marsens (ce que le patient accepte). Départ en ambulance. Lévétiracétam du 19.01 au _ Midazolam le 19.01.2019 • EEG à évaluer L'évolution à 1 année est favorable avec une patiente qui reprend progressivement ses activités. Nous proposons de la revoir pour un prochain contrôle d'ici 3 ans et la patiente reprendra contact avec notre service au besoin si elle présente une péjoration de la symptomatologie. L'évolution à 1 année est tout à fait favorable avec un patient qui peut faire toutes les activités sans gêne particulière. Il ne présente pas de douleur. Au vu de la bonne évolution, nous ne prévoyons pas le revoir mais restons à disposition. L'évolution à 1 année est tout à fait favorable avec une absence de symptomatologie. Nous ne prévoyons pas de revoir Mme. Y à notre consultation, mais restons à disposition. L'évolution à 1 année est tout à fait favorable avec une patiente qui est très peu symptomatique. Nous lui proposons juste d'améliorer la force en faisant du fitness médical. Nous proposons de la revoir dans 2 ans pour le contrôle du changement de prothèse à gauche à 10 ans. L'évolution à 1 année et demi est favorable. La patiente ne présente actuellement aucune symptomatologie. Nous proposons de la revoir à 20 ans de l'implantation de la PTH. L'évolution à 1 mois est favorable avec actuellement une situation calme. Le patient est toujours sous Bactrim jusqu'au 25.01.2019. Il peut actuellement laisser tomber les cannes et reprendre la physiothérapie pour une rééducation de son genou. Nous proposons de le revoir 2 semaines après l'arrêt des antibiotiques afin de voir s'il présente une récidive d'infection. Si ce n'était pas le cas, le patient décidera pour la suite de prise en charge s'il veut continuer à voir son chirurgien traitant ou revenir ici. L'évolution à 1 mois est tout à fait favorable. De ce fait, nous proposons d'enlever l'immobilisation et l'enfant peut bouger librement. Nous ne prévoyons pas de le revoir à notre consultation, mais restons à disposition. L'évolution à 1 semaine est favorable. Poursuite du traitement conservateur avec circularisation du plâtre BAB ce jour. Prochain contrôle clinique hors plâtre à 1 mois de la fracture. L'évolution à 12 mois étant tout à fait favorable, nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons, bien évidemment, à disposition en cas de besoin. L'évolution à 2 mois et demi est tout à fait favorable. Le patient peut reprendre les sports dans l'axe. Il pourra reprendre son activité professionnelle dans 2 mois. Nous proposons de le revoir pour un prochain contrôle clinique dans 3 mois. L'évolution à 2 semaines du traumatisme est favorable. Poursuite du traitement conservateur avec antalgie en réserve et physiothérapie avec mobilisation et renforcement musculaire, ainsi que décontraction de la musculature nucale D. Nous le reverrons dans 4 semaines pour un contrôle clinique. Pas d'arrêt de travail. Nous restons à disposition en cas de besoin. L'évolution à 3 mois est favorable, le patient bénéficie alors d'un traitement en physiothérapie et peut charger complètement sans le Vacoped. Il bénéficie d'un arrêt de travail à 100% du jour du traumatisme jusqu'au 13.01.2019. Face à la bonne évolution du traitement, nous conclurons à la fin du suivi en policlinique et nous restons à disposition.L'évolution à 3 mois est tout à fait favorable chez un patient qui est quasiment asymptomatique. Nous proposons de le revoir pour un dernier contrôle radioclinique dans 3 mois. L'évolution à 3 mois est tout à fait favorable. Nous la reverrons à 1 année post-opératoire pour un contrôle. L'évolution à 3 mois est tout à fait favorable. Nous ne prévoyons pas de la revoir à la consultation. L'évolution à 3 mois post-traumatisme est tout à fait favorable sans péjoration de la fracture et une régression de la symptomatologie douloureuse. Nous proposons donc un nouveau contrôle radio-clinique dans 2 mois et demi, à 6 mois de la fracture. L'évolution à 6 mois est marquée par une persistance de lombosciatalgies dans le territoire S1 à droite + l'apparition d'un syndrome sacro-iliaque. Nous proposons tout d'abord une infiltration des deux sacro-iliaques à but antalgique et diagnostic. Concernant les lombosciatalgies à droite, nous organisons une IRM et reverrons la patiente suite à cet examen pour discuter de la suite de la prise en charge. L'évolution à 6 mois est tout à fait favorable avec un patient qui ne présente pratiquement plus de douleurs. Nous l'envoyons en physiothérapie pour rééducation à la marche. Concernant la fracture, celle-ci est en voie de guérison. Au vu de l'absence de lésion cutanée au niveau de la peau, nous proposons de laisser encore la vis en place et reverrons le patient pour un prochain contrôle radioclinique dans 6 mois afin de discuter de l'AMO partielle ou complète. L'évolution à 6 mois est tout à fait favorable avec une nette régression des douleurs décrites lors de la dernière consultation. Au vu de la bonne évolution, nous ne prévoyons aucun geste actuellement. Nous proposons de revoir le patient pour un contrôle radio-clinique à 1 année postopératoire, soit en juillet 2019. L'évolution à 6 mois est tout à fait favorable avec une patiente qui est très peu asymptomatique. Nous proposons de la revoir pour un prochain contrôle radio-clinique à 1 année postopératoire. Si entre deux, elle mettait en évidence une menace cutanée au niveau de la peau, elle reprendra contact avec notre service afin de discuter de l'AMO des vis. L'évolution à 6 semaines est favorable avec une patiente qui mobilise librement sa main et qui ne présente aucune douleur. De ce fait, nous proposons d'enlever l'attelle et la patiente peut reprendre toutes les activités sans restriction aucune. Reprise du travail à 100% dès le 04.02.2019. Nous ne prévoyons pas de la revoir en consultation, mais restons à disposition. L'évolution à 6 semaines est tout à fait favorable avec une patiente qui présente peu de symptomatique. Elle peut reprendre actuellement une mobilisation en physiothérapie de la hanche avec une charge complète et rééducation. Concernant l'histologie, celle-ci confirme la présence d'une synovite villonodulaire pigmentée, raison pour laquelle la patiente va bénéficier dès vendredi d'une synoviorthèse en radiologie. Nous reverrons la patiente pour un prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines, soit le 05.03.2019. Prolongation de l'arrêt de travail jusque-là. L'évolution à 6 semaines est tout à fait favorable. Nous proposons de commencer la rééducation en physiothérapie avec renforcement musculaire et école de marche. Au vu d'une coxarthrose qui est également symptomatique à gauche, nous proposons de revoir le patient dans le courant du mois de juillet pour voir l'évolution postopératoire de la hanche droite et de planifier une nouvelle implantation de prothèse de hanche totale à gauche dans le courant du mois d'octobre 2019. Si entre-temps, le patient venait à présenter une péjoration des douleurs à gauche ou l'apparition de nouvelles douleurs à droite, il reprendra contact avec notre service pour avancer le rendez-vous. L'évolution à 6 semaines est tout à fait favorable. Nous proposons de continuer la physiothérapie et de progressivement lâcher le tintébin pour des cannes. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. L'évolution à 7 mois du traumatisme est favorable. Le patient a pu reprendre toutes ses activités, sans limitation, et ne présente pas d'instabilité. Dans ce sens, nous ne proposons pas de prise en charge chirurgicale. Nous lui recommandons de poursuivre le renforcement musculaire par lui-même ou en physiothérapie. Selon son désir et au vu de l'évolution favorable, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'office, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution à 9 ans est tout à fait favorable avec une patiente asymptomatique. Prochain contrôle dans 4 ans. L'évolution après physiothérapie est favorable. Elle doit continuer à faire des exercices avec la physiothérapie et à domicile pour améliorer la symptomatologie du dos. Pour l'instant, au niveau de la hanche droite, il n'y a aucune indication à la mise en place d'une PTH. CT-scanner en réserve pour investiguer une arthrose postéro-inférieure. L'évolution après physiothérapie est favorable. La patiente a déjà repris ses activités quotidiennes et son travail sans difficulté importante. Nous lui proposons donc la poursuite de la physiothérapie, dont séances en piscine (qui semblent bien lui convenir). Nous lui rappelons qu'avoir une bonne hygiène de vie pour le dos est essentielle dans le contexte de sa triple discopathie qui risque d'évoluer et aggraver les douleurs axiales. Pas de nouveau contrôle prévu d'office, nous restons à disposition au besoin. L'évolution au niveau du biceps est bonne avec une absence de douleur malgré une légère déformation. La fonction de l'épaule récupère progressivement mais n'est pas encore assez bonne pour l'activité professionnelle du patient. Je prolonge l'incapacité jusqu'à la fin février. Physiothérapie avec renforcement musculaire et contrôle d'ici 2 à 3 mois. L'évolution chez ce patient est tout à fait favorable suite à une infiltration bénéficiée en avril de l'année dernière. Il n'a pas présenté de nouvelle récidive et est actuellement asymptomatique. Au vu de la très bonne évolution, nous ne posons aucune indication chirurgicale. Le patient reprendra contact avec notre service en cas d'apparition de nouvelle symptomatologie. L'évolution chez cette patiente est lentement favorable avec un regain de la mobilité, mais une persistance d'un petit déficit en flexion. Nous expliquons à la patiente que ceci peut être expliqué par le magma inflammatoire au niveau de la cicatrice du tendon. Au vu du manque de gêne, nous ne prévoyons aucune chirurgie de correction pour le moment. Nous proposons de revoir la patiente pour un contrôle clinique à 1 année postopératoire et elle prendra contact avec notre service si elle présentait une péjoration rapide de la mobilité de son doigt. L'évolution clinique à trois mois post-opératoires est marquée par une raideur encore assez importante de l'épaule gauche. La patiente va continuer la physiothérapie pour récupérer la mobilité. Je reverrai Mme. Y le 15.02.2019 pour une réévaluation clinique. Une nouvelle ordonnance pour 9 séances de physiothérapie est donnée à la patiente. L'évolution clinique à 3 mois post-intervention susmentionnée est favorable, hormis un status cicatriciel adhérentiel. Pour cette raison, nous prescrivons au patient des séances d'ergothérapie intensive de la cicatrice. Prolongation de l'arrêt de travail à 90% jusqu'au 12.02.2019, date de la prochaine consultation. L'évolution clinique à 3 mois post-opératoires est toujours favorable. Je propose de continuer la tonification musculaire et les entraînements de la proprioception à la maison. Je le reverrai dans 2 mois pour une réévaluation clinique le 22.3.2019. Le patient a déjà repris le travail à 100% depuis le 21.1.2019 sans problème.L'évolution clinique à 6 semaines du traumatisme est satisfaisante avec une patiente complètement asymptomatique et un traitement ergothérapeutique bien conduit. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique à 8 mois post-opératoires est lentement favorable. Le patient a encore gagné plus de mobilité comparé au dernier contrôle d'octobre. Je propose de continuer la mobilisation en physiothérapie. Nous prévoyons un contrôle clinique le 10.4.2019 en vue d'une ablation du matériel d'ostéosynthèse à 1 année post-opératoire. Nous verrons après l'AMO si le patient arrive à mieux se mobiliser. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. L'évolution clinique à 8 semaines du traumatisme est favorable. Le patient poursuivra toutefois la physiothérapie axée sur l'étirement des chaînes postérieures, proprioception et renforcement musculaire. Reprise du travail à 100% dès le 26.01.2019. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. L'évolution clinique à 9 mois du traumatisme est favorable avec un patient asymptomatique. Nous proposons au patient de reprendre ses activités sportives librement et de voir l'évolution au niveau de son genou. En parallèle, il débutera un traitement de SensoPro. En cas d'instabilité fonctionnelle avec l'augmentation des activités sportives, nous lui proposerions alors une arthroscopie diagnostic et plastie du ligament croisé antérieur à partir du tendon quadricipital en premier lieu. En ce qui concerne le LLI, nous ne retenons d'office une indication à une plastie de reconstruction en raison des résultats de l'examen clinique du jour. En effet, le patient a repris la plupart de ses activités sportives et ne présente pas de sentiment d'instabilité. Nous lui proposons d'augmenter progressivement l'intensité dans ses activités et de voir l'évolution. Prochain contrôle dans 5 mois. L'évolution clinique est clairement favorable. Son syndrome de Sudeck est derrière elle. La patiente a quelques minimes raideurs matinales, ce pourquoi elle fait encore quelques mouvements. La patiente n'a pas besoin de nouveau contrôle. Nous restons à disposition au besoin. L'évolution clinique est défavorable à environ 3 mois de la fracture, raison pour laquelle j'organise une IRM de la cheville D. Suite de la prise en charge à la consultation du Dr. X dans 2 semaines. L'évolution clinique est favorable à 1 semaine. Reprise de l'activité professionnelle sous protection de l'attelle aircast pour les 3 prochaines semaines, puis sevrage progressif par la suite. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique est favorable à 6 semaines post-opératoires. Le patient poursuivra la rééducation en physiothérapie. Prochain contrôle à 3 mois post-opératoires. L'évolution clinique est favorable à 6 semaines postopératoires. Le patient poursuivra le traitement en physiothérapie axé principalement sur la récupération des amplitudes articulaires, étirement des chaînes postérieures et renforcement musculaire dans l'axe. L'arrêt de travail est prolongé à 100%. Prochain contrôle à 3 mois postopératoires. L'évolution clinique est favorable avec un patient asymptomatique. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique est favorable avec une diminution de la tuméfaction. Nous pouvons donc organiser l'ablation des broches. Les risques et les bénéfices lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement. Avec cette AMO partielle, nous espérons améliorer la mobilité. Arrêt de travail à 100% jusqu'au 18.02.2019. L'évolution clinique est favorable, la fracture reste peu déplacée et au niveau du CT-scanner réalisé à 1 semaine, on ne voit pas la possibilité d'améliorer la situation avec une opération. On poursuit le traitement conservateur avec un plâtre scaphoïde pour encore 5 semaines, puis contrôle radio-clinique. L'évolution clinique est favorable. Le patient a récupéré une bonne mobilité. Je ne prévois pas de prochain contrôle, mais reste à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique est favorable. Nous autorisons la patiente à reprendre la charge sur son poignet à compter de 3 mois après l'accident, c'est-à-dire dans une dizaine de jours. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois. L'évolution clinique est favorable. Nous enlevons la mèche et rinçons la plaie au NaCl. La patiente peut regagner son domicile le jour même et fera des douches 3 fois par jour. Elle sera vue en policlinique de chirurgie le 08.01 à 15h30. L'évolution clinique est favorable. Nous lui proposons d'effectuer des rinçages par ses soins et la suite de la prise en charge chez le médecin traitant. L'évolution clinique est favorable. Nous prescrivons au patient des séances d'ergothérapie pour mobilisation en flexion/extension et massage de la MCP. Reprise du travail à 50% dès le 21.01.2019 et à 100% dès le 04.02.2019. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. L'évolution clinique est favorable. Poursuite du renforcement musculaire. Reprise des sports dans l'axe type course à pied ou vélo. Il est au courant qu'il ne doit pas faire de sport de pivot ou pivot contact. Prochain contrôle clinique à 3 mois postopératoires avec bilan radiologique par CT pour évaluer les tunnels. L'évolution clinique est favorable. Reprise des activités sportives selon tolérance. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique est plutôt favorable, néanmoins, nous prescrivons des séances d'ergothérapie afin de travailler la force et les amplitudes des interphalangiennes. Nous reverrons Mr. Y dans 6 semaines pour un contrôle clinique. D'ici là, il peut reprendre toutes ses activités professionnelles sans restriction. L'évolution clinique est satisfaisante avec une cicatrisation et une bonne intégration de la greffe de Thiersch au niveau prétibiale. L'évolution est également favorable au niveau de la prise de greffe où les soins de plaie doivent être poursuivis. Poursuite du port de l'attelle de positionnement nocturne pour le pied équin. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. L'évolution clinique est satisfaisante avec une patiente qui n'est pas gênée dans son quotidien ni dans son activité professionnelle. La rééducation a été effectuée de manière satisfaisante. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique est très favorable avec un patient complètement asymptomatique. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique et radiologique est tout à fait favorable avec une consolidation de la fracture. Poursuite de la mobilité libre et sans restriction. Poursuite de la physiothérapie 1 fois par semaine. Prochain contrôle dans 6 mois. Pas d'arrêt de travail. L'évolution clinique et radiologique est très favorable. Pour son érythème avec papule au niveau de sa jambe, nous proposons une consultation dermatologique avec au préalable l'application d'une crème à base de cortisone légère, Locoid crème, 1 fois par jour durant une semaine, 1 jour sur 2 la semaine suivante puis 1 à 2 fois par semaine jusqu'au contrôle dermatologique, selon l'appel fait durant l'entretien. Nous ne prévoyons pas de contrôle mais restons à disposition si besoin ou si le dermatologue pense qu'une AMO serait indiquée. L'évolution clinique et scanographique est favorable. Nous retirons le corset du patient et lui ordonnons de ne plus porter d'immobilisation cervicale, ce traitement ayant été un peu excessif au vu de la fracture. Le patient doit se mobiliser spontanément en flexion/extension de la colonne cervicale progressivement sans aide, puis à partir de 2-3 semaines dès ce jour, il pourra se mobiliser spontanément en rotation sans aide. Nous lui prescrivons des séances de physiothérapie pour massages doux sans manipulation. Nous reverrons le patient dans 4 semaines pour un nouveau contrôle. Au niveau de son travail, prolongation de l'arrêt de travail à 100% pour 4 semaines au moins, et par la suite, selon l'état clinique, arrêt de travail à 50% durant 4 semaines puis reprise à 100% par la suite.L'évolution clinique reste bonne. Le patient doit continuer la physiothérapie pour récupérer plus de mobilité. Je reverrai le patient dans 3 mois le 24.4.2019 pour une réévaluation clinique et pour planifier l'éventuelle ablation précoce du matériel d'ostéosynthèse. L'évolution clinique reste favorable, toutefois afin d'exclure une fissuration chondrale ou un œdème, j'organise une IRM et je reverrai la patiente à la suite de cet examen. Pas d'arrêt de travail prescrit. L'évolution concernant la colonne lombaire est tout à fait favorable avec un patient qui ne présente pas de douleur. Nous le reverrons dans 6 semaines à 3 mois post-opératoires. Après discussion du cas avec le Dr. X, nous proposons une ponction de hanche D, laboratoire et CT scan. Il sera par la suite suivi par le team hanche pour la suite de la prise en charge. L'évolution concernant la fracture de la branche ischio-pubienne est favorable avec une consolidation en cours et une absence de douleur. Après discussion du cas avec le Dr. X, nous émettons l'hypothèse d'une suspicion de fracture de fatigue au niveau du sacrum, raison pour laquelle nous proposons de faire un CT-scanner coupe fine lombaire et sacrum afin d'exclure cette fracture. Si l'on ne mettait en évidence aucune fracture, alors une prise en charge pour un traitement de syndrome de sacro-iliaque sera envisagée. La patiente sera revue dans 3 mois concernant la fracture du bassin et sera également revue par le team Spine suite au CT-scanner pour discuter des résultats de la suite de la prise en charge. CT et contrôle team spine le 12.02.2019. L'évolution cutanée est favorable et ne nécessite plus de soins de plaie. Toutefois, il persiste une raideur articulaire qui doit être activement travaillée en physiothérapie et par des auto-exercices. Nous diminuons son incapacité de travail à 50% dès le 28.01.2019 jusqu'au 03.03.2019. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. L'évolution de la fracture est favorable. Nous proposons de finir les dernières séances de physiothérapie pour que la patiente puisse récupérer encore plus de mobilité. Nous mettons fin au traitement en policlinique d'orthopédie. L'évolution des plaies est favorable sans signe d'atteinte nerveuse, sensibilité sp au toucher-piquer. Apparition de plusieurs phlyctènes dont une partie percées sans signe inflammatoire. Nous réalisons la réfection du pansement et laissons la patiente rentrer à domicile avec un contrôle prévu à la policlinique à 48h. L'évolution du genou D est favorable. Poursuite de la physiothérapie et du traitement par Chondrosulf. Prochain contrôle clinique dans 4 mois. L'évolution du point de vue des douleurs étant favorable, avec un laboratoire aligné et un CT scan montrant un dolichocôlon, nous évoquons des douleurs abdominales dans un contexte de coprostase et proposons à la patiente de poursuivre son traitement laxatif à domicile. La patiente sera revue par la suite par son médecin traitant en cas de persistance des douleurs. L'évolution est actuellement favorable. La patiente n'a plus besoin de cannes pour marcher et ne présente plus de douleur. Vu qu'il ne s'agit pas du premier épisode d'entorse, nous proposons de la physiothérapie à but de renforcement et proprioception. Prescription d'une attelle Aircast à porter pour 3 semaines, puis 3 mois pour le sport. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est cliniquement et radiologiquement favorable chez ce patient. Nous lui prescrivons des séances de physiothérapie pour renforcement des muscles érecteurs du rachis et stretching de la musculature abdominale ainsi qu'hygiène posturale. Du point de vue du rachis, une reprise du travail à 50% serait possible dès ce jour pour 4 à 6 semaines puis à 100% par la suite. Le début de cette reprise du travail est bien entendu conditionné par la fracture du scaphoïde, ce pourquoi le patient sera revu par le Dr. X le 13.02.2019. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle à notre consultation mais restons à disposition si nécessaire. L'évolution est défavorable à 4 mois de cette entorse grave du Chopart avec un patient qui présente des douleurs prédominantes au niveau antérieur de sa cheville. Nous organisons donc une IRM afin d'évaluer la capsule antérieure, la surface ostéo-cartilagineuse de l'articulation tibio-talaire mais également un bilan du ligament talo-fibulaire antérieur. Nous le reverrons suite à cet examen. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% du 31.01.2019 au 04.02.2019. L'évolution est favorable à 1 semaine. La maman est très inquiète car son enfant bouge beaucoup, nous proposons donc de faire un contrôle intermédiaire à 2 semaines avec des radios et de continuer le port du gilet orthopédique jour/nuit. L'évolution est favorable à 1 semaine. Nous proposons de continuer l'ergothérapie et de débuter la rééducation. Nous reverrons le patient pour un prochain contrôle clinique à 6 semaines post-réduction. L'évolution est favorable à 2 semaines. Nous lui proposons, dès la semaine prochaine, de tenter de reprendre les entraînements ainsi que les matchs. Elle devra tout d'abord essayer de dribbler avec la syndactylie. Si elle présente une douleur, elle ne pourra pas commencer les matchs. Si elle est indemne de douleurs durant les deux premières semaines, nous proposeons de continuer la syndactylie pour les entraînements et les matchs puis elle pourra reprendre son activité sportive de manière normale. L'évolution est favorable à 5 semaines postopératoire. Poursuite du port du gilet orthopédique la nuit et de la bretelle durant la journée, et cela durant une semaine. Poursuite de la mobilisation active assistée en physiothérapie. Après une semaine, mobilisation active libre sans charge pendant les 6 prochaines semaines. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Arrêt de travail prolongé jusqu'au 13 mars 2019. L'évolution est favorable à 6 mois de l'intervention. Poursuite de la rééducation sous forme de fitness médicalisé. Nous convenons ensemble de ne pas prévoir de prochain contrôle d'office et le patient reprendra contact au besoin. L'évolution est favorable à 6 semaines. Nous proposons de continuer la physiothérapie avec une augmentation de la mobilisation du genou et de progressivement lâcher les cannes. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. L'évolution est favorable à 6 semaines. Stop du port de l'attelle. L'ergothérapie n'est plus nécessaire. Le patient est encore arrêté à 100% pour un mois dans la mesure où il fait un travail avec port de charge. Prochain contrôle radio-clinique dans le 19.02.2019 pour juger de la reprise. Si le patient peut négocier un pourcentage de travail administratif avec son patron, il nous recontactera et nous modifierons l'arrêt de travail en fonction. L'évolution est favorable. Ablation de l'attelle ce jour. Le patient peut commencer l'ergothérapie pour la mobilisation. Nous le reverrons dans 6 mois. L'évolution est favorable après cette 1ère luxation. Nous proposons une poursuite de la physiothérapie. Reprise du sport doux à partir de 3 mois depuis le traumatisme, donc à partir du 1er février. À partir de 6 mois, reprise de toutes les activités sportives. À noter que le patient est droitier et pratique le fitness, ce qui est contre-indiqué jusqu'en mai au niveau du membre supérieur.• Contrôle clinique dans 3 mois. • L'évolution est favorable. Arrêt du port du Rucksack ce jour. Nous autorisons la patiente à mobiliser librement son épaule, sans charge, selon douleurs pour les 2 prochains mois. Dispense de sport de contact pour les 2 prochains mois. • Prochain contrôle clinique dans 2 mois. • L'évolution est favorable. Au vu de la bonne mobilité, je ne prescris pas à la patiente des séances d'ergothérapie. Je ne prévois pas de prochain contrôle, mais reste à disposition en cas de besoin. • L'évolution est favorable avec la semelle. Il a déjà bénéficié de 3 séries de physiothérapie avec un bon résultat. Nous jugeons donc qu'il n'est pas nécessaire de poursuivre cela. Nous le reverrons dans 6 mois pour un contrôle clinique. • L'évolution est favorable avec les semelles. Nous la reverrons dans 1 année pour un contrôle clinique. • L'évolution est favorable avec un patient qui a repris toutes les activités sportives et mobilise librement son genou, sans aucune douleur. Prochain contrôle dans 1 année. • L'évolution est favorable avec un patient qui n'est pas symptomatique suite à l'intervention. En regard de cette bonne évolution, nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition. • L'évolution est favorable avec une absence de douleurs. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. • L'évolution est favorable avec une patiente qui signale quasiment plus de douleur, nous majorons la physiothérapie en expliquant à la patiente l'intérêt de faire des exercices quotidiens. Nous reverrons la patiente pour un nouveau contrôle clinique dans 3 mois. • L'évolution est favorable avec une poursuite de la progression de la minéralisation au niveau du foyer de fracture. À noter que le patient n'a pas repris de nouveau travail à 50% en janvier comme initialement prévu. Il prévoit une reprise à 100% comme paysagiste dès mars. Nous le reverrons à 1 année post-opératoire pour discuter d'une éventuelle AMO. • L'évolution est favorable chez ce patient, à 6 semaines post-opératoire nous majorons la charge (augmentation progressive de 15 kg/semaine) et maintenons un Schlupfgips jusqu'à 3 mois post-opératoire. Clexane est maintenue 3 semaines, la charge se fera au moyen du Schlupfgips, la physiothérapie se fera hors plâtre. Prochain contrôle radio-clinique le 20.02.2019. • L'évolution est favorable. Ce jour nous changeons le BAB fendu au profil d'un AB circulaire qui sera à porter pour, au minimum, 3 semaines. Nous la reverrons fin janvier pour un contrôle radioclinique post ablation du plâtre. • L'évolution est favorable. Comme elle décrit des douleurs au déroulement du pied, nous lui prescrivons une semelle en carbone Ottobock. Elle pourra donc abandonner le Vacopedes. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. Arrêt de travail prolongé jusqu'au prochain contrôle. • L'évolution est favorable. Comme elle est asymptomatique, nous la reverrons uniquement à 1 année post-opératoire pour un contrôle radioclinique. • L'évolution est favorable. Comme le patient sera à l'arrêt dû à l'intervention de la hanche, il va pouvoir bénéficier d'une récupération de son poignet. Nous le reverrons dans 3 mois pour un contrôle radioclinique. • L'évolution est favorable concernant les fractures. La patiente se voit prescrire de la physiothérapie pour proprioception et équilibre. Elle sera revue dans 6 semaines au team pied pour discuter de la suite de la prise en charge de l'hallux valgus. • L'évolution est favorable. Concernant l'hallux valgus à D, comme il est asymptomatique, il n'est pas nécessaire de le traiter. • Nous la reverrons à 1 année post-opératoire pour un contrôle radioclinique. Si le côté D présente des douleurs, nous envisagerons également un contrôle radioclinique. • L'évolution est favorable. Dorénavant, Mme. Y peut charger librement. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique à 3 mois post-opératoire. • L'évolution est favorable. Elle n'est pas gênée par la diminution de mobilité plantaire de l'hallux D ni par la position de bascule dorsale de la M1. Dans ce contexte, nous ne prévoyons pas de correction chirurgicale ni de prochain contrôle mais restons à disposition. • L'évolution est favorable. Elle peut reprendre toutes ses activités sans limitation. Nous la reverrons à 1 année post-opératoire. • L'évolution est favorable. Elle peut reprendre toutes ses activités sportives avec un bon échauffement surtout avec les sports type stop and go. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. • L'évolution est favorable et le patient n'est toujours pas dérangé par le petit défaut de rotation. Il n'a aucune plainte. • Il a aussi bénéficié d'un traitement en ergothérapie pour mobilisation des doigts, qui étaient raides suite à l'immobilisation par l'attelle Edimbourg. Au vu de la clinique stable, d'une radiographie satisfaisante et d'un patient non-demandeur et non dérangé par son minime défaut de rotation, nous mettons fin au traitement en policlinique d'orthopédie. • L'évolution est favorable et le syndrome inflammatoire est en diminution. L'hypokaliémie s'est résolue spontanément. La patiente regagne alors son domicile et prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un suivi si nécessaire. • L'évolution est favorable grâce à la physiothérapie. Poursuite des activités sportives avec du renforcement des stabilisateurs dynamiques en physiothérapie et US. Nous le reverrons en mai après ses championnats du monde. • L'évolution est favorable. Il n'y a aucun signe en faveur d'une tendinite ou d'une instabilité. Nous proposons donc à la maman de faire les 2 dernières séances de physiothérapie. Si le physiothérapeute souhaite vraiment poursuivre, nous conseillons à la maman de lui dire de nous contacter afin de discuter de ceci. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. • L'évolution est favorable. Il peut reprendre le travail à 100% dès le 08.01.2019. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. • L'évolution est favorable. Il peut reprendre progressivement ses activités sportives tout en poursuivant ses exercices de stretching à domicile. Nous lui recommandons de reprendre la course à pied de façon progressive avec un chaussage adéquat. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. • L'évolution est favorable. Il s'agit d'un flexum résiduel au niveau de l'interphalangienne proximale avec un léger déficit de flexion de l'interphalangienne proximal et distal du dig V, raison pour laquelle nous prescrivons encore une série de 9 séances d'ergothérapie. Nous ne prévoyons pas de rendez-vous de contrôle mais restons à disposition si nécessaire. • L'évolution est favorable, il s'agit maintenant de récupérer les amplitudes, raison pour laquelle nous prescrivons 9 séances de physiothérapie, nous reverrons Mme. Y dans 6 semaines pour un contrôle radio-clinique à 3 mois postopératoires, soit le 19.02.2019. • L'évolution est favorable. Il s'agit maintenant pour Mme. Y de reprendre des activités quotidiennes à savoir la marche, avec montée et descente d'escaliers. Nous ne proposons pas de rendez-vous de contrôle, mais restons à disposition pour d'éventuelles questions. • L'évolution est favorable. La fracture montre une bonne consolidation osseuse à la radio. Nous le reverrons pour un dernier contrôle radio-clinique dans 3 mois.L'évolution est favorable, la patiente peut charger selon douleurs. Poursuite des séances de physiothérapie. La suite de sa prise en charge consistera à un rendez-vous à 1 année de l'ostéosynthèse pour un contrôle radio-clinique et pour discuter de l'indication à une ablation du matériel d'ostéosynthèse. L'évolution est favorable. La patiente souhaite une AMO mais durant l'automne. Nous la reverrons donc en septembre pour organiser l'opération. L'évolution est favorable. La prise en charge est alors terminée. Le patient reprendra contact en cas de péjoration ou de réapparition de symptômes. L'évolution est favorable. La radiographie montre un début de guérison osseuse. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour mobilisation selon tolérance étant donné qu'elle se mobilise difficilement avec un rollateur depuis son AVC. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. L'évolution est favorable. Le léger flexum n'a pas de conséquence clinique. Arrêt du port de l'attelle thermoformée. Exercices d'auto-mobilisation (enseignés ce jour en consultation). Dispense de sport pour les 6 prochaines semaines. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. L'évolution est favorable, le patient peut faire toutes les activités de sa vie quotidienne. Selon son souhait, nous prescrivons encore une série de physiothérapie. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est favorable mais il reste un déficit d'amplitude en extension. Nous lui prescrivons donc encore de la physiothérapie. Elle peut reprendre l'équitation mais prudemment. Nous la reverrons à 1 année post-opératoire pour un contrôle radioclinique. L'évolution est favorable, Mr. Y peut reprendre ses activités sans aucune restriction. Nous le reverrons à une année postopératoire pour un contrôle radioclinique. D'ici là, nous restons, bien évidemment, à disposition pour d'éventuelles questions. L'évolution est favorable, Mme. Y peut reprendre ses activités sportives hivernales, à savoir le ski, et mettra une petite protection siliconée sur le point de frottement. Nous discutons avec elle de la suite de la prise en charge qui consistera en un contrôle radio-clinique à 1 année de l'intervention, ainsi que de l'ablation totale du matériel d'ostéosynthèse qui se fera avec la reprise de cicatrice existante, minimum 12 mois postopératoires. Nous majorons également les séances de physiothérapie avec renforcement musculaire, proprioception, ainsi que reprise des amplitudes articulaires. L'évolution est favorable néanmoins nous proposons des séances de physiothérapie avec ondes de choc au niveau du péroné distal G dans le but de stimuler la consolidation. En ce qui concerne la tête de vis, nous discutons avec Mme. Y de l'ablation des vis proximales et distales du clou, que nous ferons par voie percutanée. La patiente est prévenue des risques per et postopératoires qu'elle accepte en signant le consentement. L'intervention est fixée au 18.03.2019. L'évolution est favorable. Nous enlevons le plâtre et il peut marcher en charge complète. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour la rééducation à la marche. Arrêt de travail à 100% prolongé pour 2 semaines puis reprise à 50% dès le 05.02.2019 et reprise à 100% dès le 20.02.2019. Nous le reverrons à 3 mois post-opératoires pour un contrôle clinique. L'évolution est favorable, nous expliquons au patient que la sensation de fourmillement prendra plusieurs mois avant de partir, néanmoins pour favoriser cet effet nous prescrivons des séances d'ergothérapie avec réafférentation sur le territoire médian. Nous reverrons le patient dans environ 3 mois. L'évolution est favorable. Nous le reverrons lors de son changement de pansement en stomathérapie dans 48 heures. Nous le reverrons également pour un contrôle clinique à 6 semaines post-opératoires. L'évolution est favorable. Nous lui conseillons d'appliquer de l'Excipial pour ramollir l'induration sur la cicatrice. Nous lui conseillons vivement de faire confectionner la semelle de compensation. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable. Nous lui conseillons de poursuivre le port de la semaine en carbone. Poursuite également de la physiothérapie. Arrêt de travail à 20% pour 6 semaines. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. L'évolution est favorable. Nous lui expliquons qu'au vu de la fracture, il se peut qu'il développe une arthrose plus tard. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour augmenter la mobilité et améliorer la proprioception. Elle va progressivement abandonner l'attelle. Nous la reverrons dans 1 mois pour un contrôle radioclinique et pour réévaluer la capacité de travail. L'évolution est favorable. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour la mobilisation sans charge pour 6 semaines. Poursuite de Redoxon jusqu'à 50 jours post-opératoires. Ablation des fils à 14 jours post-opératoires chez le médecin traitant. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. L'évolution est favorable. Nous lui prescrivons encore de la physiothérapie. Nous la reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. L'évolution est favorable. Nous lui prescrivons encore de l'ergothérapie pour la cicatrice et pour améliorer l'amplitude. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable, nous maintenons les séances de physiothérapie avec mobilisation de l'épaule passive et active assistée, avec renforcement musculaire. Prochain contrôle clinique dans 1 année. L'évolution est favorable. Nous mettons en place un Schlupfgips amovible à garder lors de la charge. Poursuite de la marche en charge avec les béquilles pour 5 semaines. Nous la reverrons dans 5 semaines pour un contrôle radioclinique avec CT. Poursuite de la Clexane jusqu'à la charge complète. L'évolution est favorable. Nous ne prévoyons pas de contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est favorable. Nous ne proposons pas de rendez-vous de contrôle, Mr. Y reviendra en cas de réapparition des douleurs. En ce qui concerne le travail, il bénéficiera d'un arrêt de travail à 60% d'incapacité du 21.01 au 27.01.2019, puis à 40% d'incapacité du 28.01 au 10.02.2019 avec une reprise à 100% le 11.02.2019. L'évolution est favorable. Nous pensons que les douleurs liées au biceps sont dues à une légère inflammation transitoire, raison pour laquelle nous prescrivons pendant 2 semaines des anti-inflammatoires. Nous reverrons Mme. Y dans 4 à 6 mois pour un contrôle clinique. L'évolution est favorable, nous pratiquons l'ablation du granulome sur la partie proximale de la cicatrice. Nous informons le patient qu'il peut continuer ses activités de la vie de tous les jours en essayant de limiter au maximum les charges sur l'avant-bras D. Nous le reverrons dans environ 2 mois pour un contrôle radioclinique. L'évolution est favorable, nous préconisons cependant une talonnette de compensation au niveau de la jambe gauche pour une surélévation de 1 cm, qui sera à porter systématiquement lors de la charge. Nous la reverrons dans 6 mois (à 1 année post-fracture). L'évolution est favorable, nous prescrivons des anti-inflammatoires, ainsi que des séances de physiothérapie à titre anti-inflammatoire avec étirement des extenseurs de l'avant-bras. Nous ne proposons pas de rendez-vous de contrôle, mais restons à disposition pour d'éventuelles questions. Le travail sera repris à 100% dès le 11.01.2019.L'évolution est favorable. Nous prescrivons, néanmoins, des séances d'ergothérapie pour entraîner la mobilité des doigts. Nous reverrons Mr. Y dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. Ablation de l'attelle AB ce jour pour une attelle velcro amovible. L'évolution est favorable. Nous procédons à l'ablation définitive du gilet ce jour. Nous majorons les séances de physiothérapie pour reprise de force et amplitudes. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines (3 mois post-fracture). L'évolution est favorable, nous proposons de maintenir des séances d'ergothérapie à but de reprise des amplitudes articulaires ainsi que de la mobilité active assistée sans travail de force. L'attelle peut être enlevée progressivement sur les 10 prochains jours. Prochain contrôle dans 2 mois (3 mois postopératoire). Prolongation de l'arrêt de travail à 100 % jusqu'au 18.02.2019. L'évolution est favorable. Nous rassurons Mme. Y que les amplitudes reviendront progressivement et qu'elle doit s'entraîner à domicile. Pas de prochain rendez-vous prévu mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est favorable. Nous stoppons donc le traitement. Nous lui conseillons toutefois de poursuivre les exercices de stretching. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable, permettant un suivi chez son médecin traitant avec ablation du fil dans 12-14 jours. L'évolution est favorable. Poursuite de la physiothérapie. Il n'y a pas de contre-indication à une reprise progressive des activités sportives. Toutefois, nous lui déconseillons de reprendre le tango avec des talons hauts avant une récupération satisfaisante des stabilisateurs dynamiques. Nous la reverrons dans 2 mois pour faire le point sur l'évolution. L'évolution est favorable. Poursuite de la physiothérapie. Il peut reprendre ses activités sportives selon douleurs. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable. Poursuite de la physiothérapie. Nous le reverrons à 6 mois post-opératoire pour un contrôle clinique. L'évolution est favorable. Poursuite du port de la semelle pour 4 semaines. Arrêt de sport jusqu'au prochain contrôle clinique dans 4 semaines. L'évolution est favorable. Poursuite du protocole de pansement avec le Prontosan gel. Elle bénéficie toujours des soins à domicile 2 fois par semaine. Prochain contrôle clinique dans 2 semaines. L'évolution est favorable. Prochain contrôle dans 2 ans. L'évolution est favorable. Prochain contrôle radioclinique à 1 année post-opératoire. L'évolution est favorable. Reprise du travail à 100 % dès le 07.01.2019. Reprise de la course à pied, sans restriction. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. L'évolution est favorable sans déplacement fracturaire. Le patient peut stopper le port de syndactylie. Il faut éviter tout port de charge et le sport pour les 6 prochaines semaines. Nous le reverrons pour un contrôle radio-clinique le 05.03.2019. Le patient reprendra son travail qui ne consiste pas du tout en travail physique, ni port de charge le 27.01.2019. L'évolution est favorable sans déplacement secondaire ou de bloc à la prosupination. Poursuite de la physiothérapie pour récupérer les amplitudes. Elle peut charger et mobiliser son bras sans limitation. Concernant le bras D, il n'y a aucune lésion osseuse. Nous retenons donc le diagnostic de contusion. Nous ne prévoyons pas de traitement particulier ni de nouveau contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable sans douleur. Nous la reverrons dans 1 année pour un contrôle clinique. L'évolution est favorable sans plainte. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable, sans signe d'une récidive d'infection. Nous refaisons un pansement, expliquons à la mère comment continuer à les faire, de poursuivre les antibiotiques comme prévu. Il prendra un rendez-vous de contrôle chez le pédiatre dans 2-3 jours. L'évolution est favorable. Selon le souhait du patient, nous prolongeons encore les séances d'ergothérapie, mais ne proposons pas de rendez-vous de contrôle. Nous restons à disposition en cas de questions. L'évolution est favorable suite au traitement conservateur. La patiente parvient à réaliser seule les actions de la vie quotidienne et n'est pas dérangée par la limite flexion-extension du poignet. Elle ne désire pas faire de la physiothérapie. Face à l'évolution satisfaisante de la situation, nous procédons à la fin de suivi en policlinique. L'évolution est favorable sur le plan des douleurs, il s'agit maintenant d'effectuer une physiothérapie de mobilisation avec reprise des amplitudes articulaires, raison pour laquelle nous majorons les séances de physio par des séances de physiothérapie en piscine. Arrêt de travail maintenu à 100 % jusqu'au 20 février, date du prochain contrôle radioclinique. L'évolution est favorable. Toutefois, compte tenu de la surinfection présente lors du dernier contrôle, nous prévoyons un contrôle clinique dans 1 semaine pour s'assurer de la bonne évolution. Arrêt de travail pour 10 jours. L'évolution est favorable. Toutefois, la déformation morphologique s'expose à un conflit sous la malléole externe. Nous le reverrons dans 3 mois pour un contrôle radioclinique en charge. Lors du prochain contrôle clinique, nous devrons également nous assurer qu'il n'y ait pas de conflit sous-malléolaire externe. Poursuite des activités sportives sans restriction avec un bon échauffement avant. L'évolution est lente mais elle me semble tout de même favorable. Je suis réticent à proposer une ténolyse des fléchisseurs à ce stade. Je suis bien au clair qu'il s'agit d'un cas chronique qui nécessiterait peut-être un geste chirurgical. Par contre, j'aimerais encore exploiter la voie conservatrice. Vu qu'il s'agit d'un cas particulier, je préconise un 2ème avis spécialisé auprès de Dr. X au CHUV. Je prie le secrétariat de Dr. X de convoquer la patiente. L'IRM a été transférée dans le PACS du CHUV. Je reverrai la patiente par la suite pour discuter des options thérapeutiques. L'évolution est lentement favorable avec une reprise partielle de la mobilité de la cheville. Elle va partir en vacances et nous lui conseillons de poursuivre les exercices de stretching. Nous la reverrons dès son retour pour un contrôle clinique. L'évolution est lentement favorable chez Mme. Y, nous prescrivons de la physiothérapie avec école de dos et rebalancement postural, ainsi que de la mobilité de la hanche. L'arrêt de travail est prolongé à 100 % jusqu'au 14.01, puis une reprise à 50 % du 14.01 au 21.02.2019 sera donnée, la reprise à 100 % est prévue pour le 22.02.2019. L'évolution est lentement favorable. Compte tenu de la bonne mobilité et de l'absence de signe inflammatoire, nous ne jugeons pas nécessaire de poursuivre la physiothérapie. Les douleurs rétro-malléolaires sont imputables à une inflammation tendineuse, pour laquelle nous prescrivons un anti-inflammatoire topique à appliquer 2 fois par jour. L'arrêt de travail à 100 % est prévu jusqu'au 31.01.2019 puis il pourra reprendre ses recherches d'emploi. Nous le reverrons à 6 mois post-opératoires pour un contrôle clinique. L'évolution est lentement favorable. Nous expliquons à la patiente qu'il n'y a donc pas d'indication à un traitement invasif pour l'instant. Sur le plan général, un diagnostic différentiel entre un saignement épidural VS saignement intra-dural sous-dural reste encore ouvert, ce qui pourrait justifier (au vu des images du jour) un hématome sous-dural chronique au niveau lombaire provoquant des radiculites voire inflammation des méninges et expliquant les douleurs actuelles de la patiente. Dans ce contexte, nous proposons à Mme. Y de demander un 2ème avis au HUG et à l'Inselspital.Nous la reverrons dans 2 mois pour suivre l'évolution clinique mais la recontacterons dans l'intervalle en cas d'un avis divergent du radiologue quant à l'IRM du jour. • L'évolution est lentement favorable. On conseille de poursuivre le traitement avec le Vacopedes pour encore 4 semaines. Prochain contrôle radio-clinique dans 4 semaines. Nous discuterons à ce moment-là de savoir si on met un soulier en carbone. On reste à disposition entre temps. • L'évolution est lentement favorable. Poursuite de la physiothérapie avec antalgie. Prolongation de l'arrêt de travail à 100%. Nous le reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. • L'évolution est lentement favorable, poursuite de l'ergothérapie 1x par semaine. Mme. Y reçoit deux prescriptions d'ergothérapie. Vu l'évolution favorable, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, toutefois, si Mme. Y devait développer de nouveaux symptômes ou si les douleurs devaient à nouveau se manifester de manière plus importante, elle reprendrait contact avec notre service. • L'évolution est lentement favorable. Poursuite du protocole avec Bétadine tulle. Nous la reverrons dans 2 semaines pour un contrôle clinique. • L'évolution est lentement favorable, raison pour laquelle nous maintenons les séances de physio et d'ergothérapie. Nous la reverrons dans le courant du mois de mai. D'ici là, l'arrêt de travail est prolongé à 100% jusqu'au 28.02.19, une reprise à 50% sera possible dès le 1er mars 2019 et à 100% dès le 1er avril 2019. • L'évolution est plutôt favorable. Mme. Y a décompensé des douleurs au niveau des doigts qui sont liées à de l'arthrose, elle a déjà bénéficié d'un test pour une polyarthrite rhumatoïde qui était négatif. Nous proposons au médecin traitant d'assurer une antalgie, nous majorons les séances d'ergothérapie avec mobilité des doigts entraînée. Prochain contrôle dans 6 semaines (3 mois postopératoire). • L'évolution est plutôt favorable. Mr. Y peut commencer la physiothérapie. Nous lui prescrivons une semelle en carbone Ottobock à garder jusqu'au prochain contrôle. Prolongation de l'arrêt de travail à 50% jusqu'au 20.01.2019 puis à 20% jusqu'au 03.02.2019 et reprise à 100%. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. • L'évolution est plutôt favorable. Nous pensons que les douleurs viennent d'une surcharge liée à la reprise du travail, raison pour laquelle nous diminuons l'activité professionnelle à 50% jusqu'au 31.01.2019. Nous prescrivons également des anti-inflammatoires à titre d'antalgique. Nous ne proposons pas de contrôle, mais dans le cas où les douleurs ne devaient pas s'améliorer, Mme. Y nous recontactera. • L'évolution est satisfaisante avec une patiente asymptomatique. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. • L'évolution est satisfaisante. Mme. Y peut reprendre ses activités sportives toutefois en étant prudente et en ne pas effectu ant de grosse contrainte sur l'avant-bras pour 2 mois. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. • L'évolution est satisfaisante. Mr. Y n'est pas gêné par le matériel d'ostéosynthèse. Nous décidons donc de ne pas faire d'AMO. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. • L'évolution est satisfaisante sans symptomatologie. À ce jour, il n'y a pas de prise en charge à effectuer en dehors de la poursuite des exercices. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. • L'évolution est spontanément favorable. Elle me tiendra informée par mail ou par téléphone de l'évolution. • L'évolution est spontanément favorable et Mr. Y va commencer la physiothérapie dans une semaine pour un schéma San Antonio. Il n'a pas, ce jour, les images d'IRM qui ne figurent pas sur le Pacs. Pour la suite, poursuite donc de la physiothérapie comme prévu et prochain contrôle, avec les images de l'IRM afin de compléter le dossier, directement au team du membre supérieur. • L'évolution est stagnante à 4 mois d'un traumatisme au genou droit. L'examen clinique du jour est cependant rassurant. Nous ne proposons pas dans ce contexte de mesures complémentaires. Mr. Y poursuivra sa rééducation en physiothérapie. En ce qui concerne le genou, Mr. Y devrait retrouver une capacité de travail à 100% d'ici 4 à 6 semaines. • L'évolution est stagnante avec une limitation de la flexion dorsale du pied et de la cheville à D qui se remarque également lorsqu'il marche sur la pointe des pieds. On discute avec la maman et Mr. Y de faire un examen sous contrôle scopique pour voir si le conflit est que osseux ou s'il y a aussi la partie du tendon d'Achille qui est très raide. Nous ferons l'examen le 07.02.2019 en présence de la Dresse X, service orthopédie d'enfant. Les activités sportives et la physiothérapie peuvent être continuées. • L'évolution est stagnante voire peu favorable selon Mr. Y, avec péjoration des douleurs notamment en fosse inguinale droite. Néanmoins, la hanche se mobilise quasi librement de manière non douloureuse, et les signes radiologiques ne sont pas équivoques d'une coxarthrose. Nous organisons donc une IRM à la recherche d'une sacro-iliite ou d'une bursite trochantérienne, nous reverrons Mr. Y une fois celle-ci effectuée. D'ici-là, prescription d'anti-inflammatoires, protection gastrique en traitement habituel doit être maintenue, les anti-inflammatoires arrêtés en cas de brûlures d'estomac. IRM le 23.01.2019. Contrôle le 29.01.2019. • L'évolution est tout à fait favorable à une semaine et une absence de lésion visible à l'IRM. Nous proposons de faire de la rééducation du genou avec de la physiothérapie. Nous ne prévoyons pas de revoir Mme. Y à la consultation et restons à disposition. • L'évolution est tout à fait favorable à 1 mois de la fracture. Nous expliquons à la maman que l'enfant peut reprendre maintenant une mobilisation complète et une charge. Il faut compter environ 1 semaine pour qu'il puisse se mobiliser librement avec une charge complète suivant une immobilisation. Nous ne prévoyons pas de contrôle d'emblée, mais nous restons à disposition si l'enfant venait à présenter des difficultés à se mobiliser normalement à partir de 10 jours. • L'évolution est tout à fait favorable à 1 mois. Nous proposons donc d'enlever le plâtre ce jour avec une mobilisation libre et complète. Nous expliquons au papa qui est présent d'éviter les sports de contact pour encore 2 semaines. Par la suite, elle pourra reprendre toutes les activités de manière normale. Nous ne prévoyons pas de faire de rendez-vous fixe, mais restons à disposition en cas d'apparition d'une symptomatologie. • L'évolution est tout à fait favorable à 3 mois de l'intervention. Nous conseillons à Mr. Y la poursuite de la physiothérapie pour un retour fonctionnel à la marche. Mr. Y a complètement pu se sevrer du corset et n'en a plus besoin, ceci n'est donc plus conseillé du tout. Nous le reverrons dans 3 mois, à 6 mois de l'intervention pour un nouveau contrôle radioclinique. • L'évolution est tout à fait favorable avec une nette diminution des douleurs, et Mr. Y n'a pas d'effet Stener. Traitement donc conservateur par un gantelet plâtré fait de manière thermoformée en ergothérapie. Nous le reverrons dans 4 semaines pour un contrôle radio-clinique. • L'évolution est tout à fait favorable chez ce patient qui est actuellement asymptomatique. Au vu de la bonne évolution, nous ne prévoyons pas de revoir Mr. Y à notre consultation, mais restons à disposition.L'évolution est tout à fait favorable chez ce patient qui retrouve progressivement la mobilité et qui présente très peu de douleur. Nous lui proposons de continuer son activité à 50% et de reprendre une activité à 100% dès la mi-mars. Nous le reverrons 2 semaines après pour refaire le point sur la tolérance de son activité professionnelle à 100% et refaire un prochain contrôle radio-clinique. L'évolution est tout à fait favorable en ce qui concerne l'OS. Il n'y a pas d'indication actuelle à d'autres examens. Les craquements sont sans doute liés à une surcharge fémoro-patellaire. Prescription de Chondrosulf. Suivi également pour le pied et, s'il devait y avoir une persistance de la symptomatologie, une investigation à la recherche de M2 long ou névrome de Morton pourrait être réalisée par la suite. L'évolution est tout à fait favorable. Il peut enlever la semelle rigide et se mobiliser librement. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. L'évolution est tout à fait favorable. Mme Y ne se sentant pas instable au niveau de sa cheville, elle ne souhaite pas de physiothérapie. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est tout à fait favorable. Nous la reverrons pour un contrôle radio-clinique le 19.02.2019. Si l'évolution est favorable, nous pourrons procéder à une botte plâtrée pour 2 semaines supplémentaires. L'évolution est tout à fait favorable. Nous le reverrons à 1 année post-opératoire pour un contrôle radioclinique. L'évolution est tout à fait favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est tout à fait favorable, nous ne proposons donc pas d'autre rendez-vous mais restons à disposition pour d'éventuelles questions. L'évolution est tout à fait favorable sous traitement conservateur, nous prolongeons l'arrêt de sport jusqu'au 31.01.2019, Mme Y peut reprendre ses activités professionnelles librement, nous ne proposons pas de rendez-vous de contrôle, mais restons à disposition pour d'éventuelles questions. L'évolution est tout à fait normale. Poursuite du port du Vacopedes. Nous la reverrons dans 3 semaines pour un contrôle radioclinique. L'évolution est tout à fait satisfaisante avec une orthoplastie bien adaptée chez un patient désormais asymptomatique. On propose de le revoir dans 6 mois pour faire le point sur l'évolution. En ce qui concerne le status après ostéosynthèse de la rotule G, nous prions le secrétariat du team hanche de reconvoquer le patient pour la suite de la prise en charge. L'évolution est très favorable à 2 semaines de la fracture avec une Mme Y qui marche librement. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Prolongation de la dispense de sport jusqu'au 31.01.2019. L'évolution est très favorable à 3 mois post-opératoires avec une consolidation en cours. Il peut reprendre son travail comme policier avec des travaux de bureau à 100% dès demain. La reprise des activités sur le terrain est prévue pour le 01.03.2019 à 50% pour 1 mois. Il peut commencer le sport comme la natation ou le vélo. La course à pied, il doit attendre encore un mois et ensuite reprendre progressivement selon douleurs. Nous le reverrons dans 3 mois pour un contrôle radioclinique. L'évolution est très favorable avec un patient qui est satisfait de la situation actuelle. Je ne prévois pas de prochain contrôle, mais reste à disposition en cas de besoin. L'évolution est très favorable. Concernant le fascia plantaire, nous lui prescrivons de la physiothérapie avec stretching. Nous le reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. L'évolution est très favorable. Elle peut commencer la physiothérapie de mobilisation. Nous lui prescrivons une semelle en carbone type Ottobock à mettre dans les chaussures afin d'éviter le déroulement excessif du pied. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. L'évolution est très favorable. Nous lui conseillons d'adapter ses anciennes semelles orthopédiques. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est très favorable, sans signe d'inflammation ou d'infection au niveau des anciennes plaies. Il persiste des douleurs au niveau de l'ostéotomie au chargement et au déroulement du pied. Nous prescrivons une semelle en carbone type Ottobock qu'elle peut mettre dans les souliers. Nous la reverrons 3 mois après l'intervention susmentionnée pour un contrôle radio-clinique. Dans le cas d'une aggravation de l'inflammation ou un écoulement, elle doit nous recontacter en urgences. L'évolution est très peu favorable chez Mr. Y malgré un traitement physiothérapeutique à 6 mois de la blessure, raison pour laquelle nous posons l'indication à une arthroscopie de l'épaule droite, avec sutures du tendon du sus-épineux ainsi qu'une ténotomie/ténodèse du long chef du biceps. Le patient est informé des risques et bénéfices per et post-opératoires qu'il accepte en signant ce jour le formulaire d'information et de consentement. L'intervention est planifiée pour le 28.01.2019. L'évolution étant favorable et le patient se sentant gêné par la plaque, nous pouvons organiser une ablation de celle-ci, par reprise des deux cicatrices MIPO qui se fera le 04.02.2019. Nous expliquons au patient les risques et bénéfices de l'intervention qu'ils acceptent en signant le formulaire d'information et de consentement. Selon son souhait, nous lui prescrivons une nouvelle série de 9 séances de physiothérapie avec mobilisation de l'épaule accompagnée de thérapie respiratoire. L'évolution favorable. Nous enlevons le Vacoped et le patient peut reprendre une charge normale. Il peut stopper les pansements. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. L'évolution globale est bonne mais le patient présente encore un épanchement articulaire. Ceci gêne beaucoup le patient raison pour laquelle je lui propose une ponction articulaire pour retirer ce liquide. En même temps, on profitera d'infiltrer le genou par Cortisone pour éviter que le genou regonfle. Le patient est d'accord pour cette infiltration qui est prévue pour le 30.01.2019. Arrêt de travail prolongé à 100% jusqu'au 03.02.2019. Une reprise de travail est prévue à 100% pour le 04.02.2019. L'évolution globale est bonne sous physiothérapie. Pour l'instant, je n'ai pas d'autre proposition thérapeutique.Au cas où les douleurs devaient persister, une infiltration pourrait éventuellement être proposée. Pour ma part je ne prévois pas de contrôle d'emblée à ma consultation, je reste toutefois à disposition en fonction de l'évolution. L'évolution globale est difficile. En ce qui concerne l'épaule G, je propose une infiltration sous-acromiale et intra-articulaire afin de gérer les douleurs de Mme. Y. Je la motive à poursuivre un traitement de physiothérapie, mais également d'effectuer les exercices à la maison afin de récupérer les amplitudes articulaires. En ce qui concerne l'épaule D, je vais bilanter la situation actuelle par une arthro-IRM et je demande à la patiente de bien vouloir me transmettre les documents (protocole opératoire) du Dr. X. Je revois donc la patiente le 15.02.2019 pour l'infiltration. Un rendez-vous de contrôle a été agendé pour le 13.03.2019 afin d'évaluer la suite du traitement. L'évolution globale est favorable. Le patient n'a quasiment plus de douleurs en regard du LLE du genou D. Il est asymptomatique et confortable dans le plâtre au niveau de l'avant-bras G. Pour cette raison, j'autorise le patient à conduire une voiture dès aujourd'hui. Il garde par contre le plâtre pour des raisons de sécurité, ceci pour un total de six semaines. Prochain rendez-vous dans trois semaines pour un contrôle radioclinique sans plâtre. Mr. Y reste à 50% d'incapacité de travail étant donné son handicap au niveau de son avant-bras pour écrire sur le clavier d'un ordinateur, cela correspond quasiment à 100% de son activité professionnelle. L'évolution globale est favorable sous physiothérapie et semelles orthopédiques que le patient porte tous les jours. Je pense que Mr. Y est en bonne voie sur le plan thérapeutique, toujours en phase d'adaptation des semelles orthopédiques qui corrigent le pes plano valgus. Il est normal que durant cette phase il puisse avoir des sensations de douleurs diffuses dans la cheville. Je propose de continuer le même traitement. Je le revois dans deux mois pour un contrôle clinique. En cas de persistance des douleurs, on pourrait éventuellement effectuer une infiltration loco dolenti par cortisone. Pour le moment, l'indication pour une infiltration n'est pas donnée vu l'amélioration des symptômes. L'évolution locale est favorable. Ablation des fils et débridement de la fibrine, désinfection au Prontosan, pansement avec Jelonet compresse et bandage. Nous retirons l'attelle Edimbourg et le patient peut mobiliser son doigt librement sans charge. Nous lui donnons le nouveau protocole de pansement à faire quotidiennement jusqu'à l'épithélisation complète. Prochain contrôle clinique dans 1 semaine. L'évolution n'est pas satisfaisante. Dans ce contexte, au vu d'une suspicion d'une arthrose symptomatique post-traumatique sous-astragalienne G, nous la reverrons pour un nouveau bilan radiologique. Dans l'intervalle, poursuite de la physiothérapie et de la médication per os. L'évolution postopératoire est favorable avec de bonnes amplitudes articulaires chez une patiente ne présentant plus de douleurs. Nous proposons une poursuite de la physiothérapie pour gagner encore quelques degrés d'amplitude en flexion, extension et prosupination. Pas d'antalgie nécessaire. Son incapacité est réduite à 50% dès le 14.01.2019, et réduite à 0% dès le 28.01.2019. Nous la reverrons dans 6 mois. L'évolution postopératoire est principalement marquée par une raideur articulaire. Poursuite d'une physiothérapie à sec et dans l'eau ciblée pour faire un stretching capsulaire. Reprise du travail à 100% à partir du 04.03.2019. Prochain rendez-vous le 14.03.2019. L'évolution radio-clinique à presque 2 mois de la dernière intervention est favorable. Mme. Y a déjà pu reprendre son travail d'aide cuisinière il y a environ 3 semaines. Prescription des séances de physiothérapie dans le but de la reprise des amplitudes articulaires. Nous ne proposons pas de prochain contrôle à notre consultation, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 1 an post-intervention chirurgicale susmentionnée est favorable. Selon le souhait du patient, prescription des séances de physiothérapie. Prochain contrôle radio-clinique à 5 ans postopératoires ou plus vite en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 1 semaine de la fracture est favorable. Circularisation du plâtre ce jour. Poursuite de la décharge jusqu'au prochain contrôle. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre dans 5 semaines, soit 6 de la fracture. L'évolution radio-clinique à 1 semaine de la fracture est favorable. Poursuite du traitement conservateur avec une immobilisation par attelle Luca. Nous prolongeons l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. Prochain contrôle radio-clinique dans 5 semaines. L'évolution radio-clinique à 10 jours de la fracture est favorable. Poursuite du traitement conservateur avec la semelle rigide. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 semaines. L'évolution radio-clinique à 15 ans de l'implantation de prothèse totale de hanche G est tout à fait favorable. Prochain contrôle radio-clinique à notre consultation dans 5 ans ou plus vite en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 3 mois de la fracture est favorable avec une patiente asymptomatique. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition. L'évolution radio-clinique à 3 mois de l'intervention et du traitement conservateur susmentionnés est favorable. La patiente est peu symptomatique. En ce qui concerne la prothèse de hanche D, implantée en 2005 à la Clinique X, on objective une décentralisation de la tête fémorale. Vu l'absence de symptômes au niveau de cette hanche, nous adoptons une attitude expectative. Prochain contrôle radio-clinique (bassin f, hanche D axiale) dans 2 ans ou plus vite en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 3 mois des interventions susmentionnées est favorable. Reprise de l'activité professionnelle dès demain. Prochain contrôle radio-clinique à 1 an postopératoire afin de planifier l'ablation du matériel d'ostéosynthèse. L'évolution radio-clinique à 3 mois post-intervention susmentionnée est tout à fait favorable. Mr. Y peut reprendre sans restriction ses activités sportives et quotidiennes. Prochain contrôle radio-clinique à 1 an de l'intervention lors duquel on discutera également de l'ablation du matériel d'ostéosynthèse. L'évolution radio-clinique à 3 mois postopératoires est favorable. La patiente est autorisée à marcher en charge selon douleurs et de se sevrer progressivement des cannes. Elle poursuivra la rééducation en physiothérapie. L'arrêt de travail est prolongé à 100% pour les 6 prochaines semaines. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Nous réévaluerons à ce moment-là une éventuelle reprise de l'activité professionnelle. L'évolution radio-clinique à 3 mois postopératoires est tout à fait favorable. Renouvellement de prescription de physiothérapie pour le stretching du grand fessier et du tensor du fascia latae avec massages au niveau du grand trochanter. Prochain contrôle radio-clinique à 1 an postopératoire. L'évolution radio-clinique à 5 mois du traumatisme est favorable. Le patient est autorisé à reprendre librement ses activités. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'office, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 6 semaines de la fracture est favorable. Reprise progressive des activités sportives. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 6 semaines de l'implantation de la PTH G est tout à fait favorable. La patiente peut continuer les séances de physiothérapie avec abandon progressif des cannes et marche en charge complète selon douleur. Nous lui conseillons également de pratiquer le vélo d'appartement. Prochain contrôle radio-clinique dans 2 mois.L'évolution radio-clinique à 6 semaines postopératoires est favorable. Mme. Y peut dès ce jour charger librement son membre inférieur droit selon douleur. Arrêt de la thrombo-prophylaxie ce jour. Prochain contrôle radio-clinique le 19.02.2019. L'évolution radio-clinique à 6 semaines postopératoires est tout à fait favorable. Reprise du travail à 100% le 15.01.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 19.02.2019. L'évolution radio-clinique à 6 1/2 mois de l'intervention est favorable. Poursuite de la physiothérapie pour mobilisation en charge selon tolérance sous protection de cannes ou de rolateur. Prochain contrôle radio-clinique à 1 an de l'opération. L'évolution radio-clinique à 7 mois de l'intervention est favorable. La patiente peut continuer à marcher en charge selon douleur. En ce qui concerne son problème au niveau de l'orteil droit, nous adressons la patiente pour un avis spécialisé à la consultation du Dr. X du team pied. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle à notre consultation, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 7 mois du changement de la prothèse totale de hanche gauche est favorable. Prochain contrôle radio-clinique à 1 an postopératoire avec une prise de sang (CRP, Interleukin-6, Vitesse de sédimentation, Leucocytes). En ce qui concerne la colonne lombaire, la patiente retourne chez le Dr. X dans 1 mois pour un contrôle. Nous suggérons à la patiente de contacter le Dr. X, chef du team spinal à l'HFR pour une éventuelle prise en charge chirurgicale en cas d'échec du traitement conservateur. L'évolution radio-clinique est favorable à presque 3 semaines. Poursuite du port de l'attelle aircast pour les 2 prochaines semaines puis port de l'attelle uniquement lors des activités sportives. Reprise progressive des activités sportives d'ici 2 semaines. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique est favorable à 2 mois du traumatisme. Le patient est autorisé à poursuivre ses activités, sans limitation. Comme prévu lors de la dernière consultation, nous reverrons le patient à 6 mois et à 1 an du traumatisme. L'évolution radio-clinique est favorable à 3 mois postopératoires. Poursuite des séances de physiothérapie. Nous encourageons la patiente à débuter une activité sportive en parallèle pour entretenir sa musculature. Concernant le travail, elle était en arrêt à 100% jusqu'à ce jour. Prolongation de cette incapacité de travail jusqu'à la fin janvier avec reprise à 50% du 01.02.2019 au 28.02.2019 et reprise complète dès le 01.03.2019. Prochain contrôle radio-clinique à 1 an post-opératoire. Poursuite de l'antalgie au besoin, en stoppant le Brufen. L'évolution radio-clinique est favorable à 6 semaines postopératoires avec un patient qui présente un important enraidissement articulaire. Le patient est autorisé à enlever son gilet orthopédique et à mobiliser son épaule librement. Il poursuit le travail en physiothérapie axé sur la récupération des amplitudes articulaires, massage et décollement de la cicatrice. L'arrêt de travail est prolongé jusqu'au prochain contrôle. Prochain contrôle radio-clinique à 3 mois postopératoires. L'évolution radio-clinique est favorable à 6 semaines postopératoires. Le patient est autorisé à marcher en charge selon douleur et à se sevrer progressivement de ses cannes. Prochain contrôle clinique à 3 mois postopératoires. L'arrêt de sport est prolongé jusqu'au prochain contrôle. L'évolution radioclinique est favorable. Abandon du gilet d'abduction. Nous lui prescrivons encore de la physiothérapie pour le renforcement et l'amélioration de l'amplitude. Il doit être encore prudent dans le port de charge. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. L'évolution radio-clinique est favorable. Ablation du gilet orthopédique le jour, la patiente devra le porter uniquement la nuit pour les 2 prochaines semaines. Nous prescrivons à la patiente des séances de physiothérapie afin de récupérer une bonne mobilité de l'épaule. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. L'évolution radio-clinique est favorable. Au vu d'une mobilité tout à fait normale de la cheville, nous ne prescrivons pas au patient des séances de physiothérapie. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. L'évolution radio-clinique est favorable avec une patiente asymptomatique. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique est favorable. Circularisation du plâtre ce jour. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre dans 2 semaines. L'évolution radio-clinique est favorable. Dispense de sport pour les 2 prochaines semaines. Nous expliquons à la mère que la déviation dorsale de 7° sera compensée avec la croissance. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 mois afin de s'assurer de la bonne croissance. L'évolution radio-clinique est favorable. Dispense de sport pour 2 semaines supplémentaires avec reprise progressive par la suite. Je ne prévois pas de prochain contrôle, mais reste à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique est favorable. Je ne prévois pas de prochain contrôle, mais reste à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique est favorable. Je prescris à la patiente des séances de physiothérapie afin d'améliorer la mobilité. Reprise du port de charge selon douleur. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. L'évolution radio-clinique est favorable. Je prescris à la patiente des séances de physiothérapie afin d'améliorer la musculature et à but antalgique. Abandon des béquilles dès que possible. Poursuite de la prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j jusqu'à charge complète. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 20.01.2019 avec reprise à 50% dès le 21.01.2019 jusqu'au 03.02.2019 et à 80% du 04.02.2019 au 17.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. L'évolution radio-clinique est favorable. Je prescris au patient des séances de physiothérapie afin d'améliorer la mobilisation et de reprendre un port de charge graduelle. Je prolonge l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 18.01.2019 avec reprise à 50% jusqu'au 03.02.2019 puis à 80% dès le 04.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. L'évolution radioclinique est favorable. Le patient est satisfait et n'émet aucune plainte. Il ne désire pas faire de la physiothérapie. Nous procédons à la fin de traitement en policlinique d'orthopédie. L'évolution radio-clinique est favorable malgré la perforation de la corticale antérieure par l'extrémité distale du clou, qui ne s'est toutefois pas enfoncée dans le fémur avec une vis de blocage intacte. Nous prescrivons à la patiente des séances de physiothérapie à but de rééducation de la marche en charge selon tolérance. La patiente arrive à charger, raison pour laquelle les injections de Clexane peuvent être arrêtées, seulement si la patiente se mobilise suffisamment. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. L'évolution radio-clinique est favorable. Mise en place d'une botte de marche avec charge maximale de 5 à 10 kg pour les 2 prochaines semaines. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre dans 2 semaines. L'évolution radio-clinique est favorable. Nous conseillons à la patiente un contrôle radio-clinique à 3 mois de la fracture, ce qu'elle refuse. Au vu d'une très bonne mobilisation, la poursuite du traitement en ergothérapie n'est plus indiquée.L'évolution radioclinique est favorable. Nous le reverrons à 6 mois post-opératoires pour un contrôle radioclinique et pour discuter de l'AMO. L'évolution radioclinique est favorable. Nous lui prescrivons une nouvelle série de séances de physiothérapie. Au vu de la quasi-récupération au niveau de sa fracture, nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique est favorable. Nous proposons à la patiente de faire un contrôle radio-clinique à 6 mois de la fracture, ce qu'elle refuse. Nous ne prévoyons donc pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radioclinique est favorable. Poursuite de la physiothérapie. Nous la reverrons à 6 mois post-opératoires pour un contrôle clinique. L'évolution radio-clinique est favorable. Poursuite du traitement conservateur avec mise en place d'une attelle ergothérapeutique thermo-formée en position intrinsèque prenant les rayons 4 et 5 et libérant le poignet. Prochain contrôle radio-clinique dans 4 semaines. L'évolution radio-clinique est favorable. Poursuite du traitement conservateur par attelle Edimbourg. Nous prescrivons à la patiente des séances d'ergothérapie pour mobilisation. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 semaine. L'évolution radio-clinique est favorable. Poursuite du traitement conservateur. Prochain contrôle radio-clinique dans 4 semaines. L'évolution radio-clinique est favorable. Reprise progressive des activités sportives (danse classique) selon tolérance. Au vu d'une souplesse et d'une mobilité de la cheville tout à fait normale, nous ne prescrivons pas de séances de physiothérapie. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois. L'évolution radio-clinique est satisfaisante. Nous prescrivons des séances de physiothérapie à but de rééducation fonctionnelle, renforcement, proprioception et travail des amplitudes articulaires. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 10.03.2019. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. L'évolution radio-clinique est satisfaisante. Ablation du plâtre définitive ce jour. Prescription de physiothérapie pour améliorer l'amplitude articulaire et renforcement musculaire. Nous reverrons Mr. Y le 14.03.2019 pour un contrôle radio-clinique. L'évolution radioclinique est satisfaisante avec une patiente asymptomatique et qui ne présente aucune gêne du matériel d'ostéosynthèse. Nous la reverrons dans 6 mois pour voir si le matériel d'ostéosynthèse est une problématique notamment avec le chaussage de souliers de ski. L'évolution radio-clinique est satisfaisante chez un patient qui n'a pas de limitation dans son quotidien et qui est satisfait de la situation actuelle. Dans ce contexte, il peut reprendre son activité professionnelle à 100% dès le 04.02.2019. Prochain contrôle à 1 année du traumatisme afin d'évaluer la croissance unguéale. Si la croissance est satisfaisante, il ne prendra pas contact avec notre service. Si toutefois, la croissance s'avère anarchique, il reprendra contact et nous discuterons d'une révision du lit unguéal à ce moment-là. L'évolution radio-clinique est satisfaisante. Compte tenu de la survenue occasionnelle de symptômes décrits par la patiente, on retient l'indication relative pour une ablation partielle du matériel : plaque et vis proximale. Cette intervention pourrait se dérouler en ambulatoire. Elle souhaite réfléchir à cette proposition. Elle nous recontactera. L'évolution radioclinique est satisfaisante. Elle est autorisée à charger selon douleurs avec poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. L'évolution radio-clinique est satisfaisante. Poursuite du traitement conservateur avec semelle rigide pour encore 3 semaines. Nous la reverrons le 28.02.2019 pour un contrôle radio-clinique. L'évolution radio-clinique est tout à fait favorable. Depuis le 17.12.2018, Mr. Y a déjà repris son travail à 100% et ne ressent pas le besoin de modifier son taux. Nous ne prévoyons donc pas de nouveau contrôle et restons à disposition au besoin. L'évolution radio-clinique est tout à fait favorable avec un patient complètement asymptomatique et qui a récupéré une mobilité complète de son coude. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique est très favorable. Mr. Y peut reprendre toutes les activités sportives selon tolérance. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique est très favorable. Nous ne prescrivons pas de physiothérapie à la patiente, car elle a déjà récupéré une bonne mobilité de son poignet. Prochain contrôle radio-clinique à 1 année de la fracture afin de s'assurer qu'il n'y a pas de lésion dans la ligne de croissance du radius. L'évolution radio-clinique est très favorable, raison pour laquelle nous ne prescrivons pas des séances de physiothérapie. Dispense de sport pour les 2 prochaines semaines avec reprise progressive par la suite. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique favorable à 6 mois postopératoires avec un patient asymptomatique et qui a repris l'ensemble de ses activités. Poursuite de la physiothérapie axée sur le renforcement musculaire. Prochain contrôle clinique à 1 année postopératoire. L'évolution radio-clinique satisfaisante. Persistance d'une raideur due à l'immobilisation qu'il s'agira de travailler en physiothérapie. Nous reverrons la patiente le 06.03.2019 pour un contrôle radio-clinique. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'au 17.02.2019 à 100%, puis reprise à 50% dès le 18.02.2019 jusqu'au prochain contrôle. L'évolution radiologique à 6 mois de l'intervention est favorable. La patiente est cependant gênée par le matériel d'ostéosynthèse, raison pour laquelle nous planifions un CT-scan (23.01.2019), afin d'évaluer la consolidation osseuse. Prochain contrôle pour discuter des résultats du CT-scan et d'une éventuelle ablation du matériel d'ostéosynthèse le 05.02.2019. L'évolution radiologique est favorable. Le caractère intermittent de la récupération fonctionnelle était prévisible et la maman est à nouveau rassurée sur ce point. Nous ne jugeons pas nécessaire de l'adresser en physiothérapie compte tenu de la reprise progressive de la marche sans boiterie. Nous expliquons à la maman que nous allons le suivre régulièrement jusqu'à 1 année post-traumatique. Prochain contrôle comme prévu le 18.02.2019. L'évolution radiologique est satisfaisante. D'un point de vue clinique, le patient présente une raideur post-immobilisation qu'il s'agira de travailler en physiothérapie. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% du 01.02.2019 au 01.03.2019. Nous reverrons Mr. Y le 28.02.2019 pour un contrôle clinique. L'évolution radiologique est stable et l'évolution clinique est favorable avec une patiente asymptomatique. Ablation de l'attelle ce jour. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution reste favorable dans le cadre de l'intervention susmentionnée. Il est conseillé au patient de mobiliser son doigt au maximum. Il peut reprendre son travail à 100% à partir du 21.01.2019. Pas de prochain contrôle prévu. L'évolution reste favorable. Nous prescrivons au patient des séances de physiothérapie afin d'améliorer la mobilité. Reprise de toutes les activités sportives. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin.L'évolution semble favorable suite au traitement conservateur. Lors de la dernière consultation qui a eu lieu à 4 semaines, nous conseillons à Mr. Y de garder encore le gantelet une semaine supplémentaire avec mobilisation douce hors du gantelet et sans charge. Nous lui prescrivons également de la physiothérapie. Mr. Y pourra reprendre le travail dès la semaine suivante. À noter qu'il est droitier. Face à cette évolution satisfaisante, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. L'évolution sous physiothérapie est favorable. Néanmoins, il manque quelques degrés d'amplitude notamment en élévation antérieure. Nous prescrivons donc une nouvelle série de séances de physiothérapie afin de gagner ces degrés manquants pour lui faciliter sa vie quotidienne. Nous prévoyons un contrôle clinique dans 6 mois. L'évolution subjective est bonne. Objectivement, à part l'angle talo-métatarsien, la situation est correcte. Dès ce jour, charge selon douleurs. Nous la reverrons dans 1 mois pour un contrôle radioclinique. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'au 28.02.2019. L'évolution suite à l'infiltration est favorable. Mr. Y note également un bénéfice partiel des séances de physiothérapie prescrites mais avoue avoir de la peine à se motiver à poursuivre les exercices à domicile. Il nous rapporte une demande AI en cours mais reste un peu flou au niveau de sa volonté de réintégration professionnelle. Au vu de son jeune âge, nous lui proposons de mettre un maximum de ses ressources en œuvre pour retrouver une activité professionnelle. En parallèle, poursuite de la physiothérapie pour l'hygiène posturale. Pas de nouveau contrôle prévu d'office, nous restons à disposition au besoin. L'évolution sur la cure du doigt à ressaut est favorable. Par contre, il reste des douleurs importantes en regard de la tendinite de De Quervain. Nous interprétons cette lente évolution dans le cadre du statut inflammatoire important visualisé lors de l'opération et également la longue durée des symptômes en préopératoire (env. 6 mois). Nous prescrivons une nouvelle série d'ergothérapie. Mme. Y continuera avec les anti-inflammatoires locaux et systémiques. Prochain contrôle clinique à 8 semaines. L'évolution sur le plan clinique se présente favorable. Il peut dès à présent, progressivement augmenter les charges, libres selon douleurs. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. L'examen clinique des conduits auditifs externes est limité à cause d'un rétrécissement bilatéral et des douleurs. Nous demandons l'avis de l'ORL de garde, qui nous conseille d'envoyer Mme. Y à Fribourg pour la suite de la prise en charge. Mme. Y reçoit du Tramadol per os qui ne la soulage pas, donc nous administrons de la Morphine per os. Elle est attendue en ORL à 10H00 à l'HFR Fribourg. L'examen clinique donne la suspicion d'un étirement de l'insertion proximale des gastrocnémius latéraux et des muscles péronés à gauche. Nous mettons en place un bandage antalgique et prescrivons un traitement antalgique. Mr. Y prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle dans une semaine. L'examen clinique est aligné. Nous réalisons 2 paires d'hémocultures à 38.2°C qui suivront. La radiographie du thorax ne met pas en évidence de signe de foyer, le stix et sédiment urinaire reviennent propres. Le bilan biologique ne met pas en évidence de neutropénie, nous notons une CRP à 41 mg/l, probablement dans le contexte oncologique. Mr. Y reste stable hémodynamiquement et afébrile après l'administration de paracétamol. Au vu du bilan biologique et clinique rassurant, nous laissons Mr. Y rentrer à domicile. Nous retenons un état fébrile post-chimiothérapie, nous prévoyons de revoir Mr. Y en contrôle à 48 heures à la filière des urgences ambulatoires et il reconsultera en urgence si changement du statut ou état fébrile. L'examen clinique est compatible avec une fracture, sachant que toute mobilisation du coude ou palpation osseuse provoque des pleurs. La visualisation d'un hématome à la face postérieure de l'humérus distal renforce cette suspicion. Mr. Y bénéficie d'une immobilisation par attelle postérieure brachio-antébrachiale, + Gilchrist afin d'éviter des mouvements de rotation externe. Mr. Y sera revu en policlinique d'orthopédie dans 1 semaine pour contrôle radioclinique. L'examen clinique est dans la norme, notamment pas de lésion du tympan. Nous concluons à un barotraumatisme simple et prescrivons sur avis du Dr. X du Rinosedin. Mme. Y peut rentrer à domicile et consultera un ORL en cas de persistance à 48h. L'examen clinique est dans la norme. Nous désinfectons la dermabrasion et laissons Mme. Y rentrer à la maison. La maman est prévenue de reconsulter en cas d'apparition de nausées ou de vomissements, de somnolence ou d'augmentation anormale des douleurs. L'examen clinique est plutôt rassurant, l'hypoesthésie ne suit pas un dermatome et il n'y a pas de déficit de force ni de trouble vasculaire en distal. Les douleurs sont soulagées par le Dafalgan. Néanmoins, au vu des antécédents familiaux et de la prise récente d'un traitement hormonal, nous effectuons des D-dimères, négatives. Concernant les douleurs de hanche depuis 3 mois, qui semblent plutôt mécaniques, nous proposons à Mme. Y de revoir son médecin traitant pour en discuter. Elle nous dit devoir bientôt bénéficier d'une IRM du bassin dans le contexte de son endométriose, nous lui proposons de regarder avec le médecin prescripteur pour compléter éventuellement par la hanche. L'examen clinique est rassurant et aucune douleur ne peut être reproduite à la palpation du thorax, Mr. Y décrivant des douleurs plus profondes. Mr. Y a la sensation d'être dyspnéique malgré des constantes normales. Nous prenons l'avis de Dr. X qui propose de réaliser une radiographie de thorax à la recherche d'un pneumothorax discret que nous ne trouvons pas. Le sédiment urinaire ne montre pas de microhématurie. Au fil de son séjour aux urgences, Mr. Y note une quasi-disparition de ses symptômes. La radiographie du genou droit ne montre pas de fracture. Nous suturons la plaie après désinfection, rinçage et exploration sous anesthésie locale, ne montrant pas de visualisation de structure profonde avec utilisation de 3 points simples Ethilon 4.0. Il verra son médecin traitant pour réfection du pansement à 48 h et retrait des fils à J10. Il rentre à domicile avec un arrêt de sport pour 10 jours. L'examen clinique est rassurant et nous considérons les paresthésies dans le contexte du traumatisme récent de l'épaule. Nous conseillons à Mr. Y d'appliquer la pommade Sportusal 2x/j et de prendre rendez-vous à la consultation de Dr. X. Retour à domicile. L'examen clinique est rassurant. La prise de sang montre une hémoglobine normale. Vu la notion de contage dans la famille et le taux normal d'hémoglobine, nous retenons une gastroentérite probablement d'origine virale et recommandons un traitement symptomatique. Nous laissons le médecin traitant faire un contrôle clinique dans 3 jours et organiser un bilan endoscopique. L'examen clinique est rassurant. La radiographie ne montre pas de lésion osseuse. Nous laissons Mme. Y regagner son domicile avec un traitement antalgique et anti-inflammatoire. Contrôle chez le médecin traitant si besoin. L'examen clinique est rassurant. La symptomatologie de Mr. Y est stable et il ne présente pas de péjoration. Nous lui proposons un traitement antalgique et myorelaxant per os. Nous lui expliquons que ce n'est pas possible d'effectuer des infiltrations ni de la physiothérapie aux urgences. Mr. Y refuse tout autre traitement et souhaite consulter le lendemain le CHUV.L'examen clinique est rassurant. Le bilan biologique montre une CRP à 18 mg/l et des leucocytes normaux. L'ECG met en évidence un indice de Sokolov positif et des ondes T plates en D3, mais le patient n'a aucune plainte thoracique. Nous retenons un malaise sans perte de connaissance dans le contexte d'un pic hypertensif. Nous conseillons au patient de mesurer sa tension artérielle tous les jours pendant une semaine et de contrôler chez son médecin traitant par la suite. Nous lui donnons aussi des conseils hygiéno-diététiques (perdre du poids, réduire sa consommation de sel, etc.). L'examen clinique est rassurant, le patient n'a pas de paresthésie et l'examen clinique est pour le reste négatif pour une séquelle concernant le plexus brachial. Le patient a une bretelle qu'il préfère ne pas garder parce qu'elle ne soulage pas les douleurs à la partie postérieure de l'épaule droite. Prochain rendez-vous à la consultation du Dr. X le 30.01.2019. Physiothérapie à commencer selon avis du Dr. X. L'examen clinique est rassurant. L'ECG montre un rythme sinusal régulier, avec BAV 1° et bloc de branche droit connu. Pas de signe d'ischémie aiguë, axe du cœur normal, QTc dans la norme à 430 ms. Au vu de l'examen clinique et l'ECG rassurants, la patiente peut retourner au RFSM de Marsens en taxi. L'examen clinique est rassurant mais incomplet car la visualisation du pharynx est impossible (le patient bouge, n'arrive pas à garder la bouche ouverte et mord le bas langue). Nous retenons une odynophagie probablement dans le contexte d'une infection virale des voies respiratoires supérieures. Nous recommandons un traitement symptomatique et un contrôle chez son médecin traitant en début de la semaine prochaine. L'examen clinique est rassurant. Nous effectuons cependant un ECG, qui montre des sous-décalages discrets au niveau des territoires inférieurs. Nous complétons dès lors par un bilan biologique qui ne montre pas de modification des enzymes cardiaques. Nous lui proposons donc de répéter l'ECG à distance et de reconsulter en cas de nouvelles douleurs. L'examen clinique est rassurant. Nous effectuons un ECG qui est superposable au comparatif. Le laboratoire ne montre pas de trouble électrolytique et le test de Schellong est négatif. Nous concluons à une syncope vaso-vagale et laissons la patiente rentrer à domicile avec contrôle chez le médecin traitant. L'examen clinique est rassurant, sans signe de péritonisme. Le bilan biologique ne montre pas de perturbation des paramètres hépatiques, biliaires ou pancréatiques. Nous ne retrouvons pas non plus de syndrome inflammatoire. Les symptômes sont moyennement calmés par l'antalgie proposée. Nous lui proposons de poursuivre ce traitement qui peut prendre du temps à être efficace. Elle sera revue par son médecin traitant le lendemain et les critères de reconsultation sont expliqués à la patiente. L'examen clinique est sans particularité et le patient reste asymptomatique à 3 jours, sans état fébrile. Le dépistage chlamydia/gonorrhée revient négatif. L'urotube montre un E. Coli multisensible. Le patient rentre à domicile avec poursuite du traitement antibiotique pour un total de 7 jours. L'examen clinique est très évocateur pour un zona. Le bilan biologique et l'ECG sont normaux. Nous retenons un zona pour lequel nous débutons un traitement antiviral (72h) et antalgique. Nous recommandons un contrôle chez le médecin traitant par la suite. L'examen clinique et de laboratoire permettent d'exclure un syndrome inflammatoire et des altérations neurologiques. Nous conseillons à la patiente de poursuivre le traitement par Dafalgan, AINS et Sirdalud et de prendre un rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinique. La patiente refuse l'arrêt de travail. L'examen clinique et IRM parlent en faveur d'une instabilité du long chef du biceps. Afin de différencier les douleurs présentées par Mr. Y, je préconise une infiltration de Ropivacaïne du sillon bicipital le 15.02.2019. Je revois le patient le 13.03.2019 afin de discuter de la suite de la prise en charge. L'examen clinique et la radiographie de thorax sont normales. Le Peak Flow est à 300, donc 70% de la valeur prédite. Vu les plaintes de la patiente de ne pas pouvoir s'endormir à cause de la dyspnée, nous lui donnons l'appareil de Peak Flow et du Ventolin en réserve et lui conseillons de mesurer son Peak Flow quand elle se sent dyspnéique, de s'administrer du Ventolin et de remesurer le Peak Flow par la suite. Elle doit consulter son médecin traitant avec les valeurs mesurées. L'examen clinique et l'anamnèse parlent en faveur d'une épaule gelée. Je discute avec la patiente de la pathologie, de son pronostic en général positif mais que nous parlons ici de troubles de longue durée. Je lui explique les différentes phases de la maladie. J'adapte le traitement anti-inflammatoire avec Brufen, Novalgine et Dafalgan comme traitement d'antalgique de base. J'évoque la possibilité d'une infiltration que l'on réévaluera lors du prochain contrôle dans 6 semaines. Incapacité de travail jusque-là. L'examen clinique et le bilan biologique sont rassurants. Vu que la chute date de 4 jours, le Dr. X ne recommande pas d'imagerie abdominale. Nous laissons le patient regagner son domicile avec un traitement antalgique et par physiothérapie respiratoire. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle. L'examen clinique et le laboratoire laissent suspecter une hernie inguinale droite. Nous prenons l'avis chirurgical du Dr. X, qui préconise un ultrason et un contrôle chez lui, le 07.01.2019. L'examen clinique et les examens complémentaires permettent d'exclure une surinfection pulmonaire. Au laboratoire, on met en évidence une hyponatrémie légère, pour laquelle nous préconisons dans un premier temps de suspendre le Co Aprovel, avec un contrôle dans 48h chez le médecin traitant. La patiente est très gênée par la toux et la sensation d'encombrement bronchique. Elle reçoit des aérosols aux urgences, qui diminuent les sibilances mais n'améliorent que peu les symptômes. Nous lui proposons de rester hospitalisée pour bénéficier de physiothérapie et poursuivre les aérosols, mais, rassurée par l'absence de signes de gravité, Mme. Y préfère rentrer à domicile. Nous convenons avec elle et son fils d'organiser de la physiothérapie à domicile, des aérosols et un contrôle à 48h chez le médecin traitant. Elle reviendra dans l'intervalle si la situation à domicile n'est pas gérable. L'examen clinique et les examens complémentaires sont rassurants, le patient se sent mieux durant le séjour aux urgences. Nous convenons avec lui et sa femme d'un retour à domicile avec contrôle dans la semaine chez son médecin traitant. Le couple verrait un avantage à réactiver le passage de l'infirmière en psychiatrie, nous laissons le soin au médecin traitant d'en rediscuter avec eux lors du prochain rendez-vous. L'examen clinique et radiologique permettent de conclure à une contusion de l'épaule gauche. Nous conseillons de l'antalgie selon besoin, repos en bretelle pour une semaine et évaluation clinique chez le médecin traitant dans 1 semaine. L'examen clinique fait suspecter une lésion antérieure au niveau de la coiffe, raison pour laquelle j'organise une IRM. Je revois la patiente après cet examen. L'examen clinique met en évidence une tendinite insertionnelle du tibial antérieur. Nous lui conseillons donc de faire des exercices d'assouplissement et d'étirements. Nous lui prescrivons également du gel Voltarène. Elle doit adapter ses activités quotidiennes afin d'éviter de déclencher ces douleurs. Concernant une gêne du matériel, nous prévoyons un contrôle à 1 année post-opératoire pour planifier une éventuelle AMO.L'examen clinique met en évidence une tuméfaction du 5ème doigt, avec un hématome palmaire et latéral du doigt ainsi que des douleurs à la palpation de la tête du 5ème métacarpien ainsi que la base de la première phalange du 5ème doigt, ainsi qu'un minime défaut de rotation du 5ème doigt, <10°. Nous effectuons une radiographie qui montre une fracture de la base de la première phalange. Mme. Y repart à domicile avec une attelle Edimbourg avec syndactylie, ordonnance d'antalgie et un contrôle à 1 semaine en policlinique. Ordonnance d'ergothérapie donnée pour confection d'une attelle équerre thermo-formée. L'examen clinique montre une coiffe compétente et l'IRM est assez rassurante, ce pourquoi une prise en charge chirurgicale n'est pas d'emblée indiquée. Nous proposons à Mme. Y une poursuite de la physiothérapie dont des séances en piscine afin de récupérer les amplitudes articulaires, et maintien de la force musculaire. Nous proposons de revoir Mme. Y pour un contrôle clinique dans 2 mois. En cas d'échec du traitement par physiothérapie, une infiltration serait à discuter. Mme. Y n'est pas en faveur de ce geste mais semble prête à l'accepter en dernier recours. L'examen clinique montre une sensibilité du flanc droit. Les tests hépatiques sont dans la norme ainsi que l'hémoglobine. Nous effectuons un sédiment urinaire qui montre une microhématurie, motivant la réalisation d'un ultrason abdominal qui ne montre pas de lésion ni rénale ni des voies urinaires. Nous proposons un contrôle du sédiment en fin de semaine chez le médecin traitant. Au vu des douleurs lombaires connues mais péjorées par le traumatisme, nous effectuons une radiographie lombaire qui ne montre pas de fracture. La radiographie du genou gauche permet d'exclure une fracture. Nous laissons Mme. Y rentrer à domicile avec une antalgie qu'elle possède déjà en réserve. L'examen clinique ne met pas en évidence de perte de force. Nous lui proposons donc de faire une série de physiothérapie axée sur la proprioception, la coordination et le renforcement musculaire. Nous la reverrons dans 1 mois. L'examen clinique ne retrouve pas d'atteinte des champs visuels ou de l'acuité visuelle. Après avis de Dr. X, ophtalmologue, nous prescrivons un traitement de Lacrycon dans l'attente d'une consultation spécialisée en ophtalmologie à l'HFR Fribourg le matin du 03.01. L'examen clinique neurologique est rassurant et le CT-scan natif ne trouve plus d'hématome sous-dural. Vu qu'à la dernière consultation le neurochirurgien de garde a recommandé une consultation neurochirurgicale, nous contactons le neurochirurgien de garde (le même médecin que le 08.01.2019) qui explique que Mme. Y n'a pas eu son rendez-vous en raison d'un problème d'organisation de leur service, mais vu les nouvelles données, il n'y a plus besoin d'une consultation de contrôle. Le CT-scan natif ne montre pas de lésion au niveau de l'articulation temporo-mandibulaire droite, raison pour laquelle nous retenons une contusion simple et conseillons un traitement antalgique simple, que Mme. Y refuse. Contrôle chez le médecin traitant. L'examen clinique oriente le diagnostic vers une laryngite. Au vu d'un score de Centor à 3/4, un streptotest est effectué et revient négatif. Mr. Y rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Il sera revu à la consultation de son médecin traitant dans 4 jours pour contrôle clinique. Il a reçu l'instruction de reconsulter en cas de péjoration de son état dans l'intervalle. L'examen clinique parle en faveur de lombalgies droites non déficitaires pour lesquelles nous conseillons un traitement anti-inflammatoire, antalgique, du repos, de la physiothérapie et un contrôle chez le médecin traitant par la suite. L'examen clinique parle en faveur d'une tendinite des fléchisseurs. Je propose un traitement conservateur avec anti-inflammatoires locaux et ergothérapie. Il faudrait étendre le bilan si la symptomatologie devait persister. Activités selon tolérance. Prochain contrôle à 6 semaines. L'examen clinique retrouve un début de probable furoncle en formation. Actuellement, il n'y a aucune collection palpable à drainer. Nous proposons à Mr. Y de revenir dans 2 jours en filière des urgences ambulatoires, et d'inciser uniquement en cas de présence d'une collection palpable. L'examen clinique retrouve un œil très légèrement rouge, sans atteinte des champs visuels ou de l'acuité. Le test à la fluorescéine est négatif. Nous retenons le diagnostic d'irritation cornéenne bénigne et lui donnons un traitement symptomatique. Mme. Y ira faire un contrôle chez son médecin traitant dans 5 jours et reconsultara dans l'intervalle en cas d'évolution défavorable. L'examen de la cavité buccale est rassurant, avec un fond de gorge relativement calme, sans dépôt blanc ni tuméfaction. Nous retenons le diagnostic de probable angine virale au vu d'un contage probable avec sa fille et lui donnons un traitement symptomatique. Mr. Y reconsultara en cas d'évolution défavorable. L'examen étant sans particularité et Mr. Y ne présentant pas d'autre plainte. Un constat médical de coup est rédigé et nous recommandons à Mr. Y, se sentant en danger, de dormir chez son frère à Vevey quelques temps et de contacter les services sociaux de la Gruyère au plus vite. Mr. Y a à nouveau prévu de porter plainte auprès de la police ce jour. L'examen IRM est rassurant, Mme. Y est asymptomatique. Je ne prévois pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. L'examen neurologique est normal. Après la discussion avec nos collègues pédiatres de l'HFR Fribourg, nous transférons la petite patiente dans le service de pédiatrie de l'HFR Fribourg pour surveillance neurologique. La fillette part avec ses parents. L'examen neurologique est normal. Le scanner cervical met en évidence une arthrose des facettes postérieures sans lésion osseuse aiguë. Le scanner cérébral met en évidence un hématome sous-dural occipital pour lequel le neurochirurgien de garde à l'HFR Fribourg recommande un CT-scan cérébral natif de contrôle et un rendez-vous en ambulatoire en neurochirurgie par la suite. Retour au domicile avec une antalgie simple. L'examen neurologique est parfaitement aligné. La plaie occipitale est non suturable. Nous proposons dès lors à Mr. Y une désinfection et un pansement Opsite simple. L'examen radiologique du jour ne permet pas de trouver de cause à la symptomatologie persistante de Mme. Y. Malgré l'aspect radiologique rassurant du LCA, le ligament reste cependant incompétent du point de vue fonctionnel et Mme. Y est à risque de ressentir une instabilité en cas de pratique de sport de pivot. Nous lui proposons de poursuivre la rééducation en physiothérapie axée sur la stabilisation unipodale et bipodale. Nous referons le point de la situation dans 3 mois. L'excroissance cutanée est excisée par scalpel. Mr. Y rentre à domicile avec un pansement. Pas de rendez-vous de contrôle agendé. L'exploration chirurgicale ne montre pas d'atteinte neurovasculaire ni tendineuse ni d'arthrotomie. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle de plaie dans 2 jours et l'ablation des fils dans 2 semaines. L'exploration de la plaie conclut à l'absence de lésion de structure noble. La plaie est suturée par 2 points simples. Mme. Y ira faire un contrôle de sa plaie dans 48h chez son médecin traitant. Les fils seront à enlever dans 5-7 jours à la consultation du médecin traitant. L'histoire et l'examen clinique nous évoquent un état ferriprive dans un contexte de ménorragie. Nous débutons un traitement substitutif ferrique par voie orale. Mme. Y reverra son médecin traitant dans le courant du mois de février pour un dosage de la ferritine, qui décidera d'une substitution intraveineuse si nécessaire. Elle rentre à domicile avec comme recommandation de reconsulter les urgences en cas de récidive des vertiges.L'histoire et l'examen clinique nous évoquent une folliculite chez un patient par ailleurs qui se rase l'arrière de la tête et qui présente probablement cette folliculite dans ce contexte. N'ayant pas de médecin traitant et désirant un chek-up, nous lui recommandons de prendre contact avec un généraliste pour suite de prise en charge et débutons un traitement empirique par Fucidine et savon Pruri-med. L'hypertension artérielle se corrige seulement avec un repos au lit, et les douleurs diminuent grâce à l'antalgique que nous administrons per os. Nous la renvoyons à domicile sans traitement d'office, avec indication de noter sa tension artérielle 3x/jour sur un carnet et le rapporter au médecin traitant afin d'adapter la prise en charge. Concernant les symptômes urinaires, le sédiment montre une infection urinaire basse, que nous traitons par Nitrofurantoïne. Mme. Y est hospitalisée pour réhydratation dans le contexte de difficultés alimentaires sur bronchiolite. Sur le plan digestif, une réhydratation et compensation des pertes est réalisée par SNG jusqu'au 29.01. Elle s'alimente par la suite de manière autonome et suffisante et récupère rapidement un bon état général. Elle ne présente pas de vomissements durant son séjour mais des diarrhées persistantes, raison pour laquelle un traitement par Perenterol est introduit. Sur le plan respiratoire, du Ventolin 6 pushs est essayé aux urgences sans amélioration à l'auscultation. Les traitements oraux, topiques et par inhalation de médecine anthroposophique sont débutés dès son arrivée dans le service. Elle reste peu symptomatique durant son séjour et ne nécessite pas d'oxygénothérapie. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile le 29.01 avec contrôle chez le pédiatre à 48 heures. Libération et antéposition sous-musculaire du nerf cubital D le 09.05.2017 pour compression du nerf cubital au niveau du coude. Cure de tunnel carpien à D le 30.08.2016. Main gauche: • Rhizarthrose symptomatique • Doigt IV à ressaut. Main gauche: trapézectomie et plastie de suspension selon Caruso pouce, cure Dig IV à ressaut. (OP le 14.05.2018) Lichen plan (sphère gynécologique avec un suivi) Hernie hiatale Lidocaïne locale. Laxatifs. Life-Vest Contrôle rythmologique 4 semaines, avec réévaluation d'implants ICD Ligature de l'artère perforante I le 16.01.2019. Surveillance aux soins continus du 16 au 17.01.2019 Ligature des trompes il y a 30 ans Ligatures des trompes en 1960 Opérations de la cataracte bilatérale en 2011 Prothèses de genou des deux côtés en 2000 et 2010 Chute après avoir trébuché le 10.03.2017 L'imagerie du mois d'octobre ne montre pas de sténose canalaire, la discopathie à plusieurs niveaux est discrète avec discrète arthrose facettaire sur les facettes toutefois conservées. L'imagerie montre la présence de fractures aiguës qui expliquent bien la symptomatologie de la patiente mais qui s'améliore spontanément sous traitement conservateur. Nous ne conseillons donc pas d'intervention de cyphoplastie mais reverrons la patiente dans 2 semaines avec une radiographie lombaire. Le traitement médicamenteux doit progressivement être diminué et nous prions donc le médecin traitant de faire un schéma pour la patiente. Mme. Y est sous traitement de Miacalcic et pour cette raison nous prions également le médecin traitant d'organiser un bilan pour l'ostéoporose ainsi que d'éventuellement adapter la thérapie. L'imagerie n'explique pas la symptomatologie de la patiente. Au vu des douleurs à la palpation sacro-iliaque gauche, nous concluons à un syndrome sacro-iliaque à gauche. Nous proposons donc un traitement conservateur avec infiltration de cortisone de la sacro-iliaque gauche. Cette infiltration ne pouvant avoir lieu avant fin février, nous lui donnons une prescription de Prednison per os en schéma dégressif sur 10 jours. La patiente étant connue pour une intolérance au traitement médicamenteux, nous lui prescrivons également des IPP 20 mg 2x/j durant ce traitement. Nous l'encourageons à suivre son traitement de Mydocalm. Nous reverrons donc la patiente le 19.02.2019 pour infiltration et contrôle clinique à 4-6 semaines de ce geste. Dans l'intervalle, la patiente doit éviter la pratique de toutes activités sportives hormis la marche. La patiente étant doctorante avec 2 heures de cours par semaine, cette activité lui est autorisée. Par contre, une activité à 100% est pour le moment non-indiquée pour les 6 semaines à venir. Limitation de la flexion dorsale sur conflit tibio-astragalien antérieur sur status post : • Ténotomie du tendon d'Achille pied D le 23.09.2005 • Allongement du tendon d'Achille, capsulotomie au niveau de l'articulation tibio-astragalienne et sous-astragalienne le 22.02.2006 Limitation de mobilité de l'IPP de D5, main droite, sur status post-luxation dorsale de l'IPP de D5 de la main droite en août 2018. L'incidence de profil montre une articulation radiocarpienne à 90° par rapport au -130 qu'elle présentait à son arrivée aux urgences. L'incision de la lésion ne montre pas de collection purulente. Les douleurs de la jambe droite rapportées par la patiente sont à chaque fois centrées sur une adénopathie. Cet élément orientent le diagnostic vers une surinfection d'une lésion cutanée X. Après avis du Dr. X, nous n'initiions pas d'antibiothérapie, mais proposons à la patiente de consulter son médecin traitant le lendemain. Nous laissons le soin au médecin traitant de décider de la nécessité d'un traitement antibiotique ou pas. L'infiltration a été un succès pour diminuer les symptômes qui proviennent de la colonne lombaire. Pour sa coxarthrose, l'indication pour l'implantation d'une prothèse totale de la hanche à droite est donnée. Vu que la patiente souffre d'une BPCO stade III et d'une hypertension artérielle, je propose qu'elle soit vue d'abord par mes collègues du service d'anesthésie pour un consilium pré-anesthésique afin de savoir si Mme. Y peut être opérée à l'HFR Riaz. Une fois l'accord de notre anesthésiste, la patiente sera revue pour discuter de l'intervention en détails et afin de trouver une date opératoire. L'infiltration ayant fait effet quelques jours, nous pensons que les douleurs restent principalement d'origine ligamentaire et tendineuse. Nous proposons néanmoins une poursuite de la physiothérapie même si elle ne ressent pas pour le moment les effets afin de renforcer sa coiffe et de gagner encore en amplitude articulaire. La patiente ayant consulté le Dr. X en décembre 2018 en parallèle de notre suivi, nous lui proposons de choisir entre un suivi à l'HFR ou chez le Dr. X. Dans l'intervalle, nous lui proposons donc de la physiothérapie, une reprise du travail à 50% jusqu'à fin février puis à 100% dès mars. Nous lui proposons de la revoir fin mars pour un contrôle clinique. La patiente mentionne probablement préférer un suivi chez le Dr. X, ce que nous respectons. Nous restons à disposition au besoin. Prochain contrôle dans 3 mois selon choix final de la patiente. L'infiltration C5-C6 à gauche ayant eu effet que durant 1 h, nous retenons une cause mécanique provoquant les douleurs radiculaires C5-C6 à gauche. Pour cela, nous proposons une prise en charge chirurgicale par résection de l'uncarthrose et remplacement du disque intervertébral C5-C6. Cette intervention s'accompagne bien sûr de risques pouvant aller jusqu'à la tétraplégie ou le décès. Nous laissons à la patiente un délai de réflexion. Les douleurs sont certes constantes, mais ne l'empêchent pas d'effectuer ses activités de la vie quotidienne. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle, mais la patiente pourra prendre un rendez-vous si sa symptomatologie progresse au point de nécessiter une prise en charge chirurgicale.L'infiltration du 11.01.2019 a diminué les douleurs, ce qui est rassurant. A propos du déficit moteur, nous informons Mr. Y qu'avec ou sans opération ce déficit ne sera que partiellement réversible et après une très longue réhabilitation. Nous prescrivons donc une nouvelle série de séances de physiothérapie pour d'une part réadaptation pour récupération de son déficit moteur et TENS pour les fourmillements en regard des dermatomes L4-L5 à droite. Nous sommes qu'à 2 semaines de l'infiltration, ce pourquoi nous prévoyons de revoir Mr. Y à un mois pour en évaluer l'ensemble des effets. Une attelle Foot Up pour son déficit des releveurs du pied droit est également prescrite. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'à la prochaine consultation. L'inspection anale révèle la présence d'une hémorroïde de stade 3, chez Mr. Y connu pour des crises hémorroïdaires tous les 3-6 mois. Nous prescrivons du Procto-Glyvenol, AINS, antalgiques et Daflon en schéma dégressif. En cas de non-amélioration, Mr. Y prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour un contrôle. L'intervention se déroule sans complication. Mr. Y reste hospitalisé pour surveillance pendant 24h et peut rentrer à domicile le 17.01.2019 après ablation des Merocel. L'intervention susmentionnée s'est déroulée sans complication le 08.01.2018. Antibioprophylaxie par Co-Amoxicilline jusqu'au 12.01.2018. Fuite probable de lymphe (canal thoracique) nécessitant la mise en place d'un régime sans graisse strict et pansement compressif en regard de la cicatrice. Résolution de l'écoulement permettant l'ablation de la lame le 10.01.2019. Nous poursuivons l'application du pansement compressif avec diminution progressive de l'œdème et introduisons une antibioprophylaxie par Co-Amoxicilline 1g pour une durée de 5 jours. Un contrôle ultrasonographique montre une minime quantité de liquide sous-cutané résiduel sans signe de complication. Au vu de l'évolution clinique favorable, elle peut retourner à domicile. Lipase: normale Status urinaire: nitrite nég, Leuco 21-40/champ, flore bactérienne + Urotube: à pister Hémoculture: à pister TR: indolore Rx thorax: pas de foyer CT-abdominal: splénomégalie stable, pas de liquide libre, pas d'adénopathies, pas d'épaississement des parois coliques ni sigmoïdiennes, pas de diverticulose, pas d'infiltration de la graisse, hypodensité au niveau de la prostate avec asymétrie des lobes suspect d'une néoplasie. Rocéphine 1 g dès l'obtention de l'urotube. Lipome symptomatique en regard de l'omoplate à gauche. Dyskinésie de l'omoplate gauche. Lipomes en fosse iliaque droite et racine de cuisse gauche. Liposarcome para-testiculaire gauche avec découverte de métastases abdominales : • date du diagnostic : 11.11.2009 • histologie : liposarcome de sous-type pléomorphe mixte, grade 3 selon FNCLCC. MIB 1 - 50% (taux de capsule très fin à la surface tumorale) • bilan d'extension en décembre 2009 par CT thoracique et IRM abdomino-pelvienne sans évidence de métastase à distance • status post-résection (Dr. X) le 11.11.2009 • scintigraphie osseuse du 26.01.2010 : pas d'évidence de métastase osseuse • status post-reprise chirurgicale pour récidive le 26.08.2013 • histologie : liposarcome en grande partie de type pléomorphe grade 3 d'après FNCLCC (le tissu tumoral touche par endroits la surface de coupe tissulaire) • status post-reprise chirurgicale le 22.09.2014 pour 2ème récidive tumorale • histologie : liposarcome en grande partie de type pléomorphe grade 3 d'après FNCLCC (résection R1) • pas de chimiothérapie adjuvante en raison d'un risque de toxicité important (lié à son HIV, une hyperbilirubinémie et son status post-néphrectomie) • hémicastration le 07.12.2015 pour 5ème récidive avec radiothérapie néo-adjuvante en octobre-novembre 2015 • excision d'une récidive le 21.08.2017 décembre 2017: récidive du nombre des métastases multiples • PET-CT du 18.12.2017: métastases au niveau intercostal droit, médiastinal, latéro-thoracique droit, psoas droit et fessier gauche et cuisses • status post biopsie des lésions sous-cutanées au niveau du flanc droit (histologie): métastases du sarcome de haut grade en partie fusiforme, en partie pléomorphe connu (liposarcome dédifférencié) • status post 3 cures d'une chimiothérapie palliative par adriblastine du 30.01.2018 au 23.03.2018 combinée à un traitement par olaratumab dès la 3ème cure de chimiothérapie (23.03.2018) • actuellement : progression tumorale sous traitement par olaratumab, radiothérapie palliative au niveau d’une métastase périorbitaire gauche et chimiothérapie palliative par Yondelis. Liposuccion mammaire gauche (OP le 22.01.2019). Lipothymie. Lipothymie d'origine indéterminée avec : • vertiges, nausées, vomissements et flou visuel • sensation de pression aux carotides ddc • symptômes spontanément résolutifs. Lipothymie d'origine probablement vasovagale le 21.01.2019. Lipothymie d'origine vagale. Score de Genève modifié : 4, probabilité d'embolie pulmonaire moyenne. Lipothymie et vomissements. Lipothymie non objectivée aux urgences sur probable hypotension orthostatique le 15.01.2019. Lipothymie probablement d'origine orthostatique post saignée le 08.01.2019 dans un contexte d'hémochromatose familiale. DD: trouble du rythme, hypothyroïdie. Lipothymie probablement sur malaise vagal le 25.02.2017. Lipothymies le 26.01.2019. Liquémine, Cordarone en perfusion lente, Aspirine, Efient 2 chocs électriques externes (en pré-hospitalier) Noradrénaline du 07.01.2019 au 08.01.2019 Coronarographie le 06.01.2019: revascularisation par 2 stents actifs IVA moyenne Intubation oro-trachéale et ventilation mécanique du 06.01.2019 au 11.01.2019 (en pré-hospitalier) Cool Guard du 07.01.2019 au 08.01.2019 Voie veineuse centrale du 08.01.2019 au 11.01.2019 Cathéter artériel radial du 08.01.2019 au 11.01.2019. Liquémine subthérapeutique dès le 28.11.2018 (anti-Xa 0.2-0.3) Clexane 60mg 2x/j puis relais par Sintrom dès le 06.12.2018. Liquide articulaire sous-acromial gauche : culture bactériologique négative. Liquide envoyé pour microbiologie, numération cellulaire et chimie à pister (Dr. X mis en copie). L'IRM cérébrale montre un accident vasculaire cérébral frontal postérieur gauche ischémique aigu. Le bilan sanguin montre une bonne fonction rénale, pas de trouble ionique, troponine 35 ng/l, D-dimères 5'106 ng/ml, pas de syndrome inflammatoire. L'ECG montre un rythme sinusal régulier à 79 bpm, BAV 1°, extrasystole supra-ventriculaire en précordiale. Nous contactons le neurologue de garde qui propose un CT-scan injecté des vaisseaux précérébraux et intra-cérébraux qui montre une sténose de l'artère carotide interne gauche à 60% à son origine, et les vaisseaux intra-cérébraux sont sans particularité. Mr. Y reçoit en iv de l'Aspirine 500 mg en ordre unique aux urgences de Riaz. Un traitement par Aspirine et Atorvastatin est introduit dès le lendemain. Sur avis du neurologue de garde, Mr. Y est transféré au Stroke Unit pour surveillance neurologique, départ en ambulance.L'IRM cervicale ne met pas en évidence de compression foraminale ou médullaire. Les disques ont une hauteur conservée. ENMG du 30.10.2018 montre un syndrome du tunnel carpien modéré sensible avec un nerf radial et cubital qui sont neurographiquement intacts. IRM du coude D du 28.09.2018 : minime prise de contraste à l'insertion du carpe. L'IRM de fin 2018 montre un status assez stable par rapport à 2015 d'un point de vue de la couverture cartilagineuse. Le fragment libre semble toujours prisonnier antérieurement dans la bourse. La contenance au niveau de la tête radiale semble donnée. L'IRM de la colonne lombaire de Mme. Y confirme donc un rétrécissement neuroforaminal de haut degré L3-L4 G ayant un impact sur la racine L3-L4 à G. Je propose donc une infiltration neuroforaminale L3-L4 G. La patiente sera convoquée par nos collègues du service de radiologie pour cette infiltration. Je la reverrai trois semaines après l'infiltration pour un contrôle clinique. Prescription de Voltarène Retard cp à 75 mg 2x/j et Tramal gttes 3 x 15 gttes/j en réserve. L'IRM de la colonne lombaire n'a pas montré de conflit direct radiculaire pouvant expliquer les irradiations de douleurs jusqu' aux pieds. Par contre, la principale composante des douleurs est située dans la colonne lombaire localement, raison pour laquelle j'ai proposé à Mr. Y de faire une infiltration des articulations facettaires bilatérales L4-L5, le site d'une arthrose facettaire avancée, ceci dans l'espoir de pouvoir calmer la douleur locale. Nous verrons comment Mr. Y profitera de cette infiltration et on décidera après s'il faudra également investiguer les gonalgies. Mr. Y a rendez-vous le 17.01.2019 dans le service de radiologie pour l'infiltration de la colonne lombaire. Comme Mr. Y est sous Sintrom, il faudra stopper le Sintrom 5 jours avant l'infiltration et remplacer le traitement par de l'Héparine moléculaire. Je prie le service de radiologie d'organiser l'arrêt provisoire du Sintrom avec son médecin traitant. Je reverrai Mr. Y à un mois de l'infiltration à ma consultation pour une réévaluation clinique. L'IRM de mars 2017 a montré une souffrance du LFTA sans rupture complète mais sans lésion de la syndesmose. Aucun signe radiologique ne peut expliquer les douleurs qui sont présentes à l'appui mais pas au test de force contre résistance. Nous décidons de poursuivre la physiothérapie avec des exercices de stabilité et de renforcement ainsi que du stretching qu'elle peut également faire à la maison. Nous la reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. Nous demandons également au physiothérapeute de lui montrer comment faire un taping. L'IRM effectuée ce jour indique que le tendon du tibialis postérieur ne présente pas de lésion. Ainsi, nous retenons toujours l'indication à une correction de son hallux varus. Au vu d'une importante dégénérescence de l'articulation métatarso-phalangienne du 1er rayon, nous allons procéder à une arthrodèse correctrice définitive. La patiente donne son accord. Cependant, pour des raisons organisationnelles, elle reporte cette intervention après son séjour en Espagne à savoir en novembre 2019. Elle bénéficiera d'une consultation pré-opératoire où il s'agira de remplir le consentement chirurgical et d'effectuer la consultation pré-anesthésique. L'IRM exclut un kyste ou un problème sous-dermique mais confirme par contre une tuméfaction principalement dans la peau. L'IRM met en évidence une diminution de la calcification avec une inflammation sur les fibres superficielles du sus-épineux, on ne peut pas exclure une perte de continuité à ce niveau mais au moins la moitié de la profondeur du tendon est intacte. L'IRM met en évidence une éventuelle lésion des fibres superficielles du sus-épineux avec une absence d'ascension de la tête humérale et bonne trophicité musculaire. Arthrose AC avec empreinte inférieure. Biceps guidé. L'IRM met en évidence une lame de liquide sous-acromial principalement à hauteur du sillon avec éventuelle fissure des fibres superficielles du sus-épineux mais surtout un oedème du tendon plutôt dans sa partie postérieure. Sous-scapulaire intact. Le biceps semble bien centré mais montre un important épanchement et oedème alentour. L'IRM met en évidence une lésion du labrum antéro-inférieur avec une petite lésion de Hill Sachs, peu d'oedème dans la tête. Le périoste antérieur à la glène est décollé avec une petite lame de liquide en dessous, en continuité avec le labrum qui est de bon volume. Les lignes de croissance sont encore ouvertes. L'IRM met en évidence une petite lésion kystique avec un éventuel trajet fistulaire provenant de l'articulation métacarpo-métacarpienne 2-3. L'IRM met en évidence une rupture complète du sus-épineux avec une rétraction qui semble à priori importante, sous-épineux sans rétraction. Le LCB n'est plus guidé et aurait une tendance à une subluxation antérieure. La trophicité musculaire de la coiffe postéro-supérieure est cependant excellente. En regardant sur les coupes sagittales, on voit que le sus-épineux peut être suivi, tout de même assez loin mais postérieurement sous le sous-épineux. Absence d'arthrose. L'IRM met en évidence une rupture d'aspect chronique du sus-épineux totale ou subtotale et de même pour le sous-scapulaire. La trophicité musculaire reste cependant conservée. Chondropathie gléno-humérale et arthropathie AC. Elle met également en évidence une rupture étendue de la coiffe antéro-supérieure, cependant vu l'âge de Mr. Y, son activité et la qualité musculaire et tendineuse, je propose à priori un traitement conservateur. L'IRM met en évidence une rupture du sus-épineux et de l'intervalle des rotateurs. Il n'y a pas de rétraction. Arthropathie AC et importante inflammation sous-acromiale. L'IRM met en évidence une tendinopathie légère du sus-épineux avec une boursite sous-acromiale. Le biceps est bien guidé, le sous-scapulaire est intact. L'IRM montre donc une articulation coxo-fémorale globalement préservée permettant d'exclure le diagnostic de coxarthrose. Les lésions dégénératives du labrum sont peu spécifiques et peuvent difficilement expliquer les douleurs ressenties par Mr. Y. Ces douleurs sont plutôt à mettre dans le contexte d'une bursite trochantérienne plus ou moins tendinite de l'insertion des fessiers. Je prescris donc de la physiothérapie ciblée sur ce problème et reverrai Mr. Y dans 6 semaines pour voir l'évolution. En cas de persistance des douleurs, on envisagera une infiltration. Prochain contrôle le 19.03.2019. L'IRM montre un aspect frais de cette fracture et une protrusion dans le canal médullaire, indication idéale pour une prise en charge chirurgicale, d'autant plus que la patiente ne présente heureusement pas de trouble neurovasculaire mais qu'il y a un risque significatif d'en présenter par la suite. Nous posons donc l'indication à une cyphoplastie de L1, dont nous expliquons les risques et bénéfices à la patiente. Elle accepte la prise en charge chirurgicale. Nous lui remettons le formulaire d'informations et de consentement pour réflexion et signature. Une date opératoire est agendée pour le 08.02.2019. L'intervention se déroulera en ambulatoire. L'IRM montre un kyste pinéal connu d'après la patiente, ainsi que des lésions aspécifiques au niveau du cervelet sans argument pour une ischémie. Dans ce contexte, nous proposons de répéter l'examen dans 3 à 6 mois afin d'évaluer l'évolution des deux lésions.L'IRM montre un kyste provenant très probablement du tendon FCR. L'IRM montre un os acromial en train de fusionner avec un léger œdème au niveau de la clavicule latérale sans atteinte des ligaments CC ni AC. L'IRM est coupée assez bas et on peut voir l'insertion du deltoïde où il n'y a aucune image suspecte à ce niveau. L'IRM montre une rupture du sus-épineux avec une rétraction du 1er degré. Bonne trophicité musculaire. L'IRM n'a pas montré de lésion significative. Nette amélioration des douleurs sous l'infiltration. Pour l'instant, on se décide en accord avec la patiente pour une fin de traitement. Poursuite des exercices elle-même à la maison. Si elle remarque une aggravation, elle peut nous recontacter. L'IRM natif du genou G a pu exclure une atteinte ligamentaire ou méniscale. Il met toutefois en évidence une inflammation des tissus mous pré-patellaires, pouvant correspondre à une bursite inflammatoire. Je propose au patient d'appliquer du Perkinsol gel 2x/jour ainsi qu'une poche à glace. L'attelle Jeans n'est plus nécessaire mais garde les cannes à but antalgique. Un arrêt de travail est prolongé jusqu'au 27.01.2019 avec reprise à 100% le 28.01.2019. L'IRM native du genou D a mis en évidence une fracture peu déplacée du plateau tibial postéro-externe du genou D associée à une lésion dégénérative de la corne postérieure du ménisque interne. Je propose un traitement conservateur. La patiente est porteuse d'une attelle jeans en extension et se déplace à l'aide de deux cannes anglaises en décharge du membre inférieur D pour une durée totale de 6 semaines. Thromboprophylaxie par Clexane 40 mg sous-cutané 1x/j durant l'immobilisation. L'IRM native du genou gauche a permis d'exclure une atteinte méniscale ou ligamentaire. Nous pouvons donc continuer le traitement conservateur. La patiente continuera à immobiliser son genou dans la genouillère articulée bloquée à -20° de flexion pour une durée totale de 6 semaines. Je la reverrai pour une réévaluation clinique le 19.02.2019. L'IRM ne met pas en évidence de lésion traumatique. Nous proposons donc une antalgie par Mydocalm pour 7 jours et Paracétamol pour 14 jours. Prescription de physiothérapie pour traction dans l'axe et hygiène posturale. Nous lui conseillons de se tenir bien droite et contre-indiquons le sport pour les mois à venir, surtout pour l'équitation. La conduite est également contre-indiquée pour les 3 à 4 prochaines semaines. Prochain contrôle clinique dans 3 semaines. L'IRM ne met pas en évidence de perte d'étanchéité de l'articulation gléno-humérale. À l'arthrographie, bonne structure des tendons de la coiffe des rotateurs avec un biceps bien guidé mais fortement enflammé. Trouble dégénératif au niveau de la glène du labrum. Articulation AC avec de légers troubles dégénératifs et boursite sous-acromiale. L'IRM ne retrouve pas de cause structurelle pour la perte de force. Un traitement expectatif est alors décidé, à savoir antalgie et suivi clinique rapproché. Le patient souhaitant faire son suivi sur le canton de Berne, nous lui fournissons une copie provisoire de la consultation initiale et lui donnons un CD avec toutes les imageries le concernant. Un arrêt de travail de 7 jours est délivré, que le neurologue traitant sur Berne prolongera au besoin. L'IRM ne retrouve pas de communication digestive avec la cavité, ni d'ostéite de contact. Le statut local est sans particularité, et la patiente rentre à domicile. Elle sera revue en policlinique de chirurgie le 04.01.2019 comme prévu lors de l'incision de l'abcès. L'IRM n'évoque pas de lésion significative au niveau de la syndesmose. Les douleurs sont imputables à une périostite. Nous lui prescrivons donc de la physiothérapie avec proprioception et récupération d'amplitudes. Concernant les douleurs supra-malléolaires internes, nous organisons une infiltration test loco-dolenti et nous le reverrons 1 mois après ce geste. Arrêt de travail prolongé jusqu'au prochain contrôle. L'IRM réalisé dans l'intervalle montre quelques artéfacts dans la bourse sous-acromiale et une coiffe compétente. Pas d'inflammation autour du biceps. Lisinopril dès le 07.01.2019. Lisinopril en suspens dès le 04.10.2018 et pendant l'hospitalisation. Lisinopril le 03.01.2018. Nifédipine retard depuis le 03.01.2019. Labétalol le 04.01.2019. Torasémide depuis le 06.01.2019. Lisinopril 5 mg dès le 14.01.2019. Lisinopril 5 mg dès le 14.01.2019. Lisinopril 5 mg à partir du 04.01.2019. Traitement à évaluer chez le médecin de famille. Listhésis grade 1 L5 sur S1. Listhésis L4-L5 de grade I avec spondylolyse et sténose récessale bilatérale à prédominance D, L4-L5. Décompression canalaire et récessale L4-L5 avec ablation de la lyse L4-L5 D, libération des racines L4-L5 ddc. Spondylodèse L4-L5 avec système NEO vis 6x50 mm + BGel postéro-latéral (OP le 27.03.2017). Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale le 12.09.2016. Décompensation diabétique hyperosmolaire d'origine alimentaire le 12.09.2016. Fracture de l'aile iliaque D sur status post fixation de la sacro-iliaque D par IFuse le 20.01.2014 pour un syndrome de la sacro-iliaque D puis révision et refixation de cette articulation avec IFuse le 23.01.2014 pour mal-positionnement de l'IFuse. Insertionite du tractus ilio-tibialis et pes anserinus à D en avril 2016. Mastectomie D et curage axillaire D pour cancer lobulaire invasif à D et tumorectomie G pour un cancer canalaire invasif G avec ganglion sentinelle présentant une micrométastase le 15.01.2015 : proposition de radiothérapie avec irradiation mammaire, axillaire et sus-claviaire. Laparotomie médiane avec annexectomie bilatérale avec hystérectomie totale et washing péritonéal le 31.03.2015 (tératome kystique mature monodermique associé à un cystadénome séreux de l'ovaire D). Cure de hernie ombilicale avec mise en place d'un filet rétro-musculaire le 31.03.2015 (effectué par le Dr X). Instabilité latérale et postéro-latérale genou D sur status post-implantation PTG D en 2005. Ponction diagnostique genou D le 02.10.2012. Ablation PTG, réimplantation PTG D BlanSystev Mathys le 10.10.2012. Réduction mammaire bilatérale 2x en 1997. Plastie abdominale (non datée). Cholécystectomie et APP en 2002. Cure hernie discale en 1972. Arthrodèse main G en 2001. OP cataracte en 2010. Vertiges et troubles de la marche d'étiologie indéterminée en 2010. Lit chauffant du 22.01 au 23.01. Lithiase biliaire. Lithiase calicielle gauche. Lithiase rénale à l'âge de 16 ans. Appendicite. Douleurs en loge rénale gauche : lithiase rénale gauche en 2015. Traumatisme crânien simple, avec plaie frontale et nasale le 29.06.2018. Lithiase rénale G 5.5 mm avec ___. Lithiase rénale gauche le 04.01.2019. Lithiase rénale (3 calculs) au niveau de l'uretère droit. Lithiase urétérale droite de 4 mm. Lithiase urétérale gauche de 12 x 9 mm à proximité de la jonction vésico-urétérale. Status post-laparotomie médiane pré-péritonéale, pose d'une sonde double J gauche et excision de la lithiase vésicale le 28.11.2018 (Dr X). Lithiase urétérale gauche de 6 mm niveau L3-L4, dilatation pyélocalicielle de 17 mm avec œdème rénal. Traitement conservateur initial. Lithiase urinaire à la jonction urétéro-vésicale de 2,5 mm avec dilatation pyélo-caliciel de 21 mm. Lithiase urinaire à la jonction urétéro-vésicale de 4,5 mm. Lithiase urinaire à la jonction urétéro-vésicale gauche de 3 mm le 14.12.2017. Lithiase urinaire à la jonction urétéro-vésicale gauche de 3 mm le 14.12.2017. Lithiase urinaire de 2 mm au niveau de la jonction vésico-urétérale gauche le 01.01.2019 avec : macrohématurie. Lithiase urinaire droite en 2016. Thrombose d'une veine perforante du muscle gastrocnémien médial (2009).Opération de strabisme dans l'enfance Lithiase urinaire gauche. Lithiase urinaire gauche le 02.01.2019 • Status post-urolithiasis urétérale gauche avec pose d'une sonde double J en urgence le 12.02.2013 • Status post-urolithiase uretère proximal gauche en septembre 2015 avec dilatation du pyélon à 23 mm • Status post-urolithiase proximale gauche de 7 x 6 x 5 mm le 20.05.2016 • Status post-urolithiase jonction urétéro-vésicale gauche le 21.02.2018 • Pose de sonde double J gauche par Dr. X le 20.08.2018 • Scintigraphie rénale le 23.08.2018 • Status post-urolithiase avec globe vésical et suspicion de rupture de fornix le 27.08.2018 • suivi urologique par Dr. X Lithiase urinaire gauche oxalate de calcium le 20.01.2019. Lithiase urinaire hyperalgique à la jonction urétéro-vésicale de 2,5 mm Lithiase urinaire rénale droite de 10 x 19 x 8 mm Lithiase vésiculaire Lithiase vésiculaire symptomatique. Lithiase vésiculaire HTA sévère traitée Troubles dysthymiques Lithiases intra-vésicales sur sonde sus-pubienne à demeure pour vessie neurogène avec sclérose en plaques. Lithotripsie à organiser dans un deuxième temps VVC à retirer dès que possible Bilan ophtalmologique demandé Lithiase calicielle gauche le 09.01.2019, Dr. X : néphrolithotomie percutanée et urétéroscopie rigide. Lobectomie du LID et lymphadénectomie médiastinale radicale le 10.12.2018 pour carcinome épidermoïde NSCLC du lobe inférieur droit pT4 pN2 pM0 (stade IIIB) diagnostiqué le 06.11.2018 • Chimiothérapie adjuvante planifiée à la sortie Lombalgie Lombalgie à droite. Lombalgie aiguë dans le contexte d'une ostéoporose fracturaire avec nouveaux tassements atraumatiques de L1, L3 et L4 le 12.12.18 • Ostéoporose documentée depuis 2004, dernière densitométrie 2011 • CT colonne dorsale et lombaire le 12.12.2018 : apparition d'un tassement du plateau supérieur de L1, stabilité du tassement du corps vertébral de L2, majoration du tassement du corps vertébral de L3, nouveau tassement du plateau supérieur de L4 et stabilité du tassement du corps vertébral de L5. • IRM dorso-lombaire le 14.12.2018 : fractures tassements récents de L1 avec recul du mur postérieur de 2 mm, de L3 et de L4 plus discrètement. Ancien tassement bi-concave de L2. Petites sténoses foraminales L2-L3 et L3-L4 gauches (racines L2 et L3 gauches). • Electrophorèse et Immunofixation des protéines 28.12.2019 : dans la norme • Avis orthopédique (Dr. X) : traitement conservateur, antalgie et mobilisation libre sans mouvements extrêmes. Lombalgie aiguë en 2016. • traitée par injection de cortisone. Lombalgie aiguë non déficitaire. Lombalgie aiguë simple. Lombalgie chronique. Lombalgie chronique - contexte de canal lombaire étroit dégénératif Pneumonie basale droite le 26.12.2017 : • neutropénie fébrile associée dans le contexte de la chimiothérapie Troubles électrolytiques multiples (hypokaliémie, hypophosphatémie, hypomagnésiémie) le 26.12.2017 Endocardite à Streptococcus anginosus le 19.10.2018 • frissons solennels • pas de trouble neurologique franc • Co-Amoxi 2.2 g 4 x/j du 19.10 au 22.10.2018 ; Rocéphine 2 g du 22.10.2018 au 19.11.2018 Lombalgie chronique acutisée et non déficitaire le 28.12.2018 avec : • IRM le 21.12.2018 : discopathie massive pour le niveau L4-L5 et moins prononcé en L5-S1 • Composante fonctionnelle Lombalgie chronique • Connue pour une hernie discale L4-5 Lombalgie chronique non déficitaire acutisée sur tassement récent L1-L2 • tassements anciens des vertèbres D12, L2 et L4 • discopathies lombaires étagées en particulier en L5-S1 Lombalgie d'étiologie indéterminée sans trouble déficitaire. DD : spondylodiscite, discopathie. Lombalgie en barre le 26.12.2018 • Lasègue négatif • status neurologique superposable • absence de red flags Lombalgie gauche probablement d'origine musculo-squelettique. Lombalgie L2-L3 gauche le 09.01.2019 Lombalgie L5 - S1 non déficitaire, le 04.01.2019 sur : • arthrose L5 - S1 avec antélysthésis. Lombalgie non déficitaire Lombalgie non déficitaire. Lombalgie non déficitaire. Lombalgie non déficitaire. • dans contexte hernie discale diagnostiquée en 2011. Lombalgie non déficitaire, le 07.01.2019. Lombalgie non déficitaire le 18.01.2019. Lombalgie non déficitaire L5. Lombalgie non déficitaire sur probable contracture musculaire à gauche. • récidive avec dernier épisode il y a 2 ans. Lombalgie non-déficitaire Lombalgie non-déficitaire d'origine musculaire avec syndrome radiculaire à droite. Lombalgie non-déficitaire le 15.05.2007. Lombalgies non-déficitaires. Lombalgie non-déficitaire le 19.01.2019. Lombalgie non-déficitaire le 21.10.2016. Tumeur ORL en 1987. Status post résection colique antérieure basse par scopie en 2006 pour des diverticulites à répétition. Status post intervention ORL en 2006 pour néoplasie cervicale droite. Status post cure de hernie inguinale droite. Status post cure d'hernie discale. Douleurs neurogènes aux deux cuisses. DD : artériopathie des membres inférieurs. Hémoptysie sur foyer pulmonaire bilatérale en décembre 2013. Suspicion de fracture os coccyx et contusion sacrum le 12.07.2014. Troubles de l'équilibre d'étiologie indéterminée le 21.01.2016. • Schellong négatif le 21.01.2016. • Hallpike négatif le 22.01.2016. • Test de Tinetti à 27/28 du 26.01.2016. • Résolution symptomatique. DD : vertiges orthostatiques, vertiges périphériques paroxystiques bénins, neuronite vestibulaire, polyneuropathie des membres inférieurs (cf Dg supp. 2). Crise hypertensive le 01.04.2017. • Epistaxis gauche dans le contexte de crise hypertensive. Lombalgies post-traumatiques sans franc déficit le 21.01.2016. Douleurs abdominales avec trouble du transit chronique le 19.01.2018. • Connu pour une résection colique sur diverticulite à répétition en 2006. Crise hypertensive le 17.07.2018. Epigastralgies • Probablement dans le contexte de la constipation. Douleurs abdominales probablement sur constipation en août 2018. Lombalgie simple le 03.01.2019. Lombalgie simple le 12.01.2019. Lombalgie simple le 28.01.2019. Lombalgie sur contracture musculature lombaire para-vertébrale droite. Plaie superficielle 1.5cm de long, oblique, au niveau du thénar gauche. Lombalgie. Cancer du col de l'utérus avec conisation en 2004. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies à gauche sur canal étroit débutant. Coxarthrose G débutante. Lombalgies aiguës non déficitaires. Lombalgies aiguës non déficitaires, atraumatiques le 05.06.2018. Prurit génital d'origine indéterminée, DD : irritation, infectieux. Lombalgies aiguës récidivantes. Lombalgies aiguës récidivantes avec discopathie L5-S1 connue depuis 2013. Lombalgies aiguës status post-cure d'hernie inguinale. Lombalgies aiguës (2012). Lombalgies atraumatiques. Lombalgies atraumatiques et non déficitaires. Lombalgies basses : • Status après chute le 12.01.2019. Lombalgies bilatérales et étirement musculaire gluteus gauche suite à une chute accidentelle la veille. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques : • Cure d'hernie discale L4-L5 en 1992 au CHUV et 2012 à Fribourg. • Dernière infiltration corticoïdes en juillet 2016. État dépressif traité par Cipralex. Lombalgies chroniques acutisées le 12.12.2018 dans contexte de : • Ostéoporose fracturaire avec nouveau tassement L1-L4 atraumatique • Douleurs majorées par coprostase. Lombalgies chroniques avec s.p 4 opérations lombaires en 1994, sur arthrose vertébrale multi-étagées • Discopathie lombaire essentiellement L3-L4 et L5-S1 • Trouble dégénératif des articulations postérieures essentiellement L3-S1 • S.p. spondylodèse pour fixation interne L4-S1 le 13.04.1993 puis AMO un an plus tard • S.p. discectomie L3-L4 le 01.12.1998 • Trouble de la marche et de l'équilibre multifactorielle • Persistance d'un morceau de vis de consolidation au niveau de la partie droite du sacrum. Lombalgies chroniques dans le contexte de fractures ostéoporotiques D11 et L1 le 08.01.2019 DD métastases osseuses adénocarcinome prostatique. Lombalgies chroniques Hypercholestérolémie traitée par Simcora. Lombalgies chroniques invalidantes sur discopathie L4-L5 et L5-S1. • Status post herniectomie L5-S1, microdiscectomie et ostéophytectomie sur hernie discale L5-S1, discopathie et ostéophytose médiane le 03.11.2017 • Syndrome de la sacro-iliaque D. Lombalgies chroniques non déficitaires. Lombalgies chroniques non déficitaires. Lombalgies chroniques non déficitaires, irradiant en L5 ddc et exacerbées suite à une chute en juin 2018 sur • Scoliose idiopathique sinistro-convexe avec angle de Cobb d'environ 10°, sans perte de lordose lombaire • Discopathie dégénérative sévère L5-S1 avec œdème vertébral majeur mais sans compression radiculaire. Lombalgies chroniques non déficitaires. Consommation d'alcool à risque. Hypercholestérolémie. Lombalgies chroniques non-déficitaires péjorées depuis 15 jours. Lombalgies chroniques post-traumatiques (2011) avec pose d'un neurostimulateur en 2016. Lombalgies chroniques sur discopathie multi-étagée prédominante en L2-L3 et L3-L4 dans une moindre mesure en L4-L5 avec arthrose facettaire sans sténose canalaire sur : • Status post-décompression par hémilaminectomie partielle L3 G, herniectomie L2-L3 G et libération radiculaire le 13.04.2018 pour une volumineuse hernie discale L2-L3 G luxée vers le bas • Perte de lordose lombaire avec dos plat. Lombalgies chroniques sur tassement. Syndrome métabolique : hypertension artérielle, diabète de type II, obésité. Lombalgies chroniques traitées par Olfen 50 mg et Dafalgan 1 g en réserve. Lombalgies chroniques traitées par Olfen 50 mg et Dafalgan 1 g en réserve. Lombalgies chroniques. Céphalées de tension. Lombalgies chroniques. Céphalées de tension. Lombalgies de type tension musculaire le 23.01.2019. Lombalgies d'origine indéterminée. Lombalgies droites non déficitaires. Lombalgies droites non déficitaires. Lombalgies droites non-déficitaires. Lombalgies droites sur troubles dégénératifs. Lombalgies et dorsalgies. Lombalgies et fièvre. Lombalgies et paresthésies. Lombalgies G non déficitaires le 13.03.2016, sur chute. Lombalgies G non déficitaires le 13.03.2016, sur chute. Lombalgies gauches déficitaires transitoires probablement dans un contexte anxieux le 05.01.19 avec : • Parésie transitoire du membre inférieur gauche, spontanément régressive • Attaque de panique lors de l'admission, probablement dans le contexte d'un trouble de l'adaptation suite à un infarctus du myocarde chez le père. Lombalgies gauches non déficitaires. Lombalgies gauches, non déficitaires le 09.10.2016. Pyélonéphrite droite non compliquée. Suspicion de réaction anaphylactique (sur Ceftriaxone vs Ecofenac). DD : crise d'angoisse. Lombalgies L3-L5.Hématémèse anamnestique le 23.11.2016. Transfert aux urgences pédiatriques de l'HFR Fribourg pour suite de la prise en charge. Lombalgies non déficitaires suite à une chute le 16.01.2019 : • cunéisation de L3 (ancienne fracture corticalisée). Lombalgies non déficitaires depuis le 14.01.2019. Lombalgies non déficitaires en 2004. Lombalgies non déficitaires en janvier 2011. Lombalgies non déficitaires gauches sur traumatisme le 26.01.2019 dans un contexte de discopathie L5-S1 connue depuis 2013. Lombalgies, non déficitaires, le 09.01.2018. Lombalgies non déficitaires le 11.01.2019. Lombalgies non déficitaires le 26.01.19. Lombalgies non déficitaires locales à hauteur de L4-L5 environ. Lombalgies non déficitaires récidivantes. Lombalgies non déficitaires sur saut à ski le 27.03.2016. Lombalgies non-déficitaires le 19.01.2019. Lombalgies non-déficitaires le 28.01.2019. Lombalgies persistantes avec irradiation dans les membres inférieurs et claudication dans le cadre de : • Canal lombaire étroit constitutionnel + dégénératif avec décompensation en scoliose • Strangulation du fourreau durale L1-L2 et L2-L3 avec brèche durale L3 à droite contenue • Status post décompression L2-L3, L3-L4 par abord D et décompression controlatérale par Cross over le 11.12.2017 sur décompensation canal lombaire étroit L2-L3, L3-L4 sur status post décompression L4-L5 bilatérale + spondylodèse L4-L5 par vis transpédiculaire ROMEO et herniectomie L4-L5 droite + discectomie et mise en place d'une cage TLIF Juliet taille 10 le 19.06.2017. Lombalgies similaires il y a quelques mois, néanmoins d'intensité moins importante. Lombalgies droites aiguës non déficitaires. Lombalgies simples sur traumatisme léger. Lombalgies, soins à domicile impossibles. Lombalgies traitées par Oxynorm et Dafalgan Trouble dépressif récurrent, Épisode actuel moyen, traité par Venlafaxine et Quétiapine (F. 33.1) Trouble de la personnalité, sans précisions. (F. 60.9) Autres difficultés liées à l'entourage immédiat, y compris la situation familiale (Z. 63), séparation. Lombocruralgie droite non déficitaire post chute mécanique le 07.01.2019 : • contexte de lombalgie chronique avec : • status post-décompression L3-L4 2011 • hématome postopératoire lombaire avec évacuation hématome et laminectomie décompressive L3 • arachnoïdite adhésive L3-L4 • sténose foraminale L3-L5 prédominant à gauche • discopathie étagée du rachis lombaire avec débords discaux circonférentiels. Lombo-cruralgie non déficitaire le 11.08.2015. Drainage pour sinusite. Appendicectomie. Adhésiolyse pour adhérences intestinales. Ovariectomie droite pour kyste ovarien. Hystérectomie. Prothèse du genou droit. Néphrolithiase droite le 07.06.2016. Cystite compliquée (avec néphrolithiase) le 07.06.2016. Néphrolithiase gauche le 16.05.2018. Lombocruralgies. Lombocruralgies droites aiguës déficitaires sur hernie discale droite L3-L4 avec conflit racine L4 droite : • IRM le 12.09.14 : hernie discale postéro-médiane et postéro-latérale droite L3-L4 générant un conflit avec la racine L4 droite. • infiltration péri-radiculaire L4 droite L4-L5 et corticothérapie pendant 10 jours (sans amélioration clinique). Status après insuffisance rénale aiguë en octobre 2014. Status après réduction arthroscopique d'un Bankart osseux de l'épaule droite le 05.02.2016. Lombo-cruralgies droites non déficitaires le 31.01.2019. Lombo-cruralgies gauches L4 aiguës, irritatives, déficitaires sur le plan du réflexe (patellaire) le 11.01.2019 avec : • hyperalgésie et difficulté de prise en charge antalgique ambulatoire. Lombo-sacralgies non déficitaires 21.01.2019. Lombosciatalgie. Lombo-sciatalgie avec minime déficit sensitif L4/L5 le 29.12.2016. Lombo-sciatalgie avec minime déficit sensitif L4/L5 le 29.12.2016. Antalgie, musculo-relaxant, physiothérapie. Contrôle en filière 34 le 04.01.2017. Néoplasie du sein bilatéral sous chimiothérapie avec métastase hépatique et osseuse. Lombo-sciatalgie bilatérale atraumatique et non déficitaire dans un contexte cancer de la prostate le 13.01.2019. DD : arthrose sévère, métastases. Lombosciatalgie droite non déficitaire. Lombosciatalgie droite non déficitaire mal systématisée le 31.12.2018. Lombosciatalgie gauche. Lombosciatalgie gauche déficitaire. Lombo-sciatalgie gauche non déficitaire. Lombosciatalgie gauche non déficitaire. Lombosciatalgie gauche non déficitaire juillet 2018. Lombosciatalgie jambe droite le 13.01.2019. • sans red flag. Lombo-sciatalgie L3-L4 le 07.01.2019. Lombosciatalgie L4-L4 non déficitaire le 10.02.2018. Probable gastro-entérite virale le 16.05.2018. Lombo-sciatalgie L5 non déficitaire le 28.12.2018. Lombosciatalgie L5/S1 droite non déficitaire, le 19.12.2017. Lombosciatalgie non déficitaire L4-L5 gauche post-opératoire (le 19.10.2016 par Dr. X). Avis orthopédique : augmentation de l'antalgie avec Ecofenac, Dafalgan, Novalgine, Tramal en réserve. Lombosciatalgie non déficitaire L5, le 02.01.2019. Lombosciatalgie non-déficitaire le 20.01.2015. Corps étranger métallique en regard de l'articulation métacarpo-phalangienne II gauche face radiale le 29.08.2013. Tularémie pulmonaire et ganglionnaire au décours 17.01.17. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. ECG. Écho des urgences Dr. X : légère lame d'épanchement péricardique. Écho Dr. X : pas d'épanchement péricardique, cardiopathie hypertensive. Attitude : Avis Dr. X : retour à domicile sans traitement. Cardiopathie hypertensive 17.01.17. Écho cardiaque. Att : mise en place de Lisitril 5 mg à majorer jusqu'à 20 mg en fonction du profil tensionnel. Lombosciatalgies. Lombosciatalgies. Lombosciatalgies. Lombosciatalgies. Lombosciatalgies. Lombosciatalgies • sans déficit neurologique. Lombo-sciatalgies à droite depuis 2010. Prostatite 13.10.2016. Lombo-sciatalgies non-déficitaires droites. Lombosciatalgies à droite. Entorse cheville droite. Probable poussée de sclérose en plaques avec hypoesthésie et allodynie territoire L5-S1 gauche et C5-C7 à gauche en 2013. Lombo-sciatalgies avec probable atteinte racine L3-L4 gauche. dd : sur hernie discale, canal lombaire étroit. Lombosciatalgies avec syndrome dégénératif L5/S1 gauche le 25.01.2019. • IRM de la colonne lombaire du 23.01.2019. Lombosciatalgies bilatérales chroniques sur : • spondylarthrose multi-étagée avec une arthrose facettaire importante L4-L5.Gonarthrose bilatérale plus symptomatique à D qu'à G. Lombosciatalgies chroniques sur : • sténose du canal central L3-L5, spondylarthrose L4/L5, arthrose facettaire bilatérale pluri-étagée, arthrose ilio-sacrée bilatérale • décompression L3-L4, interposition par cage T-pal, spondylodèse et stabilisation percutanée en 2015 Hypothyroïdie substituée Cervico-nucalgies sur troubles statiques et dégénératifs, protrusion discale C6-C7 connue • status post-traumatisme cervical en 1990 Coxarthrose bilatérale. Migraines connues. Vertiges et trouble de l'équilibre chronique sur : • origine vestibulaire/cupulolithiase en 2014 Syndrome des jambes sans repos. Trouble anxio-dépressif. Tremblement d'allure essentiel des membres supérieurs • sous Madopar depuis janvier 2018 • consilium neurologique : pas d'argument pour une maladie de Parkinson Troubles cognitifs sévères avec : • déficits cognitifs objectivés depuis 2017 selon bilan neuropsychologique • bilan réalisé en 2018 avec PL et IRM cérébrale/lombaire (leucoencéphalopathie vasculaire et atrophie cortico-sous-corticale) • clinique fluctuante avec désorientation spatio-temporelle intermittente sans agitation F33.2 Trouble dépressif récurrent, épisode actuel sévère sans symptômes psychotiques. Lombosciatalgies chroniques (depuis 2003). Stéatose hépatique avec une perturbation des tests hépatiques d'origine inconnue. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Diabète de type 2 insulino-requérant. Lombosciatalgies chroniques non déficitaires droites avec : • douleurs neuropathiques réfractaires aux traitements habituels (sous Cannabidiol) Lombo-sciatalgies D aiguës, non déficitaires le 03.09.2018. Résection partielle ménisque interne genou G sur lésion corne postérieure le 21.05.2010. Vertiges de type instabilité sur prise de Lyrica le 16.10.2015. • mauvaise prise médicamenteuse (échange Lyrica avec son épouse). Lombosciatalgies D chroniques sur : • Maladie du segment adjacent L4-L5 avec discopathie sévère, débord discal global prédominant à D et arthrose facettaire modérée de L5-S1 • Status post laminotomie L3 D et cure de hernie discale L3-L4 paramédiane D le 16.11.2016 sur radiculopathie L4 D sur hernie discale L3-L4 paramédiane D • Status post-spondylodèse (ALIF) L5-S1 avec dispositif inter-somatique, avec lombalisation de S1 en 2011 Lombo-sciatalgies droite. Lombosciatalgies droites. Lombosciatalgies droites chroniques et non déficitaires. Lombo-sciatalgies droites non déficitaires Lombosciatalgies droites non déficitaires. Lombosciatalgies droites non déficitaires mal systématisées. Lombosciatalgies droites non déficitaires mal systématisées le 31.12.2018. Lombosciatalgies droites non déficitaires réactivées. Lombosciatalgies droites non traumatiques • déficit transitoire M3+, L4-S1 droites (DD déficit de force sur douleurs). • abolition du réflexe achilléen droit Lombosciatalgies droites non traumatiques, non déficitaires. Lombosciatalgies droites. Hypercholestérolémie. Dépression. Lombosciatalgies gauches avec irradiation dans le dermatome L5 sur : • Syndrome sacro-iliaque G • Status post-hémilaminectomie G de L3 et décompression L2-L3, L3-L4 bilatérale par Cross-over G le 05.03.2018 pour une sténose canalaire lombaire multi-étagée L2-L3, L3-L4. Lombosciatalgies gauches chroniques d'origine indéterminée. Coxarthrose bilatérale à prédominance gauche. Status post cure de tunnel carpien droit. Syndrome du tunnel carpien gauche Lombosciatalgies L5 droites dans un contexte : • lyse isthmique bilatérale L5-S1 • antélisthésis L5 sur S1 de grade Meyerding I • insuffisance articulaire L5-S1 bilatérale Lombosciatalgies L5 G sur sténose L4-L5 bilatérale avec kyste ligamentaire D et hypertrophie du ligament jaune G avec compression de la racine L5 Lombosciatalgies L5 gauches Athéromatose diffuse Anévrisme de l'artère communicante asymptomatique BPCO stade IV SAOS non appareillé Hypertension artérielle Lombosciatalgies non déficitaires. Lombosciatalgies non déficitaires. Lombosciatalgies non déficitaires, le 09.01.2019 Lombosciatalgies non irritatives, sans déficits neurologiques • avec consultation le 07.01.2019 et échec du traitement symptomatique maximal à domicile. • adressé par MT pour hospitalisation Lombo-sciatalgies non-déficitaires le 12.06.2016. Long QT Longs-axes : Normo-axé à gauche, léger valgus à 3° à droite. Poignet : Pas de lésion scapho-lunaire. Pas de séquelle fracturaire au niveau du carpe. IRM genou gauche : Lésion LCP, LLE. Intégrité LLI. Ménisque en place. Genou D : Déchirure LLE. Oedème en regard du LCA. LCP tenu. Arthrose débutante interne avec extrusion du ménisque interne. Longue discussion avec la patiente au sujet de son hygiène de vie, en particulier du sommeil, avec explications sur le lien entre stress, fatigue et vulnérabilité aux infections virales. Nous lui proposons de reparler de ses insomnies et de son mal-être en général avec son médecin traitant. L'origine des douleurs peut être due au matériel d'ostéosynthèse ou à l'apparition d'arthrose. Nous proposons donc de faire une AMO en laissant en place la vis postéro-antérieure et la plaque du Volkmann. La patiente souhaite faire cette intervention ce printemps. Nous la reverrons donc en avril pour organiser l'opération. Lors de la consultation du mois de juillet, nous avions discuté d'une éventuelle prise en charge chirurgicale avec notamment fixation de L2 à L5 et décompression. Toutefois, au vu de la nette amélioration de la symptomatologie sous physiothérapie, nous proposons la poursuite de ce traitement conservateur avec un nouveau contrôle dans 6 mois. En cas de perte de bénéfice de la physiothérapie, nous discuterons alors d'une éventuelle prise en charge chirurgicale. Prolongation des séances avec élongation de la musculature abdominale et renforcement des muscles érecteurs du rachis. Lors de la dernière consultation, un syndrome de la loge de Guyon du poignet gauche avait été suspecté ce pourquoi un ENMG a été proposé, refusé alors. Au vu de la persistance des lancées au niveau du poignet gauche, le patient est pour finir d'accord d'effectuer cette investigation. Nous organisons donc cet ENMG pour le poignet gauche et le verrons après cet examen. En parallèle, nous poursuivons les séances de physiothérapie qui ont bon effet sur son poignet droit et partiellement sur son poignet gauche. Une prescription d'anti-inflammatoire a été faite. Au vu du refus de l'AI de soutenir le patient pour de nouvelles mesures d'adaptation du travail, une lettre de soutien au recours est effectuée. Lors de l'anamnèse aux urgences le patient est déjà confortable et ne présente pas de récidive de douleurs. Nous prenons le temps de lui expliquer comment lire une tension et le caractère changeant de la tension dans le cours de la journée. Un ECG aux urgences montre un rythme sinusal régulier, normocarde avec 95 bpm, axe normal à 26°, QRS fins à 78 ms, sur élévation du segment ST en v2 à 0.2 mV non significative, transition de l'onde R en v4, QTc 423 ms. Nous proposons au patient un traitement d'IPP pour une semaine. Il doit reconsulter les urgences si dyspnée ou récidive des symptômes. En raison du souhait du patient et sa clinique rassurante nous le laissons rentrer à domicile. Lors de l'examen physique, pas de dyspnée aux tests neurologiques (notamment funambule fait durant > 1 minute). Essai de 2 pushs de Ventolin avec amélioration immédiate de la dyspnée. Status cardio-vasculaire, respiratoire et neurologique rassurants. Après discussion avec Dr. X, proposition de retour à domicile avec Ventolin en réserve, indication du traitement à réévaluer avec médecin traitant la semaine prochaine (rendez-vous prévu le 11.12). Pas d'argument pour embolie pulmonaire anamnestique ni clinique (malgré risque thrombo-embolique augmenté avec Abilify), notamment dans un contexte uniquement d'effort ou d'angoisse et d'amélioration post Ventolin. Lors de l'examen proctologique, nous n'objectivons pas d'hémorroïde externe, ni de fissure anale pouvant expliquer les hématochézies. Le patient ne présentant pas d'anémie, ni de syndrome inflammatoire sur le contrôle biologique, nous proposons au médecin traitant de compléter le bilan par une rectoscopie et une coloscopie en ambulatoire afin de rechercher des hémorroïdes internes ou une autre source de saignement. Lors du contrôle clinique de la paronychie incisée il y a 48h, l'évolution est stagnante avec apparition, depuis ce matin, d'une collection purulente au niveau du bord radial. Dans ce contexte, nous demandons l'avis de nos collègues orthopédistes qui effectuent une incision et un rinçage de la plaie. Le patient est également couvert par antibiotiques pour une durée de 5 jours. Il sera revu à 48h pour un contrôle clinique au secteur ambulatoire des urgences. Lors d'une promenade en forêt, la patiente glisse et chute de sa hauteur avec un mouvement d'inversion du pied droit et une réception sur le poignet gauche. Pas de traumatisme crânien, ni perte de connaissance. Le bilan radio-clinique effectué aux urgences permet de poser les diagnostics suscités. La fracture du poignet est immobilisée dans un plâtre en attente d'une prise en charge chirurgicale. En ce qui concerne la cheville, une attelle Aircast Sport est mise en place, dont le port est prévu pendant 6 semaines. L'ostéosynthèse du poignet est réalisée le 07.01.2019, sans complication. Les suites opératoires sont simples et le contrôle radiologique est en ordre. Un traitement par Redoxon 500 mg est instauré pour une durée d'un mois, en prévention de la maladie de Sudeck. Les cicatrices, contrôlées à travers des pansements Comfeel étanches, sont propres et sèches. Les douleurs sont bien gérées par l'antalgie instaurée, y compris lors de la marche, la cheville étant protégée par un Aircast Sport. Face à la bonne évolution clinique, Mme. Y peut retourner à domicile le 09.01.2019. Lorsque nous demandons au patient quel est son travail/occupation, la mère s'énerve rapidement et prétend que nous ne voulons pas nous occuper de lui. Malgré des tentatives répétées de la calmer et de lui expliquer la situation, elle décide de quitter sur-le-champ les urgences. Le fils la suit sans se plaindre ni se mettre en colère. L'ostéomyélite a pu être exclue et le bilan angiologique est satisfaisant. Nous posons donc l'indication opératoire pour une cure d'ongle incarné selon Kocher. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. Mr. Y est admis dans le service le 01.01.2019 pour une insuffisance respiratoire dans le cadre d'une bronchiolite. Au niveau respiratoire, une tentative de ventolin aux urgences n'apporte pas d'amélioration clinique et une gazométrie ne montre pas d'hypercapnie. Il nécessite de l'oxygène aux lunettes jusqu'au 02.01. Un protocole de médecine anthroposophique est mis en place dès le premier jour. Il reste stable au niveau hémodynamique au cours du séjour. Il conserve également une alimentation et des mictions appropriées. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mr. Y rentre à domicile le 03.01.2019, avec un contrôle chez le pédiatre le lendemain, rinçage de nez et poursuite du traitement anthroposophique. Mme. Y est admise dans le service le 31.12.2018 pour une surveillance neurologique suite à un traumatisme crânio-cérébral. Au niveau neurologique, Mme. Y ne présente pas de signes neurologiques focaux, de somnolence, de vomissements ou de changement de comportement. Les contusions présentes au niveau pariétal à droite restent stables au cours de l'hospitalisation. Elle ne présente pas de signes de fractures du crâne, d'hématome en lunette ou d'hématome mastoïdien. Les parents décrivent également un comportement habituel. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mme. Y rentre à domicile le 01.01.2019, avec des consignes de surveillance habituelle pour traumatisme crânio-cérébral. L'oxygénothérapie est diminuée à 1L/min en vue des résultats de la gazométrie. Nous retenons le diagnostic d'exacerbation de BPCO possiblement sur EP (D-dimère à 4'093). La CT est contre-indiquée vu la clearance à 20 ml/min. Nous débutons un traitement par Liquémine 5000 U/l en bolus en O.U. La patiente présente une amélioration de ses paramètres suite à un premier remplissage avec TAS 97 mmHg vers 22:00, ce qui est habituel pour la patiente. Dans ce contexte, la patiente est prévue pour une hospitalisation en médecine avec Liquémine en continu à 20'000 U/24h, avec organisation d'une scintigraphie pulmonaire le lendemain pour le DD d'EP. Par la suite, nouvelle hypoTA avec TAM < 60 mmHg. Compte tenu des TA qui restent basses (TAS 60-70 bpm), nous demandons un transfert au SI et débutons un traitement par amine dans l'intervalle. La patiente est transférée aux soins intensifs. Mr. Y est admis dans le service le 30.12 pour une insuffisance respiratoire dans le cadre d'une bronchiolite. Au niveau respiratoire, il reçoit d'abord une oxygénothérapie, puis au vu de la dégradation clinique la nuit du 30 au 31.12 (syndrome de détresse respiratoire important), un high-flow est mis en place. La fraction d'O2 est progressivement diminuée au cours de l'hospitalisation, avec des pauses de plus en plus longues. Il est sevré de toute aide respiratoire le 05.01. Des rinçages de nez systématiques sont réalisés. Un protocole de médecine anthroposophique est mis en place. Au niveau alimentaire, une sonde naso-gastrique est mise en place du 01.01 au 04.01, en prévention d'épuisement. Au retrait de la sonde, Mr. Y reprend une alimentation per os sans complication. Il reste stable au niveau hémodynamique et ne présente pas d'état fébrile au cours du séjour. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mr. Y rentre à domicile le 06.01 avec contrôle chez le pédiatre au cours de la semaine suivante et conseils de poursuite des rinçages de nez. Mr. Y est gardé hospitalisé dans le contexte de déshydratation sur gastro-entérite aiguë. Sur le plan digestif, il bénéficie d'une réhydratation et d'une compensation des pertes par SNG aux urgences, permettant une nette amélioration des symptômes d'apathie et correction de l'acidose métabolique. Il développe également des diarrhées durant la soirée du 29.01 et les analyses de selles reviennent positives pour Rotavirus. Dès le 30.01, il s'hydrate et s'alimente de manière autonome, permettant d'arrêter sa perfusion d'entretien. Les tests hépatiques démontrent une cytolyse hépatique (plus de 2 fois la norme) sans hépatomégalie associée et que nous attribuons à la virose actuelle. Les tests sont refaits le 31.01 avec une baisse des ALAT (ASAT hémolysé) et absence de cholestase. Dans ce contexte, nous vous proposons de refaire les tests hépatiques à distance de l'infection actuelle. Sur le plan neurologique, au vu de la nette amélioration de la clinique suite à la réhydratation, nous gardons la déshydratation comme étiologie à l'apathie et ne réalisons pas de CT-Scan à la recherche d'une complication suite à son TCC du 28.01. Les surveillances sont en ordre durant son séjour. Mme. Y a montré une bonne évaluation de son état initial au niveau respiratoire et neurologique. Elle a pu revenir à la maternité pour rejoindre sa maman le 16.01.L'ultrason confirme la suspicion d'épididymite gauche, avec une bonne évolution clinique. Nous attendons les résultats des examens de laboratoire, qui seront communiqués au patient par téléphone. L'ultrason montre du liquide proche de l'os, probablement du liquide de bourse ou un saignement qui se résorbe. L'ultrason ne révèle rien de particulier. Le statut abdominal objective une disparition des douleurs. Le patient rentre à domicile. Lumbago Lumbago avec sciatalgie droite Lumbago DD spondylarthrite ankylosante • souvent le matin, va mieux à l'effort, mère atteinte d'arthrite globale (polyarthrite) • Pas de trauma, mouvements répétés au travail • A déjà consulté pour ces lombalgies • Manœuvre de cisaillements lombaires (compression sacrale, Thigh Thrust, Gaenslen, test de Faber) positives • Rx lombaire : sans particularité Lumbago gauche Lumbago il y a 10 ans. Lombalgie aiguë non déficitaire avec irradiation antérieure droite le 17.10.2013. Bronchopneumonie communautaire basal droite le 06.07.2015 avec CURB 65 à 0. Lumbago non déficitaire le 02.01.19. Lumbago • pas de trouble sensitivomoteur • pas de trauma Lumbago répétitif, dernier épisode il y a 3 semaines. Luna est donc gardée en surveillance respiratoire et alimentaire dans le contexte d'une bronchiolite à RSV. Sur le plan respiratoire, elle présente une péjoration le 20.01 avec besoin en HighFlow (maximal 8 l). Les contrôles sanguins sont rassurants sans hypercapnie ni syndrome inflammatoire objectivés. Le HighFlow peut être sevré le 23.01 et elle est par la suite à l'air ambiant. Sur le plan digestif, elle nécessite d'être sondée jusqu'au 23.01 mais elle présente plusieurs vomissements dans le contexte de toux avec des prises alimentaires encore variables jusqu'à la sortie mais avec une bonne prise de poids. À noter une constipation depuis 1.5 semaine correspondant au changement de lait (de Prégomin Pepti à AS) raison pour laquelle elle nécessite un Bulboïd le 22.01 et l'introduction de Gatinar le 24.01. Lupus articulaire suivi par le Dr. X. Anxiété. L'US met en évidence une tendinopathie du sus-épineux avec une lésion partielle du bord antérieur, le sous-scapulaire n'est pas évalué. Luxation acromio-claviculaire droite Tossy II. Luxation acromio-claviculaire G chronique type Rockwood III en 2016. Luxation acromio-claviculaire gauche de stade 3 le 05.08.2018. Statut post-morsure par un chien errant en Myanmar le 24.12.2018. • 2 rappels antirabiques les 24.12.2018 et le 01.01.2019 • IgG antirabiques le 24.12.2018. • Co-Amoxi du 24.12 au 28.12.2018 • rappel antirabique prévu le 15.01.2019. Luxation acromio-claviculaire gauche Rockwood 3. Luxation acromio-claviculaire stade 5 selon Rockwood à gauche le 04.01.2019. Luxation acromio-claviculaire Tossy II. Luxation acromio-claviculaire Tossy III droite suite à un accident de la voie publique le 30.01.2019. Luxation acromio-claviculaire type Tossy Hawkwood II à G le 22.01.2019. Luxation antérieure de l'épaule droite (10ème épisode) le 20.06.2017. Luxation antérieure de l'épaule droite le 30.01.19 avec parésie de n. ulnaire. Luxation antérieure de la hanche droite. Luxation antérieure de l'épaule droite. Luxation antérieure de l'épaule droite avec fracture du tubercule majeur. Luxation antérieure de l'épaule droite en août 2016. Luxation antérieure de l'épaule droite le 13.09.2017. Luxation antérieure de l'épaule gauche. Luxation antérieure de l'épaule gauche avec fracture du trochiter en 2012. Fracture de la clavicule droite. Fracture coccygienne. Discectomie minimale invasive L5-S1 le 14.06.2006 (Dr. X). Luxation antérieure de l'épaule gauche le 26.01.2019, Luxation antérieure épaule gauche sans fracture le 23.01.2019. Luxation antérieure traumatique de l'épaule droite le 31.01.2019. • avec lésion de Bankart et de Hill Sachs. Luxation antérieure traumatique épaule droite le 18.01.19. Luxation antéro-inférieure de l'épaule droite. Luxation antéro-inférieure de l'épaule droite avec lésion de Bankart. Luxation antéro-inférieure de l'épaule droite, le 07.01.2019 (1er épisode). Luxation antéro-inférieure de l'épaule droite non déficitaire. Luxation antéro-inférieure de l'épaule gauche en 2013. Luxation antéro-inférieure de l'humérus gauche 3ème épisode. Luxation antéro-inférieure épaule D avec fracture du processus coracoïde; accident du 22.01.2014 • Lésion chronique de la coiffe des rotateurs avec statut post-rupture du long chef du biceps épaule D. Carcinome de la vessie, traité par résection avec reconstruction d'une vessie par intestin grêle en 2016 (Dr. X). Prothèse genou droit. Luxation antéro-inférieure épaule droite. Premier épisode le 20.11.2018. Luxation antéro-inférieure gléno-humérale droite (1er épisode). Luxation congénitale ddc à prédominance G de l'articulation carpo-métacarpienne. Statut post-fracture sous-capitale MC 2 main G du 05.07.2017. Luxation congénitale de la hanche. 2016 : burn out (suivie par Dr. X). 06.01.2018 : Salpingectomie gauche par laparoscopie pour GEU gauche et épreuve au bleu : perméabilité tubaire droite, 2017 : 2x opération abcès du creux poplité. 2018 : abcès avant-bras gauche, drainé sous AL. Luxation de la hanche droite le 24.1.2018. • opération de hanche droite par Dr. X le 16.11.2018 • s/p luxation de la hanche droite avec fracture péri-prothétique d'arrachement du grand trochanter le 17.1.2019. Luxation de la prothèse totale de la hanche gauche le 24.12.2011, 30.08.2014. Thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche le 02.02.2012, sous Sintrom depuis lors. Fibrillation auriculaire avec décompensation cardiaque en janvier 2012. Arthroplastie totale de la hanche gauche le 21.11.2011 (Dr. X). Résection transurétrale de la vessie le 13.09.2010 pour carcinome urothélial. Résection transurétrale de la vessie le 30.08.2010. Résection transurétrale de la vessie le 04.08.2010 pour une petite récidive tumorale papillaire pT1 G3 de la vessie. Résection transurétrale de la vessie en mars et novembre 2009 pour une petite tumeur récidivante de la vessie. Méatotomie pour sténose du méat et résection transurétrale de la vessie en 2003 pour tumeurs papillaires multifocales de la paroi latérale droite pTa G1. Luxation de l'épaule droite le 17.01.2019. Luxation de l'épaule droite le 29.01.2019 • avec fracture du tubercule majeur associée. Luxation de l'épaule gauche. Luxation de l'épaule gauche antéro-inférieure, 4ème épisode, le 18.01.2019, Luxation de l'interphalangienne proximale du 5ème doigt à gauche, pas témoignée, auto-réduite par la patiente, avec arrachement du condyle de la première phalange. Luxation dorsale coude gauche - réduction fermée sous anesthésie générale (OP le 26.05.2012). Luxation dorsale de la 2ème articulation métatarso-phalangienne du pied G. Statut post-ostéosynthèse de la malléole interne, ostéosuture de la malléole externe de la cheville G le 04.09.2018. Statut post-ablation du fixateur externe tibio-calcanéo-tarsien, ostéosynthèse du Chopart et Lisfranc G le 31.08.2018. Statut post-mise en place d'un fixateur externe tibio-calcanéo-tarsien, réduction ouverte de la MTP 2 du pied G, débridement/rinçage d'une plaie plantaire MTP 2, contrôle de la pression des loges du pied G le 26.08.2018. Traumatisme du pied G le 26.08.2018 sur AVP avec: • Fracture tri-malléolaire. • Fracture de l'articulation de Chopart (fracture du naviculaire, fracture impaction de la tête du talus, fracture du cuboïde).• Fracture de l'articulation de Lisfranc avec fracture du cunéiforme médial et latéral. • Fracture spiroïde métatarse II. • Fracture luxation métatarso-phalangienne II ouverte type Gustilo II. • Fracture base de P1 DIG IV. • Luxation du coude gauche + fracture déplacée de la tête radiale. • Luxation en anse de seau corne moyenne et postérieure du ménisque interne genou D. • Luxation épaule D dans l'adolescence. Pas d'opérations. • Luxation épaule droite. • Luxation épaule gauche, réduite spontanément le 22.10.2017. • Luxation épaule gauche le 08.01.2019. • Sur chute du lit. • Status post-luxation récidivante épaule gauche. • Luxation et fracture sous-capitale de la tête humérale droite avec arrachement du tuberculum majeur le 09.01.2019. • Trouble paresthésique dans le territoire du nerf axillaire. • Luxation gléno-humérale antérieure, avec trouble de la sensibilité, le 14.01.19. • Luxation gléno-humérale antérieure épaule D en 2011. • Luxation gléno-humérale antérieure gauche (1er épisode) le 03.01.2019. • Luxation latérale de la rotule D, premier épisode. • Luxation latérale dorsale IPP 5ème doigt D le 17.01.2019. • Luxation latéro-dorsale de l'interphalangienne proximale du 5ème doigt droit. • Luxation métacarpo-phalangienne de la main droite. • Luxation métacarpo-phalangienne du pouce droit le 11.01.19. • Luxation ouverte IP pouce droit le 26.12.2018. • Luxation ouverte IPD Dig III D avec arrachement de la plaque palmaire, le 15.11.2018 et status post révision de plaie D III D et suture de la plaque palmaire le 16.11.2018. • Luxation patellaire sur instabilité fémoro-patellaire le 08.06.2013. • Status post-subluxation fémoro-patellaire droite avec probable chondrocalcinose fémoro-patellaire le 12.08.2014. • Stabilisation fémoro-patellaire après luxation récidivante à gauche. • Vertige périphérique paroxystique bénin le 28.05.2015. • Hématome post-opératoire (01.03.2016) dans le contexte d'une plastie à Z du rétinaculum latéral de la rotule genou droit. • Luxation postérieure de la PIP du 5ème doigt de la main D le 17.11.2018. • Luxation postérieure de la 5ème articulation métacarpophalangienne de la main droite. • Luxation postérieure de l'articulation interphalangienne proximale avec déviation ulnaire du 5ème doigt de la main gauche sur traumatisme le 30.01.2019. • Luxation postérieure de l'articulation IPP Dig 5 main D (dominant) avec lésion de la plaque palmaire le 05.10.2018. • Luxation postérieure de l'interphalangienne proximale du 3ème doigt à droite. • Luxation postérieure d'une PTH du 10.01.2019. • Luxation postéro-latérale coude G avec fracture tête radiale et processus coronoïde de l'ulna; le 16.09.2018 traitée par : • Stabilisation coude G par refixation du complexe ligamentaire latéral par 1 ancre Helicoïl et médial par FiberWire, ablation des fragments osseux libres de la tête radiale (OP le 18.09.2018). • Luxation prothèse droite. • Luxation récidivante PTH D. • PTH primaire implantée le 08.03.2013. • Réduction luxation postérieure PTH le 18 et 21.03.2013. • Changement de composante cotyloïdienne par un système double mobilité le 27.03.2013. • Réduction luxation PTH le 04.06.2014. • 2ème changement de composante cotyloïdienne le 17.06.2014. • 3ème changement de composante cotyloïdienne le 09.09.2014. • Luxation PTH le 17.06.2015. • Ponction hanche D le 16.07.2015. • Luxation rotule droite. • Luxation rotule gauche en 2015, récidive de luxation en mars 2018. • Luxation rotule gauche (1er épisode) le 19.12.2017. • Luxation traumatique antéro-inférieure de l'épaule D le 18.11.2018. • Luxation traumatique de la rotule du genou D avec arrachement du MPFL. • Luxation traumatique de l'épaule gauche, 1er épisode le 18.12.2018 avec : • Réduction par le patient selon méthode Davos. • Lésion de Bankart osseux résiduelle et lésion du labrum antéro-supérieur ainsi que antéro-inférieur (7 à 9h) et lésion de Hill-Sachs. • Luxation traumatique rotule genou G le 06.10.2018. • Luxation unguéale Dig V main droite, le 01.01.2019. • Repositionnement de l'ongle aux urgences à Berlin le 01.01.2019. • Luxations gléno-humérales antérieures, 3 épisodes, le dernier le 11.10.2017. • Lymphadénite histiocytaire nécrosante sur maladie de Kikuchi-Fujimoto. • Adénopathies cervicales et amygdaliennes depuis mi-novembre 2018. • Biopsie adénopathie PROMED P2018.15.058 du 31.12.2018 : Lymphadénite histiocytaire nécrosante et rarement granulomateuse ainsi que modification réactive non spécifiques dans un ganglion lymphatique (excision, adénectomie niveau I B droit). • Avec leucopénie et thrombocytopénie fluctuante. • Sérologies CMV, HIV négatif, EBV infection ancienne, Tularémie négatif, Toxoplasmose négatif. • Frottis gorge négatif le 14.12.2018. • Cytoponction adénopathie cervicale droite du 14.12.2018 : population lymphoïde polymorphe, plutôt en faveur lymphadénite réactionnelle non spécifique, pas de nécrose, pas de signe de TB ou Kikuchi, pas de carcinome. Lymphome de bas grade non exclu. Adénectomie souhaitable. • Lymphadénopathie cervicale et axillaire bilatérale d'allure réactionnelle : mars 2012. • Lymphadénite réactionnelle nécrosante compatible avec la maladie de Kikuchi 12.12.2008. • Biopsie-excision d'une adénopathie axillaire droite 12.2008. • Syndrome d'hypoliquorrhée post-ponction lombaire du 18.05.2012. • Céphalées de types tensionnelles et migraineuses en 2012. • Perturbation des tests hépatiques le 14.06.2018. • Apex du ventriculaire charnu et trabéculé à l'ETT du 12.06.2018. • ETT le 12.06.2018. • Lupus érythémateux systémique le 05.06.2018 avec. • Polyarthralgies symétriques. • Lésions violacées maculeuses desquamantes au bout des doigts et orteils et du visage. • Syndrome des anticorps anti-phospholipides. • Thrombopénie immune. • FAN +, SS-A, Sp100, PML, nucléosome, Mi-2a, Ku, Histone positifs. • Embolie pulmonaire segmentaire basale gauche sur syndrome des anticorps anti-phospholipide le 05.06.2018. • Thrombopénie immune le 14.04.2016. • Anticoagulant lupique, AC anticardiolipines et AC anti-bêta-2-glycoprotéine I positifs le 25.06.2014 et 15.09.2014. • Thrombopénie autoimmune le 05.06.2018. • Nadir le 05.06.2018 à 43 G/l. • Évoluant depuis le 14.04.2014. • Lymphadénopathies réactionnelles gauches non-abcédées. • Lymphangite de l'avant-bras gauche sur piqûre de moustique surinfectée. • Lymphocèle inguinal droit. • Lymphocèle inguinal droit. • Lymphocèle inguinal droit avec. • Infection du site de ponction le 22.12.2018. • Status post-TAVI le 09.12.2018 par abord chirurgical. • Lymphoedème chronique de la jambe gauche depuis 1991 suite au curage ganglionnaire avec drainage lymphatique hebdomadaire. • Status post-vulvectomie partielle pour lymphangiome 03.2012. • Suivi régulièrement aux HUG par le Prof. X. • Dermohypodermite sus-pubienne et MIG à répétition, favorisé dans un contexte de lymphoedème chronique. • Sous prophylaxie de Stabicilline. • 03.2011 : choc septique sur dermohypodermite du MIG à Staphylococcus hominis. • 09.2011 : dermohypodermite du MIG. • 11.2011 : choc septique sur dermohypodermite du MIG à Streptococcus mitis. • 12.2011 : dermohypodermite pubis et face interne cuisse droite à germe indéterminé. • 05.2013 : choc septique avec bactériémie à Streptococcus agalactiae du groupe B sur porte d'entrée cutanée. • 18.08.2017 : Dermohypodermite. • 02.09.2017 : Dermohypodermite. • 14.02.2018 : Dermohypodermite sus-pubienne et MIG. • 11.09.2018 : Dermohypodermite sus-pubienne. • 14.11.2018 : Dermohypodermite sus-pubienne. • Récidive de dermohypodermite sus-pubienne et MIG, le 02.12.2018. • DHD récidivante dans un contexte de lymphoedème chronique.prophylaxie par Benzatyl-Pénicilline depuis septembre 2018, et Dalacin 600 mg depuis le 22.12.2018 Consommation OH à risque. Tabagisme actif. Lymphoedème chronique de la jambe gauche depuis 1991 suite au curage ganglionnaire avec drainage lymphatique hebdomadaire • status post vulvectomie partielle pour lymphangiome 03.2012 • suivi régulièrement aux HUG par le Dr. X Dermohypodermites sus-pubiennes et membre inférieur gauche à répétition, favorisées dans un contexte de lymphoedème chronique • sous prophylaxie de Stabicilline • 03.2011: choc septique sur dermohypodermite du MIG à staph hominis • 09.2011: dermohypodermite du MIG • 11.2011: choc septique sur dermohypodermite du MIG à strepto mitis • 12.2011: dermohypodermite pubis et face interne cuisse droite à germe indéterminé • 05.2013: choc septique avec bactériémie à strepto agalactiae du groupe B sur porte d'entrée cutanée • 18.08.2017: Dermohypodermite • 02.09.2017: Dermohypodermite • 14.02.2018: Dermohypodermite sus-pubiennes et MIG • 11.09.2018: Dermohypodermite sus-pubienne • 14.11.2018: Dermohypodermite sus-pubienne • Récidive de dermohypodermite sus-pubienne et MIG, le 02.12.2018 • DHD récidivante dans un contexte de lymphoedème chronique Lymphoedème probablement sur insuffisance du système lymphatique : • avec prise de 8 kg depuis le 14.12.2018, sans effet malgré la majoration du traitement par Torem de 50 à 200 mg. Lymphome à cellules B matures de type DLBCL : • date du diagnostic : 25.07.2018 • Biopsie d'un nodule thoracique gauche le 19.07.2018 • Ananatomopathologie (Promed-P2018.8357): infiltration sous-cutané et cutané par lymphome à cellules B matures de type DLBCL • CT thoraco-abdominal du 04.07.2018 : • adénopathies ganglionnaires : axillaires bilatérales, mésentériques, coeliaques, rétropéritonéales atteignant individuellement 4 cm • pulmonaire : infiltrats dépolis du LSD, discrète diminution des infiltrats dans le LIG. Apparition toutefois au sein de toutes les zones infiltrées d'éléments nodulaires centimétriques • sein D : deux structures centimétriques calcifiées dans le sein D • 2 masses rénales gauches d'allure néoplasique • cutané : lésion d'allure maligne sous-cutané de 3 cm basithoracique antérieure gauche • intestinal : nodule centimétrique charnu situé entre la paroi et l'angle colique D • 3 cm de liquide dans le Douglas • osseux: Lyse isthmique L5 bilatérale avec antérolisthèse centimétrique, stationnaire. Tassement en galette de D12, stationnaire depuis nov 2017, mais non présent en 2015 • 1er cycle de chimiothérapie selon protocole R-MTX le 10.12.2018 Lymphome à cellules B matures de type lymphome lymphocytique de stade IV (moelle osseuse). • pathologie Promed (P3194.16) : lymphome à cellules B matures : leucémie lymphoïde chronique (lymphome lymphocytique (CLL/SLL selon OMS 2008). Etat dépressif. Lymphome B de bas degré type folliculaire avec : • Diagnostic en décembre 2013 sur ADP inguinales G • PET CT initial : atteinte ganglionnaire inguinale G, iliaque gauche, sous carinaire et parotidienne gauche stade Anna Arbor 3A, FLIPI 2 • Chimiothérapie par R CVP 4 cycles de février à avril 2014 avec réponse complète au niveau inguinal • Immunothérapie d'entretien par Rituximab aux 2 mois, juin 2014 à mars 2016 • Réponse complète radiologique en juin 2016 • Progression ganglionnaire confirmée par biopsie au niveau cervical G en 2018 • Chimiothérapie par Rituximab et Bendamustine 6 cycles d'avril à septembre 2018 puis traitement d'entretien de Rituximab aux 2 mois • Réponse complète au PET CT de septembre 2018 • Actuellement : traitement entretien par Rituximab ; dernière dose le 19.11.2018 Lymphome B de la zone marginale au stade IVA en transformation dans un lymphome non hodgkinien diffus à grandes cellules • date du diagnostic : 06.03.2006 • status post-biopsie ganglionnaire cervicale gauche le 02.03.2006 • histologie : Pathologie du CHUV H0692215 : lymphome B de bas grade selon Kiel. Lymphome B de la zone marginale (OMS 2001) MIB-1 faible • infiltration de la moelle osseuse d'environ 60 % par le lymphome • scanner du 29.03.2006 : atteinte par le lymphome au niveau cervical, sus-claviculaire et axillaire des 2 côtés, médiastinale, splénique et inguinale • status post-3 cures d'une chimiothérapie par Leukeran du 29.03. au 07.06.2006 (rémission partielle) • status post-4ème cure de chimiothérapie par Leukeran le 29.08.2006 (arrêt de la chimiothérapie en raison d'une intolérance au traitement) • CT cervico-thoraco-abdominal du 17.10.2006 : progression tumorale sous forme d'adénopathies jugulo-carotidiennes axillaires et médiastinales ainsi que hilaires des deux côtés. Progression de la lésion tissulaire ostéolytique intéressant le processus épineux de D9 avec envahissement du canal rachidien. Apparition de 2 lésions tissulaires au contact du muscle grand rond gauche • status post-biopsie exérèse d'un ganglion cervical gauche le 15.11.2006 • histologie (Promed P5366.06) : lymphome malin non hodgkinien diffus à grandes cellules • status post-irradiation du rachis D8 et D6 avec 4 Gy les 15 et 16 novembre 2006 (interruption volontaire par la patiente) • status-post 6 cures de chimiothérapie par CHOP (Endoxan, Adriblastine, Oncovin, Prednisone), en dosage diminué en raison des effets secondaires, en combinaison avec l'anticorps Mabthera du 23.11.2006 au 03.04.2007 (très bonne rémission partielle) • janvier 2012 : rémission complète, contrôles selon symptômes Hypertension artérielle Glaucome Ostéoporose Troubles anxieux Douleur chronique de la cuisse gauche (sur lésion calcifiée connue, biopsiée en 2006 : bénin) Lymphome de bas grade traité par Rituximab 1x/2 mois Lymphome de Burkitt • date du diagnostic : 30.11.2018 • histologie (Promed P2018.13668, excision ganglionnaire niveau IV droit) : lymphome à cellules B matures blastiques avec haute fraction de cellules en prolifération, compatible avec un lymphome de Burkitt (BL selon OMS 2017) • status post excision ganglionnaire cervical niveau IV droit • PET-CT du 28.11.2018 : multiples hypercaptations compatibles avec un lymphome au niveau ganglionnaire cervical, axillaire, médiastinal, péritonéal, inguinal, hépatique, pulmonaire et gastrique • ponction-biopsie de moelle osseuse du 27.11.2018 : (Promed P2018.13644) : infiltration dans le cadre du lymphome décrit • symptômes B avec sudations surtout nocturnes, état subfébrile et fatigue • sérologies HBV, HCV, HIV, CMV, EBV : négatives / HSV 1 : IgG positif, VZV IgG positif, Quantiféron négatif • pose d'un port-à-cath le 05.12.2018 • chimiothérapie dès le 07.12.2018 selon protocole R-CODOX-M/IVAC • Fasturtec du 07.12.2018 au 09.12.2018 (haut risque de lyse) • thérapie intrathécale par Cytosar le 10.12.2018 et 12.12.2018 Lymphome de Hodgkin de type classique stade IV B, IPS 2 • date du diagnostic : 17.01.2019 • CT thoraco-abdominal du 10.01.2019 au CIF : adénopathies médiastinales et sous-clavières, médiastinales avec masse de 96 x 58 x 89 mm comprimant la veine cave supérieure, adénopathies inter-aorto-caves rétro-péritonéales évoquant l'aspect d'un lymphome, splénomégalie avec structure inhomogène • adénectomie supra-claviculaire gauche le 14.01.2019 • histo-pathologie (Promed du 17.01.2019 P2019.477) : lymphome de Hodgkin de type classique, variante à cellularité mixte • rapport complémentaire du 21.01.2019 (Promed P2019.477) : lymphome de Hodgkin de type classique, variante à cellularité mixte sans expression du marqueur CD45 dans les cellules de Reed-Sternberg • PET-CT du 17.01.2019 : hypercaptation claviculaire bilatérale, médiastinale supra et infra-carinaire bilatéralement, dans la région coeliaque, rétro-péritonéale, iliaque bilatérale, splénique, squelette axial et également de l'humérus droit et des fémurs. Adénopathies médiastinales, la plus volumineuse dans la partie droite du médiastin, mesurant environ 15 cm de plus grand diamètre, foie de taille augmentée, de configuration et densité normales • cryoconservation le 18.01.2019 (FERTAS) • ultrason cardiaque du 21.01.2019 : FEVG à 60 %, minime épanchement péricardique avec bonne tolérance hémodynamique • fonctions pulmonaires du 22.01.2019 : pas de trouble ventilatoire, DLCO dans la norme • inclusion dans l'étude HD21, bras standard avec chimiothérapie par BEACOPP escaladé • ponction-biopsie de moelle osseuse du 23.01.2019 : biopsie Promed P2019.898 : infiltration de la moelle osseuse par le lymphome de Hodgkin. • actuellement : chimiothérapie par BEACOPP escaladé dès le 29.01.2019 Lymphome de Hodgkin diagnostiqué fin 2012, en rémission depuis fin 2013. Lymphome diffus à grandes cellules B de stade IV le 22.11.2018 (score pronostique IPI 4) • date du diagnostic : 08.05.2018 • Symptômes B, douleurs en fosse iliaque gauche • histologie (Promed P2018.5069) : lymphome B diffus à grandes cellules • PET-CT du 01.05.2018 : hypercaptation abdominale gauche correspondant à la volumineuse masse du pancréas, hypercaptation ganglionnaire rétro-péritonéale ainsi qu'infiltration massive du squelette • échocardiographie du 16.05.2018 : qualité médiocre, fraction d'éjection conservée • ponction-biopsie de moelle du 17.05.2018 : infiltration médullaire par le lymphome • sérologies HCV, HBV, HIV, EBV, CMV : négatives • implantation d'un port-à-cath le 18.05.2018 • pré-phase stéroïde du 17.05 au 23.05.2018 • initiation d'une chimiothérapie selon R-mini-CHOP le 23.05.2018 • status post-3 cycles de chimiothérapie par R-mini-CHOP • PET-CT du 09.07.2018 : bonne réponse à la chimiothérapie avec diminution en taille et en intensité • 3 cycles de chimiothérapie par R-mini-CHOP jusqu'au 05.09.2018 puis 2 cycles de Mabthera seul jusqu'au 18.10.2018 • PET-CT du 26.09.2018 : rémission partielle scannographique • Récidive du lymphome diffus à grandes cellules avec pancytopénie sur infiltration massive de la moelle osseuse en novembre 2018 • PET-CT du 23.01.2019 : très bonne réponse partielle Actuellement : poursuite de la chimiothérapie par Mabthera et Gemzar • Suivi par Dr. X à l'HFR Lymphome diffus à grandes cellules de haut grade Lymphome diffus à grandes cellules en stade II (versus IV, infiltration épiploon/muscle abdominal) stade IPI intermédiaire à haut risque. • date du diagnostic : 27.11.2018 • histologie (Promed P2018.13457) : lymphome de haut grade à cellules B compatible avec un lymphome diffus à grandes cellules B, type centro-germinatif • PET-CT du 22.10.2018 : hypercaptation ganglionnaire rétropéritonéale, hypercaptation abdominale diffuse, absence de lésion hypermétabolique ainsi que d'autres organes. • ponction-biopsie de moelle le 24.10.2018 : pas d'infiltration lymphomateuse. • échocardiographie transthoracique le 25.10.2018 : FEVG 65 %, HTAP modérée à 48. • status post biopsies des tissus mous le 24.10 et le 31.10.2018 : non conclusive. • status post laparoscopie exploratrice avec biopsie le 22.11.2018 (Dr. X) : lymphome diffus à grandes cellules. • actuellement : chimiothérapie par R-CHOP sans Endoxan au vu de l'insuffisance rénale. Lymphome hodgkinien en 2013, actuellement en rémission (CT de contrôle planifié le 15.04.2016, suivi par Dr. X). Lymphopénie à 0.7 G/l, d'origine probablement virale Lymphorrhée sur probable atteinte post-opératoire du canal thoracique. Mr. Y est un patient de 12 ans, en bonne santé habituelle, qui est amené par ses parents aux urgences le 08.01.2019 en raison de douleurs péri-ombilicales avec migration en fosse iliaque droite depuis la veille. À l'examen clinique, nous objectivons une sensibilité en fosse iliaque droite et le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire. Le diagnostic d'une appendicite simple est confirmé par ultrason, raison pour laquelle Mr. Y bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique en urgence le soir même. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites post-opératoires sont simples. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 09.01.2019. Lyse intraveineuse par r-tPA 100 mg le 17.01.2019 (jusqu'au 14h30) CT cérébral le 17.01.2019 à 11h30 CT cérébral de contrôle le 17.01.2019 à 21h15 : hémorragie intracérébrale fronto-pariétale droite Transfert à Berne pour prise en charge neurochirurgicale (cf dx 1) Mr. Y, 62 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance après bronchoscopie. Le patient présente depuis plusieurs mois des expectorations purulentes associées à une dyspnée paroxystique nocturne, sans symptômes B associés. Il est initialement traité en ambulatoire pour une pneumonie par Co-amoxicilline avec amélioration partielle des symptômes. L'imagerie révèle occlusion de l'arbre bronchique proximal avec une atélectasie et un comblement bronchique du lobe supérieur droit. La bronchoscopie permet de réséquer une masse volumineuse occlusive au niveau de la bronche souche droite, avec par la suite un écoulement purulent abondant dans tout l'arbre bronchique droit. Une hémostase ainsi qu'un toilettage bronchique sont effectués. Au vu de la localisation et des possibles complications respiratoires et hémorragiques suite à cette intervention, le patient est admis aux soins intensifs pour une surveillance qui se déroule sans aucune complication permettant un retour à domicile le lendemain. Mr. Y développe une épaule gelée sur un status post fracture de la clavicule avec traumatisme thoracique à droite. Je propose d'adapter la physiothérapie pour mobilisation douce sans forcer. Mr. Y peut poursuivre son travail d'éducateur. Je le reverrai dans 3 mois avec une radiographie de l'épaule cette fois-ci pour suivre cette épaule gelée. Mr. Y, 88 ans, est transféré de Riaz pour une décompensation respiratoire aiguë dans le cadre d'un pneumothorax traumatique drainé le 27.01.2019. D'un point de vue respiratoire, un support par VNI permet une amélioration clinique et des gazométries. Le drainage thoracique est gardé jusqu'au 29.01.2019. Il bénéficie également d'une déplétion par Furosemide avec bonne efficacité sur la dyspnée. La physiothérapie respiratoire active est à poursuivre. L'insuffisance rénale d'origine pré-rénale est corrigée avec une hydratation efficace. Une probable pyélonéphrite est aussi traitée en parallèle par Ceftriaxone. Les cultures reviendront positives pour un Providencia stuartii lors de la sortie du patient, un avis infectiologique est pris en vue des résistances potentielles, avant d'envisager un switch (p.ex. Ciprofloxacine).Mr. Berset, 65 ans, nous est transféré de Meyriez dans un contexte d'hématémèse associé à une hyponatrémie sévère. Une hémorragie digestive haute est mise en évidence sans instabilité hémodynamique. Du Pantozol iv est débuté et une OGD est réalisée le 27.12.2018, retrouvant des ulcères oesophagiens sur maladie de reflux avec hernie hiatale par glissement. Un traitement par IPP po 2x/j est préconisé et une nouvelle gastroscopie de contrôle sera à réaliser dans 15 jours environ sur avis du gastro-entérologue, le Dr. X. À noter qu'une sérologie Helicobacter Pylori revient négative. L'aspirine est mise en suspens jusqu'à la réévaluation par OGD à distance. Une hyponatrémie sévère à 114 mmol/l est d'emblée mise en évidence. L'évaluation clinique et biologique parle pour un SIADH. La Dépakine et le Lorazépam sont connus pour provoquer ce genre de troubles électrolytiques. Une tentative d'hydratation est débutée à Meyriez sans amélioration de la natrémie. Une restriction hydrique est donc instaurée, associée à un traitement par capsules de sel, avec amélioration biologique. Un contrôle de la natrémie est à prévoir en ambulatoire à sa sortie. Un examen ORL est également pratiqué et exclut un saignement de la sphère ORL mais met en évidence une hypomobilité du pharynx droit qui reste à recontrôler par la suite. Notons un test de déglutition qui est dans la norme. Le patient peut être transféré dans son institution le 01.01.2019 en bon état général avec une hémoglobine stable et une natrémie corrigée. Nous vous proposons d'effectuer un contrôle bio-clinique dans une semaine. Mr. X doit poursuivre avec les séances de physiothérapie. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'à la fin mars. Nous prévoyons un contrôle radio-clinique avec RX de la clavicule et du bassin pour le mois d'août de cette année. Si une arthrose précoce de la hanche se développe, celle-ci sera liée à l'accident. Mr. X présente des cicatrices importantes surtout sur la partie antérieure de l'articulation, ce qui lui limite la rotation externe. L'abduction et l'antéversion, par contre, fonctionnent pas si mal en regard de la sévérité du traumatisme. On estime qu'avec une physiothérapie, il pourrait améliorer la rotation externe ainsi que les mouvements au-dessus de l'horizontale et par conséquent provoquer moins de douleurs. C'est clair qu'après ce traumatisme important, une partie de la coiffe des rotateurs est arrachée. Pour l'instant, le patient arrive à fonctionner dans sa vie quotidienne et professionnelle, et nous ne voyons pour l'instant pas d'indication pour une ablation du matériel d'ostéosynthèse avec arthrolyse. Prochain contrôle dans 6 mois à une année postopératoire. Mr. X nous est transféré du service d'orthopédie de l'HFR Fribourg où il a bénéficié d'une plastie d'augmentation du tendon d'Achille suite à une rupture traumatique (OP le 21.12.2018). Pour rappel, Mr. X est connu pour une malformation congénitale avec atrophie de l'hémicorps gauche, cœur dévié à droite sans situs inversus et rein unique. Il a eu en septembre 2018 une PTCA avec un stent actif sur changement de valve aortique par bioprothèse sur bicuspidie à l'hôpital de l'île. À l'anamnèse à l'entrée, Mr. X explique avoir des douleurs au pied droit en raison d'un hématome plantaire. La cicatrice n'est pas douloureuse. Il explique avoir eu des soucis pendant le remplacement de sa valve aortique bicuspide à l'hôpital de l'Ile en septembre 2018 avec infarctus et trouble du rythme lors de l'opération, ce qui a nécessité temporairement un pacemaker externe et des soins intensifs. Il est normalement en bonne santé habituelle et n'avait pas de traitement à domicile. Le laboratoire d'entrée est bien aligné, nous notons une carence en vitamine D que nous commençons à substituer. Comme convenu avec vous au téléphone, nous avons arrêté le Marcoumar et le Clopidogrel et poursuivi l'Aspirine Cardio. Nous avons assuré l'anticoagulation prophylactique anti-thrombotique par Clexane 40 mg/j. Le 11.01.2019, le patient a présenté une surinfection de la plaie du tendon avec extériorisation de pus à travers la plaie. Nous avons instauré une antibiothérapie par Clindamycine 600 mg IV puis 300 mg x 3/j orale et non pas par Augmentin au vu d'un antécédent d'œdème de Quincke sous pénicilline. Un RDV de contrôle clinique par Dr. X, orthopédie HFR Fribourg, le 14.01.2019 a conclu à poursuivre l'antibiothérapie et les soins de plaie avec un second contrôle clinique prévu le 16.01.2019. Il reçoit de la physiothérapie et de l'ergothérapie. Les scores de mobilité au début du séjour sont les suivants : le transfert FIM 6, la mobilité FIM 5 avec cannes ou rollateur, les escaliers FIM 4, le Tinetti 11/28. Au cours de son hospitalisation, le patient a pu améliorer ses résultats des scores de mobilité, mais devant une infection de sa plaie de tendon, la thérapie est arrêtée. Mr. X se mobilise avec les cannes mais dit se sentir plus à l'aise avec le tintébin en raison de son attelle pour sa cheville D. Il vit dans une maison avec des escaliers avec son épouse. Il souhaite installer des rampes pour qu'il puisse monter avec plus de sécurité. Il a 2 fils et 5 petits-enfants. Ils font tous les deux les AVQ. Il a rendu son permis. Devant la surinfection superficielle de la plaie, nous transférons le patient le 11.01.2019 en gériatrie aigüe pour une poursuite de traitement adéquat. Mr. X est déjà suivi pour de l'ostéoporose post chimiothérapie. Il reçoit actuellement du calcium et de la vitamine D. En ce qui concerne la cheville G, l'évolution est plutôt bonne avec un matériel d'ostéosynthèse bien en place, il peut désormais charger selon douleurs au moyen de 2 cannes. Nous le reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. D'ici là, il maintiendra le Clexane 40 mg 1x par jour pour une durée de 2 semaines. En ce qui concerne le pied G, pour les douleurs, nous voyons sur les radiographies une importante hypodensité osseuse notamment au niveau des têtes des métatarses III à V, raison pour laquelle nous organisons une IRM afin de mieux évaluer les douleurs. Nous le reverrons dans 2 mois. Mr. X nous est adressé en raison d'une mauvaise évolution d'une dermohypodermite du membre inférieur droit sous antibiothérapie depuis 24 h00 avec asthénie importante, malaise généralisé, état fébrile > 38.5° et un épisode de frissons solennels au domicile. Malgré l'antibiothérapie intraveineuse, l'évolution initiale est défavorable sur le plan clinique et biologique avec une majoration importante du syndrome inflammatoire et une forte fièvre persistante au-delà de 39°. Un bilan angiologique et radiologique (ultrason et IRM de la jambe) permet d'exclure des complications locales. À J5 de l'hospitalisation, on note une légère amélioration clinique avec diminution de la tuméfaction et apparition d'une lésion pré-tibiale violacée avec écoulement séro-sanguinolent, suspect d'un Pyoderma Gangrenosum. Une culture de l'écoulement pré-tibial revient stérile. Au vu de la suspicion de Pyoderma Gangrenosum, une corticothérapie est débutée dès le 09.01.19 en parallèle à l'antibiothérapie. Sous corticothérapie, l'évolution clinique et biologique est rapidement favorable. Des soins locaux quotidiens avec du nitrate d'argent sont appliqués. Afin de prévoir un schéma dégressif de la corticothérapie, un traitement par colchicine est introduit le 17.01.19, à un dosage de 0.5 mg/j, qui sera majoré à une prise biquotidienne après une semaine en cas de bonne tolérance. Une biopsie cutanée est réalisée le 15.01.19, dont les résultats sont toujours en attente.Les soins de plaie quotidiens seront poursuivis au domicile, le suivi de la plaie sera effectué conjointement par le médecin traitant et le service de stomatothérapie de l'Hfr. Un schéma dégressif de la corticothérapie est mis en place pour la sortie jusqu'à une posologie de 20 mg/j, le reste du schéma sera à effectuer par le médecin traitant. Nous laissons le soin au médecin traitant de suivre l'évolution des lésions après chaque diminution de la Prednisone. En cas de mauvaise évolution, apparition de nouvelles lésions ou de questions, le Dr. X se tient à disposition. Un retour à domicile est organisé le 18.01.19. Mr. Y se présente aux urgences en ambulance en raison d'une baisse d'état général avec orthostatisme dans un contexte de diarrhée liquide, non sanguinolente évoluant depuis 1-2 semaines, une antibiothérapie par Ciproxine est débutée le 08.01.19. Le patient ne rapporte pas de fièvre, vomissements ou douleurs abdominales. Hormis une déshydratation clinique, le statut est sans particularité à l'arrivée. Nous mettons en évidence une insuffisance rénale aiguë AKIN III sur déshydratation dans le contexte des diarrhées et des traitements diurétiques. Il présente également des troubles électrolytiques multiples (hyponatrémie, hyperkaliémie, hypomagnésémie, hypocalcémie) d'origine mixte : diarrhées, médicamenteux (Aldactone, Torasemid). L'évolution est rapidement favorable après réhydratation IV et per os, mise en suspens des médicaments incriminés et correction des troubles électrolytiques. Au vu des valeurs de créatinine très labiles dans le passé avec acutisation importante dès la moindre déshydratation associée à des hyperkaliémies récurrentes, nous ne réintroduisons pas le Lisinopril ni l'Aldactone. Le profil tensionnel se montra par ailleurs dans la norme pour l'âge du patient. Un retour à domicile est organisé le 18.01.19. Mr. Y présente donc une coxarthrose en progression, cependant il n'est pas encore suffisamment gêné pour justifier l'implantation d'une prothèse totale de hanche. Le jour où la symptomatologie le justifiera, il reprendra contact avec notre consultation pour discuter de l'opération. Mr. Y, patient de 77 ans, nous est envoyé à votre demande pour des lombocruralgies gauches depuis le 7.10.2019. Les douleurs ne sont plus gérables à domicile ; elles sont exacerbées à la mobilisation et diminuent au repos avec soulagement en décubitus latéral droit. La charge reste possible, mais douloureuse. Le statut d'entrée montre une diminution du réflexe patellaire gauche, un rétro-Lasègue à gauche ainsi qu'une douleur à la palpation paravertébrale lombaire gauche sur les 3 derniers étages. Nous ne notons aucun autre red flag que l'âge du patient, raison pour laquelle il bénéficie d'une radiographie le 11.01 de la colonne lombaire ne montrant aucune fracture vertébrale et la présence de troubles dégénératifs. Une IRM est effectuée le 16.01 et montre une importante hernie discale L3-L4 expliquant les douleurs ressenties par le patient. En l'absence d'indication opératoire et vu la contre-indication à une infiltration en raison de la double anti-agrégation en cours, nous poursuivons une prise en charge conservatrice. Le patient ayant déjà bénéficié d'un traitement antalgique par Paracétamol, Tramadol et Novalgine en ambulatoire puis d'une infiltration paravertébrale gauche chez vous, nous hospitalisons le patient pour poursuite de la prise en charge antalgique. Durant son hospitalisation, nous effectuons une antalgie par Paracétamol, Oxycontin et Prégabaline. Mr. Y bénéficie également de physiothérapie durant son séjour. Les douleurs deviennent supportables au repos, mais restent toujours exacerbées à la mobilisation et à la charge. En raison des difficultés à se mobiliser en raison des douleurs et de la nécessité d'une physiothérapie intensive, nous proposons au patient une réadaptation, ce qu'il accepte. Mr. Y est hospitalisé pour une surveillance post-coronarographie élective du 10.09.2018 afin d'effectuer une revascularisation de l'artère circonflexe chroniquement occluse. Comme convenu, nous effectuons une désobstruction du réseau latéral (RCx) avec technique antégrade endoluminale via injection controlatérale et implantation d'un stent coronarien. Un essai rapide de désobstruction de l'IVA sans passage de guide est tenté mais avorté au vu de l'utilisation de produit de contraste. Une deuxième session pourra être organisée au besoin. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 11.09.2018 à domicile avec un traitement de Prasugrel. Mr. Y, patient de 90 ans, connu pour une coxarthrose droite, un diabète de type II insulino-dépendant, un cancer de la prostate (s/p radiothérapie en 2008, actuellement sous Bicalutamide), est hospitalisé pour une exacerbation de ses douleurs chroniques de la hanche droite depuis environ 3 semaines avec des soins difficiles à domicile devant la diminution de la mobilité. Le bilan radiologique aux urgences ne montre pas de fracture ou de lésion lytique ou ostéocondensante. Nous effectuons une infiltration de la hanche droite par cortico-stéroïdes et lidocaïne le 13.09.2018 avec un excellent effet antalgique. L'évolution clinique est par la suite très favorable, avec une mobilisation s'améliorant de manière progressive. En vue de l'importante limitation demeurant tout de même vis-à-vis de sa mobilité (escaliers impossibles pour le moment), un retour à domicile n'est actuellement pas envisageable mais reste dans les projets. Nous proposons au patient et à sa famille une réadaptation gériatrique à l'hôpital de Riaz, qu'ils acceptent. Un bilan de ses troubles de la marche reste à compléter (B12, folates, Get-up and Go test, dépistage de PNP) pendant sa convalescence. Mr. Y est transféré à l'hôpital de Riaz le 20.09.2018. Mr. Y, connu pour une maladie de Hodgkin classique diagnostiquée en 2006, nous est à nouveau adressé en électif par son oncologue traitant pour réalisation du deuxième cycle de chimiothérapie (C2J1 le 14.01.2018) selon protocole ESAP en raison d'une récidive depuis novembre 2018 de son lymphome de Hodgkin. À son arrivée, le patient ne présente aucune plainte hormis quelques vertiges occasionnels connus et déjà antérieurs à la chimiothérapie. L'examen clinique général et neurologique grossier est sans particularité. Le second cycle de chimiothérapie de type ESAP se déroule sans complication majeure. Une voie veineuse centrale est posée le 14.01 pour la chimiothérapie et est retirée le 17.01.2019 sans complication. Le patient effectuera l'injection de Neulasta au domicile le 19.01.2019. Le patient sort ce 18.01.2019 pour un retour à domicile sans aide. Un Pet-CT est prévu le 28.01.2019 et une consultation oncologique pour communication des résultats est organisée pour le 30.01.2019. La suite de la prise en charge sera assurée à l'Inselspital de Berne avec transplantation des cellules souches autologues. Le patient sera convoqué. Mr. Y, patient de 53 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une suspicion d'AIT/AVC le 14.01.2019. Le patient présente une parésie brachio-crurale gauche, ptose labiale gauche et dysarthrie à 14h30 associés à une HTA à 200/100 mmHg. Par la suite, il aurait développé une dysarthrie associée à une tachypnée, une lipothymie et des vertiges. Le tout aurait duré 20 min avec persistance de la parésie du membre supérieur gauche. Pendant le transport en ambulance, le patient présente une HTA > 180/100 mmHg avec une dysarthrie et une parésie du membre inférieur gauche.Le CT cérébral exclut un saignement intracrânien et ne montre pas d'AVC constitué, ni d'anomalie aux cartes de perfusion. Le patient est chargé en Plavix et Aspirine et au vu de la clinique, du temps depuis le début des symptômes, ainsi que du CT cérébral rassurant, une lyse n'est pas indiquée selon les neurologues. L'IRM cérébrale ne montre pas d'argument pour une origine ischémique. Le bilan est complété avec un EEG ne montrant pas de signe d'épilepsie. Nos collègues neurologues ne retiennent pas de signe d'AIT ni AVC ou épilepsie et le Plavix est stoppé. Afin d'exclure une origine fonctionnelle, nous organisons un suivi psychiatrique. Au vu de tous ces résultats, une probable origine fonctionnelle de ces symptômes est retenue. Le patient avoue avoir une consommation d'alcool importante depuis plusieurs années. Un traitement par Seresta et supplémentation vitaminique est introduit. Il nous fait part de sa motivation à arrêter sa consommation et un suivi sera organisé au centre d'addictologie. Après discussion avec le patient et sa femme désireux d'un retour à domicile précoce, le patient peut rentrer à domicile le 18.01.2019 avec Seresta 3x/j fixe. Un rendez-vous chez le médecin traitant est à organiser après 3 jours pour un suivi en ambulatoire. Mr. Y, patient de 53 ans, hospitalisé aux soins intensifs pour un AIT le 14.01.2019. Le patient présente une parésie brachio-crurale gauche, ptose labiale gauche et dysarthrie à 14h30 associées à une HTA à 200/100 mmHg. Par la suite, il a développé une dysarthrie associée à une tachypnée, une lipothymie et des vertiges. Le tout aurait duré 20 min. avec persistance de la parésie du membre supérieur gauche. Au status neurologique, il n'y a pas de déficit clairement objectivé. Le CT cérébral exclut un saignement intracrânien et il n'y a pas d'AVC constitué ni anomalie aux cartes de perfusion. Il est chargé en Plavix et Aspirine et, au vu de la clinique, du temps depuis le début des symptômes ainsi qu'un CT cérébral rassurant, une lyse n'est pas indiquée. L'IRM cérébrale ne montre pas d'argument pour une origine ischémique. Le patient décrit une fatigue importante, un manque d'entrain et une importante anxiété. Nous suspectons une origine fonctionnelle et nous organisons un suivi psychiatrique qui est actuellement en cours. Mr. Y est hospitalisé sur demande de nos collègues néphrologues au terme d'une séance d'hémodialyse le 25.01.2019, lors de laquelle il reçoit par erreur une dose excédentaire d'insuline rapide. Après correction d'une hypoglycémie, il bénéficie d'un suivi rapproché aux 4 heures. Il peut rentrer à domicile le 26.01.2019, muni d'une prescription de nephrotrans et resonium, son traitement habituel demeurant par ailleurs inchangé. Mr. Y présente une baisse de la CRP, qui était à 61 le 02.01.19, et qui est maintenant à 31. L'antibiothérapie, qui a été bien supportée par le patient jusqu'à présent, sera poursuivie. Mr. Y présente des lésions compatibles avec une métalose associée à des pseudo-tumeurs et à une ostéolyse du mur antérieur. On organise donc ce jour une ponction de la hanche gauche qui aura lieu le 16.01.2019, ainsi qu'une IRM afin de mieux caractériser ces masses, ainsi qu'une prise de sang avec mesure des taux de chrome, cobalt. On reverra le patient à l'issue de ces examens. Mr. Y, 76 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance neurologique après un état de mal épileptique focalisé. Le patient a été diagnostiqué d'un glioblastome de stade IV en décembre 2018 suite à un état de mal épileptique généralisé. Un traitement palliatif par radio-chimiothérapie est prévu à partir du 25.01.2019. Des troubles sensitivo-moteurs du bras gauche résiduels persistent à la résolution de l'état de mal. Il présente un nouvel état de mal épileptique, focal au niveau facio-brachial, avec comme nouveaux symptômes une dysarthrie, asymétrie faciale et des clonies du membre supérieur gauche. Le traitement est adapté avec une adjonction de Lacosamide et de Clonazépam au Lévétiracétam. La surveillance neurologique se révèle favorable par la suite avec une absence de nouvel épisode aigu de troubles sensitivo-moteurs et permet une diminution du Clonazépam. L'électroencéphalogramme de contrôle sera réalisé le 24.01.2019. Le projet initial de traitement palliatif est maintenu avec une IRM de planification de radiothérapie et un rendez-vous en oncologie par la suite. Mr. Y, 50 ans, connu pour une SEP récurrente-intermittente depuis plus de 10 ans, a été hospitalisé le 31.12.2018 pour une poussée de sclérose en plaques qui a progressé sous stéroïde. Il a été admis le 09.01.2019 aux soins intensifs en vue de plasmaphérèses. Il a consulté les urgences le 31.12.2018 en raison d'une hypoesthésie touchant d'abord les mains, puis les pieds et finalement le visage en zones péri-orale et enorale. Il se plaint également de ne plus pouvoir marcher sans déambulateur. Au status initial, la force musculaire est asymétrique au niveau des membres inférieurs, à M4 à droite et M5 à gauche. Les réflexes ostéo-tendineux sont diminués au niveau patellaire à gauche et +2 globalement. L'IRM cérébrale du 04.01.2019 a confirmé l'apparition de multiples lésions dans la substance blanche évoquant de nouvelles lésions démyélinisantes sur poussée de SEP. Une leucoencéphalopathie multifocale progressive est moins probable. Le traitement initial de Solumedrol intraveineux 500 mg par jour pour 5 jours depuis le 02.01.2019 a eu une réponse initiale favorable, avec une diminution des dysesthésies et du ralentissement psychomoteur. Cependant, le patient a présenté le 05.01.201 une dysarthrie le rendant presque incompréhensible, bien que l'IRM cérébrale du 07.01.2019 ait montré des lésions cérébrales stables. Une nouvelle aggravation a été observée le 09.01.2019 avec une ptose labiale nouvelle à droite, une dysphagie nouvelle ainsi qu'une diminution des capacités respiratoires objectivées à la spirométrie. Le patient a été transféré le 09.01.2019 aux soins intensifs pour un traitement de plasmaphérèse. Il a bénéficié d'une séance quotidienne pendant 3 jours avec nette amélioration neurologique, régression des hypoesthésies de l'avant-bras aux phalanges distales, une force M5 aux 4 membres symétrique et une amélioration des capacités vitales forcées. Il persiste toutefois une ataxie à la marche à petits pas avec élargissement du polygone, un Babinski positif à droite en plus d'une dysphagie et d'une dysarthrie modérées avec une parésie de la commissure labiale gauche. Il est prévu de poursuivre les séances de plasmaphérèse les 14.01.2019 le matin et 15.01.2019 aux soins intensifs avant d'introduire un traitement de Rituximab et de sevrer progressivement les corticoïdes. Nous préconisons de suivre la crase avec dosage du fibrinogène après les séances de plasmaphérèse. Le seuil de fibrinogène est fixé à 1.3 g/L, sous lequel des plasmas frais devraient être transfusés. Une anticoagulation prophylactique d'enoxaparine sera reprise dès le 12.01.2019 selon les tests de coagulation. Un bilan complémentaire d'anémie devra être envisagé. Le patient présente en outre une exaspération de sa situation actuelle avec une humeur dépressive, qui mériterait un soutien psychologique à distance. Pour l'heure, il ne souhaite pas de soutien moral par un psychothérapeute. Mr. Y, un patient de 42 ans, se présente aux urgences le 23.01.2019 pour des douleurs abdominales en colique associées à un état fébrile à 40°C, des frissons, un épisode de vomissement le soir et plus de 10 épisodes de selles liquides sans sang durant la nuit. Aucune notion de contage, de voyage ou de prise d'antibiotique n'a été identifiée.Aux urgences, un syndrome inflammatoire élevé avec déviation gauche est observé. Le CT abdominal montre une colite transverse et ascendante sans complications. Après avis infectiologique, un traitement par Rocéphine et Flagyl est initié, relayé par de la Ciprofloxacine dès le 24.01.2019 au soir. La PCR revient positive pour un Campylobacter pour lequel un traitement de Klacid à raison de deux doses est introduit sur avis du Dr. X. L'évolution est rapidement favorable avec une normalisation du transit permettant un retour au domicile le 26.01.2019. À noter une déshydratation légère associée à des troubles électrolytiques dans le contexte des diarrhées que nous substituons. Mr. Y présente donc une insuffisance des fessiers pour laquelle je prescris de la physiothérapie dans le but de tonifier les abducteurs de hanche. Prochain contrôle dans 3 mois. Mr. Y est hospitalisé en électif pour une pose de pacemaker, dans un contexte d'insuffisance chronotrope sévère symptomatique sur probable maladie du sinus. La pose du pacemaker se déroule sans complication, il fonctionne de manière satisfaisante au contrôle immédiat. À la radiographie thoracique de contrôle, on ne retrouve pas de pneumothorax. La médication habituelle est reprise sans modification. Un contrôle de la plaie est organisé à J10 chez le médecin traitant et le contrôle du pacemaker aura lieu dans 4-6 semaines chez le cardiologue traitant. Mr. Y va demander un 2ème avis auprès du Dr. X, je vais transmettre via mon secrétariat le dossier médical. Je trouve que la situation s'est nettement améliorée cliniquement et anamnestiquement. Je pense qu'on peut actuellement augmenter la charge et renforcer l'épaule au-delà de l'horizontal, toujours en travaillant sur le centrage de la tête. Je revois le patient dans 2 mois. Macro-adénome hypophysaire (DD : métastase) Macrocytose le 10.01.2019 Macrogol 1-2s/j Macro-hématurie Macrohématurie Macrohématurie. Macrohématurie. Macrohématurie. Macrohématurie. Macrohématurie. Macrohématurie +/- associée à des métrorragies • DD : fistule urétro-vaginale sur bandelette 10.01.2019. Macrohématurie avec caillots le 25.12.2018 avec : • status post-résection transurétrale de la prostate pour hyperplasie prostatique en 2015 • macrohématurie postopératoire depuis 2015 Macrohématurie avec caillots le 25.12.2018 avec • status post résection transurétrale de la prostate pour hyperplasie prostatique en 2015 • macrohématurie postopératoire depuis 2015 Infection des tissus mous Dig V main G sur status post plaie superficielle face palmaire zone I le 29.08.2018 Cure hernie inguinale à D en 2016, à G en 2011 Plaie à hauteur de l'IPD dig II main G en 2012 Ablation de 2 polypes adénomateux du côlon en 2009 Macrohématurie chez patiente sous Xarelto, avec colonisation à Enterococcus faecalis et E. Coli le 19.02.2018 Pyélonéphrite gauche le 22.09.2017 Pyélonéphrite gauche le 27.06.2018 • contexte de Bricker depuis 2014 • translocation bactérienne à E. Coli Thrombose veine mésentérique inférieur le 06.10.2017 Multiples opérations intra-abdominales avec : • nombreuses opérations abdominales pour malformation digestive dans l'enfance • hystérectomie vaginale totale pour hyperménorrhée en janvier 2005 • adhésiolyse pour iléus en 2009 • laparoscopie exploratrice, adhésiolyse intestinale et annexectomie bilatérale en août 2013 • résection anastomose d'une sténose de l'uretère gauche en octobre 2013 • cystectomie avec dérivation selon Bricker pour vessie atone le 14.11.2014 (Dr. X, Dr. X) • cure de hernie cicatricielle par laparotomie le 04.05.2015 • cure de hernie hiatale Tentamen médicamenteux avec hospitalisation à Marsens le 28.09.2016 • syndrome sérotoninergique incomplet (absence d'hyperthermie) sur intoxication au SSRI le 28.09.2016 Brûlure des paumes des deux mains le 14.07.2015 Opération des cordes vocales pour œdème de Quincke (?) en 2001 et 2009, avec dysphonie séquellaire Opérations pour épicondylite aux membres supérieurs en 1995 et 2003 Accouchement par voie basse en 1993 Syndrome de QT long (QTc 505 ms) le 29.05.2018 DD : médicamenteux (Escitalopram), troubles électrolytiques Candidose œsophagienne en 06.2018 Brûlures aux 1er et 2e degrés, superficie de 10% du corps (cuisses ddc non circonférentiel, abdomen G) le 26.06.2018 Fracture extra-articulaire du radius distal le 04.09.2018 Douleur abdominale chronique avec ballonnement important le 20.10.2018 • hernie de paroi cicatricielle en fosse iliaque gauche • abdomen cicatriciel • péjoration dans le contexte de pancréatite aiguë sur chronique Ulcères gastriques le 20.06.2018 avec : • 2 ulcères bulbaires sans vaisseau visible ni signe de saignement • 1 érosion du fundus gastrique du côté de la grande courbure Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 le 29.05.2018 sur syndrome hépato-rénal IRA AKIN 2 le 22.10.2018 DD : sur produit de contraste du CT du 20.10.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 le 19.11.2018 • origine pré-rénale avec FeUrée 9.8% Décompensation cirrotique le 19.11.2018 • Cirrhose hépatique CHILD B dans un contexte d'éthylisme chronique • Encéphalopathie hépatique grade II Hyponatrémie à 126 mM le 19.11.2018 Hyponatrémie à 108 mmol/l hypo-osmolaire hypovolémique d'origine mixte le 29.05.2018 avec : • pertes extrarénales (néo-vessie), SIADH médicamenteux, diurétiques, dénutrition Anémie normochrome normocytaire hyporégénérative chronique diagnostiquée le 22.10.2018 Macrohématurie chronique asymptomatique d'origine non investiguée Macrohématurie DD sur anticoagulation thérapeutique avec : • échec de pose de sonde 3 voies Macrohématurie DD sur hypertrophie de la prostate Macrohématurie du 12.01.2019 au 16.01.2019 (reprise du Xarelto le 12.01.2019). Macrohématurie isolée. Macrohématurie post-traumatique (mobilisation sonde vésicale dans le contexte d'agitation psychomotrice), le 23.01.2019 Macrohématurie probablement sur hypertrophie de la prostate Macrohématurie probablement traumatique sur pose de la sonde urinaire le 21.12.18 avec : • Hb 22.12.18 : 86 g/l Macrohématurie récidivante dans le contexte de Bricker le 29.05.2018 Hépatomégalie stéatosique multi-nodulaire avec signes de décompensation cirrhotique (hypertension portale, ascite) • Child B (9 pts le 07.06.2018), Child B (7 points le 26.11.2018) • OGD le 20.06.2018 : pas de varice œsophagienne • Consultation gastroentérologique chez le Dr. X le 27.06.2018 à 9h45 • Insuffisance hépato-cellulaire sur hépatite alcoolique le 29.05.2018 avec : Trouble de la crase - Syndrome hépato-rénal • Encéphalopathie hépatique grade II - Ammoniémie 88 umol/l, Facteur V 49% - Score MELD 22, Maddrey 47.6 pts (20.8 pts à J2) • sérologies HAV, HBV, HCV, HIV négatives - DOT hépatites auto-immunes négatif Pancréatite chronique d'origine éthylique probable • pancréatite aiguë d'origine éthylique les 04.10.2017, 22.02.2018 et 20.10.2018 • pancréatite aiguë Balthazar A le 29.05.2018 avec : pseudokystes pancréatiques nouveaux (IRM du 27.02.2018 : pas de pseudokystes pancréatiques) - IRM abdominale le 06.06.2018 : pseudokyste pancréatique • pancréatite aiguë en novembre 2018 F10.2 Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool • Syndrome de dépendance F33.4 Trouble dépressif récurrent F60.3 Personnalité émotionnellement labile • idéations suicidaires scénarisées avec hospitalisation à Marsens en 2014 et 2016 • suivi par Dr. X, Mr. Y (infirmier) au Centre d'addictologie FribourgTrouble de l'équilibre et de la marche d'origine multifactorielle : • OH chronique • malnutrition • polyneuropathie Macrohématurie sur changement de sonde double J Macrohématurie sur cystoprostatite subaiguë en mars 2015 TURP 2005 Status post-cure d'hernies inguinales bilatérales en 1992 (Espagne) Status post-appendicectomie dans l'enfance Ancien tabagisme (pipe) Macrohématurie sur volumineux hématome intravésical : • status post-résection transurétrale secondaire de la vessie le 16.01.2019 par le Dr. X pour un carcinome urothélial papillaire de haut grade pT1 G3, • patient sous anti-agrégation par Aspirine Cardio et Clexane • sonde urinaire provisoire. Macrosomie fœtale Macrourie d'origine inconnue • Pas de médicaments antiagrégants ou anticoagulants Mme. Y est porteuse d'un défibrillateur pour une cardiomyopathie de non-compaction avec dysfonction systolique sévère. Elle est également connue pour un diabète de type 2, une hypertension artérielle, une obésité et une BPCO non datée. La patiente a été hospitalisée dans le service de médecine interne de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal du 03.12 au 13.12.2018 pour une insuffisance respiratoire globale aiguë sur œdème aigu des poumons. Mme. Y se présente aux urgences le 26.12.2018 en raison d'une sensation de serrement rétrosternal ainsi qu'une dyspnée. À l'anamnèse, la patiente décrit une anurie depuis plusieurs heures. Pas de notion d'état fébrile mais toux sèche depuis 2 jours. À noter qu'un changement du pacemaker est prévu pour le 03.01.2019. À l'examen clinique d'entrée, l'auscultation pulmonaire révèle des râles crépitants bi-basaux. Présence également d'œdèmes des membres inférieurs prenant le godet. La radiographie du thorax montre des signes de surcharge et l'ECG montre des sus-décalages respectivement de 1 mm et de 2 mm en III et aVF. Deux trains de troponines sont dosés, ne montrant pas de mouvement enzymatique important. Le reste du bilan biologique met en évidence une insuffisance rénale avec une créatinine à 131 umol/l. Le sédiment urinaire est normal. La patiente est hospitalisée, sous traitement diurétique, pour une décompensation cardiaque. Au vu d'une évolution clinique favorable, son traitement diurétique habituel est repris le 29.12.2018, avec majoration du Torasémide à 50 mg/jour. Dans la nuit du 01 au 02.01.2019, elle présente des douleurs thoraciques typiques. Un nouvel ECG se révèle superposable à celui du 26.12.2018. Au vu des facteurs de risque cardio-vasculaire, un bilan avec troponines est demandé, ne montrant pas d'augmentation de la cinétique avec des troponines à 17, 18 puis 18 ng/l à H0, H1 et H3 respectivement. Par la suite, la patiente demeure afébrile et hémodynamiquement stable et nous notons une diminution progressive des œdèmes des membres inférieurs. Dans l'attente de son intervention, le traitement de Xarelto, Januvia et Ryzodeg est mis en suspens. Le 03.01.2019, Mme. Y est transférée à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour bénéficier du changement de son défibrillateur. Elle ne présente plus d'œdème des membres inférieurs ni de symptomatologie cardio-vasculaire. L'intervention se déroule sans complication et la patiente est réadmise dans notre service le 04.01.2019. En réévaluant cliniquement la patiente, nous ne constatons pas de signe de décompensation cardiaque. Selon son désir, Mme. Y quitte notre service le 04.01.2019. Nous reprenons son traitement antidiabétique habituel à la sortie. Mme. Y, 68 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour un sepsis à Bacteroides fragilis sur récidive d'abcès de la loge de cholécystectomie le 24.01.2019. Elle est connue pour une mastocytose et un statut post-cholécystectomie en 2017. Le 23.01.2019, elle est adressée aux urgences par son médecin traitant pour des douleurs abdominales épigastriques et dans l'hypochondre droit évoluant depuis 48h, accompagné d'un état fébrile, de vomissements et de diarrhées. Le laboratoire initial révèle un syndrome inflammatoire important avec un scanner abdominal qui retrouve une collection dans la loge de la cholécystectomie, comprimant les voies biliaires hépatiques. La patiente est donc hospitalisée, mise sous antibiothérapie par Tazobac i.v. et un drainage sous contrôle scannographique est réalisé le 24.01.19. L'évolution se complique d'un sepsis avec tachycardie et hypotension artérielle nécessitant une hospitalisation aux soins intensifs. Une antibiothérapie par Imipenem et Cubicine est débutée après avis infectiologique. Une bouteille d'hémocultures se positive pour Bacteroides fragilis et l'antibiogramme reste à pister. Cliniquement, la patiente ne présente pas de complications en post-pose du drain qui ramène du liquide purulent. L'hémoglobine reste également stable. Une dysélectrolytémie est substituée et les électrolytes restent à suivre. Le sédiment urinaire montre une infection urinaire sans clinique parlant en faveur d'infection urinaire. La bactériologie montre une croissance significative pour K. Pneumonie multisensible. La patiente est couverte déjà par une antibiothérapie à large spectre pour son sepsis. Notons deux épisodes de diarrhées et nous vous laissons le soin de pister les résultats pour Clostridium difficile. La fonction rénale reste à surveiller en vue d'une insuffisance aiguë dans le contexte septique. Nous vous laissons également le soin de reprendre son anticoagulation dès la sortie de l'état septique. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente peut être transférée en chirurgie pour la suite de la prise en charge. Mme. Y est une patiente de 23 ans, qui se présente en raison de douleurs en loge rénale irradiant en fosse iliaque gauche avec nausées et vomissements. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire important avec une CRP à 306, leucocytose à 13.1 ainsi qu'une insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 121 umol/l. Le CT-scan met en évidence une lithiase mesurant 3 x 2 x 2 mm à la jonction urétéro-vésicale gauche associée à une dilatation urétérale et pyélo-calicielle (pyélon mesuré à 12 mm). Nous retenons une pyélonéphrite obstructive et hospitalisons la patiente avec un traitement par antibiotique intraveineux et une hydratation intraveineuse. Une sonde double J est mise en place le 25.01.2019. L'évolution clinique et biologique est ensuite favorable avec l'absence d'état fébrile, une diminution des paramètres inflammatoires, une normalisation de la créatinine et des douleurs contrôlées. Dans ce contexte, Mme. Y rentre à domicile le 28.01.2019. Un rendez-vous de contrôle est prévu dans 10 jours à la consultation du Dr. X. Mme. Y est une patiente de 71 ans, aux antécédents susmentionnés, qui nous est transférée le 22.12.2018 depuis Tavel avec une symptomatologie d'iléus. Un CT thoraco-abdominal confirme le diagnostic d'un iléus du grêle mécanique. Une antibiothérapie empirique par Rocéphine et Metronidazole intraveineuse est mise en place et la patiente bénéficie le jour même d'une laparotomie avec adhésiolyse et résection segmentaire du grêle. L'intervention se déroule sans complication notable et la patiente est transférée aux soins intensifs pour une surveillance de 48h. Une nutrition parentérale est introduite le 25.12.2018, suite à laquelle la patiente développe un syndrome de renutrition. Une substitution intraveineuse des électrolytes est entreprise aux soins intensifs avec une bonne correction par la suite puis retransfert à l'étage le 27.12.2018. L'évolution est par la suite marquée par une reprise transitoire du transit intestinal entre le 27 et le 30 puis une récidive d'iléus, traité de manière conservatoire. Au vu de douleurs abdominales et des paramètres inflammatoires en augmentation, un CT-scan est répété le 01.01.19 montrant une collection liquidienne en regard de la cicatrice de laparotomie ainsi que du liquide libre autour des anses jéjunales. Une relaparotomie exploratrice est réalisée le 02.01.19 avec mise en évidence d'une éviscération avec accumulation de liquide sous la cicatrice. Un lavage avec mise en place d'un laparostome est effectué. L'évolution est ensuite favorable avec des changements itératifs de laparostome, de VAC sous-cutané avec une fermeture cutanée le 21.01.2019.Sur le plan respiratoire, une pneumonie d'aspiration est décelée au CT du 22.12.2018, couverte par l'antibiothérapie. Le CT-scan du 01.01.19 met également en évidence un volumineux épanchement pleural gauche qui est drainé le 02.01.19 avec mise en place d'un drain thoracique Monaldi, qui peut être retiré le 05.01.2018. En vue de l'évolution clinique favorable, la patiente peut retourner à domicile le 24.01.2019. La patiente sera revue pour contrôle à la consultation des Chefs de cliniques le 29.01.2019. Des soins à domicile sont organisés pour les soins de plaie. Mme. Y, patiente de 65 ans, connue pour hypertension artérielle traitée, est hospitalisée en raison d'une labilité tensionnelle ainsi qu'une situation sociale complexe avec sentiment d'insécurité à domicile. Elle présente une tension oscillant entre 130-170 mmHg de systole sans symptôme actuellement. La patiente, requérante d'asile et suivie par l'ORS, ne parle qu'arabe levantin et est très anxieuse. Elle est suivie par le Dr. X au centre psychosomatique à Fribourg et vit seule à domicile dans un studio. La patiente décrit des douleurs diffuses dans les 4 membres, ainsi que des brûlures occasionnelles à la miction sans autre symptôme. Le statut d'entrée, notamment neurologique, est sans particularité. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, la TSH est dans la norme. Deux sédiments urinaires ne montrent pas d'infection urinaire. Sur le plan psychiatrique, nous contactons le Dr. X qui suit la patiente depuis un certain temps. Au vu des résultats rassurants des examens, une origine psychosomatique est suspectée par le Dr. X et la fluoxétine et l'olanzapine sont reprises durant l'hospitalisation. Un suivi au centre psychosomatique est déjà organisé. Sur le plan social, un contact est pris avec l'infirmier ORS afin de définir l'encadrement de la patiente qui désire un contrôle de santé et une aide au ménage. Les infirmiers ORS effectueront un contrôle de santé 1x/semaine avec contrôle de la prise des médicaments et la demande au canton pour l'aide au ménage est actuellement encore en cours. Durant le séjour, la patiente décrit plusieurs plaintes, telles que vertiges, douleurs des membres ou otalgies. L'examen clinique reste en tout temps rassurant et le profil tensionnel est stable avec des systoles variant entre 100-140 mmHg, ne motivant pas de changement du traitement antihypertenseur. Mme. Y peut rentrer à domicile le 10.01.2019 avec visite des infirmiers de l'ORS le 11.01.2019. Mme. Y est une patiente de 39 ans qui bénéficie d'une parathyroïdectomie gauche dans le cadre du diagnostic susmentionné. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont simples et la patiente peut retourner à domicile le 11.01.2019. Une substitution par calcium et vitamine D est débutée le 11.01.2019. Mme. Y est une patiente de 54 ans, aux antécédents susmentionnés, qui est hospitalisée dans notre service pour prise en charge chirurgicale d'une maladie de la jonction pyélo-urétérale bilatérale avec hypotonie vésicale connue. Elle bénéficie d'un changement de sondes doubles J bilatérales le 11.01.2019, qui se déroule sans complication notable. La patiente peut rentrer à domicile le 11.01.2019. Mme. Y est une patiente hospitalisée dans un contexte d'hématochézies récidivantes avec anémie importante chez une patiente dialysée pour insuffisance rénale terminale. En effet, elle a déjà été hospitalisée à plusieurs reprises pour le même problème. Des investigations endoscopiques ne sont jamais revenues concluantes. Nous effectuons une transfusion de concentré érythrocytaire aux urgences et introduisons un traitement d'IPP intraveineux. Une première colonoscopie ne montre pas de source de saignement, sous réserve d'une préparation sous-optimale. La deuxième colonoscopie ne montre pas de source de saignement. Les valeurs d'hémoglobine restant stables, Mme. Y peut rentrer au home de la Sarine le 05.01.2019. En accord avec son néphrologue traitant, nous décidons de ne pas reprendre le Sintrom au vu des hémorragies répétitives. Mme. Y est admise pour un choc septique sur pneumonie bibasale. Mme. Y, 28 ans, connue pour une maladie de Steinert sans limitation dans la vie quotidienne, présente depuis 5 jours une baisse d'état général, avec asthénie, dyspnée et douleurs abdominales basses pour lesquelles la patiente consulte les urgences à multiples reprises ces derniers jours. Elle consulte son médecin traitant qui demande un CT thoraco-abdominal montrant une pneumonie bilatérale ainsi qu'un iléus paralytique radiologique. Il l'adresse aux urgences pour une suite de prise en charge. Aux urgences, la patiente présente une insuffisance respiratoire hypoxémique, une tachycardie et une hypotension artérielle, résolutive après le remplissage. Après les prélèvements microbiologiques, un traitement par Tavanic est débuté et la patiente est transférée aux soins intensifs. Le choc septique avec insuffisance respiratoire hypoxémique évolue favorablement. Les besoins en oxygène diminuent progressivement et les tensions se normalisent après hydratation intraveineuse. L'antibiothérapie par Tavanic est à poursuivre pour une durée totale de 7 jours. Une insuffisance rénale aigue, d'origine prérénale, évolue favorablement après remplissage liquidien. Les douleurs abdominales, probablement sur kyste endométriosique de l'ovaire droit, sont traitées par antalgie. La patiente est connue du service de gynécologie de l'hôpital pour ce problème. Un avis gynécologique est à demander afin de discuter la suite de la prise en charge. La patiente ayant un transit conservé, nous ne retenons pas de diagnostic d'iléus visualisé au CT. À la sortie des soins intensifs vers l'étage de la médecine, la patiente est stable sur le plan respiratoire sous 36% de FiO2, légèrement tachycarde à 110 par minute, statut neurologique dans la norme. Mme. Y est une patiente de 36 ans qui bénéficie d'une résection trans-anale sous AG d'un GIST de la paroi rectale antérieure le 09.01.2019. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont favorables et après reprise d'un transit, la patiente peut retourner à domicile le 11.01.2019. Mme. Y est une patiente de 80 ans, qui est admise aux soins intensifs le 19.12.2018 pour un syndrome coronarien aigu secondaire à une re-sténose subtotale de l'artère coronaire droite. Elle bénéficie alors d'une coronarographie avec angioplastie avec ballon. L'intervention se déroule sans complication et une anti-agrégation par Efient est reprise. Après l'intervention, la patiente se plaint de douleurs abdominales intenses, un CT-scan abdominal est alors effectué et met en évidence du liquide libre de densité élevée pouvant correspondre à un hémopéritoine. La patiente est alors prise au bloc opératoire pour une laparoscopie exploratrice qui retrouve un iléus sur bride au niveau de l'intestin grêle avec nécrose intestinale. Nous convertissons alors la laparoscopie en laparotomie et effectuons une résection segmentaire de l'intestin grêle. L'intervention se déroule sans complication, les suites opératoires sont favorables et la patiente peut retourner à domicile le 29.12.2018.Mme. Y, âgée de 72 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique dans un contexte de déconditionnement physique suite à une hospitalisation pour une diverticulite sigmoïdienne avec abcès péri-sigmoïdien. Sur le plan social, la patiente vit avec son époux à domicile. Elle est autonome pour toutes les activités de la vie quotidienne. À l'admission, la patiente se plaint d'une faiblesse généralisée et d'un manque de force musculaire. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Elle n'a aucune douleur, sans prise d'antalgie. À l'anamnèse par systèmes, la patiente signale un transit conservé, un appétit stable, pas de dyspnée ou de douleurs thoraciques. Au status, la patiente est orientée et collaborante. À l'auscultation cardiaque, B1-B2 bien frappés avec un souffle holosystolique à 4/6, p.m. au foyer d'Erb. L'abdomen est souple et indolore, sans signe de défense ou de détente avec des bruits hydroaériques normaux en fréquence et en tonalité. L'auscultation pulmonaire est sans particularité. Durant son séjour, la patiente signale des douleurs au genou droit qui sont connues mais péjorées par la reprise de la mobilisation. Une radiographie du genou D révèle des signes importants de gonarthrose tricompartimentale avec une prédominance fémoro-patellaire. Avec l'adaptation de la prise en charge en physiothérapie (mobilisation de la rotule et étirements musculaires des chaînes antérieures), la situation est améliorée. Une nouvelle consultation orthopédique paraît indiquée à distance de l'hospitalisation actuelle. Le traitement antihypertenseur a été majoré d'un anticalcique à l'HFR Fribourg et les pressions artérielles restent dans les normes durant son hospitalisation dans notre service avec cette médication. Le traitement diurétique est également passé d'une posologie de Torasémide de 3x/semaine à 1x/jour, sans péjoration de la fonction rénale. Nous vous laissons le soin de réévaluer ces 2 traitements par la suite selon le profil tensionnel et selon l'évolution des œdèmes des membres inférieurs. Sur le plan nutritionnel, la patiente suivait un régime normal aux soins aigus et nous ne procédons à aucune modification. Absence de signe de malnutrition. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche sans moyen auxiliaire. En ce qui concerne le genou D, nous effectuons une mobilisation douce de la patella D, mobilisation douce en flexion et extension du genou D, étirements du quadriceps en décubitus latéral et en position assise en bord de table. Les amplitudes articulaires du genou montrent une flexion/extension en passif de 80-10-0. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 20.01.2019, en bon état général. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire pour maintenir les acquis et soulager les douleurs liées à la gonarthrose. Nous lui conseillons de repousser les séances de drainage lymphatique qu'elle avait l'habitude de suivre. Mme. Y est une patiente de 72 ans qui se présente aux urgences le 21.12.2018 pour des douleurs abdominales en fosse iliaque gauche depuis 2 semaines avec arrêt du transit récent. Un CT scan abdominal met en évidence une diverticulite sigmoïdienne Hansen Stock IIb avec un abcès péri-sigmoïdien, une antibiothérapie intraveineuse par Ciproxine et Metronidazole est alors débutée et la patiente bénéficie d'un drainage CT guidé le 22.12.2018. L'évolution est par la suite favorable tant sur le plan clinique que biologique. Un CT scan abdominal de contrôle le 31.12.2018 montre une régression complète de l'abcès, raison pour laquelle le Pigtail est retiré. Au vu de tensions artérielles élevées malgré un triple traitement, nous ajoutons l'Amlodipine à la thérapie antihypertensive avec un bon effet. Nous laissons le soin au Médecin traitant d'adapter encore ce traitement en fonction du profil tensionnel. Au vu d'œdèmes des membres inférieurs, nous majorons le traitement par Torasémide à 5mg/jour (5mg 3x/semaine à domicile). Nous laissons le soin au Médecin traitant de l'adapter en fonction de la clinique. Au vu de la bonne évolution clinique sur le plan infectieux, mais en raison d'une fatigabilité importante avec un déconditionnement, Mme. Y est reclassée le 04.01.2019 en attente d'une place à l'Hôpital de Billens pour reconditionnement et suite de prise en charge. Mme. Y est hospitalisée dans un contexte d'état confusionnel. Lors des investigations, nous suspectons une infection urinaire basse au vu du prélèvement urinaire. Nous instaurons un traitement de nitrofurantoïne. Cependant, lors de l'hospitalisation, la patiente présente une désaturation avec un état subfébrile. Un bilan biologique et radiologique laisse suspecter une pneumonie. Nous changeons l'antibiotique pour de la Ceftriaxone puis Co-amoxicilline pour une durée totale de 7 jours. Nous profitons de l'hospitalisation afin de réévaluer le contexte social de la patiente. Après discussion avec son fils chez qui elle vit, la situation à domicile est complexe. En effet, elle est totalement dépendante pour toutes les activités de la vie quotidienne. Dans ce contexte, après 2 colloques de familles, il est convenu d'un placement en EMS. Des demandes sont faites en ce sens. Dans l'intervalle, la patiente est reclassée. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y est une patiente de 89 ans, qui a présenté une cholécystite aiguë lithiasique en nombre en 2018, traitée conservativement par antibiothérapie. La patiente est actuellement hospitalisée afin de bénéficier d'une cholécystectomie élective. L'évolution post-opératoire est favorable permettant un retour à domicile le 10.01.2019. Un rendez-vous de contrôle post-opératoire à la consultation du Dr. X est prévu le 18.02.2019 à 13h00. Mme. Y est une patiente de 66 ans qui est amenée aux urgences de Riaz le 10.01.2019 en ambulance des suites d'un accident de la voie publique à 70 km/h. L'anamnèse et l'examen clinique sont rassurants et sans particularité. Sur avis du Dr. X, de médecine interne, nous réalisons une radiographie de la colonne cervicale qui n'objective pas de signe de fracture nous permettant de retirer la minerve. Suite à cela, la patiente reste asymptomatique. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile avec une antalgie simple par Dafalgan sans ordonnance car elle en a chez elle. Nous lui conseillons de se reposer les prochains jours et lui expliquons que des douleurs musculaires peuvent survenir par la suite. Nous lui donnons une copie du rapport d'accident réalisé ce jour qu'elle devra envoyer à son assurance par la suite. Nous expliquons à la patiente la nécessité de reconsulter en cas de péjoration de son état clinique. Mme. Y est une patiente de 27 ans, connue pour suspicion de syndrome de Widal, qui est hospitalisée pour surveillance post-OGD. Elle présente des épigastralgies chroniques avec amélioration transitoire sous IPP à haute dose mais récidivantes sous dose standard, majorées en raison d'un stress psychique important. Une OGD est agendée en électif pour investigation.A l'OGD, une sténose entre le bulbe duodénal et le deuxième duodénum est mise en évidence avec petit ulcère entre D1 et D2 sur situation peptique. En raison d'un fort saignement au passage de l'endoscope, un clip duodénal est mis en place. Un IPP en intraveineux continu pour 24h puis intermittent à haute dose pour 6 semaines est préconisé. Par la suite, une dose standard à 40 mg/j est à poursuivre au long terme. La surveillance clinicobiologique à l'étage se passe sans complications, ni récidive de saignement. Mme. Y rentre à domicile le 08.12.2018. Mme. Y est une patiente de 32 ans, en bonne santé habituelle, qui consulte initialement le 22.12.2018 en raison de douleurs abdominales épigastriques 10/10 sans facteur déclenchant, associées à des vomissements à plusieurs reprises. Le laboratoire initial démontre une augmentation de la CRP sans leucocytose et un CT-scan met en évidence une appendicite débutante. Aux urgences, une prise en charge conservatrice est optée, avec un contrôle dans 48 heures. Le 24.12.2018, la patiente se représente au contrôle avec des douleurs abdominales persistantes, localisées au bas ventre, accompagnées de nausées et d'une inappétence, sans état fébrile. Au laboratoire, nous retrouvons un syndrome inflammatoire important et au CT scan abdominal, une appendicite perforée. La patiente est donc prise en urgence au bloc opératoire pour une appendicectomie laparoscopique, convertie en laparotomie en raison d'une quantité importante de pus et de collections. L'intervention se déroule sans complication et les suites sont simples avec une patiente qui reste afébrile. A noter également, une perturbation de la crase avec une diminution du temps de prothrombine au laboratoire sanguin avec une amélioration au contrôle biologique. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente peut rentrer à domicile le 30.12.2018. La patiente sera convoquée avant la fin de son traitement antibiotique à la consultation des chefs de clinique de chirurgie générale. L'histologie sera rajoutée en annexes dès réception. Mme. Y, connue pour un reflux gastro-oesophagien, consulte les urgences le 01.01.2019 en raison d'épigastralgies avec nausées et vomissements durant la nuit. Dernière selle normale le matin de l'admission. Pas de notion d'état fébrile. A noter que la patiente a bénéficié d'un traitement par co-amoxicilline du 26.10 à 02.11.2018 pour une angine à streptocoques, ainsi que par Irfen 400 mg en réserve en cas de douleurs et Pantozol 40 mg pendant la durée du traitement antibiotique. A l'admission aux urgences, la patiente est en état général diminué. Elle est afébrile à 36,5°C, normocarde à 83/min, tachypnéique à 32/min, hypertendue à 150/89 mmHg et sature à 99% à l'air ambiant. Au status digestif, la palpation de l'épigastre est douloureuse, sans défense ni détente. Signe de Murphy négatif. Le laboratoire met en évidence un léger syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 10,2 G/l et une CRP à 9 mg/l ainsi qu'une perturbation importante des tests hépatiques avec ASAT à 927 U/l, ALAT à 607 U/l, LDH à 1551 U/l, PA à 176 U/l, GGT à 304 U/l, bilirubine totale à 29,9 mcmol/l et directe à 24,3 mcmol/l. Mme. Y est hospitalisée pour investigations. Suspectant une cholédocholithiase symptomatique et sur avis du Dr. X, chirurgien de garde, nous effectuons un CT scan abdominal qui met en évidence une opacité au niveau du cholédoque. Dans l'impossibilité de confirmer ou d'infirmer ce diagnostic présomptif, une cholangio-IRM est effectuée le 04.01.2019. L'examen ne met pas en évidence de calcul cholédocien ni de lésion focale du foie. A noter que suite à l'injection de produit de contraste hépato-spécifique (Primovist), la patiente évoque une légère dyspnée sans apparition de rash cutané. Le contrôle clinique en chambre n'est pas évocateur d'une réaction allergique. Durant le séjour, nous constatons une diminution progressive des perturbations hépatiques suite à la disparition de la symptomatologie douloureuse. Les tests pour les hépatites virales reviennent négatifs pour l'hépatite B et C. Par contre, les anti-HAV IgG sont positifs avec des IgM négatifs pouvant correspondre à une infection guérie (cicatrice sérologique) ou un statut post-vaccination. Initialement, suspectant une gastrite aiguë, nous effectuons une recherche de sang occulte dans les selles qui revient positif. Nous vous proposons de recontrôler cette valeur à distance de l'hospitalisation. Nous retenons comme diagnostic un probable passage de calcul provoquant une hépatite aiguë en cours de résolution. Concernant le traitement à la sortie, le traitement d'Amlodipine, pouvant aggraver la perturbation des tests hépatiques, est laissé en suspens au vu d'une tension artérielle stable aux limites supérieures de la norme. Nous vous prions de bien vouloir réévaluer l'indication d'un traitement complémentaire. L'évolution clinique et biologique est favorable et Mme. Y peut regagner son domicile le 04.01.2019. Mme. Y est une patiente de 62 ans, connue pour les diagnostics susmentionnés, qui consulte les urgences de l'hôpital de Fribourg le 14.01.2019 en raison de douleurs abdominales survenues brutalement en matinée sans autres symptômes. Le CT-scan abdominal du 14.01.2019 montre un statut post-résection d'un GIST grêle, sans argument radiologique pour une récidive locale ou à distance et sans argument pour un iléus ou un saignement. L'éventration sous-ombilicale est bien réductible sans signe d'incarcération. Le laboratoire sanguin se révèle sans particularité. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour une surveillance et une antalgie. Les suites sont favorables, permettant un retour à domicile le 15.01.2019. Un rendez-vous à la consultation du Dr. X est agendé au 18.01.2019 à 9h30 pour discuter d'une éventuelle cure d'éventration. Mme. Y, votre patiente de 24 ans, d'origine érythréenne, connue pour une anorexie de l'étiologie peu claire, est adressée par vos soins en raison d'une péjoration de son état général avec perte de poids associée. La patiente se plaint de lombalgie diffuse, de douleur suspubienne fluctuante, d'oligoménorrhée et de céphalée, ainsi que de douleurs mammaires bilatérales fluctuantes. L'examen clinique est sans particularité hormis une maigreur manifeste correspondant à une diminution de poids évaluée à son arrivée à 33 kg pour une taille de 155 cm (BMI estimé à 13,7 kg/m2) versus 14,6 kg/m2 le 11.12.2018. Le laboratoire est quasi dans la norme hormis une discrète hypokaliémie qui se normalise après substitution. Le sédiment urinaire est strictement normal. La patiente est hospitalisée sous PAFA au vu du BMI inférieur à 14 kg/m2 et des risques du syndrome de renutrition. Elle bénéficie d'une prise en charge nutritionnelle avec substitution des électrolytes afin d'éviter un syndrome de renutrition. La patiente présente cependant une persistance d'une hypomagnésémie, raison pour laquelle nous poursuivons la substitution en ambulatoire et vous laissons le soin de l'adaptation en fonction de son évolution clinique et biologique. Nous notons une évolution favorable avec prise de poids telle que la patiente pèse 35,300 kg à sa sortie (BMI à 14,69 kg/m2). Au niveau psychiatrique, la patiente bénéficie d'un suivi hospitalier régulier par Dr. X qui suggère l'initiation d'un traitement à base de neuroleptique au vu d'un possible trouble dissociatif. Un suivi psychiatrique en ambulatoire est organisé dès sa sortie selon les rendez-vous marqués ci-dessous. D'un point de vue gynécologique, l'oligoménorrhée dont se plaint la patiente depuis deux années, et manifestant des désirs de grossesse, est probablement secondaire à l'anorexie. Un kyste anéchogène de 30 x 27 mm d'aspect fonctionnel, douloureux au passage de la sonde, est mis en évidence sur l'ovaire gauche à l'échographie endovaginale. Nos collègues gynécologues proposent un contrôle le 04.02.2019. Le rendez-vous est remis à la patiente. Les abus sexuels ne sont pas signalés, ni observés lors de la consultation gynécologique. Le dépistage de chlamydia et de gonocoque revient négatifs.La patiente sort ce jeudi 24.01.2019 pour un retour à domicile avec poursuite de prise en charge nutritionnelle, psychiatrique, gynécologique organisée avec l'aide de l'interprète Mme. Y (076 462 76 67). Mme. Y est hospitalisée pour la pose en électif d'un pacemaker double chambre. En effet, dans un contexte d'AVC, lors des investigations, il est noté la présence de plusieurs pauses sur un bloc de haut degré au niveau de l'enregistrement ECG. Une indication à la pose d'un pacemaker est posée. L'intervention se déroule sans complications. La radiographie post-opératoire confirme la bonne tenue de l'intervention. Un rendez-vous pour réfection du pansement est agendé à 10 jours chez son médecin traitant, et un contrôle du pacemaker en cardiologie à 4-6 semaines. Mme. Y peut rentrer à domicile le 25.01.2019. Mme. Y est une patiente de 77 ans aux antécédents susmentionnés, qui nous est adressée par son médecin traitant en raison de douleurs en flanc gauche depuis quelques jours, sous traitement par Co-Amoxicilline et Flagyl depuis le 07.01.2019 pour suspicion de diverticulite. À l'examen clinique, nous objectivons une sensibilité à la palpation de l'hémi-abdomen gauche et le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 207. Le bilan radiologique met en évidence une diverticulite perforée couverte, stade IIb selon Hansen et Stock, raison pour laquelle nous instaurons une antibiothérapie empirique par Pipéracilline-Tazobactam i.v. le 10.01.2019. L'évolution clinique et biologique est favorable, permettant un arrêt de l'antibiothérapie après 14 jours. La patiente rentre à domicile le 22.01.2018. Dans ce contexte, la patiente sera convoquée en ambulatoire pour une colonoscopie et une imagerie de contrôle par IRM le 18.03.2019 à 7h45 (à jeun dès minuit). Sur le plan cardiaque, la patiente présente un épisode de tachycardie mesurée à 150/min, accompagné d'une désaturation. Nous réalisons une radiographie thoracique montrant un épanchement pleural gauche et faisons un bilan de la fonction cardiaque par ultrason transthoracique, qui montre une hypertension pulmonaire avec PAPs à 50 mmHg. Nous diagnostiquons une décompensation cardiaque globale sur surcharge hydrique et passage en FA rapide que nous traitons par bêtabloquant et diurétique, avec une bonne réponse thérapeutique. Les suites sont favorables avec une normalisation des constantes vitales. Nous recommandons à la patiente d'effectuer un contrôle cardiologique chez Dr. X dans 2 mois. Mme. Y, 21 ans, a été admise pour un syndrome de Lemierre avec des abcès péri-amygdaliens et des emboles pulmonaires septiques. La patiente a consulté les urgences en raison d'une odynophagie persistante dans le contexte d'une angine pharyngée bactérienne malgré une antibiothérapie par céfuroxime. Le bilan a mis en évidence un syndrome de Lemierre avec des abcès péri-amygdaliens, une thrombose jugulaire interne gauche et de multiples emboles septiques pulmonaires. Elle bénéficie d'une amygdalectomie bilatérale avec drainage d'un abcès rétropharyngé droit. Une antibiothérapie iv par co-amoxicilline à haute dose et corticothérapie transitoire sont initiées avec une évolution favorable. L'antibiothérapie per os devra être maintenue jusqu'au 23 février 2019. Une anticoagulation prophylactique, puis thérapeutique, est introduite pour la prise en charge de la thrombose. Suite à l'avis du Dr. X, l'anticoagulation est stoppée avant sa sortie. Du point de vue ORL, la patiente sera vue le 05.02.2019 pour un contrôle. Une insuffisance respiratoire hypoxémique sur les emboles septiques pulmonaires répond favorablement à la ventilation non invasive. Au vu d'une dyspnée et de désaturation, nous effectuons une radiographie de thorax qui montre une majoration des épanchements pleuraux. Un CT thoracique complète le bilan, montrant une stabilité des emboles septiques sans argument pour un empyème. Au vu d'un syndrome inflammatoire toujours élevé, une ponction de l'épanchement pleural est réalisée, retrouvant un exsudat à prédominance lymphocytaire. Les épanchements sont suivis par ultrasons et diminuent avec l'introduction d'une légère dose de diurétique. Au niveau électrolytique, une hypokaliémie et une hypocalcémie non symptomatiques sont substituées et suivies biologiquement. Sur le plan abdominal, la patiente rapporte des épisodes de diarrhées durant le séjour. Dans le contexte d'antibiothérapie, une recherche de Clostridium difficile s'avère négative. Les selles s'améliorent lors du séjour jusqu'à une normalisation du transit. Une anémie hypochrome normocytaire d'origine indéterminée est objectivée lors de l'hospitalisation. Un bilan carentiel négatif suggère plus probablement une origine inflammatoire. Une substitution en acide folique est débutée en raison d'un taux à la limite inférieure de la norme. Au vu du morphotype et de la pilosité de la patiente, nous suspectons un hyperandrogénisme. Nous proposons un contrôle chez son gynécologue traitant pour la suite des investigations d'un possible syndrome des ovaires polykystiques. Dans le contexte d'une bonne évolution clinique et biologique ainsi qu'un CT thoracique de contrôle en nette amélioration, Mme. Y peut rentrer à domicile le 31.01.2019. Mme. Y, 21 ans, a été admise pour un syndrome de Lemierre avec des abcès péri-amygdaliens et des emboles pulmonaires septiques. La patiente a consulté les urgences en raison d'une odynophagie persistante dans le contexte d'une angine pharyngée bactérienne malgré une antibiothérapie par céfuroxime. Le bilan a mis en évidence un syndrome de Lemierre avec des abcès péri-amygdaliens, une thrombose jugulaire interne gauche et de multiples emboles septiques pulmonaires. Elle bénéficie d'une amygdalectomie bilatérale avec drainage d'un abcès rétropharyngé droit. Une antibiothérapie par co-amoxicilline à haute dose et corticothérapie transitoire sont initiées avec une évolution favorable. Une anticoagulation prophylactique par héparine est débutée dès le 13.01.2019 avant l'augmentation à une dose thérapeutique dès le 14.01.2019. La durée totale de l'anticoagulation dépendra du suivi angiologique par ultrason des veines jugulaires. La modification de l'antibiothérapie et sa durée dépendra des résultats microbiologiques et de l'avis des infectiologues. Une insuffisance respiratoire hypoxémique sur les emboles septiques pulmonaires a répondu favorablement à la ventilation non invasive. Un scanner thoracique de contrôle est à prévoir après 2 semaines. Mme. Y est une patiente de 93 ans, qui nous est adressée par notre service de Gériatrie aiguë HFR Tavel pour la prise en charge de troubles de l'équilibre et de la marche suite à une fracture périprothétique de la hanche droite après une chute d'origine indéterminée le 04.11.2018 avec révision de prothèse totale de la hanche le 09.11.2018 ainsi qu'une collection en regard de la cicatrice opératoire le 23.11.2018. À l'entrée, la patiente se plaint de troubles de l'équilibre et d'une insécurité à la marche ainsi que de douleurs à la hanche droite. Avant son hospitalisation, la patiente habitait seule dans un appartement au 1er étage sans escaliers. Elle était partiellement autonome dans les activités quotidiennes, recevait de l'aide de son fils qui habite avec sa famille à l'étage au-dessus dans le même immeuble et se mobilisait avec un tinetebin.A l'entrée, on trouve une patiente en bon état général, afébrile et hémodynamiquement stable. Au niveau cardiaque, nous retrouvons un souffle systolique 3/6 sur tous les foyers avec le punctum maximum sur l'apex. Sur le plan clinique, nous notons un oedème postopératoire du membre inférieur droit ainsi qu'un oedème moins important de la jambe gauche. La hanche droite est sensible à la palpation. La plaie postopératoire est propre. La force est légèrement diminuée au niveau de la jambe opérée. Le reste de l'examen est dans la norme. • Ad diagnostic principal) Nous effectuons une réadaptation musculo-squelettique avec physio- et ergothérapie et adaptons l'antalgie avec un bon effet. A l'entrée, Mme. Y fait les transferts sous supervision, marche 40 m avec un rolateur et 40 m avec un tintébin sous supervision et le risque de chute est nettement augmenté. Grâce aux thérapies intensives et individuellement adaptées, des progrès au niveau de la mobilisation, de la stabilisation de la marche et de l'équilibre sont objectivés. A la sortie, la patiente peut faire des transferts d'une manière autonome et marcher environ 200 m sous supervision avec le rolateur. Le Tinetti est 15/28 avec un tintébin. • Ad diagnostic supplémentaire 1) Pendant le séjour, Mme. Y reste afébrile et stable sur le plan hémodynamique. Les symptômes locaux sont lentement régressifs après refroidissement, massage de la cicatrice et ajustement de l'antalgie. • Ad diagnostic supplémentaire 2) Nous adaptons le traitement par Torasémide. Les oedèmes régressent et Mme. Y reste stable sur le plan hémodynamique. • Ad diagnostic supplémentaire 3) Suite à une hydratation adéquate, la fonction rénale reste stable. • Ad diagnostic supplémentaire 4) Mme. Y a présenté une malnutrition légère, puis modérée. Au début de la thérapie nutritionnelle, la patiente était en mesure de couvrir ses besoins à environ 60-70 % en raison d'une perte d'appétit. Le manque d'appétit avec prise orale insuffisante s'est amélioré par la suite. Afin de mieux répondre aux besoins et de maintenir l'état nutritionnel, le régime est adapté et des suppléments nutritifs oraux sont introduits. A la sortie, selon le souhait de la famille, nous n'organisons pas de suivi diététique. • Ad diagnostic supplémentaire 5) La fissure anale a régressé lentement suite au traitement topique et à l'adaptation du traitement laxatif. Nous conseillons de poursuivre le traitement topique à la maison. En raison de la stabilité de son état général et de l'amélioration de l'autonomie et de la mobilisation durant l'hospitalisation, Mme. Y peut regagner son domicile le 23.01.2019. Des soins à domicile sont organisés 2x/j pour mettre et enlever les bas de contention ainsi que pour les contrôles de santé, l'hygiène corporelle et le semainier. Mme. Y est une patiente de 87 ans, polymorbide, qui est amenée en ambulance aux urgences le 27.11.2018 suite à un malaise, une baisse de l'état général avec présence de douleurs au niveau sous-ombilical et dysurie depuis quelques jours. La patiente est connue pour une insuffisance rénale chronique, des pyélonéphrites récidivantes depuis 2015, un status post-sepsis sévère sur infection urinaire à pseudomonas le 24.07.2018, ainsi qu'un reflux vésico-urétéral bilatéral traité par sonde double J (le dernier changement ayant été effectué en octobre 2018 par Dr. X). Elle est hospitalisée dans notre service pour une suspicion d'urosepsis à Pseudomonas qui est traité par Méropénem du 27.11.2018 au 30.11.2018, après avis des infectiologues. Un urotube revenant positif pour Klebsiella pneumoniae et Enterococcus faecalis multisensibles. Les infectiologues recommandent un relais per os par Co-Amoxicilline 2.2g intraveineux 3x/j pendant une semaine puis, selon l'évolution, un relais per os pour un total de 10 à 14 jours. A l'admission, la patiente présente également une acutisation d'une insuffisance rénale chronique stade G4 (KDIGO) d'origine probablement post-rénale (obstruction multifocale urétérale avec sonde JJ bilatérale depuis mai 2017), avec un ultrason abdominal effectué le 27.11.2018 montrant une dilatation pyélocalicielle bilatérale, avec les deux sondes JJ en place. Après avis urologique, une sonde vésicale avec rinçage est mise en place le 27.11.2018, avec aucune autre intervention immédiate. La patiente est connue pour un status post-greffe de Thiersch en 2018 du côté gauche et est suivie par Dr. X. Au vu de la bonne évolution au niveau urologique, nous décidons de prendre en charge la plaie au niveau de la jambe droite et la patiente bénéficie d'un débridement de plaie avec une greffe de Thiersch de la jambe droite le 14.12.2018. L'intervention se déroule sans complication. La plaie évolue favorablement avec une bonne prise de la greffe sur celle-ci. Le 21.12.2018, le syndrome inflammatoire se péjore sans franc foyer clinique. Devant la suspicion d'une récidive d'infection urinaire, nous effectuons un ultrason abdominal le 25.12.2018 qui montre une dilatation pyélo-calicielle stable. La patiente bénéficie d'un changement des sondes double J le 26.12.2018 et d'une antibiothérapie intraveineuse par Meronem et Fluconazole du 26.12.2018 au 30.12.2018, arrêtés en raison d'une bicytopénie (Hb et Leucocytes). Par la suite, l'évolution est favorable avec cependant une tuméfaction des grandes lèvres persistante. Un consilium gynécologique effectué en juillet 2018 n'avait pas retenu de pathologie tumorale. Nous conseillons donc la pose d'un cystofix afin de diminuer l'effet irritatif de la sonde vésicale. Celui-ci sera posé en ambulatoire. La patiente sera convoquée directement. Mme. Y présente en premier lieu une décompensation de son arthrose débutante du compartiment fémoro-tibial interne et de moindre importance du compartiment fémoro-patellaire. Je propose une infiltration par cortisone. La patiente me donne son accord. L'infiltration est programmée pour le 16 janvier 2019 à l'HFR Riaz. Je reverrai la patiente 3 semaines après l'infiltration pour un contrôle clinique. Rendez-vous après l'infiltration : le 05.02.2019. Mme. Y, une patiente de 49 ans dont les antécédents vous sont bien connus, est hospitalisée pour une iodothérapie élective le 07.01.2019 qui s'est déroulée sans complications. Concernant le PET-scan effectué le 07.01 et la scintigraphie du 10.01.2019, les deux examens révèlent la présence d'images compatibles avec des métastases pulmonaires bilatérales et ganglionnaires latéro-cervicales droites. Ces résultats seront communiqués à l'équipe d'endocrinologie qui suit la patiente. Mme. Y quitte l'hôpital le 10.01.2019, avec poursuite du suivi par l'équipe d'endocrinologie et de médecine nucléaire dont un courrier séparé vous parviendra sous peu. Mme. Y, patiente de 61 ans, est hospitalisée pour un NSTEMI sur probable persistance de dissection coronaire (CX distale) le 16.01.2019. Pour rappel, la patiente avait été adressée le 14.01.2019 des urgences de Riaz pour un syndrome coronarien aigu. Une coronarographie montrait l'image typique d'une dissection coronarienne sur l'artère circonflexe distale. Le traitement est modifié avec Aspirine 100 mg à vie, Clopidogrel 75 mg par jour pour neuf mois et Atorvastatin 40 mg/j (LDL <1,8mmol/l) et la patiente rentre à domicile. Le 16.01.2019, la patiente se présente à nouveau pour des douleurs rétro-sternales typiques et est hospitalisée aux soins intensifs pour une suspicion de NSTEMI. Une échocardiographie transthoracique montre une FEVG à 57 % et un examen superposable à celui du 14.01.2019. Sur avis de nos collègues cardiologues, une surveillance hémodynamique et des enzymes cardiaques est effectuée, et le Clopidogrel est stoppé.La patiente est transférée à l'étage après passage du pic des enzymes cardiaques et elle demeure asymptomatique. Le traitement est adapté avec introduction d'IEC et bêta-bloquant. Mme. Y peut rentrer à domicile le 18.01.2019. Mme. Y, 61 ans, est hospitalisée pour un NSTEMI sur probable persistance de dissection coronaire (CX distale). Elle est connue pour un infarctus du myocarde sur probable dissection spontanée d'une branche distale de l'artère circonflexe en 2015 et avait présenté le 14.01.2019 un syndrome coronarien aigu sur persistance de la dissection coronarienne spontanée (CX distale) avec une coronarographie blanche, une FEVG normale avec hypokinésie inférieure et un angio-CT thoraco-abdominal ne montrant pas de dissection aortique. Elle est réhospitalisée pour une récidive de ses douleurs thoraciques avec une nouvelle élévation des enzymes cardiaques. Un traitement médicamenteux avait été mis en place avec Aspirine 100 mg à vie et Clopidogrel 75 mg par jour pour une durée initiale de neuf mois. Sur avis de nos collègues de cardiologie (Dr. X), le Clopidogrel est mis en suspens. La surveillance rythmique se révèle sans particularité. Mme. Y, âgée de 85 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Riaz pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une chute mécanique avec fractures des 2 ailerons sacrés et de la branche ischio-ilio-pubienne gauche, le 01.10.2018. Sur le plan social, la patiente vit avec son époux à domicile. Elle déclare être totalement autonome avant sa chute. A l'admission, la patiente se plaint de douleurs à la mobilisation. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs au repos sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Le transit est régulier sous Movicol. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La flexion/extension de la hanche en actif est de 90-0-0 à gauche et de 100-0-0 à droite. La force aux membres inférieurs est cotée à gauche à M3 pour le quadriceps et pour le psoas, et à droite à M4 pour le quadriceps et le psoas. La sensibilité est conservée. Une pallesthésie à 2/8 est mesurée au niveau de la malléole latérale ddc. Durant son séjour, elle rapporte des douleurs au niveau de l'épaule droite. Une radiographie met en évidence une arthrose gléno-humérale marquée avec réactions ostéophytaires ainsi qu'une diminution importante de l'espace sous-acromial avec réaction ostéosclérotique sous-acromiale pour laquelle un traitement symptomatique par antalgie et physiothérapie est préconisé. Les douleurs sont en régression durant l'hospitalisation et l'antalgie peut être réduite, mais des douleurs persistent au niveau de la région lombaire avec irradiation dans la jambe gauche. Nous attribuons ces douleurs à un canal lombaire étroit qui avait été décrit à l'IRM de la colonne lombaire qu'elle avait eu le 22.11.2018. Un laboratoire de contrôle met en évidence une substitution insuffisante des hormones thyroïdiennes, raison pour laquelle son traitement par Euthyrox est majoré. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec un tintébin ou 2 cannes anglaises sur tout le périmètre de l'hôpital. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 21.12.2018, en bon état général. A la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile pour continuer d'améliorer la fonction musculaire. Les soins à domicile sont réactivés. Mme. Y est une patiente de 59 ans, qui bénéficie d'une crâniotomie avec exérèse d'un méningiome frontal gauche le 11.01.2019. L'intervention se déroule sans complication, mise à part la transfusion de 2 concentrés érythrocytaires dû au saignement per-opératoire. La patiente présente en post-opératoire immédiat une plégie isolée du membre supérieur droit et progressivement régressive. Une prophylaxie anti-épileptique par Keppra est poursuivie pour une semaine au total. Une acidose métabolique post-opératoire est attribuée à une hyperchlorémie qui se corrige par la suite. Les suites sont favorables, permettant un transfert en neuroréhabilitation sur le site de Billens. Dans l'attente d'un transfert, la patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Les résultats histopathologiques vous seront transférés. Mme. Y, 59 ans, est admise en post-opératoire d'une crâniotomie avec exérèse d'un méningiome frontal gauche. L'exérèse du méningiome s'est bien déroulée. Le saignement per-opératoire a nécessité la transfusion de 2 concentrés érythrocytaires. L'histologie est en cours. La patiente présente en post-opératoire immédiat une plégie isolée du membre supérieur droit et non régressive, dont l'opérateur a été informé. Une nouvelle imagerie n'est préconisée que si apparition de troubles de l'état de conscience. La plaie est calme. Une prophylaxie anti-épileptique par Keppra est à poursuivre pour une semaine au total. La durée de poursuite de la dexaméthasone reste à déterminer avec le neurochirurgien. Une anticoagulation prophylactique à demi-dose (enoxaparine 20 mg sc) a été introduite dès le 12.01.2019. Une acidose métabolique post-opératoire a été attribuée à une hyperchlorémie qui s'est corrigée par la suite. La patiente a été transférée dans le service de chirurgie le 12.01.2019. Mme. Y, patiente de 60 ans, connue pour une néoplasie des seins avec multiples métastases (hépatiques et osseuses), suivie par le Dr. X au Daler, est hospitalisée en raison d'une baisse de l'état général depuis environ 3 jours avec une augmentation du périmètre abdominal. La patiente est sous chimiothérapie palliative par Carboplatine 1/7j et Avastin 1/15j (prochaine chimiothérapie prévue le 21.01.2019 au Daler). Un CT abdominal effectué au service des urgences montre un foie infiltré par d'innombrables métastases avec signes d'hypertension portale, y compris une décompensation ascitique et des métastases osseuses. Le laboratoire retrouve plusieurs troubles électrolytiques. Après avis du Dr. X, la patiente est hospitalisée en attente d'un transfert au Daler. La patiente est substituée pour ses multiples carences (hypokaliémie, hypophosphatémie, hypocalcémie). Un traitement par Aldactone est introduit et augmenté durant le séjour. Mme. Y est transférée au Daler le 21.01.2019 après accord téléphonique avec le Dr. X pour suite de prise en charge. Mme. Y est hospitalisée dans le contexte de bilan de masse détectée à l'imagerie dans le contexte d'une ptose palpébrale à droite ainsi qu'une diplopie. Un scanner cérébral montre une masse hypophysaire avec un œdème cérébral péri-lésionnel. La patiente est hospitalisée pour suite de prise en charge. Un traitement de Dexaméthasone est introduit minorant les symptômes oculaires. Un bilan d'imagerie montre de multiples lésions médiastinales, hépatiques et costales, motivant une hospitalisation pour suite des investigations. Une biopsie de la masse costale est effectuée dont les résultats montrent un adénocarcinome tubulaire moyennement différencié. L'immunophénotype contient le diagnostic différentiel d'un adénocarcinome pancréatico-biliaire ou mammaire. Un adénocarcinome pulmonaire est peu probable.Une IRM effectuée montre une lésion tissulaire supracentimétrique de l'hypophyse au contact avec la partie inférieure du chiasma optique et infiltrant le sinus caverneux. Au vu de la localisation de cette masse, peu commune pour une métastase, nous effectuons un bilan hormonal hypophysaire. Les premiers résultats reviennent dans la norme hormis une prolactinémie légèrement élevée. Les résultats seront à pister et selon ceux-ci, un avis endocrinologique sera nécessaire. Nous demandons un avis à la neurochirurgie de l'Inselspital Berne concernant cette masse. Ils convoqueront Mme. Y une fois la totalité des résultats reçus pour la suite de prise en charge. Une consultation en radio-oncologie est agendée pour le 23.01.2019 afin de discuter des différentes modalités possibles selon le résultat des biopsies. Une consultation en oncologie est également prévue le 30.01.2019 afin de discuter des résultats de la biopsie et du traitement à organiser. Mme. Y peut rentrer à domicile le 23.01.2019. Mme. Y, patiente de 78 ans, est admise aux soins intensifs pour une surveillance neurologique et hémodynamique en raison d'une suspicion d'un AIT le 09.01.2019. La patiente a présenté une sensation de faiblesse avec une impossibilité de bouger les quatre membres ainsi qu'une aphasie transitoire durant environ quinze minutes avec une résolution complète spontanée. Elle présente encore une fatigue résiduelle suite à cet épisode. C'est la deuxième fois qu'elle présente un épisode similaire en 2 mois. Le CT cérébral ne montre pas de lésions significatives. Après évaluation par nos collègues de neurologie, il est décidé de réaliser une IRM cérébrale qui revient sans particularité. L'aspirine introduite en raison de la suspicion d'événement cérébral ischémique le 09.01.2019 est stoppée le 11.01.2019 au vu d'imageries cérébrales normales. La patiente est transférée dans le service de médecine le 10.01.2019 pour suite de prise en charge. Dans le cadre du bilan diagnostique de ce malaise, nous réalisons également par la suite une ETT qui est sans particularité. Nous mettons en évidence une dyslipidémie pour laquelle une statine est introduite. Nous proposons de compléter le bilan cardiaque par un R-Test qui sera réalisé en ambulatoire le 17.01.2019. Au vu de l'absence de récidive des symptômes et de la bonne évolution clinique, les investigations ne sont pas poursuivies. Si elle venait à représenter des symptômes similaires, un EEG et la pose d'un reveal sembleraient être la suite logique des investigations. De plus, une rhinite chronique avec rhinorrhée postérieure est diagnostiquée chez cette patiente, raison pour laquelle nous introduisons des lavages nasaux par Prorhinel quotidiens, sur conseil de nos collègues ORL. En cas de persistance de la rhinite, il est conseillé d'envisager l'ajout d'un corticoïde topique. Au vu de l'évolution favorable, Mme. Y rentre à domicile en bon état de santé générale au matin du 12.01.2019. Mme. Y, patiente de 78 ans, est admise aux soins intensifs pour une suspicion d'un AIT le 09.01.2019. La patiente a présenté une sensation de faiblesse avec une impossibilité de bouger les quatre membres ainsi qu'une aphasie durant environ quinze minutes avec une résolution complète et spontanée des symptômes. Elle présente encore une fatigue résiduelle suite à cet épisode. Le CT cérébral ne montre pas de lésion significative. Après évaluation par nos collègues de neurologie, il est décidé de réaliser une IRM. Une échocardiographie est aussi demandée dans le cadre du bilan étiologique. La patiente est transférée dans le service de médecine le 10.01.2019 pour suite de prise en charge. Mme. Y, patiente de 82 ans, est connue pour des troubles de la marche d'origine multifactorielle et une démence débutante d'origine mixte. Pour rappel, cette patiente avait séjourné en gériatrie aiguë HFR Riaz du 26.12.2018 au 07.01.2019 suite à une chute avec contusion de la hanche droite. Il n'y avait pas de fracture retrouvée mais un état inflammatoire persistant avec une CRP à la hausse, mais sans leucocytose. Nous suspectons une pneumonie avec comme diagnostic différentiel une infection urinaire. L'uroculture était revenue positive pour E. Faecalis chez une patiente aplaintive et qui porte une sonde urinaire à demeure. Nous avions finalement choisi de ne pas traiter et les hémocultures étaient revenues négatives après 5 jours. Le 07.01.2019, alors que Mme. Y est prise en charge dans notre service de réhabilitation gériatrique, une clinique de pneumonie avec un foyer à gauche est relevée, avec présence d'une toux productive, d'une hyperthermie et de ronchis à l'auscultation. Nous débutons donc une antibiothérapie probabiliste, à savoir la Rocéphine à 2 g/j et envoyons deux paires d'hémocultures. Ces dernières reviendront négatives après 5 jours. Une uroculture revient quant à elle positive à E. faecalis, chez cette patiente portant une sonde urinaire à demeure. Pour compléter le bilan, une radiographie de thorax est réalisée le 07.01.2019, ne mettant pas en évidence de foyer. Nous débutons néanmoins le 07.01.2019 une antibiothérapie probabiliste à base de Rocéphine 2 g sur 7 jours, avec bons effets cliniques et biologiques. Durant sa réhabilitation, la patiente effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À la sortie, son périmètre de marche accompagnée et à l'aide d'un rollator est de 50 mètres. Mme. Y nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 38/126, par rapport à 32/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 3/7, marche 1/7, escaliers 1/7). Le risque de chute est élevé. Le projet ayant été défini avec la famille pour un placement, la patiente reste hospitalisée dès le 17.01.2019 au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement. Notez cependant que Mme. Y sera reprise en charge en gériatrie aiguë HFR Riaz dès le 21.01.2019 en raison d'un état fébrile à 38.5°C. Mme. Y, patiente de 69 ans, hospitalisée à Marsens pour un sevrage de benzodiazépine, nous est adressée en ambulance en raison d'un trouble de l'état de conscience en péjoration depuis 2 semaines. La patiente est hospitalisée du 21.12 au 24.12.2018 aux soins intensifs pour un choc hypovolémique d'origine peu claire (possiblement sur des diarrhées), compliqué d'une composante infectieuse sur probable pyélonéphrite. L'évolution clinique et biologique est favorable sous traitement antibiotique par Tazobac. Durant le premier séjour aux soins intensifs (21.12 au 24.12.2018), l'état de choc se complique d'un NSTEMI secondaire avec atteinte en inféro-latéral sur l'ECG. Une échocardiographie révélant une FEVG à 35% avec une atteinte de la cinétique segmentaire compatible avec une lésion ischémique. Une coronarographie est réalisée le 04.01.2019 et montre une double sténose de la coronaire droite moyenne avec pose d'un stent actif couvrant les deux sténoses. La FEVG est calculée à 75% lors de l'examen. La patiente est donc au bénéfice d'une double antiagrégation pour un total de 6 mois et sera revue à un mois en consultation de cardiologie. À noter aussi une notion de crise d'épilepsie inaugurale récente (fin novembre 2018) sur un sevrage compliqué de benzodiazépines avec hospitalisation à Marsens en décembre 2018. Actuellement, les benzodiazépines sont sevrées et le traitement de Keppra est arrêté en raison de l'absence d'indication formelle et de son possible rôle dans la perturbation des tests hépatiques. En effet, une hépatite aiguë, sans cholestase associée, est objectivée probablement due à un foie de choc et péjorée par une origine médicamenteuse, notamment sur paracétamol et Keppra. Un protocole de N-acétylcystéine est débuté. L'évolution est favorable avec une amélioration de la crase et du facteur V.Mme. Brechbühler est ensuite réhospitalisée aux soins intensifs le soir du 27.12.2018 pour une détresse respiratoire dans le contexte d'une décompensation cardiaque sur HTA mal contrôlée, malgré une trithérapie (anti-calciques, IEC et bêtabloquant), et une FA rapide ralentie par Diltiazem puis spontanément cardioversée. Dans ce contexte, une anticoagulation thérapeutique n'est pas nécessaire actuellement. Un bilan par R-test sera à prévoir en ambulatoire afin de vérifier l'absence de récidive de la FA. Dans le contexte de la décompensation cardiaque, une ponction pleurale gauche est réalisée le 27.12.2018 ramenant un transsudat. Une VNI est initiée dès le 27.12.2018. L'évolution est cliniquement favorable, mais le profil tensionnel reste toutefois élevé et nécessite l'ajout de Physiotens. Sous quadrithérapie antihypertensive, on observe une normalisation de la tension artérielle. Une réévaluation de l'arthrite microcristalline par nos collègues rhumatologues démontre une goutte tophacée, pour laquelle un traitement par Kineret, durant une semaine, et par Allopurinol sont initiés. La patiente est connue pour des troubles dépressifs récurrents, actuellement en rémission, pour lesquels une évaluation psychiatrique propose d'introduire un traitement par Brintellix dès le 05.01.2019, lequel doit cependant être stoppé le 10.01.2019 en raison d'effets secondaires digestifs. Un nouvel avis psychiatrique est demandé pour l'introduction d'un traitement de remplacement, demande encore en cours en ce jour. Au vu d'un déconditionnement physique majeur dans le contexte de l'hospitalisation susmentionnée, un séjour de réadaptation gériatrique est prévu à HFR Meyriez. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR, en attente de sa réadaptation, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement dès le 10.01.2019, et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté notre service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Briner, connue pour une maladie d'Alzheimer, actuellement hospitalisée au RFSM CSH Marsens pour des troubles du comportement, est amenée aux urgences en ambulance le 04.01.2019 en raison d'une dyspnée avec toux et état fébrile depuis 3 jours, en péjoration ce jour. À noter que la patiente est sous antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 2x/j depuis le 30.12.2018 pour une infection urinaire. À l'admission, la patiente n'a pas de plainte mais l'anamnèse est difficile en raison de la démence. Mme. Briner est normotendue à 139/84 mmHg, normocarde à 65 bpm, tachypnéique à 30/min, afébrile à 37.1°C et sature à 96% à l'air ambiant. Sur le plan cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers, sans souffle surajouté. Pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire, pas d'œdème des membres inférieurs. Signe de Homans négatif des deux côtés. Les mollets sont souples, le ballant est conservé, les pouls périphériques sont tous palpés. Pas de souffle sur les grands axes vasculaires. Au statut respiratoire, mise en évidence d'une hypoventilation droite. Au statut digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Percussion avec tympanisme. Murphy négatif, pas de masse pulsatile, pas d'organomégalie palpable. Sur le plan urogénital, les loges rénales sont souples et indolores. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 161 mg/l, sans leucocytose et une bonne fonction rénale. Pas de trouble ionique. La radiographie du thorax montre un infiltrat en projection de la partie supérieure de la plage pulmonaire droite, compatible avec un foyer de pneumonie. L'urotube montre 10E3 germes, signe d'une contamination. Nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv du 04 au 07.01.2019 et Klacid 500 mg 2x/j du 04 au 05.01.2019, avec relais per os par co-amoxicilline 1 g 2x/j du 08 au 10.01.2019 inclus. Le Klacid est arrêté le 05.01.2019 au vu d'antigènes urinaires négatifs. Durant l'hospitalisation, nous demandons une radiographie de thorax de contrôle qui est superposable avec la radiographie d'entrée. Le dernier bilan biologique montre une bonne fonction rénale, pas de trouble ionique et un syndrome inflammatoire à la baisse à une CRP de 35 mg/l, sans leucocytose. L'hémoglobine est à 120 g/l. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mme. Briner est réadmise au RFSM CSH Marsens le 09.01.2018 avec poursuite de l'antibiotique comme prévu. Nous proposons à nos collègues de Marsens de refaire une radiographie du thorax de contrôle dans deux semaines. Mme. Brodard présente des lésions cartilagineuses grade IV en regard de l'articulation fémoro-patellaire mais également de l'articulation fémoro-tibiale externe, associées à un probable corps libre (souris articulaire). Je propose une arthroscopie du genou D pour extraire le corps libre et faire un toilettage articulaire. La patiente est informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Elle nous donne son accord, le consentement est signé. L'intervention est prévue en ambulatoire pour le 17.01.2019. La patiente sera encore vue par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Mme. Brodard présente une lésion dégénérative de la corne postérieure du ménisque interne la gênant beaucoup. Je propose à Mme. Brodard une arthroscopie du genou avec toilettage du ménisque interne. La patiente est d'accord avec l'attitude, elle est informée du déroulement de l'intervention, ainsi que des bénéfices et des risques liés à celle-ci. Le consentement est signé. L'intervention est prévue en mode ambulatoire pour le 07.01.2019. Mme. Brodard sera vue par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique le 04.01.2019. Mme. Bruegger, patiente de 47 ans, suivie par Dr. X pour une arthrite rhumatoïde traitée par Actemra, nous est transférée de l'Inselspital Bern pour suite de prise en charge d'une cellulite axillaire droite probablement surinfection d'un herpès zoster. Pour rappel, elle s'était présentée aux urgences le 19.01.2019 pour des douleurs axillaires droites importantes et avait été transférée rapidement à Berne pour suspicion de sepsis sur fascéïte nécrosante, infirmée par la suite. Une résection de l'adénopathie axillaire droite met en évidence la présence de streptocoque du groupe A, permettant la réduction du spectre antibiotique à de la Rocéphine avec une évolution rapidement favorable. À l'admission dans notre service, la patiente ne présente plus de lésion cutanée axillaire droite. Nous poursuivons le traitement de Rocéphine intraveineuse pour une durée totale de 10 jours sur avis des infectiologues. La patiente bénéficie de physiothérapie et d'antalgie permettant une bonne évolution post-biopsie du ganglion axillaire. Le traitement antiviral est poursuivi dans le cadre de l'herpès zoster, avec quelques douleurs post-herpétiques répondant favorablement au Paracétamol. Concernant les deux nodules pulmonaires visualisés au CT du 19.01.2019, une étiologie fongique est peu probable au vu de l'évolution clinique et l'absence de symptomatologie pulmonaire. Un avis pneumologique, les nodules peuvent plutôt être de type inflammatoire, mais une cause fongique ne pouvant pas être totalement exclue chez une patiente immunodéprimée, un CT thoracique de contrôle sera à effectuer dans 2 semaines et les résultats seront pistés par Dr. X lors de la consultation de rhumatologie.La patiente étant en traitement immunosuppresseur pour une arthrite rhumatoïde, l'Actemra est laissée de côté sur avis du Dr. X, rhumatologue traitant, et la patiente sera revue en consultation le 07.02.2019. Mme. Y rentre au domicile le 29.01.2019 en bon état général. Mme. Y, patiente de 47 ans, nous est adressée pour un syndrome inflammatoire associé à des adénopathies d'étiologie indéterminée chez une patiente immunosupprimée suite à son traitement de polyarthrite rhumatoïde. Pour rappel, la patiente avait consulté le Dr. X le 05.01.2019 en raison de l'apparition subite d'adénopathies axillaires et supra-claviculaires avec odynodysphagie. Dans ce contexte, un traitement par Co-Amoxicilline est introduit dès le 05.01.2019. Après la première prise, Mme. Y développe un rash cutané diffus avec prurit et diarrhée. Elle arrête la prise d'antibiotiques après la 4ème dose et reconsulte son médecin traitant qui l'adresse au service des urgences en raison d'une insuffisance rénale aiguë avec syndrome inflammatoire. Lors de son arrivée, nos collègues des urgences effectuent un bilan biologique complet qui objective une perturbation des valeurs hépatiques et confirme un syndrome inflammatoire ainsi qu'une insuffisance rénale aiguë AKIN III. Dans un contexte de syndrome inflammatoire avec multiples adénopathies, nous effectuons une US qui permet d'exclure une thrombose jugulaire ou un abcès. Nous investiguons la possibilité d'une origine infectieuse en complétant le bilan biologique par des sérologies pour EBV, HIV, HCV, HBV, CMV et toxoplasmose qui se révèlent négatives. Une culture sur prélèvement dans la cavité buccale et les hémocultures se révèlent négatives le 10.01.2019. Après avis infectiologique, une couverture antibiotique empirique par Tavanic est instaurée dès le 07.01 au 10.01.2019. En raison de sérologies et de cultures négatives ainsi qu'une valeur de procalcitonine basse, nos collègues infectiologues considèrent une origine infectieuse comme improbable et proposent de cesser le traitement par Tavanic dès le 10.01.2019. Nous attribuons le syndrome inflammatoire à une probable poussée de polyarthrite rhumatoïde dans le contexte d'une virose. Sur avis du rhumatologue traitant, le Dr. X, nous n'effectuons aucune modification du traitement et poursuivons le traitement habituel de la patiente, par Actemra. Nous imputons l'insuffisance rénale aiguë à une probable étiologie pré-rénale sur déshydratation due aux diarrhées et procédons à une hydratation IV sous laquelle nous observons une amélioration rapide. Une culture urinaire se révèle négative le 10.01.2019. En raison d'une albuminurie, nous effectuons une récolte urinaire sur 24 heures afin d'exclure une atteinte glomérulaire et objectivons une microalbuminurie avec augmentation du rapport albumine/créatinine. En raison d'un second sédiment urinaire sans particularité et de paramètres rénaux revenus à la norme le 09.01.2019, nous renonçons à effectuer de plus amples investigations et proposons au médecin traitant d'effectuer un contrôle à distance. En raison de la proximité temporelle entre la prise de Co-Amoxicilline et l'apparition de l'exanthème maculaire avec prurit et diarrhée, nous attribuons les manifestations cutanées, digestives et hépatiques à une probable réaction allergique aux pénicillines. Un exanthème morbiliforme lié à EBV et réactif à la prise de Co-Amoxicilline est exclu par des sérologies négatives. Des PCR de selles se révèlent également négatives. L'altération des valeurs hépatiques, régressant après l'arrêt de la Co-Amoxicilline, est attribuée à une probable toxicité médicamenteuse de la pénicilline. Nous laissons le soin au médecin traitant d'effectuer un contrôle à distance. L'évolution clinique est rapidement favorable avec une nette diminution des adénopathies, une disparition de la symptomatologie allergique ainsi qu'une résolution des douleurs au niveau des adénopathies. Dans ce contexte, Mme. Y rentre à domicile le 11.01.2019. Mme. Y est une patiente de 36 ans en bonne santé habituelle, qui nous est adressée le 17.01.2019 par son médecin traitant en raison d'une péjoration clinique sur iléite terminale diagnostiquée deux jours auparavant et traitée par Ciproxine et Flagyl per os. Au laboratoire, nous retrouvons un syndrome inflammatoire à la hausse et le bilan radiologique confirme le diagnostic d'iléite terminale avec abcès sur l'anse iléale. Nous initions une antibiothérapie empirique intraveineuse par Rocéphine et Métronidazole le 17.01.2019. Un scanner de contrôle effectué le 23.01.2019 met en évidence une diminution de la collection, raison pour laquelle nous relayons l'antibiothérapie par Ciproxine et Flagyl per os le 24.01.2019. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mme. Y peut regagner son domicile le 24.01.2019. L'antibiothérapie sera poursuivie jusqu'au 31.01.2019 et la patiente sera revue pour contrôle à la consultation du Dr. X le 31.01.2019. Devant une suspicion de maladie de Crohn avec iléite terminale récidivante et calprotectine augmentée, nous prévoyons une colonoscopie le 29.01.2019 en ambulatoire, afin de compléter le bilan diagnostic. Mme. Y, 84 ans, hospitalisée en raison de lombosciatalgies non déficitaires acutisées. La patiente, connue pour une ostéoporose avec fracture par tassement L3 sous traitement conservateur par Palexia, présente depuis quelques jours une lombosciatalgie en augmentation progressive, prédominante à droite, péjorée à la marche. Le scanner et l'IRM de la colonne dorso-lombaire montrent l'apparition de nouveaux tassements vertébraux lombaires. Les neurochirurgiens proposent un traitement conservateur avec un suivi radioclinique à leur consultation dans 3 semaines. De plus, ils proposent l'introduction de Miacalcic et de biphosphonates ce que nous réalisons. Un bilan de myélome est réalisé avec une immunofixation des protéines qui revient dans la norme. L'antalgie est adaptée avec l'arrêt du Palexia et nous débutons un traitement par morphine, prégabaline et Sirdalud, en raison des douleurs mixtes (nociceptives, neurogènes) avec contractures musculaires associées. Nous constatons une intolérance aux opiacés avec nausées, vomissements, ce qui nécessite des rotations : morphine puis Oxycontin puis Palladon. Le Palladon est mieux toléré et permet une amélioration partielle des douleurs lombaires. Durant son séjour, la patiente bénéficie de physiothérapie avec amélioration de la mobilité. Elle n'arrive néanmoins pas à réaliser les transferts seule à cause des douleurs. Elle se déplace de manière autonome à l'aide d'un rollator. Mme. Y vit à domicile avec un de ses fils, l'aidant dans les AVQ. Le traitement antibiotique pour l'infection urinaire mise en évidence par le médecin traitant est poursuivi et le traitement laxatif est majoré avec une bonne évolution clinique. Au vu des difficultés du traitement antalgique et après discussion avec la famille, nous proposons une réadaptation gériatrique à Tavel. La patiente est transférée le 28.12.2018 en réadaptation gériatrique à Tavel.A l'entrée, la patiente se plaint de douleurs lombaires intenses (8/10), non déficitaires, péjorées par la mobilisation. Les douleurs sont apparues sans événement déclencheur. Elle réfère aussi des nausées et une dysurie. Le reste de l'examen est sans particularité. La patiente est veuve, vit avec un de ses deux enfants au cinquième étage d'un immeuble, desservi par ascenseur et sans escalier pour accéder à la propriété. La patiente a Spitex et aide à domicile 2 fois par semaine, elle est indépendante pour la plupart des activités quotidiennes et son fils l'aide pour les commissions. Diagnostic principal A l'entrée, la mobilisation de la patiente est réduite par ses douleurs, et les transferts sont faits avec de l'aide de contact, la marche est faite sous supervision et il y a un risque de chute élevé avec un test Tinetti de 15/28 avec le rollateur. Un traitement par Palladon 8 mg 2x/j et par Pregabalin 100 mg/j a été introduit avec une évolution favorable. La patiente a bénéficié d'un traitement complet de réhabilitation gériatrique avec physiothérapie et ergothérapie avec de bons résultats. A la sortie, les transferts sont effectués de façon totalement autonome, la marche est de 200 m avec un risque de chute encore présent (Tinetti à 19/28). Diagnostic supplémentaire 1 En raison d'une ostéoporose fracturaire, un traitement par Alendronate et Miacalcic est instauré avec une bonne évolution. Le contrôle radiologique de la colonne lombaire le 08.01.19 met en évidence un tassement progressif de la T12 mais avec une hauteur du bord postérieur partiellement préservée. Suite à l'avis de l'équipe Spine (HFR Fribourg), un traitement conservatif est conseillé. Une éventuelle cimentoplastie est à réévaluer en cas de péjoration de la symptomatologie. Diagnostic supplémentaire 2 Sur le plan nutritionnel, la patiente présente une malnutrition protéino-énergétique modérée traitée par un supplément nutritif oral. Diagnostic supplémentaire 3 Un traitement de Lisinopril 10 mg est introduit le 14.12.18 en raison des valeurs tensionnelles hautes. Les valeurs tensionnelles restent entre 120 et 150 mmHg de systolique. Diagnostics supplémentaires 4,5 Sur le plan gastro-intestinal, nous introduisons un traitement par Pantozol 40 mg/j en raison d'une épigastralgie le 17.12.2018 probablement dans le contexte de GERD et un traitement par Laxoberon en réserve en raison de constipation. Complication 1 En raison de diminution de l'acuité auditive le 08.01.2019, nous avons effectué une otoscopie le 09.01.2019, qui montre un canal auditif externe obstrué par cérumen, traité par Cerumenol et un rinçage avec une bonne réponse. Complication 2 Sur le plan urinaire, la patiente présente le 28.12.2019 une infection urinaire. La culture urinaire de 28.12.2019 montre une colonisation par E. coli résistant au Bactrim. Nous mettons en place un traitement par Nitrofurantoïne 100 mg 2x/j du 28.12.2018 au 02.01.2019 avec une bonne réponse. Complication 3 Sur le plan cardiaque, la patiente a présenté une décompensation cardiaque à prédominance droite le 28.12.2018 dans le contexte d'une fibrillation auriculaire. La radiographie thoracique ne montre pas d'épanchement pleural ou de foyer infectieux. L'ECG effectué le 30.01.2019 met en évidence une fibrillation auriculaire. Nous avons commencé le 28.01.2019 un traitement diurétique par Torem 5 mg/j et l'application des bandes de compression avec une bonne réponse. La radiographie thoracique effectuée le 22.01.2019 ne montre pas de signes de surcharge. Le 24.01.2019, Mme Y peut regagner son domicile dans un meilleur état général. Mme Y est une patiente de 52 ans, qui se présente aux urgences le 02.01.2019 suite à une chute avec TCC sans perte de connaissance dans un contexte d'alcoolisation aiguë. A l'arrivée, la patiente présente une désorientation dans le temps et décrit des douleurs au niveau occipital irradiant dans la mandibule droite avec perte de sensibilité dans le domaine V2. Les examens radiologiques mettent en évidence de multiples fractures du massif facial sans lésions cérébrales. La patiente est hospitalisée pour contrôle neurologique sur 24h et une évaluation ORL. L'évolution clinique étant favorable, Mme Y rentre à domicile le 04.01.2019. Mme Y, 59 ans, est admise aux soins intensifs pour un STEMI subaigu antérieur sur occlusion de l'IVA proximale. La patiente a présenté des douleurs thoraciques intermittentes depuis le 09.01.2019 associées à une asthénie importante. Lors d'un contrôle chez son médecin traitant, un STEMI antérieur est mis en évidence et la patiente est transférée en urgence. La coronarographie révèle une occlusion totale de l'IVA, nécessitant la pose de 3 stents actifs avec bonne reperfusion. La fonction systolique du ventricule gauche est sévèrement diminuée en raison d'une akinésie antéro-septale-latérale. La surveillance hémodynamique et rythmique aux soins intensifs est sans particularités. Une double antiagrégation par Aspirine et Prasugrel est introduite. Le traitement cardioprotecteur par bêta-bloquant est également débuté. Une dyslipidémie mixte est mise en évidence et traitée. L'échocardiographie de contrôle du 16.01.2019 révèle une akinésie de la paroi apicale étendue, de la paroi antérieure moyenne et de la paroi septale antérieure moyenne et une hypokinésie sévère du septum moyen et de la paroi latérale moyenne. La FEVG est à 42%. Un bourrelet septal sous-aortique avec obstruction dynamique sous-aortique au repos avec une majoration importante après manœuvres de Valsalva sans SAM (Gradient max de 20 mmHg à 60 mmHg après Valsalva) est observé. Une échographie de contrôle est à prévoir dans 10 jours afin de réévaluer l'indication à une anticoagulation thérapeutique. Une réhabilitation cardiaque à Billens est demandée. Dans le contexte de l'asthénie importante, la patiente développe une insuffisance rénale aiguë sur déshydratation avec possiblement une composante de bas débit. La réhydratation est à poursuivre et la fonction rénale à surveiller. Les IEC seront à introduire dès la normalisation de la fonction rénale. La patiente est transférée en médecine interne pour la suite de la prise en charge le 16.01.2019. Mme Y est une patiente de 36 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences le 13.01.2019 en raison de douleurs abdominales en fosse iliaque droite, en augmentation sur la journée. Les examens radiologiques mettent en évidence une appendicite et l'indication opératoire est posée. La patiente bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique le 14.01.2019. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples et afébriles, permettant un retour à domicile le 14.01.2019. Nous lui laissons le soin de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils à J-12 post-opératoires. Mme Y souffre de sa gonarthrose tri-compartimentale bilatérale à prédominance gauche. J'ai pratiqué aujourd'hui une infiltration au niveau du genou gauche, à sa demande. Je la reverrai dans 3 semaines pour une réévaluation clinique. En cas d'effet positif, on pourrait par la suite effectuer une infiltration au niveau du genou droit.Vu son âge et les comorbidités, l'indication pour une implantation de prothèse totale de genou n'est pas donnée. Prochain rendez-vous : 20.02.2019. Mme. Y, une patiente de 41 ans connue pour paraplégie et vessie neurogène dans le contexte d'une spina bifida, est hospitalisée pour une infection urinaire compliquée. Pour rappel, la patiente a constaté des urines floconneuses et foncées dans la poche de son cystofix et décide de consulter son médecin traitant qui relève un syndrome inflammatoire important avec une CRP à 383 et des leucocytes à 15 G/L. En revanche, la patiente ne présente aucun symptôme douloureux ou fébrile. Une culture urinaire met en évidence un Corynebacterium striatum. L'évolution biologique est favorable initialement sous Imipenem puis sous Ceftriaxone. Le cystofix est changé. Au vu de la discrépance entre la clinique et les examens de laboratoire, nous étendons les investigations. Un US rénal met en évidence une hydronéphrose bilatérale, cependant déjà visible en 2001. Un CT abdominal natif ne montre pas d'obstruction des voies urinaires mais révèle une image suspecte de tumeur de la vessie. La présence d'une collection entre le fond de l'utérus et la vessie, évoquant fortement un abcès, est également mise en évidence. D'autres potentiels foyers infectieux ont été écartés par une radiographie du thorax ainsi qu'un examen gynécologique. Suite à la découverte de la masse vésicale, un complément d'examen par CT abdominal injecté confirme la présence d'une infiltration diffuse de la paroi vésicale d'allure tumorale et une communication avec une collection pelvienne. L'hypothèse principale est alors une rupture de la paroi sur nécrose avec urinome probablement surinfecté. Une cytologie urinaire est effectuée. La patiente est inscrite au tumorboard d'urologie le 24.01 durant lequel le Dr. X propose une cystoscopie à son cabinet le mercredi 30.01.2019 pour poursuivre les investigations. Au vu de l'hydronéphrose connue et dans le contexte infectieux actuel, on objective une insuffisance rénale aiguë (probablement déjà chronique) que nous améliorons après hydratation. De plus, nous objectivons une anémie d'origine probablement inflammatoire dans le contexte et après bilan vitaminique et martial dans la norme. Un suivi biologique régulier sera nécessaire par la suite. Au vu de l'évolution favorable sur le plan biologique (diminution du syndrome inflammatoire et urines stériles) avec stabilité clinique, nous arrêtons le traitement antibiotique et laissons la patiente regagner son domicile le vendredi 25.01.2019, avec suite des examens en ambulatoire auprès de son urologue. Mme. Y est une patiente de 78 ans, connue pour un adénocarcinome pancréatique pT2pN2 découvert en septembre dernier avec prise en charge chirurgicale en octobre dernier. Elle est hospitalisée dans ce contexte pour une baisse de l'état général avec recrudescence de nausées et de vomissements ainsi que des douleurs abdominales diffuses. Au vu de l'inconfort abdominal, un CT scan est demandé mettant en évidence des implantations de la carcinose péritonéale et une augmentation du liquide d'ascite pour laquelle nous n'envisageons pas de ponction d'ascite au vu de la faible quantité de liquide. Après discussion avec le Dr. X, une première ligne de chimiothérapie palliative par Gemzar est proposée. Après consentement de la patiente, nous débutons le Gemzar le 14.12.18. Suite au refus de pose de PAC par la patiente, la chimiothérapie est à poursuivre par voie périphérique. Le prochain cycle est à prévoir le 4.01.2019. En ce qui concerne l'antalgie, au vu des recrudescences des douleurs abdominales, on modifie le traitement avec introduction d'Oxycontin et d'Oxynorme avec amélioration clinique. Néanmoins, le 16.12.18 une péjoration de ses douleurs abdominales nécessite la réintroduction de la morphine sous-cutanée puis un relais avec une pose de patch de Fentanyl au vu de l'iléus avec laquelle la patiente se dit confortable. Le 16.12.18, la patiente présente des vomissements en jet fécaloïdes nécessitant la mise en place d'une sonde naso-jéjunale de décharge et l'introduction de Sandostatine à dose maximale et de dexaméthasone. Un CT scan le 17.12.18 ne montre pas d'image claire d'ileus, néanmoins, nous retenons ce diagnostic au vu de la progression de la carcinomatose péritonéale et de la symptomatologie de la patiente. Graduellement, la patiente s'alimente mieux avec clampage de la sonde naso-jéjunale. Après avis des diététiciens, une alimentation plaisir est mise en place. Son anticoagulation par Xarelto est mise en pause et remplacée par de la Clexane 60 mg 2 fois par jour au vu des vomissements encore présents et d'une possible malabsorption. Après discussion avec la patiente et ses deux filles, une demande est envoyée à la villa St François pour une réhabilitation palliative. La patiente se dit intéressée par le home à côté de la villa St François pour la suite. La patiente est transférée le 24.12.18 à la villa St François. Mme. Y est admise pour l'intervention susmentionnée. Les suites opératoires sont simples. Nous instaurons un traitement d'Euthyrox à poursuivre au long cours. La mobilité des cordes vocales est conservée en postopératoire. Elle décrit des épisodes de paresthésie en raison d'une hypocalcémie. Nous introduisons un traitement de calcium 1 g et de Calcitriol en réserve, avec résolution des symptômes. Au vu de l'évolution clinique favorable, elle peut retourner à domicile. Mme. Y se présente pour une métrorragie faible de sang frais sans facteur déclenchant à 31 6/7 semaines d'aménorrhée. À l'examen clinique, nous ne pouvons pas objectiver l'origine du saignement. Les frottis vaginaux sont prélevés et en cours. L'hémoglobine fœtale est négative. Nous hospitalisons la patiente pour surveillance pendant 48 h. Les CTG de contrôle sont RNP et la patiente ne présente pas de contractions utérines. Les saignements se tarissent spontanément et la patiente peut rentrer à domicile en bon état général le 03.01.2019. Contrôle de suivi à votre consultation dans une semaine. Mme. Y, connue pour une cardiopathie hypertensive et rythmique sur fibrillation auriculaire anticoagulée, est amenée aux urgences le 20.12.2018 en raison d'une dyspnée et de palpitations, avec fatigue importante, sans douleur thoracique. La patiente signale également une perte pondérale de quelques kilos. À noter que vous avez mis en suspens le traitement par Dilzem le 17.12.2018 en raison d'une hypotension artérielle. Aux urgences, nous constatons une fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide à 110-165/min. Par rapport à la dernière hospitalisation d'août 2018, le poids et les œdèmes des membres inférieurs ont diminué. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire ni de leucocytose, les NT-proBNP sont augmentés à 13'053 ng/l dans le contexte de l'insuffisance cardiaque aiguë, les D-Dimères reviennent négatifs par rapport à l'âge de la patiente. Une insuffisance chronique est légèrement acutisée (AKIN 1). La radiographie du thorax ne montre pas de signe majeur de surcharge. Nous mettons l'insuffisance cardiaque aiguë sur le compte de la fibrillation auriculaire rapide, possiblement favorisée par l'arrêt du diltiazem. La patiente est hydratée par 500 ml de NaCl 0,9 puis une dose de charge de Digoxine est administrée qui reste sans effet. Une perfusion de Diltiazem 12,5 mg en iv lente permet le retour à un rythme normocarde. Le traitement par Diltiazem 90 mg 2x/j est donc repris et nous augmentons le traitement de Bilol à 7,5 mg par jour. Nous poursuivons le traitement de Sintrom avec un INR à la sortie à 2,2. Par ailleurs, nous arrêtons le traitement par Aspirine car la patiente est déjà sous Sintrom.Votre patiente ne présente pas de signe clinique de décompensation cardiaque sous Torem 10 mg. L'évolution clinique est favorable avec un poids à la sortie de 61.4 kg. L'insuffisance rénale chronique acutisée s'améliore avec la reprise du traitement diurétique par Torem. La créatinine à la sortie est à 114 µmol/l, avec une clairance estimée de la créatinine selon Cockcroft-Gault à 25 ml/min. Sur le plan social, la patiente habite seule à domicile avec passage des soins à domicile 1x/jour. Les filles de la patiente souhaitent un placement, suggéré par vous-même. La patiente a sa capacité de discernement et présente une autonomie compatible avec un retour à domicile. Dans ce contexte et selon son désir, Mme. Y regagne son domicile le 31.12.2018 avec augmentation du passage des soins à domicile 2x/j. Nous effectuons également des inscriptions préventives dans différents homes. Mme. Y, hospitalisée dans le service de médecine de l'HFR Fribourg du 19 au 22.12.2019 en raison d'un syndrome douloureux des lombaires sans étiologie claire, consulte les urgences le 07.01.2018 en raison de la récidive des douleurs lombaires et abdominales. A l'admission aux urgences, la patiente est très algique et dans ce contexte, nous titrons de la morphine et administrons du Buscopan, ce qui soulage momentanément la patiente. Cette dernière est hospitalisée pour adaptation de l'antalgie et investigations. Le laboratoire d'entrée et le sédiment urinaire sont dans la norme. A l'étage, la patiente présente principalement des douleurs épigastriques et en fosse iliaque droite, sans défense ni détente et avec des bruits normaux dans les 4 quadrants. Elle est connue pour des problèmes de constipation. Le Dr. X, chirurgien, évoque une coprostase pour expliquer une partie de la clinique de la patiente. Nous proposons un traitement de plusieurs semaines de Movicol 1 sachet/j et sirop de paraffine afin de maintenir le transit et une consistance normale des selles. La patiente aurait présenté des douleurs à différents endroits de l'abdomen et des régions lombaires au moment de ses menstruations, ce qui fait évoquer le diagnostic d'endométriose du petit bassin. Depuis environ 2 mois, elle n'a plus de douleurs menstruelles car elle est sous contraception orale avec blocage de ses règles. Un avis gynécologique est répété durant le séjour. Selon notre gynécologue, la cause des douleurs ne serait pas gynécologique, même si une endométriose de stade I ou II n'est pas exclue. L'examen gynécologique a permis d'écarter raisonnablement une malformation gynécologique. L'IRM abdomino-pelvienne effectuée le 09.01.2019 montre cependant un discret épaississement du ligament sacro-utérin des 2 côtés pouvant correspondre à une minime atteinte d'endométriose. De même, de discrètes altérations de signal de l'os spongieux et de la symphyse pubienne peuvent faire évoquer une symphysite. Des douleurs abdominales projetées depuis la charnière dorso-lombaire (syndrome de Maigne) sont également évoquées. Un rendez-vous est prévu chez le Dr. X, service de rhumatologie, HFR Fribourg, le 17.01.2018 pour évaluer ces deux pathologies. En attendant, la patiente est mise en arrêt de travail. La patiente et son père sont informés en détail de la situation clinique et de la prise en charge prévue. Au vu d'une bonne évolution clinique avec un bon contrôle de la douleur sous Tramadol en réserve, Mme. Y peut regagner son domicile le 10.01.2019. Mme. Y, votre patiente de 61 ans suivie par Dr. X pour un adénocarcinome sténosant du moyen rectum cT3c cN+ cM0, actuellement sous chimiothérapie adjuvante par Xeloda, est hospitalisée par l'équipe d'oncologie pour baisse de l'état général dans un contexte de vomissements avec incapacité d'alimentation depuis 4 jours. À son admission, la patiente présente des signes cliniques et biologiques de déshydratation. Nous initions une hydratation intraveineuse et majorons le traitement symptomatique anti-émétique. L'évolution clinique est peu favorable avec une perte de poids importante au cours du séjour mise sur le compte de diarrhées profuses par la poche. La recherche de Clostridium revient négative. Un traitement symptomatique est alors débuté pour diminuer et compenser les pertes hydriques, avec une évolution par la suite favorable. Les diarrhées sont normalisées et Mme. Y retrouve son poids de forme de 48 kg. Nous n'observons aucun syndrome de renutrition. Notons une perturbation transitoire des électrolytes actuellement normalisées après substitution. Les fonctions hépatiques s'améliorent et la crase se normalise après administration de Konakion. Sur le plan cutanéo-muqueux, la patiente présente une mucite orale nécessitant une prise en charge symptomatique avec succès. Un frottis oral HSV revient positif mais, vu l'amélioration clinique spontanée, la patiente ne reçoit pas de traitement antiviral. Sur le plan infectieux, Mme. Y présente plusieurs épisodes d'état fébrile et subfébrile dont les investigations, comprenant des hémocultures et une culture urinaire, reviennent négatives, sans augmentation significative de syndrome inflammatoire. Néanmoins, la patiente a bénéficié d'une antibiothérapie empirique par Rocéphine du 29.12.2018 au 04.01.2019. Ces états fébriles nous semblent d'origine tumorale. Mme. Y retourne le 07.01.2019 à domicile avec suivi habituel par vos soins. Un rendez-vous est prévu le 08.01.2019 à 16h00 auprès de l'oncologue traitant pour un suivi clinique et biologique et révision du traitement chimiothérapeutique adjuvant au vu des multiples complications occasionnées par le Xeloda. Mme. Y, âgée de 86 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une cimentoplastie bipédiculaire D7 sur fracture ostéoporotique D7 le 04.01.2019. Pour mémoire, la patiente avait été opérée le 07.12.2018 pour une cimentoplastie bipédiculaire de D8 sur fracture ostéoporotique. Sur le plan social, la patiente vit avec son époux à domicile. Elle est à la retraite. A l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. La patiente est orientée et collaborante mais très angoissée. Elle mentionne avoir des difficultés à se rappeler les événements qui l'ont amenée à l'HFR Fribourg et dit que ces troubles de mémoire sont survenus depuis l'anesthésie pour l'intervention chirurgicale susmentionnée. Elle dit aussi n'avoir plus envie de manger depuis le début de son hospitalisation. Elle se plaint des douleurs au niveau des côtes gauche. Au status, la cicatrice est calme. La force aux MI est cotée à M5 au quadriceps et au psoas. La sensibilité grossière est conservée. Le 10.01.2019, Mme. Y est ralentie, somnolente, dit manquer de force et la communication est difficile. Nous arrêtons le Droperidol au vu des effets secondaires de somnolence et sédation. Nous prenons contact avec le médecin traitant pour discuter de la médication habituelle et de l'attitude à suivre en ce qui concerne la médication psychiatrique. Le 11.01.2019, la patiente verbalise des idées suicidaires avec projet de passage à l'acte. Après discussion avec le psychiatre de garde et au vu du risque suicidaire élevé, Mme. Y est transférée en urgence vers l'hôpital de Marsens. Mme. Y, âgée de 66 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Riaz pour une neuro-réadaptation et rééducation à la marche suite à une hospitalisation pour dénutrition sévère et troubles de la marche et de l'équilibre sur maladie de Parkinson. La patiente a perdu environ 20 kg en une année en présentant une dysphagie aux liquides le 11.12.2018, raison pour laquelle une PEG a été mise en place le 18.12.2018.Sur le plan social, la patiente vit avec son époux à domicile. A l'admission, la patiente est endormie. Elle se réveille sur stimulis verbal et répond aux ordres mais se rendort facilement. Elle dit être très angoissée par ce changement d'hôpital. La communication et l'examen physique sont très difficiles vu que la patiente répond aux questions avec une voix faible et garde les yeux fermés. Forte rigidité aux 4 membres, hypomimie. Le 21.12.2018, la patiente est réveillée. Elle parle mieux que le jour précédent et demande à se mobiliser. Rigidité encore présente mais diminuée. La patiente est plus compliante et communicative, mais elle refuse la nutrition per os. Dans la première partie de l'hospitalisation, nous observons régulièrement des dyskinésies axiale et périphérique, ce qui nous permet de diminuer un peu le traitement antiparkinsonien. Concernant l'antalgie, Mme. Y se plaint de douleurs aux épaules qui surviennent surtout la nuit et l'empêchent de dormir; après l'introduction de Fentanyl patch, les douleurs sont mieux contrôlées. Nous n'avons pas jugé nécessaire de refaire un bilan radiologique vu que le dernier remonte à novembre 2018. Sur le plan nutritionnel, la patiente a été suivie pour une malnutrition modérée (NRS 4/7, perte de 19 kg en 1 année, BMI 16.7) sur inappétence et dysphagie. Afin de stopper la perte pondérale et d'améliorer la couverture des besoins, nous avons adapté les repas (texture, enrichissements) et introduit 1 SNO par jour que Mme. Y recevait déjà à domicile. La nutrition entérale à 75 ml/h est bien tolérée et les besoins théoriques sont couverts à >100% avec 750 ml de NE. Le poids est légèrement remonté (+2.4 kg par rapport au poids d'entrée) et les ingestas se sont aussi améliorés. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle fait les transferts accompagnée en marchant avec un rollator. Elle peut monter/descendre les escaliers accompagnée par une personne et en s'appuyant à la rampe. Au vu d'une meilleure compliance de jour en jour et d'une mobilisation quotidienne avec les thérapeutes et ses filles, nous arrêtons la prophylaxie par Clexane. Après 4 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre le HFR Fribourg le 21.01.2019 pour la suite de la prise en charge. Mme. Y, connue pour une maladie de Parkinson traitée par Madopar, nous est transférée des urgences de l'HFR Fribourg pour prise en charge d'une malnutrition sévère avec perte de poids de plus de 20 kg sur la dernière année et dysphagie aux liquides depuis 1 mois. A noter qu'une pose de PEG est prévue le 18.12.2018 à l'HFR Fribourg mais les proches de la patiente, inquiets de son état général, l'amènent aux urgences le 11.12.2018. Sur le plan nutritionnel, la patiente bénéficie d'une évaluation nutritionnelle ainsi que d'un test de la déglutition, ce dernier se révélant pathologique pour la prise des liquides. Une adaptation de l'alimentation en régime haché est réalisée, avec épaississement des boissons. La pose de PEG se déroule à l'HFR Fribourg sans complication notable, avec administration de 2 doses d'antibiothérapie prophylactique par Céfuroxime 1.5 g iv. Une nutrition entérale par Isosource sur 15 heures est débutée durant la nuit du 19.12.2018 avec bonne tolérance clinique, suivi par contrôle électrolytique. Enfin, la première réfection et mobilisation de sonde de PEG est prévue le 24.12.2018 à l'HFR Fribourg à 15h00. Sur le plan neurologique, nous objectivons une rigidité importante avec hypomimie. Une adaptation du traitement par Madopar par rapprochement des intervalles d'administration pourrait s'envisager en cours de séjour de réadaptation. Le prochain suivi neurologique par le Dr. X est prévu le 15.03.2019 à 10h30 à l'HFR Fribourg. Sur le plan orthopédique, la patiente décrit des douleurs multi-articulaires connues, contrôlées par l'antalgie habituelle de Temgesic. A noter que le 19.12.2018, Mme. Y bénéficie d'une consultation orthopédique chez le Dr. X à l'HFR Fribourg pour contrôle suite à la pose d'une prothèse de l'épaule droite pour omarthrose sévère. En raison de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle, une réhabilitation musculo-squelettique à Billens est organisée. Dans l'intervalle, la patiente bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. Sur le plan hématologique, nous retrouvons une anémie normocytaire normochrome régénérative avec hémoglobine à 96 g/l le 11.12.2018, avec carence en acide folique, que nous substituons pour un mois. Le reste du bilan étiologique se révèle dans la norme. A noter la présence de sang occulte dans les selles le 19.12.2018 dans les suites de la pose de PEG. Nous vous proposons de répéter l'examen à distance afin d'exclure un faux positif dans les suites interventionnelles. A la sortie, l'hémoglobine est mesurée à 106 g/l. Sur le plan infectieux, en raison d'une stomatite à Candida, la patiente bénéficie d'une dose unique de Fluconazole 400 mg ainsi que Mycostatine 1 ml durant 3 jours avec une évolution clinique favorable. Mme. Y est transférée à l'HFR Billens, service de réhabilitation neurologique, le 20.12.2018. Mme. Y, une patiente de 84 ans connue pour une artériopathie des membres inférieurs, est hospitalisée pour surveillance d'un hématome du membre inférieur droit. Elle s'est présentée en angiologie le 22.01.2019 pour un contrôle à une semaine d'une angioplastie du membre inférieur droit (recanalisation d'une courte occlusion fémorale superficielle distale droite avec abord inguinal droit). On met en évidence un important hématome du membre inférieur droit, avec légère chute d'hémoglobine, nécessitant une surveillance en milieu hospitalier. A noter que la patiente n'avait pas de plainte particulière hormis de légères douleurs à la jambe droite dans la région de l'hématome sous-cutané. Un bilan par angio-CT a montré de multiples altérations athéromateuses vasculaires avec plaques molles ulcérées dans l'aorte abdominale infrarénale, mais pas de complication majeure au niveau du membre inférieur droit. On relève également la présence d'un thrombus flottant dans le segment P1 de l'artère poplitée droite. La surveillance se révèle rassurante, avec stabilité et même augmentation de l'hémoglobine à 24 heures. Un contrôle clinique et ultrasonographique est répété par l'angiologue, objectivant l'absence de saignement actif ainsi que la régression des hématomes intramusculaires. Le Clopidogrel est arrêté, et une antiagrégation simple avec l'Aspirine est retenue pour la suite au vu du contexte. Au vu des plaques d'athéromatose importantes observées au niveau aortique avec dyslipidémie au laboratoire du 15.01.2019, une prévention par statine est introduite, avec contrôle des CK et des tests hépatiques à prévoir dans 3-4 semaines. Au vu de ce qui précède, la patiente quitte notre hôpital le 24.01.2019 pour regagner son domicile. Un contrôle clinique et biologique (Hb) est souhaitable chez le médecin traitant dans les meilleurs délais, la patiente ayant déjà un rendez-vous de contrôle prévu le 11.04.2019 en angiologie. Mme, Chère Collègue J'ai revu comme prévu Mr. Y, accompagné par sa maman, pour contrôle clinique et biologique semestrielle d'une thrombopénie chronique légère d'origine indéterminée à ce jour. L'évolution clinique est favorable sans syndrome hémorragique notamment depuis le début des menstruations (juin 2018) avec cycles encore irréguliers (3 en 5 mois) avec examen clinique sans particularité.Elle a déménagé et se sent mieux entourée, en particulier à l'école, elle a arrêté le piano. Elle ne prend aucun traitement médicamenteux. Mme. Y, votre patiente de 89 ans, institutionnalisée à l'EMS Saint-Paul, connue pour une fracture de la tête humérale gauche le 19.01.2019 et des troubles mnésiques, présente depuis le 21.01 une dyspnée et un encombrement bronchique prise en charge par de la Rocéphine 2 g iv et du Torem 10 mg/j. Après une bonne évolution transitoire, vous nous l'adressez pour une nouvelle péjoration respiratoire. Le bilan initial attribue l'origine de cette décompensation à une fibrillation auriculaire rapide responsable d'un œdème aigu pulmonaire associée à une surinfection pulmonaire. L'évolution clinique initiale montre une amélioration franche très transitoire après un traitement freinateur efficace des bêta-bloquants et des diurétiques. La séance de ventilation non invasive aux urgences est peu supportée par la patiente et est sans impact sur les échanges gazeux. Dès son hospitalisation, la patiente montre une évolution défavorable avec une fibrillation toujours rapide et une insuffisance respiratoire toujours sévère, malgré la mise en place de patch de nitrés et l'élargissement du spectre antibiothérapeutique avec du Tazobactam. En accord avec la famille et sur concertation médicale, la patiente est placée en soins de confort. Mme. Y décède ce mardi 29.01.2019 à 07h32. Mme. Y est une patiente de 65 ans, aux antécédents susmentionnés, qui se présente aux urgences le 07.01.2019 en raison de douleurs dorsales d'apparition brutale avec un épisode de vomissements. Le bilan biologique montre une cholestase, un CT abdominal met en évidence une augmentation de la cholédocholithiase connue avec dilatation cholédocienne et des voies biliaires intra-hépatiques. La patiente bénéficie alors d'une ERCP le 09.01.2019 qui permet l'extraction de 2 concréments cholédociens et une papillotomie est effectuée. En raison d'une cholangite débutante, une antibiothérapie est instaurée. L'évolution est par la suite favorable et la patiente peut retourner à domicile le 11.01.2019 avec une consultation chez le Dr. X le 29.01.2019 pour discuter de la suite de la prise en charge. Mme. Y présente une coxarthrose bilatérale symptomatique à droite, radiologiquement plus usée à gauche. Je propose dans un premier temps un traitement antalgique avec physiothérapie, Dafalgan 1 g 4x1 cp/j et en réserve Novalgin 500 mg 4 cp/j. Je reverrai la patiente dans 2 mois pour une réévaluation clinique. Si la physiothérapie n'est pas efficace, on pourrait discuter de l'indication pour l'implantation d'une prothèse totale de hanche à droite. Prochain rendez-vous : 13.03.2019. Mme. Y consulte les urgences le 06.01.2019 en raison d'une dyspnée fébrile. La patiente rapporte une toux non productive avec une dyspnée en augmentation depuis le 03.01.2019 ainsi qu'une asthénie prononcée et une sensation de bouffées de chaleur. La patiente n'a rien mangé depuis 2 jours en raison de l'asthénie et n'arrive pas à s'hydrater correctement. À l'admission aux urgences, la patiente est fébrile à 38,3°C, tachycarde à 130/min, hypertendue à 197/99 mmHg et tachypnéique à 30/min. Au statut cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés réguliers sans souffle surajouté. Pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire. Pas d'œdème des membres inférieurs, signe de Homans négatif des deux côtés. Les mollets sont souples, le ballant est conservé. Les pouls périphériques sont tous palpés. Pas de souffle sur les grands axes vasculaires sans autre souffle vasculaire. Sur le plan pulmonaire, on met en évidence des râles crépitants en base gauche. Au statut digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Percussion avec tympanisme. Murphy négatif, pas de masse pulsatile, pas d'organomégalie palpable. Sur le plan urogénital, les loges rénales sont souples et indolores. Le bilan sanguin montre un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 12 mg/l sans leucocytose, une bonne fonction rénale, pas de trouble ionique. La gazométrie met en évidence une hypoxémie isolée à 9,2 kPa sans rétention de PCO2. L'ECG montre une tachycardie sinusale à 130 bpm avec un QTc long à 513 ms. L'ECG de contrôle montre un QTc toujours à 514 ms. La radiographie thoracique montre une silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme avec des calcifications aortiques. Quelques épaississements bronchiques, mais pas d'image typique de foyer pulmonaire. Suspectant une pneumonie basale gauche, Mme. Y est hospitalisée et nous débutons une antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g iv 3x/j. La patiente bénéficie également d'une oxygénothérapie qui peut être rapidement sevrée ainsi que d'un traitement bronchodilatateur par Atrovent. Les hémocultures ainsi que la recherche d'antigènes urinaires effectuées à l'admission reviennent négatives et l'antibiothérapie est passée per os dès le 09.01.2019 par co-amoxicilline 1 g 2x/j, à poursuivre pour 5 jours. Sous antibiothérapie, l'évolution clinique et biologique est favorable et Mme. Y peut regagner son domicile le 11.01.2019. Nous recommandons un contrôle clinique à votre consultation la semaine suivant la sortie. Mme. Y est une patiente de 69 ans connue pour une hernie cicatricielle sus-ombilicale dans le cadre d'un statut post-colectomie droite par laparoscopie en 2018, qui bénéficie d'une cure d'hernie cicatricielle par laparoscopie (IPOM) le 23.01.2019. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont favorables et la patiente peut retourner à domicile le 25.01.2019. Mme. Y présente donc une bursite inflammatoire suite à un choc direct il y a 3 semaines, en phase de guérison. Je propose l'application locale de Voltarène dolo Emulgel 2x/jour ainsi qu'une poche à glace. Étant donné que les symptômes se sont déjà nettement améliorés ces dernières 3 semaines, cette bursite va très probablement guérir sans séquelle. Pour ma part, un contrôle d'emblée n'est pas nécessaire. La patiente va me recontacter en cas de persistance des douleurs. Sinon, fin du traitement. Mme. Y, connue pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, consulte les urgences le 28.12.2018 en raison d'un état fébrile. La patiente rapporte avoir présenté un état fébrile avec frissons, toux et expectorations jaunâtres, rhinorrhée bilatérale claire, asthénie et myalgies diffuses. Elle signale également une péjoration progressive de sa myasthénie, pour laquelle elle ne prend plus de traitement immunosuppresseur depuis 2014 (stoppé d'elle-même), depuis son intervention au mois de mars 2018. Elle remarque surtout une asthénie de plus en plus importante l'empêchant de faire ses activités habituelles qu'elle a déjà fortement réduites ainsi que des troubles de la déglutition majorés le soir ou lorsqu'elle est fatiguée. La patiente demande une injection d'immunoglobulines car elle dit que cela l'a aidée après sa chimiothérapie, alors qu'elle n'a pas présenté d'épisode infectieux, bien qu'elle en soit à son quatrième depuis le mois de mars 2018. À l'admission aux urgences, Mme. Y est normotendue à 118/66 mmHg, tachycarde à 130/min, subfébrile à 38,2°C et sature à 97 % à l'air ambiant. À l'auscultation cardiaque, les bruits cardiaques sont réguliers et bien frappés, pas de souffle audible. Au niveau respiratoire, pas de signe de détresse respiratoire. Notons une hypoventilation basale droite ainsi que des crépitants secs en base gauche. Au niveau ORL, présence d'un discret érythème pharyngé sans exsudat. Les statuts digestif et neurologique sont sans particularité.L'ECG montre une tachycardie à 130/min sans autre anomalie. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 16.1 G/l et une CRP à 25 mg/l, le reste est aligné. La radiographie thoracique ne montre pas de foyer franc. Malgré l'absence de foyer franc mais au vu des antécédents de la patiente et de la clinique, Mme. Y est hospitalisée. Nous débutons une antibiothérapie par Tavanic 500 mg iv 1x/jour et augmentons son traitement de Prednisone à 15 mg. L'urotube prélevé à l'admission revient positif pour E. coli ESBL et l'antibiothérapie est relayée par Ciproxine 500 mg per 2x/j du 01 au 03.01.2019 avec une évolution clinique et biologique favorable. Un bilan nutritionnel effectué montre une malnutrition protéino-énergétique grave avec proposition d'ajouter deux suppléments nutritifs oraux par jour. Suite à la demande insistante de la patiente qui désire recevoir des immunoglobulines pour l'aider à passer le cap, nous demandons un avis à nos collègues neurologues de l'HFR Fribourg qui n'en voient pas l'indication dans un contexte infectieux. Il pourrait y avoir une indication si elle présentait une décompensation aiguë de sa myasthénie. Ils nous rappellent également d'être vigilants avec les médicaments introduits car beaucoup sont contre-indiqués avec la myasthénie. Ils proposent que la patiente reconsulte son neurologue traitant afin de réadapter le traitement, actuellement uniquement composé de Prednisone. Mme. Y peut regagner son domicile le 04.01.2019. Elle a rendez-vous dans le service d'immunologie du CHUV le 14.02.2019 et dans le service de neurologie du CHUV (neuromusculaire) le 27.02.2019. Mme. Y est hospitalisée dans un contexte de métastases cérébrales nouvelles d'un cancer du sein suivi par Dr. X. En effet, elle a présenté un sentiment de compression du bras gauche et de la jambe gauche avec des troubles de la sensibilité résolutifs. Après discussion avec son médecin-traitant, elle vient au service des urgences et un bilan radiologique met en évidence plusieurs lésions non connues. Le complément d'imagerie ne montre pas d'autres lésions à distance. Un traitement de dexaméthasone permet un amendement de la symptomatologie. Un rendez-vous en radio-oncologie en vue d'un futur traitement est agendé au 25.01.2019 ainsi qu'un rendez-vous chez Dr. X le 30.01.2019 à 15h30 pour discussion de la suite du traitement oncologique. Mme. Y peut rentrer à domicile le 23.01.2019. Mme. Y, patiente de 89 ans, se présente le 08.01.2019 au service des urgences, dans le cadre d'une dyspnée en péjoration. Nous l'hospitalisons afin de compléter les investigations. Sur le plan cardiologique, le pro-BNP est à 2950 ng/l et une ETT démontre une péjoration de la fonction cardiaque (FEVG à 30%), une hypertrophie cardiaque excentrique et des dyskinésies segmentaires. Dans ce contexte, nous réalisons une coronarographie, qui ne montre pas de sténose significative des coronaires. Nous majorons le traitement bêtabloquant et diurétique et introduisons un traitement d'Aldactone 25 mg. En raison d'une clinique ne s'améliorant pas (prise de poids, dyspnée) et du développement d'un OAP lors d'un épisode de tachycardie sur flutter, un traitement intraveineux par Furosemid est nécessaire du 17.01 au 23.01.2019. Il permet une bonne amélioration clinique de la patiente. À la sortie de la patiente, nous introduisons cependant un traitement en réserve de Métolazone 2.5 mg 1 fois par jour durant 3 jours, si son poids devait augmenter de plus de 2 kg en 2 jours. Nous lui recommandons également de consulter si son poids devait dépasser ce seuil, afin que vous puissiez l'évaluer cliniquement et contrôler sa fonction rénale. Sur le plan rythmologique, un flutter auriculaire nouveau est retrouvé à l'admission de la patiente, raison pour laquelle nous adaptons l'anticoagulation de Mme. Y en introduisant de l'Eliquis. En raison d'une décompensation cardiaque persistante et récidivante durant l'hospitalisation, une cardioversion électrique, initialement prévue mi-février, est avancée et réalisée le 23.01.2019, après l'exclusion de thrombus intra-cardiaque par échocardiographie transoesophagienne. La patiente quitte notre service avec un rythme sinusal. Un traitement de Cordarone est initié par les cardiologues pour une durée de 2 mois. Un ECG Holter de contrôle est prévu le 24.04.2019, 1 mois après l'arrêt de Cordarone. Il sera suivi d'une ETT de contrôle le 07.05.2019. À noter, qu'au vu du risque hémorragique (HAS-BLED = 5), nous décidons d'arrêter le Plavix en raison de l'introduction d'Eliquis. Nous vous laissons le soin de réévaluer l'indication à réintroduire ce traitement. Finalement, sur le plan pulmonaire, l'examen clinique met en évidence des sibilances diffuses sur les plages pulmonaires de la patiente. Nous introduisons un traitement de Ventolin en réserve, sans pour autant avoir d'autres éléments en faveur d'un asthme ou d'une BPCO avec bon effet. Nous vous laissons le soin de réévaluer l'indication à ce traitement. L'évolution clinique et biologique de Mme. Y est favorable, lui permettant de rentrer à domicile le 26.01.2019. De plus, nous augmentons l'aide à domicile avec des soins à domicile désormais quotidiens. Mme. Y est une patiente de 43 ans chez qui une diverticulite avait été diagnostiquée à l'hôpital Daler début décembre et traitée par Co-amoxicilline per os pendant 10 jours. Elle se présente le 26.12.2018 aux urgences pour une douleur abdominale en fosse iliaque gauche en progression depuis quelques jours sans fièvre associée. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire important motivant un CT abdominal qui met en évidence une diverticulite sigmoïdienne Hansen et Stock 2b. Il s'agit probablement du même épisode que début décembre. Un traitement par Piperacillin/Tazobactam est instauré jusqu'au 31.12.2018. L'évolution est par la suite favorable avec un scanner de contrôle rassurant le 31.12.2018. La patiente rejoint son domicile le 31.12.2018 avec une antibiothérapie per os pour un total de deux semaines. Elle contactera le cabinet de Dr. X le 07.01.2019 pour la suite de la prise en charge. Mme. Y est hospitalisée dans un contexte de dyspnée, de toux et d'apparition d'un état fébrile chez une patiente connue pour BPCO non stadée. Après un bilan biologique et radiologique, une décompensation BPCO sur pneumonie est diagnostiquée et un traitement antibiotique instauré. Les hémocultures ainsi que les antigènes urinaires reviennent positifs pour un pneumocoque que nous traitons pour une durée totale de 7 jours. En concomitance, nous introduisons un traitement corticoïdes de courte durée. Nous proposons d'effectuer des investigations pulmonaires à distance de l'événement aigu afin de bilanter la BPCO. La patiente sera convoquée pour un rendez-vous à 3 mois. Un rendez-vous est à agender chez son médecin-traitant à la fin de la semaine. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y peut rentrer à domicile le 07.01.2019. Mme. Y est une patiente de 69 ans, aux antécédents susmentionnés et originaire du Portugal, en vacances en Suisse, qui se présente le 24.12.2018 aux Urgences en raison de douleurs abdominales para-stomiales évoluant depuis 48h, en péjoration, sans trouble du transit, nausées ou vomissements ou état fébrile. Au CT-scan abdominal, une hernie para-stomiale incarcérée est notée, ainsi qu'un iléus mécanique en amont, raison pour laquelle nous proposons une intervention chirurgicale que la patiente accepte de la manière libre et éclairée. L'intervention a eu lieu le 25.12.2018 et a permis de réduire l'intestin grêle, de fermer l'orifice herniaire et de refixer le filet péri-stomial déjà en place. Au vu de l'évolution clinico-biologique favorable, nous laissons la patiente rentrer au domicile de sa fille.Mme. Dafflon, patiente de 69 ans, connue pour BPCO oxygénodépendante à 1.5 L/min 14h/24h, avec lobectomie supérieure droite et le 12.06.2018 pour NSCLC suivi par Dr. X, est hospitalisée en raison de soins impossibles à domicile. La patiente, tabagique active et connue pour état dépressif, rapporte une asthénie avec péjoration de sa dyspnée selon elle, avec depuis trois semaines un sentiment de lassitude, de solitude et d'angoisse. Mme. ne rapporte pas de péjoration de ses symptômes de BPCO hormis une péjoration de la dyspnée avec diminution du périmètre de marche. La patiente vit seule, mais est suivie par l'association Les Traversées. Le bilan permet d'exclure un phénomène infectieux ainsi qu'une récidive tumorale. La physiothérapie respiratoire permet une lente amélioration de la symptomatologie. Sur le plan psychiatrique, un avis est demandé auprès de nos collègues. Le traitement est adapté avec augmentation de la Rispéridone. La patiente se dit partante pour la reprise d'un suivi psychologique auprès de Mme. X au Centre Bertigny, qu'elle contactera elle-même. Elle rapporte des douleurs de l'épaule droite depuis quelque temps avec déficit d'abduction. Un bilan radiologique ne montre pas de signe de fracture ni d'omarthrose. Sur le plan social, la patiente bénéficiait de soins à domicile (aide à la douche 2x/sem, semainier 1x/sem, contrôle de santé 1x/sem) et est suivie par Les Traversées. Elle déménagera dans un appartement mieux adapté entre fin février et fin mars. Nous vous laissons le soin d'adapter les soins à domicile à sa sortie de réhabilitation. Au vu de la péjoration à l'entrée de la symptomatologie respiratoire, une réhabilitation pulmonaire à Billens est organisée. Mme. Dafflon est reclassée le 21.01.2019 en attente de ce séjour. Mme. Dao, votre patiente de 35 ans, connue et traitée pour un glaucome bilatéral par Ganfort et Simbrinza, est traitée depuis le 08.01 pour une pneumonie lobaire gauche par Augmentin introduite lors d'une consultation aux urgences. Elle se présente à nouveau ce jour en raison d'une aggravation de la dyspnée et des douleurs thoraciques depuis 24 heures, associée à de la fièvre et des frissons. La patiente se plaint de toux grasse avec expectorations verdâtres depuis une semaine. Elle se plaint aussi d'un syndrome grippal avec rhinorrhée antérieure et postérieure, une odynophagie bilatérale et des céphalées frontales. À l'examen clinique, le fond de gorge est érythémateux, et l'auscultation pulmonaire révèle des crépitants jusqu'à mi-plage aux deux bases. Le laboratoire initial révèle un syndrome inflammatoire et une hyperleucocytose en diminution par rapport à sa consultation aux urgences trois jours plus tôt. Les antigènes urinaires Legionelle et Pneumocoque du 12.01.2019 ainsi que les frottis grippe reviennent négatifs. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer franc. La patiente est mise au bénéfice d'une antibiothérapie par Rocéphine et Clarithromycine du 12.01 au 15.01.2019 relayée par la suite par du Tavanic du 15.01.2019 au 20.01.2019 avec amélioration clinique et biologique. Mme. De Blasi, âgée de 82 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une réduction fermée et ostéosynthèse par clou PFNA du fémur proximal droit le 21.12.2018 après une fracture pertrochantérienne droite. Sur le plan social, la patiente vit avec son époux à domicile. Elle est autonome pour les activités de la vie quotidienne, avec une aide pour le ménage 1x/semaine. Elle se déplace à l'aide d'un rollator depuis un antécédent d'AVC cérébelleux en octobre 2018. À l'admission, la patiente se plaint de douleurs de type sciatalgie dans la jambe droite, partant de la région lombaire et irradiant jusqu'au genou. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont en partie contrôlées par l'antalgie en place. À l'anamnèse par systèmes, la patiente signale une baisse de l'appétit, des vertiges présents depuis son AVC cérébelleux et un prurit localisé dans le dos, actuellement sous contrôle par la médication. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La flexion/extension de la hanche droite est de 30-0-0 en actif et 60-0-0 en passif. La force du membre inférieur droit est cotée à M2 pour les fléchisseurs de la hanche et la sensibilité est conservée. Durant son séjour, elle a présenté des tensions artérielles basses, qui s'améliorent après la suspension de l'Amlodipine. Nous vous laissons le soin de recontrôler le profil tensionnel à distance de l'hospitalisation et d'adapter si nécessaire la médication antihypertensive. Les douleurs de type sciatalgie que rapportait la patiente à l'entrée sont en légère amélioration suite à l'introduction d'un traitement par Prégabaline et avec l'amélioration de la mobilisation. Nous vous laissons le soin de réévaluer la nécessité de poursuivre ce traitement par la suite. Un bilan radiologique de la colonne lombaire dans le contexte de douleurs de type sciatalgie met en évidence une importante arthrose interfacettaire postérieure bilatérale des deux derniers espaces intersomatiques lombaires évoquant un canal secondaire étroit dégénératif ainsi qu'une maladie de Baastrup. Il n'y a pas de fracture ou de tassement visible. Une évaluation neuropsychologique a mis en évidence une légère dysarthrie, de légères difficultés d'accès lexical, un fléchissement exécutif (tendance au comportement d'utilisation, programmation, inhibition motrice, léger agrippement visuel) et de légères difficultés gnosiques visuelles discriminatives. L'orientation, le traitement des nombres, les praxies constructives, la mémoire à court terme, la mémoire antérograde, la mémoire autobiographique sont préservées. Le MMSE aboutit au score de 27/30. L'ensemble du profil cognitif est compatible avec le récent AVC hémorragique cérébelleux droit. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec un rollator. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires de la hanche droite montrent une flexion/extension à 90-0-0 et une abduction à 30°. Au niveau de la force du membre inférieur droit : quadriceps et fléchisseurs de hanche à M3. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. De Blasi peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 17.01.2019, en bon état général. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie et d'ergothérapie à domicile pour continuer les exercices de mobilisation et pour évaluer le risque de chute et les moyens à mettre en place dans le contexte de vertiges post-AVC. Les soins à domicile sont activés. Mme. De Blonay, connue pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, est adressée aux urgences par Dr. X le 01.01.2019 en raison de douleurs avec œdème au niveau du membre supérieur droit. La patiente explique qu'avec ses ongles, elle s'est faite une plaie superficielle de 1,5 cm de longueur au niveau de la face dorsale radiale du tiers proximal de l'avant-bras droit il y a environ 3 jours. Par la suite, elle a présenté une rougeur avec œdème et impotence fonctionnelle. Elle se plaint de douleurs de tout le membre supérieur droit en distalité du coude. Pas d'autre plainte ni autre douleur, notamment pas d'état fébrile. Mme. De Blonay refuse le vaccin anti-tétanique en raison d'une réaction allergique type dyspnée lors d'une précédente administration.A l'admission aux urgences, la patiente est légèrement hypotendue à 96/64 mmHg, légèrement tachycarde à 103 battements par minute et sature à 89% à l'air ambiant. Elle est apyrétique à 36.2°C. Au status cardiaque, les bruits sont irréguliers (fibrillation auriculaire connue). Présence d'un souffle protosystolique 4/6 audible à tous les foyers, maximum au foyer aortique. Notons des signes de décompensation cardiaque droite avec turgescence jugulaire et oedèmes des membres inférieurs à droite plus qu'à gauche, prenant le godet et remontant jusqu'aux cuisses. Pas de douleur à la palpation des membres inférieurs. Au status respiratoire, la patiente est eupnéique et ne présente pas de signe de détresse respiratoire. Le murmure vésiculaire est symétrique, sans bruit surajouté. Au status digestif, l'abdomen est souple et indolore. Le status neurologique est dans la norme. Au status cutané, au niveau du membre supérieur droit, présence d'une rougeur, chaleur et oedème, accompagnés d'une douleur à la palpation de tout l'avant-bras et de la main gauche, sans trajet lymphatique visible. Pas d'adénopathie axillaire palpée. La mobilité des articulations du membre supérieur droit est conservée. L'ECG montre la fibrillation auriculaire rapide connue ainsi qu'un bloc de branche gauche, sans autre anomalie. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 63 mg/l sans leucocytose, une insuffisance rénale chronique avec créatinine à 98 umol/l et Cockroft calculé à 46 ml/min, ainsi qu'une hyponatrémie chronique à 131 mmol/l. La patiente est hospitalisée et nous débutons une antibiothérapie par co-amoxicilline 2.2 g iv 4x/jour du 01 au 08.01.2019 avec relais par co-amoxicilline per os 1 g 2x/24h du 09 au 10.01.2019 inclus. Nous contactons le Dr. X, cardiologue traitant, qui nous explique que Mme. Y a refusé tout traitement mis en place pour son insuffisance cardiaque. Au vu des oedèmes importants, nous augmentons le traitement diurétique en augmentant le Lasix à 20 mg iv 3x/j (au lieu de 40 mg 1x/j). La patiente ne tolère pas le traitement de Lasix par voie intraveineuse (hypotensions) et dans ce contexte, nous effectuons un relais par Lasix 40 mg per os 2x/j. A noter également qu'en raison d'une prise de poids importante, nous introduisons le Métolazone 2,5 mg 1x/j dès le 08.01.2019. Concernant les plaies au niveau du membre inférieur droit, nous suivons le protocole mis en place par nos stomatothérapeutes. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Mme. Y peut regagner son domicile le 10.01.2019 avec activation des soins à domicile 3x/semaine par une infirmière indépendante. La patiente sera revue à la consultation du Dr. X le 14.01.2019 pour un contrôle clinico-biologique. Mme. Y, patiente de 92 ans connue pour une FA anticoagulée par Sintrom, est transférée de l'Hôpital suite à un AVC ischémique sylvien G sur occlusion du segment M2 le 08.01.2019. En effet, la patiente présente un hémisyndrome sensitivo-moteur D associé à une aphasie et une dysarthrie, ainsi qu'une hémianopsie latérale G, d'apparition brutale à 08h25 le 08.01.2019 avec une dernière preuve de bonne santé 15 minutes plus tôt. Elle présente un NIHSS à 10 au service des urgences de l'Hôpital. L'Angio-CT cérébral à l'Hôpital révèle une occlusion M2, traitée avec succès par thrombectomie mécanique. Le CT de contrôle à 24h révèle des signes d'ischémie temporale G, ainsi qu'une transformation hémorragique avec HSA pariétale G et hémorragie périartérielle sylvienne G. La patiente est transférée le 09.01.2019 à l'Hôpital pour suite de prise en charge neurologique. Le traitement de Sintrom est mis en suspend. L'IRM du 14.01.2019 révèle une lésion ischémique aiguë à sub-aiguë dans le territoire sylvien à gauche avec des minimes suffusions hémorragiques sous-arachnoidiennes en regard. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique confirme une oreillette gauche très dilatée, sans thrombus intracardiaque. Un examen neurosonologique ne révèle pas d'athéromatose significative. Nous suspectons une étiologie cardio-embolique dans le contexte de la fibrillation auriculaire non valvulaire rapide et proposons l'adaptation du traitement anticoagulant par Eliquis 5 mg 2x/j, à introduire dès le 21.01.2019. Il est possible que des taux de Sintrom fluctuants aient favorisé la formation de thrombus intracardiaque, bien que la compliance soit bonne et l'INR d'entrée à Bern thérapeutique (2.25). Devant un profil tensionnel bas symptomatique suite à la majoration du traitement bêta-bloquant, le traitement IEC est diminué. Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 20 mg/j est introduit en raison d'une hypercholestérolémie. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 2.6 mmol/l). Le bilan biologique serait éventuellement à compléter par un bilan thyroidien en vue de la fibrillation auriculaire. L'hospitalisation est compliquée par une pneumonie d'aspiration motivant une antibiothérapie par co-amoxicilline. L'évolution est favorable, les hémocultures prélevées à froid sont négatives à 5 jours. L'évolution clinique est favorable avec un status neurologique de sortie dans la norme (NIHSS 0 point). Mme. Y peut regagner son domicile le 16.01.2019. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mme. Y est une patiente de 88 ans, qui est admise dans notre service pour une surveillance neurologique suite à une chute avec traumatisme crânien et hémorragie intraventriculaire temporale gauche. La surveillance ne montre aucune anomalie, les tensions artérielles sont stables. Un bilan de syncope devra être organisé en ambulatoire (ETT, Holter). Une angio-IRM devra également être organisée dans 3 semaines. La patiente étant domiciliée en Italie, nous laissons le soin à la famille d'organiser ces investigations. La patiente quitte l'hôpital le 02.01.2019 en présence de sa fille. Mme. Y a subi une lésion stade II à III du ligament collatéral interne du genou gauche. Je propose un traitement conservateur. La patiente portera une orthèse articulée type genu train S ou produit équivalent pour une durée totale de 6 semaines. Elle fera de la physiothérapie pour stabilisation du genou. La thromboprophylaxie peut être stoppée, sous réserve que la patiente arrive à marcher en charge, en déroulant le pas. Arrêt de travail attesté à 100% jusqu'au 03.02.2019. Prochain rendez-vous le 13.03.2019. Mme. Y est une patiente de 78 ans, institutionnalisée au hôme de Billens depuis 13 ans, avec antécédents alcoolo-tabagiques et status post résection d'un mélanome cutané en 2011 ainsi qu'anamnèse familiale de cancer, qui est envoyée aux urgences par son médecin traitant pour une péjoration d'une ptose labiale connue et dysarthrie nouvelle avec légère hémiparésie droite du MSD. Une IRM externe du 19.12.2018 montre de multiples lésions cérébrales à prédominance frontale gauche, corrélant avec la clinique. Par rapport aux lésions cérébrales découvertes, une thérapie symptomatique par Dexaméthasone est débutée avec légère amélioration des symptômes. Un avis radio-oncologique propose l'initiation d'une radiothérapie in toto du cerveau dès le 27.12.2018, avec légère péjoration initiale de la dysarthrie. La lésion primaire restant non claire, un bilan complet par CT thoraco-abdo-pelvien montre de multiples métastases au niveau hépatique, pulmonaire, rénal et thyroïdien. Nous complétons le bilan par une biopsie d'un ganglion axillaire sous ultrason et une mammographie dont les résultats sont en cours. Selon les résultats, après avis oncologique, une discussion sera à prévoir avec Mme. Y et ses proches pour décider de la suite de la prise en charge par rapport à des directives anticipées qui mentionnaient que la patiente ne désirait pas d'intervention invasive. La suite de la prise en charge, ainsi que les séances de radiothérapie pourront se faire en ambulatoire avec un retour au hôme de Billens.Une hypertension traitée sous Amlodipine est mal contrôlée et du Lisinopril 5 mg est ajouté avec évolution favorable. En attente des résultats et au vu d'un état clinique stable, la patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y consulte les urgences le 26.12.2018 en raison de douleurs lombaires droites non déficitaires. Pour rappel, la patiente vous consulte à la mi-décembre en raison de douleurs lombaires depuis environ 10 jours. Une IRM de la colonne lombaire est effectuée le 19.12.2018 et met en évidence une hernie discale médiane para-médiane bilatérale droite en L4-L5. A l'admission aux urgences, les douleurs sont d'intensité 7/10, irradiant dans le membre inférieur droit avec impotence fonctionnelle, sans perte de sensibilité. Absence de troubles de la continence fécale ou urinaire. Nous constatons une douleur élective à la palpation de la région lombaire para-vertébrale droite en regard de L5-S1 irradiant dans le territoire du nerf sciatique. Pas de perte de sensibilité, charge possible mais douloureuse, pas de perte de motricité du membre inférieur droit. Nous sommes rassurés par l'absence de red flags mais sommes toutefois préoccupés par la douleur persistante d'intensité 6-7/10 malgré l'antalgie reçue aux urgences. En raison de cette douleur persistante, nous décidons d'hospitaliser la patiente pour suivi et contrôle de la douleur. Nous contactons le Dr. X de la Spine Team en raison d'une perte de force transitoire M3-M4 du quadriceps et des muscles fléchisseurs plantaires et dorsiflexion du pied droit, ainsi qu'en raison d'une aréflexie achilléenne droite, avec un Lasègue positif à 30° à droite et une marche avec boiterie. Le Dr. X propose une nouvelle infiltration peri-radiculaire au niveau S1 à droite. Dans la difficulté d'obtenir cet examen de manière urgente, nous débutons un traitement conservateur avec adaptation du traitement antalgique. Nous mettons en place un traitement par Oxycontin, Oxynorm, Sirdalud et Dexaméthasone en schéma dégressif. L'évolution des douleurs et du déficit de force est alors progressivement favorable avec une absence de déficit moteur des membres inférieurs dont la force est évaluée à M5 des deux côtés le 30.12.2018. On constate toutefois la persistance d'une abolition du réflexe achilléen à droite, associé à un léger déficit en appui monopodal de la jambe D. Au vu de l'évolution favorable sous traitement conservateur, Mme. Y peut regagner son domicile le 01.01.2018 avec un traitement antalgique simple. Nous prescrivons également des séances de physiothérapie. Mme. Y est hospitalisée dans un contexte de décompensation cardiaque. En effet, elle a présenté des douleurs retro-sternales associées à une dyspnée progressive. Un bilan clinique, biologique et radiologique met en évidence une décompensation cardiaque à prédominance gauche. La cause de celle-ci est multifactorielle, probablement sur un passage en FA rapide ainsi que sur un pic hypertensif. Nous introduisons un traitement de diurétiques, d'IEC et adaptons le bêtabloquant avec bonne évolution. Concernant les douleurs de type angor, majorées à l'effort, nous effectuons un ECG ainsi qu'une mesure biologique des enzymes cardiaques sans particularité. Cependant, au vu des antécédents cardiaques et des douleurs, une coronarographie est prévue en électif. La patiente sera convoquée pour cet examen. Au vu de la clinique présentant arythmie, hypertension et céphalées, nous conseillons d'effectuer une récolte des catécholamines urinaires ou un dosage sanguin afin d'exclure un phéochromocytome. Mme. Y peut rentrer à domicile le 24.01.2019. Un contrôle chez le médecin-traitant est à agender prochainement. Mme. Y, patiente de 38 ans, en bonne santé habituelle, se présente aux urgences le 05.01.2019 en raison de douleurs abdominales, depuis ce jour, en fosse iliaque droite avec une diurèse conservée et sans état fébrile. Nous réalisons un CT scanner qui montre un calcul à la jonction urétéro-vésicale droite de 2,5 mm avec une dilatation pyélocalicielle de 21 mm. Nous hospitalisons la patiente en raison des douleurs non contrôlées par les morphiniques. Le lendemain, la patiente expulse un calcul, que nous faisons analyser. Les résultats vous seront transmis dans les plus brefs délais. Au vu d'une évolution clinico-biologique favorable, nous laissons la patiente rentrer à domicile. Un rendez-vous de contrôle est prévu le 08.01.2019 à la consultation du Dr. X. Nous communiquons les recommandations d'usage en ce qui concerne la maladie lithiasique. Mme. Y est une patiente de 61 ans connue pour insuffisance rénale terminale adressée par nos collègues néphrologues pour une confection de fistule artério-veineuse. En raison d'un mauvais capital veineux, nous effectuons une fistule par boucle Omniflow. Les dialyses ne pouvant attendre la maturation de celle-ci, un cathéter jugulaire provisoire est posé en peropératoire par les anesthésistes. Les suites opératoires sont simples et les séances de dialyse sont débutées le 15.01.2019. Lors de celle-ci, une tachycardie passagère maximale à 180 bpm aurait été objectivée par les infirmiers, raison pour laquelle un ECG est effectué sans signe de trouble du rythme, une fois à l'étage. Le 16.01.2019, elle présente un nouvel épisode de tachycardie pendant la dialyse avec un ECG montrant une FA rapide pour laquelle elle est transférée aux soins continus où un traitement par Flécaïnide est débuté, sans ralentissement. Une radiographie thoracique montre le cathéter de dialyse qui est probablement en contact avec la jonction atrio-ventriculaire. Un trans-cathéterisme avec remplacement par un cathéter plus court améliorant la fréquence cardiaque et la patiente maintient un rythme sinusal, avec une tachycardie entre 95 et 105 bpm pour laquelle nous introduisons le Carvédilol sur avis néphrologique. La séance de dialyse suivante est effectuée le 17.01.2019 et la patiente présente un nouveau passage en FA suite auquel le cathéter jugulaire est enlevé. Un CT abdominal est effectué dans le cadre du bilan néphrologique à la recherche d'une néphrocalcinose qui est infirmée et décrivant une athéromatose importante des artères rénales et une atrophie rénale bilatérale. Un examen Doppler ancien avait été réalisé sans signe de sténose, c'est pourquoi, l'examen sera répété en ambulatoire. Un ultrason cardiaque est effectué suite à la visualisation d'un épanchement péricardique au CT abdominal qui montre un épanchement localisé en regard du ventricule D mesurant 1 cm sans signe de gravité. Un Holter est posé le 18.01.2019 pour une durée de 48 h. La patiente rentre à domicile le 19.01.2019. Elle sera revue à la consultation du Dr. X pour suite de prise en charge le 22.01.2019. Mme. Y, patiente de 61 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour une fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide le 16.01.2019.La patiente est initialement hospitalisée pour la confection de la fistule artério-veineuse au niveau du membre supérieur gauche qui a lieu le 14.01.2019 et la mise en place d'un cathéter de dialyse provisoire par les anesthésistes sans complication. Durant la première séance de dialyse le 15.01.2019, la patiente présente une fibrillation auriculaire rapide avec une cardioversion spontanée. Le 16.01.2019, la patiente présente un nouvel épisode de fibrillation auriculaire rapide, mais cette fois persistant. Nous débutons un traitement par Flécaïnide, sans ralentissement. Une radiographie thoracique montre que le cathéter de dialyse se situe probablement au niveau de l'oreillette droite. Un trans-cathéterisme avec remplacement par un cathéter plus court permet alors un retour à un rythme sinusal. Une prochaine séance de dialyse est planifiée le 17.01.2019. Mme. Y, patiente de 33 ans, Française d'origine ethnique africaine, connue pour une anémie chronique d'origine indéterminée, en vacances chez un ami dans la région, se présente une 2ème fois aux urgences de Riaz pour être prise en charge. Le 15.12.2018, elle présente des douleurs à la loge rénale gauche. Un uro-CT est fait avec réhaussement du rein gauche sans lithiase visible. La patiente part avec un traitement antalgique simple. Elle reconsulte notre service des urgences en raison d'un état fébrile à 39 depuis le soir précédent accompagné de douleurs basithoraciques gauches et de douleurs abdominales suspubiennes. A l'examen clinique, l'état général est diminué, la patiente est fébrile à 38.5. La percussion des loges rénales est douloureuse bilatéralement mais accentuée à gauche. Nous effectuons un laboratoire montrant un syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 11 G/l et un CRP à 78 mg/l. Le stix et le sédiment urinaire montrent une leucocyturie, une hématurie microscopique et des nitrites positifs. Nous prélevons deux paires d'hémocultures et un uricult. Au vu d'une pyélonéphrite gauche, la patiente est hospitalisée pour bénéficier d'une antibiothérapie par Rocéphine. Mme. Y évolue de manière favorable sous traitement antibiotique. Elle demeure par la suite afébrile et constate une diminution rapide des douleurs. L'uricult et les hémocultures restent stériles au moment de la sortie. Au vu de la notion d'anémie d'origine peu claire, nous effectuons un bilan de l'anémie qui montre une ferritine à 11 mcg/l, une saturation à la transferrine à 5 % et un fer sérique à 2.9 mcmol/l. Nous effectuons une dose unique de ferinject le 24.12.2018, précédant la sortie. Au vu de l'évolution favorable, la patiente rentre à domicile le 24.12.2018 avec un contrôle clinico-biologique le 25.12.2018. A noter que Mme. Y revient en contrôle le 25.12.2018 avec une persistance des douleurs abdominales de l'hémi-abdomen supérieur. Les contrôles biologiques montrent une diminution du syndrome inflammatoire. L'uricult revient positif pour un E.Coli multisensible, raison pour laquelle la patiente est mise au bénéfice de la ciprofloxacine pour 7 jours in toto d'antibiothérapie. Sur le plan de l'anémie, l'acide folique dosé le 24.12.2018 montre un déficit à 2.2 ng/ml et nous débutons un traitement de substitution pour 3 mois. Nous conseillons à la patiente de consulter à son retour en France. Mme. Y est une patiente de 75 ans qui bénéficie d'une hémicolectomie droite avec curage CME par laparotomie pour une néoplasie de type adénocarcinome ulcéré du caecum ainsi que d'une surrénalectomie gauche dans le cadre d'un phéochromocytome le 15.01.2019. A noter que la patiente a bénéficié jusqu'au matin de la chirurgie d'un traitement par alpha et bêta-bloquant. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites post-opératoires sont simples. L'examen histo-pathologique confirme les diagnostics susmentionnés et met en évidence une tumeur neuro-endocrine de l'appendice. Le cas de Mme. Y est discuté lors de notre colloque interdisciplinaire et nous préconisons une surveillance. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mme. Y peut regagner son domicile en bon état général le 24.01.2019. Elle sera revue pour contrôle à la consultation du Dr. X le 25.02.2019 et convoquée par nos collègues oncologues afin d'organiser la suite de la prise en charge. Au vu d'une hypertension artérielle persistante en post-opératoire, nous introduisons un traitement par Beloc-Zok et Amlodipine. Nous laissons le soin au médecin traitant d'adapter le traitement antihypertenseur selon besoin. Mme. Y souffre d'une coxarthrose droite qui est devenue symptomatique il y a quelques mois. L'indication pour une prothèse totale de hanche à droite est donnée. La patiente sera vue par mes collègues du service d'anesthésie pour une consultation pré-anesthésique. Je la reverrai pour un nouveau bilan radiologique calibré dont j'ai besoin pour la planification de la prothèse totale de hanche à droite et pour établir le consentement éclairé après la consultation du médecin-anesthésiste. Mme. Y est une patiente de 43 ans traitée par Methotrexate et Humira dans le cadre d'une arthrite rhumatoïde qui se présente aux urgences à plusieurs reprises pour des douleurs abdominales aiguës crampiformes à prédominance épigastrique associées à des nausées et un état subfébrile. Un bilan radiologique par ultrason et CT scan abdominal met en évidence une distension de la vésicule biliaire sans signe de cholécystite et sans lithiase visualisée avec une légère dilatation du cholédoque. Dans le cadre de l'immunosuppression, la patiente est hospitalisée pour une antibiothérapie empirique par Ceftriaxone et Metronidazole et bénéficie d'une cholangio IRM le 18.01.2019 qui ne montre pas de lithiase dans la vésicule ou les voies biliaires. Devant l'évolution clinique et biologique favorable, la patiente retourne à domicile le 19.01.2019. Une gastroscopie et colonoscopie sont prévues en ambulatoire pour compléter le bilan, la patiente sera convoquée par le service de gastro-entérologie. Mme. Y est hospitalisée dans un contexte de dyspnée progressive et d'un état confusionnel aigu. En effet, cela fait une semaine que sa famille a remarqué un déclin progressif sur ces 2 plans. Les investigations cliniques, radiologiques et biologiques laissent suspecter une décompensation cardiaque à prédominance gauche. La cause de celle-ci est probablement multifactorielle, d'une part sur une fibrillation auriculaire rapide, et un état infectieux mis sur le compte d'une suspicion de pneumonie. La patiente répond favorablement à un traitement freinateur et diurétique. Nous laissons en place le traitement d'Entresto, instauré par vos soins. Nous effectuons un ultrason cardiaque ne montrant pas de péjoration par rapport à la dernière ETT, avec une FEVG à 65 %. Concernant le syndrome inflammatoire, celui-ci est mis sur le compte d'une pneumonie traitée par Rocéphine IV pour une durée totale de 7 jours avec amélioration clinique et biologique. La crase était fortement perturbée à l'arrivée de la patiente sous un traitement de Lixiana à cause de l'insuffisance rénale. Un changement de traitement par Eliquis est préconisé. Après discussion avec la patiente et sa famille, il est convenu d'effectuer une réhabilitation gériatrique à Riaz. Des demandes sont faites en ce sens. La patiente est reclassée dans l'intervalle. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR Fribourg, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie.Mme. Y est une patiente de 82 ans, sous Xarelto pour une fibrillation auriculaire, qui se présente aux urgences pour un traumatisme crânien sans perte de connaissance suite à une chute mécanique après avoir trébuché dans une marche en montant les escaliers. Le bilan radiologique exclut une fracture crânienne ou une hémorragie intracrânienne. La patiente est hospitalisée pour une surveillance neurologique de 48 heures. La surveillance reste sans particularité et la patiente peut retourner à domicile le 28.12.2018. Mme. Y est admise aux soins intensifs le 10.01.2019 pour un STEMI antérieur avec une décompensation cardiaque gauche. La patiente a présenté depuis plusieurs jours des douleurs thoraciques avec une dyspnée progressive. En raison de la récidive des symptômes, elle est amenée aux urgences où le diagnostic de STEMI avec décompensation cardiaque gauche est retenu. Après discussion avec la patiente et son fils, qui ont exprimé clairement leur refus d'effectuer une coronarographie, on a opté pour un traitement médical conservateur. L'échocardiographie de débrouillage a montré une dysfonction systolique ventriculaire gauche sévère. Le traitement de l'insuffisance cardiaque a été poursuivi. Des dérivés nitrés ont été introduits ainsi qu'un traitement par aspirine. En cas d'aggravation, la patiente ne souhaite pas de manœuvres de réanimation. La patiente est transférée à l'HIB Payerne pour la suite de la prise en charge. Mme. Y, patiente de 89 ans, est admise aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique pour un NSTEMI le 10.01.2019. La patiente présente depuis plusieurs jours des douleurs de type angor typique durant la nuit associées à une dyspnée, plus importante et plus longue cette nuit, raison pour laquelle on téléphone à l'ambulance ce jour. Les enzymes cardiaques sont augmentées. Mme. Y, connue pour une BPCO de stade 3 selon GOLD et tabagisme actif, est amenée aux urgences par son époux le 03.01.2019 à 03h00 du matin, en raison d'une dyspnée en péjoration. La patiente, oxygéno-dépendante à domicile (1,5 l/min en fixe), présente un syndrome grippal, avec notion de contage par son époux, depuis environ 1 semaine, avec écoulement nasal et céphalées, sans état fébrile. Depuis le 31.12.2018, elle présente une augmentation progressive de sa dyspnée et une toux productive, avec expectorations blanchâtres transparentes, nouvelle, nécessitant une augmentation progressive du débit de l'oxygénothérapie jusqu'à 5 l/min. À noter que Mme. Y n'est pas vaccinée contre la grippe. À l'admission aux urgences, la patiente est dyspnéique avec désaturation à 81 % à l'air ambiant, remontant à 98 % sous 4 litres d'oxygène. Notons une légère cyanose des extrémités, pas de marbrure. Elle est déshydratée. Au statut cardiovasculaire, tachycardie régulière à 110 bpm, pas de souffle cardiovasculaire, mollets souples et indolores. Les pouls périphériques sont palpés, temps de recoloration cutanée 3 s, pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire. À l'auscultation pulmonaire, sibilants diffus sur tous les champs pulmonaires, sans râle ni crépitant. Le murmure vésiculaire est symétrique. Présence d'un tirage respiratoire à l'admission. Le statut neurologique, ORL et digestif est sans particularité. L'ECG montre une tachycardie sinusale et la radiographie du thorax est superposable au comparatif du 07.08.2018. Le laboratoire montre un minime syndrome inflammatoire avec CRP à 24 mg/l sans leucocytose et une hémoconcentration. La gazométrie montre une acidose respiratoire aiguë avec pH à 7,31 et la recherche d'antigènes urinaires pour Légionelle et pneumocoque revient négative. La patiente est mise sous oxygénothérapie et bénéficie d'un traitement bronchodilatateur avec bonne réponse et une amélioration de la saturation. Nous notons cependant la persistance d'une désaturation rapide au moindre effort et nous prescrivons un traitement de Prednisone pour 5 jours. Une antibiothérapie ne nous paraît pas nécessaire au vu du contexte clinique et du laboratoire qui parlent contre une infection bactérienne. Mme. Y est gardée en observation quelques heures à l'étage de médecine et peut regagner son domicile le 03.01.2018 à 14h00 avec prescription de physiothérapie en ambulatoire. Mme. Y est une patiente de 55 ans, en bonne santé habituelle, qui s'est présentée aux urgences le 11.08.2018 en raison de douleurs abdominales associées à un ictère. Le bilan met en évidence une cholestase biologique sans syndrome inflammatoire. Un CT abdominal montre une dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. En raison d'une augmentation de la cholestase, nous effectuons une tentative d'ERCP qui retrouve une sténose du bulbe duodénal infranchissable. Des biopsies du bulbe duodénal sont effectuées. Une deuxième tentative d'ERCP est effectuée le 14.08.2018 par le Dr. X avec la pose d'un stent métallique dans le duodénum et la réalisation de biopsies. En raison d'une péjoration de la cholestase, une nouvelle ERCP est effectuée par le Dr. X le 18.08.2018 pour déboucher le stent cholédocien. Le bilan est complété par un PET-CT le 20.08.2018 qui retrouve une intense hypercaptation dans la région antrale, sans autre lésion hypermétabolique. L'ensemble des biopsies effectuées montre la présence d'un carcinome de l'estomac de type intestinal selon Lauren. En raison d'une suspicion de carcinose péritonéale à l'imagerie, nous effectuons une laparotomie diagnostique le 22.08.2018 qui confirme cette dernière. Un port-à-cath est également posé le 22.08.2018. Le cas de Mme. Y est discuté au colloque multidisciplinaire d'oncologie où il est décidé d'effectuer une chimiothérapie palliative. La patiente est transférée en médecine le 03.09.2018 pour la suite de la prise en charge. Mme. Y, connue pour une HTA et une cardiopathie ischémique, est transférée du CHUV suite à la prise en charge aiguë d'un AVC ischémique vertébro-basilaire le 01.01.2019. Pour rappel, la patiente présente le 01.01.2019 au réveil un hémisyndrome sensitivo-moteur facio-brachio-crural G, associé à une dysarthrie légère et une ophtalmoplégie internucléaire G. L'IRM cérébrale au CHUV montre une occlusion courte du tronc basilaire avec des lésions ischémiques aiguës et subaiguës cérébelleuses G, du pédoncule cérébelleux moyen D, pontique paramédian G postérieur. Un traitement endovasculaire est effectué le 01.01.2019 au CHUV. Le CT de contrôle post-intervention au CHUV montre une recanalisation avec sténose partielle persistante du tronc basilaire, sans signe de complication ou transformation hémorragique. La patiente nous est transférée le 04.01.2019 pour suite de prise en charge. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique révèle une oreillette G modérément dilatée sans autre signe de cause structurelle faisant évoquer une origine cardio-embolique. Un Holter de 72h est posé durant l'hospitalisation, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. Un neurosonologique effectué au CHUV retrouve une sténose persistante post-TEV de 50 % du tronc basilaire. Nous suspectons en premier lieu une étiologie artério-artérielle chez cette patiente polyvasculaire, toutefois nous ne sommes pas en mesure d'exclure une cause cardio-embolique. Les lésions multifocales et pluri-territoriales retrouvées à l'IRM de suivi du 09.01.2019, demandées dans le cadre d'atteinte motrice hémicorporelle non expliquée par l'imagerie cérébrale. Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 40 mg/jour est introduit en raison d'une hypercholestérolémie. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l).Sur le plan infectieux, la patiente présente durant l'hospitalisation une désaturation avec des râles auscultatoires bibasaux, à prédominance D. Une radiographie du thorax ne montre pas de franc signe de foyer. Un traitement antibiotique par Co-Amoxicilline est administré et à poursuivre pour une durée totale de 7 jours. L'évolution clinique est favorable, permettant un sevrage rapide de l'oxygénothérapie. Une consultation neuropsychologique effectuée au CHUV le 04.01.2019 montre une héminégligence unilatérale G corporelle et visuelle, atteinte mnésique antérograde bimodale, dysfonction exécutive et troubles attentionnels non latéralisés. Nous proposons une réadaptation gériatrique avec bilan gériatrique global, afin d'évaluer le maintien à domicile. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est favorable sur le plan neurologique avec un statut neurologique de sortie montrant la persistance d'une parésie faciale G d'allure périphérique, ainsi qu'une parésie du MSG et MIG résiduelle évaluée à M4, sans chute aux épreuves posturales. Discrète ataxie persistante du MSG au doigt-nez. Trouble de l'équilibre avec tendance à la chute du côté G. Mme. Y est transférée le 11.01.2019 au CTR d'Estavayer pour réadaptation gériatrique. Mme. Y présente une probable entorse stade II du ligament talo-fibulaire antérieur de la cheville gauche suite à son accident du 11.11.2018. Cette entorse est passée inaperçue vu que la patiente a marché en décharge suite à la fracture du péroné proximal gauche. Je propose à Mme. Y de porter une attelle Aircast sport pour une durée de 6 semaines. Elle ira faire de la physiothérapie à but antalgique et pour tonifier la musculature afin d'entraîner la proprioception. Vu ses trois chutes à cause d'une instabilité de son genou gauche, Mme. Y se pose la question s'il ne serait pas utile d'envisager une plastie du ligament croisé antérieur. Je lui propose de rediscuter de l'indication opératoire lorsqu'elle sera guérie de l'entorse du ligament talo-fibulaire antérieur de sa cheville gauche. Je reverrai Mme. Y d'ici 6 semaines pour une réévaluation clinique. Jusque-là elle ira faire de la physiothérapie. Arrêt de travail attesté jusqu'au 23.01.2019, date à laquelle on avait déjà prévu un contrôle clinique. Prochain rendez-vous le 23.01.2019. Mme. Y est une patiente de 62 ans, aux antécédents susmentionnés, qui est en cours d'investigation pour une suspicion de lymphome. Elle bénéficie le 27.12.2018 d'une biopsie/exérèse de ganglions axillaires gauches profonds sous anesthésie générale. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites opératoires sont simples. En vue de l'évolution clinique favorable, la patiente peut regagner son domicile en bon état général le 28.12.2018. Mme. Y, patiente de 69 ans connue pour un antécédent de glioblastome frontal droit traité par tumorectomie et radiochimiothérapie en 2005, est amenée en ambulance suite à des tremblements des membres supérieurs avec perte de contact. L'anamnèse auprès de la patiente est peu contributive, elle présente une amnésie circonstantielle. L'hétéroanamnèse auprès de son compagnon révèle des mouvements toniques des 2 membres supérieurs d'une durée indéterminée (quelques minutes) avec perte de contact sans morsure de langue et avec une perte d'urine probable. D'après la patiente, c'est le premier épisode de ce type. Elle rapporte une pollakiurie depuis plusieurs jours sans autre plainte, hormis des douleurs musculo-squelettiques habituelles traitées par Dafalgan, Novalgin et Tramal. Le statut d'entrée retrouve un statut neurologique grossièrement dans la norme et un intertrigo au niveau des plis mammaires. Le CT cérébral d'entrée ne montre pas de récidive de masse tumorale et n'explique pas les convulsions. Après avis neurologique, la patiente est hospitalisée et le bilan est complété par une IRM cérébrale montrant une large plage de gliose séquellaire frontale droite sans prise de contraste suspecte de récidive tumorale. La patiente ne présente pas de nouvelle crise durant l'hospitalisation et bénéficie d'un EEG le 02.01.2019. Sur la base de l'EEG et dans le contexte actuel, après avis neurologique, un traitement par Dépakine 2x/j est introduit sans dose de charge pour une épilepsie sur séquelle opératoire frontale droite. La patiente est également avisée que la conduite est également contre-indiquée jusqu'à réévaluation à distance de cet épisode. Parallèlement, le sédiment urinaire montre une infection urinaire que nous traitons avec une antibiothérapie par Nitrofurantoïne pour 5 jours. Sur le plan cutané, la patiente présente un intertrigo amélioré par l'application de Pevaryl poudre, que nous prescrivons pour 2 semaines. Mme. Y peut rentrer à domicile le 02.01.2019. Un rendez-vous de contrôle chez le Dr. X était déjà prévu en mars 2019. Mme. Y, âgée de 65 ans, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour poursuivre la réhabilitation respiratoire suite à une pneumonie à pneumocoques qui avait requis une ventilation non invasive intermittente du 19.10 au 24.10.2018 et le 27.10.2018, IOT (Cormack 1) et une ventilation invasive du 24.10 au 27.10.2018. Pour mémoire, la patiente a été transférée à l'HFR Fribourg du 19.11 au 27.11.2018 pour investigations et prise en charge spécialisée d'une hémorragie digestive. Sur le plan social, la patiente vit avec son compagnon à domicile. Elle est à la retraite. À l'admission, la patiente dit aller beaucoup mieux après être rentrée chez elle suite à l'hospitalisation à l'HFR Fribourg. Au statut, murmure respiratoire normo-transmis. Pas d'OMI. À la gazométrie d'entrée à l'air ambiant, les valeurs sont dans la norme hormis une légère élévation du COHb à 3.7%, confirmant un tabagisme actif. La spirométrie d'entrée, de qualité sous-optimale, démontre un syndrome obstructif de degré léger. Une DLCO révèle des troubles de la diffusion de degré sévère avec une valeur <40%, plus probablement à attribuer à une composante emphysémateuse importante. La radiographie du thorax est dans la norme avec absence de foyer ou condensation, pas de surélévation des deux coupoles diaphragmatiques ni épanchement pleural. L'ECG d'entrée montre une probable évolution de la cardiopathie de Tako-Tsubo diagnostiquée le 24.10.2018. En comparaison avec les ECG précédents dans lesquels les ondes T étaient négatives de V1 à V6, on retrouve des ondes T positives de V3 à V6. Nous vous laissons le soin d'effectuer une échocardiographie de contrôle. Dans le contexte de l'anémie chronique connue, et suite à l'hospitalisation pour hémorragie digestive, nous suivons les valeurs de l'hémoglobine et effectuons un bilan ferrique qui ne retrouve pas de carence en fer. Sur le plan nutritionnel, un SNO avait été instauré afin de favoriser la reprise de poids, mais ne sera plus nécessaire à domicile vu que Mme. Y est actuellement proche d'atteindre son poids de forme. Elle repart à domicile avec la consigne de maintenir son poids actuel (53kg) et de tenter de remonter jusqu'à 55kg (= BMI à 20) grâce à une alimentation enrichie, sans SNO. Elle doit recontacter son médecin traitant dans le cas où elle perd du poids (<51kg). Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 405m à 420m et la patiente augmente la distance parcourue sur le tapis roulant pendant 20 minutes de 1.46km à 1.6km.A la sortie, elle bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. La patiente dit aussi qu'elle veut maintenir le nombre de cigarettes fumées par jour à 5-6 dans le but d'un sevrage définitif. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 20.12.2018, en bon état général. Mme. Y est une patiente de 89 ans qui se présente aux urgences le 03.01.2019 pour des douleurs abdominales le jour même. Un CT scan abdominal met en évidence une diverticulite sigmoïdienne Hansen Stock IIb. La patiente est alors hospitalisée et bénéficie d'une antibiothérapie intraveineuse par Ceftriaxone et Métronidazole. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable et la patiente peut retourner à domicile le 09.01.2019 avec un relais des antibiotiques per os jusqu'au 17.01.2019. Concernant la lésion du pôle supérieur du rein gauche découverte fortuitement au scanner du 03.01.2019, nous décidons après discussion avec la famille de nous abstenir de toute investigation supplémentaire. Mme. Y, patiente de 58 ans en bonne santé habituelle, nous est envoyée par son médecin traitant pour une pneumonie lobaire gauche, une thoracalgie pleurétique et un syndrome inflammatoire au laboratoire. La patiente décrit une toux sèche et un état fébrile depuis le 20.01.2019, ayant commencé par des maux de gorge 3 jours auparavant. Elle est alors tachypnéique avec une fréquence respiratoire à 32/min ainsi qu'une saturation d'oxygène à 88% à l'air ambiant, la gazométrie effectuée ne montre pas d'insuffisance respiratoire. Après une radiographie thoracique montrant un éventuel foyer dans le lobe supérieur gauche, nous établissons une antibiothérapie aux urgences avec Co-Amoxicilline iv et Klacid. Après un tableau clinique et biologique montrant une nette amélioration avec apparition de rhinorrhée et expectorations vert-blanchâtre, ainsi qu'une recherche d'antigène de légionelle négative, nous pouvons écarter un doute sur une possible pneumonie atypique. Un switch oral de Co-Amoxicilline à Amoxicilline p.o. sans Klacid jusqu'au 29.01.19 est alors effectué. C'est dans un état général nettement amélioré que nous pouvons laisser rentrer Mme. Y le 24.01.19. En cas de persistance ou d'aggravation des symptômes, nous recommandons vivement à la patiente de ne pas hésiter à se présenter de nouveau aux urgences. Mme. Y est une patiente en bonne santé habituelle qui consulte les urgences le 16.01.2019 suite à un traumatisme de l'épaule gauche le 15.12.2018 en raison de douleurs persistantes et d'une perte de mobilité. Sur avis de Dr. X, nous demandons une radiographie de l'épaule gauche qui met en évidence une fracture non déplacée de la tête de l'humérus qui n'avait pas été objectivée à la radiographie de thorax datant du 17.12.2018 mais qui avait été objectivée à l'IRM datant du 11.01.2019. Dans ce contexte, la patiente rentre à domicile avec un gilet de l'épaule gauche à but antalgique et un contrôle à la policlinique avec Dr. X à une semaine. Elle ne désire pas d'ordonnance pour les médicaments car elle en a déjà à domicile. Mme. Y est une patiente de 79 ans, connue pour une hernie hiatale et un statut post-sigmoïdectomie pour diverticulite, qui se présente aux urgences le 14.01.2019 pour des douleurs du flanc droit avec des épisodes de vomissements alimentaires et un épisode de selles, sans autres symptômes digestifs et infectieux. Nous réalisons un CT scanner abdominal qui montre un iléus de l'iléon probablement mécanique sur bride, que nous traitons conservativement avec la mise en place d'une sonde nasogastrique. Le 17.01.2019, suite à la reprise du transit, la sonde est retirée et une alimentation est reprise. Mais 2 jours après, la patiente représente des signes d'iléus. Le laboratoire met en évidence des troubles électrolytiques importants qui sont substitués oralement et en intraveineux. Une nouvelle sonde naso-gastrique est replacée. Un nouveau CT est réalisé le 23.01.2019, montrant une persistance d'un subiléus avec toutefois une bonne progression du produit de contraste iléo-colique jusqu'au rectum. La patiente ayant repris un transit, la sonde naso-gastrique est retirée. Par la suite, l'évolution clinique et biologique est favorable permettant un retour à domicile le 29.01.2019. Mme. Y, opérée pour une scoliose le 06.12.2018 à Berne, consulte les urgences le 05.01.2019 en raison d'une dyspnée depuis une semaine, en péjoration depuis 24 heures, sans douleur rétro- ni parasternale. Pas de toux ni d'expectoration, pas d'état fébrile ni de frissons. La patiente nous informe qu'elle se mobilise très peu depuis l'intervention chirurgicale en raison des douleurs et qu'aucune prophylaxie antithrombotique n'a été prescrite à la sortie. Elle signale également que pendant son séjour à Berne, elle a présenté une dyspnée et une radiographie du thorax effectuée a montré un épanchement pleural droit (iatrogène sur hydratation). Pas de douleur au niveau des mollets, pas d'asymétrie. Pas de tabagisme, pas de pilule contraceptive. Mme. Y ne prend pas de traitement antalgique pour le dos car les douleurs sont gérables. A l'examen clinique effectué aux urgences, les mollets sont indolores à la palpation des deux côtés. Pas de douleur à la palpation le long du trajet veineux, pas d'asymétrie des mollets. Notons une hypoventilation basale droite à l'auscultation pulmonaire. En raison d'un score de Genève à risque modéré, nous dosons les D-Dimères qui reviennent élevés à 4895 ng/ml. Le reste du laboratoire est aligné. Nous effectuons un angio-CT scan thoracique qui montre une embolie pulmonaire centrale et l'épanchement pleural à droite connu. Malgré un PESI à risque bas, la patiente est hospitalisée pour surveillance. Une anticoagulation par Xarelto est débutée. Pendant le séjour, l'évolution est favorable et Mme. Y peut regagner son domicile le 06.01.2019 avec un traitement par Xarelto 15 mg 2x/j pour 3 semaines, puis Xarelto 20 mg 1x/j pour 3 mois au total. Un contrôle angiologique est à organiser dans 3 mois afin de réévaluer la poursuite du traitement anticoagulant (score HERDOO). Mme. Y, 89 ans, est admise aux soins intensifs pour surveillance postopératoire d'une fracture fémorale pertrochantérienne à droite avec enclouage type PNFA. La patiente, vivant seule à domicile, est tombée plusieurs fois à la maison dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre, avec une fracture fémorale pertrochantérienne le 21.01.2019. Elle est connue pour une cardiopathie rythmique et ischémique avec fibrillation auriculaire intermittente avec une FEVG à 70% sous traitement par Aspirine cardio. En per-opératoire, dans le cadre d'une instabilité hémodynamique, des supports aminergiques sont nécessaires du fait de la composante hypovolémique ainsi qu'une fibrillation auriculaire rapide. Après un bolus de Cordarone et un remplissage associé à une transfusion érythrocytaire, la fibrillation se réduit permettant un sevrage rapide des supports aminergiques. Les suites sont alors simples et la surveillance hémodynamique et rythmique se révèle favorable. L'antalgie peut être débutée per os et la patiente est confortable. Mme. Y, patiente de 53 ans, est admise aux soins intensifs pour une surveillance respiratoire dans le contexte d'une épiglottite aiguë. La patiente présente une odynodysphagie d'installation rapide le 30.12.2018, associée à un état fébrile. L'évaluation ORL met en évidence une épiglottite aiguë sur des abcès valleculaire droit et épiglottique. Elle bénéficie d'une corticothérapie et d'aérosols d'adrénaline avec une amélioration rapide de la clinique. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline est introduite. Une évolution favorable est objectivée sur le plan clinique et local au statut d'ORL. Mme. Y, une patiente de 38 ans connue pour une obésité et un trouble bipolaire, est hospitalisée pour prise en charge d'une dyspnée. Pour rappel, elle s'est présentée aux urgences le 04.01.2019 en raison d'une dyspnée aiguë dans le contexte d'un tableau d'IVRS avec céphalées, rhinorrhée et état subfébrile. Une pneumonie est suspectée, et au vu de l'état général rassurant, la patiente regagne son domicile avec une antibiothérapie empirique par Co-Amoxicilline. Une persistance, voire une péjoration de la dyspnée motive la patiente à reconsulter moins de 24h plus tard, avec cette fois un syndrome inflammatoire significatif au laboratoire. Une hospitalisation est décidée pour antibiothérapie intraveineuse et surveillance de l'état respiratoire. L'évolution est rapidement favorable avec diminution du syndrome inflammatoire permettant un relais antibiotique per os. Un traitement symptomatique de l'IVRS est entrepris. Toutefois, la persistance d'une hypoxémie isolée (après physiothérapie) avec un dosage des D-dimères à 528 le 08.01.2019 nous a contraint à organiser un CT-scan thoracique, lequel a permis d'exclure une embolie pulmonaire. Cet examen n'a par ailleurs pas montré de foyer infectieux pulmonaire, remettant en question l'hypothèse diagnostique initiale de pneumonie. Les antigènes urinaires et les hémocultures sont revenus négatifs. L'hypoxémie pourrait être expliquée par un trouble ventilatoire lié à l'obésité morbide et/ou une bronchite bactérienne. Dans le doute et au vu d'une réponse biologique clairement favorable sous Co-Amoxicilline, l'antibiothérapie est maintenue pour une durée totale de 7 jours. La patiente présentant une bonne évolution clinique, elle regagne son domicile le 09.01.2019. Au vu des facteurs de risque importants pour un SAOS, une polygraphie est organisée en ambulatoire ainsi qu'une consultation au Centre Métabolique pour définir une stratégie efficace de perte de poids. Mme. Y, 53 ans, est admise aux Soins Intensifs pour une surveillance respiratoire dans le contexte d'une épiglottite aiguë, avec mise en évidence à J1 d'abcès valléculaire droit et épiglottique. Le frottis oropharyngé montre un Haemophilus Hemolyticus. Les hémocultures sont en cours à la sortie. Elle bénéficie d'une corticothérapie et d'aérosols d'Adrénaline avec antibiothérapie probabiliste par Co-Amoxicilline IV avec relais per os à la sortie. Une évolution favorable est objectivée sur les plans clinique et local au statut d'ORL, avec toutefois persistance d'un minime abcès de la face linguale de l'épiglotte en nette diminution et régression de l'œdème permettant un retour à domicile. La patiente est avisée de reconsulter immédiatement en cas de nouvelle péjoration et sera revue dans 48h d'office. L'antibiothérapie sera poursuivie 14 jours. Mme. Y consulte les urgences le 11.01.2019 suite à la présence, depuis 3 jours, d'un état fébrile avec toux expectorante, douleurs thoraciques, rhinorrhée claire, odynodysphagie, otalgie et fatigue importante. Le laboratoire montre une CPR élevée sans leucocytose et la radiographie du thorax met en évidence un épaississement de la trame bronchovasculaire basale droite. Une infection des voies aériennes supérieures de probable origine virale est suspectée avec proposition d'un traitement symptomatique. La patiente reconsulte les urgences le 12.01.2019 en raison d'une toux persistante avec importantes douleurs rétro-sternales durant les quintes, non soulagées par l'antalgie d'AINS, Tramal et Dafalgan. À l'admission aux urgences, nous mettons en évidence une tachypnée avec saturation à l'air ambiant dans la norme ainsi qu'une hypotension artérielle. L'auscultation pulmonaire révèle des râles crépitants bibasaux à prédominance droite. Le bilan biologique et radiologique est superposable à celui de la veille. Mme. Y est hospitalisée pour prise en charge de pneumonie basale droite, traitée par Ceftriaxone 2g IV 1x/j et Clarithromycine 500 mg IV 2x/j. Une hydratation parentérale est également débutée. Sur le plan infectieux, l'évolution clinique est favorable avec diminution de la symptomatologie d'inconfort respiratoire. Le bilan biologique montre une diminution du syndrome inflammatoire. Dans ce contexte, nous relayons l'antibiothérapie par de la Co-Amoxicilline 1g per os 2x/j durant 7 jours. Sur le plan gastro-entérologique, nous traitons symptomatiquement des épigastralgies par Pantoprazol 40 mg 1x/j, durant 7 jours. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution clinique. Enfin, nous suspectons cliniquement un syndrome des jambes sans repos, pour lequel nous vous proposons de réaliser un bilan en ambulatoire. Selon son souhait, Mme. Y rentre à domicile le 14.01.2019. Mme. Y est une patiente de 61 ans, qui depuis mi-décembre présente un ictère avec une perturbation des tests hépatiques importants. Dans ce contexte, un CT abdominal est organisé, montrant une dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatique ainsi qu'une lésion focale de la tête du pancréas avec un effet de masse sur le canal cholédoque et le Wirsung, raison pour laquelle elle bénéficie d'une ERCP le 04.01.2019 avec biopsies et échec de mise en place d'un stent. Elle est suite à ce geste hospitalisée et une antibiothérapie est débutée en attendant une prochaine ERCP qui était agendée pour le 09.01.2019. Le 07.01.2019, la patiente présente un état fébrile avec des signes de choc et bénéficie donc d'une ERCP en urgence où l'on réussit à mettre en place un stent. Celui-ci est au départ fonctionnel, mais le 15.01.2019, la patiente représente un état fébrile jusqu'à 39.3°C avec une augmentation du syndrome inflammatoire et de la bilirubine jusqu'à 200 umol/l. Le CT-scan abdominal montre des signes d'obstruction et un déplacement du stent, et une nouvelle ERCP est donc organisée permettant un remplacement du stent. Par la suite, l'évolution est favorable sur le plan clinique avec une patiente totalement asymptomatique, et au niveau biologique avec diminution du syndrome inflammatoire et des tests hépatiques. Les résultats de la biopsie reviennent positifs pour un adénocarcinome de la tête du pancréas. Le cas de Mme. Y est discuté à notre Tumor board le 16.01.2019, préconisant une intervention de Whipple. Nous exposons le diagnostic à la patiente et lui expliquons la prise en charge chirurgicale, ses risques et ses complications, ce qu'elle comprend. Le consentement est signé de manière libre et éclairée et l'intervention est agendée pour le 30.01.2019. Le 19.01.2019, la patiente peut rentrer à domicile. Une antibiothérapie par Ciprofloxacine et Flagyl est à poursuivre jusqu'à l'intervention. Elle sera revue à la consultation du Dr. X le 28.01.2019 pour effectuer une prise de sang avant l'intervention et répondre aux dernières questions. Mme. Y, patiente de 85 ans connue pour une hypertension actuellement résolue, une dyslipidémie non traitée et un tabagisme actif, est hospitalisée pour un épisode dépressif léger. Elle se présente aux urgences en raison d'une baisse de l'état général dans le contexte d'une diminution de la prise alimentaire et perte d'environ 4 kg avec baisse de la thymie. L'anamnèse révèle une inappétence et une humeur dépressive depuis 2 semaines sans idées noires. L'examen physique est sans particularité. Nous retenons un syndrome dépressif léger et introduisons un traitement de Remeron à faible dose. La patiente montre une bonne évolution avec reprise de l'alimentation et amélioration progressive de la thymie. Nous vous proposons de suivre l'évolution de la patiente et d'augmenter la dose de Remeron après 3-4 semaines si nécessaire.La patiente ne souhaitant plus rentrer au domicile, nous recherchons des places dans des homes. Le mari de la patiente étant institutionnalisé dans le home de Meyriez, une place est demandée. Au vu de la bonne évolution clinique de la patiente, elle est transférée en bon état général au home de Meyriez le 18.12.2018. Mme. Y, votre patiente de 59 ans, connue pour HTA et dyslipidémie avec antécédent d'infarctus en février 2015, se présente aux urgences le 28.12.2018 pour des vertiges rotatoires avec instabilité à la marche, sans chute, des nausées associées avec 2 épisodes de vomissement, ainsi que des céphalées d'apparition rapidement évolutifs sous 2 jours. Les vertiges semblent augmentés par le mouvement et sont diminués lors du repos, et sont associés à une hypoacousie à droite fluctuante, des céphalées constantes et une diminution de l'acuité visuelle bilatérale. Notons un début d'infection des voies respiratoires supérieures avec une toux sèche. A l'examen clinique, on note des troubles vestibulo-cochléaires périphériques droits avec un test de Halmaggi positif à droite, un nystagmus rotatoire horizontal battant et persistant vers la droite, une poursuite oculaire saccadée et une surdité droite. On note également une diminution de l'acuité visuelle à 20/250 (avec les lunettes) bilatéralement. Au vu de la présence des céphalées et des troubles visuels non compatibles avec une atteinte périphérique vestibulo-cochléaire droite, nos collègues neurologues suggèrent un CT-Scan cérébral puis une IRM cérébrale qui exclut toute pathologie vasculaire ou tumorale. Sur avis de nos collègues ORL, nous initions un traitement par corticoïde à haute dose avec protection gastrique à poursuivre jusqu'au 10.01.2019, et une prise en charge physiothérapeutique de mobilisation, proprioception et vestibulaire. Au bilan ORL avec audiogramme, on confirme un déficit cochléo-vestibulaire droit périphérique avec une surdité mixte sévère. Au vu de la persistance de la cophose à droite avec nystagmus spontané persistant, la poursuite de la prise en charge se fait en ambulatoire en ORL avec un rendez-vous prévu le 10.01.2019 à 13h45 pour proposer un audiogramme et des injections transtympaniques de solucortef et acide hyaluronique. Le séjour de la patiente est marqué par une amélioration de l'autonomie avec une marche qui se réalise moyennant l'utilisation des cannes anglaises. Elle nécessite cependant une aide qui lui est organisée. La patiente sort ce 08.01.2019 avec une aide à domicile notamment pour le ménage et la poursuite de la prise en charge physiothérapeutique en ambulatoire. Mme. Y, connue pour une hypothyroïdie, un tabagisme actif à 35 UPA et une BPCO, présente une dyspnée NYHA III accompagnée d'une toux grasse depuis le 22.12.2018. Elle consulte les urgences le 24.12.2018 et une antibiothérapie ainsi qu'un traitement par Prednisone sont introduits. La patiente refuse une hospitalisation et regagne son domicile. Elle reconsulte les urgences le 26.12.2018 en raison de l'aggravation de sa dyspnée. A l'examen clinique d'entrée, nous retrouvons des râles diffus pulmonaires avec des sibilants. Nous ne mettons pas en évidence de signe de décompensation cardiaque. Le laboratoire montre une leucocytose à 15 G/l, la CRP est < 5 mg/l. La gazométrie montre une insuffisance respiratoire partielle. La saturation est à 88% à l'air ambiant, remontant à 92% sous 1 l/min d'oxygène. La radiographie thoracique ne montre pas de foyer pulmonaire constitué. Nous retenons le diagnostic d'exacerbation de BPCO avec 2/3 critères d'Anthonisen. Mme. Y est hospitalisée et nous poursuivons l'antibiothérapie per os par Co-amoxicilline 1 g 2x/j jusqu'au 31.12.2018. Le traitement par Prednisone est poursuivi pendant 3 jours et la patiente bénéficie également d'un traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. L'évolution est par la suite favorable permettant un sevrage de l'oxygénothérapie et Mme. Y peut regagner son domicile le 31.12.2018 avec Spiriva et majoration de son traitement habituel de Symbicort. Nous lui rappelons l'importance de l'arrêt du tabac. Mme. Y, âgée de 81 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Riaz pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à l'implantation d'une prothèse totale de hanche gauche le 12.12.2018 dans un contexte d'ostéonécrose de la tête fémorale post-statuts d'ostéosynthèse par plaque LISS d'une fracture du fémur proximal en 2014. Sur le plan social, la patiente, retraitée, vit à domicile avec son frère handicapé dans une ferme accessible sans escalier. Elle bénéficiait déjà du passage des soins à domicile 2x/semaine. A l'admission, la patiente n'a pas de plainte. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au statut, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme à travers le Comfeel avec présence d'un hématome minime. La flexion de la hanche gauche est de 90° en actif. La force du quadriceps gauche est cotée à M3+ et la sensibilité est conservée. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises dans tout l'établissement. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion de la hanche gauche à 70° en actif, 90° en passif et une abduction à 30° en actif et en passif. La force du MIG est cotée à M4 pour le quadriceps et M3 pour le psoas. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 09.01.2019, en bon état général. A la sortie, les soins à domicile sont réactivés. Mme. Y est amenée aux urgences par l'ambulance en raison de plusieurs crises d'épilepsie tonico-clonique inaugurale le 10.01.2019 au domicile. Selon l'hétéro-anamnèse, Mme. Y aurait fait une crise tonico-clonique aux alentours de 3h00 du matin alors qu'elle regardait la télévision seule. Ceci a provoqué une chute avec traumatisme crânien. Son ami qui dormait dans la pièce d'à côté a été alerté par le bruit et l'aurait retrouvée couchée au sol, inconsciente, durant environ 5 minutes, sans notion de perte d'urines ou de selles. Par la suite, deux épisodes de crise tonico-clonique avec des mouvements des 4 membres objectivés par son ami et les ambulanciers, d'une durée d'environ 40 secondes et de résolution spontanée. Nous diagnostiquons des crises d'épilepsie provoquées sur intoxication par Tramadol (prise de 1 g sur 24h pour une omalgie droite) et privation de sommeil. L'EEG réalisé ne montre pas de foyer épileptogène. Selon avis auprès de nos confrères neurologues, au vu du contexte de crises d'épilepsie provoquées, il n'y a pas d'indication à un traitement anti-épileptique en l'absence de récidive. La patiente est informée de l'interdiction de conduite pour 3 mois. L'angio-CT effectué montre des plages hypodenses sous-corticales du lobe frontal droit et pariéto-temporal droit aspécifiques mais pouvant être des lésions démyélinisantes ou micro-vasculaires. A noter la présence d'important artéfact. Dans ce contexte, et en raison d'un léger syndrome pyramidal gauche (signe de Babinski et hyperflexie à prédominance gauche), une IRM ainsi qu'une ponction lombaire à la recherche de bandes oligoclonales est indiquée. Au vu d'une claustrophobie, une IRM ouverte est organisée au CIF le 15.01.19. Les résultats seront transmis au service de neurologie, en fonction, la patiente sera recontactée pour organiser la ponction lombaire. Un rendez-vous de suivi en neurologie est déjà agencé pour le mois de février.Avant son départ, Mme. Y mentionne la présence de sudation nocturne, évoluant depuis au moins 6 mois sans autres symptômes B associés. Au status, on ne retrouve pas d'adénopathie ou d'organomégalie, la formule sanguine complète est par ailleurs sans anomalie. Nous laissons le soin au médecin traitant de suivre cette problématique en ambulatoire et d'organiser des examens plus approfondis si jugé nécessaire. Un retour à domicile est organisé le 11.01.19. Mme. Y, votre patiente de 74 ans, connue pour un lymphome à grandes cellules B diagnostiqué le 19.07.2018, est électivement hospitalisée par son oncologue traitant (Dr. X) pour un troisième cycle de chimiothérapie. À son admission, la patiente ne rapporte aucune plainte particulière et l'examen clinique est sans particularité, hormis des très discrets œdèmes des membres inférieurs et un rythme irrégulier sur une fibrillation auriculaire connue et non anticoagulée. Elle bénéficie d'une chimiothérapie par Rituximab et Méthotrexate le 21.01.2019 selon le protocole établi par les oncologues. Le suivi des taux de Méthotrexate est dans les normes attendues. La substitution en acide folique et l'alcalinisation des urines sont également effectuées selon le protocole. L'hospitalisation est marquée par une bonne tolérance au traitement, hormis quelques signes de surcharge périphériques (œdème des membres inférieurs) qui nécessitent l'administration de diurétiques avec amélioration des symptômes. D'un point de vue ophtalmologique, la patiente se plaint de larmoiement depuis le début de la chimiothérapie. L'examen ophtalmologique montre une conjonctive bilatérale redondante et laxiste sans chémosis. Raison pour laquelle, la patiente est mise au bénéfice d'onguent de vitamine A. Un rendez-vous de suivi dans 3 semaines est prévu pour discuter d'une éventuelle intervention consistant à cautériser le surplus de conjonctive. La patiente sera convoquée. Nous poursuivons la prise en charge de l'état dépressif par de l'Escitalopram, dont nous vous laissons le soin d'adapter le traitement. La patiente rentre à domicile le 25.01.2019 avec un rendez-vous auprès de Dr. X. La patiente a été convoquée. Mme. Y est une patiente de 53 ans, connue pour une HTA traitée et de multiples hospitalisations dans un contexte d'abus d'alcool chronique, qui se présente le 26.01.2019 pour des douleurs occipitales en péjoration suite à une chute la veille avec traumatisme crânien. Au service des urgences, un CT cérébral exclut une hémorragie ou une fracture et la patiente est hospitalisée pour antalgie, sevrage éthylique et investigations de chute. Elle décrit 2 chutes dans la dernière semaine, ainsi que de multiples chutes dans le passé, avec dernière consommation d'alcool la veille, sans prodrome particulier mais des vertiges atypiques. L'ETT montre une stabilité de la FEVG depuis 2015, abaissée probablement dans le contexte éthylique. Le bilan thyroïdien revient dans la norme. Le massage des sinus carotidiens permet d'exclure une hypersensibilité et un holter de 3 jours est à pister. Les douleurs occipitales sont soulagées par le Dafalgan et les soins locaux. Le sevrage éthylique se déroule sans complication sous couverture par Seresta et substitution vitaminique. D'après la patiente, elle serait suivie au Portugal par son médecin traitant, une psychologue ainsi qu'une assistante sociale 1x/mois pour la problématique de l'alcool. Après notre proposition de réitérer un sevrage intra-hospitalier à Marsens, elle souhaite continuer le suivi au Portugal et consolider son sevrage sur place. Durant le séjour, la patiente développe une pollakiurie associée à une douleur en loge rénale gauche le 30.01.2019 avec un sédiment sale laissant suspecter une pyélonéphrite. Une antibiothérapie empirique est initiée. L'urotube est en cours. L'évolution est rapidement favorable. Mme. Y peut rentrer à domicile le 31.01.2019 en bon état général et sans signe de sevrage. Mme. Y, connue pour une cardiopathie ischémique bitronculaire, consulte les urgences le 06.01.2019 en raison d'une dyspnée. La patiente présente une odynophagie depuis une semaine, qu'elle traite par la prise de sirop et de comprimés à sucer, sans amélioration. Depuis ce matin, elle se plaint d'une dyspnée très importante, présente au repos et accompagnée d'une toux sèche depuis plusieurs jours. Mme. Y avoue avoir arrêté une partie de son traitement, dont l'Aspirine cardio et le Beloc Zok. À l'admission aux urgences, la patiente est hypertendue à 167/117 mmHg, tachycarde à 114/min et sature à 90% à l'air ambiant. Au status cardiaque, B1B2 sont réguliers avec présence d'un souffle holosystolique d'intensité 3/6, irradiant en écharpe, et des œdèmes des membres inférieurs jusqu'aux genoux prenant le godet. L'auscultation pulmonaire met en avant la présence de sibilances diffuses. Au status digestif, l'abdomen est pléthorique, dépressible et indolore à la palpation. Nous effectuons un ECG qui met en évidence un bloc de branche droit incomplet avec des ondes T négatives en territoire inféro-latéral ainsi que des extrasystoles supraventriculaires qui étaient déjà présentes sur un ancien ECG. La radiographie de thorax montre un épanchement pleural bilatéral mais une absence de foyer. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 54 mg/l et des leucocytes à 18.5 G/l. Nous retenons le diagnostic principal de décompensation cardiaque globale dans le contexte d'une bronchite, introduisons un traitement diurétique de Lasix 40 mg 2x/j et Mme. Y est hospitalisée. Durant le séjour, nous administrons de multiples doses de Lasix iv puis nous effectuons un relais per os à la sortie par Torasémide, traitement que nous majorons à 30 mg 1x/j au vu des fréquentes décompensations cardiaques présentées par la patiente. Concernant la bronchite, la patiente bénéficie d'un traitement symptomatique par Fluimicil et de physiothérapie respiratoire. L'évolution est favorable avec une diminution de la symptomatologie. La patiente demeure par ailleurs afébrile et hémodynamiquement stable au cours du séjour. En ce qui concerne le traitement anticoagulant, un INR infra-thérapeutique à 1.4 est mis en évidence aux urgences. Nous réintroduisons le traitement par Sintrom ainsi que l'Héparine jusqu'à obtention de deux INR thérapeutiques. Malgré nos efforts, l'anticoagulation reste infra-thérapeutique au moment de la sortie à 1.9. Nous vous proposons d'effectuer un contrôle à 5 jours de l'hospitalisation. Concernant l'hypertension artérielle que la patiente présente aux urgences, nous n'ajoutons pas de nouveau traitement d'emblée aux urgences et effectuons une surveillance rapprochée des tensions artérielles afin de considérer si elles s'améliorent avec le traitement diurétique. À l'étage, nous réintroduisons le traitement de Beloc Zok 12.5 mg 1x/j que nous conseillons à la patiente de poursuivre à domicile. Par ailleurs, Mme. Y présente des tensions toujours élevées, raison pour laquelle nous augmentons son traitement d'Amlodipine habituel à 10 mg. Nous vous proposons de réévaluer la situation à la sortie. Mme. Y rentre à domicile le 11.01.2019 avec un traitement de Torem 30 mg, d'Amlodipine 10 mg et de Beloc Zok 12.5 mg. Nous instaurons des soins à domicile une fois par semaine pour un suivi du poids et une préparation du semainier. Mme. Y prendra rendez-vous à votre consultation la semaine suivante pour contrôle clinique et réévaluation du traitement médicamenteux selon l'évolution.Mme. Gaillard présente des gonalgies D qui sont dues à une arthrose tri-compartimentale déjà connue et d'omalgies D pour lesquelles je suspecte en premier lieu une bursite sous-acromiale. Comme diagnostic différentiel, il faut retenir une atteinte de la coiffe des rotateurs et éventuellement de l'infra-épineux. Je propose un traitement conservateur pour l'épaule, physiothérapie schéma San Antonio pour tonifier la coiffe des rotateurs et des massages de décontraction musculaire. Au niveau du genou, je propose à Mme. Gaillard une infiltration par cortisone. Cette infiltration aura lieu le 23.01.2019. Je la reverrai trois semaines après l'infiltration pour discuter des résultats et du traitement. J'encourage vivement Mme. Gaillard à perdre du poids. Un régime Weight Watchers pourrait être idéal pour la patiente. Mme. Gaillard va se renseigner. Mme. Galliker, patiente de 75 ans connue pour un HIV depuis 1987 sous Triumeq (suivi par le Dr. X) consulte en raison d'un état fébrile avec douleurs sus-pubiennes, dysurie et pollakiurie. Elle rapporte aussi des frissons d'environ 1 min, non généralisés, ainsi que 2 épisodes de vomissements. La patiente est connue pour des antécédents d'infections urinaires et 2 épisodes de calculs rénaux. Elle est également suivie pour une sinusite chronique sous corticostéroïdes inhalés (Dr. X), et présente une dyspnée chronique en péjoration avec toux depuis environ 6 mois avec quelques expectorations verdâtres, sans symptôme ORL. Elle a consulté le Dr. X (pneumologie) le 07.01.2019 avec introduction de Symbicort à la place du Relvar Ellipta. Pas de contage, pas de virose ORL récente. Le bilan biologique d'entrée montre un syndrome inflammatoire et le sédiment urinaire des signes d'infection. L'ECG est dans la norme et la radiographie de thorax ne montre pas de foyer franc. La patiente bénéficie d'une antibiothérapie empirique par Rocéphine intra-veineuse. L'Urotube effectué en ambulatoire montre un Proteus mirabilis sensible à la Ciprofloxacine et un relais per os est effectué le 11.01.2019 pour un total de 7 jours. Sur le plan pulmonaire, suite au changement médicamenteux avec introduction de Symbicort, la patiente rapporte une légère amélioration mais se plaint encore de toux avec de rares expectorations. Elle utilise son traitement d'Avamys (corticoïde inhalé) selon ses symptômes. Durant le séjour, la patiente rapporte une prise de poids d'environ 10 kg en 6-9 mois suite à une opération de l'épaule gauche. Le status clinique ne montre pas de signe de surcharge liquidienne. Les hormones thyroïdiennes sont dans la norme. À noter la prise pendant plus d'une année de Cipralex, stoppé par la patiente il y a environ 2 semaines. Un suivi nutritionnel est organisé le 22.01.2019. Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Galliker peut rentrer à domicile le 12.01.2019. Mme. Gantcheva, une patiente de 46 ans connue pour un carcinome thyroïdien, est hospitalisée pour une iodothérapie élective. L'hospitalisation se déroule sans problème notable. L'iodothérapie, supervisée par nos collègues de médecine nucléaire, s'est déroulée sans complication et la patiente a bénéficié d'une scintigraphie post-traitement. La patiente quitte l'hôpital le 23.01.2019 avec suivi du problème en cours par son endocrinologue. Mme. Gauch est une patiente de 71 ans, qui est hospitalisée en raison d'une baisse de l'état général à J6 d'une deuxième chimiothérapie par Taxotère et Platinol dans le contexte d'un adénocarcinome pulmonaire. Pour rappel, la patiente a déjà été hospitalisée dans un contexte similaire après sa première cure de chimiothérapie. La patiente se plaint de douleurs abdominales, d'un épisode de diarrhées, d'inappétence et d'asthénie sans état fébrile ou frissons. Au status, on retrouve une sensibilité en région sus-pubienne sans état fébrile. Au vu d'un sédiment sale, nous introduisons une antibiothérapie. L'urotube revient positif pour un E. Coli multisensible. Nous mettons les diarrhées dans le cadre d'effets secondaires de la chimiothérapie et traitons symptomatiquement avec amélioration rapide de l'état général. La patiente sera revue en consultation d'oncologie pour la suite de la prise en charge. Au niveau nutritionnel, la patiente est suivie en ambulatoire par des diététiciens. Nous constatons une malnutrition protéino-énergétique sévère. La patiente accepte une nutrition par sonde nasogastrique. Plusieurs tentatives de poser la sonde ont échoué à cause d'une hernie hiatale. La sonde sera posée en ambulatoire en gastroentérologie à l'HFR Fribourg le 31.01.2019. Des soins à domicile sont organisés pour gérer la nutrition par la sonde par la suite. Au niveau hématologique, nous observons une pancytopénie que nous mettons sur le compte de la chimiothérapie. Le niveau de leucocytes se corrige rapidement. Les thrombocytes remontent progressivement jusqu'à 130 G/l. Au niveau de l'anémie, nous n'observons pas de carence vitaminique. Nous proposons un suivi biologique en ambulatoire. Au bilan biologique d'entrée, nous constatons une hyponatrémie, rapidement corrigée par une restriction hydrique. Une hypomagnésémie et une hypokaliémie sont substituées per os. Cette substitution est à poursuivre après la sortie et un contrôle des électrolytes est proposé au médecin traitant dans une semaine. Mme. Gauch rentre à domicile le 25.01.2019. Mme. Gehringer est une patiente de 77 ans hospitalisée dans le service de Médecine début novembre 2018 pour une pyélonéphrite traitée par Ceftriaxone et Ciproxine qui se présente aux Urgences le 24.12 pour des douleurs au flanc gauche depuis la veille. Un CT-scan abdominal met en évidence un kyste surinfecté para-rénal gauche de 5 x 6 cm, la patiente bénéficie alors d'un drainage sous CT. Une antibiothérapie intraveineuse par Ceftriaxone est débutée. En raison d'une péjoration clinique et biologique après 48h, nous changeons l'antibiothérapie par du Meronem et effectuons un nouveau scanner qui met en évidence une infiltration des tissus mous sous-cutanés, la patiente est alors prise au bloc opératoire pour une lombotomie avec évacuation de l'abcès et drainage. Les prélèvements per-opératoires montrent un Enterobacter aerogenes sensible à la Ciprofloxacine. L'antibiothérapie est prescrite pour une durée totale de 3 semaines sur avis infectiologique. Nous vous laissons le soin de pister les résultats de la biopsie, effectuée par le Dr. X. À noter que pendant l'intervention, nous constatons une lésion iatrogène du côlon qui peut être suturée et de la plèvre gauche, raison pour laquelle un drain thoracique est posé. Au vu d'une évolution clinico-biologique favorable, la patiente peut rentrer à domicile le 03.01.2018. Un rendez-vous de contrôle sera organisé en début de semaine prochaine par la patiente chez le Dr. X, urologue. Nous conseillons également à la patiente de prendre rendez-vous chez son médecin de famille en début de semaine prochaine afin de rediscuter d'un traitement antihypertenseur adapté en raison d'une tension artérielle non contrôlée sur la durée de l'hospitalisation ainsi qu'un contrôle biologique de la fonction rénale. Mme. Geinoz est admise en électif pour la pose d'un stent dans la veine cave inférieure. En effet, lors d'un scanner abdominal effectué début janvier 2019, une compression de la veine cave inférieure a été découverte. Celle-ci explique l'apparition d'importants œdèmes des membres inférieurs. Une indication à une pose de stent est donc préconisée. L'opération se déroule sans complication, les suites opératoires sont simples. Mme. Geinoz peut rentrer à domicile le 18.01.2019.Mme. Genoux est une patiente de 73 ans, qui est hospitalisée dans notre service de chirurgie pour une prise en charge élective d'une fermeture d'iléostomie post-résection antérieure basse dans le cadre d'un adénocarcinome du moyen rectum. L'intervention se déroule sans complication. L'évolution post-opératoire est tout à fait favorable, la réalimentation est bien tolérée. La patiente rejoint son domicile le 12.01.2019. Elle sera vue à la consultation du Dr. X dans 6 semaines pour un contrôle post-opératoire. Mme. Georgi est une patiente de 74 ans, chez qui au décours d'une appendicectomie compliquée d'un abcès nécessitant une réintervention, une colonoscopie met en évidence un adénocarcinome au niveau du côlon ascendant. La patiente bénéficie le 04.01.2019 d'une hémicolectomie droite avec CME qui se déroule sans complications notables. Les suites post-opératoires sont marquées par des nausées importantes qui se sont par la suite atténuées, ainsi que par des troubles électrolytiques qui ont été compensés. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, la patiente rentre à domicile le 13.01.2019. Elle sera revue à la consultation du Dr. X le 17.01.2019. À noter que durant l'hospitalisation, la patiente se luxe l'épaule gauche suite à un faux mouvement dans le lit, une réduction fermée est alors effectuée aux urgences avec une immobilisation par gilet orthopédique pendant 7 jours. Sur avis de nos collègues de l'orthopédie, une physiothérapie est par la suite prévue. En cas de persistance des symptômes, la patiente peut être adressée à la consultation d'orthopédie (membre supérieur) avec une IRM de l'épaule avant. Mme. X, 57 ans, connue pour un carcinome pulmonaire à petites cellules métastatiques, actuellement en progression. Suivie par le Dr. X à la clinique Beausite à Bern, elle est hospitalisée à Riaz le 27.12.2018 pour baisse de l'état général, inappétence, nausée et vomissements, en persistance malgré l'arrêt du traitement oncologique. La patiente développe des troubles de l'état de conscience, motivant un CT cérébral montrant une hypodensité cérébelleuse et une ponction lombaire qui revient normale. Dans ce contexte, la patiente est transférée aux soins intensifs de Fribourg. L'origine de la dégradation rapide d'un point de vue neurologique est restée peu claire et après réévaluation de la situation oncologique avec un nouveau CT thoraco-abdominal qui montre une importante progression tumorale, nous rediscutons de la situation avec la famille et nous dirigeons vers des soins de confort. La patiente est transférée en médecine interne, sous pompe de morphine i.v., pour des soins de confort dès le 31.12.2018. Elle décède le 05.01.2019. Mme. X opérée le 28.01.2019 pour une lésion type anse de seau du ménisque interne genou D par arthroscopie consulte ce jour pour réfection du pansement. La patiente sera revue le 01.02.2019 pour réfection du pansement puis à deux semaines post-opératoires à la consultation du Dr. X pour ablation des fils. La patiente pourra charger avec deux cannes anglaises selon tolérance. Mme. X présente une lésion type anse de seau du ménisque interne de son genou droit. Elle présente également une distorsion du ligament croisé antérieur. Comme diagnostic différentiel, il faut retenir une rupture partielle. Vu l'âge de la patiente, je lui ai proposé une résection de l'anse de seau du ménisque interne arthroscopiquement. La patiente est informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci et nous donne son accord oral et signé. La patiente sera encore vue par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. L'intervention est prévue en ambulatoire pour lundi 28.01.2019. Mme. X nous est adressée pour une réadaptation cardiovasculaire suite à un remplacement valvulaire aortique par bioprothèse le 07.12.2018. Traitement à l'entrée : • Metfin 500 mg 1-0-1-0 • Bisoprolol 5 mg 1-0-0-0 • Atorvastatine 40 mg 0-0-1-0 • Sintrom 1 mg schéma selon dates Durant son séjour, la patiente décrit une toux en augmentation avec présence d'une auscultation compatible avec des épanchements pleuraux. La radiographie de thorax montre des épanchements pleuraux minimes bilatéraux. Nous ajoutons un traitement de Prednisone 25 mg pendant 2 jours dès le 27.12.2018, puis 10 mg pendant 2 jours puis 5 mg pendant 2 jours. La toux devient productive, justifiant une culture d'expectoration le 28.12.2018 qui objective une flore bucco-pharyngée. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire. Nous concluons à un syndrome grippal et poursuivons donc uniquement avec le traitement de Prednisone avec évolution favorable. Sur le plan cardiologique, nous ajoutons un traitement de Lisinopril 2.5 mg 1 fois par jour en raison de tensions artérielles élevées et d'un diabète de type 2 connu avec une bonne évolution du profil tensionnel. Au sujet du réentraînement à l'effort, la patiente a débuté dans un groupe d'intensité modérée et elle a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, elle est capable de faire du vélo pendant 25 minutes à une puissance de 25 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+255 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mme. X a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : 1. Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.1 mmol/L, des HDL à 0.99 mmol/L, des LDL à 1.79 mmol/L, des triglycérides à 1.15 mmol/L. 2. Après ajustement du traitement, la tension artérielle et la fréquence cardiaque restent dans la norme. À l'examen clinique de sortie, statut normo-compensation avec une pression artérielle de 128/78 mmHg avec une FC à 64 bpm. Mme. X est une patiente de 95 ans, connue pour les comorbidités susmentionnées, qui nous est transférée de Riaz le 10.12.2018 pour la réalisation d'une ERCP. Depuis fin novembre, la patiente présente une baisse de l'état général associé à un ictère important, raison pour laquelle son médecin traitant l'a initialement adressée à Riaz. Le laboratoire montre une importante cholestase et au CT, la présence de lithiases vésiculaires est notée, ainsi qu'une dilatation importante du cholédoque proximal et des voies biliaires intra-hépatiques. Une cholangio-IRM réalisée le 29.11.2018 montre des calculs dans la vésicule biliaire avec une dilatation des voies biliaires intra-hépatiques et un canal hépatique commun d'aspect normal, ainsi qu'une image d'une importante tumeur de Klatskin. Par la suite, la patiente bénéficie d'une première ERCP qui échoue due à une sténose filiforme au niveau du cholédoque distal, puis d'une deuxième après son transfert à Fribourg qui échoue pour les mêmes raisons. L'indication à une pose de drain trans-hépatique est donc retenue et réalisée avec des brossages qui reviennent positifs pour un adénocarcinome des voies biliaires. Le 19.12.2018, Mme. X présente des signes de choc raison pour laquelle un CT est réalisé montrant la présence d'un hématome sous-capsulaire du foie gauche avec un saignement actif. Au vu de la situation (importante tumeur de nature très agressive chez une dame de 95 ans) et de l'attitude limitée et après discussion avec son fils, il est décidé de prodiguer à la patiente des soins de confort.Mme. Grand décède dans la nuit du 20.12.2018. Mme. Grandjean est invitée à se représenter aux urgences en cas d'exacerbation des douleurs. Elle prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et suite de la prise en charge. Mme. Gremaud consulte les urgences le 10.01.2019 en raison de l'apparition progressive, depuis 3 jours, d'un état fébrile, d'une fatigue, de céphalées, de nausées/vomissements, d'une otalgie bilatérale, d'une rhinorrhée bilatérale, d'une odynodysphagie sans dysphagie, d'une toux avec crâchats jaunâtres, de douleurs basi-thoraciques frontales et bilatérales ainsi que de douleurs lombaires bilatérales. Elle vous consulte et vous nous l'adressez suite à la prise en charge. A l'admission aux urgences, la patiente est normotendue à 131/76 mmHg, légèrement tachycarde à 101 bpm, eupnéique à 18 min, fébrile à 38.5 °C et sature à 95% à l'air ambiant. Au statut respiratoire, mise en évidence de râles crépitants paracardiaques basaux gauches. Les statuts digestif, cardiaque et neurologique sont sans particularité. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire à une CRP 467 mg/l et une leucocytose à 17.2 g/l ainsi qu'une légère hyponatriémie à 129 mmol/l. Le sédiment urinaire montre des nitrites positifs avec microhématurie, sans leucocyturie microscopique. Nous prélevons deux paires d'hémocultures qui reviennent négatives, une culture d'expectoration qui ne montre pas de bactérie et un urotube qui revient positif pour E. coli sensible à la Rocéphine. La recherche d'antigènes urinaires revient également négative. La radiographie du thorax met en évidence une opacité alvéolaire paracardiaque gauche silhouettant le bord gauche du cœur devant correspondre à un foyer de pneumonie lingulaire. Pas de foyer de pneumonie à droite. Nous retenons le diagnostic de pneumonie lingulaire paracardiaque gauche et d'infection urinaire à E. coli. Nous introduisons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv 1x/24h du 10 au 14.01.2019, avec relais per os par co-amoxicilline 1 g 2x/24h du 15 au 19.01.2019 (pour la pneumonie), pour un total de 10 jours, ainsi que du Klacid 500 mg per os 2x/24h du 10 au 12.01.2019, stoppé au vu des antigènes urinaires négatifs. Nous demandons une radiographie de thorax de contrôle avant la sortie qui montre une amélioration radiologique du foyer paracardiaque gauche. Concernant l'hyponatriémie, la patiente est hydratée par NaCl avec une bonne réponse. Sous antibiothérapie, l'évolution clinique et biologique est favorable et Mme. Gremaud peut regagner son domicile le 16.01.2018, avec proposition de contrôle à votre consultation la semaine suivant la sortie. Mme. Gremaud, patiente de 81 ans connue pour un carcinome épidermoïde du col utérin cT4 cN3 cM1 avec des métastases pulmonaires. Mme. Gremaud nous est référée par son oncologue le Dr. X pour des douleurs et des brûlures vulvo-vaginales associées à une très grande fatigue. Pour rappel, la patiente avait consulté les urgences de l'HFR Fribourg la semaine passée et s'en est suivie une transfusion qui n'a eu que peu d'impact sur l'état général global de Mme. Gremaud. Elle a également consulté les urgences de gynécologie il y a deux jours en raison des brûlures vaginales. Du Zinat et de la Fluomycine ont été prescrits. A l'entrée, l'anamnèse est difficile compte tenu de troubles cognitifs probables, et les informations, la patiente se plaint principalement de douleurs génitales, à l'intérieur dit-elle. A l'anamnèse systématique, elle évoque des pertes malodorantes et des douleurs vulvo-vaginales ainsi qu'une très grande fatigue. Il n'y a pas de notion de nausées ni de vomissements (y compris lors de la dernière chimiothérapie raconte-t-elle), pas de troubles du transit ou de la déglutition, pas de perte d'appétit, pas de dyspnée. Le moral est conservé et la patiente dit ne pas ressentir d'anxiété. A l'examen physique, nous retrouvons une patiente à l'état général diminué, pâle mais normohydratée, collaborante, calme, eupnéique à l'AA. Au statut cardiovasculaire, des bruits B1 et B2 bien frappés, réguliers, sans souffle. Il n'y a pas de signes de surcharge vasculaire, pas d'OMI et les pouls périphériques sont bien perçus. L'examen abdominal montre un abdomen souple, dépressible, indolore, avec des bruits normaux en fréquence et en tonalité. Les loges rénales sont indolores. Au niveau urogénital, des lésions cutanées vulvaires, avec une excroissance vaginale pouvant correspondre à la tumeur. Le reste du statut, y compris neurologique, est sans particularité. Sur le plan social, la patiente vit avec son frère dans un appartement au 1er étage, son fils vit dans l'appartement du haut. La patiente est une ancienne gérante de restaurant. Jusqu'à présent, elle ne recevait pas d'aide à domicile et se déplaçait avec un rollator. Les enfants de Mme. Gremaud témoignent d'un épuisement familial. Nous poursuivons les antibiotiques prescrits auparavant pour l'infection urinaire et l'infection vulvo-vaginale, avec un bon résultat au décours. Par contre, le traitement topique est rapidement arrêté en raison des douleurs trop importantes à l'application du médicament. Les douleurs vulvo-vaginales sont prises en charge par du MST continus que nous switchons vers de l'Oxycontin au vu de l'intolérance de la patiente avec des nausées et vomissements. Le résultat de l'Oxycontin sur les douleurs est extrêmement efficace et nous poursuivons cette thérapie à la dose de 2x 10 mg par jour. La nausée et les vomissements cessent complètement et la patiente retrouve l'appétit. Le 23.01.2019, Mme. Gremaud se plaint d'une douleur à la cheville gauche que l'on retrouve rougie et chaude à l'examen clinique, avec une mobilisation et une marche encore bien conservées. Nous suspectons une crise de goutte au vu des antécédents de la patiente et introduisons du Brufen 400 mg 3x par jour avec un bon résultat. Le 28.01.2019, la patiente peut regagner son domicile dans un bon état général. Mme. X est une patiente de 52 ans, connue pour une maladie de Basedow, qui se présente aux urgences le 21.01.2019 en raison de douleurs épigastriques. Un ultrason abdominal montre une suspicion de cholédocholithiase avec dilatation des voies biliaires, raison pour laquelle une ERCP est effectuée le 21.01.2019. À l'ERCP, on ne visualise pas de cholédocholithiase. La patiente bénéficie d'une cholécystectomie laparoscopique et cholangiographie peropératoire le 22.01.2019, qui se déroule sans complication notable. Les suites postopératoires sont favorables, permettant un retour à domicile le 23.01.2019. Mme. Y est une patiente de 80 ans, notamment connue pour une diverticulose ainsi qu'un diabète de type II non insulino-requérant, qui se présente aux urgences le 21.12.2018 en raison de douleurs abdominales aiguës prédominant en fosse iliaque gauche, accompagnées de nausées et d'un épisode de vomissement, sans état fébrile. Le laboratoire initial démontre un syndrome inflammatoire et au CT, une diverticulite stade IIa est diagnostiquée. La patiente est donc hospitalisée et mise sous antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl. En raison d'une persistance d'un syndrome inflammatoire au laboratoire malgré une antibiothérapie, un CT-scan est réalisé le 28.12.2018 montrant la persistance d'un phlegmon péri-sigmoïdien sans véritable collection drainable, mais avec présence de quelques bulles d'air extraluminales. L'antibiothérapie est modifiée pour une thérapie par Tazobac intraveineuse. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable sous ce traitement, permettant un relais per os de l'antibiothérapie. Mme. Y rentre à domicile le 03.01.2019 et sera convoquée pour effectuer une colonoscopie en ambulatoire à 6 semaines de l'hospitalisation.Mme. Guerreiro présente une fracture Weber B cheville G. Actuellement, le statut cutané est correct pour une prise en charge chirurgicale. La réduction et l'ostéosynthèse sont programmées pour le 31.01.2019. La consultation pré-anesthésique sera faite le jour même à l'Hôpital de jour. La chirurgie sera effectuée en ambulatoire. Mme. Guillaume Kustner, 44 ans, est hospitalisée aux soins intensifs en post-opératoire d'une pose de néphrostomie bilatérale pour un urosepsis sur pyélonéphrite obstructive dans un contexte néoplasique. En effet, la patiente est connue pour un carcinome urothélial dépassé qui est actuellement sous chimiothérapie palliative avec une prochaine séance (Cisplatine et Gemzar) qui est normalement prévue pour le 10.01.2018 (dernière chimiothérapie le 27.12.2018). Elle présente une infiltration des structures avoisinantes de la vessie avec un réhaussement pathologique de l'uretère gauche et du rein gauche visualisé au CT-scan, compatible avec une pyélonéphrite. Une insuffisance rénale aiguë est également constatée. Dans ce contexte, elle bénéficie, en plus de l'antibiothérapie, d'un changement des néphrostomies bilatérales. La néphrostomie gauche sera ensuite rechangée à deux reprises en raison d'un mal positionnement, la dernière fois le 05.01.2019 par le Dr. X. Par ailleurs, un corps étranger (bout de guide) a été visualisé dans la voie excrétrice gauche, qui est laissé en place pour le moment. De point de vue infectieux, la patiente est initialement traitée par Tazobac et dès le 05.01.2019 par de l'Imipenem et Fluconazole. Les prélèvements urinaires sont revenus positifs pour un Enterococcus faecalis sur le prélèvement initial et pour un Candida albicans sur le prélèvement per-opératoire (néphrostomie gauche) du 05.01.2018. La fonction rénale s'est corrigée à partir du 04.01.2019 et normalisée par la suite. Le 07.01.2019, la patiente est transférée à l'étage au vu d'une évolution favorable de point de vue infectieux, rénal et sur le plan de l'antalgie. Au moment de son départ, les 2 néphrostomies sont perméables et drainent des quantités égales d'urine, équivalent à 100 ml/h. Mme. Guillaume, patiente de 82 ans, est hospitalisée en électif pour la pose d'un pacemaker pour une fibrillation auriculaire lente asymptomatique. Le geste se passe sans complications. La radiographie post-opératoire confirme la bonne tenue de l'intervention. Sur avis du Dr. X, un traitement par Beloc Zok est introduit. L'indication à l'Amiodarone sera à réévaluer à distance. Mme. Guillaume peut rentrer à domicile le 22.01.2019 avec contrôle de la plaie à 10 jours chez son médecin traitant, ainsi que contrôle du pacemaker à 4-6 semaines chez le Dr. X. Mme. Guillaume Kustner est une patiente de 44 ans, qui est hospitalisée pour une pose de néphrostomie bilatérale pour un urosepsis sur pyélonéphrite obstructive. Elle est connue pour une néoplasie vésicale et colique en cours de traitement par chimiothérapie (Platine + GEMZA) suivie au Daler avec une dernière chimiothérapie réalisée le 27.12.2018 sans complications. Le CT abdominal du 31.12.2018 montre une volumineuse masse de la vessie avec infiltration des structures avoisinantes, avec réhaussement pathologique de l'uretère gauche et du rein gauche compatible avec une pyélonéphrite. Nous réalisons la pose de deux néphrostomies gauche et droite, avec des changements réguliers en raison de déplacements répétés des cathéters. Le 11.01.2019, les néphrostomies des deux côtés sont en place avec une diurèse satisfaisante sans hématurie. Sur le plan infectieux, l'antibiothérapie est modifiée par Tienam et ajout de Fluconazole à partir du 05.01.2019. Nous switchons le Tienam avec la Co-Amoxicilline 1 g 3x/j et poursuivons l'antibiothérapie et l'antifongique jusqu'au 01.02.2019. Sur le plan hématologique, nous introduisons une anticoagulation thérapeutique de Lixiana en raison d'une thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit avec bon effet thérapeutique. Les suites post-opératoires sont favorables sur le plan clinique, permettant un retour à domicile le 18.01.2019 avec l'accord du Dr. X et de la Dr. X. Mme. Guilleron présente une fracture spiroïde longue peu déplacée de P1 O4, pied G. Je propose donc un traitement conservateur par syndactylie avec le 3ème orteil pour une durée totale de 6 semaines. La syndactylie doit être régulièrement changée. Un contrôle radio-clinique est prévu à 6 semaines (12.3.19) à ma consultation. L'arrêt de travail a déjà été attesté par le Dr. X, 100% jusqu'au 03.02.2019. Reprise prévue à 100% dès le 04.02.2019. Mme. Guillet, 76 ans, est hospitalisée pour un NSTEMI sur une maladie coronarienne de 2 vaisseaux (IVA et coronaire droite). Elle a en effet présenté une dyspnée à l'effort le 22.01.2019 dans la soirée avec une toux grasse associée et une sensation de frissons sans fièvre. La nuit du 22.01.2019, elle se réveille avec sensation d'étouffement, sans réelle douleur thoracique, sans palpitations ni syncope. Elle se présente aux urgences où le diagnostic de NSTEMI est posé. La coronarographie du 23.01.2019 retrouve une sténose serrée de l'artère interventriculaire antérieure (proximale et moyenne), avec implantation de 2 stents actifs. Une lésion de la coronaire droite ne nécessite pas de traitement d'emblée, en cas de récidive d'angor ou de dyspnée inexpliquée, la situation pourrait être rediscutée. L'évolution post-interventionnelle est marquée par l'apparition de deux épisodes d'hypotension symptomatique sans composante rythmique ni coronarienne. L'origine la plus probable semble un malaise vagal. Un traitement par IEC et bêta-bloquant est introduit, ainsi que l'aspirine cardio qui est à poursuivre à vie et le Clopidogrel pour une durée de 6 mois. À noter une possible dissection de l'artère radiale sur un cathéter artériel posé en raison des hypotensions. L'évolution est favorable. En fonction de l'évolution à distance, un contrôle angiologique est à organiser d'ici 3 mois. À noter également la découverte au CT thoracique du 22.01.2019 de plusieurs nodules pulmonaires pour lesquels une CT de contrôle est à organiser dans 6 mois. La patiente a présenté une éruption cutanée initialement au niveau du siège, des plis inguinaux et des cuisses, puis s'étendant au dos, compatible avec une toxidermie au produit de contraste versus un eczéma de contact allergique aux bandages/pansements/champ stérile. Un traitement topique par Sicorten en schéma dégressif et Optiderm a été initié sur proposition des dermatologues et un contrôle est prévu à leur consultation dans 4 semaines. La patiente a été incluse dans l'étude EVOPACS, avec injection de 420 mg d'Evolocumab vs Placebo le 24.01.2019. L'injection va être répétée à 4 semaines. L'étude se fait en double aveugle. En cas d'urgence, pour lever le secret sur le principe actif, veuillez contacter le Dr. X ou Sonja X au HFR Fribourg. La prescription d'Atorvastatine 40 mg 1x/jour est à maintenir. La patiente a pu quitter notre service le 30.01.2019 pour un retour à domicile. Mme. Guillet, 76 ans, présente une dyspnée à l'effort le 22.01.2019 dans la soirée avec toux grasse associée, sensation de frissons sans fièvre. La nuit du 22.01.2019, elle se réveille avec sensation d'étouffement, sans réelle douleur thoracique, sans palpitations ni syncope. Elle se présente aux urgences où le diagnostic de NSTEMI est posé. La coronarographie du 23.01.2019 retrouve une sténose serrée de l'artère interventriculaire antérieure (proximale et moyenne), avec implantation de 2 stents actifs. Une lésion de la coronaire droite ne nécessite pas de traitement d'emblée, en cas de récidive d'angor ou de dyspnée inexpliquée, la situation pourrait être rediscutée.L'évolution post-interventionnelle est marquée par l'apparition de deux épisodes d'hypotension symptomatique sans composante rythmique ni coronarienne. L'origine la plus probable semble être un malaise vagal. A noter encore une possible dissection de l'artère radiale, sur un cathéter artériel posé en raison des hypotensions. Selon suivi clinique, un bilan angiologique est à organiser. Mme. Y nous est adressée pour une réadaptation cardiovasculaire suite à l'implantation d'une prothèse valvulaire aortique TAVI de Edwards Sapien 3 de 23 mm par voie percutanée fémorale. Son traitement à l'entrée comprend : • Aspirine cardio 100 mg, • Plavix 75 mg, • Amlodipine 2.5 mg, • Euthyrox 75 mcg, • Distraneurin 1 cp/soir, • Pantozol 40 mg, • Cosopt gouttes oculaires matin et soir. Devant un BAV de 1er degré important, le Cosopt est remplacé par du Xalatan permettant une amélioration sensible de la conduction PR. Concernant le point de ponction inguinal D, on note un retard de cicatrisation avec écoulement clair (lymphatique) permanent sans argument pour une infection (prélèvements négatifs). Une consultation en stomatologie à l'HFR Fribourg-Hôpital cantonal est agendée au 10.01.2019 à 13 h 00 pour évaluation de la plaie. Au sujet du réentraînement à l’effort, la patiente a débuté dans un groupe d’intensité modérée et a pu progresser tout au long du séjour, malgré la présence d'un test de 6 minutes avec des résultats inférieurs à celui de l'entrée (réalisé dans un contexte de fatigue aiguë). A la fin de la prise en charge, elle est capable de faire du vélo pendant 20 minutes à une puissance de 15 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Mme. Y a participé au programme d’éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu’aux ateliers diététiques. Au bilan lipidique de sortie, on retrouve un LDL à 3.71 mmol/l, un HDL à 1.78 mmol/l et des triglycérides à 1.40 mmol/l. Mme. Y n'a que des douleurs à la palpation de l'insertion du tendon rotulien au pôle inférieur de la rotule là où l'IRM a, selon le rapport externe, pas d'antécédent. Elle a cliniquement des signes plutôt pour un ménisque externe mais, à l'IRM, elle présente qu'une déchirure postérieure des 2 cornes postérieures du ménisque interne. On propose que la patiente continue la physiothérapie et un arrêt de travail à 50 % pour les 2 prochaines semaines afin de voir comment cela va. Elle reprendra le travail à 100 % à partir du 21.01.2019. Mme. Y, votre patiente de 64 ans, connue pour un adénocarcinome de l'utérus diagnostiqué récemment, actuellement sous radio- et chimiothérapie, nous est adressée par son radio-oncologue traitant (Dr. X) pour une hospitalisation en raison de soins impossibles à domicile. En effet, la poursuite de la radiothérapie ambulatoire prévue jusqu'au 25.01.2019 semble compliquée du fait de manque de réseau familial de la patiente. La patiente bénéficie d'un 5ème cycle de chimiothérapie par Platinol administré le 18.01.2019, et qui est bien toléré. La prise en charge radiothérapeutique en intra-hospitalier se fait sans complication majeure. La patiente se plaint de douleur abdominale diffuse, avec une clinique qui reste sans particularité. La symptomatologie semble s'améliorer avec des laxatifs et un traitement de preuve d'inhibiteur de la pompe à protons, dont nous vous proposons la poursuite et l'adaptation du traitement. D'un point de vue diabétologique, la patiente présente quelques épisodes d'hypoglycémie nécessitant une adaptation thérapeutique. En raison de la difficile compliance de la patiente au traitement, nous ne mettons pas en place un schéma de correction. Un rendez-vous de contrôle est pris pour le 14.03.2019 à 16 h 00. Le rendez-vous est remis à la patiente. La patiente poursuit la prise en charge en soins de plaie en diabétologie. D'un point de vue biologique, nous poursuivons la substitution kaliémique du fait de la persistance de l'hypokaliémie. Nous vous laissons le soin d'assurer le suivi et l'adaptation du traitement. D'un point de vue social, nous organisons les soins à domicile tel que le passage se fait biquotidiennement, notamment pour la douche et les bas de contention. Un passage trihebdomadaire est prévu pour les soins de plaie. La patiente s'est plainte de la solitude, raison pour laquelle un contact a été organisé avec la Croix-Rouge pour un passage quand elle le souhaite. La patiente retourne ce vendredi 25.01.2019 à domicile pour la suite de la prise en charge avec brachythérapie, le 29.01.2019 à 14 h 00 à l'hôpital Inselspital de Berne. Mme. Y souffre d'un ongle incarné récidivant, actuellement symptomatique en regard du bord interne de l'hallux D. Je propose à la patiente une cure de cet ongle incarné avec excision selon Kocher. Elle est informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques/bénéfices liés à celle-ci. Elle me donne son accord oral et signé pour ce geste qui sera effectué le 24.01.2019 (AL). Mme. Y, patiente de 88 ans connue pour un carcinome mammaire invasif à droite, est hospitalisée pour pose de pacemaker en électif. L'anamnèse révèle des épisodes paroxystiques de vertiges récidivants motivant la pose d'un R-test du 10.01 au 17.01.2019. Cet examen met en évidence un bloc atrioventriculaire complet par intermittence sans rythme de substitution, symptomatique. Le dernier contrôle échocardiographique date du mois d'août 2017 (FEVG 70-80 %). Un avis cardiologique est demandé en ambulatoire proposant l'intervention susmentionnée. La patiente est hospitalisée dans ce contexte et la pose du pacemaker se déroule sans complications. Le contrôle radiologique post-geste ne met pas en évidence de pneumothorax. Un hématome discret au point de ponction est visualisé au contrôle clinique le lendemain, l'antalgie est assurée par du Dafalgan. Devant l'évolution favorable, la patiente regagne son domicile le 25.01.2019. Un contrôle clinique est prévu chez son médecin traitant à 10 jours et un contrôle cardiologique chez le Dr. X le 26.02.2019. Mme. Y est une patiente de 73 ans, connue pour un carcinome ovarien de haut grade de stade FIGO IV diagnostiquée en 2016 sans signe de récidive au dernier bilan radiologique. Elle nous est adressée par le médecin traitant en raison de la mise en évidence de lésions cérébelleuses avec oedème péri-lésionnel compressif sur le 3ème ventricule avec hydrocéphalie active à l'IRM externe du 17.12.2018. L'examen a été effectué dans le cadre de vertiges avec céphalées nouvelles associées à des nausées et vomissements depuis une semaine. Neurologiquement, on observe une dysarthrie, une dysmétrie, une diadococinésie ainsi qu'un polygone de la sustentation augmenté et un trouble de l'équilibre avec ataxie et Romberg instable. Un traitement de dexaméthasone 16 mg/j IV est initié au vu de l'oedème avec une amélioration de la symptomatique. Après avis neurochirurgical, une résection de la lésion effectuant l'effet compressif est programmée le 21.12.2018 avec un passage aux soins intensifs en post-opératoire, puis un transfert en chirurgie. L'équipe de radiothérapie a été avertie de la situation. Une prise en charge par leur équipe est prévue en post-opératoire. Au vu des antécédents oncologiques avec de probables lésions métastatiques cérébrales, un bilan d'extension par CT thoraco-abdomino-pelvien est effectué le 19.12.2018. Le bilan montre de nouvelles métastases rétropéritonéales inter-aorto-cave et rétro cave et iliaque droit sans autre lésion. A noter des marqueurs tumoraux dans la norme. Mme. Y est transférée le 21.12.2018 aux soins intensifs après l'intervention.Mme. Janser est hospitalisée dans un contexte de baisse de l'état général associé à un état fébrile. Elle est connue pour de multiples antécédents urinaires avec lithiases urinaires, actuellement porteuse d'une sonde JJ à droite. Au vu des symptômes urinaires et d'un sédiment sale, nous débutons une antibiothérapie intraveineuse. Nous mettons en évidence un E. Coli multisensible. Au vu des antécédents digestifs, nous gardons une antibiothérapie intraveineuse au vu de doutes quant à l'absorption digestive potentielle des antibiotiques. Nous constatons une évolution rapide favorable. Nous demandons un avis urologique au vu de la présence concomitante de la sonde JJ et de l'infection. Il n'est pas recommandé de changer la sonde en urgence. La suite de la prise en charge sera à réévaluer avec son urologue le Dr. X. Des demandes en réhabilitation gériatrique sont effectuées après discussion avec la patiente. Dans l'intervalle, Mme. Janser est reclassée. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Jaquet, âgée de 87 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réhabilitation musculo-squelettique et reconditionnement physique suite à une surinfection bronchique à Pseudomonas le 04.12.2018, dans un contexte d'infection pulmonaire chronique à Mycobacterium Avium depuis 2013. Sur le plan social, la patiente, veuve, vit seule à domicile. Elle a 2 fils qu'elle voit tous les weekends. Elle est à la retraite. À l'admission, la patiente n'a pas de plainte. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Elle signale une toux persistante mais en amélioration depuis l'hospitalisation au HFR Fribourg. Au status, la patiente est orientée et collaborante. Au status cardiovasculaire, B1-B2 bien frappés, pas de souffle. Au status pulmonaire, murmure respiratoire diminué et présence de sifflements à l'apex gauche, murmure respiratoire très diminué aux bases et au lobe moyen à droite. Présence d'OMI jusqu'aux chevilles. D'un point de vue nutritionnel, nous poursuivons la prise en charge initiée à l'HFR Fribourg. Mme. Jaquet couvre ses besoins spontanément (avec notamment un SNO qu'elle prenait aussi à domicile) et son poids est en train de progresser légèrement. Une brève évaluation neuropsychologique a mis en évidence des difficultés exécutives (programmation, incitation et abstraction), de légères difficultés de langage écrit (erreurs lexicales phonologiquement plausibles et morphosyntaxiques), des difficultés praxiques constructives et de possibles difficultés praxiques gestuelles, de possibles difficultés gnosiques visuelles. L'orientation, le langage oral, la mémoire antérograde verbale et autobiographique sont préservées. MMSE évalué à 25/30. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche sans moyen auxiliaire. Elle peut monter/descendre les escaliers indépendamment. Une physiothérapie respiratoire avec exercices de désencombrement démontre de bons résultats; la patiente rapporte mieux respirer. Des difficultés de la coordination rendent l'utilisation du Vannair difficile. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Jaquet peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 30.12.2018, en état général conservé. Mme. Jaussi présente un pouce à ressaut symptomatique de la main droite. L'indication pour une cure de pouce à ressaut est posée. La patiente est informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Elle me donne son accord, le consentement est signé. L'intervention aura lieu en ambulatoire le 31 janvier 2019. La patiente sera vue en anesthésie pour une consultation pré-anesthésique. Mme. Julmy est une patiente de 69 ans, connue pour un carcinome bronchique métastasé cérébralement, transférée le 31.12.2018 depuis l'hôpital cantonal de Fribourg pour suites de prise en charge d'une pyélonéphrite gauche avec altération majeure de l'état général dans le contexte du diagnostic principal. Pour rappel, un diagnostic de pyélonéphrite gauche avait été retenu à Fribourg et une antibiothérapie par Ceftriaxone avait été initiée. La sonde vésicale posée dans le cadre du globe urinaire avait pu être sevrée le 28.12.2018 au vu d'une meilleure mobilisation de la patiente pour les transferts lit-fauteuil, mais avait dû être remise en place à son arrivée dans notre station en raison d'un nouveau globe urinaire. À son entrée en soins palliatifs le 31.12.2018, la patiente est très somnolente, elle peut encore avoir une conversation complète mais la fatigue est extrême et l'empêche de tenir une conversation soutenue pendant longtemps. Elle se plaint de douleurs nuccales et au niveau des extrémités des mains et des pieds. L'antalgie est adaptée et le 03.01.2019, devant l'absence d'amélioration de l'état général de la patiente malgré la régression clinique de la pyélonéphrite et des paramètres inflammatoires, nous tentons un ultime essai de corticothérapie pour lutter contre le probable œdème cérébral causé par les métastases, sans succès dans l'amélioration de la symptomatologie. La semaine du 07.01.2019, la patiente continue de se dégrader cliniquement chaque jour avec augmentation de l'état de somnolence et de confusion, des douleurs et de la tristesse profonde causée par son état. Nous accentuons les contrôles cliniques au lit de la patiente et adaptons pluri-quotidiennement la thérapie afin d'assurer le maximum de confort. Le 13.01.2019, la patiente décède des suites de sa maladie, soulagée de toute souffrance et entourée des siens. Mme. Julmy, patiente de 91 ans, nous est transférée du service de Médecine interne de l'HFR-Fribourg pour une réhabilitation gériatrique d'une névrite vestibulaire aiguë. Pour rappel, elle avait consulté le service des urgences le 03.11.2018 en raison de vertiges rotatoires d'apparition brutale la veille avec vomissements et perte de l'équilibre. Une consultation d'ORL le 06.11.2018 a permis d'orienter le diagnostic vers une névrite vestibulaire. Dès lors, un traitement par Betahistine et mobilisation soutenue est instauré. À noter un épisode d'hypotension orthostatique le 03.11.2018 avec test de Schellong positif, ce qui a motivé l'introduction de bas de contention que la patiente supporte mal. L'évolution au cours de l'hospitalisation est favorable avec diminution progressive des vertiges dès l'instauration de la mobilisation/physiothérapie intensive. À l'admission, la patiente se plaint d'une sensation d'instabilité à la marche sans vertiges au repos. L'anamnèse systématique est non contributive. Mme. Julmy habite dans une ferme avec son fils. Elle était jusqu'à présent indépendante dans les activités de la vie quotidienne et instrumentales. La maison est construite sur 2 étages avec 10 marches à monter. À l'entrée, il subsiste une diminution de la mobilité avec un risque de chute important en raison des vertiges, le Tinetti est mesuré à 15/28 avec rollator. Elle fait les transferts de manière autonome (FIM 5), peut marcher 50 m avec un rollator (FIM 5), peut monter 4 marches avec rampe (FIM 4). L'objectif global est un retour à domicile avec aide. À la sortie, le transfert FIM 6 avec une autonomie légèrement réduite, la mobilité FIM 5 avec les cannes et FIM 6 avec le rollator, les escaliers FIM 5 avec la rampe d'un côté, le Tinetti 18/28 avec un risque légèrement accru de chute.La patiente bénéficie d'exercices de physiothérapie et d'ergothérapie qui améliorent en partie sa mobilité, néanmoins des restrictions fonctionnelles persistent dans le domaine de la mobilité avec un risque important de chute et une dépendance dans les IADLs. Mme. Y peut rentrer à domicile le 22.12.2018 avec des aides à domicile 2x/semaines pour la douche et de la physiothérapie et ergothérapie ambulatoire. Mme. Y, âgée de 68 ans, connue pour un asthme traité par Seretide, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation respiratoire suite à une insuffisance respiratoire aiguë globale sur pneumonie à Haemophilus Influenzae. Elle est également connue pour un lymphome B de bas degré type folliculaire, actuellement en traitement d'entretien par Rituximab avec une dernière dose le 19.11.2018. Sur le plan social, la patiente vit avec son époux à domicile dans un appartement. A l'admission, la patiente se plaint d'une légère dyspnée de stade II selon NYHA, avec une toux accompagnée d'expectorations de couleur claire. Elle est hémodynamiquement stable, avec une saturation à 88% à l'air ambiant. A l'anamnèse par système, l'appétit est en amélioration les derniers jours, le transit est conservé, la mobilisation est bonne. A l'auscultation pulmonaire, les deux poumons sont ventilés avec la présence de sibilance expiratoire sur toutes les plages pulmonaires, de crépitants fins et d'une diminution du murmure respiratoire aux deux bases. La gazométrie d'entrée montre une saturation à 87.5%, une hypoxie sévère avec une pO2 à 6.9 kPa, sans hypercapnie, raison pour laquelle nous introduisons une oxygénothérapie au débit de 1 lt/min. Les valeurs restent stables durant l'hospitalisation avec une variation entre 90 et 94% et une capnographie nocturne sous ce débit d'oxygène montre une saturation moyenne de 93%, sans rétention capnique avec une pCO2 moyenne de 5.7 kPa. L'indication à une oxygénothérapie à domicile est donc prescrite à la sortie avec un débit à 1 lt/min pendant 15h/24 et un concentrateur portable (Simpligo) est indiqué à l'effort à la puissance maximale. La patiente accepte difficilement cette thérapie et souhaite en rediscuter avec un pneumologue. Nous vous laissons le soin d'organiser cette consultation pour le suivi de l'oxygénothérapie par un pneumologue. Un traitement par Symbicort est initié durant l'hospitalisation en raison des antécédents asthmatiques avec une amélioration du statut pulmonaire avec une nette diminution des sibilances. La présence d'une éosinophilie sanguine renforce le diagnostic d'asthme. Nous préconisons la poursuite de ce traitement à domicile. La spirométrie effectuée durant le séjour montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif modéré avec troubles de la diffusion avec une DLCO abaissée à 46% et nous retenons le diagnostic de syndrome de chevauchement d'asthme-BPCO. Nous prenons contact avec son oncologue traitant, Dr. X, pour reporter la dose d'entretien de Rituximab qui était prévue le 14.01.2019. Un prochain rendez-vous est fixé à la sortie. Durant son séjour, elle a présenté un pic fébrile avec frissons, péjoration de la toux et de la dyspnée. A l'auscultation, présence de crépitants grossiers en base droite. Au laboratoire, nous retrouvons un syndrome inflammatoire. Une radiographie est effectuée le 15.01.2019 avec un cliché superposable à celui d'entrée, avec un épaississement de la trame bronchovasculaire essentiellement au niveau basal à droite, sans nouveau foyer visible. Un traitement antibiotique par Cefepime i.v. durant 7 jours permet une bonne évolution clinico-biologique. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 270 m à 425 m associée à une désaturation significative, et la patiente augmente la distance parcourue sur le tapis pendant 20 minutes de 0.480 km à 1.20 km. A la sortie, elle bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 26.01.2019, en bon état général. Mme. Y est admise pour une épistaxis antérieure droite sur un pic hypertensif et sur une anticoagulation par xarelto, avec mise en place d'un tamponnement le 13.01.2018 aux urgences. Nous procédons à une cautérisation à la bipolaire au niveau de la tache de Kiesselbach droite, sans récidive de saignement. Le bilan biologique montre une chute de l'Hb à 87 g/l. Le bilan de l'anémie montre une ferritine basse à 33 mcg/l, avec un bilan vitaminique dans la norme. Nous transfusons un culot érythrocytaire et introduisons un traitement de Maltofer. Nous recommandons un contrôle chez son médecin traitant pour la gestion de son hypertension artérielle et un dosage de la ferritine à distance. Mme. Y est une patiente de 83 ans, qui nous est adressée le 07.01.2019 du service de chirurgie de l'HFR Tavel pour des troubles de la mobilité suite à un polytraumatisme survenu le 29.12.2018 dans le cadre d'un accident de voiture. A l'entrée, la patiente se plaint de douleurs costales exacerbées par les mouvements respiratoires, de douleurs et de faiblesse au poignet gauche, de troubles de l'équilibre et d'une insécurité à la marche. La patiente est veuve, elle a 4 enfants et habite seule dans un appartement au 1er étage sans ascenseur avec 15-18 marches. Sa fille habite à l'étage au-dessus. Avant son hospitalisation, Mme. Y était indépendante dans les activités quotidiennes et se mobilisait sans moyens auxiliaires. Elle recevait de l'aide de sa fille. L'objectif global est un retour à domicile. A l'entrée se présente une patiente en bon état général, bien orientée dans les trois dimensions, afébrile et hémodynamiquement stable. Sur le plan clinique, nous retrouvons plusieurs hématomes des bras, de la poitrine et des jambes. La palpation du poignet gauche et des côtes des deux côtés est sensible. La force des membres inférieurs est M3 à gauche (limitée par la douleur liée aux lombocruralgies préexistantes), M5 à droite. Le passage de la position couché-assis et assis-debout est ralenti mais sans aide physique. Le reste de l'examen est dans la norme. Nous effectuons une réadaptation musculo-squelettique avec physio- et ergothérapie et adaptons l'antalgie avec un bon effet. La plaie postopératoire évolue favorablement suite au traitement topique régulier. Une carence en vitamine D est substituée. A l'entrée, Mme. Y fait les transferts et marche 30 m avec un rolateur sous supervision. Elle n'est pas capable de monter les escaliers. Le Tinetti est 16/28 avec un rolateur. Grâce aux thérapies intensives et individuellement adaptées, des progrès au niveau de la mobilisation, de la stabilisation de la marche et de l'équilibre sont objectivés. A la sortie, la patiente peut faire des transferts d'une manière autonome, marcher seule sans moyens auxiliaires de longues distances et monter 36 marches d'escalier avec une rampe et sans supervision. Le Tinetti est 23/28 sans moyens auxiliaires. Des œdèmes des membres inférieurs dans le cadre d'une décompensation cardiaque droite sur hydratation intraveineuse évoluent favorablement sous traitement compressif. Les bas de contention sont conseillés à long terme. L'anémie post-traumatique reste stable pendant l'hospitalisation. Un déficit en acide folique est substitué. Étant donné que Mme. Y reste hémodynamiquement stable, nous ne prenons pas d'autres mesures et vous laissons le soin de suivre l'évolution du taux d'hémoglobine.Ad diagnostic supplémentaire 5) La fonction thyroïdienne est limite durant le séjour. Nous vous proposons de la recontrôler à 6 semaines. Ad diagnostic supplémentaire 6) En raison d'une malnutrition, la patiente bénéficie d'un suivi diététique durant le séjour hospitalier. En raison de la stabilité de son état général et de l'amélioration de l'autonomie et de la mobilisation durant l'hospitalisation, Mme. Y peut regagner son domicile le 21.01.2019. Des soins à domicile sont organisés 2x/j pour mettre et enlever les bas de contention ainsi que pour les soins corporels, les contrôles de santé et le semainier. Mme. Y nous est transférée de l'hôpital de l'Ile à Berne pour la suite de la prise en charge suite à un polytraumatisme, sans traumatisme crânien, survenu le 29.12.2018 dans le cadre d'un accident de voiture. La patiente avait présenté de multiples fractures costales avec un pneumothorax ventrobasal gauche de 8 mm, traitées conservativement ainsi qu'une contusion cardiaque sans signe de tamponnade à l'échocardiographie. Le scanner montrait également du liquide intra-abdominal en quantité modérée dans le petit bassin. Une fracture déplacée du radius distal gauche a été traitée conservativement avec un plâtre. Des fractures des processus costalis L1, L2 et L5 avaient été mises en évidence avec également un traitement conservateur. Dans notre service, l'évolution sur le plan respiratoire est favorable avec un sevrage de l'oxygénothérapie. Sur le plan biologique, l'hémoglobine reste stable autour de 80 g/L depuis l'hôpital de Berne. Nous reprenons la Liquémine prophylactique le 01.01.2019 et l'Aspirine cardio le 02.01.2019. La mobilisation s'améliore également avec une antalgie suffisante. Finalement, après avis de nos collègues de l'orthopédie concernant la fracture radiale gauche, une indication opératoire est posée en raison d'un alignement insuffisant de la fracture. Une ostéosynthèse est donc réalisée le 05.01.2019. Au vu d'un déconditionnement important, Mme. Y est transférée à l'hôpital de Tavel le 07.01.2019 pour réadaptation musculo-squelettique. La patiente devra porter une attelle pendant 2 semaines avec l'ablation du pansement Comfeel dans 2 semaines chez le médecin traitant. Elle devra également être vue à la consultation du Dr. X à 6 semaines postopératoires. Mme. Y est une patiente âgée de 36 ans, qui est envoyée aux urgences par son médecin traitant pour la suite de la prise en charge dans un contexte de probable méningiome para-sagittal central gauche diagnostiqué le 04.01.2019 par IRM, suite à un déficit moteur subaigu à M3/5, apparu sur plusieurs semaines et stable depuis les trois dernières semaines, au niveau du membre inférieur droit avec des crampes depuis quelques jours et sans autre symptomatologie neurologique. Nous hospitalisons la patiente afin d'observer l'évolution sous traitement corticoïde et antiépileptique, ainsi que pour compléter le bilan par phlébo-IRM, afin de juger la perméabilité du sinus sagittal supérieur des veines afférentes en préopératoire. Après une amélioration clinique satisfaisante, la patiente rentre à domicile le 09.01.2019. Une date opératoire est fixée au 25.01.2019. Mme. Y, 36 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour surveillance neurologique et hémodynamique après une hémicraniotomie et résection d'une lésion suspecte de méningiome, compliquée par un choc hémorragique. La patiente est connue pour un méningiome para-sagittal gauche diagnostiqué le 04 janvier 2019 suite à un déficit moteur au niveau du membre inférieur droit. Une craniotomie avec exérèse du méningiome est programmée pour le 25.01.2019. L'intervention se complique d'une hémorragie importante (environ 4 L), nécessitant une transfusion massive avec un total de 8 CE, 8 PFC, 3 PC et 1 g de fibrinogène. L'évolution est favorable et elle reste stable durant la période de surveillance aux soins intensifs. Un déficit de force de l'hémicorps droit avec une force du membre supérieur droit à M2 et une force du membre inférieur droit à M0 sont constatés avec récupération quasi complète de la force du membre supérieur droit (M4) le lendemain. Le déficit de force du membre inférieur droit reste présent. Le traitement par Keppra est poursuivi et la Dexaméthasone qu'elle avait reçue jusqu'au 19.01.2018 est reprise dès le 26.01.2019. Le 26.01.2019, la patiente est transférée à l'étage de chirurgie pour la suite de la prise en charge. Mme. Y présente un épisode de palpitations mis sur le compte d'une tachycardie sinusale. Le bilan biologique ne montre pas de trouble électrolytique et les D-dimères sont normaux. La patiente a déjà été investiguée par nos collègues de cardiologie, avec un bilan normal. Nous lui proposons dès lors de reprendre contact avec son médecin traitant et son cardiologue afin d'adapter son traitement. Dans l'intervalle, nous lui donnons les consignes d'usage sur son hygiène de vie. Mme. Y, âgée de 84 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'un clou PFNA le 04.12.2018 après une fracture pertrochantérienne Kyle 3 à gauche le 02.12.2018 sur chute mécanique de sa hauteur. Sur le plan social, la patiente vit avec son époux à domicile dans une ferme au rez-de-chaussée. Elle bénéficie d'une aide au ménage 1x/2 semaines. A l'admission, la patiente n'a pas de plainte particulière. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place et sont évaluées à 0/10 sur l'EVA douleurs au repos et à 5/10 à la mobilisation. A l'anamnèse par systèmes, la patiente signale une constipation (dernières selles 3 jours auparavant) et une baisse de l'appétit depuis l'opération. Elle rapporte également une dyspnée NYHA II, connue. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La flexion/extension de la hanche G est de 50-0-0 en actif et 80-0-0 en passif. La force du membre inférieur gauche est cotée à M2 et la sensibilité est conservée. L'abdomen est souple et douloureux à la palpation supra-pubienne, avec bruits hydroaériques normaux en fréquence et en tonalité. Les loges rénales sont indolores à la percussion. A l'auscultation pulmonaire, présence de ronchis importants aux 2 bases, avec diminution du murmure respiratoire. A l'auscultation cardiaque, rythme régulier avec B1 et B2 bien frappés, sans souffle. La gazométrie d'entrée sous 2 l/min d'O2 montre une saturation à 94 % sans hypoxémie ni hypercapnie, mais la patiente désature si le débit est diminué et à la mobilisation, raison pour laquelle nous ne modifions pas le débit d'oxygène. Durant son séjour, elle a présenté des douleurs mictionnelles. Un stix et une culture urinaire mettent en évidence une infection et une antibiothérapie par Ciproxine puis par Bactrim forte suite à une réaction de type allergique est prescrite pendant 5 jours avec une bonne évolution clinique et biologique. En raison de la fracture causée par une chute de sa hauteur et d'un bilan phosphocalcique biologique sans trouble, le diagnostic d'ostéoporose fracturaire est suspecté, probablement renforcé par une corticothérapie à long terme, et nous initions un traitement par substitution de calcium et vitamine D ainsi que par Bisphosphonate 1x/semaine à partir du 01.01.2019. Une hyponatrémie diagnostiquée lors d'un bilan biologique se corrige suite à l'arrêt du traitement diurétique et avec une restriction hydrique qui peut être stoppée par la suite. Au niveau respiratoire, les saturations s'améliorent suite à l'arrêt du traitement antalgique par morphinique et au désencombrement bronchique effectué en physiothérapie. L'oxygénothérapie peut être stoppée avant le retour à domicile. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec un tintébin en respectant la décharge. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Après 4 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 09.01.2019, en bon état général. A la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile pour maintenir les acquis au niveau musculo-squelettique et pour effectuer des désencombrements bronchiques dans le contexte de la maladie pulmonaire connue. Les soins à domicile sont activés pour une aide à la toilette 1x/semaine. Mme. Y, connue pour une hypertension artérielle traitée, un status post-embolie pulmonaire et un tabagisme actif à 15 UPA, est adressée aux urgences par le Dr. X, médecin de garde, le 26.12.2018 en raison d'une dyspnée. En effet, depuis trois jours, la patiente présente une toux productive avec expectorations non purulentes, associée à une dyspnée, une tachypnée et un état fébrile avec frissons. De plus, elle rapporte une fatigue marquée avec perte de 5 kg sur les derniers mois. Le bilan biologique réalisé par le médecin de garde montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 291 mg/l sans leucocytose et une hyponatrémie modérée à 126 mmol/l. La radiographie thoracique évoque un foyer thoracique basal droit. A l'arrivée aux urgences, la patiente est afébrile à 36.8°C, normotendue à 135/70 mmHg, normocarde à 88 bpm, tachypnéique à 33/min et sature à 97% à l'air ambiant. Au status respiratoire, présence de râles crépitants et de sibilances en base droite. Au niveau cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, sans souffle audible. Le status digestif et urogénital est sans particularité. La gazométrie montre une insuffisance respiratoire partielle avec une alcalose respiratoire. Nous effectuons une radiographie de thorax qui ne montre pas de foyer clair. Nous suspectons une pneumonie au vu de la symptomatologie présentée par la patiente. Mme. Y est hospitalisée et nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine et Klacid, ce dernier est stoppé le 28.12.2018 au vu d'antigènes urinaires négatifs pour Légionelle. A noter que la patiente présente, le 29.12.2018, une réaction anaphylactique de type 2A avec angioedème de la lèvre et sensation d'oppression thoracique, ainsi qu'urticaire prurigineuse des membres inférieurs. Nous suspectons une origine médicamenteuse sur Rocéphine et dans ce contexte, nous effectuons un relais de l'antibiothérapie par Tavanic 500 mg 1x/jour. L'évolution est rapidement favorable après l'administration de Solumedrol 125 mg et Tavegyl 2 mg en iv, puis Prednisone 20 mg pendant deux jours et Xyzal 5mg 1x/j pendant deux jours. Durant le séjour, la patiente bénéficie d'une oxygénothérapie jusqu'au 29.12.2018, ainsi que d'un traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. Nous suspectons une possible BPCO susjacente pour laquelle nous vous laissons le soin de prévoir une consultation pneumologique de dépistage avec spirométrie à 4 semaines de l'épisode aigu. Concernant l'hyponatrémie modérée à 126 mmol/l hypoosmolaire, la patiente bénéficie d'une perfusion de NaCl 0,9% avec bonne réponse, la natrémie est à 136 mmol/l à la sortie. Nous mettons également en évidence une hématurie microscopique d'origine indéterminée avec glucosurie, associée à une perte pondérale de 5 kg anamnestique ces derniers mois. L'hématurie serait connue selon la patiente avec des investigations réalisées en ambulatoire. Nous vous prions de réaliser une cystoscopie en ambulatoire. Mme. Y peut regagner son domicile le 31.12.2018. Mme. Y, patiente de 75 ans, connue pour un syndrome métabolique et une polymyalgie rheumatica, est hospitalisée le 18.01.2019 en raison d'une insuffisance respiratoire partielle dans un contexte infectieux. Au vu des examens paracliniques, nous n'introduisons pas d'antibiothérapie d'emblée. Le frottis de grippe revient positif pour un Influenza A, et nous débutons un traitement de bronchodilatateur rapide et de Tamiflu pour une durée de 5 jours. L'évolution est favorable. Au vu de la clinique et d'une patiente connue pour un ancien tabagisme à 60 UPA, nous suspectons une BPCO et vous proposons d'effectuer un bilan à distance de l'épisode aigu. Un sevrage d'oxygène est possible le 23.01.2019. Au vu d'une bonne évolution à la fois clinique et biologique, Mme. Y rentre à domicile le 24.01.2019. Nous proposons un contrôle des valeurs hépatiques et rénales chez le médecin traitant. Mme. Y, patiente de 71 ans connue pour des bronchiectasies, est hospitalisée dans un contexte d'hémoptysie. Elle présente une oppression thoracique vers 16h en marchant qui dure 20 minutes (spontanément résolutive). Il s'agit du premier épisode de ce type. En regardant la télévision vers 21h, elle tousse et présente un épisode d'hémoptysie (décrit comme du sang coagulé en petite quantité avec traces de sang frais). En parallèle, elle constate une gêne oppressive au niveau thoracique, qu'elle met en lien avec de l'anxiété. Elle présente une toux sèche sans expectoration depuis 2 mois sans investigation, sans état fébrile ni frisson. Elle a une dyspnée stade II connue depuis environ 2 ans, et elle rapporte une xérostomie et xérophtalmie depuis environ 5 ans. Le CT thoracique à l'entrée montre plusieurs nodules pan-lobaires, en partie excavés, associés à des infiltrats micronodulaires, prédominants dans le lobe inférieur droit, ainsi que des bronchectasies, en augmentation comparés au CT de 2013. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, l'hémoglobine est dans la norme, le sédiment urinaire est propre, et les antigènes urinaires pour pneumocoque et légionelle reviennent négatifs. Nos collègues pneumologues proposent une surveillance à l'étage avec isolement et antibiothérapie par Co-amoxicilline et Klacid, ainsi que des cultures d'expectorations et un traitement symptomatique des crachats hémoptoïques. Un bilan rhumatologique montre des facteurs rhumatoïdes légèrement augmentés et les cultures d'expectorations sont encore partiellement en cours lors de la sortie de la patiente. Le traitement antibiotique par Co-amoxicilline est donné pour une durée de 7 jours au total. La patiente bénéficie également d'une bronchoscopie avec lavage broncho-alvéolaire. Les différents résultats nous orientent vers une pathologie probablement rhumatologique à l'origine de ces bronchectasies, et les micronodules présents au CT thoracique pourraient être en lien avec une infection secondaire. Sur le plan cardiaque, l'ECG ne montre pas de signe d'ischémie aiguë et les troponines sont négatives. Durant le séjour, elle ne présente aucune douleur ni dyspnée et nous proposons un contrôle en ambulatoire. L'aspirine cardio est mise en suspens et nous vous laissons le soin de la réintroduire à distance de l'épisode aigu, en évaluant le risque hémorragique. Au vu de la stabilité clinique, Mme. Y peut rentrer à domicile le 05.01.2019 avec un contrôle en pneumologie le 11.01.2019, où un suivi sera organisé. Mme. Y, votre patiente de 89 ans, connue pour FA anticoagulée par Xarelto, des troubles démentiels et dépressifs, ainsi que d'autres comorbidités, est à nouveau adressée par son entourage en ambulance pour péjoration de l'état général avec impossibilité de maintien à domicile.Pour rappel, Mme. Y a été récemment hospitalisée (du 07.12 au 21.12.2019) pour le même motif avec une baisse d'état général depuis environ 4 semaines, nettement aggravée sur les 2 dernières semaines, avec asthénie, perte d'appétit et d'autonomie dans un contexte de troubles cognitifs avec troubles mnésiques et confusion intermittente. Une demande de transfert à l'UATO avait été faite dans l'attente d'un placement en EMS. Au vu de la péjoration clinique avec notamment une péjoration de l'état de conscience et persistance d'un état comateux (GCS 3/15) sans signe de latéralisation neurologique, et avec un pronostic global limité, en tenant compte du souhait de la famille qui ne demande aucune nouvelle investigation à ce moment, et en accord avec le Dr. X. Mme. Y bénéficie donc des soins de confort et décède le 02.01.2019 à 02h45. Mme. Y, patiente de 78 ans, turcophone exclusive, connue pour des angiodysplasies gastriques et coliques avec une anémie chronique nécessitant régulièrement des transfusions de concentré érythrocytaire et de fer, se présente aux urgences le 09.01.2019 pour une sensation de dyspnée avec odynodysphagie apparue depuis deux jours. Elle décrit des pyrosis et des douleurs abdominales diffuses, ainsi que des brûlures mictionnelles avec pollakiurie de longue date. Elle se plaint aussi de sensation de froid mais sans état fébrile objectivé ni de frissons solennels. Cliniquement, on retient un souffle cardiaque systolique aortique 3/6 non irradiant, des discrets râles crépitants basaux droits et des douleurs diffuses à la palpation de l'épigastre; des méléna ont également été objectivés. Au laboratoire, on note une anémie microcytaire ferriprive avec une hémoglobinémie à 57 mg/l nécessitant une transfusion de deux concentrés érythrocytaires. Mme. Y est mise au bénéfice d'un traitement par Pantozol 40 mg 2x/j et, sur avis de nos collègues gastro-entérologues, une endoscopie haute et basse est agendée. D'un point de vue gastro-entérologique, une oesogastroduodénoscopie est réalisée le 11.01.2019 et montre un saignement actif des angiodysplasies qui sont sévères. Une coagulation par APC (Argon Plasma Coagulation) est réalisée avec succès. Nos collègues gastro-entérologues suggèrent de discuter d'une prise en charge d'une hypertension portale éventuelle, et de poursuivre le traitement par inhibiteurs de la pompe à protons. Une prochaine gastroscopie dans 6 à 8 semaines devrait être effectuée pour éventuellement traiter à nouveau les angiodysplasies avec l'APC. Une colonoscopie devrait également être envisagée. Mme. Y sera convoquée. D'un point de vue hématologique, Mme. Y présente un état fébrile le 09.01 après transfusion des deux concentrés érythrocytaires. Les cultures reviennent négatives et le suivi clinique et biologique est rassurant. D'un point de vue tensionnel, les anti-hypertenseurs sont mis en suspens du fait des risques de bas débit dans un contexte de saignement avec anémie secondaire. Nous vous laissons le soin de la reprise du traitement en fonction de vos évaluations cliniques et biologiques. D'un point de vue urinaire, Mme. Y présente une oligurie chronique dans le contexte duquel, un sédiment et une culture urinaire ont été réalisés et reviennent négatifs. Un simple suivi clinique est proposé. Au niveau social, Mme. Y souhaite la mise en place d'une aide à domicile notamment pour le ménage, la douche et la préparation des médicaments. De manière générale, Mme. Y reste peu compliante à nos propositions de prise en charge et, en tout état de cause, ne souhaite pas prolonger son hospitalisation et préfère rentrer à domicile ce samedi 12.01.2019. Mme. Y, votre patiente de 46 ans, connue pour un carcinome mammaire invasif du sein droit multimétastatique, est hospitalisée par son oncologue traitant en raison d'une baisse d'état général avec inappétence, dysphagie et dysphonie. Mme. Y décrit une péjoration de sa dysphagie. L'examen clinique est marqué par une dysphonie, des troubles de la déglutition, une candidose buccale et une hypoventilation aux deux bases, ainsi que des œdèmes de membres inférieurs bilatéraux. Le CT-Scan thoraco-abdominal réalisé en ambulatoire montrait une progression de la maladie oncologique avec l'apparition de plusieurs nodules cutanéo-graisseux, notamment sur le site de mastectomie et en regard de l'ancien trajet du pleur, ainsi que l'apparition de nodules péri-oesophagiens et de nouveaux nodules hépatiques. Nous complétons le bilan par un CT-Scan cervico-thoracique qui confirme la progression de la maladie oncologique, montrant une infiltration du nerf laryngé récurrent gauche avec une paralysie de la corde vocale gauche et un épanchement pleural. Mme. Y est mise au bénéfice d'une corticothérapie avec amélioration de la dysphonie. La corticothérapie se poursuivra à domicile. Sur avis de son oncologue traitant et après discussion avec Mme. Y, une chimiothérapie hebdomadaire de confort par Navelbine est proposée. Mme. Y sera revue par son oncologue traitant pour un suivi ambulatoire. Une prise en charge palliative par Voltigo est également organisée avec la mise en place d'un protocole d'urgence en cas d'étouffement avec du Fentanyl et du Dormicum. Nous ne procédons pas à la ponction pleurale gauche de l'épanchement au vu de la faible quantité de liquide et des risques inhérents au geste. Une surveillance clinique est préconisée. Sur le site du sein droit post-mastectomie, Mme. Y présente une plaie qui n'aurait jamais vraiment cicatrisé depuis la chirurgie. Sur avis de nos collègues stomatothérapeutes, un protocole de prise en charge avec pansement tous les 2 ou 3 jours est mis en place. Mme. Y présente une mucite traitée par de la Mycostatine. Mme. Y retourne ce 18.01.2019 à domicile avec aide et soutien Voltigo, ainsi que la poursuite de la prise en charge habituelle médico-oncologique. Mme. Y, patiente de 93 ans connue pour une hypothyroïdie substituée et une fibrillation auriculaire anticoagulée, est hospitalisée dans le cadre de soins impossibles à domicile. L'anamnèse révèle une dyspnée à l'effort connue et en péjoration progressive ainsi qu'une insécurité à la marche. Mme. Y vit chez sa fille et bénéficie de soins à domicile. Le statut met en évidence des crépitants bi-basaux. Mme. Y bénéficie d'une radiographie du thorax qui montre des signes d'insuffisance cardiaque légèrement décompensée et le NT-proBNP se révèle à >9000. Nous majorons le traitement de Torasemid de Mme. Y avec une évolution favorable. Nous vous proposons de suivre le poids et l'évolution des signes de surcharge de Mme. Y. En ce qui concerne l'anémie de Mme. Y, le bilan se révèle dans les limites de la norme. Nous vous proposons de suivre l'évolution de l'hémoglobine de Mme. Y. Nous mettons en évidence une acutisation de l'insuffisance rénale chronique de Mme. Y, probablement d'origine pré-rénale. Nous hydratons Mme. Y et mettons en place un protocole de boisson. Nous vous proposons de réaliser un laboratoire de contrôle pour la fonction rénale et les électrolytes (prévu pour le 24.12.2018). Concernant le traitement de Mme. Y, nous arrêtons la Simvastatine de Mme. Y en raison de son âge et nous réalisons un relais progressif de l'Anxiolit à de la Quetiapine en raison du risque élevé de chute de Mme. Y. Nous vous proposons de stopper l'Anxiolit de Mme. Y en début de semaine prochaine. Avant son hospitalisation, Mme. Y gérait ses traitements elle-même mais sur sa liste de traitement personnelle, l'Euthyrox n'apparaissait pas, raison pour laquelle nous ne savons pas si elle prenait une substitution ou pas. Au vu des valeurs laboratoires, nous suspectons une substitution trop importante et probablement anarchique à domicile, raison pour laquelle nous diminuons la substitution de Mme. Y. Nous proposons de réaliser un laboratoire de contrôle de la fonction thyroïdienne dans 3-4 semaines.Au vu de la bonne évolution de la patiente et de la nécessité d'une réhabilitation, la patiente est transférée en réhabilitation gériatrique le 21.12.2018. Mme. Y est une patiente de 31 ans, connue pour un statut post-bypass gastrique en 2013 avec perte pondérale de 78 kg depuis l'intervention, qui consulte aux urgences de Tavel en raison des douleurs abdominales importantes d'apparition subite au niveau de l'épigastre. Un CT-Scan abdominal met en évidence un iléus vraisemblablement sur bride avec possible hernie interne. La patiente est transférée chez nous pour la suite de la prise en charge. Mme. Y bénéficie d'une laparoscopie exploratrice avec révision du grêle et fermeture de hernie interne le 25.01.2019. L'intervention se déroule sans complication. L'évolution est par la suite favorable. Mme. Y rentre à domicile le 26.01.2019. Mme. Y est adressée aux urgences le 03.01.2019 par le médecin de garde, Dr. X, en raison de douleurs abdominales localisées en fosse iliaque droite et en hypochondre droit datant de trois jours, associées à un syndrome inflammatoire biologique. La patiente rapporte également un épisode d'urines orangées le jour de l'apparition des douleurs, sans répétition les jours suivants, puis à nouveau un épisode à son arrivée aux urgences. Pas de notion de trouble du transit hormis un épisode de selles claires et molles le matin de son admission. A l'examen clinique, douleur élective à la palpation de l'hypochondre droit avec un signe de Murphy positif. Le reste de l'abdomen est indolore à la palpation, les bruits sont conservés. Pas d'ictère cutané ni des sclères. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 215 mg/l et une leucocytose à 22,6 G/l. Les tests hépatiques sont perturbés avec ASAT à 53 U/l, ALAT 194 U/l, phosphatases alcalines 159 U/l, gamma GT 233 U/l, bilirubine totale 33 umol/l, directe 20 umol/l. Les tests pancréatiques sont dans la norme. Un CT abdominal met en évidence une cholécystite aiguë avec un calcul dans le cholédoque et une dilatation de ce dernier d'environ 1 cm. Présence également de calculs dans la vésicule biliaire, sans abcès, ni dilatation des voies intra-hépatiques. La patiente est hospitalisée dans le service de chirurgie pour la suite de la prise en charge. Elle est mise à jeun et sous antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine 2 g/jour et Flagyl 3 x 500 mg/jour. Le 07.01.2019, une ERCP est réalisée à l'HFR Fribourg, mettant en évidence de multiples calculs vésiculaires et une suspicion de calcul dans le canal cystique. Lors de l'intervention, 7 calculs cholédociens sont extraits après papillotomie. Un léger saignement sur la papille a été interrompu par la compression lors de l'examen. Au retour de l'intervention, l'indication à une cholécystectomie est posée et l'intervention est agendée pour le 11.01.2019. La veille de la date d'intervention, Mme. Y présente plusieurs épisodes d'hypotension orthostatique accompagnés de nausées. Ce même jour, la patiente rapporte des traces de sang dans ses selles, non objectivées par l'équipe infirmière. Le 11.01.2019 au matin, le laboratoire met en évidence une anémie avec hémoglobine à 70 g/l probablement sur pertes sanguines dans le décours de l'intervention réalisée le 07.01.2019, anémie expliquant l'hypotension et la symptomatologie de la patiente. L'intervention est annulée et la patiente va recevoir un total de quatre culots érythrocytaires le 11.01.2019, puis encore un le 13.01.2019. Une OGD est réalisée par Dr. X, mettant en évidence un léger saignement au niveau de la papille. La patiente bénéficie alors d'une surveillance en lits monitorés aux urgences. Durant l'hospitalisation, la patiente présente toujours des selles noires mais elle est cliniquement plus stable, moins fatiguée et hémodynamiquement stable avec une tension artérielle rassurante bien que légèrement diminuée et pauci symptomatique. Le 14.01.2019, la patiente se sent encore un peu faible et présente une persistance de traces de méléna dans ses selles, toutefois sans notion de douleurs abdominales, de nausées ou de vomissements. Le laboratoire de contrôle met en évidence une hémoglobine à 94 g/l. Devant la bonne évolution clinique, Mme. Y peut retourner à domicile le 14.01.2019, sous traitement de Nexium 2 x 40 mg/jour du 14 au 28.01.2019 inclus. Elle sera revue à votre consultation le 18.01.2019 pour contrôle clinique et biologique (hémoglobine et tests hépatiques). En outre, un rendez-vous est prévu à la consultation de Dr. X le 21.01.2019 à 10h45 pour planification d'une cholécystectomie. Mme. Y nous est transférée de la médecine interne de l'HFR Meyriez le 27.12.2018 en raison d'une décompensation cardiaque sur mauvaise compliance thérapeutique. C'est une patiente de 84 ans connue pour une cardiomyopathie ischémique, hypertensive et valvulaire. L'anamnèse révèle l'apparition progressive depuis environ 3 semaines d'une dyspnée avec l'apparition d'oedèmes des membres inférieurs. La patiente rapporte avoir arrêté son Lisinopril en raison d'une tension basse asymptomatique. L'examen clinique montre une patiente avec une dyspnée stade IV et des oedèmes des membres inférieurs ainsi que des râles crépitants bi-basaux. Mme. Y vit seule dans une maison de plain-pied avec 13 marches depuis le garage jusqu'à la maison. Sa famille habite en Allemagne. Elle est veuve. Aux urgences de Fribourg, la patiente a bénéficié d'une radiographie du thorax et d'une échographie au lit du malade qui ont montré des signes de décompensation cardiaque. Un traitement de Lasix iv a été introduit avec une bonne réponse clinique. Puis nous avons réalisé un relais par Torem jusqu'à atteindre une dose de 10 mg/j avec une stabilité des symptômes. Nous vous proposons de suivre le poids et les signes de surcharge de la patiente et d'adapter sa thérapie au besoin. Nous mettons en évidence des troubles électrolytiques que nous substituons et suivons au laboratoire. Au cours de son séjour, la patiente décrit des douleurs au niveau de la colonne dorsale, douleurs connues par la patiente dans le cadre d'une ostéoporose fracturaire traitée de manière intermittente par la patiente mais actuellement sans traitement. Nous réalisons des radiographies dont les résultats montrent une péjoration de la fracture de compression du D6/7. En raison de sa péjoration de sa fracture résultante de son ostéoporose, nous discutons avec Mme. Y de la reprise du bisphosphonate, ce qu'elle ne souhaite pas pour l'instant. Elle accepte néanmoins de prendre de la Vitamine D et du Calcimagon. Elle ne souhaite pas faire de DEXA Scanner. Parallèlement aux problèmes médicaux aigus, nous débutons une réhabilitation gériatrique précoce avec physiothérapie et ergothérapie. Les scores de mobilité au début du séjour sont les suivants: le transfert FIM 5 ralenti avec le rollateur, la mobilité FIM 5 avec rollateur et le Tinetti 8/28 avec le rollateur avec haut risque de chute. Les scores de mobilité à la fin du séjour sont les suivants, avec une nette amélioration de la distance de marche et de l'autonomie dans la mobilisation avec le rollateur: le transfert FIM 5, la mobilité FIM 6 100 m avec rollateur et le Tinetti est de 10/28.Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Y peut retrouver son domicile le 12.01.2019 avec Spitex Courtaman 2x/semaine pour la douche et 1x/semaine pour le contrôle des paramètres vitaux et passage une fois par semaine du VHD Schmitten pour la lessive ainsi que les courses. Mme. Y se présente le 23.12.2018 aux urgences de l'HFR Fribourg en raison d'une dyspnée et des oedèmes des membres inférieurs en progression. La clinique, la radiographie du thorax ainsi qu'une échocardiographie nous permettent de diagnostiquer une nouvelle décompensation cardiaque globale. Celle-ci est vraisemblablement due à une mauvaise compliance médicamenteuse. La patiente a récemment arrêté le traitement de Lisinopril de sa propre initiative. Sous traitement diurétique en augmentation avec un bilan négatif et reprise du traitement de Lisinopril, la réponse clinique est rapidement favorable. Les troubles électrolytiques modérés montrent également une évolution rapidement favorable. Le 24.12.2018, la patiente se plaint d'une acutisation des douleurs lombaires chroniques. Celles-ci sont dues à une ostéoporose fracturaire pour laquelle une mauvaise compliance médicamenteuse doit également être constatée. Une adaptation de l'antalgie et la physiothérapie permettent une amélioration des symptômes. Sur le plan internistique, une sortie avec retour à domicile est prévue le 27.12.2018 mais ne semble pas être faisable pour une raison sociale, raison pour laquelle la patiente est transférée le jour même en gériatrie aiguë pour une réadaptation précoce. Mme. Y, patiente de 90 ans connue pour un antécédent d'AVC ischémique fronto-temporal gauche ainsi qu'une fibrillation auriculaire paroxystique anticoagulée, est amenée en ambulance le 23.12.2018, après avoir été retrouvée au sol de la salle de bain par son époux avec une faiblesse de l'hémicorps gauche le 23.12.2018 au matin. Dernière preuve de bonne santé la veille au soir. La patiente n'a pas de souvenir de l'épisode. Aux urgences, est mis en évidence un hémisyndrome moteur facio-brachio-crural gauche avec héminégligence gauche. Le scanner cérébral révèle une occlusion des artères sylviennes droite au niveau M2-M3 et antérieure droite au niveau A3, ainsi qu'une hémorragie sous-arachnoïdienne pariétale gauche de petite taille. La patiente est hospitalisée en lit monitoré pour une surveillance neurologique, sans pouvoir bénéficier d'un traitement d'urgence au vu du délai inconnu des symptômes. L'IRM cérébral révèle des lésions insulaires et postcentrales pariétales droite, ainsi que des frontales supérieures droite, avec transformation hémorragique secondaire. Les lésions correspondent aux territoires des artères cérébrales moyenne et antérieure occluses. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne montre pas de cause structurelle emboligène. La patiente est connue pour une fibrillation auriculaire anticoagulée, nous suspectons au vu des lésions pluri-territoriales, une origine embolique, malgré une anticoagulation thérapeutique. Le traitement de Sintrom est initialement suspendu dans le contexte de la transformation hémorragique et des hémorragies sous-arachnoïdiennes initiales. Une anticoagulation par Eliquis 2,5 mg 2x/j est introduite à J12 post-AVC, après un scanner cérébral natif de contrôle. Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est introduit en raison d'une hypercholestérolémie. Le bilan lipidique réalisé à un mois montre un taux de LDL dans la cible (< 2,6 mmol/l), le contrôle des transaminases à un mois est dans la norme. L'évolution clinique est stable durant le séjour avec un statut neurologique de sortie montrant la persistance d'une héminégligence gauche modérée, une plégie complète du membre inférieur gauche et parésie du membre supérieur gauche (mouvement de la main contre gravité). La patiente est fortement anosognosique. La situation de Mme. Y à domicile est discutée avec les enfants lors d'un colloque de famille le 18.01.19. Un retour à domicile semble fortement compromis au vu des importants déficits de la patiente, ainsi que des troubles cognitifs préexistants. Le potentiel de rééducation est jugé faible à modéré. Selon l'évolution, l'intensité des thérapies pourra être rediscutée. Au vu du risque très élevé d'un changement de lieu de vie, nous proposons une suite de prise en charge à l'UATO afin de poursuivre les séances de physiothérapie et d'ergothérapie. Mme. Y est transférée le 23.01.19 à l'UATO. Mme. Y, 75 ans, connue pour un syndrome d'apnée/hypopnée du sommeil mixte, à prédominance centrale, de degré sévère, traitée depuis 2009, est hospitalisée de manière élective dans notre laboratoire du sommeil pour le contrôle annuel de sa ventilation. Pour rappel, lors de son suivi annuel dans notre laboratoire du sommeil en janvier 2018, nous avions procédé à la mise sous VNI au vu de la mauvaise prise en charge des événements respiratoires nocturnes avec persistance d'apnées obstructives et d'hypopnées (IAH résiduel de 31,4/h) avec contrôle globalement satisfaisant en avril 2018. Depuis notre dernier contrôle à notre consultation, la patiente rapporte très bien tolérer la VNI depuis le changement de la machine en raison d'un bruit dérangeant. La compliance est actuellement excellente. Pas de point de pression au niveau du masque ni de fuites importantes remarquées. Légère sécheresse des muqueuses de la sphère ORL. Sommeil décrit comme de bonne qualité et réparateur. Pas de somnolence diurne, pas de céphalée matinale, pas d'injection conjonctivale. La tolérance et la compliance de la VNI sont excellentes malgré un IAH résiduel à l'examen du jour à 33/h avec autant d'événements centraux qu'obstructifs. Dans ce contexte et au vu des nombreux changements de type de ventilation et de réglages déjà entrepris, nous décidons de poursuivre le traitement sans modifications des paramètres. Nous reverrons la patiente dans une année pour un nouveau contrôle. Elle nous contactera dans l'intervalle si nécessaire. Mme. Y est une patiente de 40 ans aux antécédents susmentionnés, qui bénéficie d'un bypass gastrique proximal par laparoscopie le 21.01.2019. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites opératoires sont simples avec une évolution favorable. Mme. Y rentre à domicile le 24.01.2019. Un rendez-vous de suivi chez le Dr. X est prévu le 21.02.2019 à 9h20. Nous laissons à la patiente le soin de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils. Mme. Y, institutionnalisée au foyer St-Louis à Fribourg, connue pour une schizophrénie hébéphrénique, est amenée aux urgences le 01.01.2019 suite à une intoxication médicamenteuse volontaire, dans un but suicidaire. La patiente est rentrée à domicile pour les fêtes et suite à un repas avec sa famille et des amis, elle ingère des comprimés de Rivotril (nombre inconnu, mais maximum 200 mg). Elle est amenée aux urgences par sa famille en raison d'une somnolence. Traitement médicamenteux habituel : Abilify 30 mg 1x/j, Haldol 10 mg matin et soir, Rivotril 0,5 mg la nuit, Topiramate 50 mg matin et soir, Valproate 500 le soir, Temesta 1 mg en réserve. La patiente est suivie par le Dr. X. À l'admission aux urgences, Mme. Y est hypotendue, normocarde avec une bonne saturation à l'air ambiant. Au statut neurologique, Glasgow à 15/15. La patiente est orientée dans le temps, ralentie et somnolente avec des pupilles isocores, isoréactives et sans déficit des nerfs crâniens. Le statut cardio-pulmonaire est dans la norme. Nous contactons le ToxInfo Suisse qui nous informe que pour une dose supérieure à 100 mg de Rivotril, il y a un risque important de dépression du système nerveux central, de coma, d'ataxie, de dépression respiratoire et d'hypotension artérielle. Le pic se situe entre 1 et 4h normalement, mais en cas de surdosage, il peut être fortement délayé; la demi-vie d'une dose si importante est de 20 à 60h. L'antidote Anexate est à administrer qu'en cas de dépression respiratoire ou du système nerveux central, car sa demi-vie est très courte.Aux urgences, nous administrons 200 ml de solution de charbon actif 1,5 heure après l'ingestion des médicaments et la patiente est gardée en lit d'observation aux urgences pour la nuit. Durant la surveillance, elle désature à 90%, devient bradycarde à 45/min et hypotendue à 80/40 mmHg. Les constantes s'améliorent après l'administration de deux doses de Flumazénil à 0,5 mg, la première à 01h00 et la deuxième à 02h00 du matin. Le matin du 02.01.2019, la patiente est stable sur le plan hémodynamique, hypotendue à 90/50 mmHg mais normocarde et avec une saturation en oxygène dans la norme à l'air ambiant. Elle est toujours très ralentie, mais le statut neurologique est sans altération (seulement une force diminuée mais de manière symétrique aux membres supérieurs et inférieurs, connue selon la famille). Nous recontactons le ToxInfo Suisse qui nous confirme que le pic de la dose de Rivotril est terminé et vu que l'on a passé 4 fois la durée de l'hémi-vie du Flumazénil sans péjoration, aucune aggravation n'est attendue. La patiente n'a donc plus besoin d'une surveillance hémodynamique mais uniquement d'une surveillance neurologique pour le ralentissement. Mme. Y est évaluée par le Dr. X, psychiatre de liaison qui conclut à une schizophrénie hébéphrénique et confirme les idéations suicidaires. Dans ce contexte, un retour au foyer St-Louis n'est pas possible dans l'immédiat et une hospitalisation au RFSM CSH Marsens est proposée. La patiente refuse cette proposition. Mme. Y, hémodynamiquement stable, est donc transférée au RFSM CSH Marsens sous PAFA, le 02.01.2019. En accord avec le Dr. X, nous ne donnons pas à la patiente sa médication quotidienne vu la persistance du ralentissement psychomoteur. Les parents de la patiente sont informés de l'hospitalisation en milieu psychiatrique. Mme. Y, patiente de 19 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour surveillance d'un trouble de l'état de conscience dans un contexte de tentamen médicamenteux. La patiente est connue pour un trouble de la personnalité borderline et aurait consommé à visée suicidaire le 07.01.2019 une quantité importante de psychotropes, à savoir 3,2 g de Topiramate, 60 à 320 mg de Citalopram, 200 mg d'Atarax, 80 mg de Xyzal et 40 mg d'Olanzapine. La patiente est transférée en ambulance aux urgences dans la soirée du 07.01.2019 avec mise en évidence d'un état de conscience altéré (GSC 14-15 points, patiente somnolente mais réveillable qui répond aux ordres simples). Le bilan biologique montre une hypokaliémie avec acidose métabolique à trou anionique normal et l'ECG d'entrée montre un QT allongé à 450 ms. La patiente est ensuite hospitalisée aux soins intensifs pour une surveillance clinique et biologique. D'un point de vue clinique, la patiente n'a pas présenté de complications neurologiques avec une normalisation spontanée de son état de conscience (GCS à 15 points) sans nécessité de mesures thérapeutiques. D'un point de vue rythmique et hémodynamique, nous n'avons pas objectivé de complications avec un contrôle ECG qui montre une persistance d'un QT long allongé mais sans arythmies associées ni facteur étiologique clair. En cas de reprise de son traitement psychotrope, un contrôle ECG serait nécessaire. Enfin, d'un point de vue biologique, l'hypokaliémie se normalise spontanément. Un avis psychiatrique est pris le 08.01.2019 et retient l'indication à une hospitalisation en milieu psychiatrique. La patiente est transférée à l'hôpital de Marsens en mode volontaire le 08.01.2019 (unité Vénus). Mme. Y est transférée le 05.12.2018 depuis la gériatrie aiguë à Meyriez en réhabilitation musculo-squelettique pour la suite de la prise en charge après une fracture pertrochantérienne droite le 16.09.2018, traitée opérativement à l'Inselspital et nécessitant une charge de 0 kg pendant 8 semaines. La patiente est connue pour une maladie ischémique cardiaque et pour un syndrome d'apnée du sommeil sévère. À l'anamnèse, la patiente se plaint encore de légères douleurs à la mobilisation autour de la plaie d'opération à la hanche droite, elle se déplace à l'aide du rolateur. Elle a perdu de manière volontaire 6 à 8 kg pendant les 6 derniers mois sans autres symptômes. La patiente souhaite perdre du poids et fait donc attention à ce qu'elle mange. L'anamnèse systématique ne révèle pas d'autres particularités. Au status, se présente une patiente en bon état général. L'examen cardio-pulmonaire met en évidence de légers œdèmes des pieds avec des pouls bien palpables. L'examen abdominal et neurologique ne met pas en évidence de spécificités à part une marche avec une cyphose thoracique. Avant les hospitalisations récentes, la patiente vivait avec son mari dans une maison avec jardin et se déplaçait à l'aide de deux cannes. Elle était indépendante pour les ADL et les IADL et n'avait pas de Spitex. Elle ne conduisait plus. Nous débutons une réhabilitation avec physiothérapie et ergothérapie. Les scores de mobilité au début du séjour sont les suivants : le transfert FIM 6 autonomie réduite, ralentie, la mobilité FIM 5 sous supervision et rolateur, les escaliers FIM 2 avec aide importante, 4 marches, le Tinetti 11/25 avec rolateur avec un risque de chute augmenté. Les scores de mobilité à la fin du séjour sont les suivants : le transfert FIM 6 avec autonomie légèrement réduite, la mobilité FIM 6 avec le rolateur et FIM 3 avec les béquilles, les escaliers FIM 5 avec la rampe, le Tinetti FIM 13/28 avec encore un risque de chute augmenté. Le diagnostic de syndrome d'apnée du sommeil a été posé lors de la polygraphie du 26-27.11.2018, qui montre un syndrome d'apnée du sommeil sévère complexe à prédominance obstructive et avec une composante centrale. Le AHI est à 63/h. Elle aura un contrôle chez Dr. X le 11.01.2019 à 9h45 à Tafers pour discuter et introduire un traitement avec CPAP ou APAP. Pour rappel, elle est connue pour une cardiopathie hypertensive et ischémique sévère avec pose de stent en 2009 et bypass en 2011. Elle est stable sous Beloc Zok, ASS cardio, Aorvastatine et Irbesartan. De plus, Mme. Y présente des troubles de la marche multifactorielle traités par de la physiothérapie. Elle a une incontinence urinaire et fécale légère depuis ses accouchements qui ne nécessite pas de traitement à part des lingettes de protection. Concernant la suspicion d'une ostéoporose, elle reçoit par poste une convocation de l'Inselspital. Mme. Y est connue pour une cardiomyopathie hypertensive et ischémique sévère avec lésions tritronculaires stables traitées par Beloc Zok, ASS cardio, Aorvastatine, Irbesartan. Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Y peut rentrer à domicile le 22.12.2018. Mme. Y est hospitalisée le 01.01.2019 pour un état confusionnel aigu hyperactif chez une patiente connue pour un trouble anxio-dépressif mixte récurrent et une démence débutante. L'état confusionnel est précipité par une hyponatrémie hypo-osmolaire sur SIADH d'origine médicamenteuse probable, ainsi qu'un état fébrile sur pneumonie pour lequel un traitement par Co-Amoxicilline est introduit le 01.01.2019 après réalisation d'hémocultures. Sur le plan électrolytique, une restriction hydrique, une hydratation intraveineuse avec complément par capsule de sel et le traitement de l'infection permettent une amélioration de la natrémie ainsi que de l'état confusionnel. Pour le bilan du SIADH, un CT-Scan à la recherche d'une néoplasie primaire est mené et se révèle être normal. Une imagerie du neurocrâne par IRM fait suspecter un cavernome basilaire G pouvant engendrer un SIADH. Un bilan endoscopique par colonoscopie n'a pas été réalisé vu une colonoscopie sans particularités en 2016. Un contrôle gynécologique serait à prévoir en ambulatoire afin de compléter le bilan de dépistage de néoplasie. Étant donné sa résolution concomitante à l'infection, nous suspectons un SIADH d'origine infectieuse sur la pneumonie. Sur le plan neurologique, un trouble cognitif débutant est suspecté à l'aide d'un test MOCA (23+1/30). Un IRM montre une atrophie cortico-sous-corticale modérée et des lésions dégénératives discrètes d'origine vasculaire. Un bilan neuropsychologique complet est indiqué et sera à réaliser en ambulatoire. Concernant le contexte anxio-dépressif récurrent chez cette patiente, l'avis de nos collègues psychiatres de liaison est demandé et la réintroduction d'un traitement antidépresseur est indiquée. Néanmoins, la patiente étant encore hésitante, nous vous laissons le soin de réévaluer la situation et la nécessité d'une thérapie lors du suivi psychothérapeutique. L'évolution clinique et biologique est favorable et Mme. Y peut rentrer chez elle, sans aide à domicile en accord avec sa famille, le 09.01.2018. Mme. Y présente une lésion de la corne postérieure du ménisque interne symptomatique. L'indication pour une arthroscopie et une résection partielle de la corne postérieure du ménisque interne +/- suture du ménisque est posée. La patiente est informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Elle me donne son accord, le consentement est signé. L'intervention est prévue pour le 28 janvier 2019, en ambulatoire. La patiente sera vue en anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Mme. Y, patiente de 58 ans en bonne santé habituelle, se présente aux Urgences le 30.12.2018 en raison de douleurs abdominales en hypochondre droit. Les examens clinique et radiologique mettent en évidence une cholécystite aiguë lithiasique. La patiente bénéficie d'une cholécystectomie par laparoscopie le 31.12.2018. L'opération se déroule sans complication. L'évolution clinique est favorable. Mme. Y rentre à domicile le 01.01.2019. Mme. Y, patiente de 79 ans, connue pour des antécédents d'embolies pulmonaires et de thromboses veineuses profondes traitées par Xarelto, est adressée au service des urgences le 21.01.2019 par son médecin traitant pour une suspicion de décompensation cardiaque (BNP 2200 ng/l en ambulatoire et CRP 141 mg/l fait au cabinet). Il n'y a aucun changement à l'ECG et aucune cinétique enzymatique cardiaque. Elle est admise au service de médecine interne pour la suite de sa prise en charge. La patiente présente depuis le 18.01.2019 une toux, accompagnée de myalgies et d'une baisse de l'état général. Elle décrit également une dyspnée d'effort depuis plusieurs semaines ainsi qu'une orthopnée isolée, sans œdème des membres inférieurs, ni dyspnée paroxystique nocturne. La patiente nie toute douleur dans les membres inférieurs. Sur le plan cardiologique, un traitement par Lasix IV est débuté. L'ETT réalisée permet d'exclure une insuffisance cardiaque structurelle ou valvulaire sous-jacente. Après discussion avec nos confrères cardiologues, en raison des cavités droites modérément dilatées, le diagnostic d'une décompensation cardiaque dans un contexte infectieux est retenu. Le traitement antihypertenseur habituel est repris le 23.01.2019 et l'oxygénothérapie peut être sevrée le 24.01.2019. Au niveau infectiologique, des frottis du virus Influenza A reviennent positifs. Une prise en charge symptomatique est initiée et la patiente est isolée pour un total de 2 jours. Nous retenons cette infection comme étant le facteur déclenchant de la probable décompensation cardiaque droite, sans insuffisance cardiaque sous-jacente. Finalement, sur le plan dermatologique, nous prenons en charge l'ulcère chronique de la malléole interne à gauche que présente la patiente dans le contexte d'une insuffisance veineuse chronique. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, la patiente retourne à domicile le 25.01.2019. Mme. Y, votre patiente de 69 ans connue pour une leucémie myéloïde aiguë, hebdomadairement traitée par du Vidaza, est adressée par son hémato-oncologue traitant (Dr. X) pour un état fébrile et des frissons solennels. À son admission, la patiente se plaint d'une petite toux avec quelques expectorations claires. À l'examen clinique, la patiente est tachypnéique et présente des discrets crépitants basaux droits. On note également un œdème et une rougeur uniforme palmaire et plantaire bilatérale. La patiente présente un état fébrile associé à une péjoration de l'état de conscience. Alors que le laboratoire montre une majoration du syndrome inflammatoire, l'hémoculture et la culture urinaire reviennent négatives. Une hématurie microscopique est mise en évidence mais l'US des voies urinaires revient tout à fait normale. La radiographie du thorax ne montre aucun signe de foyer infectieux. La patiente est néanmoins mise au bénéfice d'une antibiothérapie à large spectre par du Céfépime pour une durée totale de 14 jours avec succès. Sur le plan oncologique, la patiente bénéficie durant son hospitalisation d'une cure de Vidaza du 18.01 au 21.01.2019, sans complications majeures. La patiente présente une agranulocytose, nécessitant un soutien stimulant par Neupogen durant son séjour. En raison de l'anémie, dans le contexte de la maladie hémato-oncologique, la patiente bénéficie des transfusions de culots érythrocytaires pour atteindre une cible de plus de 100 mg/l avant la sortie d'hospitalisation. Au vu de la thrombopénie, le Lixiana est mis en suspens et nous vous laissons évaluer la reprise de ce traitement. La patiente est connue pour une cardiopathie mixte ischémique et valvulaire avec insuffisance mitrale modérée à sévère et une FEVG conservée à 54 %, et qui est pour l'heure pauci-symptomatique. Nous ne retenons pas d'indication d'échocardiographie transthoracique, au vu du projet oncologique global. La patiente rentre à domicile en bon état général le 23.01.2019. Elle sera revue en consultation le 25.01.2019 à 14h00 par le Dr. X après une prise de sang prévue une heure plus tôt. Mme. Y est hospitalisée le 28.12.2018 pour des troubles neurologiques focaux (ptose labiale droite et manque du mot) et généraux (ralentissement psychomoteur et faiblesse généralisée) avec chute sans perte de connaissance ni traumatisme crânien. Sur le plan neurologique, un bilan par imagerie (CT et IRM) met en évidence une mauvaise opacification du départ de l'artère vertébrale droite, difficilement interprétable au vu des nombreux artéfacts de mouvements, sans signes d'ischémie aiguë ou de saignement. Le bilan post-AIT est complété par un Holter et une ETT, qui se révèlent dans la norme. Un ultrason des vaisseaux du cou est réalisé, sans mettre en avant de sténose significative. Pour compléter ce bilan, nous vous invitons à organiser un R-Test sur 72h en ambulatoire. Un diagnostic d'AIT est retenu par les neurologues et un traitement d'Aspirine est introduit malgré l'absence de sténose carotidienne. Un traitement d'Atorvastatine est également introduit pour une dyslipidémie. Cependant, nous ne parvenons pas à exclure le diagnostic différentiel d'encéphalopathie d'origine mixte médicamenteuse (très lourd traitement psychiatrique de la patiente) et métabolique (décompensation diabétique à son admission). Un EEG montre en effet des signes concordants avec une telle encéphalopathie. Le traitement devra être adapté par le psychiatre traitant à la consultation ambulatoire.Sur le plan endocrinologique, une décompensation hyperglycémique d'un diabète de type 2 est retrouvée. Sur conseil des diabétologues, une insulinothérapie est débutée et permet un excellent contrôle. La thérapie sera à poursuivre à domicile, selon le schéma transmis. Nous initions un bilan à la recherche de complications associées à ce diabète et retrouvons une dyslipidémie, nécessitant l'introduction d'une statine. Nous vous proposons de compléter le bilan à la recherche des autres complications associées au diabète. Durant le séjour, la patiente présente un épisode de malaise sans perte de connaissance, similaire à celui présenté la veille de son hospitalisation. Un test de Schellong met en évidence un orthostatisme. Nous expliquons à la patiente les précautions à prendre au lever. Si la clinique devait persister, nous vous proposons une révision thérapeutique. Notons encore un QTc long (476 msec) retrouvé à l'ECG, probablement dans un contexte médicamenteux. Nous vous proposons un contrôle régulier de la durée du QT et de faire preuve de prudence lors de changements de la médication. Au vu de l'évolution favorable de Mme. Y, la patiente retourne au foyer Horizon Sud le 11.01.2019. Mme. Y est une patiente de 39 ans connue pour une hernie hiatale traitée par IPP, qui est hospitalisée en électif pour une cholécystectomie laparoscopique avec cholangiographie intra-opératoire suite à la mise en évidence d'une cholécystolithiase symptomatique. La patiente bénéficie de l'intervention susmentionnée le 23.01.2019. L'intervention se déroule sans complication et l'évolution est par la suite favorable, raison pour laquelle Mme. Y rentre à domicile le 28.01.2019. Un rendez-vous de contrôle post-opératoire à la consultation du Dr. X est prévu le 31.01.2019 à 11h00. Mme. Y, patiente de 39 ans connue pour une hernie hiatale traitée par IPP, est hospitalisée en électif pour une cholécystectomie laparoscopique avec cholangiographie intra-opératoire suite à mise en évidence d'une cholécystolithiase symptomatique. La patiente bénéficie de l'intervention susmentionnée le 28.01.2019. L'intervention se déroule sans complication, l'évolution est par la suite favorable. En vue de l'évolution clinique favorable, Mme. Y rentre à domicile le 28.01.2019. Un rendez-vous de contrôle post-opératoire à la consultation du Dr. X est prévu le 31.01.2019 à 11h00. Mme. Y, patiente en chaise roulante depuis un AVC avec hemisyndrome en 2016, se fait hospitaliser le 23.01.2019 pour une suspicion de pneumonie avec décompensation cardiaque. Pour rappel, elle est aussi connue pour une cardiomyopathie hypertensive, valvulaire et rythmique, un syndrome métabolique avec diabète de type 2 et adiposité avec un BMI > 30 kg/m², une insuffisance rénale chronique stade IV ainsi qu'une anémie normocytaire hyporégénérative hypochrome. À son entrée, nous retrouvons une patiente dyspnéique depuis 2 jours, alitée et fébrile à 38.3°. Nous observons également une désaturation à 80 % sous air ambiant. Elle est alors fébrile à 38.3 °C avec toux sans expectorations. De faibles oedèmes bilatéraux aux deux jambes prenant le godet sont également constatés. Au vu d'un syndrome inflammatoire biologique et à la suite d'une radiographie thoracique au couché montrant de probables petits infiltrats bibasaux ainsi que des signes de décompensation cardiaque, nous hospitalisons la patiente en introduisant une antibiothérapie à la rocéphine avec thérapie diurétique et oxygénothérapie. Au fil de l'hospitalisation, la réponse clinique et biologique envers l'antibiose s'avérera largement insuffisante. Une insuffisance rénale aiguë sur chronique sévère s'est également installée dans le cadre d'un syndrome cardio-rénal avec anurie et GFR à 6 ml/min, rendant tout traitement diurétique inefficace. Au vu d'une patiente fortement somnolente le 28.01.2019, nous injectons du Naloxone qui ne provoquera aucune réaction chez la patiente, faisant écarter une cause médicamenteuse opiacique qui expliquerait la somnolence de la patiente. L'état de conscience se diminue alors fortement au fil de la journée du 28.01.2019 avec apparition de râles audibles. Les proches sont alors informés d'un décès rapide probable au vu de la défaillance multiviscérale. De la morphine à faible dose est alors prescrite afin de diminuer les douleurs neuropathiques toujours fortement présentes ainsi que du buscopan pour diminuer les sécrétions bronchiques. La patiente décèdera paisiblement le 29.01.2019 à 5h10 en compagnie de sa fille. De fortes douleurs musculaires spastiques invalidantes dans l'hémicorps gauche sont évoquées pour lesquelles nous augmentons la dose de baclofène et introduisons du Pregabalin (selon avis du Dr. X). Sans succès dans le combat de la douleur au cours de l'hospitalisation, nous introduisons également une thérapie à faible dosage de Palexia, ceci avec prudence au vu d'une tolérance limitée à la morphine. Mme. Y est une patiente de 51 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences le 17.01.2019 en raison de douleurs abdominales en augmentation depuis 48 heures. Les douleurs sont localisées au niveau du bas-ventre gauche et droit. Les examens laboratoires mettent en évidence une CRP augmentée sans leucocytose et les examens urinaires montrent une infection urinaire. Les examens radiologiques mettent en évidence un appendice de taille et de présentation normale sans signe d'inflammation et des anses intestinales sans particularités. À noter, la découverte fortuite d'une occlusion de l'artère iliaque commune à quelques centimètres de la bifurcation aortique, sans perturbation de la perfusion en distal. Au vu des résultats radiologiques, nous retenons le diagnostic de probable cystite et initions une antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine et Metronidazole sur 24 heures. L'évolution clinique de la patiente est favorable, permettant un retour à domicile le 19.02.2019. Au vu du caractère asymptomatique de la découverte fortuite de cette occlusion de l'artère iliaque commune, nous organisons une consultation en chirurgie vasculaire en ambulatoire. Mme. Y est admise dans notre service pour une ponction d'ascite élective depuis son domicile. Pour rappel, elle est suivie régulièrement à notre accueil de jour et est bien connue de notre service. La patiente rapporte une prise pondérale depuis quelques semaines avec récidive de son ascite. À son entrée, l'abdomen est distendu sans défense ni détente. Nous effectuons une ponction sous anesthésie locale avec retrait de 4,7 litres d'ascite. À noter que la patiente se plaint de douleurs en regard des anciens points de ponction en fosse iliaque gauche, douleur d'allure nociceptive d'origine probablement péritonéale, motivant une ponction en fosse iliaque droite cette fois-ci et la poursuite d'antalgie par Oxynorm en réserve. Après une surveillance d'une nuit d'hospitalisation, la patiente rentre à domicile le 18.01.2019 avec un contrôle à votre consultation prévu le 24.01.2019. Mme. Y est une patiente IMC institutionnalisée, hospitalisée dans un contexte de dyspnée d'apparition progressive et de l'apparition d'oedèmes des membres inférieurs. Les investigations radiologiques et biologiques aux urgences permettent de mettre en évidence une décompensation cardiaque. Nous introduisons un traitement diurétique intraveineux ainsi qu'une oxygénothérapie avec bonne réponse. Nous effectuons un ultrason cardiaque montrant une fonction systolique gauche conservée, ainsi qu'une dysfonction systolique droite modérée. Un contrôle à 3 mois est préconisé.Cependant nous constatons que nous ne parvenons pas à sevrer la patiente d'oxygène. Une gazométrie montre une acidose respiratoire ainsi qu'une alcalose métabolique non-chlore dépendante chez une patiente asymptomatique. Nous introduisons un traitement de Diamox et de VNI sans amélioration biologique. Nous constatons que sans traitement, la patiente est asymptomatique de son hypoxémie et de son hypercapnie, ce pourquoi, malgré une saturation très basse entre 60 et 70%, nous laissons rentrer la patiente sans oxygène. Nous découvrons également fortuitement une embolie pulmonaire sous-segmentaire, raison pour laquelle nous débutons une anticoagulation par HBPM dans un premier temps, puis par Xarelto au vu de l'absence de contre-indications, selon schéma dégressif. Mme. Y peut rentrer à domicile le 21.01.2019. Mme. Y est une patiente déjà connue dans notre service en raison d'une chute avec traumatisme crânien durant le mois de novembre. Le 27.12.2018, la patiente a réalisé un CT-scanner cérébral de contrôle qui a montré une évolution des collections sous-durales avec une épaisseur de 13 mm à droite et 11 mm à gauche, associée à une minime composante aiguë au niveau frontal droit. Cliniquement, nous retenons seulement une légère céphalée frontale droite. En raison de la croissance rapide ainsi que de la symptomatologie, nous discutons avec la patiente d'une indication chirurgicale. Mme. Y et sa fille sont d'accord avec cette procédure en urgence. L'intervention susmentionnée se déroule le 28.12.2018 sans complication. L'évolution est favorable et la patiente reste afébrile durant toute la durée de l'hospitalisation. Le 03.01.2018, nous transférons la patiente en séjour de reclassement dans l'attente d'une réhabilitation à Billens. Un contrôle à la consultation neurochirurgicale est agendé à 4 semaines post-opératoires. Mme. Y, patiente de 74 ans, connue pour une BPCO stade GOLD II avec de multiples exacerbations cette année, est hospitalisée pour dyspnée aiguë. Pour rappel, elle avait été hospitalisée jusqu'au 20.12.2018 pour une exacerbation BPCO et un urosepsis sur Escherichia coli ESBL. A l'entrée, la patiente présente une dyspnée aiguë, toux et une augmentation des expectorations. Elle est admise aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire globale. Le frottis de la grippe revient négatif. Nous introduisons une antibiothérapie, une corticothérapie et des aérosols. Les antigènes urinaires et les hémocultures reviennent négatives. Elle bénéficie de séances de VNI avec bonne évolution et peut être transférée rapidement à l'étage. Au vu d'une hypercapnie en augmentation, et sur avis des pneumologues, nous introduisons de la BPAP qui sera à poursuivre à domicile. Au vu des nombreuses exacerbations BPCO, les pneumologues souhaitent pouvoir traiter la patiente après la phase aiguë sans glucocorticostéroïdes. Pour cela nous introduisons de l'Ultibro et du Pulmicort en phase aiguë. Après la résolution de la crise nous proposons de traiter la patiente uniquement avec de l'Ultibro et des aérosols de Ventolin et Atrovent en réserve. Au vu des nombreuses décompensations BPCO sur l'année passée et de l'évolution très lentement favorable dans notre établissement, nous organisons une réadaptation pulmonaire à Billens. Nous proposons d'organiser un rendez-vous chez le Dr. X après sa réhabilitation pour un contrôle et le suivi de la BPAP. Au cours de l'hospitalisation, nous constatons une augmentation des oedèmes des membres inférieurs. Nous excluons une étiologie cardiaque par un NT-proBNP dans la norme et expliquons ces oedèmes par une probable insuffisance veineuse et lymphatique pour laquelle nous appliquons des bandages et réalisons de la physiothérapie de mobilisation avec une bonne évolution clinique. Au niveau urinaire, nous constatons une bactériurie à E. Coli ESBL et Klebsiella pneumoniae asymptomatique chez une patiente avec sonde urinaire à demeure que les infectiologues proposent de ne pas traiter. Au niveau hématologique, nous constatons une anémie sans carences vitaminiques probablement d'origine inflammatoire ou spoliative sur de l'hématochésie occasionnelle (hémorroïdes connus). Au vu d'un trouble de l'adaptation avec anxiété, un avis psychiatrique est demandé. Les psychiatres proposent l'arrêt progressif du Remeron et introduisent le Brintelix dont la posologie sera réévaluée en ambulatoire par le Dr. X. Au niveau dermatologique, la patiente présente plusieurs lésions cutanées avec prurit. Nous poursuivons le traitement de Dermovate introduit le 20.12.2018 et organisons une consultation en dermatologie à l'HFR Fribourg le 22.01.2019. Au niveau endocrinologique, nous notons l'apparition d'un diabète cortico-induit que nous traitons par schéma de correction temporaire. Après l'arrêt du traitement par corticoïdes, les profils glycémiques se normalisent. Mme. Y est transférée en réhabilitation pulmonaire à l'HFR Billens le 21.01.2019. Mme. Y, patiente de 74 ans, est admise aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire globale dans le contexte d'une exacerbation BPCO. Elle avait été hospitalisée jusqu'au 20.12.2018 pour une exacerbation BPCO et une urosepsis sur Escherichia coli ESBL, présente depuis hier une dyspnée aiguë associée à une rhinite et une augmentation des expectorations. Elle n'est pas vaccinée contre la grippe, mais le frottis revient négatif. Nous optons pour une courte antibiothérapie en raison de la suspicion faible d'une étiologie infectieuse bactérienne, ainsi qu'une corticothérapie. Elle bénéficie de séances de VNI, avec bonne évolution et peut être transférée à l'étage le lendemain de l'admission. A noter un diabète cortico-induit, nécessitant une insulinothérapie sc. Mme. Y, patiente connue pour une démence moyenne de type Alzheimer (suivi neurologique par Dr. X) et une maladie cérébro-vasculaire avec des antécédents d'AVC et AIT, nous est adressée par vos soins en raison d'un maintien impossible à domicile. D'ailleurs, elle est traitée pour une infection urinaire depuis trois jours. A l'admission, elle n'a pas de plainte et ne comprend pas la raison de son hospitalisation. Cliniquement, elle est désorientée dans le temps et dans l'espace, a des troubles importants de la mémoire à court terme et le reste de l'examen clinique est sans particularité. Le bilan est ligné hormis un T3 libre légèrement diminué à 3.52 pmol/l. Pour ce qui concerne les relations sociales et familiales, Mme. Y a seulement une soeur qui habite dans le canton d'Argovie avec son mari. Elle habite seule dans un appartement au centre-ville de Fribourg au 9e étage avec ascenseur. Elle bénéficie d'un passage quotidien par Spitex le matin et d'une aide importante par les voisins et des amis. Le service des soins à domicile signale une situation de santé précaire et une négligence dangereuse dans les activités de la vie quotidienne, en péjoration depuis quelques semaines. Notamment, Mme. Y n'assume pas correctement ses médicaments, les jette à la poubelle sans s'en souvenir, oublie les plaques allumées, se soigne physiquement de façon intermittente, n'arrive pas à réagir de façon adéquate lors ses toilettes sont bouchées et ne se souvient pas de la presque totalité des consignes qu'on lui donne. Ces constats sont confirmés par différentes amies et le médecin traitant. Concernant les troubles cognitifs et la situation sociale à risque (démence avancée diagnostiquée), nous adressons un courrier de signalisation à la Justice de paix du département de la Sarine, avec une demande d'instaurer une curatelle concernant les finances, l'administration et la situation de logement. Nous poursuivons le traitement antibiotique par ciprofloxacine pour une infection urinaire pour une durée totale de 5 jours.Parallèlement, Mme. Y bénéficie de séances de physio- et d'ergothérapie ainsi qu'une évaluation diététique. A la sortie, Mme. Y est indépendante au niveau de la mobilité. Elle fait les transferts seule (MIF 6), marche seule (MIF 6) sans moyen auxiliaire, et monte les escaliers sous supervision (MIF 5). Le Tinetti est mesuré à 26/28 sans moyen auxiliaire. Par contre, elle a besoin d'une surveillance dans les activités de la vie quotidienne 24 heures sur 24 par le personnel soignant en raison des troubles mnésiques importants et une désorientation spatiotemporelle. Le 18.01.2019, la soeur et le beau-frère de Mme. Y se présentent à l'hôpital de Meyriez et décident, contre avis médical, de prélever la patiente pour l'amener chez eux dans le canton d'Argovie. La patiente est d'accord avec ce choix. La situation médicale et la nécessité d'une surveillance de 24 heures est bien expliquée à la famille, ainsi que les démarches entreprises auprès de la Justice de Paix. Le couple assurant que la patiente viendra vivre avec eux en Argovie, Mme. Y quitte notre service accompagnée de sa famille. Mme. Y présente une épicondylite radiale de l'humérus D. Comme diagnostic différentiel, il faut retenir une compression du nerf radial à la hauteur de l'arcade de Froshe. Elle souffre également d'un syndrome du tunnel cubital et d'une cervicobrachialgie chronique potentiellement sur hernie discale C5-C6 connue depuis deux ans. Je propose à Mme. Y dans un premier temps un bilan chez la neurologue, la Dr. X à l'HFR Fribourg. Je prie le secrétariat de la Dr. X de bien vouloir convoquer la patiente pour un bilan neurologique étendu. Je la reverrai après ce bilan pour discuter des résultats et des différentes options thérapeutiques. Pas d'arrêt de travail. Mme. Y, connue pour un panhypopituitarisme sur résection d'adénome hypophysaire, sous corticothérapie substitutive, est amenée aux urgences en ambulance le 31.12.2018 suite à une perte de connaissance en se levant, avec traumatisme lombaire, dans un contexte de syndrome grippal évoluant depuis 3 jours. La patiente décrit des vertiges précédant la syncope, sans douleur thoracique ni palpitations, avec reprise de conscience spontanée. Aux urgences, la patiente se plaint de lombalgies avec douleurs à la palpation de L1. La radiographie lombaire, complétée par un CT scanner, montre une fracture nouvelle de la vertèbre L1 avec affaissement du plateau supérieur et atteinte du mur antérieur. Selon avis du Dr. X, orthopédiste de garde et de la Spine Team de l'HFR Fribourg, un traitement conservateur avec repos au lit est débuté avec suivi clinique à 2-3 semaines et IRM de contrôle. Cependant, lors d'un contrôle radiologique et après mobilisation, une légère progression du tassement est constatée, motivant une consultation à la Spine Team le 08.01.2019. L'attitude conservatrice préconisée est maintenue avec suivi clinique et radiologique le 29.01.2019. Un IRM lombaire ne montre pas d'atteinte du contenu du canal rachidien. L'évolution est favorable avec diminution des douleurs et reprise progressive de la mobilité. Un retour à domicile est organisé avec mise en place d'aide au ménage afin de soulager la charge physique de la patiente. Des instructions quant à l'hygiène du dos sont données avec prescription de physiothérapie ambulatoire. Au vu du traitement par corticothérapie à long terme et d'une fracture sur chute de sa hauteur, un bilan d'ostéoporose est à prévoir à distance, la dernière densitométrie datant de plusieurs années. Sur le plan électrolytique, nous constatons à l'entrée une hyponatrémie 131 mmol/l, sur probable insuffisance cortico-surrénalienne, se développant dans le contexte de syndrome grippal chez une patiente sous corticothérapie de substitution. Selon avis du Dr. X, endocrinologue traitant, une majoration de la posologie d'Hydrocortisone à 30-20-10 mg est réalisée durant 3 jours. La patiente sera vue en consultation à l'HFR Fribourg le 25.01.2019. Sur le plan infectieux, un syndrome inflammatoire de probable origine virale est retrouvé, sans foyer infectieux identifiable. L'évolution clinique est favorable par traitement symptomatique. Sur le plan cutané, des plaies chroniques des deux membres inférieurs sur insuffisance veineuse sont traitées selon le protocole habituel. La patiente bénéficie d'un suivi en stomatothérapie. Des soins à domicile sont organisés pour la réfection des pansements durant la convalescence. La patiente décrit des démangeaisons nouvelles du sein gauche, avec un examen clinique se révélant sans particularité. Un traitement de Xyzal 5 mg est introduit durant 5 jours avec traitement topique par Excipial crème. Au vu des antécédents connus, un contrôle gynécologique est à prévoir en cas de persistance des symptômes. Nous mettons en évidence un INR supra-thérapeutique à 3.6 le 10.01.2019, pour lequel nous adaptons le schéma habituel de Sintrom. Un contrôle à votre consultation est indiqué le 16.01.2019. Mme. Y peut regagner son domicile le 11.01.2019. Mme. Y est un patient de 22 ans, qui est hospitalisé dans notre service pour un bypass gastrique en électif. L'intervention susmentionnée se déroule le 07.01.2018 et l'évolution postopératoire est favorable. La patiente peut retourner à domicile le 10.01.2019. Elle sera vue à la consultation du Dr. X le 07.02.2019 à 11h40. Mme. Y est hospitalisée dans un contexte de crise hypertensive associée à un angor instable. En effet, elle a présenté un épisode de DRS au repos, spontanément résolutif. Lors de son arrivée au service des urgences, nous constatons une HTA à plus de 200 mmHg de systole. Celle-ci est stabilisée à l'aide de traitement au service des urgences. Au vu des antécédents cardiaques de la patiente, il est décidé d'hospitaliser la patiente pour suite des investigations. Nous effectuons un suivi proche tensionnel avec notamment l'aide d'un Remler. Celui-ci montre un profil tensionnel élevé, particulièrement la nuit. Un avis angiologique est demandé et nous introduisons un traitement d'IEC progressivement. Celui-ci permet une baisse des tensions, mais la patiente présente plusieurs épisodes d'orthostatisme nécessitant plusieurs adaptations. Un suivi tensionnel avec potentielle adaptation de traitement sera à poursuivre par vos soins. Un avis cardiologique est demandé au vu de l'angor. Un geste n'est pas préconisé, mais une optimisation du traitement anti-angineux et anti-hypertenseur est conseillée. Au vu de la stabilité tensionnelle et de l'absence de nouveaux épisodes d'angor, Mme. Y peut rentrer à domicile le 31.01.2019. Mme. Y est une patiente de 48 ans, connue pour un statut post-cholécystectomie en 2008, et hospitalisée dans notre service en juillet 2018 pour une cholangite sur cholédocholithiase avec réalisation d'une ERCP et extraction de calculs cholédociens le 08.07.2018. Elle se présente aux urgences le 18.01.2019 en raison de douleurs épigastriques associées à un état fébrile. A l'examen clinique, nous objectivons une sensibilité de l'épigastre et le laboratoire met en évidence une cholestase avec un syndrome inflammatoire. Le bilan radiologique confirme le diagnostic de cholangite sur calcul cholédocien. Une antibiothérapie empirique par Rocéphine et Métronidazole en intraveineux est mise en place et la patiente bénéficie d'une ERCP avec extraction du calcul cholédocien le 19.01.2019. L'intervention se déroule sans complication et les suites post-opératoires sont simples. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mme. Y peut regagner son domicile le 21.01.2019. Une antibiothérapie par voie orale par Ciproxine et Flagyl sera poursuivie jusqu'au 28.01.2019. Elle sera revue pour contrôle à la consultation du Prof. X le 11.02.2019.Mme. Metrailler est une patiente de 58 ans, notamment connue pour 3 épisodes de diverticulite traités conservativement dans le passé, qui se présente aux urgences le 06.01.2019 pour des douleurs en fosse iliaque gauche d'apparition brutale, accompagnées de nausées, sans vomissements, sans troubles du transit et sans état fébrile. Le laboratoire initial montre un léger syndrome inflammatoire et au CT abdominal, une diverticulite sigmoïdienne classée Hansen Stock IIA est visualisée. La patiente est hospitalisée et mise sous antibiothérapie par Rocephine et Flagyl. Par la suite, elle évolue favorablement sur le plan clinique et biologique, permettant un retour à domicile le 08.01.2019. Les antibiotiques sont relayés par Ciproxine et devront être poursuivis pour une durée totale de 15 jours. Mme. Mettraux, patiente de 76 ans et connue pour une maladie d'Alzheimer, est prise en charge en réhabilitation gériatrique ce jour dans un contexte de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle, après avoir séjourné en médecine puis en gériatrie aiguë HFR Riaz depuis le 03.01.2019. Sur le plan cognitif, la patiente bénéficie d'un bilan neuropsychologique le 17.01.2019, mettant en évidence une atteinte cognitive diffuse et sévère avec une désorientation temporelle et spatiale, des difficultés mnésiques antérogrades verbales et visuelles avec possible atteinte sémantique, un déficit de mémoire à court terme (verbale), une atteinte exécutive cognitive et comportementale, un déficit de traitement des nombres, des difficultés praxiques constructives et gestuelles et une perturbation des gnosies visuelles discriminatives. Le profil cognitif est compatible avec une étiologie neurodégénérative de type Alzheimer, mais est aussi à mettre en lien avec une composante médicamenteuse (Citalopram) et métabolique. Le 18.01.2019, Mme. Mettraux tombe en allant aux toilettes, avec traumatisme crânien, mais sans perte de connaissance ni arrêt cardiaque. Vu que la patiente est anticoagulée, il est alors décidé d'effectuer un CT cérébral natif, permettant d'exclure un saignement. Concernant le bilan oncologique proposé par les angiologues, et après discussion avec la famille, nous décidons de ne pas investiguer si ce n'est par des hémofécatests, qui reviennent négatifs. Durant le séjour, Mme. Mettraux bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le périmètre de marche sans moyen auxiliaire est de 200 mètres. La patiente monte et descend 18 marches. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 71/126, par rapport à 68/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 20.98 secondes sans moyens auxiliaires. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Finalement, Mme. Mettraux peut regagner son domicile le 29.01.2019 avec activation des soins à domicile. Mme. Meuwly est une patiente de 76 ans, connue pour une hypertension artérielle, une fibrillation auriculaire (depuis 2015) sans anticoagulation, et diverses sténoses artérielles (fémorales stentées, mésentériques et sous-clavière gauche) sous Aspirine Cardio et Pravastatine, qui est emmenée aux urgences par ambulance en raison d'un épisode de vertige et de troubles phasiques (prononçait des mots incompréhensibles selon son mari) le 28.01.2019, symptomatologie spontanément résolutive en moins d'une heure. Son époux a également constaté une asymétrie faciale (n'arrive pas à se prononcer de quel côté). Il a donc tout de suite appelé l'ambulance. Sur site, les ambulanciers n'ont pas pu objectiver de dysarthrie ou d'aphasie, et la patiente était asymptomatique. L'évolution est simple, sans récidive de symptôme ni signe neurologique à l'examen clinique. Dans ce contexte et compte tenu d'une claustrophobie, nous renonçons à une IRM. L'ETT ne montre pas de pathologie valvulaire. La FeVG cependant est légèrement abaissée à 45 % associée à une hypertrophie cardiaque concentrique, possiblement dans le contexte d'une cardiopathie hypertensive débutante. Nous proposons un contrôle régulier de la tension artérielle à votre consultation et l'adaptation du traitement antihypertenseur en conséquence. Un suivi en cardiologie pourrait également être envisagé selon évolution. L'aspirine est remplacée par une anticoagulation par Xarelto 20 mg 1x/j au vu de la fibrillation auriculaire connue dont l'indication à un traitement ne fait actuellement aucun doute. Au vu de l'artériosclérose généralisée et des LDL-cholestérol à 3.4 mmol/l, le traitement par Pravastatine est substitué par de l'Atorvastatine 40 mg 1x/j avec une cible de LDL-cholestérol < 1.8 mmol/l. À noter la découverte fortuite d'un nodule thyroïdien au scanner associée à une discrète hypothyroïdie. Nous proposons dans ce contexte un bilan endocrinologique en ambulatoire le 22.02.2019. Mme. Meyer-Etter, patiente de 90 ans connue pour une insuffisance cardiaque NYHA IV sur cardiopathie valvulaire, rythmique et hypertensive, nous est transférée du service de Médecine Interne de l'Hôpital de Meyriez pour une réhabilitation gériatrique suite à une décompensation cardiaque d'origine indéterminée. Pour rappel, Mme. avait été hospitalisée sur signalement du service de soins à domicile, en raison d'une péjoration progressive de l'état général, caractérisée par une asthénie marquée, une dyspnée NYHA IV, une augmentation du poids et une dégradation des fonctions cognitives. Au cours de l'hospitalisation, elle a bénéficié de l'adaptation de la thérapie diurétique et antihypertensive. À l'admission, Mme. rapporte une dyspnée NYHA II, une asthénie importante. Elle est désorientée dans le temps et partiellement dans l'espace. Elle est tachycarde FC 117/min, normotendue, eupnéique et afébrile. À l'examen cardio-pulmonaire, elle présente des discrets œdèmes des membres inférieurs, des râles crépitants bibasaux. L'ECG objective une fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide. Au bilan biologique, nous retrouvons un INR suprathérapeutique à 3.9. Concernant la fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide, nous débutons un traitement de type contrôle de fréquence par Metoprolol. Cela n'étant pas suffisant, sur avis du Dr. X (cardiologue adjoint), nous débutons également un traitement par Digoxine. Nous effectuons un changement de l'anticoagulation par de l'Apixaban en raison des INR labiles avec le traitement par Marcoumar. Nous débutons une réhabilitation gériatrique avec des séances de physiothérapie et d'ergothérapie. À l'admission, elle présente une réduction importante de la mobilité. Elle a besoin d'aide pour les transferts (FIM 3), marche pendant 3 m avec Arjo et aide d'une personne (FIM 1), n'arrive pas à monter les escaliers. Le risque de chute est très élevé avec un score de Tinetti à 5/28 avec Arjo. Concernant sa situation sociale, Mme. Meyer habite seule dans un appartement protégé à Beaulieu. Elle a une sœur avec laquelle elle n'est plus en contact et une nièce. Elle est très proche de ses anciens voisins. En raison d'une dégradation progressive de l'état général, d'une péjoration de sa dyspnée et asthénie malgré les adaptations des traitements médicamenteux et des thérapies, nous nous entretenons avec Mme. et envisageons ensemble une prise en charge palliative afin de se concentrer sur son confort. Mme. Michod, âgée de 88 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Riaz pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'une prothèse céphalique type Zimmer après une fracture du col fémoral droit Garden IV, le 19.12.2018.Sur le plan social, la patiente, divorcée, vit seule à domicile dans un appartement au 4ème étage avec ascenseur. Elle est à la retraite. A l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. Présence d'un hématome à la face postéro-latérale de la cuisse droite. Présence d'un léger œdème du MID. A l'auscultation cardiaque, présence d'un souffle aortique systolique 3/6. La force du MID est cotée à M3 au quadriceps et au psoas. La sensibilité grossière est conservée aux MI. A l'admission, on relève une diminution de l'Hb correspondant à une anémie hémorragique postopératoire justifiant la transfusion de 1 CE le 03.01.2019. Dans le cadre d'une péjoration des douleurs de la hanche D, nous effectuons une radiographie du bassin le 04.01.2019 qui démontre une prothèse céphalique en place, sans complication. Le 08.01.2019, Mme. Y fait un malaise qui se manifeste par une dysarthrie et des troubles de la marche. Pas d'anomalie à l'examen neurologique hormis la dysarthrie (répétition correcte des phrases) et la marche est dans la norme au moment de l'examen. Les symptômes régressent en 15 minutes. Les paramètres vitaux, ECG, le reste du statut et le laboratoire sont dans la norme. Une surveillance étroite est instaurée et la symptomatologie ne récidive pas. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec le tin-tébin. Les amplitudes articulaires montrent une flexion en actif de la hanche droite à 90°. La force du MID est cotée à M4 au quadriceps et M3 au psoas. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 09.01.2019, en bon état général. Mme. Y est une patiente de 74 ans, qui est hospitalisée dans notre service pour la prise en charge d'une cholédocholithiase symptomatique post-cholécystectomie en 2011. En effet, elle se présente aux urgences le 07.01.2019 en raison de douleurs persistantes en hypochondre droit accompagnées d'une inappétence. Les tests hépatiques sont perturbés. La cholangio-IRM met en évidence deux macro-lithiases dans le bas cholédoque. La patiente bénéficie d'une ERCP le 09.01.2019 avec destruction partielle d'un concrément et la mise en place d'un stent. Un saignement au niveau de la papille nécessite une surveillance aux soins intensifs pendant 24 heures. En raison d'une suspicion d'occlusion du stent, nous réalisons une deuxième ERCP le 14.01.2019 avec l'extraction des concréments résiduels et l'ablation du stent. Une antibiothérapie empirique est instaurée jusqu'au 15.01.2019. L'évolution est par la suite favorable avec une nette diminution des tests hépatiques et une disparition des douleurs. Mme. Y peut rentrer à son domicile le 16.01.2019. Mme. Y, patiente de 74 ans, est admise aux soins intensifs suite à une ERCP pour une cholédocholithiase symptomatique. Le geste s'est compliqué par une hémorragie per-opératoire, ce qui motive la surveillance monitorisée. La patiente, qui est connue pour une cholécystectomie en 2011, est actuellement hospitalisée depuis le 07.01.2019 dans le service de chirurgie pour une douleur de l'hypochondre droit, dans le contexte d'une cholédocholithiase connue et confirmée au bilan radiologique. Une antibiothérapie empirique par Ceftriaxone et Métronidazole est débutée et une ERCP est effectuée le 09.01.2019 avec ablation d'un seul calcul et mise en place d'un stent. Un saignement lors de la mise en place du stent au niveau des voies biliaires est objectivé. Celui-ci est spontanément résolutif. La surveillance aux soins intensifs est sans particularité. La patiente reste stable sur le plan hémodynamique et l'hémoglobine reste stable également, raison pour laquelle elle peut être retransférée à l'étage de chirurgie le 10.01.2018. Mme. Y est une patiente de 23 ans, connue pour une adénopathie cervicale en consultation chez les ORL depuis >2 mois, consulte le 28.12.2018 en raison d'un exanthème et énanthème nouveau, maculo-papuleux, touchant surtout le tronc, le visage et les cuisses, associés à un prurit. Elle rapporte avoir pris un traitement pour ces adénopathies cervicales par Clindamycine empirique du 19.12.2018 au 28.12.2018 et de l'Ibuprofène contre des douleurs. La discussion interdisciplinaire (ORL, internistes, infectiologues) met en évidence un diagnostic différentiel large : maladie de Kikuchi, lymphome, DRESS, toxidermie médicamenteuse sur Clindamycine ou AINS, ainsi qu'infectieux. La patiente présente selon les critères de RegiSCAR un syndrome de DRESS probablement sur la clindamycine. Dans la littérature, seulement quelques cas sont décrits et le délai entre la réaction cutanéo-muqueuse et la prise de clindamycine est plutôt court. De plus, une atteinte d'un organe interne n'est pas objectivée. Un DRESS sur AINS n'est pas exclu. Nous décidons d'entreprendre une adénectomie pour exclure une maladie néoplasique maligne. L'opération se passe bien, mais une discrète hémiparésie faciale D est notée sur œdème léger en post-opératoire. Les résultats des biopsies sont bien compatibles avec un DRESS et une maladie de Kikuchi. Critères de DRESS selon RegiSCAR (hospitalisation, exanthème, fièvre, adénopathies de 2 sites, atteinte d'un organe interne, anomalies de la formule sanguine, lymphocytose ou -pénie, éosinophilie, thrombocytopénie). Une thérapie par Mométhasone et Bétaméthasone est mise en place de manière topique, ce qui soulage le prurit de la patiente, et devra être poursuivi jusqu'à l'amélioration des symptômes. Au vu des suivis biologiques stables et du bon état général, la patiente est déchargée le 02.01.2019. Le Dr. X l'informe lors de la visite de sortie de la possibilité de l'évolution de la maladie, et des médicaments à ne plus prendre. Mme. Y, 69 ans, est admise suite à un STEMI sur occlusion de l'artère circonflexe moyenne. La patiente est connue pour une artériopathie périphérique des membres inférieurs. Elle a présenté des douleurs thoraciques atypiques depuis plus de 48h ayant motivé une consultation chez le médecin traitant. Malgré un traitement d'épreuve par inhibiteur de la pompe à protons, les douleurs persistent et la patiente reconsulte son médecin traitant qui l'adresse aux urgences. La coronarographie réalisée en urgence a montré une occlusion aiguë de l'artère circonflexe moyenne, qui a été recanalisée et traitée par la mise en place de 2 stents actifs. Le pic de CK s'est élevé à 1658 U/l et la fonction ventriculaire gauche était modérément abaissée à 48%, puis a récupéré à 65% le lendemain. Une double antiagrégation plaquettaire par Aspirine à vie et Prasugrel pour 12 mois a été débutée. Un traitement par inhibiteur de l'enzyme de conversion a été introduit. En raison d'une bradycardie sinusale survenue quelques heures après l'admission et attribuée à une stimulation vagale, le traitement bétabloquant sera introduit prudemment. Une réhabilitation cardiovasculaire devrait être envisagée. Un contrôle chez le médecin traitant après 1 mois et une ergométrie dans une année devront être planifiés. Mme. Y, âgée de 81 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture intertrochantérienne gauche comminutive traitée par réduction ouverte et ostéosynthèse du fémur gauche par clou Gamma le 06.12.2018.Sur le plan social, Mme. Y vit à domicile avec son époux qui est malvoyant. A l'admission, Mme. Y est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Mme. Y présente des douleurs (essentiellement lombaires) non contrôlées par l'antalgie en place (Tramal), justifiant la réintroduction d'Oxycodone à la place du Tramadol. Au status, sur le plan neurologique, Mme. Y est confuse avec désorientation temporo-spatiale (depuis quelques jours selon le mari, sur un terrain de troubles cognitifs débutants selon la fille), paralysie faciale droite ancienne, pas de déficit sensitivo-moteur ni signes de localisation. Pas de globe ni constipation. Cicatrice calme. Flexion de hanche G à 80° en passif, 20° en actif. Présence d'un hématome. Auscultation cardiopulmonaire sans particularités. L'épisode de confusion évolue favorablement après traitement d'une infection urinaire par Bactrim. Durant son séjour, Mme. Y a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec un tintébin en respectant +/- la décharge sur un périmètre de 20 m. Les amplitudes articulaires montrent une flexion de la hanche G à 90° et une abduction à 40°. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 03.01.2019, en état général conservé avec mise en place de soins à domicile. Mme. Y est une patiente de 17 ans, qui est hospitalisée dans notre service de chirurgie pour la prise en charge d'un épanchement pleural cloisonné droit d'origine indéterminée (DD : empyème, tuberculeux). Elle bénéficie le 10.01.2019 d'une thoracoscopie droite et décortication pleurale. L'évolution post-opératoire est favorable avec un retrait des drains thoraciques le 11 et 14.01.2019 permettant un retour à domicile le 14.01.2019. Les prélèvements pleuraux per-opératoires vous seront transmis dès réception. Un rendez-vous de contrôle à 6 semaines post-opératoire est agendé le 22.02.2019 à la consultation de chirurgie thoracique. Mme. Y est hospitalisée dans un contexte de douleurs rétrosternales, de dyspnée ainsi qu'un état subfébrile depuis 3 jours. Lors des investigations, nous constatons un syndrome inflammatoire associé à des symptômes respiratoires. Malgré l'absence de foyer radiologique, nous suspectons une pneumonie et instaurons un traitement antibiotique intraveineux. Une embolie pulmonaire est également évoquée au vu des symptômes mais nous renonçons à la rechercher en raison du traitement anti-coagulant déjà en place. Nous constatons cliniquement et radiologiquement des signes de décompensation cardiaque également. Un ECG montre un flutter consécutif à l'état infectieux et probablement à la source de la décompensation. Un ultrason cardiaque effectué montre une FEVG conservée, mais une oreillette très dilatée. Les cardiologues proposent l'introduction d'une anticoagulation en attendant une cardioversion électrique à distance. Nous introduisons de l'Eliquis, ainsi qu'un traitement de sa décompensation cardiaque avec Bêta-bloquant, IEC et diurétiques. La patiente sera convoquée pour la cardioversion. Nous discutons avec la patiente et convenons qu'au vu d'un potentiel de récupération évident, d'une réhabilitation gériatrique. Des demandes sont faites en ce sens pour Riaz. Mme. Y est reclassée le 09.01.2019. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y est hospitalisée aux soins intensifs le 15.01.2019 pour STEMI inféro-postérieur sur sténose subocclusive de la coronaire droite distale. La patiente présente depuis une semaine des douleurs thoraciques récidivantes. Au vu de la persistance des symptômes, elle consulte aux urgences de Tavel où le diagnostic de STEMI est retenu. La lésion coupable est une subocclusion de la coronaire droite qui est traitée par angioplastie et mise en place d'un stent actif. Par ailleurs, la coronarographie révèle des lésions significatives au niveau de l'artère interventriculaire antérieure englobant l'origine de la première diagonale et au niveau de l'ostium de l'artère circonflexe proximale. La fonction ventriculaire gauche est légèrement diminuée à la ventriculographie. La surveillance aux soins intensifs s'avère sans complications hormis une tendance à la bradycardie. Le pic de CK est à 196 U/l. Un traitement par inhibiteur de l'enzyme de conversion est débuté avec une bonne tolérance. La double anti-agrégation est à poursuivre. Concernant les autres lésions, elles seront traitées par revascularisation percutanée le 22.01.2019 (la patiente sera convoquée). Une échocardiographie est à prévoir durant l'hospitalisation. La patiente est transférée en médecine à Tavel pour suite de prise en charge. Mme. Y, patiente de 89 ans connue pour une leucémie lymphoïde chronique de type B, des troubles cognitifs légers et une FA anticoagulée, présente depuis le début de l'année 2018 des hospitalisations à répétition avec un refus systématique des soins et de la mise en place d'aide à domicile. Elle est hospitalisée dans le cadre de soins impossibles à domicile en raison d'une baisse de son état général. L'anamnèse auprès de la patiente est non contributive. Son examen clinique montre un état général diminué avec une hypoventilation des plages pulmonaires droites déjà connue. Etant donné le refus de soins et de toutes démarches diagnostics et thérapeutiques de la patiente dans le contexte d'hospitalisation à répétition et après discussion avec son mari, nous mettons en place des soins de confort. Nous attribuons à la patiente un lit d'attente en attendant de trouver une place dans un home médicalisé. Mme. Y, 81 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée pour une réhabilitation cardiovasculaire suite à une valvuloplastie mitrale et tricuspidienne dans un contexte de décompensation cardiaque. Pour rappel, la patiente est hospitalisée le 02.11.2018 pour une décompensation cardiaque globale sur une insuffisance mitrale sévère. Une ETO le 07.11.2018 met en évidence une péjoration de son insuffisance mitrale, désormais sévère (grade 4/4) avec un prolapsus, ainsi qu'une insuffisance tricuspide importante (grade 4/4) avec indication opératoire. L'intervention a lieu le 14.11.2018 et consiste en une réparation valvulaire mitrale par annuloplastie avec un anneau Physio II n°36 et réalignement du feuillet antérieur avec trois néo-cordages en Goretex 4.0. Annuloplastie tricuspidienne avec un anneau tricuspidien Physio n°32. Maze gauche et droit par cryoablation. Fermeture du FOP. Plastie de réduction de l'oreillette gauche. L'échographie post-opératoire du 20.11.2018 montre un VG non hypertrophié, ni dilaté, une FEVG abaissée à 40% sans déficit de la contractilité segmentaire franc objectivable (doute pour l'inféro-septal à l'étage basal). VD non dilaté ni hypertrophié et avec une fonction systolique apparemment satisfaisante pour le contexte. SP annuloplasties mitrales et tricuspidienne avec fuites résiduelles minimes (grade 1/4) et bonnes ouvertures. Pressions pulmonaires augmentées d'après les gradients d'IP et d'IT. Absence d'épanchement péricardique. Athéromatose modérée de la racine aortique mais pas d'anévrisme de l'aorte thoraco-abdominale.La patiente est transférée le 28.11.2018 en réadaptation cardiovasculaire pour suite de la prise en charge. Traitement à l'entrée : • Sintrom : selon INR • Cosaar 100 mg : 1-0-0-0 • Beloc zok 12.5 mg : 1-0-1-0 • Atorvastatine 20 mg : 0-0-1-0 • Pantozol 40 mg : 1-0-0-0 • Singulair 10 mg : 0-0-1-0 • Dafalgan 1 g : 1-1-1-0 • Co-dafalgan 1 g : 0-0-0-1 • Sifrol 0.25 mg : 0-0-1-0 • Lyrica 50 mg : 1-1-1-0 • KCl (dosage non connu) : 0-1-0-0 • Xeroquel 50 mg : 0-0-0-1 • Magnesium diasporal sachet 300 : 1-0-0-0 • Movicol sachet : 1 en réserve Au sujet du réentraînement à l'effort, la patiente a débuté dans un groupe d'intensité modérée et elle a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, elle est capable de faire du vélo pendant une durée de 25 minutes à une puissance de 25 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+70 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mme. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Mme. Y, 74 ans, a été admise aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë secondaire à une hypervolémie et anasarque dans le contexte d'une pancréatite aiguë post-ERCP et perforation duodénale. Après mise en évidence d'une dilatation focale du canal de Wirsung de la tête du pancréas évoquant un IPMN sur une IRM abdominale du 03.01.2019 demandée au bilan d'une masse colique découverte à une coloscopie, une ERCP a été réalisée en ambulatoire le 11.01.2019 par Dr. X qui a nécessité un abord para-papillaire en raison de la difficulté de canalisation de la papille. Cette procédure s'est compliquée par une pancréatite aiguë avec coulées nécrotiques en plus d'une probable perforation duodénale. Sous une antibiothérapie par Imipénème, actuellement en cours, une prophylaxie antifongique de fluconazole pendant 5 jours et une réanimation volémique, l'évolution clinique s'était stabilisée. Une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë attribuée à l'hypervolémie, l'anasarque et des épanchements pleuraux bilatéraux a nécessité une réadmission aux soins intensifs le 22.01.2019. Le drainage des épanchements pleuraux bilatéraux et une déplétion volémique par furosémide iv ont permis d'améliorer la fonction respiratoire. L'antibiothérapie par Imipenem est poursuivie. La nutrition parentérale qui avait été mise en suspens transitoirement en raison d'une augmentation du syndrome inflammatoire et de la gamma-GT a été reprise le 22.01.2019. Afin de favoriser une reprise du transit et une nutrition par voie entérale, la mise en place d'une sonde naso-jéjunale sous contrôle endoscopique devrait être envisagée dès que possible. Une demande a été faite après discussion avec les collègues de chirurgie. La patiente a été retransférée le 23.01.2019 dans le service de chirurgie. Mme. Y, connue pour une mutation du facteur Leiden, un déficit en protéine C et de l'asthme à l'effort et au contact de poils d'animaux, consulte les urgences le 26.12.2018 en raison d'une toux avec état fébrile et douleurs localisées au niveau de l'épaule droite. Pour rappel, la patiente vous consulte le 17.12.2018 en raison d'une toux productive associée à un état fébrile et des douleurs thoraciques irradiant dans l'épaule droite. Au vu de l'antécédent d'embolie pulmonaire, vous dosez les D-Dimères qui sont à 5000 ng/ml. Un CT scan thoracique effectué le 18.12.2018 exclut une embolie pulmonaire mais met en évidence une pneumonie péri-hilaire droite avec des adénopathies hilaires, que le médecin radiologue conseille de contrôler à distance. Dans ce contexte, vous introduisez une antibiothérapie par Augmentin 1 g 2x/j du 17 au 23.12.2018. L'évolution étant défavorable suite à l'arrêt du traitement, la patiente nous reconsulte le 25.12.2018 en raison d'une asthénie, de douleurs de l'épaule droite, d'une dyspnée avec toux et un état fébrile à 38.5°C. Au niveau social, la patiente vit avec son mari et sa fille. Elle est biologiste et guide à Aquatis (vivarium) où elle est cependant peu en contact avec les animaux. La patiente a des perruches à domicile, la plus jeune arrivant en provenance de France il y a 2 mois. Absence de notion de contage. À l'admission aux urgences, Mme. Y est en état général diminué. Elle est fébrile à 38.5°C, tachycarde à 107/min, normotendue à 108/77 mmHg, tachypnéique à 22/min avec une saturation à l'air ambiant à 100%. Au status pulmonaire, présence de râles crépitants au niveau de la mi-plage pulmonaire. Il n'y a pas de douleur à la palpation des mollets bilatéralement. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 42 mg/l et une leucocytose à 15.8 G/l à prédominance neutrophilique. La gazométrie montre une alcalose respiratoire avec une pCO2 à 3.1 kPa sans insuffisance respiratoire. Deux paires d'hémocultures prélevées reviennent négatives à 5 jours. Malgré un CURB 65 à risque faible, la patiente est hospitalisée au vu de l'échec du traitement ambulatoire pour surveillance et élargissement du spectre antibiotique pour suspicion de germe atypique. Une bithérapie par Rocéphine 2 g iv et Klacid 1000 mg/jour per os est débutée. Le laboratoire de contrôle du 27.12.2018 met en évidence une augmentation du syndrome inflammatoire. Au vu de la clinique de douleurs thoraciques respiro-dépendantes avec une toux productive, nous effectuons un CT scan thoracique injecté le 28.12.2018 qui exclut une embolie pulmonaire et montre la persistance du foyer supra-hilaire droit. Les antigènes urinaires reviennent négatifs pour pneumocoques et légionnelles. Nous poursuivons toutefois la bithérapie avec Rocéphine et Klacid en raison d'une suspicion d'une pneumonie à germe résistant à la pénicilline. Le 31.12.2018, selon son souhait, Mme. Y rentre à domicile. Nous organisons deux rendez-vous à la FUA (consultations ambulatoires aux urgences) les 01 et 02.01.2019 pour administration de l'antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv. Nous conseillons à la patiente un contrôle à votre consultation à la mi-janvier. Mme. Y est hospitalisée dans notre service de chirurgie pour une prise en charge d'une hernie ombilicale symptomatique et supra-ombilicale. Elle bénéficie le 09.01.2019 d'une cure de hernie laparoscopique par IPOM. L'évolution post-opératoire est favorable permettant un retour à domicile le 10.01.2019. Mme. Y est une patiente de 74 ans connue pour un adénocarcinome pulmonaire du lobe supérieur droit en stade métastatique (épanchement pleural malin et glande surrénale gauche) suivi par Dr. X et actuellement sous chimiothérapie de maintenance, ayant bénéficié de la pose de PleurX à gauche le 17.08.2018. La patiente nous est amenée par ambulance le 20.10.2019 pour une baisse de l'état général accompagnée d'une dyspnée au repos en péjoration et d'une toux avec expectorations jaunâtres. Mme. Y doit bénéficier d'une thoracoscopie gauche avec adhésiolyse et pose d'un PleurX des deux côtés le 24.01.2019 à l'HFR Fribourg. À l'examen clinique, nous retrouvons une patiente somnolente mais toutefois collaborante avec un Glasgow à 14/15. Le status pulmonaire met en évidence un murmure respiratoire diminué au niveau des champs pulmonaires gauches ainsi qu'en base droite. Le status cardio-vasculaire, ainsi que le reste de l'examen clinique, sont dans la norme. Au laboratoire effectué aux urgences, nous mettons en évidence un syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 11.6 G/l et une CRP à 59 mg/l, ainsi qu'une hyperkaliémie à 5.3 mmol/l et une créatitinémie à 95 mmol/l.Une radiographie du thorax ainsi qu'un CT thoracique effectué le même jour décrivent une nette progression de l'épanchement pleural droit, occupant actuellement pratiquement la moitié du volume thoracique droit, provoquant une atélectasie quasi-totale du lobe inférieur droit, avec un PleurX en place dans une cavité cloisonnée à gauche et la présence de multiples métastases osseuses. Au vu de tous ces éléments, un Pleurocath est mis en place dans la cavité pulmonaire droite par le Dr. X, chirurgien de garde, permettant le retrait de 1 litre de liquide pleural envoyé pour analyse microbiologique, que nous laissons le soin à nos collègues de l'HFR Fribourg de pister. En cours d'hospitalisation, un nouveau drainage du liquide pleural à droite est effectué le 21.01.2019 avec retrait de 300 cc. Au vu de la péjoration de l'état clinique et d'une somnolence marquée, un CT cérébro-thoracique est effectué le 22.01.2019 et met en évidence des épanchements pleuraux en nette diminution du côté droit après la mise en place du drain thoracique. Aucune métastase cérébrale n'est objectivée lors de cet examen. Un dernier drainage du liquide pleural à droite (20 cc) est effectué le 23.01.2019, jour du transfert de Mme. Y à l'HFR Fribourg en vue d'une thoracoscopie gauche avec adhésiolyse et pose d'un PleureX des deux côtés, intervention prévue pour le 24.01.2019. Mme. Y, patiente de 84 ans, nous est adressée pour des soins de confort. Pour rappel, la patiente est hospitalisée depuis le 26.11.2018 en médecine interne en raison d'une maladie d'emboles de cholestérol suite à une intervention de TAVI dans un contexte d'AOMI. Sur avis angiologique au vu de flux sanguins périphériques conservés des deux côtés, une prise en charge conservatrice a été proposée. La patiente développe progressivement plusieurs ulcérations nécrotiques sèches des 1er, 3e, 5e orteils et du talon droit, des ulcérations de la face latérale de la base du 5e orteil gauche. Un nouveau bilan angiologique met en évidence une amélioration de la perfusion à gauche, mais à droite, la perfusion reste limitée et une recanalisation endovasculaire par voie antégrade est proposée. Toutefois, au vu du contexte global avec une péjoration de l'état général et un passage progressif en soins de confort, l'intervention n'est pas agendée. Au cours de l'hospitalisation, la patiente développe une insuffisance rénale aiguë AKIN 3 d'origine probablement pré-rénale, qui est traitée par hydratation, Phosphonorm et Résonium. La présence de multiples plaies cutanées des membres inférieurs nécessite des soins de la part de l'équipe de stomatologie. Elle développe un important escarre sacré nécessitant un débridement et une nécrosectomie avec pose de VAC et transfert dans une unité de chirurgie. En raison de biopsies positives à E. Coli, M. Morganii et E. Faecalis, une couverture antibiotique par Tazobac est administrée du 23.12.2018 au 04.01.2019. A noter un choc hémorragique dans le cadre d'un changement de VAC le 29.12.2018 nécessitant un soutien transfusionnel. La patiente bénéficie de changements itératifs de VAC sans amélioration clinique avec progressivement une dénutrition protéino-énergétique sévère. Dans ce contexte, une nutrition entérale par sonde nasogastrique est proposée pour une renutrition afin de favoriser la cicatrisation. La patiente refuse cette prise en charge et exprime la volonté de retrait thérapeutique avec une prise en charge purement palliative. Le VAC est donc retiré le 06.01.2018 avec des pansements simples et une antalgie, avec un transfert dans notre unité pour des soins palliatifs. La patiente est confortable sous antalgie de Fentanyl et anxiolyse par Rivotril. Avec un état de conscience fluctuant, elle poursuit une alimentation plaisir. La patiente est évaluée par notre équipe de soins palliatifs. Lors de cette évaluation, un transfert dans leur unité n'est pas retenu en raison d'une stabilité clinique sans symptômes réfractaires. Un projet d'EMS pour des soins palliatifs est donc proposé en accord avec la patiente et la famille. Après discussion avec Mme. Y et sa famille, un transfert à Payerne en attente de place en EMS est effectué en raison de la proximité géographique permettant des visites de sa famille dans une situation palliative. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR Fribourg, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, âgée de 87 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture des branches ilio- et ischio-pubiennes à droite, le 13.12.2018, avec un trait de fracture dans le cotyle fémoral droit, traitée conservativement. Une fracture de l'aileron sacré droit avec discrète sclérose des berges fracturaires, parlant en faveur d'une fracture ancienne, est aussi associée. Sur le plan social, la patiente vit seule à domicile; son mari est placé dans un home médicalisé. Elle est à la retraite. A l'admission, la patiente est stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. La patiente signale avoir chuté à 3 reprises 2 semaines avant son hospitalisation à l'HFR Fribourg. Elle dit que les troubles de l'équilibre ont commencé depuis le placement de son mari. Elle signale aussi un état dépressif, mais refuse une consultation spécialisée. On constate une labilité émotionnelle associée à des probables troubles neuro-cognitifs. Au statut, la patiente est assez collaborante. A l'auscultation pulmonaire, on note des fins crépitants humides bilatéraux, plus marqués au lobe inférieur droit. La cicatrice est calme. La flexion de la hanche droite est de 70° en actif. La force du membre inférieur droit est cotée à M3 au psoas et à M4 au quadriceps, celle du membre inférieur gauche est cotée à M4 au psoas et au quadriceps. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec un tintébin, en respectant la décharge de 15 kg. Les amplitudes articulaires montrent une flexion en actif assistée de la hanche droite à 80°. La force du membre inférieur droit est cotée à M3 au psoas et à M4 au quadriceps, celle du membre inférieur gauche est cotée globalement à M4. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre l'UATO, le 10.01.2019, en état général conservé. Mme. Y est une patiente de 78 ans, connue pour un adénocarcinome pulmonaire avec lymphangite carcinomateuse actuellement en phase palliative, adressée pour une hospitalisation en élective par son oncologue, le Dr. X, pour baisse de l'état général et soins impossibles à domicile. Pour rappel, la patiente est hospitalisée pour la 5ème fois cette année et est sortie d'une réadaptation palliative à la Villa St-François le 28.12.2018. La patiente présente à son arrivée une dénutrition protéino-énergétique sévère avec asthénie et cachexie. La patiente a perdu 5 kg en 4 semaines. La baisse de l'état général de Mme. Y est mise sur le compte de la maladie oncologique avancée et de la dénutrition sévère. Au niveau oncologique, il a été décidé avec le Dr. X de ne plus faire de traitements oncologiques et de passer à des soins de confort. Au niveau de la nutrition, il a été décidé d'introduire des SNO et une alimentation de type plaisir. De la physiothérapie est réalisée pour améliorer les transferts et la mobilité. Mme. Y présente des épisodes de désaturation asymptomatiques pour lesquels nous introduisons momentanément une oxygenothérapie.La patiente présente des douleurs ischio-pubiennes gauches en lien avec une fracture ischio-pubienne gauche du 08.12.2018 qui avait été décidé de traiter conservativement. Nous poursuivons l'antalgie en place et introduisons de la physiothérapie avec une diminution de la douleur. Au niveau endocrinien, la patiente est connue pour un diabète de type 2. Lors de la précédente hospitalisation, il avait été décidé de suspendre le traitement d'insuline au vu d'hypoglycémies à répétition et du contexte global. Lors de l'hospitalisation, nous observons des profils glycémiques élevés. Nous poursuivons le traitement Metformine et Januvia en cours et proposons un suivi de la glycémie. Nous observons chez Mme. Y une tachycardie sinusale. Un bilan biologique ne montre pas d'hyperthyroïdie. Nous proposons un suivi clinique. L'évolution clinique est favorable avec une amélioration de l'état général au cours du séjour mais néanmoins insuffisante pour envisager un retour à domicile dans l'immédiat (habite seule au 2ème étage sans ascenseur). Lors d'un réseau avec Mme. Y et sa sœur, il est décidé de réaliser une réadaptation palliative à la Villa Saint-François puis d'organiser un retour à domicile avec des soins à domicile maximum. Mme. Y est transférée à la Villa Saint-François pour une réadaptation palliative le 28.01.2019. Mme. Y présente les lésions susmentionnées. Je propose à la patiente un traitement conservateur et elle va être immobilisée dans une genouillère articulée, bloquée à < 20° de flexion, qu'elle portera pour une durée totale de 6 semaines. Munie de cette attelle, elle est autorisée à charger le MIG, mais va tout de même poursuivre le traitement de Clexane 40mg 1x/jour. Afin de compléter le bilan, un IRM va être organisé, afin d'exclure toute lésion adjacente méniscale ou ligamentaire. Je la revois suite à cet examen afin de discuter de la suite du traitement. Arrêt de travail à 100% pour 6 semaines. Mme. Y, 25 ans, a été admise aux soins intensifs suite à une tentative médicamenteuse au Paracétamol avec éthylisation aiguë le 11.01.2019. La patiente aurait consommé de façon aiguë 12 g de Paracétamol ainsi qu'une bouteille de vin à visée suicidaire le 10.01.2019 vers 19h00, puis elle a averti son conjoint par SMS. Celui-ci a pris contact avec les secours qui amènent la patiente aux urgences de Payerne (hôpital intercantonal de la Broye). L'évaluation clinique somatique était sans particularité. Au niveau biologique, le Tox-screen urinaire était négatif, la paracétamolémie était à 85 mg/l après 8h et les fonctions hépatique et rénale étaient normales. L'alcoolémie initiale a été mesurée à 1.38 pour mille. Un protocole de N-acétyl-cystéine pour l'intoxication au Paracétamol a été débuté le 10.01.2019 vers 24h00 puis la patiente a été transférée aux soins intensifs de Fribourg (par manque de place aux soins intensifs de Payerne). L'évolution a été sans particularité. Le protocole de N-acétyl-cystéine a été stoppé après 20 heures, au vu des tests hépatiques restés dans la norme et d'une paracétamolémie devenue indétectable. Un probable trouble de la personnalité borderline est évoqué par le consultant de psychiatrie qui ne retient pas d'indication à une hospitalisation en milieu psychiatrique. Le risque suicidaire a été évalué comme peu élevé et le geste de la patiente s'inscrit comme un appel à l'aide dans un contexte de conflit sentimental avec son conjoint. Un traitement médicamenteux n'est pas proposé d'emblée et une prise en charge en psychiatrie ambulatoire à Payerne est organisée. La patiente rentre à domicile le 11.01.2019 accompagnée de sa famille. Mme. Y, patiente de 80 ans, connue pour un antécédent de carcinome mammaire avec status post-mastectomie et reconstruction mammaire, est hospitalisée dans le cadre de troubles visuels. L'anamnèse révèle l'apparition aiguë de troubles visuels difficilement caractérisables, mais décrits comme une impossibilité de lire sa montre. Elle a consulté l'Inselspital qui a suspecté un AIT en raison d'une IRM sans lésion ischémique aiguë. Elle présentait alors une hypertension importante, raison pour laquelle un traitement antihypertenseur est débuté. La patiente ne souhaitant pas d'investigation supplémentaire, elle est rentrée à domicile mais en raison de l'impossibilité de se débrouiller seule chez elle, elle consulte à la Permanence de Meyriez. À l'entrée, la patiente se plaint de ne pas se reconnaître, de ne pas comprendre ce qui s'est passé et d'avoir des hallucinations visuelles intermittentes sous forme de voiles tombés du plafond. Elle se plaint également de manque de mot intermittent. L'examen physique ne révèle pas de dysarthrie ni d'aphasie, mais une suspicion d'hémianopsie supérieure droite et quadranopsie supéro-nasale gauche, mais l'examen est peu fiable en raison de la compliance difficile de la patiente. Elle présente également une agitation psychomotrice et une anxiété importante. Au cours de l'hospitalisation, les symptômes se résolvent spontanément. Nous suspectons, au vu de l'évolution des symptômes, une origine hypertensive. Nous proposons que la patiente bénéficie d'une consultation ophtalmologique, qu'elle souhaite effectuer chez son ophtalmologue en ambulatoire. Nous organisons une consultation de neuropsychologie mais la patiente sort avant d'avoir pu voir la neuropsychologue. Nous vous proposons d'organiser en ambulatoire une évaluation neuropsychologique. Nous vous proposons également de bien suivre les différents facteurs de risques cardiovasculaires au vu du diagnostic différentiel d'AIT, et de réaliser une prise en charge optimale. Au vu de la très bonne évolution de la patiente, elle rentre à domicile en bon état général le 24.12.2018. Mme. Y est une patiente de 71 ans, connue pour glioblastome grade IV frontal droit découvert suite à une épilepsie en novembre 2018 et réséqué in toto le 03.12.2018. Elle est hospitalisée pour trouble du comportement et situation ingérable à domicile. Elle présente depuis l'opération un comportement de type frontal avec hétéroagressivité, achats compulsifs, thymie fluctuante et sentiment de persécution. De plus, elle présente une toux productive sans critère de pneumonie. Le bilan biologique est dans la norme. Un CT ne met pas en évidence de saignement visible ni d'effet de masse. La patiente est réfractaire à l'hospitalisation. Après avis psychiatrique, une hospitalisation sous PLAFA s'avère nécessaire. Selon avis oncologique, une thérapie complémentaire par radiochimiothérapie sera proposée à distance de l'opération. Une thérapie par Haldol est introduite avec effet favorable sur l'humeur et l'agitation. Le bilan neuropsychologique montre un trouble de sévérité mineure avec une atteinte frontale, des fonctions exécutives, difficulté de reconnaissance des émotions, troubles pouvant être mis en lien avec la localisation de l'effet de masse. À l'IRM, une récidive tumorale est fortement suspectée. Un colloque social est organisé le 28.12.2018 en présence de la patiente, du mari, de tous ses enfants, des médecins de l'étage et du psychiatre. L'annonce de mauvaise nouvelle a pu être faite avec les explications sur les troubles du comportement en lien avec la maladie tumorale, sur le plan de traitement radiochimiothérapeutique palliatif à venir, et un accord pour la mise en place d'un suivi psychiatrique de soutien à domicile (psydom) trois fois par semaine a pu être trouvé. Les problèmes de dépense ont pu être éclaircis et ne semblent pas excessifs ou aberrants, et la famille va pouvoir gérer cette question à l'interne sans besoin de curatelle pour le moment.La patiente a donc présenté une évolution favorable du point de vue psychologique, dont la famille a aussi pu se rendre compte lors du colloque et des visites ultérieures. Le traitement d'Haldol est à poursuivre et son maintien à réévaluer à distance par le psychiatre. Mme. Y rentre à domicile le 05.01.2019. Consilium radio-oncologique le 04.01.2018. Consultation oncologique le 08.01.2019 chez le Dr. X. Mme. Y est une patiente de 91 ans, connue pour une insuffisance cardiaque sur cardiopathie rythmique, fibrillation auriculaire et hypertensive sous Sintrom, et probable cardiopathie ischémique. La patiente présente une baisse d'état général avec nausées, diarrhées, vomissements et inappétence. Malgré des directives anticipées privilégiant des soins de confort, la patiente avec avis du Dr. X et sa représentante thérapeutique (sa fille) décident d'un transfert à l'hôpital pour suspicion de pneumonie. Sur le plan social, la patiente vit en EMS. Elle a 2 enfants, dont une fille qui s'occupe d'elle. A son admission aux urgences de l'HFR Riaz, Mme. Y présente au status des râles crépitants aux deux bases avec une désaturation à 85% à l'air ambiant. Sur le plan biologique, présence d'un syndrome inflammatoire. Aux imageries radiologiques, nous n'objectivons pas de foyer clair. Dans ce contexte et sur les arguments cliniques, nous entamons une antibiothérapie empirique par Rocéphine durant une semaine, avec bonne réponse clinique et biologique. Sur le plan cardiovasculaire et dans ce contexte infectieux, nous constatons une décompensation cardiaque sur une fibrillation auriculaire rapide avec cliniquement des œdèmes aux membres inférieurs répondant à un traitement symptomatique de diurétiques. Nous instaurons également du Bisoprolol avec une amélioration de la fréquence cardiaque devenant normocarde. Sur le plan de l'hémostase, nous relevons un INR supra-thérapeutique nécessitant l'administration de Konakion et une adaptation du schéma de Sintrom, que nous vous invitons à réévaluer le 31.12.2018. Biologiquement, nous notons des déséquilibres électrolytiques, que nous traitons de manière symptomatique. Au niveau vitaminique, nous relevons des déficits en acide folique et vitamine D que nous substituons. Pour l'INR supra-thérapeutique sans signe d'extériorisation, nous mettons en place du Konakion 5 mg intraveineux aux urgences avec suivi biologique par la suite. Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, son périmètre de marche est nul. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 42/126, par rapport à 36/126 à l'entrée (MIF physio : transferts 2/7, marche 1/7, escaliers 1/7). Durant son séjour, la patiente bénéficie d'un suivi nutritionnel constatant une malnutrition protéino-énergétique grave en lien avec une inappétence, une dysphagie et un état général en baisse, démontrée par un NRS à 5/7, des apports à 0-25% cette dernière semaine et une perte pondérale de plus de 5% ce dernier mois. Un test de déglutition indique la nécessité d'une alimentation à texture mixée lisse durant son séjour hospitalier. Notons encore que Mme. Y s'alimente très peu et refuse parfois les repas. Nous proposons un supplément nutritif oral par jour afin d'augmenter ses apports énergétiques. Finalement, au vu de la bonne évolution, nous convenons d'un retour au Foyer Notre Dame de Siviriez où elle réside, le 27.12.2018. Mme. Y, patiente de 74 ans, connue pour hypertension artérielle, hypercholestérolémie et hernie hiatale, est hospitalisée en raison d'une dyspnée en péjoration apparue le 09.12.2018 avec toux et crachats salivaires en péjoration. La patiente rapporte des douleurs au niveau thoracique postérieur, sous l'omoplate depuis environ 10 jours irradiant en direction de l'épigastre en hémi-ceinture, non effort dépendantes. Un traitement de Bactrim pour suspicion de bronchite n'a pas amélioré les symptômes. Elle rapporte également des nausées avec vomissements ces derniers 5 jours, avec perte d'appétit et asthénie, sans état fébrile. Elle note une dyspnée d'effort sans orthopnée ou dyspnée paroxystique nocturne. Le laboratoire d'entrée retrouve un NT-proBNP élevé, avec des troponines négatives. Une radiographie de thorax montre des légers signes de décompensation cardiaque et un ECG est superposable au comparatif. La patiente est hospitalisée pour adaptation des traitements diurétiques et surveillance. Une échocardiographie transthoracique retrouve une FEVG à 49 %, une insuffisance mitrale modérée à sévère (grade 2/3), d'origine dégénérative, probablement à l'origine de la décompensation cardiaque. Au vu de l'anamnèse et de l'hypertension pulmonaire, un CT thoracique est réalisé afin d'exclure une embolie pulmonaire, non retrouvée sur les images. Le bilan cardiaque est complété avec une échocardiographie transœsophagienne puis une coronarographie avec cathétérisme gauche/droite retrouvant une insuffisance mitrale modérément sévère (grade III sur IV) avec discrète hypertension artérielle pulmonaire. Le traitement de l'insuffisance cardiaque est modifié durant le séjour avec introduction de Coversum et torasémide à la place du Comilorid. Le bêta-bloquant est augmenté à 2x/j et nous vous laissons le soin d'adapter le traitement en ambulatoire avec augmentation de l'IEC et réévaluation d'un traitement de spironolactone selon tolérance. La patiente sera convoquée pour une IRM cardiaque et un suivi dans 6 semaines par ETT chez le Dr. X. Concernant les épigastralgies et nausées, la symptomatologie régresse durant le séjour et la patiente n'a plus de plainte à la sortie. Nous conseillons un bilan avec OGD en ambulatoire si les douleurs venaient à se représenter. Un écoulement postérieur est traité par corticostéroïdes inhalés pour une durée de 14 jours. Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Y peut rentrer à domicile le 27.01.2019. Mme. Y est une patiente de 67 ans, qui est hospitalisée dans notre service de chirurgie dans le cadre d'un nouveau diagnostic d'adénocarcinome occlusif du haut rectum. Le CT thoraco-abdomino-pelvien initial montre un iléus colique avec dilatation caecale et signes de souffrance motivant une transverso-stomie de décharge en urgence le 16.01.2019. L'intervention se déroule sans complication. Le bilan d'extension montre une tumeur du haut rectum avec infiltration de la graisse alentour. Le cas sera présenté au Tumorboard du 23.01.2019 et la patiente sera revue à la consultation du Dr. X le 31.01.2019 à 9h20. Mme. Y rejoint son domicile le 22.01.2019. Mme. Y est amenée aux urgences par son mari le 02.01.2019 en raison d'une baisse de l'état général. A l'anamnèse, la patiente nous informe qu'elle présente un état grippal avec des diarrhées depuis environ 20 jours, en amélioration progressive. Pas de toux, de dyspnée ni d'état fébrile. Depuis 2-3 jours, elle présente également des douleurs crampiformes sus-pubiennes et des brûlures mictionnelles avec depuis ce jour une baisse de l'état général rapide avec impossibilité à marcher. A l'admission aux urgences, la patiente est en état général diminué, acyanotique et anictérique. Elle est fébrile à 38,3°C, tachycarde à 104/min, normotendue à 120/63 mmHg, tachypnéique à 25/min et sature à 90% à l'air ambiant. Au status pulmonaire, présence de légers râles crépitants bibasaux. Au niveau digestif, l'abdomen est souple, dépressible, avec une sensibilité sus-pubienne, sans défense ni détente. La loge rénale gauche est sensible.Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire et une légère hyponatrémie. Le sédiment urinaire est positif pour une infection et l'urotube montre 10E6 d'E. coli multisensible. Nous prélevons deux paires d'hémocultures qui reviennent également positives pour un E. coli multisensible. L'ECG montre une tachycardie que nous mettons dans le contexte fébrile et la radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer ni d'épanchement. La patiente est hydratée et nous introduisons une antibiothérapie par Ceftriaxone. Quelques minutes après l'administration de l'antibiotique, la patiente ressent une dyspnée et présente une désaturation, avec au status, un rash cutané nouveau au niveau thoracique, mais pas d'œdème des muqueuses. Nous en retenons une réaction anaphylactique à la ceftriaxone, que nous traitons par oxygène, adrénaline, corticoïdes et antihistaminiques. La réponse clinique est favorable et la patiente est hospitalisée pour antibiothérapie par ciprofloxacine et surveillance hémodynamique. Nous effectuons un ultrason des voies urinaires qui exclut une complication de la pyélonéphrite ainsi qu'une malformation des voies uro-génitales. Dans notre service, la patiente évolue de manière favorable. Nous constatons dès J1 une diminution des douleurs suspubiennes et des brûlures mictionnelles. La patiente demeure afébrile par la suite. Au niveau biologique, la fonction rénale reste conservée, le syndrome inflammatoire diminue progressivement au cours du séjour avec, au dernier laboratoire effectué le 04.01.2019, des leucocytes à 10.2 G/l et une CRP à 31 mg/l. Concernant la réaction anaphylactique, la patiente est mise au bénéfice du Xyzal pour 7 jours. En ce qui concerne l'hyponatrémie, nous constatons une évolution spontanément favorable sous hydratation. Mme. Y peut regagner son domicile le 06.01.2019 au vu d'une clinique et d'une biologie d'évolution favorable. Mme. Y est une patiente de 36 ans, connue pour une maladie de Basedow, qui est hospitalisée en électif afin de bénéficier d'une thyroïdectomie totale bilatérale le 23.01.2019. L'intervention se déroule sans complication notable et le contrôle ORL à J1 retrouve une mobilité des cordes vocales symétrique. La patiente rentre à domicile le 26.01.2019. Une substitution thyroïdienne est introduite dès le 24.01.2019. À noter une hypocalcémie post-opératoire qui doit être substituée en accord avec nos collègues d'endocrinologie, la patiente rentre à domicile et bénéficiera d'un laboratoire de contrôle le 28.01.2019. La patiente sera revue à la consultation du Dr. X le 04.03.2019 à 13h30. Mme. Y présente donc un syndrome du tunnel carpien post-traumatique en regard de la main gauche. L'indication pour une neurolyse du nerf médian est donnée. La patiente est informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Elle nous donne son accord, le consentement est signé. L'intervention aura lieu en ambulatoire le 07.02.2019. La patiente sera vue par le médecin-anesthésiste pour la consultation pré-anesthésique. Mme. Y, connue pour une BPCO sévère, une consommation d'alcool chronique et une dénutrition protéino-calorique sévère, présente une baisse de l'état général depuis quelques mois. Le 01.01.2019, son mari la trouve très faible et appelle le médecin de garde qui adresse la patiente aux urgences sous PLAFA somatique en raison d'un refus de soin. La patiente n'a pas de plainte à l'anamnèse par systèmes. À l'hétéro-anamnèse, son époux décrit une consommation chronique de 1 litre de vin par jour, une surconsommation d'opiacés ainsi qu'une escarre suivie par un infirmier indépendant à domicile. À l'admission aux urgences, Mme. Y est en état général diminué. Elle est fébrile à 38,8°C, tachypnéique à 25/min avec utilisation des muscles accessoires et sature à 59% à l'air ambiant. Au status cardio-pulmonaire, présence de sibilances diffuses sur les deux plages pulmonaires. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 19.2 G/l et une CRP à 182 mg/l. Deux paires d'hémocultures sont prélevées et reviennent finalement négatives à 5 jours. La gazométrie montre une hypoxémie à 8.9 kPa avec une hypercapnie à 6.4 kPa. Nous suspectons un foyer bibasal à la radiographie du thorax et le sédiment urinaire montre une leucocyturie asymptomatique. La patiente est hospitalisée et nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv 2x/j et Klacid. Ce dernier est arrêté après 1 dose en raison d'antigènes urinaires négatifs pour Légionnelle et pneumocoque. Sous antibiothérapie, l'évolution clinique et biologique est rapidement favorable avec diminution progressive des besoins en oxygénothérapie et, à la sortie, une saturation à 88% à l'air ambiant ainsi qu'une diminution du syndrome inflammatoire. Durant le séjour, nous retrouvons la plaie chronique en regard du grand trochanter droit évoluant depuis plusieurs mois en raison d'une patiente qui se couche en position latérale droite en décubitus pour des douleurs chroniques de l'épaule gauche suite à une fracture de l'humérus gauche en 2011. La patiente a été suivie par le Dr. X, chirurgien, et le Dr. X, orthopédiste, depuis l'automne 2018. Lors du dernier contrôle à la consultation du Dr. X le 17.12.2018, ce dernier évoque la nécessité d'une prise en charge chirurgicale qui est refusée par la patiente. Actuellement, elle est suivie par un infirmier à domicile (privé) 1x/jour. La plaie présente un fond fibrineux accompagné par des berges nécrotiques, sans écoulement ni érythème autour de la lésion. Nous effectuons un frottis de plaie qui revient positif pour un Staphylococcus lugdunensis. Une radiographie de la hanche ne met pas en évidence de signe d'ostéite. La patiente étant peu motivée pour rester hospitalisée pour un avis chirurgical quant à l'évolution de sa plaie, nous demandons un avis au Dr. X, chirurgien à l'HFR Fribourg, afin d'obtenir une consultation ambulatoire de suivi de plaie. Concernant l'hyponatrémie, cette valeur reste stable durant l'hospitalisation avec une dernière valeur le 07.01.2019 à 134 mmol/l. Mme. Y, souhaitant absolument un retour à domicile à la fin du traitement antibiotique, malgré nos recommandations de prolonger le séjour en raison de l'escarre en regard du grand trochanter droit, quitte notre service le 07.01.2019. Mme. Y présente des gonalgies gauches éventuellement dans le contexte d'une fissure du ménisque en regard de la corne postérieure. Je propose, dans un premier temps, une tentative de traitement conservateur. Je lui prescris une physiothérapie à but antalgique et pour mobiliser le genou, plus tard pour entraîner la proprioception. Je reverrai la patiente pour une réévaluation clinique le 01.02.2018. Elle reste en arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. Mme. Y nous est adressée pour adapter un traitement antalgique dans le contexte de lombalgie chronique. La patiente présente depuis plusieurs mois des douleurs invalidantes de la colonne lombaire et du sacrum. Les douleurs sont plus importantes au repos et en début de mobilisation avec une importante raideur matinale. Une IRM réalisée en ambulatoire montre une sténose foraminale gauche L4-L5, une sténose foraminale droite L5-S1 ainsi qu'un canal lombaire étroit sévère. L'anamnèse est négative pour une claudication neurogène. Hormis un rétro Lasègue fortement positif à gauche, le reste du status neurologique et ostéo-articulaire est dans la norme. L'antalgie est adaptée avec introduction d'Oxycontin 5 mg 2x/J, qui permet un bon contrôle des douleurs, Mme. Y ne rapporte aucun effet secondaire lié à la prise d'opiacés. Une infiltration foraminale des racines L2 et L3 à gauche a lieu le 18.01.2019. Suite à l'infiltration, nous observons une nette diminution des douleurs (objectivée par les EVA) ainsi qu'une amélioration de la mobilisation. En cas de réapparition des symptômes, les infiltrations peuvent être répétées à 3 mois au même niveau. Si l'effet devait être de trop courte durée, nous proposons d'organiser une évaluation auprès du service d'orthopédie de l'HFR Fribourg (consultation spécialisée du rachis) pour discuter d'une laminectomie L2-L3.Un retour à domicile est organisé le 23.01.2019. Mme. Y, connue pour un status post-accident vasculaire cérébral sylvien gauche avec foyer épileptique résiduel et des troubles cognitifs, résidant au home de la Providence, est amenée aux urgences en ambulance le 24.12.2018 suite à une crise d'épilepsie avec mouvements tonico-cloniques. Pour rappel, la patiente est suivie par le Dr. X et présente une crise d'épilepsie environ tous les 3 mois. À l'hétéro-anamnèse avec sa fille, la patiente a présenté une crise avec mouvements tonico-cloniques d'une durée de 2 à 3 minutes alors qu'elle était assise à table avec sa famille pour le repas de Noël, avec perte d'urines, sans perte de selle ni de morsure de langue. Pas de chute ni de traumatisme crânien. Sa fille a pu lui administrer 10 mg de Diazepam intra-rectal fourni par l'EMS lors du congé et à donner en cas de crise. Plus tard, la patiente présente un épisode de vomissements et sa fille rapporte deux épisodes d'absence, la veille, avec fixation du regard. À l'admission aux urgences, Mme. Y est afébrile, normotendue, normocardique et elle sature à 94% à l'air ambiant. Au status neurologique, Glasgow à 15/15. Patiente orientée aux 3 modes, présentant un ralentissement psychomoteur avec fatigue postcritique. Les pupilles sont isocores et isoréactives. Ptose de la paupière droite connue. Force symétrique conservée à 5/5 aux 4 membres, sensibilité grossièrement dans la norme. Le status cardio-respiratoire est sans particularité. Le laboratoire ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire ni de trouble électrolytique, les CK sont dans la norme sans signe de rhabdomyolyse et les lactates sont à 0.9 mmol/l. Mme. Y est hospitalisée pour surveillance neurologique. Sur avis de Dr. X, neurologue de garde, nous augmentons le traitement de Vimpat. Cependant, suite à l'augmentation de ce traitement, la patiente présente un état confusionnel aigu qui se résout après retour à la dose habituelle. Nous vous laissons le soin d'organiser un contrôle à la consultation du Dr. X. Durant le séjour, la patiente présente une gastro-entérite virale qui se résout sous traitement symptomatique et hydratation. Mme. Y, 58 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée pour réhabilitation cardiovasculaire dans un contexte de cardiopathie bivalvulaire traitée par remplacement valvulaire mitral mécanique et reconstruction valvulaire aortique le 06.11.2018. Le post-opératoire a été marqué par la survenue d'un AVC sensitivo-moteur gauche incomplet à prédominance distale d'origine probable sylvienne droite le 14.11.2018. Traitement à l'entrée : • Aspirine Cardio 100 mg cpr : 1-0-0-0 • Sintrom Mitis 1 mg : selon INR • Pantozol 40 mg cpr : 1-0-0-0 (à réévaluer à 1 mois post-op) • Beloc Zok 25 mg cpr retard : 0.5-0-0.5-0 • Pravastatine 40 mg cpr : 0-0-1-0 • Lyrica 150 mg cpr : 1-0-1-0 • Abilify 15 mg cpr : 1-0-0-0 • Distraneurin 192 mg cpr : 0-0-0-1 • Valaciclovir 500 mg cpr : 1-0-0-0 • Calcimagon -D3 500/800 cpr : 0-1-0-0 • Dafalgan 1 g cpr : 1 cpr toutes les 8 h si douleurs • Symbicort 200/6 microgrammes inh : 1-0-1-0 • Otezla 30 mg : en suspens Le 09.12.2018, la patiente présente des céphalées d'installation brutale et inhabituelle avec photo-phonophobie, nausées sans vomissement, motivant un transfert en urgence vers le CHUV pour examens complémentaires. Les céphalées sont soulagées par la morphine et le scanner crânien injecté ne retrouve pas d'argument en faveur d'un saignement, d'une ischémie ou d'une occlusion aiguë. Devant une persistance des céphalées après son retour du CHUV et une péjoration de l'examen neurologique avec présence d'une paralysie faciale, une vision trouble sans amputation du champ visuel gauche et une hypoacousie gauche, une IRM est réalisée et ne retrouve pas d'anomalie pouvant expliquer la situation clinique (présence d'une lésion ischémique séquellaire de son AVC post-opératoire sans nouvel élément). La symptomatologie s'estompe spontanément au bout de quelques jours avec une antalgie par Tramadol. Concernant son anticoagulation, devant un INR difficile à équilibrer sous Sintrom et nécessitant le recours à une antagonisation par vitamine K, le traitement est changé pour du Marcoumar qui montre de bons résultats dans un premier temps. Juste avant sa sortie, nous observons une augmentation brutale de l'INR (>8) justifiant à nouveau l'introduction de vitamine K. Après antagonisation, l'INR de contrôle est à 3.5 et la sortie de Mme. Y s'avère possible avec un contrôle chez son médecin traitant dans les 48 h. Au sujet du réentraînement à l'effort, la patiente a débuté dans un groupe d'intensité modérée et a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, elle est capable de marcher sur tapis roulant pendant une durée de 25 minutes à une vitesse de 4 km/h sur une pente à 4% sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 98 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mme. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : 1. Le bilan lipidique de sortie retrouve un LDL à 3.53 mmol/l, un HDL à 0.84 mmol/l et des triglycérides à 3.04 mmol/l 2. Patiente tabagique sevrée depuis 7 mois : Mme. Y n'a pas souhaité rencontrer notre tabacologue. À l'examen clinique de sortie, status normo-compensé avec une pression artérielle de 118/78 mmHg avec une FC à 82 bpm. Mme. Y est une patiente de 21 ans, en bonne santé habituelle, qui consulte aux urgences pour des douleurs abdominales apparues il y a moins de 24 heures, accompagnées d'un épisode de vomissement, sans état fébrile ni frissons. Le bilan biologique et ultrasonographique met en évidence une appendicite aiguë. La patiente bénéficie le 15.01.2019 d'une appendicectomie laparoscopique qui se déroule sans complication. Les suites opératoires sont favorables, permettant un retour à domicile le 16.01.2019. Mme. Y, patiente de 69 ans, est transférée le 07.01.2019 depuis les urgences de Tavel aux soins intensifs pour suspicion d'un NSTEMI. La patiente est connue pour une cardiopathie ischémique monotronculaire avec pose de stent sur l'IVA en septembre 2018. Elle consulte aux urgences de Tavel en raison d'un angor nouveau depuis 7 jours. Le bilan électrocardiographique est sans particularité. Le bilan biologique montre une élévation des enzymes cardiaques (augmentation des troponines avec CK et CK-MB dans la norme). Un NSTEMI est suspecté et la patiente est transférée aux soins intensifs de Fribourg le 07.01.2019 en attente d'une coronarographie. L'examen invasif est réalisé le 08.01.2019 et montre une re-sténose in-stent au niveau de la partie proximale du stent posé dans l'IVA en septembre 2018. Cette sténose n'est toutefois pas fonctionnellement significative avec une FFR à 0.88. Comme possible corrélat aux douleurs thoraciques et à l'augmentation des enzymes cardiaques, on peut évoquer une occlusion d'une petite branche septale qui est toutefois collatéralisée par l'ACD et qui semble d'allure chronique. Dans ce contexte, le bilan est poursuivi par un CT-scan thoracique qui permet d'exclure une embolie pulmonaire.D'un point de vue médicamenteux, avant le transfert aux soins intensifs de Fribourg, la patiente reçoit une charge en Efient par les collègues des urgences de Tavel le 07.01.2019. Suite à la coronarographie du 08.01.2019 qui n'a pas montré de nouvelles lésions et qui ne s'est pas soldée par la pose d'un nouveau stent, la double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine et Plavix est reprise dès le 09.01.2018. La durée exacte de la double anti-agrégation plaquettaire sera à confirmer avec le médecin traitant (la patiente ayant eu une pose de stent sur l'IVA en septembre 2018 mais sans autre information par rapport à la nature de l'événement cardiaque ayant mené à la pose de ce stent). A noter que la patiente est connue pour des douleurs thoraciques chroniques qui prédominent à gauche et qui ont été mises sur le compte d'un syndrome costo-vertébral traité par opiacés au long cours (Oxynorm) et récente infiltration costale en août 2018. L'origine des douleurs thoraciques aigües présentées par la patiente est possiblement en lien avec une origine musculo-squelettique pour laquelle une investigation rhumatologique serait à considérer dans la suite de l'hospitalisation. La patiente est également connue pour des douleurs abdominales chroniques dans un contexte de multiples opérations digestives au CHUV et à l'Inselspital de Berne pour lesquelles la patiente est traitée par Buscopan et Rivotril au long cours. Durant le séjour aux soins intensifs elle a reçu des anti-émétiques en réserve dans ce contexte. Au vu de la stabilité hémodynamique et rythmique, la patiente est transférée le 08.01.2019 à l'hôpital de Tavel pour suite de prise en charge. Mme. Y, 75 ans, est admise aux soins intensifs le 26.01.2019 pour une insuffisance respiratoire globale sur grippe. La patiente est hospitalisée depuis le 19.01.2019 à l'hôpital de Tavel pour une suspicion de décompensation cardiaque. Face à des troubles de l'état de conscience avec insuffisance respiratoire aiguë, la patiente est intubée. Les troubles neurologiques aigus sont liés à une carbonarcose et le CT cérébral est normal. Un traitement par Eliquis avait été débuté pour suspicion clinique d'embolie pulmonaire à Tavel, cette dernière est exclue au CT thoracique effectué après l'intubation. Le bilan finalement rapporte un diagnostic de grippe A ayant fait décompenser un syndrome d'obésité hypoventilation sévère avec une forte composante spastique. La patiente est intubée durant 3 jours durant lesquels une bronchoscopie est effectuée et un relais par VNI est fait dès l'extubation. En raison d'une hypercapnie persistante, il est décidé en collaboration avec l'équipe de pneumologie d'appareiller transitoirement la patiente avec une VNI nocturne à l'étage. Il est fort probable que cette VNI nocturne ne soit que temporaire mais dans le cas contraire, la patiente pourra être appareillée à domicile par l'équipe de pneumologie. Une ETT puis une ETO écartent la piste cardiogénique comme composante majeure de la dyspnée. La composante dominante restant donc la spasticité, des aérosols sont maintenus avec une introduction de Symbicort. Une probable surinfection pulmonaire a été traitée par Co-Amoxicilline. Le Tamiflu n'est pas introduit en raison du diagnostic tardif de grippe. L'anticoagulation est maintenue à dose prophylactique et il sera nécessaire par la suite de réévaluer l'indication à une anticoagulation thérapeutique dans ce contexte rythmique chez cette patiente ayant présenté un AVC hémorragique sur Eliquis. Dans le contexte aigu, la patiente présente une insuffisance rénale aiguë sur chronique. La fonction rénale s'améliore et les paramètres sont à suivre. Face à la bonne évolution, la patiente est transférée en médecine pour la suite de prise en charge. Mme. Y, connue pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, résidant à la Maison St-Joseph de Châtel-St-Denis, est amenée aux urgences en ambulance le 18.12.2018 en raison d'un état fébrile à 38,3°C et d'une dyspnée importante. Au vu de la démence importante, l'anamnèse est difficile. A l'hétéroanamnèse avec sa fille, celle-ci nous informe que la patiente ne communique plus depuis le 12.12.2018. A l'admission aux urgences, Mme. Y est fébrile à 38,5°C, normotendue à 122/79 mmHg, normocarde à 90/min, tachypnéique à 35/min avec une saturation à 95% à l'air ambiant. Au status cardiovasculaire, le rythme cardiaque est régulier, sans souffle audible. A l'auscultation pulmonaire nous constatons une hypoventilation antérieure. Au niveau digestif, la palpation abdominale est diffusément sensible, sans défense ni détente. Les loges rénales sont indolores. Au vu de la clinique, un laboratoire est effectué et met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 323 mg/l et des leucocytes à 19.4 G/l. Nous prélevons des hémocultures qui reviennent positives pour un Bacteroides caccae et la culture d'urines montre un Escherichia coli ESBL sensible à l'Ertapenem. Une antibiothérapie par Invanz est mise en place du 18.12.2018 au 24.12.2018. De plus, nous mettons en évidence une hypernatrémie à 156 mmol/l, pour laquelle nous calculons un déficit en eau libre de 3 litres. La patiente étant cliniquement déshydratée, une hydratation parentérale avec du G5% est mise en place avec amélioration de la natrémie, à la sortie à 146 mmol/l. L'hydratation parentérale est relayée par une stimulation à boire. Enfin, le laboratoire montre une hypokaliémie modérée à 2.6 mmol/l, que nous substituons en iv puis per os. A l'étage, l'évolution est défavorable sur le plan biologique avec persistance du syndrome inflammatoire. Nous discutons avec la famille de la patiente et son époux qui préfèrent des soins de confort dans notre service de médecine, plutôt qu'un retour dans le foyer. Après arrêt de l'antibiothérapie, nous n'observons pas de récidive d'état fébrile et en accord avec sa famille, Mme. Y regagne la Maison St-Joseph le 28.12.2018. Mme. Y est une patiente de 48 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences pour des douleurs épigastriques et de l'hypochondre droit depuis la veille. Le bilan biologique montre une perturbation globale des tests hépatiques avec une légère cholestase, un CT abdominal met en évidence une pancréatite Balthazar C avec un épaississement du cholédoque distal. Nous retenons donc le diagnostic d'une pancréatite d'origine biliaire, une antibiothérapie par Ceftriaxone et Metronidazole est débutée et une cholangio IRM effectuée le 17.01.2019 ne montre pas de calcul dans les voies biliaires. La patiente bénéficie alors d'une cholécystectomie laparoscopique le 18.01.2019 avec cholangiographie peropératoire. L'intervention se déroule sans complication, les suites postopératoires sont favorables et la patiente peut retourner à domicile le 21.01.2019. Mme. Y est une patiente de 66 ans, qui est hospitalisée dans notre service de chirurgie pour prise en charge en urgence d'une appendicite aiguë. Elle bénéficie le 19.01.2019 d'une appendicectomie par laparoscopie, qui met en évidence une nécrose de l'appendice avec perforation intra-opératoire. Une antibiothérapie empirique par Rocéphine et Métronidazole en intraveineux est mise en place jusqu'au 23.01.2019, puis relayée par Ciproxine et Flagyl par voie orale. L'évolution clinico-biologique étant favorable, Mme. Y peut regagner son domicile le 23.01.2019. L'antibiothérapie par voie orale sera poursuivie pour une durée totale de 10 jours, soit jusqu'au 29.01.2019.Mme. Pittet est admise en gériatrie aiguë pour une troisième récidive de colite à clostridium le 08.01.2019. Nous traitons par de la Vancomycine 125 mg 4x/j pendant 14 jours, puis en schéma dégressif. Finalement, après normalisation du transit, l'isolement de contact est levé le 14.01.2019. L'antibiothérapie sera à poursuivre jusqu'au 05.02.2019 selon schéma. Un traitement par probiotiques sera à débuter à la fin des antibiotiques. Au vu d'un état dépressif, un avis est demandé auprès du Dr. X, gérontopsychiatre, qui indique une augmentation du Brintellix à 10 mg/j à partir du 15.01.2018. Durant son séjour, Mme. Pittet réalise une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche seule est de 200 mètres. La patiente peut gravir 18 marches avec accompagnement. Elle est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 83/126, par rapport à 88/126 à l'entrée. Le TUG est à 21.54 secondes avec rollator. La patiente est prise en charge par le service de nutrition dans le contexte d'une malnutrition protéino-énergétique grave en lien avec une dysgueusie, des nausées, une inappétence et des pertes par diarrhées, démontrées par un NRS à 6/7 et des ingesta inférieurs à 25% de ses besoins. Pour rappel, une alimentation entérale par sonde nasogastrique avait été mise en place dès le 14.12.2018 afin de compléter les apports nutritionnels. Cette alimentation permet de couvrir 80% des besoins énergétiques théoriques (750 ml d'Isosource Energy Fibre). L'objectif est que Mme. Pittet maintienne un poids de 55 kg. Le 18.01.2019, la patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Plavci nous est transférée de l'EMS de Murten en raison d'une acutisation d'une IRC, d'un syndrome inflammatoire d'origine indéterminée ainsi qu'une anémie hypochrome microcytaire. Pour rappel, la patiente a bénéficié d'une mise en place de sonde double-J bilatérale le 03.01.2019 durant un séjour en Allemagne en raison d'une dilatation pyélocalicielle à gauche et suspicion de dilatation à droite d'origine indéterminée. En plus, elle a présenté une pyonéphrose gauche traitée par antibiotique (Cefepime) du 03 au 10.01.2019. Mme. Plavci ne parlant que le serbe, l'anamnèse ainsi que les statuts sont difficiles à réaliser. Elle a des douleurs connues aux genoux, traitées avec de l'Ecofenac gel. Elle n'a aucune plainte uro-digestive ni ORL. De ce fait, nous arrêtons le spray de Xylocaine. Actuellement, elle n'a pas d'eczéma, par contre, elle présente une dyspnée à l'effort connue depuis son opération du cœur. Cliniquement, elle présente des légers crépitants à la base droite. L'examen abdominal, neurologique et cardiaque est dans la norme. Sur le plan social, la patiente vit dans un home. Dans les activités de la vie quotidienne, elle nécessite de l'aide du personnel soignant. En raison d'un syndrome inflammatoire au laboratoire et sans plainte clinique particulière à part une douleur bilatérale à la percussion des loges rénales, nous réalisons un statut urinaire ainsi qu'une culture à la recherche d'un foyer infectieux. La première culture étant contaminée, nous refaisons une nouvelle culture avec un sondage vésical aller-retour qui revient stérile. La radiologie du thorax du 13.01.2019 est normale. Le syndrome inflammatoire diminue spontanément au cours de l'hospitalisation. À son arrivée, Mme. Plavci présente une acutisation d'origine probablement prérénale de son insuffisance rénale chronique. Pour cette raison, le Torasemid est diminué. En raison d'un profil tensionnel bas, l'Amlodipine est diminué. Durant le séjour hospitalier, la fonction rénale se normalise et les paramètres vitaux restent stables malgré les changements de dosage. Selon avis urologique, le contrôle chez Dr. X prévu le 28.01.2019 ne doit pas être avancé en vue d'une amélioration de la fonction rénale et du syndrome inflammatoire. Concernant l'exacerbation de l'anémie chronique, la patiente reçoit deux culots érythrocytaires, un le 15 et un le 17.01.2019, en raison d'une Hb à 65 g/l au laboratoire. L'anémie étant d'origine ferriprive, elle bénéficie d'ailleurs de 1000 mg de Ferinject au total le 16 et 17.01.2019. Parallèlement, Mme. Plavci bénéficie de séances de physio- et d'ergothérapie. À l'entrée, elle effectue les transferts avec une aide de contact et peut se mobiliser avec le rollator sous supervision sur de courtes distances. À la sortie, elle est autonome dans les transferts et se déplace sous supervision avec le rollator sur une distance de plus de 50 m. Le Tinetti est à 9/28. Mme. Plavci peut être retransférée dans l'EMS de Murten le 21.01.2019 en état général amélioré. Mme. Pollet est une patiente de 67 ans qui consulte les urgences de Riaz le 17.12.2018 pour des douleurs épigastriques aiguës dans un contexte d'opération à l'épaule le 13.12.2018 avec la prise d'anti-inflammatoires non stéroïdiens par la suite. Le bilan radiologique met en évidence une perforation digestive, la patiente est alors transférée à l'hôpital cantonal de Fribourg pour la suite de la prise en charge. La patiente bénéficie le jour même d'une laparoscopie exploratrice qui montre un ulcère gastrique perforé avec péritonite des 4 quadrants. Nous convertissons alors en laparotomie et une suture de l'ulcère est effectuée avec un patch épiploïque. La patiente est ensuite surveillée aux soins intensifs avec une bonne évolution initiale, permettant un transfert à l'étage de chirurgie. Suite à une insuffisance respiratoire hypoxémique avec début d'ARDS versus infiltrats pulmonaires bilatéraux, la patiente est retransférée aux soins intensifs, l'évolution sur le plan respiratoire étant par la suite favorable sous VNI et oxygénothérapie. Sur le plan abdominal, le séjour se complique par l'apparition de multiples collections intra-abdominales avec péritonite. La patiente est alors reprise au bloc opératoire pour une laparotomie avec lavage abdominal le 24.12.2018 avec par la suite un drainage des collections sous CT le 26.12.2018, le 04.01.2019 et le 10.01.2019. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable avec un CT scan abdominal de contrôle le 22.01.2019 montrant une diminution des collections intra-abdominales, ce qui permet une ablation des Pigtails. Un changement itératif des pansements VAC permet une bonne guérison de la plaie de laparotomie avec une fermeture cutanée le 31.12.2018. L'alimentation orale peut être reprise progressivement avec un arrêt de l'alimentation parentérale le 16.01.2019. Une OGD effectuée le 18.01.2019 ne montre pas de sténose ni d'ulcère, un prochain contrôle d'OGD n'est donc pas prévu sur avis de nos collègues de gastro-entérologie avec un sevrage progressif des IPP et un contrôle des IgG H. pylori avec une éradication en fonction des résultats. En attente d'une place de réadaptation à Billens, la patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie.Mme. Portmann est hospitalisée dans un contexte de douleurs lombaires acutisées invalidantes sans traumatisme. Elle a été hospitalisée à plusieurs reprises ces derniers mois pour des infections urinaires hautes chez une patiente pancytopénique sur myélome multiple. Elle était déjà connue pour ces douleurs. En effet, un bilan d'imagerie avait montré un canal lombaire étroit, des tassements, des hernies discales ainsi que des remaniements de la moelle dû au myélome. Nous poursuivons le traitement de palier III mais en effectuant un changement par de la morphine IV continue en lieu et place du Targin. Nous effectuons un nouveau bilan d'imagerie par IRM montrant une nouvelle fracture au niveau de D12. Le reste de l'imagerie est comparable à la dernière IRM de décembre 2019. Une radiographie lombaire en position debout montre une augmentation du tassement fracturaire. Nous demandons un avis neurochirurgical ne préconisant pas une intervention actuellement, mais un suivi radio-clinique à 3 semaines. Au vu d'un contrôle suffisant des douleurs sous morphine intraveineuse, nous passons à un traitement antalgique per os avec bon effet sur la patiente. Après discussion avec la patiente et sa famille, une réhabilitation palliative avant un retour à domicile est préconisée. Des demandes sont faites en ce sens pour Meyrier. Mme. Portmann est transférée à Meyrier le 21.01.2019. Mme. Portmann est hospitalisée dans un contexte de sepsis probablement d'origine urinaire, associé à des douleurs lombaires importantes ainsi qu'un état fébrile. Nous débutons un traitement antibiotique empirique en attendant les résultats de l'Urotube. Cependant, nous ne parvenons pas à isoler un germe. Au vu des antécédents, nous traitons un potentiel ESBL sur une durée de 14 jours comme lors des 2 dernières hospitalisations. Une amélioration clinique et biologique a rapidement lieu. Nous effectuons un bilan d'imagerie ne montrant pas d'abcès au niveau rénal ou de malformations des voies urinaires pouvant favoriser la récidive d'infection. Les douleurs lombaires sont importantes mais gérées avec une antalgie de palier III. Une consultation chez le Dr. X aura lieu le 21.01.2019 à 15h30. Une pancytopénie est également présente dans un contexte mixte de chimiothérapie et de myélome multiple. La patiente fait un passage en agranulocytose afébrile avec résolution spontanée. La chimiothérapie est poursuivie selon le protocole avec une semaine de pause puis reprise du traitement. Nous effectuons 2 transfusions de concentrés érythrocytaires lors de l'hospitalisation. La patiente ira en consultation avec contrôle biologique chez le Dr. X le 16.01.2019. Dans le contexte du myélome multiple, nous constatons une hypercalcémie que nous traitons par l'administration mensuelle de biphosphonates. Mme. Portmann peut rentrer à domicile le 08.01.2019. Mme. Y, une patiente de 17 ans connue pour un trouble anxio-dépressif, est hospitalisée pour prise en charge d'une anorexie et mise à l'abri d'un contexte psycho-social à risque. Elle a présenté une anorexie depuis environ 2 mois faisant suite à une phase plutôt hyperphagique, avec une inappétence prononcée les deux dernières semaines associée à une importante asthénie. Cette problématique survient dans un contexte psycho-social difficile depuis 2 mois, la patiente ayant été avertie d'une procédure pénale avec demande de témoignage contre son père. Dans ce contexte, nous l'hospitalisons pour une mise à l'abri et une réalimentation surveillée. La patiente évolue favorablement avec une alimentation et hydratation en augmentation progressive, avec substitution des électrolytes en prévention d'un refeeding syndrome. Un bilan électrolytique régulier n'a pas montré de trouble particulier. L'appétit de Mme. Y a pu être rétabli progressivement et la médication psychotrope diminuée, avec arrêt du Temesta pré-prandial et diminution du Xanax. Des douleurs abdominales décrites par la patiente pendant le séjour, avec une anamnèse de rapports sexuels non protégés dans le dernier mois ont fait rechercher une éventuelle grossesse ainsi qu'une possible MST. Le bilan s'est révélé rassurant avec VIH sanguin négatif et Chlamydia et Gonocoque urinaires négatifs à la PCR. La patiente a bien été vaccinée contre l'HBV. Un second test sanguin pour exclure avec certitude une infection au VIH est à répéter à un mois. Les douleurs ont évolué favorablement par la suite et ont été mises sur le compte de la reprise alimentaire. Sur le plan psychiatrique, une hospitalisation a été convenue avec la patiente et le psychiatre traitant, afin de prendre en charge la problématique anxio-dépressive et de prévenir une décompensation possible lors du procès approchant. Une prise en charge à la Clinique La Métairie à Nyon est organisée à la demande de la patiente, qui ne souhaitait pas séjourner à Marsens. Au vu de l'évolution favorable sur le plan somatique et en accord avec le psychiatre traitant, la patiente quitte notre hôpital le 23.01.2019 afin de pouvoir fêter son 18ème anniversaire avant son entrée à la Clinique La Métairie prévue au 28.01.2019. La patiente et sa mère ont été informées des mesures à prendre en cas de problème pendant l'intervalle (contact avec le RFSM ou le psychiatre traitant si disponible). Mme. Y préfère un contrôle dans 48 h chez son médecin traitant. Ablation des fils dans 8 à 10 jours. Mme. Y, âgée de 76 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à l'implantation d'une PTH D le 14.11.2018 suite à une fracture Garden III du fémur D le 08.11.2018. Sur le plan social, la patiente vit seule; son fils habite dans un appartement dans le même immeuble à l'étage supérieur. Elle est à la retraite. À l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, elle est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. Présence d'OMI à droite postopératoire. Pansement au coude droit suite à une bursectomie traumatique le 27.11.2018 traitée conservativement. La patiente se mobilise avec un tintébin avec une difficulté pour respecter la décharge. Au MID, la force est cotée à M4 au quadriceps et à M3 au psoas. Au MIG, la force est cotée à M5 au quadriceps et au psoas. La sensibilité grossière est conservée des deux côtés. Au début de l'hospitalisation, Mme. Y a présenté des épisodes d'hypotension artérielle. Son traitement antihypertenseur a été diminué avec un dosage de Lisinopril 5 mg 2x/j (matin et soir) avec une bonne évolution clinique et une tension artérielle stable par la suite. Pendant son séjour, Mme. Y a présenté une bursite au coude droit, suite à la bursectomie traumatique du 27.11.2018. Une ponction de drainage a été effectuée le 21.12.2018 avec évolution favorable. À la sortie, la patiente signale que les douleurs ont diminué et la bursite est en cours de résolution. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises ou un rollator dans tout le périmètre de l'hôpital. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Au MID, la force est cotée à M4 au quadriceps et à M3 au psoas. Après 4 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 04.01.2019, en bon état général. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire.Mme. Progin consulte en présence de sa famille le 02.01.2019 en raison d'une hétéroagressivité, d'hallucinations et d'une décompensation de la situation sociale à domicile. La patiente partiellement orientée, nie la situation décompensée à domicile et est hospitalisée en médecine interne pour faire un bilan neurologique et pour exclure un déclencheur somatique réversible. Le bilan réalisé met en évidence un trouble cognitif, exécutif, de la mémoire et du langage. Le bilan de démence ne met pas en évidence une origine somatique. En vue d'une baisse de la vitamine D sérique, une substitution est commencée par Calcimagon D3. Nous présentons Mme. Progin à nos collègues du service de neuropsychologie pour établir un bilan complet qui nous aide à documenter les troubles cognitifs de la patiente. Après discussion avec vous-même, Mme. Progin et ses filles, nous organisons un séjour à l'UATO en vue d'un possible passage au home. Au vu de l'hypertension et de la maladie coronarienne connue, un traitement par Amlodipine et Aspirine est commencé. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Puerro, patiente de 80 ans, est hospitalisée en médecine interne en raison d'une anémie avec diminution de l'état général. Pour rappel, la patiente est connue pour un carcinome de l'estomac diagnostiqué le 03.12.2018 pour lequel elle est suivie en oncologie par le Dr. X. En raison d'un tableau clinique avancé avec carcinose péritonéale, un traitement par chimiothérapie palliative par 5-FU lui est proposé. La pose du port-à-cath est prévue pour le 25.01.2019 à l'hôpital à Tafers. La patiente est adressée au service des urgences suite à son entretien pré-opératoire dans le service de chirurgie où une anémie avec hémoglobine à 57 g/L est diagnostiquée. Nos collègues au service des urgences complètent le bilan par un ECG et procèdent à une transfusion de 2 CE avec traitement par Pantozol en bolus puis en iv continu. La patiente est transférée en médecine interne pour suite de prise en charge. À l'anamnèse, nous retenons des antécédents de méléna depuis l'automne 2018 avec une péjoration importante depuis 20 jours. À savoir que la patiente avait bénéficié de la transfusion de 3 CE au cours de l'année 2018. Dans ce contexte, nous attribuons l'anémie, de type normocytaire normochrome, à une probable hémorragie digestive haute dans un contexte de carcinome de l'estomac. Sur avis des collègues de la gastro-entérologie, nous ne retenons pas d'indication à effectuer une gastroscopie ou colonoscopie et maintenons le plan thérapeutique par chimiothérapie palliative par 5-FU. La pose d'un port-à-cath étant prévue à Tafers le 25.01.2019, nous proposons à nos collègues du service de chirurgie de procéder à un contrôle de l'hémoglobine et d'évaluer l'indication à une transfusion le jour de la pose de PAC. En cas de persistance des méléna ou apparition d'hématochézie après le traitement par 5-FU, nous recommandons au médecin traitant de prendre contact avec le service de gastro-entérologie afin d'évaluer l'indication à une gastroscopie ou une colonoscopie. À noter qu'en raison d'une nouvelle diminution de la valeur d'hémoglobine, nous procédons à une nouvelle transfusion de 2 CE le 22.01.2019 avec une bonne réponse clinique. Un contrôle de l'hémoglobine révèle une valeur à 107 g/L le 23.01.2019. Un rendez-vous en ambulatoire dans le service d'hémato-oncologie est prévu pour le 31.01.2019 avec contrôle de l'hémoglobine et transfusion en cas de nécessité. À noter l'absence d'extériorisation durant l'hospitalisation. Dans le cadre du traitement oncologique, nous organisons une évaluation nutritionnelle de la patiente qui révèle une malnutrition protéino-énergétique motivant l'introduction d'un SNO 1X/jour. D'un point de vue social, nous organisons en accord avec la patiente des soins à domicile avec spitex à hauteur de deux fois par semaine avec une aide au ménage journalière. En accord avec le médecin traitant et la patiente, nous mettons en place un suivi par voltigo dans le contexte palliatif de la maladie. La patiente est informée qu'en cas de difficulté à la maison, un séjour de réhabilitation à la villa Saint-François peut lui être proposé en fonction des disponibilités. Le cas échéant, la patiente se manifestera auprès de son médecin traitant afin d'organiser les démarches nécessaires. À l'étage, la patiente reste cliniquement et hémodynamiquement stable. Elle ne présente pas de plaintes particulières et rentre à son domicile le 23.01.2019. Elle se présentera en chirurgie à Tafers le 25.01.2019 pour la pose de son port-à-cath. Mme. Pugin, votre patiente de 74 ans, a été prise en charge pour un infarctus du myocarde. En effet, la patiente présente un angor se manifestant par des épigastralgies irradiant dans les deux bras pour lesquelles, elle est conduite aux urgences de notre institution. Les enzymes cardiaques sont en augmentation sans modification à l'électrocardiogramme. Une coronarographie effectuée en urgence met en évidence une lésion sténosante sévère à 70-90 % de la première diagonale. L'artère circonflexe moyenne est occluse, probablement de façon chronique, englobant l'origine de la seconde marginale. La coronarographie permet la recanalisation de la première diagonale qui a pu être dilatée et stentée avec un stent actif avec un bon résultat. La coronaire circonflexe est chroniquement occluse et n'a pas pu être recanalisée. La fonction ventriculaire gauche est conservée. Une double antiagrégation par Aspirine et Clopidogrel est initiée et est à poursuivre pendant une année, puis l'aspirine seule à vie. Une dyslipidémie est mise en évidence et est traitée. Nous recommandons une cible de LDL-cholestérol inférieure à 1.8 mmol/l. Nous proposons de poursuivre le traitement antihypertenseur déjà en place et ajoutons un IEC. D'un point de vue infectieux, la patiente a été initialement insuffisamment traitée avec de l'Augmentin pour une infection urinaire à E. Coli multisensible. Au cours de son hospitalisation, elle présente à plusieurs reprises un état subfébrile avec une majoration du syndrome inflammatoire sans point d'appel infectieux. La patiente est mise au bénéfice de la Rocéphine pour une durée totale de 7 jours. L'hémoculture revient négative. Au vu des comorbidités et de l'état général de la patiente, nous ne retenons pas une indication pour une réhabilitation intensive mais préconisons une prise en charge ambulatoire. La patiente sort ce 23.01.2019 pour un retour en EMS (Home de la Sarine), son lieu de vie habituel. Mme. Pulver est une patiente de 91 ans, connue pour des troubles de la marche et un status après fracture ischio-ilio-pubienne gauche le 24.08.2016, traitée conservativement. En effet, la patiente chute le 12.01.2019 avec réception sur le côté droit, puis se relève avec aide. Depuis, la patiente ressent seulement une douleur en marchant, au niveau de l'aine droite, irradiant en haut de la cuisse antérieure, et elle demande de l'aide pour les changements de position et pour la marche. Autrement, Mme. Pulver ne se plaint pas de douleur au repos et n'a pas de déficit sensitif. Le status à l'entrée est dans les limites de la norme, hormis une légère douleur à la palpation de l'aine droite ; le fémur est indolore à la palpation, mais il y a une légère douleur à la palpation sacrale. La flexion de la hanche droite est légèrement douloureuse et légèrement diminuée, et la rotation interne et externe de cette même hanche est indolore. Le bassin est stable et il n'y a pas de trouble neurovasculaire.Nous effectuons une radiographie du bassin et de la hanche droite, révélant une fracture ischio-ilio-pubienne gauche. Nous prenons l'avis du Dr. X (orthopédiste) qui préconise une hospitalisation en gériatrie aiguë, avec traitement conservateur et complément du bilan par un scanner. Cet examen confirme les fractures et amène la suspicion d'une fracture inférieure de l'aile sacrale gauche. De plus, une collection de 3 cm x 1 cm au niveau de la symphyse pubienne est visualisée, pouvant être compatible avec un hématome. Selon l'avis orthopédique, une mobilisation en charge selon douleurs est préconisée. Lors du séjour en gériatrie aiguë, nous adaptons l'antalgie de la patiente avec l'introduction d'Oxycontin et de Dafalgan en réserve. Mme. Y présente un risque de chute, avec des chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Nous retenons en particulier un déficit multi-vitaminique que nous substituons, un trouble cognitif que nous observons cliniquement, mais que nous n'avons pas eu la chance, hélas, d'évaluer selon des tests cognitifs. En effet, la patiente et surtout son compagnon insistaient pour un retour à domicile le 17.01.2019. Durant son séjour, Mme. Y réalise une physiothérapie de mobilisation en charge complète. Cette dernière nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 42/126, par rapport à 41/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 2/7, escaliers 1/7). Le risque de chute est élevé. Au niveau ergothérapeutique, un bilan modulaire est effectué et conclu de la sorte : au niveau des fonctions cognitives, sur le plan des fonctions intellectuelles de base, il est relevé une mémorisation T à 3/4, CT à 2/4, une remémoration à 3/4, une attention provoquée à 4/4, une orientation dans le temps à 1/4 et dans le grand espace à 2/4. Sur le plan des fonctions instrumentales, remarquons une compréhension à 2/4, une expression à 4/4, une praxie constructive à 2/4, une praxie idéomotrice à 4/4, idéatoire à 4/4, et une somatognosie à 4/4 des 2 mains. Au niveau des fonctions motrices et sensorielles, la mobilité des membres main-nuque est à 4/4, main-omoplate à 4/4 et main-dos à 4/4. Au vu des raisons susmentionnées, une sortie a lieu le 18.01.2019 avec une mise en place de soins à domicile tous les jours dans un premier temps (à réévaluer) ainsi que de l'aide à l'hygiène. Nous prescrivons aussi une série de 9 séances de physiothérapie à domicile que nous vous laissons le soin de reconduire. Mme. Y est une patiente de 39 ans connue pour une obésité sévère de grade II selon l'OMS qui bénéficie d'une sleeve gastrectomie le 21.01.2019. En raison de sa myasthénie grave, la patiente est surveillée aux soins continus pour une surveillance post-opératoire. La surveillance post-opératoire reste sans particularité, sans troubles respiratoires. La patiente peut être transférée à l'étage de chirurgie le 22.01.2019. L'évolution est par la suite favorable et Mme. Y peut retourner à domicile le 25.01.2019. Mme. Y, patiente de 76 ans, connue pour une BPCO sévère Gold IV nécessitant une oxygénothérapie à domicile, est hospitalisée aux soins intensifs le 15.01.2019, pour une exacerbation de sa BPCO, nécessitant une ventilation non-invasive en continu. Au vu de l'amélioration clinique de la patiente, elle est transférée au service de médecine le 17.01.2019 pour la suite de sa prise en charge. La patiente présente une dyspnée depuis quelques jours, surtout le matin après avoir retiré sa VNI nocturne. Elle ne décrit pas d'exacerbation de sa toux et n'est pas fébrile. À noter un traitement antibiotique empirique entre le 03.01 et le 13.01.2019, dans le cadre d'une probable pneumonie. Sur le plan pulmonaire, la patiente bénéficie d'une VNI aux soins intensifs durant 2 jours et d'inhalations de stéroïdes et de bronchodilatateurs. Nous poursuivons les inhalations de bronchodilatateurs à l'étage de médecine interne, jusqu'au 18.01.2019. L'état clinique et les valeurs biologiques de la patiente s'améliorent rapidement. Au niveau cardiologique, la fibrillation auriculaire tachycarde retrouvée à son arrivée est cardioversée spontanément après l'administration de bêta-bloquants IV. Une ETT est réalisée et retrouve une hypertension pulmonaire sévère et une bonne fonction ventriculaire droite et gauche. Le laboratoire montre une élévation des pro-BNP et la radiographie thoracique retrouve des signes de surcharge. Nous suspectons donc une décompensation cardiaque surajoutée pour laquelle un traitement diurétique est introduit avec perte d'1 kg 500 sur le séjour. Une poursuite de l'anticoagulation et un contrôle rythmique par Métoprolol permettent une bonne évolution de la clinique. Au vu de sa bonne évolution clinique et biologique, la patiente est transférée à Billens le 28.01.2019 pour une réadaptation respiratoire. Mme. Y est une patiente de 57 ans, qui nous est adressée par son médecin traitant en raison d'un pneumothorax. La patiente est en cours d'investigations pour un NSCLC et a bénéficié d'une résection pulmonaire le 20.12.18 à l'Inselspital. Elle décrit une dyspnée progressive depuis le 25.12.2018, actuellement à la parole avec une toux sèche et également des douleurs thoraciques latéro-thoraciques droites respiro-dépendantes. Le CT-scan thoracique met en évidence un hydro-pneumothorax de 4 cm au niveau apical gauche. La patiente est hospitalisée pour une surveillance respiratoire et bénéficie d'un traitement conservateur avec une physiothérapie respiratoire, une antalgie et des aérosols. L'évolution est lentement favorable avec une légère amélioration de la dyspnée et le contrôle des douleurs. La radiographie thoracique du 30.12.18 montre une légère amélioration du pneumothorax. Au vu d'une dyspnée persistante, chez une patiente également connue pour un tabagisme et un emphysème centro-lobulaire, nous reclassons Mme. Y le 07.01.2019 en attente d'une place de réadaptation respiratoire à l'hôpital de Billens. Mme. Y est hospitalisée pour la prise en charge d'une suspicion d'infection urinaire. Elle a présenté dans un contexte peu clair, une chute sur malaise de cause indéterminée. Elle a par la suite présenté des douleurs lombaires en loge rénale droite associées à une sensibilité sus-pubienne, mais sans EF observé. Concernant le malaise, la patiente n'est pas connue pour arythmie et l'ECG d'entrée est normal. Nous effectuons un ultrason cardiaque qui revient sans anomalie. La cause du malaise reste indéterminée. Nous suspectons une cause vagale sur les douleurs lombaires. Nous constatons également un syndrome inflammatoire et un sédiment sale chez une patiente afébrile, motivant une antibiothérapie IV puis per os pour une durée totale de 7 jours. L'urotube revient non contributif. Une imagerie par CT abdominale est effectuée à son arrivée, sans étiologie retenue. Lors de l'hospitalisation, nous constatons un épisode d'hématémèse sans répercussion hémodynamique ou de chute de l'hémoglobine. Au vu du deuxième épisode, nous effectuons une OGD ne montrant pas d'anomalie. Des biopsies ont été effectuées et reviennent négatives pour l'Helicobacter Pylori et également négatives pour une métaplasie, dysplasie ou néoplasie. Nous demandons un avis neurologique au vu de la présence de mouvements anormaux et d'un traitement psychotrope non conventionnel. Une suspicion de dyskinésies sur traitement médicamenteux est évoquée. Nous adaptons le traitement neuroleptique et conseillons l'instauration d'un neuroleptique atypique en lieu et place du Risperdal. La patiente devra rapidement reprendre contact avec ses médecins au Portugal à son retour.Mme. Queiros peut rentrer à domicile le 04.01.2019. Mme. Raboud est amenée aux urgences en ambulance le 31.12.2018 suite à une chute de sa hauteur à domicile, sur perte de force le 30.12.2018, sans traumatisme crânien et avec station prolongée au sol de plus de 48 heures. A l'arrivée des ambulanciers, appelés par une amie de la patiente venue lui rendre visite, Mme. Raboud est bradycarde à 53/min, avec une glycémie dans la norme. La patiente décrit des douleurs musculaires généralisées ainsi que thoraciques mécaniques et respiro-dépendantes. A l'examen clinique d'entrée, douleurs diffuses à la palpation de la cage thoracique, prédominantes en antéro-gauche, ainsi qu'un hématome au niveau du genou gauche, sans impotence fonctionnelle. Le reste de l'examen clinique, notamment cardiaque et neurologique, est sans particularité. Le bilan biologique révèle un syndrome inflammatoire avec CRP à 339 mg/l et leucocytose à 18.7 G/l, une rhabdomyolyse avec CK à 7342 U/l ainsi qu'une légère perturbation des tests hépatiques. La patiente est hospitalisée pour prise en charge de la rhabdomyolyse sans atteinte rénale, dans le contexte de la station prolongée au sol. Une hydratation parentérale est débutée avec diminution progressive des valeurs de CK durant le séjour. Au vu du syndrome inflammatoire ainsi que d'une toux anamnestique à l'entrée, une antibiothérapie par Rocéphine et Klacid est débutée. Cependant, au vu de l'absence d'arguments cliniques et radiologiques pour une pneumonie et une leucocyturie avec urotube positif pour un E. Coli, une infection urinaire compliquée est finalement retenue avec poursuite seule du traitement par Rocéphine durant 7 jours. L'évolution clinique est favorable avec diminution du syndrome inflammatoire. Sur le plan orthopédique, nous retenons le diagnostic de contusions costales, traitées par antalgie et physiothérapie respiratoire. Sur le plan cardiaque, une hypertension artérielle nouvelle est diagnostiquée, traitée par Amlodipine 5 mg 1x/j. Sur le plan gériatrique, la patiente décrit depuis la chute une importante faiblesse globale ainsi qu'une anxiété, rendant difficile un retour à domicile immédiat. Le bilan gériatrique de routine montre une hypovitaminose D modérée, avec valeurs de B12 et d'acide folique dans les normes. Sur le plan social, la patiente habite seule, sans soins à domicile, mais elle exprime le souhait de rejoindre directement un établissement médico-social. Cependant, nous jugeons que les critères pour un transfert immédiat en institution ne sont pas remplis. La patiente bénéficie ainsi d'une physiothérapie de mobilisation avec transfert en réadaptation gériatrique le 14.01.2019 pour suite de prise en charge, avec proposition de nouvelle évaluation sociale à distance de l'épisode aigu. Sur le plan psychiatrique, la patiente relate une anxiété importante ainsi que des troubles du sommeil, pour lesquels nous prenons l'avis psychiatrique du Dr. X, chez une patiente connue pour des troubles anxio-dépressifs, traitée par Deanxit depuis longue date, suspendu à l'entrée. Le traitement habituel par Seresta est poursuivi et de la Distraneurine 2x/j est introduite à titre d'anxiolyse. L'introduction d'un nouveau traitement psychotrope pourra être évaluée lors du séjour en réadaptation. Enfin, sur le plan gastro-entérologique, la patiente décrit des épigastralgies en péjoration, avec sensation de dysphagie. Un test de la déglutition se révèle dans la norme avec poursuite du traitement habituel par Pantozol, majoré à 2x/j et Ulcar en réserve. L'évolution clinique est favorable avec diminution des symptômes cliniques. Mme. Raboud est transférée dans le service de réadaptation gériatrique le 14.01.2019 pour la suite de la prise en charge. Mme. Raemy est une patiente de 68 ans, envoyée depuis la clinique Hirsladen aux urgences de Tavel le 05.01.2018 pour des douleurs en hypochondre droit récidivantes, continues depuis 24 heures, accompagnées de selles claires et d'urines foncées. La patiente présente ces douleurs depuis fin décembre et lors de sa consultation à la clinique Hirsladen, un bilan biologique effectué montre une perturbation globale des tests hépatiques, et un ultrason met en évidence une cholélithiase avec dilatation du cholédoque jusqu'à 12 mm. La patiente nous est donc transférée dans ce contexte en vue d'effectuer une ERCP, qui permet l'extraction de 2 concréments. Par la suite, nous réalisons une cholécystectomie laparoscopique le 07.01.2019 qui se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples et afébriles, permettant un retour à domicile le 09.01.2019. Nous laissons le soin à la patiente de prendre contact chez son médecin traitant pour l'ablation des fils à 12 jours post-opératoire. Mme. Raemy présente des rectorragies nouvelles le 14.01.19 sans douleur abdominale avec un malaise associé à une perte de connaissance d'environ 30-60 secondes. Une chute d'origine mécanique avec réception sur les fesses se produit encore à l'arrivée à l'hôpital. Au status, le toucher rectal montre la présence de sang frais. La patiente est donc hospitalisée pour une hémorragie digestive probablement basse. La colonoscopie du 15.01.19 montre une diverticulose colique calme sans saignement actif ainsi qu'un polype pédiculé de 15 mm au niveau sigmoïdien réséqué ainsi qu'une tumeur au niveau du rectum proximal à 10-15 cm de la marge anale. Des biopsies ont été effectuées. Le saignement provient très probablement des diverticules. Par la suite, l'évolution est favorable sans récidive de rectorragie et des contrôles d'hémoglobine stables. Concernant la masse rectale, les résultats histopathologiques montrent un adénocarcinome moyennement différencié. Au vu du contexte de démence avancée chez une patiente institutionnalisée, nous vous proposons d'organiser une consultation avec la patiente et sa famille afin de discuter des résultats des biopsies, discuter d'un projet thérapeutique et organiser le bilan d'extension en fonction (CT-scan, IRM pelvienne notamment). Le malaise présenté le 14.01.19 est le plus probablement d'origine hypovolémique. Nous retenons des contusions des hanches des deux côtés suite à la chute du 14.01.19 grâce à des radiographies ne montrant pas de fracture. Nous introduisons un traitement antalgique que nous vous proposons d'adapter en fonction des douleurs. Au vu de la bonne évolution clinique, Mme. Raemy peut regagner l'EMS le 17.01.2019. Nous proposons une reprise de l'Aspirine cardio prophylactique une semaine après l'épisode aigu, ainsi qu'une prise de sang ce lundi (21.01.19) pour le contrôle de l'hémoglobine. Mme. Ramos, votre patiente de 31 ans, connue pour intolérance au lactose et une gastrite à H. Pylori traitée, consulte aux urgences le 26.01.2019 pour persistance et péjoration des douleurs abdominales pour lesquelles elle s'est déjà présentée aux urgences trois jours plus tôt. Le diagnostic d'une gastro-entérite virale était alors retenu. À son admission, la patiente se décrit la péjoration de ses symptômes avec des douleurs crampiformes, d'apparition soudaine, diffuses, à prédominance péri-ombilicale avec irradiation en fosse iliaque droite. Ces douleurs semblent associées à plusieurs épisodes quotidiens de selles liquides et de vomissements en post-prandial immédiat. Notons une notion de contage dans son entourage immédiat. À l'examen clinique, l'auscultation abdominale est inchangée avec des bruits diminués en fréquence et en tonalité; la percussion et la palpation montrent un abdomen diffusément sensible, avec défense et détente du flanc droit et de la zone péri-ombilicale et un point de McBurney douloureux. Les loges rénales sont également douloureuses à droite avec irradiation inguinale droite.Le laboratoire montre une légère péjoration de son syndrome inflammatoire initial avec des analyses d'urine tout à fait rassurantes. L'US et le CT-Scan abdominal permettent d'écarter une appendicite. Les analyses des selles reviennent négatives pour une infection bactérienne. Les tests de grossesse sont négatifs. La patiente est mise au bénéfice d'une antibiothérapie par ciproxine que nous arrêtons au vu des résultats négatifs de la coproculture. Après une hydratation avec surveillance clinique et biologique d'évolution tout à fait favorable, la patiente peut retourner à domicile ce 29.01.2019 avec poursuite de la prise en charge habituelle par vos soins. Mme. Y, âgée de 71 ans, connue pour une BPCO stade III selon Gold, nous est adressée par le HIB Payerne pour une réadaptation respiratoire suite à une pneumonie rétrocardiaque gauche et basale droite à germe indéterminé dans un contexte de tabagisme actif, le 05.12.2018. Sur le plan social, la patiente vit seule à domicile avec passage des soins à domicile. Au status, diminution du murmure respiratoire, D>G. Pas d'OMI. La patiente est connue pour un hémisyndrome brachio-crural G suite à un AVC ischémique aigu du territoire sylvien droit en 2014. La force est conservée à M5 au MSD et aux MI. Troubles de l'équilibre à la marche. La gazométrie à l'entrée montre une capnie à la limite supérieure et un excès de bicarbonates. Nous répétons l'examen le 21.12.2018 qui démontre une amélioration. À la radiographie du thorax, on retrouve une hyperinflation thoracique associée à une oligémie périphérique, un épaississement bronchique et une horizontalisation des arcs costaux compatible avec le contexte de BPCO connue. Le 22.12.2018, la patiente chute de sa hauteur avec sensation de malaise avec réception sur le côté gauche avec notion de traumatisme crânien sans perte de connaissance. La patiente se plaint d'une douleur à 10/10 à la hanche gauche avec rotation externe et raccourcissement du MIG au status. Pas de déficit sensitif du MIG, pouls présent. Nous mettons en place une voie veineuse pour antalgie avec pose de 1g de Paracétamol. Mme. Y est alors transférée aux urgences de l'HFR Fribourg pour investigations et prise en charge spécialisée. Mme. Y est hospitalisée électivement le 20.11.2018 dans notre service de médecine interne pour une chimiothérapie de consolidation (FLAG-Midostaurine) dans le contexte d'une leucémie myéloïde aiguë secondaire à une néoplasie myéloproliférative de type PV. Elle avait déjà séjourné dans notre service pour induction (et réinduction) du 20.09. au 09.11.2019 de cette année. À l'entrée, la patiente est asymptomatique. La chimiothérapie de consolidation est initiée le 20.11.2018, sans complication immédiate. Les prophylaxies idoines sont réintroduites, respectivement poursuivies, en prévision d'une nouvelle agranulocytose. Celle-ci survient le 28.11.2018 et se complique d'un état fébrile le 30.11.2018. En l'absence de foyer clinique ou radiologique (thorax) et après prélèvement d'hémocultures et de cultures d'urine, un traitement intraveineux de Céfépime est introduit le 30.11.2018 et stoppé le 18.12.2018. L'évolution est favorable. Au niveau hématologique, Mme. Y reçoit 11 CE et 3 CP dans le cadre de la pancytopénie chimio-induite. Au vu de l'agranulocytose prolongée, un traitement de Neupogen est initié le 20.12.2018, permettant la sortie d'agranulocytose le 26.12.2018. Au vu du bon état général de la patiente, Mme. Y rentre à domicile le 28.12.2018. Elle sera revue à la consultation du Dr. X le 31.12.2018 pour un contrôle biologique. Concernant la greffe, la patiente est convoquée pour une information aux HUG le 02.01.2019 et une hospitalisation élective est prévue le 07.01.2018 aux HUG afin d'effectuer le bilan pré-greffe. Mme. Y, patiente de 61 ans, est admise aux soins intensifs le 23.01.2019 dans un contexte de sepsis sur pyélonéphrite obstructive gauche. Aux soins intensifs, la patiente est hémodynamiquement stable, mais tachycarde et fébrile. Suite à la levée de l'obstruction par sonde double J, l'introduction de Ceftriaxone et la surveillance hémodynamique, elle est transférée le 24.01.2019 au service de médecine interne pour la suite de sa prise en charge. Sur le plan urologique, le CT abdominal réalisé retrouve des signes de pyélonéphrite gauche et une obstruction lithiasique de l'uretère proximal. L'antibiothérapie est changée par de la Ciprofloxacine le 25.01.2019 au vu de l'antibiogramme. La durée totale de traitement est de 14 jours (jusqu'au 08.02.2019). Une consultation chez le Dr. X (urologue) est prévue le 12.02.2019 à 14h45 afin de planifier l'ablation de la sonde Double-J. Au niveau pneumologique, nous retrouvons un nodule pulmonaire centimétrique en base postéro-basale droite lors du CT abdominal à l'admission de la patiente. Un CT thoracique retrouve d'autres micro-nodules dans le lobe supérieur droit, le lobe moyen et inférieur à gauche. Un suivi radiologique par CT à 2 mois nous semble indiqué. Au vu du tabagisme actif de la patiente et de l'aspect emphysémateux des poumons, nous vous proposons également de réaliser des fonctions pulmonaires à distance, afin de confirmer la suspicion d'une BPCO sous-jacente. Sur le plan dermatologique, au vu du nombre important de naevi que présente la patiente et de l'aspect des nodules pulmonaires retrouvés au CT, nous recommandons un avis dermatologique en ambulatoire. Sur le plan cardiologique, une tachycardie sinusale est mise en évidence. L'ECG est dans la norme. Un bilan du laboratoire permet d'exclure une hyperthyroïdie. Après discussion avec nos confrères de cardiologie, nous introduisons un traitement par bêtabloquants que nous vous proposons d'adapter selon l'évolution clinique. Au vu de sa bonne évolution clinique et biologique, Mme. Y rentre à domicile le 29.01.2019. Mme. Y, 61 ans, est admise aux soins intensifs pour un sepsis sur pyélonéphrite obstructive gauche lithiasique le 23.01.2019. La patiente est adressée par son médecin de famille aux urgences pour des douleurs abdominales gauches depuis le 20.01.2019 et des frissons depuis le 22.01.2019. Elle est hémodynamiquement stable mais tachycarde et fébrile. Le bilan retrouve une pyélonéphrite aiguë gauche. L'antibiothérapie est débutée par Ceftriaxone avec mise en place de sonde double J au bloc opératoire. La surveillance aux soins intensifs est favorable avec une tachycardie persistante sans autres signes septiques, motivant l'introduction d'un traitement par bêtabloquant à petite dose. À noter la visualisation au CT abdominal d'un nodule pulmonaire centimétrique de la base postéro-basale droite qui reste dans ce contexte tabagique suspect pour lequel un avis pneumologique sera nécessaire. Mme. Y nous est adressée dans le contexte d'un AIT sylvien G pour lequel une sténose de la carotide interne gauche estimée à 75% est mise en évidence lors du bilan étiologique. C'est pourquoi, l'indication à une TEA carotidienne avec plastie d'élargissement est posée. L'intervention est effectuée le 14.01.2019 sans complication per-opératoire. En post-opératoire, elle développe un hématome en regard de la cicatrice pour laquelle une reprise de la cicatrice avec évacuation de celui-ci est effectuée le jour même. Par la suite, la patiente évolue favorablement avec un œdème péri-cicatriciel sans dyspnée qui est stable pendant l'hospitalisation. Elle décrit une légère modification de la voix suite à la 2ème intervention pendant laquelle une intubation avait été effectuée, c'est pourquoi nous demandons un contrôle ORL montrant une inflammation et un kyste au niveau de l'épiglotte et une inflammation de la corde vocale gauche pour laquelle il est proposé des bains de bouche et un suivi clinique.Mme. Y rentre à domicile, le 18.01.2019. Mme. Y, 79 ans, a été hospitalisée en unité stroke monitorisée suite à un accident ischémique transitoire (AIT) sylvien gauche sur une sténose de 75% de l'artère carotide interne gauche. La patiente est connue pour un antécédent d'accident vasculaire cérébral (AVC) d'origine indéterminée en 2015, actuellement sous Aspirine cardio. Elle a consulté les urgences de Riaz le 10.01.2019 pour un épisode de mutisme de 10 à 15 secondes avec une élocution saccadée par la suite. Une IRM cérébrale a mis en évidence une sténose subocclusive de l'artère carotide interne gauche. Sur avis neurologique, une charge de Clopidogrel a été administrée et la patiente a été transférée en unité stroke de Fribourg. L'AIT a été attribué à la sténose de l'artère carotide interne gauche, sans déficit neurologique récidivant. Une double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine et Clopidogrel a été poursuivie dès le 11.01.2019. L'échocardiographie transthoracique n'a pas mis en évidence de substrat cardio-émbolique. Un enregistrement ECG-Holter a été demandé. Un phénomène épileptique séquellaire sur l'AVC survenu en 2015 pouvant aussi expliquer les symptômes, un électroencéphalogramme a été effectué (rapport en cours). La sténose de 75% de l'artère carotide interne gauche sera traitée par thrombendartériectomie en électif le lundi 14.01.2019. L'opération est réalisable sous double anti-agrégation plaquettaire. Un souffle audible au foyer aortique a été attribué à une sclérose valvulaire aortique et une minime insuffisance mitrale. Une dyslipidémie avec un LDL-cholestérol à 4.49 mmol/l est constatée sous traitement habituel de Pravastatine. Une adaptation de ce traitement sera à évaluer à distance de l'épisode aigu ainsi qu'une mesure de l'hémoglobine glyquée. La patiente est transférée le 11.01.2019 dans le service de chirurgie. Mme. Y est hospitalisée en électif pour une cure d'Intratect suivie par le Dr. X pour une CIDP. Elle a bénéficié de 2 cures ces deux derniers mois. Elle se plaint principalement de douleurs dorsales et au niveau de la ceinture scapulaire, traitée par une antalgie de palier III. D'un point de vue neurologique, nous notons uniquement une faiblesse au niveau de la jambe droite et du bras gauche, connue sur séquelles de poliomyélite. Le traitement se déroule sans complications. Une consultation chez le Dr. X est convenue lors de cette hospitalisation afin d'effectuer un suivi électroneurophysiologique. Celui-ci montre une légère amélioration de la conduction nerveuse. La patiente refuse le traitement d'Imurek ainsi qu'une réhabilitation intensive. Il est décidé de diminuer le traitement de Prednisone et d'introduire du Cymbalta pour traiter la composante neurologique de la douleur. Une nouvelle cure en électif de 2 jours est prévue dans 1 mois. Par la suite, une nouvelle cure sera agendée puis une thérapie en ambulatoire à Meyrier devra être organisée. Lors de la prochaine hospitalisation, un avis rhumatologique et anesthésique pourra être demandé afin de traiter optimalement les douleurs. Un avis infectiologique concernant la pertinence du traitement de Bactrim pourra également être demandé. Mme. Y peut rentrer à domicile le 18.01.2019. Mme. Y est hospitalisée en électif pour une baisse d'état général. Elle se plaint principalement de fatigue, dysphagie et de vertiges. Elle est suivie par le Prof. X pour un cancer du sein métastatique. Nous effectuons une IRM cérébrale montrant une majoration de la taille des métastases ainsi que de nouvelles lésions. Les radio-oncologues ne retiennent pas d'indication à un nouveau traitement étant donné que les lésions cérébrales n'expliquent pas la symptomatologie. La suite de la prise en charge oncologique se fera au cabinet du Prof. X le 29.01.2019. Nous bilantons la dysphagie par un transit baryté. Celui-ci montre une hypo contractilité des muscles pharyngés ainsi que des fausses routes. Avec l'équipe de diététique et de physiothérapie, nous instaurons une alimentation entérale et une surveillance de la dysphagie. Durant le séjour, nous constatons des progrès permettant la reprise d'une alimentation per os en complément de la nutrition entérale. Nous effectuons un bilan montrant un syndrome inflammatoire associé à une auscultation pulmonaire pathologique. Une radiographie confirme le diagnostic de pneumonie pour laquelle nous introduisons une antibiothérapie. Les hémocultures reviennent négatives. L'évolution est favorable. Nous proposons à Mme. Y, un séjour à la villa St-François en vue d'un retour à domicile. Après discussion avec son époux également, il est convenu que ce serait la meilleure option dans cette situation. Mme. Y est transférée à la villa St-François le 24.01.2019. Mme. Y, patiente de 53 ans connue pour une polyarthrite rhumatoïde sous traitement de Prednisone au long cours est adressée par les soins intensifs de Fribourg dans le cadre d'une méningo-encéphalite se compliquant par une hypertension intracrânienne et engagement cérébelleux par le foramen magnum ayant nécessité une dérivation ventriculo-externe et une craniectomie occipitale, avec nécessité d'intubation. Elle montre une évolution lentement favorable. À son entrée, la patiente montre un état de vigilance fluctuant et une tétraparésie avec un GCS à 12. Elle montre rapidement une bonne évolution avec un état de vigilance normal, une amélioration de sa communication et sa compréhension. Elle bénéficie d'un consilium logopédique qui retient l'indication à une pose de PEG en raison d'un important trouble de déglutition. La PEG est posée le 28.12.2018. Nous mettons en place de la physiothérapie et de l'Ergothérapie. Au cours de son séjour, la patiente se plaint de douleurs difficilement identifiables au vu du changement de localisation dans le temps. Nous suspectons une douleur abdominale en lien avec la sonde naso-gastrique et administrons du Nexium 40 mg avec bonne évolution qui permet son arrêt. Mme. Y est transférée le 04.01.2019 en neuroréhabilitation. Mme. Y est une patiente de 48 ans, qui est hospitalisée dans notre service de chirurgie pour prise en charge d'un abcès sigmoïdien avec probable fistule entéro-vésicale dans le cadre d'une diverticulite aiguë Hansen Stock 2b. La patiente bénéficie d'un drainage de l'abcès avec mise en place d'un drain de Pigtail le 02.01.2019 ainsi que d'une antibiothérapie en intraveineux dès le 31.12.2018. Lors du scanner de contrôle effectué le 08.01.2019, on trouve une bulle d'air au sein de la vessie sans fistule entérovésicale apparente. Cependant, un test au bleu de méthylène par le drain de Pigtail effectué le 08.01.2019 est positif. Dans ce contexte et en vue de la chimiothérapie néo-adjuvante en attente, il est décidé d'une prise en charge chirurgicale. La patiente bénéficie d'une résection sigmoïdienne selon Hartmann le 09.01.2019 et d'une sonde vésicale à demeure. La cystographie de contrôle effectuée le 17.01.2019 montre une bonne étanchéité de la vessie, permettant une ablation de la sonde vésicale le 17.01.2019 et un retour à domicile le 19.01.2019 avec des soins à domicile pour prise en charge de la stomie. La patiente sera vue à la consultation du Dr. X la semaine prochaine afin de reprendre le traitement néo-adjuvant dès que possible. Le rétablissement de la continuité pourra avoir lieu une fois le traitement pour le cancer mammaire terminé, c'est-à-dire post-mastectomie et éventuelle chimiothérapie adjuvante. Nous vous prions de reprendre contact avec notre secrétariat de chirurgie en temps voulu.Mme. Risse, patiente de 59 ans, connue pour polyarthrite rhumatoïde et fibromyalgie, consulte le 03.12.2018 amenée en ambulance pour de fortes douleurs lombaires, irradiant dans les 2 flancs, apparues subitement après s'être relevée de la position fléchie en avant. La patiente décrit des douleurs à 8/10, constantes, péjorées lors de mobilisation, bien localisées, sans trouble sensitivo-moteur nouveau au niveau des jambes. Le status d'entrée montre une patiente algique, avec une palpation lombaire haute douloureuse, une force M4+ au niveau du membre inférieur gauche et une hypoesthésie de la face externe de la jambe gauche déjà connue selon la patiente (depuis une intervention cardiaque). Un CT abdominal montre une dissection aortique abdominale chronique connue chez la patiente (stable depuis mars 2018) ainsi qu'une fracture-tassement de L1. Nos collègues de la Team Spine ne retiennent pas d'indication à une opération en urgence et la patiente est hospitalisée pour antalgie. Le lendemain, une radiographie lombaire debout montre une perte de hauteur du mur supérieur de L1 sans conisation de la vertèbre et une prise en charge conservatrice est décidée au vu des images et des comorbidités de la patiente. La patiente bénéficie de physiothérapie et d'antalgie, visant à améliorer sa mobilité avec bon effet. Le bilan biologique montre également un déficit en vitamine D important, que nous substituons. Au vu des circonstances atraumatiques de l'incident, un traitement par Alendronate pourrait être envisagé après un bilan dentaire (patiente connue pour un antécédent d'abcès avec douleurs intermittentes), ainsi qu'une densitométrie osseuse (DXA) en ambulatoire. Mme. Risse est transférée le 10.12.2018 en gériatrie aiguë à Meyriez en vue d'une réhabilitation musculo-squelettique. Mme. Robellaz, patiente de 89 ans, connue pour fibrillation auriculaire sous Sintrom et troubles de la marche avec chutes à répétition, est réhospitalisée ce jour dans notre service de gériatrie aiguë, où elle venait de terminer un séjour du 05.01.2019 au 16.01.2019 en raison d'un état confusionnel aigu sur infection urinaire basse, troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle et chutes à répétition (contexte infectieux, anémie, troubles cognitifs), et d'une anémie hypochrome microcytaire à 107 g/l d'hémoglobine. Selon la fille de la patiente, depuis sa chute à l'hôpital de Riaz le 11.01.2019, sa maman se plaint de douleurs lombaires et d'un hématome au sacrum en augmentation. De plus, la patiente éprouve de la difficulté à se mobiliser, et sa fille signale un hématome lombaire en augmentation. En effet, Mme. Robellaz se plaint de douleurs lombaires à la mobilisation, sans trouble sphinctérien, diminution de force ou de la sensibilité. Le status à l'entrée est dans la norme mis à part un hématome lombaire descendant jusqu'à la hanche gauche et aux plis inguinaux ainsi qu'un hématome aux deux bras; il n'y a pas d'hématome observé au niveau du crâne. Nous réalisons donc un bilan biologique qui écarte un syndrome inflammatoire, et relève une hémoglobine à 71 g/l, stable par rapport à la sortie de la gériatrie le 16.01.2019, un INR sous-thérapeutique à 1.2 et un stix urinaire mettant en évidence des leucocytes et pas de nitrites. Nous effectuons également une radiographie lombaire et du coccyx le 18.01.2018, qui écarte toute fracture. Concernant l'anémie, Mme. Robellaz profite de la transfusion de 2 culots érythrocytaires le 19.01.2019 et d'1 culot érythrocytaire le 20.01.2019. Une recherche de sang occulte dans les selles s'avère positive. Le dernier contrôle de l'hémoglobine le 25.01.2019 constate une hémoglobine à 96 g/l. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués lors du séjour précédent (le 08.01.2019) montraient des performances altérées avec un MMSE 20/30 et un test de la montre à 0/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élevait à 4/15. Nous avions d'ailleurs agendé des tests neuropsychologiques pour le 05.03.2019 à 14h à HFR Billens, avec comme hypothèse diagnostique un début de démence. Malheureusement, la fille de la patiente a déclaré vouloir les annuler. Durant son séjour, Mme. Robellaz effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche seule et à l'aide d'un rollator est de 100 mètres. Cette dernière peut gravir 12 marches sans accompagnement avec main courante. Elle nécessite de l'aide partielle pour les soins. Sa seule mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 76/126. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 29 secondes avec rollator. Le risque de chute est élevé car la patiente oublie souvent son moyen axillaire au vu de ses troubles cognitifs susmentionnés. À noter qu'une réflexion sur l'anticoagulation avec un Has-bled à 2, Chads-vasc à 5, nous fait opter pour un maintien du Sintrom. Nous vous laissons le soin de réévaluer cette médication en ambulatoire. Le 29.01.2019, nous débutons un séjour en réadaptation gériatrique dans le but de consolider les acquis de la patiente. À savoir encore que nous avons communiqué à la famille de la patiente notre inquiétude quant à la fragilité de la situation à domicile. Mme. Roelli, patiente de 53 ans connue pour une hypertension artérielle traitée, est hospitalisée dans le contexte de douleurs abdominales. L'anamnèse révèle l'apparition le 16.12.2018 au réveil de douleurs abdominales diffuses en coliques, d'intensité entre 5-7/10, sans autre symptomatologie. L'examen physique met en évidence une sensibilité à la palpation profonde de l'épigastre et dans tout le bas ventre (D>G), sans péritonisme. La patiente bénéficie d'un ultrason et d'un scanner abdominal mettant en évidence une possible colite descendante ainsi qu'une légère sténose du tronc coeliaque sur une empreinte du ligament arqué. La patiente bénéficie d'une antalgie adaptée. Les douleurs s'amendent spontanément. Nous vous proposons de réaliser un US abdominal supérieur en cas de récidive et d'évaluer l'origine vasculaire des douleurs, que nous considérons comme peu probable au niveau de la faible sténose. Au vu de l'évolution clinique et biologique de la patiente, elle rentre à domicile le 17.12.2018 en bon état général. Mme. Rognon est transférée le 30.11.2018 en réadaptation musculo-squelettique depuis la gériatrie de la Chaux-de-Fonds pour suite de prise en charge après une fracture de la branche ischio-ilio-pubienne gauche avec atteinte du cotyle dans sa partie inférieure et antérieure le 16.11.2018. À l'entrée, la patiente se plaint de nausées depuis deux jours, sans vomissements ainsi que de selles diarrhéiques; elle n'a pas eu de traitement antibiotique les dernières semaines, n'a pas mal au ventre et n'a pas de fièvre. Elle a des douleurs sur la face latérale au niveau de la hanche à la mobilisation. À l'examen se montre une patiente en bon état général. Le status cardiopulmonaire met en évidence des œdèmes des membres inférieurs qui sont bandés. Les status abdominal et neurologique sont dans la norme. La marche est douloureuse. Avant l'hospitalisation, la patiente habitait seule dans un appartement et n'utilisait pas de moyens auxiliaires. Elle avait une femme de ménage et avait la Spitex pour les douches deux fois par semaine ainsi que les repas à domicile. Concernant les fractures multiples du bassin, les douleurs sont d'évolution favorable, ce qui nous permet une antalgie simple au besoin au retour à domicile. Le contrôle radiologique du 20.12.2018 a montré une progression des signes de consolidation (majoration d'un cal osseux), sans déplacement secondaire significatif.Au cours du séjour, elle présente des douleurs nouvelles au mollet gauche mais un US-doppler effectué par un angiologue (Dr. X) permet d'exclure une thrombose veineuse profonde. Nous prescrivons des bas de contention pour soulager les œdèmes chroniques des membres inférieurs. A l'entrée, il subsiste une diminution importante de la mobilité avec un risque de chute important. La patiente fait les transferts avec aide (MIF 4). Elle marche à l'aide d'un tintebin sous supervision (MIF 2). Les escaliers ne sont pas réalisables (MIF 1). Le Tinetti est mesuré à 9/28 avec tintebin. La patiente bénéficie d'exercices de physiothérapie et d'ergothérapie qui améliorent en partie sa mobilité. A la sortie, il subsiste une discrète diminution de la mobilité avec un risque de chute éventuelle. La patiente fait les transferts seule (MIF 6). Elle marche à l'aide d'un rollator (MIF 6), avec une distance de marche d'environ 120 mètres. Elle n'arrive pas à monter les escaliers (MIF 1), mais elle n'a pas de marche à monter à la maison. Le Tinetti est mesuré à 24/28 avec Rollator. Il persiste l'indication à des séances de physiothérapie ambulatoire. En raison d'une mobilité pas encore optimale pour un retour à domicile, Mme. Y est transférée pour une convalescence à l'EMS des Charmettes (NE) pour un court séjour avant un retour à domicile. Mme. Y, 86 ans, nous est adressée le 31.12.2018 par le service de Neurologie de l'HFR Fribourg suite à un déconditionnement post-AVC ischémique aigu médio-temporal gauche, incluant le bras postérieur de la capsule interne gauche. A l'entrée, la patiente exprime son souhait de ne pas rester à l'hôpital, n'est pas très collaborante à l'anamnèse et refuse l'examen physique. Le NHISS est estimé à zéro. Après discussion avec la patiente et sa famille (mari et fille) de l'importance d'une réadaptation, la patiente accepte de rester et de participer aux thérapies. La patiente est mariée, vit avec son mari dans un appartement au deuxième étage desservi par ascenseur. Elle est partiellement autonome et reçoit l'aide de son mari pour les activités quotidiennes. Elle se déplace avec un rollator à l'extérieur. L'aide ménage passe deux fois par mois. La patiente ne conduit plus à cause d'une dégénération maculaire diagnostiquée depuis longtemps. A l'entrée, la mobilisation de la patiente était fortement réduite avec un risque de chute prononcé, avec un test Tinetti à 10/28 au rollator. La patiente nécessitait de l'aide de type contact pour les transferts (MIF 4) et à la marche ; 30 mètres avec un rollator était possible seulement avec une aide prononcée (MIF 2). La patiente a profité d'une physio- et ergothérapie intensive, avec entraînement de l'équilibre, renforcement musculaire des membres supérieurs et inférieurs et entraînement de la marche. Pendant son séjour, la patiente chute de son hauteur et présente des fractures aux deuxième et troisième métatarses et au cunéiforme médial du pied droit visible. Nos collègues orthopédistes conseillent une immobilisation dans une botte plâtrée pour 6 semaines avec une charge partielle de 15 kg. Du à son déconditionnement, la patiente n'arrive pas à respecter la charge et la suite de réhabilitation n'est pas possible. Nous proposons à la patiente un transfert au cours du séjour (UATO) pendant la période de limitation de la mobilité, mais la patiente refuse et décide, contre avis médical, de rentrer à la maison, malgré toutes les explications de risque élevé de déconditionnement et de chutes. Vu l'impossibilité d'organiser en urgence des soins à domicile pour les injections de la clexane, relais d'anticoagulation prophylactique par Xarelto. Nous réduisons la dose de la metformine à une fois par jour, vu l'intolérance à des doses supérieures. La glycémie reste stable entre 6.3 mmol/l (matinale) et 7.3 mmol/l (nocturne). Nous continuons le traitement par Atorvastatine. Nous introduisons l'Amlodipine, en obtenant des valeurs tensionnelles systoliques entre 120 et 150 mmHg. La patiente présente une dysurie et une nycturie. La culture urinaire met en évidence une infection urinaire basse à E. aerogenes. Nous la traitons par Bactrim Forte pendant 3 jours avec une bonne évolution. Vu la sortie précoce non planifiée, les soins à domicile, le contrôle orthopédique et le contrôle neurologique post-AVC seront organisés après son séjour à l'hôpital. Elle recevra à la maison les convocations pour les suivis susmentionnés. Mme. Y est hospitalisée en électif dans un contexte d'atteinte neurologique pour une cure de traitement d'Intratect de 5 jours. Elle est suivie par le Dr. X pour une atteinte multi-systémique (cérébelleuse, pyramidale et proprioceptive) en péjoration actuellement. En effet, elle a constaté récemment une péjoration de l'équilibre avec des chutes fréquentes, ainsi qu'une perte de voix. Lors du traitement, la patiente présente plusieurs états subfébriles sans cause infectieuse détectée. Ceux-ci sont spontanément résolutifs et sont mis sur le compte du traitement. Dans l'ensemble, la cure est bien supportée. Cependant, nous n'observons pas d'amélioration au niveau du statut neurologique au cours de l'hospitalisation. Néanmoins, des améliorations tardives sont possibles. La suite de prise en charge se fera au cabinet du Prof. X. La patiente prendra rendez-vous dans une dizaine de jours. Mme. Y peut rentrer à domicile le 14.01.2019. Mme. Y, patiente de 55 ans, connue pour une cirrhose CHILD C sur éthylisme chronique et HCV ainsi qu'un trouble de la personnalité borderline, nous est transférée de l'HFR Fribourg pour suite de la prise en charge d'une probable encéphalopathie métabolique chronique. Pour rappel, la patiente avait été hospitalisée pour un état de mal épileptique partiel tonico-clonique le 24.11.2018 sur encéphalopathie hépatique, sevrage alcoolique et anciennes hémorragies sous-corticales. Elle a été initialement hospitalisée aux soins intensifs et ensuite à l'étage en médecine interne. Depuis son hospitalisation, Mme. Y est désorientée dans le temps et dans l'espace. Elle n'est pas capable de donner des réponses adéquates aux questions. Cliniquement, elle présente un état général diminué, est désorientée dans tous les domaines, cachexique et a un teint ictérique. Le reste de l'examen clinique est dans la norme. Le bilan biologique retrouve une hyponatrémie légère (Na 132 mmol/l), une hypokaliémie légère (K 3.6 mmol/l) et une bicytopénie chronique (Hb 107 g/l, plaquettes 105 G/l). Sur le plan social, en présence d'une patiente n'ayant pas sa capacité de discernement et en l'absence de proche pouvant aider la patiente, une demande de curatelle a été effectuée auprès de la Justice de Paix avec une audience au lit de la patiente prévue pour le 28.12.2018. Le projet après l'hospitalisation actuelle reste à définir en fonction de l'évolution clinique. Concernant sa cirrhose CHILD C, pour le moment aucun projet thérapeutique n'a été fait avec la patiente. Cela sera à faire une fois la curatelle définie et après réconditionnement général. La transplantation hépatique reste la seule option thérapeutique envisageable. Pour l'hyponatrémie et l'hypokaliémie, nous vous conseillons un suivi biologique. Au cours du séjour, Mme. Y présente des épisodes d'hétéroagressivité verbale et physique envers l'équipe soignante. Nous demandons un avis aux collègues du RFSM qui nous accordent un transfert de la patiente dans le milieu hospitalier psychiatrique. Mme. Y est donc transférée à l'hôpital de Marsens le 24.12.2018 pour une prise en charge psychiatrique.Mme. Rufenacht est une patiente de 24 ans, en bonne santé habituelle, qui consulte aux urgences le 22.01.2019 pour des douleurs abdominales en fosse iliaque droite. La suspicion d'appendicite aiguë est confirmée au CT scanner. La patiente bénéficie le 23.01.2019 d'une appendicectomie laparoscopique. Les suites opératoires sont simples et la patiente rentre à domicile le 26.01.2019. Les fils seront enlevés par le médecin traitant à J 12 post-opératoire. Mme. Ruffieux présente des omalgies gauches suite au traitement conservateur de la fracture sous-capitale de l'humérus gauche. Cette douleur est associée à une tendinopathie de la coiffe des rotateurs, particulièrement du sus-épineux. Je propose une infiltration à but antalgique. Concernant les gonalgies droites, la patiente aimerait bien répéter une infiltration. Nous allons profiter du fait que nous devons stopper le Sintrom pour l'infiltration de l'épaule, pour effectuer en même temps une infiltration par cortisone de son genou droit. Il est important que le Sintrom soit stoppé 5 jours avant l'infiltration. Je prie le Dr. X de bien vouloir stopper le Sintrom et de le remplacer par Héparine à bas poids moléculaire. Le Sintrom pourra être repris le jour après les infiltrations qui sont prévues pour le 30.01.2019. La patiente va continuer la physiothérapie pour l'épaule. Contrôle clinique après l'infiltration : 27.02.2019. Mme. Ruttimann est hospitalisée aux soins intensifs le 14.01.2019 en raison d'une fibrillation auriculaire rapide inaugurale avec suspicion de NSTEMI secondaire. La patiente est réveillée le 14.01.2019 par des douleurs rétro-sternales avec irradiation dans le bras droit et la mâchoire. Elle est amenée par le SMUR de Payerne avec une FA rapide. Elle reçoit du Métoprolol iv et elle est chargée avec Aspégic iv par le SMUR. À l'arrivée aux urgences, elle présente un BBG avec une cinétique de troponines positive. Elle est alors adressée aux soins intensifs pour suite de prise en charge. Un retour en rythme sinusal est noté après les bêta-bloquants avec arrêt des douleurs thoraciques. Un traitement par héparine thérapeutique est débuté. Parallèlement, sa tension artérielle haute est contrôlée initialement par un traitement de TNT en i.v. continu, relayé par Métoprolol et Lisinopril. L'échocardiographie transthoracique montre une FEVG à 60 % avec une oreillette gauche modérément dilatée. Après avis cardiologique, un traitement par Eliquis est introduit. L'Aspirine cardio est stoppée dans ce contexte et sera à réévaluer selon les résultats de l'ergométrie, conseillée par les cardiologues et à prévoir dans 1 mois. Le traitement habituel n'étant pas connu à l'entrée de la patiente, il est partiellement modifié durant le séjour avec notamment arrêt du Torasémide et de la Felodipine que nous vous laissons le soin de réintroduire selon le profil tensionnel. Au vu de l'amélioration clinique, la patiente peut rentrer à domicile le 16.01.2019. Mme. Sandor, patiente de 55 ans, connue pour des douleurs diffuses et mal systématisées au niveau périnéal depuis 2011 est hospitalisée pour antalgie en raison de leur acutisation depuis avril 2018. La problématique est prise en charge depuis 2011 mais intensément investiguée depuis leur acutisation. La patiente rapporte des plaintes diffuses avec comme épicentre la région pelvienne gauche, mais ayant pour conséquence de multiples douleurs à distance associées, notamment : céphalées, nucalgies et douleurs thoraciques, ainsi que des paresthésies aux membres supérieurs et inférieurs. Elle est suivie par de nombreux spécialistes et les différents bilans ne montrent pas d'étiologie somatique claire et les multiples traitements sont restés sans effet durable. Actuellement, la patiente décrit des douleurs importantes, ressenties comme un coincement, et localisées de manière punctiforme au niveau inguinal gauche. Associées à ces douleurs, la patiente décrit une hypoesthésie sur le bord latéral de la jambe gauche, une sensation de circulation sanguine coupée dans tout le corps ainsi qu'une sensation de dépersonnalisation. Ces douleurs sont en péjoration depuis 3 semaines, et insoutenables depuis 2 jours, l'empêchant même de s'asseoir ou de dormir. Un traitement de Gabapentine et de Targin a été initié par le médecin traitant il y a 3 semaines, mais arrêté spontanément par la patiente en raison d'une inefficacité et d'une non-tolérance. Nous décidons d'hospitaliser la patiente, afin de parvenir à un contrôle de ces douleurs. Au vu du bilan très extensif dont a déjà bénéficié la patiente et des nombreux spécialistes déjà impliqués, nous ne retenons pas d'indication à de nouvelles imageries ou investigations. Nous débutons une antalgie par opiacés. Des consultations prévues en rhumatologie, neurologie et chirurgie pelvienne ont lieu lors de l'hospitalisation et n'apportent pas d'éléments supplémentaires quant à l'étiologie des plaintes de la patiente. En raison de la forte suspicion d'un trouble somatoforme, nous demandons un avis psychiatrique avec l'accord de la patiente. Nos collègues suggèrent l'introduction de Cymbalta et un suivi à l'hôpital de jour du RFSM à Bulle, suivi pour lequel une demande avait déjà été faite par le médecin traitant. Un premier rendez-vous est prévu l'après-midi même de la sortie de Mme. Sandor, le 21.01.2019. Mme. Santoro, patiente de 81 ans, connue pour une cardiopathie valvulaire et hypertensive status post remplacement de la valve aortique en 2010 par une prothèse biologique, un diabète de type 2 non insulino-requérant, une obésité morbide, une dyslipidémie et plusieurs épisodes de vertiges paroxystiques traités par Betaserc. La patiente a présenté des vertiges de type tangage le 29.12 à 8h30 au réveil avec nausées et sudations profuses, plus intenses que ces vertiges habituels, raison pour laquelle elle active sa télé-alarme. Mme. est transférée en ambulance aux urgences. Les vertiges durent environ 3 heures, avec nausées et quelques vomissements biliaires. À l'examen clinique d'entrée, il est mis en évidence un nystagmus multidirectionnel spontané. L'Angio-CT cérébral montre une sténose significative connue de la carotide droite à 80 %. Au vu de la suspicion d'AVC/AIT de la fosse postérieure, Mme. est hospitalisée en Stroke unit. Le monitorage sur 24h ne montre pas de trouble du rythme. Pendant l'hospitalisation, il n'y a pas de récidive de la symptomatologie. L'IRM cérébrale montre une lacune du vermis cérébelleux à gauche témoignant d'une ancienne lésion ischémique. Il n'y a pas d'AVC récent. Ainsi la symptomatologie décrite par Mme. s'explique le plus probablement par une décompensation de cette lacune cérébelleuse dans le contexte d'un pic hypertensif. Un accident ischémique transitoire n'est pas exclu. Une composante périphérique aux vertiges est probablement également présente au vu de l'anamnèse révélant des vertiges paroxystiques toutes les 2-3 semaines. À noter la découverte fortuite d'un petit méningiome millimétrique que nous proposons de suivre avec une IRM à 6 mois. L'étiologie de l'ancienne lésion ischémique est inconnue, l'échocardiographie ne montre pas de cause structurelle pouvant l'expliquer, de plus la valve biologique aortique fonctionne normalement. Nous proposons de compléter les examens par un Holter sur 72 heures afin de s'assurer de l'absence de troubles du rythme significatifs. Au vu de l'excellente évolution, d'une évaluation ergothérapeutique dans la norme et physiothérapeutique ne montrant pas de risque significatif de chute, chez une patiente indépendante dans les AVQ pendant l'hospitalisation, Mme. rentre à domicile le 01.01.19. Nous vous laissons le soin de réévaluer l'indication à la mise en place de soins à domicile.Mme. Sapin, patiente de 83 ans, est hospitalisée aux soins intensifs le 11.01.2019 suite à une décompensation cardiaque gauche avec un NSTEMI secondaire sur pic hypertensif. Elle est transférée dès le 12.01.2019 au service de médecine interne. La patiente est connue pour une HTA, une hypercholestérolémie traitée et des insuffisances aortique et mitrale avec une légère hypertension artérielle pulmonaire. Elle est adressée aux urgences par son médecin traitant pour une probable décompensation cardiaque avec une tension artérielle non contrôlable et une bradycardie persistante malgré l'arrêt du Bilol il y a une semaine. Depuis une bronchopneumonie en décembre, la situation se serait compliquée avec une TA élevée, une asthénie et des épisodes d'oppression thoracique gauche, survenant essentiellement à l'effort, associés à une dyspnée modérée. Sur le plan cardiologique, la coronarographie ne montre pas de lésion coronarienne significative, ni d'argument pour une sténose aortique. A l'ETT, nous mettons en évidence une fonction contractile segmentaire normale, une hypertrophie concentrique avec une légère dysfonction diastolique et une fonction systolique globale augmentée. Un traitement strict de la tension artérielle sans anti-agrégation est suggéré par les cardiologues. Au niveau de l'hypertension, nous remplaçons le traitement d'Amlodipine par un traitement de Nifédipine d'office et en réserve. La posologie du traitement de Losartan est adaptée à la prise concomitante d'Esidrex. Un diagnostic différentiel de phéochromocytome n'est pas investigué au vu de sa faible probabilité. En cas de persistance de crises hypertensives associées à des céphalées, nous vous proposons d'envisager un dosage des métanéphrines urinaires sur les urines de 24h. Le diagnostic de cardiopathie hypertensive à FEVG conservée avec une décompensation cardiaque secondaire est retenu. Sur le plan rythmique, la bradycardie sinusale reste stable chez la patiente, qui ne présente qu'une asthénie, sans autre symptôme. Nous réalisons un test de Schellong qui induit des vertiges mais avec une compensation de la fréquence cardiaque conservée sans chute significative de la tension artérielle systolique. Nous réalisons un ECG Holter sur 24 heures entre le 15.01 et le 16.01.2019 et nous vous invitons à en pister les résultats afin de discuter de l'indication à l'implantation d'un pacemaker. Au vu des différentes pathologies cardiaques de la patiente, nous vous invitons à initier un suivi par un cardiologue. Au niveau pulmonaire, le CT thoracique montre des signes de surcharge avec de légers épanchements pulmonaires bilatéraux et une plage de verre dépoli au lobe supérieur droit avec une petite consolidation, d'origine probablement post-infectieuse. Nous vous proposons néanmoins de recontrôler ces plages dans 3 à 6 mois. Au vu de l'évolution favorable, tant sur le plan clinique que biologique, la patiente peut retourner à domicile le 17.01.2019. Mme. Sauterel, 63 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée pour une réadaptation cardiovasculaire stationnaire suite à un STEMI inféro-latéral sur lésion de l'artère circonflexe avec pose de stent le 08.12.2018. Pour rappel, Mme. Sauterel est admise à l'HFR Fribourg le 08.12.2018 via la filière STEMI en raison d'un angor typique associé à des ondes de Pardee sur le territoire inférieur. Une coronarographie montre une sténose de l'artère circonflexe pour laquelle 2 stents sont posés. La coronarographie est compliquée d'une hypotension sévère symptomatique avec suspicion de saignement de l'artère fémorale commune. La patiente reçoit 7500 UI de Protamine et une expansion volémique importante ainsi que 2 culots érythrocytaires d'O négatif, ainsi qu'un ballon sur le saignement visualisé en passant par le côté contro-latéral. Après 30 minutes de compression, le saignement est maîtrisé. Après discussion avec l'équipe de chirurgie et de radiologie interventionnelle, il est décidé d'une surveillance clinique aux soins intensifs. A posteriori et au vu de la cinétique de l'hémoglobine (à la hausse avec la transfusion), l'étiologie de l'hypotension est remise en question avec le diagnostic différentiel de réaction vagale et de choc anaphylactique. L'évolution post-coronarographie est rapidement favorable. Une échocardiographie montre une hypokinésie minime de la paroi postérieure moyenne avec FEVG à 65 % (méthode de Simpson). La médication est adaptée avec introduction et adaptation de Lisinopril et Beloc Zok. Nous informons la patiente, connue pour migraine, que son traitement habituel par Imigran est contre-indiqué au vu de sa coronaropathie. Nous proposons un traitement par AINS et une augmentation des bétabloquants. A noter pendant l'hospitalisation, des symptômes urinaires associés à une gêne suspubienne et loge rénale gauche associée à un état subfébrile. Le sédiment revient positif pour une infection urinaire, un diagnostic de pyélonéphrite gauche est retenu et un traitement par Rocéphine pendant 7 jours est administré. Traitement à l'entrée : • Rocephin 2g IV: 0-0-1-0 • Pantozol cpr 40mg: 1-0-0-0 • Aspirine cardio cpr 100 mg: 1-0-0-0 • Efient cpr 10 mg: 1-0-0-0 • Clexane SC 40mg: 0-0-1-0 • Lisinopril cpr 5 mg: 0.5-0-0-0.5 • Beloc Zok cpr ret 25 mg: 1-0-1-0 • Metformine cpr 500 mg: 1-0-1-0 • Forxiga cpr 5 mg: 1-0-0-0 • Atorvastatin cpr 40 mg: 0-0-1-0 • Abilify cpr 5 mg: 0-0-1-0 • Cymbalta caps 30 mg: 3-0-0-0 • Circadin cpr ret 2 mg: 0-0-0-1 • Nicotinell patch 21mg/24h: 1-0-0-0 • Valverde sirop 10ml: 0-10mL • Dafalgan cpr 1g: 1 cpr toutes les 6h si douleurs • Movicol 1 sachet si constipation, max 2/j Au sujet du réentraînement à l'effort, la patiente a débuté dans un groupe d'intensité modérée et a pu progresser tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, elle est capable de faire du vélo pendant 25 minutes à une puissance de 47 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 75m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mme. Sautrel a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Le bilan lipidique de sortie retrouve un LDL à 1.49 mmol/l, un HDL à 1.38 mmol/l et des triglycérides à 0.61 mmol/l. Mme. Savoy, patiente connue pour une SEP de forme primaire progressive et une ostéoporose fracturaire, nous est transférée de l'Hôpital de Fribourg suite à une hémilaminectomie L5 élective le 30.11.2018 sur une sténose canalaire L4-L5 avec débord discal para-médian D. L'intervention se déroule sans incident et les suites opératoires sont favorables. A l'admission, elle se plaint de douleurs dorsales résiduelles, moyennement maîtrisées par les antalgiques, surtout présentes en fin de nuit. A l'anamnèse par système, elle ne rapporte aucune variation (par rapport à son état de base connu). Au niveau neurologique, Mme. Savoy a un syndrome tétra-pyramidal modéré avec une dysarthrophonie modérée. Madame rapporte des spasmes musculaires importants pendant le séjour, surtout en fin de nuit. Nous retenons le diagnostic de spasmes sur probable exacerbation des symptômes de la SEP dans le contexte de stress aigu lié à l'intervention. Pour cela, nous discutons avec le Dr. X et optons pour une majoration du traitement myorelaxant et l'introduction d'un cannabinoïde (Sativex). Madame rapporte une amélioration de la symptomatologie par la suite. En accord avec la patiente, nous diminuons progressivement les doses de Palexia. Nous vous laissons le soin de réévaluer avec la patiente le dosage optimal au domicile.Mme. Savoy vit avec son époux dans une maison adaptée à ses nécessités. Elle est indépendante pour les IADLs et bénéficie d'aides ponctuelles au ménage, à la lessive et à la cuisine. Elle ne conduit plus. L'objectif est donc un retour à domicile. À l'entrée, il subsiste une diminution importante de la mobilité : Mme. nécessite d'aide pour les transferts (FIM 3) et peut marcher 15 mètres avec le rollator et aide (FIM 3), elle ne peut pas monter les escaliers (FIM 1). Le risque de chute est élevé avec un score de Tinetti à 8/28 avec rollator. Au cours de son hospitalisation, Mme. Savoy participe à des séances de physiothérapie et ergothérapie qui améliorent en partie sa mobilité. À la fin du séjour, Mme. peut faire les transferts seule sous supervision (FIM 5 à 6), elle peut marcher seule sous supervision avec rollator (FIM 5) et arrive à monter les escaliers avec aide de contact (FIM 4). Le score de Tinetti est légèrement amélioré (FIM 9/28) avec rollator chez une patiente déjà limitée dans la mobilité au domicile. Il persiste donc une indication à poursuivre la physiothérapie en régime ambulatoire (la patiente a déjà des séances prévues jusqu'à fin 2019 et ne nécessite donc pas d'ordonnance supplémentaire). Mme. Savoy rentre à son domicile le 22.12.2018 dans des conditions cliniques stables. Un contrôle clinique et radiologique est prévu à la consultation du Dr. X. Mme. Y, patiente de 55 ans, est hospitalisée aux soins intensifs le 10.01.2019 pour une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë, secondaire à une pneumonie atypique, faisant suspecter une infection à Pneumocystis jirovecii dans un contexte d'immunosuppression. Elle est transférée le 12.01.2019 au service de médecine interne pour la suite de sa prise en charge. La patiente est traitée pour une arthrite psoriasique par Méthotrexate et Léflunomide depuis 2015 et Infliximab depuis 2017. Elle présente une dyspnée de stade IV, associée à une toux sèche depuis 1 mois et un état fébrile depuis 7 jours. Elle a été traitée de manière empirique depuis le 08.01.2018 par Co-Amoxicilline pour une possible pneumonie communautaire. Au vu de l'aggravation clinique, elle a consulté le service des urgences de Meyriez le 10.01.2019 et a été transférée aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë. Le bilan a mis en évidence un infiltrat pulmonaire bilatéral atypique, en verre dépoli et à distribution centrale, péri-broncho-vasculaire. L'association avec l'hypoxémie, l'élévation de la LDH et l'immunosuppression ont fait suspecter une pneumonie à Pneumocystis jirovecii. Le frottis nasopharyngé pour Influenza et RSV, ainsi que les antigènes urinaires pneumocoque et legionella, sont négatifs. Après discussion avec nos collègues pneumologues et infectiologues, l'antibiothérapie initiale de Clarithromycine et Ceftriaxone est remplacée par Levofloxacine et Triméthoprime-Sulfaméthoxazole par voie orale, en association avec de la Prednisone (schéma de traitement pour PCP). Une recherche de pneumocystis par PCR par lavage broncho-alvéolaire est réalisée lors d'une bronchoscopie le 15.01.2019. Elle revient massivement positive (>4 millions de copies). Le diagnostic différentiel de pneumopathie toxique sous méthotrexate ou léflunomide, médicaments ayant été mis en suspens dans la phase aiguë, ne peut pas être exclu, raison pour laquelle nous vous proposons de réaliser des fonctions pulmonaires ainsi qu'un CT-scan thoracique au décours de la phase aiguë, également afin d'évaluer le stade de la probable bronchopneumopathie chronique obstructive secondaire au tabagisme. Dans ce contexte, la patiente retourne à domicile avec des traitements immunosupresseurs en suspens et nous vous proposons de recontacter le Dr. X afin de discuter de la suite de la prise en charge rhumatologique et d'une éventuelle prophylaxie par Bactrim au long cours. Sur le plan infectiologique, la patiente sera vue par la Dr. X le 28.01.2019 à 10h dans notre établissement. À noter que suite aux inhalations de corticoïdes, la patiente développe une candidose orale et probablement œsophagienne, que nous traitons par Fluconazole et Nystatine. Ce traitement sera poursuivi jusqu'au 27.01.2019, après quoi nous vous proposons de contrôler les valeurs hépatiques au laboratoire de la patiente. Au vu d'une bonne évolution clinique et biologique, la patiente retourne à domicile le 23.01.2019. Mme. Y, patiente de 55 ans, hospitalisée du 10.01 au 23.01.2019 dans notre établissement pour une pneumonie à Pneumocystis jirovecii avec insuffisance respiratoire secondaire nécessitant alors un séjour aux soins intensifs, se représente au service des urgences le 24.01.2019, à savoir le lendemain de son retour à domicile.La patiente rapporte des vomissements très importants, accompagnés de vertiges, dans un contexte d'anorexie et de faiblesse généralisée depuis sa sortie, l'amènent à se représenter en urgences. Une hypotension orthostatique est mise en évidence et une hydratation intraveineuse par NaCl 0.9 % est alors initiée. L'étiologie des nausées et vomissements étant probablement mixte, nous corrigeons l'hyponatrémie de la patiente et remplaçons son traitement antibiotique par une combinaison de Clindamycine et Primaquine, sur avis de collègues infectiologues. L'évolution clinique et biologique étant rapidement favorable, Mme. Y rentre à domicile le 28.01.2019. Elle sera revue en consultation par le Dr. X le 07.02.2019 pour un suivi de sa pneumonie, ainsi que l'organisation de fonctions pulmonaires au décours de l'hospitalisation. Mme. Y, 55 ans, a été admise aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë secondaire à une pneumonie atypique faisant suspecter une infection à Pneumocystis jirovecii dans un contexte d'immunosuppression. La patiente est traitée pour une polyarthrite rhumatoïde par méthotrexate et léflunomide depuis 2015 et infliximab depuis 2017. Elle a présenté une dyspnée de stade IV associée à une toux sèche depuis 1 mois et un état fébrile depuis 7 jours. Elle a été traitée depuis le 08.01.2018 par Co-Amoxicilline pour une possible pneumonie communautaire. Au vu de l'aggravation clinique, elle a consulté les urgences de Meyriez le 10.01.2019 et a été transférée aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë. Le bilan a mis en évidence un infiltrat pulmonaire bilatéral atypique, en verre dépoli à distribution centrale, péri-broncho-vasculaire. L'association avec l'hypoxémie, l'élévation de la LDH et l'immunosuppression ont fait suspecter une pneumonie à Pneumocystis jirovecii. Le frottis nasopharyngé pour Influenza et RSV, ainsi que les antigènes urinaires pneumocoque et legionella sont négatifs. Après discussion avec le pneumologue et l'infectiologue, l'antibiothérapie initiale de clarithromycine et Ceftriaxone a été poursuivie par levofloxacine et triméthoprime-sulfaméthoxazole per os, en association avec la prednisone. Une recherche de pneumocystis par PCR dans les expectorations devrait être encore effectuée. Si ce n'est pas possible, une bronchoscopie sera à discuter le mardi 15.01.2019 afin de confirmer ce diagnostic ou rechercher une autre étiologie. Dans le diagnostic différentiel, il faut aussi évoquer une pneumopathie toxique sous méthotrexate ou léflunomide, qui ont été mis en suspens dans la phase aiguë. Des fonctions pulmonaires pourront être organisées au décours de la phase aiguë afin d'évaluer le stade de la bronchopneumopathie chronique obstructive secondaire au tabagisme. La patiente a été transférée le 12.01.2019 dans le service de médecine interne. Mme. Y, patiente de 79 ans, est admise aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire globale aiguë sur une pneumonie nosocomiale et une décompensation cardiaque. Mme. Y fut hospitalisée à Tavel pour des dorsalgies et une baisse de l'état général. Le bilan a mis en évidence un myélome multiple pour lequel une corticothérapie a été initiée avec un projet de thérapie de Revlimid. L'hypercalcémie est traitée par bisphosphonates et de la calcitonine et hydratation. Le 28.12.2018, la patiente présente une insuffisance respiratoire aiguë globale qui motive un transfert aux soins intensifs de Fribourg. Le CT thoracique du 28.12.2018 montre une atélectasie bibasale probablement surinfectée, une décompensation cardiaque ainsi qu'une pneumonie nosocomiale pan-lobaire. La recherche de germe reste négative et l'antibiothérapie par Céfépime est poursuivie pour une durée totale de 10 jours. L'évolution clinique est rapidement favorable avec uniquement de l'oxygène aux lunettes, motivant un transfert dans notre service. À l'arrivée aux soins intensifs, on note un état confusionnel aigu dans le contexte infectieux avec comme facteurs aggravants l'hypercalcémie et la corticothérapie au décours. Le traitement de l'infection, une ré-afférentiation et un traitement d'Haldol en réserve permettent une amélioration. Le traitement par lenalidomide est instauré du 31.12.18 au 11.01.19. En raison d'une évolution clinique défavorable avec état confusionnel hyperactif persistant compliqué d'une détresse respiratoire sur pneumonie de broncho-aspiration, des soins de confort sont mis en place dès le 11.01.2018. La patiente décède paisiblement le 13.01.2019 en présence de sa famille. Mme. Y présente des symptômes d'une lombo-sciatalgie avec radiculopathie L3-L4 à gauche. Afin de préciser le diagnostic, la patiente ira faire une IRM native de la colonne lombaire le 11.1.2019 à la recherche d'un conflit radiculaire. Je reverrai la patiente après l'IRM le 16.1.2019 pour discuter du résultat et du traitement. Mme. Y, patiente de 79 ans, est admise aux soins intensifs pour la ventilation non-invasive dans le contexte d'un OAP sur un pic hypertensif. La patiente est initialement hospitalisée à Riaz le 03.01.2019 pour une anémie hyporégénérative chronique sévère. Elle bénéficie le 04.01.2019 d'une oeso-gastro-duodénoscopie qui ne met pas en évidence une source de saignement actif mais un reflux gastro-oesophagien de stade 3 et un ulcère en bas œsophage. L'oeso-gastro-duodénoscopie est effectuée sous Midazolam avec une réversion par Flumazénil. En post-intervention, la patiente présente une dyspnée aiguë, la gazométrie montre une insuffisance respiratoire globale nécessitant une ventilation non-invasive. Nous débutons un traitement diurétique avec une bonne réponse de la diurèse. Au vu d'une suspicion d'une broncho-aspiration suite à l'intervention, nous débutons une antibiothérapie de courte durée. L'oeso-gastro-duodénoscopie montre également une suspicion d'une candidose oesophagienne. Un traitement antifongique par Fluconazol est débuté pour une durée totale d'une semaine. Les enzymes cardiaques, dosées après l'oeso-gastro-duodénoscopie, sont élevées. Après discussion avec les cardiologues, une prise en charge conservatrice est indiquée. Une échocardiographie de stress est indiquée à distance de l'événement aigu. Mme. Y, patiente de 79 ans, est transférée en médecine interne depuis les soins intensifs. Pour rappel, la patiente est initialement hospitalisée à Riaz le 03.01.2019 dans un contexte d'une dyspnée d'apparition nouvelle avec baisse de l'état général et anémie hyporégénérative chronique sévère. La patiente bénéficie le 03.01.19 d'une transfusion de deux culots érythrocytaires. Elle bénéficie le 04.01.2019 d'une oeso-gastro-duodénoscopie qui ne met pas en évidence une source de saignement actif mais un reflux gastro-oesophagien de stade 3, un ulcère en bas œsophage ainsi qu'une suspicion de candidose oesophagienne. En post-intervention, la patiente présente une dyspnée aiguë, la gazométrie montre une insuffisance respiratoire globale nécessitant une ventilation non-invasive, raison pour laquelle la patiente est transférée aux soins intensifs de Fribourg. L'insuffisance respiratoire globale le 04.01.19 est attribuée à un oedème aigu pulmonaire sur pic hypertensif. Un traitement diurétique par furosemide du 04.01 au 05.01.2019 puis torasemide dès le 06.01.2019 avec bonne réponse de la diurèse est instauré en conséquence. En raison d'une suspicion de broncho-aspiration suite à l'OGD, un traitement par Co-Amoxicilline est administré du 04.01.19 au 08.01.19 et sous lequel la patiente montre une bonne amélioration clinique et biologique. Nous recommandons au médecin traitant et aux soins à domicile de contrôler régulièrement le poids de la patiente et de veiller à l'apparition de symptômes et signes de surcharge. En cas de péjoration, nous proposons d'augmenter la dose de torasémide.Dans le contexte d'une candidose oesophagienne, un traitement antifongique par Fluconazole est introduit du 04.01.19 au 10.01.19. Les résultats de biopsie se révèlent positifs pour C. Albicans le 08.01.19 et confirment le diagnostic d'oesophagite ulcéreuse à Candida. Sous traitement antifongique, nous observons une régression rapide des plaintes digestives de la patiente. Nous attribuons l'anémie normocytaire hypochrome à une étiologie ferriprive sur saignement digestif haut sur oesophagite avec ulcération et gastrite érosive de l'antre. Un bilan anémique révèle une ferritine abaissée sans hypovitaminose concomitante. Nous procédons à une substitution par ferrinject le 05.01.19. Un laboratoire de contrôle le 09.01.19 montre une amélioration de son hémoglobine à 90 g/L. Nous recommandons au médecin traitant d'effectuer un contrôle de l'évolution de l'anémie dans 3 mois et de rechercher une autre source de saignement en absence d'amélioration. Un dosage des enzymes cardiaques après l'OGD le 04.01.19 révèle une augmentation de leur valeur. Après discussion avec les cardiologues, nous retenons un probable diagnostic de NSTEMI secondaire sur pic hypertensif et anémie. L'indication à une prise en charge conservatrice est posée et nous procédons à une correction de l'anémie et introduisons du lisinopril. Nous organisons un rendez-vous de contrôle en cardiologie le 05.02.19 avec échocardiographie de stress et réévaluation de la valve mitrale. A l'étage, la patiente reste hémodynamiquement stable et ne présente pas de plaintes particulières. La patiente rentre à son domicile le 15.01.19. Mme. Y, patiente de 78 ans connue pour des troubles de la marche dus à un antécédent de poliomyélite, est amenée par sa fille pour une baisse d'état général dans un contexte de masse hépatique suspecte. La patiente avait récemment consulté son médecin traitant, qui avait demandé un CT abdominal externe à cause de paramètres inflammatoires élevés et de perturbation des tests hépatiques. Nous complétons le bilan par un dosage de l'AFP qui revient élevé permettant en association avec les images radiologiques de poser le diagnostic de CHC multifocal sur cirrhose CHILD PUGH C. Un bilan de cirrhose permet d'exclure une hépatite chronique, l'anamnèse ne montre pas de notion d'abus OH. Les images sont discutées au tumorboard du 23.01.2019 où une prise en charge purement palliative au vu du stade avancé de la tumeur est proposée. Un traitement d'Aldactone est initié au vu de l'ascite modérée afin d'éviter un inconfort sur distension abdominale. A noter la présence d'une thrombose de la veine porte, pour laquelle une anticoagulation thérapeutique par héparine continue est initiée dès le 21.01.2019, relayée par du Rivaroxaban dès le 24.01.2019. Dans le contexte palliatif, le traitement anticoagulant est à réévaluer. Un colloque de famille en présence des enfants de la patiente est organisé lors duquel nous expliquons le diagnostic ainsi que l'évolution de la maladie avec une proposition de prise en charge palliative. La patiente ainsi que sa famille adhèrent à une prise en charge purement palliative avec un transfert à la Villa St-François dès le 25.01.2018 pour une réadaptation palliative et la mise en place d'un réseau au domicile. Mme. Y peut être transférée le 25.01.2019 à la Villa St-François. Mme. Y, patiente de 87 ans, est hospitalisée le 07.01.2019 aux soins intensifs en Stroke Unit monitorée pour surveillance d'un AVC sylvien gauche. Elle a été récemment hospitalisée en juillet 2018 pour prise en charge chirurgicale d'un hématome sous-dural chronique duquel la patiente avait récupéré favorablement. La patiente présente une aphasie de production le 07.01.2019 (sans possibilité de pouvoir dater clairement la dernière preuve de bonne santé) et est amenée aux urgences avec réalisation d'un CT-scan cérébral qui ne retrouve pas de lésion significative. Une IRM cérébrale effectuée à 24h révèle toutefois un AVC sylvien gauche de probable origine microangiopathique au vu de la localisation des lésions. Le bilan étiologique est poursuivi avec une échocardiographie transthoracique qui montre une fonction ventriculaire normale sans autre franche anomalie. Un ECG-Holter reste à effectuer. Au niveau biologique, on retrouve un profil lipidique dans la norme mais avec un taux de LDL-cholestérol à la limite de la norme supérieure motivant l'introduction d'un traitement hypolipémiant par Atorvastatine. Une mesure de l'hémoglobine glyquée est dans la norme (Hb1Ac à 5.5%). D'un point de vue médicamenteux, la patiente est chargée en Aspirine aux urgences le 07.01.2019. Suite aux résultats de l'IRM cérébrale, le traitement anti-agrégant plaquettaire est adapté avec arrêt de l'Aspirine et début d'un traitement par Plavix dès le 09.01.2018 (sans dose de charge). Durant la surveillance aux soins intensifs, le profil tensionnel est élevé et nécessite un traitement intraveineux transitoire par Labétalol avec introduction d'un traitement bêta-bloquant per os dès le 08.01.2019. Le traitement anti-hypertenseur sera à adapter chez une patiente connue pour une hypertension artérielle non traitée avant son hospitalisation actuelle. D'un point de vue clinique, on note une persistance de l'aphasie de production avec un score de NIHSS oscillant entre 7 et 9 points. En accord avec les collègues de la neurologie, la patiente est transférée le 09.01.2019 en unité de médecine interne. Mme. Y, votre patiente de 87 ans, connue pour une hypertension artérielle non traitée et un hématome sous-dural chronique d'évolution favorable après prise en charge chirurgicale en juillet 2018, est hospitalisée le 07.01.2019 aux soins intensifs en Stroke Unit monitorée pour surveillance d'un AVC sylvien gauche. En effet, le 07.01.2019, sans possibilité de pouvoir dater clairement la dernière preuve de bonne santé, la patiente présente une aphasie de production et est amenée aux urgences avec réalisation d'un CT-scan cérébral qui ne retrouve pas de lésion significative. La patiente est tout de même chargée en Aspirine. Une IRM cérébrale effectuée à 24h de son admission met en évidence un AVC ischémique aigu sylvien gauche profond (corona radiata et partie supérieure de la capsule interne). Au vu de la localisation des lésions, l'AVC semble probablement d'origine microangiopathique. Le traitement anti-agrégant plaquettaire est alors adapté avec arrêt de l'Aspirine et début d'un traitement par Plavix dès le 09.01.2018 (sans dose de charge). La surveillance aux soins intensifs est marquée par un profil tensionnel élevé ayant nécessité un traitement bêta-bloquant intraveineux transitoire puis per os du 08.01 au 11.01.2019. Le traitement anti-hypertenseur est par la suite adapté avec du Lisinopril dès le 11.01.2019 avec amélioration du profil tensionnel. Une échocardiographie transthoracique à visée étiologique est quasi normale avec une FEVG à 60% (évaluation visuelle), une hypertrophie concentrique, une dysfonction diastolique minime (grade I) et un aspect de sclérose de la valve aortique sans rétrécissement significatif, ainsi qu'une insuffisance mitrale légère à modérée (grade 1-2/3). Le ECG-Holter réalisé du 14.01 au 17.01.2019 est tout à fait rassurant. Au niveau biologique, on retrouve un profil lipidique dans la norme mais avec un taux de LDL-cholestérol à la limite de la norme supérieure motivant l'introduction d'un traitement hypolipémiant par Atorvastatine. Une mesure de l'hémoglobine glyquée est dans la norme (Hb1Ac à 5.5%).D'un point de vue clinique, l'hospitalisation de la patiente est marquée par une aphasie transcorticale mixte à prédominance motrice, des troubles de la déglutition, une insécurité à la marche et des troubles cognitifs exécutifs. Le bilan puis la prise en charge neuropsychologique et aphasiologique sont en cours. La patiente présente un score NIHSS passant de 9 points aux soins intensifs à 6 au moment de son transfert en neuro-réhabilitation intensive en vue d'un possible retour à domicile avec aide. Mme. Y est hospitalisée en vue de la réalisation d'un bypass gastrique proximal laparoscopique dans un contexte d'obésité grade II selon l'OMS. L'intervention susmentionnée se déroule le 28.12.18 sans complication. Les suites opératoires sont simples avec une reprise progressive de l'alimentation ainsi que d'un transit régulier. Les douleurs sont contrôlées par l'antalgie mise en place. Les contrôles biologiques s'avèrent dans la norme. Dans ce contexte, Mme. Y peut rentrer à domicile le 01.01.19. Nous lui rappelons les consignes concernant l'alimentation. Mme. Y, votre patiente de 86 ans, institutionnalisée à la Rose d'Automne, connue pour une fibrillation auriculaire non anticoagulée (pour cause du contexte de chutes à répétition), est amenée en ambulance aux urgences le 21.01.2019 en raison d'une dyspnée avec asthénie. À l'anamnèse, la patiente se plaint de toux avec expectorations blanchâtres et de douleurs abdominales basses intermittentes, parfois à la miction. L'hétéro-anamnèse révèle une baisse de l'état général depuis 10 jours précédents l'admission, dont le début serait marqué par un malaise sans perte de connaissance. Sur la base d'une suspicion d'un foyer pulmonaire, la patiente est mise au bénéfice d'une antibiothérapie par Céfuroxime depuis le 17.01.2019, mais sans réelle amélioration avec persistance des états fébriles fluctuants, ainsi que des douleurs rétro-sternales oppressives. À l'examen clinique d'admission, on note un souffle systolique 4-5/6 au foyer d'Erb et au foyer mitral, sans irradiation vasculaire, et une hypoventilation des deux champs pulmonaires avec des crépitants aux deux bases. Le bilan initial met en évidence, à la radiographie et au CT thoracique, des signes d'insuffisance cardiaque gauche décompensée, sans signe d'embolie pulmonaire. Le laboratoire retrouve une NT-proBNP élevée et des troponines élevées à H0 à 162 ng/L puis à H3 à 174 ng/L. L'ECG montre une inversion des ondes T en V5 et V6. Nos collègues cardiologues réalisent une échocardiographie transthoracique montrant une insuffisance mitrale sévère nouvelle avec un jet excentrique sous le feuillet mitral postérieur d'origine probablement dégénérative, faisant suspecter un prolapsus du feuillet mitral antérieur. La FEVG est conservée à 65%. Compte tenu des comorbidités de la patiente, et en accord avec la famille, un traitement symptomatique médicamenteux est préféré par rapport au traitement invasif (mise en place de clip valvulaire). Une adaptation des traitements diurétiques s'avère bénéfique pour la patiente qui montre rapidement une amélioration clinique. D'un point de vue tensionnel, la patiente montre plusieurs épisodes de pics hypertensionnels actuellement contrôlés par sa quadrithérapie habituelle, mais dont la dose de Torem a été majorée, également au vu des signes de surcharge pulmonaire. Nous vous laissons le soin d'adapter le traitement le cas échéant. Sur le plan nutritionnel, la patiente présente des signes de dénutrition dans un contexte de troubles de la déglutition nécessitant une adaptation de son régime alimentaire qui se veut actuellement lisse et épaissi pour les liquides. Notons enfin l'apparition d'une composante agressive dans le comportement affirmé de la patiente, avec refus d'alimentation, nécessitant l'utilisation d'antipsychotiques neuroleptiques à très faible dose. Nous vous laissons évaluer la poursuite de ce traitement. La patiente sort ce 30.01.2019 pour un retour à la Rose d'Automne, son lieu de vie habituel, avec poursuite de la prise en charge habituelle par vos soins. Mme. Y, une patiente de 86 ans connue pour une HTA traitée, a été admise dans le cadre d'un accident ischémique transitoire cérébral frontal gauche. La patiente a présenté une aphasie et une dysarthrie, complètement résolutives, avec un statut neurologique normal dès l'admission. Un accident vasculaire cérébral ischémique a été suspecté d'après la clinique et l'imagerie par CT montrant une asymétrie de perfusion en région frontale gauche, sans lésion vasculaire, mais avec une récupération rapide et l'absence de lésion ischémique résiduelle à l'IRM cérébrale. Aucune cause cardio-embolique n'a pu être identifiée par l'échocardiographie transthoracique. Dans le contexte de cet événement cérébro-vasculaire, un traitement par Aspirine a été débuté ainsi qu'une statine. La surveillance neurologique et rythmique en unité Stroke monitorée a été sans particularité. Un enregistrement Holter a été organisé au cours du séjour hospitalier, dont le résultat sera à pister. Les suites d'hospitalisations sont simples, avec une évolution favorable permettant le retour de la patiente à son domicile le 04.01.2019. Par ailleurs, la famille a pu nous confirmer qu'une bonne autonomie à domicile (y compris pour les AVQ) était bien présente chez Mme. Y aux dernières nouvelles. Nous n'avons donc pas jugé nécessaire d'investiguer davantage les troubles cognitifs déjà décrits par une observation à l'UATO, ni d'établir une évaluation détaillée des AVQ pour le moment, la patiente souhaitant regagner le domicile au plus vite. Nous vous proposons toutefois de réévaluer l'indication à une consultation au Centre de la mémoire afin d'évaluer plus en profondeur les troubles mnésiques, qui figurent au premier plan dans le contexte des troubles cognitifs discutés (MOCA à 17/30 le 03.01.2018). Afin d'augmenter la sécurité à domicile, la patiente a accepté la mise en place d'un Secutel, ainsi que de réinstaurer le passage d'une aide pour la douche 1x/semaine, en plus du passage pour le semainier. Mme. Y, une patiente de 65 ans connue pour un cancer du poumon composite (SCLC & épidermoïde) et une pneumopathie interstitielle fibrosante, est hospitalisée pour une toux et une dyspnée. La patiente présente, depuis son deuxième cycle de chimioimmunothérapie palliative (Atezolizumab, Paraplatine, Etopophos) il y a 2 semaines, une augmentation de la dyspnée et de la toux avec des expectorations non purulentes et une IVRS. La patiente est sous oxygénothérapie à domicile. Au statut d'entrée, nous ne constatons pas d'état fébrile et des murmures vésiculaires symétriques sans bruit surajouté. Au bilan biologique, nous n'observons pas de syndrome inflammatoire. La gazométrie est dans la norme avec une patiente sous 2 L d'oxygène. Un PET-CT du 14.01.2019 montre une nette amélioration de la ventilation du poumon gauche, avec diminution de l'épanchement et des infiltrats, une fibrose pulmonaire stable et pas d'embolies pulmonaires. Nous retenons une insuffisance respiratoire hypoxémique sur IVRS versus post-chimioimmunothérapie dans un contexte d'atteinte pulmonaire multiple. Nous poursuivons l'oxygénothérapie avec une bonne évolution clinique. Nous proposons la poursuite de l'oxygénothérapie à domicile déjà en place. Au niveau oncologique, la patiente a sa prochaine cure de chimioimmunothérapie prévue le 24-25.01.2019. Un rendez-vous est organisé chez le Dr. X le 23.01.2019 à 14h pour évaluer la possibilité de la prochaine cure de chimioimmunothérapie. Au niveau de la fibrose pulmonaire, nous poursuivons le traitement par prednisone. Le PET-CT du 14.01.2019 montre une fibrose stable par rapport au dernier PET CT du 18.10.2018.Au bilan biologique d'entrée, nous constatons une hypokaliémie et hypomagnésémie que nous substituons per os. La kaliémie est rapidement corrigée. Le magnésium est en voie de correction, nous continuons la substitution. Par la suite, nous constatons une hypophosphatémie et une hypercalcémie probablement en lien avec son hyperparathyroïdisme primaire. La vitamine D revient dans la norme et l'hormone parathyroïdienne intacte augmente. Nous proposons à la Dr. X un contrôle des électrolytes. La patiente sera convoquée en endocrinologie le 23.01.2019 pour réévaluer la nécessité d'adapter le traitement de Mimpara. Au niveau hématologique, nous constatons une anémie normocytaire normochrome régénérative à 88 G/l avec une composante inflammatoire. Nous n'objectivons pas de signe d'extériorisation, pas d'hémolyse ni de carences vitaminiques. Nous proposons un suivi biologique. Nous observons un profil tensionnel bas avec une patiente qui présente des vertiges. Nous diminuons le torem à 2,5 mg/jour et proposons de réévaluer sa posologie à distance. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 22.01.2019. Mme. Y est une patiente de 60 ans, connue pour une maladie intestinale inflammatoire chronique avec des antécédents de pouchites récidivantes, qui consulte les urgences le 01.01.2019 en raison d'un état fébrile évoluant depuis 4 jours, accompagné de douleurs abdominales. Un CT abdominal montre une pouchite avec en plus une inflammation s'étendant à l'iléon distal. La patiente est alors hospitalisée et bénéficie d'une antibiothérapie par Tazobac jusqu'au 07.01.2019. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable. Elle rejoint son domicile le 07.01.2019 et sera suivie au cabinet du Professeur X. Mme. Y nous est transférée du service de neuroréhabilitation de l'HFR Meyriez-Murten pour investigations d'une hématochézie et une anémie récidivante d'origine incertaine. Pour rappel, la patiente est hospitalisée suite à un AVC ischémique pariétal gauche manifesté par un hémisyndrome moteur pur brachio-crural droit le 02.11.2018. À l'admission, elle n'a pas de plainte spontanée et nous dit que l'hémisyndrome moteur droit a presque totalement régressé. À l'anamnèse par système, elle rapporte une dyspnée NYHA II, des épisodes de palpitations, des œdèmes des membres inférieurs bilatéraux jusqu'à mi-jambe stables et des douleurs aux pieds, exacerbées la nuit. L'examen neurologique retrouve un discret steppage du pied droit et une hypoesthésie distale en chaussette des membres inférieurs. Le bilan biologique montre une anémie hypochrome microcytaire. Jusqu'à avant l'hospitalisation, la patiente habitait seule dans un appartement avec trois marches pour y accéder. En raison d'un syndrome de Diogène, elle vivait dans des conditions hygiéniques précaires et a refusé toute aide mise en place. Elle est seule en Suisse, il lui reste une sœur en Italie. Mme. Y présente une aggravation de l'anémie hypochrome microcytaire, d'origine probablement spoliative et carentielle, en lien avec plusieurs épisodes de méléna et hématochézie. La colonoscopie du 11.12.2018 révèle une grande tumeur sténosante du pôle iléo-caecale autour de la valve iléo-caecale et une deuxième tumeur de 2-3 cm de diamètre dans le sigmoïde à environ 25 cm de la marge anale. Nous complétons le bilan par un CT thoraco-abdomino-pelvien qui retrouve des adénopathies mésentériques iléo-caecales (au moins 7) et de multiples nodules et micronodules (>20) pulmonaires mesurant jusqu'à 6 mm de diamètre d'allure métastatique. Les examens histologiques retrouvent une positivité pour les marqueurs MLH1, MSH2 et PMS2, et une instabilité microsatellitaire compatible avec une mutation germline MSH6. La patiente est convoquée par les collègues du service d'oncologie (Dr. X) qui retiennent le diagnostic d'un adénocarcinome colorectal du côlon ascendant du type Hereditary Nonpolyposis Colorectal Cancer (HNPCC) de stade IV avec des métastases pulmonaires. Après discussion avec Mme. Y, une chimiothérapie palliative est envisagée. Pour cela, elle bénéficie de la pose d'un port-à-cath le 27.12.2018 qui se déroule sans problèmes. Elle sera convoquée par le service d'oncologie pour le début de la chimiothérapie ambulatoire. En raison de l'anémie récidivante dans le cadre tumoral, l'anticoagulation par Eliquis est suspendue puis arrêtée définitivement avant la sortie. D'ailleurs, la patiente bénéficie d'une transfusion de quatre CE au total durant l'hospitalisation. En accord avec les collègues de l'unité de diabétologie, nous adaptons les doses d'insuline. Après plusieurs discussions avec la patiente, elle décide de chercher une place dans un EMS. Parallèlement, Mme. Y bénéficie d'une réhabilitation précoce individuellement adaptée. À l'entrée, elle peut faire les transferts sous supervision (FIM 5), et marche avec le rollator sous supervision (FIM 5). Le Tinetti est à 10/28. Grâce à des séances intensives de physio- et ergothérapie, une amélioration de la mobilité et de l'autonomie est observée. À la sortie, la patiente peut faire les transferts de manière autonome (FIM 6), marche sous supervision avec les cannes anglaises (FIM 5) et peut monter neuf marches d'escalier avec une aide de contact (FIM 4). Le Tinetti est à 18/28. Mme. Y peut donc être transférée à l'EMS Villa Beausite à Fribourg le 01.01.2019. Nous avons appris qu'entretemps, Mme. Y est décédée après plusieurs AVC. Mme. Y est hospitalisée pour une colonoscopie et rectosopie en électif par le Dr. X le 23.01.2019. Cet examen est effectué dans un contexte post-sigmoïdectomie selon Hartmann pour diverticulite avec péritonite le 25.10.2018 en vue d'un rétablissement de continuité prévu en février 2019. La colonoscopie par la stomie ne démontre aucune lésion de la muqueuse colique et la rectoscopie montre une persistance d'environ 15 cm de rectum sans aucune lésion de la muqueuse. Les suites post-gestes sont sans particularité. Mme. Y rentre à domicile le 23.01.2019. La suite de prise en charge sera assurée par l'équipe de chirurgie. Mme. Y, votre patiente de 73 ans, suivie en oncologie par le Prof. Dr. X pour un cancer bilatéral du poumon avec progression métastatique sous chimiothérapie de confort, est hospitalisée pour une baisse de l'état général sur une dénutrition sévère dans ce contexte oncologique connu et complication inflammatoire. La patiente vivant avec son fils se plaint d'une inappétence, d'une asthénie sévère et d'une perte de force avec impossibilité à la marche et alitement prolongé. La patiente espère retrouver un peu de force avant un retour à domicile. Le bilan d'entrée initial met en évidence une dénutrition avec cachexie sévère ainsi que des troubles électrolytiques. Aussi, une substitution électrolytique et calorique est débutée par la sonde naso-gastrique. Cependant, devant une hyponatrémie débutante, nous initions une restriction hydrique, dont le suivi est assuré par nos collègues des soins palliatifs où la patiente est transférée. D'un point de vue infectieux, la patiente présente une majoration de son syndrome inflammatoire avec une CRP initiale à 246 mg/l et une hyperleucocytose neutrophile, dans un contexte de toux et d'une clinique mettant en évidence une discrète hypoventilation basale droite. La radiographie du thorax montre une majoration de l'épanchement pleural droit avec opacité diffuse dans la partie restante du poumon droit ventilé. La patiente est mise au bénéfice d'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline pour une probable pneumonie, avec diminution du syndrome inflammatoire (CRP à 151 mg/l à la sortie). Nous vous proposons la poursuite de l'antibiothérapie per os par Co-Amox jusqu'à son terme prévu le 18.01.2019.Notons une candidose buccale chronique atrophique pour laquelle un traitement par Mycostatine est initié. Nous vous laissons le soin du suivi clinique et une adaptation du traitement en fonction. La patiente est transférée ce jour à la villa Saint-François pour la suite de la prise en charge palliative et des soins de confort. Mme. Y est une patiente de 17 ans, connue pour un asthme, qui consulte le 26.01.2019 aux urgences en raison de douleurs abdominales aiguës péri-ombilicales irradiant en fosse iliaque droite, évoluant depuis 48 heures, avec un état fébrile à 38° et des nausées. Le laboratoire initial démontre une CRP à 26 sans leucocytes et à l'ultrason une appendicite est confirmée. La patiente bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique le 27.01.2019 qui se déroule sans complication. L'évolution est par la suite favorable. Mme. Y rentre à domicile le 28.01.2019. Mme. Y est amenée aux urgences le 02.01.2019 en raison de douleurs abdominales diffuses, crampiformes, accompagnées de diarrhées depuis 6 jours (3 à 4 épisodes/jour) avec nausées et un épisode de vomissement. Pas de notion d'état fébrile, pas de sang dans les selles. Pas de notion de contagion, d'alimentation suspecte ou de prise d'antibiothérapie. Elle a consulté le médecin de garde le 31.01.2018 qui a prescrit du Buscopan, Bioflorin et Motilium, sans amélioration. A l'admission aux urgences, Mme. Y est en état général conservé. Elle est déshydratée. Au status digestif, l'abdomen est souple avec une sensibilité diffuse, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont augmentés en intensité, normaux en fréquence. Le Murphy et le Rovsing sont négatifs. Le status cardio-pulmonaire et neurologique est dans la norme. Le laboratoire montre une CRP à 53 mg/l sans leucocytose. La coproculture revient positive pour Campylobacter et nous introduisons une antibiothérapie par Azithromycine dès le 03.01.2019 pour une durée de 3 jours. Le laboratoire met également en évidence une insuffisance rénale aiguë AKIN 1 pré-rénale sur déshydratation due à des diarrhées, une hypokaliémie, que nous substituons du 05 au 06.01.2019, ainsi qu'une hyponatrémie. La patiente est hydratée et nous mettons transitoirement le traitement de Comilorid en suspens avec bonne réponse. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable et Mme. Y peut regagner son domicile le 06.01.2019. Mme. Y, patiente de 82 ans connue pour une coronaropathie bi-tronculaire stentée en 2005, est hospitalisée dans le cadre d'une probable démence. L'anamnèse auprès de la patiente est peu contributive. L'hétéro-anamnèse met en évidence un probable déclin cognitif avec de nombreux oublis et une impossibilité de vivre à domicile. L'examen clinique montrait des épisodes de dyspnée intermittents, surtout en position couchée et s'améliorant en position assise. L'auscultation était limitée par la compliance de la patiente. Avant son entrée, la patiente qui est veuve vivait seule à domicile et n'avait pas d'aide externe. Elle doit monter un escalier de 20 marches. Elle bénéficie d'une radiographie du thorax mettant en évidence des signes d'insuffisance cardiaque décompensée sans épanchement pleural. Nous introduisons un traitement de Torem et Lisinopril de manière progressive adaptée aux signes de surcharge de la patiente avec une bonne évolution des oedèmes et de la symptomatologie. Sur le plan cognitif, nous suspectons une démence d'origine incertaine avec un MMS à 16/30 et selon l'hétéro-anamnèse avec la famille. Un bilan biologique est aligné. L'évaluation neuropsychologique montre une démence sévère probablement de type Alzheimer, non compatible avec un retour à domicile, raison pour laquelle une entrée en home est décidée avec la famille. Parallèlement, Mme. Y bénéficie d'une réadaptation précoce individuellement adaptée. A l'entrée, elle nécessite de la supervision dans les transferts et à la mobilisation. Grâce à des thérapies intensives, elle améliore sa force et son endurance. A la fin de l'hospitalisation, la patiente est autonome dans les transferts, se déplace seule sans moyens auxiliaires sur de longues distances et peut monter 18 marches d'escalier avec une aide de contact léger. Le Tinetti est à 21/28. Mme. Y peut être transférée dans le home de Tilia à Köniz le 04.01.2019. Mme. Y est une patiente de 45 ans, en bonne santé habituelle, qui consulte aux urgences le 27.01.2019 en raison de douleurs abdominales au niveau du bas ventre accompagnées de trois épisodes de diarrhée, sans état fébrile. Le laboratoire initial démontre une leucocytose. Un CT abdominal met en évidence une appendicite non compliquée. La patiente bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique le 28.01.2019 qui se déroule sans complications. L'évolution est par la suite favorable. Mme. Y rentre à domicile le 29.01.2019. Mme. Y, patiente de 72 ans en bonne santé habituelle, est hospitalisée dans un contexte de STEMI sur occlusion de l'IVA le 19.01.2019. La patiente présente comme plainte initiale des douleurs épigastriques caractérisées comme invalidantes, motivant une consultation au service des urgences. Devant un sus-décalage dans le territoire antérieur mis en évidence à l'ECG avec pic de CK à 1410 U/l, une coronarographie est effectuée en urgence permettant une recanalisation par thrombo-aspiration et pose de 2 stents sur l'IVA proximale et moyenne. Cet examen met en évidence une cardiopathie bitronculaire avec sténoses significatives de la circonflexe également, ainsi qu'une akinésie antéro-apicale dans un contexte de FEVG sévèrement limitée. La surveillance post-coronarographie révèle l'apparition de douleurs en fosse iliaque droite suspectes d'un hématome rétropéritonéal au site de ponction. L'anticoagulation thérapeutique d'héparine est suspendue. Le bilan angiologique nous permet d'exclure une complication artérielle locale. L'anticoagulation est donc reprise suite à la stabilisation de l'hémoglobine et l'exclusion radiologique de source de saignement actif. Le contrôle échocardiographique à 72h met en évidence une image suspecte de thrombus intracardiaque dans le contexte de la dysfonction ventriculaire gauche sévère avec l'akinésie apicale. Le traitement anticoagulant d'héparine est repris à dose thérapeutique et la surveillance clinico-biologique ne révèle pas d'argument en faveur de nouvelle complication. Un relais pour de l'Arixtra est effectué dès le 25.01.2019. Sur le plan médicamenteux, une double anti-agrégation par de l'Aspirine (à poursuivre à vie) et Efient (à poursuivre pendant 1 an) est introduite. Le traitement d'insuffisance cardiaque (IEC, bêtabloquant et Aldactone) est introduit progressivement, bien toléré sur le plan hémodynamique. L'échocardiographie transthoracique révèle une amélioration de la FEVG à 40%. En raison de la cardiopathie bitronculaire avec lésions au niveau de la circonflexe, une nouvelle coronarographie est prévue le 05.02.2019. Sur le plan des facteurs de risque cardiovasculaire, le bilan anamnestique est peu contributif. Un taux sérique de lipoprotéine(a) est effectué qui se révèle être dans la norme. L'évolution favorable permet un retour à domicile le 28.01.2019 avec encadrement infirmier dans l'attente de la nouvelle coronarographie, prévue le 05.02.2019. Mme. Y, 72 ans, est hospitalisée pour la prise en charge d'un STEMI antérieur sur occlusion de l'IVA. La patiente a présenté depuis plusieurs jours des douleurs supra-ombilicales avec résolution spontanée, mais le matin du 19.01.2019, la persistance de ces douleurs ainsi que leur intensité ont motivé la consultation aux urgences de l'HFR Tavel où le diagnostic de STEMI a été reten.La coronarographie réalisée en urgence a mis en évidence un STEMI antérieur subaigu secondaire à l'occlusion de l'IVA moyenne. Il existe également des sténoses de la branche marginale et de la circonflexe moyenne. La fonction VG est sévèrement diminuée avec une akinésie septo-antéro-apicale. L'IVA a été recanalisée par thrombo-aspiration, angioplastie et pose de 2 stents actifs avec un bon résultat immédiat. Un bolus de réopro intra coronarien a été réalisé avec un relais IV pour une durée de 12h. Par la suite, une anticoagulation thérapeutique par héparine a été instaurée. Le pic de CK s'est élevé à 1410 U/l le 19.01.2019. Un hématome du psoas en l'absence de saignement actif ni de lésion artérielle au site de ponction a été diagnostiqué le 20.01.2019 suite à l'apparition de douleurs en fosse iliaque droite. L'anticoagulation thérapeutique d'héparine a été mise en suspens jusqu'au 21.01.2019, puis reprise à dose prophylactique face à la stabilisation de l'hématome et de l'hémoglobine. L'héparine sera augmentée prudemment (de 10000 à 15000 U/24h IV continu) en contrôlant le bilan hématologique pendant 48 heures. Une double antiagrégation plaquettaire par Aspirine à vie, Efient pendant 12 mois a été débutée. Le traitement de l'insuffisance cardiaque a été introduit progressivement. L'ETT de contrôle du 21.01.2019 a montré une amélioration de la fonction ventriculaire gauche avec une FE de 35%. Un traitement de métoprolol a été débuté à faible dose dès le 21.01.2019 et la spironolactone sera introduite selon le profil tensionnel. Une nouvelle coronarographie est à prévoir dans 2 semaines pour le traitement de la circonflexe et une réadaptation cardiovasculaire à l'HFR Billens en stationnaire devra être organisée dès que possible. Le mari de la patiente s'y trouve actuellement suite à une chirurgie cardiovasculaire. La patiente a été transférée le 21.01.2019 dans le service de médecine interne. Mme. Y, âgée de 64 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation générale suite à un déconditionnement physique ainsi qu'une dénutrition protéino-énergétique sévère dans le contexte d'une hospitalisation de 5 semaines, avec opération de résection du grêle avec stomie. Sur le plan social, la patiente vit seule à domicile. Elle a 2 enfants avec qui elle a des contacts réguliers. À l'admission, la patiente se plaint d'une baisse généralisée de la force. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. La patiente signale un poids diminué de 2 kg par rapport à son poids avant l'hospitalisation en soins aigus. Au status, la patiente est orientée et collaborante. Les cicatrices de la laparotomie et des plaies inguinales à gauche et à droite sont calmes mais il persiste un écoulement séreux à droite. La poche de stomie est en place, sans fuite. Les auscultations cardiaque et pulmonaire sont sans particularité. L'abdomen est souple, indolore, avec des bruits hydroaériques normaux en tonalité et en fréquence. Les loges rénales sont indolores à la percussion. Durant son séjour, les pertes hydriques par la stomie sont très importantes, environ 4000 à 5000 ml par jour. Les mesures prises en soins aigus sont complétées suite à un contact téléphonique avec la médecin spécialiste en nutrition clinique Dr. X, notamment des injections sous-cutanées de Sandostatine et la majoration de la posologie du Creon, avec une amélioration des pertes hydriques. Une substitution par voie intraveineuse des pertes électrolytiques et liquidiennes est effectuée chaque nuit avec une stabilisation de la situation clinique et de l'équilibre électrolytique. La patiente rapporte un sentiment de soif important qui persiste malgré l'adaptation de la restriction hydrique. Une baisse de la thymie est également constatée avec une fluctuation de l'humeur, en partie causée par l'éloignement physique de sa famille et de ses proches. Une réévaluation de la situation avec un transfert éventuel à l'HFR Riaz après la pose du PICC Line est prévue. Sur le plan nutritionnel, l'alimentation per os uniquement est un échec car les pertes sont importantes avec l'incapacité à stabiliser le poids malgré les adaptations. Plusieurs moyens sont pris pour diminuer les pertes hydriques, notamment la limitation des apports hydriques per os autres que Vichy Celestin et Normolytoral, et la limitation des édulcorants avec une évolution non satisfaisante. La décision d'une reprise de la nutrition parentérale est prise avec un projet de pose de PICC Line au service de radiologie de l'HFR Fribourg. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie, ergothérapie et nutrition clinique. Après 10 jours d'hospitalisation, lors d'une sortie avec sa famille le dimanche 06.01.2019, elle se rend aux urgences de l'HFR Fribourg en raison d'une baisse de l'état général. L'hospitalisation sera poursuivie dans un autre service. Mme. Y présente une méniscopathie chronique sur status post-méniscectomie partielle du ménisque interne et plastie du LCA du genou droit. Je propose dans un 1er temps un essai de traitement conservateur avec de la physiothérapie. Je la reverrai dans 2 mois pour une réévaluation clinique. En cas de persistance de douleurs, on pourrait éventuellement effectuer une infiltration par cortisone. Pour le moment, je n'ai pas d'indication pour une arthroscopie. Pas d'arrêt de travail. La patiente est à l'AI. Prochain rendez-vous : 13.03.2019. Mme. Y consulte aux Urgences pour des douleurs thoraciques irradiant dans la mâchoire depuis 12h. Elle aurait mesuré sa tension artérielle en ambulatoire à des valeurs inhabituellement hautes (TAS 170 mmHg) et se serait automédiquée par Nifédipine. Aux Urgences, les paramètres sont les suivants : FC 69/min, TA 156/67 mmHg, SpO2 97% à l'air ambiant. Le laboratoire initial met en évidence une augmentation légère des troponines sans cinétique. Sur avis des cardiologues, une coronarographie est effectuée, ne montrant pas de nouvelle sténose et un bon résultat à court terme de la PCI de l'artère circonflexe. En cas de récidive de la symptomatologie et de la mise en évidence d'une nouvelle occlusion de la circonflexe, l'indication à la mise en place d'un pontage sera posée. Concernant le traitement d'insuffisance cardiaque, l'aldactone est rajoutée durant l'hospitalisation. Un rendez-vous à votre consultation pour contrôle de la kaliémie est programmé. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 15.11.2018. Mme. Y, connue pour une cardiopathie ischémique et valvulaire, une hypertension artérielle et un diabète de type 2, est amenée aux urgences le 03.01.2019 en raison d'une dyspnée depuis 2 à 3 jours, en péjoration ce jour et accompagnée d'importants oedèmes des membres inférieurs ainsi qu'une prise pondérale de 4 kg en une semaine. La patiente signale également des diarrhées depuis 2 à 3 jours. De plus, elle rapporte une chute accidentelle de sa hauteur le 28.12.2018 avec réception sur le côté gauche du thorax, avec depuis lors des douleurs basi-thoraciques gauches. Mme. Y vous consulte le 02.01.2019 et suspectant une pneumonie, vous débutez une antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g per os 2x/j. À noter que la patiente présente un épisode de vomissement après la prise de la co-amoxicilline. Pas d'autre plainte ni douleur à l'anamnèse par système. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés. Présence d'un souffle systolique aortique à 2/6. Pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire. Importants oedèmes des membres inférieurs. Les mollets sont souples, le ballant est conservé. Au status respiratoire, présence de râles crépitants en base gauche. Sur le plan digestif, l'abdomen est souple et indolore. Les bruits digestifs sont normaux en fréquence et en tonalité. Les loges rénales sont souples et indolores. Au status ostéoarticulaire, douleurs à la palpation au niveau des 8 à 10 antérieures gauches, pas de douleur à la palpation des autres structures osseuses.Le bilan sanguin montre insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 128 mmol/l, un syndrome inflammatoire avec une CRP à 127 mg/l sans leucocytose et une anémie normocytaire normochrome à une hémoglobine à 112 g/l. Les tests hépatiques sont dans la norme hormis une gamma GT et une bilirubine directe légèrement augmentées. Le pro-BNP est à 7'135 ng/l. La gazométrie montre une légère hypoxémie à 8.8 kPa sans rétention de PCO2. La radiographie du thorax montre un élargissement global de la silhouette cardiomédiastinale, un épanchement pleural gauche de faible abondance avec une hypoventilation basale. Devant l'examen clinico-biologique et radiologique, nous retenons une décompensation cardiaque, raison pour laquelle nous mettons la patiente sous Lasix iv avec une bonne réponse clinique. Nous suspectons également une pneumonie et dans ce contexte, la patiente bénéficie d'une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv durant 7 jours au total. A l'admission, nous mettons en évidence un globe vésical. Une sonde urinaire est mise en place et ramène 530 ml d'urine. Cette dernière est retirée durant le séjour avec reprise d'une miction spontanée. Suspectant une gastro-entérite, nous prélevons une culture de selles qui revient négative. La recherche d'antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque revient également négative. Concernant l'insuffisance rénale, nous mettons en suspens la Metformine durant le séjour, en ne gardant que le Januvia au vu d'une clairance de créatinine à 24 ml/min selon Cockroft & Gault. Nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle laboratoire lors de la consultation prévue le 18.01.2019 et de reprendre la Metformine en fonction des résultats. Concernant l'insuffisance cardiaque, le Dr. X, cardiologue, propose d'introduire un IEC et un bêta-bloquant à petites doses. En raison de la péjoration de la fonction rénale, l'IEC n'est pas introduit et nous vous laissons le soin de débuter ce traitement selon l'évolution de la fonction rénale. Le Dr. X propose également une échocardiographie en ambulatoire. L'évolution est par la suite favorable et Mme. Y peut regagner son domicile le 15.01.2019. Mme. Y est une patiente de 79 ans, connue pour hypothyroïdie substituée, qui est hospitalisée pour un AVC sylvien droit. Elle présente depuis le 15.01.2019 un état d'agitation, de confusion et une chute. A l'entrée, on décompte un NIHSS à 4 (désorientation envers sa personne 1 pt, parésie faciale gauche mineur 1 pt et héminégligence multimodale 2 pts (spatiale, visuelle et sensorielle fluctuante). Un AVC ischémique sub-aigu sylvien droit dans la norme est retrouvé à l'angio-CT cérébral. Les vaisseaux pré-cérébraux sont dans la norme. L'origine est probablement cardioembolique sur la FA nouvelle. Le bilan d'AVC met en évidence une dyslipidémie pour laquelle nous introduisons un traitement de statine. Une imagerie de contrôle par IRM ne montre pas de transformation hémorragique, mais une nouvelle lésion punctiforme frontale droite. Excepté une désorientation fluctuante, la patiente ne présente plus de symptômes neurologiques à son transfert. Sur le plan cardiologique, Mme. Y présente également une décompensation cardiaque pour laquelle nous introduisons un traitement d'IEC et de diurétique avec bon effet. L'ETT montre un ventricule gauche non dilaté, avec une fonction contractile globale normale, une FEVG à 70 % et une oreillette gauche très dilatée. La FA est traitée et ralentie par bêta-bloquant. Une anticoagulation est débutée par Xarelto dès le 22.01.2019. Au vu d'un potentiel de récupération et après discussion avec la famille et la patiente, il est convenu d'une réadaptation gériatrique. Mme. Y est reclassée dans l'intervalle. Mme. Y, connue pour une épilepsie tonico-clonique sous Keppra, est amenée aux urgences en ambulance le 31.01.2018 suite à une récidive de crise épileptique. La patiente était au loto quand, vers 23h00, elle présente un étourdissement avec confusion d'une durée de quelques minutes, suivis d'une crise - identique à celles dont elle souffre - tonico-clonique généralisée d'une durée d'environ 10 minutes, sans morsure de langue mais avec pertes urinaires. Son ami appelle l'ambulance, mais à l'arrivée des ambulanciers la crise est résolue et la patiente présente un état confusionnel post-critique. La patiente n'a pas consommé d'alcool ni de drogue mais elle rapporte une fatigue depuis quelques jours. La dernière crise remonte à 4 - 5 jours (durant la nuit), du même type, mais d'une durée plus courte. Pour rappel, la patiente a été hospitalisée à l'hôpital Riviera-Chablais, site de Vevey, pour une crise d'épilepsie au mois d'octobre. A noter également que début novembre, vous avez ajouté le Topiramate à son traitement habituel, que la patiente a arrêté d'elle-même en raison d'une sensation de mal-être généralisé. A l'admission aux urgences, Mme. Y est en état général conservé. Elle est désorientée dans le temps et l'espace et présente une amnésie circonstancielle. Les constantes sont bonnes. Le status cardio-pulmonaire est sans particularité. Au niveau neurologique, pas de déficit des nerfs crâniens, force et sensibilité conservées aux 4 membres avec réflexes ostéotendineux hypervifs et symétriques. Mingazzini et Barré tenus. L'ECG ainsi que le laboratoire sont sans particularité. La patiente récupère rapidement (15-20 minutes) de son état post-critique et elle est gardée pour surveillance en lit d'observation aux urgences. Un CT scan cérébral réalisé afin d'exclure une atteinte cérébrale ou un traumatisme, revient dans la norme. Au laboratoire, nous ne retrouvons pas d'altérations électrolytiques qui puissent expliquer la crise, hormis une légère hypokaliémie que nous substituons per os. Une étiologie infectieuse est également écartée au vu d'une CRP inférieure à 5 mg/l. La patiente informe ne prendre son traitement qu'une fois par jour le soir, nous retenons une récidive de crise d'épilepsie sur non compliance médicamenteuse. La dernière dose a été administrée le 01.01.2019 à 01h00 du matin. Le Dr. X, neurologue de garde, propose de donner 1 g de Keppra à 16h30. Par la suite, elle recommande de reprendre le traitement prescrit de 750 mg 2x/j, matin et soir. Le 01.01.2019 à 18h25, au vu de la stabilité clinique, Mme. Y quitte notre service pour regagner son domicile. Elle prendra rendez-vous à votre consultation dès que possible. Mme. Y présente une fracture non déplacée de la phalange distale de l'hallux gauche ne nécessitant pas de traitement chirurgical. Elle continuera avec la syndactylie au besoin. Pas de contrôle radiologique ni de contrôle clinique pour l'instant. La patiente me recontactera en cas de besoin. Sinon, fin du traitement. Mme. Y, patiente de 19 ans, connue pour une tachycardie d'origine indéterminée (IRM cardiaque, Dr. X), malaises de type vagal et asthme dans l'enfance, est hospitalisée en raison d'une dyspnée avec toux irritative suite à une possible broncho-aspiration. La patiente, étudiante ASSC, rapporte avoir avalé de travers du thé froid en riant et avoir eu de la peine à respirer normalement par la suite.A son arrivée au service des urgences, une gazométrie artérielle montre une alcalose respiratoire sur l'hyperventilation et une radiographie de thorax ne montre pas de foyer. La patiente évolue favorablement avec aérosols d'Atrovent et Ventolin et présente cependant encore un malaise orthostatique et une tachycardie déjà connus par la patiente. Elle est hospitalisée avec antibiothérapie intraveineuse. Le lendemain, la patiente se plaint encore de toux irritative et présente un nouveau malaise. Le laboratoire est dans la norme et l'antibiothérapie est stoppée. L'ECG est dans la norme et au vu de la tachycardie, la dyspnée et les épisodes de malaise, malgré un risque faible d'embolie pulmonaire, le bilan est complété par des D-dimères qui reviennent négatifs. L'antibiothérapie est rapidement arrêtée. Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Y peut rentrer à domicile le 10.01.2019 avec traitement symptomatique. Elle est avisée de reconsulter en cas d'apparition de fièvre. Mme. Y, 28 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour un STEMI le 03.01.2019. Elle est connue pour de multiples consommations de substances (crystal meth, GHB et MDMA) et présente une douleur rétrosternale ce jour. L'ECG réalisé aux urgences montre des ondes de Pardee dans les dérivations latérales. Un traitement par Aspegic, efient et héparine est débuté aux urgences. La patiente bénéficie d'une coronarographie en urgence qui montre. Mme. Y, connue pour une cardiopathie ischémique et une BPCO non documentée, est hospitalisée pour prise en charge d'une décompensation cardiaque sur exacerbation de BPCO et troubles du rythme. La patiente se présente au service des urgences en raison d'une toux productive et d'une dyspnée de stade NYHA IV depuis 2 jours. Le bilan paraclinique met en évidence un syndrome inflammatoire avec des signes de surcharge cardiaque et des épaississements bronchiques à la radiographie. Mme. Y est traitée par diurétiques, aérosols et VNI avec une réponse clinique rapidement favorable. Une antibiothérapie est débutée pour couvrir l'exacerbation de BPCO. Une échocardiographie a montré une fonction cardiaque conservée. La patiente présente deux brefs épisodes de douleurs thoraciques pendant le séjour, mis sur le compte de probables passages en FA rapide à 160/min (possiblement associés au Salbutamol), motivant une majoration du traitement bêta-bloqueur et un enregistrement électrocardiographique sur 24h, dont les résultats ne montrent pas de passage en tachycardie supraventriculaire soutenue. Il n'y avait pas d'argument pour un évènement ischémique au vu de l'ECG rassurant et des enzymes cardiaques sans cinétique. Sur le plan pneumologique, au vu du problème rythmique possiblement lié à l'administration de Salbutamol, nous avons introduit un traitement combiné de BPCO par Ultibro, avec des aérosols d'Ipratropium et de la Prednisone pour le traitement d'exacerbation aiguë. La patiente a présenté une évolution favorable sous ce traitement et devrait bénéficier d'un contrôle en Italie avec fonctions pulmonaires et adaptation du traitement le cas échéant. Nous relevons une anémie pendant le séjour dont les investigations seront à effectuer en ambulatoire. Au vu de l'évolution favorable, et contraint d'accélérer le retour en Italie de la patiente pour des raisons assécurologiques, nous laissons Mme. Y quitter l'hôpital le 14.01.2019. A son retour en Italie, un contrôle clinique et biologique (fonction rénale) par le médecin traitant est souhaitable dès que possible, ainsi qu'une réévaluation du trouble du rythme par le cardiologue. Si possible, une réadaptation gériatrique (reconditionnement à l'effort) serait recommandée au vu d'une dyspnée à l'effort importante. De plus, un bilan pneumologique est à organiser dans les meilleurs délais au vu d'une problématique de BPCO non évaluée jusqu'à présent. Mme. Y, patiente de 23 ans, est hospitalisée dans le cadre de récidive de douleurs thoraciques depuis 2 à 3 semaines, avec une dyspnée à l'effort en progression associée à une toux avec crachats intermittents de couleur brune à verdâtre. Pas d'autres plaintes hormis une asthénie. A noter que la patiente avait consulté en décembre 2018 pour des douleurs thoraciques de caractère différent avec un diagnostic de pleurite sèche retenu au service des urgences. Le bilan initial permet d'exclure une ischémie cardiaque ou une embolie pulmonaire. L'angio-CT met en évidence un épanchement pleural gauche important ponctionné aux urgences. Le geste permet le retrait de 750 ml de liquide exsudatif à prédominance lymphocytaire. Les cultures reviennent négatives. La cytologie montre une inflammation chronique à prédominance lymphocytaire avec des cellules mésothéliales régulières ou réactionnelles sur fond d'éléments inflammatoires polymorphes. Nous procédons à un bilan rhumatologique afin d'exclure un lupus ou autre cause inflammatoire qui revient négatif. Sur avis pneumologique, nous complétons le bilan par la recherche de tuberculose. La PCR est négative ainsi que les expectorations. Les cultures de mycobactéries sont en cours. L'évolution clinique est favorable sous anti-inflammatoire sans récidive d'épanchement. La patiente sera revue en consultation pneumologique dans 2 semaines pour discuter des résultats des investigations et de la suite de la prise en charge. Mme. Y montre une très bonne évolution clinico-radiologique et peut rentrer à domicile le 24.01.2019. Un contrôle chez son médecin traitant est recommandé en début de semaine prochaine. Mme. Y est une patiente de 29 ans qui se présente aux urgences avec une clinique d'appendicite aiguë. Un bilan radiologique confirme le diagnostic d'une appendicite rétro-caecale. La patiente bénéficie alors d'une laparoscopie exploratrice qui retrouve un appendice inflammé, rétro-caecal, très court et épaissi ce qui ne permet pas un agrafage à la base. Nous convertissons alors en laparotomie pour effectuer une résection iléo-caecale. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont favorables et la patiente peut retourner à domicile le 24.01.2019. Mme. Y, patiente de 75 ans, connue pour un carcinome canalaire invasif du sein gauche traité par tumorectomie, radiothérapie adjuvante et hormonothérapie par Létrozole, consulte les urgences de Riaz le 30.12.2018 pour une perte de force avec sentiment d'engourdissement du membre supérieur gauche et une faiblesse dans les membres inférieurs, ressentis le matin au réveil. Après avis neurologique, la patiente est transférée à l'HFR Fribourg pour suite de prise en charge où un CT cérébral montre deux lésions nodulaires parenchymateuses frontales gauches, évoquant dans un premier temps des nodules métastatiques au vu du contexte. La patiente est hospitalisée en neurochirurgie pour surveillance neurologique rapprochée, en attente d'une IRM. L'examen montre des épaississements méningés dans les régions frontales, évoquant en premier lieu des lésions de type méningiome. Les neurochirurgiens ne retiennent pas d'indication opératoire et au vu de la résolution des symptômes, la patiente est transférée dans le service de médecine interne. La patiente bénéficie d'un EEG ne montrant pas de foyer épileptogène. Au vu du contexte oncologique, une méningite carcinomateuse ne peut être exclue et une PL est réalisée le 04.01.2018 montrant 0 élément et une cytologie normale. Le bilan est complété avec une HbA1c dans la norme et un bilan lipidique montrant une hypercholestérolémie, motivant l'introduction d'une statine. Les neurologues retiennent donc un probable AIT sylvien droit et l'Aspirine est relayée par du Plavix. Le bilan étiologique sera complété par une ETT et un Holter pour lesquels la patiente sera convoquée en ambulatoire.Concernant les méningiomes, les neurochirurgiens proposent une IRM de contrôle à 3 mois pour suivi de l'évolution, que nous vous laissons le soin d'organiser. Mme. Y peut rentrer à domicile le 04.01.2019. Mme. Y, patiente de 48 ans, est admise aux soins intensifs pour surveillance d'embolies pulmonaires segmentaires droites. La patiente est amenée aux urgences suite à une chute mécanique de 10 marches dans les escaliers sans notion de perte de connaissance. Un Ct-scan total body effectué aux urgences retrouve une fracture de l'os propre du nez, des embolies pulmonaires segmentaires du lobe supérieur et inférieur droit ainsi qu'une lésion d'allure nécrotique au lobe supérieur gauche. Concernant les embolies pulmonaires, une anticoagulation par Liquémine ivc est débutée avec un relais par l'Enoxaparine par la suite. Le laboratoire des urgences montre une répercussion cardiaque avec des troponines positives et une bonne évolution par la suite. Une échocardiographie transthoracique montre une légère dilatation du ventricule D avec une légère HTP possiblement chronique qui reste à recontrôler dans 3 mois. Concernant la lésion d'allure nécrotique au lobe supérieur gauche déjà visualisée sur des CT-scan antérieurs, un avis pneumologique propose les prélèvements des expectorations avec la recherche de Mycobactérie, Aspergillus, bactériologie classique et une typisation lymphocytaire. Une bronchoscopie n'est pas réalisable en vue de l'anticoagulation thérapeutique. L'avis infectiologique étant en cours nous vous laissons le soin de le pister et d'introduire une antibiothérapie. Notons également un syndrome inflammatoire qui peut s'inscrire dans une infection pulmonaire avec une possible composante des nombreux hématomes traumatiques. La fracture de l'os propre du nez n'a pas de répercussion au niveau de la respiration nasale, un suivi par la nasofibroscopie par nos collègues ORL reste à effectuer dans une semaine. Le traitement de son syndrome anxio-dépressif reste à réintroduire. Mme. Y, patiente de 77 ans connue pour un trouble bipolaire type 1, est hospitalisée dans un contexte d'état confusionnel aigu sur globe vésical. La patiente présente une attitude oppositionnelle aux soins sur le weekend avec refus de prise de traitements médicamenteux et d'alimentation per os depuis 72h motivant l'hospitalisation. Une leucocyturie est mise en évidence au service des urgences motivant un traitement de Rocéphine pour suspicion d'infection urinaire. L'évolution sous antibiothérapie est favorable, notamment sans événement fébrile ni complication infectieuse. La culture urinaire effectuée confirme la présence d'un Escherichia Coli multisensible. Devant l'évolution favorable, un relais per os est effectué le 22.01.2019 pour du Nitrofurantoïne. La sonde vésicale posée le 20.01.2019 devant le globe vésical est enlevée le 22.01.2019 avec reprise adéquate de la diurèse. Sur le plan psychiatrique, Mme. Y présente un ralentissement psychomoteur avec des persévérations. Selon transmission médicale de l'EMS, il n'y aurait pas eu de modification récente du traitement pharmacologique psychotrope. Nous vous laissons le soin de réévaluer le traitement médicamenteux si avisé nécessaire en ambulatoire. Sur le plan cardiovasculaire, la patiente présente une tachycardie sinusale à 120/min persistante à 48h post-admission avec une stabilité tensionnelle. L'ECG confirme un sous-décalage du segment ST V5-V6. La patiente demeure afébrile et bénéficie d'une réhydratation. L'ECG de suivi révèle une amélioration partielle suite à la réhydratation. Sur le plan biologique, les examens de laboratoire révèlent une insuffisance rénale aiguë d'origine probablement pré-rénale, également d'évolution favorable. Mme. Y regagne la Résidence des Chênes le 24.01.2019. Mme. Y, âgée de 79 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une neuro-réadaptation suite à une encéphalopathie d'origine probablement médicamenteuse (Prégabaline, Buprénorphine) le 02.12.2018. Sur le plan social, la patiente, veuve, vit seule à domicile. Elle bénéficie des repas à domicile. À l'admission, la patiente se plaint de douleurs au dos et aux genoux, en péjoration à la mobilisation et d'un léger manque de force généralisé. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. À l'anamnèse par systèmes, la patiente signale un transit conservé, sans douleur abdominale. Elle rapporte une diminution de la netteté de la vision depuis son hospitalisation à Fribourg. La déglutition est sans particularité selon elle, sans fausse route. Au status, la patiente est orientée et collaborative. Au niveau de la cognition, absence de déficit sévère mais légers troubles mnésiques au niveau de la mémoire courte. Pupilles isoréactives direct et indirectement. Champs visuel avec légère héminégligence à gauche. Oculomotricité sans particularité. Reste des nerfs crâniens dans les normes. Au niveau des membres supérieurs, légère diminution de la force à gauche cotée à M4, à mettre dans le contexte de douleurs chroniques de l'épaule gauche. Sensibilité symétrique. Aux membres inférieurs, force symétrique cotée à M5, sensibilité conservée. Réflexes normovifs. Absence de Babinski. Hoffmann négatif. Diadococinésie normale, épreuve mains tendues sans abaissement, épreuve doigts-nez avec trémor intentionnel. Épreuve talon-genou sans crochetage. En position debout, polygone élargi avec sensation de perte d'équilibre. Marche limitée par les douleurs au genou gauche qui présente un valgus important, sans perte d'équilibre nette. Durant son séjour, la réadaptation physique est limitée par des gonalgies importantes bilatérales, connues, dans un contexte de prothèse du genou gauche en juillet 2016. Un examen radiologique du bassin et des hanches met en évidence des articulations coxo-fémorales conservées sans remaniement dégénératif osseux visible. L'antalgie est limitée par les antécédents neurologiques suite à la prise de Buprénorphine et de Prégabaline, et nous proposons à la patiente de transmettre la lettre de sortie au Centre médical de la gare de Bulle pour qu'elle soit convoquée pour une prise en charge multimodale de ses douleurs chroniques. Une évaluation neuropsychologique a été faite par les neuropsychologues à l'HFR Fribourg et un suivi à distance avec une nouvelle évaluation sera effectuée (la patiente sera convoquée). Sur le plan nutritionnel, la patiente a bénéficié d'une nutrition entérale par sonde naso-gastrique du 04.12 au 10.12.2018. À son arrivée à l'HFR Billens, il n'y a pas de trouble de déglutition aux solides et aux liquides. Durant l'hospitalisation, les besoins sont couverts à 90% avec des potages enrichis et des collations et des substituts nutritifs oraux, qui ont rapidement pu être arrêtés. Objectif : stabilisation du poids à 70 kg et avoir une alimentation suffisante en protéines à domicile. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie avec une évolution favorable. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec un rollator sur un périmètre de 30 m. Elle peut monter/descendre 3 marches d'escaliers sous surveillance avec 1 canne et la rampe. Après 2 semaines d'hospitalisation, Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 28.12.2018, en état général conservé. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile pour stabiliser les acquis et continuer d'améliorer la fonction ostéoarticulaire. Mme. Y bénéficie le 14.12.2018 d'un changement de cas pour réhabilitation suite à sa fracture du bassin.A son entrée elle se plaint de douleur de la hanche droite évaluée à 3/10. Au status orthopédique, nous retrouvons des douleurs à la mobilisation de la hanche droite. Le reste du status est dans les limites de la norme. Mme. Y est mariée et vit dans un appartement sans seuil avec ascenseur. Les soins à domicile passent 2x/semaine pour la douche. Son mari s'occupe de son épouse le reste du temps. Nous notons une diminution lente de l'hémoglobine. Du sang occulte est retrouvé dans ses selles dans un contexte d'anticoagulation prophylactique par Clexane, il n'y a pas de sang sur le doigtier au toucher rectal. Ainsi, nous introduisons du Pantozol. Pour les problèmes supplémentaires 2,3) veuillez vous référer au courrier du 14.12.2018. Concernant la nutrition, la patiente sort avec une ordonnance de supplément nutritif. Fonctionnellement, à l'entrée la patiente effectue les transferts avec aide légère de même que la marche assistée du Taurus avec un périmètre de marche de 100 mètres. La montée des escaliers n'est pas testée. Le risque de chute est nettement augmenté. Après une physio- et ergothérapie intensive, l'évaluation de sortie met en évidence des transferts et une marche réalisée avec le rollator sous guidance avec aide légère (en raison des troubles visuels) par les physiothérapeutes. Le périmètre de marche est de 250 mètres. La montée des marches n'est pas testée. Mme. Y peut rentrer à la maison le 03.01.2019 avec une aide à domicile 3x/semaine tel que convenu avec son mari. Mme. Y nous a été transférée du service d'orthopédie de l'hôpital de Tavel le 28.11.2018, après une fracture non déplacée de la branche ilio et ischiopubienne gauche. À l'entrée, la patiente se plaint de douleurs de la hanche droite au repos évaluées à 5-6/10. Le status est dans les limites de la norme. Mme. Y est mariée et vit dans un appartement sans seuil avec ascenseur. Les soins à domicile passent 2x/semaine pour la douche. Son mari s'occupe de son épouse le reste du temps. La fonction rénale reste stable durant tout le séjour. Le bilan d'anémie met en évidence une carence en acide folique que nous substituons. Nous dosons la vitamine D qui est dans les normes. Un bilan complet de la déglutition montre une dysphagie aux liquides motivant l'introduction d'une alimentation mixée et épaissie. Les médicaments sont par conséquent écrasés ou substitués dans une forme liquide. Après relecture de la radiographie du thorax du 26.11.2018, des fractures des côtes 6 à 8 à droite sont retrouvées sans épanchement pleural ou pneumothorax associé. Sur le plan de l'antalgie, l'oxycontin est majoré durant l'hospitalisation avec une bonne réponse sur les douleurs de hanche mais aussi sur les douleurs de côtes avec une évaluation de la douleur à 2/10 en fin de séjour. Le bilan cognitif d'entrée confirme les troubles cognitifs connus. Un bilan neuropsychologique avait déjà été réalisé en 2014. Fonctionnellement, à l'entrée, la patiente effectue les transferts avec aide légère, la marche se déroule de façon totalement dépendante assistée d'un Taurus avec un périmètre de marche de 10 mètres. La montée des escaliers n'est pas testée. Le risque de chute est très augmenté. En raison d'un risque de chute encore élevé, Mme. Y poursuit son séjour dans notre service avec intensification des thérapies dans le cadre d'une réhabilitation musculo-squelettique à partir du 14.12.2018. Au moment du changement de cas, les transferts sont réalisés avec une aide légère de même que la marche sur 100 mètres avec Taurus. Mme. Y est une patiente de 44 ans, qui est hospitalisée dans notre service de chirurgie pour la prise en charge en urgence d'un iléus sur tumeur sigmoïdienne sténosante. Elle bénéficie d'une laparoscopie exploratrice avec conversion en laparotomie pour la réalisation d'une transversostomie de décharge le 04.01.2019. Une biopsie d'un nodule sigmoïdien effectuée en peropératoire met en évidence une métastase ganglionnaire d'un adénocarcinome peu différencié d'origine colorectale. Le bilan d'extension effectué par PET-scan et IRM révèle une lésion utérine suspecte, raison pour laquelle un avis est demandé au CHUV (Dr. X) avec une nouvelle présentation à notre Tumorboard prévue le 16.01.2019. Dans l'intervalle, la patiente rejoint son domicile le 14.01.2019 et sera contactée pour la suite de la prise en charge. Mme. Y est hospitalisée dans un contexte de vomissements importants post-ingesta. Elle est connue pour une oesophagite avec pseudo Barrett et hernie hiatale (dernière gastro-colonoscopie en 2008). Une OGD est effectuée le 03.01.2019 et montre une candidose oesophagienne, une oesophagite et une gastrite antrale. Nous initions un traitement de fluconazole et poursuivons le pantoprazol. Progressivement, Mme. Y parvient à se réalimenter, sans fausses routes ni vomissements, et les douleurs épigastriques s'amendent. Au vu de l'évolution favorable, la patiente rentre à domicile le 09.01.2019. Mme. Y est une patiente de 79 ans connue pour un statut post-diverticulite sigmoïdienne traitée par antibiothérapie du 05.12.2018 pour 5 jours, qui se présente aux urgences en raison de douleurs abdominales crampiformes en fosse iliaque gauche depuis 24h avec des vomissements en grande quantité. Un CT scan met en évidence une diverticulite sigmoïdienne avec un iléus paralytique associé. La patiente est hospitalisée pour une antibiothérapie intraveineuse par Ceftriaxone et Metronidazole, une sonde naso-gastrique de décharge est posée le 01.01.2019. Au vu de l'évolution défavorable avec un iléus persistant, un CT-scan est répété le 04.01.2019 montrant une persistance d'iléus avec signes nouveaux de souffrance des anses intestinales distales. La patiente bénéficie donc d'une laparotomie exploratrice le 04.01.2019. En peropératoire, nous retrouvons une impaction fécale à 40 cm de la valve iléo-caecale avec un saut de calibre associé. Nous effectuons alors une entérotomie longitudinale avec suture transverse. L'intervention se déroule sans complication et les suites postopératoires sont marquées par un iléus paralytique prolongé. Une reprise du transit et une réalimentation progressive se font dès le 12.01.2019 avec une évolution par la suite favorable, permettant à la patiente un retour à domicile le 18.01.2019. Mme. Y, institutionnalisée au foyer La Belle Étoile de Châtel-St-Denis, connue pour un retard mental, est amenée aux urgences en ambulance le 22.12.2018 en raison d'une baisse de l'état général, d'une dyspnée progressive avec toux sèche et d'une fatigue depuis plusieurs jours. Selon le personnel du foyer, la patiente est connue pour des fausses routes, dont la dernière le 20.12.2018. À noter également que la patiente a bénéficié d'une antibiothérapie jusqu'au 08.12.2018 pour une infection urinaire. À l'examen clinique, il n'y a pas de notion de tirage, mais il y a quelques râles en base droite. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 12 G/l et un CRP à 80 mg/l et la radiographie du thorax parle en faveur d'un foyer en base droite pulmonaire. La gazométrie aux urgences montre une hypoxémie à 8.9 kPa. Nous suspectons une broncho-pneumonie dans le contexte de fausses routes fréquentes et Mme. Y est hospitalisée pour une antibiothérapie IV par Rocéphine. Les hémocultures reviennent négatives. Au vu de ces résultats, nous concluons à une récidive d'infection urinaire avec une évolution favorable sous Rocéphine IV. Une hyperkaliémie mise en évidence à l'admission se résout suite à l'administration d'une dose de Résonium en ordre unique aux urgences. Sur le plan de la mobilisation, la patiente est peu mobilisable et nécessite beaucoup de stimulation. Les éducateurs du foyer de la Belle Étoile nous décrivent une situation de plus en plus difficile. Dans ce contexte, une recherche de placement est effectuée et, l'évolution clinique et biologique étant favorable, Mme. Y est admise au foyer St-Joseph de Châtel-St-Denis le 04.02.2019. Mme. Y, patiente de 81 ans connue pour des lombalgies et une schizophrénie paranoïde traitée par Fluoxal, est hospitalisée dans le cadre d'une baisse de l'état général avec multiples chutes sans gravité ces dernières semaines. L'hétéro-anamnèse révèle une baisse progressive de l'état général avec des difficultés de se lever et 4 chutes de son lit depuis environ 1 mois sans gravité, la dernière la veille. En raison des difficultés de soins à domicile, Spitex propose une hospitalisation et l'évaluation d'un placement en home. L'examen clinique montre une patiente en état général diminué et une hygiène corporelle négligée, une faiblesse des membres inférieurs mais un examen limité par la compliance de la patiente. Nous mettons en évidence une infection urinaire basse à E. Coli et Proteus Mirabilis pouvant contribuer à la baisse de l'état général de la patiente, que nous traitons par de la Ciprofloxacine per os pour 7 jours selon l'antibiogramme et la fonction rénale de la patiente. Une hypokaliémie est mise en évidence et substituée per os. Un laboratoire de contrôle est agendé au 31.12.2018. Mme. Y présente une constipation importante probablement d'origine multifactorielle pour laquelle nous mettons en place un traitement laxatif, une hydratation per os et diminuons le traitement d'Akineton et suspendons le traitement de Fluanxol jusqu'à ce que la patiente ait repris un transit. Le traitement de Fluanxol est prescrit le 27.12.2018. La prochaine dose est à administrer après 28 jours. Au vu de l'état général de la patiente et de sa mobilité diminuée, nous transférons la patiente le 28.12.2018 en réhabilitation gériatrique en état général conservé. Mme. Y, patiente de 81 ans connue pour des lombalgies et une schizophrénie paranoïde traitée par Fluoxal, nous est transférée du service de Médecine Interne de l'Hôpital de Meyriez-Murten pour une réadaptation gériatrique suite à une baisse de l'état général progressive d'origine multifactorielle dans le contexte d'une maladie psychiatrique. Pour rappel, Mme. Y a été hospitalisée dans le cadre d'une baisse de l'état général avec multiples chutes sans traumatismes. L'hétéro-anamnèse révèle une baisse progressive de l'état général avec des difficultés de se lever et 4 chutes de son lit depuis environ 1 mois. En raison des difficultés de soins à domicile, Spitex propose une hospitalisation et l'évaluation d'un placement en home. Les demandes d'home et de curatelle sont demandées. A l'anamnèse à l'entrée, la patiente est peu collaborante et se plaint d'une douleur dorsale connue. Cliniquement, nous retrouvons des tremblements connus des MS au repos et accentués au mouvement/action sur fluoxal (NL). Le bilan biologique retrouve une insuffisance rénale aiguë sur chronique (créatinine 154 mcmol/l) avec urémie (11.9 mmol/l), une hypokaliémie légère (3.3mmol/l), une hypoalbuminémie (36.0 g/l), une hypovitaminose D (44 nmol/l). Elle a deux filles dont une ayant des soucis psychiatriques et un fils décédé. Elle est encore mariée, mais elle est séparée de son mari. Elle habite seule au 1er étage dans un appartement. Elle a de l'aide de Spitex à domicile et de sa fille pour la lessive et le ménage. Son mari s'occupe des finances. Concernant la carence de vitamine D, nous débutons une substitution orale. Mme. Y bénéficie d'une évaluation par les diététiciennes qui retrouvent une malnutrition protéino-énergétique grave et proposent l'introduction d'une supplémentation orale. L'hypokaliémie légère, probablement due à un traitement diurétique, persiste au moment de la sortie. Pour cela, nous conseillons une mise en suspens du traitement diurétique thiazidique et un contrôle de la kaliémie. Concernant l'insuffisance rénale aiguë AKIN 1 sur chronique, d'origine probablement fonctionnelle sur traitement diurétique et insuffisance d'apports liquidiens, nous conseillons de stimuler la patiente à boire. Nous débutons une réhabilitation gériatrique avec physiothérapie et ergothérapie. A l'admission, Mme. Y peut faire les transferts avec aide de type contact (FIM 4), elle se mobilise avec aide (FIM 3) et n'arrive pas à monter les escaliers (FIM 1). Elle présente un risque de chute élevé (Score de Tinetti 7/28). Les scores de mobilité à la fin du séjour sont les suivants : le transfert FIM 4 avec aide de type contact, la marche FIM 3 avec Tinetti, les escaliers ne sont toujours pas réalisables, le Tinetti est à 7/28 avec Tinetti. Un retour à domicile dans ce contexte est donc impossible. Après discussion avec la Justice de Paix du 07.01.2019, nous optons pour une inscription en EMS. Mme. Y est transférée le 10.01.2019 à l'EMS Ulmiz. Mme. Y, votre patiente de 78 ans, connue pour insuffisance cardiaque sur FA anticoagulée et ischémique stentée, hypertension pulmonaire d'origine mixte avec insuffisance respiratoire chronique (sous O2 à domicile), IRC et diabète de type 2 NIR, ainsi qu'une sténose cholédocienne d'origine indéterminée, ayant nécessité la mise en place d'un stent biliaire pour cholangite, est accompagnée par son époux le 16.12.2018 pour une péjoration de la dyspnée avec une asthénie importante avec plusieurs chutes à domicile, dont la dernière a entraîné un important traumatisme crânien. Cliniquement, à son arrivée, la patiente présente un état général diminué avec des signes de décompensation cardiaque, insuffisance respiratoire partielle, un ralentissement psychomoteur, une désorientation spatio-temporelle et des troubles de l'équilibre stato-cinétique. On note également un ictère sclérotique. Le traitement diurétique est adapté jusqu'à stabilisation de son poids et préservation du reste de sa fonction rénale. La dose est ensuite réduite à la dose habituelle. Après stabilisation clinique, à l'échocardiographie, la fonction cardiaque est quasi normalisée avec une FEVG à 60%. L'insuffisance respiratoire partielle s'améliore également grâce au traitement symptomatique de l'insuffisance cardiaque avec amélioration de la dyspnée et oxygénothérapie habituelle. D'un point de vue neurologique, le CT-Scan cérébral ne montre aucune lésion vasculaire, mais un possible anévrisme de l'ACA gauche de 8 mm est détecté, tout en sachant que l'image native n'est pas idéale pour l'évaluation. À la demande de la patiente et de son époux, le dossier a été transmis au service de neurologie vasculaire du CHUV qui convoquera la patiente dans les plus brefs délais. La patiente présente également une symptomatologie fluctuante avec somnolence accrue, ralentissement psychomoteur et désorientation temporelle. Un bilan met en évidence une insuffisance hépatocellulaire. Et au vu de l'obstruction biliaire (sténose filiforme au niveau de la jonction hépatique avec stent plastique en septembre 2018), Mme. Y bénéficie d'une ERCP avec remplacement par stent métallique. Les résultats histologiques vous parviendront dès que possible. Au vu de la bonne évolution clinique, Mme. Y retourne à domicile avec une aide pour la toilette et le ménage. Mme. Y, patiente de 28 ans, en bonne santé habituelle, consulte pour des céphalées temporales droites ainsi que des paresthésies et une parésie de tout l'hémicorps gauche. Les ambulanciers rapportent aussi des mouvements anormaux du membre supérieur gauche pendant le transport. Les céphalées sont pulsatiles, avec photo et phono-phobie, nausées et vomissements, sans état fébrile. La patiente avait présenté des douleurs similaires il y a environ 7 jours, durant 48-72h, cédant partiellement à l'Irfen prescrit par le médecin traitant. La patiente n'est pas connue pour des migraines, avec anamnèse familiale négative.Le CT cérébral à l'entrée montre une asymétrie diffuse de diffusion en défaveur de la droite, sans signe de saignement, ni thrombose, ni ischémie. Un avis neurologique est demandé auprès du Dr X qui postule une probable migraine avec aura et propose une hospitalisation pour surveillance ainsi qu'un complément du bilan par IRM. L'examen montre une hyperperfusion de l'hémisphère droit sans signe d'ischémie, pouvant être mis en relation avec une migraine avec aura. Parallèlement, les céphalées de la patiente s'atténuent et le status neurologique se normalise. Après consultation auprès du Dr X, nous introduisons du Topiramate 1x/jour avec contrôle à 6 semaines à sa consultation, ainsi que des antalgiques en réserve. Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Y peut rentrer à domicile le 15.01.2019. Mme. Y effectuera un changement de pansements tous les 2 jours et prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 10 jours post-opératoires. Mme. Y souffre d'un syndrome du tunnel carpien de la main gauche. L'indication pour une neurolyse est donnée. La patiente est informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et bénéfices liés à celle-ci. Elle nous donne son accord, le consentement est signé. L'intervention est programmée en ambulatoire pour le 14.01.2019. La patiente sera vue par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Mme. Y, patiente de 83 ans connue pour un AIT sylvien superficiel gauche d'origine cardio-embolique en avril 2018. Elle est amenée en ambulance au service des urgences le 04.01.2019, suite à avoir été retrouvée au sol dans la rue en sortant du théâtre. Elle présente des troubles de l'état de conscience avec une héminégligence et hémisyndrome sensitivo-moteur brachio-crural gauche (NIHSS 11 points). L'angio-CT cérébral met en évidence une hémorragie intraparenchymateuse thalamique à droite. L'avis neurochirurgical propose un traitement conservateur. Le CT de contrôle à 24h ne montre pas d'augmentation de la taille de l'hématome. Nous retenons une origine microangiopathique cérébrale hypertensive, à l'hémorragie cérébrale, dans le contexte d'une anticoagulation par Eliquis. Nous vous proposons de discuter de la fermeture de l'auricule à 6 semaines de l'AVC dans le contexte de la fibrillation auriculaire paroxystique. Sur le plan tensionnel, un suivi rapproché est effectué avec adaptation du traitement médicamenteux en fonction. Nous vous proposons de poursuivre ce suivi avec cibles tensionnelles < 140/80 mmHg. L'hospitalisation est compliquée par un état fébrile, associé à une toux et auscultation pathologique. Devant la suspicion de pneumonie sur bronchoaspiration, un traitement de Co-Amoxicilline est introduit. L'évolution est favorable. Sur le plan nutritionnel, la patiente présente une dysphagie importante nécessitant une nutrition entérale. Les tests de déglutition itératifs se révèlent pathologiques avec amélioration lente, actuellement permettant un régime mixé-lisse. De plus, la patiente présente un syndrome de renutrition inapproprié dans un contexte de malnutrition protéino-énergétique sévère. Cette complication nécessite la suite de prise en charge internistique, motivant le transfert dans le service de médecine interne. Un suivi rapproché des glycémies avec adaptation du traitement antidiabétique est également entrepris suite à l'évaluation diabétologique. Le traitement d'insulatard serait adapté selon avis diabétologique à distance par moyen d'un suivi glycémique 4x/j (avec glycémie à 22h). Sur le plan urologique, une tentative de sevrage d'une sonde vésicale posée à l'admission est infructueuse le 09.01.2019. Une nouvelle tentative est effectuée le 18.01.2019 avec une reprise de diurèse adéquate. À noter que la patiente présente des nitrites au sédiment urinaire, compatibles avec une probable bactériurie asymptomatique. Sur le plan neuropsychologique, le bilan met en évidence un tableau d'intensité modérée compatible avec l'atteinte thalamique droite. Le tableau clinique révèle une anosognosie, une héminégligence visuelle gauche (péripersonnelle et extrapersonnelle) et des difficultés exécutives (incitation, programmation), accompagnées d'un ralentissement. La patiente présente une capacité de compensation de l'héminégligence dans les tâches de la vie quotidienne. Elle bénéficie d'une prise en charge physiothérapeutique et ergothérapeutique intensive, travaillant sur les transferts et l'intégration de l'hémicorps gauche. La suite de prise en charge multidisciplinaire en centre de neuroréhabilitation, une fois la situation aiguë stabilisée, est prévue. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution neurologique est favorable avec un status neurologique de sortie compatible avec un NIHSS à 2 points en raison d'une chute du membre supérieur gauche au Barré et héminégligence visuelle gauche. Mme. Y est transférée pour suite de prise en charge dans le service de médecine interne. Mme. Y, 83 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour un AVC hémorragique avec saignement actif au niveau thalamique le 04.01.2019. Elle est connue pour une cardiomyopathie hypertrophique et un AIT sylvien superficiel gauche d'origine indéterminée le 28.04.18. Elle est amenée aux urgences le 04.01.2018 suite à une chute vers 21h30. Les ambulanciers retrouvent la patiente assise affaissée sur le côté gauche, elle est éveillée et orientée. Elle présente une perte de tonus à gauche, des troubles de la marche avec dysarthrie et héminégligence gauche. Le CT cérébral réalisé aux urgences le 04.01.19 montre un saignement actif au niveau du thalamus à droite. Après avis neurochirurgical, la patiente est hospitalisée aux soins intensifs pour un traitement conservateur. L'imagerie de contrôle n'a montré aucune augmentation de l'hémorragie. L'évolution est lentement favorable sur le plan neurologique avec amélioration progressive de l'état de conscience. Sur le plan tensionnel, elle nécessite transitoirement un soutien par Labétalol. Le traitement per os est repris progressivement. Sur le plan nutritionnel, en raison de troubles de la déglutition initiaux, une SNG est mise en place. À noter que Mme. Y a précisément documenté dans ses directives anticipées, le souhait de ne pas être réanimée ni intubée en cas d'aggravation respiratoire. La patiente est transférée en Stroke Unit non monitorée pour suite de prise en charge le 08.01.2019. Mme. Y, 83 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour un AVC hémorragique avec saignement actif au niveau thalamique. Elle est connue pour une cardiomyopathie hypertrophique et un AIT sylvien superficiel gauche d'origine indéterminée le 28.04.18, et est amenée aux urgences suite à une chute vers 21h30. Les ambulanciers retrouvent la patiente assise affaissée sur le côté gauche, elle est éveillée et orientée. Elle présente une perte de tonus à gauche, des troubles de la marche avec dysarthrie et héminégligence gauche. Le CT cérébral réalisé aux urgences le 04.01.19 montre un saignement actif au niveau du thalamus à droite. Après avis neurochirurgical, la patiente est hospitalisée aux soins intensifs. Mme. Y nous est transférée des urgences de l'HFR Fribourg après une chute d'origine incertaine le 21.12.2018.L'anamnèse à l'entrée révèle une patiente de 77 ans, connue pour de multiples comorbidités, institutionnalisée, qui est amenée en ambulance aux urgences pour des douleurs à la hanche droite depuis une chute dans la nuit du 21.12.2018, accentuées à la charge. Elle décrit aussi une douleur costale droite depuis la chute sans dyspnée associée. A l'examen clinique, Mme. Y présente une douleur basithoracique droite reproductible à la palpation. L'auscultation pulmonaire et cardiaque et la palpation abdominale sont dans les limites de la norme. Au niveau de la hanche droite, un hématome en regard de la tête fémorale est présent, mais sans rotation ni raccourcissement de la jambe, la mobilité est conservée dans toutes les amplitudes articulaires, et aucun trouble neurovasculaire n'est associé. La patiente vit à l'EMS de Courtepin, elle a une fille mais peu de contacts sociaux. Un bilan radiologique montre une fracture ischiopubienne droite ainsi que de l'acétabulum. Selon l'avis orthopédique, un traitement conservateur avec une marche en charge partielle de 15 à 20 kg du membre inférieur droit pour six semaines post-traumatiques est décidé. Une radiographie de contrôle à une semaine permet d'exclure un déplacement secondaire. Après adaptation de l'antalgie chez une patiente sous traitement d'opiacés de longue date (Fentanyl patch 50), les douleurs sont contrôlées de manière satisfaisante. Une prophylaxie antithrombotique par Clexane 40 mg par jour est instaurée et poursuivie jusqu'au prochain contrôle orthopédique agendé le 12 février. De plus, des fractures costales récentes de l'arc 6 et 7 latéral à droite sont diagnostiquées, sans pneumothorax associé. Concernant le bilan de chute, un ECG est fait se montrant superposable au précédent. Au niveau laboratoire, nous retrouvons une hypovitaminose D qui est substituée. Un test de Schellong met en évidence une hypotension orthostatique qui ne peut pas être traitée par thérapie compressive chez cette patiente souffrant d'une artériopathie oblitérante des membres inférieurs de stade 2 à 3. Il lui est donc indiqué qu'il faudrait se lever de manière progressive, étape par étape, pour éviter le risque d'hypotension orthostatique et donc de chute. D'ailleurs, un profil tensionnel un peu plus élevé est accepté dans ce cadre-là. Afin d'améliorer les fonctions respiratoires de Mme. Y, une thérapie par Seretide 250 deux fois par jour est ajoutée, de plus, l'oxygénothérapie est maintenue quotidiennement. En parallèle, la patiente bénéficie d'une réadaptation précoce individuellement adaptée. A l'entrée, elle est autonome dans les transferts, mais nécessite une aide de contact lors de la mobilisation avec le tintebin, et le périmètre de marche se limite à la chambre. Des séances de physio- et d'ergothérapie permettent d'améliorer l'endurance et de sécuriser la marche avec la charge partielle. A la fin de l'hospitalisation, la patiente peut se déplacer sur une distance de plus de 20 mètres avec le tintebin et une guidance tactile, permettant ainsi un retour au domicile. Mme. Y peut donc retourner à l'EMS de Courtepin le 07.01.2019 en état général amélioré. Mme. Y se présente pour un contrôle clinique pour des douleurs abdominales avec suspicion d'appendicite. La patiente rapporte une amélioration des symptômes. L'examen clinique ne montre pas de péritonisme dans les 4 quadrants. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire. Dans ce contexte, nous proposons un traitement symptomatique et une suite chez le médecin traitant. Les critères de reconsultation sont expliqués à la patiente. Mme. Y est une patiente de 66 ans, connue pour plusieurs antécédents d'iléus traités conservativement, qui consulte les urgences en raison de douleurs abdominales basses depuis 24 heures, accompagnées de selles dures et de vomissements en jet. Nous effectuons le 04.01.2019 un scanner abdominal qui montre un iléus grêle mécanique sur probable bride sans signe de souffrance intestinale. Nous hospitalisons la patiente pour suivre l'évolution digestive. Le 05.01.2019, nous effectuons un 2ème scanner, qui montre une résolution de l'iléus avec passage de la Gastrographine dans le colon. Nous effectuons une 3ème imagerie pour bilanter un épaississement jéjunal, découvert fortuitement au scanner précédent. Le scanner de contrôle le 08.01.2019 montre une résolution de cet épaississement. Au vu de l'évolution clinico-biologique favorable, nous laissons la patiente rentrer à domicile le 09.01.2019. A noter une hypokaliémie à 2,7 mmol/l le 08.01.2019 que nous substituons par voie intraveineuse. Nous poursuivons une substitution per os à la sortie. Mme. Y est connue pour un tentamen en 2007 suite auquel elle a été suivie par un psychiatre au centre psycho-social de Fribourg. Après quelques mois, elle a arrêté de se rendre chez lui et de prendre son traitement car elle trouvait qu'elle n'avait pas beaucoup de bénéfice. Insomnie dans un contexte dépressif. Stilnox 10 mg cpr 0-0-1. Mme. Y bénéficie d'un train de Ventolin aux urgences qui améliore l'entrée d'air et les sibilances. Toutefois, l'entrée d'air reste diminuée aux bases avec des râles persistants et elle reste tachypnéique à 65/minute au moment de l'hospitalisation. La radiographie de thorax montre un infiltrat diffus avec un effacement partiel du diaphragme à droite. Le bilan sanguin montre un léger syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 15,9, une CRP à 18 et des thrombocytes à 395. Le RSV revient négatif. Par la suite, la symptomatologie obstructive s'améliore, permettant de diminuer le Ventolin le 08.01 avec arrêt de l'Atrovent. Le Betnesol est suivi jusqu'au 09.01. Au vu de la persistance de la tachypnée et des besoins en oxygène et dans le contexte de contage de pneumonie atypique chez la mère, un frottis Mycoplasme est effectué le 08.01 revenant négatif. Dès le 09.01, l'oxygénothérapie peut être sevrée avec un enfant normopnéique et gardant quelques rares crépitants aux bases. Le Ventolin est arrêté à la sortie. Elle présente également des tympans érythémateux sans bombement pour lequel de l'Algifor est prescrit d'office pour 48 heures avec amélioration spontanée. Elle n'est pas fébrile durant son séjour. Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Y peut rentrer à domicile le 10.01 avec contrôle chez le pédiatre le 14.01 avec consultation aux urgences en cas de péjoration. Mme. Y a bénéficié d'une hydratation intraveineuse initiale par du Glucosalin à 1500 ml/jour pendant 6h, avec reprise d'une alimentation orale par des aliments liquides sous une antalgie efficace par Tramadol. Au vu de la bonne tolérance de l'alimentation orale sous antalgie et du bon état d'hydratation, nous laissons Mme. Y retourner à domicile avec un traitement symptomatique.• Flécaïnide le 16.01.2019 • Magnesium le 16.01.2019 • Changement de cathéter jugulaire, le 16.01.2019 • Ablation du cathéter, le 18.01.2019 • Magnésium 2g iv au service des urgences • Mahan est hospitalisé pour surveillance respiratoire et alimentaire. Sur le plan respiratoire, il ne nécessite pas de soutien et la symptomatologie respiratoire devient typique d'une bronchiolite. La toux sèche reste présente avec un stridor uniquement dans ce contexte, sans quintes. La voix s'améliore également durant le séjour étant quasi normale à la sortie. Sur le plan infectieux, les PCR RSV reviennent positives, la coqueluche et la grippe sont négatives. Il ne présente pas de fièvre durant son séjour. Sur le plan alimentaire, il prend des quantités au biberon diminuées durant son séjour mais sans signes de fatigue. Il prend en moyenne 75% des apports habituels et nous notons une perte de poids de 250g avec 2 balances différentes entre les urgences et le jour de la sortie. Au vu du bon état général et de l'absence de détresse respiratoire importante avec une prise alimentaire suffisante, Mahan rentre à domicile le 18.01 avec contrôle au Fast-Track à 24 heures (suivi du poids et respiratoire). Nous donnons comme consigne à la maman de reconsulter aux urgences en cas de péjoration. • Main D : doigt à ressaut dig III selon Green type II. • Status post-infiltration du doigt à ressaut dig III en mars 2018. • Status post-cure de doigt à ressaut dig IV à Bern. • Status post-ostéosynthèse d'une fracture intra-articulaire du radius distal à droite le 03.11.2017. • Status post-fracture du radius distal il y a 20 ans avec traitement conservateur. • Main D : fracture de la base de P1 D1. • Main D : fracture de la base de P1 O1. • Main D : lésion FDS dig II en zone II avec : • status post synovectomie et ténotomie FDS II à droite le 12.11.2018. • Main D : maladie de Dupuytren dig V main D stade I 5ème rayon avec : • Status fasciectomie de la paume et de l'interphalangienne proximale du 5ème rayon D le 12.11.2018. • Main D dig II : lésion cutanée et nerf digital radial entre zone I et II au niveau de l'IPD le 11.07.2018. • Main D dig III : kyste arthrosynovial phalange proximale côté ulnaire (DD tumeur cellule géante, fibrome). Dupuytren débutant du dig IV. • Main G : status post cure de Dupuytren. • Epaule G : Tendinopathie de la coiffe des rotateurs. Maladie de Forestier. • Main D f/p : cal déjà présent autour de la tête du 5ème doigt ainsi qu'un peu autour du 4ème doigt. • Main droite : Dig II à ressaut. • Main droite : ORIF métacarpien Dig III à V avec Aptus 2.0 le 23.09.2018 pour fracture sous-capitale métacarpien III, fracture diaphysaire métacarpien IV et fracture de la base du Vème métacarpien. • Main droite : sutures du tendon extenseur Dig III avec deux Kessler au Prolène et surjet au 6.0 avec sutures des jonctions tendineuses Dig II-III et III-IV avec sutures de la capsule MCP 3. • Main droite (ad dominante) : tendinite chronique des 3 premières coulisses. • Main droite, Dig I (main dominante) : déchirure du ligament collatéral ulnaire de la MCP 1 le 19.12.2018. • Main droite (dominante) : • Status post contusion MCP3 le 27.09.2017. • Actuellement : persistance de douleur. • Diagnostic différentiel : syndrome du canal carpien, arthrite rhumatoïde. • Main G : • Neuropathie du nerf radial superficiel après 2 injections para-veineuses (antibiotique) en janvier 2018. • Rhizarthrose G du 1er degré. • Main D : • Rhizarthrose du 2ème degré avec distance scapho-lunaire augmentée. • Syndrome du tunnel carpien bilatéral, sous-clinique. • Main G : • Status post ostéosynthèse du scaphoïde G par vis le 13.11.2018 sur fracture du scaphoïde (pôle proximal) le 05.11.2018. • Main G et D de septembre 2017, pouce G en deux plans de 10.01.2019 : luxation CMC 1, dystrophie de l'os trapèze. L'angle de dévers MC 1 et 2 est pathologique. • Main G f/p (externe : chez le médecin traitant) : absence de trouble dégénératif au niveau carpo-métacarpien I. • Main G f/p/o : pas de déplacement des fractures du 3ème et 4ème métacarpien avec consolidation de la fracture. • Dig V f/p : consolidation des fractures. Pas de déplacement secondaire. • Main G (non dominante) : status post fracture tubercule du scaphoïde le 16.10.2018. • Mallet Finger du 5ème doigt le 16.10.2018. • Dissociation scapho-lunaire. • Main gauche : maladie de Dupuytren du 5ème rayon. • Main gauche : tendinite des fléchisseurs Dig V. • Main gauche adominante : • Suture tendon fléchisseur profond et bandelette radiale et ulnaire du fléchisseur superficiel le 03.12.2018 sur section traumatique. • Dig III : suture cutanée sur section traumatique. • Main gauche Dig I (ad dominant) : status post lésion type pouce du skieur le 24.10.2018 avec status post distorsion du pouce il y a 10 ans de cela. • Maintien à domicile impossible. • Maintien de la majoration du traitement diurétique. • Continuation d'antalgie. • Contrôle chez le médecin traitant dans 7 jours. • Consignes de reconsultation en cas de fièvre ou de péjoration des douleurs et de la dermite. • Maintien de l'AB fendu, avec réfection régulière du pansement au moyen de Varihesive. Nous la reverrons dans 2 semaines pour un contrôle cicatriciel, puis à 6 semaines post-fracture. • Maintien de l'arrêt du traitement par Aldactone 50 mg et Coversum 5 mg. • Maintien de séances de physiothérapie avec mobilisation selon douleurs et autonomie dans le déplacement. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois (6 mois postopératoires), soit le 09.04.2019. • Maintien du traitement conservateur avec antalgie et attelle, contrôle clinique à 5 jours en ortho urgence. • Maintien du traitement conservateur avec gilet orthopédique pour une durée minimum de 6 semaines. La mobilisation peut être effectuée en physiothérapie avec des mouvements pendulaires et rotatoires minimes (0° de rotation externe, rotation interne sur le ventre jusqu'à la 4ème semaine puis il pourrait effectuer une mobilisation passive et active assistée jusqu'à 90°). Nous le reverrons dans 4 semaines pour un contrôle radioclinique. • Maintien du traitement conservateur avec immobilisation par un AB circularisé ce jour à porter jusqu'au 1er février 2019, date du prochain contrôle clinique. • Maintien du traitement conservateur avec physiothérapie de renforcement de la coiffe des rotateurs et exercices quotidiens à effectuer à domicile. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. • Maintien du traitement conservateur avec antalgie et attelle, contrôle clinique à 5 jours en ortho urgence. • Maintien à domicile impossible dans le contexte d'une démence avec atteinte de la mémoire. • Maintien du traitement conservateur avec l'attelle ergothérapeutique qui sera contrôlée ce jour. Dispense de sport jusqu'au 25.01.2019, date du prochain contrôle. • Majoration Amlodipine • Lisinopril dès le 31.12.2018. • Majoration antalgie par Irfen 600 mg. • Suivi chez le médecin traitant si symptômes respiratoires. • Majoration de la Dexaméthasone dans le contexte infectieux à 10 mg/j. • Réduction de la Dexaméthasone à 4 mg dès le 27.12.2018 sur avis du Dr. X. (Schéma dégressif prévu initialement : 8 mg jusqu'au 20.12.2018, 6 mg du 21.12.-27.12.2018, 4 mg à partir du 28.12.2018). • Arrêt de la radiothérapie et annulation du suivi oncologique à l'HFR Fribourg au vu de l'évolution défavorable (dates initialement prévues : prochaine radiothérapie le 09.01.2019 à 11h (Dr. X), 11.01.2019 : prise de sang à 14h30 pour CT thoraco-abdo (à jeûn dès 11h), rendez-vous en oncologie chez le Dr. X le 14.01.2019 à 14h30). • Réhabilitation palliative complexe avec thérapie de confort, physio-, ergothérapie et art-thérapie, psychooncologie, aumônerie, service de liaison, colloque interdisciplinaire hebdomadaire. • Facteur de performance 31.12.2018 : ECOG 4, PPS 30%.FIM et ESAS le 31.12.2018 • Evaluation selon SENS le 31.12.2018 • NRS le 31.12.2018: 5 Majoration de la Metformine Suivi diabétologique à prévoir Majoration de l'Amlodipine dès le 15.01.2019 Majoration de l'antalgie avec Tramal et Brufen. Poursuite du traitement chez le médecin traitant. Majoration de l'antalgie par introduction de palier II. Conseils de réévaluation avec le médecin traitant si persistance des douleurs malgré la majoration des antalgiques. Majoration de l'antalgie. Retour à domicile. Réassurance. Conseil de réévaluation avec médecin traitant +/- consultation en ambulatoire avec orthopédiste pour réévaluer l'indication de la pose d'une prothèse du genou gauche devant multiples poussées d'arthrose. Majoration des apports à 150ml/kg/jour Poids 1x/jour Reprise du poids de naissance le 05.01 (J16 de vie) Majoration des bétabloqueurs le 29.01.2019 Majoration des diurétiques, discuter passage à administration en IV continu selon profil tensionnel et tolérance Mis en suspens des médicaments néphrotoxiques Switch de l'anticoagulation pour de l'héparine Suivi de la fonction rénale Discuter ponction pleurale évacuatrice si traitement de la décompensation cardiaque compromet la fonction rénale Majoration des douleurs du bras gauche sur fracture claviculaire gauche déplacée le 29.12.18. Majoration des séances de physiothérapie avec réassurance au transfert, entraînement de la mobilisation au moyen des cannes, ainsi que du renforcement musculaire global. La mobilisation peut se faire en charge selon douleurs, nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radio-clinique, soit le 19.02.2019. Majoration du Levetiracetam à 2x750 mg/jour Contrôle des taux plasmatiques à distance chez le médecin traitant Adaptation du traitement si arrêt de l'Haldol par le psychiatre Majoration du Metoprolol 50 mg 2x/jour Metoprolol 75 mg/jour dès le 14.01.2019 Holter de 24h du 08.01 au 09.01.2019 Majoration du traitement bêtabloquant Lasix IV Echocardiographie transoesophagienne avec Cardioversion le 23.01.2019 Majoration du traitement laxatif avec Movicol, Dulcolax et Bulboïd en réserve. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant. Majoration du traitement symptomatique. Majoration en taille de l'hématome rétro-orbitaire droit, sans effet de masse sur le nerf optique Majoration Lisinopril à 10mg Majoration progressive de la dose d'IEC/BB. Patient sera convoqué pour la réhabilitation ambulatoire à Billens. Gestion des facteurs de risque par le médecin traitant (cholestérol, tabac, HTA). Majoration Temesta le 07.01.2018 puis remplacement par Rivotril dès le 08.01.2019 Majoration traitement laxatifs Mal à la gorge. Mal au ventre Mal de gorge. Mal de gorge. Mal de gorge, obstruction nasale depuis 1 semaine. Mal de gorge, vomissements, douleur abdominale. Mal-être important dans contexte de progression oncologique, douleurs nociceptives et trouble anxio-dépressif connu. Mal fonction de la poche de la sonde. Mal perforant au niveau du talon D avec une déformation en varus et en équin neurologique sur status post syndrome de la queue de cheval résiduel avec spondylodèse L5-S1. Status post mise à plat du kyste para-patellaire du genou gauche. Status post transfert tendineux et ostéotomie calcanéenne à droite en 2014 au HUG. Mal perforant chronique plantaire de la pulpe du 3ème orteil pied gauche. • biopsies proximales positives pour un Staphylococcus aureus Mal perforant plantaire au 1er rayon du pied gauche depuis le 14.01.2018 avec : • Ischémie critique et multiples sténoses fémorales du MIG • Le 25.01.2018 : recanalisation de l'artère fémorale superficielle par ballon médicamenteux et pose de stent • Le 02.10.2018 : ostéomyélite chronique sur mal perforant plantaire 1er rayon pied G, avec pose de stent, et traitement par co-amoxicilline censé durer jusqu'en janvier 2019 • Le 07.11.2018 : dermohypodermite membre inférieur gauche sur ostéomyélite chronique suspectée sur mal perforant plantaire du 1er rayon, avec traitement par Co-Amoxicilline 1g 3x/j prévue jusqu'au 19.11.2018, stoppée prématurément par le MT en raison d'un rash pruritique le 30.11.2018 et remplacée par de la doxycycline. AOMI stade IV du MIG sur atteinte jambière diffuse avec : • mal perforant plantaire au 1er rayon du pied gauche • IRM du pied gauche le 16.01.2018 : pas d'ostéomyélite • recanalisation de l'artère fémorale superficielle par ballon médicamenteux et pose de stent du 25.01.2018 • angioplastie de l'artère poplitée distale, du tronc tibio-péronier et de l'artère fibulaire le 04.10.2018 Diabète de type 2 insulino-requérant Hypertension artérielle traitée FA intermittente anticoagulée Asthme Anémie hypochrome microcytaire d'origine spoliative le 03.10.2018 sur : • forte suspicion pour une angiodysplasie ou un ulcère de Dieulafoy au niveau de l'estomac • œsophage de Barrett et oesophagite de reflux ulcéreuse sévère • Pantozol 40 mg 2x/j durant 2 mois Mal perforant plantaire G, surinfecté par Staphylococcus aureus résistant à la pénicilline et l'Alcaligenes faecalis sur le 1er rayon du moignon d'amputation du pied G avec : • Status post amputation transmétatarsienne et lombo-plantaire à G le 01.11.2014 sur une gangrène gazeuse. • Status post surinfection à staph. aureus en août 2018 avec traitement conservateur par antibiothérapie. Mal perforant plantaire gauche avec : • AOMI sévère le 10.12.2018 • récidives après hospitalisations du 02.10 au 22.10.2018 et 07.11 au 15.11.2018 • absence d'ostéomyélite le 09.01.2019 Maladie anévrismale de l'aorte abdominale : • EVAR (réparation endovasculaire de l'anévrisme) de l'aorte abdominal infrarénale (CHUV) 02/2017 avec angio-CT abdominal et membres inférieurs prévu le 08.08.17. Status post AE Status post TE Status post 2x laparoscopie (1°: suspicion d'endométriose non confirmée, 2°: stérilisation) Status post 1x laparotomie (retroversie utérine) Status post 2x curetage. Status post accident de la voie publique avec fractures nasale et malaire traitées en conservateur 1967. 2 accouchements (1 fils et 1 fille). Choc anaphylactique le 29.07.2017 • Kit d'urgence avec Epipen, Xyzal, Prednisone • Proposition de l'adresser à un allergologue dans 6 semaines en ambulatoire. Intervention rénale bilatérale pour néoplasie. Maladie aortique avec insuffisance aortique modérée et sténose aortique valvulaire congénitale modérée • opération de Ross le 16.07.2018 avec mise en place d'une homogreffe entre le ventricule droit et la bifurcation pulmonaire • syndrome de Dressler post-péricardotomie traité par stéroïdes fin juillet 2018 Maladie aortique avec insuffisance aortique modérée et sténose aortique valvulaire congénitale modérée • opération de Ross le 16.07.2018 avec mise en place d'une homogreffe entre le ventricule droit et la bifurcation pulmonaire • syndrome de Dressler post-péricardotomie traité par stéroïdes fin juillet 2018 Maladie aortique avec insuffisance aortique modérée et sténose aortique valvulaire congénitale modérée : • opération de Ross le 16.07.2018 avec mise en place d'une homogreffe entre le ventricule droit et la bifurcation pulmonaire.• syndrome de Dressler post-péricardotomie traité par stéroïdes fin juillet 2018 et septembre 2018 (ce dernier avec légère atteinte myocardique) • Maladie bitronculaire IVA et CD > FE 55% > sténose de 95-99% de l'IVA proximale et sténose de 90% de l'IVA moyenne, PTCA (2 stents actifs) le 23.01.2019 > Sténose limite de l'artère coronaire droite • Maladie bitronculaire IVA et CD > FE 55%. > Sténose limite de l'artère coronaire droite • Maladie bivalvulaire compliquée d'une décompensation cardiaque sur insuffisance mitrale sévère avec rupture de cordage du feuillet antérieur de stade IV/IV : > 09.11.2018 : cathétérisme cardiaque : insuffisance mitrale sévère, HTP post-cellulaire modérée (PAPd : 52 mmHg), VEDP : 15 mmHg. Pas de lésion coronarienne significative (30% RCA moyenne). > 14.11.2018 : réparation valvulaire mitrale par annuloplastie avec un anneau Physio II n°36 et réalignement du feuillet antérieur avec trois néo-cordages en Goretex 4.0. > annuloplastie tricuspidienne avec un anneau tricuspidien Physio n°32. Maze gauche et droit par cryoablation. Fermeture du FOP. Plastie de réduction de l'oreillette gauche. • Maladie cérébrovasculaire, avec: > s/p AIT dans le territoire de l'artère cérébrale moyenne gauche 2016 > s/p AVC ischémique occipital 2011 > Hypertension artérielle traitée > Hypercholestérolémie traitée > AVB I° (PQ 0.21 s sous bétabloquants) > AVB II° sous thérapie anticholinergique (ECG de 24 h 2016) > arrêt des bétabloquants • Maladie cérébro-vasculaire bilatérale avec : > sténose à 70% de l'artère carotide interne D, asymptomatique > occlusion de l'artère carotide interne G • Maladie coeliaque • Maladie coeliaque depuis l'âge de 3 mois. > Trouble anxieux • Maladie coronarienne de 3 vaisseaux > quadruple revascularisation chirurgicale le 13.06.2002 (mammaire interne gauche-IVA, artère radiale séquentielle-1ère branche diagonale-1ère branche marginale de l'artère circonflexe, pont veineux-branche interventriculaire postérieure de l'artère coronaire droite) > décompensation cardiaque globale à prédominance gauche sur dysfonction systolique ventriculaire gauche modérée à sévère (FE : 30-35%) le 19.11.2018 > Mise en place d'un pacemaker VVIR le 28.08.2017, suivi d'une ablation du noeud atrio-ventriculaire le 31.08.2017 pour un flutter auriculaire chronique résistant au traitement médicamenteux > Hyperthyroïdie sur Cordarone > Discrète sténose aortique calcifiée (gradient moyen : 15 mmHg) > Hypertension artérielle compensée > Surcharge pondérale • Maladie coronarienne anévrismale > Occlusion thrombotique de la coronaire droite distale > Giant aneurysms de la circonflexe moyenne et de la marginale > Discrète hypokinésie postéro-basale, FEVG 60 % > FEVG 60 % • Maladie coronarienne avec : > Excellent résultat après PCI IVA proximale et moyenne pour ACR 2013 > Excellent résultat après PCI ACD pour STEMI, choc cardiogène > Sténose 70% ACD moyenne : PCI (1 DES) : Bon > Dysfonction VG sévère FEVG 20% • Maladie coronarienne avec : > infarctus du myocarde sur occlusion de l'artère marginale le 26.09.2012 sans angioplastie possible > FEVG 65% > Hypertension artérielle > Obésité classe II (BMI à 37 kg/m2) > Nodule pulmonaire lobe inférieur gauche de découverte fortuite > Goutte • Maladie coronarienne avec : > infarctus myocardique aigu sans élévation ST (NSTEMI) sur maladie coronarienne bitronculaire le 13.06.2018 > sténose significative de la première diagonale > occlusion de l'ostium de la seconde marginale > fraction d'éjection VG normale (akinésie inféro-latérale locale) > Coronarographie : angioplastie et 1 stent actif de la première diagonale, implantation de 1 stent actif dans la seconde marginale. > Reflux œsophagien et ulcère gastrique dans le passé. > Œdème chronique de la cheville gauche. • Maladie coronarienne avec : > Subocclusion de l'ACD moyenne : PTCA/2xDES (bon résultat) > Sténose 70% de l'ACD proximale : PTC/2xDES (no reflow) • Maladie coronarienne avec: > bon résultat à long terme après stenting de l'artère interventriculaire antérieure proximale > sténose ulcérée de la circonflexe proximale et de l'ostium de la circonflexe moyenne : PTCA/DES > bon résultat à long terme après stenting des deux branches marginales > bon résultat à long terme après stenting de la coronaire droite proximale et moyenne > fonction systolique du VG normale • Maladie coronarienne avec lésions tritronculaires avec: > Sténoses sérielles significatives de l'IVA proximale à moyenne englobant les diagonales : PTCA/3xDES (bon) > Sténose significative de la Cx moyenne : PTCA/1xDES (bon) > Sténose significative de l'ACD moyenne. > EF 55-60%. • Maladie coronarienne avec: > sténoses non significatives de l'artère interventriculaire antérieure proximale et moyenne > occlusion de l'ostium de la première marginale > sténose subocclusive de l'artère coronaire droite distale : PTCA/DES > fonction systolique du VG normale, fraction d'éjection VG 65%. • Maladie coronarienne bi-tronculaire : > PTCA avec pose de stent actif sur l'IVA le 20.01.2010 > PTCA élective le 21.04.2010 : petite dissection non occlusive persistante de l'IVA moyenne, mise en place d'un stent sur la CX moyenne > FEVG 63% le 21.04.2010 avec hypokinésie antéro-latérale et dyskinésie apicale > FRCV : obésité, dyslipidémie, tabagisme actif (40 UPA) > Syndrome de dépendance à l'alcool > Hyperplasie bénigne de la prostate • Maladie coronarienne bitronculaire avec: > Sténose significative de l'ostium de la première marginale (lésion bifurcation) : prov T-stenting(2 DES) : Bon > Excellent résultat après PCI primaire de l'ACD moyenne le 21.12.2018 > Fraction d'éjection VG 65% • Maladie coronarienne bi-tronculaire : > Sténose significative de l'artère bissectrice > Sténose significative de l'artère coronaire droite proximale et moyenne: PCI/2 DES. > Occlusion de l'anastomose proximale pontage saphène CD II. > FEVG 30% • Maladie coronarienne bitronculaire > sténose significative IVA moyenne (1 DES le 10.01.2019) > lésion intermédiaire de la Cx proximale, englobant 2nd marginale. > sténose significative de la 1ère marginale > FEVG 33% • Maladie coronarienne bitronculaire : > 27.12.2018 : STEMI latéral subaigu avec occlusion de l'artère circonflexe proximale, englobant l'origine de la première marginale (lésion de bifurcation) : PCI (1 DES) : bon résultat > sténose 75% de l'artère coronaire D proximale > FEVG 45% • Maladie coronarienne bitronculaire avec : > coronarographie le 18.06.2012 > sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale et moyenne > sténose significative de l'ostium de la première diagonale > sténose significative de l'artère circonflexe proximale et moyenne > FEVG 74 % > Pontage coronarien à l'Inselspital en juin 2012 • Maladie diverticulaire au niveau jéjunal avec plusieurs épisodes de diverticulite perforée (résection segmentaire en 2002 et 2006). Dernier épisode en juillet 2015 traité conservativement par Cipro / Flagyl • Maladie coronarienne bitronculaire avec : > coronarographie le 18.06.2012 > sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale et moyenne• Sténose significative de l'ostium de la première diagonale. • Sténose significative de l'artère circonflexe proximale et moyenne. • FEVG 74 %. Pontage coronarien à l'Inselspital en juin 2012. Maladie diverticulaire au niveau jéjunal avec plusieurs épisodes de diverticulite perforée (résection segmentaire en 2002 et 2006). Dernier épisode en juillet 2015 traité conservativement par Ciprofloxacine/Flagyl. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Coronarographie le 18.06.2012 (Dr. X). • Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale et moyenne. • Sténose significative de l'ostium de la première diagonale. • Sténose significative de l'artère circonflexe proximale et moyenne. • Fraction d'éjection du ventricule gauche 74 %. Pontage coronarien à l'Inselspital en juin 2012. Maladie diverticulaire au niveau jéjunal avec plusieurs épisodes de diverticulite perforée (résection segmentaire en 2002 et 2006). Dernier épisode en juillet 2015, traité conservativement par Cipro/Flagyl. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Sténose 80% de l'artère interventriculaire antérieure proximale : PCI (2 DES le 17.06.2016). • Lésions intermédiaires (40-50%) IA et artère coronaire droite moyenne. • Fraction d'éjection VG 60% (coronarographie le 17.06.2016). Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Sténose 80% de l'artère interventriculaire antérieure proximale le 17.06.2016 : angioplastie avec 2 stents actifs. • Lésions intermédiaires (40-50%) IA et artère coronaire droite moyenne. • Fraction d'éjection VG 60% (coronarographie le 17.06.2016). Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Échocardiographie le 06.08.2018 : hypokinésie globale inférieure avec FEVG à 45%. • IRM cardiaque de stress à l'adénosine le 19.10.2018 : FEVG à 56% normale à très légèrement restreinte. Hypokinésie localisée à akinésie inférieure avec cicatrice inférieure ; ischémie myocardique antérieure et septale dans la couche apicale induite par le stress. • Coronarographie le 01.11.2018 sans intervention : FEVG à 58%, hypokinésie inférieure, fonction du VG normale à légèrement restreinte, FEVG 58%. IVA à 70% ostium, 99% moyenne, 90% D1-D2 ; CD 20-50% resténose intra-stent ; CX sclérose coronarienne. • Pic des CK 384 U/L, CK-MB 7.9 ng/ml. • Status post STEMI inférieur le 11.05.2013 avec thrombo-angioplastie percutanée et stent sur la coronaire droite. • Coronarographie en 2013 sans intervention avec stent de la coronaire droite en ordre ; artère interventriculaire antérieure : 50-60% sténose à l'ostium, 70-90% sténose D1-D2 ; circonflexe : sclérose coronarienne. FEVG 55% et dysfonction légère du VG avec hypokinésie inférieure. • IRM cardiaque de stress à l'adénosine le 12.06.2013 : pas d'ischémie cardiaque relevante, cicatrice sous-endocardique inférieure. Procédure : 20.11.2018 : triple pontage aorto-coronarien avec AMIG sur IVA, AMID sur CD et veine-diagonale (Dr. X, Clinique Beau-Site). Maladie coronarienne bi-tronculaire avec : • Ergométrie objectivement positive et capacité fonctionnelle normale le 04.03.2015. • Pose de 2 PAC (probablement CD et IVA) en 1993 à l'hôpital de la Tour. • FEVG à 55-60% le 06.03.2014. • FRCV : HTA, tabagisme ancien. Fibrillation auriculaire anticoagulée. Pacemaker Micra mode VVI le 01.06.2015 (N° série : MCR606964S) posé pour syncope. Extrasystoles ventriculaires asymptomatiques. Maladie coronarienne bi-tronculaire avec : • Ergométrie objectivement positive et capacité fonctionnelle normale le 04.03.2015. • Pose de 2 PAC (probablement CD et IVA) en 1993 à l'hôpital de la Tour. • FEVG à 55-60% le 06.03.2014. • FRCV : HTA, tabagisme ancien. Fibrillation auriculaire persistante avec : • Score de CHA2DS2-VASc à 3. Extrasystoles ventriculaires asymptomatiques. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Occlusion de l'interventriculaire antérieure et sténose estimée à 50-70% de la circonflexe et 70-90% de la marginale. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Occlusion de l'interventriculaire antérieure. • Sténose 50-70% de la circonflexe et 70-90% de la marginale. • Akinésie septo-apico-latérale. • Dysfonction ventriculaire gauche sévère, FE 25% le 19.01.2019 passant à 35% le 21.01.2019. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • 1999 : infarctus antéro-septal avec PTCA et pose de 1 stent de l'interventriculaire antérieure proximale. • 10.02.2013 : arrêt cardio-respiratoire sur fibrillation ventriculaire secondaire à un STEMI antérieur (ROSC 5 min). • 19.02.2013 : pose de défibrillateur implantable (Dr. X). • 10.02.2013 : implantation de 1 stent actif dans l'interventriculaire antérieure ostiale et l'interventriculaire antérieure moyenne ; stent actif dans l'artère coronaire D moyenne. • 26.09.2018 : STEMI inférieur subaigu sur occlusion de la coronaire D proximale ; PTCA/ 1 DES CD avec : • Tachycardie ventriculaire cardioversion par défibrillateur implanté. • Choc cardiogène. État anxio-dépressif. Syndrome de dépendance à l'alcool avec delirium tremens et macrocytose le 13.02.2013. Accident ischémique transitoire athéro-embolique D sur athéromatose carotidienne en 2011. Éthylisme chronique avec hospitalisation à Marsens en 2009. Tabagisme actif à 110 UPA. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Angioplastie/stenting CD ostiale en 2012. • Sténose significative IVA moyenne et distale ; angioplastie/stenting. • Sténose significative CD moyenne. • Dysfonction ventriculaire G sévère avec hypokinésie diffuse. • FEVG le 26.06.2018 : 45%. • Holter 16 au 18.10.2017 : absence d'arythmie significative. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Bon résultat à long terme après PCI de l'IVA proximale. • Re-sténose intrastent 80% de l'IVA moyenne : PTCA avec ballon éluent (bon). • Bon résultat après recanalisation/stenting de l'artère coronaire droite. • Dysfonction ventriculaire gauche sévère, EF 25%. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Occlusion de l'artère circonflexe proximale, englobant l'origine de la première marginale (lésion de bifurcation) : PCI (1 DES) : Bon. • Sténose 75% de l'artère coronaire droite proximale. • Fraction d'éjection VG 45%. Maladie coronarienne bitronculaire avec STEMI latéral subaigu : • Occlusion de l'artère circonflexe proximale, englobant l'origine de la première marginale (lésion de bifurcation) : PCI (1 DES) : Bon. • Sténose 75% de l'artère coronaire droite proximale. • Fraction d'éjection VG 45%. • Réhabilitation cardiovasculaire avec physiothérapie et ergothérapie à Billens du 07.01 au 10.01.2019. • Re-coronographie dans 1 mois pour PCI de l'ACD, sera convoqué. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. • Sténose subocclusive et calcifiée de la coronaire droite moyenne : rotablator/PTCA/DES x3. • FE VG 60%. Maladie coronarienne bi-tronculaire avec, suivi par Dr. X : • NSTEMI subaigu le 19.11.2015. • Sténose significative d'IVA (50-70%) 1 Stent actif. • Occlusion de la petite branche inframillimétrique de la MA. • FEVG à 65%. Facteurs de risques cardiovasculaires : tabagisme actif à 34 UPA, intolérance au glucose. Lupus. Hypothyroïdie substituée. Hernie hiatale. Notion de BPCO. Maladie coronarienne bitronculaire diagnostiquée le 26.01.2017 : • Sténose 1ère diagonale 90-99%. • Sténoses IVA et CD 30 %. • Occlusion de la 1ère marginale (PCI/DES 26.02.2017). • FEVG 55%. • NSTEMI sur occlusion de la première marginale le 26.01.2017. Maladie coronarienne bitronculaire diagnostiquée le 26.01.2017 : • Sténose 1ère diagonale 90-99%, sténoses IVA et CD 30 %, occlusion de la 1ère marginale (PCI/DES 26.02.2017). • FEVG 55%. NSTEMI sur occlusion de la première marginale le 26.01.2017.Hypertension artérielle traitée Glaucome traité des deux côtés Maladie coronarienne bitronculaire et valvulaire avec : • sténoses de 80% de la première et 2ème diagonales. • occlusion chronique RCx moyenne : PCI (2DES). • subocclusion 2ème marginale : PCI (1DES). • sténose aortique probablement sévère avec : Implantation d'une prothèse valvulaire aortique TAVI par voie fémorale droite le 14.12.2017 avec BBG complet. Echocoeur du 05.09.2017 : FEVG à 55%, hypertrophie concentrique du VG. Syndrome des apnées du sommeil appareillé depuis 2004. Pneumopathie de type syndrome restrictif modéré avec air trapping statique. Rectocolite ulcéro-hémorragique. Anémie spoliative. Insuffisance rénale chronique stade I. Cypho-scoliose. Cardiopathie valvulaire avec : Implantation d'une prothèse valvulaire aortique TAVI de type Edwards Sapiens III 26 mm, par voie percutanée fémorale droite, par Dr. X, Dr. X et Dr. X, le 14.12.2017 à la clinique Cecil, pour sténose aortique serrée dégénérative avec : • S/p trois stents actifs sur la circonflexe et la marginale le 14.12.2012 (Dr. X). • S/p deux stents actifs sur la première et 2ème diagonales le 24.01.2013 (Dr. X). • FEVG à 50%. Réadaptation cardiovasculaire. Contrôle des facteurs de risque et optimisation du traitement cardiovasculaire. Carte de prophylaxie des endocardites donnée au patient. Insuffisance cardiaque aiguë le 01.02.2018 avec : flutter auriculaire décompensé en fibrillation auriculaire. Fibrillation auriculaire permanente avec : Flutter auriculaire à conduction rapide cardioverti électriquement le 20.12.2013 (Dr. X, Dr. X). Poursuite de son anticoagulation par Eliquis 2.5 mg 2x par jour. Eliquis 5 mg 2x par jour dès le 31.03.2018. (Pose de Holter par Dr. X). Malnutrition protéino-énergétique. Maladie coronarienne bitronculaire FEVG 67 %. Maladie coronarienne bitronculaire (IVA et CD) avec : • STEMI antérieur : • Coronarographie le 08.07.2006 : angioplastie et stenting de l'IVA proximale et sténose de la CD moyenne significative ; FEVG à 35%. • Coronarographie le 20.07.2006 : sténose intra-stent de l'IVA moyenne et sténose de la CD moyenne significative ; FEVG à 20% sur anévrisme ventriculaire. • NSTEMI subaigu le 07.02.2017 sur occlusion chronique de l'IVA intrastent : • Coronarographie du 08.02.2017 : occlusion intra-stent en regard du territoire déjà infarci de l'IVA, pas de geste. • QT long à 480 ms. • NSTEMI le 24.02.2017 : ajout Efient pour 6 mois, Deponit patch et arrêt Losartan + réduction Torem devant IRA. • NSTEMI le 21.05.2017 : • Coronarographie le 25.05.2017 : angioplastie de l'IVA moy et distale avec 2 stents actifs et bon résultat. • ETT le 22.05.2017 : dyskinésie de la paroi apicale, hypokinésie sévère du septum moyen et de la paroi septale antérieure moyenne. FEVG diminuée (30%). Hypertrophie excentrique. Coronarographie le 23.03.2018 : Angioplastie de l'IVA moyenne avec 1 stent actif et bon résultat final. Pose de pacemaker AAIR-DDDR le 16.03.2017 (Dr. X) pour BAV1, bradycardie et Bloc de branche gauche. Hallucinations auditives, musicales, d'origine indéterminée le 14.02.2018 DD : Démence débutante, favorisée par hypoacousie ; syndrome de Charles-Bonnet auditif. Bigéminisme intermittent avec hypotension artérielle secondaire le 14.02.2018 avec : • Fréquence cardiaque au pouls diminué à 34-45/min durant ces épisodes. Myalgies quadricipitale bilatérales le 09.02.2018 sur : • Canal lombaire étroit : opération refusée par le patient. • Traitement par Ezitimibe : stoppé le 09.02.2018. Pneumonie aiguë basale gauche 01/2017. Oligoarthrite aiguë d'origine microcristalline (Chondrocalcinose) le 23.05.2017 avec : • cervicalgies immobilisantes. Conjonctivite bilatérale probablement bactérienne 01/2017. Drainage d'un abcès sous-cutané au niveau de l'omoplate gauche en 06.2012. Tendinite avec calcifications du tendon d'Achille gauche, DD tophus goutteux le 16.05.2014. Tuberculose urinaire en 08/2007 et 10/2012 avec : • Traitement par Rimstar (08/2007-01/2008) et Bénadon puis Rifinah (01-02/2008) (Dr. X). • Quadrithérapie du 13.10.2012 au 22.03.2013. Pyélonéphrite gauche avec infection urinaire basse à K. oxytoca multi-sensible le 01.06.2015 : • Scintigraphie rénale du 03.06.2015 : fonction rénale globale abaissée, assurée principalement par un rein droit fonctionnel, mais pas compensateur. Le rein gauche participe seulement à un tiers de la fonction globale et sous Lasix, on note une stase pyélocalicielle évoquant premièrement une maladie de la jonction pyélo-urétéral. Résidu post-mictionnel de 250 ml. Gastrite récidivante le 09.04.2018. Maladie coronarienne bitronculaire (IVA et CD) avec : • STEMI antérieur : • Coronarographie le 08.07.2006 : angioplastie et stenting de l'IVA proximale et sténose de la CD moyenne significative ; FEVG à 35%. • Coronarographie le 20.07.2006 : sténose intra-stent de l'IVA moyenne et sténose de la CD moyenne significative ; FEVG à 20% sur anévrisme ventriculaire. • NSTEMI subaigu le 07.02.2017 sur occlusion chronique de l'IVA intrastent : • Coronarographie du 08.02.2017 : occlusion intra-stent en regard du territoire déjà infarci de l'IVA, pas de geste. • QT long à 480 ms. • NSTEMI le 24.02.2017 : ajout Efient pour 6 mois, Deponit patch et arrêt Losartan + réduction Torem devant IRA. • NSTEMI le 21.05.2017: • Coronarographie le 25.05.2017: Angioplastie de l'IVA moyenne et distale avec 2 stents actifs et bon résultat. • ETT le 22.05.2017: dyskinésie de la paroi apicale, une hypokinésie sévère du septum moyen et de la paroi septale antérieure moyenne. FEVG diminuée (30%). Hypertrophie excentrique. • Coronarographie le 23.03.2018: Angioplastie de l'IVA moyenne avec 1 stent actif et bon résultat final. • Pose de pacemaker AAIR-DDDR le 16.03.2017 (Dr. X) pour BAV1, bradycardie et bloc de branche gauche. • Bigéminisme intermittent avec hypotension artérielle secondaire le 14.02.2018 avec: • Fréquence cardiaque au pouls diminuée à 34-45/min durant ces épisodes. • Insuffisance rénale chronique stade III avec atrophie rénale gauche. • Créatinine à 128 umol/l (133 en 03/2017). • GFR estimé à 43 ml/min/1.73m2. • Myalgies quadricipitale bilatérales le 09.02.2018 sur: • Canal lombaire étroit: opération refusée par le patient. • Traitement par Ezitimibe: stoppé le 09.02.2018. • Hémorroïdes internes (coloscopie du 16.11.11). • Diverticulose colique étendue. • Crises d'arthrite depuis 2009, probable goutte (MTP1 droite; genou droit). • Pyrosis chronique. • Oligoarthrite aigüe d'origine microcristalline (chondrocalcinose) le 23.05.2017 avec • cervicalgies immobilisantes. • Nodule asymptomatique au niveau de la vallécule gauche. • Découverte fortuite au CT cervical du 23.05.2017. • Coxarthrose des deux côtés débutante à modérée (RX bassin 29.08.2017). • Hernie discale L4-L5 et L5-S1. • Gastrite récidivante le 09.04.2018. • Maladie coronarienne bitronculaire (IVA et CD) 11.2009 • PTCA d'IVA moyenne et branche rétro-ventriculaire artère coronaire droite avec mise en place de 2 stents actifs le 11.11.2009. • Bon résultat à moyen terme de PCI (coronarographie du 20.01.2010). • Échocardiographie (07.10.2013): FEVG normale (60%), sclérose aortique sans rétrécissement significatif, oreillette G discrètement dilatée. • Psychose paranoïde (suivi Dr. X). • Polymyalgia rheumatica. • Hyperplasie bénigne de la prostate traitée par Proscar. • Coxarthrose bilatérale prédominante à gauche. • Syndrome métabolique connu avec: • diabète insulino-dépendant. • néphropathie diabétique avec microalbuminurie. • HTA. • obésité modérée BMI 33.46. • dyslipidémie. • Maladie coronarienne bitronculaire le 06.03.2018 avec: • NSTEMI sur subocclusion de l'IVA le 06.03.2018 et pose de 2 stents sur l'IVA. • Lésion non significative de l'artère circonflexe moyenne. • Dysfonction ventriculaire gauche, akinésie apicale et latérale, FEVG 30%. • Fibrillation auriculaire chronique intermittente (juillet 2018) • sous Cordarone et Eliquis. • Hypertension artérielle traitée. • Dyslipidémie traitée. • Hernie hiatale et reflux gastro-oesophagien. • Diverticulose non datée. • Maladie coronarienne bitronculaire: • Occlusion de l'artère circonflexe proximale, englobant l'origine de la première marginale (lésion de bifurcation) STEMI latéral subaigu le 27.12.18: PCI (1DES): bon. • Sténose 75% de l'artère coronaire droite proximale. • Fraction d'éjection VG 45%. • Réhabilitation cardiovasculaire avec physiothérapie et ergothérapie à Billens du 07.01 au 10.01.2019. • Re-coro dans 1 mois pour PCI de l'ACD, sera convoqué. • Maladie coronarienne bitronculaire. • Occlusion de l'IVA ostiale. • Sténose de la Cx. • FEVG 50%. • Maladie coronarienne bitronculaire. • Occlusion de l'IVA ostiale. • Sténose de la Cx. • FEVG 50% à la ventriculographie. • Maladie coronarienne bitronculaire. • Occlusion thrombotique de la coronaire droite distale. • Anévrysmes géants de la circonflexe moyenne et de la marginale. • FEVG 60%. • Maladie coronarienne bitronculaire. • s/p infarctus antérieur en 2002, thrombolysé puis dilaté et stenté sur IVA proximale, et dilatation de la 1ère diagonale de l'IVA. • ETT le 18.01.2019: FEVG à 52%. • Maladie coronarienne bitronculaire, s/p STEMI postérolatéral le 03.01.2019: • Bon résultat après PCI (1xDES) de la Cx proximale. • Sténose 80% de l'ACD proximale: PTCA/1xDES (bon résultat). • Dysfonction ventriculaire gauche, EF 30%. • Maladie coronarienne bi-tronculaire: • Sténose significative de l'ostium de l'IVA proximale et de l'IVA moyenne. Lésion non significative de l'IVA moyenne, englobant l'origine de la seconde diagonale (lésion de bifurcation). • Sténose significative de l'artère CD distale: PCI/1DES. • FEVG 78%. • Hypokinésie modérée diaphragmatique. • Maladie coronarienne bitronculaire: 09.12.2018: STEMI antérieur. • Bon résultat après PCI (2 x DES) de l'IVA proximale au niveau de la DA (1 x DES). • Sténose 80% de l'ACD moyenne : PTCA/2 x DES (bon résultat). • Sténose intermédiaire de la bissectrice. • FEVG 35%, hypo- à akinésie antérieure et apicale. • Pic de CK 3517 U/l le 09.12.2018. • Maladie coronarienne bitronculaire. • Bon résultat après stenting ACD (STEMI inf.) • Actuel : direct stenting IVA moyenne/distale : 2xDES : bon. • Maladie coronarienne bitronculaires avec: • Excellent résultat après PCI IVA en 11.2018 pour NSTEMI. • Sténose 70% de l'artère circonflexe moyenne : PCI (1DES) : Bon. • Fonction systolique VG normale. • Maladie coronarienne bitronculaires avec: • Occlusion chronique de l'ostium de l'IVA proximale à moyenne : PTCA : pas de recanalisation possible. • Bon résultat après PCI de l'ACD en 11 et 12.2018. • EF 60%. • Maladie coronarienne bitronculaire 08.12.2018: STEMI inféro-latéral sur sténose serrée (90%) Cx proximale. • Sténose 90% de l'artère circonflexe proximale. • Sténose 50-70% de l'IVA distale. • FEVG 65%, akinésie inféro-latérale. • Coronarographie : PCI et 2 stents DES Cx proximale. • Hypotension sévère per-coronarographie le 08.12.2018. DD : extravasation au point de ponction fémorale commune D. Ballon artériel durant 30 minutes le 08.12.2018. 7500 UI de Protamine le 08.12.2018. 2 CE le 08.12.2018. • Maladie coronarienne de deux vaisseaux (CX et CD) avec: • Sténose 70-90% de la coronaire droite proximale : PCI/1DES. Bon résultat. • Absence de resténose à long terme du stent implanté sur la CX proximale en 2012. • Absence de lésion hémodynamiquement significative sur l'IVA. • Fonction systolique du VG normale (FEVG 72% en OAD). Coxarthrose G. Tabagisme. Troubles dépressifs récurrents + troubles bipolaires depuis 2002 (traités par Tranxilium en février 2016 - compliance au traitement difficile). • Maladie coronarienne de 1 vaisseau (artère coronaire droite). • Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées (FE:72%) en 2008. • PTCA + 2 stents actifs CD proximale le 02.07.2008. • Troubles anxio-dépressifs récurrents traités de longues dates • Essai de Escitalopram et Citalopram mal supporté en ambulatoire. • Hospitalisation à Marsens d'une durée de 2 semaines en 2017. • Maladie coronarienne de 2 vaisseaux (IVA, CX, bissectrice). Bons résultats à court terme désoblitération de l'IVA proximale avec mise en place de 2 stents actifs et PCI/1 DES d'une branche bissectrice le 04.01.2019. Actuel : PCI/1 DES d'une sténose longue subtotale de la CX moyenne : bon résultat. Hypokinésie antéro-latérale et apicale. Fonction systolique globale du ventricule gauche conservée (FE:55%). • Maladie coronarienne de 2 vaisseaux. • Sténose IVA moyenne avec pose de 3 stents le 19.02.18, sténose intermédiaire de la première grosse diagonale, subocclusion de la RCX distale (PTCA le 19.03.2018). • FEVG 65%. Hypertension artérielle. Syndrome de Vidak. • Maladie coronarienne de 3 vaisseaux. • Désoblitération de l'IVA proximale avec pose de 3 stents actifs le 30.12.2018. • Dilatation de la coronaire droite proximale et moyenne avec pose de 2 stents actifs le 31.12.2018. • Artère circonflexe moyenne avec lésion intermédiaire à 50-70%. • Dysfonction systolique ventriculaire gauche modérée (FE:45%). • Maladie coronarienne de 3 vaisseaux. • Bon résultat après PCI première marginale. • bon résultat après PCI CD moyenne • sténose 70% de la CD proximal : stenting direct (bon résultat) • FEVG 60% Maladie coronarienne de 3 vaisseaux. Bon résultat à court terme d'une désoblitération de la RVP avec mise en place de 2 stents actifs et d'une PCI/ 1 DES de l'IVP (coronaire droite). Actuel : PCI/ 1 DES artères circonfexe moyenne, PCI/ 1 DES 1ère branche marginale avec kissing balloon (CX) et stent (1ère marginale) : bon résultat. Hypokinésie inférieure. Fonction systolique globale du ventricule gauche conservée (FE :67%). Maladie coronarienne des 3 vaisseaux avec sténose longue significative sur l'IVA proximale, traitée par monopontage de l'artère mammaire interne gauche sur l'IVA moyenne à cœur battant le 05.02.2013. • Coronarographie du 11.01.2013 : sténose significative longue de l'IVA proximale, sténose significative longue de l'IVA moyenne, lésion non significative de la 2e marginale, sténose significative de l'ostium de la CD proximale. FEVG 75%. Facteurs de risque cardiovasculaires : hypertension artérielle, surcharge pondérale, hypercholestérolémie. Maladie coronarienne des 3 vaisseaux • désoblitération de l'IVA proximale avec pose de 3 stents actifs le 30.12.2018 • dilatation de la coronaire droite proximale et moyenne avec pose de 2 stents actifs le 31.12.2018 • artère circonflexe moyenne avec lésion intermédiaire à 50-70 % • dysfonction systolique ventriculaire gauche modérée (FE :45%) Maladie coronarienne diffuse traitée. Hypercholestérolémie. Hernie discale. Maladie coronarienne diffuse traitée. Hypercholestérolémie. Tabagisme à 20 UPA. Hernie discale. Maladie coronarienne ectasique avec : • Anévrisme énorme de l'artère coronaire moyenne (45 x 42 mm) • Ectasie de l'interventriculaire antérieure et de la circonflexe proximale • FEVG 60% Maladie coronarienne, FRCV : dyslipidémie traitée, hypertension artérielle traitée Anévrismes fusiformes de l'aorte abdominale infra-rénale (35 mm) diagnostiqué en octobre 2018 Maladie coronarienne monotronculaire avec : • status post stenting primaire d'une longue lésion de 75 % de l'artère coronaire droite distale • stenting primaire d'une sténose de l'artère coronaire droite moyenne à 50 % • Occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale à distale (J-score 2) : PTCA sans re-entrée dans la bifurcation distale par voie antégrade et rétrograde • Fraction d'éjection VG 65%. Maladie coronarienne monotronculaire : • Coronarographie 12/1999 : discrète sclérose débutante, pas de sténose, EF 84 %. • Echographie 5/2011 : pas d'hypertrophie, pas de valvulopathie relevante, EF 75 %. • Ergométrie 11/2011 : doublement nég (125W). • Ergométrie 11/2012 : doublement nég (7.1 METS). • Coronarographie élective 13.12.2018 : FEVG 70 %, sténose significative de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale. Sténose fonctionnellement significative. FFR = 0,63 (1,00 au repos). Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Lésion intermédiaire de la première diagonale. Lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale. Lésion non significative de l'ostium de l'artère marginale du bord droit. Succès d'angioplastie de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale. Implantation de 1 stent actif. • Coronarographie élective 17.01.2019 : Absence de resténose de l'artère interventriculaire antérieure proximale au niveau du site d'implantation du stent actif. Lésion intermédiaire de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Sténose fonctionnellement non significative. FFR = 0,86 (1,00 au repos), Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Lésion intermédiaire de la première diagonale. FEVG 78 %. • FRCV : ancien tabagisme (stop 1989), dyslipoprotéinémie, HTA, AF positive. Hypotonie de la vessie sur probable dénervation incomplète : • Colpo-suspension par TVT, cystoscopie pour incontinence type stress grade II 2/2000, révision pour difficultés mictionnelles postopératoires 6/2000. • Consilium urologie 8/2000. • Infections urinaires basses à répétition. • Infection urinaire basse par K. pneumoniae le 19.01.2016. Migraines simples récidivantes : • IRM cérébrale mai 2013 : sans particularité • CT cérébral et orbites 5/2013 : sans particularité • Décompensation migraineuse sur abus médicamenteux le 01.02.2016. Dysthymie anxio-dépressive : • Tentamen au Sotalex 10/2009. Nodule pulmonaire de 6 mm lobe inférieur droit visualisé au scanner du 22.01.2016. Maladie coronarienne monotronculaire : • sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation) • NSTEMI sur sténose significative de l'IVA proximale le 20.02.2015 Pose de pacemaker le 12.09.2016 BAV du deuxième degré de type Mobitz II symptomatique Implantation d'un pacemaker DDDR le 12.09.2016 Dyslipidémie Troubles érectiles avec consommation de Viagra 1x / semaine DMLA avec malvoyance importante Maladie coronarienne monotronculaire : • Absence de resténose de l'artère interventriculaire antérieure proximale au niveau du site d'implantation du stent actif. • Lésion intermédiaire de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Sténose fonctionnellement non significative. FFR = 0,86 (1,00 au repos), Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Lésion intermédiaire de la première diagonale. • Lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale. • Lésion non significative de l'ostium de l'artère marginale du bord droit. • FEVG 78%. Maladie coronarienne monotronculaire au niveau de l'artère coronaire circonflexe • fraction d'éjection VG 39%. Maladie coronarienne monotronculaire au niveau de l'artère coronaire circonflexe • fraction d'éjection VG 40%. Maladie coronarienne monotronculaire avec : • coronarographie le 11.09.2018 : PCI/1 DES RIVA médial (EF 60%) • IRM cardiaque 17.05.2018 : pas de signe d'ischémie ni de souffrance myocardique • facteurs de risques cardiovasculaires : DM type 2 IR, tabac actif, dyslipidémie Maladie coronarienne monotronculaire avec : • sténose à 80% IVA ostiale avec pose de stent actif le 18.07.2013. • FEVG 60%. • angor stable. Maladie coronarienne monotronculaire avec NSTEMI en juillet 2016 pour occlusion de la CD proximale Ethylisme chronique avec pancréatites aiguës en 2008 et 2011 Troubles bipolaires Kyste hépatique Maladie coronarienne monotronculaire avec : • Occlusion chronique de l'IVA moyenne au niveau de la DA (lésion de bifurcation) : PTCA/1xDES : Bon. Maladie coronarienne monotronculaire avec : • Sténose significative de l'IVA moyenne : PTCA/1xDES (bon) • Sténose significative de la 1ère diagonale : PTCA/1xDES (bon) • Fraction d'éjection 60%. Maladie coronarienne monotronculaire avec : • Sténose significative de l'ostium de l'ACD : PTCA/1xDES • LVEDP 20 mmHg • EF 35-40%. Maladie coronarienne monotronculaire avec : • Sténose 70% de l'IVA proximale au niveau de la première diagonale (lésion de bifurcation) : direct stenting (1xDES, bon) EF 65% Maladie coronarienne monotronculaire avec: • Sténose 90% de la bifurcation IVA moyenne/1ère diagonale: PTCA/1xDES (bon). • Fraction d'éjection 55%. Maladie coronarienne monotronculaire avec: • sténose significative de l'artère circonflexe moyenne: stenting primaire DES • légère dysfonction ventriculaire gauche avec hypokinésie apicale, FEVG 45% • Sténose aortique serrée AVA 0.69 cm2 • Hypertension artérielle pulmonaire • Absence de sténose au niveau des vaisseaux iliaques Maladie coronarienne monotronculaire • Coronarographie du 10.12.2018: implantation de 2 stents actifs dans l'IVA • Aspirine Cardio pour une durée de 1 mois dès le 11.12.2018 • Plavix 75 mg pour une durée de 12 mois dès le 11.12.2018 Maladie coronarienne monotronculaire (CX) avec: • infarctus myocardique inférolatéral moyen le 25.06.2015 sur probable dissection spontanée d'une petite branche distale de la CX Maladie coronarienne monotronculaire • occlusion aiguë de la coronaire droite distale • lésion intermédiaire IVA proximale • dysfonction ventriculaire avec akinésie postéro-basale, FEVG 40% Maladie coronarienne monotronculaire: • Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne: 1 DES • FEVG 77%. Maladie coronarienne monotronculaire • sténose subtotale de la première marginale: PTCA/1x stent actif le 21.01.2019 • sténose significative de l'artère circonflexe distale: stent actif direct le 21.01.2019 • fraction d'éjection du ventricule gauche normale Maladie coronarienne monotronculaire • sténose 70-90% RIVA proximale au niveau de la bifurcation avec la première diagonale: stenting direct/POT/Kissing-balloon avec bon résultat • EF 55-60% Maladie coronarienne monotronculaire (subocclusion artère circonflexe moyenne), diagnostiquée le 04.01.2019 Maladie coronarienne monotronculaire: 04.12.2018: STEMI antérieur sur sténose subocclusive de l'artère interventriculaire antérieure moyenne avec mise en place d'un stent DES Maladie coronarienne monotronculaire: 09.11.2018: STEMI latéral • occlusion de la branche diagonale: mise en place de 1 stent actif • lésion IVA moyenne sténosée à 40% • FEVG 40% le 09.11.2018 • ETT le 13.11.2018: normalisation de la FEVG (60%). Hypokinésie modérée de la paroi latéro-basale et hypokinésie minime de la paroi latérale moyenne. Complications: 1) Arrêt cardio-respiratoire sur fibrillation ventriculaire dans le cadre d'un STEMI latéral le 09.11.2018 • Adrénaline IV 1mg • 2 chocs externes • Low-flow indéterminé, ROSC estimé 5 min 2) OAP sur effondrement de la fonction systolique le 09.11.2018 DD: ischémie-reperfusion, sidération myocardique • Ventilation non invasive 3) Foie de choc le 10.11.2018 • ASAT 195 U/L, ALAT 347 U/L, PA 40 U/L, GGT 70 umol/L Maladie coronarienne monotronculaire 22.11.2018: STEMI inférieur sur occlusion de la coronaire droite • implantation d'un stent actif dans la coronaire droite proximale Maladie coronarienne monotronculaire • FEVG à 47% (ETT 31.12.2018) Maladie coronarienne sous aspirine cardio. Hypercholestérolémie. Hypertension artérielle. Incontinence urinaire depuis 2 ans, suivie chez son gynécologue. Hyperparathyroïdie primaire avec • adénome parathyroïdien. Maladie coronarienne: • status post-triple pontage aorto-coronarien le 30.06.1998 (mammaire interne gauche-IVA, pont veineux séquentiel-bissectrice-CX moyenne). • status post-angioplastie et pose de 3 stents actifs (1 sur le tronc commun et la CX, 2 sur l'IVP) le 24.04.2013 Dyslipidémie traitée Hypertension artérielle traitée Anévrismes fusiformes de l'aorte abdominale infra-rénale (35 mm) diagnostiqué en octobre 2018 Maladie coronarienne tritronculaire: • sténose significative de la coronaire droite proximale au niveau du site d'implantation d'un ancien stent nu • Sténose significative de l'IVA moyenne à distale • Occlusion chronique de l'artère circonflexe • FEVG 55-60% • infarctus myocardique septal en 1995, antérieur en 1990 et inférieur en 1989 Maladie coronarienne tritronculaire: • lésion non-significative de l'ostium du tronc commun • excellent à court terme après PCI de la RCx proximale le 05.10.2018 • occlusion chronique ACD proximale à moyenne: angioplastie complexe avec abords bilatéraux, rotablation et 2 DES: Bon • Fraction d'éjection VG 65% Maladie coronarienne tritronculaire avec: • bon résultat après stenting IVA • Sténose subtotale (90%) ACD moyenne et réstenose ACD proximale: PTCA/2xDES • Sténose significative LCD proximale/distale: PTCA/3xDES • Fraction d'éjection VG normale Maladie coronarienne tritronculaire avec: • Excellent résultat à court terme après PCI IVA moyenne • Sténose 50-70% RCx ostiale et moyenne • Occlusion chronique ACD moyenne/distale (J-Score 2): PCI (1DES): Bon • Sténose ACD proximale: PCI (1DES): Bon Maladie coronarienne tritronculaire avec: • Lésion 40% TC • Bon résultat après PCI de l'IVA proximale • Resténose 90% intrastent de la bifurcation RCx/MA1: PCI (2xDEB): Bon • Excellent résultat à long terme après PCI de la RCx distale • Bon résultat à long terme après PCI ACD proximale (2DES, Resolutes, 2012) • Fraction d'éjection VG 65% Maladie coronarienne tritronculaire: • Coronarographie du 08.10.2015: subocclusion de l'IVA ostiale traité par PCI/1BMS, sténose de 95% de l'IVA moyenne traitée par PCI/1BMS, subocclusion chronique de la CD, sténose de la 1ère marginale de la CX. • Revascularisation de la lésion de la 1ère marginale le 04.11.2015. • FEVG à 40% sur a-dyskinésie antéro-latérale et apicale. • STEMI antérieur Killip classe III sur sténose de l'IVA ostiale traitée par PCI et implantation de 2 BMS fecit le 08.10.2015. Maladie coronarienne tritronculaire: • status post-STEMI antérieur en 1997 (Bern) • angioplastie d'une resténose précoce du stent nu de l'IVA et implantation de 2 stents actifs de 3ème génération juin 2013 • status post-angioplastie de l'ACD proximale avec implantation d'un stent actif en juin 2013 • status post-angioplastie de l'ostium de la RCx et du TC avec technique de T-stenting (2DES) le 12.10.2015 • status post-stenting de l'IVA moyenne • NSTEMI type 4b sur thrombose de stent tardive du tronc commun et RCx ostiale le 27.06.2016 • tachycardies ventriculaires intermittentes avec: • pose de pacemaker de CRT-D à gauche le 18.08.2016 • FA paroxystique anticoagulée (depuis le 25.07.2017) Cardiopathie d'origine mixte avec dysfonction systolique sévère (FEVG 20-25% en novembre 2017) Syndrome anxio-dépressif traité depuis août 2017 Spondylarthropathie périphérique chronique réactive (syndrome de Reiter) depuis 1971 • HLA-B27 positif • sous Prednisone 5 mg au long cours avec échec de tentative d'arrêt en 1992 Insuffisance rénale aiguë AKIN1 pré-rénale avec: • FE urée 25.9% • hyperkaliémie modérée Monoarthrite du genou droit d'origine possiblement microcristalline Avis rhumatologue : proposition de ponctionner et de faire une injection intra-articulaire de corticoïdes ; refusé par le patient. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec : • Status post amputation sous-géniculaire du membre inférieur gauche le 04.10.2017 • Status post amputation sous-géniculaire du membre inférieur droit le 13.03.2018 (Dr. X) • AOMI bilatérale de stade IV selon Fontaine • Déficit en vitamine D et acide folique le 22.03.2018 • Maladie coronarienne tritronculaire avec multiples angioplasties • Fibrillation auriculaire anticoagulée • Spondylarthropathie périphérique chronique réactive (syndrome de Reiter) depuis 1971 Fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom. Maladie coronarienne tritronculaire : • Status post-STEMI antérieur en 1997 (Berne) • Angioplastie d'une resténose précoce du stent nu de l'IVA et implantation de 2 stents actifs de 3ème génération en juin 2013 • Status post-angioplastie de l'artère carotidienne droite proximale avec implantation d'un stent actif en juin 2013 • Status post-angioplastie de l'ostium de la RCx et du TC avec technique de T-stenting (2DES) le 12.10.2015 • Status post-stenting de l'IVA moyenne • NSTEMI type 4b sur thrombose de stent tardive du tronc commun et RCx ostiale le 27.06.2016 • Tachycardies ventriculaires intermittentes avec : • Pose de pacemaker de CRT-D à gauche le 18.08.2016 • FA paroxystique anticoagulée (depuis le 25.07.2017). Cardiopathie d'origine mixte avec dysfonction systolique sévère (FEVG 20-25 % en novembre 2017). Syndrome anxio-dépressif traité depuis août 2017. Spondylarthropathie périphérique chronique réactive (syndrome de Reiter) depuis 1971. • HLA-B27 positif • Sous Prednisone 5 mg au long cours avec échec de tentative d'arrêt en 1992. Insuffisance rénale aiguë AKIN1 pré-rénale avec : • FE urée 25.9 % • Hyperkaliémie modérée. Monoarthrite du genou droit d'origine possiblement microcristalline. • Avis rhumatologue : proposition de ponctionner et de faire une injection intra-articulaire de corticoïdes ; refusée par le patient. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec : • Status post-amputation sous-géniculaire du membre inférieur gauche le 04.10.2017 • Status post-amputation sous-géniculaire du membre inférieur droit le 13.03.2018 (Dr. X) • AOMI bilatérale de stade IV selon Fontaine • Déficit en vitamine D et acide folique le 22.03.2018 • Maladie coronarienne tritronculaire avec multiples angioplasties • Fibrillation auriculaire anticoagulée • Spondylarthropathie périphérique chronique réactive (syndrome de Reiter) depuis 1971. Fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom. Maladie coronarienne tritronculaire : • Sténose proximale de l'IVA : FFR normal • Sténose sévère de l'IVA distale : thérapie conservatrice • RCX : sténose 70 % : 1xPTCA/DES • CD : sténose intermédiaire de l'IVP Maladie coronarienne tritronculaire • Atteinte diffuse et significative IVA • Sténose significative Cx ostiale • Atteinte diffuse de la CD • FEVG 35 % Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Coronarographie du 05.05.2015 (Dr. X) : primary stenting de l'artère mammaire interne droite (AMID) sur la coronaire droite avec un excellent résultat • Coronarographie du 03.11.14 : stent actif sur la coronaire droite distale • Coronarographie du 29.04.2014 : absence de nouvelle lésion, pontages perméables, stent de l'artère circonflexe (CX) perméable, persistance d'une sténose de la coronaire droite distale à 70-90 % • Resténose intrastent du rameau circonflexe à 70 % traitée par dilatation par ballonnets et stenting (PTCA) en septembre 2013, • Status post-2 PAC (AMIG/IVA, AMID/CD) en 2006 Troubles de l'adaptation, avec réaction anxio-dépressive. Diabète type 2 NIR. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Coronarographie du 05.05.2015 (Dr. X) : primary stenting de l'artère mammaire interne droite (AMID) sur la coronaire droite avec un excellent résultat. Troubles de l'adaptation, avec réaction anxio-dépressive. Diabète type 2 NIR. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • S/P 5 pontages aorto-coronariens en 1999 (mammaire interne gauche-IVA, pont veineux séquentiel-1ère diagonale, pont veineux séquentiel-1ère marginale, pont veineux séquentiel-artère coronaire droite-IVP). S/P PCI/1 stent actif de l'artère circonflexe moyenne en 2004 Fibrillation auriculaire chronique avec réponse ventriculaire probablement insuffisamment contrôlée. HTA insuffisamment compensée. Anxiété chronique Maladie coronarienne tritronculaire avec : • STEMI antéro-latéral sur occlusion thrombotique de l'IVA proximale le 14.12.2018 compliqué d'une akinésie apicale étendue et d'une FEVG séquellaire à 20 % puis d'une occlusion précoce de stent avec nouvelle coronarographie le 15.12.2018 • Sténose significative de la Cx moyenne englobant l'origine de la seconde marginale • Occlusion chronique de la CD droite proximale avec recanalisation par 4 stents le 15.12.2018 Maladie coronarienne tritronculaire avec : • STEMI sur sub-occlusion de l'IVA moyenne le 28.02.2014. • Hypokinésie modérée apicale. • FEVG 58 %. • Insuffisance mitrale discrète avec sclérose valvulaire. • Coronarographie du 28.02.2014 (Dr. X) : sub-occlusion de l'IVA moyenne avec angioplastie et mise en place d'un stent actif, sténose significative de la 1ère diagonale, sténose très serrée de l'ostium de la 1ère marginale avec angioplastie et mise en place d'un stent actif, sténose significative de l'IVP. Sténose de la carotide interne droite à 80 %. Hypertension artérielle. Insuffisance veineuse de stade C4 C5 débutante selon la classification CEAP. Nodule thyroïdien droit infra-centimétrique. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • S/P STEMI latéral et angioplastie primaire RCX moyenne, sténose 50 % d'aval • Sténose 80 % IVA proximale : PCI (1DES) : Bon • Bon résultat après PCI IVA moyenne le 22.11.2013 • Bon résultat après PCI ACD moyenne le 22.11.2013 • Fraction d'éjection VG 38 % Maladie coronarienne tritronculaire avec : • AMIG-IVA perméable avec occlusion chronique IVA proximale • PAC saphène-MA occlus : PCI (2DES) : Bon • PAC-IVP ouvert avec occlusion chronique de l'ACD proximale • Fraction d'éjection VG 55 %. Maladie coronarienne tritronculaire avec atteinte périphérique : • Coronarographie le 05.12.2012 (Dr. X) : occlusion chronique de l'IVA, lésion intermédiaire de la circonflexe moyenne, occlusion chronique de l'ostium de la seconde marginale, présence d'une collatéralisation marquée. Lésion non significative de la coronaire droite moyenne, lésion non significative de la coronaire droite distale, occlusion aiguë de l'interventriculaire postérieure. Pas de geste thérapeutique, FEVG 75 %. • NSTEMI le 05.12.2012 sur occlusion aiguë de l'interventriculaire postérieure traité conservativement • NSTEMI le 26.01.2016. Maladie coronarienne tritronculaire • Coronarographie le 26.01.2016, abord radial G (Dr. X) : sténoses intra-stent subocclusive et thrombotiques de l'artère coronaire droite distale, moyenne et proximale. PTCA avec implantation de 3 stents actifs (stent in stent) Ancien tabagisme, hypertension artérielle, dyslipidémie Lymphocèle inguinal droit Maladie coronarienne tritronculaire avec s/p opération de pontage 2011, maladie diffuse de la périphérie des vaisseaux natifs : • AMIG sur IVA et veine sur IVP de la CD perméables • Re-sténose intrastent anastomose aortique veine sur Marginale/Cx : PTCA/1xDES (bon) • Vaisseaux natifs : Subocclusion du TC distale, CD occlus ostiale nbv • Dysfonction ventriculaire gauche avec akinésie postéro-basale, EF 45% Maladie coronarienne tritronculaire avec sp 4 x PAC (07.2017) • occlusion pontage AMIG-IVA avec sténose 70-90% IVA proximale : PCI 2xDES : bon • occlusion CX proximale : pontage Saphène-Marginale avec jump 1ère diagonale perméable • occlusion CD proximale : pontage AMID-CD perméable • légère dysfonction VG systolique (FEVG 50%) Maladie coronarienne tritronculaire avec • Status post endartériectomie carotidienne D en 1992 • Status post quadruple pontage aorto-coronarien en 2004 • Status post remplacement de l’aorte infra-rénale par une prothèse bifurquée sur les artères iliaques en 2005 • Coronarographie 29.11.2018 (Dr. X) qui montre : • Sténose significative du tronc commun • Occlusion chronique de l'artère interventriculaire antérieure proximale • Occlusion chronique de l'artère circonflexe proximale • Occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale • Occlusion chronique du pontage saphène IVP • Perméabilité de pontage saphène séquentiel Marginale 1, Marginale 2 • Perméabilité de pontage mammaire gauche pédiculée IVA II Insuffisance rénale chronique KDIGO stade IV A1 d'origine indéterminée • GFR estimée selon Cockroft à 29ml/min/1.73m2 • Créatinine à 197 microg/L le 07.12.2018 avec FE Urée à 41% Sténose de l'ostium de l'artère sous-clavière Syndrome métabolique avec : • Hypertension artérielle traitée • Hyperlipidémie et intolérance aux statines Troubles de la marche et de l'équilibre avec chutes à répétition et multiples facteurs de risque de chutes : • Status après fracture sous-trochantérienne gauche le 17.09.2018 • Hypovitaminose B9 et D • Anémie • Malentendance • Troubles cognitifs Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Sténose 70 - 90% du tronc commun distale/de l'ostium de l’IVA • Sténose significative de l’IVA moyenne (in-stent) et distale • Sténose significative de l’ostium RCx, ACD moyenne • EF 25%, LVEDP 25mmHg Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Sténose 80% IVA très périphérique • Sténose 70% de la 1ère marginale : direct stenting (1xDES) : Bon • Bon résultat après PCI de l’ACD proximale et distale • Sténose 80% de novo de l’ACD moyenne entre les stents : direct stenting (2 DES) : Bon • Fraction d’éjection VG 60%, hypokinésie postéro-basal. Maladie coronarienne tritronculaire avec (suivi à Hirslanden, Dr. X, Bern) : • 17.08.1998 : Infarctus myocardique non transmural • 25.08.1998 : Double stenting RIVA et ACS • 07.09.1998 : 3 stents RCX • 27.04.1999 : instent resténose RIVA • 01.07.2008 : angina pectoris stadium II avec ergométrie positive • 09.07.2008 : re coronarographie : progression sténose de haut grade du tronc central distal et instent-resténose distale RCX, stents proximaux RCX et RIVA moyenne bon résultat au long terme, nouvelle sténose de haut grade RIVA moyenne et distale. EF 66% avec légère hypokinésie antéro-latéro-septale • 25.07.2008 : OP revascularisation myocarde : 4 pontages coronariens (Dr. X, Hirslanden) • 14.03.2017 : stenting branche latérale distale veine CX • 01.12.2017 : récidive angina pectoris avec ECG d'effort montrant tachycardie ventriculaire et fibrillation auriculaire • 05.12.2017 : PTCA et stenting veine distale postéro-latéral CX • Facteurs de risque cardiovasculaires : dyslipidémie traitée et hypertension artérielle traitée ainsi que anamnèse familiale positive Maladie coronarienne tritronculaire avec trois pontages aorto-coronariens le 30.04.2008. Insuffisance artérielle des membres inférieurs stade 2B : • recanalisation de l'artère iliaque commune droite et stenting le 30.04.2008. Accident ischémique transitoire en janvier 2008 : • thrombendartériectomie le 22.04.2008. • recanalisation de la carotide gauche, à Berne. • sclérose aortique sans sténose significative (échocardiographie du 25.04.2012). Dyslipidémie. Hypertension artérielle. Ancien tabagisme, stoppé en 2005. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • 14.12.018 : STEMI antéro-latéral sur occlusion thrombotique de l'IVA proximale, compliqué d'une akinésie apicale étendue et d'une FEVG séquellaire à 20% puis d'une occlusion précoce de stent avec nouvelle coronarographie le 15.12.2018 • sténose significative de la Cx moyenne englobant l'origine de la seconde marginale • 15.12.2108 : recanalisation par 4 stents pour occlusion chronique de la CD D proximale • 03.01.2019 : pose de CRT-D (Medtronic Claria MRI Quad CRT-D (DDD50 - 120 bpm) Maladie coronarienne tritronculaire avec : • 14.12.2018 : STEMI antéro-latéral sur occlusion thrombotique de l'IVA proximale, compliqué d'une akinésie apicale étendue et d'une FEVG séquellaire à 20% puis d'une occlusion précoce de stent avec nouvelle coronarographie le 15.12.2018 • sténose significative de la Cx moyenne englobant l'origine de la seconde marginale • occlusion chronique de la CD D proximale avec recanalisation par 4 stents le 15.12.2018 Maladie coronarienne tritronculaire avec : PTCA/2x stent actif tronc commun PTCA/1x stent actif IVA prox. Sténose LCX moyenne 90% Sténose ACD moyenne 100% FE du VG normale Maladie coronarienne tritronculaire • Coronarographie 06.12.2018 : sténose subocclusive de la bissectrice, sténose subocclusive de la diagonale, sténose subocclusive de la coronaire droite moyenne. FEVG 40-45%. Hypertension artérielle pulmonaire. • FRCV : HTA traitée, Diabète de type 2 non insulino requérant. Maladie coronarienne tritronculaire • Coronarographie 6.1.2018 Maladie coronarienne tritronculaire : • Coronarographie 6.12.2018 : sténose subocclusive de la bissectrice, sténose subocclusive de la diagonale, sténose subocclusive de la coronaire droite moyenne, FEVG 40% • Coronarographie le 15.1.2019 : sténose subocclusive de la bissectrice : PTCA/1xDES (bon), sténose subocclusive de la diagonale : PTCA only (bon) Sténose aortique sévère Maladie coronarienne tritronculaire (IVAP, IVAM diagnoale, CX) : • stent de l'IVA moyenne, FEVG 66% en 2004 (Dr. X), • 2 stents sur l'IVA proximale et moyenne en 2001 (Dr. X), • status post-infarctus septal en 1995, • status post-infarctus antérieur en 1990, • status post-infarctus inférieur en 1989. • sous Sintrom Hypertension artérielle. Reflux gastro-oesophagien. Diabète type II non-insulino requérant. Hypothyroïdie non-substituée, traitement par Eltroxine non toléré en 1993. Ostéoporose vertébrale. Coxarthrose droite. Digitarthrose douloureuse. Maladie coronarienne tritronculaire le 16.12.2018 • stenting de la coronaire droite proximale/moyenne le 15.12.2006 pour STEMI • stenting du tronc commun, de la circonflexe et la 1ère marginale en 2007 et ré-intervention sur la circonflexe le 28.08.2015 • ventriculographie : FEVG 55% avec hypokinésie postéro-basale. Maladie coronarienne tritronculaire • occlusion ACD prox. chronique • IVA prox. 90% • LCX moyenne/distale : 70% x2 Maladie coronarienne tritronculaire • occlusion ACD prox. chronique • IVA prox. 90% • LCX moyenne/distale : 70% x2 Maladie coronarienne tritronculaire sévère avec : • angor chronique • s/p angioplastie et stenting IVA prox. et circonflexe en avril 2007 • s/p angioplastie IVA moyenne en 2008 ; angioplastie de la diagonale, de l'IVA, dilatation 1e septale en 2013 ; puis angioplastie et stent ostium de la circonflexe (date ?) • Amnestiquement : pose de 13 stents, dernière coronarographie en décembre 2018 pour angor, pas de stent mis en place car impossible selon le patient ; 3 coronarographies en 2018, avec pose de stent en mars et en juin (clinique Cecil) • Dernière écho en 2016 : sténose aortique modérée, calcification anneau mitral, FEVG 60 % REVOIR LISTE ATCD A JOUR AVEC MEDECIN TRAITANT • HTA traitée • Hypercholestérolémie traitée • Diabète de type II non insulino traité • Hyperplasie bénigne de la prostate • Maladie coronarienne tritronculaire sévère avec : • Angor chronique • Status post angioplastie et stenting IVA prox. et circonflexe en avril 2007 • Status post angioplastie IVA moyenne en 2008 ; angioplastie de la diagonale, de l'IVA, dilatation 1ère septale en 2013 ; puis angioplastie et stent ostium de la circonflexe • Anamnestiquement pose de 13 stents, dernière coronarographie en décembre 2018 pour angor, pas de stent mis en place car impossible selon le patient ; 3 coronarographies en 2018, avec pose de stent en mars et en juin 2018 (clinique Cecil) • Sténose aortique modérée, calcification anneau mitral, FEVG 60 • Double antiagrégation par Efient et Aspirine • Maladie coronarienne tritronculaire s/p multiples PTCA et stenting avec : • FEVG 55 % le 09.12.2017 • Hypokinésie inféro-basale • FRCV : diabète non insulinorequérant, dyslipidémie, obésité sévère de stade II (BMI à 36.98 kg/m2) • Maladie coronarienne tritronculaire, s/p NSTEMI (postero-inférieur) 15.01.2019 : • Bon résultat après PCI de la coronaire droite distale le 15.01.2019 • Longue sténose à 90 % de l'IVA proximale : PTCA/1xDES le 22.01.2019 • Sténose 90-99 % de la bissectrice : PTCA/2xDES le 22.01.2019 • Maladie coronarienne tritronculaire, s/p STEMI antérieur aigu avec choc cardiogène le 11.09.2018 • Excellent résultat après recanalisation et mise en place d'un stent actif dans l'IVA proximale le 11.09.2018 • Sténose de la branche marginale traitée par PCI et stent actif le 16.10.2018 • Occlusion de la circonflexe moyenne : échec de recanalisation • Longue sténose de la coronaire droite moyenne (petit vaisseau) • Dysfonction ventriculaire gauche sévère, Fraction d’éjection VG 30 % (coronarographie du 16.10.2018) • Pose de défibrillateur simple chambre à gauche le 13.12.2018 en prophylaxie • Insuffisance rénale chronique stade G3bA3 sur probable néphropathie hypertensive • IgG Kappa Lambda augmentées • Sténose sur artère rénale gauche sans répercussion hémodynamique (doppler 17.01.2018) • Suivi par le Dr X (Payerne) • Hypertension artérielle • BPCO/emphysème • 2 petits polypes bénins au niveau sigmoïde (colonoscopie le 13.10.2016) • Dolicho-colon • Hémorroïde stade 1 • Souffle inguinal droit le 13.09.2018 (bilan angiologique le 13.09.2018 : pas de faux anévrisme. Plaque athéromateuse pouvant expliquer le souffle) • Maladie coronarienne tritronculaire • Sténose significative de l'IVA proximale à moyenne • Occlusion de la marginale • Occlusion chronique de la coronaire droite • FEVG 45 % • Maladie coronarienne tritronculaire : • Sténose subocclusive de la coronaire droite distale : traitée le 15.01.2019 • Longue sténose de l'artère interventriculaire antérieure proximale englobant l'origine de la première diagonale • Sténose serrée de la bissectrice • Lésion critique à 90-99 % de l'ostium de l'artère circonflexe • Hypokinésie modérée postéro-basale et diaphragmatique avec légère dysfonction ventriculaire gauche (FEVG à 55 %) • Maladie coronarienne tritronculaire 01.12.2018 : NSTEMI inféro-latéral aigü sur occlusion de l'artère circonflexe proximale le 01.12.2018 • Occlusion RCx proximale • Sténose 80 % de l'artère interventriculaire antérieure ostiale et atteinte moyenne • Sténose 50-70 % ACD moyenne • FEVG 60 % le 01.12.2018 (ventriculographie) • Pic des CK : 2785 Procédure : 01.12.2018 : coronarographie avec PCI (1DES) au niveau de l'occlusion RCx proximale (Dr X). • Maladie coronarienne tritronculaire : 21.11.2018 : coronarographie : lésion sévère (70-90 %) de l'artère interventriculaire antérieure proximale englobant la première diagonale, lésion intermédiaire (<50 %) de la première diagonale, lésion intermédiaire (<50 %) de la circonflexe proximale englobant la première marginale, lésion sévère (70-90 %) de la première marginale, lésions sévères (70-90 %) de l'artère bissectrice, lésion intermédiaire (50-70 %) de l'artère coronaire droite proximale, lésion peu sévère (<30 %) de l'artère rétro-ventriculaire postérieure. • FEVG > 70 % Procédure : 07.12.2018 : triple pontage aorto-coronarien (artère mammaire interne gauche - artère interventriculaire antérieure, RAD-artère diagonale 1 - artère marginale, Inselspital, Dr X) • Maladie coronarienne tritronculaire : 30.11.2018 : coronarographie : sténose 70-90 % du tronc commun, sténose de 70-90 % de la proximale et de la première marginale, bon résultat à long terme après angioplastie de la coronaire droite. FEVG 52 %, dyskinésie antéro-apicale et hypokinésie inféro-apicale. • Status post angioplastie de la coronaire droite en 1999. Procédure : 10.12.2018 : double bypass aorto-coronarien avec artère mammaire interne gauche-artère interventriculaire antérieure et bypass veineux de la circonflexe par le Dr X (Inselspital). • Maladie coronarienne tritronculaires, avec : • s/p 4x PAC en 2011 • coronarographie en 03/2018 : -- AMIG-IVA, PV-LCX/1.DA et PV-IVP perméables -- ACD prox. avec sténose 70-90 % et mise en place d'un stent actif, ACD distal (PLA) avec sténose 70-90 % et mise en place d'un stent actif -- Occlusion chronique de l'IVA proximale et de l'artère circonflexe proximale • ETT en 03/2018 : dilatation modérée à sévère du VG sans hypertrophie avec un asynchronisme lié au BBG, une akinésie de la paroi antéroseptale et une hypokinésie des autres segments, FEVG 32 %, dysfonction diastolique modérée (grade II), augmentation des pressions de remplissage VG Syndrome métabolique Ostéoporose avec fracture L2 en 2016 • Calcium, Vit. D, Biphosphonate Coxarthrose droite avec dysplasie Lynch et possible nécrose aseptique séquellaire Gonarthrose bilatérale Cataracte bilatérale Démence débutante Troubles dépressifs récurrents • Maladie coronarienne tritronculaires, status post-triple PAC 2001 • Occlusion de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale • Absence de resténose de l'ostium de l'artère circonflexe proximale au niveau du site d'implantation du stent actif (2016) • Occlusion chronique de l'ostium de la seconde marginale • Occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale • AMIG-IVA, AMID-LCX : perméable • Pontage saphène-ACD 90 % : Implantation de 1 stent actif • Fraction d’éjection VG normale Bigéminisme ventriculaire (type retard droit) Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie traitée Lichen plan diagnostiqué en octobre 2017, en amélioration sous traitement topique Polyneuropathie sensitivomotrice longueur dépendante à prédominance myélinique d'origine indéterminée • Diagnostic différentiel : toxique, post-chimiothérapie sur ajouté, diabétique • Pallesthésie à 0/8 en malléolaire et 6/8 en styloradial bilatéralement. Proprioception abolie aux deux hallux • Évolutive depuis début 2016, diagnostic inaugural en février 2018 • Bilan sanguin large et ponction lombaire non contributifs Lymphome à cellules B mature de type folliculaire, à morphologie folliculaire et diffus, de bas grade (grade 2 d’après WHO 2017), de stade 3B avec Bulk, FLIPI-2 3/5 (risque élevé) • Date du diagnostic : 14.05.2018 • Histologie (Promed P2018.P5220) : lymphome à cellules B mature de type folliculaire, à morphologie folliculaire et diffus, de bas grade (grade 2 d’après WHO 2017), Ki67 environ 15 à 20 % • staging : • CT thoraco-abdominal du 23.04.2018 : volumineuse masse d'environ 17 cm, centrée sur la fosse iliaque droite engainant les artères iliaques communes, externes et internes à droite, et probablement responsable d'une compression de la veine iliaque droite, possiblement de la convergence iliaque, responsable de l'œdème du membre inférieur. Multiples adénopathies de relativement grande taille en inguinal droit ainsi que dans le rétro-péritoine et en regard du départ de l'artère iliaque commune gauche. Splénomégalie à 14 cm. Hydronéphrose avec dilatation du pyélon mesurée à 3 cm • PET-CT du 01.05.2018 : intense hypercaptation abdominale correspondant à la tumeur connue. Hypercaptations ganglionnaires rétro-péritonéales para-médianes gauches et inguinales droites suspectes d'être des métastases. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte de métastase • moelle osseuse du 18.05.2018 : en cours • symptôme B : transpiration nocturne • sérologie : HIV négatif, Hépatite B et C négatives • immuno-chimiothérapie par Ribomustin et Gazyvaro (anti-CD-20) du 24.05.2018 au 06.11.2018, 6 cycles au total, avec bonne réponse initiale • CT thoraco-abdominal du 29.11.2018 : stabilité en taille des nodules pulmonaires. Progression tumorale au niveau iliaque droite • PET-CT du 11.12.2018 : volumineuse masse tumorale lymphomateuse iliaque-pelvienne droite mesurant 15 x 11 x 11 cm avec une hypercaptation connue stable • status post biopsie chirurgicale de la masse pelvienne le 12.12.2018 • histologie (Promed P2018.14430) : lymphome à cellules B matures, histo-morphologiquement avec prolifération diffuse de blastes en majorité d'un aspect de centro-blastes, moyennement prolifératif MIB-1 40 à 70 %. L'ensemble des modifications histo-morphologiques et immuno-histochimiques parle pour un lymphome diffus à grandes cellules B de type DLBCL, NOS de type GCB. Examen de biologie moléculaire en cours • actuellement : transformation du lymphome à cellules B matures de type folliculaire connu, début d'une chimiothérapie type R-CHOP le 20.12.2018 • Suivi oncologique, Dr. X Maladie d'Alzheimer Maladie d'Alzheimer • diagnostic en juin 2018 • suivi par le Dr. X Maladie d'Alzheimer Maladie d'Alzheimer sous Donepezil Maladie d'Alzheimer sous Donepezil : • Avec un contexte de soins impossibles à domicile Maladie d'Alzheimer. Cardiopathie ischémique avec : • status post 2 PAC (AMIG-IVA, veineux sur Cx) en 1998 • scintigraphie myocardique en mai 2009 : pas d'ischémie de stress, hypocaptation inféro-apicale (séquelles post-infarctus), FE normale, ergométrie doublement négative • angor secondaire sur pic hypertensif en juin 2010 • sténose du tronc commun avec implantation d'un DES en juillet 2010 (FEVG 62 %) • ETT février 2017 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 70 %. Géométrie normale du ventricule gauche (Dr. X). Syndrome métabolique avec : • hypertension artérielle mal contrôlée • hyperlipidémie • surcharge pondérale • syndrome d'apnées du sommeil appareillé. Hernie hiatale. Troubles anxieux. QT long le 04.08.2018 Maladie d'Alzheimer Thrombose veineuse profonde idiopathique proximale de la jambe gauche avec atteinte poplitéo-jambière le 03.01.2019 Maladie de Basedow • Adaptation du traitement par Néo-Mercazole selon avis Dr. X Maladie de Basedow Suite aux derniers examens, le traitement de Néo-Mercazole a été stoppé le 19.01.2019 Maladie de Buerger avec : • tabagisme actif. Maladie de Chiari type 1. Hypertension artérielle. Maladie de Crohn. Maladie de Crohn. Maladie de Crohn. Maladie de Crohn : • diagnostic en 1993 : iléo-caecale et ano-périnéale • traitement par PENTASA et régime sans lactose/protéines lait de 1993 à 2004 • résection iléo-caecale sur iléite sténosante et fistulisante avec anastomose termino-terminale en 2004 (HFR Fribourg) • histologie : ulcérations et érosions de la muqueuse du grêle, aspect histomorphologique compatible avec une maladie de Crohn malgré absence de tous les critères (absence de follicules lymphatiques et de granulomes à cellules épithélioïdes) • traitement par PENTASA + ENTOCORT (dans l'intervalle, pancréatite aigue à IMUREL) de 2004 à 2009 • traitement par PENTASA + Solupred de 2009 à 2011 • iléo-colostomie sur péritonite avec sepsis sur perforation en amont d'une sténose anastomotique en 2015 • reprise de l'iléo-colostomie sur sténose cutanée, sur refus d'un rétablissement de continuité de la patiente en 2016. Actuellement : • hors traitement de fond car refus de l'introduction de REMICADE (Dr. X) • échographie abdominale 26.09.18 : sans élément notable, en particulier au niveau des parois digestives • colonoscopie le 16.10.2018 : pas d'anomalie visualisée jusqu'au colon sigmoïde depuis l'anus. Pas de signes de poussée de la maladie de Crohn, sans anomalie visualisée • sténose de stomie avec réfection le 15.11.2018 (CHU, Dr. X) • absence de poussée aiguë • temps de transit intestinal rapide • ptose gastrique • pullulation bactérienne sur selles résiduelles dans le cadre colique. Maladie de Crohn avec fistule anale ouverte (depuis 2004), stomie abdominale post-op (Tiffeneau, 2012). Obésité. Hypertension artérielle. Maladie de Crohn iléo-caecale (2006), sous Salofalk. Obésité morbide avec BMI à 44,1 kg/m2. Hypertension artérielle traitée. Maladie de Crohn iléo-colique avec : • diagnostic en 10.2016 (Clinique Cecil) dans les suites d'un iléus sur bride • résection iléo-caecale, iléostomie selon Brooks et colostomie de type fistule muqueuse le 03.10.2016 • résection segmentaire de 40 cm du grêle pour sténose résiduelle avec anastomose termino-terminale le 05.10.2016 Maladie de Crohn iléo-colique, diagnostiquée en octobre 2016 dans les suites d'un iléus sur bride, avec : • status post-résection iléo-caecale, iléostomie selon Brooks et colostomie de type fistule muqueuse le 03.10.2016 • status post-résection segmentaire de 40 cm du grêle pour sténose résiduelle avec anastomose termino-terminale le 05.10.2016 • malnutrition protéino-énergétique sévère • suivi actuel au Crohn Center (Fribourg) • traitement actuel : Mésalazine 500 mg 3x/j, Venolizumab iv 1x/2 mois. Maladie de Crohn iléo-colique. Insuffisance artérielle des membres inférieurs de stade III à gauche et de stade IIb à droite sur occlusion de l'axe iliaque gauche, sténose de l'axe iliaque droit et occlusion de l'artère fémorale superficielle droite. Cardiopathie ischémique et hypertensive avec : • STEMI et pose de stent (circonflexe proximale) en 2011 • coronarographie du 25.05.2016 : lésion diffuse de l'arbre coronarien. Bonne fonction ventriculaire gauche. • coronarographie le 04.11.2016 : FEVG 70 %, angioplastie de l'artère circonflexe distale traitée par pose de stent actif. Athéromatose carotidienne bulbaire bilatérale non significative. Hypercholestérolémie. Syndrome obstructif de degré léger sur tabagisme actif avec un important emphysème. Consommation d'alcool à risque. Maladie de Crohn sous MTX. Maladie de Crohn. Diabète sur pancréatite aiguë dans un contexte d'alcoolisme chronique sous Lantus. Troubles bipolaires. Consommation de cannabis. Maladie de Dupuytren de la main droite avec flexum de l'IPP D5 main droite de 45°. Maladie de Dupuytren débutante 5ème rayon main gauche. Maladie de Freiberg du 3ème rayon pied D. Maladie de Hirschsprung dans l'enfance. Maladie de Hodgkin classique, médiastinale bulky stade IIB. • date du diagnostic : 20.10.2006 • histologie (Promed P4935.06) : lymphome de Hodgkin classique (soit sous-type scléro-nodulaire de grade 1 avec peu de fibrose, soit sous-type riche en lymphocytes) • CT cérébro-thoraco-abdomino-pelvien du 27.09.2006 : épanchement péricardique. Conglomérats ganglionnaires médiastinaux moyens contigus s'étendant dans tout le médiastin moyen. Hépatomégalie • status post thoracotomie droite avec biopsies ganglionnaires hilaire droite et médiastinale postérieure le 17.10.2006 • absence d'infiltration à la ponction-biopsie de moelle osseuse (cytogénétique médullaire : caryotype normal, 45, XY) du 20.11.2006 • PET-CT du 14.11.2006 : multiples hypercaptations basi-cervicales bilatérales et médiastinales • status post 6 cures de chimiothérapie type ABVD (12x) du 20.11.2006 au 24.04.2007 • rémission complète au PET-CT du 15.05.2007 • status post radiothérapie du médiastin et de la région sus-claviculaire bilatérale 30Gy du 11.06 au 12.07.2007 • récidive avec apparition d'adénopathies sus-claviculaires gauches, dorsales droites. • pathologie (Promed P2018.12951) : exérèse ganglionnaire sus-claviculaire gauche et dorsale droite du 12.11.2018 : lymphome de Hodgkin classique, variante riche en lymphocytes, compatible avec une récidive du lymphome de Hodgkin connu, diagnostiqué en 2006. Infection par EBV. Pas de sclérose. Relecture de pathologie Hôpital Universitaire de Bâle (K2018.1835) : lymphome de Hodgkin classique riche en lymphocytes associé à EBV (Professeur Dirnhofer) • ponction-biopsie de moelle osseuse du 27.11.2018 : médullogramme avec moelle hypocellulaire, trilinéaire, sans signes de dysplasie significatifs dans les trois lignées ni infiltration lymphocytaire. Pathologie (Promed P2018.13671) : tissu hématopoïétique légèrement hyper-cellulaire avec modification réactive non spécifique. Moelle osseuse réactionnelle, sans évidence d'une infiltration par un lymphome • PET-CT du 21.11.2018 : status après exérèse d'un ganglion susclaviculaire gauche et dorsal droite. Deux petites captations ganglionnaires axillaires suspectes de traduire une récidive du lymphome. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte de malignité • laboratoire du 21.11.2018 : VS 2 mm/1h, ß-2-microglobuline 1,7 mg/l, CMV IgG <5 U/ml, IgM 14 U/ml, EBV VCA IgG 276 U/ml, IgM 10,2 U/ml, EBNA-1 IgG <3 U/ml, sérologie hépatite A avec infection guérie ou status post-vaccination, hépatite B, C et HIV négatives • fonctions pulmonaires complètes du 26.11.2018 : absence de troubles ventilatoires obstructifs et restrictifs. Absence d'air-trapping statique et dynamique. La capacité de diffusion du CO est dans la norme. • échocardiographie transthoracique du 27.11.2018 : examen dans les limites de la norme hormis des insuffisances mitrales et aortiques minimes. Contrôle par échocardiographie dans 2-3 ans recommandé • avis Professeur Borchmann (Hôpital de Cologne) : proposition d'une chimiothérapie de rattrapage/rechute 2 cycles puis transplantation de cellules souches autologues • actuellement : chimiothérapie de type ESAP 2 cycles puis nouveau PET-CT puis transplantation de cellules souches autologues avec chimiothérapie à haute dose à l'Inselspital à Berne. Maladie de Hodgkin nodulaire à prédominance lymphocytaire stade IIA Hasenclever 1 • date du diagnostic : 08.04.2016 • pathologie (Promed P3566.16) : lymphome de Hodgkin non classique : lymphome de Hodgkin nodulaire à prédominance lymphocytaire (NLPHL selon OMS 2008) • CT-Scan thoraco-abdominal du 01.06.2015 : adénomégalie axillaire gauche et quelques ganglions sentinelles. • Initialement refus d'une biopsie par le patient suivi clinique. • CT-Scan thoraco-abdominal du 06.04.2016 : augmentation de la taille de l'adénopathie axillaire gauche avec également des adénopathies satellites. Pas d'adénopathie dans d'autres localisations. • PET-CT du 14.04.2016 : hypercaptations pathologiques au niveau épitrochléen gauche, axillaire gauche et sous-claviculaire gauche. • status post-3 cycles de chimiothérapie de type ABVD du 19.04.2016 au 06.07.2016 avec persistance d'une hypercaptation axillaire gauche au PET-CT du 07.06.2016. • status post 4e cycle de chimiothérapie de type ABVD d'avril à août 2016 • persistance d'une hypercaptation axillaire gauche au PET-CT de juin 2016 • status post radiothérapie de consolidation au niveau des ganglions initialement atteints du 29.08 au 16.09.2016 • PET-CT du 17.10.2016 : pas d'évidence d'hypercaptation, rémission complète • actuellement : contrôles réguliers • suivi Prof. Betticher Fracture de la base de la phalange distale du 5ème doigt de la main droite Suspicion de corps étranger (morceau de verre) au niveau du talon G Examen clinique Avis Dr. X : • faire US talon G, si présence de corps étranger inciser, l'enlever et donner Co-Amoxi 2.2 IV aux urgences Discussion avec Dr. X : • vu le risque que l'interprétation de l'US soit difficile pour la présence de la réaction inflammatoire et vu que le patient arrive à marcher sans être trop gêné on programme l'US pour lundi RDV le 13.08.18 à 7h30 à la FUA pour effectuer US talon G Maladie de Hodgkin nodulaire à prédominance lymphocytaire stade IIA Hasenclever 1 diagnostiqué le 08.04.2016. Fracture de la base de la phalange distale du 5ème doigt de la main droite. Suspicion de corps étranger (morceau de verre) au niveau du talon gauche. Maladie de Hodgkin nodulaire à prédominance lymphocytaire stade IIA Hasenclever 1, diagnostiquée le 08.04.2016. Fracture de la base de la phalange distale du 5ème doigt de la main droite. Suspicion de corps étranger (morceau de verre) au niveau du talon gauche en août 2018. Maladie de Huntington diagnostiquée en 2013. Maladie de la jonction pyélo-urétérale à gauche Maladie de la jonction pyélo-urétérale bilatérale et hypotonie vésicale Maladie de la Peyronie Maladie de la thyroïde en cours d'investigations. Maladie de Lyme en avril 2012 avec épanchement genou gauche. OMA perforée droite. Maladie de Ménière Maladie de Parkinson depuis 1992 akinéto-rigide et trémulante à prédominance droite avec pose DBS sous-thalamique bilatérale en 2000 avec : • malaises récidivants sur hypoxie secondaire à des fausses routes sur troubles de la déglutition chroniques • hospitalisation au CHUV du 31.12.2013 au 08.01.2014 pour mouvements dystoniques bucco-faciaux droits récidivants dans le cadre de la majoration de la stimulation sous-thalamique gauche en novembre 2013 probable. Troubles de déglutition sévères dans un contexte de maladie de Parkinson. Malnutrition protéino-énergétique modérée, pose de PEG le 20.03.2018. Syncope d'origine vaso-vagale le 29.01.2018 avec réception sur le dos. Trouble dépressif sous Brintellix 20 mg le matin. Syncopes sur effort de toux connus. Status post-traumatisme crânien simple sur chute de sa hauteur. Status post AIT le 15.12.2013 avec : • paresthésie de la joue droite, troubles visuels et dysarthrie, spontanément régressifs en 1 heure • NIHSS à 2. Status post-multiples crises hypertensives. Status post-opération de la cataracte de l'œil droit. Status post-opération de tunnel carpien droit en 1993. Status post-prothèse totale de l'épaule droite en 1985. Status post-appendicectomie dans l'enfance. Maladie de Parkinson sévère avec: • mise en place d'une stimulation cérébrale profonde en 2006, changement des piles des deux côtés en 2015 • importante rigidité avec multiples dysautonomies (troubles mictionnels; constipation chronique) Fonctions pulmonaires du 24.04.2014: trouble ventilatoire restrictif de degré modéré, péjoré en position couchée, courbe débit-volume parlant en faveur d'une dysfonction glottique, faiblesse musculaire. Mauvaise hygiène dentaire. Dysphagie modérée sous alimentation mixée et épaissie. Livedo réticulaire des membres inférieurs, probablement effet secondaire du traitement de Symmetrel le 18.11.2015. Maladie de Parkinson sous L-dopa. Démence avancée. Hypertension artérielle. Leucoencéphalopathie périventriculaire (CT-scan le 27.11.2012). Maladie de Parkinson sous traitement neurologique médicamenteux (Sifrol). HTA traitée. Maladie de Parkinson traitée. Maladie de Parkinson traitée. Hypertension artérielle traitée. Maladie de Parkinson (1996) avec • syndrome akinéto-rigide, trémulant axial et appendiculaire plus accentué au membre supérieur G et inférieur D. • trouble cognitif (MMSE à 21/30 et un test de l'horloge à 1/7 le 01.02.2018) • troubles du sommeil • dysautonomie avec labilité de la tension artérielle et constipation. Maladie de Peyronie. BPCO probable. Livedo ramifié des membres inférieurs connu DD: sur tabagisme. Anévrisme de l'aorte abdominale de 3.5 cm sans autres anévrismes des membres inférieurs. • Avis angiologique: suivi échographique pour l'AAA par ultrason dans 12 mois. Adénocarcinome de la prostate (01/18, suivi par Dr. X) avec: • métastases osseuses des vertèbres cervicales • S/P TURP pour rétention urinaire aiguë avec hydronéphrose bilatérale en 2008 • 11.06.2018: hormonothérapie par Casodex pendant 3 semaines, injection de Prolia 60 mg et Zoladex 10.8 mg sous-cutané • 18.11.2018: injection d'agoniste LHRH sous-cutané (Leuproréline), PSA > 50 ng/ml • Zoladex 10.8 mg sous-cutané le 19.12.2018 • laboratoire le 13.12.2018: PSA 45.6 ng/ml, testostérone 0.4 nmol/l Hypotension asymptomatique connue. Maladie de reflux avec hernie hiatale, endobrachy-oesophage et oesophagite peptique de stade I (sous Omezol). Maladie coronarienne mono-tronculaire avec: • status post mono-pontage IVA sur AMIG le 08.10.2002 • dernière ergométrie le 20.03.2009 négative • FEVG à 74%, dysfonction diastolique du ventricule gauche (sous Aspirine Cardio). Hypertension artérielle traitée (sous Amlodipine). Hypercholestérolémie (sous Rosuvastatine). Hypertrophie bénigne de la prostate (sous Tamsulosine). Investigations de troubles du rythme: Holter en 03.2018: • salves supraventriculaires isolées sans FA persistante • extrasystolie supraventriculaire et ventriculaire polymorphe • bigéminismes • bloc de branche (pas plus spécifié). Maladie de reflux gastrique traitée par IPP depuis 2 ans. Obésité morbide. Maladie de reflux. DD: spasme oesophagien, dysphagie dans contexte sarcoïdose. Maladie de Rendu-Osler. Anémie hypochrome normocytaire régénérative en décembre 2017 (3 CE le 27, 28 et 15.12.17). Contre-indication aux AINS. Maladie de Sever depuis 2012. Maladie de Sjorgen avec syndrome de Raynaud traité par Plaquenil, suivi par Dr. X. Migraine chronique sous Topamax. Anévrisme carotide interne droite de 2 mm, suivi par IRM annuelle. Asthme allergique. Maladie de Steinert. Maladie de Südeck après réduction ouverte et ostéosynthèse d'une fracture métaphysaire du radius distal G comminutive par plaque Aptus palmaire le 19.8.18. Maladie de Südeck poignet droit sur status post ré-ostéosynthèse du radius distal droit par voie d'abord dorsale et fixation scapho-lunaire du poignet droit le 30.8.2018 sur status post ostéosynthèse primaire du radius distal droit le 11.8.2018. Status post AMO vis scapho-lunaire le 14.01.2019. Maladie de Verneuil. Maladie de Widal. Dyslexie. Masse polypoïde sous muqueuse du tiers supérieur de l'oesophage connu depuis 2003 (probable léiomyome), status post-endoscopie et coloscopie en 2003. Schizophrénie paranoïde chronique (expertise AI en 2003). Maladie d'emboles de cholestérol post TAVI le 26.11.2018 dans un contexte d'AOMI • plusieurs ulcérations nécrotiques sèches du 1/3/5 orteil et talon droite, ulcération face latérale base 5e orteil gauche. Livédo réticularis talon droit et avant pieds ddc. Maladie des membranes hyalines. Maladie des segments adjacents L2-L3, L3-L4 sur scoliose idiopathique sinistro-convexe avec sténose sévère, à prédominance G, et lombocruralgies L3-L4 G sur status post • spondylodèse L4-L5 par système Dynesis (Hôpital de Thoune en 2003). Maladie d'Ollier avec multiples exostoses. Status post exostosectomie du tibia proximal gauche le 02.08.2016. Status post mise en place de PTH D et ablation de la tumeur osseuse bénigne fémur proximal D le 13.12.2017. Coxarthrose G avec exostose fémur proximal G. Maladie d'Osgood-Schlatter du genou gauche. Maladie du sinus avec bradycardie et vertiges avec: • implantation de pacemaker (Sorin. KORA 250 DR. IRM 1.5 T compatible) le 05.01.2017; mode de stimulation: AAIR-DDDR; fréquence de base: 70 battements par minute, fréquence maximale: 140 battements par minute; dépendance: non dépendance; compatibilité IRM: oui à 1.5 T corps entier. Cataracte. Détachement rétinien. Céphalées paroxystiques fronto-pariétales droites d'origine indéterminée, connues depuis plusieurs années: • diagnostic différentiel: névralgie • IRMc le 13.12.2018: pas d'anomalie anatomique • antalgie en réserve. Maladie du sinus avec pose de pacemaker en 2004, changé en 2013. • révision de la sonde et changement du boîtier le 28.08.2018. Fibrillation auriculaire intermittente CHADS2-Score 3. Trouble anxieux-dépressif. Hypothyréose substituée. Démence modérée non précisée. Insuffisance rénale chronique. Hypertension artérielle. Maladie épileptique primaire (convulsions brèves des 4 membres) depuis l'âge de 15 ans. Suivi neurologique HRF (Prof. X). Plus de crise depuis 2015, sous Urbanyl 10 mg en réserve, Topamax 25 mg 2 fois par jour et Rivotril 0.5 mg le soir. Maladie hémorroïdaire externe et interne. Tabagisme actif à env. 10 UPA. Maladie hypertensive et coronarienne monotronculaire avec: • lésion intermédiaire (40%) IVA proximale • sténose 80% RCx proximale: PCI (1DES): bon • fraction d'éjection VG 45%. Maladie hypertensive et coronarienne monotronculaire avec: • sténose 90% IVA proximale: PCI (1DES): bon • lésion 50% IVA distale. Sténose aortique sévère avec: • surface estimée à 0.7 cm2, gradient moyen 38 mmHg • arcographie et aortographie abdominale sp. • hypertension artérielle pulmonaire • fraction d'éjection VG 70%. Maladie inflammatoire de l'intestin (RCUH vs. M. Crohn) • status post-colectomie subtotal pour suspicion de colite ulcéreuse avec anastomose iléo-anal de façon J-pouch et iléostomie de protection 2000 et fermeture d'iléostomie 10/2001 • status post-dilatation répétitive d'une sténose anal 2001 • sténose d'iléon distal et sténose du pouch proximal • status post-iléus, abcès dans le petit bassin avec fistule du pouch iléo-anal 09/2012 • status post-corticothérapie jusqu'en 2009, Imurek et Remicade 2009-05/2012. • status post-MTX • prednisone 5 mg et Cimzia 1x/mois • épisodes de pouchite en 2009, 2011, 2012, 2013, 2014, 2016 et 07/2018. • suivi par Prof. X. Maladie inflammatoire de l'intestin (RCUH vs. M. Crohn) • status post-colectomie subtotal pour suspicion de colite ulcéreuse avec anastomose iléo-anal de façon J-pouch et iléostomie de protection 2000 et fermeture d'iléostomie 10/2001. • Status post-dilatation répétitive d'une sténose anal 2001 • Sténose d'iléon distal et sténose du pouch proximal • Status post-iléus, abcès dans le petit bassin avec fistule du pouch iléo-anal 09/2012 • Status post-corticothérapie jusqu'en 2009, Imurek et Remicade 2009-05/2012. • Status post-MTX • Prednisone 5 mg et Cimzia 1x/mois • Épisodes de pouchite en 2009, 2011, 2012, 2013, 2014, 2016 et 07/2018 • Suivi par le Prof. X Maladie lithiasique biliaire non compliquée. Maladie pied-main-bouche (coxsackie) Maladie sinusale avec arrêt cardio-respiratoire avec pose de pacemaker le 25.06.2006 • Ultrason cardiaque 10.07.2012 : FE à 65%, contrôle du pacemaker normal • Changement du boîtier du pacemaker le 04.02.2016 Suspicion de BPCO malgré l'absence formelle de trouble obstructif sur les fonctions pulmonaires du 24.06.2016 avec : • Fonctions pulmonaires en 2012 : trouble obstructif de degré modéré à sévère, VEMS à 51% du prédit, VEMS/CVF à 63 du prédit le 10.07.2012 • Fonctions pulmonaires du 24.06.2016 : absence de trouble obstructif sous réserve d'un trouble restrictif • CT thoracique du 10.06.2016 : emphysèmes pulmonaires aux apex • Tabagisme ancien à 50 UPA, stoppé en 2006 • Arrêt du Spiriva et du Symbicort le 24.06.2016 et introduction d'Anoro Ellipta 1x/j Adénopathies médiastinales et hilaires bilatérales avec plages de condensation en verre dépoli sous-pleurales ddc avec : • DD : sarcoïdose, pneumopathie interstitielle • CT thoracique du 10.06.2016 : emphysème apical et épaississements bronchiques diffus. Augmentation des adénopathies médiastinales et hilaires bilatérales par rapport au scanner de mars 2014. Multiples petites plages de condensation périphériques sous-pleurales dans les 2 poumons • Fonctions pulmonaires complètes du 24.06.2016 : trouble ventilatoire restrictif de degré léger. Hypoxémie modérée à 8.2 kPa. Insuffisance rénale chronique Colopathie fonctionnelle avec reflux gastro-oesophagien Maladie thrombo-embolique avec : • Anticoagulation par Sintrom à vie. • Status post-embolie pulmonaire de l'artère lobaire inférieure D complète le 03.04.2013 avec épanchement pleural et atélectasie associés, sous Sintrom. • Status post-suspicion de syndrome des anticorps anti-phospholipides le 03.04.2013. Incontinence urinaire de stress connue, incontinence de selles occasionnelle depuis septembre 2012. • Status post-thrombose veineuse profonde en 2017 et à l'âge de 32 ans. Maladie thrombo-embolique avec : • Anticoagulation thérapeutique depuis 06/2018 pour thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit dans contexte postopératoire. Maladie thrombo-embolique avec : • Anticoagulation par Sintrom à vie, • Status post-embolie pulmonaire de l'artère lobaire inférieure D complète le 03.04.2013 avec épanchement pleural et atélectasie associés, sous Sintrom, • Status post-suspicion de syndrome des anticorps anti-phospholipides le 03.04.2013. Incontinence urinaire de stress connue, incontinence de selles occasionnelle depuis septembre 2012. Status post-thrombose veineuse profonde en 2017 et à l'âge de 32 ans. Maladie thromboembolique avec embolies pulmonaires récidivantes (2-3 épisodes) Panhypopituitarisme avec status post-résection à 3 reprises (au CHUV) d'un adénome hypophysaire sécrétant de l'ACTH avec syndrome de Cushing et psychose associés. Syndrome d'apnée du sommeil modéré de type obstructif traité par CPAP nasal en juin 2013. Abcès chronique du sein gauche Maladie thrombo-embolique avec : • S/p Thrombose veineuse profonde des veines péronières du membre inférieur gauche (02.08.2016), sans facteur déclenchant • S/p thrombose veineuse superficielle de la grande veine saphène jambière et de tributaires jambières, diagnostiquée le 02.08.2016 • Maladie veineuse chronique de stade C2S des 2 côtés S/p opération de cancer de la prostate Crise hypertensive le 23.08.2016 : • Sur HTA mal contrôlée avec MSG 200/116 et MSD 196/88 • Angio-CT aortique (Dr. X) : discrète dilatation de l'aorte ascendante (42 mm), pas d'anévrisme, pas de calcifications aortiques. IRA AKIN I pré-rénale le 23.08.2016 (créat. à 113 umol/l) Maladie thromboembolique avec s/p TVP récidivantes • Sous Sintrom jusqu'à cette hospitalisation Maladie thrombo-embolique chronique sous Marcoumar : • Embolie pulmonaire segmentaire du lobe moyen le 26.04.2017 Maladie thrombo-embolique chronique • Thrombose du membre supérieur gauche (sur VVP de la chimiothérapie) • Embolie pulmonaire sur découverte fortuite en avril 2017 (sous Xarelto 10 mg) • Arrêt de toute anticoagulation depuis mi-2018 sur saignements massifs récidivants secondaires à la tumeur Status post-Bricker avec multiples épisodes de pyélonéphrite • Dernier épisode le 04.06.2018 • Sous Augmentin au long cours Cancer papillaire du pyélon et du calice supérieur du rein gauche pTa G3 R0 • Status post-néphro-urétérectomie gauche en novembre 2010 • Status post-5 injections BCG intra-rénales droites pour amas papillaire de bas grade du rein droit • Status post-RTU de la vessie pour cancer urothélial papillaire superficiel en juin et novembre 2011, 2014, septembre 2015 Insuffisance surrénalienne avérée • Sous substitution par Prednisone 10 mg Maladie thrombo-embolique • Embolies pulmonaires à répétition, sous Sintrom depuis 1970. • Status post-TVP bilatérales. Insuffisance veineuse des membres inférieurs. HTA. Hypercholestérolémie. Fibrillation auriculaire diagnostiquée en 2014. Syndrome post-thrombotique du membre inférieur gauche, avec • Ulcères variqueux • Dermite ocre • Lymphoedème de l'avant-pied. Maladie thrombo-embolique : sous Marcoumar • Thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit post-opératoire en février 2015 • Embolie pulmonaire droite en juin 2016 (CT du 22.06.2015) • Occlusions thrombotiques (15.02.2016). • Sous Marcoumar et Plavix Cardiomyopathie de type non-compaction touchant principalement l'apex et le septum inter-ventriculaire antérieur : • Diagnostiquée en 11.2014 avec CMR le 21.11.2014 (CHUV) : VG de taille normale, dysfonction systolique bi-ventriculaire modérée (FEVG à 43%, FEVD à 37%), épaississement localisé de la paroi antéro-septale d'aspect trabéculé suggérant une morphologie de type non-compaction sans fibrose interstitielle significative • Structure filamenteuse au niveau de la valve aortique d'une longueur de 1.2 cm probablement attachée à la cuspe coronaire droite : DD : fibro-élastome, strand (structure fibrineuse sans implication pathologique), endocardite (exclue à Fribourg). Absence de FOP à l'ETO du 19.02.2016 • Pas d'argument en faveur d'une lésion ischémique au niveau du cerveau à l'IRM cérébrale le 15.03.2016 • Hypokinésie sévère apicale et septale antérieure moyenne • FEVG 50% à l'ETO du 19.02.2016 • FEVG 62% à la ventriculographie du 06.04.2016 Dépression traitée. Thermo-ablation d'une tachycardie nodale au CHUV le 08.07.2013. • Palpitations et malaise d'origine indéterminée le 14.04.2016. • Pose de Reveal par le Dr. X STEMI inféro-latéral le 15.02.2016 • occlusions thrombotiques aiguës de l'IVA proximale, IVA moyenne et première diagonale, traitées par thrombectomies avec implantation d'un stent actif (Dr. X, HFR Fribourg - Hôpital cantonal). • Poursuite du Plavix 75 mg, anticoagulation et l'Atorvastatine • coronarographie de contrôle pour douleurs atypiques en juin 2016 • suivi chez Dr. X Douleur thoracique atypique février 2017, septembre et octobre 2017, Douleur thoracique le 22.02.2018, Douleurs thoraciques d'origine pariétale le 01.03.2018 (suivi Dr. X) Migraine sans aura le 14.10.2018. • Maladie thrombo-embolique sous traitement par Xarelto 20 mg avec relais préopératoire par Clexane 1 mg/kg depuis 06.2019 avec dernière dose le 08.01.2019 à 8h. • Dyslipidémie, HTA borderline • Consultation cardiologique le 22.11.2018 Dr. X : 1. Suspicion de maladie coronaire avec : • ECG de repos du 22.11.2018 compatible avec un ancien infarctus antéro-septal. • Échographie du 22.11.2018 fonction systolique globale du ventricule gauche légèrement diminuée. Troubles de la contractilité régionale concordants aux anomalies ECG. 2. Ectasie et dilatation de l'aorte ascendante avec : • Diamètre maximal 44 mm. • Insuffisance aortique probablement secondaire légèrement à maximum modéré. 3. Statut post-TVP membre inférieur droit août 2018 Sur la base de l'ECG et de l'échographie, il existe une forte suspicion de maladie coronaire avec un statut après un probable infarctus dans le territoire antéro-septal inférieur. L'intervention chirurgicale est privilégiée avec indication des investigations supplémentaires par coronarographie et angiographie-CT de l'aorte thoraco-abdominale en postopératoire. Traitement habituel sous Xarelto 20 mg 1x/j 0 -0 -1-0 , Atorvastatine 20 mg 1x/j • Maladie thrombo-embolique systémique le 08.01.2019 DD : fibrillation auriculaire, foramen ovale perméable • Infarctus rénal gauche élargi • Infarctus splénique non datable • Embolies pulmonaires multiples bilatérales multi-étagées • Score PESI intermediate low risk • Maladie thrombo-embolique systémique le 09.01.2019 • Infarctus rénal gauche élargi • Embolies pulmonaires bilatérales multi-étagées • Score PESI intermediate low risk • troponines positives à 24 ng/l, CK 940 U/I • Maladie thrombo-embolique systémique le 09.01.2019 : • Infarctus rénal gauche élargi • Embolies pulmonaires bilatérales multi-étagées • Score PESI intermediate low risk • troponines positives à 24 ng/l, CK 940 U/I • Maladie thromboembolique veineuse avec : • embolie pulmonaire sous-segmentaire le 25 novembre 2013 sur arrêt précoce de l'anticoagulation • thrombose veineuse profonde d'une veine péronière du membre inférieur droit en septembre 2013 • embolie pulmonaire segmentaire ou sous-segmentaire dans le segment médio-basal du lobe inférieur droit, asymptomatique le 10 septembre 2013 Dolicho-artériomégalie avec importantes tortuosités des artères iliaques. Petit anévrisme poplité à gauche, 15 mm de diamètre, asymptomatique. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Obésité. Hyperplasie de la prostate. Arthrose fémoro-tibiale médiale débutante. Sténose de l'artère carotide interne droite à 80 %. Angor instable dans le cadre de la cardiopathie ischémique avec : • sténose significative (50-70 %) de l'artère interventriculaire antérieure moyenne • sténose serrée diagonale • occlusion chronique RCX sans recanalisation possible • lésion intermédiaire (<50 %) artère coronaire droite distale Coronarographie Dr. X 11.12.2013 : tentative de recanalisation de l'artère circonflexe proximale par voie radiale droite infructueuse • Maladie thromboembolique veineuse avec : • embolie pulmonaire sous-segmentaire le 25 novembre 2013 sur arrêt précoce de l'anticoagulation • thrombose veineuse profonde d'une veine péronière du membre inférieur droit en septembre 2013 • embolie pulmonaire segmentaire ou sous-segmentaire dans le segment médio-basal du lobe inférieur droit, asymptomatique le 10 septembre 2013 Calculs rénaux récurrents depuis ses 30 ans environ. Dernier épisode il y a 3 ans avec extraction chirurgicale. • sous traitement par Zyloric Cure de varices à gauche il y a environ 35 ans. Tuberculose ganglionnaire en 1952 environ (traitement : chirurgie, irradiation, sanatorium). Hyperplasie de la prostate. Arthrose fémoro-tibiale médiale débutante. • Maladie thromboembolique veineuse avec : • embolie pulmonaire sous-segmentaire le 25 novembre 2013 sur arrêt précoce de l'anticoagulation • thrombose veineuse profonde d'une veine péronière du membre inférieur droit en septembre 2013 • embolie pulmonaire segmentaire ou sous-segmentaire dans le segment médio-basal du lobe inférieur droit, asymptomatique le 10 septembre 2013 Cardiopathie hypertensive, ischémique (atteinte tritronculaire) et valvulaire : a) dernière coronarographie en 05.2017 • excellent résultat à moyen terme après PCI de l'IVA moyenne 09.12.2016 • sténose serrée d'une diagonale de petit calibre et sténose 50 % de l'artère coronaire droite distale • dysfonction ventriculaire gauche systolique sévère avec fraction d'éjection de 25 % b) primo-implantation d'un pacemaker-défibrillateur en 03.2014 avec dernier contrôle en 08.2018 : • mode DDDR • IRM non compatible • non-dépendance c) insuffisance mitrale grade IV Artériopathie avec : • sténose de l'artère carotide interne droite à 80 % • dolicho-artériomégalie avec importantes tortuosités des artères iliaques • anévrisme poplité à gauche • anévrisme poplité à droite avec pontage fémoro-poplité et thrombus mural le 19.08.2013 Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Obésité. Hyperplasie de la prostate. Arthrose fémoro-tibiale médiale débutante. • Maladie thrombo-embolique veineuse avec : • thrombose veineuse profonde en 2001. • suspicion de thrombose veineuse profonde au niveau du membre inférieur gauche le 02.08.2013, anticoagulée pendant 3 mois. • suspicion de thrombose veineuse profonde, membre inférieur droit le 16.08.2017. • Anticoagulation thérapeutique par Xarelto 15 mg per os aux Urgences, puis 2x/jour du 17 au 18.08.2017. • Insuffisance veineuse chronique de stade C6 avec incontinence des veines saphènes internes bilatérales prédominant à gauche distalement, dermite de stase, incontinence des veines perforantes de Boyd, ulcère de stase à gauche. Ostéotomie de varisation et transposition de la tubérosité tibiale antérieure du genou gauche le 13.01.2010. Cure d'hallux valgus gauche en 2008. Exostosectomie de la tête du premier métatarsien droit en 2006. Amygdalectomie. Appendicectomie. • Maladie tri-tronculaire avec statut post-pontage en 2001. Fracture sous-capitale de l'humérus droit traitée conservativement. Fracture de coude. • Maladie variqueuse chronique avec incontinence des grandes saphènes des 2 côtés. Diabète de type 2 diagnostiqué en 1985, insulino-requérant depuis 2000. Hypertension artérielle. Obésité. SAOS appareillé. Artériopathie des 2 membres inférieurs avec : • recanalisation d'une longue occlusion de l'artère fémorale superficielle gauche par angioplastie et pose de stent en partie sous-endothéliale le 13.03.2012 • recanalisation d'une longue occlusion fémorale superficielle droite par angioplastie et pose de stent le 18.04.2012 • recanalisation d'une longue réocclusion de l'artère fémorale superficielle gauche par thrombectomie et angioplastie au ballon actif le 06.02.2013 • angioplastie de resténose intra-stent fémoral superficiel droit par ballon actif le 14.01.2014 • recanalisation d'une réocclusion intra-stent fémoral superficiel gauche par thrombectomie endovasculaire et angioplastie au ballon actif, doublée, le 11.10.2016 • statut post-recanalisation avec thrombectomie endovasculaire (Rotarex 6 French) d'une longue occlusion de l'artère fémorale superficielle intrastent chronique, angioplastie au ballon médicamenteux et prolongement du stenting en proximal et en distal pour une ischémie critique du membre inférieur gauche le 06.09.2017 (Dr. X)mai 2018 : absence d'ischémie critique des 2 côtés avec filtration athéromateuse diffuse de l'artère fémorale commune et fémorale superficielle proximale avec bonne perméabilité des segments stentés des 2 côtés Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. malaise malaise malaise malaise Malaise à 32 5/7 SA. Malaise avec brève perte de connaissance, probablement sur bas débit dans un contexte de sepsis et d'insuffisance rénale aiguë Malaise avec ou sans perte de connaissance. Malaise avec ou sans perte de connaissance. Malaise avec perte de connaissance. Malaise avec perte de connaissance brève d'origine indéterminée le 30.07.13. Malaise avec perte de connaissance d'origine indéterminée : • DD : orthostatique, métastase, AVC, infectieux, épilepsie partielle Malaise avec perte de connaissance probablement vagal en raison de la douleur, le 21.09.2014. Malaise avec TC Malaise avec TC Malaise avec traumatisme crânien. Malaise avec traumatisme crânien et amnésie d'origine probablement vagal le 27.01.2019 Malaise avec traumatisme crânien et perte de connaissance dans un contexte de gastro-entérite virale le 31.12.2018 avec : • CT-scanner cérébral à l'hôpital de Sion ne montrant pas de fracture, pas de saignement. Malaise dans un contexte indéterminé : • infectieux -> épilepsie partielle dans contexte? Malaise dans un contexte d'hypertension aiguë le 26.01.2019. Malaise de type orthostatique à la mobilisation Malaise de 30 secondes à 12h30 d'origine indéterminée. Malaise d'origine hypovolémique Malaise d'origine indéterminée. Malaise d'origine indéterminée • DD orthostatique, vaso-vagale Malaise d'origine indéterminée dans un contexte de fatigue et claustrophobie le 28.01.2019. DD : infection débutante, vaso-vagal, carence vitaminique. Malaise d'origine indéterminée. DD : vagal, dans un contexte de grippe, trouble du rythme. Malaise d'origine indéterminée le 02.01.2019 DD : réflexe, orthostatique, cardiaque Malaise d'origine indéterminée le 08.01.2019 • DD : cardiaque, fonctionnel, trouble du rythme sur hypothyroïdie Malaise d'origine indéterminée, le 09.01.2019 : Malaise d'origine indéterminée, le 09.01.2019 : • Suspicion d'AIT DD : hypotension orthostatique, trouble du rythme cardiaque Malaise d'origine indéterminée le 21.10.2018 avec bilan cardiologique par Holter planifié Malaise d'origine indéterminée suspect d'hypotension orthostatique : • Contribution médicamenteuse (Ibesartan) • Atteinte dysautonomique dans le cadre du diagnostic principal Malaise d'origine indéterminée. DD : vagal, sur sténose aortique. Malaise d'origine orthostatique dans un contexte d'infection urinaire haute le 02.01.2019 Malaise d'une durée de 15 minutes avec dysarthrie le 07.01.2019 • régression spontanée de la symptomatologie Malaise et perte de connaissance avec troubles sensitifs au niveau de l'hémicorps gauche le 21.06.2011 Suspicion d'accident ischémique transitoire avec hémisyndrome sensitivomoteur à prédominance brachiale, régressif : • Diagnostic différentiel : associé à la pathologie rhumatologique Angor sur crise hypertensive, possiblement sur maladie des petits vaisseaux Hémorragie digestive haute sur probable gastrite, ulcère gastrique, dans un contexte de prise d'Apranax en juillet 2017 Douleurs chroniques hanche gauche, suivi par le Dr X, HFR Fribourg - Hôpital cantonal Implantation de prothèses totales de hanches bilatérales en 1990 Prothèse totale de hanche droite en 2008 par le Dr X (Lausanne) Malaise le 24.01.2019 probablement d'origine orthostatique. DD : arythmique. Malaise lipothymique le 19.01.19. DD : hypotension orthostatique. Malaise orthostatique Malaise orthostatique. • Dans un contexte d'épuisement professionnel. malaise orthostatique aux urgences Malaise post-prandial. Malaise post-traumatique. Malaise probablement dans le contexte d'un pic fébrile. Malaise probablement d'origine orthostatique vs vaso-vagal. Malaise probablement vaso-vagal le 17.01.2019 • sur effort de Valsalva Malaise, sans traumatisme crânien ni perte de connaissance, avec troubles visuels, le 15.01.2018 • DD : hypotension orthostatique. Malaise sur consommation d'alcool Malaise sur crise d'hyperventilation, le 05.06.2014. Malaise sur hypotension connue, versus vagal en post-prandial. Malaise sur pic hypertensif en 2011. Amygdalectomie. Douleurs épigastriques d'origine hernie hiatale le 30.01.2014. Traumatisme crânien. Contusion de la main gauche. Malaise sur probable reflux DD sur hypoglycémie 09.2015 Malaise, traumatisme du membre inférieur droit. Malaise vagal Malaise vagal. Malaise vagal sur vomissements Malaise vagal versus orthostatique. Malaise vagal le 28.07.2012. Trouble psychotique aigu et transitoire, sans précision (avec hallucinations auditives). Palpitations probablement sur anxiété. Malaise vaso-vagal avec traumatisme crânien et perte de connaissance à répétition dans le contexte d'une gastro-entérite probablement d'origine virale. Notion de contage avec résolution spontanée chez l'épouse. Malaise vaso-vagal (DD : trouble du rythme non objectivé). Malaise vaso-vagal le 05.01.2019. Malaise vaso-vagal le 24.01.2019. Malaise vaso-vagal sans perte de connaissance sur probable gastrite. Malaise vasovagal sur hypothermie (35°C). Malaise vaso-vagal sur vomissements, dans un contexte de gastro-entérite, le 17.01.2019. Malaise vasovagal versus mutisme dans le contexte de sa démence progressive le 17.04.2018 Status après ulcère gastrique Malaise vaso-vagale le 28.12.18 • dans un contexte de jeûne Malaises à répétition avec certaines faiblesses végétatives Tachycardie d'origine indéterminée (investigations cardiaques, Dr X) Malaises à répétition avec perte de connaissance le 22.01.2018 • sur hypotension orthostatique dans le contexte de déshydratation • sans traumatisme crânien Multiples embolies pulmonaires en mars 2011 Crise d'épilepsie inaugurale le 11.11.2008 Fracture-tassement split A2.3 de L3 le 11.10.2008 : • cyphoplastie L3 le 14.10.2008 (Dr X) avec fuite musculaire paravertébrale de ciment Fracture-tassement vertébral D7-D11 sur chute pendant une crise d'épilepsie : • cyphoplastie D7 des 2 côtés, D8 D, D9 G, D10 D et D11 G le 14.01.2009 (Dr X) AVP piéton/voiture à faible cinétique le 20.02.2017 avec : • fracture crête iliaque G plurifragmentaire, traitée conservativement• fracture épineuse de C5 et S1, traitée conservativement • fracture col mandibulaire G • fractures du nez • fracture des côtes 2 à 6 G Dilatation endoscopique au ballonnet pour sténose peptique sur oesophagite de reflux (2009) Hémorragie digestive haute sur érosions oesophagiennes (2012 et 2009) Status post OS par plaque Philos 3 trous le 22.05.2018 d'une fracture sous-capitale et de la grande tubérosité humérus proximal G le 19.05.2018 Changement de vis et complément de vissage de la plaque Philos humérus G (OP le 03.09.2018) Dyspnée, tachycardie sinusale et douleurs thoraciques sans substrat organique DD : angoisse, le 20.11.2018 Labo : trop T0, trop T+1 stables à 14 Rx thorax puis angio CT thoracique : pas d'embolie pulmonaire, pas de foyer, pas de pneumothorax, pas de signes de surcharge Réassurance, retour à domicile ; consultation chez le médecin traitant si persistance Malaises à répétition avec perte de connaissance le 22.01.2018 • sur hypotension orthostatique dans le contexte de déshydratation • sans traumatisme crânien Multiples embolies pulmonaires en mars 2011 Crise d'épilepsie inaugurale le 11.11.2008 Fracture-tassement split A2.3 de L3 le 11.10.2008 : • cyphoplastie L3 le 14.10.2008 (Dr. X) avec fuite musculaire paravertébrale de ciment Fracture-tassement vertébral D7-D11 sur chute pendant une crise d'épilepsie : • cyphoplastie D7 des 2 côtés, D8 D, D9 G, D10 D et D11 G le 14.01.2009 (Dr. X) AVP piéton/voiture à faible cinétique le 20.02.2017 avec : • fracture crête iliaque G plurifragmentaire, traitée conservativement • fracture épineuse de C5 et S1, traitée conservativement • fracture col mandibulaire G • fractures du nez • fracture des côtes 2 à 6 G Dilatation endoscopique au ballonnet pour sténose peptique sur oesophagite de reflux (2009) Hémorragie digestive haute sur érosions oesophagiennes (2012 et 2009) Status post OS par plaque Philos 3 trous le 22.05.2018 d'une fracture sous-capitale et de la grande tubérosité humérus proximal G le 19.05.2018 Changement de vis et complément de vissage de la plaque Philos humérus G (OP le 03.09.2018) Malaises à répétition le 15.01.2019. Malaises d'origine indéterminée, plusieurs épisodes, dans le contexte de laryngomalacie congénitale, opérée en juillet 2018. Suspicion infirmée d'intolérance aux protéines bovines (Pregomin du 20.11.2015 au 14.06.2016 puis reprise d'un régime normal). Bronchite chronique à Haemophilus influenza VVP avec perfusion de Co-amoxicilline iv 35mg/kg/dose 3x/j jusqu'au 9.08.17 à l'hôpital puis à domicile avec soins à domicile pour un total de 7 jours Malaises d'origine indéterminée, plusieurs épisodes, probablement sur spasme du sanglot. Suspicion infirmée d'intolérance aux protéines bovines (Pregomin du 20.11.2015 au 14.06.2016 puis reprise d'un régime normal). Bronchite chronique à Haemophilus influenza VVP avec perfusion de Co-Amoxicilline iv 35mg/kg/dose 3x/jour jusqu'au 09.08.2017 à l'hôpital puis à domicile avec soins à domicile pour un total de 7 jours. Malaises orthostatiques : • chez patiente connue pour malaises à répétition avec certaines faiblesses végétatives (consultation du 05.11.2010, neuropédiatrie) • 1 épisode au service des urgences et 1 épisode le 10.01.2019 Malaises probablement orthostatiques sans chute ni perte de connaissance avec douleurs thoraciques d'origine indéterminée. Malaria (à Plasmodium indéterminé) août 2011. Malaria de faible gravité le 31.01.2019. Malaria 1973 Néphropexie 1973 Décompensation cardiaque aiguë sur probable NSTEMI le 29.10.18 avec : • Cardiopathie ischémique, rythmique et valvulaire et statut post-PAC en 1983 • FEVG 54 % le 13.12.2017 • Dyspnée en péjoration depuis 3 semaines NYHA-IV • Angor stable CCS Grade III ETT le 30.10.2018 : qui montre détérioration de la fonction systolique du VG (35-40 %) avec des troubles cinétiques (territoire de l'IVA), autrement examen grossièrement superposable à celui de l'année dernière Insuffisance rénale aiguë AKIN I de type pré-rénale/rénale mixte sur chronique, le 29.10.2018 avec : • créatinine Clearance (Cockcroft-Gault Équation) à 20 ml/min DD : syndrome cardio-rénal, sur bas débit Malformation ano-rectale avec fistule périnéale avec suspicion de syndrome polymalformatif (appendice pré-auriculaire + fossette pré-auriculaire) Malformation congénitale avec : • Atrophie de l'hémicorps G • notion de malposition cardiaque sans situs inversus • scoliose sévère avec trouble restrictif de la ventilation Insuffisance rénale chronique modérée stable sur rein unique Malformation congénitale avec : • Atrophie de l'hémicorps gauche • Malposition cardiaque sans situs inversus, le cœur est centré au milieu du thorax • Cardiopathie ischémique et valvulaire • Rein unique • scoliose Malformation congénitale des deux pieds. Malgré cette amélioration avec une augmentation de la force à la fonction, on poursuit tout de même le traitement conservateur et reverra le patient début février pour un contrôle clinique. Le patient continu avec une charge partielle, jusqu'à 15 kg, du membre supérieur G jusqu'au 18.02.2019. À partir du 21 janvier, pendant 2 semaines, on peut faire un essai avec charge complète du membre supérieur G au travail. Malgré le traitement conservateur avec une physiothérapie intense et des exercices de renforcement musculaire effectués régulièrement par la patiente, elle n'arrive pas à compenser la faiblesse suite à une rupture du tendon d'Achille à D. On discute avec la patiente des options comme un traitement chirurgical avec une plastie d'inversion et raccourcissement du tendon ou poursuite du traitement conservateur. Comme elle est assez gênée dans sa vie quotidienne, on opte pour une prise en charge chirurgicale. Pour compléter le bilan, on refait une IRM. Malgré les constatations radiologiques et électro-neuromyographiques, la mise sous stress du PIN et le test qui provoque les douleurs. Nous suspectons donc une irritation sub-clinique de ce nerf. Nous prescrivons donc une nouvelle série de séances de physiothérapie à but antalgique uniquement dont ultrason. Nous conseillons à la patiente d'effectuer quelques séances de chiropraxie et nous faisons convoquer la patiente en service d'antalgie pour infiltration du PIN à droite. Nous reverrons la patiente quelques semaines après cet examen. Malgré les vomissements, les statuts neurologiques étant normaux, nous proposons aux parents de rentrer à domicile. Malgré l'examen clinique et la radiologie rassurante, nous décidons de prendre l'avis orthopédique du Dr. X au vu des antécédents de la colonne cervicale du patient. Nous ne préconisons pas d'examen complémentaire à ce moment et laissons rentrer le patient avec la minerve en mousse (que le patient pourra enlever à son confort), un traitement anti-inflammatoire par Brufen 400 mg 3x/jour et un myorelaxant 2 mg 3x/jour. Le patient consultera chez le Dr. X le jeudi 31.01.2019, et ensuite chez le médecin traitant pour la suite de la prise en charge. Malgré médication laxative majorée au foyer. Résolution aux urgences avec examen clinique rassurant. US vessie : pas de globe. Malgré une légère malformation des deux hanches avec angle alpha pathologique côté fémoral et légère rétroversion cotyloïdienne, on n'arrive pas à provoquer la douleur classique avec les tests classiques situés au pli inguinal. L'unique douleur est à l'insertion des rotateurs externes des deux côtés sur contracture des rotateurs et du pyramidal. Le test clinique montre également que le droit antérieur est contracté des deux côtés. Comme première mesure, je ne ferai pas d'autres investigations de la hanche car la douleur vient d'autre chose. Je conseille au patient de faire de la physiothérapie pour un programme de stretching régulier, incluant le droit antérieur, le psoas, les rotateurs externes des hanches et si les douleurs au niveau de l'épine iliaque postéro-supérieure des deux côtés pourraient être un pseudo-blocage de la sacro-iliaque, je conseille de contacter un chiropraticien pour le débloquer. Malheureusement, la patiente m'a été adressée trop rapidement à ma consultation à seulement trois jours post-trauma. Pour cette raison, un examen clinique conclusif aujourd'hui n'était pas possible. J'ai donc proposé à la patiente de revenir à ma consultation de Billens dans une semaine. À ce moment-là, on décidera en fonction des examens cliniques si nous devons effectuer ou non une IRM complémentaire pour bilanter son genou G. Elle continue à se mobiliser dans son attelle jeans avec des cannes et thromboprophylaxie par Clexane. Malheureusement, l'infiltration a soulagé que temporairement le patient. C'est pour cette raison que je lui propose une arthroscopie diagnostique pour évaluer la lésion cartilagineuse sur le versant interne du genou G, pouvant être la cause des douleurs. À cette occasion, on pourrait évaluer sa plica mediopatellaris. Étant donné que le patient travaille comme moniteur de ski, il préfère que l'opération se fasse en avril 2019. Je le reverrai pour un nouveau contrôle clinique au mois de mars 2019. Nous déciderons définitivement lors du contrôle si on effectuera une arthroscopie du genou ou non. Jusque-là, il va faire de la physiothérapie à but antalgique et pour des instructions d'exercices d'étirement pour le pes anserinus. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Malheureusement, Mme. Y n'a reçu les semelles que le 14 janvier, donc il y a 2 jours. Il est important qu'elle s'habitue à porter les semelles orthopédiques de manière continue. Ceci va corriger toute la statique du corps, ce qui peut aussi avoir une bonne influence sur ses gonalgies droites. Je propose un nouveau contrôle dans 2 mois, ou plus tôt en cas de persistance des douleurs. En cas de persistance des gonalgies, nous devrons éventuellement faire des investigations par IRM. Pas d'arrêt de travail. Prochain rendez-vous : 13.03.2019. Mallet Finger Dig III main gauche chronique suite à une plaie en 2005. Mallet Finger Dig V main droite du 21.07.2018. Probable neuropathie du nerf cubital au coude droit. Contusion de la colonne lombaire. Contusion versus entorse du genou droit sur chute à vélo le 21.07.2018. Mallet Finger doigt 4 de la main gauche. Mallet Finger du 3ème doigt de la main D (main dominante) le 11.11.2018. Mallet Finger du 5ème doigt à droite, Doyle 1 déplacée (50% surface articulaire). Contusion du 4ème doigt à droite. Mallet Finger IV à droite PTH droite 22.01.2014 PTH gauche 19.07.2006 Embolie pulmonaire en 2006 Colectomie en 1992 sur adénocarcinome Tumorectomie sein droit 21.12.2010 : • mastectomie février 2011 AVC multi-focal d'origine artério-artérielle sur occlusion du tronc basilaire dans sa partie proximale le 09.03.15, avec : • AVC ischémique temporo-occipital gauche Probable accident ischémique transitoire sur occlusion proximale du tronc basilaire avec probable composante hémodynamique le 21.10.2015 : • faiblesse et paresthésies du membre inférieur droit au réveil le 21.10.2015 • NIHSS le 21.10.2015 au service des urgences à 2, aux SIC à 3 (ataxie MID), à la sortie à 2 Mallet Finger osseux chronique D3 à G. Mallet Finger tendineux de l'auriculaire droit. Mallet Finger IV droit le 14.11.2018. Mallet Finger IV à droite PTH droite 22.01.2014 PTH gauche 19.07.2006 Embolie pulmonaire en 2006 Colectomie en 1992 sur adénocarcinome Tumorectomie sein droit 21.12.2010 : • mastectomie février 2011 AVC multi-focal d'origine artério-artérielle sur occlusion du tronc basilaire dans sa partie proximale le 09.03.15, avec : • AVC ischémique temporo-occipital gauche Probable accident ischémique transitoire sur occlusion proximale du tronc basilaire avec probable composante hémodynamique le 21.10.2015 : • faiblesse et paresthésies du membre inférieur droit au réveil le 21.10.2015 • NIHSS le 21.10.2015 aux urgences à 2, aux SIC à 3 (ataxie MID), à la sortie à 2 Malnutrition chronique dans un contexte de mucoviscidose • Bouton de gastrostomie, oesophagogastroscopie et mise en place de PEG utilisée du 14.10.14 à fin 10/18 • BMI 19 Kg/m2 le 01.12.2018 • Ostéopénie et sarcopénie • Insuffisance pancréatique exocrine substituée • Diabète sur insuffisance pancréatique • Carence en vitamine D • Atteinte intestinale Diabète sur insuffisance pancréatique endocrine • Patient ne prend plus de nutrition parentérale donc plus d'Insulatard Glycémies Novorapid selon schéma Anémie hypochrome normocytaire à 118G/l d'origine inflammatoire le 03.12.2018 • Hb 134G/l le 05.12.2018 Ferritine 19ug/l, saturation transferrine 16% Pas d'injection de Venofer au vu d'une valeur d'hémoglobine acceptable Hépatopathie associée à la mucoviscidose Asthme allergique aux acariens Malnutrition chronique sévère avec : • anosognosie complète • déconditionnement global • évolution à bas bruit de longue date • BMI à 15.8 kg/m2. Malnutrition dans un contexte de dépendance à l'alcool avec hypoprotéinémie, hypoalbuminémie. Malnutrition dans un contexte de statut après colostomie terminale pour adénocarcinome liberkühnien compliqué par un anasarque et un iléus paralytique post-opératoire le 18.11.2018. Malnutrition légère à modérée NRS3. Malnutrition légère • apport oral insuffisant 64-77% de ses besoins • Laboratoire 24.12.2018 : pré-albumine 16 g/l, albumine 34,2 g/l Malnutrition modérée avec NRS à 4/7. Malnutrition • NRS 5 • perte de 3.6 kg en 3 mois, maintenant 37.6 • cachexie • baisse de l'appétit Malnutrition protéino-énergétique grave • SNG du 13.10.2018 au 6.11.2018 Malnutrition protéino-énergétique • avec risque pour syndrome de renutrition Malnutrition protéino-calorique dans le cadre tumoral. Malnutrition protéino-énergétique. Malnutrition protéino-énergétique. Malnutrition protéino-énergétique. Malnutrition protéino-énergétique. Malnutrition protéino-énergétique grave. Malnutrition protéino-énergétique grave. Malnutrition protéino-énergétique grave. Malnutrition protéino-énergétique grave. Malnutrition protéino-énergétique grave. Malnutrition protéino-énergétique grave. Malnutrition protéino-énergétique grave. Malnutrition protéino-énergétique grave. Malnutrition protéino-énergétique grave. Malnutrition protéino-énergétique grave. Malnutrition protéino-énergétique grave. Malnutrition protéino-énergétique grave. Malnutrition protéino-énergétique grave : • dysphagie et faiblesse généralisée démontrées par un NRS 5/7, un BMI à 18.6 kg/m2 et une perte de 15% du poids en 9 mois (suite à une opération importante de l'abdomen). Malnutrition protéino-énergétique grave aiguë sévère avec troubles de déglutition et suspicion d'aspirations sur syndrome de Rett avec mise en place d'une sonde nasogastrique, alimentation nocturne, pH-métrie négative le 24.12.2014, actuellement retirée. Mise en place d'une tige de Harrington pour scoliose été 2013 (CHUV). Insuffisance respiratoire aiguë mixte sur bronchopneumonie gauche à Pneumocoques le 04.02.2018 : • présence de Pseudomonas (colonisation). • hypercapnie chronique sur syndrome de Rett. Hypercapnie chronique sur syndrome de Rett le 19.11.2018 : • Poids 28.5 kg.• Traitement par VNI depuis 02.2018. • Oxygénothérapie à domicile ponctuelle dans le cadre de crises de l'épilepsie 2 l/min ou de décompensation respiratoire. • Polygraphie nocturne sous VNI du 19.11.2018 : IAH 7.4 /h avec 3.3/h hypopnées, 1.8/h apnées obstructives, 2/h apnées centrales, IDO 6.2 /h, Ronflements 22.9 %, SpO2 moyenne 96 %. • Capnographie sous VNI du 19.11.2018 : SaO2 moyenne 96 %, pCO2 moyenne 6.5 kPa. • Paramètres ventilatoires actuels : Stellar 150, Mode ST, EPAP 5 cmH2O, IPAP 12 cmH2O, Masque AirFit F10 XS. • Actuellement : bonne compliance, augmentation de la fatigue diurne depuis 2 mois, majoration de l'IPAP et de l'EPAP à 13/6 cmH2O, contrôle dans 3 mois. Malnutrition protéino-énergétique grave aiguë sévère avec troubles de déglutition et suspicion d'aspirations sur syndrome de Rett avec mise en place d'une sonde nasogastrique, alimentation nocturne, pH-métrie négative le 24.12.2014, actuellement retirée. Mise en place d'une tige de Harrington pour scoliose été 2013 (CHUV). Insuffisance respiratoire aiguë mixte sur bronchopneumonie gauche à Pneumocoques le 04.02.2018 • présence de Pseudomonas (colonisation) • hypercapnie chronique sur syndrome de Rett Malnutrition protéino-énergétique grave avec dysphagie d'origine structurale probable. Malnutrition protéino-énergétique grave avec hypoalbuminémie et anasarque le 10.01.2019. Malnutrition protéino-énergétique grave avec hypoalbuminémie, hypophosphatémie et hypomagnésiémie. Malnutrition protéino-énergétique grave avec • hypoalbuminémie • troubles électrolytiques Malnutrition protéino-énergétique grave avec • hypomagnésiémie et hypocalcémie. Malnutrition protéino-énergétique grave avec : • inappétence et ingesta à 40% des besoins. Malnutrition protéino-énergétique grave avec perte de poids involontaire de 16% en 1 mois. Malnutrition protéino-énergétique grave avec perte pondérale importante. Malnutrition protéino-énergétique grave avec perte pondérale de 16% en 1 mois • Acide folique 3.4 ng/ml le 06.12.2018, vitamine B12 dans la norme. Malnutrition protéino-énergétique grave, avec : • Prot. 62 g/l et Alb. 40 g/l le 01.01.2019. Malnutrition protéino-énergétique grave dans un contexte de perte d'appétit • Suivi diététique dès le 05.04.2018 • Statut post nutrition entérale par sonde naso-gastrique dès le 06.04.2018. Malnutrition protéino-énergétique grave en lien avec une incapacité de s'alimenter avec : • NRS à 6 • des apports à 0% sur la dernière semaine avant l'hospitalisation, perte de 13.9% en 1 mois. Malnutrition protéino-énergétique grave NRS 6/7 • dans un contexte d'éthylisme chronique • nutrition entérale du 24.11.-19.12.2018 • dysphagie. Malnutrition protéino-énergétique grave : • Perte de poids non intentionnelle en lien avec une inappétence dans un contexte oncologique, démontrée par une perte pondérale de 20 kg en 9 mois, dont 5% dans les 2 dernières semaines. Malnutrition protéino-énergétique le 14.21.2018 NRS 4. Malnutrition protéino-énergétique légère. Malnutrition protéino-énergétique légère avec NRS 3/7 le 12.2018. Malnutrition protéino-énergétique légère • Hypoprotéinémie et hypoalbuminémie • NRS 3/7 • Apport oral insuffisant (66% En.-45% prot.). Malnutrition protéino-énergétique légère le 03.01.2019. Malnutrition protéino-énergétique modérée. Malnutrition protéino-énergétique modérée le 23.01.2019. Malnutrition protéino-énergétique modérée dans le cadre du diagnostic d'adénocarcinome de l'oesophage • Apport oral insuffisant (70-75%). Malnutrition protéino-énergétique modérée dans un contexte de dépendance à l'alcool avec • hypoprotéinémie, hypoalbuminémie. Malnutrition protéino-énergétique modérée durant la phase critique. Malnutrition protéino-énergétique modérée en lien avec une inappétence sur anxiété et contexte oncologique, démontrée par un NRS à 5 (2 pour la nutrition), une perte de poids de 16% en 6 mois et des apports actuels estimés à 75% de ses apports habituels. Malnutrition protéino-énergétique modérée • Laboratoire 24.01.2018 : Albumine 37.3 g/l, vitamines B12 et B9 dans la norme (492 pg/ml, respectivement 4.8 ng/ml) • Supplément nutritif oral (200 ml 1x/jour). Malnutrition protéino-énergétique modérée le 11.01.2019 avec : • hypoalbuminémie • hypokaliémie, hyponatrémie, hypomagnésiémie, hypophosphatémie. Malnutrition protéino-énergétique modérée le 22.01.2019, dans le contexte du carcinome gastrique. Malnutrition protéino-énergétique moyenne en lien avec une dysphagie et des pneumonies d'aspiration récurrentes • NRS à 3/7 • Perte de poids de 8 kg / 10% > 3 mois. Malnutrition protéino-énergétique sévère. Malnutrition protéino-énergétique sévère : • inappétence, anabolisme important dans un contexte de plaies • hypokaliémie. Malnutrition protéino-énergétique sévère • NRS 5/7 • Poids avant diagnostic : 86 kg. Malnutrition protéino-énergétique sévère avec : • NRS 5 • BMI à 14.6 • perte de 21% de poids en 4 mois. Malnutrition protéino-énergétique sévère avec NRS à 5. Malnutrition protéino-énergétique sévère avec NRS 6/7 en lien avec une inappétence majeure et des troubles de la déglutition avec : • Pose de sonde nasogastrique à visée re-nutritionnelle le 10.01.2019 • Substitution électrolytique et vitaminique dès le 10.01.2019 • Nutrition entérale dès le 11.01.2019. Malnutrition protéino-énergétique sévère avec perte pondérale de 10 kg en 1 mois (soit 13% de son poids de forme) • Pose de SNG avec Novasource jusqu'à 500 ml le 20.11.2018.Malnutrition protéino-énergétique sévère dans le contexte du diagnostic principal avec • Perte de poids de min 4 kg en 1 mois dès fin septembre 2018 • NRS (nutritional risk screening) à 5/7 Malnutrition protéino-énergétique sévère d'origine multifactorielle le 15.01.2019 sur : • maladie de Crohn • consommation d'alcool à risque • immunosuppression non exclue. • hypoprotéinémie à 46 g/l, hypoalbuminémie à 31 g/l • hypovitaminose sévère vitamine D • déficit en acide folique Malnutrition protéino-énergétique sévère • Hypoprotéinémie et hypoalbuminémie • NRS 3/7 • ingesta à 70% des besoins Malnutrition protéino-énergétique sévère le 15.01.2019 Malnutrition protéino-énergétique sévère le 19.11.2018 Malnutrition protéino-énergétique sévère • NRS 5/7 le 28.12.2018 • apports oraux 25-50% des besoins Malnutrition protéique et énergétique sévère NRS à 4/7. • contexte insuffisance hépatique, hospitalisation prolongée Malnutrition secondaire à une dysphagie sévère dans un contexte oncologique en progression Malnutrition sévère dans un contexte de fin de vie amorcée Malocclusion classe III dans le cadre d'une Maladie de Steinert Maltofer per os Maltofer 100 mg une fois par jour pendant 3 mois Maltofer 100 mg 1x/j Maltofer 100 mg 1x/j 3 jours Maltofer 100mg 1x/j pendant 15 jours Ferinject 1000 mg en ambulatoire dans 2 semaines Maltofer Vitamine D dès J8 Mal-union du radius droit (main dominante) après fracture à l'âge de 10 ans, non-union, ostéosynthèse 1 année après la fracture. Malvoyant Maman O neg (traitée avec AntiD); bébé B pos Manoeuvre d'hyperpronation avec succès Mange un bonbon sans difficulté en consultation Boit de l'eau sans difficulté en consultation Manoeuvre de Dix-Hallpike : nystagmus rotatoire lors des examens à droite et à gauche. Manoeuvre de Semont : important nystagmus rotatoire lors de la manoeuvre libératrice à droite, soulagement partiel. Manoeuvre d'Epley. Consilium ORL avec convocation en ambulatoire de la patiente au vu de la symptomatologie résiduelle malgré les manoeuvres libératrices. Manoeuvre de Hallpike Manoeuvre d'Epley Manoeuvre de réduction de la tête radiale efficace Manoeuvre libératoire d'Epley. Consultation ORL en cas de persistance des symptômes. Manoeuvres vagales Valsalva, massage sinus carotidien. Adénosine 6 mg IV + 12 mg IV flush. Dilzem 25 mg IV - RSR. Surveillance aux lits monitorés. Beloc 25 mg à domicile. Consultation à prévoir par le médecin traitant chez le cardiologue. Arrêt de travail. Mr. Y a été hospitalisé pour une oxygénothérapie dans le contexte d'une infection à RSV. Sur le plan respiratoire, il a montré une bonne évolution. Sur le plan alimentaire, il a bénéficié d'alimentation par sonde naso-gastrique, que nous avons pu sevrer le 18.01. MAP à 28 et 32 semaines d'aménorrhée avec col raccourci à 13mm MAP avec maturation pulmonaire à 32 3/7 semaines d'aménorrhée en janvier 2016. Grossesse non évolutive arrêtée à 8 SA à 10 2/7 SA avec curetage évacuateur le 21.01.15 sous rachianesthésie. Marche avec pieds en rotation interne et léger valgus des genoux d'origine fonctionnelle ou post-infectieuse probable Marche en rotation interne avec des jambes en X et arrière-pied en valgus réductibles plus à G qu'à D, Marche en rotation interne sur antétorsion fémorale excessive. Valgus flexibles de l'arrière-pied ddc, plus à G qu'à D. Marche sur la pointe des pieds ddc. Marcoumar en suspens Mme. Y présente un arrachement osseux du LCA pour lequel l'indication à une réinsertion est donnée. La patiente est informée du déroulement de l'intervention ainsi que les risques/bénéfices liés à celle-ci. Elle nous donne son accord oral et signé. L'intervention est prévue à priori en ambulatoire pour le 31.01.2019. Mme. Y présente le plus probablement une primoinfection au HSV sans gingivostomatite. La maman est séropositive pour le HSV et fait des manifestations cliniques importantes, ce qui l'inquiète devant la clinique débutante de sa fille. Proposition d'une crème d'Aciclovir mais pas de traitement systémique. Contrôle chez le médecin traitant si évolution défavorable (fièvre, aphtose, impossibilité d'avaler, surinfection). Mme. Y reste en surveillance neurologique. Sur le plan neurologique, elle présente un seul vomissement durant la nuit avec contrôles en ordre. Au matin, elle récupère un état général bon avec un statut neurologique normal. Elle s'alimente normalement et sans nausées. Au vu de son bon état général, Mme. Y rentre à domicile le 30.01.2019 avec les conseils de surveillance donnés aux parents. • Massage cardiaque dirigé au téléphone • Arrivée du SMUR 10 min après l'appel des secours • FV à l'arrivée du SMUR : 2 chocs, 4 mg d'adrénaline, Aspegic 500 à 20h02, liquémine 5000 UI, 5 mg de cordarone en perfusion lente, 500ml NaCl 0.9%, 2x 2.5 mg de midazolam, fentanyl 350 au total, 20 de rocuronium Intubation avec séquence rapide Coronarographie le 06.01.2019 : Cet examen montre une maladie coronarienne de 2 vaisseaux (IVA et CD), avec comme lésion coupable une occlusion de l'IVA moyenne, qui a pu être désoblitérée avec mise en place de 2 stents actifs. Je propose de traiter la sténose restante sur l'artère coronaire droite dans 3-4 jours (attendre évolution neurologique). Efient 60mg dose de charge à donner à travers la sonde naso-gastrique aux SI, puis Aspirine 100mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, statine, IEC, BB dans un 2ème temps. Massage cardiaque externe 1' Adrénaline 1 mg i.v. Massage cardiaque externe 1' Adrénaline 1 mg iv Massage eau chaude Tobradex 1 semaine Contrôle dans une semaine si persistance des symptômes Masse. Masse au niveau de la vessie, découverte fortuite le 08.11.16 Pneumothorax secondaire sur emphysème à droite le 06.11.16 • Drain thoracique apical droit le 06.11.16 • Thoracoscopie droite, pneumolyse, bullectomie/réduction volumique avec talcage le 11.11.2016 Masse au niveau du 7ème espace intercostal gauche vascularisée avec névralgies intercostales • status post-thoracoscopie gauche avec biopsie pleurale et talcage le 30.06.2016 pour pleurite fibro-inflammatoire sans signe de spécificité à gauche Masse au niveau de la paroi vésicale d'origine indéterminée • DD : oncologique (tumeur vésicale), infectieux (abcès) Masse d'origine inconnue sur la face dorso-radiale de l'IPD de l'index gauche. Masse endoluminale bourgeonnante de la bronche souche droite (DD néoplasique, fibro-épithéliale moins probable), occluant les orifices des segments antérieur, apical et postérieurMasse gastriques avec multiples masses hépatiques probablement d'origine infectieuse DD : néoplasique Masse gingivale d'environ 5 mm d'origine indéterminée 11.01.2019. DD : Papillome. Masse intraarticulaire en regard du condyle fémoral latéral du genou D • Arthrotomie du genou D et résection de masse intraarticulaire (OP le 24.05.2016) Syndrome inflammatoire avec adénopathies multiples (axillaires, supra-claviculaires et SCM à gauche) sur probable poussée de polyarthrite rhumatoïde le 07.01.2019 DD : contexte infection virale Masse intraarticulaire en regard du condyle fémoral latéral du genou D • Arthrotomie du genou D et résection de masse intraarticulaire (OP le 24.05.2016) Masse intraarticulaire en regard du condyle fémoral latéral du genou D • Arthrotomie du genou D et résection de masse intraarticulaire (OP le 24.05.2016) Masse intraarticulaire en regard du condyle fémoral latéral du genou D • Arthrotomie du genou D et résection de masse intraarticulaire (OP le 24.05.2016) Syndrome inflammatoire avec adénopathies multiples (axillaires, supra-claviculaires et SCM à gauche) sur probable poussée de polyarthrite rhumatoïde le 7.01.2019 DD : contexte infection virale Tavanic adapté à dose rénale 250 mg iv du 07.01.19 au 09.01.19 puis per os 500 mg le 10.01.19 Hémocultures le 13.01.2019 : négatives Urotube : négatif Sérologies : HBV, HBC, HIV, EBV, CMV, toxoplasmose négatives Selles : PCR pour C. Difficile et PCR multiples négatives Frottis cavité buccale le 8.01.2019 : négatif Rx Thorax : dans la norme US cou (Dr. X) le 7.1.2019 : pas de thrombose jugulaire, pas d'abcès Avis infectiologique (Dr. X) le 9.01.2019 : étiologie infectieuse peu probable, arrêt du Tavanic le 10.01.19 et surveillance clinique Avis rhumatologique (Dr. X) : pas de modification du traitement, continuer Actemra selon schéma prescrit IRA AKIN III probablement d'origine pré-rénale sur déshydratation et diarrhées le 7.01.2019 DD : mixte sur néphrite interstitielle médicamenteuse (Co-Amoxicilline) • FeNa 0.5% • microalbuminurie 36 mg/24h Hydratation Laboratoire Urines avec sédiment urinaire : pas de cylindres, pas d'acanthocytes, pas d'éosinophilurie Avis néphrologique (Dr. X) : diagnostic initial de IRA d'origine pré-rénale vs néphrite interstitielle dans contexte allergique sur prise de Co-Amoxicilline. Hydratation et suivi diurèse. US système uro-génital le 8.01.2019 : pas de dilatation pyélocalicielle, reins normaux. Réaction allergique à la Co-amoxicilline probable le 8.01.2019 • Exanthème maculaire diffus • diarrhées • perturbation des tests hépatiques arrêt Co-amoxicilline Antihistaminiques Sérologie EBV négative le 08.01.19 Masse intraarticulaire en regard du condyle fémoral latéral du genou droit. • Arthrotomie du genou D et résection de masse intraarticulaire (OP le 24.05.2016). Syndrome inflammatoire avec adénopathies multiples (axillaires, supra-claviculaires et SCM à gauche) sur probable poussée de polyarthrite rhumatoïde le 7.01.2019. DD : contexte infection virale. Tavanic adapté à dose rénale 250 mg iv du 07.01.19 au 09.01.19 puis per os 500 mg le 10.01.19 Réaction allergique à la Co-amoxicilline probable le 8.01.2019. • Exanthème maculaire diffus • diarrhées • perturbation des tests hépatiques Arrêt Co-amoxicilline. Antihistaminiques Sérologie EBV négative le 08.01.19. Masse latérocervicale gauche. Masse occipitale gauche d'origine indéterminée le 21.01.2019 DD : néoplasie primaire versus secondaire, syndrome PRES unilatéral. • NIHSS d'entrée et à la sortie à 0 point Masse ovarienne droite de 8 x 5 x 4 cm évocatrice d'un tératome, chez une patiente de 52 ans 3 gestes 3 pares. Masse ovarienne gauche sans adénopathie locorégionale au PET/CT du 11.12.2018 Masse plantaire latérale au niveau de l'avant-pied à D, douloureux, d'origine X. Masse pulmonaire apicale droite DD métastase du cancer mammaire, carcinome pulmonaire concomitant • date du diagnostic : 27.06.2018 • PET-CT du 07.08.2018 : masse apicale droite envahissant massivement le hile et le médiastin SUV : 17 • métastase unique hépatique au CT et au PET, SUV 5,8 • refus de la patiente d'une bronchoscopie et biopsie Masse pulmonaire basale droite Masse pulmonaire du lobe supérieur droit avec épanchement pleural droit • CT thoraco-abdominal à Givision en janvier 2019 • Ponction d'épanchement pleural le 24.01.2018 (Clinique générale) : résultat en cours Masse pulmonaire lobe supérieur droit avec épanchement pleural droit Masse temporale gauche avec oedème péri-lésionnel et engagement sous falcoriel et uncal droit le 05.01.2019. DD : glioblastome, métastase, abcès. Masse tissulaire rénale gauche Masse tissulaire rénale gauche de découverte fortuite à l'échographie Masse tumorale du côlon. Masse tumorale/kystique intra-abdominale droite surinfectée avec suspicion de fistulisation caecale le 03.01.2019 • dans le cadre d'un léiomyosarcome utérin FIGO IIIA diagnostiqué en 2008 Masse utérine endo-cavitaire à croissance rapide chez une patiente 2 gestes 1 pare de 46 ans Masses cérébrales Masses (x2) au niveau du pôle supérieur du rein gauche (DD : oncocytome, carcinome à cellules rénales) • Statut après résection du pôle supérieur rénal à droite 06/01 (externe) avec adénome rénal inséré à droite • Abdomen TDM : 23.11.2015 : deux tumeurs rénales à croissance progressive relativement lente, au pôle inférieur gauche • Sous la supervision régulière du Prof. X, médecin-chef en urologie à l'Inselspital, actuellement aucune intervention chirurgicale compte tenu des comorbidités • Dernier suivi en octobre 2018 à l'Inselspital • CT thoraco-abdominal le 08.01.2019 : nette progression de la masse située aux dépens du pôle supérieur du rein gauche, mesurant actuellement 118 x 103 x 132 mm contre 88 x 60 x 85 mm Masse à l'énergie et à la micronutrition, NRS 4 • Laboratoire du 28.12.2018 : Albumin 36.4 g/l, Préalbumin 0,07 g/l Mastectomie droite en 2018 Cholécystectomie en 1989 Hystérectomie subtotale en 1974 Mastectomie du sein gauche avec curage des ganglions axillaires. Analyse anatomo-pathologique de la pièce opératoire. Mastectomie gauche pour un nodule (non néoplasique) il y a 15 ans. Fracture du fémur droit (enfance). Appendicectomie avec péritonite (enfance). Hernie inguinale gauche (enfance). Mastectomie simple du sein gauche Analyse anatomo-pathologique de la pièce opératoire Mastite puerpérale gauche avec abcès péri-aréolaire inféro-externe gauche de 2 x 3 cm à MRSA chez une patiente 4 G 2 P de 34 ans S/p césarienne pour siège au Daler le 09.12.2018 Mastocytose cutanée (urticaire pigmentaire) Mastocytose systémique diagnostiquée en 2008 (suivi par Dr. X), sous 5 mg de Prednisone Hypertension artérielle traitée. Hernie hiatale avec oesophagite de stade 2. Tabagisme actif à 44 UPA. Consommation d'alcool à risque. État dépressif. Difficulté dans les AVQ et troubles praxiques d'origine indéterminée. • IRM cérébral le 24.11.2016. • Bilan vitaminique et thyroïdien. Mastocytose systémique diagnostiquée en 2008 (suivi par Dr. X). Hypertension artérielle traitée. Hernie hiatale avec oesophagite de stade 2. Cholécystolithiase. Tabagisme actif à 44 UPA. Consommation d'alcool à risque. État dépressif. Difficulté dans les AVQ et troubles praxiques d'origine indéterminée. • IRM cérébral le 24.11.2016. • Bilan vitaminique et thyroïdien. Matériel d'ostéosynthèse dérangeant sur : • statut post-réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque LISS fémur distal gauche le 07.06.2017 pour fracture fémur distal sur ancienne fracture ouverte en 1978. Mr. Y reste donc hospitalisé pour surveillance respiratoire dans un contexte de besoins en oxygène augmentés.Sur le plan respiratoire, il nécessite maximum 1 lt sur sa canule durant le sommeil et est à l'air ambiant le reste du temps. Au vu des sécrétions importants, nous gardons son traitement habituel de Ventolin (diminué à 0.5 ml au lieu de 2 ml) et Atrovent que nous conseillons de diminuer à la sortie au vu de l'absence de signes spastiques. Sur le plan infectieux, le frottis RSV revient positif mais au vu du syndrome inflammatoire avec CRP élevée et d'un possible foyer débutant à droite à la radiographie, nous concluons une surinfection broncho-pulmonaire et poursuivons le traitement par Co-Amoxicilline pour 10 jours en tout. Au vu de la surveillance rassurante, Mr. Y rentre à domicile avec contrôle chez le pédiatre au besoin. Maturation pulmonaire à 24 0/7 semaines d'aménorrhée d'une grossesse gémellaire. Mauvaise évolution d'une dermohypodermite. Mauvaise prise pondérale à 1 mois de vie (13 g/jour). Mauvaise tolérance de la fièvre. Mauvaise tolérance de l'état fébrile. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge d'origine indéterminée. DD : état grippal débutant. Streptotest négatif. Maux de gorge et difficultés à expectorer depuis 3 semaines. Maux de gorge et pression dans les oreilles. Maux de gorge et tuméfaction de la paupière supérieure droite. Maux de gorge, vomissements. Maux de tête. Maxdiel David est un enfant de 10 ans, en bonne santé habituelle, originaire du Nicaragua en vacances en Suisse, qui consulte les urgences le 26.01.2019 en raison de douleurs abdominales en fosse iliaque droite depuis 12 h avec des nausées, sans état fébrile. Le laboratoire ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire et à l'ultrason, on note la présence d'une appendicite aiguë avec un peu de liquide libre dans l'abdomen. Le jeune patient bénéficie donc d'une appendicectomie laparoscopique qui se déroule sans complication. Le 27.01.2018, Maxdiel David peut rentrer à domicile. Mebendazole 100 mg J0 et J14 pour toute la famille. Consignes usuelles : laver les vêtements/draps à 60°, couper les ongles. Médecine anthroposophique : • Argentum nitricum comp. Globuli 3x 5 granules pour 7-10 jours, • Eucalypti aetheroleum 10% Oleum application sur la région suspubienne 2-3x par jour. Pas d'antibiothérapie per os sur demande de la mère. Contrôle clinique aux urgences pédiatriques si persistance des symptômes > 72 h. Contrôle clinique aux urgences pédiatriques le 29.01.2019. Médecine anthroposophique. Contrôle chez le pédiatre dans la semaine. Poursuite de l'antibiothérapie, si nouvel épisode réactionnel, consultation immédiate. Médicaments pris par la patiente : • Prednisone 50 mg • Telfast 3 cpr. Laboratoire. Stix et sédiment urinaire. Urotube. Consilium ORL : VAS libres, œdème linguale unilatéral G. • Adrénaline 1 mg aérosol. • Surveillance aux urgences avec résolution des symptômes. Instruction à l'utilisation de l'Epipen. RAD avec prochain rendez-vous chez son médecin traitant la semaine prochaine. Envisager un traitement antihypertenseur et antidiabétique en fonction de la tolérance de la patiente. Médication actuelle. Médication adaptée (cf liste personnelle) : pas d'opiacés, pas d'algifor ou autres traitements à libération histaminergique. Médicaux : nodule thyroïdien en cours d'investigation. Accident professionnel en 2011 (trauma occipital). Troubles neurologiques multiples non systématisés. Epigastralgies. Cervicalgies non déficitaires, 14.06.2018. Médicaux : Carence martiale chronique actuellement sous Maltofer 100 mg 2x/j et Ferinject (12.11.2018). Hypovitaminose D. S/p borréliose. S/p gastrite à H. pylori. Chirurgicaux non gynécologiques : S/p amygdalectomie. Médicaux : le 31.01.2015 : colique néphrétique gauche. En 03.2015 : thrombose veineuse superficielle du membre inférieur droit. Chirurgicaux : 1999 Cure hernie ombilicale. Obstétricaux : Le 19 juin 2016 : accouchement par voie basse à 39 6/7 SA, instrumenté par ventouse Kiwi pour épisiotomie maternelle et défaut d'expulsion, chez une patiente de 22 ans G1 devenue P1. Médicaux : Nodule thyroïdien en cours d'investigation. Accident professionnel en 2011 (trauma occipital). Troubles neurologiques multiples non systématisés. Epigastralgies. Cervicalgies non déficitaires, 14.06.2018. Mme. Y reste hospitalisée pour suivi des diarrhées et de sa prise de poids. Sur le plan digestif, nous notons des diarrhées liquides et abondantes 3-4x/jour durant son séjour avec de rares vomissements. La prise alimentaire est difficile et fractionnée. Nous n'observons pas de phases de pleurs ou d'inconfort d'allure pathologique et les courbes de croissance sont régulières sans cassure. Dans ce contexte, nous demandons un avis auprès de Dr. X, gastro-entérologue pédiatre, qui suspecte une intolérance lactique post-entéritique versus une allergie aux protéines de lait de vache. Nous introduisons donc un lait hydrolysé et sans lactose (Pregomin Pepti) dès le 26.01, graduellement avec bonne tolérance. Le bilan biologique ne démontre qu'une anémie hypochrome, normocytaire avec ferritinémie dans la norme. Au niveau de la prise alimentaire, nous observons des refus que ce soit pour les solides ou pour les liquides. Aucun épisode de fausse route n'est observé ni de difficultés à la déglutition. Pour les solides, la mère décrit des difficultés dès l'introduction de la diversification. Un avis ergothérapeutique démontre que Mme. Y met volontiers les choses à la bouche et est très intéressée par tout, veut tout prendre (jouer avec les cuillères, le biberon, ...) mais une évaluation de la déglutition est impossible car elle refuse de boire ou de manger. Concernant l'évolution, les diarrhées s'améliorent, les prises alimentaires hydriques restent difficiles et insuffisantes (80-100 ml/kg/jour) mais améliorées par rapport aux apports à l'entrée et la prise des solides est minime, malgré le régime sans protéine de lait de vache. La prise de poids est régulière mais faible, en moyenne 10 g/jour durant son séjour. Nous gardons donc le diagnostic d'allergie aux protéines de lait de vache et une consultation en diététique est organisée pour le régime. Concernant les troubles de prise alimentaire, nous suspectons un problème d'oralité, possiblement sur l'APLV sans autres signes d'alerte mis en évidence (pas de fausses routes, pas de symptômes de RGO, ...) et selon l'avis gastro-entérologique, nous organisons un suivi logopédique. Nous proposons également un suivi alimentaire et du poids régulier chez le pédiatre.Sur le plan infectieux, les analyses de selles reviennent négatives pour les virus et les parasites (examen direct et antigènes parasitaires). Elle ne présente pas de fièvre durant son séjour. Sur le plan neurologique, nous notons une courbe de PC passant en 3 mois du P50 au P90 sans symptômes ou signes neurologiques associés avec un développement dans la norme. Un US cérébral est réalisé le 25.01 dans ce contexte et révèle un élargissement des espaces sous-arachnoïdiens sans hydrocéphalie. Au vu des diarrhées et de la macrocéphalie, un US abdominal est réalisé à la recherche d'une masse type neuroblastome qui se révèle normal. Après avis neuro-pédiatre, Dr. X, nous gardons un diagnostic de retard d'absorption du LCR bénin et conseillons un suivi du PC chez le pédiatre 1x/mois. En cas de péjoration de la macrocéphalie, une consultation en neuropédiatrie sera à évaluer. • méga-érythème épidémique • Meilleur état général qu'il y a 2 jours, fièvre en diminution, pas d'argument pour infection à méningocoque malgré pétéchies au vu de l'amélioration clinique. DD: viral? • Mélanome malin de primitif indéterminé classé cTx cN0 cM1 (métastases surrénaliennes et splénique) : - date du diagnostic : 21.07.2017 - histologie (Promed P8196.17) : mélanome malin pigmenté (biopsies, surrénale gauche) - examen de biologie moléculaire : mutation pathogène du gène NRAS, absence de mutation des gènes BRAF, KIT, expression de PD-L1 en cours - présentation initiale par masses surrénaliennes bilatérales découvertes fortuitement à l'imagerie - CT thoraco-abdomino-pelvien du 23.06.2017 : volumineuses masses surrénaliennes (13 cm à droite, 6.7 cm à gauche), absence d'adénopathie thoracique ou abdominale, absence de lésion nodulaire pulmonaire, hépatique, osseuse - PET-scan au FDG : refusé en raison d'une claustrophobie - IRM cérébrale du 08.08.2017 : refusée en raison d'une claustrophobie - LDH initiales : 1'150 U/l (2.2 x ULN) - sous immunothérapie palliative de 1ère ligne de type Ipilimumab (Yervoy) et Nivolumab (Opdivo) avec maintenance par Nivolumab (dernière le 20.09.18, intervalle toutes les 3 semaines) ; en arrêt thérapeutique pour intolérance médicamenteuse • Mélanome malin para-scrotal gauche de type SSM, pT4b pN2b (sn 3/3) cM0, stade IIIB selon classification TNM de 2017 avec récidive locale et métastases osseuses - date du diagnostic : 10.09.2018 (excision primaire) - suivi par Dr. X à l'HFR - histologie (Promed P2018.10525) : mélanome malin de type SSM (2 cm de diamètre) Breslow 5 mm, Clark IV avec ulcération étendue. Activité mitotique forte avec 12 mitoses/mm2 - PET-CT du 01.10.2018 corps entier : hypercaptation ganglionnaire locale inguinale fémorale gauche, pas d'autre métastase à distance - Le 19.10.2018 à l'Inselspital Bern : reprise de la cicatrice avec des marges de sécurité de 2 cm et recherche de ganglion sentinelle au niveau inguinal - Histo-pathologie (patho universitaire Berne B2018.36509) : reprise chirurgicale avec des marges saines centimétriques, trois ganglions lymphatiques inguinaux avec atteinte tumorale et dépassement capsulaire. À l'examen immuno-histo-chimique présence d'une mutation BRAF de type V600E - Discussion au tumorboard de l'Inselspital à Berne le 26.10.2018 : traitement adjuvant par Nivolumab - Récidive avec métastases osseuses multiples et local (métastase 3 x 6 x 5.5 dans le pli inguinal gauche) le 18.01.2018 - actuellement : traitement par anti-BRAF (Dabrafenib) et anti-MEK (Trametinib) le 31.01.2019 en oncologie à l'HFR de Fribourg • Mélanome nodulaire ulcéré scapulaire droit, Breslow 1.65 mm, pT2 bp N1 M0 - Shavé le 29.11.2017 avec reprise de la racine le 07.12.2017 - CT cérébro-thoraco-abdo-pelvien du 20.12.2017 : pas de lésion d'allure secondaire - status post-excision de cicatrice avec marge de sécurité et recherche de ganglions axillaires gauche, droit et scapulaire droit le 10.01.2018 - CT-TAP (12.07.2018) : présence d'une adénopathie axillaire gauche suspecte - cytoponction (24.07.2018) : métastase ganglionnaire axillaire gauche du mélanome connu - curage axillaire gauche (28.09.2018) avec drainage axillaire gauche en place - actuellement sous immunothérapie Nivolumab toutes les 2 semaines (prochains RDV les 20.12 (annulé), 03.01, 17.01, 31.01) - suivi par Prof. X - CHUV. • Hypopituitarisme sur adénome de l'hypophyse dans la jeunesse. • Mélanome sous immunothérapie. • Hypertension artérielle sous Atacand. • Polyarthrite rhumatoïde sous Spiricort. • Méléna • Méléna • Méléna • Méléna • Méléna • Méléna • Méléna • Méléna • Méléna • méléna • Méléna le 14.01.2019 - DD: Ulcère gastro-duodénale Mr. Y a bénéficié d'une surveillance des signes vitaux et neurologiques pendant la nuit sans événement particulier. Même si on n'a pas d'argument clair pour une récidive, je m'en méfie. J'organise donc une IRM avec injection GADO IV le 28.01.2019. Je recontacterai Mr. Y suite à cet examen pour discuter d'une éventuelle ré-excision en cas de signe de récidive. • Menace d'accouchement prématurée à 32 6/7 SA avec un col à 17 mm • Menace d'accouchement prématurée à 32 6/7 semaines d'aménorrhée avec un col à 17 mm chez une patiente 3G0P de 45 ans • Menace d'accouchement prématurée à 32 6/7 SA chez une patiente de 32 ans 4G1P avec un col raccourci à 23 mm • ménarche à 11 ans troubles chroniques de cycle • Ménarche à 14 ans, ménopause encore réglée, cycles normaux et métrorragies. PAP fait en novembre 2012, en ordre. 1999: status post accouchement par voie basse d'une fille pesant 3000 g. 2000: péritonite appendiculaire avec résection iléo-caecale. 2006: status post accouchement par voie basse d'une fille pesant 2700 g. 2007: status post césarienne d'un garçon pesant 2500 g à 36 semaines. 2008: status post interruption volontaire de grossesse et stérilisation tubaire. Utérus adénomyosique et poly-myomateux symptomatique chez une patiente 4G 3P de 43 ans avec: - Adhésiolyse pariéto-épiploïque. - Hystérectomie conservatrice des ovaires par laparoscopie. Tendinopathie du tendon d'Achille gauche d'origine indéterminée. Douleur au bas ventre chronique: - Status post hystérectomie, césarienne il y a plusieurs années. Lombalgie aiguë non-déficitaire (sans red flag). • Ménigiome frontal bilatéral avec: - Parésie progressive du MID • Méningiome frontal gauche • Méningiome frontal gauche le 11.01.2019 • méningite à entérovirus • Méningite aiguë d'origine probablement virale le 18.10.2017 DD : bactérienne décapitée, Zona territoire V2, médicamenteuse sur Ibuprofène. • Méningite bactérienne en 2009. • Méningite dans l'enfance (anamnestique). Thrombose veine sous-clavière droite sur PAC (environ 2006). Adénocarcinome du côlon transverse (pT4 N1 M0) avec colectomie subtotale droite et transverse (11.04.2006) et chimiothérapie adjuvante. Pancréatite biologique le 07.06.2015. Iléus sur opiacés en juin 2015. Epistaxis d'origine traumatique vs spontané sur anticoagulation le 19.06.2015, avec électrocoagulation de la tache vasculaire droite. Epistaxis les 30 et 31.07.2015. Greffe cutanée le 23.07.2015 sur hématome de la face dorsale de la main droite post-traumatique le 21.06.2015. Neuronite vestibulaire droite le 19.04.2015. Troubles de l'adaptation avec réaction mixte, anxieuse et dépressive. Thrombose veine sous-clavière droite sur PAC (environ 2006). Endocardite de la valve mitrale (végétation de 10 x 10 mm) et possiblement aortique à Enterococcus faecalis, le 02.06.2015, avec bactériémie mixte à E. Coli, le 03.06.2015, avec embolie septique du muscle pectiné et grand adducteur. Embolie pulmonaire segmentaire et thrombose iliaque externe droite avec atteinte fémoro-poplitée le 02.06.2015, sur Revolade Anémie ferriprive, d'origine spoliative probable, favorisée par un double traitement antiagrégant plaquettaire et anticoagulant le 19.08.2015 Décompensation cardiaque globale légère le 07.10.2016 sur infection des voies respiratoires supérieures Syncope d'origine indéterminée le 26.02.2016 (DD : sur bas débit sur sténose aortique serrée (0.8 cm2)) Syncope convulsive probablement sur bas débit dans le cadre d'une sténose aortique sévère le 24.07.2016 • ETT le 26.02.2016 : sténose aortique sévère avec stabilité de la SVA à 0.8 cm2 Méningite nosocomiale le 29.07.2018 Méningite probablement bactérienne (bactérie inconnue). Status post réduction ouverte et ostéosynthèse par embrochage des métatarsiens 2-3-4 pied D et embrochage du Lisfranc D le 31.07.2018 pour : AVP du 20.07.2018 avec : • lésion Lisfranc droit avec fracture intra-articulaire base du 3ème métatarse. • fracture sous-capitale extra-articulaire des métatarsiens 3-4 pied D. • fracture extra-articulaire du tiers distal du corps du 2ème métatarsien pied D. AMO broche de Kirschner rayon Lisfranc pied à D (OP le 23.11.2018). Méningo-encéphalite d'origine probablement infectieuse le 13.10.2018 • avec hypertension intracrânienne et engagement cérébelleux par le foramen magnum le 16.10.2018 Inselspital du 13. au 25.10.2018 CT cérébral natif le 13.10.2018, le 16.10.2018, le 18.10.2018, le 23.10.2018, le 05.11.2018 IRM cérébrale le 15.10.2018 (Bern) et le 17.10.2018 CT thoracique (Bern) le 18.10.2018 Ponction lombaire le 13.10.2018 : 984 éléments, protéinorachie, lactates ++ Biopsie cérébelleuse le 17.10.2018 : méningo-encéphalite lymphocytaire Électroencéphalogramme le 05.11.2018 et le 09.11.2018 Dérivation ventriculaire externe du 16.10.2018 au 23.10.2018 (pression d'ouverture à 17 mmHg) Craniectomie occipitale le 17.10.2018 Voie veineuse centrale subclavière droite du 16.10.2018 au 27.10.2018 Alimentation entérale dès le 16.10.2018 Ceftriaxone du 13.10.2018 au 27.10.2018 Amoxicilline du 13.10.2018 au 03.11.2018 Aciclovir 600 mg 3x/j du 14.10.2018 au 18.10.2018 Ambisome du 17.10.2018 au 23.10.2018 Flucytosine du 17.10.2018 au 21.10.2018 Méniscectomie partielle interne corne postérieure au genou droit le 03.09.2013. Plastie ligament croisé antérieur par DIDT au genou droit (opération le 19.03.2013). Fracture base MCP1 Main gauche. Ostéosynthèse par plaque VA 2.0 base MCP I (OP le 22.11.2016). Méniscopathie interne du genou G sur surcharge mécanique. Ancienne inflammation de la patte d'oie. Status post-ponction genou D sous anesthésie locale (OP le 12.12.2014). Status post-arthroscopie rinçage (12 litres) genou D (OP le 14.12.2014). Status post-lavage, débridement prothèse totale genou D, changement polyéthylène, synovectomie élargie, ostéotomie de la tubérosité tibiale antérieure et proximalisation 10 mm (OP le 17.12.2014) sur : • Gonarthrite prothétique septique droite à S. aureus sensible sur : • Status après arthroplastie totale genou droit le 30.10.2014 par le Dr. X de la Clinique Générale. Méniscopathie latérale à G centrée par une fissure. Chondropathie patellaire de la gouttière. Chondropathie fémoro-tibial latéral modérée. Chondropathie segmentaire de la partie postérieure des deux condyles. Syndrome de l'essuie-glace. Ménisectomie et ablation des ligaments croisés du membre inférieur gauche sur accident de la voie publique (opération en France). Fracture du fémur gauche sur accident de la voie publique avec clou fémoral persistant (opération en France). Ménopause substituée Artériopathie périphérique stade 2a • Recanalisation d'une sténose A. abdominale et d'une sub-occlusion de l'A. iliaque comm. Gauche par kissing stent aorto-iliaques ddc 2011 HFR • Suspicion de sténose carotide externe D 5/2013 • PTA et pose de stent sur sténose filiforme à la sortie du stent A. iliaque commune G 8/2018 Suspicion de M. Bechterew : • HLA B27 positif • pas de traitement Ménopause substituée. Artériopathie périphérique stade 2a • Récanalisation d'une sténose A. abdominale et d'une sub-occlusion de l'A. iliaque comm. Gauche par kissing stent aorto-iliaques ddc 2011 HFR • Suspicion de sténose carotide externe D 5/2013 • PTA et pose de stent sur sténose filiforme à la sortie du stent A. iliaque commune G 8/2018 Suspicion de M. Bechterew Ménopause symptomatique depuis 2 ans sans substitution hormonale. Ménopausée. Ménorragie anémie ferriprive Ménorragies. 19.10.2012 : hystéroscopie avec polypectomie et curetage pour des ménométrorragies invalidantes et conisation à l'anse électrique pour un CIN III. Ménorragies. 19.10.2012 : hystéroscopie avec polypectomie et curetage pour des ménométrorragies invalidantes et conisation à l'anse électrique pour un CIN III. Méopa pour anxiolyse Evacuation stérile avec aiguille puis mécanique Pansement par compresse stérile et Cofix Frottis bactériologique : S.Pyogenes + Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 50 mg/kg/j per os q12h 5-7 jours selon évolution Contrôle dans 48h aux urgences, pas de réfection du pansement entre temps Merci de poursuivre le traitement pour l'ostéoporose Nous vous proposons de suivre la fonction rénale de Mme. Y et d'adapter le traitement de Colchicine en conséquence Merci de réévaluer le Betmiga sur le long terme. Merci de vérifier la médication actuelle à domicile Mercredi 30.01 chez le pédiatre pour évaluation et +/- arrêt du ventolin. Mère A- Enfant Rh + Rhophylac le 26.01.2019 Mère A- Enfant rh- Ac irréguliers maternels + en Coombs et papaine le 21.01.2019 : à recontrôler à 6 mois et 1 an du post-partum Mère : O négatif Bébé : négatif Pas de rhophylac Mère : Rhésus négatif Bébé : Rhésus négatif Mère : rhésus négatif Bébé : rhésus positif Rhophylac 300 mcg le 19.01.2019 Mère Rhésus négatif Bébé Rhésus positif Rhophylac 300 mcg le 03.01.2019 Mère : Rhésus négatif Enfant : Rhésus négatif Mère : Rhésus négatif Nouveau-né : Rhésus négatif Mère : rhésus négatif Nouveau-né : négatif Mère : Rhésus négatif Nouveau-né : Rhésus négatif Mère : Rhésus négatif Nouveau-né : Rhésus positif Rhophylac le 24.01.2019 Mesothéliome malin au niveau du 7ème espace intercostal gauche avec plusieurs nodules pulmonaires droite et gauche • status post-thoracoscopie gauche avec biopsie pleurale et talcage le 30.06.2016 pour Pleurite fibro-inflammatoire sans signe de spécificité à gauche • PET-CT : hypercaptation importante au niveau de la plèvre qui peut tout à fait être expliquée par le status post-talcage • Biopsie paroi thoracique gauche et neurolyse le 27.12.2018 Mesure de la virémie le 22.01.2019 Poursuite de la trithérapie Triumeq durant l'hospitalisation Substitution de traitement prévue lors de la prochaine consultation infectiologique chez le Prof. X (risque cardiovasculaire associé à l'abacavir) Mesures diététiques/hydratation Contrôle chez pédiatre dans 5-7 jours Métastase colique au niveau du lobe inférieur gauche diagnostiqué le 28.08.2018 Métastase d'un carcinome épidermoïde latérocervical droit Métastase parotidienne gauche d'un carcinome épidermoïde basaloïde peu différencié avec : • amygdalectomie bilatérale et évidement ganglionnaire cervical fonctionnel gauche le 23.03.2016 • parotidectomie superficielle gauche, panendoscopie, biopsies multiples le 02.03.2016 sans mise en évidence de tumeur primaire.Status post-résection de la prostate le 08.04.2010 Polypes suspects de l'estomac : • oesogastroduodénoscopie du 09.06.10 (Dr. X) : résection endoscopique de 3 polypes de l'estomac : 1 polype sessile de 1 cm de la partie distale du corps gastrique le long de la grande courbure (flacon 4), 1 polype pédiculé de 1 cm le long de la partie médiane de la petite courbure entre l'angulus et le pylore (flacon 2) et 1 polype de 5 à 7 mm au niveau de la paroi postérieure de la petite courbure entre l'angulus et le pylore (flacon 1) • oesogastroduodénoscopie du 28.05.2010 (Dr. X) : hernie hiatale non compliquée. 2 polypes gastriques • colonoscopie du 21.05.2010 : diverticules. Dolichocôlon Métastase pulmonaire d'un adénocarcinome du rectum au niveau du lobe inférieur droit avec atteinte ganglionnaire médiastinale antérieure et station 4 • PET-CT du 05.11.2018 : lésion hypermétabolique au niveau du lobe inférieur droit et hypercaptation au niveau d'un ganglion hilaire et médiastinal antérieur ipsilatéral • Status post-bronchoscopie EBUS le 23.11.2018 : médiastinale positive en 11R Métastases cérébrales symptomatiques dans un contexte de cancer du sein gauche avec : • 2x lésions frontales gauches • 1x lésion pariétale droite avec important oedème associé, expliquant la symptomatologie de l'hémisyndrome sensitif gauche transitoire Métatarsalgie de surcharge en regard des têtes métatarsiennes 2-3 à D, clinodactylie de D2 sur D1 pied D. Métatarsalgies droites d'origine indéterminée. Métatarsalgies en regard de la tête du 2ème métatarsien G. Suspicion névrome de Morton de l'espace 2-3 pied G. Status post cure d'orteils II et IV en marteau pied gauche le 17.8.2018. Status post cure du 2ème orteil en marteau à droite en 2013. Hallux valgus ddc asymptomatique. Métatarsalgies II à IV pied G Douleurs neuropathiques nerf tibial et peroneus communis du pied G. Récidive d'un syndrome de tunnel tarsien G. Syndrome du piriforme de la hanche droite. Syndrome fémoro-patellaire du genou droit. Fascéite plantaire du pied gauche. Status post cure de récidive d'un syndrome du tunnel tarsien à gauche le 7.2.2017. Météorisme abdominal avec douleurs crampiformes et nausées • connu depuis plusieurs années DD : aérophagie (anxiété, CPAP), subiléus Metformin dès le 12.01.2018 Suivi glycémique Enseignement infirmier diabétologique le 16.01.2019 Metformine en suspens, lactates augmentés Insulatard dès le 31.12.2018 Introduction de schéma de correction d'insuline rapide Consilium diabétologie : reprise Metformine et introduction Januvia le 04.01.2019 Metformine en suspens transitoirement pendant le séjour. Suivi des glycémies. Metformine 2x 500 mg dès le 11.11.2018 Suivi des glycémies capillaires Méthotrexate et tocilizumab en suspens depuis le 19.11.2018 Avis Dr. X, rhumatologue traitant : reprise possible par Methotrexate 15 mg, sans ajout du tocilizumab reprise du traitement si symptômes de PR reprennent Métoprolol Poursuite anticoagulation thérapeutique Métoprolol depuis le 28.01.2019 Digoxine le 28.01.2019 ETT le 28.01.2019 Métoprolol dès le 14.01.2019 TNT du 14.01.2019 au 14.01.2018 Inhibiteur de l'ECA dès le 14.01.2019 Heparine thérapeutique dès le 14.01.2019 Avis cardiologique et échocardiographie le 14.01.2019 Métoprolol et Inhibiteur de l'ECA dès le 14.01.2019 TNT le 14.01.2019 Héparine thérapeutique puis Eliquis 5 mg 2x/jour dès le 14.01.2019 Echocardiographie transthoracique le 14.01.2019 : FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Aspect de cardiomyopathie hypertensive avec une fonction systolique contractile segmentaire et globale normale. Oreillette gauche modérément dilatée. Sclérose aortique sans rétrécissement significatif et rétrécissement mitral lâche. Avis cardiologique (Dr. X) le 15.01.2019 Arrêt de l'Aspirine Cardio le 15.01.2019, à rediscuter selon résultats de l'ergométrie Ergométrie à organiser chez son cardiologue Dr. X dans 1 mois (026 663 90 20) Metoprolol IV puis per os Hydratation i.v. TSH dans la norme Introduction anticoagulation à J6 par Xarelto 20 mg Metoprolol 25mg per os aux urgences, puis 3x5mg iv Voir si connu chez médecin traitant (fermé le 16.01) Métoprolol 5 mg iv le 13.01.2019 Reprise du traitement bêta-bloquant habituel le 13.01.2019 Remplissage vasculaire Metronidazole ovule du 17.01.2019 au 18.01.2019 Metronidazole 500 mg per os 3x/j dès 16.12.2018 au 26.12 Isolement de contact métrorragie Métrorragie à 31 6/7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y 3G 0P de 26 ans Métrorragie et douleurs bas-ventre en début de grossesse Métrorragie et perte de liquide métrorragie /trouble de cycle Métrorragie Leucocyturie probablement d'origine gynécologique Labo: Leuco 5.7G/L (15 à Montreux le 17.05.2015), CRP 14 (dans la norme à Montreux le 17.05.2015) Sédiment urinaire: leucocytes 11-20/champ, Flore bactérienne ++ Métrorragies à J12 du cycle sur atrophie endométriale chez une patiente de 17 ans, nulligeste sous pilule Madinette. Métrorragies d'origine indéterminée à 30 4/7 semaines d'aménorrhée le 15.01.2019 chez Mme. Y 2G1P de 31 ans Métrorragies d'origine indéterminée chez une patiente de 35 ans 2G0P à 28 5/7 semaines d'aménorrhée le 01.01.2019 Métrorragies du 2ème trimestre. Métrorragies et dysménorrhée chez une patiente 3 gestes 2 pares de 38 ans Métrorragies post-ménopausiques avec hypertrophie endométriale, chez une patiente 2G 2P de 57 ans Métrorragies post-ménopausique chez une patiente 8 gestes 8 pares de 54 ans Mg 2 g iv KCl Ret 20 mmol po Att : • substitution orale/iv Mg 2g IV aux URG MGF MGF de type 1 MGUS avec ponction de moelle osseuse dans la norme, immunophénotypisation présence de clones plasmocytaires IgG Kappa (IgG 11.84 g/l, dans la norme, ß-2-microglobuline 3.1 mg/l, légèrement augmenté) Carcinome pulmonaire du lobe supérieur gauche pT1b pN0 (0/14) pL0 pV0 pPn1 G1 R1 stade IA2 • date du diagnostic : 27.06.2017 • histologie : adénocarcinome de type lépidique (80 %, acinaire 20 %) bien différencié avec infiltration de la plèvre viscérale (Pathologie Berne B2017.40931) • analyse immuno-histochimique : expression PD-L1 5 à 10 % des cellules cancéreuses, présence de cellules immunitaires • status post-segmentectomie I et II du lobe supérieur gauche et lymphadénectomie par thoracoscopie uniportale le 27.06.2017 (hôpital de l'Ile à Berne) • bilan d'extension : cf. (diagnostic principal) Hernie discale (1999) Micose au niveau des orteils du pied gauche. Micrclys Riopan gel et conseil concernant Algifor Movicol en systématique puis en réserve Consignes de reconsulter si persistance des maux de ventre ou réapparition de fortes douleurs Microbiologie du 09.01.19 Microbiologie • Hémoculture PAC positives le 15.01.2019 pour un Staph Epidermidis résistant • Hémoculture périphérique le 15.01.2019 : négative à 5 jours • Hémoculture PAC positives le 18.01.2019 pour un cocci gram positif ETT le 25.01.2019 : FEVG à 55 %, masse de 15x20 mm dans VG : thrombus vs trabeculations calcifiés US le 25.01.2019 : collection hétérogène, comprenant de multiples septations, mesurant 8 x 20 mm, située en pré-pectoral gauche. US parties molles pré-pectoral gauche du 28.01.2019 : on retrouve la dermohypermite en avant du muscle pectoral gauche associée à une collection phlegmoneuse mesurant 23 x 7 mm globalement inchangée. Mise en évidence de multiples septations au sein de cette collection. En raison de son caractère, elle est difficilement drainable.Microbiologie (Inselspital Bern) : • 19.01.2019 : hémocultures négatives • 19.01.2019 : frottis pour VRS, incl. PCR mycoplasme : nég Ciprofloxacine, Vancomycine le 19.01.2019 : Clindamycine du 19.01 au 24.01.2019 Cefepime du 20.01 au 24.01.19 Meronem du 20.01 au 23.01.2019 Ceftriaxone du 23.01 au 29.01.2019 Physiothérapie et antalgie Micro-calculs rénaux à la jonction urétéro-vésicale gauche avec dilatation pyélocalicielle d'environ 1 cm en octobre 2011. Cholécystectomie en 2008. Probable reflux gastro-oesophagien. Microcéphalie d'origine indéterminée (constitutionnelle, syndromique, neurologique) Microclys : émission d'une minime quantité de selles. Proposition de faire un vrai lavement au frekkaclys versus traitement de désimpaction à domicile : mère préfère tester traitement de désimpaction. Microdiscectomie L5-S1 en 2006 (Dr. X) Dermo-hypodermite à S. aureus multisensible du membre inférieur gauche le 02.03.2016, avec : • abcès sous-cutané (6 x 3 x 1 cm) visualisé le 07.03.2016. Insuffisance rénale aiguë AKIN I prérénale le 03.03.2016, avec : • créatinine : 128 mcmol/l • eGFR (MDRD) : 81 ml/min. Hypokaliémie sévère à 2.9 mmol/l le 04.03.2016. Microhématurie à l'entrée Microhématurie d'origine indéterminée. Microhématurie d'origine indéterminée (pas de macrohématurie) • ménopause depuis 2012 Microlax 5 ml le 07.01.2019 Micronodules aspécifiques diffus aux 2 bases pulmonaires de découverte fortuite au CT du 03.01.2019. Midazolam Midazolam iv le 14.01, le 15.01. Stop Haldol, ad Nozinan iv et Lorazepam i.v. Midazolam 1.5 g iv en pré-hospitalier puis 0.5 mg iv aux urgences. Mifegyne le 23.01.2019 Provocation de l'expulsion par Cytotec 400 mcg /4h dès le 25.01.2019 Curetage évacuateur sous péridurale approfondie pour rétention placentaire partielle le 26.01.2019 Zinacef 1.5 g Syntocinon 5 U puis 10 U sur 6 h Migraine Migraine Migraine Migraine Migraine. Migraine. Migraine. Migraine. Migraine. Migraine. Migraine accompagnée. Tachycardie sinusale, sous Bilol. Dépression, sous Cymbalta. Tabagisme actif. Migraine avec aura Migraine avec aura avec hémisyndrome sensible côté gauche le 10.03.2017. Fracture du sésamoïde médial du pied gauche traitée conservativement en 2012. Douleur musculo-squelettique basi-thoracique droite le 18.05.2017. Angine à streptocoques le 29.12.2018. Dysélectrolytémie dans le contexte d'une dysphagie sur angine à streptocoques. Migraine avec aura confusiogène et troubles phasiques DD : épilepsie (faible suspicion). Migraine avec aura inaugural le 25.01.2019. Migraine avec aura le 31.01.2019. Migraine avec aura ophtalmique. Migraine avec aura typique le 26.12.2018 : À l'anamnèse : scotome scintillant, nausée, céphalée unilatérale pulsatile à droite, photophobie et phonophobie, anamnèse de l'apparition de ses symptômes difficiles temporellement. Migraine chronique Hypertension artérielle Lombalgies chroniques Migraine d'origine médicamenteuse. Migraine Fracture en motte de beurre du radius distal droit Gastroscopie normale et colonoscopie en février 2015 normales Toux chronique avec hémoptysie d'origine indéterminée Migraine le 12.01.2019. Migraine. • Migraine le 25.11.2018 : • CT cérébral 25.11.2018 (Dr. X) : pas de thrombose du sinus. Pas de métastase ou masse. Cancer du sein à droite avec : • Traitement chirurgical. • Traitement par radiothérapie. • Traitement par Tamoxifène (actuellement). Migraine ophtalmique gauche inaugurale. Migraine précédée par une aura ophtalmique. Trouble autistique. Troubles visuels centraux sévères. Malformation cérébrale à type d'hétérotopie péri-ventriculaire postérieure. Migraine sans aura Migraine sans aura Migraine sans aura le 13.01.2019. Migraine sans aura le 18.01.2018 DD : hypertension intracrânienne idiopathique. Migraine sous Imigrantherapie Gastroentérite DD Cycling vomiting syndrom sur consommation chronique de cannabis Migraine temporale gauche chronique sans aura depuis l'âge de 16 ans, suivie au CHUV (Dr. X) : • Status post-céphalées sur abus médicamenteux avec sevrage en automne 2016. • IRM cérébrale (01.09.2016) : légère asymétrie mésio-temporale, sinusite maxillaire et ethmoïdale. • Status post-crise migraineuse temporale gauche sans aura le 31.08.2016. • État de mal migraineux sans aura le 14.03.2017. • Sous traitement de Saroten d'office et Maxalt, Tramal et Dafalgan en réserve. • Le patient a des infiltrations de corticoïdes dont la dernière le 04.05.2017 au CHUV. • Une décompression nerveuse a été réalisée au CHUV en mars 2018. Exacerbation de migraine temporale gauche chronique le 14.08.2017, 21.09.2017, 02.10.2017, 14.03.2018, 24.05.2018, 14.07.2018, 06.09.2018, 15.09.2018, 14.11.2018, 25.11.2018, 31.12.2018. Epigastralgies chroniques. État dépressif. Migraine. Asthme d'effort (traitement occasionnel). Migraine Endométriose. Migraine. Foremen ovale perméable. Insuffisance mitrale (échocardiographie le 19.01.2011). Hypertension artérielle. Hypercholestérolemie. Migraine Hépatomégalie idiopathique connue Trouble anxieux et dépressif mixte F41.2 et trouble de la personnalité de type borderline, cyclothymie et histrionique • s/p multiples séjours Marsens en 2018 et traitement d'électrochoc en 2017 • s/p 5 tentamen (dernier en 2010) Fibromyalgie Épilepsie ttt (suspicion EEG post-choc électrique en 2017) Migraine Hépatomégalie idiopathique connue Trouble anxieux et dépressif mixte F41.2 et trouble de la personnalité de type borderline, cyclothymie et histrionique • s/p multiples séjours Marsens en 2018 et traitement d'électrochoc en 2017 • s/p 5 tentamen (dernier en 2010) Fibromyalgie Épilepsie ttt (suspicion EEG post-choc électrique en 2017) Hypothyroïdie traitée Migraine. Névralgie d'Arnold à droite. Migraine. Reflux gastro-oesophagien. Migraines Migraines Migraines Migraines. Migraines. Migraines dans le contexte de syndrome grippal. Migraines en Cluster. Migraines sans aura. • avec nausées et vertiges concomitants. Migraines sans aura le 17.01.2019. Migraines traitées par Indéral. Migraines traitées par Saroten. Migraines Dépression Obésité (BMI 35 kg/m2) Insuffisance rénale chronique Hypothyroïdie substituée (status post-thyroïdectomie) Migraines Dépression Obésité (BMI 35 kg/m2) Insuffisance rénale chronique Hypothyroïdie substituée (status post-thyroïdectomie) Migraines. Douleurs lombaires chroniques. Migraines. État dépressif majeur avec symptôme psychotique, hospitalisation à Marsens. Migraines. Lombalgies chroniques. Migraines Restless legs syndrome Migraines. SpA. Épilepsie sous Lamotril 50 mg 2-1-1. Migraines. Suspicion d'insuffisance veineuse avec probable lymphoedème congénital symptomatique. • cure de Daflon pendant 3 mois. Migraines. Valvulopathie X. Migraine. Vertiges orthostatiques. Chronische Benzodiazepineeinnahme (Dalmadorm) Migration crâniale de la métaglène de l'épaule gauche sur status post mise en place d'une prothèse inversée de l'épaule gauche le 13.02.2018. Migration crâniale de la métaglène de l'épaule gauche sur status post-mise en place d'une prothèse inversée de l'épaule gauche le 13.02.2018. Mikroskopische Hämaturie • Urinstatus vom 09.01.2019 : Erythrozyten 6-10/Feld, keine Hinweise für glomeruläre Erythrozyten Mild cognitive Impairment • MMS: 25/30, Clock 3/6, GDS: 9/15 (05.05.2017) Mild cognitive impairment • MMS 25/30 en 07/2018 Minerve. Anamnèse et status. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie de l'épaule gauche : décrite ci-dessous. CT-scan cérébro-cervical : décrit ci-dessous. Retour à domicile + contrôle chez le médecin traitant. Arrêt de travail. Mini-craniotomie à Berne le 18.01.2019 CT cérébral à Berne le 18.01.2019 CT cérébral de contrôle le 21.01 et le 25.01.2019 Prochain CT de contrôle à prévoir à un mois (25.02.2019) Sonde nasogastrique depuis le 18.01.2019 Sonde vésicale depuis le 18.01.2019 Mini-Schellong : négatif Traitement antalgique. Traitement anti-nauséeux. Après traitement, les symptômes s'amendent. Mme. Y est au courant qu'elle doit reconsulter si persistance ou péjoration de la symptomatologie. Mise à jeun Pose de sonde naso-gastrique Pose de voie veineuse périphérique Perfusion d'entretien Mise à jeûn Sonde rectale Laxatifs per os Mise au courant du SEJ; personne n'ayant répondu au téléphone, le SEJ sera recontacté le 23.01.2019 par Dr. X. Mise au courant de Dr. X, notre responsable pour les suspicions de maltraitance. Mise au repos. Traitement antalgique et anti-inflammatoire. Mise de ialugen et adaptic, contrôle à 48h : réfection du pansement et débridement des peaux restantes si besoin. Mise en danger d'autrui. Mise en pause de la thérapie par Actemra Prochain rendez-vous chez le Dr. X le 07.02.2019 à 16h30 Mise en pause de l'Aldactone et arrêt substitution par voie orale Resonium Hydratation parentérale Mise en pause des diurétiques (Torem, Coversum, Aldactone) Hydratation intraveineuse par NaCl 0.9% Mise en pause des médicaments néphrotoxiques Suivi biologique Torasémide en pause le 17.12.2018 Avis néphrologue (Dr. X) le 17.12.2018 Mise en pause du Kentera et du Zolpidem Radio du thorax 10.01.2019 Correction des facteurs déclenchants Physiothérapie Suivi nutritionnel Mise en pause du Xarelto le 12.12.2018 (ponction d'ascite prévue) et les 18-19.12.2018 (pose de PAC prévue) Actuellement sous Clexane 60 mg 2x/j Mise en pause Irbesartan du 31.12.2018 au 01.01.2019 Résonium du 31.12 au 01.01.2019 Protocole Insuline-Glucose le 31.12.2018 Mise en pause Irbesartan du 31.12.2018 au 01.01.2019 Résonium du 31.12 au 01.01.2019 Protocole Insuline-Glucose le 31.12.2018 Résolution biologique Mise en place d'Aquacel Mise en place de l'attelle articulée avec la flexion qui est libre et la prosupination qui est bloquée. Le patient ne reçoit pas de physiothérapie spécifique, il devra porter son attelle 24/24h et il peut mobiliser librement son coude en fonction des amplitudes de son attelle. Nous le reverrons le 28.02.2019 pour un contrôle radio-clinique pour évaluer la consolidation osseuse et la stabilité. Mise en place d'un BAB circulaire pour 10 jours puis avec une attelle articulée pour 4 semaines. Prochain contrôle en ortho-urgences dans 10 jours (merci de la convoquer). Mise en place d'un clou PFNA 240 mm et de 2 cerclages Doll-Mice 2.0mm, le 25.12.2018, suite à une fracture pertrochantérienne de la hanche droite type AO 31A1.2 le 23.12.2018. Mise en place d'un gantelet fendu avec contrôle en ortho-urgence dans 1 semaine Antalgie de premier pallier Mise en place d'un plâtre AB circularisé ce jour, qui sera à porter pour les 2 prochaines semaines. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre dans 2 semaines. Mise en place d'un plâtre antébrachial fendu, pouce libre. Nous expliquons à la patiente la nécessité de se représenter aux urgences en cas d'apparition de douleurs sous le plâtre. Contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Mise en place d'un point en x en péropératoire. Mise en place d'un protocole d'antalgie de rattrapage par Kétamine. Mise en place d'un traitement complet de l'insuffisance cardiaque et échographie à une semaine. Discuter anticoagulation thérapeutique selon évolution. CT thoracique pour suivre évolution et déterminer durée de l'antibiothérapie +/- investigations supplémentaires. Pister Quantiféron et CD4. Doser Ferritine. Avis gastro-entérologique selon évolution. Mise en place d'un traitement conservateur avec physiothérapie et antalgie. Nous lui prescrivons un arrêt de travail à 100% pour les 2 prochaines semaines. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Mise en place d'une intra-osseuse. Manoeuvre de réanimation sur site. Mise en place d'une PICC-Line Pro-PICC CT 4F 38 cm dans la veine basilique D le 17.01.2019 pour l'antibiothérapie i.v. Mise en place d'une sonde urinaire le 22.12.2018. Mise en suspend anticoagulation Dosage anti-corps anti-PF4 le 17.01.2019 (à pister) Mise en suspend de l'anticoagulation pour l'opération Reprise prophylactique dès le 30.01.2019. Thérapeutique dès le __ Mise en suspend de l'Avalox car trouble de la déglutition Antipyrétiques pour le confort. Mise en suspens de la Dépakine, Haldol et Lorazépam Reprise du traitement habituel le 27.12.2018 après OGD. Substitution en NaCl caps. Restriction hydrique du 25.12.18 au 27.12. Mise en suspens de la morphine 0.2 mg de Naloxone le 10.12.2018 CT cérébral natif, le 11.12.2018 : pas de saignement, pas de signe d'AVC aigu. Mise en suspens de la nutrition parentérale jusqu'au 27.12.2018 Substitution électrolytes intraveineuse sous surveillance aux Soins intensifs du 26.12 au 27.12.2018. Mise en suspens de l'anticoagulation le 04.01.2019 Evaluer l'indication à une fermeture auriculaire à 6 semaines. Mise en suspens de l'Arcoxia et du Lisinopril Suivi biologique Mise en suspens des b-bloqueurs ECG du 25.12.18 : Rythme sinusal régulier, FC 60/min, QRS fins, axe gauche, bloc BAV de 1er degré avec PR 214 ms. Laboratoire du 25.12.18 : Trois trains de troponines avec cinétique descendante. ETT (28.12.18) : FeVG 65%. Holter (28.12.18) Schellong : examen impossible au vu des troubles cognitifs. Mise en suspens des benzodiazépines, adaptation du traitement psychotrope. Mise en suspens des médications néphrotoxiques Hydratation IV dès le 27.12.2018 Héparine prophylactique dès 29.12.2018. Spot urinaire le 27.12.2018 Sédiment urinaire le 27.12.2018 Suivi clinique et biologique. Mise en suspens des traitements anti-hypertenseurs Reprise des traitements progressives à évaluer Cible : éviter les hypers et hypotensions. Mise en suspens du Lixiana avec correction des valeurs Anticoagulation par Eliquis 2.5 mg 2X/J dès le 25.01.2019. Mise en suspens du Marcoumar dans le contexte de macrohématurie Reprise d'une anticoagulation prophylactique par Clexane dès le 14.01.2019. Le Marcoumar sera ré-introduit en ambulatoire dans le suivi néphrologique. Mise en suspens du sartan et de l'HCT Hydratation. Mise en suspens du sartan et de l'HCT Introduction de l'Amlodipine le 27.01.2019. Mise en suspens du Sintrom jusqu'au 07.01.2019. Contrôle de l'INR chez le médecin traitant le 14.01.2019. Mise en suspens du Torasémide, de l'Hydrochlorothiazide et du Candesartan jusqu'au 19.12.2018.Hydratation iv. • Mise en suspens du traitement de Belok le 14.01.2019 • Mise en suspens du traitement de Duloxétine, Sirdalud et Lyrica Surveillance ECG quotidienne. • Mise en suspens du traitement de metformine du 07.01 au 14.01.2019 • Mise en suspens du traitement de Simponi, en accord avec le Dr. X. • Mise en suspens du traitement habituel (Diamicron, Metformine, Januvia) Insulinothérapie en intraveineux continu du 19.11.2018 au 20.11.2018 puis relais en sous-cutané dès le 20.11.2018 Réadaptation du traitement et mise en place d'un schéma insulinique sous-cutané en accord avec l'équipe de diabétologie de Fribourg par le Dr. X le 10.12.2018 Adaptation du traitement avec reprise des anti-diabétiques oraux. • Mise en suspens du traitement par Duloxetine, Sirdalud et Lyrica. Surveillance ECG quotidienne. • Mise en suspens du Votum plus Restriction hydrique (à jeûn et uniquement 500/24h). • Mise en suspens du Xarelto le 26.08.2018 Reprise Héparine thérapeutique dès le 11.09.2018, en accord avec Dr. X neurochirurgie. • Mise en suspens Esidrex. • Mise en suspens portion diurétique du Votum plus Spot urinaire Restriction hydrique (à jeûn et uniquement 500/24h) Suivi biologique. • Mise en suspens puis diminution du Bilol. • Mise en suspens Sartan et Thiazide. • Mise en suspens Sintrom. • Mise en suspens temporaire des néphrotoxiques. • Mise en suspens ttt vu profil tensionnel bas, à ré-évaluer. • Mise en suspense Sintrom. • Mise en travail. • Mise en travail. • Mise en travail avec métrorragie. • Mise en travail spontanée. • Mise en travail spontanée. • Mise en travail spontanée. • Mise en travail spontanée. • Mise en travail spontanée. • Mise en travail spontanée. • Mise en travail spontanée. • Mise en travail spontanée. • Mise en travail spontanée. • Mise en travail spontanée. • Mise en travail spontanée. • Mise en travail spontanée. Mise en travail spontanée avec rupture prématurée des membranes le 26.01.2019 Cure de maturation pulmonaire le 27.01.2019 Échec de Tocolyse par Tractocile Antalgie par Kalinox Suites de couches. • Mise en travail spontanée sur présentation podalique. • Mise en travail spontanée Antalgie par péridurale Suites de couches. • Mise sous chauffeuse. • Moyen degré de dépression. • Trouble cognitif de degré moyen DD: étiologie mixte. - IRM cérébral (07.12.18): Hippocampe-Atrophie sur le côté droit Grade 2 et le côté gauche Grade 3 selon la classification de Scheltens. Atrophie cortico-sous-corticale dans le domaine fronto-pariétal et leucopathie vasculaire Fasekas 2. • Déficit en vitamine D modéré de 47 nmol/L au 02.11.2018. • Syndrome d'apnée obstructive du sommeil de degré moyen ED 09/2015. • Mr. Y nous est transféré de l'HFR site Fribourg pour une réhabilitation dans le cadre d'un déconditionnement post-bactériémie à S. Aureus. À l'admission, le patient décrit une dyspnée de stade III NYHA sans orthopnée associée. Au statut, l'auscultation cardiaque est pathologique avec l'apparition d'une B3 témoignant d'un rythme de galop. Nous retrouvons par ailleurs des râles crépitants bilatéraux déjà connus. Le reste de l'examen est dans les normes. Mr. Y vit dans une maison avec sa femme. Il a 4 marches devant la maison, 15 marches dans la maison, une pièce au RDC aménagée pour y dormir. Il est indépendant au niveau des AIVQ et des AVQ. À l'entrée, la mobilisation est légèrement diminuée avec un risque de chute discrètement augmenté. Les transferts sont réalisés de façon indépendante. La marche (avec une canne) est réalisée avec l'intervention importante des physiothérapeutes. La montée de marche n'est pas testée. Le patient bénéficie d'une physio- et ergothérapie intensive avec entraînement de l'équilibre, renforcement musculaire ainsi qu'un entraînement à l'endurance. Au changement de cas, les transferts sont réalisés de façon indépendante, la marche est réalisée sous supervision avec une montée des marches sous guidance. Problème secondaire 1) Nous poursuivons son antibiothérapie par Floxapen IV jusqu'au 5 janvier 2019 avec une bonne réponse clinique et biologique. Problème secondaire 2 et 3) Le patient reste compensé sur le plan cardiaque et rénal. La clairance à la sortie est de 33ml/min selon CKD-EPI. Problème secondaire 4) L'hémoglobine reste stable durant toute l'hospitalisation. Le bilan d'anémie ne montre pas de carence. Problème secondaire 5) Le MMSE témoigne d'une possible démence débutante. Un bilan neurocognitif est à réévaluer selon l'évolution clinique. Complication 1) Le 02.01.2019 le patient se plaint de douleur au niveau de la cheville droite, l'hétéroanamnèse renseigne sur de possibles crises de goutte, nous dosons l'acide urique qui est légèrement au-dessus du seuil. La radiographie n'est pas concluante. Son traitement habituel de Prednisone est augmenté à 20mg pendant 3 jours avec bonne évolution clinique. Complication 2) En raison de douleurs épigastriques aiguës, nous transférons Mr. Y le 08.01.2019 dans notre service de gériatrie aiguë pour la suite de la prise en charge. • Mme. Y, 91 ans, a été admise aux soins intensifs pour une tachycardie sinusale et une oligurie post-opératoire le 13.01.2019. La patiente est hospitalisée en chirurgie pour un adénocarcinome colorectal avec un iléus ayant nécessité une laparotomie exploratrice et une iléostomie double canon le 10.01.2019. En post-opératoire, la patiente présente une tachycardie sinusale avec une oligurie persistante malgré le remplissage vasculaire, raison pour laquelle elle a été transférée aux soins intensifs. La tachycardie est probablement en lien avec une hypovolémie post-opératoire et post-iléus, ainsi que dans un contexte de l'arrêt du traitement habituel de bêta-bloquant. Suite à un remplissage vasculaire et à l'administration de métoprolol intraveineux, la fréquence cardiaque s'est normalisée. Elle est restée par la suite normocarde sous métoprolol per os. L'oligurie a persisté malgré le remplissage. La diurèse a répondu à une dose unique de Furosémide intraveineux. Il est proposé de reprendre le traitement diurétique habituel dès le 14.01.2019. La patiente a été transférée le 13.01.2019 dans le service de chirurgie. • Mme. Y, 86 ans, a été hospitalisée aux soins intensifs le 11.01.2019 pour une surveillance neurologique post-crises d'épilepsie tonico-cloniques inaugurales probablement précipitées par l'administration de neuroleptiques dans un contexte de démence, avec troubles de l'état de conscience dans le contexte d'un état post-critique et sur administration de benzodiazépines. La patiente était hospitalisée à l'HFR Tavel depuis le 29.01.2019 pour des hallucinations visuelles présentes depuis 2 mois dans le contexte d'une probable démence et d'une infection urinaire basse. Dans ce contexte, un traitement neuroleptique a été administré et, les soins à domicile étant devenus impossibles, un placement était prévu avec une place disponible dès le 16.01.2019. Le 11.01.2019, elle nous est transférée pour des crises tonico-cloniques inaugurales traitées par Levetiracetam et benzodiazépines. L'imagerie cérébrale effectuée en urgence ne montre pas l'origine de l'épilepsie que nous mettons dans le contexte de l'atrophie cérébrale et de l'administration des neuroleptiques. L'évolution est lentement favorable avec une normalisation du Glasgow dès le 13.01.2019. Deux nouveaux épisodes de crises cloniques partielles limitées au niveau du membre supérieur droit sont constatés le 12.01.2019, sans récidive par la suite. Après un avis neurologique auprès du Dr. X, neurologue, et après discussion avec la famille, nous décidons de poursuivre le traitement antiépileptique par Lévétiracétam, sans investigation supplémentaire en l'absence de récidive des symptômes. Nous vous proposons d'éviter l'administration d'Halopéridol et de réévaluer la médication psychotrope avec les psychiatres.Une plaie profonde avec perte de substance et contact osseux est objectivée au niveau de la face antérieure du 1/3 inférieur de la jambe gauche, possiblement post-traumatique durant la crise épileptique initiale, pour laquelle nous demandons un avis orthopédique. Des points de rapprochement sont mis en place pour favoriser la cicatrisation et un pansement quotidien avec suivi orthopédique et antibiothérapie prophylactique par Clindamycine sont proposés. La radiographie ne montre pas de lésion osseuse. Le traitement habituel par hydrochlorothiazide est mis en suspens et un traitement diurétique de l'anse est initié en raison d'une diminution de la diurèse. Nous vous laissons le soin de réévaluer l'indication au traitement diurétique selon l'état hydro-urinaire et le profil tensionnel. Mme. Y présente une arthrose sévère, actuellement peu symptomatique. Elle souffre plutôt actuellement d'une boursite sous-acromiale pour laquelle je ferai un traitement physiothérapeutique avec un programme San-Antonio. La perte de mobilité est plutôt liée à l'importante collerette ostéophytaire et vouloir augmenter la mobilité en physiothérapie conduirait inévitablement à des douleurs. Tonification de la coiffe des rotateurs et centrage de la tête. Je réévalue la patiente dans 2 mois. Si la situation devait ne pas évoluer, on pourrait alors envisager une infiltration sous-acromiale avec des corticoïdes malgré la présence d'un diabète type II où il faudrait surveiller les glycémies de plus près. Elle présente également un doigt à ressaut du côté droit sur le 4ème doigt, actuellement peu symptomatique pour lequel je propose un traitement topique avec anti-inflammatoire. La patiente reverra son médecin traitant le Dr. X la semaine prochaine. Je lui propose de discuter de la nécessité d'un traitement anti-inflammatoire tout en sachant qu'elle a eu des œdèmes après la prise de Brufen. On pourrait envisager un traitement par Novalgine qui pourrait permettre d'éviter une infiltration sous-acromiale. Le traitement terminal pour cette omarthrose reste la mise en place d'une prothèse totale d'épaule mais les symptômes actuels ne suffisent pas aux yeux de la patiente pour une telle prise en charge. Mme. Y se présente aux urgences le 10.01.19 en ambulance en raison d'une acutisation de ses douleurs du flanc gauche évoluant depuis plusieurs mois, actuellement plus sous traitement opiacés. Elle décrit des douleurs chroniques d'intensité légère du flanc et fosse iliaque gauche avec par moment une lancée douloureuse à type de décharge électrique irradiante vers le pubis et la face antérieure et latérale de la cuisse gauche. Elle décrit également une hyperalgésie du flanc gauche. Il n'y a pas de lien avec la mobilisation. Au statut neurologique et ostéo-articulaire, on retrouve une allodynie multi-radiculaire prédominante sur le flanc et la fosse iliaque gauche. Le laboratoire montre des troubles électrolytiques, possiblement secondaires aux laxatifs. Un ASP est sans particularité. À noter qu'un CT abdominal avait été réalisé quelques jours au préalable à Riaz qui étant sans particularité. Une origine abdominale aiguë aux douleurs n'est donc pas retenue. La patiente est alors hospitalisée en Frailty Care pour investigations et suite de prise en charge. Au vu de l'allure neuropathique des douleurs, une antalgie à base de lyrica, amitriptyline, rivotril et Neurodol patch est progressivement introduite en plus de l'antalgie standard avec dafalgan et oxycontin, permettant un bon contrôle antalgique sur les douleurs tant diurnes que nocturnes. Nous effectuons une IRM cérébrale qui retrouve la lésion séquellaire frontale droite connue, sans lésions nouvelles pouvant expliquer une cause centrale aux douleurs. À noter l'absence de signes d'arachnoïdite. Nous complétons les investigations par une IRM de la colonne totale en ambulatoire pour exclure une arachnoïdite au niveau médullaire. Au vu du contrôle satisfaisant des douleurs avec le traitement instauré, la patiente rentre à domicile le 25.01.19. Elle sera revue au centre de la douleur à Bulle par le Dr. X le 25.02.19 à 14h pour suivi des douleurs, adaptation des traitements et évaluation de l'indication à la mise en place d'un neurostimulateur. Mme. Y, 71 ans, a été hospitalisée pour des vertiges dans le contexte d'une masse intra-cérébrale occipitale gauche d'origine indéterminée. La patiente est connue pour un syndrome métabolique, une insuffisance rénale chronique, et une BPCO de stade IV. Elle a présenté des vertiges et troubles de l'équilibre en aggravation depuis 2 mois, ainsi qu'une hypoacousie rapidement progressive et un tinnitus de l'oreille gauche. Elle a été adressée par son néphrologue, Dr. X, pour une suspicion d'AVC ischémique subaigu. Après avis neurologique, l'antiagrégation plaquettaire a été modifiée en faveur de clopidogrel. Cependant, l'IRM cérébrale réalisée en ambulatoire a mis en évidence une lésion occipitale gauche, qui a été finalement interprétée comme une probable masse tumorale, soit primaire, soit secondaire. Sur avis des radiologues, nous vous proposons de compléter les images par des séquences injectées afin de mieux caractériser cette lésion, si la fonction rénale le permet. En cas de métastase suspectée, un bilan d'extension devra être envisagé. Nous proposons d'effectuer un examen ORL pour les vertiges et un examen neurosonologique en présence de plusieurs plaques au niveau des vaisseaux pré-cérébraux. Le diabète sucré insulino-requérant étant déséquilibré, un avis auprès des collègues diabétologues a été demandé. Une insuffisance respiratoire globale dans le cadre de la BPCO sévère nécessite la poursuite de physiothérapie respiratoire et une ventilation non invasive au besoin. Mme. Y, une patiente de 77 ans, est transférée depuis les Urgences de Fribourg le 22.01.2019 suite à une anémie microcytaire hypochrome à 42 g/l objectivée par le médecin traitant suite à une persistance des symptômes d'asthénie et d'anorexie malgré le traitement par uvamine de son infection urinaire simple. Elle reçoit 2 culôts érythrocytaires le 22.01.2019 et un 3e le 23.01.2019. Suite à une discussion avec la famille, il est décidé de ne pas entreprendre d'investigations concernant la cause de cette perte d'hémoglobine. Nous ne réintroduisons pas le Sintrom en raison d'une anémie probablement sur saignement digestif et nous laissons revoir l'indication du Sintrom avec le médecin traitant. Suite à la discussion avec les filles et en raison de l'amélioration clinique de Mme. Y, elle peut rentrer à l'EMS à la Villa Beausite Fribourg le 24.01.2019. Mme. Y nous est adressée en électif par son cardiologue traitant pour réalisation d'une coronarographie. Celle-ci se déroule sans complication, le point de ponction radial droit reste calme. La patiente sera revue en ambulatoire par son cardiologue traitant pour suite de prise en charge. Au vu d'une insuffisance rénale chronique, une hyperhydratation est mise en place pré et post coronarographie. Le contrôle de la créatinine réalisé 40h post coronarographie revient légèrement à la hausse par rapport aux valeurs habituelles (180 mmol/l, contre 150 mmol/l habituellement). Idéalement, un contrôle biologique de la créatinine devrait être réalisé à 48-72h post coronarographie, au moment où la néphrotoxicité en lien avec le produit de contraste se manifeste, mais Mme. Y refuse de poursuivre l'hospitalisation pour des raisons organisationnelles. Mme. Y est informée des risques, elle s'engage à bien s'hydrater au domicile (3l/j) et prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour organiser un contrôle biologique le 11.01.19. Mme. Y est informée qu'une ré-hospitalisation est possible le 11.01.18 selon l'évolution de la fonction rénale.Mme. De Oliveira Barros est hospitalisée de manière élective pour effectuer une 2ème injection de son traitement anti-CD20 sous surveillance, qu'elle a bien supporté le 5.12.2018. Concernant la thrombopénie, la patiente bénéficie actuellement d'une dose de 50 mg par jour et sera recontrôlée chez le Dr. X dans 1 semaine en raison d'une légère baisse des thrombocytes depuis le dernier contrôle et durant l'hospitalisation. Le traitement par Ocrevus s'est déroulé sans complication le 03.01.2019. La patiente n'a en effet présenté aucun symptôme ni signe allergique durant la perfusion. Concernant le risque infectieux lié au traitement de Prednisone et à l'Ocrevus, un vaccin de la grippe serait indiqué, mais il n'est pas réalisé étant donné sa probable inefficacité au vu de la récente perfusion d'anti-CD20. Le traitement par Bactrim est poursuivi. Le traitement de la tuberculose latente est terminé dans 4 jours. Mme. Echenard-Séchaud, 66 ans, a présenté le 23.12.2018, après une semaine de douleurs thoraciques intermittentes à l'effort, un STEMI antérieur sur une occlusion de l'artère interventriculaire antérieure proximale, qui a été traitée à l'Inselspital à Berne par l'implantation de 1 stent actif. Suite à cette intervention, elle a été transférée aux soins intensifs de l'HFR Fribourg le même jour, puis dans le service de médecine interne le 25.12.2018. Le 27.12.2018, une 2ème coronarographie a été réalisée en électif pour le traitement des sténoses de 75% de l'artère circonflexe et de la coronaire droite par l'implantation respectivement de 1 stent actif et 2 stents actifs. Durant la procédure, elle a signalé un scotome scintillant unilatéral droit et extrême gauche qui s'est résolu spontanément. L'IRM cérébrale a identifié de multiples lésions ischémiques ponctiformes (cérébelleux droit, occipital droit et frontal droit). Aucun déficit neurologique n'a été constaté dès l'admission (NIHSS 0). Une anticoagulation par héparine a été débutée, puis au vu de l'absence de thrombus détecté à l'ETT, nous pouvons la stopper. Un ultrason précérébral ne montre pas de sténose significative. La cause de cet AVC reste indéterminée, laissant supposer une embolisation sur la coronarographie. Une amélioration de la fraction d'éjection a été observée après 5 jours, passant de 35% à 48%. La double antiagrégation sera maintenue pour 12 mois avec l'aspirine à vie. Une demande en réhabilitation cardio-vasculaire en ambulatoire à Billens est effectuée. La patiente sera convoquée par la suite, elle rentre à domicile dans l'intervalle. La patiente vous consultera dans 1 semaine et sa cardiologue, Dr. X, dans 1 mois. Une ergométrie devra être agendée à 1 an. Le bilan lipidique montre une hypercholestérolémie légère. Vu la coronaropathie et un dosage de la lipoprotéine (a) élevé à 107 nmol/l, un traitement par statine est débuté. Mme. Efremova est une patiente de 47 ans, connue pour un antécédent d'embolie pulmonaire et de thrombose profonde, qui est transférée de Macédoine après la pose de 4 stents sur un STEMI de l'artère coronaire gauche. La patiente aurait ressenti des douleurs thoraciques intenses et aurait bénéficié d'une coronarographie d'urgence après transfert en ambulance. Une double anti-agrégation a été débutée par Brilique. Une ETT en Macédoine montrait une FEVG à 35%, confirmée ici. De plus, une anticoagulation thérapeutique par Clexane avec relais au Xarelto est initiée au vu d'un thrombus intraventriculaire sur hypokinésie modérée de la paroi latéro-apicale. Le Brilique est remplacé par du Plavix au vu de la nature de l'ischémie par dissection. La médication par bêtabloquant sera à augmenter progressivement, ainsi que le traitement antihypertenseur par IEC, selon la clinique. Un minime épanchement péricardique sans répercussion hémodynamique est visualisé à l'ETT et montre une régression le 03.01.2019. Mme. Efremova peut être transférée le 07.01.2019 en réadaptation cardio-vasculaire à Billens. Mme. Fellay, connue pour un myélome multiple, est hospitalisée en électif pour ponction biopsie d'un nodule sous-cutané de la paroi abdominale. La ponction se déroule sans complication immédiate, la patiente ne présente pas de douleur post geste. Mme. Fellay sera revue par son oncologue traitant à une semaine pour le résultat de la biopsie. Mme. Ferrari, connue pour un état dépressif et un antécédent d'hématome sous-dural fronto-pariétal droit d'origine traumatique en 2017, se présente aux urgences en raison de douleurs invalidantes de l'épaule droite évoluant depuis plusieurs mois. Elle ne présente pas de douleur au repos ni à la mobilisation de l'épaule mais uniquement lorsqu'elle porte une charge. Mme. Ferrari dit également présenter depuis 2017 un manque de force du membre inférieur et du membre supérieur gauche avec une symptomatologie plus importante au membre supérieur. Depuis quelques mois, la patiente n'utilise plus son bras gauche, sans pouvoir expliquer pourquoi, ce qui rend son quotidien difficile. Nous mettons en évidence un hémisyndrome moteur gauche léger probablement sur séquelle de l'hématome sous-dural fronto-pariétal droit de 2017. Le CT cérébral du 22.01.19 ne montre pas de lésion nouvelle pouvant expliquer la symptomatologie. Mme. Ferrari présente surtout une héminégligence motrice du membre supérieur gauche modéré associée à une spasticité légère pour laquelle des séances de physiothérapie et d'ergothérapie sont réalisées avec bon effet. Les séances d'ergothérapie seront poursuivies au domicile, une visite et une adaptation du domicile seront également prévues. Concernant les douleurs de l'épaule droite, nous diagnostiquons une décompensation arthrosique dans le contexte d'une utilisation compensatrice du membre supérieur droit (en raison de l'héminégligence motrice du membre supérieur gauche). Durant l'hospitalisation, les douleurs disparaissent avec une antalgie simple (paracétamol) et suite à une infiltration de corticoïde dans l'articulation de l'épaule. En cas de réapparition de douleur, l'infiltration pourra être répétée. Dans ce contexte et au vu d'une absence de limitation sur le plan fonctionnel, nous ne recommandons pas une prise en charge chirurgicale pour le moment. Mme. Fontana est amenée en ambulance dans notre service des urgences la nuit du 10.01.2019 en raison de douleurs angineuses avec irradiation dans les deux bras associées à une dyspnée au repos, l'ayant réveillée vers 2h du matin, et n'ayant que partiellement répondu à la prise de capsules de nitroglycérine. Une symptomatologie d'IVRS était également présentée depuis quelques jours. Le bilan initial aux urgences puis une coronarographie révèlent un NSTEMI accompagné d'une décompensation cardiaque gauche, sur resténose significative de l'artère coronaire droite proximale au niveau du site d'implantation d'un stent nu. Une angioplastie de l'artère coronaire droite proximale avec implantation d'un stent actif est réalisée, et la patiente séjourne aux soins intensifs du 10.01 au 12.01.2019. La coronarographie montre en outre une sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne à distale et une occlusion connue de l'artère circonflexe proximale, ne motivant pas d'intervention directe. Le séjour aux soins intensifs se complique d'un nouvel épisode de douleurs rétro-sternales avec des modifications de l'ECG dans le territoire inféro-latéral, cédant suite à l'administration de nitroglycérine. Il est décidé en accord avec les cardiologues (Dr. X) de ne pas réintervenir d'emblée. En cas de récidive d'angor, une angioplastie de l'IVA moyenne à distale pourrait être envisagée.La décompensation cardiaque gauche est traitée par diurétique, CPAP et l'optimisation du traitement médicamenteux. Le traitement symptomatique habituel de nitrés (Isoket le jour et Corvaton la nuit) est mis en suspens durant le séjour hospitalier. Un test d'effort devrait être envisagé à distance. Après transfert le 12.01.2019, l'évolution est cliniquement favorable. Une anémie est investiguée, révélant des carences vitaminiques requérant une substitution, de même qu'une hypothyroïdie. Mme. Y refusant une réadaptation cardiovasculaire stationnaire ou ambulatoire, elle rentre à domicile le 17.01.2019 munie d'une prescription de physiothérapie. La double antiagrégation plaquettaire par Plavix et Aspirine sera associée à l'anticoagulation orale durant 1 mois, puis il faudra poursuivre une bithérapie, si possible de Plavix et Sintrom (le clopidogrel devrait être maintenu au minimum pendant 6 mois). Durant la durée de la trithérapie, des contrôles plus réguliers de l'INR sont à recommander au vu du risque d'hémorragie. Mme. Y, 84 ans, a été hospitalisée aux soins intensifs pour un NSTEMI et une décompensation cardiaque gauche dans le cadre d'une maladie coronarienne tri-tronculaire sur sténose significative de l'artère coronaire droite. La patiente est connue pour une maladie coronarienne tri-tronculaire et une fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom. Elle a présenté des douleurs rétro-sternales oppressives, irradiant dans les 2 bras, survenues durant la nuit, ainsi qu'une dyspnée NYHA stade IV. Le bilan a confirmé un NSTEMI secondaire à une resténose significative chronique de l'artère coronaire droite proximale au niveau du site d'implantation d'un stent nu, associée à une sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne à distale et à une occlusion connue de l'artère circonflexe proximale. Une angioplastie de l'artère coronaire droite proximale avec implantation de 1 stent actif a été réalisée. Le pic de troponine s'est élevé à 122 ng/l (CK dans la norme). Une récidive de douleurs rétro-sternales avec des modifications de l'ECG dans le territoire inféro-latéral sont apparues au cours de la nuit suivante et se sont résolues sous nitroglycérine. Il a été décidé avec le Dr. X de ne pas répéter la coronarographie d'emblée. En cas de récidive d'angor, une angioplastie de l'IVA moyenne à distale pourrait être envisagée. La double antiagrégation plaquettaire par Plavix et Aspirine sera associée à l'anticoagulation orale durant 1 mois, puis il faudra poursuivre une bithérapie, si possible de Plavix et Sintrom (le clopidogrel devrait être maintenu au minimum pendant 6 mois). Une décompensation cardiaque gauche a été traitée par diurétique, CPAP et l'optimisation du traitement médicamenteux. Le traitement symptomatique habituel de nitrés (Isoket le jour et Corvaton la nuit) a été mis en suspens. Sa reprise sera à évaluer en cas d'angor récidivant. Un test d'effort devrait être envisagé à distance. L'échocardiographie a montré une akinésie de la paroi apicale et une hypokinésie modérée antéro-septo-apicale, avec une fraction d'éjection légèrement abaissée à 55-60 %. La patiente a été transférée le 12.01.2019 dans le service de médecine interne. Mme. Y est une patiente de 69 ans sans antécédents médicaux particuliers, qui nous est transférée depuis le HIB Payerne dans notre unité de soins palliatifs pour suite de prise en charge après un diagnostic de glioblastome préfrontal gauche IDH1 non muté de grade IV avec progression rapide. Pour rappel, la patiente avait subi le 22.11.2018 au CHUV une craniotomie avec exérèse subtotale de la lésion frontale gauche. Une IRM du 12.12.2018 avait ensuite montré une progression nette de la tumeur. Après discussion avec la famille et les oncologues du CHUV, il a été décidé de ne plus entreprendre de traitement curatif. À son arrivée, la patiente est dans un état stuporeux, GCS 9-10, elle est calme et eupnéique à l'air ambiant. Elle a une aphasie globale ce qui rend l'anamnèse directe impossible. Au status cardiopulmonaire, des bruits bien frappés, réguliers, sans bruit surajouté. Les murmures vésiculaires normaux sont symétriques avec de légers crépitants bibasaux. Pas d'OMI. Les pouls périphériques sont bien perçus. L'abdomen est souple, dépressible, indolore, les bruits hydroaériques sont normaux. Au status neurologique, les pupilles sont isocores et isoréactives, les autres paires crâniennes sont impossibles à évaluer. La force motrice et la sensibilité ne sont pas évaluables non plus. Le reste du status est sans particularité. Nous entreprenons des thérapies de confort contre la douleur, les nausées ou l'angoisse éventuelles. Très rapidement, dès le 24.12.2018, l'état de la patiente se péjore avec une somnolence accrue, sans douleur, ni inconfort respiratoire apparents. Le 31.12.2018 à 9h55, la patiente décède des suites de son glioblastome, paisiblement dans son sommeil. Mme. Y présente des douleurs dans le contexte d'une constipation toujours en augmentation durant sa grossesse. Dès lors, nous introduisons un traitement par Movicol et recommandons à la patiente de reconsulter le gynécologue traitant en cas de persistance des symptômes. Le syndrome inflammatoire montre une chute de la leucocytose à 13 G/l et une CRP à 10 mg/l, qui étaient respectivement à 19 G/l à 8 mg/l lors de la précédente consultation. Mme. Y se présente dans notre service des urgences le 14.01.2019 en raison d'une baisse d'état général, avec asthénie et chute à domicile la nuit 13 au 14.01.2019, avec trauma crânien sans perte de connaissance. Elle était sortie le 3 janvier d'un séjour en chirurgie pour un abcès péri-rénal ayant nécessité une lombotomie, étant encore au bénéfice d'un traitement antibiotique peroral par ciprofloxacine. Le bilan initial aux urgences permet d'écarter une complication intracérébrale suite à la chute. On note la persistance de douleurs à la mobilisation et à la palpation du flanc gauche, sur le trajet de l'ancien drainage (lombotomie), associée à des nausées et une asthénie, restées à peu près inchangées depuis la sortie de chirurgie. Le laboratoire montre, outre une hyponatrémie et une insuffisance rénale aiguë, un syndrome inflammatoire en augmentation depuis le dernier contrôle. La patiente ayant été vue entre temps en consultation par le Dr. X, qui ne relevait pas de complication locale à un ultrason ciblé, nous décidons de procéder à un scanner abdominal injecté pour exclure un nouveau foyer infectieux. Effectué le 16.01, celui-ci montre, hormis la persistance d'une pyélite bilatérale et d'une possible cystite (inchangées), une collection liquidienne avec réhaussement pariétal, au niveau sous-costal gauche sur le trajet du drain retiré. Au vu d'une CRP encore à la hausse le 18.01, nous impliquons nos collègues de la radiologie afin de ponctionner ladite collection sous guidance ultrason. L'analyse du liquide n'a pour l'instant pas révélé de germe. Sur avis infectiologique, nous procédons à une antibiothérapie empirique par Ertapénème pour 10 jours - se substituant à la ciprofloxacine - avec bonne évolution clinico-biologique. Nous notons toutefois une persistance de la douleur à la palpation des côtes dans la région incriminée, possiblement sur une manipulation costale intra-opératoire. Parallèlement aux investigations et au traitement de la problématique inflammatoire, cette hospitalisation permet une exploration des troubles cognitifs et fonctionnels de la patiente. En effet, après discussion avec la famille, un retour à domicile semble compromis sans un état de réhabilitation intermédiaire, demandée précocement.Mme. Gehringer est transférée dans le service de gériatrie aiguë de l'HFR Tavel/Tafers le 25.01.2019; une réhabilitation gériatrique suivra dans un second temps. Mme. Goetschmann, connue pour un cancer de l'estomac avec pose de PEG-J le 21.12.2018, se présente pour une infection de la PEG-J avec sécrétion purulente le 30.12.2018. Le bilan réalisé aux urgences met en évidence une infiltration des tissus autour de la PEG et la patiente est transférée pour l'antibiothérapie i.v. en médecine interne. Un traitement par Co-Amoxicilline iv est débuté avec bonne évolution clinique. Une bactériémie à S. pneumoniae est notée avec un état fébrile qui nous surprend et un autre foyer infectieux à S. pneumoniae est recherché comme la microbiologie de la plaie n'est pas compatible avec celles des hémocultures. Un abcès hépatique est visualisé par le CT du 2.1.19. Une discussion pluridisciplinaire (voir examens complémentaires) est entreprise et la décision prise de ne pas ponctionner l'abcès hépatique et de poursuivre une antibiothérapie. Sous ce traitement, l'évolution est favorable d'un point de vue clinique avec une stagnation de la CRP autour de 150 et une leucocytose persistante après l'oralisation du traitement. Ce traitement devra être poursuivi pour au moins 4 semaines, et si persistance, pour une plus longue durée. La patiente présentant une péjoration de l'anémie avec une chute de l'hémoglobine de 106 à 66 g/l du 27 au 30.12 nous motive à débuter des transfusions de 2x CE le 30.12.2018. D'un point de vue oncologique, une immunothérapie sera entreprise par Dr. X qui est informé du déroulement clinique et biologique de sa patiente. La patiente est informée du choix de traitement et l'accepte. Avant sa sortie, elle est informée des Red Flags et de l'attitude nécessaire. Mme. Goetschmann sort le 7.1.19 en bon état général avec une antibiothérapie p.o. Mme. Gumy est hospitalisée aux soins intensifs le 23.12.2018 pour tentamen médicamenteux suite à une intoxication aux opiacés et à l'alcool. La patiente est amenée par les ambulanciers aux urgences suite à l'ingestion de 100 mg d'Oxynorm avec un état comateux et un Glasgow à 9. Une consommation d'alcool surajoutée avec une alcoolémie à 2.4 % sans perturbation de la fonction hépatique est constatée. L'évolution est favorable sous Naloxone, permettant un réveil adéquat. Le 24.12.2018, la patiente présente une tachycardie supraventriculaire non soutenue, d'origine probablement médicamenteuse, cédant dès l'arrêt du Naloxone. Au cours du séjour, la patiente présente une crise tonico-clonique qui s'estompe spontanément. Sur avis de sa neurologue, Dr. X, un traitement d'Urbanyl est introduit sur 10 jours avec un schéma dégressif. Le taux plasmatique de l'acide valproïque est dans la norme. La patiente ne présente pas de récidives convulsives. La patiente est informée de prendre rendez-vous avec sa neurologue avant son retour à domicile. Une hyponatrémie sur SIADH (connue de manière chronique) d'origine probablement médicamenteuse (sur Cymbalta et Pantoprazole) est objectivée et corrigée suite à l'arrêt des médicaments incriminés (en accord avec les psychiatres) ainsi qu'une restriction hydrique et des capsules de sel concomitantes. L'évaluation psychiatrique conclut à l'absence de risque suicidaire. Par ailleurs, une hospitalisation en mode volontaire à Marsens est préconisée dès amélioration somatique. Au vu d'une bonne évolution somatique, la patiente peut être transférée à Marsens le 01.01.2019 pour la suite de la prise en charge. Mme. Hamersky, une patiente de 75 ans, nous est transférée par son médecin traitant, Dr. X, en raison d'une dyspnée et d'une toux en péjoration surtout la nuit et à l'effort, malgré l'introduction de Symbicort, Prednison 50 mg depuis le 11.01.2019 ainsi que de l'azithromycine pour 3 jours. Elle se plaint de toux avec des expectorations jaunâtres qui sont accentuées à la position couchée. Elle a de la dyspnée au repos et de l'orthopnée. Elle n'a pas d'œdème des membres inférieurs, pas de prise de poids ni d'état fébrile ou de frisson. Mme. Hamersky n'a pas d'autres plaintes et une anamnèse systématique sans particularité. Elle est connue pour un syndrome d'apnée du sommeil obstructif ainsi que de l'asthme bronchique, un syndrome d'obésité-hypoventilation et une hypertension. À la maison, elle a l'oxygène qu'elle n'utilise plus en raison de l'assèchement des voies respiratoires qui la dérange beaucoup. Elle a du Foradil pour son asthme, de l'Olmetec et Torem pour son hypertension. Elle n'a jamais fumé mais elle a travaillé pendant de nombreuses années avec des substances chimiques. Durant l'hospitalisation, elle reçoit des inhalations de Ventolin, d'Atrovent, de la physiothérapie respiratoire ainsi que du Fluimicil la journée et Bexin pour la nuit. Le 15.01.2019, elle reçoit une fois iv du Solumedrol 125 mg. Elle aura reçu de la Prednisone 50 mg pour une semaine jusqu'au 18.01.2019. En raison de la tension artérielle élevée au cours de l'hospitalisation, un traitement d'Amlodipine 5 mg est rajouté à son traitement initial sous Losartan et Torem. En raison de son amélioration clinique, Mme. Hamersky peut rentrer à domicile le 21.01.2019 avec un rendez-vous en ambulatoire avec Dr. X (pneumologie) le 31.01.2019 à 15h45 à Meyriez. Mme. Hoti se présente aux urgences, amenée par sa famille après avoir été retrouvée par terre, consciente, aux toilettes à 6h00 du matin. Elle présente une amnésie circonstancielle et un léger ralentissement psychomoteur au moment où elle a été retrouvée. Elle rapporte avoir pris plus de Zolpidem qu'habituellement. Le status d'entrée est sans particularité et Mme. Hoti n'a aucune plainte. La cause de la chute est probablement en lien avec un abus de benzodiazépine, le CT cérébral permet d'exclure une cause hémorragique ou ischémique, le test Schellong ne montre pas d'hypotension orthostatique. Le bilan de chute réalisé revient sans particularité, Mme. Hoti ne présente par ailleurs pas de trouble de la marche ou de l'équilibre. À noter la présence de douleurs chroniques des membres inférieurs type brûlure avec impression de chaud/froid sur probable polyneuropathie diabétique. Un traitement par Gabapentine est introduit avec bon effet. Nous laissons le soin au médecin traitant de majorer la posologie si nécessaire. Un retour à domicile est organisé le 10.01.19. Mme. Kafexholli est hospitalisée dans l'unité de gériatrie aiguë en raison d'une baisse de l'état général depuis une semaine avec diminution des apports alimentaires et liquidiens sur inappétence évoluant depuis environ un an. Elle avait des nausées avec un épisode unique de régurgitation d'eau. En plus, elle se plaint d'une asthénie marquée et de fatigue. Sa plainte principale sont des douleurs importantes de la hanche gauche à la mobilisation, présentes depuis environ 2 mois, sans notion de traumatisme, pour lesquelles le diagnostic de coxarthrose a été posé. D'ailleurs, elle a déjà eu une injection de cortisone par son médecin traitant. Actuellement, elle présente une exacerbation de ces douleurs. Madame est originaire du Kosovo et ne parle qu'albanais. Actuellement, elle vit avec son fils et sa famille qui s'en occupe. Ils habitent dans un appartement au rez-de-chaussée. Elle bénéficie du passage d'une infirmière indépendante 1x/semaine. À l'admission, les paramètres vitaux sont alignés. Cliniquement, la mobilisation de la hanche gauche est difficilement évaluable sur contracture de toute la jambe. Une radiographie de la hanche et du bassin montre une ancienne fracture des branches ilio- et ischio-pubiennes à droite ainsi qu'une coxarthrose bilatérale. La radiographie du thorax retrouve une scoliose dextro-convexe du rachis dorsal, des calcifications trachéo-bronchiques et des ganglions médiastino-hilaires, sus-claviculaires gauche et axillaires gauche (antécédents de tuberculose). Le bilan biologique est aligné hormis une hypomagnésémie à 0.62 mmol/l.Concernant les douleurs, elles sont bien gérées par une antalgie simple (paracétamol et AINS). A la sortie, Mme. Y ne nécessite plus que du Dafalgan 500 mg trois fois par jour. Mme. Y présente une malnutrition protéino-énergétique grave pour laquelle elle bénéficie d'une évaluation nutritionnelle. Nous débutons une alimentation complémentaire orale qui sera poursuivie au domicile. Parallèlement aux problèmes médicaux aigus, nous débutons une réhabilitation gériatrique précoce. A l'admission, Mme. Y peut faire les transferts seule sous supervision (FIM 5) et arrive à marcher sous supervision avec rollator (FIM 5). La patiente bénéficie d'exercices de physiothérapie et d'ergothérapie qui améliorent sa mobilité. A la sortie, elle réalise les transferts seule (FIM 6), se déplace de manière autonome avec un rollator (FIM 6) et monte les escaliers en se tenant avec une main (FIM 5). Le Tinetti est à 18/27. Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Y peut regagner son domicile le 10.01.2019 accompagnée par son fils avec le passage de Spitex prévu 1x/semaine. Mme. Y présente une légère scoliose dorsale avec une cyphose dorsale et hyperlordose compensatrice pour lesquels nous préconisons un traitement en physiothérapie pour travail de la posture, assouplissement, étirement des chaînes abdominales et travail des Trigger Point. Nous conseillons également la pratique de sport tel que le yoga ou la natation. Prochain contrôle radioclinique avec orthoradiogramme de la colonne totale dans 6 mois. Mme. Y, 80 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour surveillance après prise en charge chirurgicale d'une sténose carotidienne droite le 28.01.2019. L'évolution postopératoire est sans particularité. Sur le plan neurologique, nous remarquons une discrète ptose labiale à gauche avec le reste de l'examen neurologique normal. L'anticoagulation thérapeutique par Xarelto est reprise, tout comme le traitement antihypertenseur. Le traitement thiazidique est encore en suspens. Mme. Y, 74 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour un NSTEMI à cause d'une maladie bitronculaire. La patiente, connue pour un tabagisme et une artériopathie chronique des membres inférieurs, a présenté des douleurs épigastriques avec irradiation dans les deux bras le matin. L'ECG ne présente pas de troubles de la repolarisation mais un mouvement enzymatique. La diagonale a été revascularisée par un stent actif à la coronarographie. La circonflexe est chroniquement occluse. La CX n'a pas pu être recanalisée. La fonction ventriculaire gauche est normale. La fonction rénale après un post-greffe rénal est xx. La patiente est transférée à xx le 15.01. Mme. Y est hospitalisée aux soins intensifs le 15.01.2019 pour une insuffisance respiratoire globale sur décompensation de BPCO d'origine indéterminée. La patiente a consulté aux urgences pour une dyspnée en aggravation malgré une semaine d'antibiothérapie prescrite par son médecin traitant. L'évolution est favorable sous oxygénothérapie, des séances de VNI itératives et une corticothérapie par voie générale. La cause de décompensation n'est pas claire. En particulier, l'origine infectieuse est écartée. L'échocardiographie montre une discrète dilatation de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit et une hypertension artérielle pulmonaire estimée à 66 mmHg. Après discussion avec nos collègues de pneumologie, et en raison de la persistance d'une acidose respiratoire, les réglages de l'appareillage personnel de la patiente sont modifiés (PEEP 5, Aide 15). Une gazométrie de contrôle est à prévoir. À noter la survenue d'un épisode de fibrillation auriculaire rapide qui s'est rapidement cardioversé après l'administration de bêta-bloquant. La patiente est transférée en médecine pour suite de prise en charge. Mme. Y, 39 ans, a été admise en post-opératoire d'une Sleeve gastrectomie par laparoscopie en électif le 21.01.2018. L'intervention chirurgicale s'est déroulée sans particularité. La patiente, connue pour une myasthénie grave traitée par Mestinon, Mycophénolate mofétil et prednisone, n'a pas présenté de complication liée à sa maladie en post-opératoire. La décurarisation (rocuronium) avait été effectuée par Bridion. Une perfusion de néostigmine iv continue a été administrée en post-opératoire et stoppée le 22.01.2019 après la reprise du Mestinon per os. Aucun trouble respiratoire n'a été observé et la capacité vitale est restée stable aux environs de 3 - 3.5 litres. La patiente n'a pas toléré le Mycophénolate mofétil en sirop, donc les comprimés (de grande taille et insécables) seront repris dès le 23.01.2019. Nous vous conseillons d'effectuer un taux à distance de l'intervention. Le reste du traitement est repris tel quel. Nous vous rendons également attentifs à ne pas donner de traitement contre-indiqué (voir liste des médicaments interdits). Les douleurs sont facilement contrôlées par faibles doses d'opiacés et l'abdomen est souple avec une reprise du péristaltisme. Les boissons limitées à 500 ml sont reprises dès le 22.01.2019. Une prophylaxie anti-thrombotique progressive par enoxaparine a été débutée le 21.01.2019 et les bottes anti-thrombotiques seront maintenues jusqu'à la mobilisation complète. La patiente a été transférée le 22.01.2019 dans le service de chirurgie. Mme. Y, 76 ans, connue pour une BPCO sévère Gold IV, est hospitalisée aux soins intensifs pour une exacerbation de BPCO nécessitant une ventilation non-invasive. Elle présente une dyspnée depuis quelques jours, surtout après avoir retiré le VNI nocturne, pas de symptôme de fièvre, pas de toux. Avec 3 litres d'oxygène, la gazométrie montre une acidose respiratoire. On a commencé avec l'inhalation et des stéroïdes. Son laboratoire montre des leucocytes...., les antigènes (Legionelle; Pneumococcie) sont en cours. Aucun infiltrat clair n'est visible à la radiographie pulmonaire. La thérapie VNI a amélioré l'état de la patiente. Mme. Y consulte les urgences en raison de fortes douleurs épigastriques présentes depuis une semaine, associées à une asthénie et la présence de méléna. La patiente rapporte la prise d'AINS quelques jours avant l'apparition des douleurs en raison d'une acutisation de lombalgie chronique. La gastroscopie du 04.01.19 montre la présence d'un ulcère gastrique et de deux ulcères duodénaux Forest 3. L'évolution est rapidement favorable avec disparition des douleurs épigastriques et du méléna après introduction d'un traitement par inhibiteur de la pompe à proton. Concernant l'acutisation des lombalgies, une scintigraphie osseuse est réalisée le 16.01.19 et met en évidence des tassements vertébraux d'allure récente de L1 et L2. L'antalgie est contrôlée par de petites doses d'Oxycontin. À noter une intolérance au Tramal et à l'Oxynorm (vertige). À noter la découverte fortuite lors d'un CT abdominal réalisé à la recherche d'une perforation gastrique de multiples embolies pulmonaires segmentaires intéressant tous les lobes. Dans ce contexte et au vu de la présence d'un fibrillo-flutter lors de son arrivée aux urgences, une anticoagulation par Eliquis est introduite dès le 23.01.19. Un transfert à l'UATO est organisé le 25.01.19. Mme. Y, 81 ans, est hospitalisée aux soins intensifs en raison d'un œdème pulmonaire aigu pendant le flutter auriculaire. La patiente est connue pour une BPCO stade IV et un SAOS, qui présente une dyspnée en augmentation depuis lundi ainsi que des OMI. Elle a une dyspnée stade IV, une orthopnée, elle ne décrit pas de toux ni d'expectorations.Aux urgences, un flutter auriculaire tachycardique a été observé. Commencez avec le traitement avec Cordarone i.v., sans effet. Commencez aussi Atrovent/Ventolin et Lasix en raison d'une surcharge radiologique. L'échocardiographie a montré une fonction ventriculaire gauche limitée à 15%. À l'arrivée aux soins intensifs, la patiente est instable et tachydyspnéique. L'intubation sans problème (C/L1) et la cardioversion électrique (120J une fois) avec conversion au rythme sinusal sont effectuées. En raison de la sédation/vasoplégie, on commence avec Noradrénaline et Dobutrex. Mme. Y est une patiente de 29 ans, sous contraceptif oral, qui nous est envoyée par son médecin traitant pour des douleurs abdominales au niveau de l'épigastre et de l'hypochondre droit, et dont le CT abdomen a mis en évidence une thrombose de la veine porte. Au laboratoire, on retrouve un syndrome inflammatoire et un US abdomen qui confirme la thrombose de la veine porte intra-hépatique avec extension dans les branches gauches et droites. La patiente est mise sous anticoagulation thérapeutique. L'évolution étant favorable, la patiente peut rentrer à domicile le 27.06.2018. Mme. Y se présente aux urgences en raison de vertiges intermittents à type de tangage. Pour rappel, la patiente est hospitalisée fin décembre 2018 en stroke unit pour une symptomatologie quasi identique, un diagnostic de probable décompensation d'une lacune ischémique du vermis cérébelleux à gauche d'origine indéterminée est posé. La patiente rapporte depuis plusieurs mois la présence de vertiges à type de tangage apparaissant de manière subite, qui durent de quelques minutes à 1 h00, avec nausées associées. La symptomatologie qui amène la patiente aux urgences est identique aux épisodes précédents, mais en raison d'une anxiété au domicile, elle se présente aux urgences. Le CT cérébral réalisé ne met pas en évidence de lésions pouvant expliquer la symptomatologie. Une cause neurologique est écartée par nos confrères neurologues. Une cause cervicogène est fortement suspectée, en effet, les vertiges peuvent être déclenchés par les mouvements d'hyperextension de la tête. Une composante ORL surajoutée est également probable, un bilan approfondi avec VNG et VHIT aura lieu en ambulatoire. À noter une tension artérielle labile durant le séjour, sans lien avec la symptomatologie vertigineuse, nous suggérons au médecin traitant l'organisation d'un Remler en ambulatoire si cela n'a pas déjà été organisé par le passé. Mme. Y, patiente de 83 ans, hospitalisée aux soins intensifs pour une décompensation cardiaque gauche avec un NSTEMI secondaire au pic hypertensif. Mme. Y est connue pour une HTA, hypercholestérolémie traitée et une insuffisance aortique et mitrale avec légère hypertension artérielle pulmonaire. Elle est adressée aux urgences par son médecin traitant pour une probable décompensation cardiaque avec une tension artérielle non contrôlable et une bradycardie persistante malgré l'arrêt du Bilol il y a une semaine. Depuis une bronchopneumonie en décembre, la situation se serait compliquée avec une TA élevée, une asthénie et des épisodes d'oppression thoracique gauche survenant essentiellement aux efforts avec dyspnée modérée. Nous retenons comme diagnostic une cardiopathie hypertensive à FEVG conservée, avec une décompensation cardiaque secondaire. Il n'y a pas de lésion coronarienne significative, ni d'argument pour une sténose aortique. Le traitement consiste en un contrôle de la tension artérielle, en tenant compte du fait que les valeurs ont été régulièrement très élevées. L'Amlodipine a été remplacée par Nifédipine, la TNT iv a pu être sevrée rapidement. Le traitement reste à adapter dans les jours à venir. La bradycardie sinusale reste stable chez une patiente présentant une asthénie sans autres symptômes. Nous vous proposons de compléter le bilan par un Holter, et de discuter de l'indication à un pacing auriculaire. Le CT montre, en plus des signes de surcharge, une plage de verre dépoli au lobe supérieur droit, probablement d'origine post-infectieuse. Les radiologues proposent un contrôle dans 3-6 mois afin d'exclure un processus évolutif. Mme. Y nous est adressée par son médecin traitant en raison d'une baisse de l'état général depuis 3-4 jours avec fatigue importante et notion de selles noires sans douleurs abdominales associées. Mme. Y, qui est anticoagulée par Xarelto pour une fibrillation auriculaire, rapporte s'être administré de sa propre initiative une dose de Clexane (initialement prescrite pour son mari) le 09.01.19 en raison d'un voyage en avion. Elle rapporte également la prise d'AINS sans excès pour des douleurs ostéo-articulaires. À noter que la patiente est traitée par antibiothérapie depuis le 11.01.19 pour une bronchite. Au status, on ne retrouve pas de trace de méléna ou de sang frais au doigtier, l'abdomen est indolore à la palpation. Nous suspectons une probable hémorragie digestive haute, spontanément résolutive, sur prise d'AINS et double anticoagulation. Un traitement par inhibiteur de la pompe à protons est mis en place, l'anticoagulation est mise en suspens. Les contrôles de l'hémoglobine sont stables durant le séjour, nous n'objectivons pas d'extériorisation de sang/méléna. Au vu de la stabilité clinique, biologique et de l'absence d'extériorisation, nous ne réalisons pas de gastroscopie et colonoscopie en urgences. Mme. Y présente également une insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine mixte probable à son arrivée. Pré-rénale sur prise de diurétiques avec probable composante rénale sur hypoperfusion en bas débit dans le contexte hémorragique et sur un passage en fibrillation auriculaire rapide aux urgences. La fonction rénale se corrige initialement puis se détériore à nouveau en raison d'un manque d'hydratation. Les traitements néphrotoxiques ainsi que l'antidiabétique oral sont mis en suspens. À noter une acutisation d'un syndrome inflammatoire d'origine indéterminée, la patiente ne présente pas d'état fébrile associé et nous ne retrouvons pas de foyer cliniquement ou au CT abdominal réalisé le 17.01.19. Mme. Y décide de quitter l'hôpital contre avis médical le 17.10.1. Elle a organisé d'elle-même une gastroscopie et une colonoscopie pour le 19.01.19. Pour le moment, au vu de l'insuffisance rénale aiguë non corrigée, nous déconseillons à la patiente d'effectuer cet examen au vu du risque important de péjoration de la fonction rénale. Nous ne prescrivons donc pas le Moviprep. La patiente est informée de la présence d'un syndrome inflammatoire à la hausse et de la mauvaise fonction rénale. Nous lui conseillons de bien s'hydrater (2 l/j) et de reconsulter en urgences en cas de nouveau saignement, état fébrile, apparition de douleur ou baisse de l'état général. Nous lui indiquons également de ne pas reprendre le Xarelto jusqu'à la réalisation de la gastroscopie ainsi que les traitements antihypertenseurs et antidiabétiques jusqu'à correction de la fonction rénale. Mme. Y s'engage à organiser un RDV de contrôle chez son médecin traitant dès la sortie de l'hôpital. Mme. Y est amenée en ambulance dans notre service des urgences la nuit du 11.01.2019 en raison de douleurs thoraciques et d'une dyspnée en péjoration, ce dans un contexte d'IVRS durant depuis quelques jours. Le bilan initial aux urgences montre un tableau de décompensation cardiaque clinique, biologique et radiologique. Après introduction d'un traitement diurétique et symptomatique, la patiente est hospitalisée dans notre service de médecine interne. L'évolution clinique est rapidement favorable. Un passage des diurétiques intraveineux à per-oraux s'effectue le 15.01.2019, avant un retour à domicile le 17.01.2019. Mme Zekjiri souffre d'une allodynie sur la branche palmaire du médian, ainsi que d'un trouble au niveau du nerf cubital. Je propose de réévaluer chez le neurologue et de compléter le bilan par une IRM cervicale. Poursuite de l'ergothérapie. Je souhaiterais également que la patiente soit vue à la consultation d'antalgie. Je prie le service d'antalgie de la convoquer. Mme Zosso, patiente de 73 ans, se fait hospitaliser à Meyriez suite à des douleurs invalidantes à la marche après une chute le 20.1.19. À son entrée, la patiente présente des douleurs au niveau thoracolatérale droite que nous interprétons dans le cadre d'une contusion des côtes, la radiographie thoracale ne montrant pas de fracture costale. Une légère douleur inguinale à droite est également évoquée, compatible avec la suspicion de fracture non déplacée de la branche ischio-pubienne droite sur la radiographie du bassin, pour laquelle nous établissons un traitement conservateur avec adaptation de l'analgésie. À l'anamnèse de la chute, la patiente évoque une faiblesse dans les jambes au petit matin qui l'a fait chuter sur ses fesses depuis sa position debout. Elle décrit aucun prodrome ni de perte de connaissance ou d'amnésie circonstancielle. Une collision de la tête est également niée. Au vu d'un Holter-ECG et d'une échocardiographie effectués en 2017 ne montrant aucun trouble rythmique et structurel significatif, nous attribuons la perte de l'équilibre à son hyponatrémie ainsi qu'à sa médication au Zolpidem et renonçons à d'autres démarches diagnostics, un test de Schellong s'avérant négatif le jour de l'hospitalisation. La patiente étant fortement addictive à son somnifère, nous informons la patiente de ses effets indésirables et conseillons vivement la patiente à diminuer sa dose ainsi qu'à faire réévaluer sa médication auprès de son médecin traitant. Nous conseillons une réévaluation à distance de ses paramètres électrolytiques chez le médecin traitant afin de réévaluer la nécessité d'une recherche tumorale pulmonaire chez cette ancienne fumeuse accumulant 60 PY. Le 23.01.19, après mobilisation progressive et adaptation analgésique, nous pouvons laisser rentrer la patiente chez elle en bon état général. Mme Zosso présente vraisemblablement un syndrome du piriforme que l'on propose de traiter par crochetage et stretching des rotateurs externes de la hanche. Nous n'avons pas prévu de nouveau contrôle à notre consultation. MMS à 27/30, test de l'horloge à 6/10 (disposition des aiguilles incorrecte) le 08.01.2019. Consilium psychiatrie de liaison le 07.01.2019. Consilium neuropsychologique le 10.01.2019. Introduction d'escitalopram le 15.01.2019. MMS à 30/30 le 04.01.19. Absence d'investigations supplémentaires. MMS à 30/30 le 04.01.2019. MMS, Clock et GDS non effectuables pour état confusionnel de la patiente le 21.12.2018. MMS, Clock et GDS. Évaluation neuropsychologique prévue mais non réalisée en raison du départ précoce de la patiente. Bilan biologique. Annonce de la situation à la Justice de Paix (demande de curatelle concernant les finances, l'administration et la situation de logement). MMS, test de l'horloge, anamnèse dépression. MMS (20.06.2018) : 15/30 Points. Halopéridol, mis en réserve après avis psychiatrique (Dr. X le 09.01.2019). Placement prévu le 16.01.2019. Discuter avis ophtalmologique. MMS 20/30, Horloge 3/6, GDS 2/15 le 21.12.2018. MMS 19/30, Horloge 2/6, GDS 2/15 le 09.01.2019. MMS 20/30, Horloge 3/6, GDS 2/15 le 28.12.2018. MMS 24/30, Clock test 1/9, GDS 4/15 le 28.12.2018. Laboratoire : voir annexes. Radio thorax (28.12.18) : pas de cardiomégalie, pas d'épanchement pleural, pas de foyer infectieux. Radio colonne lombaire (04.01.19) : tassement progressif de la T12 mais avec une hauteur du bord postérieur partiellement préservée. Radio thorax (22.01.19) : pas de cardiomégalie, pas d'épanchement pleural, pas de foyer infectieux. ECG (30.12.19) : FA normocarde. MMS 24/30, Clock 4/6 et GDS 0/15 points le 08.01.2019. MMS 27/30, Clock 6/6 et GDS 3/15 le 11.12.2018. MMS 27/30, Clock 7/7 et GDS 0/15 points le 20.12.2018. MMS : 27/30, Clock-Test : pas réalisé (pas collaborante), GDS : 2/15. Laboratoire : Cf Annexes. Rx cuisse, jambe et cheville D 08.01.2019 : Pas de fracture visible. CT pied droit 08.01.2019 : Fracture base métatarse II et fracture d'os cunéiforme médial. Pas de signe de luxation ou de séparation. Apport d'une évaluation gériatrique multidisciplinaire (pour le domaine cognitif, locomoteur, nutritif, social et pour l'autonomie). MMSE du 21.12.2018 : 25/30. MMSE : 12/30 ; Horloge 0/6 (limitée par les troubles de la vision) GDS 2/15 le 28.11.2018. Réafférentation. Mobilisation active. Déplétion volémique. VNI avec CPAP 2x/jour. Physiothérapie respiratoire. Mobilisation du genou G sous anesthésie générale. (OP le 03.01.2019). Analgésie par cathéter péri-nerveux périphérique du 03.01.2019 au 06.01.2019, gérée par les anesthésistes. Mobilisation en charge selon douleurs sans restriction. Prochain contrôle dans 1 année. Mobilisation genou G sous narcose (OP le 03.01.2019). Analgésie par cathéter péri-nerveux périphérique du 03.01.2019 au 06.01.2019, gérée par les anesthésistes. Mobilisation intensive avec physiothérapie vestibulaire. Betaserc 2x/jour dès le 07.11.2018. RDV en ORL le 18.12.2018 à 09h15. Mobilisation libre selon douleurs. Mobilisation libre. Antalgie. Ablation des fils au 14ème jour, le 29.12.2018. Consultation avec radiographie de contrôle le 31.01.2019 à 10h30 à la policlinique orthopédique de l'Inselspital, bâtiment INO, étage E2. Mobilisation selon douleur et physiothérapie. Suivi Hb, seuil transfusionnel à 80g/L en raison d'une cardiopathie ischémique. Reprise Liquémine prophylactique dès le 01.01.2019, reprise Aspirine cardio dès le 02.01.2019. Réadaptation musculo-squelettique à Tavel dès le 07.01.2019. Mobilisation selon douleurs. Ablation du pansement à 24 heures. Contrôle à ma consultation le 27.2.2019. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 14.2.2019. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 14.2.2019. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 18.2.2019. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 18.2.2019. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 18.2.2019. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 27.2.2019. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 27.2.2019 pour discuter du résultat atteint. Mobilisation, Xarelto et gestion des pansements selon OM d'orthopédie. Suivi de l'Hb et de la fonction rénale le 19.01.2019. Inspirex. Suivi du poids 1x/j. Mobilisation : 90°. ASS et Sintrom mis en suspend, bottes antithrombotiques. IRM pour le contrôle le J5. ETT en cours le 10.01.2019. MOCA Test, le 07.01.2018 : 23+1/30. Bilan neuropsychologique et neurologique en ambulatoire. MOCA : 16/31. Bilan neuropsychologique le 18.01.2019 : Difficultés exécutives, flexibilité mentale, sensibilité à l'interférence, programmation motrice, accompagné d'un ralentissement psychomoteur important. Difficultés avec la mémoire antérograde, la gnosie discriminative, la dénomination et l'expression écrite. IRM cérébrale le 21.01.2019 : Atrophie cortico-sous-corticale. Les plages d'hypersignaux au niveau de la substance blanche sur les coupes FLAIR doivent correspondre à des altérations dégénératives vasculaires. Élargissement également des cornes temporales, correspondant à une atrophie, ceci pouvant être classé Sheltens 3. Compte tenu de l'aspect IRM, le DD devrait plus se poser avec une atteinte type Alzheimer. L'imagerie évoque moins une démence vasculaire qu'une démence à corps de Lewy.Contre-indication à la conduite dès le 18.01.2019 Réadaptation gériatrique. MOCA 9/30 le 14.01.2019. Consilium neuropsychologique le 18.01.2019. Modifications ECG aspécifiques sous forme de sous-décalage du segment ST V4-V6 • avec tachycardie sinusale à 120/min asymptomatique dans un contexte de déshydratation. Molluscum contagiosum. Monitoring cardio-respiratoire. Oxygènothérapie: High flow du 31.12 au 05.01. Surveillance alimentaire: SNG 01.01 au 04.01. Médecine anthroposophique. Monitoring cardio-respiratoire. Co-Amoxicilline per os 13.01-19.01. Monitoring cardio-respiratoire du 24.12 au 26.01.2019. Caféine du 28.12.18 au 10.01.09. ECG le 17.01 dans la norme. Monitoring cardio-respiratoire du 27.12 au 04.01. Monitoring cardio-respiratoire du 01.12.2018 au 12.12.18. Monitoring cardio-respiratoire du 15.12 au 04.01. Caféine du 18.12 au 28.12.18. Monitoring cardio-respiratoire du 18.12 au 08.01.2019. Monitoring cardio-respiratoire du 18.12 au 08.01.2019. Monitoring cardio-respiratoire du 18.12.2018 au 08.1.2019. Monitoring cardiorespiratoire du 30.04.2015 au 19.05.2015. Monitoring cardio-respiratoire en continu. Oxygénothérapie du 08.01 au 13.01.2019. Monitoring cardio-respiratoire. Surveillance neurologique aux 3 heures. Réévaluation médicale à chaque récidive de vomissement sur la nuit. Conseils de surveillance à domicile et consignes de reconsultation donnés à la sortie. Monitoring cardio-respiratoire. Oxygénothérapie de 4L durant 5 minutes puis 2L, puis à 0.5L. Bilan diurèse et hydrique. RSV: positif. Gazométrie: PH 7.36, PCO2 6.8, bic 29. SNG du 13.01 au 08.01. Monitoring cardio-respiratoire. Oxygénothérapie du 09.01 au --. Frottis RSV négatif (le 05.01 et le 09.01), frottis coqueluche fait ? Surveillance de la prise alimentaire. Minimal handling. Médecine anthroposophique. Monitoring cardio-respiratoire. O2 en réserve. Monitoring cardio-respiratoire. O2 thérapie. Amoxicilline 80mg/kg/j pendant 5 jours. Monitoring respiratoire. Minimal handling. Prise alimentaire par SNG jusqu'au 07.01.19. Oxygénothérapie jusqu'au 07.01.19. Médecine anthroposophique. Monitoring respiratoire. Oxygénothérapie du 26-29.01.2019. Ventolin depuis 25.01.2019. Betnesol 25.01.2019-29.01.2019. Médecine anthroposophique. Suivi chez pédiatre à 48 heures. Monoarthrite de l'articulation métatarso-phalangienne à gauche. Monoarthrite du genou gauche probablement dans un contexte rhumatologique. DD: dans un contexte d'une arthrose. Monoarthrite du poignet d'origine indéterminée. Multiples antécédents à la cheville du même épisode qu'actuellement, à savoir une monoarthrite, sans autre signe. Monoarthrite goutteuse du genou G. Monoarthrite métatarso-phalangienne du 4ème rayon à gauche. DD: chondrocalcinose, crise de goutte. Monoarthrite métatarso-phalangienne du 4ème rayon pied G en 2011. DD: chondrocalcinose, crise de goutte. Monoarthrite probablement d'origine auto-immune. Mononucléose. Mononucléose. • sérologie du 24.12.2018. igM igG positive. Antibiothérapie par Céfuroxime du 21.12.2018 au 27.12.2018 pour suspicion d'angine bactérienne initialement. Perturbation des tests hépatiques. US hépatique et splénique: hépatomégalie à 19cm et splénomégalie à 12cm. Avis gastro-entérologique: Dr. X: arrêt des traitements hépato toxiques (Pentasa et Dafalgan) et suivi biologique. Mononucléose en 1980. OS fracture trimalléolaire cheville gauche en 1987. OP main droite. OP du coude pour neuropathie compressive du nerf cubital D (transposition demi-profonde selon Milesi). Accident vasculaire cérébral sylvien G en 2001. Cure d'anévrisme de l'aorte abdominale infra-rénale de 48 mm et dilatation des deux artères iliaques communes (18 mm), par prothèse bifurquée Gelweave 18-19 mm sur le départ de l'artère iliaque commune des deux côtés par voie rétro-péritonéale G le 04.12.2015. Consommation d'alcool abusive stoppée en juillet 2015. Lésions de Mallory-Weiss avec méléna anamnestique et hématémèse en 2015. Choc septique dans le contexte d'une pneumonie nosocomiale basale D le 07.12.2015. Fistule anale trans-sphinctérienne basse avec mise en place de Seton le 03.02.2016 et 13.04.2016. Kyste sacro-coccygien. Fracture type Weber B malléole externe cheville D : le 05.03.2018. Hépatocarcinome moyennement différencié du segment V. • Date du diagnostic : 19.09.2018. • Pathologie (Promed P2018.10686) : hépatocarcinome moyennement différencié selon la classification 2010 de l'OMS. • IRM de l'abdomen du 17.08.2018 : lésion unique du segment V hépatique. • CT thoraco-abdomino-pelvien du 23.07.2018 : pas d'anomalie suspecte hormis la lésion du segment V. • Alpha-foetoprotéine : 4,4 mg/ml. • Tumorboard de chirurgie viscérale du 26.09.2018 : thermoablation percutanée. Thermoablation percutanée le 22.11.2018 par le Dr. X. Antibiothérapie prophylactique par Ceftriaxone jusqu'à J1. Suivi oncologique la semaine prochaine chez le Dr. X. CT-abdominal de contrôle le 04.01.2019 à 11h30. Mononucléose infectieuse confirmée par le test rapide, le 05.01.2019: • EBV (mononucléose) IgM Test rapide qualitatif : positif, • Perturbation des tests hépatiques. Mononucléose infectieuse, le 17.01.2019. Mononucléose infectieuse. Angines à répétition, status post-amygdalectomie bilatérale le 02.05.2016. Entorse de la première métacarpophalangienne gauche avec suspicion de lésion du ligament collatéral ulnaire le 30.10.2016. Coprostase. Hernie inguinale gauche avec cure hernie inguinale selon Lichtenstein par le Dr. X le 27.08.2018. Mononucléose, nov. 2016. Plusieurs TCC dans l'enfance. Crise d'angoisse avec perte de connaissance le 05.02.2018: • avis neuropsy (Dr. X) le 06.02.2018: Transfert à Marsens pour suite de prise en charge. Traumatisme crânien mineur le 05.02.2018. Mono-pontage aorto-coronarien (AMIG/IVA), à cœur battant, fecit Dr. X (Clinique Beau-Site), le 23.02.2015, dans le cadre d'une maladie coronarienne bitronculaire stentée le 27.10.2014 avec angor récidivant et dyspnée d'effort nouvelle, avec : • coronarographie le 09.02.2015 (Dr. X) : lésion intermédiaire de l'ostium de l'IVA proximale fonctionnellement significative (FFR = 0.79), sténose de l'IVA moyenne (lésion fonctionnellement non significative, FFR = 0.82), absence de resténose de l'artère circonflexe proximale au niveau du stent actif, lésion non significative de l'ostium de l'artère bissectrice, lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale. FEVG à 38%. • Echographie le 18.02.2015 (Dr. X) : cardiomyopathie dilatative d'origine ischémique avec ventricule gauche discrètement dilaté, FEVG à 30%, oreillette gauche modérément dilatée. Syncope avec amnésie circonstancielle d'origine probablement arythmique le 15.02.2015 avec : • BBG alternant. • massage du sinus carotidien (Dr. X, HFR Fribourg) : pause de > 3 secondes. Vertiges périphériques en décembre 2010 (probable neuronite vestibulaire). Arthroscopie du genou droit, méniscectomie interne partielle, micro-fracture condyle fémoral interne droit en avril 2010. Prothèse totale de la hanche droite en novembre 2007. Lombocruralgie L3 G irritative et déficitaire en août 2006 sur HD séquestrée L2-L3 avec compression L3 G; IRM : ostéochondrose, arthrose facettaire, scoliose. Réduction et ostéosynthèse fracture luxation cheville droite en septembre 2004. Arthroscopie du genou gauche, méniscectomie interne partielle + shaving en mai 1999. Appendicectomie. Monotraumatisme de la main droite. Monotraumatisme de la main gauche. Mr. Y est un patient de 59 ans, ayant bénéficié d'un pontage fémoro-fémoral croisé et d'un stenting iliaque gauche dans le cadre d'une artériopathie oblitérante des membres inférieurs stade IIb, qui présente un œdème et un érythème au niveau de la cicatrice inguinale droite. Le patient décrit des douleurs des deux membres inférieurs à la marche au bout de 40 mètres.Une reprise de la plaie inguinale est effectuée le 18.12.2018 avec la mise en évidence d'une collection séreuse superficielle avec un plan musculaire compétent et sans atteinte visible de la prothèse. Un traitement de plaie par VAC à instillation est effectué jusqu'au 25.12.2018, date de la fermeture de la peau. Une antibiothérapie prophylactique par Augmentin est débutée le 18.12 jusqu'au 21.12.2018. Des prélèvements de bactériologie sont effectués sans résultat significatif. Un bilan angiologique est fait en raison de la claudication décrite par le patient avec une pléthysmographie montrant une pression de 111 mmHg au gros orteil droit et 78 mmHg à gauche. En raison de la bonne évolution de la plaie, le patient rentre à domicile le 28.12.2018. Mr. Y est un patient de 76 ans, connu pour une maladie coronarienne tritronculaire et une fibrillation auriculaire sous Xarelto, hospitalisé du 29.12.2018 au 01.01.2019 dans notre service pour une hémorragie digestive basse probablement d'origine diverticulaire, qui se présente aux urgences le 02.01.2019 pour une récidive d'hémorragie digestive basse. A noter que l'anticoagulation avait été reprise durant le séjour avec 24h de surveillance avant le retour à domicile. Les examens sanguins d'entrée mettent en évidence une anémie hémorragique jusqu'à 76 g/l nécessitant des transfusions sanguines sur 3 jours, et suite à l'avis du Dr. X de l'hôpital Hirslanden, le Xarelto est arrêté et remplacé par de l'Aspirine cardio dès le 05.01.2019. Sur le plan cardiologique, le patient présente le 04.01.2019 des douleurs thoraciques type oppressives, correspondant à un diagnostic d'angine de poitrine instable avec des marqueurs myocardiques négatifs. L'évolution est par la suite favorable suite à l'administration d'une dose de Nitroglycérine. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, un retour à domicile est organisé le 07.01.2019. Nous laissons le soin au patient de contacter son médecin traitant afin de réévaluer la suite du traitement par anticoagulation/antiagrégation, ainsi que d'effectuer un bilan de la fibrillation auriculaire par un Holter dès sa sortie. Mr. Y est un patient de 87 ans, connu pour un adénocarcinome prostatique multimétastatique, qui nous est transféré du service de médecine interne de l'Hôpital de Fribourg pour une réhabilitation le 20.12.2018. A l'entrée le patient se plaint de dorsalgies 9/10 dans la région de Th5 sans irradiation, sans fourmillement ni perte de force des bras. Au statut, une vive douleur est retrouvée à la palpation paravertébrale ainsi qu'à la percussion de la région de la vertèbre Th5. Mr. Y est marié et vit dans un immeuble au 3ème étage avec ascenseur. Il est indépendant pour les AVQ et IAVQ, n'a pas de moyen auxiliaire à domicile. Le but de la réhabilitation est un retour à domicile. Sur le plan fonctionnel, à l'entrée, l'évaluation de la motricité par les physiothérapeutes montre des transferts effectués avec aide modérée, une marche avec le Taurus avec aide importante, le périmètre de marche est à 30 mètres et les marches d'escalier ne sont pas testées. Le risque de chute est augmenté. Le patient bénéficie durant le séjour de physio- et ergothérapie intensives. A la fin du séjour, il réalise les transferts de façon indépendante, la marche est accomplie sous supervision avec un périmètre de marche de >100m à l'aide de 2 cannes. Le patient parvient à gravir 9 marches sous supervision. La mobilité de fin de séjour est légèrement limitée avec un risque de chute légèrement augmenté. Sur le plan oncologique, le patient se plaint de dorsalgies mouvement-dépendantes, raison pour laquelle nous effectuons un CT thoracique qui montre une fracture pathologique de Th3 ainsi qu'une vertèbre totalement métastasée. Nous organisons une consultation chez les radio-oncologues. Ceux-ci retiennent l'indication à irradier la vertèbre Th3, ce qui est prévu en ambulatoire. Sur le plan rénal, le patient péjore sa fonction rénale dans un contexte de diarrhée avec troubles électrolytiques associés (hypernatrémie, hypokaliémie), raison motivant la perfusion de NaCl 0.9%, puis de glucosalin 2:1 sous-cutané ainsi qu'une substitution orale de potassium avec bonne évolution. L'anémie reste stable durant le séjour, le patient étant asymptomatique nous ne le transfusons pas. Le profil glycémique reste stable durant le séjour. Sur le plan cardiaque, un taux résiduel d'Amiodarone est dans les normes. La posologie d'Amiodarone est ainsi maintenue. Nous substituons la carence en vitamine D. Le patient bénéficie d'une évaluation ainsi que des conseils de nutrition et de la prescription de suppléments nutritifs oraux. Il peut regagner son domicile en bon état général le 09.01.2019. Mr. Y, patient de 76 ans, connu pour une cardiomyopathie ischémique et anticoagulé par Xarelto pour une fibrillation auriculaire, se présente aux urgences le 29.12.2018 en raison d'épisodes répétés d'hématochézies dans les dernières 12h. A son arrivée, le patient est stable au niveau hémodynamique. Une anuscopie effectuée aux urgences confirme un saignement actif sans localisation de la source hémorragique. Le patient est hospitalisé en chirurgie pour suite de prise en charge. La crase est réversée par administration de Beriplex. Le patient bénéficie d'une colonoscopie le lendemain. Cet examen met en évidence une diverticulose sigmoïdienne sans source de saignement actif. Le patient reste stable hémodynamiquement tout au long de l'hospitalisation et ne présente pas de nouvel épisode d'extériorisation. Nous réintroduisons une anticoagulation thérapeutique le 31.12.2018. Celle-ci est bien tolérée et l'évolution clinique du patient est favorable. Il quitte notre service pour un retour à domicile le 01.01.2019. Mr. Y, âgé de 79 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à fracture périprothétique du cotyle droit le 16.11.2018 avec changement de PTH D le 26.11.2018. Sur le plan social, le patient vit avec une amie à domicile. A l'admission, le patient n'a pas de plainte. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Le transit est conservé sous laxatif et l'appétit est ok. Au statut, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. La flexion/extension de la hanche droite est de 30-0-0 en actif et 35-0-0 en passif. La force du quadriceps droit est cotée à M2 et la sensibilité est conservée. Présence d'œdème important du membre inférieur droit. L'abdomen est souple et indolore avec bruits hydroaériques normaux en fréquence et tonalité. Le statut cardio-pulmonaire est sans particularité. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises en respectant la décharge. Il peut monter/descendre 5 marches d'escaliers. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 21.12.2018, en bon état général. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile pour continuer d'améliorer la fonction musculo-articulaire. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire le 10.12.2018 suite à un NSTEMI le 01.12.2018 sur occlusion de l'artère circonflexe dans le contexte d'une maladie coronarienne tritronculaire avec mise en place d'un stent actif de 4ème génération.Traitement à l'entrée : • Lisinopril 5 mg 1x/jour • Beloc Zok 25 mg 0.5 cp 1x/jour • Efient 10 mg 1x/jour pour 12 mois, suivi par Clopidogrel à vie • Atorvastatine 40 mg 1x/jour • Dafalgan en R max 3x/jour Sur le plan cardiologique, le patient n'a développé aucun symptôme durant la totalité de son séjour. Nous n'observons aucune modification aux contrôles électrocardiographiques. Sur le plan orthopédique, le patient est suivi par le Dr. X avec notamment un rendez-vous de contrôle à sa consultation le 19.12.2018. Nous poursuivons les séances de physiothérapie deux fois par semaine durant toute son hospitalisation et poursuivons le port du gilet en abduction pour son problème à l'épaule jusqu'au 19.12.2018. Les contrôles orthopédiques ultérieurs seront modulés par le Dr. X. Sur le plan gastro-entérologique, le patient présente un épisode de vomissements associé à plusieurs épisodes de diarrhées le 19.12.2018 avec résolution sous Bioflorin 3 fois par jour. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité faible et il a pu progresser jusqu'à un groupe d'intensité modérée. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo à 85 watts pendant une durée de 25 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue de 131 mètres avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Nous prescrivons au patient 9 séances de physiothérapie ambulatoire. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : 1. Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.5 mmol/L, des HDL à 1.38 mmol/L, des LDL à 2.01 mmol/L, des triglycérides à 1.35 mmol/L. 2. Poursuite du sevrage tabagique depuis le 01.12.2018. 3. Sous traitement, la fréquence cardiaque et la tension artérielle sont dans la norme. Mr. Y est admis pour l'intervention susmentionnée. Les suites opératoires sont simples et sans complications. Nous procédons à l'ablation des mèches à j1. Une antibioprophylaxie par Co-amoxicilline 1g est instaurée pour une durée de 7 jours. Au vu de l'évolution clinique favorable, il peut retourner à domicile. Mr. Y, 60 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance rythmique et hémodynamique dans le cadre d'un angor instable. Le patient, connu pour une maladie coronarienne bitronculaire, stentée sur l'IVA en 2016, un syndrome de Leriche et une sténose carotidienne bilatérale, a présenté le 01.01.2019, au repos, des douleurs rétrosternales gauches irradiant dans la nuque pendant environ 45 minutes et améliorées après prise de 2 comprimés de nitroglycérine puis l'administration de morphine. L'ECG effectué par les ambulanciers met en évidence un sous-décalage ST limite dans le territoire inférieur et latéral. L'ECG s'est corrigé par la suite et il n'y a pas eu de mouvement des troponines T hs. À savoir qu'une sténose d'environ 50% était décrite sur la coronaire droite en 2016. Le patient est hospitalisé aux soins intensifs avec le projet d'une coronarographie le lendemain. À son arrivée aux soins intensifs, la douleur est à 1/10. Il refuse tous les traitements qui lui sont proposés, ainsi que de bénéficier d'une coronarographie le lendemain. Il motive sa décision par des engagements auxquels il ne peut pas renoncer, malgré la mise en danger de sa santé et même de sa vie. Mr. Y, ayant toute sa capacité de discernement et ayant reçu des explications détaillées concernant les risques qu'il prend, décide de quitter l'hôpital contre avis médical (formulaire signé) et souhaite réfléchir et décider lui-même à quel moment il veut faire la coronarographie. Après avis cardiologique auprès du Dr. X, nous proposons au patient de compléter son antiagrégation plaquettaire par du Clopidogrel, en attendant une coronarographie élective en ambulatoire, pour laquelle il sera convoqué par le service de cardiologie. Mr. Y est admis pour l'intervention susmentionnée. Les suites opératoires sont simples et sans complications. Une antibioprophylaxie par Co-Amoxicilline est introduite pour une durée de 7 jours. Il décrit un pyrosis en postopératoire qui est traité par Pantoprazole 40 mg. L'ablation des Redon est faite à 48h. Le statut clinique postopératoire est dans la norme. Au vu de l'évolution clinique favorable, il peut retourner à domicile. Mr. Y, âgé de 64 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par le Sonnenhof pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une spondylodèse L2-L5, révision de la stabilisation L4-L5 et changement des vis de L4. Sur le plan social, le patient est agriculteur à l'AI. Il vit avec son fils de 32 ans. À l'admission, le patient se plaint de douleurs pour lesquelles l'antalgie est adaptée. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Au statut, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. Le séjour est marqué par une gestion difficile de l'antalgie, compliquée par une dépendance préalable aux opiacés. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises. Il peut monter/descendre les escaliers avec 2 cannes. Après 5 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 16.01.2019, en bon état général. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Mr. Y est admis aux soins intensifs le 14.01.2019 pour un choc septique de probable origine digestive dans les suites d'un traitement pour une pneumonie. Il est connu pour un adénocarcinome de l'œsophage distal à la jonction œsogastrique diagnostiqué en octobre 2018, actuellement en fin de radio-chimiothérapie. Il présente également un probable cancer du côlon transverse mis en évidence par coloscopie, dont le bilan est en cours. Il est hospitalisé depuis le 03.01.2019 en médecine interne pour un état fébrile récidivant mis sur le compte d'une pneumonie trilobaire. Sous Co-Amoxicilline puis Ceftriaxone, l'état fébrile persiste plusieurs jours, sans nouvelle piste infectieuse clinique. Depuis le 12.01.2019, il présente des épisodes d'hypotension artérielle transitoires, se compliquant d'un choc septique avec une fibrillation auriculaire rapide motivant son admission aux soins intensifs. Le patient présente une évolution défavorable du profil tensionnel nécessitant un soutien aminergique. Dans ce contexte, l'antibiothérapie est adaptée par de l'imipénème face à la suspicion d'un état de choc de possible origine infectieuse, mais sans foyer clinique, radiologique ou microbiologique retrouvé. L'évolution est favorable sous cette nouvelle antibiothérapie avec une amélioration sur le plan hémodynamique permettant le sevrage de la noradrénaline le 15.01.2019. L'origine suspectée du choc septique serait une translocation bactérienne d'origine digestive dans le contexte tumoral. L'antibiothérapie est à poursuivre pour une durée de 10 jours au total. Concernant la fibrillation auriculaire, la cordarone est introduite mais sans amélioration du rythme cardiaque. Un bêta-bloquant est introduit progressivement à partir du 15.01.2019 après le sevrage de la noradrénaline, permettant un ralentissement progressif de la fréquence cardiaque. Nous n'introduisons pas d'anticoagulation au vu de la thrombopénie. L'introduction d'une anticoagulation sera à rediscuter selon l'évolution clinique et biologique. Sur le plan nutritionnel, le patient présente une dysphagie modérée avec des apports alimentaires insuffisants. Une sonde nasogastrique et une alimentation entérale sont débutées le 15.01.2019. Un suivi nutritionnel sera nécessaire. Dans le contexte septique, le patient présente une insuffisance rénale aiguë pré-rénale répondant à un remplissage. Le suivi clinique montre un bilan hydrique positif pour lequel une dose unique de furosémide est administrée avant le transfert en médecine interne. La poursuite du traitement diurétique sera à réévaluer selon l'évolution clinique. Le suivi biologique montre une thrombocytopénie nouvelle. Dans le diagnostic différentiel, une thrombocytopénie induite par l'héparine est évoquée. Un dosage des anticorps anti-PF4 est à pister. Dans l'attente des résultats, l'anticoagulation prophylactique est mise en suspend. Finalement, le suivi biologique montre une cholestase mise sur le compte de l'état septique et pour laquelle un suivi biologique est recommandé. Mr. Y est un patient de 40 ans, qui dans un contexte d'obésité de grade III bénéficie d'un bypass gastrique le 29.01.2019. L'opération se déroule sans complication. En post-opératoire, le patient passe un jour aux soins intensifs pour la surveillance d'un syndrome d'apnée du sommeil non appareillé qui est par ailleurs sans complication. Par la suite, il présente une bonne évolution biologique et clinique avec la reprise d'un transit, permettant un retour à domicile le 30.01.2019. Mr. Y sera revu à la consultation du Dr. X le 12.03.19 à 11h00. Mr. Y nous est transféré de la Clinique générale à Fribourg pour suite de prise en charge après mise en place d'une prothèse totale de la hanche droite le 04.12.2018 pour une coxarthrose invalidante. L'anamnèse à l'entrée ne révèle aucune plainte particulière. Au niveau du statut, nous trouvons un patient en état général légèrement diminué. Au niveau pulmonaire, nous notons une légère hypoventilation des bases mais sans bruits surajoutés. La plaie postopératoire est calme, sans signes inflammatoires. Au niveau de l'anamnèse sociale, le patient est marié, sa femme vit dans un home à Fribourg depuis trois ans. Il a deux enfants, dont la fille à Bâle et le fils à Charmey, et un petit-enfant. Mr. Y a beaucoup d'amis et de très bons contacts sociaux. Il habite dans un appartement à Fribourg au deuxième étage avec ascenseur, qui a été aménagé pour le fauteuil roulant de son épouse. Le patient est indépendant pour les activités de la vie quotidienne. Une fois par semaine, une femme de ménage passe chez lui. Diagnostic principal L'ablation des fils est faite le 18.12.2018. De suite, la cicatrice reste calme. Les douleurs peuvent être contrôlées de manière satisfaisante par une antalgie simple. L'anticoagulation prophylactique par Clexane est poursuivie et relayée par le Xarelto à la sortie. Durant le séjour, Mr. Y bénéficie d'une réadaptation précoce individuellement adaptée. À l'entrée, le patient est déjà autonome dans les transferts et se déplace de manière autonome avec deux cannes anglaises. Grâce à des thérapies intensives, des progrès au niveau de la force, de l'endurance et de la sécurité de la marche sont observés. À la sortie, Mr. Y est également autonome dans les escaliers. Le Tinetti est alors à 25/58. Diagnostic supplémentaire 1 Le patient rapporte une chute en se levant quelques jours avant l'opération. Un Schellong confirme une hypotension orthostatique sans réponse sympathique à 2 minutes. Mr. Y portant déjà des bas de contention, nous ne prenons pas d'autres mesures pour l'instant. L'ECG du 11.12.2018 montre une bradycardie sinusale, un bloc AV du premier degré et un hémibloc antérieur gauche. Diagnostic supplémentaire 2 Puisque la peau des membres inférieurs est sèche et se désquame, nous appliquons de l'excipial hydrolotion 3x/jour. Il n'y a pas de varices apparentes ni d'ulcères veineux, mais des plaies traumatiques qui mettent du temps à cicatriser. Le patient n'ayant pas d'indication particulière pour un traitement avec du Nexium, il est arrêté. Mr. Y peut regagner son domicile le 19.12.2018 en bon état général. Mr. Y, votre patient de 79 ans, connu pour HTA et résection colique partielle en 2007 dans un contexte de néoplasie colique, se présente aux urgences le 27.12.2018 pour des douleurs abdominales avec vomissements et diarrhées d'apparition rapidement progressive depuis 3 jours, avant disparition des diarrhées. À noter que le patient est connu pour des diarrhées chroniques depuis sa résection colique en 2007. Au CT-Scanner abdominal, on retrouve une légère dilatation (moins de 3 cm) de l'intestin grêle suggérant un iléus d'origine paralytique probable, évoquant plutôt une gastro-entérite. La sanction chirurgicale n'est pas retenue. Le bilan biologique met également en évidence une acutisation de son insuffisance rénale chronique dans le contexte de déshydratation. Le patient est hospitalisé en médecine pour gestion de l'antalgie et suivi de l'insuffisance rénale en l'absence d'indication opératoire par l'équipe de chirurgie. Un traitement symptomatique prokinétique est instauré ainsi qu'une hydratation intraveineuse. L'évolution clinique étant rapidement favorable, Mr. Y retourne à domicile sans aide avec suivi habituel auprès de son médecin traitant. Mr. Y, patient de 72 ans, diagnostiqué en décembre 2018 d'un carcinome de l'œsophage proximal actuellement sous radio-chimiothérapie concomitante par Carboplatine et 5-FU à visée curative. Il consulte dans un contexte de mucite de grade 3 avec une dysphagie progressive depuis 2-3 semaines et une aphagie complète depuis 2-3 jours. À noter qu'une PEG a été posée en 11.2018 à visée préventive avec l'introduction de l'alimentation par la PEG 4 jours avant l'hospitalisation. Le traitement de chimiothérapie est mis en suspens ainsi que la radiothérapie. Un bilan ORL confirme une mucite de grade 3. Un traitement par Fluconazole par dose unique est instauré avec la poursuite d'une Mycostatine et un traitement symptomatique par bains de bouche et antalgie. Les douleurs à la déglutition s'estompent progressivement permettant une reprise progressive d'une alimentation orale. Une pancytopénie secondaire au traitement de chimiothérapie nécessite la transfusion de 2 CE. Un contrôle de la formule sanguine est prévu à la consultation d'oncologie avant la reprise du prochain cycle de chimiothérapie. La radiothérapie est reprise dès le 28.01.2019. Des douleurs abdominales et diarrhées à l'admission sont mises sur le compte de l'introduction rapide de l'alimentation par la sonde nasogastrique. Après diminution du débit et adaptation de la composition de l'alimentation, l'évolution est favorable. Le patient sera revu en consultation d'oncologie auprès du Dr. X le 31.01.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y rentre à domicile le 29.01.2019 en bon état général. Mr. Y, patient de 74 ans connu pour une épilepsie sous phénytoïne et un antécédent d'AVC ischémique frontal bilatéral en 2015 et 2016 avec hémisyndrome moteur facio-brachio-crural droit et aphasie motrice séquellaire, est amené en ambulance depuis La Providence en raison de troubles de l'état de conscience nouveaux observés depuis 14h30 avec dernière preuve de bonne santé à midi le même jour.Aux urgences, un CT Time is Brain et un avis de nos collègues neurologues écartent une origine centrale. Une intoxication à la phénytoïne étant fortement suspectée, un taux est mesuré, demeurant dans la norme. Parallèlement, le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire mais le sédiment urinaire retrouve des signes d'infection urinaire. Le patient est hospitalisé pour une antibiothérapie par Ciprofloxacine 500 mg 2x/j avec résolution de ses troubles de l'état de conscience. On conclut à un état confusionnel aigu dans le contexte infectieux. Aucun Urotube n'a malheureusement pu être prélevé aux urgences. Au vu d'interactions médicamenteuses avec la phénytoïne et des antécédents de germe présentés par le patient, la Ciprofloxacine est relayée par de la Co-amoxicilline 1 g 2x/j pour une durée totale de 7 jours. Au vu de l'amélioration clinique et sur demande du patient, Mr. Y peut rentrer dans son home le 04.01.2019. Mr. Y, patient de 84 ans connu pour une mutation hétérozygote du facteur V avec des antécédents de TVP et EP ainsi qu'une insuffisance cardiaque chronique, nous est adressé par les urgences de l'HFR Fribourg en raison de douleurs de type brûlure au niveau des pieds et jambes. En plus de ces douleurs, le patient présente également des douleurs au niveau de la hanche gauche, ainsi qu'une limitation fonctionnelle de celle-ci dans tous les plans. Mr. Y vit seul à domicile (appartement au 2e étage avec accès par ascenseur) avec le passage d'une infirmière à domicile trois fois par semaine pour les soins corporels et le semainier. Sa femme a été récemment institutionnalisée en raison d'une démence. Cliniquement, le patient présente une dermite ocre bilatérale au niveau pré-tibial. La mobilisation de la hanche est limitée dans tous les axes. Une radiographie de la hanche montre une arthrose sévère à gauche avec grande asymétrie avec l'autre côté, sans signes de fracture. Les laboratoires de contrôle révèlent une insuffisance rénale chronique stade 2 ainsi qu'une carence en vitamine D dont nous avons commencé la supplémentation et que nous vous proposons de recontrôler. Concernant les douleurs arthrotiques, une antalgie simple ainsi que des séances de physiothérapie intensives permettent, après plusieurs adaptations, un contrôle satisfaisant de la symptomatologie. Selon discussion avec les orthopédistes, il n'y a pas d'indication opératoire actuellement. La dermite de stase avec des œdèmes des membres inférieurs d'origine probablement mixte s'améliore sous thérapie compressive et après majoration des diurétiques ainsi que l'introduction de Pregabaline. Cliniquement, il n'y a pas d'arguments en faveur d'une polyneuropathie, d'ailleurs un bilan glycémique et vitaminique est dans la norme. En raison d'une hypothyroïdie insuffisamment substituée, l'Euthyrox est majoré. Parallèlement à cela, Mr. Y bénéficie d'une réhabilitation précoce individuellement adaptée. À l'entrée, il est autonome dans les transferts (FIM 6) et peut se déplacer à l'aide d'un rollator sous supervision sur de courtes distances (FIM 5). Grâce à des thérapies intensives, une amélioration de la mobilité est observée. À la sortie, le patient se déplace de manière autonome avec le rollator sur une distance de 80 mètres (FIM 6) et peut monter et descendre 18 marches d'escalier sous supervision (FIM 5). Le Tinetti est à 16/28. Devant une persistance des troubles de la marche, Mr. Y est transféré le 22.01.2019 au département de réhabilitation de notre hôpital pour un reconditionnement avant son retour à domicile. Mr. Y est un patient de 68 ans qui est hospitalisé au sein de notre service pour prise en charge de l'artériopathie oblitérante du membre inférieur gauche avec nécrose humide du deuxième orteil. Le patient bénéficie d'une pose de deux stents au niveau de l'axe iliaque gauche, d'une endartérectomie fémorale gauche et d'une amputation du deuxième orteil gauche le 07.01.2019. Les suites opératoires sont favorables avec une bonne perfusion du membre et un site d'amputation montrant une bonne évolution. L'abord fémoral présente un léger écoulement séreux, traité par pansements Pico. Un angio-CT est effectué montrant une bonne perméabilité de l'axe ilio-fémoral et une perfusion jusqu'en distalité. Sur le plan infectieux, une antibiothérapie est débutée en cours d'hospitalisation pour une durée d'une semaine en raison d'une pneumonie basale droite communautaire. Sur le plan diabétologique, le Tresiba est diminué de 30 à 28 UI. Nous vous laissons le soin de suivre les complications du diabète selon les recommandations actuelles. Mr. Y rentre à domicile avec des soins de plaies quotidiens au niveau du site d'amputation et il sera revu à la consultation du Dr. X pour suivi de la plaie inguinale le 22.01.2019. Mr. Y, 73 ans, est hospitalisé dans notre service de Chirurgie en urgence pour prise en charge d'un iléus mécanique grêle. En effet, il se présente le 21.12.2018 avec des douleurs abdominales diffuses. Le scanner montre un iléus avec saut de calibre en fosse iliaque droite. Le patient bénéficie d'une laparotomie exploratrice avec résection grêle et mise en place d'une splitostomie le 24.12.2018. L'évolution post-opératoire est marquée par un choc hypovolémique et une insuffisance respiratoire nécessitant une hospitalisation aux soins intensifs jusqu'au 29.12.2019. En raison d'une contamination grêle périopératoire, d'un syndrome inflammatoire à la hausse et d'une pneumonie bibasale, le patient bénéficie d'une antibiothérapie jusqu'au 01.01.2019. Le pansement VAC sous-cutané mis en périopératoire est changé régulièrement jusqu'au 04.01.2019. Les fils à la peau devront être retirés le 18.01.2019. Le patient étant à risque de déshydratation dans le contexte de l'iléostomie, un suivi par l'équipe de diététique et nutrition est organisé en ambulatoire. Par ailleurs, l'anticoagulation thérapeutique par Clexane est reprise dès le 02.01.2019. Le Sintrom est réintroduit le 07.01.2019 avec un INR à 1.3 le 09.01.2019. Nous organisons un rendez-vous chez le Dr. X afin de contrôler la coagulation le 11.01.2019. Une hyperkaliémie à 5.2 mmol/l motive l'introduction de Résonium 3x/j avec un contrôle chez le médecin traitant. Enfin, le scanner initial ayant mis en évidence une possible tumeur urothéliale droite, un avis urologique est pris. À l'issue de celui-ci, nous organisons un rendez-vous en ambulatoire au cabinet du Dr. X pour une urétéroscopie avec prélèvements cytologiques le 14.01.2019 à 14h45. Nous reverrons Mr. Y à la consultation des Chefs de clinique le 24.01.2019 à 11h00 afin de planifier la fermeture de la splitostomie. Mr. Y, 73 ans, est hospitalisé aux soins intensifs le 30.01.2019 en postopératoire d'une gastrectomie totale pour un adénocarcinome. La surveillance aux soins intensifs est d'évolution favorable. Dès J1, une réalimentation est débutée par 500 ml/24h par la jéjunostomie. L'administration des médicaments peut être reprise par la sonde nasogastrique. Au plan hémodynamique, il reste stable sans besoins d'amines. Au niveau respiratoire, il présente une insuffisance respiratoire partielle attribuée à une atélectasie avec un possible infiltrat basale droite, traitée par physiothérapie et oxygénothérapie aux lunettes. En cas d'état fébrile, une couverture antibiotique pour un foyer pulmonaire est à réévaluer. Pour une embolie pulmonaire récente, il est anticoagulé de manière thérapeutique. Celle-ci est mise en suspend pour l'opération avec une reprise de l'héparine prophylactique dès le 30.01.2019 avec une augmentation progressive.Il est transféré le 31.01.2019 à l'étage de chirurgie pour suite de prise en charge. Mr. Y, connu pour un carcinome épidermoïde pulmonaire du lobe inférieur droit cT2-3 cN2 pM0 stade IIIA sous immunothérapie par Imfinzi à visée curative, dernière dose reçue le 17.12.2018, est amené aux urgences en ambulance le 23.12.2018 en raison d'une hémoptysie avec écoulement par la bouche et le nez ce jour à 18h30, tarie spontanément après 10 minutes, avec une quantité évaluée à 1 haricot. Le patient explique avoir des crachats sanglants depuis 3-4 jours en petites quantités ainsi qu'une dyspnée depuis plusieurs mois qui s'est améliorée suite au saignement de ce jour. Pas d'autre symptôme notamment pas de malaise. Toux chronique stable depuis quelques mois. Aux urgences, le patient est afébrile à 36.8°C, normotendu à 128/94 mmHg, normocarde à 97/min, eupnéique et sature à 95% à l'air ambiant. L'auscultation cardiaque montre des bruits réguliers mais assourdis, sans souffle audible. Il n'y a pas de signe de décompensation cardiaque droite ni gauche. Au niveau respiratoire, on constate des ronchis diffus à droite et des crépitants discrets en base gauche sans signes de détresse respiratoire. L'examen abdominal et l'examen urogénital sont normaux. Au niveau ORL, on constate la présence de sang coagulé dans les narines droite et gauche et au niveau du fond de gorge, sans saignement actif. L'ECG montre une fibrillation auriculaire normocarde. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 25 mg/l et une leucocytose à 12.1 G/l, ainsi qu'une anémie normochrome normocytaire avec hémoglobine à 87 g/l. On note encore une insuffisance rénale chronique acutisée avec une créatinine à 148 µmol/l et une urée à 17.6 mmol/l. L'INR sous Sintrom est à 1.6. La radiographie thoracique montre foyer de condensation de l'hémichamp pulmonaire inférieur à droite bien visible sur le cliché de profil en projection juxta-hilaire droite, une composante d'épanchement pleural à droite de faible abondance ainsi qu'une turgescence hilaire bilatérale. Le bilan est complété par un CT scan thoracique, on constate une discrète progression de l'extension du magma tissulaire hilaire droit et progression en taille de ganglions médiastinaux (DD : progression tumorale, origine infectieuse, processus inflammatoire), des infiltrats en verre dépoli dans les deux poumons, prédominant dans le lobe moyen, en régression par rapport au comparatif et ne prédominant pas dans les mêmes localisations (DD : Restes de la pneumopathie précédemment visible ? Hémorragies alvéolaires ? Foyers infectieux ?). Pas de saignement actif décelé. Le patient est hémodynamiquement stable à l'admission et ne présente pas de saignement. Afin de réverser la crase, nous administrons du Beriplex 1500 UI flacons et 1 dose de Konakion 10 mg iv. Au contrôle de la FFS et de la crase à 30 minutes, l'hémoglobine est à 84 g/l. Le Sintrom est initialement mis en pause et nous proposons ensuite un arrêt définitif de cette anticoagulation prescrite dans le contexte d'une fibrillation auriculaire. Le 24.12.2018, nous demandons l'avis du Dr. X, qui préconise la réalisation d'une bronchoscopie en cas de persistance des hémoptysies. Durant le séjour, Mr. Y reste hémodynamiquement stable sans récidive d'hémoptysie mais avec quelques crachats hémoptoïques dont les derniers le 27.12.2018. Au vu d'une hémoglobine à 77 g/l le 26.12.2018, il bénéficie de la transfusion de deux concentrés érythrocytaires avec une bonne réponse biologique et une hémoglobine à 99 g/l le 28.12.2018. L'évolution clinique et biologique est favorable et Mr. Y peut regagner son domicile le 29.12.2018. Un rendez-vous à la consultation de Dr. X est agendé pour le 07.01.2019. Mr. Y, connu pour une hypertension artérielle traitée, est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémique multifocal. Le patient est envoyé par son médecin traitant le 04.01.2019 à l'hôpital de Riaz afin d'y effectuer une IRM cérébrale en raison d'une incapacité à mobiliser son MSD au réveil le 04.01.2018. Aux urgences, est mise en évidence une plégie isolée du MSD. L'IRM cérébral révèle de multiples lésions ischémiques sylviennes bilatérales. Une séquelle ischémique cérébelleuse D est également observée. Le CT cérébro-cervical révèle une sténose estimée à 60 % du départ de l'artère carotide interne G, non confirmé à l'examen neurosonologique. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre une oreillette G très dilatée avec des troubles de la cinétique segmentaire diffuse, associée à une FEVG diminuée à 30-35 %. Un Holter de 72h est posé durant l'hospitalisation, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. Nous vous invitons à pister ces résultats et à organiser un R-Test en cas d'absence de mise en évidence d'une arythmie emboligène. Nous retenons une étiologie cardio-embolique et instaurons une anticoagulation par Eliquis 2.5 mg 2x/jour à prendre au long cours, dans le contexte cardiologique précité. Nous instaurons un traitement médicamenteux de l'insuffisance cardiaque avec Lisinopril et Metoprolol à petites doses que nous vous invitons à augmenter progressivement selon tolérance tensionnelle et rythmique. Nous suspectons une origine ischémique à ces troubles et proposons d'organiser une coronarographie à distance de l'évènement cérébrovasculaire aigu. Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 40 mg/jour est introduit en raison d'une hypercholestérolémie. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 2.6 mmol/l). Un bilan neuropsychologique révèle des troubles exécutifs et praxiques, qui dépassent le cadre des lésions aiguës et font évoquer un possible tableau neurocognitif mixte (vasculaire et neurodégénératif). En cas d'apparition de difficultés dans l'accomplissement des AVQ, notre service de neuropsychologie se tient à disposition pour effectuer un bilan de suivi par la suite. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est lentement favorable avec un status neurologique de sortie montrant la persistance, bien qu'en très nette amélioration, de la parésie du MSD avec une force segmentaire estimée à M4+, absence d'ataxie au MSD. Mr. Y peut regagner son domicile le 10.01.2019, avec organisation d'ergothérapie et physiothérapie en ambulatoire. Mr. Y, patient de 85 ans, connu pour un AVC ischémique pluri-territorial aigu le 04.01.2019 ainsi qu'une insuffisance cardiaque d'origine indéterminée, se présente dès le lendemain de son retour à domicile, le 12.01.2019, au service des urgences avec une parésie et une ataxie du membre supérieur droit, ainsi qu'une dysarthrie. Le patient est hospitalisé au service de médecine interne pour la suite des investigations. Au vu de la clinique neurologique, un CT cérébral "Time is Brain" est réalisé mais ne montre pas de nouvelle lésion. Une IRM cérébrale réalisée par la suite met cependant en avant de nouvelles lésions punctiformes au niveau des gyri pré- et post-centraux, ainsi que le début d'une transformation hémorragique d'une ancienne lésion. En revoyant les images du patient, nos collègues neurologues remarquent, au décours, la présence d'une plaque molle au niveau de la carotide interne gauche, raison pour laquelle le patient est présenté aux chirurgiens vasculaires, en vue d'une éventuelle thrombendartériectomie de la carotide interne gauche. Aucune indication chirurgicale n'est retenue. Au vu des lésions bi-hémisphériques qu'a présentées le patient lors de son premier AVC, un bilan de thrombophilie paranéoplasique est réalisé. Une gastroscopie afin d'investiguer un épaississement de l'œsophage distal, mis en évidence lors d'un CT du 09.01.2019 (hospitalisation précédente), est réalisée. Les biopsies prélevées ne montrent pas de signes d'atteintes néoplasiques. Une colonoscopie n'est pas indiquée, en raison de l'absence de lésion visible au CT abdominal.Une réadaptation gériatrique à Riaz est prévue pour la suite. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR, en attente de sa réadaptation, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement dès le 28.01.2019 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté notre service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, patient de 79 ans, hospitalisé pour un déconditionnement multifactoriel, qui était reclassé en attente d'une réadaptation gériatrique à l'HFR Riaz, refusée par les réadaptateurs au vu d'un potentiel insuffisant. Il est à nouveau hospitalisé en aigu au vu d'une exacerbation de BPCO. Nous introduisons une antibiothérapie, des corticoïdes pour une durée de 5 jours ainsi que des inhalations régulières. Une radiographie du thorax ne montre pas d'infiltrat. Au niveau biologique, nous observons une régression de la leucocytose. Le patient montre une légère amélioration clinique grâce au traitement. Des oedèmes importants des MI et des râles crépitants en base gauche sont mis dans le contexte d'une rétention hydro-sodée sur corticothérapie. Le bilan cardiaque par ETT montre une FEVG conservée, sans valvulopathie. Un bandage compressif des jambes et une majoration du Torasemide montrent une bonne régression des oedèmes. Au vu d'une dépendance importante du patient pour les AVQ sans amélioration malgré la physiothérapie, il est décidé lors d'un colloque en présence de la famille et de Mr. Y d'un placement en EMS. Une proposition d'infrastructure temporaire à l'UATO est acceptée auprès de la famille et du patient à la Providence en attente d'EMS. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement le 30.01.2019 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y connu pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, résidant au foyer de Morlon, est adressé aux urgences par le Dr. X, médecin du foyer, en raison d'une mauvaise évolution d'un érysipèle au niveau du membre inférieur droit, malgré une antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 2x/j per os depuis le 13.12.2018, puis, devant un syndrome inflammatoire persistant avec une CRP à 190 mg/l, ajout du Tarivid 200 mg 1x/jour le 17.12.2018. Pas de notion de traumatisme ni de porte d'entrée visualisée. En effet, ce jour, lors de la visite au foyer, le Dr. X met en évidence une inflammation associée à un oedème du membre inférieur droit jusqu'à mi-cuisse ainsi que la présence de phlyctènes sur la face dorsale du pied et sur la face latéro-postérieure du mollet droits. A l'admission aux urgences, Mr. Y est normotendu à 131/65 mmHg, normocarde à 81 battements par minute et sature à 95% à l'air ambiant. Il est apyrétique à 37.2°C. Nous constatons un érythème diffus du membre inférieur droit depuis la face dorsale du pied jusqu'à la face postérieure de la cuisse, à mi-hauteur, avec présence de phlyctènes avec écoulement séro-purulent en regard des 3ème et 5ème métatarsiens et du mollet droit sans adénopathie inguinale. Les pouls périphériques sont palpables. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 109 mg/l et une leucocytose à 12.2 G/l, ainsi qu'une insuffisance rénale chronique stade 3b selon KDIGO (août 2018) acutisée AKIN 1, avec une créatinine à 146 umol/l et un Cockroft estimé à 29 ml/min. Nous introduisons une antibiothérapie par Floxapen 2 g 4x/jour iv. En raison d'une difficulté à mettre en place une voie veineuse périphérique pour l'antibiothérapie, nous effectuons un relais per os de l'antibiothérapie par amoxicilline 1 g 3x/jour per os du 24.12.2018 au 25.12.2018. Une voie veineuse centrale est posée par nos collègues anesthésiste le 25.12.2018, permettant la reprise du Floxapen 2 g 4x/jour iv du 26.12.2018 au 03.01.2019. L'évolution est toutefois toujours insuffisante et nous contactons le Dr. X, infectiologue, qui préconise un changement d'antibiothérapie pour couvrir les Streptocoques. Elle nous propose la Cubicin 4 mg/kg 1x/jour, dès le 03.10.2019, pour une durée totale de 10 jours, à réévaluer toutefois selon l'évolution clinique. La voie veineuse centrale est enlevée le 14.01.2019. Dans le contexte de l'artériopathie des membres inférieurs, sans contrôle récent, nous demandons un bilan angiologique qui montre une situation artérielle aux membres inférieurs stable des deux côtés. Durant le séjour, le patient bénéficie de physiothérapie de mobilisation. L'évolution étant par la suite favorable, avec un patient afébrile et hémodynamiquement stable, Mr. Y peut regagner son domicile le 15.01.2019. A noter que le traitement antihypertenseur par Zanidip 10 mg a été arrêté au vu de valeurs tensionnelles dans la norme durant le séjour. Nous vous proposons de reprendre le traitement en cas de tension artérielle systolique au-dessus de 150 mmHg. Le patient sera revu par le Dr. X le 18.01.2019. Mr. Y nous est transféré le 09.01.2019 depuis le service de médecine interne de l'HFR site Fribourg dans le contexte d'un déconditionnement sur gastro-entérite. A l'entrée, le patient se plaint d'un inconfort thoracique après une toux sèche. Il n'a pas d'autre plainte. A l'examen d'entrée, nous retrouvons de très discrets signes d'insuffisance cardiaque globale avec râle de stase bibasaux et oedèmes des membres inférieurs. Le reste de l'examen est dans les limites de la norme. Mr. Y vit avec son épouse dans une maison avec 3 appartements. Les fils habitent dans les 2 autres appartements. Avant l'hospitalisation, il était indépendant pour les AVQ et les IAVQ. Il se déplaçait hors de l'appartement avec une canne. Il y a 3 marches devant la maison. La fonction rénale reste stable au cours de l'hospitalisation. Sur le plan endocrinologique, son traitement habituel est poursuivi. Nous mettons en évidence une hypovitaminose D que nous substituons. Le profil tensionnel étant suboptimal, nous majorons le traitement d'Amlodipine. A l'entrée, le patient se déplace avec une mobilité réduite et le risque de chute est légèrement augmenté. Il réalise les transferts ainsi que la marche avec une autonomie réduite. Le périmètre de marche est de 60 mètres avec une canne. Il parvient à monter 9 marches sous supervision. Après avoir bénéficié d'une ergo- et physiothérapie intensive, le patient réalise les transferts, la marche et la montée des escaliers avec une autonomie réduite. Le périmètre de marche est de >150 mètres avec une canne et 18 marches sont gravies. Le risque de chute reste inchangé. Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 17.01.2019. Mr. Y présente une lésion partielle du ligament croisé antérieur associée à une lésion de la corne postérieure du ménisque interne. Dans un premier temps, je propose un traitement conservateur. Le patient va débuter la physiothérapie à but antalgique, afin de dé-tuméfier le genou. Je le reverrai dans 3 semaines pour une réévaluation clinique. En cas de persistance de l'épanchement articulaire, on pourrait éventuellement faire une ponction de décharge ou une arthroscopie diagnostique, ceci permettrait d'inspecter la corne postérieure du ménisque interne et, en cas de nécessité, d'effectuer une réparation, voire un débridement partiel. Pas d'arrêt de travail, le patient travaillant dans un bureau.Prochain contrôle le 30.01.2019. Mr. Y, patient de 26 ans, est hospitalisé en raison de douleurs thoraciques dans un contexte de myocardite probablement virale. Une cause éthylo-toxique ou médicamenteuse est exclue à l'anamnèse. Une coronarographie est réalisée le 27.12 qui montre une ectasie de l'IVA, sans sténose avec une dysfonction systolique modérée du VG avec hypokinésie apicale. Il présente un bloc de branche droit en péri-interventionnelle qui persiste durant plusieurs heures par la suite. Il séjourne aux soins intensifs du 27.12 au 29.12 pour une surveillance rythmique qui est marquée par la présence de deux épisodes de TV non soutenus, asymptomatiques. Le patient est transféré en unité de médecine interne le 29.12 et reste asymptomatique jusqu'à sa sortie le 31.12.2018. Après contact téléphonique avec le Dr. X (cardiologie), une échocardiographie transthoracique n'a pas besoin d'être effectuée avant son retour à domicile et le patient sera convoqué en ambulatoire une semaine plus tard pour ce faire. Un traitement par IEC et bêta-bloquant est débuté le 28.12.2018 et sera réévalué lors de son contrôle en cardiologie. Le patient est informé de ne pas consommer d'alcool, de ne pas fumer et de ne pas pratiquer de sport pendant 3 mois. Mr. Y, patient de 78 ans, nous est transféré le 10.12.2018 depuis le service de neuro-réhabilitation de l'hôpital de Meyriez dans notre service de gériatrie aiguë sur une aggravation soudaine des troubles de la marche. Le patient est connu pour un AVC ischémique de la corona radiata gauche le 06.10.2018 d'origine probablement cardio-embolique avec mise en évidence d'une fibrillation auriculaire inaugurale, se manifestant par un hémi-syndrome facio-brachial droit moteur. En fin de séjour en neuro-réhabilitation intensive, Mr. Y développe une pneumonie nosocomiale, accompagnée d'une aggravation de ses troubles de la marche, pour lesquels il est transféré dans le service de gériatrie aiguë de l'hôpital de Meyriez. Suite à l'amélioration clinique et biologique du patient, il est à nouveau accueilli dans notre service au vu du potentiel de récupération au niveau de la marche, dans le but d'un retour à domicile. À l'admission, le patient se plaint d'une péjoration au niveau de la marche, avec une asthénie lors de la mobilisation, raison pour laquelle il utilise à nouveau le rollator à la place des cannes de Nordic Walking. Au status, Mr. Y est dans un état général légèrement diminué en lien avec une asthénie à l'effort. À l'examen cardio-pulmonaire, nous retrouvons un rythme irrégulier, mais normocarde, sans autre anomalie identifiable. L'examen neurologique met en évidence une parésie de l'hémi-corps droit, avec une force globalement à M4. Présence d'une hyperréflexie de l'hémi-corps, avec une légère spasticité. Le signe de Babinski est présent au MID, absent controlatéralement. La sensibilité tacto-algique est conservée symétriquement aux membres supérieurs comme aux membres inférieurs. La marche est limitée, avec un ralentissement moteur, un élargissement du polygone de sustentation et des petits pas, accompagné par un risque de chute important. Ces éléments étaient déjà observés au tout début de son séjour en neuro-réhabilitation, et sont à nouveau observés en raison de la régression sur le plan moteur. Avant son AVC, le patient vivait avec son épouse dans un appartement au premier étage sans ascenseur, avec environ 8 marches d'escalier pour accéder à l'immeuble, et environ 24 marches d'escalier à monter pour atteindre l'appartement. Il était indépendant pour les activités de la vie quotidienne. Il marchait sans moyen auxiliaire dans la maison, et avec une canne en dehors de la maison. Le patient conduisait jusqu'à son AVC. Au cours de son séjour en neuro-réhabilitation, Mr. Y retrouve un niveau de motricité, avec une marche désormais possible avec 2 cannes de Nordic Walking à l'intérieur, et avec rollator à l'extérieur. Il peut également faire les escaliers sans aide physique ; il nécessite toutefois une supervision proche lors de distances > 50 m, car la fatigue rend sa marche moins sûre. Au vu des progrès réalisés dans notre service, Mr. Y peut donc rentrer à domicile. La poursuite de thérapies multidisciplinaires reste recommandée au vu des progrès encore possibles. Mr. Y quitte donc notre service de neuro-réhabilitation intensive le 09.01.2019.En raison de ces limitations fonctionnelles persistantes dans le cadre post-AVC, une reprise de la neuro-réhabilitation est indiquée dans le but d'un retour à domicile. Mr. Y est donc retransféré le 21.12.2018 dans le service de neuro-réhabilitation intensive à Meyriez. Mr. Y est un patient de 46 ans en bonne santé habituelle, qui est amené en ambulance au service des urgences ce jour pour prise en charge d'une chute avec traumatisme crânien. L'hétéroanamnèse avec la femme du patient rapporte que le patient se serait levé en bonne santé le 07.01.2019. Il présente par la suite un hoquet qui persiste une heure durant puis aurait présenté un épisode de trouble de l'élocution objectivé par une amie qui devait l'amener au travail. Plus tard alors qu'il est en train d'ouvrir la porte de sa voiture, il perd connaissance et fait une chute de sa hauteur avec traumatisme crânien. Au service des urgences, le patient est mutique et présente un hémisyndrome facio-brachio-crural droit, déviation du regard vers la gauche. L'angio-CT cérébral révèle une pénombre du territoire sylvien G sans occlusion vasculaire. Une lyse intraveineuse est administrée environ 3 heures après le début des symptômes. L'IRM cérébrale confirme un AVC ischémique sylvien superficiel et profond G au niveau des noyaux de la base et cortical temporo-pariétal G. Le CT de contrôle à 24h ne montre pas de transformation hémorragique. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transoesophagienne montre une FEVG diminuée à 35% avec une hypokinésie apicale importante. Le suivi échocardiographique à 1 semaine révèle un FEVG à 45%. L'origine de cette diminution temporaire de la fonction cardiaque reste indéterminée avec un diagnostic différentiel de cardiopathie de stress primaire ou secondaire à l'évènement cérébro-vasculaire. Nous vous proposons, sur avis cardiologique, d'organiser une IRM cardiaque en ambulatoire. Un Holter de 72h est posé durant l'hospitalisation, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. Nous suspectons une étiologie cardio-embolique au vu de cette dysfonction systolique avec une hypokinésie apicale pouvant favoriser la formation de thrombus intracardiaque. Un traitement anticoagulant par Eliquis est introduit le 19.12.2019. Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est introduit en raison d'une hypercholestérolémie. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est satisfaisante avec un status neurologique de sortie montrant la persistance d'une aphasie globale avec trouble de compréhension des ordres simples et complexes, une quadranopsie supérieure D et un hémisyndrome moteur facio-brachial D prononcé. Mr. Y est transféré en neuroréhabilitation intensive le 24.01.2019. Mr. Y consulte les urgences le 01.01.2019 en raison de douleurs péri-ombilicales et en fosse iliaque gauche depuis le 26.12.2018, de type tiraillement. Les douleurs sont majorées à la marche, en station debout et à la toux. Le patient signale également une péjoration brutale de ces douleurs durant la nuit précédente et le réveillant. Pas de nausée ni de vomissement, pas de reflux. Tendance à la constipation mais selles molles ce jour. Pas de plainte urinaire. Mr. Y se plaint également de palpitations, d'une dyspnée et d'une fatigue depuis le 26.12.2018. À l'admission aux urgences, les douleurs sont évaluées à 2/10. Les constantes sont bonnes. Au status digestif, l'abdomen est souple sans défense ni détente. Sensibilité à la palpation profonde en région épigastrique et en fosse iliaque gauche. Présence d'une hernie supra-ombilicale connue, indolore à la palpation et spontanément réductible. Au status cardiovasculaire, le rythme cardiaque est rapide et irrégulier. Notons un souffle systolique 3/6 au foyer mitral. Pas d'œdème des membres inférieurs, pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire. Les mollets sont souples et indolores. Au niveau pulmonaire, présence de crépitants bibasaux. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Le laboratoire montre une légère élévation des tests hépatiques et des CK, non contributive et en diminution durant le séjour. Le patient évacue des selles et présente une amélioration des douleurs abdominales. Au vu de son âge, nous organisons colonoscopie en ambulatoire chez le Professeur X le 04.04.19 à 14h30. Les douleurs abdominales restent d'origine indéterminée et nous suspectons, au vu de l'anamnèse, une connexion avec l'hernie ombilicale; il peut s'agir simplement d'une dyspepsie abdominale. Concernant la fibrillation auriculaire rapide, nous débutons un traitement freinateur par Metoprolol iv et per os, mais celui-ci n'est pas efficace. La fréquence cardiaque est par la suite contrôlée efficacement par Diltiazem iv. Durant le séjour, il bénéficie d'un traitement d'entretien par Metoprolol retard 50 mg 1x/j et Diltiazem 60 mg en réserve. À la sortie, nous mettons en place un traitement par Beloc Zok 75 mg ainsi qu'une anticoagulation orale par Xarelto. Mr. Y peut regagner son domicile le 04.01.2019. Il prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X, cardiologique, pour contrôle et suite de la prise en charge. Mr. Y souffre d'une bursite sous-acromio-deltoïdienne de l'épaule gauche due à un conflit sous-acromial à gauche. Il présente également une arthrose acromio-claviculaire traumatisée à gauche. La fonction articulaire a permis d'exclure une infection à bas bruit. Vu la souffrance du patient, je propose d'effectuer, comme déjà proposé lors de la consultation du 06.11.2018, une infiltration de l'articulation acromio-claviculaire et de l'espace sous-acromial de l'épaule. Le patient me donne son accord. Cette infiltration est programmée pour le 16.01.2019. Le patient va continuer la physiothérapie pour son genou. Après l'infiltration de l'épaule, il pourra continuer la physiothérapie pour regagner la mobilité de l'épaule. L'arrêt de travail à 100% est prolongé jusqu'au 06.02.2019. Je reverrai le patient 3 semaines après l'infiltration pour une réévaluation clinique : le 06.02.2019. Mr. Y, 85 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique et hémodynamique suite à la pose d'un clip mitral. Il bénéficie en électif le 14.01.2019 de la pose d'un clip mitral sous anesthésie générale en raison d'une insuffisance mitrale sévère. L'ETO objective une insuffisance mitrale résiduelle (1/3) en fin de procédure. À son transfert, il présente par la suite des douleurs latéro-thoraciques gauches associées à une bradycardie asymptomatique avec passages en rythme idioventriculaire dans le contexte d'une FA connue. Une échocardiographie transthoracique de contrôle exclut un épanchement péricardique ou une récidive d'insuffisance mitrale par défaillance du dispositif. Durant la surveillance aux soins intensifs, le patient présente une insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur décompensation cardiaque avec surcharge pulmonaire traitée par diurétiques. Des hématomes aux points de ponction de la veine fémorale et de la voie veineuse centrale se développent en post-interventionnel le 14.01.2019. La crase est reversée par protamine avant l'ablation de la voie veineuse centrale. Le suivi biologique montre par la suite une stabilisation de l'hémoglobine. La reprise de l'anticoagulation pour la fibrillation auriculaire sera à réévaluer avec les cardiologues selon l'évolution clinique et biologique.Durant la surveillance aux soins intensifs, le patient présente des passages en bradycardie sinusale asymptomatique. Ces épisodes de bradycardie sont mis sur le compte d'une possible compression du glomus carotidien par le volumineux hématome en regard de la voie veineuse centrale jugulaire droite. En effet, ces épisodes de bradycardie surviennent lors de la position de décubitus latéral droit et se résolvent spontanément par le changement de position. Mr. Y nous est transféré le 29.11.2018 du service de médecine interne de l'HFR Fribourg à cause d'une immobilisation secondaire dans le contexte d'une malnutrition sévère. A l'entrée, le patient se plaint d'une perte de force proximale des membres inférieurs. Il déclare encore souffrir de dyspnée à l'effort modéré. Au status d'entrée, nous retrouvons la présence des oedèmes des membres inférieurs prédécrits lors du séjour en médecine interne associés à une turgescence jugulaire et de discrets râles de stase. Il présente par ailleurs un test du lever de chaise pathologique avec utilisation des membres supérieurs. Au niveau du status cutané, nous retrouvons une plaie du bord latéral de l'orteil de l'hallux et du 2ème orteil droit. Les lésions pétéchiales décrites auparavant ne sont plus retrouvées. Diagnostic principal Le patient bénéficie d'une évaluation par nos diététiciennes. Des conseils nutritionnels lui sont prodigués. Une hypovitaminose D est substituée. A l'entrée, le patient présente une mobilité légèrement diminuée avec un risque de chute augmenté. Les transferts sont réalisés de façon autonome. La marche avec rollator est réalisée sous supervision avec un périmètre de marche de 60m. La montée de marches n'est pas encore testée. Après avoir bénéficié de physio- et ergothérapie intensive avec entraînement de l'équilibre, renforcement musculaire des jambes et entraînement à l'endurance, le patient sort avec un risque de chute discrètement augmenté. Les transferts et la marche sont réalisés de façon autonome avec un périmètre de marche supérieur à 200m. Par ailleurs, le patient monte les escaliers avec une aide de contact. Diagnostics supplémentaires 1 et 5 Nous poursuivons le torasémide à dose augmentée jusqu'à disparition totale des oedèmes puis diminuons la posologie à dose habituelle. Diagnostics supplémentaires 2 et 3 Nous notons une légère acutisation de l'insuffisance rénale dans le contexte du traitement diurétique. La fonction rénale se normalise dès diminution des diurétiques. Par ailleurs, les électrolytes sont dans la norme durant le séjour. Diagnostics supplémentaires 6 et 7 Les pieds sont bien perfusés durant le séjour. L'évolution des plaies est favorable avec un protocole de soin de plaie. Par ailleurs, la rougeur du siège évolue également favorablement. Complication Mr. Y fait une chute sans conséquences hormis une petite lésion pariétale du cuir chevelu en glissant dans la salle de bain le 01.01.2019. Au vu de sa bonne évolution, le patient peut regagner son domicile le 07.01.2019. Mr. Y présente des gonalgies d'origine indéterminée. Comme seul indice, j'ai un test positif pour la corne postérieure du ménisque externe. Le reste du status clinique est rassurant. Je propose d'effectuer une IRM du genou gauche. Je reverrai le patient après cet examen pour discuter des résultats et du traitement. Pas d'arrêt de travail. Prochain rendez-vous le 06.02.2019. Mr. Y, patient de 51 ans, est admis aux soins intensifs pour surveillance rythmique et hémodynamique après un STEMI antéro-latéral sur occlusion de l'artère interventriculaire antérieure avec répercussions sur la fonction cardiaque gauche. Le patient, en bonne santé habituelle, consulte les urgences à Tavel pour des douleurs thoraciques survenues depuis 24 heures. Un STEMI antéro-latéral est diagnostiqué et le patient est transféré à l'hôpital cantonal de Fribourg pour une coronarographie en urgence qui met en évidence une occlusion thrombotique de l'artère interventriculaire proximale, qui est recanalisée et traitée par un stent actif. Une double antiagrégation plaquettaire par Aspirine et Prasugrel est prévue pour 12 mois et, en raison d'une FEVG à 25% avec une akinésie antérieure et apicale, une anticoagulation thérapeutique est également mise en place. Une échocardiographie transthoracique de contrôle sera à prévoir dans 4 semaines pour réévaluer l'anticoagulation et l'indication à un défibrillateur implantable. En attendant, un traitement médicamenteux de l'insuffisance cardiaque est initié, à savoir inhibiteur de l'enzyme de conversion, beta-bloquant et antagoniste de l'aldostérone. Les doses seront à adapter prudemment selon tolérance hémodynamique. Une échocardiographie transthoracique est effectuée en post-coronarographie en raison d'un souffle systolo-diastolique et met en évidence une minime communication inter-ventriculaire. La taille et la localisation sous-aortique de cette communication suggèrent une origine congénitale pour laquelle une simple surveillance régulière est préconisée par les collègues de la cardiologie. Une échocardiographie transthoracique de contrôle à 48h est superposable à la première, sans présence de thrombus intra-cardiaque. Le patient est transféré à l'étage de médecine pour la suite de la prise en charge. Une réadaptation cardio-vasculaire en ambulatoire ou en stationnaire sera encore à organiser. Mr. Y présente tous les symptômes d'une boursite inflammatoire pré-patellaire post contusion du genou. Dans un premier temps, je propose un traitement conservateur. Le patient remet l'attelle jeans en extension, sous thrombo-prophylaxie par Clexane 40 mg sous-cutané 1x/j. Il prend des Voltarène 75 mg R 2 cp/j et il appliquera une poche à glace. Je le reverrai dans une semaine pour une réévaluation clinique. En cas de persistance de douleurs, nous devrons éventuellement effectuer une bursectomie. Arrêt de travail du 13.12.2018 au 21.01.2019. Prochain rendez-vous le 23.01.2019. Mr. Y, 45 ans, en bonne santé habituelle, sans facteurs de risque cardio-vasculaires, est hospitalisé pour un STEMI antéro-septal. Le patient consulte initialement les urgences de Payerne pour des douleurs thoraciques oppressives, irradiant dans la mâchoire et le bras gauche. Des douleurs similaires étaient déjà survenues le 29.12.2018 avec disparition spontanée. A Payerne, un STEMI est mis en évidence et Mr. Y est transféré en urgence à Fribourg pour une coronarographie. Celle-ci met en évidence une sténose significative de l'IVA antérieure proximale et moyenne, ainsi qu'une lésion significative de la 1ère diagonale. Une angioplastie de l'IVA antérieure proximale sans stent est effectuée ainsi qu'une angioplastie de l'IVA moyenne avec mise en place d'un stent actif. L'aspirine est introduite à vie et l'effient pour 6 mois. Nous introduisons également du metoprolol, du lisinopril et une statine. Un contrôle par ergométrie est organisé fin janvier pour réévaluer la pertinence clinique de la sténose de la 1ère diagonale. Si la sténose est non symptomatique, une réadaptation cardiaque est organisée par la suite en ambulatoire à partir du début février. Si la sténose est symptomatique, l'indication à une nouvelle coronarographie sera réévaluée avant la réadaptation (qu'il faudra alors annuler). Après discussion avec nos collègues de cardiologie, nous contre-indiquons la conduite jusqu'à la réalisation de l'ergométrie. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile le 04.01.2019 dans l'attente de son ergométrie, agendée le 28.01.2019 à 8h45. Mr. Y est amené aux urgences en ambulance le 01.01.2019 suite à une chute avec probable traumatisme crânien et agressivité dans un contexte d'alcoolisation aiguë. Le patient n'aurait pas consommé d'alcool pendant 4-5 ans avec reprise d'une consommation occasionnelle depuis 1 an et consommation quotidienne depuis quelques jours. Il a commencé à boire le 31.12.2018 au soir avec des amis. Il a ensuite dormi chez l'un d'eux et le matin a recommencé à boire. Dans un bar, lui et son ami dérangent les clients et on leur demande de sortir. Dans la rue, ils chutent. Appel de l'ambulance pour l'ami qui a fait un traumatisme crânien grave. Les ambulanciers reviennent dans un deuxième temps voir le patient qui se montre alors agressif physiquement. Les ambulanciers lui donnent 10 mg de Dormicum intranasal avec ensuite état comateux avec Glasgow à 3/15 avec myosis symétrique.A l'admission aux urgences, Glasgow à 3/15, les pupilles sont en miosis ddc. Le Glasgow remonte à 6/15 après Flumazénil. Suite à l'administration de Naloxone 0,4 mg iv, le patient retrouve un état de conscience dans la norme avec pupilles en mydriase, isocores et isoréactives. Le reste du status d'entrée est non contributif. Le patient nie toute autre consommation hormis l'alcool. Notion que son ami avec qui il était ce soir-là prendrait de la cocaïne. Suite à l'avis du Dr. X, nous effectuons un CT cérébral qui permet d'exclure un saignement intra-crânien. Mr. Y est gardé en lit d'observation aux urgences. La surveillance se passe sans complication. Le patient ne souhaite pas de prise en charge en urgences pour son problème d'alcool mais explique qu'il va revoir sa psychologue et prendre contact avec le service d'addictologie. Il a deux filles et souhaite se reprendre en main. Mr. Y quitte notre service le 02.01.2019 accompagné de sa mère. Mr. Y, patient de 61 ans, diagnostiqué d'une sclérose latérale amyotrophique en octobre 2018. Nous le voyons à 3 mois d'une mise sous VNI pour une insuffisance respiratoire globale dans le contexte de sa maladie, accompagnée d'un syndrome d'apnées/hypopnée du sommeil de degré sévère, mixte mais à prédominance obstructive (IAH initial à 80/h). Le patient est très satisfait de l'appareillage, qui lui est nécessaire dès qu'il se met en position couchée afin de pouvoir respirer correctement. Il tolère bien le masque sans fuite mais avec une zone de pression dans la nuque. Nous lui proposons donc de mettre une mousse à ce niveau et de prendre contact avec la ligue pulmonaire en cas de non-amélioration. Il n'a présenté aucun symptôme respiratoire ces 3 derniers mois. Pas de trouble de la déglutition/fausse route. Aucune somnolence, mais présence d'une légère fatigue généralisée qu'il assimile plutôt à sa maladie. Pas de céphalée, pas de trouble de la mémoire ou de la concentration. Il se déplace actuellement avec 2 cannes sur de courtes distances. Mr. Y a passé une bonne nuit et les résultats sont satisfaisants comparativement à ceux d'octobre 2018 avec un IAH résiduel à la polygraphie à 20/h. La capnographie n'a probablement pas fonctionné pour des raisons techniques étant donné une tcpCO2 moyenne mesurée à 4.4 kPa actuellement (tcpCO2 en octobre 2018 à 8 kPa). Mr. Y n'ayant aucun symptôme d'hypercapnie et tolérant très bien l'appareillage, nous décidons de ne pas modifier les paramètres ventilatoires et de revoir le patient dans 6 mois pour un contrôle VNI en hospitalier. Mr. Y, âgé de 69 ans, connu pour une BPCO stade III selon Gold, nous est adressé par son pneumologue traitant pour une réadaptation respiratoire et déconditionnement physique suite à une péjoration de son état général dans un contexte de BPCO sévère et état cachectique. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est à la retraite. A l'admission, le patient rapporte un manque de force, une baisse de l'état général et une perte de poids attribuée aux nausées persistantes. En général, il rapporte une dyspnée stade III selon NYHA, avec toux et expectorations. Au status pulmonaire, diminution du murmure respiratoire bilatérale. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif de degré sévère et confirme le diagnostic de BPCO stade III selon GOLD. La DLCO démontre des troubles de diffusion de degré sévère. La radiographie du thorax met en évidence un aspect distendu avec hyperclarté pulmonaire bilatérale et un aplatissement des coupoles diaphragmatiques de façon bilatérale, compatibles avec la composante emphysémateuse de la BPCO décrite au CT scan du 10.09.2018. A la gazométrie de contrôle du 22.01.2019, on retrouve un pH à 7.45 avec une saturation à 96.6% associée à un pCO2 dans la norme sans hypercapnie. A l'entrée, Mr. Y a arrêté sa consommation de tabac et nous prescrivons un patch de Nicotinell 14 mg/24h. Sur le plan nutritionnel, le patient a été pris en charge pour une dénutrition sévère et un poids insuffisant (NRS 5/7 avec BMI 14.9). Il est suivi en ambulatoire au HIB depuis 2 ans pour cette dénutrition chronique. Durant son hospitalisation, nous avons adapté les repas à ses habitudes et mis en place 1 supplément nutritif oral par jour. Mr. Y refuse catégoriquement une nutrition entérale. Son poids a légèrement augmenté durant l'hospitalisation (42.3 kg vs 41 kg à l'entrée) mais reste stable dans l'ensemble de la prise en charge (42 kg en décembre au HIB). Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 270 m à 315 m et le patient augmente la distance parcourue sur le vélo pendant 20 minutes de 15 watts à 30 watts. Malgré les progrès constatés avec notamment un arrêt du tabac, une amélioration de l'endurance et une prise de poids, Mr. Y demande à interrompre la réadaptation. Après 10 jours d'hospitalisation, Mr. Y quitte notre service, à sa demande, pour rejoindre son domicile le 24.01.2019. Mr. Y est un patient de 69 ans, aux comorbidités susmentionnées, hospitalisé depuis fin novembre 2018 en ORL en raison de la mise en évidence d'un carcinome hypopharyngé. Dans ce contexte, il bénéficie d'une trachéotomie chirurgicale et selon l'avis du tumorboard, de séances par la suite de radio-chimiothérapies. En raison de fausses routes et après avis logopédique, l'alimentation orale est interrompue et une gastrostomie par voie chirurgicale laparoscopique est posée le 11.12.2018. Les suites opératoires seront marquées par la présence de fuites péri-stomiales purulentes. Après un premier CT (le 19.12.2018) montrant la sonde de gastrostomie en place avec un bon passage du produit de contraste dans le grêle, la sonde est mobilisée par les ORL. Un deuxième CT montre cette fois-ci le ballonnet gonflé au niveau de la paroi (23.12.2018). La sonde est ensuite repositionnée par les radiologues et les contrôles suivants montrent une sonde en place avec un bon passage. Mr. Y continue malgré tout de présenter des sécrétions épaisses autour de l'orifice de gastrostomie, qui sont indépendantes du débit de la nutrition entérale. Plusieurs contrôles radiologiques confirment le bon positionnement du gastrotube et infirment la présence d'un abcès ou d'une autre collection pouvant expliquer l'écoulement. Des frottis réalisés le 17.01.19 reviennent positifs pour E. coli, Acinetobacter sp. et S. aureus, suite à quoi un traitement par Ciproxine est introduit pendant 5 jours selon l'avis de nos collègues de l'infectiologie. L'alimentation par le gastrotube est progressivement réintroduite à partir du 18.01 et est bien tolérée par le patient, sans augmentation des sécrétions. Le 23.01.2019, Mr. Y peut rentrer à domicile avec l'organisation d'aides quotidiennes.Etant donné qu'il est connu pour une fibrillation auriculaire paroxystique, nous contactons son médecin traitant pour lui parler d'une éventuelle anticoagulation. Il sera revu à son cabinet le 28.01.19. Mr. Y présente une fracture intra-articulaire déplacée de la base du 2ème métacarpien de la main droite. L'indication pour une réduction ouverte et ostéosynthèse est donnée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et bénéfices liés à celle-ci. Il me donne son accord, le consentement est signé. L'intervention est programmée pour le 24.01.2019, en ambulatoire. Le patient sera vu par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Mr. Y, âgé de 84 ans, connu pour un ulcère gastrique depuis 2005, une HTA traitée avec dyslipidémie traitée, est admis dans notre service transmis par la permanence en raison de diarrhées aiguës sans nausée ni vomissement, avec une altération de l'état général avec probable déshydratation. Status à l'entrée: Pouls 84/min, TA 129/91 mmHg, Temp. 38.3 °C, Sätt 95%. Abdomen : souple, douleurs à la palpation hypochondre D et G, sans défense. Toucher rectal ne retrouve pas de rectorragie. Pulm : murmures vésiculaires présents symétriques, pas de râles ni crépitants. Cor: bruits cardiaques réguliers, pas de souffle ni de bruit pathologique. Une prise en charge symptomatique par hydratation et régime sans fibres est débutée dès le premier jour de l'hospitalisation avec surveillance clinique. Les épisodes de diarrhées continuent au cours des jours suivants, il y a une diminution de la température avec persistance d'un état subfébrile (37.1°C) dès le deuxième jour d'hospitalisation. Les valeurs de la créatinine se normalisent le 31.12.2018. Les cultures des selles retrouvent le 31.12.2018 du Campylobacter cpp. Une antibiothérapie par Klacid est débutée le jour même. L'évolution de l'état général par la suite est favorable, avec arrêt de la diarrhée le 03.01.2019. Un ECG a été réalisé à l'entrée qui montrait un élargissement du QRS et une déviation de l'axe à G, qui n'étaient pas présents lors de l'ECG réalisé en 2017. En l'absence de complications, nous n'avons pas réalisé d'autres examens à ce sujet. Une hyperglycémie a été détectée à l'entrée. Nous avons réalisé une surveillance glycémique qui a montré des valeurs normales par la suite. Le patient rentre le 04.01.2019 au domicile en bon état général, et continue la prise de Klacid durant 7 jours (le 07.01.2019 matin), et reprise du Pantozol à 40 mg/j. Mr. Y, 55 ans, est admis aux soins intensifs pour un NSTEMI se manifestant par une oppression thoracique depuis environ 10 jours. La lésion coronarienne responsable est une sténose subtotale de la première marginale, traitée par stent actif avec bon résultat. Une sténose significative de l'artère circonflexe distale est également traitée. Un traitement par bêta-bloquant ainsi qu'un antihypertenseur de type IEC a été commencé, avec bonne tolérance clinique. Le patient présente un petit hématome au niveau radial droit spontanément cessant après la compression manuelle pendant dix minutes. Après une surveillance de 24 heures aux soins intensifs qui se déroule sans complication, Mr. Y rentre à domicile, avec consigne de consulter son médecin traitant autour du 25.02.2019, pour un contrôle clinique. Le traitement médicamenteux reste à adapter (IEC et bêta-bloquants). Mr. Y, 83 ans, a été admis pour une cholangite obstructive lithiasique récidivante rapidement compliquée d'un choc septique sur bactériémie polymicrobienne et d'une défaillance multi-organique dont l'évolution défavorable a mené au décès. Le patient est connu pour une grave BPCO de stade IV avec un déconditionnement sous oxygénothérapie à domicile. En 2010 et 2014, il avait déjà présenté des complications secondaires à des lithiases biliaires obstructives. Le 10.01.2019, il a été admis en urgence en raison d'un choc septique et d'une détresse respiratoire aiguë nécessitant une ventilation mécanique non invasive. Le choc septique a été attribué à une cholangite obstructive lithiasique avec une bactériémie à Escherichia coli et Enterocoque avium. Une dilatation des voies biliaires extra-hépatiques en amont d'une lithiase, ainsi qu'une probable cholécystite lithiasique ont été confirmées par imagerie. Face à l'aggravation clinique malgré une antibiothérapie empirique efficace, un drainage percutané de la vésicule biliaire a été réalisé. Une ERCP n'a pas pu être effectuée compte tenu des lourdes comorbidités respiratoires, du risque majeur et du refus par le patient d'une ventilation invasive. Suite au drainage biliaire, le syndrome inflammatoire et la cholestase ont diminué, l'état de choc s'est résolu et le soutien vasopresseur a pu être sevré. La défaillance multi-organique a toutefois progressé avec l'aggravation de l'acidose respiratoire, de l'insuffisance rénale aiguë oligurique et d'une cytolyse hépatique sur foie de stase. Une probable coagulopathie intravasculaire disséminée et une thrombocytopénie septique, qui ont nécessité une substitution en facteurs de coagulation et la transfusion de plaquettes avant le drainage percutané, se sont stabilisées. Des épisodes de fibrillation auriculaire rapide hémodynamiquement mal tolérée ont récidivé malgré l'administration d'amiodarone. Une détérioration neurologique a été constatée avec l'apparition d'une neuromyopathie liée à la maladie critique et une encéphalopathie aiguë mixte, secondaire au sepsis, à l'urémie progressive et à une acidose respiratoire réfractaire. Face aux défaillances multiples, aux graves comorbidités et à l'absence d'amélioration, les membres de la famille ont été informés du mauvais pronostic et, avec leur accord, des soins de confort ont été privilégiés. Mr. Y est décédé paisiblement le 13.01.2019, entouré par ses proches. Nous n'avons pas demandé d'autopsie. Mr. Y, patient de 70 ans, est hospitalisé en raison d'une baisse de l'état général dans le cadre d'une décompensation de sa maladie de Parkinson. Nous prenons contact avec le neurologue traitant, le Dr. X, qui effectue un contrôle des neurostimulateurs revenant dans la norme. Nous n'objectivons pas de trigger clair pouvant expliquer la décompensation hormis une dyspnée spontanément résolutive avec un bilan dans la norme. À noter un état grippal léger et à l'anamnèse une mauvaise compliance médicamenteuse la semaine précédant l'hospitalisation. Dans ce contexte, nous retenons une probable malcompliance médicamenteuse comme étiologie de la décompensation de la maladie de Parkinson du patient. Le Dr. X procède à une modification du schéma de stimulation par les neurostimulateurs le 21.12.2018 avec augmentation concomitante du traitement par madopar. Sous ce traitement, le patient montre une amélioration de ses plaintes motrices. Le patient sera revu par le Dr. X le 07.01.19. Au cours de l'hospitalisation, nos collègues de la psychiatrie évaluent le patient et confirment une capacité de discernement conservée. Un bilan neuropsychologique est recommandé mais ne peut être effectué au cours de l'hospitalisation en raison d'une absence de disponibilité de la part du service de neuropsychologie. Nous laissons le soin au médecin traitant de réévaluer l'indication à un bilan. Nous observons une dyspnée de stade NYHA 2 à 3, fluctuante, au cours de l'hospitalisation. En l'absence de signes cliniques de surcharge associés à des valeurs de BNP dans la norme ainsi qu'une radiographie du thorax normale, nous renonçons à effectuer des investigations cardiologiques supplémentaires. En raison d'une auscultation pulmonaire normale avec radiographie de thorax normal, nous ne retenons pas non plus de foyer pulmonaire.Nous constatons un syndrome inflammatoire d'étiologie indéterminée le 20.12.18. Dans un contexte de sédiment urinaire sans indication pour une pathologie urinaire et une radiographie de thorax sans foyer pulmonaire, nous ne retenons pas de piste clinique pour une pathologie pulmonaire, urinaire, abdominale, cutanée ou articulaire. En l'absence de signes cliniques francs, nous n'effectuons pas d'investigations tout en suivant cliniquement le patient tout au long de son hospitalisation. En cas de péjoration clinique, nous recommandons au patient de consulter son médecin traitant. A noter une dysélectrolémie avec hypomagnésiémie et hypophosphatémie que nous substituons du 19.12.18 au 21.12.18. Un traitement par physiothérapie est instauré dès l'arrivée du patient avec une légère amélioration de sa coordination et de sa fonction motrice. A l'étage, le patient ne formule pas de plaintes particulières et reste hémodynamiquement stable. Le patient quitte le service le 24.12.18. Mr. Y présente une forte suspicion d'entorse du ligament collatéral interne du genou droit. Je ne peux pas formellement exclure une atteinte du ménisque interne également raison pour laquelle nous demandons une IRM native du genou gauche le 14.1.2019. Le patient sera revu le 18.1.2019 pour discuter des résultats et du traitement. Jusque là, il garde son genou immobilisé dans l'attelle jeans en extension sous protection thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x1/jour en sous-cutané. Arrêt de travail prolongé jusqu'au prochain rendez-vous du 18.1.2019. Mr. Y est un patient de 81 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, qui consulte les urgences le 22.12.2018 en raison de douleurs dans l'hypochondre droit évoluant depuis plusieurs jours, associées à des vomissements, sans état fébrile. Au laboratoire, on retrouve une cytolyse et une cholestase importante avec une bilirubine augmentée à 55, ainsi qu'un syndrome inflammatoire. Au CT abdominal, un épaississement sous-muqueux de la vésicule biliaire lithiasique est visualisé, pouvant signer le passage d'un calcul ou une cholécystite débutante, sans dilatation des voies biliaires. Le patient est dans ce cadre hospitalisé et mis sous antibiothérapie. Par la suite, il développe rapidement des signes de choc avec suspicion de cholangite obstructive, raison pour laquelle une ERCP est tentée, mais sans succès suite à un œdème important de la papille de Vater. Dans ce contexte, un drain vésiculaire est mis en place et le patient est admis aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique. Le 24.12.2018, il remonte à l'étage. En raison de la présence d'œdème généralisé, un traitement par diurétique est mis en place. L'évolution clinico-biologique est favorable. Sur le plan cardiaque, le patient retrouve son poids de forme mesuré à l'entrée. Sur avis cardiologique, nous poursuivons le Torem 10 mg 1 fois par jour et introduisons du Bilol 2.5 mg 1 fois par jour et Lisinopril 2.5 mg 1 fois par jour. Nous vous laissons le soin d'ajuster sa médication selon contrôle clinique et biologique. En attente d'une réhabilitation à Tavel, le patient est mis en séjour de reclassement le 08.01.2019. Le patient sera prochainement convoqué pour une cholangiographie par le drain à 2 semaines post-hospitalisation. Un rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X sera organisé post-intervention. Un rendez-vous à la consultation de cardiologie sera également organisé afin d'y effectuer une échographie transoesophagienne 3 semaines post-hospitalisation. Mr. Y, patient de 81 ans, nous est adressé par le service de chirurgie de l'HFR Fribourg pour la prise en charge d'un déconditionnement post-choc septique sur cholangite obstructive le 22.12.2018. A l'entrée, le 14.10.2019, le patient n'a pas de plainte. Il présente un bon état général, bien orienté aux trois modes, afébrile. L'auscultation pulmonaire et cardiaque sont sans particularités. L'examen neurologique ne montre pas de déficit sensitif-moteur focal. Le drain transhépatique ne montre pas de signes d'irritation à son orifice. Le patient vit avec sa femme, a 3 enfants et habite dans un appartement au 1er étage sans ascenseur et a besoin de monter 20 marches d'escalier pour y accéder. Avant l'hospitalisation, le patient était complètement autonome au niveau des ADL et IADL. Il se mobilisait sans aide. Ad Diagnostic principal A l'entrée, le patient est autonome aux transferts, marche sans aide et monte 9 marches d'escalier avec supervision. Le test de Tinetti est de 24/28. Après les thérapies intensives et individuellement adaptées, le patient a gardé son autonomie aux mouvements, a augmenté son endurance et est monté 4 étages par escalier. Le test de Tinetti est de 26/28. Ad Diagnostic supplémentaire 1 Le patient s'hydrate environ 1500 ml per os et sa créatinine reste stable pendant son hospitalisation. A la sortie, sa créatinine est à 130 umol/l. Ad Diagnostic supplémentaire 2 Le patient ne présente pas de signes cliniques d'une décompensation cardiaque pendant son hospitalisation. Il aura un contrôle cardiologique avec une échocardiographie transoesophagienne à l'HFR Fribourg le 30.01.2019. Ad Diagnostic supplémentaire 3 La vitamine D a été substituée. Ad Diagnostic supplémentaire 4 Le patient reste hydraté et les épisodes de diarrhée s'espacent de plus en plus. Le patient regagne son domicile le 25.01.2019, avec une aide infirmière quotidienne pour faire les soins de son drain jusqu'au prochain contrôle avec Dr. X le 28.01.2019, à 13h30. Mr. Y est hospitalisé le 30.12.2018 pour une exacerbation de BPCO sans foyer radiologique concomitant. Le patient évolue favorablement sous thérapie de corticostéroïdes ainsi que d'antibiotiques intraveineux par Co-Amoxicilline et l'oxygénothérapie peut être rapidement sevrée. L'antibiothérapie sera à poursuivre jusqu'au 05.01.2019 pour un total de 7 jours. Le traitement inhalateur par Anoro est maintenu. A noter que le patient souhaite discuter avec vous de l'introduction d'une aide à domicile pour le ménage ainsi qu'aux courses. Nous avons proposé au patient de nous en charger, mais il préfère organiser cela avec vous. Il bénéficie déjà d'un rendez-vous le 09.01.2019 à votre cabinet. Nous vous remercions d'aborder le sujet avec Mr. Y. Mr. Y est un patient de 35 ans en bonne santé habituelle, qui consulte aux urgences à Tavel pour des douleurs abdominales en fosse iliaque droite depuis 3 jours en augmentation sans fièvre ni frissons associés. Le bilan biologique et radiologique met en évidence une appendicite aiguë. Le patient est transféré à Fribourg pour la suite de la prise en charge. Il bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique et les suites opératoires sont favorables permettant un retour à domicile le 29.12.2018. A noter une légère perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée que nous vous laissons le soin de contrôler à distance. Mr. Y est un patient de 57 ans, qui se présente aux urgences le 13.01.2019 avec une clinique de colique néphrétique gauche. Le bilan biologique met en évidence une insuffisance rénale aiguë AKIN I et un uro-CT ne retrouve pas de lithiase, par contre il met en évidence une maladie de la jonction pyélo-urétérale gauche ainsi que des reins polykystiques bilatéralement. Le patient bénéficie de la mise en place d'une double J à gauche. Dès le 14.01.2019, la fonction rénale s'améliore et le patient rentre à domicile. Il sera suivi à la consultation de Dr. X dans la semaine du 21.01.2019. Mr. Y, patient de 87 ans, nous est adressé par son cardiologue pour une décompensation cardiaque gauche. Il présente une orthopnée en péjoration depuis 2 semaines, avec une dyspnée NYHA stade IV. Il rapporte une majoration de ses OMI depuis 2 jours. Il présente une toux et des expectorations chroniques jaunâtres de longue date sans péjoration.L'évolution est rapidement favorable sous diurétiques et évacuation de l'épanchement pleural droit par thoracoscopie. L'échocardiographie du 8.01.2018 met en évidence une dilatation du ventricule gauche avec une hypokinésie globale importante et une FEVG à 30%. Dans ce contexte, une composante ischémique à l'insuffisance cardiaque sévère est suspectée. La coronarographie du 10.01.2018 montre une maladie coronarienne bitronculaire, traitée par stent actif sur l'IVA moyenne avec échec de recanalisation de la bifurcation Cx et 2nd marginale. Un traitement par double antiagrégation par aspirine cardio pour 1 mois et Plavix pour 6 mois est instauré. Dans le cadre de l'insuffisance cardiaque systolique sévère, nous instaurons un traitement d'IEC, bêta-bloquant, et aldactone. Nous vous laissons le soin d'adapter la posologie des traitements en ambulatoire selon l'évolution clinique. À noter la mise en évidence à l'admission d'un fibrillo-flutter auriculaire normocarde pour lequel une anticoagulation thérapeutique par Eliquis est instaurée dès le 14.01. Après discussion avec les cardiologues, un rate control est proposé. Nous avons donc prescrit un traitement de Cordarone après 3 semaines d'anticoagulation thérapeutique. À noter une TSH dans la norme pendant l'hospitalisation. Un contrôle avec ECG est à prévoir 10-14 jours après le début de la Cordarone pour évaluer la poursuite du traitement et l'évolution du rythme cardiaque. Le patient présente le 14.01 une hyponatrémie à 129 mmol/L sous traitement diurétique. Celui-ci est adapté et un contrôle biologique est agendé en ambulatoire le 17.01.2019. Le CT thoracique injecté a été effectué aux urgences, excluant une embolie pulmonaire, mais montre des épanchements pleuraux bilatéraux cloisonnés avec épanchement prédominant à droite. La ponction pleurale droite a permis d'évacuer 1750 ml d'exsudat éosinophile. La cytologie montre un exsudat fortement inflammatoire à très nette prédominance éosinophilique. Le CT ne montre pas de signe de pneumopathie à éosinophiles ni de Churg-Strauss. Dans le cadre d'un asthme anamnestique et d'une éosinophilie, nous procédons au dosage des FAN et ANCA qui reviennent négatifs. Nous n'avons pas d'argument pour une étiologie médicamenteuse, une exposition à l'asbeste ou un voyage récent. Afin d'exclure une étiologie néoplasique, un CT thoracique de contrôle est effectué après résolution des épanchements, qui ne révèle pas de lésion suspecte ni d'épaississement pleural. Au vu d'une évolution rapidement favorable avec une résolution des épanchements sous diurétiques ainsi que la résolution de l'éosinophilie sanguine, nous décidons de ne pas poursuivre les investigations. Toutefois, en cas de récidive des épanchements, nous vous laissons le soin de poursuivre les investigations en cas de doute. Le patient rentre à son domicile le 15.01.19. Mr. Y est un patient de 78 ans, notamment connu pour un adénocarcinome et une tumeur neuroendocrine simultanée de l'angle colique droit, opéré d'une colectomie droite en 2014, qui présente actuellement une suspicion de métastases au niveau du foie. Il bénéficie dans ce contexte le 09.01.2019 d'une ponction biopsie du foie, suite à laquelle il développe un hématome sous-capsulaire associé à un hémopéritoine et un saignement actif au niveau du site de biopsie. Une embolisation a été réalisée, puis compliquée d'un saignement au niveau du point de ponction fémoral. Le patient est par la suite transféré aux soins intensifs 1 jour pour une surveillance hémodynamique qui était sans particularités. Sur le plan digestif, le patient présente à l'étage le 14.01.2019 un état fébrile avec une augmentation du syndrome inflammatoire, motivant la réalisation d'un CT abdominal montrant la présence d'une nécrose au sein de la métastase hépatique avec de l'air, sans abcès. Une antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl est débutée, et après discussion avec le Dr. X, elle sera à poursuivre au moins 6 semaines avec une alternance de 2 semaines de Co-Amoxicilline et Ciproxine/Flagyl. Une tentative de pose de drain est également faite le 16.01.2019, mais échoue au vu de l'aspect solide de la nécrose. 65 ml de liquide périhépatique ont réussi à être prélevés et reviennent négatifs en culture. Sur le plan hématologique, le patient présente également une réaction transfusionnelle le 13.01. La transfusion avait été motivée par une chute de l'hémoglobine jusqu'à 78 g/l, accompagnée de symptômes tels que céphalées, vertiges et fatigue importante. Le patient a présenté un état fébrile et une augmentation de la fréquence respiratoire, qui s'était ensuite résolus en 1 h suite à l'arrêt immédiat de la transfusion. Sur le plan métabolique, un traitement par insuline est introduit et adapté durant son hospitalisation. Des enseignements lui sont donnés et le patient sera par la suite revu en diabétologie le 05.02.19 à 11h00. L'évolution est par la suite favorable tant sur le plan clinique que biologique, permettant au patient de retourner à son domicile le 23.01.2019. Par ailleurs, un CT de contrôle le 21.01.2019 démontre une discrète majoration d'épaisseur de l'hématome sous-capsulaire, avec une stabilité de la zone de nécrose. Mr. Y sera revu à la consultation des Chefs de clinique le 07.02.2019 à 9h30 et bénéficiera le 06.02.2019 d'un contrôle avec un CT abdominal. Après discussion avec le Dr. X, le suivi oncologique sera poursuivi auprès de celui-ci. Mr. Y, 78 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique dans les suites d'une biopsie hépatique à visée diagnostique, dans le cadre du suivi d'un adénocarcinome du côlon droit opéré en 2014. Le geste s'est compliqué d'un hématome hépatique intra-capsulaire avec saignement actif, raison pour laquelle une embolisation a été réalisée le jour même. Ce geste s'est également compliqué d'un saignement au niveau du point de ponction fémoral. Durant la surveillance aux soins intensifs, le patient reste stable sur le plan hémodynamique, ainsi qu'au niveau de l'hémoglobine. Nous constatons un profil tensionnel plutôt élevé chez un patient traité habituellement par du Co-Candesartan qui a été actuellement mis en suspens en raison d'une insuffisance rénale aiguë qui est en voie de correction. Nous mettons en place un traitement bêta-bloquant dans le but de contrôler la tension artérielle, ainsi que la fréquence cardiaque qui s'élève à 100-120 par minute avec un rythme sinusal à l'électrocardiogramme et sans troubles de la repolarisation. L'évolution est favorable et nous vous laissons le soin de reprendre le sartan une fois la fonction rénale corrigée et d'évaluer l'indication à poursuivre le bêta-bloquant. Sur le plan métabolique, le patient présente un diabète de type II non insulino-requérant qui est actuellement décompensé, raison pour laquelle nous débutons, en accord avec les collègues diabétologues, une insulinothérapie qui sera à adapter à l'étage en fonction du profil glycémique. La reprise des antidiabétiques oraux sera également à évaluer en fonction de l'évolution de la fonction rénale. Le 10.01.2019, le patient peut être retransféré à l'étage de chirurgie. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire le 28.11.2018 suite à un triple pontage aorto-coronaire réalisé le 20.11.2018 par le Dr. X à la Clinique Beau-Site. Le traitement à l'entrée comprend : • Aspirine Cardio 100 mg • Metoprolol 25 mg • Inejy 10/40 remplacé par Atorvastatine 40 mg • Ramipril 5 mg remplacé par Lisinopril 10 mg • Torem 10 mg • Dafalgan en R • Makatussin 45 gouttes.A son entrée, le patient se plaint d'une toux irritative. A l'auscultation, une hypoventilation bibasale est mise en évidence compatible avec des épanchements pleuraux bilatéraux et justifiant l'indication à un traitement de Prednisone 50 mg avec un schéma dégressif et évolution favorable. Au vu de la persistance d'une hypoventilation basale gauche et de la présence d'oedèmes des membres inférieurs, nous introduisons un traitement de Torasémide 5 mg et d'Aldactone 12.5 mg les 3.12 et 4.12.2018 respectivement. Au bilan biologique de sortie, nous objectivons une augmentation de la créatinine à 138 micromol/L associé à une légère élévation de la kaliémie à 5.4 mmol/L justifiant l'arrêt des traitements d'Aldactone et de Torasémide le 17.12.2018. Nous proposons au médecin traitant d'effectuer un contrôle clinico-biologique de la fonction rénale et des électrolytes 1 à 2 semaines après sa sortie. Sur le plan cardiaque, l'échographie cardiaque réalisée le 11.12.2018 met en évidence un minime épanchement péricardique compatible avec le status post-opératoire, prédominant en regard du VD et du bord de l'AD avec une lame devant la paroi inférieure et postérieure du VD, sans répercussion hémodynamique et ne justifiant pas de traitement spécifique. Le patient présente des irrégularités de la fréquence cardiaque lors des efforts, raison pour laquelle nous réalisons un Holter. Le holter objective juste un épisode de tachycardie supraventriculaire de 7 battements à 130, le reste de l'examen est normal. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité faible et il a pu progresser jusqu'à un groupe d'intensité modérée. A la fin de la prise en charge, il est capable de marcher pendant une durée de 45 minutes sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Il peut aussi faire du tapis roulant à une vitesse de 6 km/h pendant 25 minutes. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue de 75 mètres avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final est normal en explorant 70% de la réserve coronarienne. Les paramètres de récupérations sont dans la norme. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 4.2 mmol/L, des HDL à 0.97 mmol/L, des LDL à 3.31 mmol/L, des triglycérides à 1.36 mmol/L. • Le patient a sevré son tabagisme depuis 2 ans sans symptômes de manque. • Sous traitement, la fréquence cardiaque et la tension artérielle sont dans la norme. Mr. Y est adressé aux urgences le 26.12.2018 par le Dr. X, médecin de garde, pour mauvaise évolution d'une infection urinaire. Pour rappel, le patient vous consulte le 10.12.2018 en raison d'un syndrome grippal accompagné d'une incontinence urinaire avec urines malodorantes. Vous réalisez un stick urinaire qui montre une leucocyturie. Vous prélevez un urotube et débutez une antibiothérapie par Tarivid 200 mg 2x/j pendant 10 jours. Le 17.12.2018, au vu des résultats de l'antibiogramme, l'antibiothérapie est relayée par Clindamycine 300 mg 3x/jour. L'évolution est favorable lors du contrôle du 21.12.2018. Le 26.12.2018, Mr. Y consulte le médecin de garde en raison d'un état fébrile à 38,4°C avec pollakiurie, sans dysurie. Pas de douleur abdominale, pas de nausée ni vomissement. A l'admission aux urgences, le patient est subfébrile à 37.4°C, hypertendu à 160/105 mmHg, normocarde à 96/min, eupnéique à 16/min avec une saturation à 96% à l'air ambiant. L'auscultation cardiaque montre des bruits irréguliers, bien frappés, sans souffle ausculté. Présence de signes de décompensation cardiaque gauche avec importants oedèmes des membres inférieurs bilatéralement. Les mollets sont souples, sans signe de Homans. Les pouls périphériques sont tous palpés. Absence de souffle sur les grands axes vasculaires. Au niveau respiratoire, le murmure vésiculaire est symétrique, sans bruit surajouté, notamment pas de râle crépitant, pas de signe de décompensation respiratoire. Au statut digestif, l'abdomen est souple et indolore à la palpation, sans organomégalie palpable. Au niveau uro-génital, la loge rénale droite est sensible à la percussion, la loge rénale gauche est indolore. L'ECG montre une fibrillation auriculaire avec une transition précoce en V2 et la présence d'ondes T négatives en V5-V6 (déjà connues). Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 46 mg/l et une leucocytose à 19.8 G/l, une fonction rénale conservée et une hypokaliémie légère à 3.1 mmol/l. Le sédiment urinaire montre une infection urinaire avec pyurie, bactériurie et microhématurie. Nous prélevons une culture d'urines qui revient négative. Durant la surveillance aux urgences, le patient présente un pic fébrile à 38°C, raison pour laquelle nous prélevons deux paires d'hémocultures qui reviennent négatives. Le diagnostic de probable pyélonéphrite droite est retenu. Mr. Y est hospitalisé et nous introduisons une antibiothérapie par Rocéphine 2g 1x/j. L'urotube effectué à votre consultation montre 10E6 streptocoques et 10E6 E. coli, tous deux sensibles à la Ceftriaxone. L'antibiothérapie par Rocéphine iv est donc poursuivie jusqu'au 02.01.2019. Sous antibiothérapie, l'évolution clinique et biologique est favorable et Mr. Y peut regagner son domicile le 31.12.2018. Un suivi rapproché avec deux rendez-vous à la FUA (consultations ambulatoires aux urgences) sont prévues les 01 et 02.01.2019 pour administration des deux dernières doses d'antibiothérapie iv. Nous recommandons au patient de vous consulter à une semaine pour contrôle clinique. Mr. Y, 38 ans, est hospitalisé en urgence dans un contexte de traumatisme crânien sur troubles de l'état de conscience sur abus de substances. En effet, le patient est connu pour une polytoxicomanie à l'héroïne, Midazolam, cocaïne et alcool. Le CT initial montre une lésion évoquant une contusion hémorragique temporale droite motivant une surveillance aux Soins intensifs pendant 24h puis un transfert dans notre service de Chirurgie. L'IRM cérébrale permet d'exclure une contusion hémorragique. Il s'agit donc d'un simple traumatisme crânien. En vue de la polytoxicomanie avec troubles de l'état de conscience et chutes à répétition, un avis psychiatrique est demandé, motivant un transfert à l'hôpital de Marsens le 17.01.2019. Mr. Y, connu pour un liposarcome paratesticulaire métastatique en oncologie et en médecine palliative, est hospitalisé sur avis du Dr. X pour une baisse de l'état général avec asthénie et syndrome inflammatoire. Le bilan clinique révèle des douleurs abdominales diffuses avec une nette défense hypochondrique droite et signe de Murphy +, mais nous ne retenons pas de cholécystite à l'ultrason abdominal. Un foyer pulmonaire ou urinaire est peu probable vu la nature asymptomatique du patient. La sonographie abdominale montre une vésicule biliaire sans signe d'inflammation aiguë ou chronique. Sur avis infectiologique, une antibiothérapie n'est pas instaurée sans foyer clinique clair. Nous notons pendant l'hospitalisation une progression lente du syndrome inflammatoire. Comme le patient se présente avec un trouble dépressif, un traitement par Ritaline est débuté que le patient tolère mal sur péjoration des troubles du sommeil et pollakisurie. Le traitement est ainsi refusé par le patient. Nous réintroduirons un traitement par Prednisone en petites doses. Si le patient continue à bien tolérer ce traitement, une augmentation serait envisageable.Avant sa sortie, le patient est transfusé 2 CE pour améliorer son état asthénique et son anémie chronique. Nous notons un pic fébrile pendant la transfusion, prenant en compte les températures récidivantes subfébriles du patient, et instaurons un traitement par Paracétamol. Mr. Y sort à sa demande le 17.1.19 en état général affaibli. Mr. Y est un patient de 52 ans, qui est hospitalisé dans notre service de chirurgie pour investigation d'un épaississement pleural gauche d'origine indéterminée. Il bénéficie le 10.01.2019 d'une thoracoscopie avec biopsie pleurale. L'évolution postopératoire est favorable, permettant l'ablation du drain thoracique le lendemain. Mr. Y rejoint son domicile le 12.01.2019 et sera vu à la consultation de chirurgie thoracique le 22.02.2019 à 10h00. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire le 20.12.2018 suite à un arrêt cardio-respiratoire sur STEMI latéral avec mise en place de 1 stent actif le 09.11.2018. Traitement à l'entrée : • Aspirine cardio 100 mg 1-0-0-0 • Atorvastatine 40 mg 0-0-1-0 • Brilique 90 mg 1-0-1-0 pendant 12 mois • Carvedilol 6.25 mg 1-0-1-0 • Lisinopril 5 mg 1-0-1-0 • Metformine 500 mg 1-0-1-0 • Dafalgan 500 mg en réserve si douleurs maximum 4x/jour Sur le plan hépatologique, le patient avait présenté un foie de choc sur arrêt cardio-respiratoire le 10.11.2018, puis une perturbation des tests hépatiques avait été retrouvée le 15.11.2018 lors d'un bilan biologique de contrôle. À son arrivée en réadaptation, nous effectuons un contrôle biologique des tests hépatiques qui revient dans la norme. Sur le plan cardiologique, le patient est resté asymptomatique avec une absence de modifications aux électrocardiogrammes de contrôles. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité faible et il a pu progresser jusqu'à un groupe d'intensité modérée. À la fin de la prise en charge, il est capable d'utiliser le vélo pendant une durée de 25 minutes à une puissance de 90 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+85 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : 1. Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3,0 mmol/L, des HDL à 1,0 mmol/L, des LDL à 1,81 mmol/L, des triglycérides à 1,4 mmol/L. 2. Le patient fume de façon occasionnelle, nous empêchant d'évaluer cet aspect lors de son hospitalisation. Nous lui expliquons qu'un sevrage tabagique serait préférable. 3. Sous traitement, la fréquence cardiaque et la tension artérielle sont restées dans la norme. À l'examen clinique de sortie, status normo-compensation avec une pression artérielle de 104/71 mmHg avec une FC à 70 bpm. Mr. Y, patient de 56 ans, hospitalisé pour un angor instable. Pour rappel, le patient consulte pour une douleur rétrosternale irradiant dans les deux bras depuis le 18.12.2018. Les symptômes sont initialement à l'effort avec une résolution spontanée. Suite à la péjoration de la symptomatologie avec l'apparition de douleurs au repos, il consulte aux urgences le 13.01.2018. L'ECG est dans la norme et les troponines sont négatives. Le patient est donc hospitalisé dans notre service pour une suspicion d'angor instable au vu des nombreux facteurs de risques cardiovasculaires. La coronarographie du 14.01.2019 révèle une maladie coronarienne tritronculaire avec une occlusion de l'ACD proximale, une occlusion subtotale de l'IVA proximale et des lésions significatives de l'artère circonflexe. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est normale. L'aortographie montre une dilatation de l'aorte ascendante (46 mm) avec une insuffisance aortique modérée. Dans ce contexte, l'indication à un PAC est posée. Le bilan est complété par un Angio-CT et une ETT. Un traitement par aspirine cardio, Fondaparinux 2.5 mg et bilol 2.5 mg est introduit dès le 14.01.2019. Le patient est donc transféré dans l'unité des soins intensifs dès le 14.01.2019 et jusqu'à son transfert à Berne après discussion avec le Dr. X. À noter une dyslipidémie pour laquelle un traitement par Atorvastatine est instauré dès le 14.01.2019. Un contrôle de l'hémoglobine glycquée se révèle à la limite supérieure de la norme. En conséquence, nous renonçons à instaurer un traitement antidiabétique et recommandons au patient d'effectuer un ajustement de son style de vie. À noter une hypertension artérielle pour laquelle nous instaurons un traitement par Lisinopril dès le 14.01.2019. Mr. Y est transféré à la Clinique Beausite à Berne pour suite de prise en charge le 15.01.2019. Mr. Y présente une aphasie motrice transitoire de 2-3 minutes avec résolution spontanée totale. Le bilan par imagerie révèle une lésion nouvelle au niveau du territoire de l'artère cérébrale moyenne gauche à l'IRM. Nous retrouvons à l'examen clinique une ptose labiale droite ainsi qu'une discrète ataxie, possiblement secondaires à l'ancien AVC en 2015. Les vaisseaux pré-cérébraux sont perméables sans sténose ni plaque significative. L'étiologie la plus probable reste un trouble du rythme cardiaque, comme évoqué en 2015 malgré un bilan par Holter négatif à l'époque. Nous organisons un R-Test en ambulatoire. Un Reveal serait à discuter si cet examen se révèle dans la norme. De plus, nous prévoyons un bilan neuro-psychologique. La conduite est interdite d'ici là.Concernant les facteurs de risque, l'hémoglobine glyquée est toujours à la limite supérieure de la norme avec des glycémies toutefois stables pendant l'hospitalisation. Le bilan lipidique est également à la limite supérieure sous Pravastatine, ce pourquoi nous majorons le traitement. Nous recommandons de poursuivre le suivi régulier du profil tensionnel. La surveillance en Stroke Unit se déroule sans complications. Nous réintroduisons le Tenormin. Nous laissons le soin au médecin traitant de réintroduire le reste du traitement anti-hypertenseur. (Amlodipine 5 mg et Losartan 50 mg) Mr. Y est un patient de 56 ans, connu pour une hypertension artérielle traitée, qui se présente aux urgences le 27.01.2019 à cause de douleurs abdominales de type colique présentes depuis 2 jours, accompagnées d'une inappétence avec un épisode de vomissement. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 328 mg/L et une leucocytose à 18 g/L. Un CT abdominal met en évidence une appendicite perforée avec signes de péritonite. Le patient est mis sous antibiothérapie et bénéficie d'une appendicite laparoscopique le 27.01.2019. L'intervention se déroule sans complication. L'évolution est par la suite favorable, avec un syndrome inflammatoire à la baisse. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile le 30.01.2019 avec la poursuite de l'antibiothérapie per os. Nous reverrons le patient le 04.02.2019 pour un contrôle clinique et biologique. Mr. Y souffre d'un syndrome du tunnel carpien de la main D confirmé par EMG. L'indication pour une neurolyse du nerf médian est donnée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques/bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord oral et signé. L'intervention est prévue en ambulatoire le 18.02.2019. Mr. Y, âgé de 74 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une chute de sa hauteur avec fracture proximale de l'humérus gauche et fracture de la rotule à gauche le 01.01.2019 pour lesquelles un traitement conservateur a été instauré. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. À l'admission, le patient n'a pas de plainte particulière. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place, avec des douleurs de l'épaule à 0/10 au repos et 7/10 lors des exercices de mobilisation, et au genou à 0/10 au repos et à la mobilisation. À l'anamnèse par systèmes, pas de dyspnée, pas de douleur thoracique, appétit et transit conservés. Le patient signale être appareillé par CPAP pour des apnées du sommeil avec un réglage effectué un mois auparavant. Au status, le patient est orienté et collaborant. Un hématome est présent sur le bras gauche et une petite plaie sous forme de croûte sur le genou gauche. La flexion/extension du genou gauche est de 20-0-0 en actif et en passif avec une limitation par l'attelle. La force des fléchisseurs de la hanche est cotée à M4 et la sensibilité est conservée. Au niveau de l'épaule gauche, bras dans le gilet orthopédique avec une sensibilité et une motricité préservées au niveau des doigts de la main. Un contrôle radiologique, effectué le 14.01.2019, montre une situation stable sous traitement conservateur, sans déplacement ou dissociation osseuse. La situation est discutée avec le Dr. X, médecin orthopédiste qui a suivi le patient à l'HFR Fribourg, qui préconise de poursuivre le traitement conservateur avec un nouveau contrôle radiologique 6 semaines après l'accident. Durant son séjour, le patient tolère mal le port de sa CPAP durant la nuit. Les réglages ayant été effectués un mois auparavant, nous ne faisons pas de modification et nous préconisons le port de l'appareil selon tolérance. Un prochain contrôle est prévu 2 semaines après la sortie de Billens. Une toux avec expectorations blanchâtres, sans état fébrile ni dyspnée, est traitée par sirop anti-toussif avec une bonne évolution. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 1 canne à droite. Il peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 22.01.2019, en bon état général. À la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie et d'ergothérapie à domicile pour maintenir les acquis et améliorer la mobilité de l'épaule une fois la fracture consolidée. Les soins à domicile sont activés. Mr. Y est amené le 12.01.2019 dans notre service des urgences depuis la Villa Beausite, où il réside depuis mi-décembre 2018, pour une dyspnée en progression. Le bilan initial au service des urgences révèle une insuffisance respiratoire globale aiguë, mise sur le compte d'une décompensation BPCO d'origine infectieuse, en plus d'une décompensation cardiaque globale. Le patient est admis aux soins intensifs du 12.01 au 14.01.2019, où il bénéficie de ventilation non-invasive (VNI), en plus des traitements antibiotiques, diurétiques et inhalatoires idoines. L'évolution clinico-biologique est favorable, et le patient peut être transféré dans notre service de médecine le 14.01.2019. La persistance d'une hypercapnie malgré l'amélioration clinico-biologique, associée à l'entrée à une acidose dans le contexte d'insuffisance respiratoire avec toutefois des bicarbonates déjà élevés, nous pousse à demander un avis pneumologique. Mr. Y est déjà connu de leurs services depuis décembre 2013, où un traitement de CPAP avait été instauré pour un syndrome d'apnées du sommeil. (Une suspicion de BPCO est connue depuis des années, sans que des fonctions pulmonaires aient jamais été réalisées sur refus du patient.) Une polysomnographie et capnographie sous BPAP ont lieu la nuit du 17.01 au 18.01.2019, avec amélioration gazométrique nette, permettant de retenir l'indication à un tel traitement au long cours. Le patient refuse toutefois catégoriquement l'appareillage les nuits suivantes, de sorte qu'un retour à la CPAP habituelle (sans oxygénothérapie) est opéré. Une substitution du traitement inhalatoire de Spiriva par Ultibro, dans l'hypothèse d'une BPCO de stade avancé. Mr. Y est retransféré à la Villa Beausite le 22.01.2019, en état général conservé. Mr. Y, cher collègue, Merci de m'avoir adressé en consultation Mr. Y, 16 ans, que j'ai vu accompagné par sa maman avec qui j'ai eu plusieurs échanges téléphoniques par la suite. Vous l'envoyez pour des adénopathies cervicales sous mandibulaires infracentimétriques depuis mars avec asthénie et adénopathies inguinales. Mr. Y, connu pour une hypertension artérielle non traitée et un asthme, présente depuis le 25.12.2018 des palpitations à l'effort, résolutives après 45 minutes de repos et accompagnées de fatigue sans douleur thoracique ni syncope. Le 28.12.2018, le patient présente à 05h00 du matin une sensation de manque d'air avec oppression thoracique à l'inspirium forcé. Il consulte le Dr. X, médecin de garde, qui met en évidence une fibrillation auriculaire nouvelle rapide à 151/min et l'adresse aux urgences. Les troponines sont inférieures à 40 ng/l.Aux urgences, le patient décrit une majoration de la consommation d'alcool durant les fêtes et entre autres la veille. Mr. Y ne présente pas de signe de décompensation cardiaque, de toux, ni d'état fébrile. Il rapporte toutefois une infection des voies respiratoires supérieures au début décembre 2018. Anamnestiquement, il décrit un épisode de palpitations similaires au mois de juin sur surdosage de traitement antihypertenseur, disparaissant après diminution de la posologie. Le traitement antihypertenseur par Amlodipine 5 mg et Co-Candesartan 20/12.5 aurait été interrompu selon son souhait au mois de septembre 2018. Sur le plan rythmique, nous constatons un rythme persistant en fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide à 170/min, hémodynamiquement stable, motivant un traitement cardio-freinateur par deux doses à distance de Dilzem 20 mg en iv. Après avis de la Dre X, cardiologue de garde, en raison de la persistance d'une tachycardie à 130/min, asymptomatique, le patient bénéficie d'une dose unique de Metoprolol 5 mg iv puis de 25 mg en per os. La réponse clinique est favorable avec une fréquence cardiaque à 95/min et retour en rythme sinusal le 29.12.2018 à 3h00 du matin. Un traitement par Metoprolol 50 mg 1x/j est introduit dès le 29.12.2018 avec bonne réponse clinique et maintien du rythme sinusal à 70/min. Une anticoagulation orale thérapeutique par Xarelto 20 mg est débutée, à poursuivre au moins jusqu'au prochain contrôle cardiologique. Concernant le bilan étiologique, un syndrome coronarien est exclu avec des troponines sans cinétique. En raison d'un score de risque de Genève intermédiaire pour une embolie pulmonaire, nous effectuons un CT scan thoracique injecté qui ne montre pas d'embolie pulmonaire mais met en évidence un épanchement péricardique de 2 cm et le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec leucocytose à 10,5 G/l et CRP à 34 mg/l. À noter que l'excès d'alcool durant les fêtes a pu participer au déclenchement des troubles du rythme cardiaque. Au vu des résultats, ainsi que de l'infection des voies respiratoires supérieures récente, une péricardite sur probable origine virale semble aussi très probable. L'ECG lors des passages en rythme sinusal montre un sus-décalage du segment ST diffus avec sus-décalage du segment PR en aVR ainsi que léger PR descendant dans les autres dérivations. Selon avis de la Dre X, au vu de la bonne tolérance hémodynamique, il n'y a pas d'indication à réaliser une échocardiographie transthoracique ni de ponction péricardique en urgence. Le patient bénéficie d'une surveillance en lit d'observation aux urgences, avec résolution de la sensation d'oppression thoracique. Un traitement par Colchicine seule, 0.5 mg 1x/j, est décidé au vu du risque hémorragique important sur anticoagulation thérapeutique pour la fibrillation auriculaire nouvelle. Mr. Y peut regagner son domicile le 29.12.2018. Un contrôle clinico-biologique ainsi qu'un ECG sont prévus le 31.12.2018 à la FUA. Lors de cette consultation, une échocardiographie transthoracique est à organiser à l'HFR Fribourg avant le 03.01.2019. Mr. Y, 36 ans, a été admis aux soins intensifs pour un trouble de l'état de conscience sur une encéphalopathie hépatique précipitée par un possible surdosage en benzodiazépines. Le patient est connu pour une cirrhose hépatique CHILD-PUGH B d'origine éthylique et une insuffisance rénale chronique sur néphropathie à IgA. Il est hospitalisé en médecine interne depuis le 28 décembre pour une décompensation ascitique. Dans la nuit du 20 au 21 janvier, il présente un trouble de l'état de conscience suite à un possible surdosage en benzodiazépines au vu d'une réponse clinique positive suite à l'administration de flumazénil. Le trouble de l'état de conscience a été attribué à une encéphalopathie hépatique confirmée par une hyperammoniémie, avec une évolution rapidement favorable sous lactulose. Une ponction d'ascite permet l'évacuation de plus de 4 litres de liquide ascitique sans argument pour une infection. Le drainage est poursuivi avec une substitution d'albumine. Vu l'évolution clinique et biologique favorable, le patient est re-transféré dans le service de médecine interne le 22.01.2019. Nous vous proposons de poursuivre les démarches en cours afin d'évaluer l'indication à la mise en place d'un TIPSS et en vue d'une possible mise sur liste de transplantation pour greffe hépato-rénale après 6 mois d'abstinence. Un contact préalable avec les équipes de transplantation devrait être considéré dès que possible afin de planifier ce projet sans perdre de temps. Mr. Y, patient de 62 ans connu pour un antécédent de polytraumatisme en 1994 avec hémorragie frontale bilatérale au niveau cérébral motivant une trépanation du CHUV en 1994, est hospitalisé dans un contexte de crise épileptique tonico-clonique nouvelle le 14.01.2019. L'anamnèse révèle une chute de 4 mètres de hauteur alors qu'il était au travail dans un contexte peu clair. L'évaluation initiale au service des urgences avec un CT total body révèle une hémorragie cérébrale frontale gauche dans la cavité séquellaire, ainsi que de multiples fractures costales à gauche et des processus transverses vertébraux à gauche multiétagés. Le patient présente une crise d'épilepsie tonico-clonique aux urgences. Le patient est transféré à l'Inselspital pour la suite de prise en charge. Devant l'absence de sanction neurochirurgicale ou chirurgicale autre, Mr. Y retourne à Fribourg pour la suite de prise en charge. Un traitement anti-épileptique par Keppra et Lamotrigine est introduit selon avis neurologique. L'EEG ne révèle pas de foyer épileptogène. Les traitements sont à poursuivre selon les schémas proposés, une augmentation trop rapide introduisant le risque de complications telles que le syndrome de Steven-Johnson. Un traitement anti-épileptique est nécessaire à long terme au vu de la lésion frontale séquellaire épileptogène. Des activités considérées comme dangereuses comme travailler sur des chantiers, échafaudages, etc. sont contre-indiquées pour un minimum d'un an (à noter que le patient ne conduit pas de véhicule automobile). Une nouvelle IRM cérébrale est à prévoir à 6 semaines. Sur le plan ostéo-articulaire, l'avis chirurgical sollicité aux urgences ne retient pas de sanction chirurgicale. Devant des costalgies invalidantes positionnelles, un avis spécialisé pour l'adaptation de l'antalgie est demandé. L'évolution est rapidement favorable suite à l'adaptation du traitement. Un suivi en ambulatoire est prévu à votre consultation, avec adaptation de l'antalgie selon évolution. Des radiographies du thorax et cervicales (en position debout) sont indiquées à 6 semaines. Mr. Y bénéficie d'une prise en charge physiothérapeutique permettant une amélioration de la capacité respiratoire. La poursuite est proposée en ambulatoire. Le CT total body effectué au service des urgences met en évidence une lésion suspecte de la prostate. L'anamnèse urologique est sans particularité et le patient ne présente pas de symptômes B. Un taux de PSA est effectué qui se révèle être dans la norme (1.2 ng/ml). Une IRM de la prostate est à effectuer en ambulatoire. Devant l'évolution favorable, Mr. Y regagne son domicile le 25.01.2019 avec suivi prévu chez son médecin traitant. Mr. Y, 76 ans, a été admis aux soins intensifs pour un sepsis avec une bactériémie à Staphylococcus aureus d'origine indéterminée, avec insuffisance rénale et coagulopathie. Le patient a été hospitalisé le 09.01.2019 pour un sepsis au décours d'une possible infection urinaire bilantée en ambulatoire le 07.01.2019 et traitée par Nitrofurantoïne. L'évaluation initiale n'a pas mis en évidence de foyer infectieux évident. Un CT-scan thoraco-abdominal natif est sans particularité. Une bactériémie à Staphylocoque doré multi-sensible (2 bouteilles sur 6) fait suspecter un foyer endovasculaire. L'échocardiographie trans-oesophagienne n'a pas identifié de signe d'endocardite ni d'infection des sondes du stimulateur cardiaque. Le pacemaker étant non compatible pour l'IRM, il est proposé de poursuivre le bilan étiologique par un PET-CT afin d'exclure une infection du boîtier du pacemaker ou un autre foyer profond. Des douleurs cervicales récidivantes peuvent faire suspecter une possible spondylodiscite.L'antibiothérapie empirique de Ceftriaxone et Clarithromycine a été adaptée par Céfuroxime sur avis de l'infectiologue, en raison d'une allergie à la Pénicilline. La durée de l'antibiothérapie sera à discuter suite aux résultats du PET-CT. Une coagulopathie avec thrombocytopénie sévère a été mise sur le compte du sepsis et a nécessité la transfusion d'un concentré plaquettaire. Une anticoagulation prophylactique par héparine de bas poids moléculaire a été introduite en attendant la correction de la thrombocytopénie et le résultat des investigations en cours. Le traitement anti-thrombotique habituel (rivaroxaban et aspirine) devra être repris dès que possible. Une insuffisance rénale aiguë prérénale s'est améliorée par la correction volémique. Le traitement diurétique habituel a pu être repris. Le patient a été transféré le 13.01.2019 dans le service de médecine interne. Mr. Y, patient de 79 ans, connu pour un antécédent de suspicion de mal épileptique en décembre 2017, sous traitement de Keppra depuis, se présente le 12.01.2019 au service des urgences pour un discours incohérent et une désorientation. Nous l'hospitalisons afin de compléter les investigations. Sur le plan neurologique, un angio-CT cérébral permet d'exclure une atteinte ischémique ou hémorragique. Au vu des antécédents du patient, nous réalisons un EEG le 15.01.2019 qui se révèle dans la norme sous traitement de Keppra (prises régulières lors de l'hospitalisation). Cependant, le taux de Lévétiracétam prélevé au moment de l'hospitalisation du patient se révèle être infra-thérapeutique (12.1 ug/l, cibles 20-40 ug/l). Mr. Y admet ne pas avoir pris 4 doses de son traitement de Keppra avant son hospitalisation, car il n'était pas à domicile. Au vu de cette évolution (survenue d'un état de désorientation après arrêt spontané du Keppra et normalisation de l'état clinique et de l'EEG après reprise du médicament), l'état de confusion présenté par ce patient est d'origine comitiale. Il faut donc poursuivre le traitement sans modification. Le patient est inapte à conduire un véhicule automobile pendant 3 mois. En effet, il n'a pas eu de véritable crise, mais un état confusionnel qui présente également un risque au sein de la circulation. Nous proposons également de faire un bilan neuropsychologique à distance et vous laissons le soin de l'organiser. Finalement, sur conseil du service de liaison, nous majorons les soins à domicile dont bénéficie Mr. Y. L'évolution clinique de Mr. Y est favorable sous traitement de Keppra et il peut retourner à domicile le 16.01.2019 en bon état de santé générale. Mr. Y, patient de 80 ans connu pour une polyneuropathie des membres inférieurs d'origine indéterminée, est transféré du CHUV dans la suite de prise en charge d'un AVC ischémique aigu. L'anamnèse révèle une cécité monoculaire droite d'apparition brutale le 08.01.2019 à 14h30, alors qu'il consultait son dentiste. Il présente des paresthésies du membre supérieur droit et une parésie du membre inférieur droit en parallèle. Il est adressé aux urgences où l'évaluation neurologique révèle un NIHSS à 5 points en raison d'une hémianopsie homonyme latérale à droite et d'un hémisyndrome sensitivomoteur brachio-crural à droite. Le CT cérébral ne révèle pas de lésion ischémique ni hémorragique; au niveau vasculaire, une hypoplasie de l'artère vertébrale droite est constatée, se terminant en PICA. Le patient est transféré à Fribourg pour la suite de prise en charge suite à une dose de charge en Plavix. La surveillance neurologique initiale se fait en lit monitoré. L'IRM cérébrale confirme un AVC ischémique aigu dans le territoire de l'artère cérébrale postérieure gauche (cortex occipital gauche et thalamus) avec transformation hémorragique. Une séquelle ischémique focale du cortex frontal droit est également découverte. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre une FEVG conservée, sans cause structurelle pour une origine cardio-embolique. Un Holter de 72h est posé durant l'hospitalisation, dont les résultats sont en cours lors de la rédaction de cette lettre. Un examen neurosonologique, effectué au CHUV, retrouve une athéromatose diffuse carotidienne, sans occlusion ou sténose des vaisseaux pré et intra-cérébraux. L'étiologie demeure donc indéterminée. Sur le plan cardiaque, l'échocardiographie transthoracique révèle une discrète hypokinésie antéro-apicale. Nos cardiologues recommandent d'organiser un contrôle échocardiographique à 1 mois avec organisation d'une coronarographie en cas de persistance des troubles de la cinétique segmentaire. Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est introduit en raison d'une hypercholestérolémie. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Sur le plan ophtalmologique, l'évaluation à 1 semaine de l'événement confirme une hémianopsie homonyme droite. Cet examen met également en évidence un glaucome pseudoexfoliatif G>D motivant un traitement local. Un contrôle ophtalmologique est prévu à 1 mois. Le bilan neuropsychologique révèle des difficultés attentionnelles et quelques difficultés exécutives. Les aspects attentionnels sont compatibles avec la localisation occipitale gauche et thalamique de la lésion aiguë. L'évaluation évoque néanmoins un tableau plus global, la participation d'une composante vasculaire et/ou dégénérative plus large n'est pas exclue, ce qui est également compatible avec les données de l'IRM cérébrale. Le suivi médico-infirmier ne révèle pas de difficultés dans le fonctionnement dans les activités de la vie quotidienne. Le patient bénéficie d'une prise en charge multidisciplinaire physiothérapeutique et ergothérapeutique. Il se déplace avec un moyen auxiliaire (canne personnelle ou rollator), un périmètre de marche de 100 m est obtenu. À noter que le patient se déplace avec un rollator à domicile et doit pouvoir faire 1 étage d'escaliers à la maison. L'évolution clinique est favorable avec un statut neurologique de sortie mettant en évidence l'hémianopsie homonyme latérale à droite compatible avec un NIHSS à 2 points. Mr. Y est transféré à la Clinique Valmont pour un séjour de réadaptation. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mr. Y, patient de 80 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance neurologique suite à un AVC ischémique aigu occipital gauche et thalamique avec discrète transformation hémorragique. Le patient a présenté une cécité monoculaire droite d'apparition brutale vers 14h30 le 08.01.2019 associée à une paresthésie du membre supérieur droit et une parésie du membre inférieur droit. Un CT Time is brain au CHUV confirme l'AVC. Lors de son séjour aux soins intensifs, le patient reste stable sur le plan neurologique avec un NIHSS stable comme à l'entrée à 4 points. L'IRM cérébrale confirme l'AVC ischémique aigu dans le territoire de l'artère cérébrale postérieure gauche. Le traitement antiagrégant par Plavix est poursuivi. Le bilan des facteurs de risque cardiovasculaire montre une hypercholestérolémie avec un LDL à 3.47 mmol/l et une hémoglobine glyquée est dans la norme. Le bilan cardiaque reste à pister à l'étage.Vu la stabilité clinique, le patient peut être transféré en stroke unit non monitorée le 10.01.2019. Mr. Y est un patient de 63 ans, connu du service pour une fistule entéro-cutanée, qui est hospitalisé le 26.11.2018 pour la prise en charge d'un important abcès sous-cutané en connexion avec la fistule. Le patient bénéficie d'un débridement et de la mise en place d'un VAC dès le 26.11.2018 avec changements itératifs jusqu'au 06.12.2018. Sur avis infectiologique, nous maintenons une antibiothérapie par Métronidazole et Ceftriaxone intraveineuse jusqu'au 14.12.2018, relayée par un traitement per os poursuivi jusqu'au 18.12.2018. Un CT abdominal de contrôle le 14.12.2018 montre une disparition de la collection de la paroi abdominale ainsi que l'absence de nouvelles fistules entéro-cutanées. En vue de l'évolution favorable des plaies, nous procédons à l'ablation du VAC et à la mise en place d'un pansement simple le 21.12.2018. Le patient retourne à son domicile le 29.12.2018 avec la mise en place de soins à domicile. Mr. Y est un patient de 87 ans connu pour un anévrisme de l'aorte abdominale asymptomatique en progression (50,7 mm en 2017 à 56 mm en septembre 2018), raison pour laquelle une cure d'anévrisme endovasculaire (EVAR) est effectuée le 07.01.2019. À l'angiographie finale, on visualise une endofuite de type II ou IB à droite. Un angio-CT de l'aorte abdominal est réalisé le 09.01.2019 qui montre une endofuite de type IB. Les suites opératoires sont simples avec deux points de ponction cliniquement calmes. Sur le plan néphrologique, le patient présente une légère péjoration de sa fonction rénale dans le contexte de produit de contraste iodé. L'évolution est par la suite favorable avec une hydratation en intraveineux. Au vu de la bonne évolution clinique et suite à la discussion interdisciplinaire, Mr. Y rentre à domicile le 11.01.2019. Le patient sera convoqué par nos collègues radiologues pour prolonger une embolisation de l'hypogastrique droite avec prolongation des jambages de l'endoprothèse dans 2 semaines. Mr. Y est amené en ambulance dans notre service des urgences le 11.01.2019 en raison d'une dyspnée en péjoration. Il est connu pour carcinome épidermoïde du poumon droit avec métastases cérébrales, découvertes courant novembre 2018 suite à une crise d'épilepsie et ayant nécessité une radiothérapie cérébrale en plus d'une corticothérapie actuellement dégressive (nécessitant de mettre en suspens l'immunothérapie de seconde ligne jusqu'en décembre 2018). Notons en outre un antécédent de carcinome épidermoïde du poumon gauche en 2010 - considéré comme primarius métachrone vu le délai temporel le séparant de la tumeur droite. Le bilan initial révèle une progression tumorale, une majoration d'un épanchement pleural droit (ponctionné pour la dernière fois en juin 2018), une insuffisance respiratoire partielle hypoxémique et un probable foyer pulmonaire. Le traitement de dexaméthasone au décours est temporairement majoré, et une antibiothérapie est introduite. Une discussion interdisciplinaire a lieu le 11.01.2019 (Dr. X, Dr. X, Dr. X, Dr. X, femme et patient), lors de laquelle il est décidé de ne pas ponctionner l'épanchement en urgence vu la bonne tolérance clinique et une anticoagulation par Lixiana, mais de plutôt prévoir une pose de PleurX la semaine suivante. Suit une hospitalisation dans notre service de médecine interne. La ponction s'avère finalement nécessaire en urgence le 12.01.2019 et rend 2,5 litres de liquide d'origine maligne. L'évolution clinique et biologique est ensuite favorable (moyennant la transfusion d'un culot érythrocytaire le 15.01.2019). Le patient est présenté aux collègues de la chirurgie thoracique (Dr. X, Dr. X) pour évaluer l'indication à la pose d'un PleurX vu la forte probabilité de récidive d'épanchement pleural symptomatique. Ceux-ci nous suggèrent une consultation ambulatoire dans le service avec radiographie de contrôle le 18.01.2019. Toutefois, compte tenu du souhait de Mr. Y de rentrer le plus vite possible chez lui et d'éviter de trop nombreux allers-retours, et du suivi par Voltigo déjà en place, nous optons pour un retour à domicile le 15.01.2019. Un contrôle biologique et radiologique aura lieu à l'HFR Billens le 21.01.2019, sur la base duquel l'indication à la pose d'un PleurX sera réévaluée. L'organisation concrète du geste passerait, le cas échéant, par notre service de soins palliatifs spécialisés. Une convocation parallèle pour la prochaine cure d'immunothérapie suivra via le service d'oncologie. Mr. Y, patient de 66 ans en bonne santé habituelle, est hospitalisé dans le cadre d'une diverticulite perforée couverte. L'anamnèse révèle l'apparition de douleur au niveau de la fosse iliaque gauche depuis le 25.12.2018 environ, douleur uniquement à la palpation et sans péjoration, avec un état fébrile à 38°C spontanément résolutif. L'examen physique montre une sensibilité à la palpation profonde en fosse iliaque gauche sans péritonisme. Le patient bénéficie d'un scanner abdominal mettant en évidence une diverticulite probablement perforée couverte. Nous introduisons un traitement de Ciprofloxacine et Metronidazole per os avec une bonne évolution clinique. Nous vous proposons de réaliser un suivi clinique et biologique dans les meilleurs délais. Nous ne proposons pas de colonoscopie de suivi dans 6 semaines en raison d'un examen réalisé il y a environ 2 ans. Au vu de la bonne évolution clinique du patient, il rentre à son domicile le 29.12.2018 en bon état général. Mr. Y est envoyé par son cardiologue traitant pour l'implantation d'un Pacemaker. Il est connu pour une bradycardie symptomatique sur bloc AV III° post-ablation d'une voie accessoire dans le contexte d'un WPW découvert fortuitement à l'ECG. Le patient se présente avec une dyspnée au repos, une tachy-orthopnée avec un rythme bradycarde, des OMI jusqu'au genou et des BNP élevées. La pose de Pacemaker et la surveillance post-opératoires se passent sans complications. Nous notons l'amélioration de la décompensation cardiaque dès le premier jour post-opératoire. Une radio de thorax est effectuée pour exclure un pneumothorax et le premier contrôle du pacemaker est effectué. Ainsi, le patient peut être renvoyé à domicile le 22.01.2019 en bon état général. Mr. Y est amené aux urgences en ambulance le 10.01.2019 en raison d'une hypotension sévère. Le patient a été retrouvé au sol ce matin par l'infirmière des soins à domicile. Il a également chuté le 07.01.2019. Le patient rapporte une perte d'équilibre en se déplaçant ce matin avec chute de sa hauteur sans perte de connaissance, ni notion de traumatisme crânien. Il rapporte des vertiges ainsi que des douleurs abdominales sous forme de crampes depuis 1 mois en aggravation. Pas d'autre plainte ni douleur. Pour rappel, Mr. Y vous consulte le 07.01.2019 en raison d'un important amaigrissement et dans ce contexte, un CT scan thoraco-abdomino-pelvien est effectué le 08.01.2019. L'examen met en évidence un probable carcinome du caecum multimétastatique, d'emblée en situation palliative. À l'admission aux urgences, le patient présente une baisse de l'état général avec des extrémités clampées. Il est hypotendu à 70/40 mmHg, normocarde à 95/min, hypotherme à 35.2°C et eupnéique à 18/min avec une saturation à 100 % à l'air ambiant. Au status digestif, l'abdomen est diffusément douloureux à la palpation avec signe de détente en hypochondre droit. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 141 mg/l, les lactates sont augmentés à 6.7 mmol/L. La radiographie du thorax montre les multiples métastases pulmonaires mais pas de signe de foyer. L'ECG est sans particularité.Concernant l'hypotension sévère, nous administrons 2 litres de NaCl en bolus rapide ainsi que 500 ml de Voluven. Le patient présente toujours des tensions basses mais se stabilise. Nous introduisons également un traitement antalgique par Oxycontin d'office. Au niveau oncologique, nous mettons le patient et sa famille au courant de la situation très précaire avec une maladie avancée en situation palliative. Nous demandons un avis à Dr. X, oncologue, qui propose d'attendre une amélioration de l'état général avant de procéder à des investigations invasives telles qu'une biopsie. Suite à une nette diminution de l'état général du patient le 11.01.2019, nous rediscutons de l'attitude thérapeutique avec la famille le jour même et il est décidé de débuter des soins de confort. Mr. Y décède le 13.01.2019. Mr. Y est un patient de 17 ans, en bonne santé habituelle, qui consulte les urgences le 26.01.2019 en raison de douleurs abdominales péri-ombilicales évoluant depuis 12 heures avec des nausées et des vomissements, sans état fébrile. Le laboratoire initial démontre un syndrome inflammatoire. L'ultrason abdominal met en évidence une appendicite aiguë simple. Le patient bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique le 27.01.2019. L'intervention se déroule sans complication et l'évolution est par la suite favorable. Mr. Y rentre à domicile le 28.01.2019. Mr. Y, âgé de 65 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à l'implantation d'une PTH D dans un contexte de coxarthrose invalidante, le 12.12.2018. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est retraité. À l'admission, le patient n'a pas de plainte. Il rapporte des douleurs à 1/10 au repos et 3/10 à la mobilisation avec l'antalgie en place. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Le transit est conservé sous laxatif et l'appétit est bon. Le patient rapporte des douleurs à la hanche gauche pour lesquelles la pose d'une PTH est prévue l'année prochaine. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. La flexion/extension de la hanche D est de 40-0-0 en actif et 60-0-0 en passif. La force du membre inférieur droit est cotée à M3 et la sensibilité est conservée. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises en respectant la décharge. Il peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension de la hanche D à 70-0-0 en actif et 90-0-0 en passif. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 29.12.2018, en bon état général. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire pour maintenir les acquis. Mr. Y est amené en ambulance de l'hôpital psychiatrique de Marsens le 19.01.2019 dans un contexte d'état fébrile et confusionnel aigu depuis la veille. Une infection urinaire avait été mise en évidence à Marsens avec début d'un traitement par Furadantine. Cependant, compte tenu de la persistance d'un état fébrile et d'une agitation plus importante que d'habitude, le patient nous est finalement adressé. L'anamnèse s'avère impossible auprès de ce patient à son arrivée aux urgences de l'HFR Riaz au vu de l'état confusionnel. Toutefois, Mr. Y se touche régulièrement le bas-ventre et la verge, paraissant inconfortable à ce niveau-là. À l'examen clinique, les B1 B2 sont bien frappés, normocardes, sans souffle audible. Le status pulmonaire est sans particularité. L'abdomen est souple, mais sa palpation est douloureuse au niveau sus-pubien, sans défense ni détente ; les bruits intestinaux sont normaux en fréquence et en intensité. Les loges rénales paraissent indolores à la percussion. Un bilan biologique est effectué aux urgences, indiquant une leucocytose à 11.7 G/l et une CRP à 45 mg/l. Une insuffisance rénale aiguë Akin I (créatinine à 160 µmol/l) sur insuffisance rénale chronique est également mise en évidence. Un sédiment urinaire revient dans la norme et une culture d'urine est effectuée pour analyses (sera stérile à 48 heures). Une radiographie du thorax ne visualise pas de foyer pulmonaire. Le même jour, et vu que Mr. Y est hémodynamiquement stable et afébrile, nous l'hospitalisons en gériatrie aiguë HFR Riaz, sans instaurer de traitement antibiotique. Le contrôle biologique prévu pour le lendemain indique une augmentation de la CRP à 59 mg/l et de la leucocytose à 21.3 G/l, avec une prédominance de neutrophiles. De plus, le patient est subfébrile à 37.9 °C bien qu'il soit sous Dafalgan. Dans notre service, le status s'avère sans particularité et le patient n'a pas de plainte particulière. Ce dernier se montre cependant toujours angoissé et agité. Des hémocultures sont prélevées et, après discussion du cas avec Dr. X, une antibiothérapie par Rocéphine 2 g est administrée par perfusion à 18h00. Celle-ci est bien supportée par le patient, qui est évalué par l'infirmière à 22h. Cependant, au passage infirmier de minuit, Mr. Y est retrouvé décédé dans son lit. Le certificat de décès est alors réalisé et nous avisons sa nièce. Une autopsie est proposée, mais finalement refusée par la famille de Mr. Y. Mr. Y est un patient de 67 ans, connu pour un adénocarcinome du bas rectum actuellement en rémission et opéré en 2015, qui est hospitalisé en vue d'une réfection de la colostomie terminale par abord local. En effet, il présente depuis plusieurs mois un bourgeon inflammatoire sur un tiers de la circonférence de la stomie qui lui provoque des douleurs et un prurit quotidien, invalidant. Des soins locaux ont été tentés, mais sans succès. L'intervention susmentionnée a été réalisée le 03.01.2019 et s'est déroulée sans complication. Les suites opératoires sont simples, la stomie est calme et le patient ne présente pas de douleurs. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile le 04.01.2019. Mr. Y est un patient de 82 ans, connu pour une hypertension artérielle traitée et qui est amené ce 24.12.2018 par sa famille en raison de douleurs de la hanche droite depuis 3 à 4 mois en péjoration ces dernières semaines sans notion traumatique. Le patient porte une prothèse totale de hanche droite depuis 20 ans ; ses douleurs sont localisées au niveau de la fesse droite sans irradiation. Rappelons que Mr. Y vous avait consulté le 17.12.2018. La radiographie effectuée à cette occasion n'avait pas mis en évidence de fracture, mais vous l'adressez en consultation auprès de Dr. X, orthopédiste HFR Riaz, avec un rendez-vous prévu le 08.01.2019. Mr. Y vit seul à domicile, avec un étage d'escalier, sans aide du CMS. Le patient se mobilise de plus en plus difficilement avec charge complète possible, mais boiterie antalgique et limitation dans ses activités de la vie quotidienne. Remarquons encore un léger raccourcissement du membre inférieur droit. Le jour même de son entrée aux urgences, Mr. Y est hospitalisé en gériatrie aiguë dans un contexte de décompensation arthrosique de la hanche droite avec soins impossibles à domicile.Nous demandons un avis orthopédique à Dr. X, qui préconise un scanner du bassin afin d'exclure une fracture. Le patient présente un risque de chute, avec des chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Durant son séjour, Mr. Y bénéficie d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 02.01.2019 au 09.01.2019. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMS à 22/30 et un test de la montre refusé par le patient. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 3/15. Durant son séjour, Mr. Y réalise une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, son périmètre de marche accompagné et à l'aide d'un déambulateur est de 80 mètres. Les marches d'escaliers ne sont pas testées. Le patient est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 92/126, par rapport à 55/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 6/7, marche à 6/7, escaliers à 6/7). Le TUG est à 70 secondes avec rollator. Le risque de chute est élevé. Mr. Y profite également d'un bilan nutritionnel, mettant en évidence un bon état dans l'ensemble, avec un indice de masse corporelle à 20.6 kg/m². Le patient bénéficie d'une prise en charge en ergothérapie avec la mise en place de stratégies pour l'habillage et déshabillage grâce à des moyens auxiliaires, afin de soulager les mouvements de flexion. Notons aussi que la position debout sans appui n'est pas très sûre, et la double tâche qu'il a tendance à faire augmente son risque de chute. À noter que le patient refuse un bilan en cuisine (demande de la famille). Une sortie est décidée le 09.01.2019 avec un retour à domicile. Malgré une tendance à la minimisation, Mr. Y accepte le passage des soins à domicile 1x/jour pendant une semaine et 1x/semaine pour la douche. Mr. Y est un patient de 27 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences le 09.01.2019 en raison de douleurs en fosse iliaque droite. À l'examen clinique, nous objectivons une détente en fosse iliaque droite et le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire. L'ultrason confirme le diagnostic d'appendicite aiguë, raison pour laquelle le patient bénéficie le jour même d'une appendicectomie laparoscopique en urgence. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites post-opératoires sont simples. En vue de la bonne évolution clinico-biologique, Mr. Y peut regagner son domicile le 11.01.2019. Mr. Y est un patient de 69 ans, d'origine portugaise en vacances chez sa famille en Suisse, qui consulte le 06.01.2019 aux urgences en raison d'épigastralgie de type brûlures depuis 24 heures, sans irradiation, sans état fébrile et sans trouble du transit. Les douleurs sont apparues suite à l'ingestion de nourriture. Au laboratoire, un léger syndrome inflammatoire avec une élévation de la CRP. Le bilan est complété par un ultrason abdominal qui retrouve une image de cholécystite aiguë lithiasique. Le patient bénéficie d'une cholécystectomie laparoscopique en urgence. Les suites opératoires sont simples et afébriles, permettant un retour à domicile le 09.01.2018. Le patient, rentrant au Portugal après l'opération, nous lui expliquons en portugais qu'il devra prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils à 12 jours post-opératoires. Mr. Y est un patient de 24 ans, en bonne santé habituelle, qui nous est adressé pour la prise en charge chirurgicale d'une gynécomastie unilatérale gauche, raison pour laquelle le patient bénéficie d'une liposuccion mammaire gauche le 22.10.2019. L'intervention se déroule sans complication et les suites post-opératoires sont simples. En vue de l'évolution clinique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 23.01.2019. Mr. Y, patient de 60 ans connu pour une HTA traitée, un DM2 NIR, ainsi qu’une cardiopathie ischémique avec infarctus en 2004, consulte aux urgences de l'hôpital de Riaz le 21.12.2018 en raison d'une faiblesse de l'hémicorps D, remarquée le 20.12.2018 au réveil. Aux urgences, il est mis en évidence un hémisyndrome moteur facio-brachio-crural D. Le CT cérébral ne révèle pas de signe d'AVC ischémique ou hémorragique ou d'anomalies vasculaires notables. Le patient bénéficie d'une dose de charge en Aspirine et est transféré à l'hôpital cantonal pour une prise en charge neurologique. L'IRM cérébrale révèle une lésion ischémique aiguë para-ventriculaire G avec atteinte du bras postérieur de la capsule interne G. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne révèle pas de cause structurelle à l'AVC, notamment l'absence de FOP. Un Holter de 72h est posé durant l'hospitalisation, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. Nous ne sommes pas en mesure de retenir une étiologie claire durant l'hospitalisation. L'image IRM évoque plutôt une origine embolique, mais n'exclut pas une origine microangiopathique. Nous vous proposons de pister le Holter de 24h et d'organiser un R-Test en cas d'absence d'arythmie emboligène mise en évidence au Holter. Une double antiagrégation par Aspirine Cardio et Plavix est prescrite pour une durée d'un mois, suivie de Plavix seul. Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 60 mg/j pour un mois, puis 40 mg/j est introduit en raison d'une hypercholestérolémie. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à un mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). La capacité de conduite de véhicule automobile sera évaluée à la sortie du séjour en neuroréhabilitation. Un bilan neuropsychologique montre quelques difficultés lexicales, ainsi qu'en mémoire antérograde et de légers troubles exécutifs, sans contre-indication neuropsychologique à la conduite. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est satisfaisante avec au status neurologique de sortie, une hémiparésie ataxique persistante. Mr. Y est transféré en neuroréhabilitation intensive à l'HFR Meyriez le 09.01.2019. Mr. Y est un patient de 71 ans, connu pour un adénome tubulovilleux sessile du cæcum avec un status post-résection iléo-cæcale avec splitstomie iléo-transverse en 2012, une BPCO et une insuffisance rénale chronique avec plusieurs antécédents de lithiase urinaire gauche, qui se présente pour des douleurs sévères crampiformes en loge rénale gauche depuis 22 heures, sans irradiation, sans état fébrile, avec diurèse conservée. Nous réalisons un uro-CT qui montre un calcul situé dans l'uretère lombaire proximal gauche mesurant 7 x 7 x 8 mm et engendrant une dilatation pyélocalicielle en amont avec un pyélon mesuré à 28 mm. Nous retenons le diagnostic de lithiase urinaire gauche. Nous hospitalisons le patient en raison de douleurs non contrôlées par morphiniques. Sur avis de Dr. X, nous introduisons une antibiothérapie avec Ciproxine 500 mg 2 fois par jour. Le 02.01.2018 au soir, le patient présente un état fébrile, justifiant la pose d'une néphrostomie gauche en urgence par Dr. X. L'intervention se déroule sans complication. Le 04.01.2019, en raison d'hémocultures revenant positives à un staphylocoque aureus et sur avis infectiologique, nous changeons l'antibiotiques avec du Co-amoxicilline en intraveineux adapté à la fonction rénale. À noter que d'après l'historique documenté du patient, nos collègues infectiologues remettent grandement en question une quelconque réaction allergique aux bêtalactamines, motivant l'introduction de cet antibiotique.L'évolution clinico-biologique du patient est favorable sous antibiothérapie et le patient est afébrile. Le 08.01.2019, le patient peut rentrer à domicile. Nous organisons les soins à domicile à raison de 2 fois par jour. Un rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X est organisé à la fin du traitement antibiotique le 21.01.2019 à 13h30 avec un contrôle ultrasonographique des reins. Mr. Y, patient de 65 ans connu pour une maladie cérébro-vasculaire sténo-occlusive sévère, est hospitalisé dans un contexte de récidive d'événement ischémique mineur aigu sans corrélat radiologique le 14.01.2019. Le patient constate une dysarthrie nouvelle avec péjoration de l'hémisyndrome sensitivomoteur gauche connu au réveil le 14.01.2019. Les symptômes s'accompagnent de céphalées en péjoration. Une IRM cérébrale est effectuée en urgence qui ne révèle pas de lésion ischémique récente, nous retrouvons l'aspect de subocclusion de la partie proximale et intermédiaire du tronc basilaire. Le patient est hospitalisé en lit monitoré avec suite de prise en charge de la double anti-agrégation et traitement hypolipémiant à haute dose. La surveillance neurologique confirme une amélioration en 24h avec notamment résolution de la dysarthrie. Le patient dit retrouver son état habituel. La mobilisation s'effectue selon protocole AVC vu la possible composante hémodynamique. Sur le plan du bilan étiologique, l'échocardiographie transthoracique est effectuée qui ne révèle pas de cause structurelle d'AVC. Un examen neurosonologique de suivi est effectué qui confirme les sténoses susmentionnées. Nous retenons un événement ischémique mineur sans corrélat radiologique d'origine probablement hémodynamique dans le contexte d'athéromatose vertébro-basilaire sévère. Sur le plan médicamenteux, nous poursuivons la double anti-agrégation plaquettaire ainsi que le traitement hypolipémiant à haute dose. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Le patient est transféré en Frailty care pour la suite de la prise en charge. Sur le plan neurologique, il présente un NIHSS à 5 points au transfert en raison d'un hémisyndrome sensitivo-moteur brachio-crural ataxiant à gauche. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines post l'événement cérébrovasculaire. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mr. Y, patient de 65 ans connu pour une artériopathie précérébrale sévère, est hospitalisé dans un contexte de récidive d'événement ischémique mineur aigu sans corrélat radiologique le 14.01.2019. Le patient constate une dysarthrie nouvelle avec péjoration de l'hémisyndrome sensitivomoteur gauche connu au réveil le 14.01.2019. Les symptômes s'accompagnent de céphalées en péjoration. Aux urgences, le patient présente un NIHSS à 5 points. Une IRM cérébrale est effectuée en urgence qui ne révèle pas de lésion ischémique récente, nous retrouvons l'aspect de l'occlusion de la partie proximale et intermédiaire du tronc basilaire. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour suite de la prise en charge. La surveillance neurologique confirme une amélioration en 24h avec notamment résolution de la dysarthrie. Le patient dit retrouver son état habituel. La mobilisation s'effectue selon protocole AVC vu la possible composante hémodynamique. Sur le plan du bilan étiologique, l'échocardiographie transthoracique est effectuée qui ne révèle pas de cause structurelle d'AVC. Un duplex des vaisseaux précérébraux est effectué qui confirme les sténoses susmentionnées avec une perméabilité intacte. Nous retenons un événement ischémique mineur sans corrélat radiologique d'origine probablement hémodynamique dans le contexte d'athéromatose vertébro-basilaire sévère. Sur le plan médicamenteux, nous poursuivons la double anti-agrégation plaquettaire ainsi que le traitement hypolipémiant à haute dose. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Le patient est transféré en Frailty care pour la suite de la prise en charge. Sur le plan neurologique, il présente un NIHSS à 5 points au moment du transfert et lors de sa sortie de l'hôpital en raison d'un hémisyndrome sensitivo-moteur brachio-crural ataxiant à gauche. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines post événement cérébrovasculaire. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Les séances de physiothérapie et d'ergothérapie seront poursuivies en ambulatoires. Mr. Y est admis pour une tympanoplastie exploratrice pour une suspicion d'otospongiose gauche, avec mise en évidence d'un défaut de mobilité de la chaîne ossiculaire et pose de Piston. Il décrit en post-opératoire des vertiges rotatoires associés à des acouphènes d'apparition nouvelle, raison pour laquelle nous le gardons en surveillance. Nous introduisons un traitement par Tanganil, corticothérapie et antibiothérapie, associé à de la physiothérapie. Il bénéficie d'une audiométrie tonale le 07.01.2019 ne mettant pas en évidence de labyrinthisation. Un scanner des rochers est effectué le 07.01.2019 montrant une prothèse en place dépassant de 2mm de la platine. Il n'y a donc pas d'indication à une révision chirurgicale. Au vu de la bonne évolution clinique et de la diminution des vertiges, le patient rentre à domicile le 10.01.2019. Mr. Y, 70 ans, est hospitalisé aux soins continus pour surveillance post-opératoire de la prise en charge chirurgicale d'une myosite ossifiante circonscrite des adducteurs cuisse droite après opération au niveau de sa hanche droite. Le patient est pris en charge pour surveillance neuro-vasculaire dans le cadre d'une lésion artérielle per-opératoire au niveau de l'artère perforante qui a eu besoin d'une ligature, ainsi que d'un syndrome d'apnée du sommeil en cours de bilan non appareillé. La surveillance est sans particularité. Mr. Y est amené en ambulance dans notre service des urgences la nuit du 25.01.2019, après que sa famille a observé un état de détresse respiratoire à domicile, survenu après un état fébrile accompagné de frissons. Les ambulanciers notent une désaturation à l'air ambiant à leur arrivée (85%). Le bilan initial au service des urgences révèle un discret syndrome inflammatoire et une insuffisance respiratoire partielle, sans qu'un foyer infectieux franc ne puisse être visualisé (sous réserve de la mauvaise qualité des images). Le patient est hospitalisé dans notre service de médecine pour suite de la prise en charge. Une grippe est écartée grâce à un frottis du nasopharynx et la recherche d'antigènes urinaires de légionelles et pneumocoques revient négative. Face à la persistance d'un inconfort respiratoire sous oxygénothérapie et l'apparition de râles en base gauche, une antibiothérapie est débutée le 25.01.2019, par Rocéphine afin de couvrir un éventuel foyer urinaire concomitant. L'évolution clinique est rapidement favorable. Nous suspendons le traitement habituel d'emselex (darifénacine) au vu de la démence connue du patient. Suite à une récente consultation urologique chez le Dr. X (expliquant la leucocyturie à l'entrée), une injection de toxine botulinique est prévue le 14.02.2019 avant un contrôle le 12.03.2019. Nous lui laissons le soin de réévaluer l'indication au traitement de darifénacine. Mr. Y rentre à domicile le 30.01.2019, avec majoration de la fréquence des soins à domicile déjà en place suite à une discussion avec sa famille.Mr. Y, patient de 57 ans connu pour un HIV sous trithérapie et une hépatite C, ainsi qu'une artériopathie oblitérante des membres inférieurs, est hospitalisé le 04.01.2019 dans un contexte de vomissements et épigastralgies. Il rapporte 3-4 épisodes de vomissements liquides (sans sang) depuis 4 jours avec une prise de médicaments impossible. Il existe plusieurs antécédents d'hospitalisations en 2018 pour les mêmes motifs. Le diagnostic retenu à l'époque était une suspicion de mal-compliance aux IPP, avec de nombreux autres diagnostics différentiels (porphyrie, hyperémèse sur consommation de cannabis, diabète déséquilibré, gastrite idiopathique). Des investigations étendues avaient déjà été réalisées durant les précédentes hospitalisations. Nous les avons complétées par un transit baryté le 09.01.2019, qui montre une hypertrophie du muscle cricopharyngé. Un avis ORL est demandé et montre une difficulté d'initiation de la déglutition, raison pour laquelle nous vous invitons à organiser une consultation en phoniatrie à distance. Un CT cérébro-thoraco-abdominal a été réalisé dans le cadre d'un bilan général de ces vomissements itératifs sans mise en évidence d'une néoplasie ou d'autres lésions. En raison de la présence de contraste baryté dans le tractus digestif, l'analyse complète se révèle impossible. Nous organisons un CT cérébro-cervico-thoraco-abdominal en ambulatoire le 22.01.2019. Dans le cadre de l'artériopathie des membres inférieurs, comme prévu avant l'hospitalisation du patient, une angioplastie par voie fémorale droite avec double PTA/stenting a été réalisée par le Dr. X, sans complication. Du Plavix 75 mg a été introduit pour 1 mois. Une insuffisance rénale est mise en évidence à l'entrée, raison pour laquelle le traitement par Coveram est mis en suspens. Au vu de tensions artérielles satisfaisantes durant l'hospitalisation, le traitement n'a pas été repris et nous vous laissons le soin de réévaluer l'indication à ce traitement. L'évolution clinique et biologique est favorable et Mr. Y retourne à son domicile le 12.01.2019. NB : IMPORTANT : dosage du porphobilinogène urinaire lors de la prochaine crise! Un dosage seul suffit pour définitivement exclure le diagnostic de porphyrie. Pas fait aux urgences, négatif en novembre 2018. Mr. Y, un patient de 62 ans, est admis aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypoxémique dans un contexte d'exacerbation de BPCO et de décompensation cardiaque. Le patient est amené en ambulance pour une détresse respiratoire aiguë avec une augmentation de sa dyspnée depuis plusieurs jours avec une majoration de la toux et des expectorations. Une hypoxémie sans hypercapnie est mise en évidence, sans syndrome inflammatoire ni foyer pulmonaire constitué associé. Un traitement par aérosols et corticostéroïdes est introduit, associé à une antibiothérapie par Co-Amoxicilline du 15.01 au 19.01.2019. La ventilation non-invasive est mal tolérée par le patient. En parallèle, les signes cliniques et biologiques compatibles avec une décompensation cardiaque globale légère nous incitent à débuter une déplétion hydrique en majorant le traitement diurétique. L'évolution clinique est favorable, Mr. Y restant toutefois oxygénodépendant, motivant un transfert à l'étage pour la suite de la prise en charge. Nous poursuivons le traitement bronchodilatateur associé à une physiothérapie respiratoire avec une évolution clinique favorable, permettant un sevrage progressif des bronchodilatateurs et de l'oxygène. Une anémie normocytaire, hypochrome hyporégénérative ferriprive est mise en évidence. Nous procédons à une substitution par Ferinject le 18.01.2019. Nous recommandons au médecin traitant d'effectuer un contrôle de l'évolution de l'anémie dans 3 mois. Un bilan par colonoscopie et gastroscopie est également indiqué au vu de l'âge du patient et de cette anémie. Au cours du séjour, nous objectivons un déséquilibre glycémique suite à l'introduction de la corticothérapie per os. La prise de sang montre une HbA1c à 6.2% laissant suspecter un pré-diabète. Nous procédons à l'enseignement thérapeutique du mode de vie et vous laissons le soin de suivre l'évolution de la glycémie en ambulatoire. Mr. Y rentre à son domicile le 21.01.2019. Mr. Y est un patient de 53 ans, qui présente des douleurs abdominales au flanc gauche avec irradiation en fosse iliaque gauche, avec nausées, vomissements et impossibilité à s'hydrater. Il avait consulté le 24.01.2019 où une urolithiase avec une possible diverticulite sigmoïdienne associée a été mise en évidence. En raison d'une absence d'amélioration, le patient se représente aux urgences. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 17.6, CRP à 61 et une insuffisance rénale aiguë AKIN 1. Le CT-scan met en évidence une lithiase dans le tiers distal de l'uretère gauche de 5.5 mm avec dilatation pyélo-calicielle, globalement inchangée par rapport au CT-scan 48 heures auparavant. L'image d'épaississement irrégulier du sigmoïde semble moins inflammatoire (DD : diverticulite, tumoral). Le patient est hospitalisé pour une antibiothérapie intraveineuse et bénéficie de la pose d'une sonde double J le 27.01.2019. L'évolution est par la suite favorable avec une diminution des douleurs, une diminution du syndrome inflammatoire et la normalisation de la créatinine. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile le 30.01.2019 avec une antibiothérapie couvrant une infection urinaire et une éventuelle diverticulite. Le patient sera vu à la consultation du Dr. X afin de discuter de la suite de la prise en charge urologique, notamment le retrait de la sonde double J et de la lithiase. Une colonoscopie sera à prévoir dans 2 semaines (le patient avait déjà un rendez-vous dans 5 semaines qu'il faudrait avancer). Mr. Y, patient de 69 ans, est hospitalisé le 19.01.2019 aux soins intensifs dans le contexte d'un urosepsis sur pyélonéphrite aiguë gauche. Au vu de sa bonne évolution, il est transféré le jour même à l'étage de médecine interne pour la suite de sa prise en charge. Sur le plan urologique, le patient est connu pour un cancer prostatique traité par radiothérapie en 2016 et suivi par le Dr. X. Il présente depuis le 16.01.2019 une douleur en hypochondre droit, vive, irradiant en péri-ombilical, ainsi qu'une pollakiurie avec des urines malodorantes et une hématurie macroscopique. Le bilan évoque un urosepsis avec une hypotension associée à une insuffisance rénale aiguë. Une réanimation volémique ciblée et une antibiothérapie par Ceftriaxone IV sont initiées. Une amélioration clinique en quelques heures permet le transfert du patient à l'étage de médecine le jour même. Le 21.01.2019, un relais per os par Ciproxine est réalisé. Le traitement antibiotique est prévu pour une durée totale de 3 semaines, jusqu'au 08.02.2019. Le CT abdominal retrouve un abcès au pôle inférieur du rein gauche, que nous suivons par un ultrason rénal. Nous vous proposons de suivre son évolution au décours, et de réévaluer l'antibiothérapie en fonction de son évolution. Au niveau cardiologique, une fibrillation auriculaire non datée apparaît dans le contexte septique. Elle est bien tolérée sur le plan hémodynamique et spontanément résolutive après correction volémique. Au vu d'un CHADS-VASc à 1 et du contexte, une anticoagulation n'est pas indiquée. Dans ce contexte, nous vous invitons à réaliser une ETT au décours, afin d'exclure une origine fonctionnelle à cet épisode de FA. Sur le plan endocrinologique, le laboratoire retrouve des valeurs de glycémie élevées et une hémoglobine glyquée à 7.3%. Le diagnostic de diabète de type II non insulino-requérant est retenu. Nous introduisons un traitement de Metformine 500 mg 2 fois par jour et vous proposons de contrôler l'HbA1c à 3 mois, afin, le cas échéant, d'adapter la médication. Dans le cadre de ce nouveau diagnostic, nous réalisons un bilan lipidique qui montre une légère dyslipidémie. Au vu du risque cardiovasculaire élevé, nous débutons un traitement par Atorvastatine 10 mg. Un sédiment urinaire retrouve une microalbuminurie, que nous invitons à suivre. Nous vous invitons à poursuivre le bilan des complications associées au diabète, notamment avec un bilan ophtalmologique.Au niveau gastroentérologique, le patient rapporte la présence de sang frais dans les selles. Le CT abdominal retrouve un saignement au niveau digestif. Une colonoscopie est réalisée le 24.01.2019 et permet l'ablation d'un polype, à 18 cm de la marge anale. La préparation n'ayant pas pu être optimale, nous vous proposons d'organiser une nouvelle colonoscopie dans 3 mois, afin d'exclure une autre origine aux saignements décrits par le patient. Sur le plan neurologique, le patient développe un hoquet persistant entre le 18 et le 24.01.2019. Une IRM cérébrale permet d'exclure une origine centrale à ce symptôme. Une gastroscopie ne retrouve pas non plus d'origine à ce hoquet. Le hoquet se résout sous traitement de Baclofène et de Gabapentine le 24.01.2019. La Gabapentine ayant eu un très bon effet, nous la prescrivons pour la durée de l'antibiothérapie. Au vu de sa bonne évolution clinique et biologique, Mr. Y retourne à domicile le 29.01.2019. Mr. Y, patient de 77 ans connu pour une lithiase urétérale gauche 12 mm x 9 mm à proximité de la jonction vésico-urétérale le 28.11.2018, opéré par le Dr. X par laparotomie médiane pré-péritonéale avec pose d'une sonde double J gauche et excision de la lithiase vésicale, est repris en charge en réadaptation gériatrique ce jour après une hospitalisation en gériatrie aiguë. Rappelons que le patient avait été réopéré le 09.01.2019 par le Dr. X pour changement de sonde double J. Lors de sa reprise en charge en réadaptation gériatrique, Mr. Y présente un statut cardiovasculaire et pulmonaire sans particularité. Au niveau des pieds, remarquons néanmoins de légers oedèmes des membres inférieurs des deux côtés. Les pieds ne sont pas chauds, mais le pied droit est un peu rouge au niveau de sa face dorsale ; les deux pieds sont douloureux à la palpation, surtout au niveau de la face dorsale, plus à droite qu'à gauche. Sur le plan social, rappelons que Mr. Y vit dans un appartement avec son amie, sans soins à domicile. Il a 15 marches à effectuer à l'entrée. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage à l'admission montraient des performances altérées avec un MMS à 21/30. L'échelle gériatrique de dépression s'élevait à 0/15. Le 17.01.2019, la douleur aux chevilles devient plus importante et la cheville droite rougit, gonfle et chauffe. Une crise de goutte est alors suspectée et un traitement par Colchicine débuté, avec bonne évolution clinique. Durant son séjour, Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le périmètre de marche sans moyen auxiliaire est de 100 mètres. Le patient monte et descend 18 marches avec l'aide de la rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 77/126, par rapport à 67/126 à l'entrée. Le TUG est à 16.62'' sans moyen auxiliaire. Le patient bénéficie également d'un bilan nutritionnel qui met en évidence une malnutrition protéino-énergétique modérée en lien avec une inappétence post-opératoire, et démontrée par un NRS à 4/7 ainsi qu'une perte pondérale de 10 % en 1 mois. En ergothérapie, le patient profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Finalement, Mr. Y quitte notre service le 24.01.2019 pour rejoindre l'hôpital Daler le jour même, où il sera opéré le lendemain par Dr. X. Mr. Y, âgé de 72 ans, nous est adressé par l'Inselspital pour une réadaptation respiratoire suite à une lobectomie avancée et lymphadénectomie médiastinale radicale le 10.12.2018 pour un carcinome épidermoïde NSCLC du lobe inférieur droit pT4 pN2 pM0 (stade IIIB) diagnostiqué le 06.11.2018. Sur le plan social, le patient vit seul dans sa ferme. Au statut cardiologique, B1-B2 bien frappés, pas de souffle. Au statut pulmonaire, diminution du murmure respiratoire en base droite. La cicatrice de la lobectomie est calme. Deux cicatrices sont présentes au niveau de l'insertion des drains (une des deux n'est pas fermée avec collection de fibrine mais pas de signe inflammatoire). La gazométrie d'entrée montre une légère hypoxie avec une SpO2 à 91.2 % et pO2 à 8.2 kPa, sans hypercapnie et un pH dans la norme. La spirométrie d'entrée est compatible avec un syndrome obstructif sévère correspondant à une BPCO stade III selon Gold. La DLCO démontre des troubles de la diffusion de degré modéré. La radiographie du thorax met en évidence une discrète surélévation de la coupole diaphragmatique droite avec perte de volume modérée de l'hémithorax droit et remaniement para-médiastinal droit post-lobectomie inférieure. Une opacité triangulaire para-cardiaque effaçant le bord droit du coeur avec un épaississement de la petite scissure et un petit épanchement pleural du sinus costophrénien postérieur sont aussi vus. Des séquelles suite à la rupture diaphragmatique gauche sont également observées sur le cliché standard. À la sortie, la gazométrie est dans la norme avec une amélioration des valeurs de la SpO2 à 94.2 % et de la pO2 à 9.2 kPa. Pendant son séjour, Mr. Y a présenté un syndrome inflammatoire transitoire le 27.12.2018 avec une température à 37.8 °C, augmentation de la CRP à 74 et des thrombocytes à 958 G/l. Le patient se plaint d'une sensation de malaise généralisé et de vertiges, pas de toux ni d'expectoration. L'auscultation pulmonaire et l'examen physique sont superposables à l'entrée. Les différents contrôles biologiques se normalisent et la radiographie thoracique de contrôle ne met pas en évidence de foyer parenchymateux. Dans le contexte d'une sensation de malaise généralisé et vertiges, nous effectuons un test de Schellong le 28.12.2018 qui est positif. Au vu de cette hypotension orthostatique symptomatique, nous arrêtons l'Exforge et introduisons du CoAprovel 150/12.5 mg 2x/j avec une bonne réponse du profil tensionnel. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, ré-entraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 220 m à 345 m et le patient augmente la distance parcourue sur le vélo pendant 20 minutes de 2 km à 4.6 km. À la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 4 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 12.01.2019, en état général conservé. Mr. Y, patient de 66 ans, est admis aux soins intensifs pour une exacerbation de BPCO le 16.01.2019. Le patient présente une aggravation de la dyspnée et des expectorations en augmentation, sans changement de couleur. La gazométrie montre une insuffisance respiratoire globale. Une antibiothérapie par Ceftriaxone et Clarithromycine est débutée ainsi qu'une corticothérapie pour une durée totale de 3 jours. Le support ventilatoire non-invasif permet une amélioration clinique. Au vu des exacerbations multiples des derniers mois, nous demandons un CT thoracique qui montre des masses basale droite et basale gauche avec des adénopathies médiastinales. Une cytologie des expectorations est à prélever durant 48 h. Un PET-CT est demandé et un nouvel avis pneumologique est à obtenir par la suite. Sur avis pneumologique, nous renonçons à des biopsies en vue des risques majeurs sur le plan pneumologique.Mr. Y, patient de 77 ans connu pour une démence avancée, ainsi qu'une insuffisance respiratoire partielle sur une probable néoplasie pulmonaire découverte lors d'une récente hospitalisation, est amené par l'ambulance sur appel de sa compagne pour des douleurs abdominales et des céphalées non soulagées par les réserves d'Effentora à domicile. Au service des urgences, aucune piste infectieuse n'est retrouvée et les douleurs réagissent bien à un patch de Fentanyl. Le patient est hospitalisé en médecine pour une baisse de l'état général ainsi que pour des soins impossibles à domicile malgré l'investissement de Voltigo. Le patient présente au laboratoire un léger syndrome inflammatoire sans source infectieuse. Les épisodes de douleurs ne réapparaissent pas durant la suite du séjour. Mr. Y se péjore encore sur le plan de l'autonomie et une rentrée à domicile devient difficilement réalisable. Lors de la dernière hospitalisation, le projet était essentiellement des soins de confort en accord avec la compagne, sans plus d'investigations quant à cette néoplasie. Nous rediscutons donc de la situation avec la compagne, qui confirme l'actualité de cette prise en charge. Une demande de transfert en soins palliatifs est demandée, mais nous gardons le patient à l'étage pour des soins de confort au vu d'une péjoration rapide. Mr. Y ne paraît tout d'abord pas confortable, et nous augmentons les doses de Fentanyl patch par paliers, avec réserves de Morphines. Les médicaments sont stoppés au vu de la difficulté à déglutir et vu le passage en soins de confort. Le patient se péjore au niveau respiratoire avec encombrement et tachypnée et du Dormicum iv. continu ainsi que de la scopolamine et du Robinul sont administrés avec bon effet. Mr. Y décède le 04.01.2019. Mr. Y âgé de 56 ans, nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire sur maladie coronarienne tritronculaire avec STEMI antéro-latéral sur occlusion thrombotique de l'IVA proximale (14.12.2018), compliquée d'une akinésie apicale étendue et d'une FEVG séquellaire à 20 % puis d'une occlusion précoce de stent avec nouvelle coronarographie (15.12.2018) qui montre une sténose significative de la Cx moyenne englobant l'origine de la seconde marginale et une occlusion chronique de la CD D proximale avec, dans le même temps, recanalisation par 4 stents. Le traitement à l'entrée comprend : Aspirine Cardio 100 mg, Efient 10 mg, Xarelto 20 mg, Atorvastatin 40 mg, Aldactone 25 mg, Lisinopril 2.5 mg, Beloc Zok retard 50 mg, Pantozol 80 mg, Distraneurin 1 cp/j, Dafalgan 1 g max 3/24h si douleurs, Ulcar suspension 1 g 1 sachet max 3/24h si épigastralgies. Au vu d'une FEVG fortement abaissée et de la persistance d'une hypokinésie globale sévère à l'échographie de contrôle du 18.12.2018, une pose de CRT-D est agendée par nos confrères de l'HFR Fribourg-Hôpital cantonal au 03.01.18. Le Xarelto est alors stoppé le 01.01.2019, qui sera réintroduit après le geste interventionnel. Notons qu'une nouvelle coronarographie est planifiée pour le 28.01.2019 dans le but de traiter la lésion restante de la circonflexe significativement sténosée, avec la réalisation d'une échocardiographie de contrôle et l'indication à poursuivre une anticoagulation thérapeutique sera réévaluée à ce moment-là. Le 03.01.2019, Mr. Y est transféré à l'HFR Fribourg-Hôpital cantonal pour mise en place du CRT-D et la réadaptation cardiovasculaire dans notre centre sera poursuivie après le geste interventionnel. Mr. Y est un patient de 75 ans connu pour un syndrome myélodysplasique, un diabète type 2 IR, retrouvé par les soins à domicile dans son appartement protégé le 19.12.2018 confus dans son lit avec diarrhées, vomissements et état fébrile à 40°. Selon hétéro-anamnèse, le patient allait bien quelques heures plus tôt. Le patient mentionne une dysurie mais l'anamnèse reste difficile en raison de la confusion. Pas de notion de contage, ni de toux ou de céphalées. Du Flagyl et de la Cefepime sont donnés aux urgences. Nous retenons un état confusionnel aigu dans le cadre d'une infection d'origine probablement urinaire DD pulmonaire au vu d'un syndrome inflammatoire, d'un sédiment sale et d'un probable foyer à la radiographie pulmonaire. Une thérapie empirique par Rocéphine adaptée à la fonction rénale est initiée pour 7 jours avec bonne évolution clinique. Des hémocultures reviennent négatives. L'état confusionnel s'améliore en quelques jours sous hydratation. A noter que le patient profite d'un régime hâché-fin lors de l'état confusionnel, et que les insulines sont momentanément mises en pause. Dans le contexte d'une myélofibrose primaire, la pancytopénie est surveillée et 8 CE sont transfusés durant le séjour avec une cible d'hémoglobine à >80 g/l vu la cardiopathie ischémique. Aucun effet secondaire de transfusion n'est remarqué. Le patient sera revu en consultation hématologique. La péjoration de l'insuffisance rénale chronique probablement dans le cadre d'une déshydratation sur état fébrile nous motive à suspendre certains médicaments diurétiques et antihypertenseurs. Une hydratation iv est initiée puis une stimulation hydrique montre un retour de la fonction rénale de base. Nous reprenons le Torasemid avec une dose de 20 mg avec un poids stable par la suite. La thérapie antihypertensive est momentanément réduite en début de séjour pour des hypotensions, puis reprise par ajout de Physiotens, avec un bon profil tensionnel. Après discussion avec le patient et sa fille, un retour à domicile est envisagé avec majoration des soins à domicile, au vu d'une réadaptation gériatrique refusée (manque de compliance en physiothérapie). Des pré-inscriptions en EMS sont réalisées. La fracture humérale d'octobre, qui reste douloureuse et handicape le patient dans sa mobilité, montre un début de consolidation à la radiographie. Le patient sera revu dans 6 semaines et nous instaurons de la physiothérapie à domicile. Mr. Y peut rentrer le 07.01.2019 à domicile en état général conservé. Mr. Y est un patient de 67 ans en bonne santé habituelle qui, le 28.12.2018, chute de sa hauteur et présente d'emblée des douleurs et une impotence fonctionnelle du membre inférieur droit. Il se présente aux urgences de l'HFR Riaz où le bilan radio-clinique met en évidence une fracture Weber B de la cheville droite pour laquelle l'indication opératoire est retenue. Mr. Y retourne à domicile avec la consigne de surélévation du membre inférieur droit dans l'attente d'un état cutané favorable pour l'approche chirurgicale. Lors du contrôle du 02.01.2019, l'état cutané n'est pas favorable et nous décidons d'hospitaliser le patient pour suite de la prise en charge. L'intervention a lieu le 09.01.2019 et se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples, les douleurs sont gérées par l'antalgie standard et le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation avec marche en touch down du membre inférieur droit. La cheville est immobilisée dans un AirCast Sport dont le port est prévu durant 6 semaines. Enfin, la prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg/04 ml sc/jour est à poursuivre jusqu'au 22.02.2019.Face à la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 13.01.2019. Mr. Y, patient de 66 ans, connu pour un s/p AVC ischémique occipital D en 2005, une valve mitrale mécanique et FA anticoagulée par Sintrom. Il est amené en ambulance aux urgences le 26.12.2018 en raison d'une faiblesse d'apparition brutale du MSG et MIG. Aux urgences, un hémisyndrome moteur facio-brachio-crural G à prédominance crurale est mis en évidence. Le CT cérébral montre des signes d'AVC ischémique aigu constitué du gyrus pré-central et supérieur D sans occlusion artérielle visible. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique, sans bénéficier de traitement en urgence en raison d'un INR supra-thérapeutique. L'IRM cérébral confirme un AVC ischémique aigu précité dans le territoire de l'artère cérébrale antérieure. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique révèle un bon fonctionnement de la valve mitrale mécanique et montre un FOP. Nous suspectons une étiologie cardio-embolique en raison de la valve mitrale mécanique et de la FA concomitante, malgré une anticoagulation suprathérapeutique. Nous proposons alors la poursuite du Sintrom avec cibles d'INR habituelle entre 3 et 4. À noter l'absence anamnestique des symptômes ni d'autres arguments pour un état procoagulant paranéoplasique. Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est introduit en raison d'une hypercholestérolémie. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1,8 mmol/l). Le patient a subi un transfert chirurgical du FHL sur calcanéum à gauche pour une rupture chronique du tendon d'Achille à gauche le 20.11.2018. Une reprise chirurgicale avec pose de pansement VAC est effectuée le 05.12.2018 en raison d'une déhiscence de plaie avec hématome post-opératoire. Le pansement par VAC est changé le 27.12.2018 puis le 03.01.2019 avec mise en place d'un pansement PICO et confection d'un plâtre plantigrade. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X le 07.01.2019. Si Mr. Y devait à nouveau être opéré de manière élective, quel que soit le motif, et que le Sintrom doit être mis en pause, il est très important d'effectuer un relais par Clexane thérapeutique au dosage de 1 mg/kg toutes les 12 heures afin d'éviter une complication chez ce patient à risque. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est favorable avec un status neurologique avec un NIHSS de sortie à 0 point. Mr. Y peut regagner son domicile le 07.01.2019 avec un suivi physiothérapeutique en ambulatoire. Mr. Y est actuellement entouré de toute une équipe qui va le prendre en charge et le coacher dans son activité sportive, ce qui lui permettra à terme d'atteindre ses objectifs et de participer à l'Ultra-Trail. Actuellement, il connaît mieux les principes de base de l'activité physique, la notion de vitesse, d'effort et d'endurance ; il est rassuré par ce cadre. En l'absence d'un problème aigu, je reverrai Mr. Y dans 3 à 4 mois pour refaire le point. Mr. Y est actuellement entouré de toute une équipe qui va le prendre en charge et le coacher dans son activité sportive, ce qui lui permettra à terme d'atteindre ses objectifs et de participer à l'Ultra-Trail. Actuellement, il connaît mieux les principes de base de l'activité physique, la notion de vitesse, d'effort et d'endurance ; il est rassuré par ce cadre. En l'absence d'un problème aigu, je reverrai Mr. Y dans 3 à 4 mois pour refaire le point. Mr. Y, patient de 78 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance post-opératoire après une ostéosynthèse pour fracture sous-capitale de l'humérus gauche. La chute ayant provoqué la fracture a eu lieu le 13.01.2019. Le patient, qui marche avec des cannes anglaises habituellement, a glissé et est tombé. L'intervention chirurgicale pour la fracture sous-capitale de l'humérus gauche a lieu le 15.01.2019. L'intervention s'est compliquée par une insuffisance respiratoire hypoxémique et une hypotension artérielle nécessitant un soutien aminergique qui a pu être interrompu à son arrivée aux soins intensifs. Un CT-scan thoracique effectué après l'intervention met en évidence une atélectase pulmonaire gauche, ainsi qu'une embolie pulmonaire segmentaire droite. Le patient est traité par oxygenothérapie et ventilation non invasive. L'anticoagulation thérapeutique par héparine est reprise 4 heures post-opératoires avec un relais par Sintrom le 16.01.2019. Une fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide est mise en évidence à son arrivée aux soins intensifs. Un remplissage et l'introduction d'un traitement freinateur par bêta-bloquant permettent de ralentir le patient. Mr. Y est un patient de 58 ans, connu pour un s/p sigmoïdectomie le 03.10.2018 avec iléostomie pour un adénocarcinome, avec fermeture d'iléostomie le 20.12.2018. Il est hospitalisé dans notre service de chirurgie pour la prise en charge d'un iléus grêle mécanique. En effet, le patient se présente aux urgences en raison de douleurs abdominales accompagnées de nausées et arrêt des gaz et des matières depuis 3 jours. Le scanner initial montre un saut de calibre au niveau de l'anastomose iléo-iléale sans défaut de souffrance. Il bénéficie d'un traitement conservateur. L'évolution est favorable avec une reprise de transit le 22.01.2019. Une réalimentation progressive est introduite avec un bon transit. En vue d'une péjoration de l'hyperkaliémie post-scanner dans un contexte d'insuffisance rénale terminale avec dialyse 3x/semaine sur granulomatose et polyangéite, le patient est dialysé précocement le 20.01.2019. L'évolution est favorable et le patient bénéficie pendant son hospitalisation de séances de dialyse 3x/semaine. À noter que selon l'avis de nos collègues de néphrologie, nous arrêtons le traitement par Prograf. Le traitement sera éventuellement repris par les néphrologues si nécessaire. Concernant l'anticoagulation, nous expliquons à Mr. Y la nécessité de poursuivre la Liquémine jusqu'à l'obtention d'un INR thérapeutique. Nous introduisons le Sintrom le 28.01.2019 et le patient continuera à le prendre avec la Liquémine. Un contrôle biologique de l'INR est à effectuer le 30.01.2019 avec une adaptation du traitement selon les valeurs. Nous laissons le soin au médecin traitant d'adapter la posologie du Sintrom par la suite. Au vu de la bonne évolution clinique sous traitement conservateur, Mr. Y rentre à domicile le 28.01.2019. Nous reverrons Mr. Y à la consultation du Dr. X le 05.02.2019 à 14h40. Mr. Y est un patient de 58 ans, connu pour une maladie de Wegener avec greffe rénale non fonctionnelle actuellement dialysée, qui avait bénéficié en octobre 2018 d'une sigmoïdectomie avec la mise en place d'une iléostomie de protection pour un adénocarcinome sigmoïdien. Il bénéficie le 20.12.2018 d'une fermeture d'iléostomie en électif. En vue des co-morbidités, le patient est transféré aux soins intensifs pour une surveillance post-opératoire jusqu'au 22.12.2018. Face à des épisodes répétés de crachats hémoptoïques de sang frais, le patient est retransféré aux soins intensifs le 22.12.2018. Un bilan ORL par nasofibroscope permet d'exclure un saignement au niveau trachéal. Un CT thoracique met en évidence une image compatible avec une pneumonie infectieuse, raison pour laquelle nous introduisons une antibiothérapie empirique par Imipenem intraveineuse le 23.12.2018 sur avis pneumologique. L'évolution est par la suite favorable et le patient peut être retransféré à l'étage de chirurgie pour la suite de la prise en charge. Les cultures des expectorations reviennent positives pour Proteus sp. et Citrobacter freundii. L'antibiothérapie est changée en faveur de l'Ertapénème dès le 02.01.2019.Sur le plan digestif, Mr. Y reprend un transit le 25.12.2018 et la réalimentation est bien tolérée. En vue de l'évolution clinique favorable, il rejoint son domicile le 02.01.2018. Il sera suivi par nos collègues néphrologues en dialyse. Mr. Y, hospitalisé dans notre service du 12 au 14.12.2018 dans le contexte d'une démence type Alzheimer et d'un état confusionnel aigu, puis transféré au RFSM CSH Marsens dans ce même contexte, est amené aux urgences en ambulance le 17.12.2019 en raison d'un état fébrile à 38.2°C depuis ce matin. Pas d'autre plainte ni douleur à l'anamnèse par système. A l'admission aux urgences, le patient est hémodynamiquement stable et afébrile. Au status cardiaque, présence de râles crépitants gauches. Pas de signe de décompensation cardiaque. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 230 mg/l et des leucocytes à 10.9 G/l ainsi qu'une insuffisance rénale aiguë probablement d'origine prérénale avec eGFR à 35 ml/min/1.73 m2, raison pour laquelle nous mettons le Co-Candesartan et la Metformin en suspens. Le stix urinaire et le sédiment ne parlent pas en faveur d'une infection urinaire. Une radiographie du thorax n'est pas réalisée à l'entrée, le patient la refusant dans le contexte de l'état confusionnel aigu. Il reçoit 2 mg d'Haldol et de la Distraneurine. Des hémocultures sont prélevées. Mr. Y est hospitalisé et nous débutons une antibiothérapie par co-amoxicilline 1,2 g iv 3x/j pour suspicion de pneumonie. Le lendemain de l'admission, nous pouvons effectuer une radiographie thoracique qui est sans particularité. Au vu de la notion de démence rapidement progressive à l'hétéroanamnèse avec le fils de Mr. Y, nous effectuons un CT scan cérébral le 21.12.2018 qui ne met pas en évidence de lésion somatique hormis une atrophie. Les investigations de laboratoire montrent une TSH, une vitamine B12 et un acide folique dans les limites de la norme. La vitamine D3 est légèrement diminuée à 57 ng/l, raison pour laquelle nous débutons un traitement de substitution à recontrôler à 3 mois. Une ponction lombaire ne met pas en évidence de leucocytes énumérés avec un aspect eau de roche. Le bilan des anticorps sériques, facteurs anti-nucléaires, DOT, vasculite et ANCA sont négatifs. Nous effectuons par la suite une IRM neurocrâne qui ne montre pas d'encéphalite infectieuse. Un bilan neuropsychologique est impossible à effectuer. Concernant le traitement neuroleptique mis en place lors de l'hospitalisation du 12 au 14.12.2018, nous contactons le Dr. X, psychiatre de liaison, qui propose une diminution progressive de ses traitements en milieu psychogériatrique. Sur le plan des électrolytes, le laboratoire du 18.12.2018 montre une aggravation de l'hypokaliémie, raison pour laquelle nous augmentons la prise de potassium per os à 3x/j avec bonne réponse et une kaliémie dans la norme le 20.12.2018. La substitution est arrêtée. La fonction rénale s'améliore également lentement durant le séjour. Les hémocultures reviennent négatives. Au niveau urinaire, le patient présente un globe urinaire le 22.12.2018 pour lequel une sonde urinaire est mise en place. Il présente par la suite plusieurs épisodes d'urines hématuriques nécessitant une surveillance rapprochée. Nous effectuons une réduction manuelle d'une paraphimosis le 25.12.2018. A la sortie, les urines sont claires. Nous vous laissons le soin d'effectuer le retrait de la sonde urinaire. L'évolution du point de vue somatique étant favorable, Mr. Y est réadmis au RFSM CSH Marsens le 09.01.2019. A noter que le rapport protéine 14-3-3 nous parvient après la sortie du patient et se révèle positif. En cas de nécessité d'effectuer des investigations supplémentaires, le laboratoire propose, si nécessaire, un dosage de la protéine RT-QulC. Nous obtenons des nouvelles du patient auprès du Dr. X qui évoque une situation palliative qui a été discutée avec la famille. Mr. Y, patient de 76 ans, est hospitalisé dans notre service en raison de douleur épigastrique. Pour rappel, le patient consulte les urgences en raison d'apparition d'une douleur épigastrique au repos. En raison d'un contexte de cardiopathie ischémique sur maladie coronarienne bitronculaire récente, nos collègues des urgences effectuent un ECG qui se révèle superposable au comparatif ainsi qu'un laboratoire qui n'objective pas d'augmentation des enzymes cardiaques. Une échocardiographie abdominale est alors effectuée et révèle la présence d'une masse abdominale. Afin d'exclure la présence d'un anévrysme de l'aorte ainsi qu'une éventuelle rupture, nous complétons le bilan par un CT qui ne révèle pas de pathologie des gros vaisseaux mais permet de diagnostiquer la présence d'une rétention urinaire sur hyperplasie de la prostate. Nous traitons le globe urinaire par pose de sonde qui permet d'évacuer un litre d'urine et d'améliorer immédiatement les symptômes d'épigastralgie. L'analyse des urines revient dans la norme. Nos collègues de cardiologie, estimant une étiologie cardiologique comme improbable, proposent de débuter un traitement par IPP durant 1 mois et d'avancer le rendez-vous de contrôle en cardiologie au 27.03.2019. Le patient refuse de débuter le traitement par IPP en raison des possibles effets secondaires. Nous contactons également nos collègues de l'urologie qui recommandent le maintien de la sonde urinaire avec instauration d'un traitement par pradif dès le 12.01.19 et contrôle chez l'urologue traitant en ambulatoire. Après discussion avec le patient, nous retirons la sonde urinaire le 13.01.19. Malgré un RPM significatif à 200 ml, le patient refuse un sondage à demeure. Il est informé du risque de récidive de rétention urinaire et de son retentissement sur la fonction rénale. Lors du CT du 11.01.19, nous découvrons fortuitement des adénopathies iliaques internes bilatérales avec hypertrophie prostatique massive. Dans ce contexte et en accord avec le patient, nous recommandons un dosage du PSA. Un examen par IRM a été organisé pour le 30.01.19 afin d'évaluer une éventuelle lésion prostatique avec atteinte ganglionnaire. Nous organisons un rendez-vous chez le Dr. X le 23.01.19 avec dosage du PSA et évaluation de la suite de la prise en charge urinaire concernant l'hyperplasie de la prostate. A l'étage, le patient reste cliniquement et hémodynamiquement stable. Il rentre à son domicile le 14.01.19. Mr. Y est un patient de 29 ans qui se présente aux urgences pour un abcès basi-scrotal droit d'évolution depuis 2 semaines. Il bénéficie d'une incision avec drainage au bloc opératoire le 16.01.2019. L'intervention se déroule sans complication et les suites post-opératoires sont favorables. Le patient peut retourner à domicile le 17.01.2019. Mr. Y est transféré le 10.10.2018 depuis le service de neuroréhabilitation de notre hôpital pour suite de prise en charge de sa maladie oncologique. Pour rappel, Mr. Y a été transféré le 26.09.2018 du service de médecine interne du HFR Fribourg pour une neuroréhabilitation intensive en raison de séquelles neurologiques (aphasie globale, hémisyndrome sensitivo-moteur droit) suite à un accident vasculaire cérébral ischémique sylvien gauche avec transformation hémorragique secondaire à la suite d'une thrombolyse le 14.09.2018. Les investigations étiologiques mettent en évidence un adénocarcinome du colon avec probables métastases hépatiques suggérant une cause thromboembolique dans le contexte paranéoplasique.Etant donné le caractère sténosant de cette tumeur avec un risque élevé d'iléus, une prise en charge avec chimiothérapie palliative est décidée afin d'éviter une sténose complète, dont le premier cycle a lieu du 03.10 au 05.10. Dans ce contexte, Mr. Y développe une fatigue importante, ne lui permettant plus de suivre les thérapies intensives de neuroréhabilitation. Il est donc temporairement transféré aux soins palliatifs. A l'entrée, le patient ne rapporte aucune plainte. La communication s'avère compliquée à cause de son aphasie globale et l'anamnèse est complétée avec son épouse. Le status montre un patient cachexique en état général légèrement diminué. Le status cardio-pulmonaire est sans particularités. L'abdomen est souple et indolore avec des bruits abdominaux dans les quatre quadrants. Le status neurologique est superposable à celui de son entrée en réhabilitation. Au niveau social, Mr. Y vit avec son épouse dans un appartement au 5ème étage avec ascenseur. Il a une fille de 40 ans, très présente. Avant l'événement, le patient était indépendant dans les activités de la vie quotidienne, il était sportif et il se déplaçait sans moyen auxiliaire. Il ne conduisait plus. Mr. Y reçoit sa chimiothérapie prévue le 17.10.2018, et le 1er novembre comme prévu. Le bilan radiologique pour évaluation de la réponse à la chimiothérapie se fera à 2 mois du début du traitement, auprès de Dr. X. Mr. Y ne présente pas d'effet secondaire notable de sa chimiothérapie durant l'hospitalisation. Parallèlement, Mr. Y bénéficie de réhabilitation par physio-, ergo-, logo-, et art-thérapie, de même que de la présence des différents consultants de l'équipe palliative. Après un début satisfaisant avec amélioration notable de l'aphasie, le moral de Mr. Y à l'hôpital devient trop bas, et il refuse de continuer les thérapies. Le patient n'accepte pas qu'un retour à domicile ne soit pas immédiatement possible. Suite à cet arrêt de la logopédie, l'aphasie s'aggrave. Nous effectuons un scanner qui nous permet d'exclure un saignement ou une nouvelle ischémie. Nous en déduisons que l'aggravation est due à l'arrêt de la logopédie et à l'état psychologique du patient. Durant son séjour, nous notons que l'épouse de Mr. Y est très touchée par les pathologies et l'état général de son mari. Leur relation est difficile en raison de l'aphasie. Nous nous assurons de l'absence de violences physiques entre les époux, et organisons un premier week-end à domicile. Cet essai étant une réussite, Mr. Y peut rentrer à domicile le 2.11.2018 après la fin de son cycle de chimiothérapie. Mr. Y, 53 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour réadaptation cardiovasculaire dans les suites d'un STEMI antérieur. Pour rappel, il consulte les urgences le 04.12.2018 en raison d'une douleur thoracique telle une barre au niveau du thorax, à 7/10, oppressive, non irradiante, accompagnée de sudations, de nausées et de dyspnée. L'ECG effectué aux urgences montre des changements typiques et les troponines sont élevées. Il bénéficie donc d'une coronarographie, qui met en évidence une sténose subocclusive de l'artère interventriculaire antérieure moyenne, raison pour laquelle il bénéficie d'une dilatation et mise en place d'un stent. Ceci n'engendre aucune complication. La ventriculographie effectuée par la suite montre une dysfonction ventriculaire gauche avec dyskinésie apicale et une FEVG à 35%. Il est adressé aux soins intensifs pour suite de la prise en charge. L'évolution aux soins intensifs est simple, sans complication rythmique significative ni récidive d'angor. Une ETT est réalisée le 06.12.2018, montrant une FEVG à 48% avec une akinésie apicale sans signe de thrombus. Le patient est transféré le 05.12.2018 à l'étage de médecine interne. Mr. Y tolère bien son nouveau régime médicamenteux et un suivi physiothérapeutique régulier assure une bonne reprise de la mobilité. En vue de cette évolution favorable tant sur le plan clinique que biologique, Mr. Y débute une réadaptation cardiovasculaire à Billens. Traitement à l'entrée : • Aspirine cardio cpr 100 mg : 1-0-0-0 • Efient cpr 10 mg : 1-0-0-0 • Atorvastatine cpr 40 mg : 0-0-1-0 • Beloc Zok cpr ret 25 mg : 1-0-1-0 • Lisinopril cpr 10 mg : 1-0-0-0 • Torasemide cpr 5 mg : 0.5-0-0-0 • Dafalgan cpr 1g : 1 cpr, si douleurs, max 3/24h Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de faire du tapis roulant à une vitesse de 6 km/h sur une pente de 2.5% pendant 25 minutes. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+225m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Le bilan lipidique à la sortie retrouve un LDL à 1.30 mmol/L, un HDL à 1.05 mmol/L et des triglycérides à 1.14 mmol/L, en amélioration par rapport à celui du 05.12.18, particulièrement sur le LDL cholestérol. Mr. Y poursuivra sa réhabilitation cardiovasculaire ambulatoire à Billens en janvier 2019. Mr. Y, 62 ans, a été admis suite à une hématémèse sur probable rupture de varices oesophagiennes de grade 3 dans le contexte d'une cirrhose éthylique CHILD-PUGH B décompensée. Le patient, vivant habituellement au Portugal, est actuellement en visite chez ses fils en Suisse. Le 10.01.2019, il s'est présenté aux urgences de l'HFR Riaz avec une hématémèse. La gastroscopie en urgence a mis en évidence de volumineuses varices oesophagiennes, avec un point rouge sur une varice du cardia, sans saignement actif. Le patient a été transféré aux soins intensifs à l'HFR Fribourg. L'hémorragie digestive haute est probablement secondaire à une rupture de varices de l'oesophage distal ou du cardia. Malgré une stabilisation après transfusion de 2 concentrés érythrocytaires et sous perfusion d'inhibiteur de la pompe à protons et d'octréotide, des rectorragies ont toutefois récidivé le 11.01.2019 avec une nouvelle chute de l'hémoglobine à 52 g/l sans altération hémodynamique. La seconde gastroscopie a confirmé la présence de points rouges sur les varices de l'oesophage distal avec du sang frais, mais sans saignement actif. Trois ligatures de varices ont été effectuées. L'anémie sévère a nécessité la transfusion de concentrés érythrocytaires, plasma frais et concentrés plaquettaires, ainsi que l'administration de fibrinogène et acide tranexamique. Par la suite l'hémoglobine s'est stabilisée, malgré l'évacuation de méléna. Une gastroscopie de contrôle est à prévoir dans quatre à six semaines. L'ascite sous tension a été drainée d'un total de 10250 ml d'un transsudat, sans signe de péritonite. Une compensation d'albumine a été effectuée. Une antibioprophylaxie de ceftriaxone est maintenue pendant 7 jours suite à l'hémorragie. Un épanchement pleural droit modéré para-ascitique est traité par diurétique. Si une dégradation respiratoire se manifestait, une ponction pleurale évacuatrice serait indiquée. L'insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale s'est améliorée après la correction volémique et l'administration de l'albumine. Une nourriture semi-liquide sera maintenue jusqu'au 25.01.2019 avant une reprise d'aliments solides. Le propranolol et la spironolactone sont débutés. La reprise d'une anticoagulation prophylactique à distance est à discuter avec le gastro-entérologue.Mr. Y, 62 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs pour une hémorragie digestive haute sur probable rupture de varices œsophagiennes. Vivant habituellement au Portugal, le patient est actuellement en visite chez ses fils en Suisse. Il est connu pour une cirrhose CHILD B d'origine éthylique. Le 10.01.2019, il s'est présenté aux urgences de l'HFR Riaz avec une hématémèse. La gastroscopie en urgence a mis en évidence de volumineuses varices œsophagiennes, avec un point rouge sur une varice du cardia, mais sans saignement actif. Le patient a été transféré aux soins intensifs à l'HFR Fribourg. Après transfusion de 2 concentrés érythrocytaires le 10.01.2019, l'hémoglobine est restée stable, malgré un épisode de méléna. Un traitement par inhibiteur de la pompe à protons et d'octréotide IV en continu a été instauré. L'ascite étant sous tension, une ponction péritonéale et drainage de 6500 ml d'ascite a été effectuée le 11.01.2019. L'analyse du liquide péritonéal était compatible avec un transsudat, sans signe de péritonite bactérienne spontanée. Le cathéter péritonéal a été laissé en place. Une substitution d'albumine a été débutée. Une antibioprophylaxie de ceftriaxone pendant 7 jours est préconisée. Une reprise des boissons claires a été possible dès le 11.01.2019. L'insuffisance rénale aiguë est probablement d'origine prérénale et a nécessité une correction volémique et l'administration de l'albumine afin de prévenir un syndrome hépatoménal. Vu la stabilité hémodynamique et de l'hémoglobine, le patient a été transféré le 11.01.2019 dans le service de médecine interne. Mr. Y, connu pour une dépression sous Citalopram, est amené aux urgences en ambulance le 30.12.2018 en raison d'un état de conscience diminué suite à la prise de Temesta 2.5 mg (entre 20 et 40 cprs), à but suicidaire, le 29.12.2018. À l'arrivée aux urgences, le Glasgow est à 15/15 et le patient s'endort facilement mais est réveillable. Il n'a pas de plainte. Mr. Y nous raconte que le 29.12.2018 au soir (vers 19 heures), il en a eu marre de sa vie et il a essayé de se suicider avec du Temesta 2.5 mg (il a pris entre 20 et 40 cpr, il ne se souvient plus). Il a par la suite dormi toute la nuit et son fils, le trouvant encore endormi vers 11h00 ce matin, appelle l'ambulance. À noter que ce dernier a trouvé des blisters de Temesta vides. À l'hétéro-anamnèse avec sa fille, nous apprenons que depuis le décès de son épouse le 03.12.2013, Mr. Y est toujours déprimé et dit qu'il veut se suicider (se pendre avec une corde, mais il n'a jamais parlé d'abus médicamenteux). Il s'agit de la première tentative. Pour rappel, le patient a été hospitalisé en chirurgie à l'HFR Riaz pour une orchi-épididymite droite et qu'il est sous traitement antibiotique jusqu'au 04.01.2019 inclus. Le statut d'entrée est sans particularité, l'ECG est rassurant et le laboratoire est dans la norme. Nous prenons contact avec le Dr. X, psychiatre de garde. Suite à l'entretien, elle conclut que le patient n'est pas assez stable au niveau somatique pour un transfert au RFSM CSH Marsens, raison pour laquelle il est gardé en lit d'observation aux urgences pour la nuit. La surveillance se passe sans complications et Mr. Y est transféré dans le service de psychogériatrie du RFSM CSH Marsens le 31.12.2019. Mr. Y est un patient de 75 ans, aux comorbidités susmentionnées, qui en raison d'une cholécystite aiguë lithiasique en novembre 2018 avait bénéficié d'une pose de drain transhépatiques qui avait été retiré le 16.01.2019. Le lendemain, le patient se présente cependant aux urgences en raison de douleurs épigastriques et en hypochondre droit évoluant depuis quelques heures, sans irradiation, sans nausées ou vomissements, ni d'état fébrile. Le laboratoire initial montre un léger syndrome inflammatoire sans perturbation des tests hépatiques et au CT-scanner, aucune complication post-retrait de drain biliaire, comme un abcès ou une cholécystite aiguë, n'est notée. Nous concluons donc à des douleurs sur un passage de calcul et le patient est hospitalisé pour un suivi avec la mise en place d'antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl. Le 19.01.2019, le patient présente une augmentation du syndrome inflammatoire et en raison d'une suspicion d'un foyer pulmonaire ou urinaire, l'antibiothérapie est changée pour de l'Imipénème selon l'avis de nos collègues de l'infectiologie. Mais le patient présente quelques heures après une toxidermie, raison pour laquelle l'antibiotique est immédiatement arrêté. Le 22.01.2019, le patient recommence à présenter des douleurs en hypochondre droit et le laboratoire de contrôle démontre une augmentation importante des tests hépatiques avec cytolyse et cholestase. Après discussion, nous décidons de refaire un drainage de la vésicule, en raison des risques anesthésiologiques trop importants pour une ERCP ou autre intervention. Une antibiothérapie est également débutée le 22.01.2019 par de la Co-Amoxicilline jusqu'au 28.01.2019. Par la suite, l'évolution est favorable sur le plan clinique avec un patient asymptomatique et sur le plan biologique avec une diminution des tests hépatiques. Une opacification par le drain le 25.01.2019 démontre encore la présence de deux calculs accolés mesurant 9 mm de plus grand axe dans la région fundique et d'un calcul non calcifié de 4 mm dans le bas cholédoque en pré-papillaire. Le 28.01.2019, Mr. Y peut rentrer à domicile. Il sera revu à la consultation du Dr. X le 12.02.2019 à 11h30, avec une opacification des voies biliaires par le drain à 10h00. Mr. Y, patient de 54 ans connu pour une cirrhose CHILD C (11 points) d'origine alcoolique, consulte au service des urgences dans un contexte de décompensation ascitique. Le patient présente une augmentation de la consommation d'alcool récente en lien avec une péjoration thymique. Il remarque depuis 3 jours une augmentation de son périmètre abdominal sans facteur déclenchant clair. L'évaluation clinico-biologique au service des urgences met en évidence une décompensation ascitique, ainsi qu'une hépatite alcoolique aiguë dans un contexte de cirrhose hépatique CHILD C avec score de Maddrey à 73 points. L'ultrason abdominal ne révèle pas de thrombose de la veine porte mais de l'ascite en région périhépatique et périsplénique. Une corticothérapie est introduite en vue du score de Maddrey élevé (73 points). Une ponction d'ascite n'est pas réalisée, en raison d'une lame d'ascite située en périphépatique et périsplénique uniquement. Un avis infectiologique est sollicité. Devant l'absence d'argument pour une péritonite bactérienne spontanée sur le plan clinique, aucune antibiothérapie prophylactique n'est introduite. Le traitement IPP de Pantozol est arrêté. Des hémocultures sont effectuées à froid qui se révèlent être négatives à 48h. Sur le plan du bilan étiologique de cirrhose, les examens de laboratoire sont répétés qui révèlent un statut d'ancienne infection EBV sans argument pour atteinte virale autre. Les FAN se révèlent être à la limite pathologique, à réévaluer à distance. Une nouvelle immunofixation serait également à prévoir à 6 semaines en vue d'une analyse douteuse. Un avis gastroentérologique est sollicité qui propose une nouvelle biopsie hépatique par voie transjugulaire. Un sevrage d'alcool sous traitement benzodiazépine et protection vitaminique est effectué. Le patient présente des scores de CIWA élevés à 48h post-hospitalisation malgré la couverture par traitement benzodiazépine. Il développe un état confusionnel dans un contexte de possible encéphalopathie hépatique. Un traitement laxatif est introduit avec suivi du transit.L'hospitalisation est écourtée en raison de la fugue du patient, le patient vu pour la dernière fois le 24.01.2019 au soir. Devant l'absence de nouvelles et d'informations de la part du patient ou de son entourage, la police est avertie et un PLAFA est issu en raison de l'état confusionnel. • Mr. Y, 75 ans, admis pour un choc septique sur pneumonie lobaire supérieure gauche dans le contexte d'une immunosuppression. Patient connu pour une polyarthrite séronégative suivie à l'HFR, habituellement traité par Léflunomide et Plaquenil, avec fibrose pulmonaire et connu également pour une cardiopathie ischémique pontée avec pacemaker pour BAV III, il est adressé par son médecin traitant aux urgences de Riaz pour dyspnée et douleurs thoraciques gauches. Il est mis en évidence un foyer de pneumonie lobaire supérieure gauche pour lequel il reçoit une dose de Lévofloxacine, puis il est transféré aux soins intensifs devant l'apparition d'un choc septique. Le choc septique répond favorablement aux manœuvres de remplissage avec support aminergique transitoire. Une antibiothérapie par Céfépime est introduite et les prélèvements bactériologiques sont encore en cours. L'insuffisance rénale aiguë avec acidose métabolique est corrigée par le remplissage volémique. L'évolution clinique est rapidement favorable, permettant son transfert en service de médecine pour suite de soins. • Mr. Y, patient de 85 ans, est hospitalisé pour l'exacerbation d'une probable BPCO sous-jacente, dans un contexte infectieux. Le patient décrit une dyspnée progressive sur les derniers jours avec une aggravation rapide le 03.01.2019 provoquant son entrée au service des urgences. Le bilan radiologique ne montre pas de foyer de broncho-pneumonie constitué. Toutefois, au vu de la fragilité du patient, une antibiothérapie par Co-Amoxicilline est introduite, pour une durée totale de sept jours. Le patient reçoit également des aérosols sur le séjour et une oxygénothérapie est initiée. Une prise en charge physiothérapeutique est également mise en place durant l'hospitalisation. De plus, le patient est vacciné contre la grippe le 08.01.2019. Au vu d'une suspicion d'hyper-réactivité bronchique, un traitement par Vannair est introduit en fin d'hospitalisation et sera à poursuivre jusqu'à la réalisation de fonctions pulmonaires complètes en ambulatoire, le 04.03.2019. L'évolution clinique et biologique est favorable. L'oxygénothérapie peut être sevrée dès le 04.01.2019 et les aérosols dès le 11.01.2019. Mr. Y peut donc rentrer à domicile le 14.01.2019 en bon état de santé générale. • Mr. Y est hospitalisé pour la pose en électif d'un pacemaker bi-caméral pour bloc AV du III ème degré intermittent et asymptomatique. Celui-ci a été diagnostiqué lors d'un Holter effectué pour bradycardie sans symptomatologie. Le geste se passe sans complications. La radiographie post-opératoire confirme la bonne tenue de l'intervention. Mr. Y peut rentrer à domicile le 15.01.2019. Un contrôle de la plaie à 10 jours, ainsi qu'un contrôle du pacemaker à 4-6 semaines auront lieu en cardiologie. • Mr. Y est un patient de 70 ans, qui est hospitalisé dans notre service de chirurgie en électif pour une fermeture d'iléostomie avec rétablissement de la continuité par anastomose iléo-rectale. Il bénéficie le 16.01.2019 de l'intervention sus-mentionnée. L'évolution post-opératoire est favorable, en raison d'une augmentation du syndrome inflammatoire à J5 post-opératoire. Un CT scan abdominal est effectué qui ne met pas en évidence de complication intra-abdominale post-opératoire. En vue d'une induration importante de la plaie, nous retenons un hématome possiblement surinfecté comme piste infectieuse, la plaie est alors partiellement ouverte et rincée régulièrement avec une diminution progressive du syndrome inflammatoire par la suite. Mr. Y rejoint son domicile le 27.01.2019 et sera vu à la consultation du Dr. X le 05.02.2019 à 15:40 pour un suivi de la plaie et un contrôle post-opératoire. Des soins à domicile sont organisés pour les soins de plaie journaliers. • Mr. Y présente donc un kyste ganglionnaire en regard du condyle fémoral interne pouvant être la source des douleurs d'un conflit avec la rotule où on note une irrégularité également en regard du bord interne de la rotule. Comme seule proposition que j'ai pour Mr. Y est d'effectuer une arthroscopie du genou et mise à plat du kyste ganglionnaire et toilettage articulaire du genou gauche. Le patient veut réfléchir et me recontactera s'il se décide pour une intervention chirurgicale. Je n'ai pas prévu de rendez-vous d'emblée. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. • Mr. Y, connu pour un carcinome épidermoïde de la lingula gauche, consulte le 28.12.2018 en raison d'une baisse de l'état général et d'une anorexie avec troubles de la déglutition (patient porteur de PEG). Le bilan est complété par une OGD pour objectiver le trouble de la déglutition qui ne montre pas de sténose œsophagienne. Un test de déglutition objective une hypomobilité de la langue et de la joue avec une hyposensibilité de la face interne de la joue à droite, qui rend difficile de déglutir des aliments durs. La nutrition parentérale par PEG est continuée comme à domicile, et un suivi des nutritionnistes est prévu par téléphone. De plus, un entraînement par un ergothérapeute est prévu en ambulatoire pour essayer d'améliorer la déglutition. Mr. Y souhaite son retour à domicile et sera vu en consultation par le Dr. X pour une immunothérapie, en vue de celle les sérologies pour Hépatite B, C et HIV sont prélevées. De plus, une consultation en médecine palliative chez Dr. X aura lieu le 04.02.2019. • Mr. Y est hospitalisé dans un contexte de suspicion d'infection de port-à-cath. En effet, lors d'un contrôle en oncologie, il est constaté dans des hémocultures la présence d'un Staph epidermidis provenant de PAC du patient associé à un syndrome inflammatoire. Le patient est afébrile mais se plaint de douleurs au niveau du PAC. Après avis infectiologique, il est décidé d'introduire un traitement de Daptomycine associé à un verrou à la Vancomycine sur le PAC. Cependant, celui-ci s'obstrue, motivant une intervention pour son ablation. Les hémocultures sont seulement positives au niveau du PAC mais pas en périphérie, permettant un arrêt des antibiotiques dès l'ablation de celui-ci le 23.01.2019. Après l'ablation du PAC, le patient présente une rougeur et induration douloureuse au niveau de la cicatrice. L'ultrason montre un phlegmon mesurant 8 x 20 mm, non-drainable. Sur avis infectiologique, nous introduisons une antibiothérapie par co-amoxicilline iv puis per os à continuer sur 7 jours avec une bonne évolution clinique. Il n'est pas nécessaire de réaliser des hémocultures à distance. Le patient sera revu le mardi 05.02.2019 par le Dr. X pour un contrôle clinique, une immunothérapie et réévaluer le besoin de poser un nouveau PAC. Durant l'hospitalisation, le patient présente un épisode de désaturation ainsi qu'une auscultation pathologique. Un bilan biologique et radiologique permet de diagnostiquer une décompensation cardiaque légère. Le patient montre une bonne évolution clinique après une dose de Lasix. Une ETT montre un FEVG conservé ainsi qu'une masse dans le ventricule gauche. Concernant cette masse, les cardiologues retiennent soit un thrombus, peu probable au vu de l'anticoagulation, soit des trabéculations calcifiées. Le patient sera revu en cardiologie à Fribourg pour une ETT de contrôle le 07.02.2019. Un traitement de l'insuffisance cardiaque sera à envisager si le patient présente des signes d'insuffisance cardiaque chronique.Au niveau rénal, le patient présente une insuffisance rénale aiguë dans un contexte d'insuffisance rénale chronique. Nous réalisons un suivi biologique qui montre une bonne évolution. Au bilan biologique, nous observons une hyponatrémie légère qui se corrige rapidement. Au niveau de l'humeur, le patient montre une baisse de la thymie suite à l'annonce du décès de sa femme. Le patient refuse un soutien psychiatrique. Le patient rentre à domicile le 29.01.2019 avec des soins à domicile. Mr. Y, patient de 75 ans, anticoagulé par Marcoumar pour une embolie pulmonaire en 2010 et une artériopathie des membres inférieurs, connu pour un syndrome métabolique, présente depuis le 28.12.2018 des vertiges rotatoires de début ictal. Au vu de la non-amélioration de la symptomatologie, Mr. Y consulte aux urgences le 31.12.2018. Au vu des nombreux facteurs de risque cardiovasculaire et de la symptomatologie de début brutal, un AVC de la fosse postérieure est suspecté, indiquant une hospitalisation initialement en lit monitoré pendant 24h. Un Angio-CT cérébral ne montre pas de lésion ischémique. Il existe une athéromatose non sténosante des bulbes carotidiens bilatéraux. L'IRM cérébrale n'a malheureusement pas pu être effectuée car Mr. Y est porteur d'un stimulateur médullaire posé en 1996 (qui n'est plus actif depuis 20 ans), mais toujours en place. Un bilan ORL écarte une étiologie périphérique aux vertiges. Au niveau étiologique, l'échocardiographie ne montre pas d'anomalie structurelle pouvant expliquer l'AVC, le monitoring cardiaque sur 24h ne montre pas de trouble du rythme significatif, un complément par Holter sur 72 heures sera à effectuer en ambulatoire. À savoir que Mr. Y a fait cet AVC sous anticoagulation par Marcoumar avec un INR supra-thérapeutique à 5 à l'entrée, d'où l'évocation d'un état pro-coagulant, chez un patient déjà connu pour une embolie pulmonaire. Un avis hématologique auprès du Dr. X propose d'effectuer un bilan oncologique. Un CT thoraco-abdominal sera effectué le 18.02.2019. Une recherche des anti-cardiolipines et anti-B2-glycoprotéine 1 est demandée pour le 07.01.2019. Au niveau de l'anticoagulation, nous avons stoppé le traitement de Marcoumar avec un relais par du Lixiana, anti-Xa dès que l'INR est en dessous de 2.5. Un INR de contrôle est prévu le 07.01.2019. Mr. Y rentre à domicile le 04.01.2019 au vu de la bonne évolution et de la résolution quasi totale de la symptomatologie. Un rendez-vous de suivi est agendé à 9h30 le lundi 07.01.2019 à la consultation de Dr. X à l'hôpital de Meyriez, précédé par une prise de sang. Mr. Y, patient de 75 ans, est admis aux soins intensifs pour une suspicion d'AVC de la fosse postérieure le 31.12.2018. Le patient présente depuis vendredi 28.12.2018 des vertiges en aggravation à la mobilisation avec une incapacité de se tenir debout. Le bilan par CT ne montre pas d'argument pour un saignement, une IRM cérébrale est demandée. Nous organisons également un bilan ORL qui écarte une origine périphérique. La surveillance rythmique est sans particularité. Mr. Y, 45 ans, est en bonne santé générale mis à part des douleurs chroniques lombaires multi-opérées (antécédents de 4 opérations). Il nous est transféré de Salem pour une révision de la spondylodèse S1 et une prolongation de la spondylodèse à L2 et arthrotomie L5/S1 avec dépôt de matériel osseux hétérologue et autologue par Dr. X. En ce moment, il ne voit pas encore d'effets de l'opération. Il est sous Palladon, qui ne lui procure aucune diminution de la douleur. Il mentionne avoir une douleur de type mécanique au niveau de la cicatrice et de l'opération et une douleur électrique par crise au niveau de la jambe G jusqu'au pied G, surtout lors de la position assise. Sa douleur est constante vers 6-7/10 avec parfois des pics de douleur. Il souhaiterait réduire la douleur vers 4-5/10. Cela fait dix ans qu'il a des douleurs lombaires du dos avec irradiation dans la jambe G jusqu'au pied, avec paresthésie et diminution de la sensibilité dans la partie latérale du pied G et mollet latéral G. Pas d'atteinte des sphincters. La force est conservée. En raison de ces douleurs, il avait eu dans le passé du Tramadol/Tramoudine auxquels il a créé une dépendance et pour laquelle il a demandé une hospitalisation pour sevrage, qui s'est bien déroulée malgré la difficulté que cela a demandé. Il n'a pas de plaintes cardiaques, ni pulmonaires, ni abdominales, ni urinaires. Il n'est pas connu pour des allergies. Il souhaiterait perdre 20 kg pour soulager son dos (il pèse environ 100 kg, BMI 33, et aimerait arriver à un poids de 70 kg pour 1m73, donc un BMI dans la norme à 24). Le statut cardiovasculaire et respiratoire à l'entrée est normal avec B1B2 bien frappé, des murmures vésiculaires normaux. L'abdomen est souple, sans défense ni détente et indolore. La mobilité est conservée ainsi que la force. Il y a une diminution de la sensibilité sur la partie supéro-latérale du pied G et latéral du mollet G. La marche est réalisable, le Romberg est négatif. Le Lasègue à gauche est positif. Les nerfs crâniens sont normaux, les réflexes sont symétriques hypovifs aux jambes et normovifs aux bras. Mr. Y habite au Mexique la plupart du temps, il est à l'AI et il rentre pour rendre visite à ses parents et pour des raisons médicales. Mr. Y reçoit de la physiothérapie et de l'ergothérapie ainsi que des conseils diététiques. Les scores de mobilité au début du séjour et à la sortie sont les suivants : transfert FIM 7, marche FIM 7, escaliers FIM 6, Tinetti 28/28, Physio en piscine. Mr. Y reçoit beaucoup d'anti-douleurs et a testé dans le passé différents types d'opioïdes. Il dit qu'il n'a aucun effet du Palladon ; pour cette raison, nous changeons le Palladon par du Palexia. Nous évaluons au cours de son séjour la réponse à cette nouvelle antalgie. Nous diminuons gentiment le Valium au cours du séjour ainsi que la Prednisone. Il reçoit encore pour ses douleurs électriques du Lyrica, de l'Amiptriptyline ainsi que du Brufen et de l'Haldol. Le nouvel antalgique avec Palexia fonctionne bien. Au cours de l'hospitalisation, nous évaluons ses tensions artérielles pour établir s'il nécessite ou non le catapressan 150 mg 2x/jour. Nous diminuons les dosages petit à petit en raison de tensions plutôt basses au cours de son hospitalisation. Nous diminuons aussi petit à petit la Prednisone et le Valium. Le patient est fonctionnellement complètement indépendant d'un point de vue objectif (cf FIM ci-dessus), de ce fait, une sortie lui a été suggérée le 30.12.2018. Le 28.12.2018, en raison d'une péjoration aiguë de sa douleur lombaire avec une douleur de type lancé électrique dans la fesse G et immobilisation au lit, Mr. Y est transféré en gériatrie aiguë ce même jour. Mr. Y, connu pour une bicuspidie aortique avec insuffisance aortique de grade 3-4, consulte les urgences le 25.01.2019 en raison de douleurs rétrosternales irradiant par moments dans la mâchoire, à l'effort et cédant avec la prise de nitroglycérine, depuis 2 ans selon le patient et en péjoration depuis 1 semaine avec des douleurs de type angor, apparaissant plus précocement après environ 30 pas, ainsi qu'une dyspnée d'effort stade NYHA stade III. À noter que le patient refuse de prendre son traitement d'Atacand prescrit pour l'hypertension artérielle. À l'admission aux urgences, le patient est hémodynamiquement stable et afébrile. À l'auscultation cardio-respiratoire, nous constatons un souffle diastolique à 2/6 maximal au foyer aortique. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire ni de leucocytose. Il montre une légère anémie normochrome normocytaire à 117 G/l. L'ECG montre un rythme sinusal régulier, normocarde à 66 bpm, un axe normal à -25°, QRS fins à 92 ms, sous-décalage du segment ST à 0.1 mV en V4 et V5 ainsi qu'une transition de l'onde précoce en V2. QTc à 406 ms. La radiographie du thorax ne montre pas de surcharge ni de décompensation cardiaque. Les troponines sont mesurées à 23 ng/l à H0, 22 ng/l à H1 et 23 ng/l à H3. Au regard de l'absence de cinétique des troponines et du résultat de l'ECG, nous pouvons exclure un syndrome coronarien aigu.Le patient présentant tout de même un important angor instable avec dyspnée associée, nous l'hospitalisons pour surveillance clinique. Dans le contexte, nous demandons un avis au Dr. X, cardiologue, qui effectue une échocardiographie transthoracique ne montrant pas de pathologie valvulaire compatible avec la symptomatologie. Nous demandons donc une coronarographie et Mr. Y est transféré à l'HFR Fribourg le 29.01.2019. Il sera réadmis dans notre service après l'examen pour la suite de la prise en charge. Mr. Y présente une fracture sous-capitale multi-fragmentaire non-déplacée de l'humérus gauche du 19.01.2019, traitée de manière conservatrice avec le port d'une attelle que le patient portera pour une durée totale de 6 semaines. Je propose d'effectuer un contrôle radiologique à 1 semaine de son accident. En cas de déplacement secondaire de la fracture, une éventuelle prise en charge chirurgicale sera nécessaire. En cas de stabilité de la fracture, on peut continuer le traitement conservateur avec l'attelle. Des contrôles RX vont être effectués à 1, 4 et 6 semaines de l'accident. Arrêt de travail attesté à 100 % jusqu'au 03.02.2019, à réévaluer. Prochain rendez-vous : 30.01.2019. Mr. Y est un patient de 38 ans, qui se présente aux urgences pour des douleurs basi-thoraciques droites. L'examen clinique fait suspecter une cholécystite aiguë. Le bilan radiologique par ultrason abdominal et CT-scanner permet de confirmer le diagnostic et le patient bénéficie d'une cholécystectomie laparoscopique le 15.01.2019. L'intervention se déroule sans complication, les suites opératoires sont favorables et le patient peut retourner à domicile le 17.01.2019. Mr. Y, cher collègue, Merci de m'avoir adressé en consultation Mr. Y, 16 ans, que j'ai vu accompagné par sa maman avec qui j'ai eu plusieurs échanges téléphoniques par la suite. Vous l'envoyez pour adénopathies cervicales sous-mandibulaires infracentimétriques depuis mars avec asthénie et adénopathies inguinales. Mr. Y, 73 ans, est transféré dans le service de médecine pour des soins de confort après un accident de la voie publique. Il nous est transféré des soins intensifs après avoir été transféré de l'hôpital de Berne. Le patient, connu pour une fibrillation auriculaire anticoagulée, subit le 26.08.2018 un accident de la voie publique à haute cinétique d'origine peu claire avec une sortie de route et plusieurs tonneaux dans sa voiture. Pris en charge à l'hôpital de Berne, il souffre d'un traumatisme thoracique avec volet costal droit, pneumothorax et contusions pulmonaires, d'un traumatisme cérébral avec hémorragies intraparenchymateuses et sous-arachnoïdiennes multiples, d'un traumatisme cervical avec contusion du larynx ainsi que d'une fracture du col du fémur droit. Au moment du transfert, le patient est intubé et sédaté. Le traumatisme thoracique est traité conservativement, mais se complique ensuite d'une pneumonie nécessitant une antibiothérapie et une intubation. La contusion cervicale avec suspicion initiale de fracture du larynx est explorée chirurgicalement le 28.08.2018 sans mise en évidence de fracture. La fracture du col du fémur droit est réduite et fixée par clou gamma le 29.08.2018. Le traumatisme cérébral est traité conservativement avec monitoring de la pression intracérébrale du 27.08 au 28.08.2018. Une IRM de contrôle le 30.08.2018 montre une stabilité des lésions hémorragiques et des lésions axonales diffuses avec micro-hémorragies. Le patient présente un réveil prolongé à l'arrêt de la sédation avec, après extubation, une tétraparésie prédominante à gauche, un déficit d'activation et un état confusionnel fluctuant. En raison d'une péjoration de l'état de conscience, le patient est réintubé le 12.09.2018. Le bilan scannographie/IRM retrouve la stabilité de la principale lésion hémorragique, mais montre une nouvelle lésion cortico-sous-corticale cingulaire gauche d'allure ischémique probablement à l'origine de la péjoration neurologique. Le pronostic neurologique est difficilement évaluable, mais la récupération de l'hémiparésie gauche semble peu probable et il est fort probable que la qualité de vie du patient soit altérée. Dans ce contexte, l'attitude globale est rediscutée avec la famille du patient. Il en ressort que le patient n'aurait pas souhaité avoir une qualité de vie altérée et la famille demande à ce qu'il n'y ait pas de nouvelle intubation, ni de traitement des nouvelles complications. Le patient est extubé le 15.09.2018. L'évolution est marquée par une dégradation progressive de l'état respiratoire. Dans ce contexte, un retrait thérapeutique est décidé et Mr. Y est transféré en médecine pour la suite de prise en charge; il décède le 17.09.2018. Mr. Y est un patient de 73 ans qui est amené en ambulance suite à un polytraumatisme d'origine peu claire. Le patient effectuait des travaux le 03.01.2019 vers 15 h lorsqu'il est tombé dans un talus et aurait dévalé la pente sur 20-30 m sans témoin. Le patient est retrouvé désorienté, avec une amnésie circonstancielle, des dermabrasions et une perte de connaissance probable. Au status, le GCS est à 14/15 avec un patient désorienté sans déficit neurologique. Sur le plan ostéo-articulaire, l'examen est normal. Une plaie occipitale est mise en évidence. Le patient bénéficie d'un CT-scan total body qui ne montre pas de fracture et pas de lésion d'organe. Le patient est donc hospitalisé pour un bilan du malaise et une surveillance neurologique pendant 24 heures. Celle-ci se déroule sans particularité avec un patient orienté et sans déficit neurologique. La plaie occipitale est suturée avec 5 points de suture Prolène. Les points seront à retirer après 5 jours. Sur le scanner, une lésion nodulaire hépatique de 3 cm est mise en évidence. Nous proposons au médecin traitant de prévoir une IRM afin de l'investiguer dans un deuxième temps. En ce qui concerne le bilan du malaise, une échocardiographie est effectuée, laquelle met en évidence des troubles de la cinétique segmentaire inféro-latérale. Dans ce cadre, une coronarographie est indiquée et est effectuée le 04.01.19. Au vu de la bonne évolution sur le plan chirurgical, le patient est transféré en médecine interne après la coronarographie. Dans le cadre du bilan, une demande pour un Holter a encore été effectuée ainsi qu'un taux de lithium que nous vous proposons de pister. Mr. Y, 73 ans, a été hospitalisé pour surveillance neurologique suite à un traumatisme crânio-cérébral sur chute de sa hauteur avec hémorragie sous-durale et sous-arachnoïdienne et un état confusionnel nocturne. L'hémorragie est survenue dans un contexte de double antiagrégation et anticoagulation après traitement d'une lésion coronarienne par 2 stents le 04.01.2019. Le patient a été initialement hospitalisé du 03.01.2019 au 04.01.2019 suite à une chute à la montagne avec polytraumatisme et perte de connaissance, sans lésion cérébrale ou d'organe notable. Dans le cadre du bilan de chute, une maladie coronarienne a été suspectée et confirmée par une coronarographie qui a eu lieu le 04.01.2019 avec mise de 2 stents sur l'artère circonflexe. Dans les suites de la coronarographie, le patient a fait une chute de son lit dans le contexte d'un état confusionnel aigu avec traumatisme crânien et hémorragie sous-arachnoïdienne frontale et occipitale, sous-durale frontale bilatérale, des fractures du massif facial et un œdème cérébral diffus motivant son transfert à l'hôpital.L'évolution neurologique a été favorable avec un traitement conservateur. Les imageries cérébrales de contrôle ont montré une stabilité des lésions. Le patient nous est alors retransféré et un CT-scan cérébral de contrôle est à effectuer après 2 semaines. Dans l'intervalle, la double antiagrégation plaquettaire indiquée post pose de stent coronarien ne peut pas être reprise. L'Aspirine uniquement est poursuivie. L'évolution neurologique a été favorable avec la récupération d'une bonne orientation spatio-temporelle durant le jour et une amélioration de l'état confusionnel nocturne. Les médicaments psychotropes ont été stoppés. L'administration de mélatonine a été débutée afin d'améliorer le rythme nycthéméral. La réadaptation neurologique est en cours et une évaluation par l'ergothérapeute devra être encore organisée. Le profil tensionnel étant élevé, le traitement a été adapté avec la mise en place d'une quadrithérapie par IEC, bétabloqueur, anticalcique et nitroglycérine en patch. Nous vous laissons le soin d'adapter le traitement selon le profil tensionnel lors de la mobilisation progressive. Une oesogastroduodénoscopie a été effectuée à Berne en raison d'un méléna et n'a pas mis en évidence de lésion digestive. Le méléna a été mis sur le compte de l'hémorragie ORL. Une lésion hépatique d'origine indéterminée a été découverte fortuitement au CT-scan du 04.01.2019 et sera à investiguer par une IRM. Après discussion avec la patiente et sa famille et mise en place d'un maximum de mesures de sécurité pour éviter les chutes, le patient a été transféré le 14.01.2019 dans le service de médecine interne. Mr. Y, 73 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un hématome sous-dural aigu bilatéral et une hémorragie sous-arachnoïdienne frontale bilatérale suite à un traumatisme crânien dans un contexte confusionnel. Il a été amené en ambulance le 03.01.2019 suite à un polytraumatisme d'origine peu claire. Il effectuait des travaux vers 15 h lorsqu'il est tombé dans un talus et aurait dévalé la pente sur 20-30 m sans témoins. Le patient est retrouvé désorienté, avec une amnésie circonstancielle, dermabrasions, perte de connaissance probable. Au status, le GCS est à 14/15 avec un patient désorienté sans déficit neurologique. Sur le plan ostéo-articulaire, l'examen est normal. Une plaie occipitale est mise en évidence. Le patient bénéficie d'un CT-scan total Body qui ne montre pas de fracture et pas de lésion d'organe. Le patient est donc hospitalisé pour bilan du malaise et surveillance neurologique pendant 24 h. Celle-ci se déroule sans particularité avec un patient orienté et sans déficit neurologique. La plaie occipitale est suturée avec 5 points de suture Prolène. Les points seront à retirer après 5 jours. Sur le scanner, une lésion nodulaire hépatique de 3 cm est mise en évidence pour laquelle une IRM est à prévoir dans un deuxième temps. Sur le plan du bilan du malaise, une échocardiographie est effectuée, laquelle met en évidence des troubles de la cinétique segmentaire inféro-latérale. Dans ce cadre, une coronarographie est indiquée et est effectuée le 04.01.19. Cet examen montre une maladie coronarienne monotronculaire sous forme d'une subocclusion de l'artère circonflexe moyenne, traitée par PCI/2 DES avec un bon résultat final. Il existe à la ventriculographie une hypokinésie correspondante inféro-postérieure, avec une fonction systolique globale du ventricule gauche conservée. Il est impossible de dire si l'infarctus de petite taille est responsable d'un malaise ayant entraîné la chute avec TCC. Le patient reçoit une double antiagrégation par aspirine et Plavix. Au cours de la surveillance aux lits monitorés de cardiologie, le patient présente une confusion avec une agitation psychomotrice, il traverse la barrière du lit et fait une chute avec un traumatisme crânien et un épistaxis. Il est intubé pour une agitation avec diminution du Glasgow à 12 et la bronchoaspiration sur épistaxis. Il bénéficie d'un CT cérébro-cervical et thoracique en urgence qui montre un hématome sous-dural aigu bilatéral, hémorragie sous-arachnoïdienne frontale bilatérale, et une hyperdensité de la corona radiata droite, avec suspicion d'hypertension intracrânienne. Au niveau facial, on note un hémosinus éthmoïdal, une fracture du sinus maxillaire gauche avec emphysème homolatéral des espaces masticateurs, fracture du plancher de l'orbite gauche qui longe le canal infra-orbitaire. Un avis neurochirurgical est demandé auprès du Dr. X qui préconise un transfert immédiat à Bern afin de monitorer la pression intracrânienne. Le transfert est accepté par le neurochirurgien de Bern Dr. X. Un traitement par acide tranéxamique (1 gramme) et mannitol (50 grammes soit 0.5 mg/kg) est administré. Le patient est transféré par le SMUR à l'Inselspital à Bern pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, connu pour adénocarcinome de type colorectal du haut/moyen rectum ypT3, ypN0 (0/5), L1, V1, Pn0, R0, M0, stade IIIC, est hospitalisé le 27.12.2018 à la demande de la Dr. X, oncologue traitant, en raison d'une perturbation des tests hépatiques probablement d'origine médicamenteuse. Pour rappel, le patient a bénéficié d'un traitement de chimiothérapie adjuvante 1 semaine auparavant par Xeloda. Cependant, il n'a jamais présenté de trouble des tests hépatiques durant les jours suivant la prise de son traitement de chimiothérapie. En outre, il a déjà présenté un épisode similaire en août 2018 d'origine éthylique avec un diagnostic radiologique de cirrhose débutante. Mr. Y affirme être abstinent d'alcool depuis cette date. À l'admission dans notre service, Mr. Y n'a pas de plainte et ne présente pas de symptôme gastro-intestinal. Il ne présente pas de modification de la couleur ni de la consistance des selles. À noter qu'un ultrason abdominal effectué le jour de l'admission à la demande de la Dr. X ne montre pas de lésion du foie et une sérologie effectuée ce même jour montre l'ancienne hépatite A guérie connue avec des IgG positifs et des IgM négatifs; la sérologie pour hépatite B et C revient négative. Au status, le patient est en bon état général et bien hydraté. Il est anictérique. À l'auscultation cardiaque, B1B2 sont réguliers et il n'y a pas de souffle audible. À l'auscultation pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique et il n'y a pas de bruit surajouté. Au status abdominal, les bruits sont normaux en fréquence et tonalité. La palpation superficielle et profonde est indolore. Il n'y a pas de signe de Murphy et pas d'organomégalie. Le laboratoire du 28.12.2018 montre une amélioration des tests hépatiques (ASAT 344 U/l, ALAT 410 U/l, GGT 116 U/l, le reste du bilan est normal). Comme étiologie de cette perturbation des tests hépatiques, nous retenons un effet secondaire de la chimiothérapie par Xeloda qui est laissée en suspens. Mr. Y peut rentrer à domicile le 29.12.2018. Une consultation en oncologie est prévue pour le 08.01.2019 afin de planifier la suite du traitement de chimiothérapie adjuvante. Mr. Y, patient de 78 ans, connu pour un antécédent d'hémorragie intracérébrale frontale D (apparemment spontanée sous AVK), est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémique fronto-pariétal gauche le 16.01.2019. Le patient se réveille durant la nuit et constate des troubles du langage et une hémiparésie facio-brachio-crurale droite nouvelle. Le patient est hospitalisé en lit monitoré suite à une dose de charge en antiplaquettaire. L'IRM cérébrale confirme la lésion ischémique aiguë située dans la région frontale à hauteur du gyrus pré-central et dans la région pariétale gauche.Sur le plan du bilan étiologique, nous retenons une origine cardio-embolique devant la fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire normale. Le score de CHA2DS2-VASc est calculé à 6 points, par rapport à un HAS-BLED de 5 points. Le patient est inclus dans l'étude ELAN et une anticoagulation selon protocole ELAN est introduite par de l'Eliquis 2.5 2x/jour. La faible dose est proposée en raison de l'antécédent peu clair d'hémorragie intraparenchymateuse, apparemment spontanée sous AVK, et l'insuffisance rénale aiguë initialement retrouvée aux urgences. Nous notons l'absence de critère pour une angiopathie amyloïde à l'IRM cérébrale. L'échocardiographie transthoracique révèle une dilatation modérée de l'oreillette gauche, sans thrombus intracardiaque. Un Holter de 48 heures est posé à but d'analyser la fréquence cardiaque, dont l'interprétation est encore en cours. Nous vous ferons parvenir les résultats dès que possible. Sur le plan médicamenteux, le traitement hypolipémiant de Pravastatine 20 mg est remplacé par de l'Atorvastatine 40 mg. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Un bilan neuropsychologique révèle une dysarthrie avec manque du mot léger, ainsi qu'un ralentissement psychomoteur important. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 3 mois. Nous vous invitons à organiser une consultation neuropsychologique de contrôle avant la reprise de la conduite. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est satisfaisante avec un status neurologique de sortie montrant une parésie faciale d'allure centrale mineure D, une dysarthrie discrète, un discret manque du mot persistant, ainsi qu'une très discrète parésie du MSD avec une force évaluée à M4+. Mr. Y peut regagner son domicile le 22.01.2019, avec poursuite de physiothérapie, ergothérapie et logopédie en ambulatoire. Mr. Y est un patient de 27 ans en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences le 30.12.2018 suite à une chute à ski avec traumatisme crânien et perte de connaissance objectivée à 2 minutes par des témoins. Le patient présente des céphalées et cervicalgies sans signes de gravité. Nous effectuons un CT cérébral et cervical qui ne montrent pas de lésion traumatique. Le patient est hospitalisé pour une surveillance clinique de 24 heures. L'évolution est favorable et il rentre à domicile le 31.12.2018. Mr. Y, patient de 61 ans, est admis aux soins intensifs pour un sevrage éthylique à risque le 04.01.2019. Le patient présente une augmentation de son éthylisme chronique avec plusieurs chutes les dernières semaines. Il demande un sevrage d'alcool volontaire. Pendant le séjour, il est surveillé par un score de Cushman. Il est traité initialement par Seresta, puis Valium IV. On rajoute également du Catapressan qui sera sevré le 06.01.2018 au vu de l'évolution favorable. Le patient refuse une hospitalisation à Marsens à cause de mauvaises expériences par le passé. Un suivi ambulatoire a déjà échoué ( Dr. X, Centre cantonal d'addictologie). Les psychiatres proposent néanmoins un suivi ambulatoire par le CCA. Un rendez-vous sera organisé par les psychiatres. A noter un diabète mal contrôlé pour lequel nous introduisons une insulinothérapie. Un consilium diabétologique propose une introduction d'Insulatard à 20-0-14 unités avec un Humalog fixe à 6-4-6 U avec une correction en plus si nécessaire. Pendant le séjour, il développe un syndrome de renutrition inapproprié, traité par substitution électrolytique. Il est transféré en Médecine de Tavel pour la suite de prise en charge. Mr. Y, institutionnalisé au foyer St-Joseph et connu pour une dépendance à l'alcool, ainsi qu'un trouble mnésique débutant, est amené par ambulance aux urgences le 16.01.2019 à votre demande. Le patient est retrouvé au sol, sans connaissance durant quelques secondes, perte de connaissance que vous avez objectivée. Au status, le patient est désorienté dans l'espace et le temps. Nous notons une mydriase gauche réactive. La poursuite oculaire est lisse. Le reste des nerfs craniens est sans particularité. La force est conservée aux quatre membres. La sensibilité grossière est normale. Le Barré et Mingazzini sont tenus. Les épreuves cérébelleuses sont sans particularité. Le Romberg est tenu. A l'auscultation cardiaque, souffle systolique 3/6, B1-B2 bien frappés. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Le bilan biologique montre une alcoolémie à 2.15 pour mille. Un CT cérébral permet d'exclure tout saignement intra-crânien. Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie pour surveillance neurologique rapprochée. Celle-ci se déroule sans complication, l'examen neurologique répété est sans particularité et Mr. Y peut retourner au foyer St-Joseph le 17.01.2019. Mr. Y est un patient de 34 ans, aux antécédents susmentionnés, qui se présente le 26.12.2018 aux urgences en raison de douleurs abdominales accompagnées de diarrhées jaunâtres depuis 24 heures. A l'examen clinique, nous objectivons une sensibilité abdominale diffuse et le CT abdominal met en évidence un pancolite avec appendicite de continuité. Nous mettons en place une antibiothérapie empirique par Ciprofloxacine et Métronidazole le 26.12.2018. En raison de l'examen PCR des selles qui revient positif pour un Campylobacter, nous arrêtons le Métronidazole le 27.12.2018 et poursuivons l'antibiothérapie par Ciproxine per os pour un total de 5 jours. En vue de l'évolution clinique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 28.12.2018. Mr. Y, patient de 76 ans connu pour un antécédent d'AVC ischémique temporo-occipital G en octobre 2010 sur occlusion de l'artère cérébrale postérieure avec une origine artério-artérielle retenue, avec quadranopsie inféro-latérale D séquellaire. Il est transféré de l'Inselspital suite à un AVC sylvien D. Pour rappel, le patient avait été conduit en ambulance aux urgences en raison d'une faiblesse de l'hémicorps G durant la nuit du 20.01.2019. Aux urgences est mise en évidence une hémiplégie facio-brachio-crurale G, une héminégligence G et dysarthrie. L'Angio-CT cérébral montre une occlusion de l'artère sylvienne D dans son segment M1, avec pénombre en aval. Le patient bénéficie d'une charge en Aspirine 250 mg puis est transféré à l'Inselspital, où il bénéficie d'une thrombectomie mécanique (TICI 3). Il est transféré en retour le 20.01.2019 à l'HFR Fribourg. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre des troubles de la cinétique segmentaire diffuse avec une FEVG estimée à 40%. L'interrogation du pacemaker-défibrillateur ne révèle pas d'arythmie emboligène. Nous suspectons une étiologie cardio-embolique au vu des troubles de la cinétique segmentaire ventriculaire G, et en raison des AVC ischémiques emboliques récidivants et des signes d'embolisation systémiques spléniques et rénales au CT thoraco-abdominal. Nous introduisons en conséquence une anticoagulation par Eliquis 5 mg 2x/j dès le 27.01.2019. Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est poursuivi en raison d'une hypercholestérolémie. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l).Le bilan neuropsychologique du 25.01.2019 révèle des troubles neurocognitifs avec un ralentissement psychomoteur important. Le MOCA est à 15/30. L'examen révèle également une apraxie idéomotrice et une agnosie visuelle et discriminative. La conduite de véhicule automobile est alors contre-indiquée jusqu'à un bilan de suivi neuropsychologique à organiser à 3 mois. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est favorable avec un status neurologique de sortie retrouvant une parésie faciale gauche mineure, une ataxie au MSG et une faiblesse du MIG. Mr. Y est transféré en neuroréhabilitation intensive à Meyriez le 28.01.2019. Mr. Y, 76 ans, connu pour une cardiopathie hypertensive et ischémique tritronculaire avec FEVG à 35%, un DTII NIR et un s/p AVC ischémique occipital gauche, qui nous est transféré en ambulance pour suite de prise en charge d'un AVC diagnostiqué au matin du 20.01.2019 de type AVC sylvien droit qui a été thrombectomisé à Bern le 20.01.2019, dont la présentation clinique initiale était une hémiplégie gauche avec ptose labiale et hémi-négligence gauche découverte par sa femme à 3h15 le 20.01.2019. L'évolution aux soins continus est marquée par un sevrage rapide des supports aminergiques et une amélioration du status neurologique avec un NIHSS au matin du 21.01.2019 à 4. Un bilan par ETT et IRM est prévu dans la suite d'hospitalisation. Mr. Y, 49 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un arrêt cardiorespiratoire sur fibrillation ventriculaire en raison d'un STEMI sur occlusion de l'IVA moyenne le 06.01.2019. Ce patient tabagique en bonne santé habituelle présente des douleurs rétrosternales avec un ACR sur fibrillation ventriculaire en présence des ambulanciers. Un massage cardiaque est débuté immédiatement et le patient reçoit 2 chocs électriques externes avec un no-flow estimé à 0 minutes et un low flow à 10-15 minutes. Mr. Y est un patient de 60 ans connu pour un GIST opéré en 2014, actuellement traité par Glivec, qui est hospitalisé en électif pour une cholécystectomie laparoscopique suite à un épisode de cholangite sur probable migration lithiasique en novembre 2018. Le patient bénéficie de l'intervention susmentionnée le 23.01.2019. L'intervention se déroule sans complication, l'évolution est par la suite favorable. En vue de l'évolution clinique favorable, Mr. Y rentre à domicile le 25.01.2019. Un rendez-vous de contrôle post-opératoire à la consultation du Dr. X est prévu le 04.03.2019. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire le 19.12.2018 suite à un double pontage aorto-coronarien le 10.12.2018 à l'Inselspital par le Dr. X. Traitement à l'entrée : • Aspirine cardio 100 mg 1-0-0-0 • Metoprolol depotabs 25 mg 1-0-1-0 • Lisitril 20 mg 1-0-0-0 • Atorvastatine 40 mg 0-0-1-0 • Nexium 40 mg 1-0-0-0 • Dafalgan 1g 1-1-1-1 • Novalgine 500 mg 2-2-2-2 • Targin 5 mg/2.5 mg R en réserve si douleurs 2x/jour • Oxynorm 10 mg/ml 5 mg toutes les 4 heures, max 6x/jour (30 mg) en réserve si douleurs Lors de son arrivée, le patient est en isolement de contact pour suspicion d'Enterobacter résistante à la Vancomycine. Le frottis rectal du 18.12.2018 revient négatif et l'isolement est levé le 24.12.2018. Sur le plan antalgique, nous administrons un patch de Fentanyl 25 mcg/h le 19.12.2018 en raison des douleurs thoraciques bilatérales avec nécessité d'augmenter les doses à 32.5 mcg/h du 21.12 au 28.12. L'évolution est favorable et nous effectuons un sevrage progressif aux opiacés avec un arrêt total le 11.01.2019. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité faible et il a pu progresser jusqu'à un groupe d'intensité modérée. À la fin de la prise en charge, il est capable de marcher pendant une durée de 25 minutes à une puissance de 35 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+230 mètres) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : 1. Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 2.0 mmol/L, des HDL à 0.62 mmol/L, des LDL à 1.01 mmol/L, des triglycérides à 1.21 mmol/L. 2. Poursuite du sevrage tabagique. 3. Sous traitement, la fréquence cardiaque et la tension artérielle sont dans la norme. À l'examen clinique de sortie, status normo-compensation avec une pression artérielle de 121/67 mmHg avec une FC à 55 bpm. Mr. Y est connu pour de multiples facteurs de risque cardiovasculaire et depuis début 2018 pour une polyneuropathie de probable origine diabétique, alcoolique et tabagique, avec bilan étiologique revenant négatif en septembre 2018, et progressant sous forme de tétraparésie prédominante aux membres inférieurs. Dans ce contexte, le patient est adressé aux urgences le 18.12.2018, pour soins impossibles à domicile sur demande des soins à domicile. Une détérioration progressive de l'état général est rapportée avec perte importante d'autonomie, marche impossible et perte de force nouvelle des membres supérieurs depuis début novembre, avec constipation et rétention urinaire nouvelle en décembre 2018, nécessitant la pose de sonde urinaire à demeure. Le patient parvient encore à manger seul mais est dépendant pour toutes les activités de la vie quotidienne. Aux urgences, l'examen clinique revient sans particularité hormis une force diminuée au niveau des membres inférieurs et des plaies fibrineuses connues au niveau des pieds et genoux. Le bilan biologique montre une hyponatrémie à 131 mmol/l, corrigée par hydratation parentérale. Le patient est hospitalisé pour soins impossibles à domicile. Sur le plan neurologique, au vu de la progression clinique, l'avis du Dr. X, neurologue traitant, est demandé, concluant à une polyneuropathie progressive sévère axonale sur les facteurs de risque susmentionnés. À part une correction des facteurs de risque cardiovasculaire, aucun traitement ni autre investigation ne sont proposés, le bilan extensif étant dans la norme en septembre 2018. Un contrôle neurologique a lieu le 15.01.2019 à l'HFR Fribourg, confirmant le diagnostic de polyneuropathie axonale à prédominance myélinique, sans argument pour une SLA ni une myasthénie, dont les possibilités thérapeutiques sont très restreintes. Durant son séjour, le patient bénéficie de physiothérapie de mobilisation, à poursuivre lors de la sortie. Au vu d'une péjoration clinique durant le dernier séjour de réhabilitation à l'HFR Billens, aucun potentiel de réhabilitation n'est proposé. Sur le plan nutritionnel, nous constatons de multiples carences en vitamines et fer, substituées en cours de séjour, sans dénutrition protéino-énergétique. Sur le plan cutané, le patient bénéficie de la poursuite des soins par l'infirmière en diabétologie et la stomathérapie. L'évolution clinique est favorable avec consultation de contrôle prévue avec le Dr. X le 21.01.2019. Sur le plan hématologique, nous constatons une anémie normochrome normocytaire avec hémoglobine à 132 g/l, sur perte digestive connue, avec bilan étiologique réalisé en septembre 2018. Les valeurs d'hémoglobine restent stables et le traitement par Pantoprazole est poursuivi. Sur le plan social, au vu d'une dépendance dans tous les soins de base, après discussion en équipe multidisciplinaire, le patient et sa nièce, un retour à domicile est impossible.Mr. Y est admis au foyer de Bouleyres le 16.01.2019. Mr. Y, connu pour un antécédent de gliome excisé complètement avec épilepsie secondaire traitée, ainsi qu'un érysipèle du membre inférieur droit en 2012, consulte les urgences le 01.01.2019 en raison d'une douleur du mollet gauche. Il rapporte avoir présenté une dermabrasion du 4ème orteil gauche il y a 3 jours et, depuis le 30.12.2018, apparition d'une douleur avec rougeur et chaleur au niveau de la face médiale du mollet gauche, située à 5 cm au-dessus de la cheville. Pas d'état fébrile ni de frisson, pas d'autre plainte ni symptôme. À l'admission aux urgences, le patient est en état général conservé et afébrile. Les constantes sont bonnes. Le statut cardio-pulmonaire et digestif est dans la norme. Le statut neurologique est grossièrement normal. Au niveau cutané, présence d'une inflammation de 4 cm de diamètre au niveau de la face médiale du mollet gauche. Pas de trajet lymphatique. Le membre inférieur droit est sans particularité. Homans négatif des deux côtés. Nous mettons également en évidence une mycose intra-digitale des pieds, possible porte d'entrée d'infection, que nous traitons par Pevaryl crème. Le laboratoire met en évidence un léger syndrome inflammatoire. Nous retenons le diagnostic d'érysipèle du membre inférieur gauche et nous introduisons une antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g iv du 01 au 04.01.2019 avec relais per os par Co-Amoxi 1 g 2x/j à poursuivre jusqu'au 10.01.2019 inclus. L'évolution est favorable et Mr. Y peut regagner son domicile le 04.01.2018. Mr. Y est un patient de 70 ans suivi à la consultation des Chefs de clinique pour une cholécystolithiase symptomatique confirmée par une IRM en ambulatoire. Le patient bénéficie le 18.01.2019 d'une cholécystectomie laparoscopique. Les suites opératoires sont simples et permettent un retour à domicile le 19.01.2019. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour suspicion de NSTEMI le 07.01.2019. Polyvasculaire, il est connu pour une cardiopathie ischémique tritronculaire et une AOMI sévère pour laquelle il a bénéficié d'une dilatation par stents des axes vasculaires de la jambe droite le 27.12.2018 et d'une thrombendartériectomie fémorale droite le 28.12.2018. Durant l'hospitalisation en chirurgie vasculaire, il présente des douleurs thoraciques, la première fois dans le contexte d'une FA inaugurale le 02.01.2019 spontanément cardioversée et la seconde fois il y a 2 jours. En raison d'une augmentation des troponines sans modification électrique, un NSTEMI est suspecté. La dernière coronarographie en décembre 2018 réalisée à la clinique La Source a traité une lésion de la circonflexe. L'ETT montre une FEVG conservée avec troubles cinétiques segmentaires. En plus d'une double anti-agrégation, l'anticoagulation est maintenue pour l'artériopathie oblitérante et suite à l'épisode de FA transitoire. L'avis cardiologique préconise une coronarographie à distance après traitement des occlusions fémorales si récidive d'angor. Une reprise en angiographie est prévue par le Dr. X le 09.01.2019 pour tentative de revascularisation de l'axe fémoral. En cas d'échec, un pontage croisé ilio-fémoral est envisagé. Mr. Y est un patient de 74 ans, qui est hospitalisé au sein de notre service pour la prise en charge d'une artériopathie oblitérante du membre inférieur droit de stade IIb. Il bénéficie d'une endartérectomie du carrefour fémoral droit le 27.12.2018. Sur le plan chirurgical, après l'ablation du pansement Picco, cinq jours après l'opération, un lymphocèle inguinal droit est visualisé sans écoulement et sans douleur à la palpation. Nous suivrons ce lymphocèle à distance. Sur le plan vasculaire, l'évolution se complique d'une ischémie sub-aiguë en post-opératoire au niveau du membre inférieur droit. Un angio-CT montre une occlusion distale de l'artère fémorale superficielle post-recanalisation. Dans ce contexte, nos collègues angiologues posent un stent au niveau de l'axe iliaque droit et réalisent une thrombo-aspiration de l'artère fémorale superficielle. Sur l'angiographie finale, l'artère fémorale superficielle et l'artère fibulaire sont ouvertes jusqu'en distalité. À noter que l'occlusion de l'artère tibiale antérieure et postérieure était connue. Des pléthysmographies sont réalisées le 10.01.2019 à J-1 post-opératoire qui montrent une pression à 30 mmHg. En fin d'hospitalisation, le pied est cliniquement chaud avec des dopplers en distalité. Sur le plan cardiologique, Mr. Y est connu pour une cardiopathie ischémique stentée pour la dernière fois en décembre 2018. Durant l'hospitalisation, il présente des douleurs thoraciques compatibles avec un syndrome coronarien aigu. Un ECG montre une fibrillation auriculaire à conduction rapide, inaugurale sans modification de la repolarisation. Les troponines reviennent positives. Les cardiologues préconisent d'hydrater le patient, de commencer du Magnésium intraveineux, d'instaurer un traitement freinateur au long cours et une anticoagulation thérapeutique (que le patient avait déjà en raison de sa maladie périphérique). Au lendemain de l'épisode, les troponines sont largement à la hausse (320). Nous contactons les soins intensifs sur demande des cardiologues. Au vu de l'état clinique stable du patient et des troponines à la baisse durant la journée, Mr. Y n'est pas transféré dans l'unité des soins intensifs. L'évolution enzymatique est par la suite défavorable et le patient est transféré aux soins intensifs pour une surveillance où un ultrason cardiaque est réalisé montrant une FEVG conservée, pas de valvulopathie massive, une oreillette gauche dilatée, pas de trouble segmentaire nouveau. Nos collègues cardiologues préconisent de continuer le Xarelto à vie, une double antiagrégation par Aspirine/Plavix jusqu'à mars 2019 (3 mois post-stent) et une antiagrégation simple par Plavix jusqu'à décembre. Sur le plan endocrinologique, le patient présente une hypothyroïdie primaire sur probable produit de contraste. Une substitution est commencée par Euthyrox. Nous laissons le soin au médecin traitant de suivre les hormones thyroïdiennes à sa consultation fin février et d'adapter le traitement. Suite à la bonne évolution du patient, il rentre à domicile le 15.01.2019. Mr. Y est un patient de 83 ans, aux comorbidités et antécédents susmentionnés chez qui nous réalisons une biopsie d'une lésion pariétale par thoracoscopie. L'intervention se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples. Le 29.12.2018, le patient peut rentrer à domicile. Un rendez-vous de suivi à la consultation de chirurgie thoracique a été agendé pour le 08.02.2019 à 10h00. Mr. Y présente une lésion complexe en regard du corps et de la corne postérieure du ménisque interne de son genou G, symptomatique. Le statut clinique met en évidence une corrélation claire avec l'imagerie IRM de cette lésion de la corne postérieure du corps du ménisque interne. Je propose donc au patient une arthroscopie du genou G afin de régulariser le ménisque +/- suture de la lésion horizontale de la corne postérieure. Il est clairement informé de l'intervention ainsi que des risques/bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord oral et signé pour cette intervention prévue pour le 28.01.19. Mr. Y est un patient de 53 ans qui se présente aux urgences le 01.01.2019 pour des douleurs abdominales diffuses depuis 3 jours. Le bilan biologique montre une importante cholestase avec une bilirubine directe à 90, faisant suspecter une cholédocholithiase ; à l'ultrason abdominal, on ne note pas de dilatation des voies biliaires. Le patient bénéficie d'une ERCP le 04.01.2019 qui ne permet pas de visualiser les voies biliaires en raison d'un diverticule situé à côté de la papille, une papillotomie peut être effectuée. L'évolution est par la suite marquée par une stagnation des transaminases. Nous effectuons donc une cholangio IRM le 07.01.2019 qui ne visualise pas de cholédocholithiase ou d'obstacle sur les voies biliaires. Le patient bénéficie alors d'une cholécystectomie laparoscopique le 09.01.2019. La cholangiographie peropératoire montre une persistance d'un obstacle au bas cholédoque, une nouvelle ERCP est alors effectuée le 10.01.2019 qui permet l'extraction d'un calcul du cholédoque. L'évolution est par la suite favorable et le patient peut retourner à domicile le 11.01.2019.Mr. Y est un patient de 33 ans qui bénéficie d'une réthoracoscopie à droite avec bullectomie et talcage dans le cadre d'un pneumothorax récidivant bilatéral avec dernier épisode de pneumothorax spontané à droite début janvier 2019. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont favorables. Le drain est retiré le 28.01.2019, mais la radiographie de contrôle démontre toujours un pneumothorax apical. Après discussion avec le Dr. X, le patient peut tout de même rentrer à domicile le 29.01.2019. Mr. Y est un patient de 33 ans, aux antécédents susmentionnés, qui nous est adressé par son médecin traitant le 21.12.2018 en raison d'une toux sèche avec douleur latéro-thoracique gauche et dyspnée d'effort ainsi qu'un bilan radiologique montrant un pneumothorax apical gauche. Nous retenons l'indication à la mise en place d'un drain thoracique aux urgences. L'évolution clinique étant favorable, nous procédons à l'ablation du drain le 24.12.2018. Face à une augmentation du syndrome inflammatoire importante, nous réalisons un CT thoracique le 23.12.2018, qui met en évidence une pneumonie du lobe inférieur gauche. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline intraveineuse est mise en place et relayée per os le 27.12.2018. En raison de l'évolution clinico-biologique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 28.12.2018. Il sera revu pour contrôle à la consultation de chirurgie thoracique le 11.01.2019 à 09h30. Mr. Y est un patient de 33 ans, connu pour de multiples pneumothorax spontanés récidivants, qui consulte le 15.01.2019 aux urgences en raison d'une dyspnée aiguë à l'effort, associée à des douleurs latéro-thoraciques droites et de la toux. La radiographie du thorax démontre la présence d'un pneumothorax à droite que nous drainons. Par la suite, le patient présente une bonne évolution, permettant le retrait du drain le 18.01.2019. La radiographie du thorax post-ablation du drain démontre la présence d'un pneumothorax résiduel au niveau apical. Suite à l'avis de nos collègues de chirurgie thoracique, Mr. Y peut tout de même rentrer à domicile le 18.01.2019 avec un talcage prévu le 24.01.2019. Nous expliquons au patient que s'il commence à présenter des symptômes, il doit tout de suite venir reconsulter aux urgences. Mr. Y est hospitalisé pour la pose en électif d'un pacemaker pour une fibrillation auriculaire lente asymptomatique. Celle-ci a été découverte fortuitement lors d'un ECG de contrôle. Le geste se passe sans complications. La radiographie post-opératoire confirme la bonne tenue de l'intervention. Mr. Y peut rentrer à domicile le 15.01.2019. Un contrôle de la plaie à 10 jours aura lieu chez son médecin traitant, ainsi qu'un contrôle du pacemaker à 4-6 semaines en cardiologie. Mr. Y est un patient de 60 ans, qui est hospitalisé dans notre service pour un urosepsis avec dilatation pyélocalicielle en péjoration dans le cadre d'un cancer prostatique suivi par la Dr. X et le Dr. X. Il consulte en raison d'une baisse de l'état général avec céphalées, frissons et nausées/vomissements. Le patient est porteur d'une sonde urinaire depuis le 18.12.2018. Il bénéficie d'une antibiothérapie par Rocéphine, puis Invanz le 29.12.2018. En vue de l'évolution favorable avec une baisse du syndrome inflammatoire, le patient rejoint son domicile avec une antibiothérapie par Co-Amoxicilline. Il sera revu au cabinet du Dr. X le 07.01.2019 pour un changement de la sonde vésicale. Mr. Y est un patient de 60 ans, suivi pour un adénocarcinome de la prostate métastatique avec envahissement local avancé. Dans ce contexte, le patient présente une dilatation pyélocalicielle droite avec une fonction rénale stable actuellement. Le patient consulte aux urgences le 13.01.2019 pour des douleurs en loge rénale droite. Le bilan d'entrée met en évidence un syndrome inflammatoire. Le diagnostic de pyélonéphrite droite est retenu et le patient est hospitalisé pour une antibiothérapie intraveineuse. Les prélèvements urinaires et les hémocultures se révèlent positifs à un E. Coli sensible à la Rocéphine et Ciproxine. Nous remplaçons le 16.01.2019 l'antibiothérapie intraveineuse avec de la Ciproxine 500 mg per os 2x/j pendant 5 jours. Au vu d'une évolution clinico-biologique favorable, le patient peut rentrer à domicile le 16.01.2019. Un rendez-vous de contrôle chez le Dr. X est agendé au vendredi 18.01.2019 à 16h30. Sur avis oncologique de la Dr. X, nous réalisons une PSA mesurée à 21.3 ng/ml. Mr. Y présente effectivement une irritation du nerf inter-osseux postérieur à la hauteur de l'arcade de Frohse, avant-bras D. Étant donné qu'il s'agit d'une atteinte minime à l'EMG, je propose un traitement conservateur et souhaite adresser le patient à la consultation spécialisée de la douleur (Dr. X) pour une infiltration écho-guidée à la hauteur de l'arcade de Frohse de l'avant-bras D. Je remercie le secrétariat du Dr. X de bien vouloir convoquer le patient à sa plus proche convenance (079 204 13 57). Je reverrai le patient 1 mois après cette infiltration pour un contrôle clinique. En cas de persistance des douleurs, il faudrait discuter d'une éventuelle neurolyse du nerf inter-osseux postérieur. Mr. Y va également débuter un traitement de physiothérapie, à but antalgique. Un arrêt de travail est attesté à 100% jusqu'au 27.01.2019, à réévaluer. Mr. Y présente en premier lieu une compression du nerf radial à la hauteur de l'arcade de Frohse de l'avant-bras droit. Comme diagnostic différentiel, il faut retenir une épicondylite huméri radialis. Je propose au patient d'investiguer d'abord sur le plan neurologique. Il est adressé au Dr. X le 11.1.2019 pour un EMG à la recherche d'une lésion du nerf radial. Je le reverrai après cet examen pour discuter des résultats et du traitement. Prescription d'une nouvelle boîte de Méfénacide 500 mg 3 cp/jour en réserve. Arrêt de travail attesté à 100% dès ce jour jusqu'au prochain rendez-vous du 18.1.2019. Mr. Y, un patient de 86 ans connu pour une maladie artérielle périphérique dont un triple pontage coronarien ainsi qu'un anévrisme de l'aorte infra-rénal, est hospitalisé suite à une chute avec rhabdomyolyse et ECA. Pour rappel, il aurait chuté de sa chaise le soir du 07.01.2019 dans un contexte peu clair mais après s'être endormi selon lui. Il passe environ 12 heures au sol, incapable de se relever en raison des douleurs à la hanche et au coude gauche, et est retrouvé confus par son fils avec des urines et des selles au sol. Le bilan biologique aux urgences révèle une élévation des CK à 2600 parlant pour une rhabdomyolyse dans le contexte, sans atteinte fonctionnelle rénale (patient connu pour rein unique). Une hydratation soutenue est débutée et les électrolytes et la fonction rénale sont surveillés.Dans le contexte de la chute avec des douleurs au coude et à la hanche gauches, un bilan radiologique permet d'exclure une éventuelle fracture et les contusions sont d'aspect banal. Une antalgie simple est suffisante. Le patient présentant un ECA à l'entrée, le bilan est élargi et révèle des signes d'infection urinaire, qui, avec un toucher rectal douloureux, parlent en faveur d'une prostatite infectieuse. Nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine IV, puis avec relais par Bactrim après réception de l'urotube et de l'antibiogramme (E. coli sensible). Dans le contexte du rein unique, de la prostate agrandie au toucher rectal et d'une insuffisance rénale légère à caractère chronique (confirmé avec le médecin traitant), nous organisons un bilan des voies urinaires par US. Cet examen montre une prostate agrandie, des parois vésicales en partie épaissies avec forte suspicion de pseudo-diverticules dans le cadre d'une vessie de lutte, mais ne révèle pas de dilatation pyélo-calicielle. Nous introduisons un traitement de Tamsulosine, et le patient devrait être revu par un urologue à distance pour un nouveau contrôle (en l'absence d'un urologue connaissant déjà le patient, le Dr X est à disposition). L'évolution est favorable en moins de 24h, avec disparition de l'ECA et reprise d'une autonomie à la mobilisation. Cependant, nous relevons des troubles cognitifs pendant le séjour, notamment sur le plan mnésique et exécutif. Au vu d'un déclin cognitif progressif sur les 2 dernières années, rapporté par la famille ainsi que par le médecin traitant, nous réalisons un bilan neuropsychologique à la recherche d'une démence. Dans ce contexte, une IRM cérébrale met en évidence une atrophie cortico-sous-corticale avec des altérations dégénératives vasculaires, évoquant dans l'ensemble une démence de type Alzheimer. Dans ce contexte, le patient a été d'une contre-indication à la conduite, que nous avons déjà signalée à l'OCN. L'évolution est favorable pendant le séjour, avec stabilité d'une légère insuffisance rénale connue et absence de récidive d'un ECA. Dans le contexte de la chute à domicile (2ème épisode) et des troubles cognitifs évidents, nous organisons une réadaptation gériatrique à l'hôpital de Riaz afin d'optimiser les chances de retour à domicile, le patient vivant encore seul jusqu'à présent. Le patient est reclassé le 24.01.2019 en attente d'une place pour la réadaptation. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, connu pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, notamment pour un lymphome diffus à grandes cellules en stade II (versus IV, infiltration épiploon/ou muscle abdominal) stade IPI intermédiaire à haut risque diagnostiqué en novembre 2018, actuellement sous chimiothérapie, consulte les urgences le 09.01.2019 en raison d'un état fébrile associé à des frissons. Durant la nuit du 06 au 07.01.2019, il a présenté un état fébrile et des frissons. Il prend un Dafalgan avec disparition de l'état fébrile. Pas d'autre symptôme. Il vous consulte pour un contrôle le 08.01.2019 et vous mettez en évidence au bilan biologique un léger syndrome inflammatoire. Au vu de la clinique rassurante, Mr. Y regagne son domicile avec un contrôle clinico-biologique prévu le 10.01.2019. Ce soir, le patient présente un état fébrile à 39°C accompagné de frissons, raison pour laquelle il consulte les urgences. Sur le plan oncologique, le patient a bénéficié d'une cure de chimiothérapie à la fin décembre 2018, bien tolérée et sans effet secondaire. Il a été vu par le Dr X en décembre et il sera vu par la Dr. X le 17 janvier. La prochaine chimiothérapie est prévue pour le 15 janvier. À noter que Mr. Y est sous Bactrim prophylactique 3x/semaine depuis le début de la chimiothérapie. Au niveau respiratoire, le patient est connu pour une colonisation pulmonaire chronique, avec une toux et crâchats jaunâtres, sans changement ces derniers jours. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés. Pas de souffle, pas d'oedème des membres inférieurs. Les mollets sont souples et indolores. Les pouls périphériques sont palpés. Au status pulmonaire, présence de ronchis diffus à droite et d'une hypoventilation à gauche. Sur le plan digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Pas de masse pulsatile ni d'organomégalie palpable. Sur le plan urogénital, les loges rénales sont souples et indolores. Le laboratoire met en évidence une insuffisance rénale chronique avec une créatinine à 172 mcmol/l avec une clairance à 30 ml/min selon Cockroft & Gault, un syndrome inflammatoire avec une CRP à 45 mg/l et une leucocytose à 26,8 g/l et une anémie normochrome normocytaire chronique avec une hémoglobine à 95 g/l. Le sédiment urinaire est propre. La radiographie du thorax montre, par rapport au comparatif du 17.10.2018, une radio-transparence à la base droite pouvant correspondre à une bulle d'emphysème avec une petite désorganisation de la trame bronchovasculaire, des épaississements bronchiques et un aplatissement des coupoles diaphragmatiques pouvant correspondre à une BPCO, un petit infiltrat postéro-basal gauche pouvant correspondre à un foyer pulmonaire et un petit épanchement pleural bilatéral n'est pas exclu. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Nous prélevons deux paires d'hémocultures qui reviennent négatives et une culture d'expectoration qui montre une flore mixte E. Coli et flore bucco-pharyngée. Nous suspectons un foyer basal gauche et le patient bénéficie d'une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv du 09.01 au 15.01.2019. Sous antibiothérapie, l'évolution est rapidement favorable et Mr. Y peut regagner son domicile le 15.01.2019. Il sera revu à la consultation de la Dr. X pour la suite de la prise en charge oncologique. Mr. Y est admis pour une oesophagoscopie en urgence au bloc opératoire pour une impaction alimentaire au niveau du bas oesophage en raison d'une sténose légère sans lésion suspecte visualisée. Les suites opératoires sont simples et sans complication. Nous recommandons une alimentation lisse pour une semaine. Au vu de l'évolution clinique favorable, il peut retourner à domicile. Mr. Y, 45 ans, est hospitalisé pour une exacerbation de douleurs abdominales chroniques. Il est connu pour un antécédent de duodéno-pancréatectomie sur pancréatite chronique en 2002 et des douleurs abdominales chroniques suivi par le Dr X à Lausanne et le Dr X à l'HFR Fribourg sous traitement par pompe intrathécale de Clonidine et Fentanyl en cours d'adaptation thérapeutique, qui se présente pour des douleurs abdominales depuis 3 jours. Le patient décrit des douleurs épigastriques en barre qui diffusent dans l'abdomen, continues avec des pics de douleurs majorées à la palpation. Un bilan radiographique par CT abdominal ne montre pas de causes somatiques à ces douleurs. Après avis auprès les anesthésistes de la maison et du Dr X à Lausanne en consultation d'antalgie, un traitement antalgique par PCA de Fentanyl est initié aux soins intensifs. Ce traitement est majoré par des bolus de Kétamine et de la Lidocaïne en IV continu pour 24 heures. Puis un relais par Fentanyl parentérale et par Fentanyl oral en réserve est ré-instauré, similaire au traitement de base connu du patient.Pendant l'hospitalisation, une augmentation du débit de la pompe intrathécale a été organisée. La gestion de la pompe sera suivie par Dr. X. Une chute décrite le 03.01.2019 nous motive à étendre le bilan par des radios de la main et du rachis, excluant une lésion post-traumatique osseuse. Néanmoins, une faiblesse passagère de la jambe droite (flexion de la hanche, flexion et extension du genou et flexion plantaire du pied à M4) et un pseudo-syndrome du nerf médian au niveau du tunnel carpien sont notés avec une faiblesse motrice et une hypoesthésie des doigts I-III à D. Sur avis des neurologues, une IRM cérébrale est demandée pour exclure une cause centrale à cette image de paraparésie, qui montra un épaississement de la dure-mère, probablement irritatif dans le cadre de l'implantation de la pompe intrathécale. Une légère amélioration du trouble moteur et sensitif est notée. Le patient sera vu en neurologie le 27.03.2019 pour effectuer un ENMG. Un EEG fait le 14.01.2019 pour exclure le diagnostic rare de l'épilepsie abdominale montra un ralentissement du signal compatible avec une encéphalopathie, probablement dans le contexte médicamenteux avec le Fentanyl. Un sevrage est prévu lors de la consultation du Dr. X, si le traitement par application intrathécale fonctionne. Les douleurs étant contrôlées de manière à ce que le patient se sente sûr de rentrer à domicile, il rentre le 16.01.2019 avec un nouveau plan analgésique. Mr. Y, 86 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance neurologique et respiratoire dans le cadre d'une embolie pulmonaire et d'une crise tonico-clonique généralisée, ayant nécessité une intubation oro-trachéale. Le patient, connu pour une fibrillation auriculaire traitée par Xarelto et pour une épilepsie traitée par Lévétiracétam et Phénobarbital, consulte les urgences de Tavel le 25.01.2019 pour une dyspnée progressive depuis 14 jours. Durant le CT-scan thoracique, il développe des mouvements tonico-cloniques généralisés. Il est intubé et transféré aux soins intensifs. Le CT-scan thoracique montre une embolie pulmonaire sous-segmentaire et le CT-scan cérébral ne met pas en évidence d'hémorragie ou de signe d'AVC ischémique. Une occlusion de l'artère vertébrale droite au niveau V3 V4 avec reprise du flux en aval est mise en évidence, pouvant correspondre à une occlusion versus dissection chronique comme aiguë, à corréler à une IRM. Une sténose carotidienne interne gauche est également visualisée. Le patient est mis sous traitement par héparine thérapeutique pour le traitement de l'embolie pulmonaire. La reprise du Xarelto serait une option si l'hypothèse d'une mauvaise compliance peut être confirmée. Le cas échéant, un changement de l'anticoagulant est à discuter vu la survenue de l'événement thrombo-emboliques sous traitement par Xarelto. En ce qui concerne l'épilepsie, le traitement habituel est poursuivi sans nouvelle crise objectivée et l'hypothèse d'une mauvaise compliance médicamenteuse est également possible et sera éventuellement confirmée par les taux d'antiépileptiques qui sont en cours. Une fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide à 150/minute est mise en évidence aux urgences de Tavel avec résolution spontanée. Celle-ci explique possiblement le mouvement des troponines objectivé à Tavel. Le traitement habituel par Métoprolol a été temporairement mis en suspens en raison d'une tendance à la bradycardie durant la surveillance aux soins intensifs. Sa reprise sera à réévaluer. L'évolution clinique est rapidement favorable avec une extubation qui est possible le lendemain. Un ralentissement psycho-moteur important est objectivé post-extubation, qui est probablement lié aux événements récents chez un patient âgé qui présente une baisse de l'état général déjà depuis deux semaines en lien avec sa dyspnée avec un très probable déconditionnement secondaire. Après évaluation neurologique par le Dr. X, le patient est transféré à l'étage de médecine avec la proposition d'organiser une IRM cérébrale afin d'évaluer les conséquences de la sténose carotidienne, ainsi qu'un électroencéphalogramme. Mr. Y est un patient connu pour une maladie coronarienne tritronculaire depuis 2016, qui est hospitalisé en réhabilitation cardiovasculaire des suites d'un triple pontage aorto-coronarien le 08.12.2018 par le Dr. X à la Clinique Cécil. Le traitement à l'entrée comprend : Aspirine cardio 100 mg, Pantozol 40 mg (pendant 1 mois), Supradyn 1x/jour (pendant 1 mois), Irbesartan 300 mg, Beloc Zok 50 mg, Atorvastatine 40 mg, Plavix 75 mg, Magnesiocard sachet 1x/j, Allopurinol 300 mg. À son arrivée à l'HFR Billens, le patient présente de légers œdèmes des membres inférieurs justifiant l'introduction de Torasémide 2.5 mg avec bonne efficacité clinique. Pendant le séjour, les cicatrices ont bien évolué avec une guérison ; bonne stabilité du sternum à la fin du séjour. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 25 minutes à une puissance de 46 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+60 mètres) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.3 mmol/L, des HDL à 1.49 mmol/L, des LDL à 1.85 mmol/L, des triglycérides à 0.97 mmol/L. • Poursuite du sevrage tabagique, sevré il y a 40 ans. • Sous traitement, la pression artérielle basale et la fréquence cardiaque sont restées dans la norme. Mr. Y est un patient de 48 ans, qui est hospitalisé dans notre service pour la prise en charge d'une occlusion de l'artère iliaque commune gauche en nette péjoration ces derniers mois. Il bénéficie d'une endartérectomie aorto-iliaque gauche le 24.01.2019. L'évolution post-opératoire est favorable, permettant un retour à domicile le 29.01.2019. Il sera vu à la consultation du Dr. X le 06.03.2019. Mr. Y, connu pour une hypertrophie bénigne de la prostate, se représente aux urgences pour une nouvelle macrohématurie accompagnée de dysurie, rétention urinaire, sans fièvre ni frisson. Nous effectuons un laboratoire sanguin, qui montre une hémoglobine diminuée à 109 g/l à son entrée, avec une augmentation au cours de l'hospitalisation. Nous mettons en place une sonde à 3 voies avec des rinçages. Le 03.01.2019, en raison d'un éclaircissement des urines, nous procédons au retrait de la sonde urinaire. Au vu d'une évolution clinico-biologique favorable, nous laissons le patient rentrer à domicile le 03.01.2019. À noter que le patient est suivi par Dr. X, urologue, en raison d'une hypertrophie bénigne de la prostate traitée, qui a procédé à une cystoscopie le mois passé, revenant sans particularité. Un CT-scan abdominal datant du 24.12.2018 ne montre pas de signe de tumeur vésicale. Nous conseillons aux patients de reprendre contact avec son urologue traitant pour un rendez-vous de contrôle. Mr. Y est un patient de 65 ans en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences pour une macrohématurie avec dysurie et pollakiurie. Un CT-scan abdominal met en évidence une hypertrophie de la prostate faisant protrusion dans la vessie. Une sonde à 3 voies avec rinçage en continu est posée.L'évolution est par la suite favorable et après ablation de la sonde urinaire, Mr. Y peut retourner à domicile le 28.12.2018. Mr. Y est un patient de 91 ans connu pour un statut post-cholécystectomie par voie ouverte avec éventration post-opératoire il y a une vingtaine d'années, qui se présente aux urgences de Riaz le 23.12.2018 pour des douleurs abdominales dans l'hypochondre droit. Un CT-scan abdominal met en évidence un iléus grêle avec saut de calibre en hypochondre droit ainsi que de multiples hernies de la ligne blanche. Le patient est alors transféré à l'Hôpital cantonal de Fribourg pour la suite de la prise en charge. Devant une évolution clinique défavorable le 24.12.2018, nous effectuons une laparotomie exploratrice qui retrouve une bride en hypochondre droit avec réalisation d'une adhésiolyse et sur le même temps opératoire, une cure d'hernie cicatricielle par filet de vicryl rétro-musculaire. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples avec une reprise du transit et progressive de l'alimentation. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y peut regagner son domicile le 05.01.2019. Mr. Y, résidant à la Maison Bourgeoisiale de Bulle, connu pour un cancer épidermoïde de l'œsophage traité symptomatiquement, une démence cognitive et une fibrillation auriculaire paroxystique, est amené aux urgences en ambulance le 08.12.2018 en raison d'une dyspnée en péjoration avec tachycardie, oppression thoracique et toux productive, sans notion de fièvre. A l'admission aux urgences, nous mettons en évidence une tachycardie sur flutter auriculaire non connu ainsi qu'une désaturation. Le laboratoire montre un discret syndrome inflammatoire, sans cinétique des troponines. En raison de D-dimères à 861 ng/ml, nous réalisons un CT scan thoracique qui écarte une embolie pulmonaire et met par contre en évidence des épanchements pleuraux bilatéraux. Mr. Y est hospitalisé pour insuffisance cardiaque aiguë sur tachyarythmie ainsi que suspicion de pneumonie multilobaire, traitées par Lasix et co-Amoxicilline 1.2 g 3x/j. A l'étage de médecine, l'évolution clinique est favorable par traitement diurétique, sevré progressivement et majoration du traitement bétabloquant habituel d'Atenolol. Au vu de l'absence d'état fébrile et d'expectorations durant le séjour, avec rapide normalisation du syndrome inflammatoire, le diagnostic de pneumonie n'est pas retenu et l'antibiothérapie est arrêtée au 3ème jour d'hospitalisation. Après résolution de l'insuffisance cardiaque, en raison d'une tachycardie persistante sur flutter auriculaire, un traitement cardio-freinateur par Dilzem est rajouté à l'Atenolol, avec mauvaise tolérance clinique. Le patient développe ainsi un choc cardiogène sur inotropie négative avec défaillance multi-organique et hyperlactatémie à 7.9 mmol/l. Après arrêt de tout traitement cardio-freinateur, nous constatons une amélioration spontanée et progressive dans les 24 heures, motivant des soins maximaux à l'étage, tout en considérant les attitudes de prise en charge limitées au vu du contexte démentiel et oncologique discutées préalablement avec le patient et ses proches. En raison de signes de surcharge cardiaque à la radiographie du thorax, un traitement par diurétique est repris avec oxygénothérapie et morphiniques. Le résultat clinique est satisfaisant, avec reprise d'un rythme en fibrillation auriculaire à 200/min. Un traitement cardio-freinateur seul par Metoprolol à 50 mg 1x/j est décidé à la place de l'Atenolol, permettant d'obtenir une fréquence cardiaque à 120/min. Le traitement par Torasemide 5 mg 1x/j est repris à la sortie. Enfin, malgré la présence de fibrillation auriculaire paroxystique, en raison du contexte oncologique et d'un risque important de saignement sur ce dernier, il est décidé d'interrompre tout traitement anticoagulant thérapeutique par Eliquis. Si vous deviez décider de le reprendre, une majoration de la dose à 2x 5mg serait indiquée pour prévenir une maladie thromboembolique sur arythmie cardiaque. Sur le plan électrolytique, une hypokaliémie sur prise de diurétiques est substituée avec maintien du traitement habituel substitutif à la sortie. Sur le plan abdominal, nous constatons une hernie ombilicale non incarcérée, douloureuse par intermittence, pour laquelle un simple suivi clinique est proposé. Mr. Y regagne la Maison Bourgeoisiale le 20.12.2018. Mr. Y nous est transféré des soins intensifs de l'HFR Fribourg le 26.12.2018 pour suite de prise en charge d'un NSTEMI antérieur. Pour rappel, le patient est adressé aux urgences de l'HFR Riaz par le Dr. X le 24.12.2018 pour suspicion de syndrome coronarien aigu. Le bilan montre des troponines T hs H0 positives avec une cinétique positive associée à des troubles de la conduction et de la repolarisation avec un hémibloc antérieur gauche, un bloc atrio-ventriculaire du 1er degré et une image de bloc de branche droit complet, un segment ST susdécalé de façon non-significative en V2 et V3 probablement dans le contexte du bloc droit (DD STEMI) et une onde T négative non-concordante en I et aVL. Le diagnostic de NSTEMI antérieur est retenu et Mr. Y est transféré à l'HFR Fribourg pour coronarographie. L'examen montre une maladie tritronculaire avec des sténoses significatives de l'IVA ostiale et moyenne, revascularisées par 2 stents actifs, et des sténoses significatives de la DA, RCx proximale et IVP. Après surveillance aux soins intensifs, le patient nous est retransféré pour adaptation du traitement et surveillance. A l'admission dans notre service, le patient n'a pas de plainte. Il est afébrile et hémodynamiquement stable. Un souffle 2/6 systolique, maximal au foyer mitral, est entendu à l'auscultation cardiaque d'entrée. Le point de ponction fémoral droit est sans souffle et ne présente pas de signe de surinfection. Notons toutefois un hématome de 4 x 8 cm au point de ponction que nous surveillons cliniquement. Durant le séjour, le patient reste asymptomatique du point de vue cardiaque. Il est progressivement mobilisé avec bonne tolérance. Nous adaptons le traitement bêtabloquant en majorant le Carvédilol à 12.5 mg 2x/j. Sur le plan rhumatologique, le patient est connu pour une polymyalgia rheumatica. Il présente lors de son hospitalisation à l'HFR Fribourg des douleurs de l'épaule droite pour laquelle une VS est effectuée et revient dans la norme. Au vu de ce résultat de laboratoire, ainsi que de l'absence d'une symptomatologie typique, nous mettons les douleurs sur le compte de douleurs musculaires simples. Finalement, sur le plan de l'insuffisance rénale probablement aiguë, nous constatons une amélioration graduelle après hydratation avec, à la sortie, une créatininémie à 121 µmol/l. Une demande de réadaptation cardiovasculaire est effectuée à l'Hôpital de La Tour, à Meyrin, canton de Genève où réside le patient; ce dernier sera contacté au début janvier 2019 afin d'organiser le séjour. Dans cette attente, Mr. Y peut regagner son domicile le 29.12.2018. Mr. Y, connu pour une hypertension artérielle et une hypercholestérolémie, est amené aux urgences le 09.01.2019 suite à une syncope à l'emporte-pièce lors d'une randonnée en montagne. Le patient évoque être arrivé au sommet à 1600 mètres, avoir déjeuné puis aurait consommé de l'alcool. En se levant, il présente une syncope sans notion de prodrome, perte urinaire ni morsure latérale de la langue. Il reste inconscient pendant 2-3 minutes, selon son épouse, et revient à lui, sans état post-critique. Il s'agit du premier épisode. A l'anamnèse, le patient rapporte une dyspnée d'effort ainsi qu'un tabagisme actif (environ 63 UPA). Il décrit également une toux sèche le jour précédant sa consultation aux urgences.A l'admission, Mr. Y est hémodynamiquement stable avec une tension artérielle à 166/80 mmHg, une fréquence cardiaque à 63 bpm, une saturation à 96% à l'air ambiant, une fréquence respiratoire à 22/min et une température à 36,4°C. Au status neurologique, le patient est orienté dans les 3 modes avec un Glasgow à 15/15, le reste de l'examen neurologique est sans particularité. A l'auscultation pulmonaire, sibilances diffuses sur les deux plages pulmonaires. Le laboratoire met en évidence des leucocytes légèrement élevés, une CRP normale ainsi que des D-Dimères élevés à 3678 ng/ml. Nous complétons le bilan par un CT scan thoracique qui ne met pas en évidence d'embolie pulmonaire et retrouve un aspect en verre dépoli diffus dans les deux poumons. Une gazométrie met en évidence une hypocapnie à 4.1 kPa et une hypoxémie à 9 kPa. Au vu d'une respiration spastique avec des sibilances diffuses dans les deux poumons, le patient bénéficie d'un traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. Nous notons cependant la persistance de sibilances diffuses dans les deux champs pulmonaires, à droite plus qu'à gauche et nous notons l'apparition d'un état fébrile à 38,6°C. Nous prélevons des hémocultures, une recherche d'antigènes urinaires Légionelle et nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine et Klacid pour suspicion de pneumonie bilatérale. L'évolution clinique est favorable avec une diminution de la symptomatologie au cours du séjour. Au vu d'une spasticité à l'auscultation pulmonaire, nous suspectons également une BPCO sous-jacente décompensée. Nous introduisons alors un traitement de Prednisone 40 mg pendant 5 jours et suspendons le traitement par Lercanidipine en raison de ses interactions avec le Klacid. L'évolution est favorable. Les hémocultures ainsi que la recherche d'antigènes urinaires reviennent négatives. L'antibiothérapie par Rocéphine est stoppée à 7 jours et nous poursuivons le traitement par Klacid pour 14 jours. Le foyer pulmonaire étant d'apparence suspect et n'excluant pas une néoplasie pulmonaire, un CT scan thoracique de contrôle est déjà agendé pour le 31.01.3019. En cas de persistance d'anomalies à l'imagerie, nous vous proposons d'effectuer une bronchoscopie. En ce qui concerne la syncope, le patient ne présente pas de récidive de symptômes. Un test de Schellong est négatif. Au vu d'un ECG ne montrant pas d'anomalies et de l'état clinique du patient, il ne bénéficie pas d'investigations supplémentaires. Mr. Y peut regagner son domicile le 15.01.2019. Mr. Y, patient de 58 ans, est hospitalisé aux soins intensifs en stroke unit monitorée pour surveillance d'un accident ischémique transitoire. Le patient se présente aux urgences le 16.01.2019 en raison de troubles de la marche et d'une perte d'équilibre apparus le 14.01.2019. Un CT-scan cérébral ne montre pas d'AVC constitué ni de saignement intra-crânien. Une IRM cérébrale retrouve un petit thrombus au niveau de l'artère vertébrale gauche qui pourrait expliquer les symptômes du patient. D'un point de vue clinique, la surveillance neurologique aux soins intensifs est sans particularité avec une NIHSS à 0 points à l'entrée et à la sortie de la Stroke Unit monitorée. Au niveau biologique, les profils glycémique et lipidique sont dans la norme. La poursuite du bilan étiologique est encore en cours avec un ultrason des vaisseaux pré-cérébraux, une échocardiographie transthoracique et un ECG-Holter qu'il s'agira de pister. D'un point de vue thérapeutique, l'Aspirine cardio (traitement habituel du patient) est stoppée et une anti-agrégation par Clopidogrel est débutée (sans dose de charge). La posologie du traitement habituel de statine est aussi majorée sur avis des collègues neurologues. A noter que le patient est connu pour une hypertension artérielle sévère avec atteinte d'organe (cardiopathie hypertensive et néphroangiosclérose hypertensive). Le traitement anti-hypertenseur habituel du patient (pentathérapie) est transitoirement mis en suspens puis progressivement réintroduit. Le traitement sera à adapter selon l'évolution du profil tensionnel. Mr. Y, patient de 58 ans, est hospitalisé en stroke unit monitorée pour surveillance d'un accident ischémique transitoire avec symptomatologie vertigineuse. Le patient se présente aux urgences le 16.01.2019 en raison de troubles de la marche et d'une perte d'équilibre apparus le 14.01.2019. Un CT-scan cérébral ne montre pas d'AVC constitué ni de saignement intra-crânien. Une IRM cérébrale retrouve un petit thrombus au niveau de l'artère vertébrale gauche qui pourrait expliquer les symptômes du patient. D'un point de vue clinique, la surveillance neurologique aux soins intensifs est sans particularité avec une NIHSS à 1 point (séquelle d'un ancien AVC) à l'entrée et à la sortie de la Stroke Unit monitorée. Au niveau biologique, le profil glycémique révèle une intolérance au glucose. D'un point de vue thérapeutique, l'Aspirine cardio (traitement habituel du patient) est stoppée et une anti-agrégation par Clopidogrel est débutée (sans dose de charge). La posologie du traitement habituel de statine est aussi majorée sur avis des collègues neurologues. A noter que le patient est connu pour une hypertension artérielle sévère avec atteinte d'organe (cardiopathie hypertensive et néphroangiosclérose hypertensive) pour laquelle le traitement antihypertenseur est discuté avec Dr. X, néphrologue traitant à Berne, qui le convoquera à sa consultation. La suite du bilan est complétée par une sonographie des vaisseaux précérébraux qui démontre des sténoses des vaisseaux précérébraux sans indication au traitement chirurgical. Une ETT et un Holter sont effectués dans le cadre de l'AIT à la recherche d'une cause cardiogène. Les résultats du Holter sont à pister. Pendant l'hospitalisation, un consilium neuropsychologique dans le cadre du bilan d'AIT révèle un ralentissement progressif depuis le dernier contrôle en 2018, qui est aussi remarqué par le patient. Pour exclure un trouble neurologique autre que la dégénérescence physiologique, un suivi en ambulatoire avec EEG, consultation en neuropsychologie et en neurologie est organisé. Le patient présente une bonne évolution clinique avec un léger trouble de l'équilibre persistant et rentre le 23.01.2019 à domicile. Mr. Y nous est adressé électivement le 16.01.2019 pour une coronarographie élective et une pose de pacemaker dans le contexte de syncopes d'Adams Stokes sur bloc sino-auriculaire/bloc trifasciculaire. La coronarographie a lieu le 16.01 et ne montre qu'une sclérose coronarienne minime, excluant de ce fait une cause ischémique aux troubles de conduction du patient. Le geste se complique d'un passage en bloc sinusal complet, levé par administration d'atropine. Un pacemaker bicaméral DDD est posé le 17.01.2019, sans complications. Le patient rentre à domicile le jour même. Mr. Y est un patient de 86 ans, connu pour des troubles de la marche et de l'équilibre et pour des troubles cognitifs, récemment hospitalisé du 13.12 au 27.12.2018 pour une bronchopneumonie compliquée d'une décompensation cardiaque. Il est réhospitalisé 3 jours après sa sortie en raison de soins impossibles à domicile et pour une décompensation hyperglycémique de son diabète. Depuis le retour à domicile, il est décrit par son épouse comme asthénique et inappétent, avec par moments des épisodes de confusion. Ses glycémies sont également très élevées (entre 12 et 22 mmol/l) avec une polydipsie décrite par le patient. Concernant le diabète, un suivi par les diabétologues est effectué. Le traitement insulinique est adapté, permettant un bon contrôle des glycémies. Au vu d'une insuffisance rénale chronique avec de nombreuses acutisations, les antidiabétiques oraux ne sont pas repris. On met en évidence à l'admission une acutisation de son insuffisance rénale chronique, d'origine pré-rénale sur déshydratation dans le contexte du diabète décompensé et probablement favorisée par le traitement diurétique. L'évolution est favorable après réhydratation per os et mise en suspens transitoire des diurétiques. L'IEC et les antidiabétiques oraux ne sont pas repris. Au vu d'une situation au domicile précaire, un colloque réseau en présence de l'épouse est organisé le 07.01.19. Son épouse souhaite, dans la mesure du possible, un retour à domicile mais ne se sent pas capable de gérer le traitement antidiabétique au vu de sa complexité. Une suite de prise en charge est organisée à l'UATO. Le projet sera réévalué à ce moment-là et le traitement antidiabétique simplifié en cas de retour au domicile. Mr. Y, 84 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un traumatisme crânio-cérébral modéré suite à une chute traumatique. Il est connu pour des troubles cognitifs. Le 22.01.2019, il a présenté une chute mécanique de sa hauteur devant un arrêt de bus suite à un faux-pas dans la pénombre, sans prodromes, sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. Le CT cérébral a montré une hémorragie intra-parenchymateuse sous-corticale frontale gauche et une composante d'hémorragies sous-arachnoïdienne au niveau du sillon pré-central gauche et du sillon cingulaire gauche. L'évolution a été favorable sans déficit neurologique secondaire. Une désorientation temporelle est habituelle dans le contexte des troubles cognitifs connus. Le CT cérébral de contrôle du 23.01.2019 a confirmé la stabilité des lésions. Une plaie de 2 cm de l'arcade sourcilière droite et une plaie de 1 cm en regard de l'articulation interphalangienne du 2ème rayon droit ont été suturées et les fils devront être retirés respectivement après 5 jours et 14 jours. Une antibiothérapie de ciprofloxacine pour une suspicion d'infection urinaire avait été débutée en ambulatoire le 22.01.2019. En l'absence de leucocyturie et de syndrome inflammatoire, nous avons interrompu ce traitement. Mr. Y est admis pour l'intervention susmentionnée. Les suites opératoires sont simples et sans complication. L'ablation des mèches est faite à J1. Au vu de l'évolution clinique favorable, il peut retourner à domicile le 26.01.2019. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire le 14.12.2018 suite à une double revascularisation myocardique par pontage de l'artère mammaire interne gauche en séquentiel sur l'interventriculaire antérieure et la diagonale par le Dr. X le 23.11.2018. Traitement à l'entrée : • Eliquis 5 mg 2x/jour • Brufen 400 mg 3x/jour jusqu'au 21.12.2018 • Zanidip 10 mg 2x/jour • Tenormin 50 mg 1x/jour • Torasémide 10 mg 1x/jour • Coversum 5 mg 2x/jour • Atorvastatine 40 mg 1x/jour • Aspirine cardio 100 mg 1x/jour • Pantozol 40 mg 1x/jour • Tamsolusine 0.4 mg 1x/jour • Tresiba 84 U 1x/jour • Lacrycon 1x/jour • Oculac 1x/jour • Dafalgan 500 mg max 3x/jour Sur le plan cardiovasculaire, l'oedème des membres inférieurs du patient évolue de façon favorable avec la possibilité de diminuer le Torasémide à 5 mg le 19.12.2018. Nous réalisons une échocardiographie de contrôle qui montre un épanchement péricardique en voie d'amélioration et sans répercussion hémodynamique, raison pour laquelle nous diminuons le Brufen 400 mg à deux comprimés par jour. Durant son séjour, le patient décrit le 20.12.2018 des douleurs constantes de l'hypochondre droit avec irradiation hémi-thoracique droite respiro-dépendantes et position-dépendantes en péjoration le 21.12.2018. Au status, le patient est hémodynamiquement stable, nous auscultons une hypoventilation pulmonaire de la base droite et la loge rénale droite est sensible. Au niveau des examens complémentaires, l'électrocardiogramme est superposable à celui de l'entrée. Un bilan biologique est réalisé qui objective une faible augmentation de la bilirubine directe à 6 micromol/L et un syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 12.9 G/L et une CRP à 94 mg/L. Le stix urinaire montre une croix de bilirubine et une croix d'hémoglobine. Un CT-scan thoraco-abdominal est réalisé à l'HFR Riaz le 21.12.2018, qui objective un épanchement péricardique cloisonné à droite avec prise de contraste qui pourrait parler en faveur d'une surinfection, une péjoration des épanchements pleuraux bilatéraux et un calcul au niveau de la vésicule biliaire. Dans ce contexte, sur avis du Dr. X et du Dr. X, nous transférons le patient aux urgences de l'HFR Fribourg le 21.12.2018 pour suite de la prise en charge et adaptation thérapeutique. Mr. Y, patient de 76 ans, est transféré des soins intensifs le 14.01.2019, suite à l'implantation d'un pacemaker dans le cadre d'une fibrillation auriculaire lente récemment diagnostiquée en ambulatoire par le Dr. X. Sur le plan cardiologique, le pacemaker est mis en place sans complication. Les ECG de contrôle sont dans la norme et montrent des spikes de pacing. Au vu d'une bonne évolution clinique, le patient est transféré à l'étage de médecine interne le 14.01.2018 pour suite de prise en charge. En raison d'un laboratoire d'entrée mettant en évidence une élévation des enzymes cardiaques avec des modifications non spécifiques à l'électrocardiogramme, une coronarographie est également réalisée le 17.01.2019, qui ne montre pas de sténose significative des coronaires. Nous retenons une origine probablement embolique, sur la fibrillation auriculaire du patient, au NSTEMI. Mr. Y peut rentrer à domicile en bon état de santé général le 18.01.2019. Mr. Y est un patient de 47 ans, connu pour un status post-appendicectomie en 2002 et une suspicion de maladie de Crohn avec une image de sténose iléale en mai 2018 et une histologie lors de la colonoscopie compatible avec une maladie de Crohn peu active. Le patient se présente aux urgences le 21.01.2019 pour des douleurs abdominales associées à un épisode de vomissement et un arrêt des matières depuis 24 heures. Le bilan biologique ne retrouve pas de syndrome inflammatoire et un CT-scanner retrouve un iléus grêle avec un saut de calibre et une sténose au niveau de la dernière anse iléale sans signe de souffrance. Un traitement conservateur avec une sonde naso-gastrique de décharge est initié. Le patient reprend un transit le 22.01.2019 et peut être sevré de la sonde nasogastrique puis réalimenté. Le 23.01.2019, un avis gastro-entérologique du Dr. X propose un traitement symptomatique et la réalisation en ambulatoire d'une colonoscopie avec éventuelle dilatation de l'iléon terminal et introduction d'un traitement par la suite. Le patient rentre à domicile le 24.01.2019 et bénéficiera d'une colonoscopie en ambulatoire le 04.02.2019 à 11h30. Mr. Y, patient de 75 ans, est hospitalisé pour une bradycardie dans le contexte d'un BAV de haut grade. Le patient décrit depuis plusieurs jours des épisodes de syncope avec une sensation de lipothymie, acouphène et une absence remarquée par son entourage, sans franche perte de connaissance. Durant la surveillance aux urgences, un BAV de haut grade est objectivé avec une pause sinusale de 10 secondes, posant l'indication pour un pacemaker. Au vu des syncopes à répétition, nous débutons un traitement par Isoprénaline. Il bénéficie de la mise en place d'un pacemaker le 17.01.2019, sans complication. Le contrôle du pacemaker montre une fonction satisfaisante.Lors d'un malaise, le patient présente une chute avec réception sur son genou gauche. Nous objectivons un épanchement articulaire important. La radiographie ne montre pas de fracture. Une antalgie simple est introduite et nous vous demandons d'organiser un contrôle clinique en ambulatoire à votre consultation. Mr. Y, 76 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire aiguë sur décompensation de BPCO compliquée d'un NSTEMI secondaire. Il est connu pour une BPCO non stadée avec un passé alcoolotabagique, polyvasculaire. Il consulte aux urgences pour une dyspnée depuis une semaine avec une désaturation ce jour. Il n'a pas présenté de douleur thoracique mais son ECG est modifié avec une augmentation des troponines. La radiographie du thorax montre un foyer du lobe supérieur droit. Une antibiothérapie par levofloxacine est débutée en raison d'une allergie à la pénicilline. Mr. Y est un patient de 61 ans, qui est hospitalisé dans notre service pour la prise en charge d'une probable infection urinaire sur obstruction d'une sonde JJ à droite. Le patient est connu pour un syndrome de Lynch avec adénocarcinome rectal et duodénal, un status post-amputation abdomino-périnéale avec colostomie terminale, une résection de l'uretère droit, puis récidive ganglionnaire et au niveau du psoas gauche. Il est actuellement sous Opdivo (dernière dose le 28.12.2018). Au niveau urinaire, le patient souffre d'une urétéro-hydronéphrose bilatérale chronique avec sonde double J bilatérale à demeure, dont le dernier changement à droite a été effectué le 15.11.2018 par le Dr. X, avec la mise en place de deux sondes à droite et une à gauche. Lors de l'administration d'Opdivo durant l'hospitalisation, il est mis en évidence un syndrome inflammatoire élevé avec leucocyturie et une péjoration de la fonction rénale. À noter que le patient est connu pour infections urinaires à répétition, la dernière en novembre 2018 avec un Candida glabrata retrouvé. Le patient bénéficie d'un traitement antibiotique par Rocéphine du 28.12 au 31.12.2018. L'évolution est favorable, permettant un retour à domicile le 31.12.2018 avec une sonde vésicale en déclive. Mr. Y a un rendez-vous au cabinet du Dr. X prévu la semaine du 07.01.2019. Mr. Y est un patient de 64 ans, connu pour une maladie de Crohn avec un statut post-résection iléo-caecale en 1977, qui présente des subiléus récidivants sur une sténose de l'iléon distal. Dans ce cadre, le patient bénéficie le 08.01.2019 d'une résection segmentaire de l'anastomose iléo-colique et confection d'une anastomose iléo-ascendante. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont favorables sur le plan abdominal. À noter que le patient présente le 1er jour post-opératoire une macrohématurie avec des caillots, raison pour laquelle une sonde à 3 voies est posée avec des rinçages en continu. L'évolution est par la suite favorable et le patient peut retourner à domicile le 15.01.2019. Mr. Y est un patient de 79 ans, qui nous est transféré du centre d'hémodialyse de Riaz pour la prise en charge d'une boucle Omniflow thrombosée. Le patient bénéficie le jour même de l'intervention susmentionnée. L'évolution postopératoire est favorable, en particulier la boucle montre un excellent thrill. Le patient rejoint son domicile le 29.01.2019 avec la prochaine hémodialyse agendée pour le 30.01.2019 à l'hôpital de Riaz. Mr. Y est connu pour un mélanome malin avec métastases surrénaliennes et spléniques, en progression tumorale, avec récente hospitalisation en gériatrie pour déshydratation sévère sur SIADH. Le patient est amené aux urgences le 23.12.2018 en raison d'une inappétence avec épigastralgies et nausées, avec perte de poids de 30 kg depuis juin 2018. Aux urgences, une nouvelle déshydratation est constatée avec hypotension, assèchement des muqueuses et persistance du pli cutané. Le reste du statut clinique est sans particularité. Le bilan biologique montre une hyponatrémie chronique et un syndrome inflammatoire avec CRP à 121 mg/l et leucocytes à 6.9 g/l, comparable au 16.12.2018, date de la sortie du service de gériatrie et mis dans le contexte oncologique. La radiographie du thorax est sans particularité. Mr. Y est hospitalisé pour baisse de l'état général avec déshydratation, cachexie et dénutrition dans le contexte de la progression tumorale. Une hydratation parentérale est introduite. Au vu du contexte palliatif précédemment décidé, un traitement symptomatique seul par alimentation plaisir et Pantozol 40 mg 2x/j est proposé. Au vu de la dépendance du patient dans les soins de base et d'une symptomatologie invalidante, un retour à domicile ne semble pas possible. Un transfert en institution pour poursuite de soins palliatifs est ainsi organisé après discussion avec le patient et sa famille. Cependant, l'évolution est rapidement défavorable et Mr. Y décède le 13.01.2019 entouré de sa famille. Mr. Y est hospitalisé pour le changement d'un défibrillateur implanté en 2016 pour une cardiomyopathie dilatée et rajout d'une sonde ventriculaire gauche pour resynchronisation au vu d'une FEVG à 20 % dans un contexte d'une maladie tritronculaire le 31.01.2019. L'intervention se déroule sans complication. La radiographie post-opératoire confirme la bonne tenue de l'intervention. Nous ne changeons pas le traitement en place. Nous proposons un contrôle de la plaie dans 10 jours chez le médecin traitant et un contrôle du pacemaker à 4-6 semaines chez le Dr. X. Mr. Y peut rentrer à domicile le 01.02.2019. Mr. Y est un patient de 26 ans, connu de notre service pour un statut post-résection segmentaire grêle pour perforation d'un diverticule intestinal le 31.12.2018, hospitalisé jusqu'au 08.01.2019. Il se présente aux urgences le 10.01.2019 en raison d'un état fébrile. À l'examen clinique, nous objectivons un écoulement verdâtre de la cicatrice de laparotomie, autrement calme, avec un syndrome inflammatoire au laboratoire. Un scanner abdominal met en évidence une collection intra-abdominale, raison pour laquelle le patient bénéficie d'une laparotomie exploratrice en urgence le 11.01.2019. Celle-ci permet d'exclure une complication postopératoire, en particulier, pas de fistule entéro-vésicale. Le patient bénéficie d'une antibiothérapie empirique par Pipéracilline-Tazobactam jusqu'au 17.01.2019 et un relais par antibiothérapie par voie orale du 18.01.2019 au 25.01.2019. Il bénéficie aussi des changements de VAC itératifs du 11.01.2019 jusqu'au 22.01.2019. Sur le plan respiratoire, une embolie pulmonaire segmentaire et sous-segmentaire droite est décelée fortuitement lors du scanner du 11.01.2019. Une anticoagulation thérapeutique est instaurée dès le 11.01.2019 à continuer pendant 3 mois, puis en fonction du bilan hématologique (nous vous prions de l'organiser). Le patient rentre à domicile le 23.01.2019 avec un VAC épicutané. Nous reverrons Mr. Y le 28.01.2019 à 14h00 à notre consultation des chefs de clinique. Mr. Y est un patient de 74 ans, ayant bénéficié d'une pose de TAVI le 09.12.2018, qui présente une infection du site de ponction au niveau inguinal droit. Un ultrason met en évidence une collection, raison pour laquelle nous effectuons un drainage et la mise en place de pansement VAC avec des réfections itératives jusqu'au 11.01.2019, date de la fermeture cutanée. Sur le plan infectiologique, les examens de microbiologie mettent en évidence un staphylocoque aureus qui est traité par Co-Amoxicilline en intraveineux du 24.12.2018 au 28.12.2018, puis par Floxapen du 28.12.2018 jusqu'au 04.01.2019. Sur le plan internistique, Mr. Y présente des profils tensionnels élevés (systoles autour de 160-170) asymptomatiques. Dans ce contexte, un Thiazide est instauré durant l'hospitalisation et nous remplaçons le Sevikar par l'Atacand et Amlodipine. Le patient présente également une insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale qui est compensée par une hydratation en intraveineux.Suite à la bonne évolution du patient, il rentre à domicile le 12.01.2019 et sera revu à la consultation du Dr. X le 15.01.2019 pour le suivi de plaie. Mr. Y est un patient de 74 ans, hospitalisé pour un changement de VAC au bloc opératoire le lundi 21.01.2019. Les suites opératoires sont sans complication. Des frottis sont réalisés et reviennent négatifs. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile le 22.01.2019. Mr. Y, 26 ans, est hospitalisé en urgence le 31.12.2018 pour prise en charge chirurgicale d'une péritonite dans le cadre d'un diverticule intestinal perforé. En effet, il se présente le 31.12.2018 avec des douleurs abdominales diffuses et un état fébrile. Le scanner met en évidence un pneumopéritoine. La laparoscopie exploratrice montre une péritonite, raison pour laquelle une conversion en laparotomie est effectuée, mettant en évidence un diverticule intestinal perforé. Le patient bénéficie de deux résections segmentaires de grêle et d'une antibiothérapie intraveineuse dès le 30.12.2018 avec un relais per os dès le 07.01.2019. L'évolution postopératoire est favorable. Le patient rejoint son domicile le 08.01.2019. Il sera vu à la consultation des chefs de clinique le 24.01.2019 à 10h00 pour un contrôle postopératoire. Mr. Y, patient de 82 ans, connu pour une insuffisance rénale terminale, suivi en dialyse 3 fois par semaine, est hospitalisé en raison d'une asthénie avec syndrome inflammatoire d'origine indéterminée. Le patient rapporte une faiblesse ce matin au réveil, avec une péjoration de douleurs latéro-thoraciques gauches connues, péjorées à l'inspiration et à la toux sans état fébrile. Le bilan d'entrée montre un syndrome inflammatoire important avec leucocytose à 19.4 G/l et CRP à 204 mg/l. Un CT thoraco-abdominal ne montre pas de signe de foyer infectieux ni d'embolie pulmonaire, mais un épanchement péricardique et une progression des 2 masses au niveau du rein gauche. Les hémocultures sont négatives. Le syndrome inflammatoire est mis sur le compte d'une probable péricardite et de la progression tumorale. Sur le plan cardiaque, au vu de l'épanchement péricardique, un avis cardiologique est demandé avec ETT montrant une lame avec épaississement intra-péricardique en regard de la paroi libre du ventricule droit composé de deux couches d'échogénicité différentes. Après avis radiologique (Dr. X), les images pourraient correspondre à une péricardite carcinomateuse. Sur avis néphrologique, un traitement par Aspirine 1 g 2 fois par jour est introduit pour 7 jours avec disparition des douleurs thoraciques. Nous proposons de poursuivre l'Aspirine 1 g 2 fois par jour jusqu'au 18.01.2019, puis en schéma dégressif. Un rendez-vous de contrôle est organisé pour le 12.02.2019 à 14h30 à l'HFR Fribourg chez le Dr. X pour un contrôle échocardiographique. Au niveau rénal, on note une progression des 2 masses au niveau du rein gauche fortement suspectes d'une évolution oncologique. Un bilan par CT et scintigraphie osseuse ne met pas en évidence de métastase. Le patient sera présenté au Tumorboard urologique et sera reconvoqué pour parler d'un potentiel traitement ou complément d'investigation. Au niveau respiratoire, le patient développe une toux, sans état fébrile ni auscultation pathologique. Nous retenons une bronchite et introduisons du fluimicil et du demotussol à poursuivre jusqu'au 18.01.2019. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile le 15.01.2019 avec des soins à domicile déjà en place. Mr. Y, patient de 84 ans connu pour un antécédent d'AVC ischémique occipital gauche en 2017 avec hémianopsie homonyme latérale droite séquellaire, est amené aux urgences par sa fille en raison de vertiges avec un manque du mot d'apparition brutale. Aux urgences, est mise en évidence une hémianopsie homonyme latérale droite connue et une hypoesthésie de l'hémicorps droit, une ataxie bilatérale, ainsi qu'une aphasie non fluente avec troubles de la compréhension. Le CT-scan cérébral met en évidence un AVC ischémique sylvien gauche en cours de constitution. L'IRM confirme une lésion ischémique aiguë du territoire sylvien superficiel postérieur gauche. Sur le plan étiologique, l'ECG initial met en évidence une fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire normocarde. L'échocardiographie transthoracique ne montre pas de source emboligène. Nous retenons une étiologie cardio-embolique au vu de cette FA nouvelle et introduisons un traitement de Xarelto 20 mg selon le protocole ELAN à prendre à long terme. Sur le plan métabolique, le traitement d'Atorvastatine 40 mg par jour est poursuivi. Nous vous proposons de suivre le bilan lipidique à distance avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 2.6 mmol/l). Un bilan neuropsychologique montre d'importants troubles neurocognitifs suite à l'AVC avec une apraxie idéomotrice et idéatoire importante, ainsi que des troubles exécutifs. MMS à 25/30, BREF à 11/18. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est favorable sur le plan sensitif avec disparition des troubles sensitifs décrits initialement. Persistance d'une hémianopsie homonyme latérale droite. Agraphesthésie et trouble de la proprioception du membre supérieur droit, stéréognosie conservée. Mr. Y est transféré le 23.01.2019 en gériatrie aiguë de l'hôpital de Meyriez, avant de pouvoir être transféré en neuroréhabilitation. Mr. Y présente une fracture comminutive du tiers moyen de la clavicule droite déplacée. Il est clairement informé sur les différentes modalités de traitements. Étant donné le déplacement ainsi que la menace à la peau, on pose l'indication pour une ostéosynthèse de cette fracture par plaque et vis. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord oral et signé pour cette intervention fixée au 24.01.2019. Mr. Y, votre patient de 68 ans, connu pour un adénocarcinome du corps pancréatique diagnostiqué en novembre 2018, est hospitalisé par son oncologue traitant le Dr. X pour une baisse de l'état général avec inappétence et incapacité de s'alimenter à domicile. Il avait déjà été hospitalisé du 11 au 13.12.2018 dans le même contexte. À son admission, le patient est à J8 d'un premier cycle de chimiothérapie par Folfirinox débuté le 10.12.2018. Nous diagnostiquons une agranulocytose fébrile à probable point de départ digestif avec bactériémie à Pseudomonas qui évolue favorablement sous antibiothérapie. D'un point de vue oncologique, l'attitude est également initialement maximaliste avec poursuite des chimiothérapies. Malheureusement, l'état général de Mr. Y se dégrade et il présente plusieurs complications lors de chaque cycle (agranulocytose fébrile, dysarthrie et cholécystite qui évoluent favorablement), justifiant l'arrêt des chimiothérapies. L'adénocarcinome pancréatique reste localisé avec une infiltration importante de la vascularisation mésentérique. Les dernières imageries font suspecter une progression locale avec infiltration de la paroi duodénale et gastrique. A noter qu'en cas d'évolution favorable, le Dr. X reste à disposition pour reprendre les chimiothérapies selon la volonté du patient. Mr. Y présente une symptomatologie digestive invalidante avec des vomissements et des douleurs abdominales difficilement gérables, à tel point qu'il souffre d'une dénutrition sévère. Une prise en charge maximaliste est initialement entreprise avec de multiples tentatives de pose de sonde nasogastrique, puis nasojéjunales, toutes infructueuses. Les vomissements ne répondent pas aux thérapies médicamenteuses. Nous changeons d'attitude en concluant à un iléus sur infiltration tumorale. Après discussion avec le Dr. X, nous décidons de ne pas débuter de nutrition parentérale au vu de l'évolution défavorable et du pronostic sombre. Dans ce cadre, une PEG de décharge est réalisée avec une prolongation jéjunale qui permettrait de nourrir le patient en cas de rétablissement du transit. De multiples antalgiques sont testés avec finalement une bonne réponse à la morphine intraveineuse continue.Sur le plan socio-relationnel, le patient est bien entouré de sa famille avec laquelle nous avons eu plusieurs colloques médicaux d'information concernant l'état général et l'évolution de la maladie du patient. Au vu de la présente pathologie, de concert avec la famille et l'oncologue traitant, le patient choisit un séjour en soins palliatifs et d'arrêter pour l'instant le traitement chimiothérapeutique. Le patient est transféré ce vendredi 25.01.2019 à la villa Saint-François pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est un patient de 39 ans, en bonne santé habituelle, qui consulte les urgences le 02.01.2019 en raison de douleurs abdominales de l'hémi-abdomen inférieur, progressant depuis 2 jours, avec deux épisodes de nausées et vomissements la veille. Les examens cliniques et radiologiques mettent en évidence une appendicite perforée et l'indication d'opération est posée. L'intervention se déroule sans complication le 03.01.2019. Au vu de la perforation, nous préconisons une antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl intraveineux qui sera remplacée par du Pipéracilline/Tazobactam en raison d'épisodes fébriles. Par la suite, le patient évolue favorablement sur le plan clinique et biologique, permettant un retour à domicile le 08.01.2019. Nous lui laissons le soin de prendre contact avec son médecin traitant pour l'ablation des fils à 12 jours post-opératoire. Mr. Y sera convoqué par le Dr. X. L'ergothérapie est aussi organisée en ambulatoire. Mr. Y est un patient de 87 ans, connu pour un statut après laparotomie exploratrice, résection antérieure basse et colostomie terminale en fosse iliaque gauche le 15.11.2018 dans un contexte d'adénocarcinome, qui nous est adressé depuis le service de chirurgie pour une réadaptation gériatrique. Le cas sera présenté au tumor board. Sur le plan social, Mr. Y vit avec son épouse et marche avec un déambulateur. Le couple n'a pas d'aide à domicile. Le projet est un retour à domicile. À son arrivée dans notre service, Mr. Y est stable, orienté dans les 3 modes, normocarde, normotendu et afébrile. Le statut d'entrée est sans particularité. Le bilan vitaminique fait à l'étage met en évidence un déficit sévère en vitamine D, qui est substitué. Nous vous laissons le soin de recontrôler ces valeurs à distance. Sur le plan médicamenteux, une adaptation du traitement antidiabétique est mise en place avec reprise des médicaments antidiabétiques oraux. Un traitement par insuline mixte est introduit le 24.12.2018 avec une bonne stabilisation des glycémies. Pendant l'hospitalisation, Mr. Y se plaint de vertiges au lever (connus depuis longtemps); nous effectuons donc un test de Schellong qui revient négatif. Le patient présente un risque de chute, avec des chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque de chutes sont mentionnés dans les diagnostics. Par rapport au cancer, le cas est discuté au tumor board. Nous prenons contact avec l'oncologue, Dr. X, qui propose une chimiothérapie. Nous effectuons un bilan pré-chimiothérapie avec un CT thoraco-abdominal le 21.12.2018 qui ne montre pas de métastase. Pour mieux caractériser les lésions hypodenses spléniques, d'origine probablement kystique, nous organisons une IRM le 27.12.2018 qui confirme ces lésions. Nous rencontrons la famille du patient avec l'oncologue le 27.12.2018 et il est décidé qu'une chimiothérapie n'est pas indiquée actuellement, au vu de l'état général et des effets secondaires. Mr. Y sera convoqué en ambulatoire. Sur le plan cognitif les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMS à 22/30 et un test de la montre à 3/7. Durant son séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche accompagné et à l'aide d'un déambulateur est de 280 mètres. Le patient peut gravir 27 marches avec accompagnement. Il nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 79/126 par rapport à 70/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 21.8 secondes. Le risque de chute est intermédiaire. Le bilan nutritionnel constate une malnutrition protéino-énergétique légère, en lien avec une incapacité à consommer suffisamment d'énergie, et démontrée par des ingestas couvrant 50-75% de ses besoins énergétiques depuis 1 semaine et un NRS à 3/7. Pendant l'hospitalisation, nous mettons en évidence une amélioration de la malnutrition protéino-énergétique, passée de modérée à légère. Avec enrichissements et supplémentation nutritive orale, le patient peut couvrir 100% de ses besoins théoriques. Au niveau ergothérapeutique, le patient bénéficie des activités debout et sur la motricité fine ainsi qu'une évaluation cognitive. L'ergothérapie est aussi organisée en ambulatoire. Suite à une bonne évolution clinique, Mr. Y quitte notre service le 11.01.2019 pour un retour à son domicile. Dès sa sortie, il bénéficiera de soins à domicile 3x/j. Mr. Y, patient de 50 ans, est admis aux soins intensifs le 07.01.2019 en post-coronarographie effectuée pour un angor instable. Le patient est connu pour une cardiopathie coronarienne tritronculaire avec une dernière coronarographie en juillet 2018 pour un angor instable avec dilatation/stenting de l'artère circonflexe et de l'artère coronaire droite. Il se présente aux urgences dans la nuit du 06.01 au 07.01.2019 pour des douleurs thoraciques dans un contexte d'angor crescendo depuis 7 jours. Le bilan biologique et électrocardiographique effectué aux urgences retient un diagnostic d'angor instable. La coronarographie retrouve une thrombose aiguë du stent actif de l'ACD proximale. Après aspiration de plusieurs caillots et une dilatation de l'ACD moyenne, le flux est normal. Les stents plus distaux ne montrent pas de re-sténoses. Juste avant le stent au niveau de l'IVA proximale, on note une lésion intermédiaire (50%). La fonction systolique du VG est normale (le territoire de l'ACD reçoit une perfusion par des collatérales de l'IVA). Le traitement par Aspirine est poursuivi avec arrêt du Prasugrel mais introduction de Ticagrelor sans dose de charge pour une durée de 12 mois. Le reste du traitement est inchangé. La surveillance hémodynamique et rythmique pendant 24h aux soins intensifs est sans particularité. Le patient rentre à domicile le 08.01.2018 avec un contrôle clinique prévu dans 1 semaine auprès de son cardiologue traitant. Mr. Y, patient de 72 ans, est admis aux soins intensifs pour un STEMI inférieur le 31.12.2018. Il se présente aux urgences le 31.12.2018 en raison d'un angor crescendo depuis le 24.12.2018 avec désormais des douleurs persistantes. L'ECG montre des signes de STEMI dans le territoire inférieur. La coronarographie montre une maladie coronarienne monotronculaire avec comme corrélat pour le STEMI inférieur une occlusion aiguë de la coronaire droite distale qui est recanalisée avec mise en place d'un stent actif. À la ventriculographie, on observe une légère dysfonction ventriculaire gauche avec une akinésie postéro-basale et une FEVG à 40%.La surveillance rythmique et hémodynamique aux soins intensifs est sans particularité. Le pic de CK est à 276 UI. Un bilan lipidique est sans particularité et l'hémoglobine glyquée est à 5.6%. Un traitement de statine, IEC et bêta-bloquant est introduit avec une bonne tolérance clinique. La double anti-agrégation plaquettaire sera à poursuivre pour 12 mois (Aspirine à vie et Efient 12 mois). Une échocardiographie transthoracique de contrôle sera à effectuer avant la sortie de l'hôpital. La modalité d'une éventuelle réadaptation cardio-vasculaire (ambulatoire ou stationnaire) reste à définir. Mr. Y, patient de 72 ans, est admis aux soins intensifs pour un STEMI inférieur le 31.12.2018. Le patient se présente aux urgences le 31.12.2018 pour des douleurs thoraciques dans un contexte d'angor crescendo depuis le 24.12.2018. L'ECG montre des signes de STEMI dans le territoire inférieur. La coronarographie montre une maladie coronarienne monotronculaire avec comme corrélat pour le STEMI inférieur une occlusion aiguë de la coronaire droite distale qui est recanalisée avec mise en place d'un stent actif. À la ventriculographie, on observe une légère dysfonction ventriculaire gauche avec une akinésie postéro-basale et une FEVG à 40%. La surveillance rythmique et hémodynamique aux soins intensifs est sans particularité. Le pic de CK est à 276 UI. Un bilan lipidique est sans particularité et l'hémoglobine glyquée est à 5.6%. Un traitement de statine, IEC et bêta-bloquant est introduit. La double anti-agrégation plaquettaire est à poursuivre pour 12 mois (Aspirine à vie et Efient 12 mois). Suite à une bonne évolution tant clinique que biologique, le patient est transféré à l'étage de médecine interne, où il affiche une TA à 105/65 mmHg, une FC à 54 bpm, une SpO2 à 97% et une T° à 36.4. Le statut est dans les normes. Un ultrason cardiaque met en évidence une hypokinésie inférieure minime avec une FEVG à 52%, sans thrombus intra-ventriculaire. Les traitements introduits post-STEMI sont bien tolérés et les stades de mobilisation de physiothérapie se font avec aisance, sans récidives de douleurs thoraciques ni désaturations. Le patient rentre à domicile le 04.01.2019 et il sera convoqué pour une réadaptation cardiovasculaire à Billens en ambulatoire. Mr. Y, 60 ans, est hospitalisé pour une psychose d'origine indéterminée. Comme antécédent psychiatrique, un Burnout au travail il y a 3 ans avec bonne récupération. Hormis cet épisode, le patient est en bonne santé habituelle et ne montre aucun traitement. Mr. Y dit avoir vécu au Costa Rica pendant 12 ans, est revenu en Suisse il y a 7 ans. Est allé 2 semaines au Brésil pour trouver son fils en novembre, sinon n'a pas fait d'autre voyage en 2018. Pour rappel, le patient présente l'apparition d'un état confusionnel d'apparition brutale depuis environ 15 jours avec 2 événements ayant motivé une consultation aux urgences les 01.12 et 12.12.2018. Une IRM/EEG et PL furent recommandés suite à la consultation du 01.12.2018. Le 12.12.2018, le patient est amené par la police, appelé par Mr. Y dans un nouvel épisode de confusion. Il est retrouvé sur la voie publique à Villars-sur-Glâne, expliquant qu'il tentait de se rendre à l'IRM ambulatoire prévu à Givisiez. À l'entrée, Mr. Y dit avoir des hallucinations visuelles (a vu sa mère décédée) et auditives (positives et négatives, parfois d'ordre sexuels, la voix lui dit de toucher les fesses des femmes), hallucinations qu'il dit avoir de manière intermittente depuis qu'il est revenu du Costa Rica mais jamais aussi fortes que depuis 15 jours. Il présente également un sentiment de dépersonnalisation et de déréalisation intermittent. Il explique une forte indigestion suite au repas le 01.01.2018 avec ses collègues de travail, après avoir mangé du gibier. Ces derniers auraient également été malades. Le patient évoque l'hypothèse d'un empoisonnement. L'IRM cérébrale réalisée revient sans particularité. La ponction lombaire montre une protéinorachie. Les collègues neurologues évoquent une pathologie psychiatrique au vu de l'anamnèse qui rapporte des hallucinations visuelles et auditives depuis plusieurs années de manière intermittente. Sur le plan social, Mr. Y vit dans un grand domaine avec sa femme, a des animaux (chevaux, chiens, chats). A 2 enfants adoptés. Il travaille comme fontainier, source de stress très important. Le patient fugue de l'hôpital le 14.12.2018 et est ramené par la police. Vu l'impossibilité de garantir un cadre sécuritaire dans notre institution avec le risque de fugue, nous décidons de transférer le patient par PAFA à la clinique psychiatrique de Marsens. Mr. Y est un patient de 72 ans, connu pour une cholécystite aiguë lithiasique le 25.11.2018 et ayant bénéficié d'un drainage percutané transhépatique vésiculaire. Il bénéficie d'une cholécystectomie laparoscopique le 25.01.2019. L'intervention se déroule sans complication. L'évolution post-opératoire biologique et clinique est favorable et permet un retour à domicile le 28.01.2019. Les fils seront enlevés à J12 chez le médecin traitant. L'anticoagulation thérapeutique est reprise dès J3 par Clexane, nous réintroduisons le Sintrom à la sortie du patient, nous laissons le soin au médecin traitant d'effectuer un contrôle de l'INR et de stopper le bridging par Clexane quand cela sera possible. Mr. Y présente une bursite olécrânienne chronique. L'indication pour une bursectomie et mise à plat de l'épine olécrânienne est posée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et bénéfices liés à celle-ci. Il me donne son accord, le consentement est signé. L'intervention est prévue pour le 28 janvier 2019, en ambulatoire. Mr. Y, 68 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance neurologique après suspicion d'état de mal épileptique, nécessitant une sédation et une intubation. Le patient, connu pour un AVC hémorragique avec lésions séquellaires occipitale droite et cérébelleuse gauche en 1999, a présenté une crise tonico-clonique traitée par benzodiazépines. En raison d'un état confusionnel hyperactif, il a été intubé aux urgences et a bénéficié d'un CT-scan cérébral, ne montrant pas d'AVC ischémique ou hémorragique. Il est chargé en Keppra. L'évolution neurologique est favorable avec réveil et extubation. L'EEG ne retrouve pas de foyer franc et le Keppra est poursuivi. Un taux est à prévoir à une semaine et un EEG à 3 semaines. L'interdiction de conduire a été signifiée au patient en présence de sa famille. La radiographie thoracique montre des infiltrats multiples, possiblement sur broncho-aspiration, raison pour laquelle une antibiothérapie par Co-Amoxicilline est débutée puis arrêtée face à l'absence de symptômes. Cette dernière sera à reprendre en cas de péjoration respiratoire ou infectieuse. Le patient est connu pour une cirrhose, actuellement CHILD A qui est suivie à Berne. Une acidose métabolique hyperchlorémique est mise en évidence. Le diagnostic est soit une réanimation volémique au NaCl 0.9% ou sur son insuffisance rénale chronique. Pour cette raison, nous vous déconseillons le NaCl 0.9% et nous introduisons du Nephrotrans. La gazométrie est à contrôler. Le patient est transféré en médecine pour la suite de prise en charge. Mr. Y est un patient de 40 ans, connu pour un cavernome occipital droit depuis 2014, symptomatique, qui bénéficie le 11.01.2019 d'une crâniotomie occipitale avec exérèse de la lésion. L'intervention se déroule sans complication. En post-opératoire, il séjourne 1 jour aux soins intensifs où les contrôles sont sans particularité, puis il est hospitalisé à l'étage.Au vu de céphalées post-opératoires importantes, un CT cérébral est réalisé démontrant l'apparition d'une collection épidurale en regard du site de craniotomie sans saignement intra-parenchymateux. Suite à l'avis du Dr. X, un traitement de Dexaméthasone pour une durée de 3 jours est introduit. Par la suite, le patient présente une amélioration clinique, permettant un retour à domicile le 17.01.2019. Le patient sera revu le 26.02.2019 à 11h30 à la consultation du Dr. X en ville. Mr. Y, 40 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance neurologique après exérèse d'un cavernome occipital droit par craniotomie. Le patient est connu pour un cavernome occipital droit depuis 2014, sous Lévétiracétam pour une épilepsie secondaire et ayant été hospitalisé en octobre 2018 pour une hémorragie intraparenchymateuse au pourtour du cavernome. Une indication opératoire est posée et le patient bénéficie d'une exérèse complète du cavernome en électif le 11.01.2019. L'intervention se passe sans complication. L'examen neurologique post-opératoire met en évidence une quadranopsie inférieure latérale gauche qui est connue et un nystagmus multidirectionnel présent uniquement au regard latéral extrême. La tension artérielle dépassant la valeur systolique cible de 140 mmHg en post-opératoire, un traitement transitoire par Labétalol a été nécessaire. L'évolution est favorable et le patient est transféré dans le service de chirurgie le 12.01.2019. Mr. Y, connu pour des douleurs chroniques lombaires avec s/p cure d'hernie discale L3-L4 droite le 12.05.2011, est amené en ambulance en raison d'une acutisation des douleurs post chute de sa hauteur suite à une glissade. Suite à la glissade, le patient effectue un mouvement de rotation du dos et se heurte le genou droit contre une baignoire. Depuis, il présente une douleur irradiante sur la face latérale de la cuisse et du genou. A noter que Mr. Y possède un traitement antalgique de réserve au domicile (MST, Diclofenac et Tramadol) qui n'a pas été pris de manière optimale au vu d'une appréhension de sa part. Le bilan radiologique effectué permet d'exclure une fracture. Les douleurs s'atténuent et reviennent au seuil habituel après adaptation de l'antalgie avec introduction de Diclofenac et MST d'office en plus du traitement antalgique habituel par Paracétamol. Les séances de physiothérapie ont aussi un effet bénéfique et seront poursuivies au domicile. Un retour à domicile est organisé le 09.01.19. Mr. Y est un patient de 56 ans, connu pour une hémochromatose, qui consulte les urgences en raison d'hématochézie le 04.01.2019 suite à une colonoscopie de dépistage par le Dr. X, avec excision de polype. Le patient est repris en colonoscopie pour un clipping hémostatique. L'intervention se déroule sans complication. L'évolution est favorable avec un arrêt des saignements dès le 05.01.2019. Le laboratoire sanguin montre une hémoglobine à 110 g/l le 07.01.2019. Au vu de l'évolution clinico-biologique favorable, nous laissons le patient rentrer à domicile le 07.01.2019. Un rendez-vous pour un contrôle biologique est à prévoir en début de semaine prochaine chez son médecin traitant. Mr. Y, 55 ans, a été admis aux soins intensifs pour un coma d'origine toxique probable. Le patient a été retrouvé inconscient dans sa voiture arrêtée au bord de la route sans événement témoigné. Il a été intubé à son transfert aux urgences en raison d'un score de Glasgow à 7. Le scanner cérébral et la ponction lombaire étaient sans particularité. L'analyse toxicologique urinaire a identifié des traces d'amphétamines, de cocaïne et de cannabis. A l'arrêt de la sédation, un contact franc est établi sans déficit neurologique ni mouvements anormaux, ce qui a permis une extubation avec une évolution favorable. L'étiologie de l'état comateux est probablement d'origine toxique avec une possible consommation de stupéfiants que le patient nie toutefois, en évoquant une potentielle administration à son insu. Le consultant psychiatre ne retrouve pas de pathologie psychiatrique ni d'éventuel facteur déclenchant. Durant le séjour aux soins intensifs, le patient mentionne un état récurrent de détresse psychologique en lien avec des douleurs chroniques de la jambe gauche (traumatisme avec section partielle du muscle tibial antérieur en avril 2017). Un traitement antalgique ambulatoire par duloxétine avait été interrompu en raison d'effets secondaires. Les douleurs actuelles ayant un caractère partiellement neurogène, un traitement d'épreuve de prégabaline a été débuté à doses progressives, avec instruction des possibles effets secondaires et proposition d'adapter ce traitement lors d'une prochaine visite à votre consultation ou chez le Dr. X. Une prise en charge antalgique multimodale pourrait être considérée en tenant compte de l'efficacité des thérapies antérieures. Le patient est rentré à domicile le 21.01.2019. Mr. Y, âgé de 68 ans, connu pour une BPCO stade II selon Gold et un syndrome d'obésité/hypoventilation traité par BiPAP depuis 6 ans, nous est adressé par son médecin traitant pour une réadaptation respiratoire dans un contexte de déconditionnement physique et pulmonaire. Les vaccins sont à jour. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est à la retraite, ancien cuisinier. A l'admission, le patient se plaint d'un manque de force généralisée et de douleurs lombaires invalidantes avec irradiation dans le MID qui limitent énormément la mobilité. La marche est limitée à quelques mètres et les déplacements se font en grande majorité en voiture. En général, il rapporte une dyspnée stade III selon NYHA sans toux ni expectoration. Le sevrage tabagique est maintenu depuis 5 mois. Une prise de poids importante est rapportée ces derniers mois, notamment depuis l'arrêt du tabac. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec un syndrome mixte et parle pour un diagnostic de BPCO stade II selon Gold. La gazométrie d'entrée à l'air ambiant montre une saturation à 86% avec une pO2 à 6.8 kPa, sans hypercapnie, raison pour laquelle nous maintenons l'oxygénothérapie à 1.5 lt/min aux lunettes. La gazométrie effectuée sous 1.5 lt/min d'O2 montre une pO2 adéquate, sans hypercapnie. L'oxymétrie nocturne, réalisée en 2ème partie d'hospitalisation, sous BiPAP (19/10) + 3 lt/min d'O2 montre une SpO2 moyenne à 91.5% avec un index de désaturation à 3.2/heure ce qui confirme que les réglages de la BiPAP sont optimaux. La radiographie du thorax met en évidence une accentuation du diamètre antéro-postérieur de la cage thoracique associée à un aplatissement des coupoles diaphragmatiques, un épaississement bronchique péri-hilaire diffus bilatéral dans le contexte de la BPCO connue. Durant son séjour, il a présenté des douleurs lombaires chroniques avec sciatalgie D qui invalident la mobilisation malgré une antalgie importante. Nous organisons un scanner de la colonne lombaire à l'HFR Riaz à la sortie et proposons que le patient soit convoqué par le centre de la douleur de l'HFR Fribourg pour une prise en charge. Sur le plan nutritionnel, le patient a bénéficié d'un suivi nutritionnel. En raison du cadre alimentaire imposé et de l'augmentation de l'activité physique, Mr. Y a perdu 7 kg durant son séjour. Il a participé aux conférences sur l'alimentation équilibrée, les matières grasses et la nutrition et les maladies respiratoires. Ses objectifs pour le retour à domicile sont de diminuer la consommation de beurre et de crème, ainsi que l'alcool. Il reprendra un suivi diététique ambulatoire.Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 110 m à 285 m et le patient augmente la distance parcourue sur le vélo pendant 20 minutes de 1.40 km à 2.65 km. A la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 26.01.2019, en bon état général. Mr. Y devrait bénéficier d'un séjour annuel en réadaptation pulmonaire stationnaire. Mr. Y a été transféré en gériatrie aiguë le 08.01.2019 en raison de douleurs aiguës abdominales de type tension, colique de la région épigastrique. En raison de ses antécédents chirurgicales abdominales, nous organisons une US de l'abdomen. Au status, nous retrouvons une sensibilité au creux épigastrique sans défense ni détente. Les bruits intestinaux sont dans la norme. Le reste de l'examen est superposable à celui de la précédente hospitalisation. Mr. Y vit dans une maison avec sa femme. Il a 4 marches devant la maison, 15 marches dans la maison, une pièce au RDC aménagée pour y dormir. Avant son hospitalisation, il était indépendant au niveau des AIVQ et des AVQ. A l'évaluation d'entrée fonctionnelle, les transferts sont réalisés de façon indépendante, la marche est réalisée sous supervision. Le périmètre est restreint par l'essoufflement déjà connu du patient à 50 ans. Il parvient à monter 9 marches sous guidance. Le patient bénéficie d'une ergo- et physiothérapie intensive. A la sortie, le patient réalise les transferts avec une autonomie réduite. La marche et la montée de marches sont réalisées sous supervision. Son périmètre de marche est de 100 mètres et il parvient à gravir 18 marches. En fin de séjour, la mobilité est légèrement réduite avec un risque de chute légèrement augmenté. Nous réalisons une imagerie par sonographie abdominale qui montre une sténose des voies biliaires extrahépatique associée à une lésion ancienne du pôle supérieur rénal droit. Il n'y a pas de syndrome inflammatoire associé. Les tests hépatiques et les paramètres de cholestase sont dans la norme. L'hétéro-anamnèse renseigne sur des douleurs épigastriques depuis un an. Les douleurs sont maîtrisées par l'introduction de Primperan en réserve. Nous concluons donc à un probable reflux gastro-oesophagien comme origine des symptômes. Sur le plan cardiaque, de l'Eliquis avait été introduit le 19.12.2018 avec une dose adaptée au poids, à l'âge et à la fonction rénale du patient, dans le cadre d'un fibrilo-flutter avec score CHA2-DS2-VASc Score à 3 points. Nous vous laissons le soin de réévaluer la poursuite de l'Eliquis lors de votre prochaine consultation. En raison d'une apparition d'oedèmes des membres inférieurs, nous majorons le Torem à 15 mg durant 5 jours, les bandes de contention sont maintenues. Une fois son poids sec obtenu (66.5 kg), nous reprenons son dosage habituel. Nous vous laissons vous référer à la précédente lettre pour les problèmes 1, 2, 4, 5). Mr. Y sort le 17.01.2019 pour se rendre en séjour de cure dans le canton de Berne à Gunten avant un retour à domicile. Mr. Y est un patient de 52 ans connu pour une hypercholestérolémie traitée et un status post appendicectomie, qui est hospitalisé en électif pour une cholécystectomie laparoscopique suite à la mise en évidence d'une cholécystolithiase en novembre 2018. Le patient bénéficie de l'intervention susmentionnée le 25.01.2019. L'intervention se déroule sans complication et l'évolution est par la suite favorable. Mr. Y rentre à domicile le 27.01.2019. Mr. Y, patient de 77 ans, connu pour BPCO stade IV sous O2 nocturne (0.5 l/min) suivi par Dr. X. Il est hospitalisé dans notre service suite à une exacerbation de BPCO. Il présente une péjoration de sa dyspnée actuellement au moindre effort depuis plusieurs semaines. A noter 3 épisodes de décompensation depuis 09.2018 ayant nécessité une antibiothérapie et corticothérapie. Nous instaurons un traitement antibiotique par Tazobactam, une corticothérapie et un traitement bronchodilatateur. L'évolution est favorable permettant un sevrage progressif du traitement bronchodilatateurs et de l'oxygénothérapie. Nous retenons l'indication à une réadaptation pulmonaire que le patient refuse. Dans ce contexte, au vu de l'évolution favorable, le patient rentre à domicile avec une physiothérapie de reconditionnement générale en ambulatoire. Mr. Y, 76 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance après des crises d'épilepsie partielles simples récidivantes sous forme d'aphasie, dans un contexte d'arrêt du traitement antiépileptique. Le patient aurait présenté un épisode d'aphasie vers 22:30 ayant duré environ 2 minutes, raison pour laquelle il a été conduit aux urgences, où il a présenté un nouvel épisode avec la même durée. Il aurait présenté un épisode similaire le 13.01.2019. Il est sous traitement antiépileptique, qu'il n'aurait pas pris ces derniers jours pour une raison inconnue. A son arrivée aux soins intensifs, le patient est conscient, orienté et l'examen neurologique est normal. Un traitement par Keppra est mis en place après avis neurologique. L'EEG effectué le 17.01.2019 est normal. Dr. X préconise un traitement par Keppra 500 mg 3 fois par jour avec un contrôle en consultation dans un mois. Devant l'absence de récidive de crise d'épilepsie, le patient est transféré en médecine le 17.01.2019. Mr. Y, 76 ans, est hospitalisé le 16.01.2019 pour des crises épileptiques partielles avec aphasie, absence de contact et agitation psycho-motrice. Après une évolution initiale favorable, il est réadmis aux soins intensifs le 18.01.2019 pour une récidive de crise, suivi d'un état confusionnel aigu. L'origine des crises d'épilepsie partielles simples est un status post AVC en 2014, avec comme facteur déclenchant identifié un arrêt du traitement antiépileptique. Un contrôle anti-épileptique peut être obtenu par une quadrithérapie (Clobazam, Lamotrigin, Phenytoin et Gabapentin), bien tolérée. A noter que le Keppra a été arrêté en raison de l'état confusionnel et que les doses d'Urbanyl ont déjà été réduites. Nous proposons un contrôle des taux le 25.03.2019 et prions les collègues d'organiser un contrôle en neurologie pour mardi 29.01. Les référents sont Dr. X, neurologue traitant, et Dr. Y, neurologue ayant suivi la situation en cours de séjour. Dès la récidive de crise le 18.01.2019, le patient présente un état confusionnel avec désorientation spatio-temporelle et phases itératives hétéro-agressives, sans éléments cliniques pour récidive comitiale ni déficit focal objectivé. A l'origine de l'état confusionnel, nous supposons un effet indésirable du Keppra, en plus de l'épilepsie et le contexte d'hospitalisation sur fond de troubles cognitifs. Le patient étant à risque accru de chutes, il a nécessité une contention par ceinture nocturne et l'administration occasionnelle de Lorazépam. Pour les symptômes délirants et les inversions nycthémérales, nous avons débuté un traitement par Quétiapine. L'évolution est favorable, avec nette amélioration de l'état et de l'orientation. Un bilan cognitif à distance de l'épisode aigu sera à discuter selon l'évolution ultérieure. Mr. Y est admis pour l'intervention susmentionnée. Les suites opératoires sont simples et sans complication. Le pansement est refait à J1. Le site de reconstruction est calme sans signe de surinfection ni saignement. Une antibioprophylaxie par Co-Amoxicilline 1 g est introduite pour une durée de 7 jours. Au vu de l'évolution clinique favorable, il peut retourner à domicile.Mr. Levy, votre patient de 76 ans, connu pour un adénocarcinome de la queue du pancréas métastatique, est adressé par son oncologue (Dr. X de la clinique Bois Cerf, Lausanne), en raison de l'apparition d'un état fébrile à 38.2 avec frissons généralisés, survenu deux heures après sa cure de chimiothérapie par FOLFOX. L'anamnèse systématique relève une légère toux chronique stable, des troubles de la sensibilité de la face latérale de la jambe droite et des douleurs abdominales sur constipation ces derniers jours, mais non présentes à l'hospitalisation. A l'examen clinique, on note des discrets crépitants basaux droits et une hypoesthésie de la face latérale de la jambe droite et du coup du pied droit. Les analyses infectiologiques initiales sont en faveur d'un processus infectieux d'origine peu claire, avec : au laboratoire, des perturbations des enzymes hépatiques, une cholestase biologique et une discrète majoration du syndrome inflammatoire, à la radiographie du thorax initiale, une suspicion de foyer débutant aux deux bases. Le patient est mis au bénéfice d'une antibiothérapie à large spectre par Pipéracilline-Tazobactam pendant 3 jours. Au vu de la suspicion d'une origine digestive, nous optons pour une antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl en attendant les résultats de l'hémoculture pour adaptation. Après 5 jours d'hémoculture négative, nous poursuivons donc l'antibiothérapie avec de la Ciproxine et du Flagyl pour une durée totale de 7 jours. Par ailleurs, une ultrasonographie abdominale est réalisée et met en évidence une dilatation des voies biliaires intra-hépatiques et une vésicule biliaire de taille supérieure à la norme. Au niveau cardiaque, le patient présente une fibrillation auriculaire à réponse rapide qui nécessite une majoration du traitement par bêta bloquant, avec normalisation de la fréquence cardiaque. D'un point de vue oncologique, la pompe de 5-FU a été ôtée dès le premier jour au vu de la fièvre. Le patient sera convoqué par son oncologue traitant dans le plus bref délai pour la suite de la prise en charge. Le patient sort ce 12.01.2019 dans un état général conservé et retourne à domicile, avec suivi habituel par vos soins. Mr. Liaudat, en bonne santé habituelle, ingère une gorgée d'antigel Glysantin G-40 dilué dans l'eau d'une bouteille plastique le soir du 24.01.2019 vers 20 heures. Il confond cette bouteille avec la bouteille contenant son thé froid. Il réalise rapidement son erreur puis appelle le ToxInfo Suisse au 145 qui lui conseille de boire immédiatement deux gorgées de whisky puis de venir aux urgences. À l'admission, le patient se plaint d'une sensation d'ivresse accompagnée de nausées et de quelques fourmillements dans le bras gauche. Il est orienté, bradycarde à 50/min, hypertendu borderline à 150/100 mmHg, avec une saturation en oxygène à l'air ambiant à 98 %. La coloration de la peau est sans particularités. L'auscultation cardiaque est dans la norme avec une action cardiaque régulière, normocarde et des B1B2 bien frappés, sans souffle surajouté. Pas d'œdème des membres inférieurs. L'auscultation pulmonaire est dans la norme. Au statut digestif, les bruits abdominaux sont sans particularité, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Au niveau neurologique, les nerfs crâniens sont sans particularité. Pas de déficit sensitivomoteur. Nous suivons l'avis du ToxInfo Suisse qui propose de débuter un protocole d'éthanol 96 % en iv continu avec une dose de charge de 1 ml/kg en 30 minutes (correspondant à 82 ml sur 30 minutes), suivi d'une dose d'entretien entre 0.085 à 0.17 ml/kg/h (nous administrons une dose de 8.2 ml/h). Un monitoring de 12 heures minimum est également indiqué. Durant la surveillance aux urgences, le patient se plaint d'une sensation de brûlures veineuses sur administration d'éthanol. Il présente également une majoration des nausées avec deux épisodes de vomissements pour lesquels un traitement d'Ondansétron est administré. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, ni de leucocytose, ni d'atteinte hépatique. L'alcoolémie iatrogène est à 1,12 pour mille. Le taux d'éthylène glycol 4 heures après l'ingestion est à 118 mg/l, ce qui nous permet d'arrêter la perfusion d'éthanol. Le patient bénéficie ensuite d'une hydratation en NaCl 0.9 %. L'évolution est favorable, le patient n'a plus de plainte et s'endort. Le 25.01.2019 en fin de matinée, Mr. Liaudat est bien éveillé et le statut clinique est rassurant ; nous l'encourageons à bien s'hydrater et à mettre des étiquettes sur les produits contenant des toxiques afin d'éviter une récidive, puis nous autorisons son retour à domicile, accompagné par un proche. Mr. Locatelli, connu pour des pneumonies à répétitions avec un dernier épisode fin décembre 2018 ainsi qu'un éthylisme chronique sevré, vivant actuellement au Torry, est hospitalisé pour baisse de l'état général avec douleurs xyphoïdiennes en péjoration depuis 1 mois sans état fébrile associé. L'ECG et deux trains de troponines excluent une cause ischémique des douleurs. Le laboratoire montre un important syndrome inflammatoire avec une éosinophilie sans piste clinique claire. Au vu d'une pneumonie récente, une origine infectieuse est suspectée, motivant l'introduction d'une antibiothérapie par Pipéracilline-Tazobactam. La culture d'urine et des hémocultures à froid reviennent stériles. Le CT thoracique ne montre pas d'infiltrat pulmonaire. Il met cependant en évidence une infiltration de la graisse de la paroi thoracique en avant des muscles pectoraux. Les infectiologiques ne retiennent pas d'étiologie infectieuse et l'antibiothérapie est arrêtée. Une myosite est suspectée, mais non retenue par les rhumatologues en absence de CK. La sérologie Bartonella et le Quantiféron reviennent négatifs. L'évolution des douleurs est spontanément favorable sous traitement anti-inflammatoire sans qu'une étiologie ne soit déterminée, permettant un sevrage progressif du traitement antalgique que nous vous laissons le soin de poursuivre. Sur le plan cutané, le patient décrit un prurit nocturne associé à une éruption cutanée. Le diagnostic de gale est posé et le patient bénéficie le 09.01.19 de la 1ère dose d'Ivermectine avec bonne évolution. Nous effectuons également des sérologies hépatites C et HIV qui reviennent négatives. Le patient est vacciné contre l'hépatite B. À noter également des lésions érythémateuses discoïdes au niveau du visage. Une dermatite séborrhéique est suspectée par nos dermatologues. En cas de l'absence de réponse au traitement topique, une biopsie devra être discutée notamment à la recherche d'un lupus. Sur le plan psychiatrique, le patient vit actuellement au foyer du Torry. Cependant, en raison d'une auto-médication abusive de Ventolin, le contrat thérapeutique initial est rompu et le patient ne peut pas y retourner d'emblée. Sur recommandation de sa psychiatre traitante, qui estime qu'un retour à domicile n'est pas possible actuellement en raison d'un trouble anxieux généralisé, le patient bénéficie d'un suivi par le psychiatre de liaison qui organise une hospitalisation de courte durée à Marsens avant un retour au Torry. Mr. Lopez, patient de 64 ans connu pour une cardiopathie mixte (ischémique et rythmique), est hospitalisé pour une duodénoscopie-colonoscopie ce jour. L'examen est prévu en vue d'une anémie normocytaire hypochrome hyporégénérative ferriprive décelée lors d'une hospitalisation en décembre 2018, en milieu hospitalier en vue de la cardiopathie.Les interventions endoscopiques mettent en évidence un polype atypique qui saigne légèrement au niveau duodénal. Une résection est effectuée dont l'analyse histologique est en cours. La colonoscopie met en évidence un polype au niveau du colon transverse qui est réséqué. Une nouvelle colonoscopie est à prévoir dans 5 ans. La reprise du traitement anticoagulant à évaluer selon avis cardiologique, un Holter est à prévoir en ambulatoire. Selon avis endocrinologique, un bilan thyroïdien est également à organiser avec TSH, anti-TPO, anti-TG en ambulatoire fin janvier et selon évaluer l'indication à un ultrason thyroïdien. Le suivi biologique confirme une stabilité au niveau de l'hémoglobine permettant un retour à domicile. Mr. Y se présente aux urgences le 01.01.2019 en raison d'une dyspnée en péjoration dans le contexte d'un état grippal durant depuis une semaine, après trois jours de traitement par Zithromax sans effet. Le bilan initial aux urgences révèle une exacerbation de BPCO sur infection virale, sans argument pour une (sur-)infection bactérienne. Un traitement d'exacerbation est introduit et le patient hospitalisé dans notre service de médecine interne. L'apparition d'expectorations jaunâtres le 04.01.2019, dont la culture révèle un H. influenzae, motive toutefois une antibiothérapie par levofloxacine dans un second temps, avec bonne évolution clinique. Le retour à domicile s'effectue le 14.01.2019. Mr. Y, un patient de 22 ans connu pour une drépanocytose avec plusieurs antécédents de crises vaso-occlusives, est hospitalisé pour prise en charge d'un nouvel épisode des suites d'un réveillon où il aurait consommé 4-5 unités d'alcool fort et serait resté assez longtemps au froid. Il se présente aux urgences en raison de céphalées occipito-frontales d'apparition progressive depuis deux jours. Le patient est hospitalisé en médecine pour poursuite de l'antalgie par morphine et hydratation IV, ainsi que pour une surveillance vu le contexte d'anévrismes connus. Le CT cérébral réalisé le 06.01.2018 rapporte une suspicion d'empyèmes frontaux des deux côtés, raison pour laquelle nous complétons le bilan par une IRM cérébrale le 07.01.2018 qui diagnostique la présence de hématomes épiduraux subaigus et un aspect inflammatoire diffus de la dure-mère. Nous interprétons ces images comme faisant suite à la crise vaso-occlusive, et gardons un infarctus osseux hémorragique ou des zones d'hématogenèse ectopique comme diagnostics différentiels. Les micro-anévrismes carotidiens sont stables. Il n'y a pas d'indication à un geste ou à une thérapie médicamenteuse. Un contrôle radiologique et une consultation de neurochirurgie sont organisés à 2 semaines pour voir l'évolution des lésions. L'évolution clinique et biologique est rapidement favorable et Mr. Y quitte l'HFR le 08.01.2018 avec une poursuite de l'antalgie en réserve. Mr. Y, patient de 77 ans, connu pour un diabète type II non-insulino-requérant, une hypertension artérielle traitée, une maladie coronarienne tritronculaire et une sténose sévère de la valve aortique, consulte le service des urgences le 15.01.2019 à la suite d'une chute à l'effort associée à des vertiges, sans perte de connaissance. Après réalisation anticipée de la coronarographie prévue le 16.01.2019, le patient est transféré au service de médecine pour la suite des investigations. Sur le plan cardiologique, la coronarographie permet l'angioplastie de la première diagonale et la mise en place d'un stent actif dans l'artère bissectrice. Un traitement d'Aspirine 100 mg à vie ainsi qu'un traitement de Plavix 75 mg pour 6 mois sont débutés. En raison de fréquences cardiaques sub-tachycardes, nous introduisons également du Metoprolol. Concernant la chute qui a conduit à l'hospitalisation précoce du patient, nous supposons une hypoperfusion cérébrale dans le cadre de la sténose aortique sévère. Cependant, le diagnostic différentiel d'une chute dans un contexte de déconditionnement global ne peut pas être exclu. Un angio-CT pré-TAVI est réalisé le 16.01.2019 et la décision quant à l'implantation d'une TAVI suivra. Sur le plan dermatologique, nous débutons un suivi par les diabétologues en raison de nombreuses petites plaies que présente le patient aux membres inférieurs. Une réhabilitation gériatrique à Riaz est prévue pour la suite. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR, en attente de sa réhabilitation, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement dès le 23.01.2019 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté notre service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y nous est adressé pour une réhabilitation cardiovasculaire suite à une réparation chirurgicale d'une dissection aortique de type A avec une réparation de la base de l'aorte, un remplacement par prothèse en Dacron de l'aorte ascendante et de la partie proximale de l'arc aortique et une réparation de la valve aortique le 15.12.2018. Le traitement à l'entrée comprend : Aspirine Cardio 100 mg, Xarelto 20 mg, Metoprolol 200 mg, Digoxine 0.125 mg, Lisinopril 5 mg, Atorvastatine 40 mg, Nexium 20 mg, Calcimagon D3 forte 1x/j, Spiricort 10 mg, Zytiga 1000 mg. Lors de son arrivée, le patient est en isolement de contact pour suspicion d'Enterobacter résistant à la Vancomycine. Le frottis rectal du 18.12.2018 revient négatif et l'isolement est levé le 31.12.2018. Au niveau tensionnel, nous ciblons une tension artérielle systolique inférieure à 120 mmHg. Nous décidons d'augmenter le traitement de Lisinopril de 2.5 mg au soir dès le 03.01.2019 en raison de tensions artérielles systoliques légèrement trop élevées. De plus, le patient bénéficie d'un traitement de Prednisone 5 mg administré 2 fois par jour que nous réduisons à une dose de 10 mg le matin. Pendant l'hospitalisation, la tension artérielle est restée dans la norme. Nous avons réalisé un profil tensionnel sur 24h le 15.01.2019 qui a montré un profil tensionnel correct pendant la journée avec une légère augmentation pendant la nuit. Au vu aussi d'une ETT à la sortie qui a montré un cœur encore très fatigué, nous avons ajouté un traitement avec Torasemide 5 mg 3x par semaine. Sur le plan rythmique, le traitement de Digoxine est arrêté le 27.12.2018 en raison du risque important d'effets indésirables. A l'électrocardiogramme de contrôle du 03.01.2019, nous observons un rythme irrégulier avec présence d'extrasystoles auriculaires justifiant la réalisation d'un Holter le 07.01.2019 qui objective un rythme de base sinusal avec une irritabilité supraventriculaire modérée (ESSV>15/h) sans caractère péjoratif et un épisode de rythme idioventriculaire non soutenu à 110 bpm (4 battements). Au sujet du réentraînement à l’effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité faible et il a pu progresser tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 20 minutes à une puissance de 25 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 280 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d’effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l’effort et à la récupération. Il est inclus dans les modules Remplacement /dissection aortique, les exercices sont sous contrôle TA évitant de dépasser une valeur =150 mmHg visant une TA systolique basale = 120 mmHg.Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 2.9 mmol/L, des HDL à 1.05 mmol/L, des LDL à 1.71 mmol/L, des triglycérides à 0.76 mmol/L. • Nous ciblons une pression artérielle systolique inférieure à 120 mmHg. Sous traitement, les valeurs restent dans la norme pendant le séjour. A l'examen clinique de sortie, status normo-compensation avec une pression artérielle de 124/76 mmHg avec une FC à 70 bpm. Mr. Y présente un status à 2 mois post-rupture partielle du tendon d'Achille. Vu qu'il a toujours réussi à marcher en charge complète, il s'agit, avec haute probabilité, d'une rupture partielle du tendon d'Achille. Je propose de continuer un traitement conservateur. Localement, il peut appliquer une pommade anti-inflammatoire. Je lui prescris de la physiothérapie à but antalgique, avec éventuellement ultrasons. En fonction des douleurs, il peut marcher en charge partielle à l'aide de cannes anglaises. Pas d'activité sportive pour le moment. Je le reverrai dans 6 semaines pour une réévaluation clinique. Pas d'arrêt de travail. Prochain rendez-vous : 27.02.2019. Mr. Y est un patient de 80 ans connu pour un hépatocarcinome multifocal sur cirrhose d'origine éthylique CHILD B. Il est hospitalisé en vue d'une thoracoscopie avec résection extra-anatomique au niveau du lobe inférieur gauche à visée diagnostique. L'intervention sus-mentionnée se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples, l'antalgie est suffisante. Le drain thoracique est retiré le 25.01.2019 avec un contrôle radiologique dans la norme. L'histologie montre une tumeur fibreuse maligne pulmonaire G nouvelle. Le cas a été discuté au Tumorboard du 13.02.19 avec une proposition de traitement oncologique adjuvant. Le patient sera convoqué par l'oncologie afin de discuter de la suite de la prise en charge. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile le 26.01.2019. Mr. Y présente des lombosciatalgies chroniques du côté gauche, d'origine indéterminée. Il présente également une coxarthrose bilatérale à prédominance gauche qui pourrait expliquer une partie des douleurs. Afin de mieux comprendre, je propose de compléter le bilan par une IRM de la colonne lombaire et des hanches. Je le reverrai après l'IRM pour discuter des résultats et du traitement. Poursuite de l'antalgie avec Ponstan 500 mg, jusqu'à 3x/j. 1 cp en réserve. Mr. Y présente donc une fracture de fatigue du col du fémur G qui explique actuellement une grande partie des symptômes. Il présente une colonne lombaire arthrosique pouvant expliquer des douleurs lombaires. Pour l'instant, je propose un traitement conservateur. Le patient se déplacera à l'aide de deux cannes anglaises en charge partielle du membre inférieur G de 15 kg maximum pour une durée de six semaines. Réévaluation radioclinique à ma consultation d'ici six semaines. Pour l'instant, nous ne prévoyons pas de traitement particulier pour le dos, à réévaluer une fois le fémur G consolidé et asymptomatique. En ce qui concerne le syndrome du tunnel carpien de la main G, étant donné qu'il se déplace à l'aide de deux cannes anglaises, on ne prévoit pour le moment pas d'intervention chirurgicale. Mr. Y, connu pour syndrome de dépendance à l'alcool, est amené aux urgences en ambulance le 01.01.2019 suite à une chute sur alcoolisation aiguë devant son domicile. Le patient avoue avoir bu 3 à 4 bières à l'apéritif du midi. Selon ses dires, il a fait un malaise sans prodrome devant chez lui et chute sans parvenir à se relever. Il affirme ne pas avoir trébuché. L'anamnèse n'est toutefois pas très claire concernant un traumatisme crânien et/ou une perte de connaissance. Il n'y a pas de notion de perte d'urine, de selle ou de morsure de langue. Une voisine le retrouve au sol et appelle l'ambulance. Sur le plan social, le patient habite seul et marche sans aide. Il dit qu'il ne tombe jamais et qu'il boit une bière par jour. Le patient dit avoir un curateur depuis aujourd'hui, car il a des problèmes administratifs. Selon les ambulanciers, sa maison est très sale, remplie de poubelles et de bouteilles d'alcool vides. A l'admission aux urgences, Mr. Y est en état général conservé. Il est normotendu à 117/88 mmHg, normocarde à 78/min, eupnéique à 20/min, afébrile à 36°C et sature à 94% à l'air ambiant. Le status neurologique est dans la norme. Au niveau cutané, notons deux plaies au niveau de la face dorsale de la main droite nécessitant 4 points de suture. Le laboratoire met en évidence une hyponatrémie à 131 mmol/l. Le reste des examens paracliniques (ECG et radiographie du thorax) sont sans particularité. Le test de Schellong revient dans la norme. Compte tenu de la situation sociale, de la chute avec possible notion de traumatisme crânien, ainsi que de la consommation d'alcool aiguë, le patient est hospitalisé pour surveillance neurologique qui se passe sans complication. Mr. Y reste asymptomatique, afébrile et hémodynamiquement stable. Le patient est évalué par Dr. X, psychiatre de liaison. Il évoque anamnestiquement une consommation d'un verre par jour et, depuis quelque temps, une diminution du travail de nettoyage à domicile. Au vu de la situation, Dr. X propose une hospitalisation en milieu psychiatrique pour des troubles alcooliques chroniques. Sur le plan biologique, la natrémie se corrige spontanément sous hydratation. Un spot urinaire, effectué le 03.01.2018, met en évidence une origine probablement prérénale sur déshydratation dans le contexte de consommation chronique d'alcool. Concernant les plaies à la main gauche, le contrôle à 48h ne montre pas de complication infectieuse. Les fils sont à retirer à J14 (14.01.2019). Au vu d'une évolution favorable sur le plan somatique, Mr. Y est transféré en mode volontaire au RFSM CSH Marsens le 04.01.2019. Mr. Y est hospitalisé dans un contexte d'état confusionnel aigu et une inversion du rythme nycthéméral. En effet, cela fait environ 2 mois que le médecin-traitant a constaté l'apparition de cet état après plusieurs essais de traitements non concluants. La situation à domicile avec l'épouse est devenue impossible, motivant une hospitalisation. Nous effectuons un bilan biologique ainsi que radiologique afin de trouver une composante aiguë à l'état du patient. Nous ne constatons pas d'anomalies de laboratoire, et l'imagerie cérébrale ne montre pas de lésions vasculaires ou d'autres anomalies. Nous demandons un avis neurologique et neuropsychologique qui propose d'effectuer un bilan complet de démence avec poursuite des investigations sanguines et une ponction lombaire. Au vu d'un état d'agitation important, nous effectuons la ponction sous sédation avec l'aide de l'équipe d'anesthésie. Les résultats préliminaires laissent penser à une démence de type Alzheimer. Il reste plusieurs résultats en attente qui seront communiqués au patient et à la famille lors d'une consultation à 3 mois au cabinet de Dr. X le 23.04.2018 à 10h00. Après discussion avec l'épouse et l'équipe de psychiatrie, une indication à une hospitalisation en psychogériatrie pour adaptation du traitement est préconisée. En effet, nous avons essayé plusieurs molécules afin de baisser l'agitation et la confusion sans succès. Le patient est actuellement sous traitement de Quétiapine avec réponse fluctuante avec besoin de contention physique par moment.Mr. Y est gêné par le matériel d'ostéosynthèse au niveau de sa malléole externe de sa cheville G. L'indication pour l'ablation de ce matériel est donnée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques/bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord oral et signé pour ce geste qui sera effectué le 11.02.2019. Mr. Y est hospitalisé électivement le 21.01.2019 pour pose de défibrillateur et pacemaker de resynchronisation, dans un contexte de cardiopathie ischémique dilatée avec fraction d'éjection du ventricule gauche estimée à 30% selon une IRM cardiaque de novembre 2018. Le geste se déroule sans complications. Le patient rentre à domicile le lendemain, muni de son traitement habituel. Mr. Y est un patient de 25 ans qui se présente aux Urgences avec un abcès para-anal. Nous effectuons une incision avec drainage au bloc opératoire le 17.01.2019. L'intervention se déroule sans particularité et les suites post-opératoires sont favorables et le patient peut retourner à domicile le 17.01.2019. Mr. Y présente quelques altérations de signal du cartilage du plateau tibial externe de son genou. Il présente également une probable ancienne déchirure de la corne antérieure du ménisque externe. Je propose dans un premier temps d'effectuer une infiltration à but diagnostique et thérapeutique. L'infiltration est prévue pour le 16.01.2019. Je revois le patient le 05.02.2019 pour évaluer l'effet de cette infiltration. Sur le long terme, il serait toutefois souhaitable de discuter la nécessité d'une éventuelle ostéotomie de correction de cet important flexum, suite à sa fracture du fémur distal. Mr. Y, patient de 77 ans, institutionnalisé au Foyer St-Camille, connu pour une hémiplégie droite traumatique et une hyperplasie bénigne de la prostate porteur d'un Cystofix, est hospitalisé pour une infection urinaire. Le patient présente une anurie et un état fébrile à 38.1°C sans frisson depuis ce jour. Nous retenons le diagnostic d'infection urinaire. Le Cystofix est changé aux urgences et le patient est hospitalisé pour antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine. L'Urotube montre une contamination avec flore mixte et nous proposons un retour au foyer avec de la Rocéphine intraveineuse 1x/j pour 7 jours. Le Home accepte ce traitement, puis refuse de reprendre le patient le lendemain au vu de cet antibiotique intraveineux et un relais per os avec Ciprofloxacine pour 10 jours au total est réalisé. Mr. Y peut rentrer dans son Home le 06.01.2019. Mr. Y est un patient de 59 ans, hospitalisé dans notre service de chirurgie pour prise en charge élective de deux hernies inguinales bilatérales. Il bénéficie de l'intervention susmentionnée le 25.01.2019. L'évolution post-opératoire est favorable permettant un retour à domicile le 26.01.2019. Mr. Y, patient de 59 ans, est hospitalisé pour une surveillance hémodynamique dans le contexte d'un STEMI subaigu. Le patient présente depuis 4 jours de douleur de type angor avec une irradiation dans le bras gauche avec une péjoration des douleurs lors d'une promenade ce jour. Le médecin traitant objective des modifications ECG évocatrices d'un syndrome coronarien aigu. Les enzymes cardiaques sont élevés. La coronarographie en urgence montre une occlusion de l'artère circonflèxe ostiale. Il bénéficie de la mise en place d'un stent actif avec un bon résultat final. Durant la surveillance rythmique, le patient a présenté un bref épisode de tachycardie ventriculaire non-soutenue. Dans l'attente d'une ETT, nous ne relevons aucun signe de décompensation cardiaque. Mr. Y, un patient de 59 ans, est hospitalisé pour prise en charge d'un STEMI subaigu. Pour rappel, le patient a présenté pendant 4 jours des douleurs de type angor irradiant dans le bras gauche avec une péjoration des douleurs lors d'une promenade le jour où il décide de consulter (31.12.2019). Le médecin traitant objective des modifications ECG évocatrices d'un syndrome coronarien aigu. Les enzymes cardiaques sont élevées. La coronarographie en urgence montre une occlusion de l'artère circonflèxe ostiale. Il bénéficie de la mise en place d'un stent actif avec un bon résultat final. Durant la surveillance rythmique, le patient a présenté un bref épisode de tachycardie ventriculaire non-soutenue. Un ETT montre un ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie modérée de la paroi latérale moyenne et de la paroi latéro-basale, ainsi qu'un débit cardiaque conservé, le patient ne présentant par ailleurs aucun signe d'insuffisance cardiaque. Le traitement de prophylaxie secondaire est introduit avec double anti-agrégation et statine, ainsi qu'un traitement par IEC et bêta-bloquant. Le patient présente une évolution rapidement favorable avec une bonne tolérance à la reprise progressive de l'effort et sans aucune récidive de douleur. Une réadaptation cardiaque stationnaire est décidée, que le patient commencera le 10.01.2019 à l'hôpital de Billens. Il sera revu par le Dr. X dans 3 semaines pour un contrôle cardiologique. Au vu de ce qui précède, le patient quitte notre hôpital le 08.01.2019. Mr. Y, 79 ans, a été admis pour une cardiomyopathie de stress avec obstruction dynamique et dysfonction ventriculaire gauche modérément sévère. Le patient est connu pour un adénocarcinome prostatique pour lequel il avait refusé une radiothérapie. Il était hospitalisé à l'HFR Tavel pour des fractures ostéoporotiques dorso-lombaires non déficitaires. Le 12.01.2019, il se plaint d'un angor associé à des troubles de la repolarisation modérés en inféro-latéral, un mouvement des enzymes cardiaques et une hypotension artérielle initialement réfractaire au remplissage. La coronarographie réalisée en urgence a mis en évidence une ballonisation apicale sans lésion coronaire significative et une altération modérément sévère de la fonction ventriculaire gauche (FE à 35%), évoquant une cardiopathie de stress (Tako-Tsubo). Le débit cardiaque, l'absence d'hyperlactatémie et une diurèse conservée parlent en défaveur d'un choc cardiogène. L'échocardiographie transthoracique ciblée a montré une obstruction dynamique partielle de la chambre de chasse du ventricule gauche, ayant pu contribuer à l'hypotension artérielle. Celle-ci s'est corrigée après administration répétée d'éphédrine et une correction volémique. Une échocardiographie transthoracique pour le suivi de la fonction cardiaque est à organiser. Une embolie pulmonaire a été écartée au scanner thoracique. Après une surveillance rythmique sans particularité, le patient a été transféré le 13.01.2019. Mr. Y, 79 ans, a été admis pour une cardiomyopathie de stress avec obstruction dynamique et dysfonction ventriculaire gauche modérément sévère. Le patient est connu pour un adénocarcinome prostatique pour lequel il avait refusé une radiothérapie. Il était hospitalisé à l'HFR Tavel pour des fractures ostéoporotiques dorso-lombaires non déficitaires pour lesquelles il refuse une vertebroplastie. Le 12.01.2019, il se plaint d'un angor associé à des troubles de la repolarisation modérés en inféro-latéral, un mouvement des enzymes cardiaques et une hypotension artérielle initialement réfractaire au remplissage. La coronarographie réalisée en urgence a mis en évidence une ballonisation apicale sans lésion coronaire significative et une altération modérément sévère de la fonction ventriculaire gauche (FE à 35%), évoquant une cardiopathie de stress (Tako-Tsubo). Le débit cardiaque, l'absence d'hyperlactatémie et une diurèse conservée parlent en défaveur d'un choc cardiogène. L'échocardiographie transthoracique ciblée a montré une obstruction dynamique partielle de la chambre de chasse du ventricule gauche, ayant pu contribuer à l'hypotension artérielle. Celle-ci s'est corrigée après administration répétée d'éphédrine et une correction volémique.Une embolie pulmonaire a été écartée au scanner thoracique. Après une surveillance rythmique sans particularité, le patient a été transféré le 13.01.2019 dans le service de médecine interne. Le réglage de l'antalgie et la surveillance du Tako-Tsubo se déroulent sans complication et une anticoagulation thérapeutique est instaurée en raison d'une FEVG abaissée. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, patient de 57 ans connu pour un tabagisme actif et une dyslipidémie non traitée, consulte aux urgences par ses propres moyens le 18.01.2019 en raison d'une faiblesse de l'hémicorps G d'apparition brutale ce jour à 5h30, avec réveil à 5h. En prenant sa voiture, le patient fait un accident avec choc frontal contre un bloc de béton, sans TC ni PC. Aux urgences, il est mis en évidence un hémisyndrome facio-brachial G avec dysarthrie et héminégligence G (NIHSS initial à 8/42). L'Angio-CT met en évidence une pénombre du territoire sylvien D superficiel et profond avec occlusion du segment M1 sur plaque calcifiée. Le patient est alors transféré à l'Inselspital sans thrombolyse intraveineuse vu l'AVC à début inconnu et présence de l'occlusion artérielle majeure précitée. Une thrombectomie mécanique est effectuée à Berne avec succès. L'IRM de contrôle post-intervention le 19.01.2019 révèle une sténose résiduelle du segment M1 de l'artère sylvienne G, non significative. Le patient est transféré en retour le 20.01.2019. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne montre pas de source embolique. Un Holter de 24h est posé durant l'hospitalisation, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. Un examen neurosonologique retrouve la persistance d'une sténose de l'artère cérébrale moyenne D à la jonction M1-M2, estimée à < 50 %. Nous retenons une athéromatose focale comme cause de l'AVC. Les lésions à l'IRM de suivi décrites au niveau occipital D et cérébelleux G sont mises sur le compte d'une embolisation per-thrombectomie. Nous proposons alors la poursuite de la double antiagrégation par Aspirine et Plavix pour 3 mois, puis Plavix au long cours. Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 80 mg/jour est introduit en raison d'une hypercholestérolémie. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Sur le plan pneumologique, nous vous invitons à rechercher une apnée du sommeil par polysomnographie à 3 mois de l'épisode aigu. Un bilan neuropsychologique se révèle dans la norme. La conduite de véhicule automobile est toutefois contre-indiquée pendant 15 jours post AVC. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est extrêmement favorable avec un status neurologique de sortie dans la norme. Mr. Y peut regagner son domicile le 23.01.2019, sans nécessité de thérapie en ambulatoire. Mr. Y, 16 ans, admis aux soins intensifs pour une péricardite récidivante dans le cadre d'un syndrome de Dressler suite à une opération de Ross. Il est connu pour une cardiopathie congénitale opérée en juillet 2018 (remplacement de la valve aortique par valve pulmonaire) qui s'est suivie d'un syndrome de Dressler récidivant avec deux épisodes de péricardite en août et en septembre 2018. Le traitement par Prednisone et Colchicine s'est terminé en décembre et le patient reconsulte pour épigastralgies, dyspnée au moindre effort et tachycardie. L'ECG montre un sus-décalage dans les territoires inférieurs et latéraux. Les troponines sont normales, éliminant une myocardite associée. Des hémocultures sont réalisées de manière répétée en raison d'un syndrome inflammatoire biologique et d'une hypothermie. L'ETO montre un minime épanchement péricardique localisé antérieur, postérieur et en regard du ventricule droit sans répercussion hémodynamique et un bon fonctionnement de la plastie aortique. Il y a un strand visible sans argument pour une végétation. Il persiste une minime insuffisance centrale déjà visualisée sur les examens précédents. Il n'y a pas d'argument en faveur d'une endocardite. L'échographie sera à recontrôler selon l'évolution clinique. Après avis cardiologique, les AINS sont arrêtés et un traitement par Colchicine est prescrit pour une durée totale de 6 mois. Une corticothérapie (Prednisone) est aussi mise en route pour 7 jours avec schéma dégressif. La douleur rétrosternale est totalement régressive et la surveillance rythmique se déroule sans particularité permettant un transfert en médecine interne le 16.01.2019. Consultation cardiologique de suivi chez Dr. X. Mr. Y présente une fracture sous-capitale de l'humérus gauche peu déplacée. Nous discutons les différentes possibilités de traitement. Les avantages et les désavantages des différents traitements sont expliqués au patient en détail. Nous nous décidons provisoirement pour une intervention chirurgicale, réduction ouverte et ostéosynthèse, pour pouvoir commencer une mobilisation précoce de l'épaule afin d'éviter une épaule gelée. Le patient aimerait quand même encore réfléchir jusqu'à demain s'il veut ou pas se faire opérer. Néanmoins, on a déjà fait le consentement éclairé qui a été signé par le patient. Une fois qu'il aura pris la décision de se faire opérer, il sera encore vu par nos collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Nous réservons une place opératoire pour le 28.1.2019. Mr. Y, connu pour une hypertension artérielle traitée, consulte les urgences le 28.12.2018 en raison de troubles du comportement avec incontinence urinaire et état fébrile à 39,2°, sans autre plainte relatée. À son arrivée, l'examen clinique se révèle sans particularité. Le laboratoire met en évidence un important syndrome inflammatoire et une déviation gauche. Au vu de la présence de leucocyturie et bactériurie, une infection urinaire compliquée est retenue avec introduction d'une antibiothérapie par Rocéphine 2g iv. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer infectieux. Le patient est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Sur le plan infectieux, 2 paires d'hémocultures ainsi que l'uroculture reviennent positives pour un E. Coli. Au vu d'une évolution clinique et biologique favorable, nous changeons l'antibiothérapie par Ciproxine 500 mg 2x/j orale dès le 02.01.2019. À noter un US des voies urinaires ne montrant pas de signe de complication, avec mise en évidence de kystes rénaux droits (Bosniak 2 F), pour lesquels un contrôle échocardiographique serait souhaitable à 3 mois. Un contrôle urologique est de même à prévoir dans les suites de l'infection urinaire, d'autant plus dans le contexte d'incontinence urinaire anamnestique. Sur le plan gastroentérologique, le patient relate durant son séjour une inappétence avec fatigue et inconfort abdominal. Au vu de douleurs à la palpation de l'hémi-abdomen droit, sans signe de Murphy et une perturbation des tests hépatiques avec cholestase, un US abdominal est réalisé le 04.01.2019. Ce dernier montre une cholédocholithiase en voie de passage avec présence de multiples calculs dans la vésicule biliaire. Après avis du chirurgien de garde, Dr. X, nous prenons contact avec la garde de gastroentérologie de l'HFR Fribourg, avec ERCP prévue le 10.01.2019. Finalement, en raison d'un manque de disponibilité à Fribourg, le geste est réalisé le 11.01.2019 par Dr. X au HIB de Payerne. Ce dernier montre l'absence de cholédocholithiase, témoignant d'un passage de calcul, avec multiples calculs restants dans la vésicule biliaire. Une papillotomie prophylactique est réalisée et un régime pauvre en graisse est introduit. L'évolution clinique et biologique est favorable, avec diminution progressive des paramètres hépatiques et arrêt de l'antibiothérapie par Ciproxine le 14.01.2019. Une consultation est prévue le 28.01.2018 avec Dr. X afin de discuter d'une cholécystectomie élective. Dans l'intervalle, un suivi clinique et biologique est indiqué à votre consultation.Sur le plan cardiaque, nous constatons à l'entrée des oedèmes des membres inférieurs sur probable insuffisance cardiaque et hypoalbuminémie, traités de manière transitoire par traitement diurétique, avec bonne évolution clinique. Nous réintroduisons à la sortie un traitement par Torasemide 5 mg, à réévaluer selon évolution clinique. Sur le plan électrolytique, nous substituons une hypokaliémie à 3,0 mmol/l sur manque d'apports oraux et prise de diurétiques. La kaliémie se normalise durant le séjour et la substitution est arrêtée avant la sortie. À la demande du patient, des soins à domicile sont mis en place 1x/j pour aide à la toilette et l'habillage avec contrôle de santé 1x/semaine. Mr. Y peut regagner son domicile 15.01.2019. Mr. Y est hospitalisé dans un contexte d'état fébrile évoluant depuis 3 jours. Le patient est dialysé 3x/semaine depuis février 2017 pour une insuffisance rénale terminale d'origine multifactorielle (néphropathie diabétique, néphrite interstitielle chronique, dilatation pyélo-calicielle). Il est porteur d'une sonde double J à droite pour un reflux vésico-urétéral bilatéral (grade IV à G, grade I à D) et néphro-urétéro-pyélonéphrite bilatérale chronique avec status post TURP en 2011 (pour hypertrophie prostatique obstructive) puis résection d'une sténose du col pour obstruction récidivante en mai 2015. Il dit produire environ 600 ml d'urine/j. Il présente un état fébrile avec syndrome inflammatoire en péjoration, mis en évidence lors de la séance de dialyse le 30.12.2018. Un traitement antibiotique par Cefepime et Vancomycine a été administré en dialyse et une hospitalisation proposée mais refusée par le patient. Suite à une chute au domicile dans la nuit du 30 au 31.12, le patient est adressé aux urgences. Notion d'état fébrile et un épisode de frisson solennel au domicile. Nous diagnostiquons un urosepsis à E. Faecalis et M. Morganii, une obstruction nouvelle des voies urinaires est exclue (Uro-CT 01.01.19), après avis de l'infectiologue et du néphrologue traitant, une antibiothérapie par Pipéracilline - Tazobac est débutée. Un changement de la sonde double J sous antibiothérapie IV est initialement agencé par l'urologue traitant le 08.01.19, mais Mr. Y décide de ne pas poursuivre le séjour hospitalier plus longtemps et refuse le changement de sonde double J. Selon proposition des néphrologues, l'antibiothérapie par Pipéracilline - Tazobac est switchée pour un traitement par Cefepime et Vancomycine qui sera donné les jours de dialyse (prochaine dialyse le 09.01.18). Le patient accepte d'être convoqué en électif pour un changement de sonde double J le 11.09.19. Le patient sera hospitalisé la veille de l'intervention pour un contrôle de l'INR et la consultation anesthésique. Une antibiothérapie per os pourra être initiée suite au changement de sonde, pour le choix de l'antibiothérapie et la durée, un avis devra être demandé auprès des infectiologues et des néphrologues. À noter une décompensation du diabète dans le contexte infectieux 31.12.19. Le traitement insulinique n'a pas pu être adapté au mieux au vu du départ précipité du patient. Mr. Y est un patient de 83 ans, connu pour une insuffisance rénale terminale et dialysé, qui a été hospitalisé le 30.12.2018 pour un urosepsis chez un patient porteur d'une sonde vésicale à demeure et d'une sonde double J à droite pour une maladie de reflux. Le patient bénéficie d'une antibiothérapie adaptée sur avis infectiologique et rentre à domicile après une évolution clinique et biologique satisfaisante. Il est hospitalisé le 10.01.2019 dans le service de chirurgie pour un changement de la sonde double J qui est réalisé le 11.01.2019. Les suites opératoires se compliquent par une macro-hématurie nécessitant la mise en place d'une sonde vésicale trois voies et le maintien en suspens du Marcoumar. Le 14.01.2019, le patient rentre à domicile avec des urines claires, la sonde trois voies sera changée en ambulatoire en discussion entre le service de néphrologie et l'urologue, pour ne pas provoquer de nouvel hématurie. Mr. Y est un patient de 65 ans qui a été hospitalisé du 13 au 20.12.2018 pour les investigations d'une hémorragie digestive haute. Suite à ces investigations, la suspicion d'un GIST est évoquée et la décision d'une gastrectomie partielle par laparoscopie est prise. L'intervention a lieu le 28.12.2018. Les suites opératoires sont marquées par un syndrome inflammatoire élevé motivant une recherche de foyer pulmonaire/urinaire. Une radiographie du thorax le 31.12.2018 montre un probable foyer rétrocardiaque, raison pour laquelle un traitement antibiotique par Rocéphine/Flagyl est introduit du 31.12.2018 au 04.01.2019. À noter que les cultures d'urine sont négatives. L'évolution étant favorable, Mr. Y rentre à domicile le 04.01.2019. Mr. Y est hospitalisé au HIB Payerne le 10.01.2019 pour une décompensation diabétique de type II. Le lendemain, il est retrouvé en arrêt cardiaque dans sa chambre avec un premier rythme, une activité électrique sans pouls. Une réanimation cardiopulmonaire est débutée avec une reprise de circulation au bout de 8 minutes, le temps total d'absence de circulation dépassant probablement les 20 minutes. À l'origine de l'arrêt cardiaque, avec un bloc de branche gauche nouveau, on découvre une coronaropathie tritronculaire étendue avec une lésion subaiguë de la marginale, dilatée par ballon. On note en plus au CT cérébral une lésion ischémique constituée dans le territoire de l'artère cérébrale moyenne gauche avec possible transformation hémorragique. L'évolution sera malheureusement défavorable, avec dès le départ des signes cliniques d'une encéphalopathie anoxique sévère (abolition de tous les réflexes du tronc hormis la présence d'un trigger inspiratoire). Au vu de cette situation neurologique dépassée avec des signes de souffrance cérébrale majeurs, un passage en soins de confort est décidé. Le patient décède entouré de sa famille qui a fait part de la volonté présumée du patient de ne pas souhaiter donner ses organes. Une autopsie n'est pas en cours. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à un quadruple pontage associé à un remplacement valvulaire aortique par bioprothèse le 16.11.2018. Le traitement à l'entrée comprend : Aspirine Cardio 100 mg, Beloc Zok 12,5 mg, Atorvastatine 40 mg (à remplacer par Inegy 10/40 à la sortie de l'hôpital), Torasémide 5 mg, Calcium D3 500/440, Supradyn Energy 1x/j, Ranitidine 150 mg, Tamsulosine 0,4 mg, Dafalgan 1 g en R max 3x/j, Movicol sachet en R max 2x/j, Temesta en R max 1x/j.Sur le plan cardiaque, le patient présente une tachycardie à 110 battements par minute justifiant l'augmentation de son traitement de Beloc Zok de 12,5 mg le soir le 10.12.2018 avec évolution favorable. Par ailleurs, nous décidons d'arrêter le Torasémide 5 mg le 05.12.2018 au vu de la résolution des œdèmes des membres inférieurs à l'examen clinique. Sur le plan nutritionnel, un bilan nutritionnel est réalisé par nos diététiciennes qui montre une couverture de ses besoins protéino-énergétiques. Le poids du patient reste stable durant toute l'hospitalisation malgré un appétit en augmentation et la réalisation d'exercice physique. Dans ce contexte, une possible malabsorption est évoquée. Nous laissons le soin à son médecin traitant de réévaluer la possibilité d'un tel diagnostic à distance de la chirurgie. Sur le plan hématologique, le patient présente une anémie normocytaire hypochrome avec un nadir à 100 g/L le 17.12.2018. Nous réalisons une injection de Ferinject 500 mg en dose unique le 19.12.2018 avec un contrôle de l'hémoglobine le 21.12.2018 qui est à 105 g/L. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité faible et il a pu progresser jusqu'à un groupe d'intensité modérée. À la fin de la prise en charge, il est capable de marcher pendant une durée de 45 minutes sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Il peut aussi faire du tapis roulant à une vitesse de 3 km/h pendant 25 minutes. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue de 50 mètres avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan de la correction des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 2,7 mmol/L, des HDL à 1,39 mmol/L, des LDL à 1,07 mmol/L, des triglycérides à 0,79 mmol/L. • Tabagisme sevré depuis 2 ans. • Sous traitement, la fréquence cardiaque et la tension artérielle du patient sont dans la norme. Mr. Y est un patient de 56 ans, qui est hospitalisé dans notre service dans le cadre d'une probable décharge bactérienne post-opacification colique le 09.01.2019. Le patient est connu et suivi régulièrement pour une fuite anastomotique colorectale post-résection antérieure basse avec iléostomie de protection en août 2018. Il est actuellement sous chimiothérapie adjuvante (Folfox) suivi par le Dr. X. Le 09.01.2019, il présente un état fébrile avec frissons et malaise. Un scanner abdomino-pelvien ne montre pas de collection nouvelle ou d'abcès. Il bénéficie d'une antibiothérapie intraveineuse par Pipéracilline/Tazobactam du 09.01.2019 au 15.01.2019 avec un relais per os jusqu'au 23.01.2019. Mr. Y rejoint son domicile le 15.01.2019 et sera vu à la consultation du Dr. X le 18.01.2019 afin de planifier la prochaine chimiothérapie. Mr. Y, connu notamment pour un carcinome non à petites cellules bronchique du lobe supérieur droit classé pT2b pN0 (0/17) L0 V1 Pn0, G2 R0 diagnostiqué en février 2018 avec statut post-segmentectomie uni-portale du segment II à droite avec curage ganglionnaire médiastinal radical à l'Inselspital de Berne le 14.05.2018, pour un carcinome urothélial de la vessie classé pT4 pN0 (0/20) L1 V0 pN0 R0 diagnostiqué en mai 2018 avec statut post-cystectomie totale et confection d'une vessie selon Bricker et avec proposition de traitement par chimiothérapie refusé par le patient et pour un adénocarcinome prostatique pT2c pN0 (0/20) L0 V0 pN0 R0k, Gleason score 3+3=6 diagnostiqué en septembre 2018, consulte les urgences le 01.01.2019 en raison d'une péjoration clinique depuis 3 jours, malgré l'introduction d'une antibiothérapie. En effet, le patient rapporte une péjoration de sa dyspnée, accompagnée d'une toux avec des expectorations blanchâtres. Il vous consulte le 31.12.2018 et vous administrez une dose unique de Rocéphine 1 g iv avec relais par Clarithromycine per os. Mr. Y se plaint également d'une inappétence et d'insomnies depuis 2 jours. Pas d'autre plainte ni douleur. À l'admission aux urgences, le patient est hypotendu à 102/80 mmHg, tachycarde à 130 battements par minute et sature à 94% avec deux litres d'oxygène aux lunettes. Il est apyrétique à 36,7°C. Au status cardiaque, l'auscultation est difficile au vu des bruits transmis. Nous notons la présence d'œdèmes des membres inférieurs prenant le godet et remontant jusqu'en haut des mollets. Les pouls périphériques sont tous palpables. Au niveau respiratoire, tachypnée à 28 par minute avec présence de signes de détresse respiratoire notamment tirage intercostal important. À l'auscultation, spasticité importante. L'examen abdominal et l'examen urogénital sont normaux. L'examen neurologique est dans la norme. L'ECG est très difficilement interprétable au vu des artéfacts respiratoires. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 202 mg/l sans leucocytose, le reste du laboratoire est aligné. La gazométrie artérielle montre une alcalose respiratoire avec un pH à 7,51 accompagnée d'une légère hypoxie à 8,8 kPa sans rétention de CO2. Les lactates sont dans la norme. La radiographie thoracique montre une silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Nodule calcifié en projection du hile pulmonaire droit. Nous concluons à un sepsis dans le contexte d'une décompensation de BPCO sur probable pneumonie depuis 3 jours. Aux urgences, le patient bénéficie d'aérosols d'Atrovent et de Pulmicort 0,5 mg ainsi que d'une oxygénothérapie à 4 litres/minute. Mr. Y est hospitalisé et nous introduisons une double antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv 1x/jour du 01 au 03.01.2019 et Klacid 500 mg per 2x/jour du 01 au 02.01.2019. Le Klacid est arrêté au vu de la négativité des antigènes urinaires. Le 04.01.2019 nous passons à une antibiothérapie per os par co-amoxicilline 1 g 2x/jour, poursuivie jusqu'au 06.01.2019. Au vu de la clinique, avec un patient épuisé ne parvenant pas à faire ses aérosols, tachypnéique et très spastiques avec des signes de tirage intercostal importants, nous débutons une corticothérapie le 02.01.2019 d'abord par une dose de Solumédrol 125 mg iv puis par Prednisone 40 mg 1x/jour du 03 au 07.01.2019. Pendant l'hospitalisation, le patient bénéficie de physiothérapie respiratoire. L'évolution clinique est progressivement favorable. Nous lui proposons une réhabilitation respiratoire à l'HFR Billens, ce qu'il accepte dans un premier temps. Toutefois, au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y souhaite regagner son domicile le 09.01.2019. Nous vous proposons d'organiser une réhabilitation respiratoire à l'HFR Billens si vous le jugez nécessaire. Mr. Y présente un statut après entorse bénigne du genou G avec un statut clinique ce jour absolument rassurant. Je ne propose donc aucun traitement particulier. Le patient me recontactera si nécessaire. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Mr. Y est admis pour l'intervention susmentionnée. Les suites opératoires sont simples et sans complication. L'ablation des mèches est faite à J1. Au vu de l'évolution clinique favorable, il peut retourner à domicile le 26.01.2019. Mr. Y est hospitalisé en vue d'une néphrectomie droite partielle en raison d'une lésion rénale à droite dont la taille était en augmentation lors des contrôles radiologiques. L'intervention mentionnée est réalisée le 18.01.19. Les suites opératoires sont marquées par une insuffisance respiratoire globale nécessitant une surveillance aux Soins intensifs avec des séances de ventilation non-invasive. Les gazométries de contrôle étant en amélioration, le patient est transféré à l'étage de Chirurgie le 20.01.19.Sur le plan respiratoire, Mr. Y, déjà connu pour un syndrome restrictif, une lésion du nerf phrénique gauche et un statut post-lobectomie du lobe supérieur gauche, présente une persistance d'une hypoxémie peu symptomatique. Nous retenons une surcharge hydro-sodée, mettons en place un traitement par diurétiques et VNI avec une évolution par la suite favorable. Sur le plan chirurgical, l'évolution est favorable avec des douleurs contrôlées par une antalgie simple. Le Jackson-Pratt est retiré le 23.01.19. Les résultats des biopsies seront à pister afin de déterminer la nature de la tumeur (rénale primaire ou secondaire). Un traitement antibiotique est mis en place en raison d'une augmentation des paramètres inflammatoires et à garder pendant 5 jours. Un rendez-vous de contrôle pour discussion des résultats est prévu à la consultation du Dr. X. Mr. Y est un patient de 53 ans, hospitalisé pour un état confusionnel aigu sur une encéphalopathie hépatique et un globe vésical. Pour rappel, le patient est adressé au service des urgences par les infirmières des soins à domicile en raison de propos confus. Au service des urgences, un CT cérébral permet d'identifier une hémorragie cérébrale. Un globe vésical à 2L est mis en évidence à l'US abdominal avec une résolution rapide de l'état confusionnel après évacuation du globe vésical. À noter la persistance d'un ralentissement psychomoteur laissant suspecter une encéphalopathie hépatique pour laquelle nous adaptons le traitement laxatif permettant une évolution favorable de la symptomatologie. Un EEG permet d'exclure une crise d'épilepsie dans un possible contexte de sevrage chez un patient connu pour un éthylisme chronique actuellement sevré. À noter un ralentissement global du cortex, compatible avec l'encéphalopathie hépatique. Nous observons une cinétique décroissante de l'ammoniémie et une clinique en amélioration, permettant un transfert en médecine interne à l'HFR Tavel pour la suite de la prise en charge, le patient étant bien connu du service. Sur le plan urologique, Mr. Y bénéficie d'une sonde vésicale à demeure depuis le 03.01.2019. Il gère cette sonde de manière indépendante. Il doit normalement être revu en consultation par le Dr. X le lundi 28.01.2019 afin de déterminer la suite de la prise en charge et l'introduction de Pradif. Sur le plan gastro-entérologique, un bilan étendu a déjà été effectué. Il est suivi à l'Inselspital Bern, avec une consultation prévue le 31.01.2019. Il y sera discuté d'une éventuelle greffe hépatique, qui reste encore hypothétique au vu de la consommation d'alcool du patient, qui dit être sobre depuis octobre 2018. Le patient présente une dénutrition modérée à sévère pour laquelle nous vous laissons le soin de mettre en place un suivi diététique. Mr. Y est transféré à l'HFR Tavel pour la suite de la prise en charge de son encéphalopathie hépatique, le 25.01.2019. Mr. Y, 53 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un état de mal épileptique dans un contexte d'encéphalopathie hépatique sur cirrhose Child C d'origine alcoolique. Il est hospitalisé à Tavel depuis le 28.12.2018 pour des troubles de la marche avec une ataxie. Le patient serait abstinent depuis octobre 2018. Son séjour se complique de deux crises convulsives généralisées avec une phase post-critique prolongée avec troubles de la conscience, attribuée au plus probable à un sevrage éthylique avec un diagnostic différentiel d'encéphalopathie hépatique. Il est dans ce contexte intubé et sédaté par Clonazépam et Propofol avec une extubation dans les 24 heures. Un traitement par Lévétiracétam est débuté et sera à maintenir pour 1 semaine avec diminution progressive sur 1 semaine (soit 2 semaines de traitement). Le CT cérébral réalisé en urgence est normal. Un EEG est réalisé le 07.01.2018 sans foyer irritatif. Dans le cadre de cette probable crise sur sevrage alcoolique, et chez un patient dont un bilan hépatique à Bern est prochainement prévu, nous conseillons de réaliser une CDT afin d'évaluer au mieux le réel sevrage de ce patient dans la mesure où une consommation active pourrait modifier la prise en charge à l'Inselspital. Le patient est transféré à Tavel le 07.01.2018 pour suite de prise en charge. Mr. Y prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle dans une semaine et suite de la prise en charge. Mr. Y nous est adressé par le service de réadaptation de l'HFR Meyriez pour une baisse de l'état général d'origine multifactorielle. Pour rappel, ce patient de 80 ans était initialement hospitalisé à Marsens du 19.11. au 08.12.2018 pour un tentamen suicidaire par arme blanche. Au cours de son hospitalisation, il a fait une chute qui a occasionné une fracture périprothétique de la hanche droite, opérée le 14.12.2018 à l'HFR Fribourg. Puis, le 20.12.2019, Mr. Y a été transféré à Meyriez pour une réhabilitation mais celle-ci a été interrompue par une baisse de l'état général avec entre autres un INR instable, une immobilité prolongée, des signes de décompensation cardiaque et l'incapacité du patient à assurer la charge partielle; d'où son transfert en gériatrie aiguë le 24.12.2019. À l'anamnèse d'entrée, le patient mentionne des douleurs au niveau de la cicatrice de la hanche droite rapidement calmées par une prise d'Oxynorm et la position assise. Au status d'entrée, Mr. Y est en fauteuil, en état général réduit, les paramètres vitaux sont dans les normes. À l'auscultation cardio-pulmonaire, on retrouvait des râles crépitants aux deux bases pulmonaires avec des œdèmes des membres inférieurs. Le patient est porteur d'une sonde urinaire au vu de son immobilité dont le retrait peut être discuté dès le début de la mobilisation. Le patient habite au foyer Gruyérien dans un appartement protégé (au 3e étage avec ascenseur). Il est veuf et a deux filles qui ne s'entendent pas. Avant sa chute, le patient marchait sans aide auxiliaire. Mr. Y, étant porteur d'une valve mitrale mécanique, est anticoagulé par Sintrom dont les doses sont adaptées en fonction de l'INR avec un bridging par Clexane jusqu'à l'atteinte des valeurs cibles. Nous vous laissons le soin de suivre ces valeurs et d'adapter le Sintrom en conséquence. Devant une légère décompensation cardiaque globale, les doses de diurétiques sont majorées jusqu'à atteindre une dose de 20 mg/j du Torasemid. Nous vous proposons de surveiller le poids (poids cible estimé à 79 kg). Les laboratoires de contrôle révèlent une insuffisance rénale chronique stade 3b ainsi qu'une anémie normochrome normocytaire stable. Un manque en acide folique est substitué. Concernant la réhabilitation précoce, à l'entrée, les transferts sont effectués avec l'aide d'une à deux personnes (FIM1), et la marche avec l'arjo n'est possible que sur 1 à 2 mètres (FIM1). Actuellement, les transferts nécessitent toujours l'aide d'une tierce personne (FIM2), et la mobilisation avec l'arjo et une aide importante par les thérapeutes permettent la marche sur une distance allant jusqu'à un maximum de 15 m (FIM2). Le Tinetti passe de 2 à 4/28. Devant une faible amélioration des scores, et l'incapacité du patient à charger partiellement, une mobilité avec uniquement des transferts lit-fauteuil est décidée après discussion avec l'orthopédiste. Nous optons donc pour une réévaluation psychiatrique du patient en attendant une nouvelle réadaptation après fin de la charge partielle. Le consilium psychiatrique par Dr. X le 14.01.2019 conclut à une ré-hospitalisation du patient à Marsens (après accord du patient et de sa famille) devant un syndrome anxio-dépressif dans le cadre d'un épisode dépressif moyen sans actuelle idéation suicidaire. Mr. Y est donc transféré le 17.01.2019 à Marsens en attendant qu'une réadaptation musculo-squelettique puisse être reprise après permission d'augmentation de la charge selon avis orthopédique.Mr. Y est un patient de 70 ans admis le 22.01.2019 aux soins intensifs pour une décompensation respiratoire aiguë. Le patient était hospitalisé à l'hôpital de Riaz depuis le 15.01.2019 pour des douleurs abdominales dans le cadre de sa maladie de Crohn et d'un abdomen multi-opéré avec suspicion d'un NSTEMI secondaire. Il présente le 22.01.2019 une détresse respiratoire aiguë avec désaturation probablement dans le cadre d'une décharge bactérienne. Une seule séance de VNI permet une rapide amélioration clinique. L'origine de cette décharge n'est pas claire et pourrait être d'origine pulmonaire ou digestive dans le cadre de sa maladie de Crohn. Le patient ne présente pas de récidive. Le patient présente des douleurs thoraciques depuis plus de 24h avec un mouvement léger de troponines à l'hôpital de Riaz. Une échocardiographie montre une FEVG abaissée ainsi qu'un léger épanchement péricardique nouveau. Une coronarographie retrouve une maladie coronarienne sévère très calcifiée de 3 vaisseaux. Sur avis des collègues cardiologues, un traitement conservateur est préconisé. Un traitement de l'insuffisance cardiaque est donc introduit et sera à majorer selon la clinique. Une statine est rajoutée. Un avis cardiologique sera à prendre après introduction d'un traitement complet de l'insuffisance cardiaque. La cause coronarienne semble être la principale mais le diagnostic différentiel évoque aussi une cardiopathie septique et un Tako-Tsubo avec notamment une image compatible à l'échographie. Nous vous conseillons donc de répéter l'échographie à une semaine pour voir l'évolution. Le patient était traité initialement à Riaz par Ceftriaxone pour une suspicion d'infection pulmonaire vue sur la base droite lors des CT abdominaux. Suite à un avis infectiologique, le traitement est changé pour de la Co-Amoxicilline. À noter, une nette amélioration du syndrome inflammatoire suite à l'antibiothérapie. Face à une possible immunosuppression, les HIV et les hépatites sont négatifs. Il reste à pister les résultats du Quantiféron ainsi que des CD4. Un CT thoracique est à effectuer avant la sortie afin de discuter la durée d'antibiothérapie et d'éventuelles investigations supplémentaires. Les douleurs abdominales, raison de l'hospitalisation initiale du patient, sont stables et les deux CT-scans effectués à Riaz ne retrouvent pas d'anomalie particulière. Une attitude expectative est visée dans un premier temps et un avis auprès des collègues gastro-entérologues sera à rediscuter. Une dénutrition importante et chronique est connue chez ce patient. Nous vous laissons le soin de réintroduire le complément entéral par SNG. Le bilan de l'anémie macrocytaire démontre un déficit en folate qui est substitué. Le patient reçoit un CE. Une ferritine reste à doser dans le cadre du bilan complet. Face à une situation complexe et une maladie cardiaque terminale, l'attitude générale est rediscutée avec le patient. Il est convenu de ne pas procéder à des manœuvres de réanimation, ni à une intubation hormis pour un geste technique. Dans ce cadre, une éventuelle réadmission aux SI n'est possible que pour un projet limité avec des objectifs clairs. Mr. Y est un patient de 28 ans, en bonne santé habituelle, qui est hospitalisé pour syndrome cannabinoïde. Il présente de manière récurrente, en lien avec une consommation chronique de cannabis des phases de vomissements incoercibles avec crampes abdominales. Depuis une semaine, il n'arrive plus à s'alimenter. Une hypokaliémie sévère avec modifications à l'ECG ainsi qu'une hypophosphatémie sont mises en évidence au bilan biologique. L'évolution clinicobiologique est favorable sous substitution intraveineuse puis orale avec traitement anti-émétique. Mr. Y rentre à domicile le 13.01.2019. Mr. Y est admis pour une périchondrite du pavillon de l'oreille droite sans porte d'entrée. Nous introduisons un traitement antibiotique par Ceftriaxone 2g et un traitement topique par Diprogenta 3x/j. L'évolution clinique est favorable avec une diminution des douleurs, de la tuméfaction et de l'érythème. Un relais per os par ciprofloxacine 500 mg est à poursuivre pour 7 jours dès le 21.01.2019. Mr. Y est un patient de 32 ans en bonne santé habituelle, qui se présente aux Urgences en raison de douleurs testiculaires droites d'apparition soudaine depuis 3 heures. À l'examen clinique, nous objectivons une tuméfaction et une induration testiculaire droite avec douleurs à la palpation. L'ultrason confirme le diagnostic de torsion testiculaire, raison pour laquelle nous procédons à une détorsion testiculaire droite avec orchidopexie bilatérale en urgence le 07.01.2019. L'intervention se déroule sans complications notables et les suites post-opératoires sont simples. Le patient sera revu pour contrôle à la consultation du Dr. X le 21.01.2019 à 11h15. Mr. Y est un patient de 32 ans en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleurs testiculaires droites d'apparition soudaine depuis 3 heures. À l'examen clinique, nous objectivons une tuméfaction et une induration testiculaire droite avec douleurs à la palpation. L'ultrason confirme le diagnostic de torsion testiculaire, raison pour laquelle nous procédons à une détorsion testiculaire droite avec orchidopexie bilatérale en urgence le 07.01.2019. L'intervention se déroule sans complications notables et les suites post-opératoires sont simples. Le patient sera revu pour contrôle à la consultation du Dr. X dans 3-4 semaines. • RDV à la consultation du Dr. X à 3-4 semaines • Pas d'ablation de fils (résorbables) • Pas d'effort physique pendant 7-10 jours Mr. Y, patient de 88 ans, connu pour une cardiopathie ischémique avec antécédents de STEMI et NSTEMI et une FeVG à 30%, est hospitalisé pour une syncope d'origine indéterminée. Le patient présente un épisode de mutisme ainsi qu'une sensation d'absence, alors qu'il était assis seul au restaurant. À l'arrivée des ambulanciers, le patient reste mutique et absent, ne répond pas aux ordres et présente une ptose labiale gauche. Le tableau est spontanément résolutif. Le patient est admis aux soins intensifs pour surveillance neurologique et hémodynamique puis transmis à l'étage. Le CT cérébral montre une sténose de la portion M1 de l'artère cérébrale moyenne droite, une sténose de 50% de la carotide interne droite, sans signe d'ischémie. Un ultrason doppler transcrânien et des vaisseaux précérébraux réalisés par le Dr. X confirment la sténose de 50% de la carotide interne à droite mais ne retrouvent pas de sténose de l'artère cérébrale moyenne à droite. Un rendez-vous est proposé dans une année pour refaire un ultrason de contrôle. Un EEG ne montre pas de foyer épileptique. L'interrogation du pacemaker ne montre pas de troubles du rythme. Un test de Schellong revient positif. Une IRM cérébrale montre de multiples lésions punctiformes au niveau frontal droit, parietal gauche et du cervelet, parlant pour un AVC ischémique thromboembolique. Une échocardiographie montre un thrombus de 4 x 2 cm au niveau du ventricule gauche. Nous retenons un malaise sur l'AVC ischémique punctiforme versus un bas débit. Une anticoagulation est introduite d'abord par héparine puis Xarelto à 15 mg (avis cardiologique : Dr. X). Des contrôles échocardiographiques sont organisés dans 2 et 4 semaines pour suivre l'évolution du thrombus. Le patient n'a pas de trouble neurologique à son départ.Au niveau cardiologique, Mr. Y présente une insuffisance cardiaque avec une FEVG à 20% et une augmentation de la dilatation du VG. L'aspirine est maintenue au vu des antécédents de stents resténosés. L'indication de l'aspirine en plus de l'anticoagulation sera réévaluée par les cardiologues après une éventuelle coronarographie à distance. Nous adaptons le traitement de l'insuffisance cardiaque. Au niveau pulmonaire, le patient est asymptomatique, mais nous constatons à l'imagerie des remaniements parenchymateux bi-apicaux évoquant des séquelles de tuberculose. Au vu des antécédents de tuberculose urinaire, nous réalisons, sur avis du Dr. X, des cultures d'expectorations et d'urine de mycobactérie tuberculosis. Nous ne proposons actuellement pas de traitement et suggérons au médecin traitant de suivre les résultats des cultures. Au niveau infectieux, Mr. Y développe un état fébrile durant l'hospitalisation que nous mettons sur le compte d'une infection urinaire. Le patient ne présente pas de douleur au toucher rectal. Un urotube revient positif à Pseudomonas. Nous introduisons une antibiothérapie qui est à poursuivre à domicile. Au niveau gastrique, le patient présente une gêne épigastrique et un reflux. Nous introduisons un traitement par Pantozol d'épreuve pendant 6 semaines. Nous proposons des contrôles d'hémoglobines toutes les 2 semaines au vu de l'anticoagulation et de l'aspirine. Si les douleurs persistent après 6 semaines, nous proposons de réaliser un OGD. Mr. Y rentre à domicile le 25.01.2019. Mr. Y, patient de 88 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance neurologique et hémodynamique dans un contexte d'une syncope d'origine indéterminée. Le patient présente ce jour vers 16h un épisode de mutisme ainsi qu'une sensation d'absence, alors qu'il était assis seul au restaurant. À l'arrivée des ambulanciers, le patient reste mutique et absent, ne répond pas aux ordres et présente une ptose labiale gauche. Le tableau est spontanément résolutif. Le CT cérébral montre une sténose de la portion M1 de l'artère cérébrale moyenne droite, une sténose de 50% de la carotide interne droite, sans signe d'accident vasculaire cérébral. Une IRM cérébrale est demandée. Après discussion avec les neurologues, une probable origine cardiaque doit être recherchée. Un bilan cardiaque avec une échocardiographie transthoracique ainsi qu'un contrôle du pace-maker a été demandé. Durant la surveillance neurologique aux soins intensifs, le patient ne présente plus de plainte. Sur le CT des vaisseaux pré-cérébraux, nous objectivons des calcifications dans les deux apex pulmonaires. Chez un patient avec un antécédent d'une tuberculose urinaire avec une dernière quadrithérapie en 2012, nous demandons un avis pneumologique. Le patient n'a jamais fait de voyage dans un pays à risque et n'aurait jamais eu de contact étroit avec un patient tuberculeux. Une recherche de VIH est en cours et une recherche de mycobactérie dans les sputa a été demandée. Mr. Y est amené aux urgences en ambulance le 22.11.2018 en raison d'une faiblesse des membres inférieurs avec 4 chutes au cours des dernières 48 heures, la dernière occasionnant un traumatisme crânien occipital, sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. Pas de nausée ni de vomissement. À l'anamnèse, Mr. Y se plaint d'une faiblesse généralisée depuis quelques jours, avec une sensation de jambes qui lâchent. Il ne rapporte pas de sensation de malaise lors des chutes mais uniquement une faiblesse musculaire. Pas d'autre plainte ni douleur. À l'admission aux urgences, le patient est sarcopénique et cachectique avec un BMI calculé à 15.8 kg/m2. Hormis une parésie des extenseurs du pied droit connue, l'examen clinique est sans particularité. Le bilan biologique met en évidence une hyponatrémie chronique à 120 mmol/l, ainsi qu'une hypokaliémie à 3.4 mmol/l, une hypomagnésémie à 0.65 mmol/l et une anémie normochrome normocytaire à 113 g/l. Il n'y a pas de syndrome inflammatoire. La radiographie des hanches et du bassin est suspecte d'une fracture du grand trochanter droit, non déplacée, avec peu de retentissement clinique que nous décidons de traiter conservativement par antalgie et charge selon douleur. La plaie occipitale est suturée et, en raison de l'état général diminué, Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Le bilan de l'hyponatrémie met en évidence une osmolalité sérique à 267 mosmol/kg, une osmolalité urinaire à 402 mosmol/kg et un sodium urinaire à 105 mmol. Ces résultats évoquent un SIADH dont l'étiologie la plus probable est médicamenteuse sur le traitement de SSRI du patient. La TSH est dans la norme. Une restriction hydrique à 1.5 litre par jour permet de corriger partiellement la natrémie. Nous vous laissons le soin d'effectuer un suivi biologique et d'évaluer la nécessité d'adapter le traitement antidépresseur. Nous substituons le patient en potassium et en magnésium avec une bonne évolution biologique. En ce qui concerne la sarcopénie, le patient rapporte avoir toujours été maigre et avoir toujours contrôlé son poids. Il présente un comportement d'évitement de certains aliments et pratiquait jusqu'à peu une activité sportive intense. Il ne semble pas présenter de conscience morbide de son état de dénutrition. Au vu d'un habitus marfanoïde et à la recherche d'une cause organique de la sarcopénie, nous effectuons une US abdominale qui montre une aorte de calibre normal et aucun argument expliquant la clinique du patient. Nous demandons un bilan nutritionnel et psychiatrique. La Dr. X, psychiatre de liaison, évoque le diagnostic d'une probable anorexie mentale atypique, ne remplissant pas tous les critères, d'évolution à bas bruit de longue date. Elle met en avant le déni du patient vis-à-vis de ses troubles du comportement alimentaire. Elle note également un trouble anxio-dépressif léger et propose d'introduire un traitement par Remeron que le patient refuse. Nous insistons sur la nécessité d'un suivi psychiatrique en ambulatoire que le patient accepte. Il contactera de lui-même un psychiatre. Nous vous laissons le soin d'évaluer la bonne mise en place de ce suivi. Mr. Y peut regagner son domicile le 29.11.2018. Mr. Y sera revu à votre consultation pour contrôle clinique et ablation des fils le 21.01.2019. Mr. Y, 53 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs pour un infarctus myocardique sans élévation ST le 12.01.2019. Le patient a consulté le 09.01.2019 les urgences de Riaz pour des douleurs thoraciques sans mise en évidence d'étiologie. Il a reconsulté le 12.01.2019 pour récidive des douleurs avec un bilan électrocardiographique et biologique faisant suspecter un infarctus du myocarde de type NSTEMI. Après une charge en anti-agrégant plaquettaire (aspirine et ticagrélor), le patient a été transféré aux soins intensifs de Fribourg. La coronarographie a montré une cardiopathie hypertensive et coronarienne bitronculaire avec une occlusion fonctionnelle de la marginale distale (lésion coupable), une atteinte diffuse de l'artère circonflexe ainsi qu'une sténose serrée de l'IVA proximale et de la branche diagonale. L'ensemble des lésions est traité par implantation de 4 stents actifs au total. Le pic de CK s'est élevé à 1189 U/l. La fonction ventriculaire gauche est conservée (FE à 65%). La double anti-agrégation plaquettaire est prévue pour 12 mois. Le profil tensionnel élevé a motivé l'introduction d'un inhibiteur de l'enzyme de conversion et d'un bêta-bloquant qu'il s'agira d'adapter en ambulatoire. Plusieurs facteurs de risque cardiovasculaire actifs nécessiteront un contrôle strict. Une hypercholestérolémie a motivé l'introduction d'une statine. Un diabète sucré de type 2 avec une glycémie à jeun à 11.3 mmol/l et une hémoglobine glyquée à 7.6% est en lien avec l'obésité. Le profil glycémique a été contrôlé par insuline préprandiale. Un traitement anti-diabétique oral sera à envisager à distance de l'épisode aigu. Une consultation de diabétologie et des conseils diététiques devront être organisés en ambulatoire. Un arrêt du tabagisme devrait être encouragé. Afin de renforcer l'enseignement de meilleures habitudes de vie, l'indication à une réadaptation cardiovasculaire en ambulatoire pourrait être discutée. Un soutien socio-professionnel sera aussi nécessaire.Une thrombocytose d'allure chronique, présente depuis 2008, devrait être contrôlée en ambulatoire et investiguée en cas d'aggravation. Le patient est transféré le 13.01.2019 dans le service de médecine interne de l'HFR Riaz. Mr. Y, patient connu pour une maladie coronarienne bitronculaire, un diabète de type 2 insulino-dépendant et un carcinome des cordes vocales, nous est transféré de l'HFR Fribourg pour suite de la prise en charge après un AVC ischémique subaigu de l'artère sylvienne droite d'origine athéromateuse. Pour rappel, Mr. Y est parvenu en ambulance à l'HFR Fribourg en raison d'une faiblesse de l'hémicorps gauche depuis quelques semaines et le bilan radiologique (CT et angio-IRM cérébrale) a mis en évidence une lésion ischémique constituée dans le territoire de l'artère cérébrale moyenne droite et une occlusion complète de la carotide interne droite dès son origine. Dans ce contexte, une double-anti-agrégation avec Clopidogrel chez un patient déjà sous Aspirine est instaurée pour 3 semaines (jusqu'au 12.12.2018), en laissant uniquement le Clopidogrel par la suite. A l'admission, le patient n'a pas de plainte spontanée et l'anamnèse par système est non contributive. Cliniquement, il présente une voix rauque. A l'examen neurologique, nous retrouvons une hémisyndrome purement moteur M4 brachio-crural gauche, et une parésie périphérique du n. facial gauche (connue depuis des années). Mr. Y est veuf, habite dans un appartement à Pérolles avec ascenseur et sous-loue une chambre à une étudiante. Il a deux enfants, un qui habite à Estavayer et l'autre à Glaris avec lesquels il a un bon rapport. Il était indépendant dans les ADLs et IADLs, il conduisait et travaille encore dans le monde du basket. Concernant le carcinome épidermoïde glotto-sous-glottique bilatéral récemment diagnostiqué, au cours du séjour, Mr. Y bénéficie de plusieurs investigations en ORL à l'HFR Fribourg dont les résultats seront discutés directement en janvier 2019. Lors d'un bilan logopédique, nous retrouvons une dysphagie modérée aux solides pour laquelle Mr. Y ne souhaite pas un suivi régulier, cependant, nous envisageons un contrôle espacé suite au retour à domicile. En accord avec les diabétologues de l'HFR, nous adaptons les doses d'insuline. Mr. Y rentre à son domicile avec un contrôle de la glycémie quotidien prévu. Nous vous laissons le soin d'adapter les doses d'insuline en fonction. Parallèlement à ces problèmes aigus, nous débutons une réhabilitation gériatrique précoce avec des séances thérapeutiques individuellement adaptées. A l'entrée, le patient fait les transferts seul (FIM 6), marche et monte les escaliers sans moyen auxiliaire mais sous supervision (FIM 5). Il rapporte un manque de force dans les membres supérieurs et un manque de force et d'endurance dans les membres inférieurs. Le patient bénéficie d'exercices de physio- et d'ergothérapie intensives qui améliorent en partie sa mobilité. A la sortie, le Tinetti est à 21/27, il fait les transferts de manière autonome (FIM 7), marche et peut monter les escaliers sans moyens auxiliaires (FIM 6). Il y a également une amélioration significative de la force de préhension, de la motricité fine et de la vitesse d'exécution dans les membres supérieurs. Dans ce contexte, nous ne retenons pas l'indication à des séances de physio- ni d'ergothérapie ambulatoire. Mr. Y rentre à son domicile dans des conditions générales stables le 21.12.2018. Mr. Y est un patient de 81 ans admis aux soins intensifs pour surveillance d'un urosepsis sur abcès rénal droit drainé sous guidage scannographique. Le patient a bénéficié il y a 10 jours d'une biopsie rénale droite, suite à laquelle il développe un état septique avec état fébrile supérieur à 39° motivant sa consultation aux urgences avec un CT-scan mettant en évidence un volumineux abcès du rein droit qui est drainé sous guidage scannographique. Une révision plus large de cet abcès est à rediscuter avec l'équipe d'urologie selon l'évolution. Une antibiothérapie est introduite sur avis infectiologique et sera à rediscuter selon les prélèvements effectués. Le patient présente dès son admission une instabilité hémodynamique motivant un remplissage et des amines vasopressives. Le drainage permet un sevrage et une stabilisation rapide. Le CT met en évidence une péjoration des lésions pulmonaires et rénales suspectées de maladie oncologique déjà en cours d'investigation à la clinique générale. Nous vous proposons de rediscuter le 28.07.2019 l'attitude générale avec les collègues d'oncologie afin de déterminer le plan de traitement et des investigations à faire. Une thrombose de la veine rénale droite sur la lésion tumorale est découverte et une anticoagulation est débutée par héparine en accord avec l'équipe chirurgicale. Le patient présente une insuffisance cardiaque sévère et nous vous proposons de réintroduire le traitement de l'insuffisance cardiaque dès que possible. Le patient est transféré en chirurgie pour la suite de la prise en charge. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à un STEMI antérieur aigu survenu dans le cadre d'une maladie coronarienne bitronculaire. Le patient a bénéficié d'une première coronarographie le 09.12.2018 avec pose de 2 stents actifs dans l'IVA et 1 stent actif dans la diagonale avec un bon résultat final, puis d'une seconde coronarographie le 18.12.2018 avec implantation de 2 stents dans l'artère coronaire droite. A l'échographie de contrôle, on retrouve une FEVG diminuée à 35% avec akinésie apicale justifiant l'introduction d'un traitement par Xarelto 20 mg en prophylaxie. Le traitement sera réévalué début février à la consultation du Dr. X en fonction de l'évolution des troubles de la cinétique. Le traitement à l'entrée comprend : Aspirine cardio 100 mg, Plavix 75 mg, Xarelto 20 mg, Atorvastatin 40 mg, Beloc Zok retard 25 mg, Lisinopril 5 mg, Pantozol 20 mg. Devant une toux persistante survenue quelques jours après l'introduction du Lisinopril, celui-ci est arrêté et changé pour un sartan, permettant une amélioration de la symptomatologie. Durant le séjour, le patient présente plusieurs épisodes d'épistaxis sans retentissement hémodynamique, et motivent la diminution du Xarelto de 20 à 15 mg, permettant l'arrêt des saignements. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant une durée de 20 minutes en intervalle training à une puissance de 60/30 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 165 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques.Le bilan lipidique de sortie montre un LDL à 1.93 mmol/l, un HDL à 0.90 mmol/l et des triglycérides à 1.27 mmol/l. A l'examen clinique de sortie, status normo-compensation avec une pression artérielle de 107/69 mmHg avec une FC à 68 bpm. Mr. Y est un patient de 65 ans, qui début novembre 2018 a été hospitalisé en chirurgie en raison de cholédocholithiases symptomatiques avec un ictère important. Une ERCP réalisée en urgence le 07.11.2018 permet l'extraction de plusieurs petits calculs, sauf un d'une taille de 1.5 cm, ainsi que la mise en place d'un stent. Une nouvelle ERCP est donc agendée le 22.01.2019 pour l'extraction du calcul actuellement à 1.8 cm avec l'aide d'un lithotripseur, mais l'extraction échoue en raison d'un defect de celui-ci. Par la suite, le patient est hospitalisé pour une surveillance clinique et biologique et présente quelques heures après le geste des douleurs abdominales brusques importantes au niveau du flanc droit, motivant la réalisation d'un CT abdominal montrant une collection sous-capsulaire du segment hépatique VI avec des bulles d'air, ainsi qu'une dilatation des voies biliaires. On ne voit par ailleurs pas de perforation des voies biliaires ou du tube digestif, ni de pancréatite. Après discussion avec le Dr. X, la décision d'un transfert au CHUV le 23.01.2019 est prise afin de réaliser une thérapie avec fragmentation du calcul. Par ailleurs, une antibiothérapie pendant 5 jours est instaurée. Mr. Y présente un angor intermittent nouveau pour lequel il consulte les urgences à Payerne. Le bilan met en évidence un sus-décalage en aVR et un sous-décalage étendu en antérieur et latéral à l'ECG, avec une cinétique de troponines positive. Il est transféré à Fribourg pour une coronarographie en urgence. L'examen révèle des lésions tritronculaires avec une fonction ventriculaire conservée. Les lésions ne sont pas traitées, l'indication à un pontage étant claire. L'échocardiographie du 07.01.2019 montre une FEVG conservée à 60% sans valvulopathie. Le patient est d'accord d'effectuer le bilan pré-opératoire et de planifier la suite de prise en charge cardiovasculaire. Pendant la surveillance aux soins intensifs, on met en évidence des épisodes de pauses sinusales, ainsi que des passages en bloc atrio-ventriculaire du deuxième degré de type 1 de découverte fortuite, ainsi qu'un épisode de flutter auriculaire. Nous poursuivons la surveillance rythmique monitorée jusqu'au 07.01.2018, date de son transfert en médecine interne. Le patient reste asymptomatique au cours de ses événements. Sur avis cardiologique, une anticoagulation thérapeutique est débutée. Mr. Y est connu pour un myélome multiple sous traitement de Pomalidomide, avec un suivi régulier montrant un bon contrôle de la maladie. Concernant le bilan pré-pontage, une échocardiographie transthoracique, un bilan angiologique et des fonctions pulmonaires sont effectuées. Mr. Y est transféré en chirurgie cardiovasculaire au CHUV pour la suite de prise en charge. Mr. Y est un patient de 50 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences le 25.01.2019 en raison de douleurs abdominales aiguës diffuses, sans trouble du transit ou autres symptômes. Il rentre à domicile le jour même avec un traitement symptomatique pour une gastro-entérite, mais reconsulte 48 heures plus tard en raison d'une péjoration des douleurs. Au laboratoire, on note un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 22 et au CT abdominal un sub-iléus est visualisé. Le patient est donc hospitalisé pour une surveillance clinique et biologique. Par la suite, le patient reprend un transit et les contrôles biologiques sont sans particularité, permettant un retour à domicile le 30.01.2019. Mr. Y, connu pour un adénocarcinome du moyen et haut rectum classé cT3 cN+ cM1b avec métastases hépatiques et possiblement pulmonaire, stade IV, est adressé aux urgences le 28.12.2018 par le Dr. X, oncologue traitant, en raison d'une asthénie importante, fatigue généralisée, douleurs généralisées et toux sèche plus intensive que d'habitude. Pour rappel, l'évolution oncologique est défavorable avec deux CT thoraco-abdominaux montrant une progression tumorale avec augmentation en nombre et entaille des métastases hépatiques. Le patient devait reprendre la chimiothérapie par Lonsurf (traitement de 3ème ligne) ce jour mais la cure a été annulée au vu de la baisse de l'état général. A l'anamnèse par système, Mr. Y ne rapporte pas de plainte ni de douleur. A l'examen clinique, le patient est en état général diminué, mais normotendu à 113/69 mmHg, normocarde à 73 bpm et afébrile à 35.7° C. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Le bilan biologique montre une créatinine à 127 mcmol/l, une péjoration des valeurs des tests hépatiques depuis novembre 2018 avec une ASAT à 79 U/I, ALAT à 11 U/I, LDH à 3391 U/I, PA à 143 U/I, Gamma GT à 116 U/I et bilirubine totale à 8.8 mcmol/l. La CRP est à 102 mg/l, sans leucocytose. Le sédiment urinaire est dans la norme. Mr. Y est hospitalisé pour soins impossibles à domicile. Durant le séjour, le patient reste afébrile et hémodynamiquement stable. Il se plaint surtout d'une fatigue généralisée et son épouse évoque un patient dysthymique. Nous prenons l'avis du Dr. X qui, au vu de la situation, pense à une perturbation des tests hépatiques initiale et un syndrome inflammatoire en lien avec une virose probable. Nous constatons un alignement de la créatinine après hydratation, une diminution progressive du syndrome inflammatoire et des tests hépatiques perturbés avec à la sortie, des leucocytes à 6.9 G/l, une CRP à 50 mg/l, une kaliémie à 3.2 mmol/l, une Gamma GT à 87 U/I et une bilirubine directe à 5.2 micromol/l. Le patient bénéficie finalement de la physiothérapie de mobilisation. Mr. Y peut regagner son domicile le 09.01.2019 et sera revu à la consultation du Dr. X durant la semaine du 14 au 18.01.2019 pour reprendre la chimiothérapie par Lonsurf. Mr. Y est un patient de 65 ans, qui est hospitalisé dans notre service suite à une macrohématurie avec infection urinaire dans un contexte de cancer prostatique métastatique avec récidive locale. Le patient bénéficie d'une cystoscopie avec hémostase ainsi que d'un changement de néphrostomie à gauche et d'une dilatation de l'anastomose urétéro-vésicale à droite. Une antibiothérapie par Rocéphine est également instaurée puis majorée par du Tazobac en raison d'un état fébrile persistant. Par la suite, l'évolution est favorable, permettant une reprise de l'anticoagulation thérapeutique le 30.12.2018 et un retour à domicile le 31.12.2018 sous Co-Amoxicillin à continuer pendant 2 semaines ainsi qu'une sonde vésicale en déclive en place. Le patient a un rendez-vous en Urologie au CHUV le 07.01.2018. Mr. Y est un patient de 63 ans, sous Xarelto pour une thrombose partielle de la veine porte début décembre 2018, qui en août 2018 subit une résection antérieure du rectum par laparoscopie avec anastomose descendo-rectale latéro-terminale mécanique pour un adénocarcinome moyennement différencié de la jonction recto-sigmoïdienne. En raison de la présence d'une métastase au niveau pulmonaire, une chimiothérapie adjuvante a été ajoutée au traitement. Un CT de contrôle fait le 04.12.2018 démontre une bonne réponse de la lésion pulmonaire, sans signe de récidive ou de tumeur au niveau du site primaire, ce qui permet au patient de bénéficier le 10.01.2019 d'une résection du segment 6 par thoracoscopie qui se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples et afébriles, permettant un retour à domicile le 13.01.2019.Après discussion avec nos collègues de la chirurgie thoracique, un traitement par de la Clexane 40 mg 2x/jour sera à poursuivre jusqu'au 17.01.2019, date à laquelle le Xarelto sera repris aux doses habituelles. Mr. Y souffre d'un doigt à ressaut du 3ème doigt de la main G qui est symptomatique. Malgré le fait que le doigt ne se croche pas tout le temps, le patient est très gêné et désire une cure chirurgicale. Je lui explique l'intervention ainsi que les risques et les bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord, le consentement est signé. L'intervention est prévue en ambulatoire pour le 14.03.2019. Le patient sera encore vu par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Mr. Y bénéficie le 17.01.2019 d'une amputation selon Buergess au membre inférieur gauche. Les suites opératoires sont simples. Sur le plan chirurgical, les pansements sont changés pour la première fois quatre jours après l'opération. Les plaies du moignon gauche et droit sont calmes, sans signe inflammatoire. La réfection des pansements est réalisée toutes les 48h. Nous laissons le soin à l'Hôpital de Billens de continuer les pansements avec Adaptic, compresses, bandes ainsi que de mobiliser le patient avec la prothèse à droite tout en suivant la plaie du moignon droit, calme le jour de la sortie du patient. Sur le plan de l'antalgie, Mr. Y est couvert par une antalgie de palier trois que nous vous laissons le soin d'adapter. Le traitement de Prégabaline (traitement à domicile) 150mg 2x/j est continué. Sur le plan de la mobilisation, Mr. Y bénéficie de physiothérapie avec amélioration de la mobilisation en fin d'hospitalisation. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y est transféré à Billens le 24.01.2019. Mr. Y, connu pour une maladie coronarienne, est amené aux urgences en ambulance le 31.12.2018 suite à une chute accidentelle en marchant dans le noir à domicile (faible cinétique, se rattrape et chute en partie sur son lit). Pas de traumatisme crânien, pas de perte de connaissance. Le patient décrit, suite à la chute, une oppression thoracique, sans douleur et disparaissant après 15 minutes. Selon son épouse, le patient aurait tenu des propos confus durant quelques minutes après l'évènement. À l'anamnèse, Mr. Y décrit également un état fébrile (max 40,5°C) depuis 2 à 3 jours, avec fatigue, baisse de l'appétit, sensation de vertige (non rotatoire), céphalées, dyspnée nouvelle au repos, toux sèche, odynophagie, rhinorrhée bilatérale claire et symptômes urinaires (pollakiurie, algiurie, dysurie). A l'admission aux urgences, le patient est en bon état général, non algique. Il est fébrile à 38.3°C, hypotendu à 103/53 mmHg, tachycarde à 115/min et sature à 89%, remontant à 95% sous 2 litres d'oxygène. Au status respiratoire, le murmure vésiculaire est symétrique avec quelques crépitants gras au niveau basal gauche, sans tirage ni cyanose. Les status cardiologique et neurologique sont dans la norme. Le laboratoire met en évidence une neutrophilie à 85% (8.49 G/l) sans syndrome inflammatoire important (CRP 30 mg/l, leucocytes 9.9 G/l). Le sédiment urinaire ne montre pas de signe d'infection et la radiographie de thorax ne met pas en évidence de foyer pulmonaire clair. Une culture d'urine, des hémocultures ainsi qu'une recherche d'antigène Légionelle et pneumocoque sont prélevées. L'ECG met en évidence un bloc de branche droit nouveau que nous ne bilantons pas plus aux urgences au vu de l'absence de douleurs rétrosternales. Nous conseillons un contrôle cardiologique en ambulatoire. Suspectant une pneumonie basale gauche avec SIRS et un score de CURB-65 de 2 (urée à 7.3 mmol/l et > 65 ans), Mr. Y est hospitalisé et nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine iv et Klacid. A noter la mise en pause de la statine, contre-indiquée avec la prise de Klacid. Les cultures effectuées reviennent toutes négatives et le Klacid est arrêté le 02.01.2019. La statine peut être reprise le 04.01.2019. Sous antibiothérapie, l'évolution est favorable, permettant le relais de l'antibiothérapie par Co-Amoxi 1 g per os 2x/j dès le 03.01.2019, à poursuivre jusqu'au 09.01.2019. A noter que suite à un contact avec le Dr. X qui a fait la coronarographie au mois de juin 2018, le traitement par Efient est arrêté. Le 03.01.2019, le patient se plaint de douleurs à la palpation de l'épaule gauche ainsi que du tendon du long biceps gauche. Nous effectuons une radiographie de l'épaule qui met en évidence une importante arthrose au niveau de l'articulation. L'évolution de la pneumonie est favorable et Mr. Y peut regagner son domicile le 06.01.2019 avec l'indication de prendre rendez-vous à votre consultation pour discuter de l'indication à un contrôle cardiologique. Mr. Y, patient de 65 ans, connu pour une hypertension traitée et un status post-embolie pulmonaire en janvier 2018, présente des douleurs au mollet gauche durant la nuit du 16.01 au 17.01.2019. Dans l'après-midi qui suit, il note une péjoration de sa dyspnée avec vertige, suivi d'une perte de connaissance brève et d'un traumatisme crânien frontal gauche. Un CT thoracique retrouve l'embolie pulmonaire centrale bilatérale obstruant la quasi-totalité des artères pulmonaires. Les échocardiographies réalisées retrouvent des signes d'hypertension pulmonaire et de surcharge droite, qui se corrigent au décours. Il est hospitalisé aux soins intensifs le 17.01.2019 pour une embolie pulmonaire centrale bilatérale et transféré au service de médecine interne le 18.01.2019 pour la suite de sa prise en charge. Un bilan à la recherche d'un état pro-coagulant est initié : les imageries ne retrouvent pas de néoplasie, alors que les résultats du bilan biologique (Protéine C, Protéine S, Anticorps anti-Cardiolipin) sont encore en cours et nous vous laissons le soin de les pister. Nous vous proposons de compléter ce bilan en réalisant une colonoscopie à distance. Un traitement par Xarelto 15 mg 2 fois par jour est initié jusqu'au 11.02.2019. Il passera par la suite à 20 mg une fois par jour et sera à poursuivre à vie. Au niveau urologique, dans le cadre de la recherche d'une étiologie à un possible état pro-coagulant, un taux de PSA légèrement augmenté est retrouvé. Au vu du rapport FPSA/PSA, nous suspectons une hyperplasie prostatique. Nous vous proposons un contrôle du PSA dans les mois à venir. Sur le plan néphrologique, nous mettons en avant une insuffisance rénale aiguë. Les paramètres sont en amélioration durant l'hospitalisation, mais nous vous proposons d'effectuer un dernier contrôle des valeurs rénales à distance. Au vu d'une évolution favorable sur le plan clinique et biologique, le patient retourne le 23.01.2019 à son domicile. Mr. Y, patient de 81 ans, est hospitalisé dans un contexte d'état confusionnel aigu fluctuant. En effet, il présente des épisodes temporaires de désorientation depuis 2 ans, actuellement en recrudescence. Il est hospitalisé pour le bilan de cet état avec une situation devenue complexe à domicile (hospitalisation concomitante de son épouse au RFSM). Au niveau infectiologique, nous retrouvons un foyer de pneumonie en base pulmonaire gauche au CT, raison pour laquelle nous initions un traitement par Ceftriaxone IV entre le 15.01 et le 22.01.2019. De plus, sur le plan urinaire, un globe vésical se développe durant l'hospitalisation et est retrouvé et sondé le 15.01.2019. Un sevrage de sonde vésical n'est pas possible avant son transfert, malgré l'arrêt des médicaments spasmolytiques. La clinique du patient s'améliore rapidement après la prise en charge de sa pneumonie, de son globe vésical et de l'arrêt des anticholinergiques, nous amenant à privilégier l'hypothèse de l'état confusionnel aigu. Toutefois, au vu de troubles cognitifs persistants et d'un examen neuropsychologique positif un an auparavant, nous effectuons un bilan de démence. Au laboratoire, on ne retrouve pas de carences vitaminiques, ni d'infection systémique. Le CT ne montre pas de lésions cérébrales. Un EEG montre un ralentissement général, compatible avec un état confusionnel aigu ou un trouble cognitif sous-jacent. On conclut à une suspicion de démence dégénérative avec état confusionnel sur infection.Une réadaptation gériatrique à Riaz est prévue pour la suite. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR, en attente de sa réadaptation, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement dès le 23.01.2019 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté notre service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, âgé de 80 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à un changement de PTH D par voie transfémorale et ostéosynthèse du fémur par 4 cerclages Dall-Miles suite à une rupture de fatigue de la tige prothétique PTH D (PTH D implantée en 2000), le 07.11.2018. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est à la retraite. A l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place, le patient se plaint seulement de douleurs au niveau proximal de la face latérale de la jambe D. Au status, le patient est orienté et collaborant. Il présente une surdité majeure. A l'auscultation pulmonaire, murmure respiratoire bilatéral, pas de râle. Présence d'OMI, déjà présents pendant l'hospitalisation en orthopédie. Présence d'une phlyctène à la base du 5ème métatarsien et ongle incarné au niveau du premier orteil du pied droit. La cicatrice opératoire est calme. La force est cotée à M4 au MIG et à M3 au MID, la sensibilité est conservée ddc. Pied tombant à gauche, connu. Pied tombant à droite depuis l'intervention chirurgicale du 07.11.2018 avec force musculaire à M0 pour les muscles releveurs du pied. Au contrôle radio-clinique du 18.12.2018, le Dr. X autorise une marche en charge partielle de 25-30 kg à l'aide de 2 béquilles ou d'un tintébin. Le traitement par Compex pour la lésion du nerf sciatique-poplité externe et la port de l'attelle Heidelberg sont à poursuivre. Le prochain contrôle radio-clinique est prévu le 05.02.2019. En ce qui concerne le pied tombant à droite, sur lésion du nerf sciatique-poplité externe (probablement sur traction), un rendez-vous pour un ENMG du MID a été fixé à l'HFR Fribourg le 29.01.2019. Nous avons suivi l'évolution de la phlyctène à la base du 5ème métatarsien du pied droit qui s'est ulcérée. Un avis auprès des stomathérapeutes a été demandé. Un rendez-vous en angiologie au HFR Fribourg est prévu le 10.01.2019. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec tintébin, même si Mr. Y ne respecte pas toujours la décharge de 30 kg. Les amplitudes articulaires montrent une flexion de la hanche droite à 70° en actif. La force est cotée au MID à M3 au quadriceps et à M3 au psoas. Pour le MIG, M4 au quadriceps et au psoas et M0 aux releveurs du pied ddc. Après 4 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 29.12.2018, en bon état général. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Mr. Y, patient de 53 ans connu pour une hypercholestérolémie et un diabète non-insulinorequérant décompensé, consulte au service des urgences de l'hôpital de Riaz le 27.12.2018 en raison d'une instabilité à la marche avec déviation vers la G et trouble de la sensibilité de l'hémiface G d'apparition brutale vers 10h du matin, accompagnée de nausées, épisodes de vomissements. Il rapporte une diplopie d'apparition rapide et spontanément résolutive au mois d'octobre 2018. Au service des urgences de Riaz est mis en évidence un nystagmus multidirectionnel, une déviation de la luette à G et une latéro-pulsion G. Le CT cérébral révèle une occlusion de la carotide commune D, ainsi que des signes de lésion ischémique d'allure subaiguë pariétale D. L'IRM cérébral révèle des lésions ischémiques aigues multiples au niveau de la moelle allongée latérale G, sylviennes D et subaiguë au niveau pariétale D. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique, après avoir bénéficié d'une charge en Aspirine. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne montre pas de cause structurelle à l'AVC. Un Holter de 72h est posé durant l'hospitalisation. Les résultats étant toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre, nous vous invitons à les pister. En cas d'absence de mise en évidence d'une arythmie emboligène, nous vous invitons à organiser un R-Test de 7 jours. Un examen neurosonologique retrouve une occlusion de l'artère carotide commune D, ainsi qu'une sténose non significative du tronc basilaire. Les différents territoires touchés et les âges différents des lésions, font évoquer une cause de source embolique proximale vs un état procoagulant. Le bilan thrombophilique montre un résultat positif pour le dosage du lupus anticoagulant, ce que nous vous invitons à répéter à 12 semaines. Par ailleurs sur le plan hématologique, le patient présente une polyglobulie, que nous investiguons, avec avis hématologique, par recherche de JAK2 V617F et dosage de l'EPO. Les résultats étant encore en cours, nous vous invitons à les pister. Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est introduit en raison d'une hypercholestérolémie. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Sur le plan endocrinologique, le diabète du patient nécessite l'introduction d'une insulinothérapie, permettant un contrôle glycémique rapide. Une néphropathie diabétique de stade 4 est mise en évidence, nous instaurons en conséquence un traitement de Lisinopril et vous recommandons d'organiser un suivi diabétologique à distance. Un fond d'œil ne montre pas de signe de rétinopathie. Sur le plan pneumologique, le patient rapporte des ronflements avec épisodes d'apnées pendant le sommeil, ainsi nous proposons l'organisation d'une oxymétrie nocturne à but de dépistage à 3 mois de l'épisode aigu. L'évolution clinique est favorable avec une amélioration des symptômes de nausées et diplopie du patient. Le status neurologique de sortie montre la persistance d'un syndrome de Wallenberg avec nystagmus multidirectionnel, sensitif alterne avec hypoesthésie voire anesthésie thermo-algique par endroit de l'hémiface G et de l'hémicorps D et un syndrome ataxique persistant mais très nettement amélioré à l'hémicorps G. Mr. Y est transféré le 11.01.2019 en neuroréhabilitation intensive à Meyriez. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à un STEMI subaigu de l'ostium de la seconde marginale le 12.11.2018 avec mise en place de 2 stents actifs par le Dr. X. Le traitement à l'entrée comprend : Aspirine Cardio 100 mg, Atorvastatine 40 mg, Beloc Zok 75 mg, Dafalgan 3 g, Efient 10 mg, Lisinopril 5 mg, Novalgine 1500 mg, Tramal caps en R, max 4x/j si douleurs.Durant son séjour, le patient décrit une mauvaise tolérance de son traitement bétabloquant justifiant un remplacement du Beloc Zok 37.5 mg 2 fois par jour par du Bilol 5 mg 1/2 comprimé 1 fois par jour. De plus, nous objectivons une tachycardie récidivante justifiant l'ajout de Procoralan 5 mg 2 fois par jour avec évolution favorable. Un Holter est réalisé qui est significatif en nombre d'extrasystoles ventriculaires mais monofocales et monomorphes le 10.12.2018. Un nouvel Holter est réalisé le 19.12.2018 avec mise en évidence d'une ectopie ventriculaire monomorphe fréquente en nombre. Nous proposons de recontrôler ceci avec un nouvel holter dans 3 mois. Par ailleurs, le patient décrit une dysgueusie à l'anamnèse justifiant un changement de son traitement de Lisinopril 5 mg 1x par jour à du Losartan 50 mg 1x par jour le 17.12.2018 avec évolution favorable. Au niveau orthopédique, le patient décrit des douleurs d'allure inflammatoire non soulagées par la Novalgine et le Dafalgan. Nous ajoutons un traitement de Brufen 400 mg 2 fois par jour pendant 5 jours, puis 1 fois par jour jusqu'au 28.12.2018 au plus tard associé à une protection gastrique avec évolution favorable. Le patient bénéficie par ailleurs de séances de physiothérapie et de cannes à but de décharge. Un contrôle en orthopédie est déjà prévu en janvier 2019. Au sujet du réentraînement à l’effort, le patient a débuté dans un groupe d’intensité faible et il a pu progresser jusqu’à un groupe d’intensité modérée. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant une durée de 25 minutes à 58 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Le test d’effort final montre une épreuve sous maximale avec une bonne adaptation hémodynamique à l’effort malgré une tendance à des valeurs plutôt basses de tension artérielle et une bonne adaptation à la récupération. Mr. Y a participé au programme d’éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu’aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.1 mmol/L, des HDL à 0.86 mmol/L, des LDL à 2.02 mmol/L, des triglycérides à 1.63 mmol/L. • Tabagisme sevré depuis 2016. • Après adaptation du traitement, la fréquence cardiaque et la tension artérielle sont dans la norme. À l’examen clinique de sortie, status normo-compensation avec une pression artérielle de 126/65 mmHg avec une FC à 79 bpm. Le patient rentre à domicile avec une prescription de cannes anglaises jusqu'au prochain rendez-vous orthopédique avec un arrêt de travail jusqu'au 15.01.2019. Mr. Y est adressé par son cardiologue traitant pour l'implantation d'un Pacemaker monocaméral. Il est connu pour une FA lente symptomatique avec des pauses jusqu'à 2.6 secondes. La pose de Pacemaker et la surveillance post-opératoire se déroulent sans complication. Une radio de thorax est effectuée pour exclure un pneumothorax et le premier contrôle du pacemaker est effectué. Ainsi le patient peut rentrer à domicile le 18.01.2019 en bon état général. Mr. Y, 18 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance après ostéosynthèse maxillaire des deux côtes. Après une évolution postopératoire initialement favorable, le patient se péjore rapidement avec insuffisance respiratoire aiguë en raison d'une obstruction pulmonaire gauche complète. Après un essai infructueux de VNI, il est repris au bloc opératoire pour intubation et bronchoscopie pour toilettage bronchique. L'intervention se déroule sans complications et permet une bonne évolution de la situation respiratoire. L'extubation a lieu le 28.01. avec un relai par VNI. D'un point de vue alimentation, le patient présente en postopératoire des troubles de la déglutition pour lesquels une nutrition entérale par SNG est débutée le 29.01.2019. L'hypophosphatémie doit être suivie et substituée (Phosphate Sandoz 3x1 gr po, contrôle le 30.01.), les apports nutritionnels sont à limiter puis augmenter prudemment (Isosource 500 ml/24h, puis dès le 30.01. augmentation selon avis diététicien). Mr. Y, patient de 76 ans, est admis aux soins intensifs pour un traitement de lyse dans le contexte d'une thrombose de l'artère rétinienne droite le 17.01.2019. Le patient présente une cécité complète de l'œil droit au réveil le 17.01.2019. Il consulte son ophtalmologue qui objective une occlusion de l'artère rétinienne droite. Le bilan radiologique exclut une hémorragie et il bénéficie d'une lyse par r-tPA. Par erreur une dose trop haute est administrée, la surveillance neurologique par la suite reste sans particularité. Mr. Y, 76 ans, a été admis suite à une thrombose aiguë de l'artère rétinienne droite qui a été traitée par lyse intraveineuse de rTPA, qui s'est compliquée d'une hémorragie intra-cérébrale temporo-pariétale droite. Le patient est traité pour une hypertension artérielle et sous Aspirine pour une indication inconnue. Le 17.01.2019, il a présenté une cécité complète de l'œil droit au réveil. Une occlusion de l'artère rétinienne droite a été mise en évidence, sans hémorragie. La thrombose a été traitée par une lyse intraveineuse avec administration de 100 mg d'Altéplase (pour une dose calculée qui était de 72 mg) dont la perfusion s'est terminée à 14h30. Lors de l'évaluation neurologique de 20h40, soit 6 heures après la fin de la lyse, le patient a signalé une légère récupération de la vision de l'œil droit, mais l'examen clinique a identifié une hémianopsie homonyme latérale gauche nouvelle ainsi qu'une minime chute de la commissure labiale gauche (NIHSS 3 points). Le CT-scan cérébral effectué en urgence a mis en évidence une hémorragie intra-cérébrale temporo-pariétale droite d'environ 8 x 4.5 x 4.5 cm avec une hémorragie sous-arachnoïdienne péri-lésionnelle et un effet de masse sur le système ventriculaire droit, sans déviation de la ligne médiane et sans signe d'engagement. À partir de 22h00, le patient a développé progressivement une dysarthrie, une aphasie modérée et une plégie de l'hémicorps gauche (NIHSS à 17 points). Le score de Glasgow était fluctuant entre 12 et 13 points. Un traitement d'acide tranexamique, fibrinogène, la transfusion de 1 concentré plaquettaire et de la vitamine K ont été immédiatement administrés après le diagnostic. La cible de pression artérielle systolique a été diminuée à 140-160 mmHg par l'administration de Labétalol iv, qui n'a pas pu être poursuivi en raison d'une bradycardie sinusale, relayé par de l'Urapidil à doses titrées. Un bloc de branche droit complet intermittent a aussi été constaté et pourrait avoir été favorisé par les répercussions de l'hémorragie intra-cérébrale. Après avis neurochirurgical, le patient a été transféré aux urgences de l'Inselspital à Berne. Le fils du patient a été informé en détails de la situation critique. Mr. Y, patient de 58 ans en bonne santé habituelle, se présente aux Urgences le 29.12.2018 pour des douleurs abdominales post-prandiales en hypochondre droit. Le patient dit avoir eu des épisodes similaires sur les quatre derniers mois dont la fréquence augmente, avec un dernier épisode 2 jours plus tôt. Les examens radiologiques mettent en évidence une cholécystite débutante avec présence de sludge dans la vésicule biliaire. L'indication opératoire est posée et le patient bénéficie d'une cholécystectomie laparoscopique le 30.12.2018. L'évolution clinique est favorable. Mr. Y quitte notre service pour un retour à domicile le 01.01.2019. Mr. Y est un patient de 19 ans, en bonne santé habituelle, qui nous est transféré de Riaz le 07.01.2019 pour un sepsis avec des douleurs abdominales. Un CT scanner retrouve une image compatible avec une appendicite rétro-caecale. Le patient bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique le 07.01.2019, sans complication. Les hémocultures reviennent positives pour un E. Coli sensible, que nous couvrons avec une antibiothérapie sur avis infectiologique. Les suites post-opératoires sont favorables, permettant un retour à domicile le 11.01.2019.Mr. Y est un patient de 73 ans, admis aux soins intensifs pour une surveillance respiratoire et hémodynamique suite à une thoracotomie du 27.12.2018. Le patient a bénéficié d'une thoracotomie avec une résection extra-anatomique du lobe inférieur droit pour une métastase d'un adénocarcinome colo-rectal. L'intervention s'est compliquée d'une lésion du nerf phrénique droit, qui a été suturée. Les suites opératoires sont non compliquées et le patient est resté afébrile. Le 02.01.2019, nous procédons au retrait du drain thoracique avec une radiographie thoracique de contrôle sans particularité. Le 04.01.2019, nous retirons le cathéter péridural, avec une reprise du Plavix 48 heures après (06.01.2019). Le patient rentre à domicile le 04.01.2019 avec un contrôle à 6 semaines post-opératoires en chirurgie thoracique. Mr. Y se présente le matin du 17.01.2019 dans notre service des urgences en raison de douleurs rétrosternales durant plus de 3 heures, associées à une dyspnée d'effort depuis une semaine environ. Il est notamment connu pour un antécédent d'infarctus du myocarde en 2002, une artériopathie du membre inférieur gauche et une séropositivité sous Triumeq. Le bilan initial révèle un infarctus avec élévation du segment ST (STEMI), conduisant à une coronarographie, lors de laquelle une occlusion de la coronaire droite proximale est traitée. Le patient séjourne aux soins intensifs du 17-18.01.2019, sans complication majeure. Il est transféré dans notre service de médecine le 18.01.2019. L'évolution clinique est favorable, et l'ETT du 18.01.2019 montre une fraction d'éjection du ventricule gauche conservée, moyennant une dyskinésie de la région correspondant à l'infarctus. Les traitements médicamenteux idoines sont introduits. Le patient étant opposé à une réadaptation cardiovasculaire ambulatoire ou stationnaire à l'HFR Billens, il rentre à domicile le 22.01.2019 muni d'une ordonnance de physiothérapie. Une alternative à la trithérapie actuelle - associée à une majoration du risque cardiovasculaire - sera rediscutée en ambulatoire à la consultation du Prof. X. Mr. Y, 73 ans, est hospitalisé aux soins intensifs le 09.01.2019 pour un STEMI antérieur sur une subocclusion de l'artère intraventriculaire antérieure proximale (IVA). Le patient, connu pour une hypertension artérielle, en bonne santé habituelle, présente des douleurs rétrosternales après une marche de 2 km. Aux urgences de Payerne, l'ECG montre un sus-décalage du segment ST dans les dérivations antérieures, raison du transfert à Fribourg. L'occlusion de l'IVA proximale est traitée par angioplastie et mise en place d'un stent actif. La fonction ventriculaire gauche est estimée à 40% à la ventriculographie, avec une hypokinésie antéro-latérale et une akinésie apicale. La surveillance aux soins s'avère sans particularités. Le pic de CK est à 2249 U/L. Un traitement par inhibiteurs de l'enzyme de conversion et béta-bloquants est introduit avec une bonne tolérance. La double agrégation plaquettaire par Aspirine et Efient est poursuivie. Une échocardiographie est à prévoir durant l'hospitalisation, ainsi qu'un contrôle dans 1 mois chez le Dr. X et une ergométrie dans 1 an. Une réadaptation cardiovasculaire est à discuter. Le patient est transféré en médecine à l'hôpital de Payerne le 10.01.2019. Mr. Y, âgé de 91 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'un clou PFNA le 25.12.2018 sur fracture pertrochantérienne de la hanche D le 23.12.2018. À l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Le patient se plaint de troubles de la déglutition et de nausées. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. Présence d'un œdème au pied D. La force du MIG est cotée à M5 globalement, celle du MID est cotée à M4 au quadriceps et au psoas. La sensibilité grossière est conservée. Le 13.01.2019 vers minuit, le patient présente un épisode de méléna abondant sans trace de sang frais. Il est apyrétique, stable sur le plan hémodynamique avec une fréquence cardiaque dans la norme. Une hémoglobinémie est stable par rapport aux bilans précédents (108 g/). Le status montre un abdomen souple, dépressible, indolore avec bruits hydro-aériques présents. Le patient présente aussi un épisode de vomissement bilieux (contexte de nausées chroniques avec troubles de l'alimentation) pour lequel il reçoit 10 mg de Primperan IV. L'auscultation cardiopulmonaire est sans particularité. L'ECG retrouve un rythme de FA à 85/min sans signe d'ischémie, comparable à l'ECG réalisé à l'entrée. La Clexane est suspendue pour le moment et nous introduisons du Pantozol 40 mg x 2. À noter un épisode hypertensif à 220/100 mmHg, résolutif après l'administration de 2 bouffées d'Isoket et 1 cpr d'Amlodipine 5 mg. À la visite de contrôle à 07h30, le patient est toujours apyrétique, stable sur le plan hémodynamique et normocarde. Cependant, le patient décrit un inconfort digestif important avec une sensation de pesanteur abdominale sans douleur franche non présente lors de l'évaluation initiale et il présente un nouvel épisode de méléna. Au status, on retrouve un abdomen souple mais sensible dans son ensemble avec défense en fosse iliaque gauche. Mr. Y est transféré le jour même à l'HFR Fribourg pour investigations et prise en charge spécialisée. Mr. Y, un patient de 91 ans connu pour une cardiopathie ischémique, adressé depuis l'hôpital de Billens où il séjournait pour une réhabilitation musculo-squelettique, est hospitalisé en raison d'une hémorragie digestive haute. En effet, le patient a présenté des douleurs abdominales accompagnées de nausées et de selles méléniques. Le CT abdominal permet d'exclure une ischémie mésentérique. La gastroscopie du 13.01.2019 met en évidence un ulcère du bulbe en voie de guérison. Dans le contexte de l'hémorragie digestive haute sur ulcère du bulbe, un traitement d'IPP par voie intraveineuse en continu est débuté, puis relayé par voie orale le 15.01.2019. Aux urgences, nous mettons également en évidence un NSTEMI secondaire à une crise hypertensive et à l'anémie pour lequel le patient refuse une surveillance aux soins intensifs. L'échocardiographie transthoracique est superposable à la précédente de décembre 2018, et ne montre pas de trouble de la cinétique segmentaire. Au vu de la fibrillation auriculaire connue, nos collègues cardiologues proposent de poursuivre l'antiagrégation plaquettaire par Aspirine. Une fermeture de l'auricule gauche est également proposée, mais au vu du peu de bénéfice attendu et de l'attitude générale abstentionniste, cette intervention ne sera pas réalisée. Depuis la fracture pertrochantérienne, le patient présente une inappétence importante accompagnée d'une dysphagie, déjà rapportée durant l'hospitalisation en orthopédie. La gastroscopie montre un œsophage normal. Un test de déglutition ne montre pas d'anomalie. À l'hétéro-anamnèse auprès de son fils, une composante psychosomatique serait présente, raison pour laquelle ce dernier lui prescrit de l'Haldol et du Temesta, traitement que nous mettons en suspens à l'entrée. Un avis psychiatrique confirme une symptomatologie dépressive indiquant l'introduction d'un antidépresseur avec effet positif sur l'appétit, ainsi que l'introduction de Zyprexa à la place de l'Haldol.L'attitude générale est rediscutée pendant le séjour au vu de la perte d'élan vital et du mal-être général ressenti par Mr. Y. En particulier, ce dernier refuse catégoriquement un retour à Billens pour reprendre la réadaptation musculo-squelettique. La décision communément partagée avec le patient, sa famille et notamment son fils médecin, est prise en faveur d'un retour à domicile pour une fin de vie et une abstention de soins à caractère interventionniste. Une adaptation du traitement habituel est faite dans ce sens avec arrêt de l'Atorvastatine. Les suites d'hospitalisation sont simples, avec une évolution lentement favorable sur le plan de l'alimentation et du moral. De même, Mr. Y montre des progrès sur le plan de la mobilisation grâce à la physiothérapie, avec toutefois des douleurs par moment importantes dans la hanche opérée. L'hémoglobine est surveillée et montre une stabilité en l'absence de nouvelle extériorisation pendant le séjour, avec une valeur de sortie mesurée à 98 g/L. Un bilan d'anémie n'a pas montré de carence ni d'hypothyroïdie. Au vu de ce qui précède, et d'une discussion impliquant Mr. Y et sa famille quant à l'orientation des soins, un retour à domicile est organisé pour le 23.01.2019 avec mise en place des soins infirmiers et de la physiothérapie à domicile et adaptation du domicile par l'ergothérapeute. En cas d'évolution rapidement défavorable à domicile, le fils (médecin) de Mr. Y se coordonnera avec le médecin traitant pour discuter des mesures d'accompagnement de fin de vie à prendre. Mr. Y est un patient de 31 ans, qui se présente aux urgences en raison de douleurs anales persistantes malgré un traitement local pour des hémorroïdes. Il décrit des douleurs surtout augmentées par la défécation. Au status, nous notons un abcès para-anal à 3h en position gynécologique d'environ 3 x 2 cm, douloureux à la palpation sans écoulement visualisé. Mr. Y est donc hospitalisé en vue d'un drainage de l'abcès para-anal. Cette intervention est réalisée le 30.12.2018 sans complication. Une fistule est également mise en évidence, raison pour laquelle nous mettons en place un fils de Seton. Les suites opératoires sont simples avec des douleurs contrôlées et le penrose est retiré le 31.12.2018. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile le 31.12.2018. Nous l'instruisons concernant les soins locaux à apporter. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire le 18.12.2018 suite à un triple pontage aorto-coronarien le 07.12.2018 à l'Inselspital. Traitement à l'entrée : • Aspirine Cardio 100 mg 1-0-0-0 • Lisitril 20 mg 2-0-0-0 • Metoprolol 50 mg 1.5-0-1.5-0 • Amlodipine 5 mg 0-0-1-0 • Metformine 500 mg 1-0-0-0 • Atorvastatine 40 mg 0-0-1-0 • Nexium 40 mg 1-0-0-0 • Nitroderm TTS 5mg/24h 1-0-0-0 jusqu'au 18.01.2019 • Dafalgan 500 mg 4x/jour en R si douleurs • Novalgine 500 mg 4x/jour en R si douleurs Lors de son arrivée, Mr. Y est en isolement de contact pour suspicion d'enterobacter résistante à la Vancomycine. Le frottis rectal du 18.12.2018 revient négatif et l'isolement est levé le 21.12.2018. Sur le plan respiratoire, Mr. Y présente une toux sèche en début de séjour qui évolue en toux productive. Mr. Y bénéficie donc de physiothérapie respiratoire et une culture d'expectoration est réalisée le 28.12.2018 qui revient négative. Mr. Y présente des températures sub-fébriles à 37.7 sous Dafalgan durant le weekend du 29.12 au 30.12.2018. L'auscultation pulmonaire du 31.12.2018 évoque une suspicion de surinfection bactérienne de sa pneumopathie obstructive chronique, raison pour laquelle nous administrons un traitement de Ciproxine per os 500 mg 2 fois par jour durant 5 jours dès le 31.12.2018 ainsi qu'un traitement d'Atrovent 2 fois par jour et de Ventolin en réserve. L'évolution est favorable et Mr. Y rentre à domicile avec un traitement inhalateur de Symbicort 100/6, que nous laissons le soin au médecin traitant de réévaluer. Sur le plan cardiologique, Mr. Y présente des valeurs de tensions artérielles et de fréquence cardiaque dans la norme permettant de diminuer le Beloc Zok à 125 mg par jour au total le 31.12.2018 puis à 100 mg de Beloc Zok par jour au total dès le 05.01.2019, dans le contexte de sa pneumopathie obstructive chronique. Au sujet du réentraînement à l'effort, Mr. Y a débuté dans un groupe d'intensité faible et il a pu tout au long de son séjour en réhabilitation. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo à 60 watts pendant une durée de 25 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue de 75 mètres avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : 1. Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.1 mmol/L, des HDL à 0.84 mmol/L, des LDL à 1.65 mmol/L, des triglycérides à 1.87 mmol/L. 2. Poursuite du sevrage tabagique depuis l'opération. Mr. Y ne désire pas de substitution nicotinique. En cas de difficultés, nous donnons à Mr. Y les coordonnées de Dr. X afin qu'il puisse obtenir une consultation ambulatoire. 3. Sous traitement, la fréquence cardiaque et la tension artérielle sont restées dans la norme. Mr. Y, un patient de 69 ans connu pour un carcinome de la thyroïde, est hospitalisé de manière élective pour thérapie à l'iode radioactif dans le cadre du traitement post-opératoire de son carcinome. Le séjour ainsi que la thérapie se déroulent sans complications. Mr. Y bénéficie des examens d'imagerie pré- et post-thérapie. Il quitte l'hôpital le 17.01.2019 avec poursuite du suivi à la consultation de Dr. X. Mr. Y, patient de 54 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance suite à un choc anaphylactique sur la prise d'Ibuprofène. Mr. Y a consulté initialement les urgences en raison des symptômes d'un état grippal avec notamment présence d'une toux et d'une dyspnée, chez un patient connu et traité pour un asthme bronchique. Sa fille a été récemment hospitalisée pour une grippe à Influenza A et le frottis nasopharyngé effectué chez Mr. Y revient également positif. Un traitement symptomatique a été proposé. Dans le cadre du bilan de la dyspnée, un CT-scan thoracique est effectué aux urgences, qui met en évidence une image suspecte d'embolie pulmonaire sous-segmentaire inférieure gauche, ceci en l'absence de facteurs de risque. Le bilan est complété par un US Doppler des membres inférieurs qui ne montre pas de thrombose. Les images du CT-scan thoracique sont revues avec les radiologues et le diagnostic n'est finalement pas retenu. Un contrôle par imagerie n'est pas nécessaire à moins que Mr. Y développe une symptomatologie suspecte. Durant la période d'évaluation aux urgences, Mr. Y reçoit un comprimé d'Ibuprofène pour les symptômes grippaux et développe rapidement un choc anaphylactique qui évolue favorablement sous traitement. Nous proposons à Mr. Y une prise en charge allergologique en ambulatoire qui se fera chez Dr. X à Fribourg.Mr. Y, 54 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs pour une décompensation aiguë de BPCO précipitée par une grippe A. Ce patient français sans domicile fixe est connu pour une BPCO non stadée, sous extracteur d'oxygène. En raison d'une décompensation respiratoire, il avait reçu pendant 6 jours une antibiothérapie de Co-Amoxiciline qui a été stoppée 4 jours avant l'admission. Il a consulté les urgences des HUG le 16.01.2019 et celles de l'HFR le 17.01.2019 dans le même contexte. Le 19.01.2019, il a été amené en ambulance pour une dyspnée aiguë avec toux et expectorations. Une antibiothérapie empirique a été reprise par ceftriaxone et clarithromycine. L'insuffisance respiratoire hypoxémique hypercapnique aiguë a été précipitée par une infection virale à influenza A, confirmée par frottis naso-pharyngé. L'antibiothérapie et la corticothérapie ont donc été initialement arrêtées. Cependant, la récidive d'un état fébrile et de frissons faisant suspecter une possible infection bronchique bactérienne surajoutée, une antibiothérapie de Pipéracilline-tazobactam a été poursuivie dès le 21.01.2019 pour 5 jours. Un support respiratoire par ventilation non invasive en continu, puis en alternance avec une oxygénothérapie à haut débit ont été initialement nécessaires avec une évolution favorable. La physiothérapie respiratoire et de mobilisation devra être poursuivie. Une malnutrition protéino-énergétique modérée a motivé une vitaminothérapie, des suppléments nutritifs oraux et une substitution électrolytique. Vu la précarité sociale du patient qui est de nationalité française et sans domicile fixe, nous avons contacté le service de liaison de l'hôpital, le service social de la ville de Fribourg, ainsi que l'action sociale du canton de Fribourg. Il faudra recontacter cette dernière afin de pouvoir régulariser la situation du patient et envisager un éventuel hébergement à la sortie d'hospitalisation. Mr. Y, patient de 94 ans connu pour une hypertension artérielle, est adressé par son ophtalmologue traitant devant une hémianopsie homonyme latérale gauche d'apparition aiguë. Pour rappel, l'anamnèse révèle le déficit présent depuis le réveil, surtout constaté lorsque le patient tente de lire le journal. L'évaluation aux urgences met en évidence une fibrillation auriculaire normocarde. Le CT cérébral révèle un AVC ischémique occipital droit constitué avec aspect grêle de P2 distal et probable occlusion de P3 de l'ACP droite. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique. La surveillance neurologique confirme une persistance de l'hémianopsie homonyme latérale à gauche. L'IRM cérébrale confirme la lésion ischémique et démontre une transformation hémorragique motivant la mise en suspens du traitement anticoagulant de Xarelto 15 mg introduit pendant 48h. Sur le plan du bilan étiologique, l'échocardiographie transthoracique démontre une sténose aortique serrée de bas débit (asymptomatique) et une hypokinésie de la paroi inférieure et postérieure moyenne. Selon avis cardiologique, l'indication à une coronarographie avec éventuellement cathétérisme droit-gauche (pour évaluation de la valvulopathie) à la recherche d'une maladie coronarienne est à évaluer dans un deuxième temps selon le contexte actuel du patient. Nous retenons une étiologie cardio-embolique à l'événement ischémique actuel. Sur le plan médicamenteux, le traitement anticoagulant est à poursuivre et un traitement hypolipémiant est introduit. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 2.6 mmol/l). Les examens de laboratoire confirment une acuitisation sans critère AKIN de l'insuffisance rénale chronique (KDIGO 3) avec une clairance selon CKD-EPI calculée à 32 ml/min, d'origine probablement prérénale. L'évolution est favorable. L'hospitalisation est compliquée par une décompensation cardiaque sur probable pic hypertensif le 17.01.2019. L'évolution est favorable avec un traitement diurétique et un suivi pondéral régulier à domicile est indiqué. Mr. Y bénéficie d'une prise en charge multidisciplinaire. Sur son retour à domicile, le patient est autonome pour la marche avec un moyen auxiliaire (rollator) avec un périmètre de marche de 200 m, sécuritaire. Il est autonome pour les transferts et les activités de la vie quotidienne. Devant l'évolution favorable, le patient regagne son domicile le 19.01.2019 avec renforcement de l'encadrement ambulatoire (introduction de passage infirmier pour contrôle de la santé, physiothérapie à domicile). Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mr. Y est un patient de 55 ans, hospitalisé aux soins intensifs puis temporairement aux HUG pour le sevrage de la ventilation mécanique au décours d'une broncho-pneumonie à Picornavirus compliquée d'une défaillance respiratoire sévère ayant nécessité une assistance par ECMO durant 10 jours. Pour rappel, plusieurs complications sont survenues dont une thrombose septique de la VVC gauche, une TVP du MI droit qui motivent une anticoagulation thérapeutique, ainsi qu'une bactériémie à Staphylocoque epidermidis sur le cathéter jugulaire d'ECMO, actuellement sous Cubicine. Il nous est transféré en médecine interne pour la suite de prise en charge avec une réadaptation respiratoire et mobilisation. Durant le séjour en médecine, nous poursuivons le sevrage de l'oxygène. Une physiothérapie intensive est instaurée dans le cadre d'une polyneuropathie des maladies critiques. Le patient se mobilise à l'aide des physiothérapeutes et est capable à sa sortie de faire les transferts seuls, ainsi que de se déplacer au turner accompagné dans le corridor. La neuromyopathie des soins est encore présente au niveau des membres inférieurs avec une faiblesse des extenseurs des deux pieds et des quadriceps. La bactériémie à Staphylocoque epidermidis est en cours de traitement par daptomycine iv depuis le 19.01.2019 pour une durée totale de 2 semaines en accord avec les infectiologues. Dans le cadre des thromboses, l'anticoagulation thérapeutique par Clexane est à continuer sur 6 semaines. Le patient sera revu en consultation angiologique chez le Dr. X en mars à Riaz. Mr. Y est un patient de 92 ans, connu pour une fibrillation auriculaire diagnostiquée en novembre 2018, une hypertension artérielle, une maladie variqueuse chronique, un diabète de type 2 présent depuis 2 mois, et qui est admis en réadaptation gériatrique dans un contexte de troubles de la marche et de l'équilibre. Sur le plan social, Mr. Y vit à domicile avec son épouse, et aurait chuté à quelques reprises au cours de l'année 2018. Sur le plan cardiaque, nous observons une amélioration des signes de décompensation cardiaque. Nous ajoutons de la digoxine de manière transitoire pour l'effet chronotrope négatif et inotrope positif, avec une bonne réponse. Nous adaptons également les traitements diurétiques pour les signes de surcharge. Concernant la fibrillation auriculaire, nous introduisons l'Eliquis en raison de la fonction rénale après arrêt de l'héparine. Au niveau hématologique, en raison d'une thrombopénie nouvelle à 82 G/l, nous suspectons un HIT que nous investiguons avec la recherche des anticorps anti-PF4 qui reviennent négatifs. Malgré ce résultat, nous demandons un consilium en hématologie vu la cinétique des thrombocytes, raison pour laquelle nous effectuons un test HIPA (Heparin-induced Platelet Antibody) qui revient également négatif et qui nous permet d'écarter la suspicion d'une HIT. Une ré-exposition à l'héparine est de nouveau autorisée.Le patient présente également une anémie normochrome normocytaire que nous investiguons avec une recherche de sang dans les selles qui reviendra finalement positive le 28.12.2018. Dans ce contexte, nous stoppons l'aspirine cardio et adoptons une attitude pragmatique quant aux investigations au vu de la situation clinique (traitement d'IPP). En cas de récidive, nous vous laissons le soin de réévaluer l'indication d'un soutien transfusionnel et d'un éventuel arrêt de l'Eliquis. Sur le plan néphrologique, Mr. Y présente une insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique avec bonne évolution suite à une expansion volémique et adaptation des médicaments néphrotoxiques. Sur le plan infectieux, le patient présente un épisode de diarrhées sans vomissement dans un contexte de contage à Norovirus mis en évidence après coproculture. L'évolution est favorable suite à un traitement symptomatique. Sur le plan endocrinologique, nous introduisons une Lantus que nous remplaçons par un antidiabétique oral avec un bon profil glycémique. Enfin, concernant les troubles de la marche et de l'équilibre, nous mettons en place une physiothérapie de mobilisation. A la sortie du patient, le périmètre de marche seul à l'aide d'un déambulateur est de 130 mètres. Mr. Y peut gravir 9 marches avec accompagnement. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 63/126, par rapport à 32/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 2/7). Le TUG est à 28.27 secondes avec rollator. Durant son séjour, Mr. Y bénéficie d'un suivi nutritionnel objectivant une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec une baisse d'état général sur décompensation cardiaque, induisant une inappétence, et démontrée par un NRS à 3/7 et des ingesta à 50%. Mr. Y bénéficie également d'un suivi d'ergothérapie avec un bilan modulaire relevant des difficultés de compréhension et de l'expression (manque du mot, paraphasie). Depuis le 28.12.2018 et dans l'attente d'un placement, Mr. Y reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, le 07.01.2019, Mr. Y sera institutionnalisé au Foyer La Rose des Vents à Broc. Mr. Y, 55 ans, a été transféré le 16.01.2019 des Hôpitaux universitaires de Genève pour la suite du sevrage d'une ventilation mécanique au décours d'une broncho-pneumonie à Picornavirus compliquée d'une grave défaillance respiratoire ayant nécessité une assistance par ECMO. Le patient a été hospitalisé initialement le 04.01.2019 dans notre service des soins intensifs pour la broncho-pneumonie à Picornavirus et une grave décompensation de sa broncho-pneumopathie chronique obstructive de stade II. Sous ventilation mécanique invasive avec administration d'Héliox et curarisation, la défaillance respiratoire hypoxémique hypercapnique est restée réfractaire et s'est compliquée d'un choc cardiogénique sur défaillance ventriculaire droite et hyperinflation dynamique. Suite au transfert le 05.01.2019 aux soins intensifs des Hôpitaux universitaires de Genève, une assistance respiratoire par ECMO a été nécessaire pendant 10 jours, avec une évolution favorable. La fin du sevrage de la ventilation mécanique a été réalisée dans notre service et le patient a pu être extubé le 18.01.2019. Des séances de ventilation non invasive intermittente ont encore été nécessaires pendant 2 jours, en association avec la physiothérapie respiratoire intensive et une déplétion par furosémide. Suite à un délirium durant la phase critique ayant nécessité l'administration de neuroleptiques et benzodiazépines, le patient a présenté un réveil calme et adapté sous oxazepam seul, qui est en voie de sevrage progressif. Une insuffisance surrénalienne aiguë est survenue en cours du sevrage de la Prednisone et a nécessité l'administration ponctuelle d'hydrocortisone intraveineuse. Le sevrage de la Prednisone devra être poursuivi de manière progressive par paliers de minimum 5 jours, à adapter selon l'état clinique. La nécessité du maintien d'une dose minimale devra être réévaluée. Une neuromyopathie secondaire à la maladie critique a nécessité une physiothérapie intensive passive, puis active, qui devra se poursuivre quotidiennement. Une demande en vue d'une réadaptation respiratoire à l'HFR Billens a été envoyée le 19.01.2019. La réalimentation par voie orale a été débutée le 19.01.2019 selon un régime mixé lisse avec une bonne tolérance et sans trouble de la déglutition. Une bactériémie à Staphylocoque epidermidis avec infection du cathéter veineux central et probable thrombose septique jugulaire interne gauche est en cours de traitement par daptomycine iv depuis le 19.01.2019. La durée totale de l'antibiothérapie sera de 7 jours, ou 4 semaines en cas de persistance de la thrombose veineuse après 1 semaine d'anticoagulation thérapeutique. Un contrôle angiologique devrait donc être organisé le 28.01.2019. Un écoulement purulent à Staphylocoque epidermidis et Enterocoque faecalis a aussi été identifié au site d'abord vasculaire utilisé pour l'ECMO dans le triangle de Scarpa droit. Cette infection est traitée par des soins locaux et la daptomycine. L'anticoagulation thérapeutique a été débutée le 21.01.2019 pour une durée de 6 semaines, qui est aussi motivée par la découverte d'une thrombose veineuse profonde distale musculaire de 4 cm du membre inférieur droit, à la jonction des veines péronières. Le port d'une compression élastique des membres inférieurs est aussi préconisé à la mobilisation. Les fils de suture cervicaux et inguinaux droits pourront être retirés à J12 (soit le 27.01.2019). Le patient a été transféré le 21.01.2019 dans le service de médecine interne. Mr. Y, patient de 57 ans connu pour les antécédents susmentionnés, a été adressé depuis la consultation de Proctologie en raison d'une suspicion de fistule sous-cutanée au niveau de la racine de la cuisse droite. Il bénéficie d'une révision chirurgicale de la cuisse droite avec kystectomie le 23.01.2019. L'exploration au bloc opératoire n'a pas mis en évidence de fistule. L'intervention se déroule sans complication. L'évolution est par la suite bonne. Mr. Y rentre à domicile le 24.01.2019 en bon état général. Nous reverrons le patient le 04.02.2019 à notre consultation proctologique. Mr. Y est un patient de 72 ans, connu pour une hyperplasie de la prostate avec résection en 2015, qui se présente aux urgences pour une macrohématurie accompagnée de brûlures et dysurie depuis 12 heures. Il décrit plusieurs épisodes de macrohématuries depuis le dernier contrôle chez le Dr. X au mois de juin 2018. Nous posons une sonde trois voies pour des rinçages. L'évolution est favorable avec une ablation de la sonde le 29.12.2018. Le patient développe des douleurs rétrosternales dans la nuit du 29.12.2018 motivant un ECG avec bilan des enzymes cardiaques qui sont dans la norme. Le patient rejoint son domicile le 29.12.2018 avec un rendez-vous chez le Dr. X à prévoir début janvier 2019 (le patient prendra contact directement). Mr. Y, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à un STEMI sur occlusion de la coronaire droite survenu le 22.11.2018. Pour rappel, il avait présenté une douleur des membres inférieurs suivie d'une douleur rétro-sternale constante pendant 48h. Le patient avait présenté un malaise sans perte de connaissance le 21.11.2018 en voulant se lever la nuit. Il avait consulté par la suite l'HFR Meyriez. L'ECG avait retrouvé un STEMI dans les dérivations inférieures, raison pour laquelle il fut transféré à l'HFR Fribourg où une coronarographie avait été réalisée montrant une lésion monotronculaire de l'aorte coronaire droite. Une angioplastie par ballonnet avait été réalisée et un stent actif implanté. La fraction d'éjection du ventricule gauche est normale (66%) mais la ventriculographie gauche avait montré une akinésie diaphragmatique. Le pic de CK avait été atteint le 23.11.2018 à 1612 U/l. Le patient bénéficie d'un traitement par double antiagrégation, bêta-bloquant, statine et IEC.Le traitement à l'entrée comprend : • Aspirine Cardio 100 mg • Simvastatine 40 mg • Cotenolol 100/25 • Efient 10 mg • Lisinopril 2.5 mg • Insuline Levemir 54-0-50 • Insuline Novorapid 6-4-6. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de marcher sur tapis roulant pendant une durée de 25 minutes à une allure de 5.1 km/h sur une pente de 5 % sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 110 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. À son arrivée, Mr. Y présentait une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle KDIGO 1 d'évolution favorable après réhydratation et arrêt des diurétiques. Concernant son diabète, en collaboration avec les endocrinologues de l'HFR Fribourg, son traitement a été réajusté et les doses d'insuline ont pu être diminuées de manière significative avec des glycémies satisfaisantes. Du fait de son diabète insulino-requérant, l'Aténolol a été changé pour le Nebivolol. Le bilan lipidique de sortie retrouve un LDL à 1.53 mmol/L, un HDL à 0.98 mmol/L et des triglycérides à 1.39 mmol/L. Mr. Y souffre d'un doigt à ressaut. L'indication opératoire est donnée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord, le consentement est signé. L'intervention aura lieu en ambulatoire le 07.02.2019. Mr. Y se présente dans notre service des urgences le 20.01.2019, en raison d'une dyspnée en péjoration avec toux grasse. Le bilan initial aux urgences révèle un état fébrile à 38.3°, un NT-proBNP augmenté à 1924 ng/l, ainsi qu'un léger syndrome inflammatoire (CRP à 32 sans leucocytose). La radiographie du thorax montre des signes compatibles avec une surcharge. Une antibiothérapie est débutée sur suspicion d'un foyer pulmonaire et le patient hospitalisé dans notre service de médecine interne. L'évolution clinico-biologique n'est toutefois pas celle d'une pneumonie, laissant plutôt penser à une bronchite bactérienne, voire à une décompensation de BPCO (non diagnostiquée à ce jour). L'introduction d'un traitement de prednisone et d'aérosols d'Atrovent/Ventolin se solde par une rapide amélioration clinique, en complément duquel un traitement de Symbicort est ajouté. Nous présentons le patient à nos collègues pneumologues (Dr. X), tant sur la base d'un ancien tabagisme passif que d'une exposition actuelle à des antigènes animaux (petits mammifères, volailles) et d'un traitement à long terme par cordarone. Ceux-ci suggèrent la réalisation d'un scanner thoracique pour exclure une pneumopathie interstitielle ou une sarcoïdose, au vu de la radiographie de thorax avec un flou périhilaire bilatéral et des opacités difficiles à caractériser, ainsi qu'un antécédent d'adénopathies à un scanner thoracique de 2015. Le patient sera revu en ambulatoire dans leur service pour des fonctions pulmonaires complètes et un avis spécialisé quant à une possible BPCO sous-jacente. Le traitement de cordarone est arrêté dans ce contexte. Sur le plan cardiaque, une ETT thoracique effectuée montre une stabilité de la FEVG estimée à 55 %. Un contrôle du pacemaker n'a pas enregistré d'arythmie. Les traitements diurétiques sont adaptés tout au long du séjour pour aboutir à la reprise du furosémide per os dès le 29.01.2019. Sur le plan diabétologique, les schémas d'insuline ont été modifiés au cours de l'hospitalisation compte tenu du contexte infectieux et du traitement par prednisone. Le Trajenta a été stoppé sur les conseils des diabétologues. Mr. Y est un patient de 24 ans, connu pour une épilepsie, qui se présente aux urgences le 26.12.2018 pour des douleurs abdominales importantes de type crampiforme, en fosse iliaque droite avec nausées et vomissements ainsi qu'un état fébrile associé. Le bilan biologique et radiologique confirme le diagnostic d'une appendicite aiguë. Nous retenons l'indication pour une appendicectomie laparoscopique, qui se déroule sans complication notable le 27.12.2018. Les suites post-opératoires sont marquées par des douleurs abdominales importantes, raison pour laquelle nous effectuons un scanner le 27.12.2018 qui ne montre pas de perforation ni de lâchage du moignon, mais qui met en évidence une pneumonie du lobe inférieur droit. Nous introduisons une antibiothérapie par Co-Amoxicilline. En vue de l'évolution favorable, le patient peut regagner son domicile le 29.12.2018. L'antibiothérapie sera à continuer pendant une durée totale de 7 jours. Mr. Y, connu pour une leucémie lymphoïde chronique suivie par le Dr. X à l'HFR Fribourg, est adressé aux urgences par le Dr. X le 05.01.2019 en raison d'une désaturation à 79 % à l'air ambiant et d'un état fébrile. Le patient rapporte une péjoration récente de sa dyspnée avec un état fébrile depuis le 04.01.2019, sans frisson. Critères Anthonisen 2/3. Pas d'autre plainte. À l'admission aux urgences, le patient est normocarde à 90/min, normotendu à 138/82 mmHg, eupnéique à 16/min, fébrile à 38.7 °C et désaturé à 79 % à l'air ambiant. Au statut cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers, sans souffle surajouté. Pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire. Pas d'oedème des membres inférieurs. Au statut respiratoire, présence de ronchis et de crépitants bilatéraux, à droite plus qu'à gauche. Le reste du statut d'entrée est sans particularité. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 205 mg/l, une leucocytose à 73.9 G/l, ainsi qu'une lymphocytose à 67.25 G/l. La fonction rénale est conservée, pas de trouble électrolytique. La gazométrie montre une hypoxémie sévère à 6.6 kPa, sans rétention de PCO2, une deuxième gazométrie effectuée aux urgences montre une amélioration de l'hypoxémie à 9.0 kPa. La radiographie du thorax effectuée par le médecin traitant montre une pneumonie basale gauche. Nous prélevons deux paires d'hémocultures ainsi qu'une recherche d'antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque et nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv 1x/j, ainsi que Klacid 500 mg per os 2x/j. Les hémocultures ainsi que la recherche d'antigènes urinaires reviennent négatives et le Klacid est arrêté le 07.01.2019. La Rocéphine iv est relayée par la Co-Amoxicilline 1 g per os 2x/j dès le 10.01.2019, poursuivie jusqu'au 14.10.2019 inclus. Durant l'hospitalisation, le patient prend du poids et l'auscultation pulmonaire met en évidence des râles de stase, sans oedème des membres inférieurs. Dans ce contexte, nous introduisons un traitement diurétique par Lasix 20 mg 2x/24h iv du 07 au 09.01.2019 avec une bonne réponse clinique. En raison d'une toux grasse, nous effectuons une culture d'expectoration qui montre une flore bucco-pharyngée.Une gazométrie à l'air ambiant effectuée le 11.01.2019 montre une alcalose respiratoire sans rétention de CO2. Nous arrivons à sevrer l'oxygénothérapie avec bonne tolérance au repos, mais persistance d'une désaturation à 86% à l'effort. Nous effectuons une radiographie de thorax de contrôle qui montre, en comparaison avec celle effectuée par le Dr. X le 05.01.2019, une diminution de l'opacité alvéolaire visible à l'hémiplage pulmonaire gauche, la persistance de troubles ventilatoires à la base gauche, relativement inchangés, le remaniement pleuro-parenchymateux du cul de sac costo-diaphragmatique gauche et la suspicion d'une discrète majoration d'un épanchement pleural basal droit. Au niveau de l'apex pulmonaire droit, présence de remaniements sous-pleuraux pouvant faire évoquer une fibrose ainsi qu'un aspect réticulaire de la trame interstitielle. Dans ce contexte de possible fibrose et de désaturation à l'effort, nous vous laissons le soin d'organiser un bilan pulmonaire dès que possible. Le laboratoire de contrôle du 10.01.2019 met en évidence une légère hypokaliémie à 3.3 mmol/l, probablement due à un diurétique, que nous substituons, avec bonne réponse et une kaliémie à 5,1 mmol/l le 14.01.2019. Nous arrêtons donc la substitution en potassium avant la sortie de l'hôpital. A noter que le patient bénéficie de l'administration de Privigen suivi d'une consultation chez le Dr. X le 15.01.2018 à l'HFR Fribourg. L'évolution clinique et biologique étant favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 16.01.2019. Nous proposons un contrôle à votre consultation la semaine suivant la sortie. Mr. Y est un patient de 51 ans, connu pour une maladie artérielle périphérique de stade I et pour des ulcères veineux chroniques de stade III et vivant en état d'incurie, qui se présente aux urgences à cause d'une évolution défavorable d'une plaie de son membre inférieur gauche avec l'augmentation d'une rougeur et d'un œdème depuis un mois. Nous débutons une antibiothérapie par Céfazoline le 07.12.2018 et nous hospitalisons le patient. Un bilan angiologique montre une insuffisance veineuse superficielle et profonde sans perforante visible au site de l'ulcère ainsi qu'une absence d'artériopathie significative aux membres inférieurs des deux côtés. Une IRM de la jambe ne montre pas d'atteinte osseuse. Le patient bénéficie d'un débridement de l'ulcère de la jambe gauche avec la pose de VAC le 14.12.2018. L'intervention se déroule sans complication. Des changements itératifs de VAC sont effectués jusqu'au 17.12.2018, date à laquelle une greffe de Thiersch est effectuée. Les suites opératoires sont par la suite favorables, raison pour laquelle Mr. Y rentre à domicile le 02.01.2019. Mr. Y présente une gonarthrose tri-compartimentale valgisante à droite, invalidante et ne répondant plus au traitement conservateur. Nous retenons donc une indication opératoire sous forme d'une arthroplastie totale du genou droit par prothèse Mathys BalanSys. Une date opératoire est agendée au 22.01.2019. Le patient entrera dans le protocole ERAOS. Il reçoit les informations concernant l'intervention, entre autres risques et bénéfices de celle-ci et suites postopératoires. Il donne son accord en signant le formulaire de consentement. Il sera vu dans l'intervalle par les anesthésistes. Mr. Y, connu pour une cardiopathie ischémique et valvulaire avec dernière pose de stent en octobre 2018, est envoyé par son médecin traitant pour des OMI en péjoration avec un CT-SCAN thoraco-abdominal démontrant des épanchements pleuraux bilatéraux. Le patient présente depuis novembre une augmentation des œdèmes des membres inférieurs et de la dyspnée à l'effort, sans douleur rétrosternale. Au statut, le patient présente des œdèmes des membres inférieurs avec des râles crépitants fins aux bases. Le bilan parle en faveur d'une décompensation cardiaque avec des NT-proBNP augmentés et des épanchements pleuraux à l'imagerie. Un ECG est superposable au comparatif. Nous complétons le bilan par une échocardiographie qui montre une FEVG à 55%, diminuée par rapport à la dernière du 10.01.2017 (FEVG à 70%), mais sans troubles de la cinétique nouveaux. L'indication à une coronarographie n'est pas retenue et nous retenons une décompensation cardiaque sur une hypertension artérielle mal contrôlée. Nous adaptons le traitement diurétique, majorons le sartan et maintenons, après discussion avec le Dr. X, le traitement contre l'insuffisance cardiaque et l'hypertension artérielle déjà en place, notamment l'Eplérénone. Un contrôle est organisé chez le Dr. X le 6.1.2019. Nous poursuivons le traitement par sintrom et proposons un contrôle de l'anticoagulation dans 2 semaines à votre consultation. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile le 4.1.2019. Mr. Y, patient de 91 ans en bonne santé habituelle sans traitement médicamenteux habituel, nous est adressé par les urgences de l'HFR Riaz pour suite de la prise en charge d'un probable accident ischémique transitoire le 19.12.2018 et manque de place. À l'entrée, il rapporte une baisse de l'état général avec confusion et asthénie depuis trois jours, associée à une déviation de la bouche à gauche qui est actuellement plus objectivable. Il mentionne des vertiges rotatoires sans nausées ni céphalées. D'ailleurs, il aurait présenté un épisode de perte d'urine. Depuis environ un an, Mr. Y a remarqué des bégaiements de la voix et des légers tremblements de la tête, aggravés par le stress et non influencés par l'alcool. Par contre, il boit seulement un petit peu de whisky avant de se coucher. Cliniquement, le patient est orienté dans les trois modes, et ne présente plus de déficit focal ou latéralisation dans le statut neurologique. Il reste juste une légère asymétrie tombante de la bouche à gauche, probablement constitutionnelle. Sur le plan cardiovasculaire, l'examen clinique est normal. Il habite avec sa compagne dans un appartement au 3e étage avec un ascenseur, mais ils essaient au moins 2x/semaine de néanmoins utiliser les escaliers. Ils font tous les AVQ ensemble. Il conduit encore dans le village sur de courtes distances. Le couple est très entouré par la famille de sa compagne, de son côté il n'a plus personne. Ils aiment voyager, se balader, et il fait du dessin. Il a été serrurier. Un CT cérébral ne montre pas d'ischémie aiguë ni d'hémorragie ou d'anomalie significative des vaisseaux précérébraux, et l'ECG ne montre pas de troubles de rythme ni d'ischémie. Le laboratoire est aligné hormis la présence d'un LDL augmenté, raison pour laquelle une thérapie par Atorvastatine est initiée. Sur le plan de la prévention secondaire, une thérapie antiplaquettaire par Plavix 75 mg est d'ailleurs débutée. Le profil tensionnel durant l'hospitalisation étant dans la norme, aucun traitement antihypertenseur n'est prescrit malgré un épisode d'hypertension artérielle à 175/100 mmHg aux urgences. Pour suite des investigations dans le cadre d'un probable AIT, une échographie transthoracique et un Holter-ECG sont organisés à distance en cardiologie de l'HFR Riaz. Le test de Schellong du 20.12.2018 est subjectivement légèrement positif en raison de discrètes vertiges sans changement au niveau tensionnel. Nous lui proposons de se lever gentiment aux changements de position et de réévaluer la situation avec vos soins si ces vertiges s'aggravaient.En raison d'une suspicion d'un tremblement essentiel et en raison de la gêne que mentionne Mr. Y, nous tentons un traitement par Inderal 20 mg 2x/j. Nous lui expliquons qu'il peut évaluer si ce traitement l'aide pour son bégaiement et son tremblement de la tête et sinon l'arrêter s'il constate aucun effet. Les valeurs thyroïdiennes sont dans la norme. Pendant son court séjour, le patient reçoit de la physio- et de l'ergothérapie. Il est autonome dans les transferts, la mobilité et les escaliers. Il réalise 36 marches d'escaliers sans pause avec l'aide de la rampe. Le Tinetti est à 23/28. Mr. Y peut regagner son domicile le 22.12.2018 en bon état général. Mr. Y, patient de 74 ans, est admis aux soins intensifs pour un STEMI sur une occlusion de l'IVA ostiale et une sténose serrée de la bissectrice. Le patient présente depuis 3 jours des douleurs transitoires de type angor typique sans irradiation. Le médecin traitant objective un STEMI antéro-septale, raison pour le transfert en urgence. Le patient bénéficie d'une coronarographie qui montre une occlusion de l'IVA ostiale et une sténose de l'artère coronaire circonflèxe avec la mise en place de 3 stents actifs avec un bon résultat final. La ventriculographie montre une FEVG à 50%. La surveillance rythmique se passe sans complications à part une courte salve de TV non soutenue. Nous poursuivons le traitement d'IEC et introduisons un traitement bêta-bloquant et de statines. Une nouvelle coronarographie sera effectuée le 23.01.2019 pour traiter la circonflexe au vu de la présence d'une sténose significative. Une échocardiographie post-coronarographie montre une FEVG à 40-45% ainsi qu'une hypokinésie importante du ventricule gauche ne nécessitant pas d'anticoagulation actuellement. La réhabilitation cardiaque se fera après le deuxième geste. Durant l'hospitalisation, le patient apprend le décès brutal de sa fille. Pour cette raison, il souhaite rentrer le plus rapidement de l'hôpital pour être auprès de ses proches. Nous convenons d'un retour à domicile le 10.01.2019 avec un contrôle chez son médecin-traitant la semaine prochaine. Mr. Y, patient de 74 ans, est admis aux soins intensifs pour un STEMI sur une occlusion de l'IVA ostiale et une sténose serrée de la bissectrice. Le patient présente depuis 3 jours des douleurs transitoires de type angor typique sans irradiation. Le médecin traitant objective un STEMI antéro-septale, raison pour le transfert en urgence. Le patient bénéficie d'une coronarographie qui montre une occlusion de l'IVA ostiale et une sténose de l'artère coronaire circonflèxe avec la mise en place de 3 stents actifs avec un bon résultat final. La ventriculographie montre une FEVG à 50%. La surveillance rythmique se passe sans complications à part une courte salve de TV non soutenue. Un traitement par Sartan (traitement habituel) et bêta-bloquant sont introduits. Une re-coronarographie sera effectuée dans 2-3 semaines pour traiter la circonflexe où il y a une sténose significative. Une échocardiographie est encore à organiser. Il est transféré en médecine le 06.01.2019 pour suite de prise en charge. Mr. Y est un patient de 43 ans qui consulte les urgences de Riaz le 28.01.2019 en raison de douleurs thoraciques d'apparition brutale dans l'après-midi. Aux urgences, nous réalisons un bilan avec un ECG, un laboratoire et une radiographie du thorax qui sont sans particularité et qui nous permettent d'exclure un NSTEMI, un STEMI ou une péricardite. L'évolution clinique est favorable avec administration de 1g de paracétamol IV. Dans ce contexte et sur avis du Dr. X, nous retenons un diagnostic de douleurs musculo-squelettiques avec administration d'une antalgie simple et le conseil de reconsulter en cas de réapparition de cette symptomatologie dans le futur. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile le 28.01.2019. Mr. Y, 49 ans, est transféré de l'hôpital de Payerne aux soins intensifs le 08.01.2019 pour NSTEMI. La coronarographie du 09.01.2018 permet la mise en évidence d'une occlusion sub-aiguë thrombotique de l'artère coronaire droite proximale, collatéralisée par l'artère coronaire gauche, lésions subtotales du segment moyen et une sténose focale de 70-90% de l'artère coronaire droite distale. Ces différentes lésions sont traitées par angioplastie et la mise en place de 2 stents actifs. La ventriculographie révèle une hypokinésie postéro-basale avec une fonction systolique globale du ventricule gauche estimée à 65%. La surveillance s'avère sans particularités. Une double antiagrégation par Aspirine et Efient est introduite ainsi qu'un traitement par bêta-bloquant et IEC. Une échocardiographie est à prévoir ainsi qu'un contrôle dans un mois chez Dr. X. Une ergométrie est à planifier dans une année. Le patient est transféré en médecine au HIB Payerne le 10.01.2018. Mr. Y présente un status post violente contusion de la rotule D il y a 1 mois, avec atrophie d'inactivation du muscle quadriceps à D. Étant donné le double contour visualisé à la radiographie du genou D, je propose de compléter le bilan par un IRM natif de son genou D. Un contrôle est prévu le 01.02.2019 afin de discuter de la suite de la prise en charge. Mr. Y présente une masse palpable pré-patellaire sous-cutanée, pouvant correspondre à un tophus goutteux, vu ses antécédents médicaux. En même temps, il présente certainement une arthropathie goutteuse du genou droit. Il est fortement gêné par cette masse pré-patellaire et désire l'excision chirurgicale. Avant d'en poser l'indication, j'aimerais bilanter le genou par RX et IRM pour mieux comprendre la situation. Je reverrai le patient après ces examens pour discuter des résultats et du traitement. Prochain rendez-vous 22.01.2019. Mr. Y souffre d'un tophus goutteux pré-patellaire qui le gêne lorsqu'il se met à genoux. L'IRM a pu confirmer la présence d'un tophus. Le patient en désire l'excision. Il présente également une gonarthrose avancée due à l'arthrite goutteuse. Je lui explique que tôt ou tard une prothèse totale de genou devra être implantée. Le Dr. X a déjà excisé un tophus il y a 30 ans. L'excision est prévue pour le 21.02.2019, en ambulatoire. Le patient doit stopper le Sintrom au minimum 5 jours avant l'intervention et le remplacer par de l'Héparine à bas poids moléculaire. Je prie le médecin-traitant de bien vouloir organiser le changement médicamenteux. Le patient sera encore vu par le médecin-anesthésiste. Pas d'arrêt de travail. Mr. Y présente en premier lieu une entorse d'aspect plutôt bénin du ligament collatéral externe que je classifie comme stade I de son genou D. Actuellement, l'épanchement articulaire ne permet pas d'examiner l'état de ses ménisques. Je propose donc un prochain contrôle dans deux semaines à ma consultation pour tester les ménisques. Je ne pense pas qu'à l'heure actuelle une IRM soit indiquée. En fonction des tests des ménisques, nous déciderons s'il faut compléter le bilan par une IRM native du genou D. En ce qui concerne le poignet G, nous continuons le traitement conservateur. Le patient sera équipé ce jour d'un plâtre définitif qu'il portera pour une durée totale de 6 semaines. L'arrêt de travail est prolongé provisoirement jusqu'au prochain rendez-vous. Mr. Y est un patient de 33 ans, en bonne santé habituelle, qui nous est adressé par son médecin traitant le 07.01.2019 en raison de douleurs abdominales crampiformes depuis 72 heures, accompagnées de diarrhée et d'une CRP à 121. À l'examen clinique, nous objectivons une sensibilité à la palpation de l'hémi-abdomen droit. Le bilan radiologique met en évidence une colite ascendante, raison pour laquelle nous mettons en place une antibiothérapie empirique par Rocéphine et Métronidazole intraveineux. Les coprocultures reviennent positives pour un campylobacter, l'antibiothérapie per os sera poursuivie pour une durée de 10 jours. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable, le patient peut retourner à domicile le 10.01.2019.Mr. Y, âgé de 72 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par la Clinique Générale pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'une prothèse totale du genou gauche le 12.12.2018 dans un contexte de gonarthrose symptomatique. Sur le plan social, le patient, retraité, vit avec son épouse à domicile. A l'admission, le patient n'a pas de plainte. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. La flexion/extension du genou gauche est de 90° en actif et en passif. A l'auscultation, B1-B2 bien frappés, rythme irrégulier, pas de signe d'IC ni de thrombose. Murmure respiratoire bilatéral avec crépitants en base droite. Oedème du MIG prenant le godet. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises sur un périmètre de 120 m. Il peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension du genou gauche à 110° en actif. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 29.12.2018, en bon état général. Mr. Y, patient de 81 ans, est admis aux soins intensifs pour une STEMI subaigu. Le patient a présenté une chute accidentelle le 26.12.2018 le matin avec une impossibilité de se relever en raison de faiblesse et des dorso-lombalgies. Le bilan d'entrée aux urgences montre un STEMI sub-aigu, raison pour laquelle il bénéficie d'une coronarographie en urgences qui montre une occlusion de l'artère coronaire circonflèxe, suivi de la mise en place d'un stent actif. Une sténose de la coronaire droite est à traiter dans un deuxième temps. Au vu d'une persistance d'une douleur rétro-sternale, une échocardiographie transthoracique est demandée, qui montre un épanchement péricardique minime sans répercussion hémodynamique et une radiographie montre une décompensation cardiaque légère, pour laquelle nous introduisons du Torasemid. Une hypertension mal contrôlée se résout sous majoration de l'IEC. Dans le contexte d'une rhabdomyolyse sur chute et immobilisation au sol durant 48h, une insuffisance rénale est traitée par hydratation et montre une bonne évolution. Le bilan radiologique au scanner montre deux fractures de tassement nouvelles au niveau dorsale (D7 et D8) et une ancienne lombaire (L1). Une prise en charge conservatrice est proposée avec une mobilisation libre. Une radiographie de contrôle montre une situation stable. Le patient présente également une pollakiurie importante. Une antibiothérapie par Ceftriaxone est d'abord initiée pour une suspicion d'infection urinaire, mais un urotube montre une contamination à E.faecalis et l'antibiothérapie est stoppée. Un urotube de contrôle est propre à la macroscopie. A noter que Mr. Y développe un globe urinaire dans le contexte d'immobilisation et nous le sondons durant le séjour, avec rinçages pour des urines hématuriques sur sondage. A noter un échec de sevrage de la sonde vésicale le 05.01.19. En raison des comorbidités et d'un besoin d'aide à la mobilisation chez un patient habitant seul à domicile, une réadaptation cardio-vasculaire est demandée à Billens et le patient peut être transféré en bon état général le 07.01.2019. Mr. Y, 81 ans, connu pour les antécédents suscités, nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à un STEMI subaigu survenu dans le cadre d'une maladie coronarienne bitronculaire. Le traitement à l'entrée comprend : Aspirine cardio 100 mg, Efient 10 mg, Beloc Zok Retard 50 mg, Adalat Retard 30 mg, Atorvastatin 40 mg, Torasemide 5 mg, Lisinopril 10 mg, Tamsulosin Retard depot tabs 0.4 mg, Atrovent sol inh 250 mcg/2 ml : 250-250-250-0, Ventolin sol inhal 0.5% : 0.25-0.25-0.25-0, Distraneurin 1 cp/soir, Laxoberon gttes laxatives : 0-7.5-0-0, Movicol 2 sachets, Dafalgan 1'500 mg. Le 08.01.2019, nous retirons la sonde vésicale. Le 10.01.2019, Mr. Y présente un 1er épisode de selles noires sans odeur particulière; il récidive le soir même avec une odeur caractéristique de méléna, restant toutefois stable sur le plan hémodynamique, mais légèrement tachycarde (104 bpm). Nous constatons encore une chute d'Hb de 2 g/dl. Un traitement par IPP forte dose (80 mg iv) est débuté et le patient est transféré à l'HFR Fribourg-Hôpital cantonal pour surveillance et rapprochement du plateau technique en cas de besoin. Mr. Y, patient de 71 ans connu pour une fibrillation auriculaire à conduction rapide, est hospitalisé dans un contexte de décompensation cardiaque avec dyspnée en péjoration depuis 1 mois. L'anamnèse révèle une dyspnée stade III selon NYHA depuis la dernière transfusion sanguine le 21.12.2018 avec périmètre de marche limité à 50 m. Le patient se plaint d'une dyspnée paroxystique nocturne et une nycturie. Les oedèmes des membres inférieurs sont également en péjoration. Devant le tableau de décompensation cardiaque d'origine probablement rythmique (dans le contexte de FA connue), un traitement diurétique est introduit avec évolution pondérale et clinique favorable permettant un relais per os. Il n'y a pas d'argument pour une origine ischémique ni infectieuse. L'échocardiographie transthoracique révèle une FEVG à 50% en amélioration par rapport à l'évaluation effectuée le 09.01.2019 par son cardiologue traitant (FEVG évaluée entre 40-45%). L'anticoagulation par Xarelto est poursuivie sans modification. Le traitement bêtabloquant est majoré à bon effet. Selon avis cardiologique, une cardioversion électrique est prévue en ambulatoire le 04.02.2019 avec consultation anesthésiologique préalable (le patient sera convoqué en ambulatoire). Une échocardiographie transthoracique est également prévue à 6 semaines chez son cardiologue traitant. Les examens de laboratoire révèlent une insuffisance rénale aiguë AKIN I sur probable syndrome cardio-rénal, le suivi confirme une résolution. Des perturbations de la crase sont également mises en évidence dans ce contexte, dues à un probable surdosage en Xarelto dans le contexte du syndrome cardio-rénal. L'évolution est favorable suite à l'administration de Konakion et correction de l'insuffisance rénale. Selon avis hématologique, Mr. Y bénéficie de la transfusion de deux culots érythrocytaires suite à la recompensation cardiaque sans complication. Le patient regagne son domicile avec un contrôle biologique et clinique en ambulatoire prévu le 08.02.2019 à la consultation de Dr. X. Mr. Y prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et adaptation de l'antalgie si nécessaire dans 1 semaine. Mr. Y est un patient de 60 ans, en bonne santé habituelle, qui consulte aux urgences le 19.12.2018 en raison de douleurs abdominales diffuses depuis 10 jours en péjoration, sans état fébrile, accompagné d'un épisode d'hématochézie. Les examens radiologiques mettent en évidence un iléus grêle mécanique avec la présence de liquide libre dans la cavité pelvienne. L'indication opératoire est posée et il bénéficie d'une résection segmentaire de grêle par laparotomie en urgence. Par la suite, les résultats de l'histopathologie montrent la présence d'une tumeur neuroendocrine, raison pour laquelle le patient est repris au bloc opératoire le 22.12.2018 pour une résection complémentaire carcinologique. En raison de variations tensionnelles importantes en postopératoire, une surveillance hémodynamique aux soins intensifs est réalisée du 22.12. au 24.12.2018. Le patient remonte ensuite à l'étage, où il présente une amélioration clinique et biologique, avec une reprise du transit et une diminution du syndrome inflammatoire.Par la suite, le patient présente une nouvelle augmentation du syndrome inflammatoire motivant une recherche de foyer infectieux. Les examens radiologiques mettent en évidence une pneumonie lobaire supérieure droite et nous administrons une antibiothérapie intraveineuse par Pipéracilline/Tazobact pendant 5 jours. L'évolution clinique et biologique est favorable, permettant un relais par antibiothérapie per os. À noter, l'augmentation des thrombocytes pendant le processus inflammatoire dépassant les 1000 G/l. Nous préconisons une thérapie prophylactique par Aspirine pendant 15 jours et une réévaluation biologique à distance de l'événement inflammatoire. Une évaluation diététique met en évidence un diagnostic de malnutrition grave et nous prescrivons des compléments alimentaires. Le patient sera revu en consultation ambulatoire par le service de diététique de l'hôpital. Le patient est présenté au Tumorboard du 09.01.2019, où il est décidé de compléter le bilan d'extension par un DOT-Scan qui sera effectué le 16.01.2019. Le patient sera revu à la consultation des chefs-de-clinique à la suite de l'examen pour décider de la suite de prise en charge. L'évolution clinique et biologique est favorable, permettant un reclassement le 08.01.2019 et un retour à domicile le 10.01.2019. Mr. Y, patient de 67 ans, connu pour une hypertension artérielle et un asthme, se présente pour une décompensation respiratoire depuis environ 3-4 jours associée à un état fébrile, une asthénie et une toux grasse avec expectorations jaunâtres. Le patient ne rapporte pas de douleur thoracique ni autre plainte. Le patient réside en Italie et rend souvent visite à sa fille à Fribourg. Au service des urgences, le patient est fébrile avec une désaturation à 84% à l'air ambiant, rapidement améliorée par l'administration d'oxygène et d'aérosols. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire important et la radiographie de thorax un infiltrat péri-hilaire gauche. La gazométrie montre une légère hypoxémie et l'ECG est dans la norme. Mr. Y est hospitalisé pour antibiothérapie et prise en charge de sa décompensation asthmatique. Un antigène urinaire est positif pour un pneumocoque, et la Rocéphine est relayée par de la Co-Amoxicilline adaptée à sa fonction rénale. Les hémocultures reviennent négatives. Durant le séjour, le patient prend 2 kilos avec apparition d'oedèmes des membres inférieurs sans autre plainte. L'évolution est rapidement favorable après traitement diurétique ponctuel. Nous vous laissons le soin d'organiser de plus amples investigations cardiaques si nécessaire. Au vu de l'amélioration clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 09.01.2019 avec son traitement habituel contre l'asthme. Mr. Y peut être transféré le 24.01.2019 en neuroréadaptation intensive à l'HFR Meyriez. Une deuxième perfusion de rituximab à J14 est d'ores et déjà prévue à l'HFR Fribourg (ambulatoire de rhumatologie au J2, salle 826), pour laquelle un transport devra être organisé depuis Meyriez. Un rendez-vous de contrôle est prévu courant mars chez la neurologue traitante, après une IRM cérébrale le 26.02.2019. Mr. Y est un patient de 65 ans, aux comorbidités et antécédents sus-mentionnés, qui présente une éventration symptomatique sur son ancienne fermeture d'iléostomie ainsi que deux lipomes au niveau de la fosse iliaque droite et de la racine de la cuisse gauche. Dans ce contexte, une intervention chirurgicale a lieu le 17.01.2019 qui se déroule sans complication. En raison d'une suspicion de syndrome d'apnée du sommeil non appareillée, le patient est admis aux soins intensifs pendant 1 jour en post-opératoire pour une surveillance respiratoire, qui est par ailleurs sans particularité. Par la suite, le patient remonte à l'étage où il présente une bonne évolution tant sur le plan clinique que biologique, permettant un retour à domicile le 23.01.2019. Mr. Y sera revu à la consultation du Dr. X pour un suivi post-opératoire le 28.02.2019 à 9h40. Mr. Y, connu pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, actuellement hospitalisé au RFSM CSH Marsens en raison d'un épisode dépressif, est adressé aux urgences le 05.01.2019 en raison de douleurs et d'une tuméfaction importante du genou droit, avec impotence fonctionnelle associée. Pas de notion de traumatisme ni de faux mouvement. Ces douleurs seraient apparues spontanément en se levant du lit ce matin. L'examen du genou est difficilement réalisable. Nous notons une tuméfaction importante du genou droit avec un épanchement intra-articulaire (signe du glaçon positif) ainsi qu'une douleur importante à la palpation rotulienne et à la palpation du tibia proximal. La mobilisation est impossible car extrêmement douloureuse. Pas de trouble sensitivomoteur en distalité. À l'examen clinique systémique, nous notons une bradycardie. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Le laboratoire montre un minime syndrome inflammatoire avec une CRP à 14 mg/l sans leucocytose, une insuffisance rénale chronique avec une créatinine à ses valeurs habituelles (146 umol/l) et un INR supra-thérapeutique > 5.5. Nous effectuons une radiographie du genou droit puis un avis est demandé à l'orthopédiste de garde, le Dr. X qui, faute de comparatif de la prothèse totale du genou droit, demande un CT du genou droit afin d'éliminer un potentiel descellement de la prothèse ou la présence d'une fracture. L'examen droit montre une prothèse du genou droit en place avec un épanchement articulaire dans le récessus supra-patellaire. Aux urgences, le patient reçoit une antalgie puis nous immobilisons son genou dans une attelle jean à 0°. Il est hospitalisé en médecine pour antalgie. Au vu de l'INR supra-thérapeutique, nous mettons transitoirement le Sintrom en suspens et le patient reçoit 5 mg de Konakion. Une surveillance de l'INR est réalisée les jours suivants. Le Sintrom est repris le 06.01.2018 et nous vous laissons le soin de contrôler régulièrement l'INR. Un ultrason du genou droit réalisé le 06.01.2019 montre un épanchement intra-articulaire d'allure hyperéchogène, sans hyperémie au doppler couleur évoquant une hémarthrose. Nous prenons un avis du Dr. X qui propose un traitement conservateur avec maintien de l'attelle jeans à 0° jusqu'à disparition de la symptomatologie et un contrôle à sa consultation à un mois de l'hospitalisation. Durant le séjour, Mr. Y bénéficie de physiothérapie de mobilisation mettant en évidence des déséquilibres connus. En ce qui concerne la bradycardie sinusale à 40 battements par minute, nous mettons en pause le Métoprolol. À la sortie, le patient est normocarde, mais nous décidons de réintroduire la dose médicamenteuse à une dose réduite. L'évolution clinique est par la suite favorable et Mr. Y est réadmis au RFSM CSH Marsens, unité Jasmin le 09.01.2019. Mr. Y est un patient de 71 ans qui est hospitalisé pour une ischémie aiguë du membre inférieur droit, il bénéficie en urgence de l'opération sus-mentionnée le 17.12.2018. Le patient séjourne aux soins intensifs en post-opératoire avec rhabdomyolyse et l'apparition d'une oligurie et une augmentation des CK. Une réhydratation agressive est débutée et une alcalinisation des urines est effectuée. La fonction rénale reste normale durant l'hospitalisation et les CK diminuent à partir du 19.12.2018.Sur le plan chirurgical, des fasciotomies sont réalisées en per-opératoire avec changement des pansements tous les trois jours. Lors des révisions de plaies, nous mettons en évidence une ischémie musculaire au niveau gastrocnémien que nous réséquons, le 27.12.2018. Il est finalement décidé de poser des pansements aspiratifs au vu du status local des fasciotomies. L'abord proximal au niveau de la cuisse présente, en cours d'hospitalisation, un hématome. La plaie est révisée et drainée avec un Penrose. L'évolution est par la suite favorable avec réalisation de Greffe de Thiersch le 07.02.2019. Nous reverrons Mr. Y en consultation de chirurgie vasculaire pour contrôle post-opératoire et pour la suite de prise en charge de l'anévrisme poplité gauche. Sur le plan infectiologique, un traitement par Co-Amoxicilline est instauré eu vu des fasciotomies, avec relais par pénicilline large spectre pour une durée de deux semaines au total avec arrêt de l'antibiothérapie le 04.01.2019 au vu du status local calme et une absence de germes sur les frottis. Sur le plan neuro-cognitif, le patient présente durant l'hospitalisation des phases d'agitation nocturnes en raison de cauchemars entièrement résolutifs au cours de la journée. Le traitement habituel du Parkinson est poursuivi. Un avis neurologique est demandé auprès du Dr. X et un traitement par Quétiapine est introduit. Par la suite, le patient décrit une péjoration des symptômes parkinsoniens pour lesquels nous contactons également sa neurologue traitante qui ne propose aucune modification du traitement. Mr. Y sera revu à sa consultation, le 04.02.19. Nous contactons, en fin d'hospitalisation, le neurologue de garde en raison d'une péjoration persistante des symptômes qui décide de diminuer le schéma de Stalevo et de mettre en réserve le Madopar, comme décrit sur l'ordonnance. L'évolution est par la suite favorable avec diminution des symptômes extra-pyramidaux. Nous laissons le soin au Médecin traitant de suivre Mr. Y sur ce plan. Au niveau antalgique, le patient nécessite encore des opiacés en fin d'hospitalisation. Nous laissons le soin au Médecin traitant de les arrêter par la suite. Sur le plan général, Mr. Y présente des troubles de l'équilibre et une motricité réduite, en raison du parkinsonisme, mais également suite à l'ischémie aigue du membre inférieur droit, compliquée par un syndrome des loges débutantes. Sur le plan nutritionnel, il présente une probable dénutrition protéino-calorique et sur le plan psychique une thymie abaissée en cours d'hospitalisation d'évolution plutôt favorable avant le transfert en CTR. Au vu de l'évolution, Mr. Y est transféré au CTR de Billens le 22.01.2019. Mr. Y, patient de 90 ans, connu pour une cardiopathie ischémique, valvulaire et rythmique (FA sous Sintrom, pacemaker), avec une dernière coronarographie en octobre 2018, nous est amené en ambulance en raison de nouvelles douleurs thoraciques typiques de forte intensité et ne cédant pas à son traitement de nitroglycérine. A son arrivée, il présente une décompensation cardiaque globale avec une détresse respiratoire, associée à une FA rapide. Un premier bilan aux urgences montre un probable syndrome coronarien aigu avec une cinétique de troponines à la hausse, ainsi qu'une acidose respiratoire et lactique avec des lactates à 9.1. Il bénéficie alors de 2 séances de VNI ainsi que de l'introduction d'un traitement par Cordarone avec rapide amélioration clinique et biologique avant sa prise en charge en médecine. Une coronarographie est discutée avec le patient, qui refuse tout geste invasif. Le patient décrit aussi plusieurs épisodes de selles méléniques sur les derniers jours. De nouveaux épisodes de méléna sont objectivés durant le séjour mais le patient refuse une OGD ainsi que la transfusion de culot érythrocytaire. Mr. Y nous fait part de son désir de mourir depuis sa dernière hospitalisation en novembre 2018. Une discussion de famille est organisée le 15.01.2019. Les enfants de Mr. Y sont au courant du désir de leur père et en accord avec celui-ci. Une décision de retrait thérapeutique avec adaptation des traitements cardiaques et anti-douleurs est conjointement décidée. Mr. Y décède paisiblement le 16.01.2019. Mr. Y, connu pour un asthme traité par Flutiform, un diabète de type 2 non insulino-requérant et un adénome acinaire de la prostate Gleason 7 avec status post-résection transurétrale le 05.12.2018, consulte les urgences le 23.12.2018 en raison d'une dyspnée en aggravation depuis la veille au soir, d'une tachypnée et d'une baisse de l'état général. Pour rappel, le patient a été hospitalisé dans notre service de médecine du 19 au 21.12.2018 pour un malaise ainsi qu'une dyspnée asthmatiforme. A l'anamnèse, Mr. Y admet avoir fumé un paquet de cigarettes la veille et décrit traverser une période difficile en ce moment mais nie une consommation d'alcool récente (arrêt depuis 1 an d'après lui). A noter que les soins à domicile, qui passaient habituellement 2 fois par semaine, viennent désormais 2 fois par jour. A l'admission aux urgences, Mr. Y est tachycarde à 105/min et sature à 88% à l'air ambiant. Il est afébrile. L'auscultation cardiaque montre des bruits réguliers sans souffle ausculté. Il n'y a pas de signe de décompensation cardiaque droite ni gauche. Les mollets sont souples avec un signe de Homans négatif des deux côtés. L'examen respiratoire montre un patient tachypnéique à 26 par minute, sans signe de détresse respiratoire. Le murmure vésiculaire est symétrique avec sibilants expiratoires diffus. L'examen abdominal et l'examen urogénital sont normaux. L'examen neurologique est dans la norme. Le rachis est indolore à la palpation et à la percussion. L'ECG réalisé aux urgences est artéfacté par la respiration mais montre un rythme sinusal régulier. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire ni d'insuffisance rénale. Les électrolytes sont dans la norme. La gazométrie artérielle montre un pH normal à 7.43 avec hypoxie à 8.2 kPa à l'air ambiant. Le Peak flow est initialement à 250 l/min (le patient ne connaît pas ses valeurs habituelles). Aux urgences, Mr. Y reçoit un traitement bronchodilatateur par Ventolin et Atrovent ainsi que de la Prednisone 50 mg. Il est mis sous oxygénothérapie qui peut être rapidement sevrée au vu de l'amélioration de la dyspnée suite à l'administration des aérosols. Le patient est hospitalisé pour adaptation du traitement par ajout du Spiriva au traitement habituel. Le Dr. X recommande la réalisation de fonctions pulmonaires à distance de l'épisode aigu. L'évolution est favorable et Mr. Y peut regagner son domicile le 28.12.2018 avec passage des soins à domicile tous les jours et livraison des repas. Mr. Y, patient de 56 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un choc septique sur endocardite aigue de la valve tricuspide avec défaillance multi-viscérale et probable embolisation septique au niveau pulmonaire et para-vertébral. Le patient est connu pour une polytoxicomanie intraveineuse, une hépatite C chronique et une schizophrénie. Il est amené aux urgences le 26.12.2018 dans un contexte d'arthralgies diffuses. Le bilan clinique et biologique aux urgences retrouve un patient en état de choc septique. Une ETT montre une masse vibratile de taille importante de la valve tricuspide évoquant une végétation, qui est confirmée par ETO. Un avis chirurgical demandé à Bern ne retient pas d'indication chirurgicale. Le patient est admis dans ce contexte aux soins intensifs pour suite de prise en charge. D'un point de vue étiologique, les hémocultures mettent en évidence la présence d'un S. aureus et d'un Streptococcus oralis.Dans le contexte du choc septique, le patient présente une défaillance multi-viscérale. Sur le plan hémodynamique, le patient nécessite un remplissage agressif avec soutien aminergique et administration transitoire de corticoïdes systémiques. Sur le plan hématologique, on note une perturbation de la crase avec thrombopénie septique et CIVD sans nécessité de transfusion ou autre mesure thérapeutique. La fonction rénale est perturbée avec une hyperkaliémie nécessitant l'administration itérative de protocole d'Insuline-Glucose. Sur le plan neurologique et respiratoire, le patient présente une anisocorie avec troubles de l'état de conscience nécessitant une intubation le 26.12.2018. Un CT-scan cérébral et thoraco-abdominal ne montre pas d'atteinte centrale mais retrouve des embolies pulmonaires de probable origine septique, ainsi qu'un abcès para-vertébral gauche au niveau L3-L4, L4-L5, L5-S1 sans signe de spondylodiscite. L'évolution clinique est par la suite favorable, permettant une extubation le 29.12.2018. Sur le plan purement psycho-social, ce patient est peu suivi et vit actuellement à l'ancien domicile de ses parents, domicile vendu dès janvier 2019, et sera donc sans domicile dès lors. De plus, il poursuit une consommation active de drogues, entraînant de lourdes conséquences financières. Un placement et mise sous tutelle devraient dès lors être envisagés. Après une longue discussion avec la famille du patient, au vu des comorbidités et du contexte global, il est décidé de ne pas escalader en cas de nouvelle complication. Le 30.12, le patient présente une nette altération de son état avec apparition de fortes douleurs abdominales en fosse iliaque gauche avec défense sans détente. Devant les éléments cités précédemment, nous renonçons à toute investigation supplémentaire et procédons dès lors à des soins de confort. Mr. Y est transféré en médecine le 30.12.2018. Sa famille a bien évidemment été informée de la situation et du transfert. Les soins de confort sont poursuivis en médecine interne et le patient décède de sa maladie le 1.1.19. Mr. Y est un patient de 92 ans, connu pour un diabète de type 2 insulino-dépendant, une hypertension artérielle et une démence mixte à prédominance vasculaire, qui est amené initialement le 04.12.2018 par les ambulanciers suite à une chute à domicile avec traumatisme crânien, sans perte de connaissance. Le 11.12.2018, Mr. Y restait hospitalisé au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service fût maintenant terminée. Il en résulta un séjour de reclassement. Le 22.12.2018 cependant, le patient présente une cécité bilatérale avec absence de réflexe pupillaire. L'anamnèse étant difficile avec le patient au vu de son état cognitif, tout calcul de score ou anamnèse s'avère impossible. Dans le cadre d'une suspicion d'accident vasculaire cérébral, un scanner injecté est réalisé. Cet examen conclut à une image d'AVC ischémique constitué de l'hémisphère cérébelleux gauche sur occlusion distale de la PICA, avec volumineux infarctus provoquant un effet de masse sur les structures de la ligne médiane mais sans hydrocéphalie et sans engagement. Pas de transformation hémorragique. Un second AVC ischémique constitué est également signalé, plus petit et dans le lobe occipital droit, sans lésion vasculaire clairement visible et sans transformation hémorragique. La fille contactée ne souhaite pas d'acharnement thérapeutique ni de transfert pour une prise en charge plus spécifique. Néanmoins, Mr. Y est repris en charge en gériatrie aiguë HFR Riaz depuis le 22.12.2018. A partir du 26.12.2018, nous instaurons une perfusion de NaCl au vu de la déshydratation du patient, que nous maintenons jusqu'au 28.12.2018. Sur le plan biologique, un bilan de contrôle le 27.12.2018 signale une hypokaliémie. Nous objectivons également un syndrome inflammatoire avec une CRP à 162mg/l et une leucocytose. A l'examen clinique, outre une toux productive, il existe des râles crépitants surtout à droite. Nous instaurons donc un traitement antibiothérapeutique par Co-Amoxicilline du 28.12.2018 au 04.01.2019, avec bonne évolution. Remarquons qu'une place est trouvée pour le couple au Home d'Humilimont avec une visite organisée le 19.12.2018. Au moment de la rédaction de ce rapport, la famille semble peu encline à choisir cette institution comme lieu de vie. Le 03.01.2019, Mr. Y reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, Mr. Y sera tout de même institutionnalisé le 14.01.2019 avec son épouse au Home d'Humilimont à Marsens. Mr. Y est connu pour une insuffisance rénale chronique stade 5 terminal sur néphropathie hypertensive en dialyse chronique. Nous nous adressons à lui pour une hospitalisation élective le 07.01.2018 suite à la découverte, ce jour, d'un diabète inaugural de type 2 avec une hémoglobine glyquée à 11% et une glycémie à jeun à 26 mmol/l. Le patient n'a pas de plainte à l'admission dans notre service. Il est normocarde à 88/min, hypertendu à 145/81 mmHg, afébrile à 36.1°C et sature à 97% à l'air ambiant. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Mr. Y est hospitalisé pour bénéficier de la mise en place d'un traitement et des enseignements thérapeutiques par conséquent. Nous introduisons un traitement d'Insulatard et un schéma de Novorapid. Sous ce traitement, nous constatons le 08.01.2019, des glycémies pré-prandiales à 19.6, 16.7 et 11.0 mmol/l (matin, midi et soir respectivement) ainsi que des glycémies post-prandiales à 13.1, 10.7 et 23.7 mmol/l (matin, midi et soir respectivement). Nous prenons contact avec nos collègues diabétologues de l'HFR Fribourg (Dr. X) qui proposent un traitement par Insulatard 20 UI le matin et 14 UI le soir ainsi qu'un schéma fixe de Novorapid en pré-prandial à 6-6-4 (matin-midi-soir). Le patient bénéficie d'une évaluation et d'un enseignement par notre équipe d'infirmières spécialisées en diabétologie le 08.01.2019. Selon son désir et malgré une évaluation très brève de sa situation, Mr. Y rentre à domicile le 09.01.2019. Mr. Y est un patient de 22 ans qui, suite à une perte de poids importante post-bypass gastrique, bénéficie le 22.01.2018 d'une abdominoplastie et résection d'excès de peau au niveau des cuisses et du thorax. L'opération se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples, permettant un retour à domicile le 26.01.2019. Mr. Y est un patient de 60 ans qui est hospitalisé dans notre service pour une surveillance neurologique dans le cadre d'une hémorragie sous-arachnoïdienne. Selon le patient, il aurait été poussé dans les escaliers. A l'admission, le patient se plaint de douleurs au niveau de l'hémithorax gauche ainsi que du pied et de la cheville gauche. Il aurait perdu connaissance pendant 30 secondes. Le scanner cérébral montre de petites lésions frontales droites pouvant correspondre à des contusions hémorragiques. Le bilan montre également une lésion de chopart à gauche. Sur avis du Dr. X (Neurochirurgie), le patient bénéficie d'une surveillance neurologique de 24 heures. Il rejoint son domicile le 02.01.2019 et sera vu à la consultation Team Pied le 08.01.2019 (le patient se charge d'appeler le secrétariat d'orthopédie).Mr. Y sera revu à la consultation du Dr. X pour le suivi oncologique. Mr. Y est un patient de 43 ans, hospitalisé en urgence dans notre service de chirurgie pour prise en charge d'un abcès périanal avec fistule inter-sphinctérienne le 10.01.2019. En effet, il se présente aux urgences en raison d'une douleur anale depuis 6 jours ainsi qu'un état fébrile. L'IRM montre un abcès périanal avec fistule inter-sphinctérienne. Il bénéficie d'un drainage d'abcès avec mise en place d'un fil de Seton en urgence le 10.01.2019. Le patient rejoint son domicile le 11.01.2019 sous antibiothérapie. Il sera vu à la consultation de Proctologie le lundi 14 janvier 2019 à 10h00. Mr. Y est un patient de 76 ans qui consulte les urgences suite à l'apparition de vomissements depuis la veille, avec douleurs abdominales crampiformes et diarrhées, sans état fébrile ni rectorragie. À noter une notion de contage chez son amie la semaine précédant l'apparition des symptômes. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire sans leucocytose, avec insuffisance rénale aiguë de stade AKIN 1 sur origine pré-rénale. La radiographie du thorax écarte un foyer infectieux. Une hydratation parentérale est débutée et le patient est hospitalisé en médecine pour suspicion de gastro-entérite. Initialement, le patient reste symptomatique avec persistance de plusieurs épisodes de diarrhées nocturnes et douleurs abdominales. Le bilan biologique montre une amélioration progressive des paramètres inflammatoires, avec absence de perturbation des paramètres hépato-pancréatiques. Un examen des selles se révèle positif pour une infection à Norovirus. Le patient bénéficie ainsi d'un traitement symptomatique par Buscopan et Dafalgan, ainsi que de Pantoprazole durant 7 jours en raison de symptômes de pyrosis, sans récidive de vomissements. L'évolution clinique est favorable. Dans l'intervalle, un isolement de contact selon les mesures proposées par l'UPCI est mis en place. Sur le plan électrolytique, une hypokaliémie avec nadir à 3.4 mmol/l sur jeûne et vomissements est substituée oralement. Sur le plan respiratoire, lors du séjour aux urgences, un épisode de désaturation asymptomatique durant le sommeil est constaté avec hypoxémie à 7.9 kPa à la gazométrie. Un syndrome d'apnées du sommeil semble ainsi probable, pour lequel nous vous laissons le soin d'agender un bilan complémentaire en ambulatoire. Enfin, une hypovitaminose D modérée est substituée. Mr. Y regagne son domicile le 23.12.2018. Mr. Y est hospitalisé pour la pose d'un défibrillateur triple chambre à gauche pour une dysfonction systolique ventriculaire gauche nouvelle avec FE abaissé à 35%. L'intervention se déroule sans complication. La radiographie post-opératoire confirme la bonne tenue de l'intervention. Nous poursuivons le traitement médicamenteux en place. Un contrôle de la plaie aura lieu chez le médecin traitant dans 10 jours, et un contrôle du défibrillateur dans 4-6 semaines chez le Dr. X. Mr. Y peut rentrer à domicile le 18.01.2019. Mr. Y est un patient de 81 ans traité par co-amoxicilline dès le 12.10.2018 pour une pneumonie post-traumatique du lobe basal droit, emmené en ambulance le 13.12.2018 pour une détresse respiratoire avec dyspnée en progression, des douleurs costales D, une toux, des expectorations jaunâtres et un état fébrile avec des frissons. Le patient a chuté de sa hauteur dans les escaliers le 10.12.2018 dans un contexte d'éthylisation aiguë, avec réception sur le flanc droit et probable traumatisme crânien avec une perte de connaissance et amnésie circonstancielle. Un CT thoracique injecté réalisé le 13.12.2018 met en évidence du matériel endoluminal dans la bronche souche gauche, obstruant les bronches lobaires ainsi qu'une condensation avec une perte de volume du lobe inférieur gauche, correspondant au moins en partie à une atélectasie, ainsi qu'une condensation de moindre importance dans la lingula. Le CT met également en évidence des fractures des arcs postéro-latéraux des côtes 5 à 10 à droite, mais pas d'hémothorax. Au vu de la péjoration clinique du patient et des résultats du CT, il est mis sous antibiothérapie intraveineuse par Co-amoxicilline et reçoit un traitement en Oxygène, aérosols (Ventolin et Atrovent) et ventilation non invasive avec une physiothérapie respiratoire et CPAP. L'évolution se montre favorable et le patient est sevré d'oxygène dès le 22.12.2018. L'utilisation fixe d'aérosols est également arrêtée et on introduit une inhalation d'Ultibro quotidienne dès le 25.12.2018. Un nouveau bilan de sa BPCO (dernier bilan en 1999) est cependant nécessaire et nous proposons de le réaliser en ambulatoire. En raison d'états subfébrils récidivants sous antibiothérapie intraveineuse, une culture d'expectorations est réalisée et démontre notamment la présence de Klebsiella pneumoniae résistante à la Co-amoxicilline, raison pour laquelle le patient est mis sous Ceftriaxone intraveineuse dès le 22.12.2018 pour 7 jours. Une démence débutante est suspectée au vu des troubles cognitifs observés et de l'hétéro-anamnèse auprès de ses proches. Une dépendance à l'alcool est également très probable. Un bilan neuropsychologique est à prévoir en ambulatoire. L'évolution est favorable. Une réhabilitation gériatrique est initialement décidée, mais au vu de l'autonomie du patient et en accord avec les différents intervenants, il rentre à domicile le 05.01.2019. Des contrôles mensuels par le Spitex sont prévus. Mr. Y se présente initialement pour des douleurs thoraciques. Biologiquement, un NSTEMI est exclu devant des troponines sans dynamique. L'évolution clinique des douleurs est favorable avec une régression spontanée. Pendant son séjour, il présente une insuffisance respiratoire partielle avec une hypoxémie à l'air ambiant, asymptomatique. Les D-Dimères sont dosés au vu de cette insuffisance respiratoire non expliquée et ils reviennent négatifs. La saturation évolue bien après un traitement empirique avec des aérosols. Pendant la piqûre pour une gazométrie artérielle afin de confirmer la bonne évolution de l'oxygénation, Mr. Y commence à désaturer. Il est contactable et présente une hypoventilation à cause des douleurs de la piqûre. Par la suite, il présente une absence. Pas de tremblement. Normocarde au scope à 80 bpm. Saturation autour de 88-89% à l'air ambiant. Après position trendelenburg et stimulation algique, il est de nouveau recontactable. Sueurs froides. Hypotension. Pas de douleur thoracique. Au vu de la bonne évolution, on essaie de mettre le patient assis. En position assise : épisode de 2 secondes d'absence avec un seul mouvement brusque du membre supérieur droit. Pas de tremblement, pas de perte de tonus. TAs à 90 mmHg, patient normocarde. Statut neurologique par la suite : GCS 15/15, pas de dysarthrie. Pupilles isocores et isoréactives, mydriatiques. Oculomotricité sans particularité. Nerfs crâniens sans particularité. Pas d'hyposensibilité à la touche. Barré et Mingazzini tenu. Pas d'ataxie des membres supérieurs ni inférieurs. Général : pouls périphérique bien frappé. Transfert en box de Réanimation. 2x 1l NaCl i.v. branché. Bonne évolution avec normalisation des tensions artérielles sans différence tensionnelle, plus de sueurs froides. Statut neurologique stable. Devant la syncope avec évolution biphasique et les douleurs thoraciques initiales : ad CT protocole Aorte et CT cérébrale. Résultats : pas de dissection, pas d'hémorragie, pas de masse cérébrale.Mr. Y, 73 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une décompensation de BPCO sur atélectasie obstructive du lobe inférieur gauche. Il est amené en ambulance à l'hôpital de Riaz en raison d'une dyspnée aiguë. Une pneumonie basale gauche est suspectée avec début d'un traitement de Ceftriaxone et soutien respiratoire par ventilation non invasive. L'évolution clinique et biologique est défavorable, nécessitant une intubation ainsi qu'un soutien aminergique transitoire. Dans ce contexte, le patient est transféré aux soins intensifs de Fribourg. Une première bronchoscopie est effectuée le 20.01.2019 par l'équipe des soins intensifs et montre des sécrétions caséeuses obstruant tout l'arbre bronchique gauche. Dans ce contexte, et au vu d'un syndrome inflammatoire à la hausse, l'antibiothérapie est adaptée par de la Co-Amoxicilline. Le patient est bronchoscopé le 22.01.2019 par l'équipe de pneumologie qui découvre un corps étranger d'allure métallique dans le lobe inférieur gauche. Ce dernier ne peut pas être extrait car trop distal. Il est donc conseillé de rééffectuer un CT-scan à 6 semaines et rediscuter d'une éventuelle bronchoscopie avec les pneumologues à ce moment-là. Dans l'intervalle, on poursuit le traitement antibiotique par Co-Amoxicilline pour une durée de 14 jours. Concernant le soutien respiratoire, le patient peut être extubé sans complications immédiates. Des séances de VNI sont poursuivies en post-extubation. Le patient reste légèrement hypercapnique. Un bilan pneumologique complet est à effectuer à distance. Dans l'intervalle, un traitement de la BPCO est introduit. À noter que le patient présente un état confusionnel nouveau, apparu subitement 14 jours avant l'hospitalisation, bilan en ambulatoire par une IRM cérébrale qui était sans particularité. Sur le plan neurologique, un état confusionnel est mis en évidence en post-extubation et nécessite un traitement par neuroleptique. Les investigations neurologiques sont à poursuivre à distance de l'épisode aigu. Le diagnostic évoque une possible démence débutante avec un délirium des soins surajouté. Une réaction paradoxale aux benzodiazépines paraît peu probable car l'ECA était présent avant leurs introductions. Ce délirium initialement difficile à gérer s'amende sous faibles doses de Nozinan. Il est très important de majorer les doses de médicaments dépresseurs respiratoires que sous surveillance chez ce patient insuffisant respiratoire à haut risque de carbonarcose. Une anémie hypochrome normocytaire est mise en évidence. La ferritine est plutôt basse pour le contexte inflammatoire. Nous vous proposons de la refaire à distance afin d'exclure une anémie ferriprive. Le patient est transféré pour la suite de prise en charge à l'hôpital de Riaz. Mr. Y est un patient de 80 ans, notamment sous Sintrom pour une FA et connu pour de multiples calculs récidivants dans le cholédoque malgré une cholécystectomie en octobre 2017, qui le 25.01.2019 subit une ERCP suite à l'apparition de nouvelles douleurs abdominales ainsi qu'une asthénie depuis 15 jours. Par la suite, le patient développe un état fébrile avec des frissons, raison pour laquelle il est hospitalisé pour surveillance. Un traitement par Ciproxine et Flagyl par voie orale est introduit pour une durée de 5 jours. Mr. Y présente une bonne évolution tant sur le plan clinique que biologique permettant un retour à domicile le 26.01.2019. Mr. Y est un patient de 78 ans, aux antécédents et comorbidités susmentionnés, chez qui nous réalisons une résection transurétrale de la vessie le 14.01.2019 dans un contexte de carcinome papillaire de la vessie. L'intervention se déroule sans complication. Les suites opératoires sont favorables, permettant un retour à domicile le 16.01.2019. Nous laissons le soin au médecin traitant d'investiguer les causes de l'urticaire en ambulatoire. Mr. Y, patient de 70 ans, connu pour une consommation d'alcool à risque, est hospitalisé dans un contexte d'évolution défavorable de dermohypodermite. Le patient présente un érythème du membre inférieur droit évoluant depuis le 14.01.2019, traité par Co-Amoxicilline 1g 3x/jour en ambulatoire pour suspicion de dermohypodermite. Un contrôle échographique effectué en ambulatoire le 15.01.2019 ne révèle pas de thrombose veineuse. Devant une extension de l'érythème et péjoration des douleurs du membre inférieur droit, Mr. Y est hospitalisé pour suite de prise en charge. L'évaluation clinique aux urgences ne met pas en évidence de porte d'entrée. Une antibiothérapie intraveineuse est introduite (Co-Amoxicilline 2.2g aux 6h) ainsi qu'une décharge du membre inférieur droit. L'évolution, tant clinique que biologique est favorable; aucun état fébrile n'est recensé lors de l'hospitalisation. Un relais per os est effectué le 22.01.2019, à poursuivre jusqu'au 29.01.2019. Le patient regagne son domicile le 23.01.2019. Un suivi en ambulatoire auprès de son médecin traitant est organisé avec contrôle le 28.01.2019. Mr. Y, 83 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un état de mal épileptique sur une encéphalite limbique d'origine peu claire, qu'il aurait développé alors qu'il était au volant et ayant provoqué un accident de la voie publique. Il est adressé en SMUR aux soins intensifs de Fribourg après avoir présenté un accident à haute cinétique en voiture. Il aurait percuté une voiture latéralement à 200 km/h lorsqu'il la dépassait puis le mur dans un tunnel. Les policiers l'auraient sorti de la voiture conscient mais présentant des propos incohérents. Par la suite, il présente une crise tonico-clonique. Lors de l'arrivée de l'ambulance, il présente encore 2 crises. Au CT total Body effectué aux urgences d'Yverdon, il y a récidive d'une nouvelle crise tonico-clonique cédant pas au Rivotril, raison pour laquelle il est sédaté et intubé. L'évolution est initialement favorable, permettant une extubation avec nécessité d'une réintubation 48 heures plus tard en raison de troubles de l'état de conscience sur un état de mal épileptique qui est traité initialement par Keppra, Rivotril et Vimpat. Le Vimpat est changé pour du Topamax à partir du 17.01.2019 en raison d'une bradycardie persistante. Les doses sont ensuite adaptées en fonction de l'évolution électroencéphalographique et des taux sanguins des médicaments avec une stabilisation permettant l'arrêt du Rivotril et l'extubation le 22.01.2019. Une EEG de contrôle sera à prévoir à la sortie. Une IRM réalisée le 17.01.2019 montre une tuméfaction au niveau de la région hippocampique droite, dont les caractéristiques peuvent rentrer dans le cadre d'une tumeur gliale de bas grade ou réactionnel post-crise d'épilepsie. Une IRM de contrôle en dehors des crises d'épilepsie est indiquée à distance. Une pneumonie de broncho-aspiration est traitée par Co-Amoxicilline avec une évolution favorable. Concernant la cause de l'état de mal épileptique, une encéphalite limbique est retenue avec début d'un traitement par corticoïdes à haute dose pour 10 jours en schéma dégressif. Une origine infectieuse de l'encéphalite n'est pas retenue. Un bilan immunologique revient négatif. Les anticorps anti-NMDA sont négatifs. Néanmoins, une origine néoplasique ne pouvant pas être complètement exclue, le bilan sera à compléter par un CT-scan thoraco-abdominal. L'ultrasonographie des testicules est normale. Au niveau biologique, on met en évidence un possible syndrome de renutrition avec hypophosphatémie et hypokaliémie traitées par une substitution intraveineuse et per os. Devant un globe vésical avec difficultés de sevrage de sonde urinaire chez un patient qui se plaignait d'une pollakiurie déjà avant l'hospitalisation, une hyperplasie bénigne de la prostate est suspectée. Nous vous laissons le soin de l'investiguer et éventuellement d'introduire un traitement avant de retirer la sonde urinaire.Le statut neurologique à la sortie des soins intensifs retrouve un patient encore désorienté dans le temps avec un comportement désinhibé (tutoiement) sans déficit neurologique sensitivo-moteur. Au vu d'une évolution globalement favorable, le patient est transféré à l'étage de médecine interne, le 26.01.2019, pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, patient de 62 ans diabétique non insulino-requérant et hypertendu, est hospitalisé suite à la survenue d'un STEMI antérieur. Le patient a présenté des douleurs thoraciques typiques au réveil du 30.12.2018 motivant une consultation aux urgences de Riaz. Un électrocardiogramme sur place montre des sus-décalages dans les territoires antéro-latéraux. Une double charge anti-agrégant plaquettaire par Aspirine et Prasugrel est administrée et le patient est transféré à Fribourg en salle de coronarographie. L'examen montre une maladie coronarienne tritronculaire avec comme lésion coupable une occlusion proximale de l'IVA, suivie de 2 longues sténoses de l'IVA moyenne, traitées par désoblitération avec mise en place de 3 stents actifs. En per-coronarographie, on ne note pas de complications rythmiques ni hémodynamiques. La surveillance post-coronarographie aux soins intensifs est marquée par la persistance de douleurs thoraciques résiduelles. Le pic de CK est à 5600 UI et une échocardiographie transthoracique de débrouillage montre un épanchement péricardique minime. Sur avis cardiologique (Dr. X), une nouvelle coronarographie est organisée pour le 31.12.2018 afin de traiter la sténose focale subtotale de l'artère coronaire droite moyenne. L'examen se déroule sans particularité avec mise en place de 2 stents actifs. Un traitement par IEC, béta-bloquant et statine est introduit, en plus du traitement habituel dont la posologie du Coveram est adaptée. La surveillance rythmique et hémodynamique suite à la seconde coronarographie est sans particularité. Le patient est transféré pour suite de prise en charge à l'étage de médecine interne avec démarrage d'une physiothérapie de mobilisation où l'évolution est rapidement favorable. Une échocardiographie de contrôle le 03.01.2018 montre une dyskinésie apicale avec écho-contraste spontané motivant l'introduction d'une anticoagulation dont la poursuite sera réévaluée lors du prochain contrôle échographique à 4 semaines. Une coronarographie de contrôle est également prévue à 4 semaines avec possible traitement de la lésion intermédiaire de l'artère circonflexe moyenne. Une réadaptation cardiovasculaire est recommandée et acceptée par le patient, souhaitant l'effectuer en mode ambulatoire. Il sera convoqué directement par les collègues de l'hôpital de Billens. Au vu de l'évolution clinique et biologique favorable avec absence de récidive des douleurs, le patient regagne son domicile le 04.01.2019. Mr. Y, 73 ans, a été admis pour une décompensation respiratoire hypoxémique et hypercapnique aiguë qui a été précipitée par un choc septique secondaire à une bronchopneumonie à germe indéterminé et qui est devenue réfractaire dans le contexte de la BPCO sévère, d'un adénocarcinome pulmonaire progressif et d'un déconditionnement majeur. Suite à la progression de l'adénocarcinome pulmonaire traité depuis 2016, le patient recevait une immunothérapie par pembrolizumab avec la dernière dose administrée le 27.12.2018. Il a présenté le 04.01.2019 une décompensation respiratoire globale aiguë avec exacerbation de la BPCO, précipitée par une bronchopneumonie bibasale à germe indéterminé. Le choc septique a été traité par réanimation volémique, un soutien aminergique transitoire et une antibiothérapie empirique de céfépime. L'échec de la ventilation non invasive avec carbonarcose a nécessité une intubation oro-trachéale et ventilation mécanique invasive pendant 2 jours. Après l'extubation, l'insuffisance respiratoire aiguë a persisté malgré la poursuite du soutien respiratoire par ventilation non invasive presque continue en alternance avec des séances d'oxygénothérapie à haut débit. Une embolie pulmonaire a été exclue. Le sevrage ventilatoire a toutefois été impossible en raison de la gravité de la BPCO, d'un encombrement bronchique persistant, de la maladie oncologique terminale et de l'état général fortement dégradé avec cachexie. En l'absence d'amélioration respiratoire et d'option thérapeutique, des soins de confort exclusifs ont été proposés au patient et à sa famille, qui ont compris la situation critique irréversible et ont accepté une prise en charge palliative. Le patient est décédé paisiblement entouré des siens le 12.01.2019 à 16h00. Une autopsie n'a pas été demandée. Mr. Y est un patient de 32 ans, qui est hospitalisé dans notre service pour la prise en charge d'une épididymite droite. Le patient avait déjà bénéficié d'un traitement antibiotique en ambulatoire depuis le 24.12.2018 avec une absence d'amélioration. Il est alors hospitalisé le 27.12.2018 pour un traitement antibiotique intraveineux jusqu'au 29.12.2018. En raison d'un syndrome inflammatoire à la hausse, nous réalisons un ultrason testiculaire permettant d'exclure un abcès. Les prélèvements microbiologiques sont positifs pour une infection à Chlamydia trachomatis. Le patient bénéficie donc d'un traitement par Avalox qui est à prendre pendant 14 jours avec un rendez-vous de contrôle chez le Dr. X dans 10 jours pour effectuer un nouveau frottis de contrôle. Nous informons le patient des résultats microbiologiques en lui expliquant bien d'informer son épouse qui devra elle aussi bénéficier d'un traitement antibiotique. Le patient rejoint son domicile le 29.12.2018. Mr. Y est un patient de 88 ans connu pour une artériopathie oblitérante des membres inférieures de stade IV avec une plaie chronique du mollet gauche étendue, c'est pourquoi nous posons l'indication d'un débridement comprenant l'excision du tendon d'Achille et pose de VAC. L'intervention est effectuée le 17.12.2018. Des changements de VAC sont effectués de façon itérative jusqu'au 11.01.2019, date à laquelle nous effectuons une greffe de Thiersch. Un bilan est effectué par angiographie où une sténose est mise en évidence et dilatée au niveau de l'artère tibiale postérieure le 21.12.2018. Sur le plan infectiologique, les frottis reviennent positifs pour des entérocoques faecalis et du staphylocoque doré. En raison d'un statut clinique et d'un suivi biologique rassurants, nous ne prescrivons pas d'antibiothérapie. Sur le plan diabétologique, le patient présente des épisodes d'hypoglycémie pour lesquels nous adaptons son traitement habituel avec l'aide de nos collègues diabétologues. Mr. Y rentre à domicile avec une aide à domicile (infirmière indépendante) le 23.02.2019. Mr. Y est un patient de 74 ans qui est hospitalisé pour une pose d'endoprothèse aortique (EVAR) par voie percutanée dans le contexte d'un anévrisme de l'aorte abdominale sous-rénal de 60 mm. L'intervention se déroule sans complication mais dans la nuit du 17.01.2019, le patient présente une ischémie subaiguë du membre inférieur gauche avec des contrôles vasculaires pathologiques motivant la réalisation d'un angio-CT retrouvant une thrombose artérielle iliaque externe gauche et fémorale superficielle gauche. Il bénéficie le 18.01.2019 d'une endartérectomie de l'artère fémorale gauche et d'une thrombo-embolectomie par Fogarty de l'axe iliaque gauche et de l'artère fémorale commune. Les suites opératoires sont par la suite grevées d'un écoulement séreux au niveau de l'orifice du Redon associées à des douleurs en fosse iliaque gauche. Un Angio-CT est réalisé le 22.01.2019 montrant une absence de collection inguinale ou intra-abdominale et une absence de diverticulite.Sur le plan respiratoire, Mr. Y présente une décompensation cardiaque globale. Un traitement de diurétique est temporairement instauré et l'évolution est par la suite favorable. Sur le plan neurologique, le patient présente une radiculopathie cervicale avec des douleurs de type neuropathique en regard de C6 avec irradiation dans le bras, sans trouble sensito-moteurs. La percussion des épines est indolore. Après contact avec les neurologues et discussion avec le Dr. X, nous proposons au Médecin traitant d'organiser une IRM en ambulatoire pour investigation de ces douleurs et de prendre un rendez-vous à la consultation Spine en cas d'indication. Durant l'hospitalisation, de la prégabaline est instaurée et Mr. Y reçoit deux doses de Solumédrol. Nous laissons le soin au Médecin traitant d'adapter la posologie. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile le 27.01.2019. Mr. Y, connu pour une fibrose pulmonaire à un stade avancé, est amené au service des urgences pour une dyspnée en péjoration depuis son retour à domicile après un séjour en réhabilitation respiratoire à l'HFR Billens. À son arrivée au service des urgences, nous trouvons un patient dans un état critique avec une décompensation respiratoire nécessitant une oxygénation au masque à 15 litres. Il présente également un choc cardiogénique sur une insuffisance cardiaque droite. Mr. Y ne souhaite pas de transplantation pulmonaire ni de soins intensifs. Au service des urgences, le patient reçoit 1.2 g de Co-Amoxicilline i.v. et 125 mg de Solumédrol. Mr. Y et sa femme sont avertis de la gravité de la situation et le patient est hospitalisé. Un protocole d'urgence est mis en place. Le même matin, Mr. Y présente des difficultés respiratoires importantes avec un gasping malgré l'oxygénothérapie. Nous constatons son décès à 5h00 le 14.12.2018. Mr. Y est un patient de 78 ans qui bénéficie d'une amputation abdomino-périnéale avec colostomie définitive le 14.01.2019 dans le cadre du diagnostic susmentionné. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites opératoires sont simples. Le cas de Mr. Y est discuté lors de notre colloque interdisciplinaire du 23.01.2019 et nous préconisons un traitement adjuvant. En raison d'une augmentation du syndrome inflammatoire à J7 postopératoire, un CT-scan abdominal est effectué et ne met pas en évidence de collection ou d'abcès. L'évolution clinico-biologique est par la suite spontanément favorable, le patient peut regagner son domicile en bon état général le 28.01.2019. Il sera revu pour contrôle à la consultation du Dr. X le 05.02.2019 et sera convoqué par nos collègues oncologues afin d'organiser la suite de la prise en charge. Mr. Y, âgé de 73 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une réduction fermée et ostéosynthèse par clou PFNA le 23.12.2018 d'une fracture pertrochantérienne type Kyle III avec fracture multifragmentaire du grand trochanter à gauche le 21.12.2018. Mr. Y a aussi présenté une fracture intra-articulaire peu déplacée du radius distal à gauche le 21.12.2018, traitée conservativement par plâtre AB durant 6 semaines. Sur le plan social, le patient vit avec son amie à domicile. Le patient est autonome et toujours actif sur le plan professionnel. À l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Le patient se plaint de douleurs à la hanche G à la mobilisation qui sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Pas de douleur au poignet G. Au status, le patient est orienté et collaborant. À l'auscultation cardiaque, souffle aortique systolique 4/6 irradiant aux deux carotides (connu selon le patient). Présence d'OMI à gauche. La cicatrice est calme. La force du MIG est cotée à M3/4 au psoas et au quadriceps, M3 à la dorsiflexion du pied gauche. La flexion du genou G est de 90° en actif et de 100° en passif. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises. Pour les longs trajets, afin d'éviter de charger sur le poignet G, Mr. Y utilise un fauteuil roulant. Les amplitudes articulaires montrent une flexion de la hanche G en actif assisté de 80°. La force du MIG est cotée à M2 au psoas et à M3 au quadriceps. Après 1 semaine d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service, à sa demande, pour rejoindre son domicile le 10.01.2019, en bon état général. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile. Mr. Y, 53 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance neurologique post crises d'épilepsie tonico-cloniques dans un contexte de sevrage alcoolique. Le patient, connu pour une consommation d'alcool à risque, est amené aux urgences suite à l'appel de son logeur qui l'a retrouvé mutique à domicile. Crise tonico-clonique lors du transport en ambulance d'environ 45 secondes avec confusion post critique par la suite. Le bilan initial aux urgences avec CT cérébral et thoraco-abdominal retrouve uniquement une suspicion de broncho-aspiration sans autre lésion organique. La surveillance neurologique Mr. Y, 53 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance neurologique suite à une crise d'épilepsie tonico-clonique dans un contexte de sevrage alcoolique. Le patient, connu pour une consommation d'alcool à risque, est amené aux urgences suite à l'appel de son logeur qui l'a retrouvé mutique à domicile. Il présente une crise tonico-clonique lors du transport en ambulance d'environ 45 secondes avec confusion post critique par la suite. Le bilan initial aux urgences avec CT cérébral et thoraco-abdominal retrouve uniquement une suspicion de broncho-aspiration sans autre lésion organique. L'épilepsie est attribuée à un sevrage alcoolique lié à une altération de l'état général dans un contexte de diarrhées présentes depuis quelques jours avant l'hospitalisation. Un traitement de Lévétiracétam est introduit, sans crise convulsive récidivante. Le Duplex des vaisseaux intra-cérébraux est réalisé au vu d'une sténose de l'ACM gauche sur l'IRM d'août 2018, ne montrant pas de progression significative. Nous vous laissons le soin de réévaluer l'introduction d'un traitement de prévention primaire de l'AVC avec Aspirine cardio et statine dans le suivi. Un rendez-vous de contrôle est prévu à 3 mois avec EEG. Une pneumonie de broncho-aspiration visualisée à l'imagerie est traitée par Ceftriaxone pour une durée de 5 jours. À noter que lors de l'entrée aux urgences, une dose unique de Co-amoxicilline a été administrée puis stoppée afin de limiter le risque de développement d'une colite à Clostridium chez un patient se plaignant de diarrhées à l'entrée des urgences. Les diarrhées sont d'origine indéterminée. Le bilan microbiologique standard est négatif. Le patient n'a pas présenté de récidives de diarrhées dès le 12.01.2019. La volémie et les troubles électrolytiques ont été corrigés. Concernant sa consommation OH chronique, le patient est prêt à envisager un sevrage. Durant le séjour, un traitement par Oxazépam fixe et en réserve est introduit puis adapté à la baisse. Le patient rencontre un intervenant du Torry et reçoit des informations concernant la clinique. Nous organisons un suivi ambulatoire chez un médecin traitant dès le lendemain de la sortie afin d'adapter le traitement du sevrage.Le patient se plaint également d'otalgies droites dans le contexte d'otites à répétition. Nos collègues ORL retirent un bouchon de cérumen à droite et proposent un traitement symptomatique d'une rhinite obstructive avec rinçages de nez. Mr. Y peut rentrer à domicile le 23.01.2019 avec contrôle chez le Dr. X le 24.01.2019. Rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X le 24.04.2019 à 9h avec EEG à 8h. Contrôle clinique chez le Dr. X le 24.01.2019 à 9h. Mr. Y, 53 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance neurologique suite à une crise d'épilepsie tonico-clonique dans un contexte de sevrage alcoolique. Le patient, connu pour une consommation d'alcool à risque, est amené aux urgences suite à l'appel de son logeur qui l'a retrouvé mutique à domicile. Il présente une crise tonico-clonique lors du transport en ambulance d'environ 45 secondes avec confusion post-critique par la suite. Le bilan initial aux urgences avec CT cérébral et thoraco-abdominal retrouve uniquement une suspicion de broncho-aspiration sans autre lésion organique. L'épilepsie a été attribuée à un sevrage alcoolique lié à une altération de l'état général dans un contexte de diarrhées présentes depuis quelques jours avant l'hospitalisation. Un traitement de Levetiracetam a été introduit, sans crise convulsive récidivante. La poursuite de ce traitement et la réalisation d'un éventuel électro-encéphalogramme seront à confirmer avec les neurologues. Aucun signe de sevrage alcoolique hormis une tachycardie sinusale. Un traitement par Oxazépam en fixe et en réserve sera à poursuivre et à adapter selon l'évolution clinique. Une pneumonie de broncho-aspiration visualisée à l'imagerie (CT-scan thoracique) a été traitée par Ceftriaxone pour une durée de 5 jours. À noter que lors de l'entrée aux urgences, une dose unique de Co-amoxicilline a été administrée puis stoppée afin de limiter le risque de développement d'une colite à Clostridium chez un patient se plaignant de diarrhées à l'entrée des urgences. Les diarrhées sont d'origine indéterminée. Le bilan microbiologique standard est négatif. Le patient n'a pas présenté de récidives de diarrhées dès le 12.01.2019. La volémie et les troubles électrolytiques ont été corrigés. Le patient a été transféré le 13.01.2019 dans le service de médecine interne. Un suivi médical ambulatoire et une évaluation par le service social devraient être organisés avant le retour à domicile. Mr. Y, 55 ans, est hospitalisé à l'HFR Fribourg le 03.01.2019 en raison d'un STEMI de l'artère circonflexe proximale. Le patient présente des douleurs rétro-sternales sans irradiation le 03.01.2018 vers 07h30. À la permanence d'Estavayer-le-Lac, un STEMI est diagnostiqué, motivant une coronarographie en urgence qui met en évidence l'occlusion de la circonflexe proximale. Il bénéfice de la mise en place d'un stent actif avec un bon résultat final. La sténose serrée de l'artère coronaire droite devra être traitée dans un deuxième temps. Il est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance puis transféré en médecine interne. Un traitement par Lisinopril, Metoprolol, Atorvastatine, Efient et Atorvastatine est débuté. Au vu d'une FEVG diminuée à 35%, nous débutons également un traitement par Spironolactone. L'échocardiographie montre également une akinésie apicale et de plusieurs parois. Du fait que le septum ne soit pas touché, l'indication à une anticoagulation sera évaluée seulement d'ici un mois lors d'un ultrason transthoracique de contrôle, ce qui donnera le temps au patient de potentiellement récupérer une partie de sa fonction cardiaque. Bénéficiant en surcroît de physiothérapie de mobilisation, le patient évolue favorablement tant sur le plan clinique que biologique. Il rentre à domicile le 08.01.2019 et sera convoqué pour une réadaptation cardiovasculaire stationnaire à Billens après sa coronarographie du 29 janvier 2019. Mr. Y, 55 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un STEMI sur une occlusion de la circonflexe proximale le 03.01.2018. Le patient présente des douleurs de type angor typique sans irradiation le 03.01.2018 vers 07h30. À la permanence d'Estavayer-le-Lac, un STEMI est diagnostiqué motivant une coronarographie en urgence qui montre l'occlusion de la circonflexe proximale. Il bénéfice de la mise en place d'un stent actif avec un bon résultat final. La sténose serrée de la coronaire droite doit être traitée dans un deuxième temps. Nous débutons un traitement par Lisinopril et Metoprolol. Au vu d'une FEVG diminuée à 35%, nous débutons un traitement par Spironolactone. L'échocardiographie montre également une akinésie apicale qui sera contrôlée dans 1 mois et l'indication pour une anticoagulation sera réévaluée à ce moment-là. Mr. Y, connu pour un carcinome pulmonaire neuroendocrine à petites cellules, extensive disease, métastatique au niveau ganglionnaire, hépatique et osseux, sous chimiothérapie palliative, se présente aux urgences le 24.12.2018 en raison d'une dyspnée avec tachypnée et tachycardie. L'épouse du patient nous décrit une péjoration de la dyspnée depuis trois jours avec actuellement une dyspnée présente au moindre effort (NYHA IV) et une baisse de l'état général associée. Pour rappel, la maladie oncologique a été diagnostiquée fin septembre 2018 et confirmée par bronchoscopie et PET-CT avec début d'une chimiothérapie palliative par Carboplatine et Etopophos. Malgré la chimiothérapie, un CT scan de contrôle du 06.11.2018 montre une progression de la masse médiastinale. Au vu de cette situation, le Dr. X, radiologue interventionnel, confirme l'impossibilité de mettre un stent. Le CT scan du 18.12.2018 montre une évolution de la maladie oncologique avec une augmentation en taille des adénopathies du médiastin supérieur, l'apparition d'innombrables lésions focales hépatiques compatibles avec des métastases intéressant l'intégralité du foie, l'apparition de lésions métastatiques osseuses avec apparition d'un tassement d'environ 50% du corps vertébral de L1 et de D5. À l'admission aux urgences, Mr. Y est subfébrile à 37.6°C, normotendu à 118/85 mmHg, tachycarde à 125 battements par minute, tachypnéique à 33 par minute, la saturation est à 95% sous 8 litres d'oxygène au masque. Il est en état général diminué et épuisé. L'auscultation cardiaque montre des bruits réguliers sans souffle ausculté. Au niveau respiratoire, notons une hypoventilation supérieure droite et des ronchis et crépitants diffus à droite plus qu'à gauche. La palpation abdominale met en évidence une légère sensibilité en hypochondre droit avec des bruits intestinaux normaux en fréquence et en intensité. L'ECG montre une tachycardie sinusale à 130 battements par minute avec des extrasystoles supraventriculaires. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 250 mg/l sans leucocytose mais avec déviation gauche. Les tests hépatiques sont perturbés avec ASAT à 229 U/I, ALAT à 48 U/I, LDH à 10'691 U/I, phosphatase alcaline à 385 U/I et Gamma GT à 682 U/I. La gazométrie artérielle montre une insuffisance respiratoire globale avec une PaO2 à 7,5 kPa et une hypercapnie à 6.6 kPa avec des lactates à 3.3 mmol/l. La radiographie thoracique montre un probable foyer de condensation juxta-hilaire droit et une turgescence hilaire bilatérale. Nous retenons le diagnostic de surinfection de la masse tumorale pulmonaire (hilaire droite) et nous administrons une antibiothérapie par Klacid 500 mg 2x/jour du 24 au 27.12.2018 (stoppée au vu des antigènes urinaires négatifs) et Rocéphine 2 g 1x/jour du 24.12.2018 au 29.12.2018. Nous instaurons également une corticothérapie par Prednisone 20 mg 1x/jour pendant 5 jours et un traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin.Durant l'hospitalisation, le patient est vu par le Dr. X qui lui explique la situation, notamment l'évolution de sa pathologie oncologique malgré la chimiothérapie ainsi que la situation palliative qui risque d'être rapidement évolutive. Au vu du contexte, nous proposons un transfert à la Villa Saint-François avant un retour à domicile, ce que le patient refuse, préférant un retour rapide à domicile afin de profiter de ses enfants et petits-enfants. Malheureusement, la situation se détériore rapidement et Mr. Y décède le 29.12.2018. Mr. Y, 78 ans, est réadmis aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique. Pour rappel, le patient est connu pour une BPCO sévère avec hospitalisation aux soins intensifs du 20.01. au 26.01.2019 pour une exacerbation dans un contexte de virose à RSV. Dans la nuit du 27.01 au 28.01.2019, le patient présente un épisode de désaturation massive nécessitant une réadmission aux soins intensifs pour une surveillance respiratoire. L'administration d'aérosols d'Atrovent et Ventolin permet une rapide amélioration. L'origine de la désaturation reste peu claire. Un épisode d'obstruction des voies aériennes sur un possible SAOS est évoqué. L'équipe de pneumologie est impliquée le 28.01.2019 (Dr. X) et une polysomnographie est réalisée le 28.01.2019 avec mise en évidence d'un SAOS modéré pour lequel il est proposé de réaliser à nouveau la polysomnographie nocturne le 29.01.2019 avec équipement par VNI nocturne. Mr. Y a été hospitalisé dans le service de médecine interne jusqu'au 24.12, où il était sorti contre avis médical. Pour rappel, il est connu pour un DM de type 2 insulinorequérant, une sténose aortique sévère, une coronopathie tritronculaire et un AOMI bilatéral. Actuellement, le 25.12.2018, il se présente aux urgences avec une dyspnée importante, une désaturation à l'air ambiant, une toux grasse. Il n'a pas de douleur thoracique. Au niveau abdominal, il présente une constipation depuis plusieurs jours. L'auscultation abdominale montre des bruits diminués en quantité, il n'y a pas de défense ni de détente. De ce fait, un traitement laxatif est introduit. Le statut pulmonaire montre des râles bibasaux avec des crépitants fins. Le statut cardiaque est dans la norme, il n'y a pas d'oedème ni de turgescence jugulaire. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire péjoré depuis le 24.12.2018 ainsi qu'une insuffisance rénale modérée. Une radiographie montre des signes de décompensation cardiaque NYHA 3 avec un foyer infectieux basal gauche. Avec ce diagnostic de décompensation cardiaque, nous introduisons rapidement un traitement de Torem 50mg 1x/jour avec bonne réponse au niveau symptomatologique. Ceci en concomitance avec des signes de pneumonie, nous reprenons le traitement antibiotique avec Rocéphine 2g puis passage à Co-Amoxiciline 2x1200mg, adapté à la fonction rénale pour 10 jours. Des inhalations de Ventolin et Atrovent sont utiles, ainsi qu'une oxygénothérapie. L'oxygénothérapie ainsi que les inhalations sont graduellement diminuées puis arrêtées le 01.01.2019 en raison de l'amélioration clinique. Pendant l'hospitalisation, son diabète de type 2 insulinorequérant nécessite des adaptations en raison de glycémies régulièrement déséquilibrées. Nous augmentons son insulin retard du matin et diminuons celle du soir, et nous introduisons de la Metformine 500 mg 2x/j. Malgré cela, les valeurs, bien que meilleures, ne sont toujours pas optimales, et nous recommandons un suivi régulier du diabète de Mr. Y pour l'avenir. Nous suggérons au patient et à sa femme de tenir un carnet des valeurs glycémiques de Mr. Y, afin que le médecin traitant puisse adapter le traitement selon ces valeurs. Le 13.01.2019, Mr. Y présente un épisode de douleur rétrosternale de type angor spontanément régressive chez un patient déjà sous ASS et Clexane. L'ECG montre une nouvelle élévation V1-2 antérieur sans dynamique 3h après, les troponines sont augmentées de 53 ng/l à 67 ng/l. Après discussion avec Mr. Y, celui-ci ne souhaite pas de transfert, ni réanimation, ni intubation. Il ne souhaite que des traitements symptomatiques. Nous suspectons un début de trouble cognitif, à réévaluer en dehors de l'hospitalisation. Mr. Y, malgré son amélioration clinique, présente une persistance d'une faiblesse musculaire et il nécessite une guidance verbale pour les transferts et une aide pour la douche. Pour rappel, Mr. Y habite avec sa femme et ils ont 1x/semaine Spitex à la maison. De ce fait, Mr. Y nécessite une réadaptation pour améliorer son état global. Il peut être transféré en réadaptation palliative le 14.01.2019. Mr. Y a été hospitalisé dans le service de médecine interne jusqu'au 24.12.18, où il était sorti contre avis médical. Le 25.12.2018, il se présente aux urgences avec une dyspnée importante, une désaturation à l'air ambiant, une toux grasse. Il n'a pas de douleur thoracique. Au niveau abdominal, il présente une constipation depuis plusieurs jours. L'auscultation abdominale montre des bruits diminués en quantité, il n'y a pas de défense ni de détente. De ce fait, un traitement laxatif est introduit. Le statut pulmonaire montre des râles bibasaux avec des crépitants fins. Le statut cardiaque est dans la norme, il n'y a pas d'oedème ni de turgescence jugulaire. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire péjoré depuis le 24.12.2018 ainsi qu'une insuffisance rénale modérée. Une radiographie montre des signes de décompensation cardiaque NYHA 3 avec un foyer infectieux basal gauche. Avec ce diagnostic de décompensation cardiaque, Mr. Y est de nouveau hospitalisé en médecine interne et nous introduisons rapidement un traitement de Torem 50mg 1x/jour avec bonne réponse au niveau symptomatologique. Ceci en concomitance avec des signes de pneumonie, nous reprenons le traitement antibiotique avec Rocéphine 2g puis passage à Co-Amoxiciline 2x1000mg, adapté à la fonction rénale pour 10 jours. L'évolution clinique est favorable. Pendant l'hospitalisation, son diabète de type 2 insulinorequérant nécessite des adaptations fréquentes de l'insuline en raison de glycémies régulièrement déséquilibrées. Nous augmentons son insulin retard du matin et diminuons celle du soir, et nous introduisons de la Metformine 500 mg 2x/j. Malgré cela, les valeurs, bien que meilleures, ne sont toujours pas optimales, et nous recommandons un suivi régulier du diabète de Mr. Y pour l'avenir. Nous suggérons au patient et à sa femme de tenir un carnet des valeurs glycémiques de Mr. Y, afin que le médecin traitant puisse adapter le traitement selon ces valeurs. Le 13.01.2019, Mr. Y présente un épisode de douleur rétrosternale de type angor spontanément régressive chez un patient déjà sous ASS et Clexane. L'ECG montre une nouvelle élévation V1-2 antérieur sans dynamique 3h après, les troponines sont augmentées de 53 ng/l à 67 ng/l. Après discussion avec Mr. Y, celui-ci ne souhaite pas de transfert, ni réanimation, ni intubation. Il ne souhaite que des traitements symptomatiques. Suite à cette discussion et au vu de l'impossibilité d'un retour à domicile à ce moment, Mr. Y est transféré depuis la médecine interne en soins palliatifs le 14.01.2019 pour le reste de son séjour jusqu'au 23.01.2019. Mr. Y, malgré son amélioration clinique, présente une persistance d'une faiblesse musculaire et il nécessite une guidance verbale pour les transferts et une aide pour la douche. Pour rappel, Mr. Y habite avec sa femme et ils ont 1x/semaine Spitex à la maison, que nous suggérons d'augmenter à 1x/jour à partir de la sortie du patient.Le 19.01.2019 nous faisons une tentative d'enlever la sonde urinaire de Mr. Y. La tentative est un échec puisque Mr. Y ne réussit pas à vider sa vessie spontanément après retrait du cathéter. Une sonde à demeure est mise en place et nous recommandons une éventuelle nouvelle tentative de sevrage dans 2 semaines environ. Du Pradif est commencé sur l'hypothèse d'une HBP à l'origine de ces troubles mictionnels. Le 23.01.2019, Mr. Y peut rentrer à domicile dans un bon état général. Mr. Y est un patient de 89 ans qui se présente aux urgences le 21.12.2018 pour des douleurs abdominales depuis 3 jours. À l'arrivée aux urgences, le patient présente des signes de choc septique. Un CT scan montre une perforation du bulbe duodénal sur sa paroi latérale gauche avec pneumopéritoine et épanchement péritonéal. Le patient est alors pris au bloc opératoire pour une laparotomie exploratrice avec suture duodénale et patch épiploïque. Lors de l'opération, il bénéficie également d'une OGD (Dr. X) avec la mise en place d'une sonde nasogastrique. En postopératoire, le patient est hospitalisé aux soins intensifs et bénéficie d'un soutien noradrénergique et d'un remplissage vasculaire. L'évolution est initialement favorable, le patient peut être extubé et transféré à l'étage de chirurgie le 24.12.2018. À noter que l'attitude est discutée clairement avec les proches de Mr. Y, qui ne souhaitent pas de réanimation, ni de réintubation, ni de reprise au bloc opératoire en cas de complication. Une reprise aux soins intensifs n'est donc pas indiquée. Par la suite, le patient présente une péjoration clinique avec une importante surcharge pulmonaire et une dégradation de l'état général sur décompensation cardiaque. Au vu de l'attitude discutée avec le patient et sa famille, nous renonçons à des mesures thérapeutiques supplémentaires et le patient décède le 28.12.2018. Mr. Y, votre patient de 63 ans, connu pour un carcinome pulmonaire du lobe supérieur gauche stade IV, connu également pour une maladie coronarienne tritronculaire stentée et une CIA fermée par voie percutanée, se présente aux urgences le 24.01.2019 en raison de douleurs épigastriques en péjoration associées à des diarrhées, des nausées et un épisode de vomissement, ainsi qu'un syndrome grippal. Le patient note l'apparition de la symptomatologie dès le 22.01.2019, après une ETO de contrôle. L'examen clinique du patient est sans particularité. Le bilan initial réalisé aux urgences, comprenant un laboratoire, un ECG et une radiographie du thorax, est rassurant. Lors de l'examen radiologique, le patient fait une syncope sans prodrome d'origine vaso-vagale probable et d'allure orthostatique, et de résolution rapide et spontanée, avec un contrôle clinique normal. Le patient hospitalisé bénéficie d'une hydratation et d'une antalgie simple avec résolution de la symptomatologie. Nous le conseillons de revenir au cas où la symptomatologie venait à perdurer et se péjorer. À noter que les résultats des tests de Novovirus et PCR dans les selles sont toujours en cours et vous parviendront dans les plus brefs délais. Mr. Y rentre ce 25.01.2019 à domicile avec poursuite de la prise en charge par vos soins. Mr. Y, patient de 67 ans, hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance neurologique dans le contexte du développement des troubles de l'état de conscience d'origine indéterminée. Le patient a été récemment hospitalisé aux soins intensifs après un AVC ischémique malin du territoire sylvien gauche qu'il avait eu le 15.11.2018 et pour lequel il avait bénéficié d'une craniectomie droite dans le contexte d'une hypertension intra-crânienne. Il présente comme séquelles un hémisyndrome sensitivo-moteur gauche, une héminégligence gauche et une aphasie. Le patient avait été transféré à la clinique Montana pour une réadaptation et ensuite retransféré à Fribourg pour des douleurs abdominales mises sur le compte du traitement antidépresseur par Vortioxétine. Le 31.12.2018, le patient présente des troubles de l'état de conscience avec un GCS fluctuant entre 9 et 14. Après un bilan biologique extensif qui ne retrouve pas d'anomalie à l'origine de ses troubles, le patient est transféré à Berne pour une IRM cérébrale qui montre uniquement une anomalie de signal non spécifique au niveau des noyaux gris centraux. Le patient est ensuite transféré aux soins intensifs pour une surveillance neurologique sur la nuit. À son arrivée, le GCS varie entre 14 et 15 et le reste du status neurologique est superposable à son status neurologique habituel. Nous attribuons les nausées à la nutrition ainsi qu'à la vortioxétine, substance connue pour induire de tels effets secondaires. Conséquemment, nous stoppons la vortioxétine. La symptomatologie s'améliore très rapidement. Mr. Y, patient de 88 ans, est réadmis aux soins intensifs le 27.01.2019 en raison d'une décompensation respiratoire globale aiguë. Il est par la suite transféré le 29.01.2019 au service de médecine interne, pour la suite de sa prise en charge. Pour rappel, il bénéficie d'une laparotomie en urgence pour une péritonite stercorale sur une perforation diverticulaire le 24.01.2019. L'évolution post-opératoire est initialement simple et le patient est transféré en division de chirurgie le 25.01.2019 sous couverture antibiotique de Tazobac. Connu et traité pour une psychose bipolaire, il présente le 27.01.2019 en soirée un état d'agitation motivant l'administration de Temesta. L'évolution est marquée par des troubles de l'état de conscience et une décompensation respiratoire globale aiguë motivant sa réadmission dans notre service. L'origine de la décompensation respiratoire globale aiguë est multifactorielle, avec au premier plan une probable pneumonie d'inhalation (troubles de la déglutition et iléus post-opératoire), une surcharge volémique et possiblement une accumulation de benzodiazépines. L'évolution est progressivement stabilisée sous ventilation non-invasive, mobilisation intensive, arrêt des benzodiazépines et majoration des diurétiques. Nous ne modifions pas le traitement antibiotique par Tazobac introduit initialement pour la péritonite stercorale. En cours de séjour aux soins intensifs, le patient présente un état confusionnel hypomane motivant l'introduction de Distraneurine. En raison d'un iléus post-opératoire, une alimentation parentérale périphérique est débutée à demi-doses le 28.01.2019 et arrêtée le 30.01.2019. Nous initions un traitement par Erythromycine 200 mg trois fois par jour, dans l'optique de stimuler une reprise du transit. Nous proposons de reprendre une alimentation par la sonde naso-gastrique à bas débit, dès que le débit des sécrétions gastriques est inférieur à 300 mL/24h via la sonde de décharge. Au niveau infectieux, le syndrome inflammatoire est en augmentation depuis le 30.01.2019. Le patient est fébrile transitoirement le 31.01.2019. Un spot urinaire est réalisé et ne montre pas de signe d'infection urinaire. Une radiographie du thorax est réalisée peu avant le départ du patient, sur laquelle nous avons une forte suspicion d'un important épanchement pleural à gauche, que nous vous proposons de prendre en charge. Compte tenu des co-morbidités importantes, d'entente avec le représentant thérapeutique et conformément aux directives anticipées du patient, nous convenons de soins maximaux à l'étage, sans réadmission aux soins intensifs envisagée en cas de nouvelle complication significative. Mr. Y est transféré le 31.01.2019 à l'HFR Tavel, pour une suite de prise en charge. En cas de péjoration, des soins de confort sont à envisager.Monsieur Y, 46 ans, est hospitalisé dans notre service de Chirurgie pour prise en charge chirurgicale d'une tumeur neuroendocrine du caecum. Il bénéficie le 04.01.2019 de l'intervention susmentionnée. L'évolution post-opératoire est favorable, permettant un retour à domicile le 10.01.2019. Le patient a également bénéficié d'un octréoscan post-opératoire. Celui-ci ne montre pas de foyer pathologique. Le cas sera discuté à notre Tumorboard interdisciplinaire le mercredi 16 janvier 2019. En attendant, le patient sera revu à la consultation du Dr. X le 15.01.2019 à 10h40 pour premier contrôle post-opératoire puis le mardi 12.02.2019 à 9h20. Monsieur Y, patient de 18 ans, est hospitalisé en urgence dans le service de médecin interne pour une éruption cutanée. Pour rappel, le patient présente le 11.01.19 une éruption cutanée papulo-pustuleuse atteignant l'ensemble du visage et du cou. Face à la péjoration des symptômes cutanés le 12.01.19, il consulte le médecin de garde qui l'adresse directement aux urgences. Un avis dermatologique est demandé par nos collègues des urgences au service de dermatologie du CHUV. Dans un contexte d'acné non traité sur terrain atopique, nos collègues dermatologues diagnostiquent un eczéma herpétique. En conséquence et sur avis infectiologique, le patient est traité par Aciclovir iv du 13.01.19 au 14.01.19 avec un relais per os par Valtrex per os du 14.01.19 au 19.01.19. En l'absence de symptômes oculaires, nos collègues ophtalmologistes ne retiennent pas d'indication à une consultation ophtalmologique et proposent de traiter le patient prophylactiquement par Zovirax onguent. Des frottis des lésions cutanées se révèlent négatifs pour HSV et VZV. Nous complétons le bilan biologique par un test de HIV qui se révèle négatif. Nous recommandons au patient de consulter un dermatologue en cas de persistance des symptômes. En cas d'apparition de symptômes oculaires, nous informons le patient qu'il doit consulter un ophtalmologue en urgence ou un service d'urgence. Nous recommandons un contrôle chez le médecin traitant une semaine après l'hospitalisation. Les plaintes du patient sont rapidement régressives avec amélioration des lésions cutanées. A l'étage, le patient reste cliniquement et hémodynamiquement stable. Le patient peut rentrer à son domicile le 14.01.19. Monsieur Y, 44 ans, a été admis le 11.09.2019 suite à un coma secondaire à une intoxication aiguë à l'héroïne et aux benzodiazépines. Le patient est connu pour une ancienne toxicomanie intraveineuse stoppée il y a plus de 10 ans ainsi qu'une hépatite B non traitée. Il présente une dépendance aux benzodiazépines avec consommation quotidienne de Valium, Seresta, Zopiclone et Mirtazapine. Il boit en moyenne 2 litres de bière par jour et fume 0.5 paquets de cigarettes (15 UPA). Il affirme consommer occasionnellement de l'héroïne inhalée avec dernière consommation il y a 6 mois. Le 11.01.2019, dans un contexte de conflit sentimental, il aurait inhalé 0.2 mg d'héroïne, puis a présenté un trouble de l'état de conscience motivant des témoins à appeler une ambulance. Les secours sur site mettent en évidence un coma avec GCS à 3/15, s'améliorant après l'administration de Flumazénil. Aux urgences, l'altération de la vigilance a nécessité l'administration de naloxone et une pompe de Flumazénil en continu, puis l'admission aux soins intensifs. L'intoxication aux opiacés et aux benzodiazépines a été confirmée par le bilan toxicologique. L'évolution neurologique et respiratoire a été rapidement favorable. La pompe de Flumazénil a pu être sevrée après quelques heures. Le patient n'a pas présenté de signes de sevrage et son traitement psychotrope habituel a été repris. Il a refusé une admission volontaire en milieu psychiatrique. Après discussion avec sa psychiatre traitante, il a été convenu de donner au patient son traitement habituel pour deux jours, dans l'attente d'une consultation en ambulatoire au centre d'addictologie qui lui distribue ses médicaments deux fois par semaine. Une bronchopneumonie d'aspiration a été traitée par co-amoxicilline pour une durée de 5 jours. Le patient rentre à domicile le 12.01.2019. Monsieur Y est un patient de 72 ans, connu pour une cardiopathie rythmique avec fibrillation auriculaire paroxystique, qui est hospitalisé en électif pour une cure de hernie inguinale gauche avec mise en place de filet le 28.01.2019, suite à mise en évidence d'une hernie inguino-scrotale gauche oligo-symptomatique. Le patient bénéficie de l'intervention susmentionnée le 28.01.2019. L'intervention se déroule sans complication et l'évolution est par la suite favorable. Au vu du développement d'un hématome asymptomatique, nous informons le patient de reprendre le Xarelto seulement à partir du 01.02.2019 et de poursuivre la Clexane jusqu'à la reprise du Xarelto. Monsieur Y rentre à domicile le 30.01.2019. Un rendez-vous de contrôle post-opératoire à la consultation du Dr. X est prévu le 06.02.2019 à 11h30. Monsieur Y présente une coxarthrose droite pour laquelle, après bilan radio-clinique, le Dr. X retient l'indication d'une arthroplastie totale, intervention qui se déroule sans complication le 23.01.2019. Les suites opératoires sont simples, avec bonne gestion de l'antalgie. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et Monsieur Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche en charge selon douleurs, sous protection de cannes anglaises. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Le contrôle biologique montre une hémoglobine à 130 g/l le 24.01.2019. Le patient bénéficie d'une prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg/jour, traitement qui est à poursuivre jusqu'au 06.03.2019 inclus. Sur avis du Dr. X, urologue, la sonde vésicale est laissée en place durant 5 jours, soit jusqu'au 28.01.2019. Malheureusement, après l'ablation de cette dernière, un globe vésical nécessite la pose d'une nouvelle sonde, que nous laissons en place pour le retour à domicile sur avis du Dr. X. Monsieur Y regagne son domicile le 29.01.2019. Il sera revu à la consultation du Dr. X, urologue, le 21.02.2019 pour la suite de la prise en charge urologique. Monsieur Y, patient tabagique de 42 ans, connu pour un asthme et une HTA traitée, se présente au service des urgences après des épisodes de vomissements et de diarrhées suivis de douleurs thoraciques angineuses associées à des sus-décalages dans le territoire inféro-latéral. La coronarographie montre une subocclusion de la coronaire droite moyenne sur plaque rompue qui est revascularisée par thrombo-aspiration et l'implantation d'un stent actif. Durant la surveillance rythmique aux soins, une salve de TV non soutenue est relevée. A l'étage, une ETT de contrôle montre une FEVG conservée. Nous initions un traitement par Aspirine Cardio à vie, Prasugrel pour 12 mois, bêta-bloquant, statines ainsi qu'un IEC au lieu du sartan pris par le patient précédemment. Le patient bénéficie d'une prise en charge en physiothérapie qui montre une bonne évolution clinique. Des diarrhées persistantes motivent une recherche de clostridium qui s'avère positive. Une antibiothérapie par Flagyl est instaurée avec une évolution favorable à poursuivre pour une durée totale de 10 jours. Monsieur Y rentre à domicile le 25.01.2019 et bénéficiera d'une réhabilitation cardiovasculaire ambulatoire à Billens. Monsieur Y, 42 ans, admis aux soins intensifs pour un STEMI inférieur. Ce patient est connu pour un asthme, une HTA et un tabagisme actif, s'adresse aux urgences pour des douleurs thoraciques angineuses associées à des sus-décalages dans le territoire inféro-latéral. Au labo, une cinétique des enzymes cardiaques est visible. La coronarographie montre une subocclusion de la coronaire droite moyenne sur plaque rompue qui est revascularisée par thrombo-aspiration et l'implantation d'un stent actif. La FEVG est conservée. Durant la surveillance rythmique, une salve de TV non soutenue est relevée. Nous instaurons un traitement par IECA, bêta-bloquant et statine. Une échocardiographie transthoracique a été demandée.Nous introduisons un traitement par Atrovent et Ventolin pour son asthme bronchial. • Mr. Y, 42 ans, admis aux soins intensifs pour un STEMI inférieur. • Le patient, connu pour un asthme, une HTA et un tabagisme actif, s'est adressé aux urgences pour des douleurs thoraciques angineuses associées à des sus-décalages dans le territoire inféro-latéral. Au laboratoire, une cinétique des enzymes cardiaques est visible. La coronarographie montre une subocclusion de la coronaire droite moyenne sur plaque rompue qui est revascularisée par thrombo-aspiration et l'implantation d'un stent actif. La FEVG est conservée. Durant la surveillance rythmique, une salve de TV non soutenue est relevée, environ 4 heures après la revascularisation, sans récidive. Nous instaurons un traitement par IECA, béta-bloquant et statine. Une échocardiographie transthoracique a été demandée. • Le patient avait des diarrhées avant l'apparition de la symptomatologie angineuse, raison pour laquelle nous avons fait un prélèvement de selles dans lequel un Clostridium difficile a été retrouvé. Un traitement par Metronidazole est à introduire. • Mr. Y est un patient de 27 ans, en bonne santé habituelle, qui consulte le 12.01.2019 aux urgences en raison de douleurs abdominales aiguës suspubiennes évoluant depuis 24 heures, accompagnées d'un état fébrile et d'un épisode de vomissement. Le reste de l'anamnèse est sans particularité, notamment au niveau urinaire. Au laboratoire, un syndrome inflammatoire important est noté et au CT une diverticulite sigmoïdienne avec perforation couverte est mise en évidence. Le patient est donc hospitalisé et mis sous antibiothérapie intraveineux par Rocéphine et Flagyl. Par la suite, il présente une bonne évolution clinique et biologique, permettant un retour à domicile le 18.01.2019. Il sera revu à la consultation des Chefs de clinique le 24.01.2019 à 9h30 et une coloscopie sera organisée dans 6 semaines. • Mr. Y souffre d'une coxarthrose invalidante à G pour laquelle l'indication pour une implantation de prothèse par voie antérieure est donnée. Le patient est clairement informé du déroulement de l'intervention ainsi que les risques et bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord, le consentement est signé. L'intervention est programmée pour le 25.01.2019. Le patient sera encore vu par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. • Mr. Y, 69 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une exacerbation de BPCO sur probable pneumonie basale droite. Le patient est connu pour une BPCO stade 4 oxygéno-dépendante (1.5 L à domicile) avec hospitalisation en décembre 2018 (du 16.12 au 21.12.2018) pour une exacerbation de sa maladie mais sans traitement antibiotique à l'époque. Il avait depuis 2-3 jours présenté une péjoration de sa dyspnée avec expectorations en augmentation et état fébrile sans frissons. À noter l'auto-prescription de comprimés d'Avalox depuis 48 heures (traitement antibiotique datant d'une ancienne exacerbation de sa BPCO en 11.2018). À son arrivée, il présente une somnolence avec un état diaphorétique. L'auscultation pulmonaire est spastique avec un patient bradypnéique. Le tableau clinique est confirmé par une gazométrie montrant une hypercapnie persistante et justifiant une intubation oro-trachéale dont le patient sera sevré le 04.01.2019. L'exacerbation actuelle de la BPCO est mise sur le compte d'une probable pneumonie basale droite sur la base d'une auscultation clinique pathologique. Le bilan biologique et radiologique initial ne permet pas de confirmer cette hypothèse. Toutefois, au vu de la récente hospitalisation et d'une antibiothérapie par Quinolone prise en auto-médication sur les dernières 48 heures, une antibiothérapie empirique par Klacid et Céfépime est débutée. Les résultats des prélèvements microbiologiques ne montrent pas de pathogène et le traitement antibiotique est poursuivi jusqu'au 09.01.2019. Le bilan d'entrée avait montré des modifications à l'ECG (segments ST biphasiques en V2-V4) sans mouvement enzymatique chez un patient asymptomatique mais connu pour une cardiopathie ischémique sans autre précision. Un avis cardiologique est pris avec une échocardiographie transthoracique montrant une fraction d'éjection du ventricule gauche conservée. Mr. Y est transféré en médecine interne le 07.01.2018 pour la suite du traitement par VNI et pour l'adaptation du traitement de la BPCO. Le patient est en attente d'un transfert à l'HFR Billens pour la mise en place d'une VNI nocturne et rééducation respiratoire. En attente d'une réhabilitation à Billens, le patient est reclassé. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. • Mr. Y, 69 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire globale sur exacerbation de BPCO. Le patient est connu pour une BPCO stade 4 oxygéno-dépendante (1.5 L à domicile). Il avait depuis 2-3 jours présenté une péjoration de sa dyspnée avec expectorations en augmentation et état fébrile sans frissons. À noter l'auto-prescription de comprimés d'Avelox depuis 48 heures (traitement antibiotique datant d'une ancienne exacerbation de sa BPCO en 11.2018). Suite à l'échec de VNI, il est intubé jusqu'au 04.01.2018. L'exacerbation de la BPCO est mise sur le compte d'une probable pneumonie. Au vu d'une antibiothérapie par Quinolone prise en auto-médication sur les dernières 48 heures, une antibiothérapie empirique par Klacid et Céfépime est débutée. Les résultats des prélèvements microbiologiques ne montrent pas de pathogène et le traitement par Cefepime est poursuivi pour une durée de 7 jours. Un bilan d'entrée aux urgences montre des modifications à l'ECG (segments ST biphasiques en V2-V4) sans mouvement enzymatique chez un patient asymptomatique mais connu pour une cardiopathie ischémique sans autre précision. Un avis cardiologique est pris avec une échocardiographie transthoracique montrant une fraction d'éjection du ventricule gauche conservée. Un traitement conservateur est préconisé sans autres investigations cardiologiques. Le patient est transféré à l'étage de médecine le 07.01.2018 pour la mise en place d'une VNI nocturne et rééducation respiratoire par la suite à Billens. • Mr. Y, 78 ans, est admis aux soins intensifs pour surveillance d'un anévrisme de l'aorte abdominal en progression dans un contexte infectieux local nécessitant une prise en charge chirurgicale et un anévrisme coronarien asymptomatique. Le patient, connu pour un anévrisme de l'aorte abdominale infra-rénale avec une cure endovasculaire en octobre 2014 et embolisation d'une endofuite en novembre 2018, présente depuis lors des douleurs abdominales traitées, sans succès, par des anti-inflammatoires non stéroïdiens et par de la Prednisone. Le suivi radiologique montre une infiltration péri-aortique, qui est associée à un discret syndrome inflammatoire. En raison de l'acutisation des douleurs abdominales, un nouveau CT-scan est réalisé, mettant en évidence une progression du sac anévrismal (2 mm) avec une image d'endo leak de type 5.Un anévrysme coronarien droit est également visualisé au CT-scan et bilanté par une coronarographie qui montre une maladie coronarienne ectasique avec un anévrisme énorme de l'artère coronaire droite moyenne (45 x 42 mm) et des simples ectasies de l'IVA et de la circulation proximale. Suite à une évaluation multidisciplinaire avec les collègues chirurgiens et anesthésistes, il est décidé d'une cure chirurgicale de l'anévrysme abdominal avec mise en place d'une prothèse aorto bi-fémorale le 24.01.2019. Les prélèvements peropératoires reviennent positifs pour des bacilles gram positifs traités initialement par Pipéracilline/Tazobactam et Vancomycine et, suite à l'identification du germe (Propionibacterium acnes) par Ceftriaxone. La durée totale de l'antibiothérapie reste à définir avec les infectiologues. Sur le plan tensionnel, un traitement bêta-alpha-bloquant intraveineux permet de maintenir une cible tensionnelle adéquate avec des valeurs de tension artérielle systolique inférieure à 90 mmHg et sans répercussion sur la fonction rénale avec une diurèse conservée. Un relais par l'Amlodipine per os est fait dès le 27.01.2019. Une intervention chirurgicale pour l'anévrysme coronarien cardiaque est à discuter à distance de la chirurgie abdominale. L'évolution étant favorable, le patient est transféré à l'étage de chirurgie le 27.01.2019. Mr. Yanez, patient de 93 ans connu pour une cardiopathie ischémique sur maladie coronarienne tritronculaire avec FEVG diminuée et sténose aortique serrée est hospitalisé dans le cadre d'une baisse de l'état général avec un épisode de vomissements et d'inappétence. L'anamnèse révèle une prise de poids progressive depuis sa sortie de l'hôpital en octobre 2018 ayant nécessité une modification de son traitement diurétique le vendredi 21.12.2018. Depuis lors, le patient a perdu près de 3 kg et a commencé à présenter les symptômes susmentionnés. L'examen physique montre des signes de déshydratation ainsi que des crépitants fins bilatéraux sur les plages pulmonaires. Le patient bénéficie d'un laboratoire mettant en évidence une hyponatrémie hyperosmolaire hypovolémique modérée probablement d'origine médicamenteuse. Nous mettons en suspens le traitement de Metolazone, réduisons le traitement de Torem et hydratons le patient prudemment en raison de ses comorbidités. L'évolution est favorable et nous stoppons l'hydratation pour ne pas mettre le patient en surcharge au vu de la diminution de son traitement diurétique. Une hypokaliémie est également mise en évidence et substituée en IV puis per os avec un bon résultat. Nous mettons également en évidence une insuffisance rénale aiguë probablement d'origine pré-rénale qui évolue favorablement avec une hydratation adaptée. Le 31.12.2018, au vu d'une prise de poids de 1 kg en 1 jour - sans autre signe clinique de surcharge - nous augmentons le Torem de 15 à 20 mg, et observons une stabilisation du poids dans les jours suivants. Les valeurs glycémiques de Mr. Yanez sont relativement stables à l'exception des valeurs du soir. Un consilium diabétologique nous confirme la non-nécessité d'augmenter la Ryzodeg du matin étant donné les valeurs basses de la glycémie matinale. Nous préconisons donc seulement une correction par de la Novorapid (4U) si les valeurs de la glycémie préprandiale du soir sont supérieures à 12 mmol/L. Nous augmentons également la fréquence des visites du Spitex, à des fins de garantir une meilleure compliance en ce qui concerne la prise des glycémies et l'injection de Ryzodeg du matin, ainsi que la correction par Novorapid du soir en cas de valeur haute de glycémie préprandiale. Le 04.01.2018, nous pouvons laisser le patient rentrer à domicile dans un bon état général. Mr. Zammiello, patient de 76 ans, connu pour une maladie athéromateuse sténo-occlusive du tronc basilaire et des artères vertébrales bilatérales en V4, ayant présenté un AVC ischémique pontique à gauche avec transformation hémorragique secondaire avec hémisyndrome sensitivo-moteur et ataxique à droite et dysarthrie en août 2014, non séquellaire. Également connu pour une cardiopathie ischémique avec pontage aortocoronarien en 1999, une hypertension artérielle et une hypercholestérolémie. Mr. consulte pour des vertiges depuis le 22.01.2019, qu'il décrit essentiellement aux changements de position. Le 22.01.2019, il décrit un épisode de diplopie horizontale transitoire de courte durée. Le 24.01.2019 au matin, il présente nouvellement des céphalées occipitales et est instable à la marche avec nausées et plusieurs épisodes de vomissements. Il consulte finalement le 25.01.2019. Un angio-CT cérébral et des vaisseaux du cou montrent un aspect superposable de l'occlusion des artères vertébrales (segment V4 des deux côtés) et du tronc basilaire avec reprise de flux dans la partie distale. L'IRM cérébrale ne montre pas de nouvelle lésion ischémique aiguë. Au vu de tous ces éléments et de l'anamnèse de diplopie transitoire, nous retenons comme diagnostic principal un accident ischémique transitoire vertébro-basilaire. Nous retenons l'indication à une double antiagrégation pendant 1 mois par Aspirine cardio 100 mg 1x/jour et Plavix 75 mg 1x/jour puis le Plavix seul à long terme. Le traitement d'Atorvastatine est majoré à 40 mg 1x/jour avec un cible de LDL-cholestérol à < 1,8 mmol/l. Une consultation de suivi chez le Dr. X est prévue en septembre 2019. À noter que le patient a également présenté un acouphène subit le 22.01.2019, qui ne s'est que partiellement résolu. Une consultation ORL met en évidence une surdité de perception à gauche à l'audiogramme tonal. De plus, un VHIT montre une atteinte des canaux semi-circulaires postérieur D et G et latéral G. Ainsi, le diagnostic de syndrome vestibulo-cochléaire est posé, dont l'étiologie reste à ce jour indéterminée. Nos collègues proposent un traitement par Prednison 1 mg/kg pendant 10 jours et un suivi à leur consultation le 08.02.2019. Mr. étant connu pour un prédiabète, nous avons informé le patient de contrôler régulièrement ses glycémies pendant ce traitement et de s'adresser à votre consultation en cas de glycémies trop élevées. Mr. Zaugg est un patient de 27 ans connu pour une dystrophie musculaire de Duchenne avec pneumopathie restrictive sous ventilation invasive continue depuis 2004 par trachéostomie, est hospitalisé au SIC pour son contrôle annuel de ventilateur avec polygraphie et capnographie nocturne. D'un point de vue pulmonaire, le patient relate une faible dyspnée avec toux et expectoration stable depuis le dernier contrôle en décembre 2017. Il n'a présenté aucune infection pulmonaire ni fièvre cette dernière année et a bien toléré l'appareillage nocturne. Son sommeil est bon avec quelques réveils nocturnes pour aspiration trachéale. Il ne présente aucun signe de rétention de CO2, à savoir pas de céphalée, pas de paresthésie, pas d'asthénie diurne. Les soins et les changements de canule de trachéotomie se déroulent sans complication à domicile avec les soins à domicile. Il est vu chaque 8 semaines dans le service ORL pour un contrôle de la trachéotomie. Les résultats de la nuit sont satisfaisants avec une absence d'apnées du sommeil à la polygraphie, et à la capnographie nocturne, une tcpCO2 moyenne à 4,4 kPa et une SpO2 moyenne à 98 %. Nous gardons donc les mêmes paramètres ventilatoires comme décrits ci-dessus.Mr. Zaugg rentre à domicile le 10.01.2019 avec un contrôle de sa ventilation dans 1 an pour lequel il sera convoqué. Mr. Zbinden est hospitalisé le 18.01.2019 pour surveillance neurologique et contrôle de la pression artérielle, dans le contexte d'un déficit neurologique (céphalée et trouble visuel de l'œil gauche) sur un PRES. Pour rappel, le patient avait été hospitalisé à l'Inselspital en juin 2018 pour un PRES avec les mêmes déficits. Au service des urgences, le patient aurait présenté deux crises d'épilepsie à type de clonies des membres inférieurs, pour lesquelles il a reçu du Rivotril. La suite est marquée par un état d'agitation nécessitant des bolus de benzodiazépine par voie intraveineuse. L'évolution aux soins intensifs est favorable avec une amélioration de la symptomatologie neurologique en moins de 24h. Les différentes imageries cérébrales (scanner et IRM) du 18.01.2019 retrouvent des images compatibles avec un PRES. L'amélioration neurologique est à la faveur d'un meilleur contrôle tensionnel sous bolus de Catapresan iv, Labétalol iv continu puis relais PO dès le 19.01.2019. L'introduction d'un IEC continue à améliorer les tensions légèrement hypertendues. Sur demande des neurologues, un EEG est fait le 22.01.2019 pour exclure un foyer focal. Ils proposent de continuellement abaisser les dosages d'antiépileptiques et d'organiser un suivi en neurologie à 3 mois avec EEG chez le Prof. Annoni. Nous informons le patient des effets secondaires du traitement antiépileptique et du bénéfice du traitement et l'informons sur l'importance de la reconnaissance de red flags dans le contexte de la dépression. À l'arrivée, le patient se plaignait au service des urgences de douleurs abdominales en fosse iliaque gauche, chez un patient connu pour néphrolithiase droite en 2015. Le CT retrouve une urolithiase gauche dans l'uretère lombaire de 8.5 mm obstructive avec dilatation pyélocalicielle gauche. L'urologue de garde, Dr. Xafis, pose l'indication à une prise en charge par pose de J-J. Le patient sera suivi par son urologue traitant, Dr. Hugonnet, pour l'ablation de la sonde et du concrément résiduel à 3 mois. Dans ce contexte de deuxième épisode de PRES avec HTA sévère, nous débutons une récolte urinaire afin de doser les catécholamines pour un bilan à la recherche d'une cause secondaire de cette HTA. Les métanéphrines sont négatives, alors un CT angio-abdominal est réalisé pour exclure des sténoses des artères rénales dans le contexte de l'anévrisme connu de l'aorte infrarénale. Le CT du 25.01.2019 ne démontre pas de masses surrénaliennes ou de sténoses significatives sur plaques ou dissection des artères rénales. Le concrément visible dans l'uretère moyen se trouve à ce jour dans l'uretère proximal. La proposition est formulée aux endocrinologues d'assurer le suivi ambulatoire de l'hypertension et d'investiguer si nécessaire une autre cause de l'HTA. Le patient normotendu sans symptômes résiduels du PRES rentre à domicile le 26.01.2019. Mr. Zendali est un patient de 73 ans, connu pour une maladie coronarienne avec un triple pontage en 1998 ainsi qu'un status post angioplastie en 2013 avec pose de stents, qui est admis aux soins intensifs pour un NSTEMI. Le patient décrit des douleurs de type angor le 31.12.2018 avec une irradiation dans le bras gauche avec une amélioration après la prise de nitroglycérine. Les enzymes cardiaques sont élevées. La surveillance rythmique est sans particularité. Une coronarographie est organisée pour le 03.01.2019 avec implantation de 5 stents actifs. La médication est complétée par Efient pour 6 mois. Un contrôle chez le médecin traitant aura lieu à 1 mois. Mr. Zendali peut rentrer le 04.01.2019 à domicile au vu de la bonne évolution clinique. Mr. Zingg, âgé de 81 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à un déconditionnement physique post-hospitalisation dû à un urosepsis sur pyélonéphrite obstructive sur calcul de l'uretère proximal gauche le 28.11.2018. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est entièrement autonome et ne bénéficie d'aucune intervention à domicile. À l'admission, le patient n'a aucune plainte. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. À l'anamnèse par systèmes, le patient signale un appétit légèrement diminué, un transit conservé, une légère polyurie (miction toutes les 2 heures). Pas de tabagisme actif ou ancien et consommation d'alcool occasionnelle. Au status, le patient est orienté et collaborant. À l'auscultation cardiaque, B1-B2 bien frappés, réguliers, sans souffle audible. Au status pulmonaire, murmure respiratoire au niveau de toutes les plages pulmonaires sans bruit surajouté. Abdomen souple et indolore avec bruits hydroaériques normaux en fréquence et en tonalité. À la marche, le patient rapporte une légère douleur au niveau du pied droit. La mobilité de la cheville est indolore. La force des membres supérieurs et inférieurs est symétrique et cotée à M5. Durant son séjour, il a présenté une hématurie macroscopique. Sur avis de l'urologue de garde de l'HFR, nous effectuons un suivi clinique avec contrôle biologique dans les normes, sans anémie. L'hématurie se résout sans intervention de notre part et aucun nouvel épisode n'est rapporté. En cas de nouvel événement qui se prolongerait ou avec suspicion de perte importante de sang, le traitement anticoagulant et la double antiagrégation plaquettaire devraient être réévalués avec le service de cardiologie de l'HFR Fribourg. Une oxymétrie nocturne réalisée sous CPAP montre des réglages corrects de l'appareil avec un index de désaturation à 5.4/h. Sur le plan nutritionnel, le patient a présenté une malnutrition modérée en raison d'une inappétence due à un manque d'activité physique. Ses besoins ont pu être couverts premièrement avec des adaptations de repas et 2 SNO. Par la suite, la prise de SNO a pu être réduite à 1 par jour. Il rentre à domicile avec des SNO dans le but de stabiliser son poids, le temps de retrouver ses activités antérieures et son appétit. Nous avons convenu d'un SNO par jour durant 2 semaines, puis il devra ensuite faire une pause et vérifier son poids. En cas de stabilité, les SNO pourront être stoppés, dans le cas contraire, il faudra les continuer. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie, ergothérapie et nutrition clinique. À la sortie, il est indépendant pour la marche sans moyen auxiliaire. Après 1 semaine d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Zingg peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 21.12.2018, en bon état général. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire pour maintenir les acquis. Mr. Zosso, un patient de 25 ans, est hospitalisé pour prise en charge d'un 4ème épisode de péri-myocardite. Le patient présente depuis trois jours une rhinite avec une apparition d'une douleur thoracique constrictive, respiro-dépendante qui est survenue au repos, lui rappelant les épisodes de myocardite qu'il a faits en 2010, 2011 et 2017. Le bilan biologique met en évidence des enzymes cardiaques élevées, parlant en faveur d'une récidive de péri-myocardite. Après discussion avec les cardiologues, une IRM cardiaque élective est organisée à l'hôpital de Tiefenau à Berne. La surveillance rythmique est sans particularité. Dans le contexte des antécédents (embolies pulmonaires) du patient, nous demandons un consilium rhumatologique à la recherche d'une autre étiologie primaire.Le patient est transféré le 31.12.2018 à l'étage de médecine interne où les suites sont simples et l'évolution favorable, le patient ne présentant plus de douleurs thoraciques. Pendant le séjour, des investigations de laboratoire élargies sont organisées par les rhumatologues (recherche de causes auto-immunes et inflammatoires notamment), que le patient reverra en ambulatoire dans 1 semaine pour les résultats. Une ETT réalisée le 31.12.2018 démontre une discrète hypokinésie apicale avec une FEVG de 53% (dernière valeur connue à 75%) et propose la poursuite du traitement par AINS jusqu'à résolution des douleurs (pour 1 semaine au minimum) et une ETT de contrôle à 1 mois, 6 mois et 12 mois, en plus de l'IRM cardiaque déjà mentionnée. Une interdiction de sport est prononcée pendant 3 mois, et un arrêt de travail pour une semaine au moins, à rediscuter avec l'employeur pour les travaux physiques. Un traitement par IPP est mis en place vu l'anticoagulation par Xarelto et traitement simultané par AINS. Le patient s'est par ailleurs plaint de brûlures épigastriques pendant le séjour, qui ont évolué favorablement après majoration temporaire des IPP et diminution des AINS. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mr. Y regagne son domicile le 04.01.2019 avec une valeur de CK-mb dans la norme le jour de sortie. Evaluer une transition de Xarelto à Eliquis (dose deux fois par jour, moins d'effet de pic plasmatique). Mr. Y, un patient de 86 ans connu pour un adénocarcinome de la vessie, un adénocarcinome de la jonction gastro-oesophagienne, un diabète non insulino-requérant et une cardiopathie hypertensive, nous est transféré de la chirurgie de l'HFR Fribourg pour suite de prise en charge après une rupture du fornix rénal gauche pour laquelle une néphrostomie a été posée le 05.12.2018. A l'entrée, le patient est légèrement asthénique, dyspnéique et se plaint de douleurs abdominales diffuses surtout nocturnes. Au status, il est en état général légèrement réduit, il a les lèvres cyanosées, à l'auscultation cardiaque on retrouvait un souffle systolique aortique 2/6, l'auscultation pulmonaire est sans particularité, et l'abdomen est ballonné mais souple avec une hernie ombilicale réductible. Le patient vit seul et sa femme est en EMS. Ses filles qui habitent près de chez lui passent le voir régulièrement et lui font le ménage et à manger. Le patient dit être entièrement autonome et satisfait ainsi. Le laboratoire d'entrée retrouve une insuffisance rénale chronique et des paramètres de la choléstase légèrement élevés. Par contre, le syndrome inflammatoire est en nette diminution. Nous découvrons également une hypothyroïdie que nous substituons par de l'euthyrox 25 mcg/jour et nous vous proposons de contrôler les hormones thyroïdiennes à 6 semaines. Parallèlement, nous avons entamé une réhabilitation précoce intensive par physiothérapie et ergothérapie. A l'entrée, le patient pouvait faire les transferts sous supervision de manière ralentie (FIM 6/7), se déplacer sans moyen auxiliaire mais de façon ralentie (FIM 6/7), la montée des marches n'a pas pu être évaluée et le Tinetti était de 23/28 (le patient boitait du pied droit). A la sortie, les transferts se faisaient toujours de manière ralentie (FIM 6), il pouvait marcher sans moyen auxiliaire mais de manière ralentie (FIM 6), il pouvait également monter 36 marches avec rampe sans problème (FIM 6). Le Tinetti était à 25 sans moyens auxiliaires. Devant une bonne évolution clinique, Mr. Y peut retrouver son domicile le 19.12.2018. Monuril le 01.01.2018 Monuril 3g le 12.01.2019 UT: absence de germes Morbus Bechterew Morbus Crohn depuis 1977 • Résection iléo-caecale en 1977 compliquée d'une fistule grêle en 1981 • Drainage d'une fistule péri-anale en 1981 • Subiléus récidivant (2001, 2009, 2010, 2013) • Dilatation endoscopique de trois sténoses successives de l'iléon terminal (min 18 mm) en 2010 • Contrôle endoscopique, dernier en 2015: persistance de trois sténoses mesurant au moins 13 mm, à l'exception de la proximale qui est légèrement plus étroite et ne laisse plus passer l'endoscope; en cas de symptômes d'obstruction, répéter l'endoscopie et procéder à une nouvelle dilatation (Dr. X) • Status post iléus sur récidive de sténose grêle au niveau de l'iléon terminal dans un contexte de maladie de Crohn le 28.06.2018 Prolapsus rectal anamnestique. Morbus Crohn diagnostiqué en 1977 avec: • Résection iléo-caecale en 1977 (HFR Fribourg, Dr. X) compliquée d'une fistule grêle en 1981 • Drainage d'une fistule péri-anale en 1981 • Subiléus récidivant (2001, 2009, 2010, 2013, juin et novembre 2018) • Dilatation endoscopique de trois sténoses successives de l'iléon terminal (min 18 mm) en 2010 • Contrôle endoscopique en 2015 (dernier en date): persistance de trois sténoses mesurant au moins 13 mm, à l'exception de la proximale qui est légèrement plus étroite et ne laisse plus passer l'endoscope; en cas de symptômes d'obstruction, répéter l'endoscopie et procéder à une nouvelle dilatation (Dr. X) • Status post iléus sur récidive de sténose grêle au niveau de l'iléon terminal dans un contexte de maladie de Crohn le 28.06.2018 et le 06.01.2019 Prolapsus rectal anamnestique Hypospadie Morbus Ledderhose des 2 pieds, plus symptomatique à gauche. Morbus Ménière. Morbus Osgood Schlatter genou droit. Status post distorsion ligament collatéral interne genou droit en rémission complète. Morbus Osgood Schlatter genou gauche. Morbus Sudeck Pneumonie du lobe moyen avec: • Epanchement pleural droit volumineux avec: -- Radio 04.12.2018: en comparaison avec le 16.08.2018, nette progression d'un épanchement pleural droit. Diminution de la ventilation pulmonaire gauche probablement en lien avec des troubles ventilatoires au contact de l'épanchement pleural. Un foyer infectieux surajouté à droite n'est pas exclu. -- US Dr. X 05.12.2018: volumineux épanchement pleural droit contenant de multiples cloisons, mesurant au moins 13 x 8,6 x 18 cm (> 700 ml). -- Rocéphine 2g iv 05.12.2018 jusqu'au 11.12.2018. Morphin fix 2 mg 3x/Nacht und als Reserve, vor Austritt gestoppt. Quetiapin anstelle von Morphin Zuhause. Morphine IV 10 mg et po 4 mg Radio colonne lombaire: pas de fracture visualisée. Avis rhumato (Dr. X): • hospitalisation • majoration antalgie avec morphine 6 mg s.c po 6x/24h et prégabaline 50 mg 3x/j • Discuter ENMG, IRM lombaire ATT: • pister labo demain et ECG. Morphine 2 mg iv. Nexium 40 mg iv puis 40 mg per os pendant 14 jours. Alucol gel per os. Ulcar en réserve. Morsure. Morsure. Morsure. Morsure. Morsure. Morsure de chat. Morsure de chat. Morsure de chat. Morsure de chat. Morsure de chat. Morsure de chat. Morsure de chat. Morsure de chat. Morsure de chat. Morsure de chat à la main gauche datant du 26.04.2017. Morsure de chat à l'hypothénar gauche. Morsure de chat à l'hypothénar gauche. Morsure de chat au niveau de la phalange distale de l'index droit. Morsure de chien. Morsure de chien. Morsure de chien. Morsure de chien à la pulpe du 3ème doigt de la main droite en regard de la base de la 3ème phalange, sans trouble neuro-vasculaire, sans atteinte des fléchisseurs.Morsure de chien de 4 cm de longueur, à la jonction entre l'hélix de l'oreille gauche et le scalp temporal le 16.09.2018. Morsure de chien il y a 1 semaine. Morsure de chien il y a 7 jours. • Vaccin anti-rabique J7 10.01.2019 Morsure de chien le 10.01.2019. Morsure de chien le 10.01.2019. Morsure de chien le 10.01.2019. • Vaccination à J0, J3, J7 et à J14. Morsure de chien pulpe D3 main D en regard de la base de P3, sans troubles neuro-vasculaires, sans atteinte des fléchisseurs, 12.01.2019 Dermabrasions multiples sur griffure de chien, 12.01.2019 : • Face dorsale P2D3 main D • Face dorsale 1ère commissure main G Réaction allergique le 24.01.2013 (allergène indéterminé). Eczéma au niveau du pli du coude gauche (2 épisodes). Fracture du fémur gauche en 2007. Amygdalectomie. Morsure d'un chat main gauche le 07.06.2014 - rappel tétanos. Morsure d'un chien vacciné avant-bras gauche. Morsure humain avec éraflure. Morsure superficielle de chien. Morsures. Morsures de chat à l'hypothénar gauche. Morsures de tiques (visage/ventre) le 18.07.2013. Mort d'origine indéterminée, ad autopsie médicale. Appel à la police pour déclencher la procédure de demande d'autopsie médicale. Annonce faite à la famille par le Dr. X. Appel à l'EMUPS pour prendre en charge la famille. Motilium d'office dès le 05.12.2018 Radiographie de l'abdomen couché le 14.12.2018. Motilium en réserve. Motilium lingual en réserve. Motilium per os. Buscopan et paracétamol iv. La patiente va mieux et quitte notre service sans consultation médicale. Motilium 1 cpr et Co-Amoxicilline 1 g en dose unique aux urgences. Pas d'argument pour une complication (abcès rétro-pharyngé, etc) cliniquement. Retour à domicile avec traitement antiémétique. Expliqué à la patiente les red flags suite auxquels il faudrait reconsulter. Motilium Stimulation à boire. Mouvements anormaux des membres supérieurs le 07.01.2019 de type choréiforme. DD : dyskinésie/dystonie sur surdosage en Citalopram/Olanzapine, trouble somatoforme. Movicol. Movicol. Movicol adulte d'office durant 7 jours puis si besoin. Reconsulte si réapparition de douleur/oedème/érythème hanche ou testicule. Movicol adulte schéma de désimpaction. Movicol adulte schéma de désimpaction en cours freka clyss. Movicol, Bulboïd, Laxoberon et Freka Clyss aux urgences sans efficacité. Retour à domicile avec Movicol, Laxoberon et Bulboïdes pendant 3 jours, ensuite si pas d'évacuation il reconsultera les urgences ou - de préférence - chez le médecin traitant. Movicol d'office. Laxoberon en réserve. Movicol 1 sachet/jour essayer de donner avec le yaourt. Movicol 1x/jour pendant 3 jours. Movicol 2x/jour. Antalgie. Reconsulter en cas de péjoration des douleurs ou état fébrile. Movicol. Consultation si nouveau globe vésical. Demande de consultation en néphrologie pour troubles mictionnels. Movicol. Freka Clyss le 19.12.2018. Freka Mille le 20.12.2018. Diminution de l'Akineton à 2 mg/j, évaluation de son arrêt selon Fluanxol. Fluanxol en suspens jusqu'à la reprise du transit (normalement prochaine dose le 25.12). Diminution de la dose de Fluanxol à 10 mg. Mr. Y connu pour un cancer à cellules claires rénal métastatique, s/p résection en bloc (hémicolectomie droite, néphrectomie droite, duodéno-pancréatectomie céphalique en septembre 18 par le Prof. Dr. X), est envoyé par ces oncologues traitants du CHUV le 12.01.2018 en raison de prurit généralisé et d'un ictère avec une perturbation des tests hépatiques montrant une choléstase importante. Le patient se présente afébrile avec un prurit généralisé, une décoloration des urines et des selles. Le bilan réalisé aux urgences par US et CT abdominal met en évidence une choléstase et le patient est transféré en MI. Concernant la choléstase, le bilan est complété par l'avis du radiologue interventionnel Dr. X qui propose une PTCD. Un traitement par Colestyramine, De-Ursil et antihistaminique est débuté avec une bonne évolution sur le prurit et sur la choléstase qui est régressive de 77 à 44 umol/l. Vu l'amélioration clinique et la décongestion des voies biliaires, la PTCD est annulée. Une IRM réalisée le 17.1.19 met à jour une sténose de l'anastomose bilio-digestive. L'avis de l'opérateur Prof. Dr. X CHUV est de traiter le patient par antibiotique pour sa cholangite. Il a visualisé les images de l'IRM du 17.1.19 et désire rencontrer le patient dans sa consultation pour discuter de la prise en charge. D'un point de vue oncologique, les consultations se poursuivront au CHUV. L'équipe traitante du CHUV est mise à jour de l'évolution du cas. Un CT thoraco-abdominal de contrôle est prévu dans 3 semaines. Il s'en suivra une consultation chez Mme. Dr. X, pour le moment et vu la stabilité de la maladie, une chimiothérapie ou immunothérapie n'est pas prévue. Mr. Y sort le 17.1.19 avec une choléstase persistante mais asymptomatique dans un bon état général. Mr. Y, un patient de 78 ans, nous est transféré de l'hôpital de l'île pour la suite de la prise en charge internistique. Il a été hospitalisé en raison de pneumonies récidivantes d'aspiration le 24.12.2018 et le 04.01.2019. Il est connu pour une dysphagie d'origine multifactorielle avec depuis le 24.12.2018 une composante post-opératoire en raison d'une disectomie par voie antérieure dans la région cervicale C4/5. En raison de cette protusion discale avec sténose cervicale, Mr. Y souffre d'un hémisyndrome brachicrural droit à prédominance brachiale. En raison de sa dysphagie, une pose de PEG a été réalisée le 31.12.2018. À l'anamnèse à l'entrée, le patient dit se sentir mieux. Il persiste encore une toux grasse avec des expectorations blanchâtres. Il se plaint de dyspnée, surtout à la mobilisation. Mr. Y n'a pas de frisson, ni fièvre. Il n'a pas de plaintes cardiaques. Il ne présente pas de plaintes abdominales, sauf une tendance à la constipation et au reflux gastrique. La dysphagie est en amélioration. Il se plaint de douleur généralisée surtout aux niveaux du bras D paralysé. Pour rappel, il est connu pour une schizophrénie paranoïaque sous Clozapin et Aripiprazole, un diabète de type 2 insulinorequérant, une anémie normocytaire et normochrome sous substitution de vit B12 et d'acide folique. Il est sous Prednisone en raison d'une suspicion de polymyalgie rhumatismale. Au statut cardiovasculaire, les bruits B1B2 sont bien frappés. Les pouls radiaux sont bien palpables. Il présente des oedèmes légers au niveau des pieds. L'auscultation respiratoire est normale avec des murmures vésiculaires dans toutes les plages. L'abdomen est souple, les bruits normaux, sans défense, ni de détente. Il a une diminution de la force en raison de son hémisyndrome droit. La mobilité du côté gauche est aussi réduite à M3-M4. En raison de douleur neuropathique au bras parétique D, nous introduisons de la Prégabaline 25 mg 2x/j. L'isolation de contact a pu être levée le 21.01.2019, car le prélèvement pour entérocoque vanco-résistant est revenu négatif. Il présente une malnutrition protéino-énergétique moyenne. Selon le consilium nutritionnel, nous continuons une hydratation épaissie pour limiter les risques d'aspiration et une alimentation mixée en plus de l'isosource 500 ml/j. Mr. Y recommence à se nourrir en parallèle par voie orale. Les substitutions vitaminiques peuvent être arrêtées en raison de valeurs de laboratoire dans les normes. En raison d'une carence de vitamines D à 54 nM, nous commençons une substitution 1x/semaine de vitamines D per os. Mr. Y habite dans une maison familiale avec des escaliers avec sa femme. Il a une fille. Ils ont Spitex 3x/semaine pour les médicaments ainsi que pour la douche. Ils ont planifié les inscriptions pour le home à Meyriez. Nous demandons un transfert en gériatrie aiguë le 22.01.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, patient de 61 ans transféré depuis l'Inselspital pour une crise d'épilepsie généralisée dans le cadre d'une démence sévère de type Alzheimer avec agressivité verbale et errance. Selon l'hétéroanamnèse de sa femme, il est devenu très agité les dernières nuits. Le 2.01, le patient aurait fait une crise tonico-clonique de tout le corps qui a duré 10-15 min. Depuis, le patient reste très agité. Le contact verbal est impossible avec lui. L'anamnèse du patient est impossible. Au status, nous retrouvons un patient en état général très diminué, qui dort profondément (après sédation avec Dormicum donnée dans l'ambulance). GCS 3 à l'entrée. Le status CV est sans particularité. Au status pulmonaire, des murmures vésiculaires symétriques, sans bruit surajouté (auscultation ventrale). Le status abdominal est dans la norme et le status neurologique est non réalisable à l'entrée (patient endormi sous Dormicum). Dès son arrivée, le patient se montre agité et agressif dès que l'on s'approche de lui pour les soins ou pour l'examiner. Nous n'avons avec ce patient jamais pu ni prendre ses paramètres vitaux, ni faire de prise de sang, ni même le laver, et la prise des médicaments s'avère souvent hasardeuse, voire dangereuse, avec la nécessité de mobiliser jusqu'à 5 soignants pour ce faire. Le 08.01.2019, il reste quelques heures avec des selles dans les mains, étant donné l'impossibilité pour les soignants de s'approcher de lui pour le laver sous peine de se voir agresser. Nous devons attendre l'arrivée de sa femme pour réussir à le laver. D'un point de vue étiologique, il semblerait que la démence d'Alzheimer soit à l'origine de son comportement. Concernant cette démence, celle-ci est évolutive depuis des années selon l'hétéroanamnèse de Mme. Y. Un CT scanner a été réalisé à l'Inselspital, dont les résultats ne nous sont pas encore parvenus. Cependant, selon les documents de sortie de l'Inselspital, il semblerait qu'aucune découverte particulière ne puisse expliquer autrement son état actuel. Le patient vivait à la maison avec sa femme jusqu'à son hospitalisation à l'Inselspital le 02.01.2019. Le 10.01.2019, devant l'impossibilité de lui délivrer les soins nécessaires dont il aurait besoin, et face à son agressivité envers le personnel soignant dès que nous tentons de lui prodiguer ses soins, nous devons le transférer à Marsens, suite à une évaluation psychiatrique le jour même. Mr. Y consulte le 29.12.2018 en raison d'une lipothymie avec traumatisme crânien et d'un état fébrile. Le patient asymptomatique à part cet épisode de faiblesse avec chute se plaint de fièvre sans foyer clair. Le bilan réalisé aux urgences ne met pas en évidence de foyer franc infectieux ou de pathologie intracrânienne nouvelle au CT natif et le patient est transféré en médecine interne pour investigations et surveillance. Le patient ne présente à l'examen clinique aucune suspicion d'un foyer et le CT abdominal revient sans particularité. Le CT démontre uniquement une coprostase importante, une diverticulose du côlon et quelques nodules pulmonaires. Le 31.12.2018, les hémocultures reviennent positives pour un E. Coli. Un traitement par Céfépime est débuté sur avis infectiologique. Le patient étant asymptomatique, nous demandons une détermination de la flore mixte à 10^4 trouvée dans les urines qui mettent en évidence une flore mixte sans E. Coli, d'où nous concluons que la bactériémie n'est probablement pas d'origine urologique. Une fois l'antibiogramme reçu, une adaptation du traitement en faveur de la Co-amoxicilline est faite. Ce traitement devra être poursuivi jusqu'au 10.01.2019. Mr. Y sort le 04.01.2019 dans un bon état général. Mr. Y, un patient de 86 ans, est hospitalisé à la demande de Dr. X et des soins à domicile en raison d'une baisse de l'état général avec une baisse de l'appétit depuis 3 semaines et une perte de poids de 10 kg en 4 mois. Mr. Y est connu pour un adénocarcinome du pancréas au niveau de l'ampoule de Vater en progression selon le dernier CT thoraco-abdominal de janvier 2019. Il n'a pas souhaité d'opération et a reçu de ce fait plusieurs cycles de chimiothérapie. Pour rappel, il a une hypertension artérielle, une hyperuricémie avec des crises de gouttes occasionnelles et des antécédents d'embolie pulmonaire centrale en avril 2018. À l'entrée, il se plaint d'une perte d'appétit depuis 3 semaines avec un dégoût, une perte de goût légère et associée à une perte de 10 kg en 4 mois. De plus, depuis 2 mois, il a des nausées légères. Il remarque une amélioration de la perte de sensibilité et de la paresthésie aux bouts des doigts et des orteils, dont la cause était sur statut post chimiothérapie. Il se plaint d'un sommeil non réparateur en raison de troubles de l'endormissement et de réveils nocturnes fréquents. De plus, il a eu des épisodes anamnestiques de tremblements généralisés du corps n'étant pas réapparus au cours du séjour. Il habite seul dans une maison à plusieurs étages, mais il vit au rez-de-chaussée en raison de chutes dans les escaliers dans le passé. Il a une aide pour le ménage toutes les 2 semaines. Autrement, il s'occupe des courses, des lessives et de la cuisine. Il est bien soutenu par sa famille (1 fille au Maroc, 2 fils dont 1 à Montpellier et l'autre à Genève). Sa femme est décédée en 2010. L'apport alimentaire s'améliore légèrement pendant son séjour. Durant l'hospitalisation, nous introduisons de la Quetiapine à la place de la distraneurine, qui a permis d'améliorer son sommeil. Ses tremblements ne sont jamais apparus durant le séjour. La discussion familiale du 25.01.2019 a comme projet un retour à domicile avec des contrôles réguliers par Spitex, un soutien par Voltigo et installation d'une téléalarme ainsi que la mise en place de livraison de repas à domicile. Mr. Y peut rentrer à domicile le 29.01.2019 avec Spitex et Voltigo. Mr. Y, connu pour un syndrome métabolique et un syndrome de dépendance à l'alcool, consulte pour une intoxication aiguë à l'alcool, la situation ayant dégénéré avec sa femme. Le bilan réalisé aux urgences met en évidence une alcoolémie à 1.53 o/oo. En raison de récentes chutes sans perte de connaissance, un CT cérébral natif est demandé, qui ne montre pas de suites traumatologiques. Le jour suivant, le patient demande à rentrer à domicile sans suivi psychologique/psychiatrique ou médical. Nous l'informons des possibles complications d'une consommation excessive, autant chronique qu'aiguë. Le patient, à ce moment capable de discernement, ne souhaite pas avoir d'investigation, mais accepte une substitution vitaminique à titre préventif. Le médecin traitant est informé de l'évolution et se montre d'accord de ne pas forcer un bilan ou un traitement au patient non-collaborant. Mr. Y sort le 28.01.2019 en bon état général sans suivi organisé. Mr. Y est hospitalisé le 06.01.2019 aux soins intensifs pour un arrêt cardio-respiratoire dans le contexte d'un STEMI antéro-latéral dont l'évolution neurologique est défavorable. Le patient présente un angor avec un état lipothymique précédant un ACR sur fibrillation ventriculaire. Un massage cardiaque est débuté par sa femme avant l'arrivée du SMUR. Le laps de temps avant le début du massage est indéterminé, un retour de pouls est obtenu après une réanimation d'une durée totale estimée à 30 minutes. L'électrocardiogramme réalisé sur place conclut à un STEMI antéro-latéral. Le patient est amené intubé en coronarographie qui révèle une maladie coronarienne bitronculaire. La lésion coupable est une occlusion de l'artère interventriculaire antérieure moyenne qui est recanalisée par angioplastie et la pose de deux stents actifs.Une pneumopathie d'inhalation est traitée par antibiothérapie. L'évolution est marquée par une encéphalopathie post-anoxique avec un réveil pathologique et des myoclonies en lien avec un état de mal épileptique réfractaire sur les électroencéphalogrammes sériés malgré l'introduction d'une quadrithérapie antiépileptique. L'IRM cérébrale montre des lésions ischémiques étendues dans le cortex des lobes pariétaux et occipitaux bilatéraux. Au vu du pronostic neurologique sombre et après discussion avec la famille, on a procédé à un retrait thérapeutique. Le patient décède entouré des siens le 11.01.2019 à 16h 58. Un don d'organes à cœur arrêté est refusé par la famille. Une autopsie n'a pas été demandée. Mr. Y, patient de 74 ans connu pour une hyperplasie bénigne de la prostate, nous est référé le 31.12.2018 depuis la permanence de l'hôpital de Meyriez pour une syncope avec traumatisme crânien, perte de connaissance et amnésie circonstancielle survenue ce jour. Le patient raconte avoir fait une syncope à 6h le matin du 31.12.2018 en allant aux toilettes, sans aucun prodrome, avec une amnésie totale de l'événement, d'une durée d'une minute ou deux selon l'hétéroanamnèse de la femme du patient qui était dans la pièce à côté, et avec un retour à la conscience rapide. A l'anamnèse systématique, le patient se plaint de fatigue et de céphalées frontales légères. Il n'existe pas d'autre plainte, notamment pas de nausée ni de vomissement, pas de trouble de la vision ou autre trouble neurologique. Il évoque également avoir fait une première syncope en début décembre 2017 en sortant de la baignoire, cette fois-ci avec légers vertiges précédant la syncope. A la permanence de Meyriez, un CT crânien avait été effectué, mettant en évidence une fracture non déplacée de l'os frontal, un hématome sous-galéal frontal gauche, et de petites hémorragies sous-arachnoïdiennes frontales. L'avis chirurgical de l'Inselspital de Berne n'a pas posé d'indication neurochirurgicale. Une surveillance neurologique étroite de 48h a été mise en place, durant laquelle aucune péjoration ou nouveau signe neurologique focal n'a été constaté. Dans la nuit du 3 au 4.01.2019, le patient a présenté un épisode de confusion aiguë passagère avec des idées délirantes, raison pour laquelle nous avons effectué un CT crânien qui a montré une majoration nette d'hypodensités fronto-basales bilatérales compatibles avec de l'œdème péri-hémorragique, ainsi que l'apparition de fines plages d'hémorragie sous-arachnoïdienne occipitale bilatérales et de suffusions sous-durales frontales bilatérales. Un nouvel avis neurochirurgical à Fribourg n'a pas vu d'indication neurochirurgicale ni de corticothérapie. Un CT de contrôle est planifié à 15 jours. Une hyponatrémie légère mise sur le compte d'un SIADH au vu du traumatisme crânien a été pris en charge avec une restriction hydrique et un apport de bouillon, avec un bon résultat. Une hypertension artérielle persistante consécutive à l'événement a nécessité l'introduction d'un antihypertenseur, le Lisinopril, avec un bon résultat dans le contrôle des tensions. Nous recommandons pour la suite le contrôle de la tension artérielle à distance de l'événement et la réévaluation de la nécessité d'un antihypertenseur à long terme, étant donné l'absence à l'anamnèse de notation d'hypertension artérielle dans le passé. Pour ce qui concerne l'étiologie, l'anamnèse nous évoquant fortement une syncope d'origine cardiaque, nous organisons un holter ECG du 8 au 10.01.2019 qui sera évalué en ambulatoire chez le Dr. X. Nous effectuons aussi un test de Schellong ne donnant pas d'indice pour une hypotension orthostatique. Par ailleurs, le patient ayant débuté il y a peu de temps un traitement alpha-bloquant pour une hyperplasie bénigne de la prostate avant la première syncope, nous ne pouvons exclure une cause médicamenteuse et stoppons ce traitement le 1.01.2019. La suite du traitement pour la prostate sera discutée en ambulatoire chez le Dr. X au mois de mars. Un rendez-vous neuropsychologique a également été pris en ambulatoire afin d'évaluer l'adaptation à la conduite. Le 10.1.19, nous autorisons le patient à rentrer à son domicile en bon état général. Mr. Y, un patient de 49 ans, est connu pour une cirrhose en stade terminal. Il souhaite depuis 2 ans mourir et de ce fait ne prend pas ses médicaments. Il est sous Morphine, Aldactone, Dormicum et Dufalac actuellement. Le patient se plaint à l'entrée de douleurs aux jambes bilatérales avec œdèmes des membres inférieurs en péjoration. Il se plaint de dyspnée NYHA III depuis 2 ans stable. Le statut à l'entrée montre un patient avec un état général réduit, P: 112/min, TA: 127/75, Biox: 92%, Temp: 36%, FR: 18/min. L'auscultation pulmonaire présente des râles crépitants bibasaux et l'auscultation cardiaque est normale à part une tachycardie et des œdèmes des membres inférieurs prenant le godet. L'abdomen est distendu en raison d'une ascite. Mr. Y souhaite des traitements symptomatiques et ne souhaite pas de traitement curatif. Il ne souhaite pas arrêter de boire de l'alcool. Selon l'hétéroanamnèse du Dr. X, Mr. Y ne souhaite plus vivre depuis plusieurs années. Il ne souhaite aucun traitement à visée curative. Actuellement, l'objectif est d'améliorer ses œdèmes pour qu'il puisse rentrer au domicile. Son score actuel CHILD PUGH C avec 10 points. En raison de son ascite abdominal causant une dyspnée, il reçoit de l'aldactone que nous augmentons à 100 mg par jour et de la morphine. Nous réalisons une ponction d'ascite (5,5 Litres d'ascite enlevés) le 07.01.2019 avec envoi de l'ascite pour une analyse en laboratoire, qui ne montre pas de péritonite bactérienne. Il reçoit en raison du retrait de 5,5 Litres d'ascite de l'albumine IV 40 g le 07.01.2019. Concernant ses œdèmes des jambes, nous les traitons avec du Lasix. Il ne souhaite pas de bandages des jambes. Ses œdèmes sont multifactoriels avec sa cirrhose et une malnutrition concomitante. Mr. Y répond bien au Lasix. Son poids passe de 89,6 kg à l'entrée à 77 kg à la sortie. Nous suspectons une polyneuropathie alcoolique périphérique en raison de ses douleurs persistantes des jambes, malgré que les œdèmes soient résolus. De ce fait, nous tentons un traitement par Pregabaline 75 mg 2x/j. En raison d'une inappétence connue de Mr. Y, nous proposons qu'il mange par petites portions plusieurs fois par jour. Concernant ses varices œsophagiennes, un traitement avec du Carvedilol 12,5 mg 2x par jour est introduit. En raison de l'amélioration clinique, Mr. Y peut rentrer au domicile le 18.12.2019. Mr. Y présente une douleur thoracique depuis la veille, qui est reproductible à la palpation. L'ECG est sans particularité, mais le bilan biologique montre des enzymes cardiaques élevées. Les CK sont élevées, sans perturbation des CK MB. Nous ne retrouvons pas anamnestiquement de traumatisme récent (patient boxeur), de prise de toxique ou d'état grippal. Une échographie ciblée ne montre pas d'épanchement péricardique, et le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire. Les troponines sont stables. Nous lui proposons un traitement d'aspirine, et un contrôle en cardiologie à 7-10 jours. Mr. Y, connu pour un cancer de la jonction œsogastrique et une tumeur de la vessie avec hydronéphrose résiduelle à droite, s/p néphrostomie à gauche, est hospitalisé sur avis de son oncologue Dr. X et de son urologue Dr. X pour une pose de néphrostomie élective à droite.Nous notons à son arrivée une insuffisance rénale post-rénale avec une créatinine plasmatique à 160 mmol/l. En vue de l'insuffisance rénale progressive, le traitement par IEC est changé pour de l'amlodipine. Un changement pourra être réévalué en ambulatoire. La stomie est posée sans complications le 21.1.19. En même temps, la stomie à G est changée. La créatinine plasmatique s/p stomie est mesurée à 80 mmol/l. Une récolte d'urine sur 24h séparée à G et à D est faite pour mesurer la clearance de chaque rein. La clearance du rein G est mesurée à 37.8 ml/min. La clearance du rein D est mesurée à 30.3 ml/min. Nous notons dans la récolte urinaire une protéinurie de 2.3 g/l dont 1.27 g/l d'albumine. Nous proposons de suivre celle-ci selon l'évolution globale de la santé du patient en ambulatoire. Le patient sera convoqué sous 3 mois pour effectuer le changement des stomies. Le suivi oncologique sera assuré par Dr. X. Mr. Y sort le 24.1.19, en bon état général et afébrile. Il retourne à domicile avec les soins comme auparavant. Mr. Y est amené en ambulance dans notre service des urgences le 12.01.2019, dans un contexte de baisse de l'état général accompagnée d'un déclin cognitif, acutisée sur les derniers jours. Le bilan initial clinique, biologique et radiologique effectué aux urgences ne révèle aucune cause aiguë à la symptomatologie du patient, en particulier aucune cause sous-tendant un éventuel état confusionnel aigu. Le patient est hospitalisé dans notre service de médecine interne pour la suite de la prise en charge. Après discussion téléphonique avec votre cabinet, il s'avère qu'une suspicion de démence plane depuis au moins 2 ans. Un test de MOCA est réalisé le 14.01 et complété par un bilan neuropsychologique, révélant un tableau de trouble neurocognitif sévère, compromettant un éventuel maintien à domicile. D'un commun accord avec le patient et son épouse, nous renonçons à de plus amples investigations (PL, IRM, sérologies). Nous discutons à plusieurs reprises avec l'épouse et le patient d'un placement en EMS, indiqué d'un point de vue interdisciplinaire, le potentiel de réadaptation du patient étant jugé quasi-inexistant. Une visite de l'EMS de Cottens, avantageux de par la proximité au domicile précédent du patient, a lieu le 21.01.2019. Mr. Y y est transféré le 23.01.2019, en état général conservé. Mr. Y, connu pour un lymphome de type Hodgkin stade IV, est hospitalisé pour la première cure de chimiothérapie à cause du risque d'un syndrome de lyse. Le patient se présente après la pose d'un port-a-cath fémoral D, suite à une impossibilité d'accès par la veine céphalique à cause d'une thrombose sur compression tumorale de la veine jugulaire interne. Une chimiothérapie est commencée par Uromitexan, Cyclophosphamide, Doxorubicine, Etopophos avec de la Procabazine sur avis de Dr. X. Une prophylaxie par antibiotiques est commencée avec du Bactrim forte 3x/semaines et sera complétée par de la Ciproxin 500 mg/j. Sur avis des angiologues qui ont vu le patient en consultation préopératoire, une anticoagulation pour une thrombose de la veine jugulaire interne est débutée et sera à continuer. D'un point de vue oncologique, les chimiothérapies sont poursuivies avec bonne tolérance sous contrôle clinique et biologique du syndrome de lyse ainsi que du syndrome de la veine cave supérieure. Le prochain cycle aura lieu le 19.02.2019. Mr. Y sort le 01.02.2019 en bon état général avec une turgescence jugulaire asymptomatique marquée. Mr. Y est hospitalisé pour le changement du boîtier de pacemaker suite à l'usure (Medtronic, Adapta ADDR01), changé en 2009 et implanté en 2001 pour bradyarythmie sinusale. L'intervention se déroule sans complication. Le patient ne présente pas de plainte. Nous ne changeons pas le traitement du patient. Un contrôle de la plaie est à organiser dans 10 jours chez le médecin traitant. Un rendez-vous pour contrôler le pacemaker est organisé chez Dr. X le 28.3.2019. Mr. Y peut rentrer à domicile le 31.1.2019. Mr. Y, 55 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire globale sur exacerbation de BPCO dans un contexte infectieux le 04.01.2019. Il se présente avec une dyspnée en augmentation depuis une semaine avec 3 critères d'Anthonisen. Un traitement antibiotique par Tazobac et Klacid est introduit devant une possible surinfection pulmonaire malgré un syndrome inflammatoire mineur (CRP à 10). L'évolution est rapidement défavorable avec la nécessité d'une intubation par le SMUR après échec de VNI. Un bronchospasme sévère et persistant malgré un traitement par aérosols, Salbutamol IV, Kétamine, Magnesium IV et ventilation conventionnelle (PEEP:0, I/E:1/5) avec curarisation nécessite ce jour l'introduction de l'hélium, mais l'évolution reste défavorable avec stagnation de la capnie à 10-11 KPascal avec une auto-PEEP variant entre 12 et 16 cm H2O. Devant ces limites thérapeutiques ventilatoires, il a été convenu avec Dr. X d'un transfert à Genève pour une épuration de CO2 et suite de prise en charge. Au niveau hémodynamique, un fond de Noradrénaline est nécessaire pour maintenir des tensions dans la cible, ce qui est surtout attribué à la sédation. Une hyperkaliémie, probablement dans le contexte de l'acidose respiratoire, est traitée par insuline-glucose. Mr. Y, connu pour un mésothéliome de la plèvre, consulte le 29.12.2018 en raison de douleurs épigastriques avec une baisse de l'état général et asthénie. Le patient se plaint de ne plus pouvoir manger et tolère seulement de très petites quantités à travers sa SNG. Le bilan par CT thorax et CT abdomen met en évidence une importante coprostase et un pneumomédiastin sur nécrose d'une masse tumorale. Le diagnostic différentiel d'une perforation de l'œsophage est peu probable vu les douleurs relativement faibles et l'état clinique du patient. Un traitement par Ceftriaxone et Metronidazole est débuté en prophylaxie sur avis de Dr. X (chirurgie) et Dr. X (oncologie) avec une évolution globalement positive. Une OGD est entreprise pour exclure une perforation et pour objectiver la difficulté à avaler. Une sténose complète de l'œsophage est trouvée. Une perforation de l'œsophage proximale est exclue. Au souhait du patient, une pose de stent est organisée le 7.1.19 qui se passe sans complications. Le diamètre d'ouverture au contrôle radiologique est de 12 mm au minimum et le patient arrive à nouveau à partiellement s'alimenter. Nous recommandons néanmoins une alimentation avec de la nourriture molle ou bien mâchée. Le patient en est bien informé. Un suivi par les nutritionnistes est organisé à Meyriez. Au vu de l'anémie, le patient est transfusé et reçoit au total 2 CE, avec une bonne réponse clinique et biologique. Le traitement par antibiotiques est stoppé le 11.1 après une régression du syndrome inflammatoire. D'un point de vue oncologique, les chimiothérapies doivent être rediscutées et le patient sera convoqué à la consultation de Dr. X. Mr. Y est transféré le 12.1.2019 en bon état général pour les soins palliatifs de Meyriez. Mr. Y est un patient de 69 ans connu pour un mésothéliome droit hospitalisé le 28.01.2019 en raison d'oedèmes de membres inférieurs. Actuellement, Mr. Y n'a pas d'autres plaintes mis à part l'apparition le 28.01.2019 d'oedèmes au niveau des pieds. Il consulte avec sa femme en urgence son médecin traitant en raison d'inquiétude concernant la cause de ses oedèmes. Il n'a pas de plaintes respiratoires, pas de fièvre, les oedèmes sont légers au niveau bimalléolaires et sont spontanément régressifs. Il n'y a pas de douleur, ni de rougeur, le ballant est conservé et il n'y a pas d'inflammation locale.Son médecin traitant nous transfère Mr. Y en raison d'une crainte persistante du patient et de sa femme malgré la clinique rassurante du patient. Pour rappel, Mr. Y avait été hospitalisé récemment au service de palliatifs à Meyriez et est sorti une semaine auparavant. Au laboratoire, nous notons un léger syndrome inflammatoire asymptomatique et sans évidence clinique ainsi qu'un statut urinaire négatif. Mr. Y reste asymptomatique. En raison de l'évolution spontanée de ses œdèmes et de la clinique sans syndrome d'appel, nous proposons à Mr. Y de mettre pendant quelques jours ses bas de contention et de bien se mobiliser. Nous reproposons un suivi par Voltigo et Spitex. Mr. Y ne souhaite pas de Spitex et dit qu'il souhaite encore réfléchir concernant Voltigo. Il peut rentrer à domicile le 04.02.2019 en état général conservé. Mr. Y est hospitalisé depuis la permanence en raison d'une décompensation cardiaque dans un contexte de pneumonie. Il est connu pour une cardiomyopathie restrictive associée à une amyloidose, une maladie coronaire des trois vaisseaux, une fibrillation auriculaire paroxystique sous Xarelto, une goutte sous allopurinol et un MGUS. Pour rappel, Mr. Y était hospitalisé jusqu'au 31.12.2018 à Meyriez en réadaptation post-hémicolectomie droite sur adénocarcinome. Le 25.11.2018, il a été traité pour une pneumonie avec sepsis. La radiographie thoracique du 19.12.2018 est comparable à celle de l'Hôpital Tiffenau. Pour le suivi ambulatoire à la permanence le 07.01.2019, il était cardialement compensé mais présentait une toux et une fatigue importantes. Les paramètres inflammatoires et rénaux étaient élevés. Depuis le 07.01.2019, il est traité par Co-Amoxi 625 mg 3x par jour pour une semaine et le torem est diminué à 30 mg. Au contrôle à la permanence du 10.01.2019, Mr. Y est cardialement décompensé avec des œdèmes au niveau des bras, des jambes et du visage. Il a une orthopnée, une dyspnée au repos ainsi qu'une douleur oppressante déjà connue mais empirée au niveau du milieu du thorax sans irradiation. L'ECG est comparable à l'ECG du 19.12.2018 sans STEMI. La radiographie thoracique montre un infiltrat compatible avec une pneumonie droite ainsi qu'une insuffisance cardiaque avec épanchement pleural droit. Au niveau des contrôles laboratoires du 10.01.2019, les paramètres inflammatoires sont à la baisse ainsi que les paramètres rénaux. Les troponines du 10.01.2019 sont augmentées à 91 ng/l et à 116 ng/l le 11.01.2019, probablement dans le contexte de l'insuffisance rénale aiguë. Durant l'hospitalisation, son état clinique s'améliore grâce aux traitements diurétiques (Lasix iv, Metolazone, Torem). En raison de sa cardiopathie restrictive, nous introduisons un traitement avec lisinopril. La pression thoracique déjà connue est améliorée grâce au patch de nitroglycérine ainsi que par l'augmentation de la dose du Beloc Zok. En raison d'hypotension multifactorielle asymptomatique sur diarrhées et diurétiques, nous diminuons les diurétiques. Le test de Schellong étant positif, il présente une hypotension orthostatique, déjà traitée par des bas de contention à domicile et il a été informé de faire les transferts gentiment. Pour sa sortie, Mr. Y a du Lisinopril 2,5 mg, Beloc Zok 100 mg et Torem 40 mg. Son poids de sortie est de 83,4 kg. Mr. Y développe des diarrhées post-co-amoxicilline. La recherche de C. difficile revient positive. Il est mis en isolement de contact jusqu'au 24.01.2019 et sous traitement de Flagyl 500 mg 3x/j pendant 1 semaine. La clinique s'améliore rapidement. Nous stoppons Procto synalar, car le patient n'a plus aucune plainte des hémorroïdes. Au cours des contrôles laboratoires, l'acide urique du 15.01.2019 est élevé à 551 µM. Nous augmentons progressivement la dose d'allopurinol à 150 mg depuis le 17.01.2019. En raison de l'amélioration clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 25.01.2019 avec Spitex. Mucite digestive dans post-chimiothérapie pour un mésothéliome : • 3ème cycle de chimiothérapie par Paraplatine/Alimta le 22.10.2018 Mucite grade 3 dans un contexte de radio-chimiothérapie le 21.01.2019 • avec aphagie complète • alimentation entérale dès le 18.01.2019 à domicile par PEG (installée préventivement en novembre 2018) Mucoviscidose delta F508 homozygote avec : • multiples hospitalisations pour exacerbation en 2011 et 2012 • greffe bipulmonaire (lobe supérieurs) le 30.01.2013 pour syndrome obstructif sévère (suivi : CHUV, Dr. X) • insuffisance pancréatique exocrine substituée. Colonisation à Pseudomonas aeruginosa (2013). Hépatomégalie sans stéatose 02.2017. Sinusite chronique avec papillomatose de grade II-III ddc avec : • septoplastie, méatotomie, ethmoïdectomie et fronto-méatotomie et sphénoïdectomie le 30.09.2015. Muguet buccal Muguet buccal (post-prise antibiotique récente) Multilind aux changements jusqu'à 48 heures après disparition des lésions Multifragmentäre Weber A Fraktur mit Läsion des Lig. fibulotalare anterius und Lig. Deltoideum und Knorpelläsion des Talus lateralseits von 5x15mm ORIF lat. Malleolus rechts (matériel : 2.4 VA Synthes Condylen Platte mit 2 freien Schrauben 2.4mm mit 300mm Länge) rechts Refixation LFTA mit Vicryl 1-0 Microfracturing lat. Talus am 27.12.2017 S/P Ostéosynthèse chevillée droite en 2017 S/P ablation d'ostéosynthèse en 2018 1998 : Accouchement par voie basse, à terme SA d'un enfant de sexe f pesant 3040 gr. 2001 : Accouchement par voie basse, à terme SA d'un enfant de sexe f pesant 3270 gr. 1996 : Fausse couche spontanée, à <12 semaines d'aménorrhée : Aspiration / Curetage. 2002 : Interruption volontaire de grossesse, à 8 semaines d'aménorrhée. Multilind pâte durant 10 jours Multilind x3/jour pendant 10 jours Multilind 10 jours ou jusqu'à 48 heures après disparition des lésionsMultiparité Multiple fractures du bassin le 30.10.2018 avec : • fractures ilio-pubiennes gauche et ilio-ischio-pubienne droite non déplacées • fracture sacrum transverse incomplète atteignant le foramen S5 D • fracture du mur antérieur du cotyle à gauche Multiples bronchites spastiques depuis 8-10 mois Multiples chutes avec TC sans PC dans un contexte d'anticoagulation par Xarelto les derniers jours • chute mécanique sur faiblesse des membres inférieurs pendant la nuit • avec hématome périorbital gauche • avec contusions costales gauche Multiples chutes HTA Schizophrénie paranoïde • traité par Fluoxal 40 mg toutes les 3 semaines • akathisie chronique sans rigidité Extrasystoles supra-ventriculaires Multiples contusions et hématomes du massif facial sur agression physique dans un contexte d'éthylisation. Multiples contusions sur accident de la voie publique à 40 km/h le 30.01.2019. Multiples cystites hémorragiques (>30 épisodes) et traitement antibiotique pendant 1 année en continu. Status post pyélonéphrites. Kystes rénaux connus. Status post-passage d'un calcul millimétrique filtré le 29.04.2013. Contrôle clinique et US des voies urinaires le 29.04.2013. Multiples décompensations BPCO sur : • Pneumonie de la base gauche à Haemophilus Influenzae en juillet 2013 • Pneumonie postéro-basale droite, le 27.09.2013 (germe indéterminé) • Bronchopneumonie du LID à Pseudomonas aeruginosa en février 2012, compliquée d'un pneumothorax droit spontané • Bronchopneumonie Haemophilus Influenzae en mai 2007 • Bronchopneumonie à germe indéterminé en décembre 2006 Exacerbation de BPCO le 10.02.2015 Exacerbation infectieuse en janvier 2014 Sténose coronarienne non significative (coronarographie du 07.10.2009) Multiples dents cariées Multiples dents cariées Multiples dermabrasions très superficielles au niveau du visage (nez, joue gauche, menton). Multiples embolies pulmonaires segmentaires dans tous les lobes de découverte fortuite le 10.01.10 • embole d'aspect ancien • asymptomatique Multiples épisodes de vomissements DD porphyrie, hyperémèse sur consommation de cannabis Multiples épisodes de vomissements d'origine indéterminée le 04.01.2019 DD hyperémèse sur consommation de cannabis, porphyrie, diabète déséquilibré, gastrite, mal compliance aux IPP • Plusieurs hospitalisations en 2018 pour épigastralgies et vomissements • OGD du 05.10.2018 (Dr. X) : gastrite chronique possible. Pas d'oesophagite de reflux ou mycotique. Biopsies sans micro-organismes, ni atrophie, ni métaplasies, ni lymphocytose • Bilan porphyrie fait en novembre 2018 : test qualitatif dans les urines négatif Multiples érysipèles du membre supérieur droit Urosepsis sur pyélonéphrite en 2007 • cystites récidivantes depuis 2004 Status post appendicectomie en 1957 Multiples essais antalgiques avec : • Targin PO • Fentanyl patch 25 mcg • Dafalgan IV • Oxynorm PO en R • Cymbalta PO dès le 19.12.2018 Sortie avec Morphine iv continue + réserve Multiples exacerbations de BPCO dans un contexte infectieux, 2 x en 2016, 1 x en 2017. Bactériémie à Klebsiella oxytoca en 2014. Cholécystite avec pancréatite lithiasique (Balthazar C) en 2014. Pneumothorax droit barotraumatique suite à VNI en 2012. Cholangite, abcès hépatique et pancréatite lithiasique en 2010. TURP pour hyperplasie bénigne de la prostate en 2006. Sigmoïdectomie pour diverticulite sigmoïdienne perforée en 2005. Exacerbation d'une BPCO (GOLD IV, groupe D) d'origine indéterminée avec : • insuffisance respiratoire chronique de type 2 • oxygénothérapie 2 l/min à domicile. Laboratoire. RX thorax. Traitement bronchodilatateur d'office et en réserve. Physiothérapie respiratoire. Prednisone per os. Antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv du 14 au 15.01.2018. Hyperglycémies asymptomatiques iatrogènes chez un patient diabétique de type 2 non insulino-requérant (Prednisone). Insuline rapide en réserve. Multiples exacerbations de BPCO dans un contexte infectieux, 2 x en 2016, 1 x en 2017 Bactériémie à Klebsiella oxytoca en 2014 Cholécystite avec pancréatite lithiasique (Balthazar C) en 2014 Pneumothorax droit barotraumatique suite à ventilation non invasive en 2012 Cholangite, abcès hépatique et pancréatite lithiasique en 2010 TURP pour hyperplasie bénigne de la prostate en 2006 Sigmoïdectomie pour diverticulite sigmoïdienne perforée en 2005 Multiples hématomes. Multiples hématomes. Multiples iléus sur intestin grêle radique (résolutions spontanées) 2012 Multiples infections urinaires • nosocomiale à E. Coli le 19.11.2017 • à Pseudomonas aeruginosa résistant à Piperacillin/Tazobactam et Céfépime le 03.12.2017 • état fébrile d'origine indéterminée chez patient immunosupprimé, probable source urinaire au Pseudomonas aeruginosa le 05.02.2018 • récidive d'urosepsis sur sonde à demeure le 19.08.2018 à Pseudomonas aeruginosa et Enterococcus faecalis multisensible. Plusieurs pneumonies • sepsis sévère sur broncho-aspiration post-interventionnelle et translocation digestive le 26.10.2017 suite à une gastroscopie avec prise de biopsies trans-duodénales de masse rétro-péritonéale • nosocomiale le 15.01.2018 (à J4 post-chimiothérapie MTX HD). AVC ischémique aigu cérébelleux bilatéral et latéro-bulbaire gauche d'origine indéterminée le 16.07.2017. Right ventricular heart strain le 15.01.2018 dans un contexte de surcharge volémique et infectieux. Lymphome B diffus à grandes cellules compliqué d'une atteinte lymphomateuse méningée des racines de la queue de cheval (date du diagnostic : 11.10.2017) • CT thoraco-abdominal du 11.10.2017 : masse polylobulée d'un diamètre max de 4 cm au contact du pôle inférieur du rein D • cytologie LCR le 13.10.2017 (Promed C2017.5317) : absence de cellule suspecte de malignité • IRM médullaire du 09.11.2017 (CHUV) : infiltration méningée de la queue de cheval • pose de PICC line droite le 15.11.2017 • 1er cycle de R-CHOP le 16.11.2017 • 2 cycles de MTX-HD le 01.12.2017 et 12.01.2018 • 3e cure MTX-HD le 02.02.2018 PET-CT le 12.06.2018 et IRM cérébrale et spinale le 11.06.2018 Dr. X (oncologue). Hydronéphrose droite sur lymphome B diffus à grandes cellules. Mucite, grade 2 sur chimiothérapie (R-CHOP le 16.11.2017). Cure de hernie hiatale en 1987. Notion d'une ancienne infection HBV. Multiples interventions orthopédiques : • chirurgie des ménisques des genoux en 2016 et 2017 • poignet droit • cheville gauche Chirurgie des sinus dans l'enfance Thrombose superficielle en regard du bras D sans facteur déclencheur identifié, avec bilan thrombophilie négatif (protéine C, S; antithrombine, cardiolipine, facteur V Leiden, béta2glycoprotéines sp) Multiples interventions prothétiques du genou droit avec arthrodèse en 2012 Prothèse totale de la hanche droite prévue par Dr. X (CHUV) en 2017 Hémicolectomie droite laparoscopique le 25.01.2017 Anémie spoliative sévère sur ulcère colique en 01/2017 Multiples interventions prothétiques du genou droit avec arthrodèse en 2012 Prothèse totale de la hanche droite prévue par Dr. X (CHUV) en 2017 Hémicolectomie droite laparoscopique le 25.01.2017 Anémie spoliative sévère sur ulcère colique en 01.2017 Multiples opérations aux oreilles (dates inconnues). Multiples opérations digestives au CHUV et à l'Inselspital Multiples opérations orthopédiques. Phakectomie bilatérale en 1995. Épisode de vertige brutal d'origine indéterminée en 1995. Reflux oesophagien traité par Nissen en 2009 et 2010 avec : • réintervention en 2012, compliquée d'une perforation oesophagienne, d'un abcès splénique et d'une bactériémie.Arthroplastie de l'épaule droite en 2012. Révision de prothèse du genou gauche en 2013. Vertige aigu d'origine périphérique en 2014. Canal lombaire étroit opéré en août 2015. Cure d'éventration sus-ombilicale en 2014. Cure de D3 à ressort main droite en 2014. Embolie pulmonaire post-opératoire. Zona fesse gauche 2016. Implantation de prothèse totale de hanche gauche en juillet 2016. Déconditionnement général et asthénie sur dénutrition. Multiples opérations orthopédiques. Phakectomie bilatérale en 1995. Épisode de vertige brutal d'origine indéterminée en 1995. Reflux oesophagien traité par Nissen en 2009 et 2010 avec : • réintervention en 2012, compliquée d'une perforation oesophagienne, d'un abcès splénique et d'une bactériémie. Arthroplastie de l'épaule droite en 2012. Révision de prothèse du genou gauche en 2013. Vertige aigu d'origine périphérique en 2014. Canal lombaire étroit opéré en août 2015. Cure d'éventration sus-ombilicale en 2014. Cure de D3 à ressort main droite en 2014. Embolie pulmonaire post-opératoire. Zona fesse gauche 2016. Implantation de prothèse totale de hanche gauche en juillet 2016. Déconditionnement général et asthénie sur dénutrition. Multiples plaies au visage suite à des griffures et morsures par un chat du domicile, le 04.01.2019. Multiples plaies connues sans signes d'inflammation aiguë le 18.12.2018 : • au niveau des deux genoux et des deux pieds • absence de progression de l'artériopathie connue au bilan angiologique d'août 2018. Multiples plaies de la main droite : Pouce : plaie infracentimétrique palmaire, 1 cm distalement à la 1ère métacarpophalangienne. 1ère commissure : plaie infracentimétrique palmaire. 2ème doigt : plaie centimétrique palmaire en regard de la 2ème métacarpophalangienne. 2ème doigt : plaie avec perte de substance d'environ 0.5 cm de diamètre, face palmaire en regard de la mi-diaphyse de la 3ème phalange. Bord radial du 5ème métacarpe : plaie avec perte de substance de 0.2 cm de diamètre. Multiples plaies longitudinales (3 plaies) transverses à 5 mm l'une de l'autre à l'éminence thénar gauche de 2-2.5 cm. Multiples plaies superficielles aux 2 mains, sur morsure de chien, avec surinfection débutante. Multiples réactions anaphylactiques. Multiples thromboses (diagnostic le 22.09.2018) dans le contexte d'une maladie thrombo-embolique (cf séjour précédent) • Mise en place d'un filtre veine cave le 17.08.2018 (Dr. X) Mundisal gel Consignes usuelles angine (donner boissons froides à tiède, non acides) Mutation hétérozygote du Facteur V Leiden avec : • Médicaux : Status post 3x TVP mollet gauche en 2002 (sous pilule)/2004 (pilule)/2008 • Lésions de la substance blanche à l'IRM en janvier 2015 : séquellaires de thrombose (données anamnestiques) Mutation hétérozygote F V de Leiden. Mutation hétérozygote du Facteur II (prothrombine) sous Clexane (suivi hématologique : Dr. X) Mutilation génitale féminine de type 2. Mutisme, désorientation. Myalgie du trapèze droit et de la clavicule dans un contexte de douleurs chroniques post-fracture compliquée de la clavicule. Myalgie probablement d'origine virale sans myosite. Myalgies. Myalgies de l'avant-bras droit, non déficitaires atraumatiques sur contracture musculaire. Myalgies dorsales d'origine musculaire sur quintes de toux depuis décembre le 08.01.2019. Myalgies sur contractures musculaires le 04.01.2019. Myalgies sur probable déchirure des tendons distaux des muscles biceps brachiaux des deux côtés. • à 2 mois de port de charge très lourde au travail Myasthénie grave • Poussée systémique le 10.10.2016 : 2 cures d'immunoglobulines i.v. en 2013 et 2014 • Poussée de myasthénie grave systémique le 17.05.2017 : faiblesse musculaire proximale MI et MS, diplopie aggravée et dyspnée à l'effort Immunoglobuline i.v. du 17.05 au 21.05.2017 • Hospitalisation à l'Inselspital aux SI du 22.01.2018 au 23.01.2018 Myasthénie grave • Poussée systémique le 10.10.2016 : 2 cures d'immunoglobulines i.v. en 2013 et 2014 • Poussée de myasthénie grave systémique le 17.05.2017 : faiblesse musculaire proximale MI et MS, diplopie aggravée et dyspnée à l'effort Immunoglobuline i.v. du 17.05 au 21.05.2017 • Hospitalisation à l'Inselspital aux SI du 22.01.2018 au 23.01.2018 Myasthénie gravis sur thymome depuis 2003. Mycose au niveau du dos traitée par Fluconazol. Crises d'angoisse depuis l'âge de 15 ans. Mycose au niveau du prépuce. Mycose buccale probable. Mycose des pieds difficile à éradiquer. Mycose des plis inguinaux. Mycose du siège. Mycose génitale et onychomycose. Mycose génitale le 03.01.2019. Mycose hypopharyngolaryngée et oesophagienne. Mycose interdigitale pied droit. Mycose ombilicale, le 10.01.2019. Mycose orale. Mycose orale le 14.12.2018. Mycose oro-digestive le 26.01.2019 dans un contexte d'immunosuppression. Mycose sous-mammaire. Mycose vaginale. Mycose vaginale symptomatique chez Mme. Y porteuse d'une sonde urinaire le 16.01.2019. Mycoses unguéales de tous les orteils des deux côtés. Mycostatin. Mycostatin 1000 000 E/ml 1 ml 4x/jour jusqu'à 2 jours après disparition des symptômes Multilind crème 2x/jour jusqu'à 2 jours après disparition des symptômes Oxyplastin ou Weleda Calendula crème protectrice. Mycostatine. Mycostatine dès le 10.01.2019. Mycostatine du 10-19.01.2019 Fluconazole 200 mg 1x/j iv du 14-19.01.2019. Mycostatine en gargarisme 3x/j. Mycostatine et Fluconazole iv dès le 23.01.2019. Alimentation plaisir. Mycostatine 1 ml 4x/j le 15.01 au 21.01.2019. Mycostatine 4 ml du 07.01.19 au 11.01.19 inclus. Mycostatine 5 jours. Myélofibrose diagnostiquée en 2009 avec : • Métaplasie myéloïde (1% de blastes), bicytopénie (leucopénie, anémie) et hépato-splénomégalie. • Transfusions de culots érythrocytaires toutes les 3 semaines, stoppées depuis 2013. • Traitée par Revlimid 5 mg 1x/semaine. • Anémie normocytaire hypochrome depuis septembre 2016. • Hyperuricémie avec crise de goutte au genou droit en septembre 2013 dans ce contexte sous Allopurinol. • Suivi par Dr. X, dernier contrôle le 13.08.2018, prochain le 11.02.2019. Reflux gastro-oesophagien. Paralysie faciale incomplète non datée avec affaissement du pli naso-génien à gauche. Myélofibrose primaire, en phase fibreuse, JAK2V617F négative, mutation CALR positive • diagnostic le 22.09.2014. • hémogramme au diagnostic : HB 99 g/l, GB 5,3 G/l (PMN 55,5 %, mono 9,0 %, lympho 23,5 %, myélo 7,0 %, métamyélo 1,5 %, erythro 12,5 %, blastes 0,0 %), TC 115 G/l. • PBM du 22.09.2014 : moelle par endroit hypercellulaire, avec importante fibrose réticulinique diffuse (MF2 selon OMS 2008), avec discrète sclérose microfocale débutante, hyperplasie de la mégacaryopoïèse avec formation de groupes respectivement en partie d'amas denses, érythropoïèse peu représentée avec rares atypies nucléaires et myélopoïèse bien représentée avec discrète déviation gauche, sans excès de cellules immatures CD34+ respectivement CD117+ à la biopsie ostéomédullaire. • biologie moléculaire du sang périphérique du 23.09.2014 : absence de la mutation JAK2V617F, présence de la mutation de type I (délétion de 52 nucléotides) du gène de la calréticuline. • caryotype médullaire : 45,X,-Y[20]. • score DIPSS Plus à 2 points (risque intermédiaire 2). • splénomégalie à 22 x 21 x 11 cm (CT-scan du 26.08.2013) • traitement : Ruxolitinib (Jakavi) dès le 07.11.2014, soutien transfusionnel érythrocytaire régulier et traitement par Aranesp 500 µg s.c. 1 fois toutes les 3 semaines du 14.03.2016 au 07.09.2016 • US rate le 20.10.2017 : splénomégalie de volume superposable aux comparatifs • besoins transfusionnels réguliers • suivi hématologique Dr. X Cardiopathie ischémique • infarctus du myocarde sur angor de Prinzmetal avec coronarographie et PTCA à Paris (1996) • Cardiomyopathie hypertrophique homogène. • FEVG à 55% en 04/2018 • sténose aortique légère Diabète de type II insulino-dépendant (ED 2005) • HbA1c le 11.10.2018 : 5.7 % • complications macro-vasculaires : claudication intermittente stade Leriche IIb) • complications micro-vasculaires : insuffisance rénale chronique, polyneuropathie périphérique • décompensation diabétique hyper-osmolaire sur non compliance médicamenteuse en 2014 Syndrome métabolique avec : HTA sous quadrithérapie, dyslipidémie, obésité, ancien tabagisme d'environ 80 UPA (stoppé 1996, diabète insulino-requérant Insuffisance rénale chronique de stade G4 Maladie de Ménière Vessie irritable et insuffisance sphinctérienne Troubles du sommeil multifactoriels Consommation d'alcool à risque Crise de gouttes récidivantes • facteur favorisant : myélofibrose primaire • sous Allopurinol et Kineret myélofibrose primaire, en phase fibreuse, JAK2V617F négative, mutation CALR positive • diagnostic le 22.09.2014 • hémogramme au diagnostic : HB 99 g/l, GB 5,3 G/l (PMN 55,5 %, mono 9,0 %, lympho 23,5 %, myélo 7,0 %, métamyélo 1,5 %, erythro 12,5 %, blastes 0,0 %), TC 115 G/l • PBM du 22.09.2014 : moelle par endroit hypercellulaire, avec importante fibrose réticulinique diffuse (MF2 selon OMS 2008), avec discrète sclérose microfocale débutante, hyperplasie de la mégacaryopoïèse avec formation de groupes respectivement en partie d'amas denses, érythropoïèse peu représentée avec rares atypies nucléaires et myélopoïèse bien représentée avec discrète déviation gauche, sans excès de cellules immatures CD34+ respectivement CD117+ à la biopsie ostéomédullaire • biologie moléculaire du sang périphérique du 23.09.2014 : absence de la mutation JAK2V617F, présence de la mutation de type I (délétion de 52 nucléotides) du gène de la calréticuline • caryotype médullaire : 45,X,-Y[20] • score DIPSS Plus à 2 points (risque intermédiaire 2) • splénomégalie à 22 x 21 x 11 cm (CT-scan du 26.08.2013) • traitement : Ruxolitinib (Jakavi) dès le 07.11.2014, soutien transfusionnel érythrocytaire régulier et traitement par Aranesp 500 µg s.c. 1 fois toutes les 3 semaines du 14.03.2016 au 07.09.2016 • US rate le 20.10.2017 : splénomégalie de volume superposable aux comparatifs • besoins transfusionnels réguliers • suivi hématologique Dr. X Cardiopathie ischémique • infarctus du myocarde sur angor de Prinzmetal avec coronarographie et PTCA à Paris (1996) • Cardiomyopathie hypertrophique homogène. • FEVG à 55% en 04/2018 • sténose aortique légère Diabète de type II insulino-dépendant (ED 2005) • HbA1c le 11.10.2018 : 5.7 % • complications macro-vasculaires : claudication intermittente stade Leriche IIb) • complications micro-vasculaires : insuffisance rénale chronique, polyneuropathie périphérique • décompensation diabétique hyper-osmolaire sur non compliance médicamenteuse en 2014 Syndrome métabolique avec : HTA sous quadrithérapie, dyslipidémie, obésité, ancien tabagisme d'environ 80 UPA (stoppé 1996, diabète insulino-requérant Insuffisance rénale chronique de stade G4 Maladie de Ménière Vessie irritable et insuffisance sphinctérienne Troubles du sommeil multifactoriels Consommation d'alcool à risque Crise de gouttes récidivantes • facteur favorisant : myélofibrose primaire • sous Allopurinol et Kineret HTA sous quadrithérapie Stop Deponit Patch et Trandate dès le 19.12.2018 dans le cadre d'hypotensions Intro Physiotens dès le 03.01.2019 Surveillance du profil tensionnel Cardiopathie ischémique • infarctus du myocarde sur angor de Prinzmetal avec coronarographie et PTCA à Paris (1996) • Cardiomyopathie hypertrophique homogène. • FEVG à 55% en 04/2018 • sténose aortique légère Torem en pause dès le 19.12.2018, reprise à 20 mg dès le 31.12.208 Suivi poids myélofibrose primitive diagnostiquée en 2003, suivie par Dr. X, avec : • splénomégalie et hépatomégalie, multiples adénopathies abdominales • atteinte diffuse de la densité osseuse • suivi en ambulatoire par Dr. X. myélographie au CIMF le 05.02.2019 Prochain contrôle le 14.02.2019 myélographie au CIMF le 31.01.2019 Prochain contrôle le 07.02.2019 myélographie fonctionnelle + CT le 29.01.2019 (CIMF) Infiltration L4 sous CT (CIMF, rdv sera fixé lors de la myélographie) Prochain contrôle suite à ces examens myélographie fonctionnelle du 13.12.2018 (CIMF) : Cage intersomatique L5-S1 légèrement excentrée postérieurement et vers la G, déjà connue. Position intègre et préservée dans l'ensemble des vis entre S1 et L3 ainsi que des cages intersomatiques L3-L4 et L4-L5. myélographie fonctionnelle du 17.01.2019 (CIMF) : scoliose pluri-étagée avec discopathie sur les niveaux L1-L2, L2-L3, L3-L4, L4-L5, et rétrécissement foraminal avec sténose canalaire sur composante arthrosique et discale surtout au niveau L2-L3 et L3-L4, où il y a également l'apex de la scoliose. myélographie fonctionnelle le 13.02.2019 (CIMF) ENMG au Neurocentre (merci de convoquer le patient) Prochain contrôle suite à ces examens myélographie fonctionnelle le 19.02.2018 RDV au Neurocentre Prochain contrôle à notre consultation par la suite myélographie fonctionnelle le 21.01.2019 (CIMF) Evaluation neurologique au Neurocentre (merci de convoquer la patiente) Prochain contrôle après ces examens myélome multiple à chaînes légères lambda, de stade ISS II, Durie et Salmon IIA avec : • date du diagnostic : 10.03.2015 • laboratoire : Hb 114 g/l, Ca 1,27 mmol/l, créatinine 78 umol/l, Beta-2-microglobuline 3,9 mg/l, LDH 493 UI/ml • électrophorèse et immunofixation des protéines sériques le 10.03.2015 : lambda 4660 mg/l • électrophorèse et immunofixation des protéines urinaires le 30.03.2015 : lambda >1600 mg/l, rapport Kappa/Lambda = 0 • CT-scan lombaire du 10.03.2015 : tassement récent de L2 • cyphoplastie L2 bipédiculaire le 16.03.2015 suite à une fracture tassement pathologique instable (A 3.2) • biopsie osseuse L2 de pathologie Promed (P 2413.15) du 16.03.2015 : néoplasie plasmocytaire à plasmocytes matures (immunophénotype lambda) avec infiltration diffuse (>90%) des espaces médullaires dans une zone de fracture avec modifications réactives de l'os lamellaire • PBM du 19.03.2015 : médullogramme : infiltration massive par des plasmocytes. Immunophénotypisation par cytométrie de flux : population clonale de plasmocytes sûrement néoplasique • biopsie pathologie Promed (P 2533.15) : myélome plasmocytaire (OMS 2008 ; à plasmocytes matures, immunophénotype : Lambda) avec infiltration interstitielle diffuse (environ 40 à 50%) du tissu hématopoïétique • cytologie du 19.03.2015 : monosomie 13q14.3, 14q32.3, 16q23.1 • radiographie de la colonne dorso-lombaire et du crâne, colonne dorsale, bassin, humérus et fémurs du 20.03.2015 : multiples lésions ostéolytiques • status post-4 cycles de chimiothérapie de type PAD (Velcade, Adriblastine, Dexaméthasone, Zometa) du 30.03 au 20.06.2015 permettant une rémission partielle après 2 cycles (11.05.2015 : chaîne légère Lambda 2'010 mg/l) • mobilisation par Vinorelbine et Neupogen le 24.06.2015 • récolte de cellules souches le 01.07.2015 • status post-haute dose de chimiothérapie par Alkeran le 08.07.2015 • autogreffe de cellules souches le 09.07.2015 permettant une rémission partielle (12.08.2015 : chaînes légères Lambda libres à 20 mg/l) • status post-haute dose de chimiothérapie par Alkeran le 22.10.2015 • autogreffe de cellules souches le 23.10.2015 • rémission complète le 30.11.2015 • traitement d'entretien par Revlimid 10 mg/jour du 19.12.2015 au 08.11.2016 • vaccination post-autogreffe : Prevenar 13 en janvier et décembre 2016 ainsi que mars 2017, Fluarix en janvier, octobre et novembre 2016, Infanrix en mai, juin, octobre et novembre 2016 • Traitement de Revlimid 10 mg/jour instauré le 19.12.2015 et stoppé en décembre 2016 en raison d'une thrombopénie • Récidive le 26.09.2018 avec augmentation des chaînes légères lambda à 1240 mg/l • Instauration d'un traitement de Kyprolis, Revlimid et Dexaméthasone dès le 30.10.2017 • Arrêt du Revlimid le 03.04.2018 à cause d'une thrombopénie persistante • actuellement : poursuite du traitement par Kyprolis et Dexaméthasone débuté le 30.10.2017, stabilité de la maladie avec chaînes légères lambda restant dans la norme à 7.9 mg/l le 16.10.2018 Myélome multiple à chaînes légères Lambda stade IIIB selon Durie-Salmon • date du diagnostic : 10.08.2017 • biopsie ostéo-médullaire (épine iliaque postérieure supérieure gauche, Promed P8897.17) : myélome plasmocytaire (OMS 2008 ; en partie plasmocytes immatures, immunophénotype : IgD et probablement Lambda, positif pour cycline D1) avec infiltration diffuse (environ 90%) du tissu hématopoïétique, pas d'évidence de dépôt d'amyloïde • cytogénétique (CHUV Lausanne 1578/17) : le gain en 1q et réarrangement en IGH, translocations ; 14, associés au pronostic défavorable • présentation initiale avec insuffisance rénale nécessitant une dialyse passagère, multiples ostéolyses lytiques, hypercalcémie, pancytopénie et chaînes légères lambda à 37490 mg/ml et une immunofixation urinaire positive • status post-dialyse du 11.08.2017 au 21.08.2017 • status post-4 cures d'une thérapie d'induction par Revlimid, Velcade et Dexaméthasone du 11.08.2017 au 27.10.2017 (très bonne réponse partielle avec nette diminution des chaînes légères et normalisation de la fonction rénale • status post-chimiothérapie de mobilisation avec Navelbine et G-CSF le 08.11.2017 suivie d'une récolte de cellules souches autologues le 15.11.2017 • status post-chimiothérapie à haut dosage par Bendamustine et Melphalan du 20-23.11.2017 suivie d'une transplantation de cellules souches autologues le 24.11.2017 • PBM du 07.12.2017 : rémission complète morphologique, MDR négatif • sous traitement par Zometa depuis 2017 • status post traitement de maintien par Revlimid du 08.01.2018 à mi-septembre 2018 • septembre 2018 : progression tumorale avec augmentation des chaînes légères et désordre électrolytique • sous traitement de 2ème ligne par Kyprolis et Dexaméthasone depuis le 05.10.2018 (normalisation des chaînes légères Lambda et nette amélioration de la pancytopénie en décembre 2018) • actuellement : nouvelle progression avec réaugmentation des chaînes légères Lambda et apparition de lésions sous-cutanées très probablement liées à une manifestation de plasmocytome. Ad biopsie d'une masse sous-cutanée péri-ombilicale, ad introduction d'un traitement par immuno à vie de Dexaméthasone (en remplaçant le traitement par Kyprolis et Dexaméthasone) Myélome multiple à chaînes légères Lambda stade IIIB selon Durie-Salmon (date du diagnostic : 10.08.2017). Myélome multiple à chaînes légères lambda stade ISS IIIB, avec infiltration diffuse (supérieure à 90%) du tissu hématopoïétique : • Date du diagnostic : 10.10.2018 • Laboratoire initial : créatinine 117µmol/l, calcium corrigé 2.65mmol/l, LDH 409U/l, kappa libre 1330mg/l, rapport kappa/lambda libre 0.02, hémoglobine 96g/l, bêta-2-microglobuline 10.8mg/l, immuno-fixation positive avec présence de chaînes légères lambda non associées à des chaînes lourdes • CT-Scanner thoraco-abdomino-pelvien du 02.10.2018 : multiples lésions ostéolytiques touchant notamment l'humérus proximal droit, le corps vertébral de L5 et le bassin (principalement au niveau de l'aile iliaque droite) • Echocardiographie transthoracique du 11.10.2018 : FEVG normale sans argument clair pour une amyloïdose cardiaque • Ponction-biopsie de la moelle osseuse le 11.10.2018 avec biopsie, frottis, cytogénétique et cytométrie de flux : en cours • Actuellement : Dexaméthasone 20mg 1x/jour le 11,12 et 13.10.2018 puis introduction d'un traitement de première intention par Revlimid, Velcade et Dexaméthasone. Introduction de Zometa de façon mensuelle dès amélioration de la fonction rénale Myélome multiple de stade III • CT thoraco-abdominal le 14.12.2018 : multiples lésions ostéolytiques au niveau de la colonne et bassin avec fractures costales • US abdominal le 14.12.2018 : absence de tumeur primaire • CT cérébral le 18.12.2018 : multiples lésions ostéolytiques • Electrophorèse : kappa libre à 2350 mg/l, rapport kappa/lambda 273.3 • bêta-2-microglobuline 5.7 mg/l • Ponction moelle osseuse (19.12.2018, Promed B2018.4475) : dyscrasie plasmocytaire, infiltration 70 % • CRAB initialement tous positifs Myélome multiple de type IgG Kappa en stade ISS II Durie Salmon stade II • date du diagnostic : 02.11.2015 • pathologie (Promed P9503.15) : Myélome plasmocytaire immunophénotype IgG Kappa avec infiltration à prédominance interstitielle 30 – 35 % du tissu hématopoïétique • CT-scan abdomino-pelvien du 16.10.2015 : lésions lytiques D11, L1, L3 et de la ceinture pelvienne • bilan biologique : Hb 113 g/l, calcémie normale, IgG 65.28 g/l, kappa libre 880 mg/l, bêta-2-microglobuline 3.7 mg/l • status post-3 cures de chimiothérapie par Velcade, Melphalan, Prednisone du 09.11.2015 au 03.03.2016 avec rémission partielle • traitement par bisphosphonates (Zometa) débuté en 2015 • CT thoraco-abdominal du 25.04.2016 : lésions ostéocondensantes pouvant correspondre à des lésions de myélome guéries • traitement par Revlimid 25mg J1-J21 débuté le 14.11.2016 • CT thoracique du 08.03.2017 : pas de progression des lésions osseuses • arrêt du Revlimid sur atteinte médullaire des 3 lignes le 02.07.2018 • Radiothérapie à visée palliative du 02.08.2018 au 20.08.2018 en 12 séances de 2.5 Gy • C1-C3, C6-7, pointe omoplate G et clavicule G • IRM 05.11.18 : infiltration médullaire diffuse sans fracture • progression de la maladie avec augmentation du pic monoclonal d'IgG de 8.8 g/L à 27.7 g/L, traitement par Imnovid et dexaméthasone à partir du 20.11.2018 • oncologue traitant Dr. X, prochain RDV le 11.01.2019 Myélome multiple diagnostiqué en juillet 2017 traité par chimiothérapie avec : • Velcade 19mg, Alkeran 5x 2mg et Prednisone (1ère dose le 24.08.2017, 2ème dose le 31.08.2017) • Prophylaxie Valaciclovir (Bactrim arrêté sur avis de Dr. X pour toxidermie probable) • Suivi par Dr. X. Zona, herpès sur dermatome C5 Accident vasculaire cérébral ischémique fronto-cortical gauche d'origine indéterminée mais probablement embolique sans séquelles Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec importante rétropulsion Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 29.10.2018 au 08.11.2018, avec : Troubles cognitifs modérés Test de la cognition du 01.11.2018 : MMSE à 16/27, test de la montre pas réalisable (n'arrive pas à garder le stylo) ; GDS à 3/15 Tremblement essentiel Myélome multiple IgG Lambda stade ISS III, Durie et Salmon IIIA • Diagnostic le 11.06.2014 • Histologie (Promed P5440.14) : 70-80 % d'infiltration de la moelle osseuse par un myélome multiple IgG lambda • Initialement avec hémoglobine à 77 G/l, Calcium et Créatinine normales • Electrophorèse des protéines et immunofixation : bande monoclonale IgG Lambda, IgG augmentée à 62 g/l, β-2-microglobuline à 6.2 mg/l Pas d'ostéolyse • S/p dose de charge de Dexaméthasone en 06/2014 • S/p 5 cycles de VPM (Velcade, Melphalan, Prednison) de 28.07.2014 au 03.02.2015 avec bonne réponse avec normalisation des IgG. Arrêt thérapie à cause des effets indésirables • S/p thérapie de 2e ligne avec Revlimid et Dexaméthasone depuis le 03.11.2015 car persistance progression tumorale avec augmentation des IgG à 20 g/l (bonne réponse initiale, arrêt à cause de la progression tumorale) • S/p thérapie de 3e ligne avec Kyprolis (Carfilzomib) et Dexaméthasone du 08.05 au 22.08.2018 car progression tumorale (arrêt car progression tumorale) • S/p monothérapie 4e ligne avec Darzalex (Daratumumab) du 05.09.2018 au 13.11.2018 • Actuellement : échec thérapeutique sous Darzalex, thérapie palliative avec Imnovid et Dexaméthasone Myélome multiple IgG Lambda stade ISS III, Durie et Salmon IIIA • Diagnostic le 11.06.2014 • Histologie (Promed P5440.14) : 70-80 % d'infiltration de la moelle osseuse par un myélome multiple IgG lambda • Initialement avec hémoglobine à 77 g/l, Calcium et Créatinine normales • Electrophorèse des protéines et immunofixation : bande monoclonale IgG Lambda, IgG augmentée à 62 g/l, ß-2-microglobuline à 6.2 mg/l • Pas d'ostéolyse • S/p dose de charge de Dexaméthasone en 06/2014 • S/p 5 cycles de VPM (Velcade, Melphalan, Prednison) de 28.07.2014 au 03.02.2015 avec bonne réponse avec normalisation des IgG. Arrêt thérapie à cause des effets indésirables • S/p thérapie de 2e ligne avec Revlimid et Dexaméthasone depuis le 03.11.2015 car persistance progression tumorale avec augmentation des IgG à 20 g/l (bonne réponse initiale, arrêt à cause de la progression tumorale) • S/p thérapie de 3e ligne avec Kyprolis (Carfilzomib) et Dexaméthasone du 08.05 au 22.08.2018 car progression tumorale (arrêt car progression tumorale) • S/p monothérapie 4e ligne avec Darzalex (Daratumumab) du 05.09.2018 au 13.11.2018 • Actuellement : échec thérapeutique sous Darzalex, thérapie palliative avec Imnovid et Dexaméthasone Myélome multiple sous traitement par chimiothérapie Myélome multiple stade IA diagnostiqué en 2010 avec status post 2 cycles de chimiothérapie par Velcade associé à Dexaméthasone (hebdomadaire) du 11.09 au 31.10.2018, puis Zometa 4 mg 1x/mois. Prochain TTT le 12.12.2018 Polyarthropathie microcristalline à cristaux d'acide urique avec crises à répétition : • Crise de goutte de la tête péronière droite le 01.12.2018 Anémie normochrome normocytaire avec Hb 94 g/l le 30.11.2018 Dénutrition protéino-calorique modérée Myélome multiple stade IA diagnostiqué en 2010 avec 2 cycles de chimiothérapie par Velcade associé à Dexaméthasone (hebdomadaire) du 11.09 au 31.10.2018, puis Zometa 4 mg 1x/mois, dernier TTT le 12.12.2018 Polyarthropathie microcristalline à cristaux d'acide urique avec crises à répétition : • Crise de goutte de la tête péronière droite le 01.12.2018 Dénutrition protéino-calorique modérée Myélome multiple stade (ISS) I, stade Salmon & Durie stade IA • Date du diagnostic : 07.05.2010 • Paraprotéinémie IgG : 24.9 g/l • Ponction de moelle osseuse : infiltration diffuse par une plasmocytose variant entre 10 % et 15 % • Examen du squelette : crâne, sternum, humérus, fémur, bassin et colonne dorsale ainsi que lombaire sans évidence d'ostéolyse • IRM de la colonne dorsale, lombaire et du pelvis : sans évidence d'atteinte osseuse • Facteur prédictif : ß2-microglobuline à 3.5 mg/l (norme 1 à 2.5 mg/l) • Étude cytogénétique : absence de monosomie 13q 14.3 et 17p 13.1, absence de réarrangement IgH • Progression du myélome avec anémie, dorsalgies et tassement d'une vertèbre (après chute) et insuffisance rénale, août 2018 • Status post-2 cycles de chimiothérapie par Velcade associés à Dexaméthasone (administration hebdomadaire) du 11.09 au 31.10.2018 • Actuellement : chute de la paraprotéinémie à 9.7 g/l (valeur précédente 24.3 g/l début septembre), poursuite de la chimiothérapie Myélome multiple, suivi oncologique par Dr. X : • Sous traitement d'Imnovid/Dexaméthasone Suivi néphrologique Dr. X Myélome multiple, suivi oncologique par Dr. X à Neuchâtel, Numéro cabinet à Bienne Suivi néphrologique Dr. X Myocardite dans contexte d'hyperoéosinophilie Myocardite il y a 20 ans Myodésopsies regard à droite. Myomes sous séreux Myopathie depuis l'enfance suivie au CHUV avec dystrophie musculaire fascio-scapulo-lombaire. Asthme/trouble de ventilation obstructif et restrictif. Maladie sinus. Cyphose, lordose Myopéricardite d'origine indéterminée le 29.12.2018 • Origine infectieuse probable (virale) • Contexte de myo-péricardites récidivantes 2010, 2011 et 2017 DD : péricardomyosite rhumatologique, infectieuse Myo-péricardite virale le 27.12.2018 • Dysfonction VG systolique modérée, FEVG 45% • BBD intermittent • DD : spasme IVA, embolisation IVA Myopéricardite virale le 27.12.2018 • Dysfonction VG systolique modérée, FEVG 45% • BBD intermittent Coronarographie le 27.12.2018 : coronarographie normale avec ectasie de l'IVA proximale. Salves d'extrasystolies ventriculaires le 28.12.2018. Myopie corrigée par lunettes Myosite aiguë Myosite focale d'origine indéterminée des muscles gastrocnémiens médiaux en 07.2013, possiblement sur Humira. Suspicion de péricardite en 06.2011. Angor probablement sur pic hypertensif le 02.01.2014 FAN à 320 en 10.2014. Péricardite aiguë bénigne, le 01.04.2015. Augmentation des CK sous statines - non daté Zona ophtalmique en 2003. Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale, le 28.02.2016. Infection urinaire simple le 28.02.2016. Baisse de l'état général d'origine multifactorielle en 02.2016 : • Céphalées fronto-temporo-occipitales, le 29.02.2016, dans le contexte d'une artérite giganto-cellulaire (maladie de Horton) confirmée en 07.2015 sur la base d'une biopsie temporale et d'un syndrome cervico-spondylogène modéré • Cervicarthrose C1-C2 sévérissime et suspicion de chondrocalcinose atlantico-axoïdienne (syndrome de la dent couronnée), C4-C5 modérée et C5-C6 sévère • Arthrite psoriasique • Dyspnée d'origine indéterminée • Insuffisance rénale AKIN I d'origine pré-rénale et infection urinaire simple • Déprivation de sommeil et alimentation insuffisante à domicile. Probable exacerbation d'une BPCO sans surinfection bactérienne le 18.04.2016. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 21.08.2016 Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 03.06.2016 Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 14.02.2018: • DD: Sur pic hypertensif • DD: pas d'arguments pour un STEMI (troponines 2x) • Myosite ossifiante dans la masse des adducteurs cuisse D (adductor magnus) • Myosite sur grippe A • Myosite virale • N à terme par accouchement par voie basse, pas de risque infectieux. PN: 3555 g s/p pyélonéphrite s/p otites à répétition, avec pose de drain trans tympanique, en place actuellement • N-acétylcystéine du 21.12 au 22.12.2018 • Sérologies virales (HAV, HBV et HCV) négatives le 24.12.2018 • Arrêt du Keppra, pas d'indication retenue > Nach Rücksprache mit Dr. X: Stop Amiodarone und kardiologische Kontrolle in paar Tagen > Nächtliche Dyspnoeattacken mit Erstickungsangst i.R. von rezidivierenden kardialen Dekompensationen und chronisch verstopfter Nase • NaCl iv 1000 ml • Contrôle clinique et biologique • NaCl 0.9% 500 sur 2h • Actrapid 3 UI iv en bolus puis Levemir 10 UI sous cut et correction par Humalog 4 UI sous cut • Hospitalisation en médecine pour suite de prise en charge • NaCl 0.9% 500ml/24h stoppé le 28.12.2018 • Hydratation per os • NaCl 1L 0.9% • Stimulation hydrique • NaCl 1000 cc. • Zofran IV. • Retour à domicile avec traitement symptomatique. • Retour aux urgences en cas de péjoration des symptômes. • Naissance • Naissance • Naissance à terme. • Naissance à terme, PN à 3100 gr • Naissance à terme à 38 SG, par voie basse avec ventouse, grossesse sp, 1er bébé • Naissance à terme à 40 0/7, accouchement par voie basse avec instrumentation par forceps, liquide méconial, 4640gr (>P97). Taille : 55 (P75-90). Périmètre crânien 37.5 (P95). • Naissance à voie basse à 39 4/7 SA, Poids de naissance de 3.630 kg • Naissance à 37 SA, sans difficultés respiratoires s/p Bronchites spastiques (4 épisodes) • Naissance à 37 1/7e SG par voie basse et provocation pour rupture prématurée des membranes >12h (une dose de Clamoxyl 1g). APGAR 9/9/10, pH 7.23/7.26. PN 3.260 kg (P 50-75), T 50 cm (P 50), PC 31 cm (

30 jours depuis le début de l'année scolaire). A noter un signalement de la part de l'école avec une audience prévue le 05.02. Sur le plan somatique, Nicolas présente peu de douleurs durant son séjour et ne nécessite pas d'antalgie. Son sommeil et son appétit sont bons. Un bilan biologique ne démontre pas de signes de malabsorption ou de carence hormis une légère anémie microcytaire, ni d'atteintes hépatiques, pancréatiques ou rénales. Il n'y a pas également pas de syndrome inflammatoire. Nous complétons le bilan par US abdominal et une gastroscopie qui se révèlent normaux. Des biopsies sont en cours et les résultats seront communiqués par le Dr. X le 01.02 directement aux parents. Au vu de l'absence de critères pour une cause somatique après 3 jours de surveillance et d'un bilan somatique large, un avis pédo-psychiatrique est réalisé le 28.01 chez Nicolas, déjà connu pour un antécédent d'état dépressif avec des plaintes identiques il y a 2 ans. L'évaluation par le Dr. X met en évidence un adolescent avec des tendances dépressives persistantes et dans une situation psycho-sociale difficile, sur le plan familial, financier et scolaire. Nous gardons une origine fonctionnelle aux douleurs de Nicolas et conseillons vivement un suivi pédopsychiatrique. Il sera revu la semaine prochaine par le Dr. X. Son traitement personnel (IPP) est à poursuivre jusqu'au retour de la Prof. X concernant les biopsies. Nicolas rentre donc à domicile le 28.01. Nicotine patch Nicotinell patch durant l'hospitalisation Nifédipin 20 mg, Lisitril 5 mg introduit (Nierenschutz) Contrôle de la pression sanguine lors de la prochaine visite chez le médecin généraliste et évaluation de la thérapie Nifédipine retard 30 mg en réserve. Nifédipine 10 mg au 15 min durant 1h Adalat CR 30 2x/j US abdominal et trans vaginal Nifédipine 20 mg aux urgences Nifédipine 20 mg retard aux urgences vers 17h15 1 push d'Isoket aux urgences vers 17h45 1 push d'Isoket vers 18h40 1 Deponit patch 5 vers 19h00, laisser jusqu'au 15.12.2018 pendant 8 heures Nifédipine 20 mg retard Lisinopril 10 mg 1x/Tag Nihil Nihil.• nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • nihil • Nihil car asymptomatique • Nihil car asymptomatique • Nihil. Pas d'antécédents médico-chirurgicaux au niveau du genou gauche. • Nihil p.o. et suivi par la physiothérapie Nutrition entérale par sonde dès le 21.11 jusqu'au 27.12.2018 Tentative d'alimentation PO vu l'amélioration des tr. de l'état de conscience Suivi diététique bihebdomadaire Amélioration rapide spontanée • Nihil. Angine bactérienne. • nihil BSH • Nihil Contusion thoracique simple le 13.02.2015. Radiographie. Traitement symptomatique. • Nihil. Déchirure du lobe de l'oreille gauche le 20.03.2018 • nihil Entorse cervicale Examen clinique RX cervicale: sp Avis Dr. X Avis Dr. X: • Minerve mousse 48h à but antalgique • Antalgie et AINS • Myorelaxant • Contrôle MT à 48h • Nihil État fébrile d'origine indéterminée le 07.08.2018. DD: virale, pas d'agouments actuels pour infection bactérienne • Paracétamol 1 g os, Voltarène 50 mg os: Température à 17h20 à 36,6°. • Laboratoire : Leu 8,9 G/l, CRP < 5 mg/l. • Sédiment urinaire: Protéine et Urobilinogène, reste sp. • Radiographie thorax: pas d'infiltrat. Proposition: • Stop antibiotique, traitement symptomatique et repos. • Contrôle chez médecin traitant si pas d'amélioration. • Recommandation de reconsulter en cas de péjoration clinique (bien expliqué au patient). • Nihil. Hospitalisation élective pour pose d'un défibrillateur le 08.11.2018 dans le cadre d'une cardiomyopathie dilatée à fraction d'éjection avec : ETT le 27.07.2018 : dilatation ventriculaire gauche, avec hypokinésie globale. Insuffisance mitrale modérée associée. FEVG 25%. Coronarographie le 31.07.2018 : pas de sténose significative. IRM cardiaque le 30.08.2018: cardiopathie dilatée sévère avec FEVG 14% et FEVD 24%, oreillettes gauche et droite dilatées, insuffisance mitrale modérée. Tissu myocardique au niveau du VG montre deux zones distinctes, l'une cryptée/spongieuse et l'autre compactée dont le rapport est supérieur à 2.3. Une zone spongieuse apparaît également sur la partie latérale du VD. Tableau compatible avec cardiomyopathie de non compaction. Holter du 2 au 4.8.2018: extrasystolie ventriculaire de faible incidence, cependant avec une salve de 8 battements. ETT 26.9.2018: dilatation importante du VG avec hypokinésie globale sévère, FEVG 20%, hypertrophie excentrique, OG modérément dilatée, insuffisance mitrale modérée. Radio thorax le 08.11.2018. • Nihil • Nihil selten Nikotinkonsum • NIHSS à 4 à l'étage le 06.01.2019, NIHSS à 2 points à l'admission aux soins intensifs le 06.01.2019 CT time is brain le 06.01.2019 IRM cérébrale le 07.01.2019 Echocardiographie transthoracique le 07.01.2019 (Dr. X) Holter à distance Double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine et Plavix dès le 07.01.2019 (dans le contexte de la cardiopathie ischémique) Introduction Statine le 06.01.2019 • NIHSS aux urgences 3 (dysarthrie, asymétrie faciale) NIHSS aux SI 3 (dysarthrie, aphasie, désorientation dans le temps) NIHSS à la sortie 1 (désorientation dans le temps) • CT Time is Brain le 30.01.2019 Consilium neurologie le 30.01.2019 (Dr. X) • NIHSS 0. Examen clinique dans la norme. • Niil. • Nitrofurantoin du 30.12.2018 au 03.01.2019 • Nitrofurantoine du 18.12.2018 au 22.12.2018 • Nitrofurantoïne 100 mg 2x/j per os du 11.12.2018 au 15.12.2018. • Nitrofurantoïne 100 mg 2x/j pour 5 jours. Traitement par Fluomizin cpr vaginaux 0-0-0-1 pour 6 jours. Suivi chez le gynécologue à la fin du traitement. • Nitrofurantoïne 100 mg 3x/j du 19.12 au 25.12.2018 Sédiment urinaire du 19.12.2018 : purée de leucocytes Urotube du 23.12.2018 : stérile Suivi clinique • Nitroglycérine caps en réserve IECA et aspirine cardio dès le 14.01.2019 Laboratoire du 13.01.2019 ECG du 13.01.2019 Radiographie thoracique du 13.01.2019 Avis cardiologique (Dr. X) : coronarographie. Selon résultats +/- écho • Nitroglycérine caps en réserve IECA et aspirine cardio dès le 14.01.2019 Laboratoire du 13.01.2019 ECG du 13.01.2019 Radiographie thoracique du 13.01.2019 Avis cardiologique (Dr. X) : coronarographie. Selon résultats +/- écho • Nitroglycérine 0,8 mg. Amlodipine 5 mg. • NN 40 4/7 SG, PN 3240 g, grossesse sp. Insuffisance respiratoire Bronchiolite à RSV avec insuffisance respiratoire Souffle systolique 2/6 foyer Erb Difficultés alimentaires. SNG jusqu'au 02.02 • NNé à terme 40 3/7, le 05.04.15 à 17h40 par césarienne en urgence pour CTG pathologique et NPP après rupture des membranes avec liquide clair le même jour à 12h00. Apgar 9/9/10, pH 7.30/7.35, placenta 680g. PN 3040g (P5-10), TN 50cm (P10), PCN 34cm (P5-10), RCIU d'origine placentaire. SDR sur sténose sous-glottique nécessitant une trachéotomie, prise en charge au CHUV Hospitalisation jusqu'à l'âge de 2 ans au CHUV Retour à domicile depuis une année avec une infirmière la nuit à domicile • NNé à terme 40 3/7, le 05.04.15 à 17h40 par césarienne en urgence pour CTG pathologique et NPP après rupture des membranes avec liquide clair le même jour à 12h00. Apgar 9/9/10, pH 7.30/7.35, placenta 680g. Sérologies maternelles Hbs nég. HIV nég, Lues nég, Rub immune, Strepto B nég, groupe sanguin B positif, AC irréguliers négatifs (pas de tabagisme maternel, pas de maladie systémique ou congénitale maternelle, premier enfant en 2011 né à 40 3/7 par césarienne pour NPP et fatigue maternelle, PN 3400). SDR sur suspicion de sténose sous-glottique avec stridor inspiratoire, DD: parésie cordes vocales gazométrie du 06.04: pH 7.31, pCo2 6.68, bic 25, BE -0.8, Na 139, K 4.8, Ca 1.15, Hb 135, Htc 40%, glc 5.3, lactate 4.5 CPAP du 06. au 12.04.15 (total 128 hrs) Oxygène supplémentaire (FiO2 max. 0.31) jusqu'au 10.04.15 Consilium ORL: suspicion d'origine sous-glottique, corde vocal mobilité réduite: pour investigations supplémentaires transfert au CHUV pour plus d'investigations. Infection néonatale avec image radiologique compatible avec une pneumonie Rx thorax du 06.04: pas de PTX, infiltrat rétro-cardiaque Rx thorax du 10.04: sp Hémocultures du 06.04: négatives Clamoxyl 25 mg/kg 3x/j IV, Genta 5 mg/kg/24h de 06.- 10.04.2015 Anémie macrocytaire hyperchrome sans hémolyse transitoire (Hb. min. 117 g/l), DD: hémorragie péripartale, infectieux Groupe sanguin, Coombs: AB positif, Coombs négatif Test de Kleihauer-Bethke le 06.04.15: absence d'Hb foetale dans sang maternel Retard d'émission d'urines (25 hrs) avec microhématurie 3 bolus de NaCl 10ml/Kg US des voies urinaires: vessie vide, reins de tailles normales, morphologie avec zones triangulaires hyper-échogènes compatibles avec néphrocalcinose ou nécrose papillaire (pas d'arguments cliniques) Lasix 3 mg IV sédiment urinaire du 06.04: érythrocytes 6-10 Calcémie eo : 2,21 ; calciurie inf à 0,20 mmol/l ; oxalates introuvables Créatininémie : 28 micromol/l créat urinaire : 0,8 mmol/l contrôle US rénal le 09.04 : sp ; US et bilan montrés au néphrologue : sp Hypokaliémie (min 2.9 mmol/l), DD: pertes par SNG, pertes rénales, post lasix 1 mmol/kg/jour 11.- 12.04.2015 Nouveau-né de 40 3/7 SG, PN 3040g (P5-10), TN 50cm (P10), PCN 34cm (P5-10), RCIU d'origine placentaire. A l'entrée: J0 = 40 3/7 SG, à l'entrée 2870 g CMV urinaire: négatif Konakion PO à J1 et 4 Difficultés alimentaires sur SDR Sonde gastrique jusqu'au transfert Voie veineuse périphérique jusqu'au transfert Glucose 10% jusqu'au transfert N-né prématuré de 34 4/7 SA, accouchement spontané par voie basse le 30.04.2015 à 22h14, rupture artificielle des membranes à 20h55. pH 7.33, Apgar 8/9/10. N-né prématuré de 34 4/7 SA, accouchement spontané par voie basse le 30.04.2015 à 22h14, rupture artificielle des membranes à 20h55. pH 7.33, Apgar 8/9/10. N-né prématuré de 34 4/7 SA, PN 2000 g (P50-90), TN 41 cm (P10-50), PC 30cm (P10-50) A l'entrée: 34 4/7, poids 2000 g NNT à 38 4/7 SG avec PN 2290 g ( 150/100 mmHg et des symptômes. Le suivi est déjà prévu chez le médecin traitant et le cardiologue. Nous administrons des IPP iv, du Buscopan, du paracétamol et du Tramadol iv. Les douleurs s'améliorent momentanément, mais ensuite reprennent avec un épisode de vomissements alimentaires. Nous prenons l'avis de Dr. X, qui examine Mme. Y et nous conseille l'administration de Ranitidine IV et de Primperan. Elle cherchera demain un médecin traitant, en a trouvé un à Bulle mais ne se rappelle pas de son nom. Il s'occupera de poursuivre la prise en charge. Mme. Y nous ramènera un échantillon de selles qui seront à pister. Au niveau urinaire, Mme. Y se plaint de douleurs mictionnelles depuis 1 mois et présente un sédiment sale. Nous instaurons un traitement de Monuril. Après amélioration des douleurs, elle retourne à domicile. Nous administrons par voie perorale Dafalgan 500 mg et Novalgine 500 mg aux urgences, avec régression presque complète de la douleur et du flou visuel, permettant la décharge de Mme. Y. Au vu de la fréquence des crises, nous proposons une prise en charge spécialisée en neuro-pédiatrie. Nous administrons 10 mg de Primperan avec amélioration clinique. Mme. Y ne présente plus de vomissements par la suite. Nous mettons en place une hydratation. Nous demandons un avis au psychiatre de garde, Dr. X qui propose un suivi ambulatoire au CSSM de Bulle (RFSM). Information donnée aussi à son copain et recommandation de poursuivre le Trittico à 50 mg le soir et de ne pas l'associer à de l'alcool. Nous administrons 30 mg de Prednison. Pas d'amélioration du sifflement expiratoire après 1h. Alors, nous débutons un traitement avec adrénaline 5 mg en aérosol. Disparition rapide du sifflement, arrive à parler, disparition des difficultés respiratoires. Nous le surveillons pendant 2 h post-aérosol. Il ne montre pas de péjoration, il peut donc rentrer à domicile avec un traitement symptomatique. Nous adressons Mr. Y en stomatothérapie pour le suivi de cette plaie. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Nous allons voir l'évolution. Il peut reprendre les activités sportives. Il nous recontactera en cas de douleurs et nous discuterons d'une nouvelle infiltration. Nous appelons le cabinet de Dr. X avec une réponse de l'assistante médicale qui nous certifie que le médecin traitant n'était pas absent ce jour. Nous fixons un rendez-vous chez le médecin traitant le lendemain à 10h45 et laissons Mr. Y rentrer à domicile, sans évaluation clinique. Nous arrêtons le traitement par Ciprofloxacine vu l'absence de piste pour une infection urinaire. Compte tenu des résultats de l'examen clinique comme douleurs à la percussion de la colonne lombaire au niveau L1-L2, palpation paravertébrale douloureuse à droite au niveau lombaire, nous retenons le diagnostic de lombosciatalgies droites non traumatiques et non déficitaires. Mme. Y rentre à domicile avec un traitement par Dafalgan 1g 4x/jour et Irfen 400 mg 3x/jour, Sirdalud 4 mg. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans 5-7 jours. Si les douleurs persistent, nous proposons de réaliser une imagerie complémentaire. Nous avons discuté des différentes options thérapeutiques pour les douleurs sacro-iliaques actuelles. Nous pourrions lui proposer une infiltration sacro-iliaque bilatérale, ce que Mme. Y préfère garder comme seconde option. Elle va donc débuter un traitement par physiothérapie et nous recontactera pour confirmer ou annuler ce geste. Nous avons fait un CT-scan qui montre une diminution de l'hématome, pas d'autre source de saignement ni de lésion métastatique au niveau du foie. Aux urgences, Mr. Y se plaint d'une constipation depuis 3-4 jours et de légères douleurs abdominales diffuses. Nous lui donnons un Practomil avec bénéfice sur l'évacuation des selles et avec soulagement sur les douleurs au niveau du bas abdomen. Nous proposons du sirop de figue pendant 5 jours, de l'antalgie selon douleurs, contrôle chez le médecin traitant selon besoin et évolution. Nous avons le regret d'annoncer le décès de Mme. Y, une patiente de 78 ans, qui était hospitalisée pour une insuffisance respiratoire globale sur un nouvel épisode de décompensation cardiaque et BPCO. Mme. Y a présenté une péjoration rapide de son état respiratoire dans la journée du 29.12.2018 avec désaturation, expliquée notamment par un épanchement pleural massif, une insuffisance cardiaque sévère, une acidémie en lien avec la maladie pulmonaire et une insuffisance rénale aiguë sévère. L'attitude de soins était claire avec refus de réanimation et de transfert aux soins intensifs. La famille, bien présente pendant le séjour et jusqu'aux derniers instants de vie, était en accord avec l'attitude et a été prévenue du décès. Mme. Y n'a pas souffert et nous a quittés paisiblement au matin du 30.12.2018, retrouvée inanimée dans son lit à 6h15. Ci-après un résumé de l'hospitalisation avant le décès : Pour rappel, Mme. Y était récemment hospitalisée pour un épisode de décompensation cardiaque. Elle a présenté dès le retour à domicile une péjoration de la dyspnée et une prise de poids avec douleurs abdominales et constipation motivant une consultation aux urgences le 25.12.2018. Une importante baisse de l'état général avec dyspnée, signes de surcharges pulmonaires avec épanchement bilatéral important et acidose respiratoire sont objectivés. L'oxygénothérapie déjà présente au domicile est poursuivie et le traitement diurétique est intensifié. La constipation a été résolue après un petit lavement aux urgences. Mme. Y est hospitalisée à l'étage de médecine pour la suite de la prise en charge.La patiente présente une amélioration progressive de la dyspnée, avec des besoins en oxygène toutefois permanents pour garantir une bonne saturation. Une ponction pleurale évacuatrice initialement proposée est repoussée au vue de l'amélioration sous diurétiques et aérosols. Dans le cadre du traitement de la décompensation cardiaque, la patiente présente une insuffisance rénale aiguë le 28.12.2018 suite à laquelle les médicaments néphrotoxiques sont suspendus et les diurétiques majorés. Sur le plan des douleurs abdominales et constipation, un lavement effectué aux urgences a permis un retour du transit avec de nombreuses selles défaites accompagnées de rectorragies hémorroïdaires. L'évolution est favorable avec interruption des saignements et normalisation du transit, ainsi que diminution rapide des douleurs abdominales. Sur le plan du traitement de fond cardiaque, nous avons à nouveau proposé de réaliser une ablation du NAV en expliquant la procédure en présence de la famille. Nous avons stoppé le sainement avec Rhino-Rapid court. Le cas a été présenté au Dr. X, ORL de garde. Le patient rentre à domicile, le contrôle clinique et l'ablation du Rhino-Rapid se fera à la consultation ORL du Dr. X le 07.01.2019 à 9h00. Nous avons suivi Mr. Y à la maternité avec le score de Finnigan, qui est revenu dans la norme. Vu le traitement de la mère, l'allaitement est fortement déconseillé, donc le passage au lait artificiel est effectué. Nous avons un tableau clinique atypique pour une coxarthrose avec des signes radiologiques d'arthrose relativement discrets. Nous prescrivons un traitement anti-inflammatoire que nous vous laissons le soin d'instaurer en tenant compte des comorbidités ainsi qu'aux interactions médicamenteuses au traitement habituel. La patiente va également bénéficier d'un CT-scan du bassin le 05.02.2019. Nous reverrons Mme. Y pour discuter des résultats du CT-scan le 19.02.2019. Nous calmons le patient aux urgences avec un Temesta. Un ECG et un bilan biologique sont faits et reviennent dans la norme. Au vu des tensions restant plutôt hautes, le patient reçoit un comprimé d'Adalat 30 mg. Les tensions baissent progressivement jusqu'à une valeur de 135/83 mmHg à la sortie, le patient reste néanmoins fort angoissé concernant son état général et notamment la prise d'alcool involontairement le 06.01. Nous laissons rentrer le patient avec une ordonnance pour 2 comprimés de Temesta 1 mg 1x/jour. Nous laissons le soin au médecin traitant d'évaluer la nécessité d'un traitement anxiolytique et d'une adaptation du traitement antihypertenseur. Nous commençons rapidement avec un traitement dans un anneau pelvien d'une attelle Lörrach qu'elle doit porter 24/24h 7/7j plus ou moins. J'aimerais la revoir lors du prochain US déjà planifié au 28.12.2018. Nous comptons le score de Genève modifié à 3, mais vu un gradient Aa à 5 (discussion avec le Dr. X), la probabilité d'embolie pulmonaire est minime. Étant donné l'augmentation du volume du mollet et l'augmentation des douleurs au niveau du mollet droit, nous décidons de poursuivre le traitement par Xarelto et organisons un ultrason Doppler des membres inférieurs demain à 14h30 par l'angiologue puis contrôle à la filière des urgences ambulatoires. Nous concluons à des lombalgies aiguës non déficitaires et prescrivons une antalgie à base de Dafalgan, Irfen, Sirdalud et Tramal en réserve. Nous lui prescrivons aussi un bon de physiothérapie. Il rentre à domicile avec un arrêt de travail de 3 jours (travail en bureau et est assis toute la journée) que le patient ne veut pas utiliser. Il consultera son médecin traitant en cas de besoin. Nous concluons à un état grippal que nous traitons symptomatiquement. Nous concluons à une bronchite d'allure virale que nous traitons symptomatiquement. La patiente consultera son médecin traitant en cas de mauvaise évolution. Nous concluons à une contusion du genou droit. L'évolution étant favorable en ce qui concerne le suivi d'abus d'alcool, avec un Glasgow à 15/15, sans perte de connaissance ni d'amnésie circonstancielle, le patient peut rentrer à domicile avec une antalgie et sera surveillé par ses amis pendant la journée du 05.01. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle au besoin. Nous concluons à une contusion thoracique. La patiente reçoit de l'antalgie. Pas de lésion cutanée (pas de photo pour le constat). Contrôle chez le médecin traitant selon évolution. Nous concluons à une réaction allergique de type 1 et nous donnons un traitement de Xyzal 5 mg 1x/jour pour 5 jours au patient. Il est averti des risques de somnolence et reconsultera en cas de nouvelle éruption cutanée ou de symptômes respiratoires. Il consultera pour un bilan allergologique. Nous concluons au diagnostic susmentionné et mettons en place une attelle Rucksack et préconisons la suite du traitement à la policlinique dans 1 semaine. Arrêt du sport donné et antalgie aussi. Nous confectionnons ce jour une botte de marche à porter pour encore 7 semaines, soit 8 semaines de traitement conservateur. Poursuite de la Clexane jusqu'à l'ablation du plâtre. Marche en charge de 10 kg maximum. Nous le reverrons à 8 semaines post-traumatiques avec un bilan radiologique en charge. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 24.03.2019. Nous confectionnons des plâtres pour 1 semaine. Nous la reverrons dans 1 semaine pour un contrôle radioclinique. Nous confirmons en accord avec la patiente ce jour le traitement conservateur qui consiste en une immobilisation dans le plâtre qui va être circularisé ce jour pendant encore 5 semaines. Prochain contrôle radioclinique dans une semaine à la consultation. Nous confirmons le diagnostic posé aux urgences. Poursuite du traitement conservateur, le gilet orthopédique doit être porté uniquement la nuit et lorsqu'il va à l'école. Nous conseillons au patient d'éviter les mouvements au-dessus du plan scapulaire. Prochain contrôle clinique dans 5 semaines. Nous confirmons l'indication opératoire au niveau L5-S1. Pour le niveau L3-L4, nous ne proposons pas de stratégie opératoire vu que le patient reste asymptomatique. Mr. Y nous donne son accord et la date opératoire est fixée au 04.02.2019. Nous confirmons l'indication opératoire. Mr. Y est clairement informé des risques, des bénéfices et du déroulement de l'intervention et nous donne son accord. Le formulaire de consentement éclairé est rempli en sa présence et lui est remis pour réflexion et signature. La date opératoire est déplacée au 01.02.2019. Le patient sera hospitalisé la veille à l'HFR. Un relais thérapeutique du Sintrom par de la Clexane sera fait 3 jours auparavant par nos collègues de Marsens. Nous conseillons à la patiente de continuer l'ergothérapie et nous avons fini le traitement dans notre service en expliquant à son fils que c'était normal mais qu'il pouvait prendre contact avec nous dans un mois ou deux si c'était encore nécessaire. Je pense qu'à ce moment-là, elle aura oublié la chirurgie et que tout ira bien. Nous conseillons à la patiente de continuer les séances d'ergothérapie. Pour nous, ensuite, le traitement est terminé. Nous conseillons à la patiente de faire du stretching des ischio-jambiers après avoir fait du sport. Prochain contrôle dans 2 ans. Nous conseillons à la patiente de ne pas faire de matchs de basket, mais elle peut assister aux entraînements, elle ne doit pas faire des efforts au niveau des jambes. Nous lui prescrivons des séances de physiothérapie pour un relâchement des chaînes antérieures de la cuisse.Prochain contrôle le 23.01.2019. Nous considérons le traitement comme terminé et la patiente reprendra rendez-vous à ma consultation en cas de péjoration des symptômes. Nous constatons également une érythrocynose connue de longue date que nous retrouvons déjà en 2000 avec une microcytose pour laquelle nous recommandons un bilan hématologique si non déjà effectué. Nous constatons une évolution lente et nous interprétons cette stagnation en lien avec la souffrance prolongée du nerf médian. Pour l'instant, le patient n'a pas fait de physiothérapie ni d'ergothérapie. Nous lui prescrivons des séances d'ergothérapie pour mobilisation et intégration de la main et de la physiothérapie surtout pour la décontraction de la musculature paracervicale. Le patient ne se sent pas prêt pour effectuer la prochaine intervention prévue le 31.01.2019 (cure de tunnel carpien à droite). Par conséquent, nous l'annulons et reverrons le patient pour un prochain contrôle clinique dans 4 semaines. Nous contactons la Fondation de Nant qui accepte le transfert de la patiente. Elle n'a pas d'idéation suicidaire, patiente calme et collaborante, hospitalisation pour mise à l'abri à sa propre demande. Son compagnon l'amène sur place. Nous contactons la neurologue de garde (Dr. X) qui n'a pas d'argument pour un transfert à la stroke unit à Fribourg. Pas d'argument pour un AIT ou AVC aigu. Au vu de la symptomatologie, de la clinique et des examens paracliniques, nous laissons la patiente rentrer à domicile. Après discussion avec le médecin traitant qui connaît bien la patiente et la famille, nous renonçons à toute investigation neurologique complémentaire. Nous contrôlons les douleurs par AINS et Morphine. La clinique et l'anamnèse sont typiques d'une colique néphrétique gauche et la présence d'un calcul de 3,3 mm est confirmée par le CT-scanner. Le calcul se trouve dans la vessie lors du scanner et il n'y a pas de dilatation des voies urinaires. Le patient rentre à domicile avec antalgiques, AINS, Pradif et filtration des urines. Il reviendra au laboratoire avec le calcul évacué. Nous convenons avec la maman de mettre l'attelle à D la journée et de faire des massages. Pour la nuit, nous lui conseillons de mettre l'attelle Denis Brown ddc. Nous le reverrons dans un mois pour un contrôle radioclinique. Nous décidons de prescrire des séances de physiothérapie. Nous ne retenons pas d'indication opératoire. Nous reverrons Mr. Y dans 3 mois. D'ici là, il peut continuer ses activités sportives. Nous demandons l'avis de la Dr. X, orthopédiste de garde, et faisons un rappel tétanos. Nous désinfectons la plaie par Bétadine, posons un champage stérile, anesthésions par Bicarbonate et Lidocaïne, débridons, rinçons au NaCl 0.9% et explorons la plaie. Nous prescrivons des AINS et antalgie au besoin. Le patient prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle le 13.01. Le patient sait quand reconsulter les urgences. Nous demandons l'avis de la Dr. X, orthopédiste de garde, et retenons le diagnostic de suspicion de fracture de la grande tubérosité humérale gauche. Nous mettons en place un gilet orthopédique. Nous prescrivons une antalgie et AINS. Un CT-scanner de l'épaule gauche est organisé pour le 11.01 à 15h. La patiente ne peut pas attendre pour les résultats et contrôle car elle a une réunion au travail. Mais elle rentre à domicile et reviendra en filière des urgences ambulatoires pour un contrôle le 12.01 pour les résultats et l'avis de la Dr. X. Nous demandons l'avis du Dr. X, chirurgien de garde. Le patient reviendra le 19.01 en filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinico-biologique et le Dr. X devra être averti. Nous désinfectons à l'Hibidil les plaies et les griffures. Le patient peut regagner son domicile le jour même avec l'indication de poursuivre l'antibiotique durant 5 jours inclus. Il sera vu en policlinique d'orthopédie le 07.01 pour un contrôle clinique. Nous désinfectons et explorons la plaie sous anesthésie locale. Nous mettons en place une tulle bétadinée et un gros pansement. Le patient peut regagner son domicile et sera vu dans 48h par son médecin traitant pour un contrôle clinique. Il ira en suivi régulièrement tous les deux jours chez son médecin traitant pour la réfection du pansement jusqu'à cicatrisation complète. Nous désinfectons et rinçons la plaie avec NaCl sous anesthésie locale. La plaie est transfixiante, nette et propre sans perte de substance. Nous suturons donc avec 3 points simples d'Ethylon 5.0 la plaie cutanée et par 3 points doublés de Vicryl 4.0 la plaie de la muqueuse. Nous prescrivons une antalgie et une antibiothérapie prophylactique par Co-Amoxicilline 1g 2x/jour pour 3 jours au vu de la contamination évidente par la salive (recommandation HUG). Le patient n'a pas de médecin traitant, il reviendra donc retirer les fils cutanés à J5 à la filière des urgences ambulatoires. Nous désinfectons et rinçons la plaie. L'exploration sous anesthésie locale ne montre pas d'atteinte des structures profondes avec une plaie d'environ 1 mm de profondeur. Nous suturons avec 2 points simples à l'Ethilon 5-0. Le tétanos est à jour. Le patient verra son médecin traitant pour un contrôle à 48h et retrait des fils à J5. Nous désinfectons la dermabrasion. Le bilan radiographique ne mettant pas en évidence de fracture, nous réalisons une immobilisation du majeur droit par une attelle alu dorsale à 20° de flexion temporaire, puis la patiente sera vue en ergothérapie pour la mise en place d'une attelle thermoformée en huit pour 15 jours. Nous préconisons un contrôle clinique en policlinique d'orthopédie à 15 jours pour la mise en place d'une syndactylie pour 4 semaines. Nous donnons des conseils de surélévation de la main et l'application de glace, et prescrivons des antalgiques et anti-inflammatoires. Nous désinfectons la patiente et suturons par 1 point simple à l'Ethilon 4-0. Ne sachant plus si elle est à jour dans ses vaccinations, nous procédons à un rappel du vaccin antitétanique. La patiente rentre à domicile et pourra consulter son médecin traitant pour retirer le point de suture à 5 jours. Nous désinfectons la plaie, champons et faisons une anesthésie locale. La plaie est explorée à l'anguille boutonnée et ne montre qu'une profondeur de 2 mm, sans visualisation des structures profondes. Nous suturons par 3 points simples avec Ethilon 5.0 et mettons en place un pansement simple. Le tétanos est à jour. La maman a déjà une antalgie en réserve. Elle est infirmière et souhaite retirer elle-même les fils. Elle consultera le médecin traitant en cas de doute. Nous désinfectons la plaie, procédons à un lavage abondant avec du NaCl et explorons la plaie qui ne révèle pas d'atteinte des structures sous-jacentes ou de corps étranger présent. Nous suturons la plaie avec 3 points d'Ethilon 4.0, et mettons en place une attelle en aluminium type cuillère. Le patient, incertain sur ses dernières vaccinations, reçoit une dose du vaccin antitétanique le 24.01.2019. Les points seront retirés à 7-10 jours chez le médecin traitant (ou à domicile, la femme du patient est infirmière et habituée à retirer les points). Nous désinfectons, mettons en place un champage, et faisons une anesthésie locale. Nous rinçons abondamment la plaie et explorons, sans visualiser les structures profondes, notamment pas de visualisation des tendons extenseurs/fléchisseurs. Nous suturons par 2 points simples avec éthylon 4.0. Le patient rentre à domicile avec une antalgie simple et arrêt de travail jusqu'au 18.01.2019. Il consultera son médecin traitant pour contrôle à 48h et pour retrait des fils à J7. Nous devons maintenant traiter cette plaie en enlevant la fibrine qui empêche l'épithélisation. Nous prenons contact avec la stomathérapie et nous modifions le protocole avec du Plurogel, Mepilex border, compresses ainsi que des débridements doux. Nous la reverrons dans 1 semaine pour évaluer le changement du protocole.Nous devons optimiser la situation autour du pied. Elle va faire élargir l'avant de ses chaussures chez un orthopédiste. Elle est à l'arrêt de travail à 60%. Nous la reverrons à la fin du mois pour évaluer la situation. Nous diagnostiquons ce jour un hallux rigidus à G. A ce stade, nous lui proposons un traitement conservateur et lui expliquons l'évolution naturelle de cette pathologie à savoir une destruction progressive de l'articulation, un enraidissement et des douleurs qui peuvent devenir handicapantes. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Nous discutons à nouveau des options soit une prothèse de la cheville ou une arthrodèse. Il souhaite une prothèse de la cheville car il a peur de perdre toute sa mobilité. Nous lui expliquons qu'avec une prothèse, la mobilisation peut être limitée. Nous envoyons les images au professeur X de l'Inselspital pour savoir si une prothèse est possible malgré ces kystes. Nous le reverrons suite à cela. Nous discutons avec la patiente et lui proposons une éventuelle intervention chirurgicale comme déjà discuté lors de la dernière consultation. La patiente refuse l'intervention car elle a très peur de se faire opérer au niveau du dos et souhaite essayer encore un traitement conservateur. Deuxièmement, elle est toujours dans l'attente d'un rendez-vous concernant une intervention au niveau de sa thyroïde soit concernant des problèmes de la sphère gynécologique. Nous organisons une nouvelle infiltration péridurale L4-L5 gauche qui avait déjà bien soulagé la patiente. Mme. Y est favorable à notre proposition. Nous reverrons la patiente dans 2 mois. Nous l'informons de nous tenir au courant en cas d'aggravation des symptômes avec atteinte neurologique. Nous discutons avec la patiente, étant donné que celle-ci se dit plus gênée par la DHS, nous ne proposons pas l'ablation du matériel d'ostéosynthèse comme discuté lors de la dernière consultation. Nous la reverrons dans 1 année, pour un contrôle à 2 ans postopératoire. Nous discutons avec le Dr. X, chef de clinique du team membre supérieur, et confirmons le traitement conservateur pour la fracture du scaphoïde. Circularisation du plâtre ce jour. Nous reverrons la patiente dans 8 semaines après un scanner de contrôle à la consultation du team membre supérieur pour discuter des résultats et de la suite de la prise en charge. Prescription de physiothérapie pour mobilisation de l'épaule et renforcement musculaire pour l'épaule. Nous discutons avec le patient de faire un bilan angiologique. Nous prions le service d'angiologie de convoquer le patient. Il va désinfecter la plaie et protéger. Nous discuterons après une prise en charge chirurgicale. On a fait des photos de la plaie que nous enverrons au Prof. X pour discuter de la prise en charge pour la chirurgie plastique après débridement et biopsie osseuse. Nous avons également fait ce jour un frottis qui est envoyé en microbiologie. Nous discutons avec le patient de l'importance d'écarter une récidive herniaire, raison pour laquelle nous préconisons une IRM de la colonne lombaire avec produit de contraste. Suite à ce geste et comme il nous semble que les douleurs médiales au niveau de la cuisse proviennent plutôt du problème de la hanche avec un étirement musculaire et contracture secondaire, nous l'adressons en consultation du team hanche. Une éventuelle médication serait également à considérer par du Neurontin ou Lyrica une fois l'IRM réalisée, mais le patient préfère éviter ce traitement. Nous discutons avec le patient des différentes options thérapeutiques et lui proposons dans un premier temps une infiltration péri-radiculaire L4 D. En cas d'échec de cette prise en charge, une intervention chirurgicale pourra être envisagée. Nous discutons avec le patient et procédons, comme déjà discuté lors de la dernière consultation, à une infiltration au niveau articulaire L5-S1 à gauche où l'IRM met en évidence la dégénérescence arthrosique. Nous reverrons le patient par la suite. Selon avis du team hanche, si la douleur ne devait pas s'améliorer et la suspicion d'une éventuelle composante de la hanche devait s'avérer, un scanner de la hanche gauche sera à effectuer. Nous prions le Dr. X, travaillant à l'hôpital de Riaz et qui connaît déjà le patient, de le revoir pour une éventuelle prise en charge. Nous discutons avec le patient qui souhaite se faire hospitaliser. Il habite cependant hors canton. En discutant également avec son amie, nous apprenons qu'il a un rendez-vous prévu le matin du 30.01 chez le Dr. X, psychiatre à Mézières. Nous discutons avec le patient qui ne présente pas d'envie suicidaire. Il nous promet qu'il ne fera rien le soir en rentrant à la maison. Son amie est témoin et se porte garante. Nous prenons un avis chez le psychiatre de garde, le Dr. X. Étant donné que le problème psychiatrique est en passe d'être réglé avec un rendez-vous au matin du 30.01, si le patient n'a pas d'idée suicidaire et donne des garanties, dans ce cas-là où il est accompagné de sa compagne, il peut rentrer à domicile. Sur le plan des céphalées, nous hydratons le patient à l'aide de NaCl 0.9% 1000 ml/1 heure. Nous prescrivons également du Voltaren 75 mg en intraveineuse et un Temesta 1 mg. Le tout avec une bonne réponse clinique. Nous convenons donc avec le patient qu'il passe la nuit à son domicile et qu'il se présente le matin du 30.01 chez son médecin psychiatre. Son amie est garante de lui. Il rentre à domicile en bon état général. Nous discutons de la situation et elle souhaite clairement l'implantation d'une prothèse de la cheville. Nous programmons un CT et des radiographies de la cheville en charge afin de pouvoir planifier l'intervention. Nous allons également prendre contact avec le professeur X de l'île à Berne. Nous la reverrons après ces examens pour discuter de l'opération. Nous discutons des dernières images et expliquons à notre patiente la compression récessale de la racine L4 bilatéralement pouvant expliquer ses symptômes. Nous organisons donc, au vu de l'échec de l'infiltration sacro-iliaque, une intervention de décompression minimale à cet endroit de manière sélective avec undercutting du côté opposé à droite. Cette fenestration est donc organisée en électif. Nous organisons également une infiltration épidurale au niveau concerné afin de soulager la patiente jusqu'à l'opération. Nous attirons l'attention de tous les intervenants pour l'anomalie de transition chez cette patiente avec une sacralisation de L5 pouvant engendrer des difficultés d'interprétation des racines impliquées ainsi que des dermatomes. Ceci pourrait aussi expliquer le caractère mixte de ces douleurs qui semblent toucher les deux dermatomes L4 et L5. La patiente reçoit les informations en vue de cette intervention ainsi que le consentement éclairé qu'elle nous retournera signé. La patiente ne prend pas de médicament anti-coagulant. Nous discutons des risques et bénéfices d'une ablation du matériel opératoire. La patiente reçoit le formulaire d'information et de consentement qu'elle remplira et nous enverra par la suite. Nous discutons d'une façon détaillée avec la patiente de la nécessité d'un suivi radioclinique après une crâniotomie comme celle-ci. Nous organisons donc un prochain contrôle dans 6 mois avec une IRM cérébrale le même jour. Nous discutons longuement avec notre patient de la nécessité d'entreprendre un reconditionnement musculaire afin d'améliorer les douleurs chroniques et invalidantes. Nous lui prescrivons donc des séances de physiothérapie active et l'incitons à se rendre régulièrement au fitness et à la piscine. Il est informé qu'il doit faire des exercices quotidiens afin de renforcer sa musculature et récupérer une certaine souplesse.Sur le plan professionnel, nous attestons une perte de rendement d'au moins 40% dans son activité habituelle et lui conseillons de débuter des démarches pour une reconversion professionnelle. Il reste encore à 100% d'arrêt de travail pour 2 mois et sera revu à notre consultation dans 3 mois, à 6 mois post-opératoires avec de nouvelles radiographies de la colonne lombaire face/profil. Nous donnons au patient de la Co-Amoxicilline 2.2g iv, nous effectuons une anesthésie locale avec incision, rinçage abondant par NaCl et Bétadine 200ml, pansement sec. Nous donnons de la Clexane 40mg sous-cutanée. Contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 06.01.2019 à jeun. Antalgie, marche selon douleurs à l'aide des cannes anglaises. Nous donnons au patient et à son épouse toutes les explications concernant le geste chirurgical proposé en 3 temps lors du dernier rendez-vous. Ils vont prendre un temps de réflexion et nous recontacterons une fois leur décision prise, pour une intervention probablement courant avril voire mai 2019. Nous donnons du Nexium et de la Somatostatine iv continu, NaCl, et demandons le RAI et le culot érythrocytaire, nous donnons 1 culot érythrocytaire (RAI négatif). Le patient donne son consentement éclairé oral pour la transfusion. Le patient ne boit plus d'alcool depuis juin 2018. Nous avons discuté avec le Dr. X et décidons d'envoyer le patient aux Soins Intensifs de l'HFR Fribourg pour monitoring et EGDS demain matin, sauf instabilité hémodynamique. Le patient donne son consentement éclairé pour une anesthésie générale. EGDS et éventuelle ligature de varices. REA NON (discuté avec patient et fils). Les constantes vitales se maintiennent stables pendant l'observation aux urgences et au moment du transfert. Départ en ambulance. Nous dosons la ferritine dans le contexte d'une perfusion chronique de fer chez une patiente connue pour une thalassémie alpha à risque de faire des surcharges en fer. La saturation de transferrine étant <45%, nous mettons la ferritine élevée sur le compte de la perfusion de Ferinject récente. Nous proposons de réévaluer l'indication à une perfusion de fer régulière chez cette patiente ainsi qu'une consultation en hématologie. Dans le contexte des palpitations et l'hypertension artérielle objectivées aux urgences, nous organisons une MAPA et un Holter en ambulatoire, pour lesquels la patiente sera convoquée. Nous écartons la possibilité d'une embolie pulmonaire et proposons une origine musculo-squelettique ou gastrique des plaintes de la patiente. Nous introduisons un traitement d'épreuve antalgique et par IPP. Nous écartons le diagnostic de TVP et initiions un traitement antalgique et organisons un contrôle US pour le 28.01.19. Nous écartons un diagnostic d'appendicite aiguë et introduisons une antalgie simple. Rendez-vous de contrôle chez Dr. X à une semaine. Nous effectuons des radiographies de la cheville gauche et de l'épaule droite, complétées par une incidence acromioclaviculaire et un comparatif de l'épaule droite. Dans ce contexte, nous prenons l'avis du Dr. X et concluons à une entorse de l'articulation acromioclaviculaire de stade I selon Rockwood. Le patient rentre à domicile avec une bretelle, une antalgie pas Flector patch et une prescription de physiothérapie ainsi qu'un arrêt de travail d'une semaine. En ce qui concerne la cheville, nous concluons à une entorse de stade I que nous traitons par une bande élastique. Il reverra son médecin traitant pour contrôle. Nous effectuons un bilan biologique qui est normal. L'ECG est normal, le test de Schellong est négatif. Le statut étant dans la norme et les vertiges atypiques, ne parlant ni pour une origine centrale, ni une maladie de Ménière, ni un vertige périphérique paroxystique bénin, et la patiente ne présentant plus de symptôme aux urgences, nous la laissons rentrer à domicile. Nous ne pouvons exclure une origine médicamenteuse et conseillons à la patiente d'en discuter avec son rhumatologue. Nous effectuons un bilan biologique qui montre des leucocytes à 6.3 G/l et une CRP à 13 mg/l. La radiographie du pied ne montre pas d'ostéomyélite. Après avoir demandé l'avis du Dr. X, nous débridons l'escarre aux urgences et mettons en place un pansement avec Prontosan gel, Adaptic, Compresse puis Askina. Nous préconisons la poursuite des soins à domicile 3x/semaine avec réfection des pansements selon protocole. La patiente prendra rendez-vous chez le Dr. X pour un suivi dès février 2019. Nous effectuons un bilan biologique qui montre une hémoglobine stable à 156 g/l. Le saignement s'arrête avant que l'on ne puisse mettre un rhinorapid en place. Au vu des récidives, nous prenons contact avec l'ORL de garde (Dr. X), qui souhaite voir la patiente à sa consultation cet après-midi. Elle quitte donc les urgences pour s'y rendre. L'Aspirine est mise en pause. Nous effectuons un bilan biologique qui montre une hypokaliémie à 2.9 mmol/l sans répercussion sur l'ECG. Nous mettons en place une substitution IV de 20 Meq sur 250 ml de NaCl et puis une substitution orale et le potassium sera à recontrôler à 48h. Pendant l'observation aux urgences, le patient devient agressif et nous lui administrons 1 mg de Temesta et 3 mg de Dormicum. Nous mettons en place les mesures de contention. Nous prenons un avis auprès du psychiatre de garde qui propose une hospitalisation à Marsens sous PAFA. Le PAFA a été expliqué à sa femme grâce à l'aide d'une traductrice proche de la famille. Sa femme reçoit une copie du PAFA. Le patient part en ambulance au RFSM Marsens. Nous effectuons un bilan biologique qui ne montre pas de syndrome inflammatoire. Les D-dimères et les troponines sont négatifs. La radiographie du thorax est dans la norme. Nous concluons donc à des douleurs thoraciques d'allure musculo-squelettique et laissons la patiente rentrer à domicile avec une antalgie simple qu'elle a déjà. Nous effectuons un bilan biologique qui ne montre pas de syndrome inflammatoire ni de trouble électrolytique. La TSH est à pister par le médecin traitant. Nous effectuons un ECG qui confirme le QTc long congénital connu et montre des ondes T négatives en II, III, aVR, aVF et V1-V5 (pas de comparatif). La patiente aurait eu un dernier contrôle cardiologique (Dr. X, Morges) il y a une année qui était dans la norme. Un test de Schellong est positif. Nous hydratons la patiente et lui donnons à manger. Nous la surveillons aux urgences pendant 6 heures avec bonne évolution clinique. Elle peut rentrer à domicile avec une prescription de bas de contention de force 2. Concernant les 2 dents cassées, elle consultera un dentiste demain. Nous effectuons un CT-scan décrit ci-dessus, montrant une fracture non déplacée des os propres du nez. Nous préconisons de l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1g 2x/jour pour 5 jours, pas de mouchage et Rhinomer. Consultation chez un ORL à J5 avec une photo d'avant l'événement. Nous effectuons un ECG, une radiographie du thorax et un laboratoire. Le patient reçoit de l'antalgie par Ecofenac 75 mg iv avec disparition des douleurs. Le cas est discuté avec le Dr. X, de médecine interne, qui préconise un retour à domicile avec traitement antalgique. Contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 02.01.2018 avec suivi biologique puis ultrason et contrôle clinique. Nous effectuons un examen clinique qui est rassurant, avec un abdomen sensible mais pas nettement douloureux et McBurney/Psoas négatifs. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire. Nous prenons l'avis du pédiatre de garde de l'HFR Fribourg qui pense à une simple gastroentérite et ne pense pas nécessaire que la patiente vienne aux urgences pédiatriques. Il préconise un retour à domicile et un contrôle chez son pédiatre traitant. La patiente consultera les urgences pédiatriques de l'HFR Fribourg en cas de péjoration.Nous effectuons un examen de laboratoire qui montre une hypokaliémie légère à 3.5, CK dans la norme, lactate veineux à 0.8. Pour l'hypokaliémie nous administrons un comprimé de potassium effervescent. L'ECG montre un rythme sinusal régulier. Nous mettons en place une hydratation de 1000 ml NaCl/24 heures et nous gardons le patient en surveillance qui se passe sans complication. Le patient rentre à domicile accompagné par sa mère. Le taux de Carbamazépine est dans l'intervalle thérapeutique à 8.8 mg/l. Nous effectuons un laboratoire qui montre un syndrome inflammatoire avec un CRP à 34 mg/l, leucocytose à 12.5 G/l, potassium à 3.1 mmol/l. Nous hydratons avec 500 ml de NaCl et nous effectuons un aérosol avec du NaCl. Au vu de l'hypokaliémie nous administrons 1 potassium effervescent en ordre unique aux urgences. Nous effectuons un frottis naso-pharyngien gauche avec une culture qui est en cours. Nous prenons un avis chez le gynécologue de garde qui propose un traitement antibiotique avec Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 7 jours et traitement symptomatique avec Dafalgan. En cas de douleurs au ventre, elle devra consulter en gynécologie et entre-temps devra bien s'hydrater. Un rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires est prévu, le 26.01.2019 à 13h30 pour contrôle clinique et biologique et communication des résultats du frottis (résultats appel du laboratoire le 25.01.2019, positif pour Influenza A). Nous effectuons un laboratoire qui montre une leucocytose à 18.6 G/l, pas de syndrome inflammatoire. Nous retenons une urticaire aiguë d'origine probablement alimentaire en absence de critères d'anaphylaxie. Nous observons le patient pendant 3 heures et le rush cutané s'améliore. Nous expliquons au patient que le rush cutané pourra se représenter et nous mettons en place un traitement avec des antistaminiques. Le patient a été informé qu'il ne doit pas conduire après la prise du médicament. Il verra son médecin traitant à son retour, qui recevra le rapport de consultation. Nous effectuons un laboratoire qui montre un syndrome inflammatoire avec CRP à 120 mg/l et une insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 109 umol/l. La radiographie du thorax montre un possible foyer débutant en base droite. La patiente présente une toux grasse et, à l'auscultation, des crépitants de la base droite. Nous concluons à une probable pneumonie basale droite débutante et nous mettons en place un traitement de Co-Amoxicilline adapté à la fonction rénale à 625 mg 2x/jour pendant 7 jours. Une première dose de 1 g est donnée aux urgences. Nous prescrivons aussi du Dafalgan en réserve et nous encourageons la patiente à bien s'hydrater. Au vu d'un score CURB 65 à 1, chez une patiente vivant dans un home médicalisé, elle peut rentrer avec un suivi rapproché par le médecin du home. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas de leucocytose mais une CRP à 93 mg/l, dans le contexte d'une bronchite virale. Nous effectuons des radiographies qui ne montrent pas de fracture de l'épaule ou de la hanche, ni de descellement de prothèse. La patiente rentre à domicile avec une ordonnance d'antalgie et du Sportusal à appliquer au niveau des douleurs, augmentation du passage des soins à domicile et physiothérapie pour la mobilisation et respiratoire. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas de leucocytose, une CRP à 8 mg/l et pas de perturbation des tests hépatiques. Au vu d'un examen clinique et d'un laboratoire rassurant le patient rentre à domicile avec un traitement antalgique. Contrôle chez son médecin traitant dans 5 jours, arrêt de travail donné pour 1 jour. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas de syndrome inflammatoire. Le sédiment montre des leucocytes, des nitrites et du sang. Nous effectuons un Uro-CT scan qui montre une lithiase de 4 mm au niveau de l'uretère distal avec une dilatation en amont de 10 mm. Au vu de la présence de leucocytes et de nitrites dans les urines, le Dr. X contacté, préconise de prendre l'avis urologique. Le Dr. X préconise une suite ambulatoire avec traitement symptomatique, Pradif, filtration des urines, couverture par Céfuroxime 500 mg 2x/jour et contrôle à sa consultation à 3 jours. Nous informons le patient de la nécessité de reconsulter les urgences dans l'intervalle en cas de douleurs non gérées par l'antalgie, de fièvre ou de frissons. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas de syndrome inflammatoire. Les troponines et les D-dimères sont négatifs. La radiographie de thorax ne montre ni foyer, ni épanchement, ni pneumothorax. Dans ce contexte et face à des paramètres vitaux tout à fait stables, nous concluons à des douleurs pariétales et laissons la patiente rentrer à domicile avec une antalgie en réserve. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas de syndrome inflammatoire ni de perturbation des tests hépato-pancréatiques. Au vu d'un statut peu reproductible et d'un ultrason peu typique, nous organisons un contrôle clinico-biologique demain à la filière des urgences ambulatoires (reprendre contact avec le Dr. X). Dans l'intervalle le patient rentre à domicile avec une antalgie en réserve et restera à jeun dès minuit. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas de syndrome inflammatoire ni d'élévation des tests hépato-pancréatiques. Le statut étant rassurant, nous concluons à une gastrite probablement virale que nous traitons symptomatiquement. Elle reconsultera en cas de péjoration des douleurs, de migration en fosse iliaque droite ou de l'apparition d'un état fébrile. Nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas de syndrome inflammatoire, un stix urinaire permet de mettre en évidence la présence de sang et de leucocytes. Une culture des urines est effectuée avec des résultats à pister. Au vu de l'anamnèse et des examens para-cliniques nous effectuons un ultrason des voies urinaires qui ne montre pas d'abcès, de lésion rénale ou de lithiase urinaire. En raison de l'état fébrile et des douleurs para-lombaires à la suite d'un dernier épisode d'infection urinaire en novembre 2018, nous administrons une dose de Rocéphine 2 g aux urgences puis introduisons un traitement de Ciproxine 500 mg 2x/jour pour une durée de 7 jours. Ordonnance d'antalgie ainsi que Ciproxine 2x500 mg pendant 7 jours, ou jusqu'à la réception du résultat de l'uricult, s'il est négatif. La patiente sera revue à la filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinique, un laboratoire, et résultats de l'uricult. Arrêt de travail jusqu'au 17.01.2019. Refaire l'ECG à la filière des urgences ambulatoires (dérivation I et aVF mal visualisées à l'ECG du 14.01.2019). Nous effectuons un streptotest qui est négatif. Nous concluons à un syndrome grippal que nous traitons symptomatiquement. Nous effectuons un streptotest qui est négatif. Nous concluons à une angine probablement virale que nous continuons à traiter symptomatiquement après discussion avec le Dr. X de médecine interne. Le patient va revenir pour un contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 16.01.2018. Nous effectuons un streptotest qui est négatif. Nous concluons à une infection virale que nous traitons symptomatiquement. Nous effectuons une manœuvre de Hallpike qui ne provoque pas de symptômes à droite mais déclenche immédiatement un vertige rotatoire intense à gauche. La patiente se relève immédiatement pour vomir et nous ne pouvons donc pas objectiver de nystagmus. Nous concluons donc à un vertige positionnel paroxystique bénin et procédons à une manœuvre de Semont qui permet la résolution de la symptomatique. La patiente peut donc rentrer à domicile. Elle reconsultera en cas de réapparition des symptômes. Nous effectuons une radiographie de la jambe qui montre une fracture en spirale du tibia gauche. Nous prenons l'avis de Dr. X qui réalise un plâtre cruro-pédieux sous MEOPA. La radiographie post-plâtre ne montre pas de déplacement. Mr. Y rentre à domicile avec ses parents avec une antalgie, les consignes de surveillance du plâtre et une prescription pour des cannes adaptées. Il sera revu en policlinique d'orthopédie dans une semaine pour contrôle. Nous effectuons une radiographie de la jambe qui montre une fracture spiroïde du tibial distal. Nous prenons l'avis de Dr. X qui nous aide à réaliser un plâtre cruro-jambier. La radiographie de contrôle post-plâtre ne montre pas de déplacement. Mr. Y peut rentrer à domicile avec une antalgie simple et un arrêt de sport. Il verra Dr. X en contrôle à sa consultation le 06.02. Nous effectuons une radiographie de la main et prenons l'avis de Dr. X, orthopédiste, qui préconise une exploration au bloc opératoire. Mme. Y est donc transférée (par son ami) à Fribourg pour débridement et exploration au bloc opératoire. Elle reçoit une dose de Co-Amoxicilline 2.2 g iv en ordre unique aux urgences avant son départ. Le tétanos est à jour. Nous effectuons une radiographie de l'épaule gauche qui montre une fracture de la tête de l'humérus. Nous visualisons également un kyste dans la radiographie, raison pour laquelle nous effectuons des radiographies de l'humérus. Nous mettons en place un gilet orthopédique pour 7 semaines avec un contrôle à prévoir chez un médecin orthopédiste à 7 jours (la patiente vit à Genève). Nous lui avons transmis les images. Nous prescrivons à la patiente une antalgie et un arrêt de travail. Nous effectuons une radiographie du pied qui ne montre pas de fracture. Nous prenons l'avis de Dr. X qui préconise la mise en place d'une talonnette percée et d'une antalgie. Mme. Y consultera son médecin traitant en cas de mauvaise évolution. Nous effectuons une radiographie du pouce qui ne montre pas de fracture mais un arrachement ancien de la base de la 2ème phalange corticalisé. Au vu de la brûlure, nous effectuons un pansement avec Bepanthen. Mme. Y reviendra en filière des urgences ambulatoires dans 24h pour un contrôle. Nous lui prescrivons une antalgie simple et lui donnons un arrêt de travail pour 2 jours. Nous effectuons une radiographie du 3ème doigt qui confirme la luxation dorsale de l'interphalangienne proximale et ne montre pas de fracture associée. Dr. X procède à une réduction fermée de la luxation avec bonne réponse tant clinique que radiographique. Nous prenons l'avis orthopédique de Dr. X qui propose une immobilisation par syndactylie pour 3-4 jours et contrôle le 30.01.2019 à sa consultation. Dans l'intervalle, nous prescrivons une antalgie simple et un arrêt de travail à la patiente qui peut rentrer à domicile. Nous effectuons une radiographie ne montrant pas de fracture. Le laboratoire est sp. Nous préconisons de la Co-Amoxicilline 1g per os 3 fois par jour et une immobilisation par une attelle Edimbourg. Contrôle clinique et biologique à la filière des urgences ambulatoires le 29.01.2019. Nous effectuons une radiographie qui exclut une fracture. La clinique est peu parlante pour une atteinte ligamentaire. Au vu de l'impossibilité de charger, nous demandons l'avis de Dr. X, orthopédiste, qui conclut à une entorse du compartiment interne. Mme. Y est stabilisée avec une bande élastique en attendant de pouvoir aller chercher une genouillère à la pharmacie. Elle rentre à domicile avec des cannes anglaises, une antalgie simple et une thrombo-prophylaxie. Elle verra Dr. X à sa consultation le 16.01.2019. Nous effectuons une radiographie qui montre une fracture du radius distal déplacée. Nous avertissons Dr. X qui préconise une réduction ouverte au bloc avec une ostéosynthèse. La patiente quitte les urgences pour rejoindre le bloc opératoire. Nous effectuons une radiographie qui montre une prothèse de hanche gauche en place, sans signe de descellement. Nous proposons une consultation orthopédique chez Dr. X au vu des douleurs chroniques. Consultation chez son médecin traitant demain ou la semaine prochaine. Nous effectuons une radiographie qui ne montre pas de fracture. Au vu de la suspicion clinique d'atteinte du Lisfranc, nous immobilisons Mr. Y avec une attelle jambière postérieure. Nous lui rappelons le protocole RICE et lui prescrivons une antalgie simple ainsi qu'une thromboprophylaxie. Il sera vu dans une semaine à la policlinique d'orthopédie pour contrôle. Nous effectuons une radiographie qui ne montre pas de fracture. Le testing ligamenteux est indolore et montre une stabilité. Il n'y a pas de douleur parlant pour une fracture du scaphoïde. Nous concluons donc à une contusion du pouce, immobilisons la patiente avec une attelle Softcast et la laissons rentrer à domicile avec une antalgie simple et un arrêt de sport pour 2 semaines. Elle sera vue par Dr. X en contrôle le 16.01.2019. Nous effectuons une radiographie qui ne montre pas de fracture. Nous concluons à une contusion de coude. Nous mettons en place une bande élastique au menthol et laissons la patiente rentrer à domicile avec une antalgie simple. Nous effectuons une radiographie qui permet d'exclure une fracture. Mr. Y peut rentrer à domicile avec une bande élastique, une antalgie et un arrêt de travail. Il chargera selon douleurs et consultera son médecin traitant pour contrôle. Nous encourageons la patiente à poursuivre les séances de fitness et à maintenir l'activité sportive à côté de son activité professionnelle d'employée de commerce. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition au besoin. Nous encourageons la patiente à poursuivre sa reprise progressive du sport en limitant et en évitant toute activité qui lui déclenche des douleurs. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois. Nous encourageons Mr. Y à prendre rendez-vous dans le courant du mois de juillet afin de planifier l'arthroplastie de la hanche gauche avec Dr. X. Nous enlevons la broche ce jour après désinfection du point d'entrée. Désinfection à la Bétadine et application d'un Mépore. Nous lui montrons des exercices de mobilisation à faire quotidiennement afin de récupérer l'amplitude. Nous lui conseillons d'être prudent avec la charge. Pas de sport jusqu'au 28.02.2019. Nous le reverrons avant la fin février afin de déterminer s'il peut partir en camp de ski. Nous entamons dans un premier temps un traitement symptomatique avec mise en place de physiothérapie (mobilisation et renforcement) ainsi qu'anti-inflammatoire pour une durée de 2 semaines (Brufen 600 avec protection gastrique en réserve). Nous continuons les investigations avec une IRM du coude qui sera effectuée fin janvier ainsi qu'un ENMG ulnaire le 14.02.2019. Nous reverrons Mr. Y une fois ces examens effectués. D'ici là, maintien de l'arrêt de travail à 20% jusqu'au 16.02.2019. Nous évoquons des céphalées intermittentes chez un enfant asymptomatique et en état général excellent. Devant l'absence de signes de gravité (céphalées persistantes et intenses, réveil nocturne, altération de l'état général), nous proposons la poursuite des antalgiques et nous donnons des consignes de surveillance à domicile en proposant un contrôle chez le pédiatre dans 48 heures si céphalées persistantes +/- consilium ophtalmologique.Nous évoquons des difficultés de la prise des antibiotiques probablement du côté parental. Éducation parentale sur les gestes et sous la suspicion d'une mauvaise tolérance digestive de Co-Amoxicilline, on prescrit en alternance la Clarithromycine au cas de persistance de symptômes digestifs. Nous n'avons pas d'arguments en faveur d'une allergie à l'Amoxicilline. Nous évoquons des difficultés de réhydratation et alimentaires dans un contexte d'une amygdalectomie. Après avis ORL, poursuite d'antalgie et consultation ORL si état fébrile ou péjoration de la douleur. Nous évoquons des douleurs abdominales chroniques en persistance avec suivi par sous-spécialités et suivi gastro-pédiatrique depuis plusieurs années. Devant l'absence de signes de gravité avec un enfant asymptomatique, nous autorisons le retour à domicile. Mail envoyé à Dr. X pour la poursuite de la prise en charge et contact à prendre avec les parents. Nous évoquons des douleurs abdominales isolées intermittentes sans autres signes associés. Devant l'état général excellent, nous autorisons le retour à domicile et nous donnons des consignes de surveillance à domicile avec consultation aux urgences si crises douloureuses en répétition, douleurs intenses, réveil nocturne, vomissements associés, altération de l'état général. Nous évoquons des pleurs de nourrissons avec un état général excellent sans signes d'alerte. Nous proposons un traitement avec Mycostatine pour un muguet débutant et nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (état fébrile, altération de l'état général, vomissements, anorexie). Nous évoquons des vomissements sans signes de gravité. Nous suspectons des vomissements rosés aussi d'origine mécanique. Parallèlement, nous suspectons une allergie alimentaire. Nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (hématémèse, saignement actif, douleurs importantes, altération de l'état général). Consignes de surveillance alimentaire et poursuite des antistaminiques. Nous évoquons un épisode de fausse route sans arguments en faveur d'une détresse respiratoire active ni d'une pneumonie vu la durée courte depuis l'épisode et l'état général excellent. Nous trouvons une angine virale avec IVRS associée. Nous donnons des consignes de surveillance à domicile pour surveillance respiratoire et contrôle chez le pédiatre si état fébrile > 48 heures ou aux urgences si péjoration respiratoire, gêne respiratoire évoluant ou état général altéré. Nous évoquons un état fébrile sans foyer chez un nourrisson < 3 mois avec un état général excellent. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique et contrôle aux urgences pédiatriques pour réévaluation clinique dans 24 heures. Explication en détail des signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences plus tôt (altération de l'état général, refus alimentaire, vomissements, pleurs). Nous évoquons un état grippal sans signes de gravité. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique avec consignes de réhydratation. Proposition pour contrôle ophtalmologique et traitement antalgique pour les céphalées intermittentes. Explication des reds flags et contrôle chez le pédiatre si haute fréquence de céphalées ou changement du caractère des céphalées. Éviction des activités. Nous évoquons un faux croup léger associé à une angine virale. Betnesol et consignes de surveillance. Signes de gravité expliqués en détail. Nous évoquons un syndrome grippal avec angine virale associée sans signes de gravité. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique avec consignes de réhydratation. Vu les épisodes d'état fébrile en répétition mensuellement depuis une année, nous proposons la poursuite d'une consultation rhumatologique avec Dr. X après discussion avec son pédiatre traitant. Nous évoquons un syndrome grippal sans signes de gravité. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique et contrôle chez le pédiatre dans 3 jours si état fébrile persistant. Nous évoquons un traumatisme crânien simple avec plaie crânienne occipitale. Après 5 heures de surveillance aux urgences, nous avons une évolution favorable sans péjoration de l'état général ni vomissements en répétition. Nous donnons des consignes de surveillance à domicile écrites et nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Ablation d'agrafes chez le pédiatre dans 5 jours. Nous évoquons un traumatisme crânien simple sans signes de gravité associé à une gastro-entérite aiguë sans signes de déshydratation. Après une surveillance clinique aux urgences d'évolution favorable, nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique et nous donnons des consignes de surveillance écrites à domicile. Nous évoquons un 1er épisode de pyélonéphrite chez un nouveau-né > 3 mois avec état général excellent. Nous proposons la poursuite des antibiotiques per os avec du Podomexef pendant 10 jours et consultation aux urgences si péjoration de l'état général, fièvre persistante > 3 jours, vomissements. Organisation d'une échographie rénale dans 1 mois par le pédiatre. Nous évoquons un 1er épisode d'une crise convulsive fébrile associée à un rhume. Nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter de nouveau aux urgences (multiples épisodes dans la journée, déficit neurologique, altération de l'état général) et nous donnons des consignes de surveillance à domicile. Nous proposons un contrôle chez le pédiatre dans 48 heures si état fébrile persistant. Nous évoquons une angine à streptocoque avec état général excellent. Nous mettons en place une antibiothérapie avec Pénicilline et des antalgiques en réserve. Nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Nous évoquons une angine virale associée à un état grippal avec un état général rassurant. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique et nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Contrôle chez le pédiatre dans 3 jours si état fébrile persistant pour contrôle clinique. Nous évoquons une angine virale associée à une rhinite purulente. Nous proposons un traitement symptomatique et contrôle chez le pédiatre dans 48 heures si état fébrile persistant. Nous évoquons une angine virale avec état grippal sans signes de gravité. Nous proposons un traitement symptomatique avec consignes de réhydratation. Nous évoquons une angine virale avec mauvaise tolérance de la fièvre. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique et nous expliquons en détail les signes de gravité (troubles de la conscience, mouvements anormaux, altération de l'état général). Nous évoquons une angine virale avec otite droite débutante. Vu l'échec des AINS pendant 24 heures, nous mettons en place une antibiothérapie avec Amoxicilline et antalgiques en réserve en expliquant les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Consultation aux urgences si état fébrile > 3 jours dès le début des antibiotiques ou altération de l'état général. Nous évoquons une angine virale avec stomatite aphteuse associée à une otite droite malgré la prise des AINS X3/jour. Nous mettons en place un traitement avec Amoxicilline et nous donnons des consignes de réhydratation à domicile en expliquant les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Nous évoquons une angine virale avec une IVRS associée. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique et des consignes de réhydratation à domicile. Vulvite à traiter avec traitement local avec du Kamilosan.Nous évoquons une angine virale avec une IVRS sans signes de gravité. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique et contrôle chez le pédiatre si EF > 5 jours ou aux urgences si altération de l'état général. Concernant les douleurs thoraciques lors de la toux, nous estimons qu'il s'agit de douleurs musculaires (pas d'arguments pour pneumothorax, ni myocardite : pas de tachycardie, ni des douleurs thoraciques spontanées, pas de dyspnée), nous proposons un traitement symptomatique et si péjoration de douleurs, consultation aux urgences pédiatriques. Nous évoquons une angine virale. Nous proposons la poursuite des antalgiques à domicile avec consignes de réhydratation. Consultation aux urgences si altération de l'état général, si troubles de réhydratation ou douleurs abdominales importantes. Nous évoquons une angine virale sans signes de gravité. Nous donnons des consignes de surveillance à domicile et consultation aux urgences si signes de gravité présents (torticolis, refus réhydratation, gêne respiratoire ou suspicion d'allergie antibiotique). Contrôle chez le pédiatre prévu dans 6 jours. Nous évoquons une aphtose-angine virale sans signes de gravité ni de signes de déshydratation. Nous proposons la poursuite de la réhydratation à domicile avec des antalgiques en systématique et nous expliquons en détails les signes de gravité et les indications de consulter de nouveau aux urgences (refus réhydratation, diminution de la miction, altération de l'état général). Nous évoquons une APLV probable chez un enfant en état général rassurant. Bilan biologique rassurant et analyse parasitaire de selles en cours. Contrôle chez le pédiatre dans 48 heures pour réévaluation clinique et si symptômes persistent pour > 2 semaines discussion de consilium gastro-pédiatrique. Nous évoquons une bronchiolite associée à une angine virale et une otite débutante. Proposition d'un traitement symptomatique avec consignes de réhydratation et explication en détails de signes de gravité. Contrôle à prévoir chez le pédiatre dans 24 heures. Nous évoquons une bronchiolite de composition spastique avec un état général excellent. Nous proposons la poursuite des nébulisations du Ventolin et contrôle clinique chez le pédiatre dans 2 jours. Nous expliquons en détails les signes de gravité qui peuvent faire consulter l'enfant aux urgences. Nous évoquons une bronchiolite modérée avec troubles alimentaires et bon état général. Vu l'état général rassurant, malgré les troubles alimentaires, nous proposons la poursuite du fractionnement alimentaire et contrôle aux urgences pédiatriques dans 24 heures. Consultation aux urgences plus tôt si péjoration respiratoire ou refus alimentaire. Nous évoquons une bronchiolite modérée avec troubles alimentaires et état respiratoire stable et rassurant. Vu l'âge et les troubles alimentaires en péjoration, avec une prise alimentaire limite, nous proposons un contrôle aux urgences pédiatriques < 24 heures pour réévaluation pondérale et clinique +/- hospitalisation en fonction de la prise alimentaire. Nous expliquons en détails les signes de gravité qui peuvent faire consulter l'enfant plus tôt aux urgences. Nous évoquons une bronchiolite modérée avec troubles alimentaires. Nous proposons la poursuite d'un fractionnement alimentaire avec toilettes nasales régulières (non efficaces à domicile, du coup éducation de la mère) et contrôle aux urgences pédiatriques dans 24 heures pour réévaluation clinique. Consultation en urgences si vomissements en répétition, refus alimentaire ou péjoration respiratoire avec altération de l'état général. Hospitalisation si signes de gravité ou épuisement maternelle. Nous évoquons une bronchiolite modérée chez un nouveau-né < 3 mois né à terme sans facteurs de risque. Vu l'absence de signes de gravité, nous proposons le fractionnement alimentaire avec détails de consignes alimentaires (limites alimentaires et fractionnement alimentaire) et consignes de surveillance. Consultation aux urgences si péjoration respiratoire, troubles alimentaires, vomissements ou altération de l'état général. RDV prévu aux urgences pédiatriques dans 24 heures vu l'âge. Nous évoquons une bronchiolite modérée sans signes de gravité avec une angine virale. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique avec explication de signes de gravité et contrôle chez le pédiatre dans 48 heures pour réévaluation clinique. Nous évoquons une bronchiolite modérée sans troubles alimentaires sans objectiver d'apnées après les toilettes nasales efficaces aux urgences. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique, stop Axotide et Ventolin avec fractionnement alimentaire si diminution de la prise alimentaire et toilettes nasales régulières et efficaces et surtout pré-prandiales. Explication de signes de gravité en détails avec les consignes de surveillance à domicile. Contrôle aux urgences pédiatriques dans 24 heures. Nous évoquons une bronchite légère avec évolution favorable après l'administration du Ventolin associée à une angine virale. Nous proposons la poursuite du Ventolin à domicile aux 4 heures et puis aux 6 heures et dès demain au besoin avec la poursuite du Betnesol pour une durée totale de 3 jours. Concernant l'angine virale, nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique. Nous évoquons une bronchite modérée associée à une angine virale et une otite débutante. Nous proposons la poursuite du Ventolin aux 3 heures et du Betnesol avec traitement symptomatique et AINS systématiques. Contrôle chez le pédiatre (déjà prévu) dans 24 heures. Nous évoquons une bronchite modérée RSV +. Amélioration après l'administration de la série du Ventolin et évolution favorable. Nous proposons la poursuite du Ventolin aux 4 heures et du Betnesol et contrôle aux urgences pédiatriques (absence du pédiatre) dans 24 heures pour contrôle clinique vu la saturation limite. Consultation aux urgences plus tôt si péjoration d'état respiratoire ou altération de l'état général. contrôle du 23.01: Dr. X : amélioration de la respiration, pas de tirage à domicile. Traitement donné Ventolin 4 push aux 4h. Afébrile depuis la visite d'hier. Persistance de la toux grasse. A pas beaucoup mangé mais a bu le lait. Urine normale en fréquence et aspect. Pas de selles. Selon maman amélioration. Suivi ce jour par Ventolin / 4h puis demain selon nécessité et Betnesol à continuer ce jour et demain. Suivi chez le pédiatre. EC: Cardio: B1/B2 régulier sans souffle, pouls perçus aux 4 membres. FC 140/min respiratoire: eupnéique, bonne entrée d'air bilatéral symétrique, pas de bruits surajoutés, pas de tirage. Saturation 95-96%, FR 35/min. Nous évoquons une bronchite virale légère sans signes de gravité associée à une angine et une IVRS. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique avec du Ventolin en réserve et contrôle chez le pédiatre dans 48 heures pour réévaluation clinique. Contrôle aux urgences si péjoration respiratoire ou altération de l'état général (état septique, bronchite surinfectée). Nous évoquons une conjonctivite réactionnelle post-traumatique. Après avis ophtalmologique, nous proposons la poursuite d'une antibiothérapie locale et consignes de surveillance données pour surveillance à domicile.Nous évoquons une conjonctivite réactionnelle post-traumatique. Nous proposons un traitement avec larmes artificielles, crème oculaire cicatrisante, gouttes antibiotiques et consignes de contrôle aux urgences et consilium ophtalmologique si symptômes > 3 jours ou céphalées ou douleurs oculaires importantes. Nous évoquons une convulsion fébrile simple associée à une angine virale. Nous proposons un traitement symptomatique et nous rassurons les parents et nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Nous évoquons une érosion probable sans signes de gravité. Nous proposons, après avis ophtalmologique, la poursuite d'un traitement avec Floxal, larmes artificielles, Vitamine A oculaire et contrôle ophtalmologique si symptômes > 48 heures ou péjoration de l'état général. Nous évoquons une gastro-entérite aiguë légère sans signes de déshydratation. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique et nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (persistance de vomissements, refus de réhydratation). Nous évoquons une gastro-entérite aiguë sans signes de déshydratation avec angine virale avec état général rassurant. Nous proposons la poursuite de la réhydratation orale. Consultation aux urgences si réhydratation orale inefficace ou altération de l'état général. Nous évoquons une gastro-entérite aiguë sans signes de déshydratation et une rhinopharyngite avec un état général excellent. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique avec explication des signes de gravité en détail. Nous évoquons une gastro-entérite aiguë sans signes de déshydratation. Nous donnons des consignes alimentaires et de réhydratation. Nous évoquons une gastro-entérite aiguë sans signes de déshydratation. Nous expliquons en détail tous les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (si vomissements persistants et diarrhées avec refus de réhydratation orale ou altération de l'état général) et toutes les consignes de surveillance à domicile. Nous évoquons une gastro-entérite aiguë sans signes de déshydratation. Nous proposons la poursuite de la stimulation alimentaire et contrôle clinique chez le pédiatre dans 48 heures. Consignes données concernant les signes de gravité (refus alimentaires, vomissements en répétition, état fébrile, méléna). Nous évoquons une gastro-entérite aiguë sans signes de déshydratation. Nous proposons la poursuite des antalgiques et nous donnons des consignes de réhydratation et consignes alimentaires à domicile. Nous évoquons une gastro-entérite aiguë sans signes de déshydratation. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique et nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (vomissements en répétition, altération de l'état général, refus de réhydratation). Nous évoquons une gastro-entérite sans signes de déshydratation avec état général excellent et enfant asymptomatique lors du contrôle. Nous proposons la poursuite de la réhydratation orale à domicile avec consignes de réhydratation, explication des signes de gravité et consultation aux urgences si altération de l'état général, refus de réhydratation, vomissements incoercibles. Nous évoquons une gastro-entérite virale sans signes de déshydratation associée à une rhinopharyngite virale avec un état général excellent. Reconsulter si échec hydratation, vomissements incoercibles, débâcle de selles ou péjoration de l'état général. Nous évoquons une gastro-entérite virale sans signes de déshydratation avec un état général excellent. Reconsulter si échec hydratation, vomissements incoercibles, débâcle de selles ou péjoration de l'état général. Nous évoquons une gastro-entérite aiguë sans signes de déshydratation avec une IVRS et une angine virale. Nous proposons un traitement symptomatique avec explication en détail des consignes de réhydratation orale et nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Nous évoquons une grippe intestinale sans signes de gravité. Poursuite de consignes de réhydratation à domicile avec traitement antalgique. Nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences de nouveau. Nous évoquons une IVRS avec angine virale et otite bilatérale. Nous mettons en place une antibiothérapie avec Amoxicilline vu l'échec des AINS pendant 24 heures (> 2 ans). Toilettes nasales à poursuivre et contrôle chez le pédiatre dans 3 jours si état fébrile persistant. Nous évoquons une IVRS avec angine virale sans signes de gravité. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique et nous donnons des consignes de réhydratation. Nous évoquons une IVRS avec gastro-entérite aiguë sans signes de gravité. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique et nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Nous évoquons une IVRS avec otite bilatérale débutante. Nous proposons la poursuite de toilettes nasales et d'AINS pendant 48 heures et contrôle clinique chez le pédiatre dans 2 jours. Nous évoquons une IVRS avec otite droite débutante. AINS pendant 48 heures avec traitement symptomatique et contrôle chez le pédiatre si otalgie persistante. Nous évoquons une IVRS avec une angine virale sans signes de gravité. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique et contrôle chez le pédiatre dans 72 heures si état fébrile persistant ou péjoration respiratoire. Nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Nous évoquons une IVRS sans signes de gravité. Nous proposons un traitement symptomatique et nous donnons des consignes alimentaires et de réhydratation. Nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (détresse respiratoire, refus alimentaire). Nous évoquons une myosite virale post-infectieuse sans signes de gravité. Nous proposons un traitement symptomatique avec antalgiques, réhydratation et consignes de surveillance données à domicile (hématurie, douleurs importantes). Nous évoquons une otite bilatérale avec rhinite purulente malgré la prise d'Algifor. Nous mettons en place une antibiothérapie avec Amoxicilline et toilettes nasales et contrôle chez le pédiatre si fièvre ou otalgie > 3 jours. Organisation d'un consilium ORL si otites persistantes. Nous évoquons une otite débutante droite avec rhinopharyngite associée. Vu l'échec des AINS, nous mettons en place un traitement avec Amoxicilline et toilettes nasales régulières avec contrôle ORL à préconiser vu les otites en répétition. Nous évoquons une otite droite résistante à l'Amoxicilline et une angine virale associée à une IVRS. Alternance avec Co-Amoxicilline, consignes de réhydratation et contrôle clinique si état fébrile persistant > 3 jours après l'administration de Co-Amoxicilline pour contrôle auriculaire. Nous évoquons une otite droite résistante à l'Amoxicilline. Nous n'avons pas d'arguments en faveur d'une pneumonie ni d'autres foyers infectieux, hormis une bronchite virale et une mauvaise tolérance de l'état fébrile sans troubles hémodynamiques. Nous alternons l'antibiothérapie pour Co-Amoxicilline 80 mg/kg/j, nous proposons la poursuite des antalgiques et le Ventolin au besoin. Contrôle clinique chez le pédiatre dans 24 heures pour réévaluation clinique. Nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences.Nous évoquons une otite gauche perforée avec angine à streptocoque et impétigo du visage. Nous proposons la poursuite de l'antibiothérapie avec Co-Amoxicilline 50 mg/kg/j déjà débutée avec consignes de surveillance et contrôle chez le pédiatre à la fin du traitement et contrôle ORL si otites en répétition. Consultation de nouveau aux urgences si altération de l'état général, persistance de vomissements, ou écoulement ou otalgies persistantes >3 jours après le début de l'antibiothérapie. Nous évoquons une otite gauche perforée sans signes de gravité. Nous mettons en place une antibiothérapie avec Amoxicilline et contrôle chez le pédiatre dans 10 jours à la fin du traitement. Si épisodes fébriles récurrents en répétition sans foyer retrouvés, discussion avec le pédiatre pour contrôle rhumatologique. Nous évoquons une otite gauche sous antibiothérapie depuis <48 heures associée à une angine érythémato-pulsée. Nous proposons la poursuite de la réhydratation et l'antalgie. Contrôle chez le pédiatre dans 48 heures si état fébrile persistant (otite persistante ou état fébrile vu l'angine virale associée). Nous évoquons une otite purulente bilatérale avec échec des AINS. Nous mettons en place une antibiothérapie per os avec Amoxicilline et contrôle aux urgences dans 72 heures si état fébrile ou otalgie persistante (probable résistance à l'Amoxicilline qui évolue, à confirmer lors de cet épisode). Consultation en urgence plus tôt si altération de l'état général. Nous évoquons une plaie surinfectée sans signes systémiques. Nous proposons la poursuite d'un traitement antibiotique local avec mesures de désinfection. Contrôle chez le pédiatre dans 48 heures et retour aux urgences si état fébrile, douleur à la marche ou état fébrile. Nous évoquons une possible pneumonie virale débutante en raison de la légère détresse respiratoire et la présence de râles crépitants bilatéraux, bien qu'il n'y ait pas d'état fébrile mesuré. Nous recommandons au père de mesurer la température en cas de doute et le rendons attentif aux éléments pour lesquels il faut reconsulter. Nous évoquons une réaction anaphylactique grade 3 d'évolution favorable. Éducation sur les signes de gravité et les consignes de surveillance et de poursuite d'un traitement antistaminique pendant 5 jours pour éviction des effets secondaires. Éducation sur l'usage d'Epipen. Retour à domicile après 3h de surveillance aux urgences (6 heures après le début de l'épisode) avec consignes de consultation allergologique pour réalisation de tests cutanés. Nous évoquons une réaction anaphylactique stade 3 d'évolution favorable après la prise thérapeutique. Poursuite des antihistaminiques à domicile en expliquant les signes de gravité et les consignes de surveillance à domicile. Après contact avec sa pédiatre, contrôle clinique dans 48 heures et poursuite des bilans allergologiques larges. Concernant la tendance à la constipation, nous proposons la poursuite de suppositoires de Bulboïd et puis consultation chez la pédiatre pour la poursuite de la prise en charge. Parallèlement, concernant la constipation sous-jacente, nous avons une évacuation de selles satisfaisante et nous donnons des consignes alimentaires, Bulboïd en réserve et contrôle chez la pédiatre. Nous évoquons une rhinite claire sans signes de gravité avec un état général excellent. Nous proposons la poursuite du traitement avec des toilettes nasales régulières. Nous expliquons les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences et nous donnons des consignes de surveillance en détail à domicile. Nous évoquons une rhinite obstructive avec otite droite débutante. Traitement symptomatique avec AINS en systématique et contrôle chez le pédiatre dans 24 heures pour examen auriculaire. Nous évoquons une torsion testiculaire gauche partielle. Prise en charge urologique et transfert à l'hôpital Daler ou prise en charge chirurgicale par Dr. X (équipe chirurgicale de l'Hôpital de Fribourg occupée au bloc opératoire). Nous excluons un déficit neurologique et organisons un rendez-vous avec un traducteur pour réaliser une anamnèse et un statut plus complet. Nous excluons une origine infectieuse au vu de l'absence de sang et de fièvre, ainsi que l'absence de syndrome inflammatoire. Au vu de la clinique stable du patient et de l'absence de signe de souffrance hépatique ni de cholestase, nous laissons rentrer le patient avec un traitement symptomatique, avec proposition de consulter le médecin traitant dans les meilleurs délais pour suite d'investigation. Nous expliquons à la patiente après un bilan urinaire, que nous n'avons pas d'arguments pour une atteinte infectieuse sur le plan urinaire ou gynécologique. Concernant le statut post-opératoire, un saignement anal est anamnestiquement exclu et le statut est rassurant. Nous réassurons la patiente en lui montrant les signes de gravité possibles en cas de complication post-chirurgicale, notamment douleurs et état fébrile, écoulements. La patiente est invitée à consulter son gynécologue en cas de persistance des pertes vaginales, qui restent à l'heure actuelle minimes et non inquiétantes. Nous expliquons à la patiente et à sa famille la chirurgie à savoir une reconstruction du MPFL avec médialisation de la TTA et libération latérale. La patiente travaille actuellement comme fille au pair. Elle doit s'organiser pour trouver une date opératoire. Elle commence un apprentissage en août comme ASSC et souhaiterait être opérationnelle pour débuter cet apprentissage. Elle est informée des nécessités d'avoir une période de 3 mois postopératoires d'arrêt de travail avant de commencer. Ils vont réfléchir à la situation et reprendre contact avec nous pour une date. Nous expliquons à la patiente la corrélation radio-clinique entre la myélopathie chronique due certainement à cette contusion médullaire basse D11-D12 et ses symptômes. Afin de mieux comprendre la cinétique et le côté encore actif ou non de cette myélopathie ainsi que pour optimiser le traitement antalgique pour des douleurs neuropathiques insoutenables, nous allons organiser une hospitalisation à but antalgique nous permettant aussi de compléter le bilan avec une nouvelle IRM de la colonne dorso-lombaire avec des séquences STIR ainsi qu'un PET SUV. Nous montons dès ce jour la thérapie de Lyrica à 2x75 mg. Nous expliquons à la patiente la possibilité de pratiquer une cyphoplastie D12 avec cimentoplastie D11 préventive en cas de récidive des douleurs ou d'une incapacité fonctionnelle. Pour l'instant, la patiente souhaite une thérapie conservatrice. Prochain contrôle radioclinique à 3 mois de la fracture. Nous expliquons à la patiente la possibilité de soulager ses douleurs et d'agir de manière préventive sous forme d'une chirurgie par ALIF L5-S1 nous permettant une décompression ainsi qu'une stabilisation de ce niveau et un redressement de la lordose. Une chirurgie de décompression simple avec herniectomie présenterait un risque important de récidive d'hernie ainsi que des douleurs lombaires chroniques sur un segment dégénéré sans lordose et avec un anneau fibreux si ouvert. La patiente reçoit les explications concernant l'intervention et reçoit le consentement pour réflexion et signature. La patiente nous demande également la possibilité de faire une correction de hernie ombilicale durant le même temps opératoire, nous devons encore voir la possibilité de réaliser cela. Nous expliquons à la patiente la possibilité d'une contusion médullaire avec symptomatologie résiduelle sur canal cervical étroit probablement déjà constitutionnel. Nous organisons donc une IRM dans les plus brefs délais avec séquences STIR et la reverrons le jour même. Dans l'intervalle, mise en place d'une minerve mousse et prescription de Lyrica.Nous expliquons à la patiente l'atteinte facettaire avec épanchement et arthrose hypertrophique L4-L5 mais aussi L5-S1 sur une cyphotisation avec dos plat sur les derniers segments adjacents à la spondylodèse. Du point de vue clinique, nous n'avons aucun doute quant à ces syndromes facettaires malgré la réponse thérapeutique mitigée de l'infiltration et dénervation facettaire L4-L5. De plus, Mme Y ayant été au repos durant 2 semaines suite à ce geste, nous ne pouvons pas juger de son véritable effet sur sa vie quotidienne habituelle. Sur le plan chirurgical, nous lui conseillerions un release postérieur et ablation des facettes dans un premier temps puis ALIF L4-L5 et L5-S1 afin de regagner une lordose lombaire et spondylodèse par voie postérieure avec connexion aux anciennes tiges dorso-lombaires, ceci dans le même temps opératoire. Au vu de la lourdeur de cette intervention, la patiente souhaite un 2ème avis ce que nous encourageons. Dans l'intervalle, nous organisons une infiltration facettaire L5-S1 bilatérale. À noter qu'avant toute opération, nous souhaiterions aussi tester les articulations sacro-iliaques par infiltration diagnostique dans un 3ème temps. Nous reverrons la patiente après le 2ème avis pour nous faire part de sa décision définitive. Nous expliquons à la patiente l'importance de faire un contrôle IRM afin d'exclure une compression cervicale du côté D ainsi que pour comprendre par des séquences STIR la nature des fractures lombo-sacrées. Cet examen est particulièrement important pour la fracture D12, étant à la charnière dorso-lombaire et présentant une atteinte du plateau inférieur. Prochain contrôle suite à ces IRM. Dans l'intervalle, nous optimisons le traitement antalgique. À noter que nous ne pouvons pas prescrire de Miacalcic, celui-ci étant en rupture de stock. Nous expliquons à la patiente notre doute sur une compression dynamique au niveau du segment adjacent L5-S1 raison pour laquelle nous proposons une myélographie fonctionnelle chez le Dr X sous hypnose ce qui permettra également de compléter avec un scanner lombo-sacro-iliaque nous permettant de voir l'état osseux au niveau des anciennes fixations sacro-iliaques bilatérales. Nous reverrons la patiente après ce geste afin de discuter des résultats. Si ce résultat devait s'avérer négatif sans altération, nous pourrons proposer un traitement pour un possible syndrome piriforme du côté gauche ou alors des infiltrations diagnostiques sacro-iliaques gauches. Nous expliquons à la patiente notre suspicion de coxarthrose active du côté gauche raison pour laquelle nous l'adressons à la consultation du team hanche afin de juger de l'importance de cette composante sur ses douleurs actuelles. Des douleurs résiduelles ne sont pas exclues d'un côté neuropathique raison pour laquelle nous augmentons légèrement le traitement de Lyrica à 2x75 mg sachant que les dermatomes concernés L4 et L5 semblent libres. Le traitement physiothérapeutique est à poursuivre ainsi que de la natation qui serait à débuter. Nous reverrons la patiente dans 6 semaines pour un contrôle relativement rapproché une fois l'évaluation par nos collègues de la hanche déjà faite. Nous expliquons à la patiente notre suspicion d'une origine mixte à ses douleurs, à la fois dans le contexte d'un syndrome sacro-iliaque G et d'une sténose foraminale L3 et L4 G. Le rendez-vous pré-réservé ce jour pour l'infiltration sacro-iliaque G est confirmé. Nous la reverrons dans 2 à 3 semaines pour refaire le point. En cas de persistance des douleurs, une éventuelle infiltration à but diagnostique et thérapeutique pourra être envisagée au niveau lombaire. Nous expliquons à la patiente notre suspicion plutôt d'un syndrome facettaire au niveau lombaire mais aussi au niveau cervical. Pour l'instant, au niveau cervical nous préconisons une prise en charge conservatrice avec des séances de physiothérapie, renforcement musculaire et piscine et pour le niveau lombaire, nous pensons également que cette maladie de Scheuermann avec des discopathies décrites sur plusieurs étages peuvent être à l'origine de ses problèmes. Au vu de l'absence de douleur radiculaire, nous nous concentrons plutôt sur la facette et attendons les images effectuées au centre d'imagerie Rodiag afin de décider d'une éventuelle infiltration facettaire sous scanner. Nous recontacterons la patiente une fois les images visualisées afin de compléter cette proposition de thérapie et la reverrons 2 à 3 semaines suite à ce geste que nous organiserons chez le Dr X. Nous expliquons à la patiente qu'au vu du syndrome facettaire présent lors de l'évaluation du jour ainsi que de la légère distraction facettaire en L2-L3 et en L3-L4 suite à cette fracture et un changement anatomique provoqué par l'opération, nous allons tester ces facettes par le biais de 2 infiltrations consécutives dans un intervalle de 10 jours à 2 semaines afin d'évaluer lequel des niveaux est le plus atteint. Selon les résultats de ces deux gestes, nous reverrons la patiente pour discuter d'une instrumentation postérieure par voie per-cutanée afin de rajouter la stabilité nous permettant d'enlever le corset que la patiente doit encore porter lorsqu'elle se met en position debout. Nous expliquons à la patiente que les symptômes du traumatisme qu'elle a subi, avant sa nouvelle présentation aux urgences ce jour, peuvent persister durant quelques jours et qu'ils devraient être traités de manière symptomatique. Le fait que la patiente soit enceinte et obèse avec une immobilisation depuis 48 heures et une douleur aux mollets, nous motive à faire un bilan sanguin qui montre des D-dimères négatifs. La patiente sera reconvoquée pour l'IRM le 11.10.2019 en ambulatoire et sera ensuite revue à la consultation du Dr X. Nous expliquons à la patiente que sa symptomatologie ne fait pas penser à un problème de drainage ventriculo-péritonéal vu l'absence de céphalée, nausée, trouble visuel ou symptôme postural. Malgré ceci et comme la patiente souhaite un suivi chez nous, nous allons organiser un scanner cérébral de base et récupérer les scanners ainsi que le dossier à Berne afin de mieux comprendre l'évolution. D'autre part, en ce qui concerne son problème sphinctérien anal qui pourrait aussi être en lien avec une dégradation progressive des racines de la queue de cheval secondaire au myéloméningocèle, nous allons également demander les documents à Berne et juger la pertinence de refaire une IRM de la colonne dorso-lombaire. Nous reverrons la patiente par la suite pour discuter de la suite de la prise en charge mais lui conseillons pour l'instant la poursuite de la physiothérapie pelvienne comme jusqu'à présent. Nous expliquons à la patiente qu'en phase hyper-aiguë, avec des douleurs ayant repris depuis un jour seulement, il nous est impossible de faire la part entre un étirement musculaire avec surcharge de physiothérapie ou à une réapparition de la radiculopathie L4 D. Nous proposons donc 2 semaines de repos avec physiothérapie douce uniquement afin de mieux évaluer l'évolution. Elle nous appellera après cette période en cas de persistance des douleurs afin d'organiser une nouvelle infiltration foraminale L4 D sous CT. Nous expliquons à la patiente sa clinique de claudication neurogène dépendant surtout de la racine L5 mais impliquant également très probablement les racines L4 et S1. Cette pathologie pourrait mériter une intervention chirurgicale afin de soulager les douleurs et améliorer le périmètre de marche. Mme Y étant toutefois très fragile psychologiquement et ayant besoin du soutien de sa famille pour prendre une décision, nous lui laissons donc une période de réflexion et restons à disposition pour fixer un nouveau rendez-vous en présence de sa fille pour lui exposer les détails de cette potentielle intervention de décompression.Nous expliquons à Mme. Y l'importance de prendre en charge ses multiples problèmes de manière systématisée. Concernant les douleurs cervicobrachiales proximales, nous proposons une infiltration foraminale C5 D sous CT à but diagnostique et thérapeutique. Pour ce qui est de la parésie qui reste d'origine incertaine mais qui est en cours d'amélioration, nous prions à nouveau le Neurocentre de bien vouloir convoquer la patiente. Sur le plan des douleurs lombaires basses, prescription de physiothérapie pour hygiène posturale et renforcement musculaire. Prochain contrôle à la suite de ces divers examens. Nous expliquons à Mr. Y que le seul geste pouvant encore être pratiqué serait une thermoablation facettaire sous scanner à effectuer ddc sur les deux niveaux. Le patient est d'accord pour ce geste qui se déroule sous anesthésie locale et est donc adressé au Dr. X qui organisera ce geste dans les meilleurs délais. Nous reverrons le patient par la suite pour le suivi clinique. Nous expliquons à notre patient les cas parfois difficiles au niveau du drainage qui doit être suffisant pour améliorer les symptômes de l'hydrocéphalie à pression normale diagnostiquée au préalable mais aussi pas trop agressif afin de ne pas entraîner des hématomes sous-duraux secondaires. Au vu de l'amélioration globale de son état sans symptôme suggestif d'une aggravation de l'hydrocéphalie, nous interprétons cette reprise des ventricules comme étant ex-vacuo dans le contexte de l'atrophie ainsi que du comblement des espaces sous-duraux par le cerveau mais programmons par sécurité un contrôle radioclinique dans 3 mois afin de mieux comprendre la cinétique de la taille de ces ventricules. S'il s'avère que dans 3 mois le patient développe des signes cliniques d'hydrocéphalie ou radiologiquement une augmentation des ventricules encore, nous pourrions réfléchir à un réajustement de la valve de 2.5 à 2. Nous restons à disposition en cas de nouveau déficit ou d'aggravation. Nous expliquons à notre patient l'importance de pratiquer une IRM de la colonne cervicale ainsi que des RX f/p en flexion/extension afin de bilanter une éventuelle hernie voire autres troubles dégénératifs de la colonne cervicale. En ce qui concerne sa colonne lombaire, nous allons également compléter le bilan par des nouvelles RX f/p lors de la prochaine consultation, à savoir que ce problème semble ne pas être au premier plan à l'heure actuelle. Nous adressons notre patient au team genou afin de bilanter ces gonalgies qui sont devenues chroniques. Nous expliquons à notre patiente la possibilité de pratiquer un geste de cimentation de cette vertèbre en cas de progression des douleurs ou de cyphotisation du niveau ce qui ne semble pas être le cas à l'heure actuelle. La patiente se décide pour un traitement conservateur pour le moment raison pour laquelle nous fixons un rendez-vous dans 6 semaines et conseillons la patiente de nous recontacter plus rapidement en cas d'augmentation des douleurs ou de nouveau déficit. Entre temps, une ostéodensitométrie sera effectuée le 06.02.2019 pouvant aussi contribuer à une prévention de future fracture ou d'une aggravation de la fracture actuelle. Nous expliquons à notre patiente le côté diagnostique de cette infiltration et confirmons donc notre très forte suspicion clinique de syndrome sacro-iliaque D. Nous proposons maintenant une série d'infiltrations sacro-iliaque D par Curavisc puis la reverrons suite à ces gestes. Dans l'intervalle, nous adressons la patiente au team membre supérieur en raison d'une suspicion de syndrome de la coiffe avec omalgies D. Nous expliquons à notre patiente l'impression de claire clinique radiculaire C7 gauche sans clair substrat anatomique du point de vue de l'image IRM ainsi que sur les radiographies obliques. Au vu de cette discrète discordance, nous demandons à nos collègues du Neurocentre de réaliser un ENMG avec des études de conduction nerveuse nous permettant de confirmer ou d'infirmer ce diagnostic d'atteinte C7 gauche. Entre temps, nous optimisons le traitement médicamenteux avec de la Dexaméthasone en schéma dégressif, du Lyrica 3x25 mg ainsi qu'une minerve mousse à porter surtout la nuit et demandons à notre collègue, le Dr. X, selon le souhait de la patiente, de la convoquer pour un 2ème avis. Nous reverrons la patiente une fois le bilan complet et suite au 2ème avis pour une suite de prise en charge éventuelle dépendant des résultats. Si l'ENMG s'avère positif, une chirurgie pourra s'en suivre sur le niveau concerné. Si celui-ci n'est pas concluant, la patiente devra prendre une décision tenant compte du fait qu'une éventuelle opération n'aurait pas la même possibilité/garantie de succès. Nous expliquons à notre patiente notre suspicion de diagnostic d'une maladie du segment adjacent avec une myélo-radiculopathie débutante en C6-C7, raison pour laquelle nous organisons une IRM de la colonne cervicale. Si celle-ci s'avère dans la norme, nous resterons sur un diagnostic de contusion voire tension musculaire avec un traitement adapté du point de vue médicamenteux et physiothérapeutique. Nous reverrons la patiente après cet examen. Nous expliquons au patient cette nouvelle trouvaille qui se démontre pour l'instant asymptomatique. Avec l'accord du patient, nous proposons un suivi dans une année avec des radiographies colonne lombaire f/p. Le patient nous recontactera avant la date prévue en cas de nouveaux symptômes ou douleurs réfractaires au traitement instauré. Nous expliquons au patient la possibilité d'une intervention par ALIF L4-L5 avec discectomie, herniectomie et pose d'une cage. Mr. Y est d'accord avec cette proposition, préférant une solution plus définitive à la prise d'antalgie et aux infiltrations. Nous lui expliquons les enjeux d'une telle intervention, notamment le risque d'éjaculation rétrograde avec possible don de sperme (ce qu'il ne désire pas faire). Nous pré-réservons une date opératoire au 04.03.2019 et le reverrons auparavant pour confirmer cette intervention. Nous lui remettons d'ores et déjà le consentement éclairé. Nous expliquons au patient l'absence de raison anatomique pour une reprise chirurgicale et portons notre attention dorénavant sur le diagnostic différentiel et prise en charge de ces douleurs neuropathiques. Nous lui proposons une augmentation progressive du traitement de Lyrica à 2x 100 mg par jour voire 1x 75 mg le matin et 1x 100 mg le soir. Nous adressons le patient chez nos collègues du Neurocentre pour un avis spécialisé avec ENMG et éventuel changement thérapeutique. La dernière fois que le patient a eu un traitement de corticostéroïdes, il a fait une décompensation de son diabète et de ce fait, nous laissons une éventuelle infiltration péri-radiculaire sous scanner pour un 2ème temps en cas d'absence d'amélioration. Des séances de TENS seraient aussi à envisager en cas d'échec des autres traitements. À noter qu'une IRM post-opératoire avait déjà été faite ne montrant pas de compression L5 gauche ou de nouvelle hernie. A priori, une compression par du matériel discale de la racine L5 est donc écartée. Nous reverrons le patient le 07.03.2019 ou plus rapidement en cas d'absence d'amélioration, une IRM serait à considérer. Nous expliquons au patient l'avis donné par le Dr. X, orthopédiste de garde, et le procédé. Nous lui donnons une ordonnance pour une antalgie, de la physiothérapie. Il prendra rendez-vous chez le Dr. X pour un contrôle dans 3 semaines. Nous expliquons au patient les risques et bénéfices d'une aponévrotomie du 5ème rayon pour traitement de son Dupuytren à gauche ce que le patient accepte. Nous lui donnons le formulaire d'information et de consentement, qu'il pourra lire et signer dès 72 heures. Étant donné que le patient est sous traitement par Xarelto, nous lui proposons de refaire un bilan de santé chez son médecin traitant ou cardiologue afin d'écarter un quelconque risque opératoire.Nous expliquons au patient l'importance d'une PEC pluridisciplinaire, notamment orthopédique. Le patient comprend les risques et bénéfices de cette attitude. Malgré cela, il refuse une PEC spécialisée pour l'instant, il souhaite uniquement être soulagé pour ses douleurs. Au vu du contexte, nous expliquons au patient l'impossibilité de faire un diagnostic complet sans image récente mais nous basons tout de même sur les images de mai 2017 pour confirmer une arthrose pluri-étagée sans atteinte neurologique. A priori, il s'agit de douleurs d'allure arthrosique voire musculaire, très légères et bien supportées sans antalgie. Prescription de physiothérapie pour hygiène posturale et renforcement musculaire. Pas de nouveau contrôle prévu d'office, nous restons à disposition au besoin. En cas de nouvelle consultation, une nouvelle IRM de la colonne lombaire devrait être pratiquée au préalable. Nous expliquons au patient notre doute sur l'origine plurifactorielle de ses douleurs qui semblent quand même plutôt dépendantes de la partie distale du nerf sciatique. Les douleurs ne ressemblent pas à une claudication neurogène et sont unilatérales. Nous préconisons des exercices de renforcement de la musculature avec port d'un soulier Kuenzli pour améliorer sa mobilité. Nous le reverrons dans 3 mois. Nous vous demandons la possibilité d'arrêter le Sintrom afin de pratiquer, si nécessaire en cas d'aggravation des douleurs durant les prochaines semaines, une infiltration épidurale à but diagnostic. Nous gardons cette solution en deuxième possibilité en cas de ré-aggravation ou d'absence de réponse aux exercices prescrits. Un tel geste pourrait donc confirmer ou infirmer une origine canalaire lombaire pour ses douleurs. Nous demandons à nos collègues du team hanche de bien vouloir convoquer le patient afin de discuter des douleurs que présente le patient lors de la mobilisation surtout lors de la rotation externe de la hanche droite. Nous expliquons au patient que ces troubles dégénératifs pluri-étagés de la colonne peuvent expliquer ses douleurs lombaires chroniques mais ne donnent pas une indication à une rente ou indemnité à son absentéisme. Dans ce sens et au vu des douleurs, nous sommes d'accord avec vous pour un séjour en école du dos dans un milieu hospitalier pour une thérapie intensive de réhabilitation avec pour but une reprise professionnelle progressive dans son métier. Nous vous encourageons donc à organiser ce séjour afin de maximiser la thérapie conservatrice et encourageons également notre patient à essayer une reprise professionnelle progressive dans son métier. Une reconversion est pour nous difficile à juger et dépendra de la réponse de son employeur et du patient lui-même. D'autre part, nous complétons le bilan avec une IRM de la colonne lombaire avec séquences discales permettant d'évaluer l'état de vascularisation des disques et des noyaux pulpeux ainsi qu'avec des radiographies fonctionnelles afin de mieux visualiser les disques plus en souffrance pouvant éventuellement mériter une chirurgie de stabilisation en cas de douleurs réfractaires même à la thérapie maximale comprenant aussi un séjour hospitalier. Nous reverrons le patient par la suite. Nous expliquons au patient qu'il serait à notre avis bénéfique de réaliser une infiltration péri-radiculaire C7 G à but thérapeutique et diagnostique. Mr. Y souhaite toutefois y réfléchir quelques jours. Nous le reverrons donc mardi prochain et, dans l'intervalle, instaurons un traitement par Dexaméthasone. Nous expliquons encore une fois à notre patient la nature de cette pathologie dégénérative discale L5-S1 ainsi que la possibilité de reprise du travail à 50% pour 2 semaines puis reprise à 100% en cas d'absence de symptôme. Nous lui expliquons qu'en cas de récidive des symptômes ou de nouveau déficit, il faudra nous recontacter et nous pourrions envisager une thérapie plus conséquente soit sous forme de nouvelle infiltration soit sous forme de traitement chirurgical. Du fitness pour renforcement de la musculature ventrale et dorsale ainsi que des séances de pilates sont conseillées et encouragées. Nous expliquons les risques et bénéfices de l'intervention à la patiente ce qu'elle comprend et accepte. A noter que l'intervention se fera sans garrot, étant donné que la patiente a bénéficié d'un curage axillaire du côté gauche. Nous lui remettons le formulaire d'information et de consentement qu'elle nous remettre complété et signé dans les 72 heures. Au niveau de son épaule gauche, au vu de sa probable tendinopathie du sus-épineux débutante, nous lui prescrivons des séances de physiothérapie à but antalgique. Nous faisons de nouveaux plâtres redressant. Prochain contrôle clinique dans 1 semaine. Nous faisons une réduction et un plâtre avec le Dr. X, orthopédiste de garde. Nous expliquons à sa mère le risque de déplacement secondaire et la suite de traitement en policlinique d'orthopédie. Nous gardons Mr. Y en surveillance cardio-respiratoire. Durant son séjour, il ne présente pas de nouveau malaise et il reste stable sur le plan cardio-respiratoire. Au vu de l'enchaînement de l'évènement, de sa durée avec une rapide amélioration clinique, nous gardons le diagnostic de malaise vagal post-vomissement. Nous n'avons pas d'arguments anamnestiques ou cliniques pour une origine cardiaque ou neurologique. A noter la persistance de diarrhées durant son séjour avec un Rotavirus revenant positif dans les selles. L'alimentation est conservée ainsi que l'hydratation. Les conseils de réhydratation et de surveillance sont donnés à la sortie. Au vu de la surveillance rassurante, nous laissons Mr. Y rentrer à domicile le 22.01 avec conseil de reconsulter en cas de malaise différent ou prolongé ou en cas d'inquiétude parentale. Nous gardons Mme. Y hospitalisée pour prise en charge de ses douleurs abdominales. A la reprise de l'anamnèse, nous suspectons actuellement des douleurs principalement post-opératoires. Concernant les douleurs au préalable et suite à l'avis du Dr. X, un bilan sanguin élargi au niveau abdominal revient aligné. Au vu du statut post-opératoire, nous ne réalisons pas de Calprotectine, probablement élevée actuellement. En raison d'une carence martiale, nous introduisons un traitement par Maltofer le 11.01. Nous relevons également une composante fonctionnelle, Mme. Y présente en effet des douleurs plus importantes au moment de l'évocation de son départ à domicile avec angoisse concernant la gestion de ses douleurs à domicile. Elle présente une crise d'hyperventilation à la suite de l'ingestion d'agneau présent dans son repas alors qu'elle n'en mange pas, ce qui déclenche également des douleurs abdominales plus importantes. Dans ce contexte, Mme. Y est revue par le Dr. X qui l'a déjà suivie l'année passée et un suivi ambulatoire sera organisé après sa sortie. Au vu de la présence d'un kyste hémorragique au niveau de l'ovaire gauche et des règles décrites comme abondantes, Mme. Y est vue en gynécologie le 11.01 avec le Dr. X. Il est discuté de l'introduction de la pilule contraceptive pour diminuer les règles mais cela est refusé par la mère en raison d'un antécédent de thrombose chez la grand-mère. Au vu des douleurs à la palpation abdominale, un US n'est pas réalisé et Mme. Y sera revue dans 2 semaines en gynécologie. En raison de l'arrêt des besoins en Tramal dès le 10.01 et une antalgie par Dafalgan et Brufen suffisante, Mme. Y peut rentrer à domicile le 12.01.Nous gardons donc Mr. Y en surveillance dans le contexte d'hémorragie digestive haute et de besoin en oxygène sur IVRS. Sur le plan digestif, nous majorons son traitement de Nexium à 40 mg/jour et stoppons son alimentation habituelle. Ses apports hydriques sont compensés par du Normolytoral 1200 ml/jour continu par sa PEG. Nous objectivons des résidus avec vieux sang dans les premières 24 heures uniquement. La reprise d'une alimentation habituelle par Frebini graduellement dès le 22.01 est bien tolérée. Au vu de l'amendement rapide des symptômes et l'absence de signes d'anémie (tachycardie), nous n'effectuons pas de contrôle sanguin. Au niveau respiratoire, il nécessite de l'oxygène aux lunettes jusqu'au 21.01 et l'Atrovent est mis en réserve dès le 22.01. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile avec son traitement habituel (dont Nexium à 30 mg/jour). Au vu de l'apparition de l'hémorragie digestive haute juste après un épisode de bronchite spastique péri-infectieuse ayant nécessité Algifor et Betnesol, nous proposons d'augmenter le Nexium et d'introduire l'Ulcar au prochain épisode respiratoire similaire. Nous gardons la date opératoire du 04.02.2019 avec entrée la veille de l'opération et expliquons à nouveau ce geste à Mr. Y qui nous donne son accord. Nous gardons Mme. Y hospitalisée pour surveillance respiratoire et alimentaire. Sur le plan respiratoire, Mme. Y nécessite de l'oxygène aux lunettes dès le 20.01 et nous introduisons la médecine anthroposophique dès le 21.01. L'évolution est graduellement bonne avec un sevrage de l'oxygène le 22.01. Au niveau alimentaire, une sonde naso-gastrique est posée à l'entrée en raison de prises insuffisantes. Dès le 22.01, elle prend per os ses quantités habituelles et nous notons un poids stable durant son séjour. Mme. Y peut rentrer à domicile le 23.01 et nous conseillons un contrôle chez le pédiatre ou aux urgences en cas de difficultés alimentaires ou respiratoires. Nous gardons le pansement jusqu'au prochain contrôle chez le Dr. X avec le 27.12.2018 avec ablation des fils. Nous restons à disposition si nécessaire. Nous incisions l'abcès avec discret écoulement de pus. Puis, après rinçage et exploration, mettons en place la mèche susmentionnée qui sera enlevée demain en filière des urgences ambulatoires. Nous incisons l'abcès sous anesthésie locale avec beaucoup de pus après l'incision. Nous rinçons abondamment et mettons en place une mèche. Mme. Y peut regagner son domicile avec une antalgie par Dafalgan en réserve. Elle sera revue en filière des urgences ambulatoires le 06.01 pour un contrôle clinique et l'ablation de la mèche. Après l'ablation de la mèche, il faudra débuter les douches 3x/24h et Mme. Y prendra rendez-vous en policlinique de chirurgie pour un contrôle le 08.01.2019. Nous information Mme. Y qu'il faut du temps ainsi que des séances de physiothérapie pour la guérison, chose que nous prescrivons. D'un point de vue assécurologique, la symptomatologie étant consécutive à un choc direct, il s'agit bien entendu selon notre part d'un cas accident. Nous reverrons Mme. Y pour un contrôle clinique dans 3 mois. Nous informons à nouveau Mme. Y des mesures d'hygiène posturale et lui recommandons de ne pas soulever de poids lourds ni de pratiquer des activités traumatiques pour la colonne (course, équitation, etc.). Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois. Nous informons Mme. Y, accompagnée de son papa, qu'il est nécessaire de porter l'attelle 24/24h, et que si elle ne le fait pas, la fracture peut se déplacer et mal guérir. Confection ce jour d'une attelle thermoformée en ergothérapie, de type Edimbourg, avec le poignet libre et une syndactylie IV et V. Nous reverrons Mme. Y dans 1 semaine pour un contrôle radio-clinique et nous assurer qu'elle porte l'attelle. Nous informons Mme. Y de la procédure opératoire pour l'implantation primaire d'une prothèse totale de hanche. Mme. Y est informée du déroulement, des risques et des bénéfices, qu'elle accepte en signant le formulaire de consentement éclairé. L'opération se fera avec un protocole ERAOS. L'intervention est planifiée. Nous insistons sur l'importance de contrôler le site opératoire avec une IRM et injection de produit de contraste nous permettant de suivre une éventuelle re-croissance de la lésion. Pour cette raison, nous organisons dans les plus brefs délais un nouveau rendez-vous, cette fois-ci avec une IRM cérébrale au préalable. D'autre part, nous retenons l'importance de refaire un contrôle ophtalmologique et prions le secrétariat de nous en faire parvenir une copie. Nous indiquons également un contrôle endocrinologique vu le contact et la compression de la tige hypophysaire par cette lésion auparavant. Mme. Y a une alopécie d'origine incertaine et présente des troubles cutanés qui nous font suspecter des troubles hormonaux à investiguer. Une fois tous ces bilans effectués, nous reverrons Mme. Y à notre consultation pour discuter de la suite de la prise en charge. Nous instaurons un traitement avec physiothérapie pour renforcer les MID à débuter dès la 1ère semaine de février. Nous reverrons Mr. Y le 07.03.2019. Nous interprétons les douleurs et la tuméfaction dans le cadre d'une attelle rucksack trop serrée et suite à l'immobilisation. Nous proposons de desserrer l'attelle rucksack et surélever le bras au repos. Reconsulter en cas d'augmentation des douleurs ou de persistance. Nous interprétons les gênes de Mme. Y dans le contexte de constipation après l'accouchement. Un traitement symptomatique est installé. Nous interprétons les symptômes dans le cadre d'une broncho-aspiration probablement d'une cacahuète. Nous débutons une antibiothérapie avec Co-Amoxicilline 50 mg/kg aux 8h i.v. et du Solumedrol 2 mg/kg/j i.v. Au vu de l'impossibilité de transférer Mr. Y dans nos soins intensifs, nous transférons Mr. Y au CHUV pour une bronchoscopie et suite de la prise en charge. Nous interprétons les symptômes dans le cadre d'une convulsion fébrile avec diagnostic différentiel d'un ALTE. La possibilité d'une surveillance à l'hôpital pendant une nuit a été discutée avec les parents. Les parents préfèrent rentrer à domicile. Conseils en cas de convulsions fébriles donnés, Diazepam 5 mg en réserve donné à domicile. Reconsultation en cas de convulsions fébriles. Nous invitons Mme. Y à reconsulter en cas de réapparition des épigastralgies ou d'un état fébrile. Concernant les douleurs à l'hallux droit, elle prendra contact avec son médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Nous laissons Mr. Y rentrer à domicile, la suite de la prise en charge sera discutée au colloque d'orthopédie (ostéosynthèse versus traitement conservateur) et Mr. Y sera contacté dans les prochaines 48 heures pour suite de la prise en charge. Nous le reverrons dans 1 mois à Meyriez. Nous le reverrons dans 2 semaines pour refaire le point sur la situation. D'emblée, nous retenons une indication chirurgicale avec une amputation transmétatarsienne du pied D et une amputation épibasale de P1 des orteils 1-2 du pied G avec un débridement de l'ulcère du talon et mise en place d'un pansement VAC. Poursuite des soins locaux selon le protocole jusqu'au prochain contrôle. L'intervention est réservée pour le 26.02.2019. Nous le reverrons en juin pour un contrôle radioclinique afin d'évaluer la consolidation, en cas de doute nous organiserons un CT et nous discuterons d'une éventuelle AMO début août. Nous l'encourageons à effectuer la physiothérapie et à se sevrer progressivement de la semelle en carbone. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique.Concernant les douleurs articulaires au niveau des coudes, des poignets et des pieds, nous prions le service de rhumatologie de bien vouloir convoquer la patiente. Nous lui avons proposé de faire, dans les prochains jours, une mobilisation sous narcose pour forcer la mobilisation. L'opération est prévue pour le 03.01.2019. Elle doit voir l'anesthésiste en pré-opératoire. Nous lui conseillons de faire des exercices quotidiens afin de renforcer la musculature de soutien de la voûte plantaire, à savoir la mise sur la pointe des pieds ainsi que la marche sur la tranche des pieds. Nous le reverrons dans 6 mois pour un contrôle clinique. Nous lui expliquons qu'en cas de récidive des douleurs thoraciques, il doit consulter aux urgences et en parler à son médecin traitant s'il n'a pas de récidive d'ici là. Nous lui prescrivons de la physiothérapie avec charge progressive selon les douleurs, avec sevrage des cannes, renforcement musculaire et proprioception. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. Nous lui prescrivons de la physiothérapie avec proprioception et travail des chaînes musculaires profondes dans le but de diminuer les tensions de surcharge. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Nous lui prescrivons de la physiothérapie avec renforcement, proprioception et travail des amplitudes articulaires. Elle peut dès ce jour marcher en charge complète sans moyen auxiliaire. Nous lui prescrivons un anti-inflammatoire topique. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour renforcement du tibial postérieur, proprioception et Terra band à domicile. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. Nous lui prescrivons des séances de physiothérapie pour renforcement musculaire, stretching des ischio-jambiers et application de patchs de Fango. Thérapie anti-inflammatoire en réserve. M. Y reste encore à 50% pendant 1 mois. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Nous lui prescrivons des semelles avec appui pyramidal afin de corriger sa démarche. Nous lui proposons également de faire des exercices à domicile avec le Thera bande. Prochain contrôle clinique dans 1 année. Nous lui prescrivons du Voltarène Retard ainsi qu'une protection gastrique. Nous le reverrons le 16.01.2019 à Meyriez. Nous lui prescrivons une attelle en carbone type Ottobock pour 2 semaines. Nous la reverrons dans 2 semaines pour un contrôle clinique et pour voir s'il y a une amélioration des douleurs grâce à l'attelle. Poursuite de la physiothérapie. Prolongation de l'arrêt de travail à 50% jusqu'au prochain contrôle. Nous lui prescrivons une semelle en carbone à mettre dans les chaussures normales. Nous la reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. Nous lui prescrivons une semelle en carbone. Mobilisation en charge. Prochain contrôle radioclinique dans 4 semaines. Nous lui proposons soit des semelles avec une décharge à ce niveau soit une intervention chirurgicale. Comme il ressent également des douleurs au repos, il opte pour la solution chirurgicale. Nous lui expliquons les risques et les bénéfices de l'intervention à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. Nous maintenons le suivi en antalgie prévu. Elle sera revue le 15.01.2019 par le Dr. X. D'ici là, nous prions une nouvelle fois l'assurance invalidité d'effectuer une évaluation de cette patiente, qui ne pourra reprendre une activité professionnelle au 31.01.2019, date de la fin de prestation SUVA. Nous maintenons le traitement conservateur avec le port de l'attelle Edimbourg jusqu'au 28.01.2019, où elle sera revue pour un contrôle radiographique. Prolongation de l'arrêt de travail prolongé jusqu'à cette date. Nous mettons actuellement en évidence une hypoventilation alvéolaire nocturne significative en fin de nuit. Au vu de l'état encore asymptomatique de la patiente, nous proposons de la revoir à 3 mois pour une réévaluation clinique. Nous la rendons attentive aux symptômes d'une hypercapnie tels que céphalées matinales, fatigue, xérostomie et injections des conjonctives. Si la patiente devait présenter des symptômes cliniques avant notre prochain contrôle, nous vous prions d'avancer la consultation. En restant à votre disposition pour tout renseignement complémentaire, nous vous adressons, Monsieur et cher Collègue, nos meilleures salutations. Nous mettons en évidence des pieds plats bilatéraux réductibles et une discrète antéversion du col fémoral à D. Nous allons voir l'évolution et la reverrons dans 1 année pour un contrôle clinique. Nous mettons en évidence un déconditionnement du genou D avec une perte de masse musculaire. Nous essayons, dans un premier temps, de faire un bilan isosynétique par Biodex à but diagnostique et thérapeutique. Elle reprendra contact au besoin. Nous mettons en évidence un orteil en griffe. La patiente refuse toute intervention chirurgicale. Nous lui prescrivons donc une protection en silicone pour l'IPP. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition si nécessaire. Nous mettons en évidence une arthrose bilatérale du Lisfranc. Nous proposons, dans un premier temps, une infiltration du pied G. Si celle-ci est efficace, nous ferons une infiltration au niveau du pied D. En cas d'échec du traitement, nous l'informons qu'une arthrodèse du Lisfranc serait nécessaire. Nous la reverrons suite à l'infiltration. Nous mettons en évidence une légère persistance des douleurs probablement due à une légère surcharge. Nous ne proposons pas de thérapie pour le moment. Nous la reverrons dans 6 mois pour un contrôle clinique. Nous mettons en évidence une lésion en anse de seau avec une indication chirurgicale pour une refixation de cette dernière. Intervention prévue pour le 30.01.2019. Elle signe le consentement après avoir été informée des risques et des bénéfices. Nous mettons en évidence une persistance des douleurs au niveau du LFTA. Nous proposons donc une infiltration à but antalgique et diagnostique. Nous le reverrons 2 semaines après ce geste. Si l'évolution est favorable, nous ferons la même infiltration du côté contro-latéral. Nous mettons en place des traitements de médecine anthroposophique avec enveloppements. Sur le plan somatique, nous demandons avis auprès du Dr. X, neuropédiatre, qui confirme l'absence d'atteinte neurologique sous-jacente après examen complet. Les antalgiques ne sont pas utilisés lors de l'hospitalisation, et la douleur disparaît progressivement, avec une reprise des activités. Sur le plan psychosocial, Mr. Y vit avec ses 2 parents et ses frères et sœurs plus âgés. Il aime l'école et a de bonnes notes, il ne relève pas de problèmes avec ses pairs. À la maison, il décrit des tensions entre les frères et sœurs, surtout avec lui, étant le plus jeune. Il dit aussi que son père et ses frères et sœurs ne comprennent pas ses plaintes et se sent jugé. Nous le rassurons sur le plan somatique quant à l'absence de lésion anatomique, et proposons une poursuite de la médecine anthroposophique à domicile, avec un suivi régulier par Dr. X et Dr. X. Après discussion avec les parents et Mr. Y, il est décidé qu'il rentre à domicile le 23.01 avec des objectifs concernant l'utilisation de ses mains et poursuite du traitement anthroposophique. Il sera revu le 28.01 par le Dr. X, pneumologue. Nous mettons en place le drainage avec <10 cc de liquide séreux sombre. La patiente reviendra demain pour un contrôle clinico-biologique et un CT-scan thoracique. Le Dr. X devra être averti. À noter une insuffisance rénale aiguë AKIN 1 dans un contexte de déshydratation. Nous hydratons la patiente aux urgences et ferons un contrôle biologique demain également.Nous mettons en place un rhinorapide avec arrêt du saignement actif. Nous effectuons un laboratoire qui montre une hémoglobine à 139 g/l (137 g/l en juin 2018 à la sortie d'hospitalisation), un PTT à 50 et un INR à 2.4. Nous mettons en pause le Sintrom et il sera vu le 24.01.2019 à 11h chez le Dr. X, ORL. Nous mettons en place un traitement conservateur de la fracture mentionnée ci-dessus par réduction et mise en place d'un plâtre. Nous expliquons le risque de déplacement secondaire à sa mère qui prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans une semaine. Nous mettons en place une botte plâtrée circulaire avec une semelle de protection. Marche en décharge avec les cannes pour 8 semaines au total. Nous lui prescrivons des anti-inflammatoires, une protection gastrique et de la Clexane pour 8 semaines. Nous le reverrons à 8 semaines du traumatisme pour un contrôle radioclinique. Nous mettons les diarrhées sur le compte des effets secondaires de la chimiothérapie, probablement dans le cadre d'une mucite. Le patient présente des troubles électrolytiques et une insuffisance rénale aigue sur déshydratation dans ce contexte. Nous substituons le patient en K et Mg et mettons en place une hydratation iv. Le patient est transféré à Fribourg pour une hospitalisation dans ce contexte, par manque de place à l'HFR de Riaz. Nous mettons une surcorrection de l'hallux valgus qui peut expliquer l'impossibilité à se mouvoir. Nous lui prescrivons de la physiothérapie afin de voir si nous pouvons améliorer la symptomatologie. Nous la reverrons dans 1 mois pour un contrôle clinique. Si elle ne présente aucune amélioration, nous envisagerons une ostéotomie de correction. Nous ne notons pas de critère de gravité. Au vu d'une amélioration des symptômes depuis leur début, nous laissons le patient rentrer à domicile avec un traitement symptomatique. Consultation lundi 21.01.2019 chez son médecin traitant. Nous proposons de revoir un contrôle biologique y compris un sédiment urinaire. En cas de persistance de la microhématurie, un avis urologique serait à demander. Le patient reconsultera avant en cas de péjoration clinique. Nous ne notons pas de critère de gravité et laissons la patiente rentrer à domicile avec les propositions suscitées. Nous ne notons pas de critère de gravité mais au vu du contexte de son travail nous lui avons clairement signifié de ne pas conduire avant un bilan plus avancé. Le patient a signé une décharge de responsabilité. Un nouveau bilan cardiologique est recommandé, avec contrôle ECG de 48H au moins. Nous ne répétons pas le laboratoire. Nous conseillons à la patiente de poursuivre l'antalgie et l'antibiothérapie comme prescrit. Elle reconsultera si apparition de fièvre ou péjoration des douleurs. Nous ne sommes qu'à 2 semaines de la dernière infiltration au centre Ste-Thérèse. La patiente ne commence à ressentir les effets que depuis la veille, il est encore trop tôt pour se positionner. La patiente rapporte ressentir un bénéfice avec les séances de physiothérapie, ce que nous poursuivons avec une nouvelle série. Au vu de la situation, nous proposons un prochain contrôle clinique à la fin février. A savoir que Mme. Y est en vacances dès le 25.01.2019 jusqu'au 24.02.2019. Lors du prochain contrôle, l'éventuelle indication à une infiltration supplémentaire sera discutée. Nous ne visualisons pas de corps étranger sur la cornée, les sclères ou les paupières. Nous visualisons une anisocorie en faveur de l'œil droit, motivant l'appel à l'ophtalmologue de garde qui propose un contrôle à la polyclinique d'ophtalmologie de Fribourg dès 8h. Nous réalisons un pansement occlusif avec Floxal pommade pour l'œil gauche du patient. Nous n'effectuons pas de bilan sanguin en l'absence d'argument pour une origine inflammatoire, ni de radiographie, les douleurs semblant plutôt d'origine musculo-tendineuse. La patiente ne désire pas pour l'instant de bon de physiothérapie, disant ne pas avoir le temps pour cela. Nous discutons longuement des origines possibles de ces douleurs multiples, du stress et de sa gestion. Nous lui recommandons également, au vu de son importante perte de poids et de sa fatigue, de faire dans les prochaines semaines un bilan sanguin chez son médecin traitant. Nous n'objectivons pas de trouble de l'état de conscience aux urgences. Pas d'argument pour une encéphalopathie hépatique. L'ammoniémie est stable en comparaison aux valeurs précédentes. Nous ne posons pas l'indication pour une hospitalisation chez nous et nous réadressons la patiente au RFSM de Marsens. Départ en ambulance. Nous notons une évolution favorable de l'effraction cutanée du pied D. Du point de vue de la fasciite plantaire, l'évolution est stagnante. Nous lui recommandons donc de poursuivre la physiothérapie avec des US et du stretching à faire également à domicile. Nous lui conseillons de bien contrôler l'état cutané des orteils. Nous le reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. Nous notons une persistance des douleurs résiduelles au niveau du LFTA, surtout à G. Nous lui proposons une infiltration de cortisone. Poursuite de la physiothérapie avec renforcement musculaire et des exercices de stabilité. Nous le reverrons suite à ce geste. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'à fin janvier. Nous organisons un scanner afin de voir s'il y a une pseudarthrose du Mallet osseux et adressons le patient à la consultation du Dr. X pour suite de prise en charge. Nous organisons un US pour le 22.01.19 afin de confirmer une suspicion de kyste de Baker. Nous organisons une arthro-IRM pour le 16.01.2019 à 14h30 à la recherche de lésions de la coiffe des rotateurs. Il pourrait également s'agir d'un status post-luxation de l'épaule. Suite à cet examen, la patiente sera vue à la consultation du Dr. X, orthopédiste. Nous organisons une colonne lombo-sacrée avec des séquences STIR afin d'exclure une éventuelle fracture de fatigue pas encore visible sur les radiographies ou un éventuel conflit radiculaire, voire une sténose canalaire. Prochain contrôle à la suite de cet examen. Nous organisons une IRM afin de mieux définir l'origine de la masse. Nous lui faisons également une semelle de décharge plantaire. Nous la reverrons suite à cet examen. Nous organisons une nouvelle infiltration du LFTA afin d'essayer de diminuer la symptomatologie. Il peut reprendre le travail à 100% dès le 28.01.2019. Nous le reverrons suite à l'infiltration et à la reprise du travail. Nous organisons une prise en charge chirurgicale qui consistera à la mise en place d'une prothèse de la tête radiale ainsi qu'une ostéosuture du processus coronoïde. L'état du ligament collatéral ulnaire et ligament collatéral radial sera vérifié à ce moment. Si le coude reste instable, une deuxième incision contro latérale sera effectuée afin de stabiliser le ligament collatéral ulnaire. Nous expliquons à la patiente les risques et bénéfices de l'intervention qu'elle accepte en signant le formulaire d'information et de consentement. Nous posons donc le diagnostic de suspicion de syndrome douloureux rétro-trochantérien droit pour lequel nous organisons une infiltration et un traitement par physiothérapie. Il n'y a aucune autre raison de suspecter une irradiation radiculaire qui partirait du dos. Nous reverrons le patient par la suite. Nous posons donc l'indication à une AMO des deux pieds comme prévu. Les risques et les bénéfices lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. À noter, qu'au niveau des orteils 2-3 à D, nous mettons en place des Pip tree et sur le 5ème orteil, une ténotomie du long fléchisseur avec une fixation par broche. Nous posons donc l'indication opératoire à une AMO des rayons 2-3 avec une ré-ostéosynthèse de l'interphalangienne proximale cette fois-ci par broche percutanée pour 6 semaines. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe.Nous posons le diagnostic de céphalées de tension. Nous donnons à la patiente de l'antalgie et du Pantozol et un arrêt de travail. Contrôle chez le médecin traitant en début de semaine prochaine. Nous posons le diagnostic de contracture musculaire paravertébrale C2-C3 à droite après exclusion d'une lésion traumatique à l'aide du CT-scanner. Le patient peut donc rentrer à domicile avec un traitement par Sirdalud 4 mg et Diclofenac 75 mg et fixera un contrôle chez son médecin traitant la semaine prochaine. A noter que sa plaie frontale gauche évolue favorablement. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils en début de semaine prochaine. Nous posons le diagnostic de contusion de l'omoplate droite, après examen clinique et radiographie. Antalgie et contrôle chez le médecin traitant. Maintien du bras en bretelle pour repos pendant 3-4 jours. Antalgie donnée. Suite du traitement chez le médecin traitant dans 4-5 jours pour évaluation des douleurs et nécessité éventuelle de physiothérapie. Nous posons le diagnostic d'érysipèle. Nous préconisons de l'antalgie, des antibiotiques. Nous proposons une désinfection locale avec Merfen, 1x/jour. Si aggravation locale, rendez-vous aux urgences ou chez le médecin traitant. Contrôle chez le médecin traitant dans 7 jours. Nous posons le diagnostic susmentionné. Le patient après bilan, ne présente pas de critère de gravité et sa symptomatologie est en très bonne amélioration au cours de son séjour. Il peut donc rentrer à domicile en débutant le traitement prescrit par son médecin traitant. Il sera revu à sa consultation pour un contrôle clinique à une semaine. Nous proposons au médecin traitant d'organiser une OGD à distance. Consultation chez le médecin traitant à une semaine pour un contrôle clinique, et avant si péjoration clinique. Nous posons le diagnostic susmentionné pour lequel le patient reçoit une ordonnance pour une attelle Jeans adaptée à sa morphologie, ainsi que pour de la physiothérapie. Le patient sera revu à 3 semaines à la consultation orthopédique. A noter un INR suprathérapeutique pour lequel nous baissons sa dose de Sintrom. L'INR est à recontrôler à 48 heures chez le médecin traitant. Nous pouvons procéder à l'ablation du clou. Il souhaite cette intervention en été. Nous le reverrons donc en août pour planifier l'opération. Nous préconisons au patient d'opter pour une position plus ergonomique au travail. Nous prescrivons des anti-inflammatoires topiques la journée, accompagnés de Flector patch pour le soir. Il effectuera également des séances d'ergothérapie anti-inflammatoires, nous reverrons le patient dans 3 mois si les douleurs persistent, dans le cas contraire le patient annulera son rendez-vous. Nous préconisons de l'antalgie et des rinçages avec du Drossadin, et conseillons un rendez-vous chez le dentiste. Nous préconisons un traitement non-invasif par tout d'abord; l'égalisation de la longueur des membres inférieurs par une semelle de 6 mm à gauche et en enlevant celle de droite (après avoir effectué un podogramme). En outre, nous planifions une infiltration de la sacro-iliaque à gauche (19.02.2019). Prochain contrôle à la consultation. Nous préconisons une adaptation du chaussage avec une pointure supplémentaire des chaussures. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Nous préconisons une prise en charge opératoire. La patiente est présentée au Dr. X qui organise l'opération pour le 16.01.2019. Nous discutons avec elle d'une réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque. La patiente est prévenue des risques pré-opératoire et post-opératoire qu'elle accepte en signant ce jour le consentement. Nous prenons avis auprès de nos collègues neurologues (Dr. X) qui retiennent un probable AIT. Ils proposent une hospitalisation aux soins intensifs pour une surveillance neurologique, une IRM et un bilan étiologique (ETT, Holter). Après discussion avec nos collègues des soins intensifs (Dr. X), un transfert au CHUV est proposé au vu des comorbidités du patient. Nous contactons le neurologue de garde du CHUV qui propose un transfert aux urgences du CHUV en raison des symptômes atypiques du patient. Nous contactons le chef de clinique des urgences de médecine du CHUV qui accepte le transfert. Nous prenons contact avec la Dresse X, que la patiente a également appelée ce matin, pour la tenir au courant de l'épisode actuel. Devant l'évolution clinique satisfaisante, cette dernière propose alors de poursuivre le traitement antibiotique par Ciprofloxacine pour une durée totale de 7 jours. Elle propose également à la patiente de l'appeler le jeudi 24.01.2019 pour la tenir au courant de l'évolution clinique. Elle reconsultera par ailleurs les urgences en cas de péjoration des symptômes. Nous prenons contact avec nos confrères orthopédistes de l'HFR Fribourg, qui proposent un transfert de la patiente pour prise en charge opératoire chez eux. Nous adaptons la plaie avec des points de rapprochements. Départ de la patiente en ambulance. Nous prenons l'avis chirurgical du Dr. X qui propose de la Co-Amoxicilline 2.2 g iv aux urgences avec 1 cp de Novalgine 1 g. Elle rentre avec antalgie et reviendra demain pour une appendicectomie. Nous prenons l'avis de la Dresse X et expliquons au patient la nécessité de prendre l'antalgie ; le patient a un rendez-vous en ergothérapie le 22.01.2019. Nous prenons l'avis de la Dresse X, orthopédiste de garde. Nous désinfectons par Bétadine, posons un champage stérile, anesthésions en bague par Bicarbonate et Lidocaïne, incisons, drainons l'abcès (le corps étranger est sorti), rinçons abondamment au NaCl et appliquons un pansement. La Dresse X contacte la pédiatre de garde, qui propose d'administrer une dose d'Augmentin de 25 mg/Kg IV, puis Augmentin de 25 mg/Kg 2x/jour pendant 5 jours. Nous prescrivons AINS et antalgie au besoin. Le patient reviendra en filière des urgences ambulatoires pour un contrôle le 13.01.2019. Nous prenons l'avis de la Dresse X, orthopédiste de garde. Nous enlevons le Penrose, désinfectons, rinçons et appliquons un pansement. Une dose de Co-Amoxicilline 1.2 g IV est administrée aux urgences. Nous conseillons de changer le pansement tous les 2 jours (Mepore Pro). La patiente prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour l'ablation des fils dans 2 semaines. La patiente sait quand reconsulter les urgences. Nous prenons l'avis de la Dresse X, psychiatre de garde, qui propose une hospitalisation au RFSM Marsens. Elle est d'accord que le patient s'y rende accompagné de ses proches. Nous prenons l'avis de l'ORL de garde, le Dr. X, qui prescrit de la crème Diprogenta en cas de tuméfaction. Il verra la patiente à sa consultation cette semaine pour la suite de la prise en charge. Vu qu'il n'y a actuellement pas de signe infectieux ou inflammatoire, un geste en urgence n'est pas indiqué. Nous prenons l'avis du Dr. X qui ne préconise pas d'imagerie au vu du status neurologique dans la norme. Nous donnons la feuille de surveillance post-TC à la patiente et elle reconsultera en cas de symptômes nouveaux. Le laboratoire ne montre pas de perturbation des tests hépatiques et le sédiment urinaire ne montre que 3-5 érythrocytes/champs. En raison des douleurs basithoraciques gauches nous effectuons une radiographie du thorax qui ne montre pas de pneumothorax. La plaie est désinfectée, rincée et explorée sous anesthésie locale. Nous ne voyons pas de corps étranger, la plaie est nette. Nous la suturons avec 7 points simples avec fil d'Ethylon 4.0. La patiente consultera son médecin traitant pour contrôle à 48 h et retrait des fils à 7 jours.En ce qui concerne l'hypertension, la patiente descend jusqu'à 174 mmHg de systolique. Nous la mettons sur le compte du choc émotionnel et ne la traitons pas aux urgences. Au vu de l'anamnèse familiale positive pour une hypertension artérielle, nous conseillons à la patiente un suivi chez son médecin traitant. Nous prenons l'avis du Dr. X, orthopédiste, concernant la plaie. Nous effectuons une désinfection de cette dernière, un rinçage au NaCl, Prontosan gel, Adaptic, pansement simple. Arrêt de travail donné. Un contrôle est prévu à la consultation du Dr. X, orthopédiste, le mercredi 23.01.2019. Nous prenons l'avis du Dr. X, orthopédiste, et nous faisons un plâtre cruropédieux sous MEOPA. Antalgie AINS. Nous donnons la feuille de surveillance pour le syndrome des loges, avec explications. Mme. Y rentre à domicile avec un rendez-vous en policlinique orthopédique dans une semaine, cannes avec décharge. Chaise roulante et arrêt du sport. Nous prenons l'avis du Dr. X, chirurgien, et du Dr. X, orthopédiste, qui préconisent la réalisation d'un CT cérébro-cervical qui ne montre pas de saignement cérébral ni de fracture. Nous rassurons la patiente qui présente ensuite une normalisation du statut neurologique avec une force à M5 aux 4 membres. Nous lui prescrivons une antalgie et lui mettons une minerve en mousse pour confort. Elle consultera son médecin traitant pour contrôle dans la semaine. Nous prescrivons à la patiente de la physiothérapie avec SensoPro pour garder la mobilité du genou et faire un reconditionnement musculo-articulaire. Nous ne fixons pas de prochain rendez-vous mais restons à disposition. Nous prescrivons à la patiente des séances de physiothérapie douce avec massages à but antalgique au niveau lombaire. Il ne faut pas encore débuter de physiothérapie intensive au vu des multiples comorbidités actives de la patiente. Nous prévoyons un contrôle précoce à la fin février afin de juger de l'évolution. Des éventuelles infiltrations facettaires à but de soulager une éventuelle hyper-distraction facettaire sur rebalancement post-chirurgical pourraient être envisagées lors du prochain rendez-vous en cas d'absence d'amélioration. Nous prescrivons à la patiente des séances de physiothérapie selon schéma San Antonio. Poursuite de l'arrêt de travail à 100 % jusqu'au 17.02.2019 avec reprise à 50 % dès le 18.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Nous prescrivons au patient des séances de physiothérapie pour drainage lymphatique, sevrage progressif des cannes, proprioception et renforcement musculaire. Le patient est autorisé à reprendre progressivement le sport selon tolérance. Les sports de pivot et contact pivot sont encore à éviter. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois. Nous prescrivons au patient des séances de physiothérapie pour massage des trigger points, relâchement musculaire, assouplissement, proprioception et renforcement du quadriceps. Prochain contrôle clinique dans 4 mois. Nous prescrivons au patient une ordonnance pour une attelle Edimbourg prenant le 4ème et le 5ème rayon de la main à D, qui sera confectionnée en ergothérapie. Le patient ne désire pas d'intervention chirurgicale. Prochain contrôle radio-clinique dans 5 semaines. Nous prescrivons au patient une ordonnance pour une attelle thermo-formée, qui sera confectionnée en ergothérapie et nous lui conseillons de la porter régulièrement. Reprise du travail le 21.01.2019. Prochain contrôle radio-clinique dans 5 semaines. Nous prévoyons un prochain contrôle dans 6 mois. Nous faisons également parvenir une copie au secrétariat d'oncologie et de radio-oncologie afin que le patient puisse être convoqué pour une évaluation et qu'ils nous donnent les éventuelles possibilités thérapeutiques pour ce patient. Le patient apportera à nos collègues soit de l'oncologie soit de la radio-oncologie les rapports d'histopathologie reçus par l'université de Bâle car nous ne les avons pas à notre disposition. Nous procédons à une désinfection, un rinçage et mettons en place un pansement Ialugen et compresse. Suite chez le médecin traitant avec changement du pansement, tous les 3 jours, pendant 2 semaines. Antalgie donnée. Nous procédons au constat de coup. La patiente n'ayant aucun souvenir de la soirée, nous lui proposons un contrôle gynécologique afin de compléter le constat, ce qu'elle accepte. Elle quitte donc les urgences pour se rendre à l'HFR Fribourg. Elle ne veut pas d'antalgie. Les événements datant d'il y a 48h, nous ne procédons pas à une recherche de toxiques notamment pas de recherche de GHB possible. Nous proposons à la maman de faire un agenda alimentaire pour Mr. Y et revoir ce dernier avec le pédiatre. Nous proposons à la patiente de débuter un traitement conservateur. L'attelle velcro est relayée par une attelle articulée à porter jour et nuit pendant 6 semaines avec mobilisation du genou en extension pour 1 semaine supplémentaire puis augmentation progressive des amplitudes articulaires limitées à 0-30° pour 2 semaines, 0-60° pour 2 semaines supplémentaires, puis libre. En parallèle, la patiente débutera également un traitement en physiothérapie. L'arrêt de travail est prolongé à 100 % jusqu'au 11.01.2019 avec reprise à 50 % dès le 12.01.2019 et ce jusqu'au prochain contrôle. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Nous proposons à la patiente de faire un consilium avec les urologues, elle sera convoquée dès que possible. Nous proposons à la patiente de faire un contrôle chez son médecin traitant pour effectuer un ECG et évaluer l'évolution clinique avec l'introduction du nouveau traitement. Au vu de l'insuffisance rénale de la patiente, nous proposons un contrôle de la créatinine et de la fonction rénale à 1 semaine. Nous proposons à la patiente de reconsulter son gynécologue pour la prise en charge d'une probable infection vaginale ainsi que pour un bilan des MST plus précisément de Chlamydia et gonorrhée. Nous proposons également une reconsultation à notre consultation ambulatoire en cas de non amélioration des symptômes dans les 3 jours malgré le traitement antibiotique. Nous proposons à la patiente de revenir si elle présente à nouveau des céphalées insupportables ou inhabituelles. Nous lui proposons également de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle. Une investigation des céphalées chez un neurologue pourrait être envisagée par la suite. Nous proposons à la patiente de revenir si elle présente à nouveau une dyspnée. Nous proposons également de prévoir une consultation chez un pneumologue et éventuellement de prévoir une polysomnographie. Nous proposons à la patiente de revenir si elle présente des céphalées inhabituelles à nouveau. Nous proposons de prévoir un contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine et de faire un contrôle de la thyroïde et du glucose dans le sang. Nous proposons à la patiente de revenir si elle présente toujours de la fièvre ou des douleurs. Nous lui proposons de faire un contrôle en gynécologie pour les pertes blanches en augmentation, la patiente présente peut-être une mycose vaginale ou autre IST. Nous lui proposons d'appeler les urgences à 48h pour obtenir le résultat de la culture d'urine.Nous proposons à Mme. Y de voir son gynécologue dans les meilleurs délais. Culture d'urine à piste. Mme. Y doit appeler dès le 14.01.2019 pour avoir le résultat de la culture d'urine. Nous proposons à son médecin traitant de réaliser une recherche de Mycoplasme et d'évaluer à nouveau la recherche d'IST. Nous proposons à Mme. Y d'effectuer un constat de l'abus sexuel qu'elle a subi par notre équipe de gynécologie et encourageons Mme. Y à porter plainte, ce qu'elle accepte. Nous effectuons également un constat de coups. Parallèlement, nous informons Mme. Y des possibilités d'accompagnement qu'offre l'état de Fribourg, avec une communication des numéros de téléphone de la LAVI et de Solidarités Femmes. Concernant les dorsalgies, au vu d'une absence de fracture visible dans les imageries, nous proposons à Mme. Y une antalgie et du repos, avec une diminution des entraînements de fitness et diminution des poids d'altère. Une reprise du sport au niveau initial sera possible après les séances de physiothérapie. Nous proposons à Mme. Y un arrêt de travail à 100% de 30 jours à compter de sa sortie de l'hôpital d'Interlaken ainsi qu'un dernier contrôle radio-clinique dans 1 mois afin d'exclure une progression des tassements. Dans l'intervalle, poursuite du traitement conservateur avec repos (pas de sport, pas d'effort ni de port de charge). Nous proposons à Mme. Y un nouveau contrôle avec IRM cérébrale dans 6 mois, afin d'exclure une éventuelle nouvelle croissance secondaire de la lésion. En cas de croissance d'au moins 2-3mm par année, l'indication à une crâniotomie pour exérèse préventive de la lésion devra être envisagée. Nous proposons à Mme. Y une opération au vu d'une rotation pathologique et d'une fracture déplacée mise en évidence à la radiographie. Mme. Y refuse cette proposition et préférerait un traitement conservateur. Après explications des risques à Mme. Y, nous immobilisons le membre par attelle Édimbourg et Mme. Y sera revue en orthopédie le 22.01.2019. Nous proposons à Mr. Y de contacter les anciens partenaires des 60 derniers jours afin de leur expliquer la possibilité d'infection à Chlamydia. Nous proposons à Mr. Y de débuter un traitement en physiothérapie. L'arrêt de travail est prolongé jusqu'au prochain contrôle. Prochain contrôle clinique dans 4 à 6 semaines. Nous proposons à Mr. Y de poursuivre le renforcement musculaire et la rééducation dans l'axe. À terme et à distance de la chirurgie bariatrique, ce patient serait candidat à une prise en charge chirurgicale de sa lésion du LCA. Prochain contrôle dans 5 mois. Nous proposons à Mr. Y de prévoir un suivi en ambulatoire chez un urologue pour les problèmes de prostate. Nous proposons à Mr. Y de réaliser une nouvelle IRM de son genou G afin d'évaluer la plastie du LCA. Prochain contrôle après l'IRM. Nous proposons de • adaptation du traitement des IECA et des béta-bloquants • compléter le bilan diagnostique avec une échographie transthoracique. • discuter d'une réhabilitation cardio-vasculaire Nous proposons de débuter la physiothérapie pour la stabilisation musculaire et renforcement musculaire. Pas de mouvement de pivot. Nous reverrons Mme. Y pour un prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Arrêt de travail à 50% jusqu'au prochain contrôle. Nous proposons de faire une infiltration au niveau TMT 4-5 du pied G. Nous la reverrons suite à ce geste. Nous proposons d'organiser une échocardiographie à distance. Nous proposons la réalisation d'une nouvelle IRM lombaire afin d'exclure une compression radiculaire. Si cela n'est pas le cas, nous débuterons un traitement par Lyrica ou Neurontin afin de traiter les douleurs neuropathiques persistantes. Nous proposons le suivi chez Dr. X, généticien, rendez-vous pris pour le 5.02.19. Nous proposons qu'un laboratoire de suivi des tests hépatiques avec bilirubine, Gamma-GT et lipase soit réalisé par son médecin traitant d'ici 10 jours à 3 semaines. Consultez les urgences en cas de récidive des douleurs. Nous proposons un contrôle de la plaie dans 10 jours chez le médecin traitant et un contrôle du pacemaker à 4-6 semaines chez Dr. X. Nous proposons un prochain contrôle début mars avec CT cervical afin de visualiser une guérison de la fracture. Afin d'améliorer la guérison sous traitement conservateur, nous prescrivons un traitement de Calcium et Miacalcic 1x/jour sauf contre-indication du médecin traitant. Nous proposons un suivi clinique à 48h au secteur ambulatoire des urgences afin d'exclure un début de cholécystite ou passage de lithiase. Nous proposons un suivi par les endocrinologues de l'HFR Fribourg pour l'hypertension • rendez-vous le Mercredi 06.03.2019 à 16.00h • un suivi du HbA1c est recommandé chez le médecin traitant EEG et consultation chez Dr. X le 23.04.2019 à 07h45. Le patient sera convoqué chez Dr. X pour ablation de la sonde JJ à G sous 3 mois • la demande est formulée au secrétariat de Dr. X de transmettre le rapport opératoire à Dr. X. Nous proposons un suivi régulier de Mr. Y chez Dr. X jusqu'à son opération de rétablissement de la continuité le 08.02.2018 avec des laboratoires réguliers pour les électrolytes (Na, K, Phosphate, Magnésium) et ses reins, car il perd beaucoup par sa stomie. Mr. Y se plaint de douleur au pied G et il a un œdème à ce pied, nous proposons des bas de contention et des antidouleurs, mais il ne souhaite pas de bas. Nous proposons de voir l'évolution avec Dr. X. Mr. Y refuse un suivi ambulatoire psychologique, à rediscuter avec lui après sa sortie. Dr. X m'informe que les pertes par la stomie doivent rester en dessous de 1500 ml, autrement la nécessité de reposer une sonde nasogastrique serait à réévaluer. Il sera suivi régulièrement par la diabétologie et la diététique. SUIVI • Antenne 5 des SAD (passage 1x7 jours pour soins de stomie et contrôle de santé), 1er rendez-vous le 18.12.2018 à 13h30 • diète ambulatoire: 21.12.2018 à 15.00 au HFR Fribourg • suivi ambulatoire diabétologique (convocation sera envoyée à la maison): 20.12.2018 en consult diabétologique infirmière • 21.12.2018 à 13h30 chez son médecin traitant Dr. X à Cottens avec laboratoire (Na, K, Creat, Urée, Phosphate, Magnésium) • diététique ambulatoire le 8.01.2019 avec Dr. X à 10h Fribourg 7ème étage • 09.01.2019 prise de sang à 13h et CT scan thoraco-abdominal à 14h au HFR Fribourg • 09.01.2019 à 15h30 Fribourg cantonal avec Dr. X 7e étage pour la nutrition • 15.01.2019 à 14h consultation oncologique chez Dr. X au HFR Fribourg • 24.01.2019 à 9h30 discussion pour l'opération avec la chirurgie HFR Fribourg chez les chefs des cliniques • 08.02.2019 opération pour rétablir la continuité. Nous proposons un traitement chirurgical, ce que Mme. Y accepte. Opération le 29.01.2019. Mme. Y sera contactée par l'anesthésiste. Nous restons à disposition pour les antalgies. Nous proposons un traitement conservateur dynamique avec séances de physiothérapie pour hygiène posturale, maintien de la balance scapulaire et pelvienne et équilibrage dorsal au centre de Courtepin. Au vu du peu de bascule de la ceinture scapulaire et de l'équilibre de la ceinture pelvienne, le pronostic reste favorable sous ce traitement. Nous reverrons Mme. Y pour un contrôle radioclinique (avec orthoradiogramme) dans 6 mois. Nous proposons une correction chirurgicale de l'hallux valgus. À G, nous pouvons le faire en mini-invasif avec un allongement du 1er rayon pour égaliser avec le 2ème rayon. À D, nous pouvons également le faire en mini-invasif avec une ostéotomie de raccourcissement sur le 2ème rayon.Comme le patient ne parle pas très bien français et ne comprend pas tout, nous le reverrons dans 1 semaine avec un traducteur. • Nous proposons une correction chirurgicale de l'hallux valgus ddc selon le souhait du patient. A G, cure d'hallux valgus en mini-invasif avec allongement du premier rayon pour égaliser avec le deuxième rayon. A D, cure d'hallux valgus en mini-invasif avec ostéotomie de raccourcissement épibasale d'environ 5 mm sur le deuxième rayon et fixation ensuite par une plaque et des vis. Le patient est informé de l'intervention, des risques et bienfaits pour lesquels il signe un consentement éclairé. • Nous proposons une infiltration à but diagnostique et thérapeutique du LFTA. Nous le reverrons à la suite de ce geste pour juger de l'évolution. • Nous proposons une infiltration foraminale de la racine L5 G sous CT et reverrons la patiente suite à ce geste. Dans l'intervalle, poursuite de la physiothérapie. Prescription également d'une aide ménagère à raison de 2h 1x/semaine. • Nous proposons une plastie d'inversion aponévrotique du tendon d'Achille G éventuellement avec un renforcement par ténodèse du flexor hallucis longus. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. • Nous proposons une radiographie de contrôle au patient, lequel l'a refusée. Il ne souhaite plus continuer le traitement concernant le poignet, il nous dit vouloir accepter le status court. Par conséquent, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. • Nous proposons une 2ème infiltration que le patient fera dès que possible. Dans l'intervalle, nous l'encourageons à poursuivre les séances de physiothérapie même s'il n'en voyait pas un réel bénéfice. Incapacité de travail au vu de son métier de magasinier manutentionnaire est maintenue à 100% jusqu'à la prochaine infiltration. • Nous rassurons Mr. Y et son papa sur l'absence de signe parlant en faveur d'une lésion ligamentaire ou osseuse sur la base de l'examen radio-clinique. Nous conseillons au patient de modérer encore ses activités pour 2 semaines et de poursuivre le traitement symptomatique. Pas de nouveau contrôle prévu d'office, nous restons à disposition au besoin. • Nous rassurons la mère de la patiente en lui expliquant que ce processus est physiologique et souvent accentué à la période de la 3ème-4ème année. Nous lui expliquons également qu'avec la croissance cela va très certainement se corriger progressivement. Si toutefois il devait y avoir un geste chirurgical à faire, la mère est informée que ce geste devrait avoir lieu au début de l'adolescence et pas avant. Nous ne prévoyons pas de rendez-vous de contrôle, mais restons à disposition si besoin. • Nous rassurons la patiente par rapport à la bonne évolution sur le plan algique. Nous lui expliquons qu'elle a toutefois besoin d'un travail physiothérapeutique pour récupérer à 100% la fonction du MS G. Nous la motivons à reprendre une activité professionnelle à 50% dès le mois de février. En cas de récidive des douleurs ou apparition d'un nouveau déficit, un geste chirurgical de discectomie C6-C7 voire foraminotomie par voie postérieure pourrait être envisagé ou une nouvelle infiltration réalisée. Pas de nouveau contrôle d'office prévu, nous restons à disposition au besoin. • Nous rassurons la patiente par rapport à la stabilité/guérison de cette fracture suite au traitement conservateur. Nous préconisons donc un abandon total de la minerve. Au vu du Pannus C2 visible au CT du mois de juillet, nous organisons encore une IRM cervicale afin d'exclure une possible sténose foraminale des différentes racines impliquées voire médiane centro-médullaire puis reverrons la patiente pour un dernier contrôle. • Nous rassurons la patiente quant à l'absence de récidive de ce méningiome et prévoyons un nouveau contrôle dans un an avec une nouvelle IRM cérébrale. En ce qui concerne son hypersudation avec alopécie, nous rappelons encore une fois l'importance d'un rendez-vous en endocrinologie assez urgent avec contrôle de tous les axes hypophysaires. Le suivi ophtalmologique annuel doit également être repris. Nous restons à disposition en cas de nouveau symptôme ou déficit. • Nous rassurons la patiente sur la bonne évolution clinique et restons à disposition en cas de récidive des douleurs ou de nouvelle péjoration du déficit moteur. Sinon, pas de nouveau contrôle prévu d'office. Nous conseillons la poursuite de l'électrostimulation et de la physiothérapie. Nous lui conseillons aussi de nager et de faire du vélo d'appartement pour reprendre une activité physique. Sur le plan professionnel, reprise du travail à 100%. • Nous rassurons le patient par rapport à la lyse isthmique unilatérale, sans déplacement secondaire et sans douleur mécanique associée. Poursuite de la physiothérapie pour hygiène posturale. Poursuite également des activités sportives. Prochain contrôle dans 1 an avec des clichés dynamiques. En cas de récidive des douleurs mécaniques, une éventuelle infiltration de la lyse isthmique sous CT pourrait être envisagée. • Nous rassurons le patient qu'il ne s'agit pas d'un problème de cupule métal métal. Prochain contrôle dans 5 ans ou avant en cas de nécessité. • Nous rassurons le patient sur la bonne évolution des fractures. Nous préconisons une immobilisation pour un mois supplémentaire par minerve mousse, surtout pour la nuit et lui déconseillons tous les mouvements extrêmes de flexion, extension et rotation. Prochain contrôle dans 1 mois, à 3 mois post-traumatisme avec des radiographies fonctionnelles. Mr. Y souhaite reprendre son travail au plus vite, ce que nous réévaluerons lors du prochain contrôle. • Nous rassurons notre patient encore une fois et lui expliquons de manière détaillée l'opération prévue. Au vu de l'imagerie par scanner, nous ne mettons pas en évidence de vraie ossification du ligament longitudinal postérieur et nous pensons pouvoir limiter la chirurgie à une double discectomie C5-C6 et C6-C7 avec des cages et une place antérieure ainsi que fraisage de ces éléments ostéophytaires postérieurs. Nous gardons tout de même le matériel de corpectomie en réserve si nous n'arrivons pas à réaliser une décompression complète. Le patient est informé des risques et bénéfices, le consentement lui est remis ce jour pour réflexion et signature. • Nous rassurons notre patient quant à cette très bonne évolution avec disparition complète de ses douleurs et ne prévoyons pas de prochain contrôle. Nous restons toutefois à disposition en cas de récidive des douleurs ou de nouveau déficit. • Nous rassurons notre patient quant à la stabilité radio-clinique de cette fracture-tassement de L2. Nous préconisons l'instauration de physiothérapie pour reconditionnement et hygiène posturale afin de diminuer ses douleurs dues à son inactivité sur les derniers mois. Mr. Y se plaignant également de troubles du sommeil, nous lui conseillons de s'adresser à son médecin traitant pour l'éventuelle prescription de Stilnox. Pas de nouveau contrôle prévu d'office, nous restons à disposition au besoin. • Nous rassurons notre patient quant à la très bonne évolution clinique et lui expliquons la nature de sa pathologie dégénérative de la colonne plus marquée en L4-L5. Le patient nous reconsultera en urgence en cas de récidive des douleurs ou en cas de nouveau déficit neurologique. Nous lui donnons également des consignes d'hygiène posturale et musculaire. • Nous rassurons notre patient quant à la très bonne évolution clinique et ne prévoyons pas de prochain contrôle. Nous restons à disposition en cas de récidive des douleurs ou de nouveau déficit neurologique.Nous rassurons notre patiente par rapport à la guérison de cette fracture de l'odontoïde ainsi qu'au pannus qui n'est pas compressif et qui semble diminuer de taille par rapport au scanner du mois de juillet de l'année passée. En ce qui concerne ces nouvelles douleurs cervico-brachiales, nous débutons un traitement conservateur médicamenteux avec de l'Irfen, du Tramal, du Mydocalm ainsi que du Dafalgan. Au vu de l'âge de la patiente ainsi que de sa liste de médicaments, nous lui prescrivons des doses relativement faibles. Nous la reverrons dans 3 semaines pour un contrôle clinique. Prescription de physiothérapie pour réhabilitation musculaire des muscles affaiblis suite à presque 6 mois d'immobilisation. Nous conseillons à la patiente de nous recontacter plus rapidement en cas d'absence d'amélioration des douleurs ou de nouveau déficit et gardons une éventuelle infiltration sous scanner comme 2ème option thérapeutique. Nous rassurons notre patiente par rapport à l'absence de compression radiculaire ou de signe de maladie métastatique. Il nous semble que ses symptômes peuvent être liés à un début de sacro-iléite gauche pour laquelle nous instaurons un traitement conservateur avec des médicaments ainsi que des séances de physiothérapie adaptées. En cas de péjoration majeure des douleurs ou de nouveau symptôme, la patiente nous recontactera et nous pourrons à ce moment-là envisager une infiltration sacro-iliaque sous scopie. Si la patiente devait présenter des symptômes différents de ceux qu'elle présente actuellement, une nouvelle IRM devra être organisée au vu du contexte oncologique. Nous rassurons notre patiente par rapport à cette trouvaille qui semble bénigne d'un petit hémangiome D7 sans élément ni anamnestique ni radiologique pour une fracture. Nous lui prescrivons des séances de physiothérapie au vu de la petite faiblesse intermittente de la jambe droite à M4+ voire M5 et lui conseillons une reprise progressive du travail. Nous restons à disposition en cas d'apparition de nouvelle douleur ou nouveau déficit. Nous réalisons un rinçage abondant de la plaie, superficielle, sans atteinte des structures nobles. Nous réalisons une anesthésie en bague avec 3 points de suture d'Ethicon 4.0. Pansement Adaptic, compresses et bandage. Un rappel du vaccin DiTe antitétanique a été fait. Nous prévoyons un contrôle clinique de la plaie à la filière des urgences ambulatoires à 48h (pas de médecin traitant) et ablation des fils à 7-10 jours. Nous réalisons le laboratoire qui montre des leucocytes à 8,3G/l, CRP 14mg/l, créatinine 133µmol/l, acide urique 694mmol/L. Une radiographie du pied qui montre des ostéophytes, pincement intra-articulaire, calcification sous-chondrale. Nous retenons le diagnostic de la crise de goutte, et mettons en place des AINS, ainsi que la protection gastrique par Pantoprazol. Nous demandons le suivi chez le médecin traitant pour le jeudi 24.01.2019. Par ailleurs, nous conseillons à Mr. Y de revoir son ophtalmologue en ambulatoire. Nous réalisons la radiographie du 5ème doigt et de la main droite qui montre une fracture avec arrachement de la base du 5ème métacarpophalangien de la main droite. Nous mettons en place une attelle Edimbourg, antalgie, arrêt du sport et suivi à la policlinique orthopédique dans 5 jours. Nous réalisons le bilan biologique qui est aligné. Nous mettons en place le traitement symptomatique par Paracétamol 1g + Ulcar 2x sachets, Nexium 40 mg en ordre unique, avec amélioration de la symptomatologie. Nous mettons en place un traitement par Nexium 40 mg x 2 pendant 3 jours, puis 40 mg x 1 par jour pendant 14 jours. Nous donnons à Mr. Y du matériel pour prélever un échantillon de selles, pour recherche d'H. pylori. Par la suite, Mr. Y sera convoqué en contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 24.01.2019. Nous réalisons le certificat et Mr. Y rentre à domicile. Nous réalisons le changement du pansement occlusif et bandage. Mr. Y revient en contrôle clinique à la policlinique d'orthopédie à 48h. Nous réalisons les radiographies qui ne montrent pas de fractures. Nous mettons en place une attelle jambière postérieure, car la patiente n'arrive pas à charger avec l'attelle Aircast. Pas de prophylaxie anti-thrombotique car elle n'a pas encore ses règles. Protocole Rice, antalgie par Dafalgan, Brufen, suivi chez le médecin traitant dans 7 jours. Nous réalisons un bilan biologique qui montre une CRP à 9 mg/l, des leucocytes à 13 G/l et des beta HCG négatifs. Le sédiment urinaire est négatif. Les douleurs sont en disparition après l'administration d'antalgie. La patiente ne veut pas faire l'ultrason abdominal, mais elle accepte après des explications. Nous organisons donc un rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires le 19.01 pour un ultrason abdominal à 9h et un contrôle biologique-clinique ensuite. Nous réalisons un bilan biologique qui ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire ou de perturbation des tests hépatiques. Nous administrons du Nexium 40mg iv avec peu d'effet, et une antalgie avec diminution des douleurs par la suite. Sur une clinique compatible avec des coliques biliaires, nous laissons la patiente rentrer à domicile avec un ultrason abdominal prévu demain à 11h30 et résultats à la filière des urgences ambulatoires par la suite. Nous réalisons un bilan biologique qui ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire ou perturbation des tests hépatiques. Nous administrons une antalgie avec diminution des douleurs par la suite. Sur une clinique compatible avec des coliques biliaires, nous laissons la patiente rentrer à domicile avec antalgie. Consultation avec Dr. X prévue demain à 16h15. Nous réalisons un bilan biologique qui ne montre pas de perturbation des tests hépatiques, un stix/sédiment urinaire revenant sans présence d'hématurie. La radiographie du thorax montre une lyse de continuité au niveau costal postérieur droit des côtes 6-7, sans signe d'hémo-pneumothorax. Nous laissons Mr. Y rentrer à domicile avec antalgiques et physiothérapie respiratoire en ambulatoire. Un contrôle sera prévu chez le médecin traitant à 3-5 jours de distance. Nous réalisons un bilan biologique qui ne montre pas de syndrome inflammatoire ou de trouble électrolytique majeur. Nous réalisons une désinfection et un rinçage abondant de la plaie, anesthésie locale par injection de Lidocaïne et 3 points de suture simples au fil d'Ethicon 4.0. Un contrôle clinique sera prévu chez le médecin traitant à 48h et ablation des fils à 5 jours. Sur des critères à 1 point avec uniquement comme facteur de risque l'âge de la patiente et un statut neurologique rassurant, nous ne réalisons pas de scanner mais une surveillance neurologique 48h par la famille (consignes données à la fille). Nous réalisons un contrôle biologique qui montre une stabilité des électrolytes et un INR infra-thérapeutique. En l'absence de signe et symptôme de thrombose veineuse et étant donné le traitement de Sintrom en cours, nous majorons le traitement de Sintrom avec un contrôle de l'INR le 07.01.2019 chez son médecin traitant. Concernant les démangeaisons chroniques, nous proposons au médecin traitant de mesurer la vitamine B12 et l'acide folique qui peuvent provoquer de tels symptômes en cas de carence dans le contexte de diarrhées chroniques. Nous réalisons un ECG qui montre un rythme sinusal avec un bloc de branche gauche superposable sur un comparatif de 2015. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire ni de trouble électrolytique, les tests hépato-pancréatiques sont également alignés. Nous notons une insuffisance rénale aiguë avec créatinémie à 96µmol/l d'origine pré-rénale/rénale (sur déshydratation/hypertensive), nous hydratons la patiente avec 1000ml de NaCl 0.9% sur 4h. Cliniquement, la patiente n'a pas de plainte ou d'épisode de diarrhée lors de sa présence aux urgences. Notons un INR suprathérapeutique à >5.5 (INR cible 2.5-3.5), nous administrons 2 mg de Konakion. Nous mettons en suspens le Sintrom pour aujourd'hui et la patiente consultera son médecin traitant demain pour une prise de sang nouvelle et une adaptation du Sintrom en fonction. Au vu de diarrhées, le magnésium est également mis en suspens transitoirement. Un prélèvement des selles a été fait avec recherche de Clostridium qui suit (médecin traitant en copie). À noter également que la patiente n'aurait jamais eu de colonoscopie, ce que nous préconisons en ambulatoire étant donné l'âge, les diarrhées chroniques et une notion de perte de poids avec inappétence ces derniers mois. Nous proposons de diminuer le dosage de l'IPP à 40 mg 1x/jour. Nous réalisons un ECG qui ne met pas en évidence de signe d'ischémie aiguë. Le bilan biologique montre des leucocytes à 11.1 G/l et une CRP à 8 mg/l, la radiographie thoracique ne montre pas de signe de foyer ni de pneumothorax. Nous réalisons un dosage de troponines revenant à T0 à 6 ng/L et T1 à 6 ng/L sans cinétique permettant d'exclure un NSTEMI. Le patient est par ailleurs asymptomatique durant sa présence aux urgences. Nous le laissons rentrer à domicile avec un diagnostic différentiel pour des douleurs d'origine anxiogène, avec un facteur déclenchant qui est le décès de sa grand-mère il y a 3 semaines. Le patient prendra contact avec son médecin traitant la semaine prochaine, à qui nous laissons le soin d'évaluer l'indication d'effectuer un test d'effort à distance. Nous réalisons un ECG sinusal et régulier, avec un QTc Bazett calculé à 470 ms-500 ms. Le patient est par ailleurs asymptomatique. Le bilan biologique ne montre pas de trouble électrolytique. Sur la liste médicamenteuse du patient, nous notons la Mirtazapine (Remeron) connue pour un allongement du QT qui pourrait en être à l'origine et que nous proposons de mettre en suspens. Le Pantozol peut être repris. Selon nos investigations, le Selincro ne serait pas connu pour une prolongation du QT et nous laissons le choix aux collègues du RFSM Marsens d'évaluer la reprise de celui-ci également selon les indications. Nous prenons contact avec nos collègues de Marsens et laissons le patient rentrer avec des contrôles ECG à faire. Nous réalisons un laboratoire qui montre des leucocytes à 10.5 G/l et une CRP à la baisse à 177 mg/l. La patiente va mieux cliniquement avec amélioration des symptômes et reste apyrétique. L'urotube montre une contamination. La patiente rentre à domicile avec suite du traitement antibiotique pour un total de 7 jours et un contrôle chez le médecin traitant à la fin du traitement. Nous réalisons un laboratoire qui montre des leucocytes à 5.5 G/l et une CRP à 17 mg/l. Au vu de la manifestation des symptômes avec céphalées, myalgies et fatigue extrême, nous réalisons un monotest revenant négatif. Le statut neurologique est sans particularité hormis la présence d'une marche instable avec des vertiges (non ataxique). Le patient n'a pas de médecin traitant, nous prévoyons de le revoir dans 48h avec un nouveau contrôle bioclinique. Nous réalisons un laboratoire qui montre des leucocytes à 6.1 G/l et CRP à la hausse à 135 mg/l. Le patient se dit mieux, sans symptôme, stable et apyrétique depuis l'épisode isolé. Les tests hépatiques sont alignés. L'examen clinique revient sans particularité. Le stix urinaire et la radiographie thoracique effectuée il y a 48h ne mettent pas en évidence de foyer. Au vu d'une clinique rassurante, nous laissons le patient rentrer à domicile avec un contrôle bioclinique à effectuer à la filière des urgences ambulatoires dans 48h. Nous réalisons un laboratoire qui ne montre pas de syndrome inflammatoire. Nous notons une créatininémie à 129 µmol/l, le spot urinaire réalisé évoque une origine post-rénale. L'hémoglobine est stable. À l'examen clinique, le toucher rectal est indolore. Nous retenons une hématurie macroscopique d'origine indéterminée. Au vu de la manifestation, nous préconisons une évaluation urologique et un ultrason afin d'exclure une origine néoplasique. Nous prenons contact avec le Dr X, qui verra le patient en consultation (coordonnées communiquées au patient qui appellera lundi matin, cabinet fermé ce jour). Nous réalisons une anesthésie topique, avec un point de suture d'Ethicon 4.0. Un contrôle de la plaie sera prévu dans 48h et une ablation des fils dans 5 jours. Nous laissons l'enfant rentrer à domicile avec des consignes de surveillance post-traumatisme crânien pendant 48h données à la maman. Nous réalisons une désinfection à l'Hibidil et un rinçage abondant des plaies sous pression au NaCl à l'aide d'une aiguille boutonnée. Sur les plaies de la paupière inférieure et le coin de lèvre droite, superficielles mais nécessitant un rapprochement des berges, nous mettons des Stéristrips. Nous débutons une antibiothérapie prophylactique par Augmentin et un contrôle clinique le lendemain à la filière des urgences ambulatoires. Nous réalisons une immobilisation par plâtre de Paris fendu et un contrôle dans 1 semaine en policlinique avec circularisation. Immobilisation totale prévue pendant 3-4 semaines. Nous réalisons une radiographie de l'épaule : luxation de l'épaule gauche antéro-inférieure. Nous mettons en place l'antalgie par Fentanyl et Propofol et la réduction est réalisée par Dr. X. Nous mettons en place un gilet orthopédique pour 3 semaines. La radiographie de contrôle ne montre pas de complications suite à la réduction. Le patient doit revoir son orthopédiste le plus rapidement possible. Nous réalisons une radiographie des doigts 2 et 5 de la main gauche. La radiographie du 2ème doigt ne montre pas de fracture. La radiographie du 5ème doigt de la main gauche montre une luxation dorsale avec déviation ulnaire de l'articulation interphalangienne proximale et arrachement de la plaque palmaire. Nous demandons un avis orthopédique au Dr X, qui réalise une réduction sous MEOPA avec administration de 50 µg de Fentanyl aux urgences. La réduction se déroule bien mais une instabilité résiduelle persiste après réduction. Nous mettons en place une attelle alu en dorsal avec réalisation d'une syndactylie. La radiographie de contrôle objective des rapports anatomiques physiologiques. Dans ce contexte, et sur avis orthopédique, la patiente rentre à domicile avec une antalgie simple, une attelle alu en dorsal avec syndactylie et un rendez-vous de contrôle le 05.02.2019 à la policlinique d'orthopédie avec Dr. X. Nous réalisons une radiographie du poignet droit qui ne montre pas de fracture. Nous retenons le diagnostic de contusion du poignet droit et la patiente rentre à domicile avec une antalgie adaptée, une attelle velcro du poignet droit à but antalgique et la proposition d'effectuer un contrôle chez son médecin traitant dans 1 semaine. La patiente ne désire pas d'arrêt de travail. Nous réalisons une radiographie du poignet qui montre une fracture Salter II du radius distal gauche, que nous traitons par un plâtre antébrachial pendant 4 semaines. Un contrôle clinique et circularisation sera prévu dans 1 semaine en policlinique d'orthopédie. Nous réalisons une radiographie qui met en évidence une fracture non déplacée de la phalange distale du 5ème orteil gauche compatible avec la clinique, que nous traitons conservativement avec protocole RICE, syndactylie, anti-inflammatoires et anti-douleurs. Un rendez-vous sera pris pour un contrôle clinique en policlinique dans 3 semaines. Nous réalisons une radiographie qui montre une fracture de la phalange distale non déplacée du 1er orteil gauche, que nous traitons avec protocole RICE, syndactylie pendant 3-4 semaines et un contrôle clinique dans 3 semaines chez son médecin traitant. Le patient est averti qu'il doit consulter en urgences en cas de la moindre suspicion de signe infectieux (rougeur/chaleur/écoulement).Nous recevons le patient sus-nommé ce jour pour bilan dans un contexte d'état fébrile et frissons en fin de dialyse après une transfusion d'un CE. La surveillance clinique est rassurante avec absence de symptômes et récidive de l'état fébrile. Après bilan biologique et radiologique, un foyer actif a pu être raisonnablement exclu. Concernant la réaction transfusionnelle, une hémolyse reste pas possible au vu des paramètres biologiques et de la clinique. L'équipe de néphrologie se chargera de contrôler les cultures du CE. Sur accord du Dr. X, le patient rentre à domicile, il est invité à reconsulter en cas de récidive des symptômes. Nous recommandons aux parents de continuer à effectuer les exercices d'extension du pouce, nous ne proposons pas de traitement opératoire, nous ne proposons pas de rendez-vous de contrôle également. Si la situation venait à se péjorer, la maman nous recontactera ultérieurement. Nous recommandons au patient de consulter un gastroentérologue en cas de persistance de la diarrhée afin de faire une colonoscopie complète. Nous lui proposons un traitement symptomatique pour le syndrome grippal débutant qu'on suspecte chez lui. Nous recommandons de prévoir un ultrason abdominal, une ponction d'ascite diagnostique et une discussion interdisciplinaire avec l'infectiologie et la chirurgie vasculaire. Nous recommandons des investigations par le médecin traitant. Nous recommandons des investigations ultérieures en cardiologie (Holter 24h), à organiser en ambulatoire par le médecin traitant. Nous recommandons d'organiser une colonoscopie à distance. Nous recommandons un contrôle clinique à votre consultation dans 1 à 2 semaines avec dosage du taux de Levetiracetam à prévoir (majoration à 2x750 mg/jour dès le 05.01.2019 au vu de l'abaissement du seuil épileptogène par l'Haldol introduit le 21.12.2018). Soutien psychologique (réseau santé Gruyère) 3x/semaine (premier passage le 09.01.2019) Suivi psychiatrique par le Dr. X (078.878.41.46) En cas de situation de crise sur le plan psychologique, consultation directe à Marsens à entreprendre (équipe prévenue) Radiochimiothérapie palliative dans les meilleurs délais : Consultation en radio-oncologie le 04.01.2018 Consultation oncologique le 08.01.2019 chez la Dr. X Nous recommandons un contrôle de la médication chez le médecin traitant dans les jours qui suivent Benerva à titre préventif Nous recontacte pour une date opératoire. Nous reconvoquons la patiente ce jour afin d'exclure une embolie pulmonaire. La patiente n'a pas noté de nouvel épisode de douleur thoracique ni de nouveau symptôme. L'examen clinique est dans la norme. Nous dosons les D-dimères qui sont négatifs. La patiente peut donc rentrer à domicile. Nous proposons au médecin traitant de répéter le bilan biologique avec dosages des électrolytes et de la TSH et d'organiser une consultation cardiologique de contrôle. Nous rediscutons longtemps aujourd'hui avec Mr. Y concernant une éventuelle implantation de prothèse totale de la hanche gauche. Même si radiologiquement l'indication est donnée, il faut tenir compte de toutes les co-morbidités du patient ainsi que des antécédents personnels. À son âge de 83 ans, il est exposé à un grand risque péri-opératoire non négligeable. J'aimerais bien que le patient discute l'indication opératoire avec ses proches et réfléchisse lui-même s'il veut se faire opérer pour l'implantation d'une prothèse totale de hanche à gauche. Si ceci est le cas, il me recontactera et il sera adressé directement à la consultation pré-anesthésique auprès de notre équipe anesthésiologique où une évaluation sur l'opérabilité sera faite. Dès l'accord de notre service d'anesthésie, on pourrait opérer Mr. Y. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu. Le patient me recontactera. Entre-temps, je propose au Dr. X d'éventuellement adapter le traitement anti-inflammatoire. Personnellement, je pense qu'il y a encore de la marge de manœuvre en augmentant le dosage. Nous refaisons le pansement et poursuivons l'antibiotique pour un total de 5 jours. L'ablation des fils se fera à J14 chez le médecin traitant et le contrôle de la plaie se fera tous les deux à trois jours chez son médecin traitant au Portugal. Nous remettons une botte plâtrée pour 2 semaines avec charge selon douleurs. Prochain contrôle radioclinique hors plâtre dans 2 semaines. Nous repositionnons correctement la semelle et la patiente note une nette amélioration des douleurs. Nous décidons de poursuivre ce traitement pour 6 semaines. En cas d'efficacité, nous pourrons discuter d'une semelle définitive. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Nous re-prescrivons une attelle ergothérapeutique nocturne qui doit maintenir l'interphalangienne distale en extension complète. Elle doit également effectuer des exercices de flexion et d'extension du 4ème doigt. Nous maintenons également la physiothérapie dans ce but. Nous reverrons la patiente dans 2 mois pour un contrôle clinique. Nous retenons, après discussion avec la Dr. X, une fracture de l'extrémité distale du radius non déplacée. Nous faisons un plâtre AB. La patiente prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans une semaine. Nous retenons après discussion avec le Dr. X de médecine interne, un malaise vagal avec conseil d'hydratation et contrôle chez son médecin traitant. Nous retenons comme diagnostic une pyélonéphrite débutante sous traitement antibiotique pour une cystite simple retardée. La patiente reçoit 2g de Rocéphine en IV et peut par la suite rentrer à domicile. Le traitement par nitrofurantoïne est discontinu et remplacé par ciproxine 2x 500 mg par jour. La patiente se représentera le 06.12.2018 pour un contrôle clinique et biologique. Nous retenons des douleurs dentaires au niveau de la dent 14 sur ablation de plombage. Le patient reçoit une antalgie aux urgences avec une baisse des douleurs. Il peut regagner son domicile le jour même et contactera le dentiste de garde le 06.01 pour la suite de la prise en charge. Nous retenons des douleurs d'origine probablement musculosquelettique et le patient rentre avec un traitement antalgique et consultera son médecin traitant pour contrôle. Nous retenons des douleurs thoraciques probablement dans le cadre d'une pleurite. Nous mettons le patient sous antalgie, AINS avec contrôle chez son médecin traitant cette semaine. Il est informé quand reconsulter les urgences en cas de nouveaux symptômes. Nous retenons des extrasystoles ventriculaires symptomatiques et nous ajoutons du magnésium à la médication de la patiente, qui rentre à domicile après la disparition des symptômes. Contrôle chez son médecin traitant (elle a déjà un rendez-vous le 21.01.2019). Nous vous proposons d'organiser un bilan cardiologique. Nous retenons des lombalgies non déficitaires. Le patient rentre à domicile avec traitement symptomatique et il est informé dans quels cas il faut reconsulter les urgences. Nous retenons des lombosciatalgies non déficitaires, pas suffisamment soulagées par l'antalgie qu'elle a prise à domicile. Nous adaptons le traitement et conseillons à la patiente de revenir aux urgences en cas de persistance des douleurs pour une hospitalisation afin d'adapter l'antalgie. Si les douleurs sont soulagées, nous laissons le médecin traitant prendre le relais. Nous retenons donc le diagnostic de fasciite plantaire à D. Elle bénéficie déjà d'un traitement conservateur bien conduit par talonnette en silicone et attelle dorsale lift. Nous proposons d'ajouter des séances de physiothérapie avec ondes de choc. Comme il s'agit de talagies diffuses, nous ne retenons pas d'indication à une infiltration. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique.Nous retenons donc une contusion de doigt sans déficit. Au vue d'une nette amélioration de la symptomatologie, le patient peut mobiliser librement son doigt. Reprise à 100% dès le 04.02.2019. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Nous retenons le diagnostic de bronchite probablement d'origine virale. Le patient rentre à domicile avec un traitement conservateur. Nous retenons le diagnostic de conjonctivite le plus probablement virale étant donné le contage (suspicion d'adénovirus). Nous introduisons un traitement par Floxal pour prévenir la surinfection. Nous prescrivons également du Sterilium pour éviter la transmission au sein du reste de la famille et d'autres conseils d'hygiène. Nous conseillons au patient d'appliquer des compresses froides sur les yeux. Nous retenons le diagnostic de contusion et traitons le patient par antalgie ainsi qu'un arrêt de travail de 4 jours. Nous retenons le diagnostic de contusion thoracique et nous mettons la patiente sous antalgie et AINS. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle. Nous retenons le diagnostic de crise d'angoisse. Selon avis psychiatrique, nous proposons un arrêt de travail ainsi qu'un contrôle au RFSM la semaine prochaine. Nous retenons le diagnostic de douleurs neuropathiques et introduisons un traitement par Lyrica. Après discussion avec les orthopédistes, nous proposons un suivi clinique par le MT à la recherche d'apparition de déficit moteur ou sensitif. Nous retenons le diagnostic de fibrillation auriculaire. La patiente étant déjà anticoagulée, nous introduisons un traitement freinateur par Beloc Zok 12.5 mg 2x/jour. En présence d'une tension basse, nous diminuons sa dose de Losartan de 100 mg à 50 mg et transmettons au Home de contrôler sa tension artérielle et sa fréquence cardiaque 3x/jour. Nous organisons un contrôle à la Permanence dans les 24 prochaines heures pour un contrôle clinique. Nous retenons le diagnostic de lésion kystique sur un hématome post-contusion. Afin d'exclure une thrombose veineuse devant ce tableau clinique de turgescence veineuse et d'oedème, nous demandons à nos collègues de l'angiologie de bien vouloir convoquer le patient pour effectuer un bilan veineux de ce membre inférieur G. Si cet examen s'avère négatif pour une thrombose, nous retiendrons un effet de masse sur le système veineux pouvant expliquer cette symptomatologie. Nous le reverrons suite à cet examen avec, en option, une cure chirurgicale en cas de gêne. Nous retenons le diagnostic de lombalgie non-déficitaire et introduisons un traitement antalgique ainsi qu'un AT pour 4 jours. Nous proposons à la patiente d'essayer l'école du dos à titre préventif au vu de son jeune âge et de son travail à risque. Nous retenons le diagnostic de pneumonie gauche débutante. Nous administrons une dose de Rocéphine 2 g IV puis un traitement par Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 6 jours avec un contrôle chez son médecin traitant. La patiente sait quand il faut reconsulter les urgences. Nous retenons le diagnostic de poussée de SEP et introduisons un traitement par Corticoïdes p.o. ainsi qu'un rendez-vous chez le neurologue traitant dès que possible. Nous retenons le diagnostic de probable déchirure musculaire de la musculature de la face postérieure de la cuisse gauche, à hauteur de la mi-cuisse. Nous demandons un avis au Dr. X, orthopédiste de garde. Nous prescrivons à la patiente un traitement symptomatique et lui donnons des conseils d'application de glace et de repos. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour une consultation en cas de persistance à une semaine avec +/- physiothérapie. Nous lui conseillons de reconsulter avant en cas de péjoration clinique. Nous retenons le diagnostic de rupture du tendon d'Achille. Nous effectuons une radiographie pour exclure un arrachement associé que nous excluons. Nous débutons le traitement conservateur fonctionnel selon le protocole. Le patient préfère éviter une opération. Il sera revu en policlinique orthopédique à une semaine pour contrôle. Il sera reconvoqué avant en cas d'indication à la chirurgie retenue et préférée. Il rentre à domicile avec une antalgie en réserve et une prophylaxie antithrombotique. Nous retenons le diagnostic de syndrome grippal. Le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Nous retenons le diagnostic de tendinite de la coiffe des rotateurs gauches et mettons en place un traitement antalgique simple. Nous remettons à la patiente une ordonnance de physiothérapie. Elle prendra contact avec le secrétariat du Dr. X à 10 jours si persistance de la symptomatologie. Nous retenons le diagnostic d'hémato bourse du coude gauche sans fracture associée, ainsi qu'une dermabrasion cutanée en regard de l'olécrane. Le tétanos est à jour. Nous demandons l'avis du Dr. X, orthopédiste de garde. Aux urgences, nous désinfectons et appliquons un pansement. Nous prescrivons au patient Dafalgan et AINS. Nous mettons en place un gilet orthopédique et le patient prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle le 28.01. Nous retenons le diagnostic d'infection urinaire haute et donnons une dose de Rocéphine en intraveineuse à la patiente aux urgences. Elle peut rentrer à domicile avec une antibiothérapie par Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour pour 5 jours. Elle sera vue à la filière des urgences ambulatoires à 48h pour un contrôle et un retour des résultats de l'urotube. Nous retenons le diagnostic d'une infection de matériel d'ostéosynthèse du fémur proximal gauche chez ce patient. La guérison totale de cette infection passerait par une prise en charge chirurgicale invasive avec ablation du clou, rinçage articulaire et débridement, intervention absolument pas souhaitée par le patient. Dans l'optique d'un traitement conservateur, nous proposons de maintenir la charge bactérienne la plus faible possible afin d'éviter une dissémination, et nous demandons un avis au Dr. X, infectiologue de l'HFR. Celui-ci préconise un traitement à vie de Clamoxyl 1 g-1x/jour, traitement que nous vous laissons prescrire en tenant compte des interactions médicamenteuses sur les substances préexistantes. Dans le cas où le patient présenterait un état fébrile accompagné de coxalgies, il devrait se représenter dans les plus brefs délais dans notre service d'Urgences. Nous ne proposons pas de rendez-vous de contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Nous retenons le diagnostic d'une pyélonéphrite à gauche. En vue du traitement antibiotique débuté chez le médecin traitant il y a 48h, sans résultat de l'urotube présent le jour de la consultation aux urgences. Pas d'indication à changer le traitement antibiotique. L'augmentation de la CRP est interprétée dans le contexte de latence de réaction de CRP connue. Nous retenons l'indication opératoire à une ostéotomie de correction et de rotation. La patiente est clairement informée des risques et des bénéfices de l'intervention. Le formulaire de consentement est rempli et signé. D'ici l'intervention, elle va porter une protection en silicone. Nous retenons l'indication pour mettre en place une prothèse inversée de l'épaule à D avec une résection acromio-claviculaire durant la même intervention. L'évaluation par les anesthésistes a été positive pour une intubation avec bloc interscalénique. Nous agendons l'intervention sous condition d'une hospitalisation d'environ une semaine avec une entrée la veille. En postopératoire, séjour aux soins intensifs. La patiente est informée de ce jour sur les risques et bénéfices de l'intervention et signe le consentement éclairé.Nous retenons un abcès dentaire pour lequel nous conseillons au patient un traitement antibiotique et antalgique, suivi par une consultation chez le dentiste le lendemain. Nous retenons un diagnostic de monoarthrite du genou gauche au vue de l'absence d'un traumatisme au début des symptômes ainsi que des tests rhumatologiques qui sont revus positifs, une étiologie probablement dans un contexte rhumatologique. Un traitement symptomatique est installé. Elle consultera nos collègues de rhumatologie comme prévu. Nous retenons un diagnostic d'état grippal que nous traitons symptomatiquement. Le patient reconsultera en cas de péjoration ou d'absence d'évolution d'ici 72 heures. Nous retenons un exanthème avec des lésions maculo-papuleuses d'origine indéterminée probablement allergique. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire. Nous notons des éosinophiles à 5.8%. Anamnèse médicamenteuse négative, pas de changement de produit de lessive ou autre anamnèse évocatrice d'allergène possible. Un traitement par Prednisone pendant 5 jours plus anti-histaminiques est prévu avec contrôle clinique à 5 jours chez le médecin traitant. Nous retenons un malaise probablement vagal post-prandial. Un malaise dans un contexte de grippe ou trouble de rythme est à évoquer. Concernant son rythme nous suspectons un foyer ectopique auriculaire et la patiente va prendre un rendez-vous chez son cardiologue pour contrôle. La patiente reconsultera si récidive. Nous retenons un Mallet Finger tendineux que nous traitons avec une immobilisation par une attelle Stack et une gouttière sur mesure en ergothérapie pour un total de 8 semaines, à porter jour et nuit. Un rendez-vous sera pris par le patient pour un contrôle clinique en policlinique d'orthopédie à 8 semaines. Nous retenons un STEMI et chargeons le patient en Héparine, Aspirine et Brilique. Il est transféré aux soins intensifs et continus de l'HFR Fribourg en ambulance, pour suite de la prise en charge. Le patient est stable hémodynamiquement au moment du départ en ambulance. Nous retenons une affection de la plaie de l'avant-bras gauche, possiblement dû au fait que la patiente aurait un peu plus utilisé son bras gauche au travail ces derniers jours. L'ablation des fils à 14 jours de la suture se déroule sans particularité. La patiente bénéficie d'un pansement Adaptic, une compresse sèche et un bandage. Nous lui conseillons d'immobiliser le bras gauche dans une écharpe. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 625 mg 3x/jour est reprise chez la patiente pour une durée de 5 jours (traitement que la patiente aurait initialement bien supporté). Nous retenons une appendicite débutante et nous prenons l'avis chirurgical du Dr X qui propose une dose de Co-Amoxicilline 2.2 iv aux urgences. Rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires à 07H30 le 22.01.2019 et réservation d'une place en chirurgie pour hospitalisation. Nous retenons une baisse de l'état général sur virose respiratoire. Les vomissements sont mis sur le compte de l'Escitalopram. La patiente présente un état de mal-être généralisé important à l'admission qui cède rapidement suite à la prise de Temesta. La patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique pour la virose. Nous lui conseillons de ne pas poursuivre l'Escitalopram. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant dans 48h pour suivi clinique et biologique. Nous retenons une boursite olécrânienne droite post-traumatique et immobilisons le coude droit avec une gouttière brachio-antébrachiale non circulaire. Pour le coude nous retenons une entorse du ligament latéro-interne gauche. Le testing ligamentaire ne montre pas de laxité. Le patient arrive à marcher suite à l'antalgie et mise en place d'une bande élastique simple, nous ne mettons donc pas d'attelle. De plus, le patient ne souhaite pas d'attelle. Il sait qu'il peut reconsulter en cas de majoration des douleurs et de difficulté à la marche. Un rendez-vous de contrôle sera pris à 48h en policlinique d'orthopédie pour suivi de l'évolution de la boursite. Nous retenons une bronchite probablement d'origine virale pour laquelle nous recommandons un traitement symptomatique. Le patient prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle si nécessaire. Nous retenons une brûlure du 3ème degré au niveau des pulpes des phalanges distales des 3ème et 4ème doigts (avec plaie superficielle au niveau de la pulpe de la phalange distale du 3ème doigt). Nous prenons l'avis du Dr X, et nous faisons le rappel Tétanos et administrons de la Co-Amoxicilline 2.2g iv, une dose aux urgences. Désinfection par Bétadine, champage stérile. Exploration de plaie. Anesthésie en bague par Bicarbonate et Lidocaïne. Débridement, rinçage au NaCl 0.9%, suture par 2 points d'Ethilon 4.0. Antalgie au besoin. Co-Amoxicilline 1g 2x/jour per os pendant 5 jours. Contrôle à la consultation du Dr X le 24.01.2019. Ablation des fils à J14. La patiente reste asymptomatique durant l'observation aux urgences et rentre au RFSM de Marsens. Départ avec le transporteur externe. Nous retenons une contraction musculaire (torticolis) du trapèze à gauche que nous traitons symptomatique par antalgie et AINS. La patiente reconsultera à distance chez son médecin traitant selon évolution. Nous retenons une contusion simple du genou gauche pour laquelle nous recommandons un traitement anti-inflammatoire et antalgique et du repos. Contrôle clinique chez le médecin traitant. Nous retenons une contusion simple du mollet gauche pour laquelle nous recommandons un traitement symptomatique. Le patient sera revu dans 48h à la filière des urgences ambulatoires. Nous retenons une cystite simple et débutons un traitement par Nitrofurantoïne 100 mg 2x/j pour 5 jours. Pour les écoulements vaginaux nous suspectons une vaginose et remettons à la patiente une ordonnance pour du Fluomizin cpr vaginaux. La patiente rentre à domicile. Nous retenons une diverticulite sigmoïdienne et nous prenons l'avis du Dr X, chirurgien, qui propose une dose de Co-Amoxicilline 2.2 g IV qu'elle a reçue aux urgences et de relayer par Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour pendant une semaine. La patiente rentre à domicile avec un contrôle clinico-biologique chez son médecin traitant à prévoir le 07.01. Nous proposons au médecin traitant d'organiser une coloscopie en ambulatoire dans 6 à 8 semaines. Nous retenons une embolie pulmonaire bilatérale pour laquelle nous recommandons un traitement par Xarelto 15mg 2x/jour pendant 3 semaines, puis 20mg 1x/jour jusqu'à 6 mois. Vu que le patient est stable hémodynamiquement, et que le score de PESI est inférieur à 85, nous laissons le patient regagner son domicile. Nous laissons le médecin traitant organiser une échographie cardiaque trans-thoracique en ambulatoire. Nous retenons une entorse bénigne de stade I du genou droit que nous traitons conservativement avec protocole RICE, anti-inflammatoires anti-douleurs et bandage. Un contrôle clinique sera réalisé à 5 jours chez le médecin traitant. Nous retenons une entorse stade II de la cheville gauche pour laquelle nous conseillons l'immobilisation dans une attelle Aircast et un traitement anti-inflammatoire et antalgique. Contrôle chez le médecin traitant par la suite. Nous retenons une fracture en motte de beurre du tiers distal du radius droit, pour laquelle nous recommandons l'immobilisation dans une attelle plâtrée pendant 6 semaines, ainsi qu'un traitement antalgique et anti-inflammatoire. Le patient sera revu à la consultation orthopédique du Dr X. Nous retenons une fracture ouverte Gustillo 1 au niveau de la phalange distale du gros orteil gauche. Nous prenons l'avis de Dr X, orthopédiste de garde, nous désinfectons et appliquons un pansement. Une dose de Zinacef 1.5 g en intraveineuse est administrée aux urgences et le patient portera une chaussure Burato. Nous faisons le rappel du Tétanos aux urgences.Concernant les cervicalgies, la radiographie ne montrant pas de fracture, nous prenons l'avis du Dr. X, orthopédiste de garde, et organisons une IRM cervicale pour le 11.01 à 13h30 à Martigny ainsi qu'un rendez-vous chez le Dr. X, neurochirurgienne, à l'Hôpital de Sion pour le 17.01 à 11h30. Nous retenons une fracture spiroïde du tibia pour laquelle nous conseillons une immobilisation dans un plâtre cruro-pédieux fendu. Mme. Y rentre à domicile avec un traitement antalgique et reviendra dans 10 jours à la consultation orthopédique du Dr. X. Nous retenons une gastroentérite et nous mettons le patient sous traitement symptomatique. Le patient est capable de bien s'hydrater per os et rentre à domicile et est informé de quand reconsulter aux urgences. Nous retenons une infection des voies respiratoires supérieures que nous traitons symptomatiquement avec un traitement anti-inflammatoire/antidouleurs. Mme. Y fera un contrôle chez son médecin traitant à 5-7 jours selon besoin si persistance de la symptomatologie ou état fébrile (hormis toux, elle est avertie de la persistance possible de ce symptôme sur plusieurs semaines). Nous retenons une infection virale des voies respiratoires supérieures pour laquelle nous conseillons un traitement symptomatique et du repos. Contrôle chez le médecin traitant si nécessaire. Nous retenons une laryngo-trachéo-bronchite virale. Nous mettons Mme. Y sous AINS avec Angina MCC. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle en cas d'absence d'amélioration. Nous retenons une lombosciatalgie non déficitaire pas suffisamment soulagée par l'antalgie qu'elle a prise à domicile. Nous adaptons le traitement et conseillons à Mme. Y de revenir aux urgences en cas de persistance de la douleur pour une hospitalisation afin d'adapter l'antalgie. Si la douleur est soulagée, nous laissons le médecin traitant prendre le relais. Nous retenons une luxation acromio-claviculaire droite Tossy II et mettons en place un gilet orthopédique et antalgie simple. Le suivi sera effectué par le médecin traitant. Nous retenons une pneumonie communautaire et débutons un traitement par Co-Amoxicilline. Mme. Y reverra son médecin traitant dans une semaine. Nous retenons une réactivation arthrosique et nous prenons l'avis du Dr. X (orthopédiste) qui ne propose pas de ponction et propose un traitement symptomatique (Dafalgan, Irfen et crème anti-inflammatoire que le patient a déjà) avec des cannes anglaises et rentre à domicile avec un rendez-vous chez le Dr. X le 04.02.2019. Nous retenons une tachycardie supraventriculaire régulière à 150/min sur probable réentrée intranodale et nous essayons de cardioverser par manœuvre de Valsalva puis manœuvre vagale, avec échec. En préparant l'adénosine, le rythme s'est cardioversé spontanément. Le patient rentre à domicile avec Beloc 25 mg/jour et il va prendre un rendez-vous chez le Dr. X, cardiologue, pour discuter la suite de la prise en charge. En raison d'une légère augmentation de la créatinine, nous recommandons un contrôle à distance chez le médecin traitant. Nous retirons le corps étranger. Le test à la Fluorescéine par la suite montre une minime érosion de la cornée pour laquelle nous prenons l'avis de l'ophtalmologue qui propose un traitement topique antibiotique, de la vitamine A. Le patient prendra contact avec un ophtalmologue en cas de persistance des douleurs. Nous retrouvons parmi les examens complémentaires déjà effectués par Mme. Y un scanner abdomino-pelvien fin juin 2018 et une IRM abdomino-pelvienne fin septembre 2018. Nous ne retenons pas d'indication à réaliser de nouveaux examens complémentaires. Nous conseillons à Mme. Y de poursuivre son suivi notamment la physiothérapie devant la présence d'une tendinopathie des muscles fessiers sur l'IRM, pouvant participer aux douleurs. Nous retrouvons une pneumonie clinique, raison pour laquelle un traitement par Augmentin lui est proposé. Nous lui proposons de poursuivre ce traitement pour 5 jours, avec un relais per os dès le 23.01.2019 au matin. Au vu de l'absence de gravité, le patient peut rentrer dans son EMS. Nous reverrons Mme. Y dans 2 mois pour un contrôle clinique afin de juger de l'évolution avec la physiothérapie. Nous l'encourageons également à effectuer des exercices à domicile en demandant conseil au physiothérapeute. Nous reverrons le patient dans une semaine avec un nouveau scanner afin de confirmer le status post-opératoire au vu de la persistance des symptômes paresthésiques L5 gauche. Nous lui prescrivons du Lyrica sous forme de schéma progressif afin de traiter ces douleurs potentiellement neuropathiques. Nous restons à disposition en cas de nouveau déficit ou nouveau symptôme. Nous reverrons le patient dans 3 semaines pour juger d'une bonne évolution clinique après l'infiltration. Nous organiserons lors du prochain contrôle une radiographie de contrôle sacrale pour évaluer le status post-opératoire. Nous revoyons Mme. Y une dernière fois ce jour le 16.01.2019 à six semaines du traumatisme. Face à cette évolution rassurante, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Mme. Y a bénéficié d'un arrêt de sport dès la date du traumatisme jusqu'au 19.01.2019. Nous sommes à 6 mois d'un 1er épisode de luxation gléno-humérale chez un patient de 23 ans, droitier. Nous l'informons qu'il est un peu plus à risque de récidive que le commun des mortels. Nous l'encourageons à ne pas pratiquer des sports à risque de type basketball, volleyball ou autres activités mettant le bras en hyper-abduction sans contrôle. Pas de nouveau contrôle mais restons à disposition. Nous sommes aujourd'hui à deux mois de ce traitement conservateur. Le patient ne présente pas de péjoration de sa symptomatologie neurologique. Au vu de son amélioration clinique même sous traitement conservateur, poursuite de ce dernier avec scanner cervico-thoracique prévu pour le 22.01.2019, jour de sa consultation de contrôle également. Nous ne prescrivons pas d'antalgie au patient car il mentionne n'en avoir nul besoin. Nous prolongeons son arrêt de travail jusqu'au 31.01.2019. Le patient rapporte avoir rendez-vous avec la Suva fin janvier pour suivi de traitement. La suite sera rediscutée le 22.01.2019. Nous sommes contents de la bonne évolution clinique de notre patiente ainsi que de la stabilité radiologique et ne proposons pas d'autre prise en charge au vu du fait que la famille de la patiente ne le souhaite pas. Prochain contrôle dans deux mois, à environ 3 mois du début des symptômes pour clore le dossier et entre temps proposons une poursuite du traitement conservateur antalgique et prescrivons encore du Miacalcic nasal pour 2 mois. Nous sommes contents de l'évolution clinique de notre patiente sous traitement conservateur à peine deux semaines après le début des symptômes. Au vu de cette nette amélioration, la patiente est également d'accord pour la poursuite du traitement conservateur et souhaiterait continuer avec le même traitement ainsi qu'avec des séances d'étirement au niveau cervical en physiothérapie. Nous la reverrons dans 3 semaines afin de juger si une infiltration sous scanner foraminale C6-C7 devait s'avérer nécessaire d'un point de vue thérapeutique et diagnostic vu l'absence de claire compression radiculaire hormis l'impression de rétrécissement discret au niveau foraminal C6-C7 gauche. Nous pourrions organiser cet examen chez le Dr. X comme la patiente est déjà connue chez lui. Nous réévaluerons la situation début février. La patiente nous reconsultera plus rapidement en cas d'aggravation des douleurs ou de nouveau déficit neurologique.Nous sommes d'accord avec les indications fournies par nos collègues de Tavel pour la mise en place d'une PTH à droite. On lui explique le déroulement de l'intervention, ainsi que les risques et les bénéfices. Le consentement est rempli et signé. Intervention le 31.01.2019. Nous sommes donc en face d'une pseudo-paralysie liée à une décompensation de son épaule, avec lésion chronique du sus-épineux. Je prévois une arthro-IRM afin de faire le point sur la situation actuelle et éventuellement discuter d'une refixation de la coiffe des rotateurs. Poursuite de l'arrêt de travail. Nous sommes en présence d'une patiente présentant des symptômes suggérant des enthésopathies multiples dans le cadre de sa maladie de Bechterew. L'examen clinique ne parle pas en faveur d'un éventuel conflit mécanique sur dégénérescence du labrum. Pour cette patiente, nous suggérons une éventuelle infiltration sous scanner de la bourse ilio-pectinée à droite, ou éventuellement une synoviorthèse à l'yttrium. Nous restons à disposition si besoin. Nous sommes encore dans un postopératoire récent, raison pour laquelle nous prescrivons des séances d'ergothérapie en pensant que les douleurs soient plutôt mécaniques que neurologiques. Cependant afin d'être sûrs que nous ne sommes pas dans une récidive, nous organisons un ENMG du nerf médian ddc. Nous voulons également exclure une radiculopathie, raison pour laquelle nous organisons une IRM des cervicales. Nous mettons également Mme. Y sous traitement anti-inflammatoire avec du Brufen 600 à prendre 3 fois par jour pour une durée de 2 semaines avec une protection gastrique. Nous la reverrons dans 2 mois suite aux examens effectués. Nous sommes face à une évolution favorable avec une patiente signalant une diminution des douleurs et une augmentation progressive de la mobilisation. Nous maintenons les séances de physiothérapie avec amélioration de la mobilité selon le protocole San Antonio. Nous prescrivons également des patchs à mettre le soir sur l'épaule, ainsi que de la crème Voltarène la journée accompagnée d'anti-inflammatoire (Brufen 600 3 fois par jour en réserve). Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Nous sommes face à une évolution favorable, Mme. Y a pu également reprendre ses activités sportives sans souci particulier. Nous ne prévoyons pas de rendez-vous de contrôle, mais restons à disposition pour d'éventuelles questions. Nous sommes rassurés par cette bonne évolution radioclinique et prévoyons un prochain contrôle à 3 mois de l'intervention, c'est-à-dire le 07.03.2019 afin de réévaluer notre patient avant une reprise du travail progressive. Nous lui conseillons une augmentation de la charge physiothérapeutique, cette dernière pouvant être faite de manière plus active dorénavant afin de reconditionner la musculature du dos. Nous restons à disposition en cas de récidive des douleurs ou de nouveau déficit. Nous sommes rassurés par la bonne évolution clinique et la stabilité radiologique à environ 1 mois de la fracture chez cette patiente qui reste indépendante dans sa vie quotidienne. En accord avec elle, nous proposons donc la poursuite du traitement conservateur et la reverrons à environ 2 mois et demi voire 3 mois post-traumatisme avec de nouvelles radiographies pour clore le dossier. Nous restons à disposition dans l'intervalle en cas de péjoration de la situation. Nous sommes rassurés par la bonne évolution radio-clinique de notre patiente et prévoyons un nouveau contrôle radio-clinique à 6 mois post-opératoires. Poursuite de la thérapie conservatrice proposée par les neurologues. S'il s'avère que les douleurs se montrent réfractaires à ce nouveau traitement, nous pourrons adresser la patiente à un centre d'antalgie spécialisé. Mme. Y pourra reprendre ses activités professionnelles à 50% début mars pour 2 semaines, puis à 100% en fonction de l'évolution. Nous sommes rassurés par la stabilité radio-clinique. Nous proposons donc l'arrêt du suivi mais restons à disposition si besoin. Le Miacalcic peut être stoppé également. Nous sommes rassurés par l'évolution radioclinique. Au vu de l'âge de la patiente ainsi que sur son souhait, nous proposons la poursuite du traitement conservateur et ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de récidive des douleurs. Si tel devait être le cas, nous prions la patiente de prendre contact avec nous afin d'organiser un nouveau rendez-vous avec une éventuelle IRM séquences STIR pour juger d'une possible cyphoplastie à ce niveau. Nous sommes satisfaits de l'évolution clinique qui est favorable sous traitement conservateur chez notre patient qui a bénéficié d'un bilan ostéoporotique le 24.12.2018 et qui est toujours au bénéfice d'un traitement par Miacalcic. Poursuite du traitement conservateur. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. Si le patient devait présenter une récidive des douleurs, une IRM sera conseillée afin de juger d'une éventuelle indication pour une cyphoplastie. Nous sommes très rassurés par cette bonne évolution radioclinique et ne voyons pas de trait de fracture sacré sur la base de l'imagerie. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle à notre consultation. En ce qui concerne cette douleur musculaire le long de l'arrière de la fesse et du mollet, nous débutons un traitement conservateur avec physiothérapie passant par des massages et des étirements. Nous vous laissons le soin de juger d'une éventuelle IRM en cas d'absence d'amélioration des douleurs à la recherche d'une compression radiculaire lombaire basse. Nous sommes très rassurés par l'évolution radioclinique de notre patiente. Prochain contrôle radioclinique avec des RX colonne lombaire f/p à 3 mois post-opératoires. Nous sommes très satisfaits de cette évolution et restons à disposition en cas de changement ou de récidive des douleurs ou de nouveau déficit. Nous conseillons au patient une reprise progressive de son sport avec des séances de petits étirements, renforcement musculaire et natation avant de reprendre le squash à 100%. Nous sommes très satisfaits de l'évolution clinique de notre patient sous traitement conservateur pour cette micro-instabilité avec kyste arthro-synovial L4-L5 à droite. Le patient a très bien géré et adapté son quotidien ainsi que ses exercices pour renforcer sa musculature et aider à garder la stabilité de ce niveau. Il est donc également très satisfait de l'évolution et nous recontactera en cas de récidive des douleurs ou d'autres symptômes. Si une nouvelle consultation devait être nécessaire, nous souhaiterions également avoir une nouvelle IRM afin de contrôler l'évolution du kyste ainsi que du minime listhésis. Nous souhaitons l'avis du team pied et adressons le patient cette semaine même. Après discussion avec le chef de clinique de garde, nous renonçons ce jour à circulariser le plâtre dans la mesure où la cheville est encore très enflée. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'au 17.03.2019. Nous soulignons à la maman l'importance du traitement antipyrétique malgré le fait qu'il s'agisse d'une virose pour essayer de garder un meilleur état général et une meilleure prise alimentaire, vu les enjeux à cet âge en termes de risque de déshydratation aussi. La discussion sur l'importance d'une vaccination correcte est remise au pédiatre en cabinet. Nous soulignons que le radiologue a évoqué la cunéisation de D6 comme une éventuelle maladie de Scheuermann dont nous ne voyons pour le moment aucun signe clinique ni radiologique. Nous conseillons un suivi dans le futur par la pédiatre. Pas de prochain contrôle prévu sauf en cas de récidive de la symptomatologie douloureuse.Nous soulignons qu'il n'y a aucune indication pour lesquelles Mr. Y devrait bénéficier d'un arrêt de travail à 100%. Son arrêt de travail prescrit par son médecin traitant dure jusqu'au 21.02.2019. Pour nous, Mr. Y peut recommencer son travail à 50% dès le 22.02.2019 sans aucune limitation ni aucune limitation de port de charge dans n'importe quelle activité professionnelle. Cette douleur lombaire peut être présente durant les 2 à 3 prochaines années en raison du traumatisme mais n'empêchera pas d'exercer son activité professionnelle. Pas de prochain contrôle prévu. Nous suivons les glycémies sur la nuit. Mme. Y rentre à domicile. Elle reconnectera sa pompe et suivra alors les glycémies. Sa mère est à la maison. Suivi par le médecin traitant. Nous suivons les indications susmentionnées du Dr. X. Au vu de la kaliémie en baisse à 6.4 mmol/l après une surveillance clinico-biologique et avis du Dr. X, Mr. Y peut rentrer pour fêter son anniversaire, avec le suivi susmentionné. Nous suspectons, chez ce patient mécanicien qui continue toujours de travailler à 100%, une origine discale VS impingement de sa hanche droite provoquant des douleurs sacro-iliaques. Nous organisons une infiltration sacro-iliaque droite. Si ce geste devait apporter un effet positif durant 1 à 2 heures, ceci proviendrait alors d'une origine mécanique, si l'effet dure plusieurs jours, ceci parlerait en faveur d'une origine inflammatoire. En cas d'absence de bénéfice, il faudrait à nouveau rechercher au niveau de son syndrome pyramidal ou au niveau discal. Dans l'intervalle, nous prescrivons quelques séances de physiothérapie pour du stretching de la musculature abdominale et l'enseignement d'exercices de stretching. Mr. Y ayant de la peine à dormir, nous lui prescrivons de l'antalgie par paracétamol et Tramal, Mr. Y rapportant faire des ulcères gastriques sur prise d'AINS. Nous suspectons que cette gêne ne soit pas forcément due au matériel d'ostéosynthèse mais éventuellement à des exostoses. Nous effectuons un CT pour analyser la géométrie osseuse et complétons l'imagerie par une IRM afin de voir s'il y a des signes d'irritation ligamentaire ou tendineuse surtout en regard de l'insertion distale de l'extenseur ulnaire du carpe. Nous reverrons Mr. Y après ces examens. Nous suspectons un accident ischémique transitoire compte tenu de l'anamnèse de Mme. Y et du statut neurologique dans la norme. Nous prenons l'avis du neurologue de garde qui propose un CT-scan puis transfert aux soins continus de Fribourg. Le CT ne montre pas de lésion cérébrale nouvelle. Mr. Y est transféré à Fribourg. Départ en ambulance. Nous suspectons un morbus Sudeck débutant. Nous lui prescrivons donc du Redoxon 500 mg 1 fois par jour pour 2 mois ainsi que du Miacalcic 200 unités nasales tous les 2 jours pour 2 mois. Nous l'immobilisons dans une attelle Vacotalus avec charge selon douleurs. Elle peut l'enlever si les douleurs s'améliorent. Poursuite de la physiothérapie uniquement pour les extensions qui ne sont pas douloureuses. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Prolongation de l'arrêt de travail pour 6 semaines. Pour bilanter la lésion de la main D, nous avons organisé un US. Nous pensons plutôt à un kyste ou un ganglion simple post-traumatique. Nous suspectons un syndrome sacro-iliaque G, raison pour laquelle nous organisons une infiltration à ce niveau et reverrons Mme. Y par la suite. Nous suspectons une irritation du long chef du biceps provoquant les douleurs de Mme. Y. Nous organisons donc une IRM afin de pouvoir objectiver d'éventuelles lésions sur le tendon bicipital et organisons une infiltration dans le même temps au besoin en réserve. Nous suspectons une otite gauche mais n'arrivons pas à visualiser le tympan en raison d'un cérumen opiniâtre qui empêche la vue. Pour cette raison, nous adressons Mr. Y chez l'ORL pour la réévaluation à 48 heures et la discussion sur une éventuelle antibiothérapie. Nous suspectons une radiculopathie dans le cadre d'une hernie discale du territoire S1. Nous organisons une IRM lombaire et adressons Mme. Y au team spine. Concernant le pied, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Nous suspectons une sténose au niveau L5-S1, ce qui pourrait justifier les douleurs type claudication neurogène S1 ddc. D'autre part, vu les douleurs neuropathiques sur un fond de diabète, nous aimerions un bilan électrophysiologique afin de mieux comprendre l'atteinte périphérique. Nous organisons donc une IRM lombaire pour confirmer la sténose ainsi qu'un bilan neurologique avant de le revoir pour discuter de la suite de la prise en charge. Nous titrons la morphine jusqu'à 15 mg avec nette amélioration de la symptomatologie. Mr. Y rentre ensuite à domicile. Nous transmettons à Mme. Y le formulaire d'informations et de consentement éclairé pour réflexion et signature concernant la flavectomie et foraminotomie L2-L3, L3-L4. Nous lui expliquons de vive voix également les possibles complications opératoires allant de l'infection jusqu'à la paralysie ou le décès. Mme. Y bénéficiera d'une consultation anesthésique au préalable. Nous vous laissons le soin, Cher Confrère, d'évaluer la nécessité de reprendre un traitement antiagrégant au vu de l'historique cardiaque de Mr. Y. Consulter un médecin si nouvel épisode de saignement. Nous vous laissons le soin de discuter avec la famille sur la suite des investigations et de la prise en charge à proposer à Mme. Y concernant le nodule du sein gauche. Le radiologue propose un ultrason de second look avec biopsie éventuelle. Prof. X se tient à disposition pour la suite de la prise en charge si souhaitée. Bilan de l'ostéoporose en ambulatoire. Nous vous laissons le soin de suivre le poids à la sortie de Mr. Y et de contrôler les valeurs des vitamines D et B9. Nous vous laissons le soin d'organiser les changements de sonde urinaire à demeure toutes les 4 à 6 semaines. Nous vous laissons le soin d'organiser une colonoscopie en ambulatoire. Nous vous remercions de suivre le profil tensionnel, le poids et les valeurs des vitamines D, B9 et B12. Nous vous prions de bien vouloir réévaluer l'indication de poursuivre l'anticoagulation par Eliquis. Nous vous proposons d'adresser Mr. Y à un chirurgien en cas d'apparition d'une symptomatologie. Nous vous proposons de contrôler les électrolytes dans 2 semaines et de réévaluer la diminution du traitement de pantoprazol 40 mg 2x/jour dans 1 mois. Nous vous proposons de réaliser un suivi clinique et biologique dans les meilleurs délais. Nous ne proposons pas de colonoscopie de suivi dans 6 semaines en raison d'un examen réalisé il y a environ 2 ans. Nous vous proposons de suivre le poids et la clinique et d'adapter les diurétiques et les doses du Lisinopril chez le médecin traitant. Dr. X, rendez-vous le 30.01.2019 à 9h. Nous vous proposons de suivre le poids et les signes de surcharge de Mme. Y et d'adapter sa thérapie au besoin. Nous vous proposons de suivre l'évolution de Mme. Y et d'augmenter la dose de Remeron après 3-4 semaines si nécessaire. Nous vous proposons d'effectuer un contrôle biologique des électrolytes d'ici 1 semaine. Mme. Y sera convoquée en nutrition clinique pour un RDV de suivi dans 2 mois. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j s.c. pendant l'hospitalisation puis Xarelto 10 mg 1x/j p.o. à la sortie et jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. Y à 6 semaines. Nous vous proposons d'organiser des soins à domicile avec un contrôle santé 1x/semaine et aide au ménage.Nous vous proposons d'organiser en ambulatoire une évaluation neuropsychologique. Nous vous proposons de suivre les différents facteurs de risques cardiovasculaires au vu du diagnostic différentiel d'AIT, et de réaliser une prise en charge optimale. Nous vous proposons d'organiser un bilan cardiologique avec ETT et ergométrie en ambulatoire. Nous vous proposons d'organiser un bilan pneumologique avec des fonctions pulmonaires à distance et d'organiser une réhabilitation pulmonaire à l'HFR Billens. Nous vous proposons un contrôle du profil tensionnel, un bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte), ainsi qu'un suivi d'hémoglobine. Recommandation de proposer à nouveau un Holter de 72h. Nous voyons ce jour Mme. Y pour un contrôle de VNI nocturne associée à une oxygénothérapie nocturne à 1 l/min, dans le contexte d'un syndrome des apnées/hypopnées du sommeil sévère ainsi qu'un syndrome obésité-hypoventilation. La patiente se porte actuellement bien et ne présente pas de plainte respiratoire. Elle ne se plaint pas de symptômes de fatigue/somnolence ni de symptômes compatibles avec une hypercapnie matinale (céphalées matinales, xérostomie, injection conjonctivale). La tolérance à la VNI est bonne, témoignée par une excellente compliance d'après les statistiques ResScan. Le contrôle nocturne par polygraphie montre un excellent contrôle des événements (IAH à 1.2/h). La capnie et la saturation en oxygène nocturnes sont satisfaisantes avec un débit réglé sur 2 l/min. Nous proposons de maintenir un débit à 1 l/min que l'on juge suffisant. Dans ce contexte, nous ne changeons pas les paramètres ventilatoires et renouvelons les ordonnances pour la VNI et l'oxygénothérapie nocturne. Nous reverrons la patiente dans 1 an pour un nouveau contrôle par polygraphie et capnographie. Concernant les fonctions pulmonaires, celles-ci montrent une stabilité d'un syndrome restrictif sans syndrome obstructif. Nous ne prévoyons pas de recontrôler celles-ci dans le futur à moins que la patiente s'aggrave sur le plan respiratoire. En restant à votre disposition pour tout renseignement complémentaire, nous vous adressons, Monsieur et cher Confrère, nos salutations les meilleures. Nous voyons en date la patiente sus-nommée dans un contexte de chute sans traumatisme crânien ni perte de connaissance. L'examen clinique est rassurant sans atteinte déficitaire ou évoquant une atteinte de type Cauda equina. Nous prenons l'avis des orthopédistes qui ne retiennent pas d'indication à hospitaliser la patiente. La patiente, après avoir été mise au courant des risques actuels (fracture tassement vertébrale/cheville), refuse les radiographies au vu de sa grossesse. Dans ce contexte, les collègues proposent une IRM à 48h avec contrôle clinique par la suite. En cas de péjoration clinique, la patiente a été invitée à reconsulter dès que possible. Nous voyons l'IRM de la patiente ce jour. La hernie C5-C6 objectivée n'est pas en lien avec le traumatisme que la patiente a subi. Le reste est sans particularité. La patiente nous rapporte avoir bénéficié de 18 séances de physiothérapie, ce que nous poursuivons. Nous mettons en garde la patiente quant aux dorsalgies séquellaires probablement dues à sa forte poitrine, ce pourquoi des séances d'hygiène posturale devront être conduites. Pour ses cervicalgies en amélioration, nous prescrivons des séances de massages doux. La patiente, rapportant avoir repris son travail depuis le 10.12.2018 sans grande difficulté, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais nous restons à disposition en cas de péjoration de la symptomatologie. Nous voyons Mme. Y pour un contrôle VNI à 6 mois du dernier. Cliniquement, la patiente présentait une nette amélioration de la somnolence diurne de mai à septembre, puis à nouveau une péjoration de son état d'éveil diurne. Elle aurait eu la semaine passée un état fébrile de 2 à 3 jours, avec un encombrement bronchique lors de la physiothérapie respiratoire avec expectorations blanchâtres, en légère amélioration depuis 2 jours. Pas d'autre infection pulmonaire depuis l'hospitalisation de février 2018. Elle tolère très bien l'appareillage sans fuite et avec une zone de pression sur l'arrête nasale sans lésion cutanée. C'est sa maman, infirmière, qui s'occupe de la VNI. En ce qui concerne les symptômes respiratoires, nous organisons une radiographie du thorax et un laboratoire qui exclut un foyer et un syndrome inflammatoire. La polygraphie montre une légère augmentation de l'IAH passant de 0/h en février 2018 à 7.4/h actuellement, avec une bonne saturation en oxygène nocturne (SpO2 moyenne 96 %). La capnographie montre une tcPCO2 moyenne légèrement augmentée à 6.5 kPa (5.7 kPa en mai 2018) et une SpO2 moyenne à 96 %. La gazométrie au réveil est probablement contaminée par du sang veineux vu l'hypoxémie qui ne concorde pas avec la polygraphie et la capnographie. Au vu de ces résultats, nous proposons d'augmenter les pressions à une IPAP de 13 cmH2O et une EPAP de 6 cmH2O en espérant augmenter le volume courant et améliorer l'IAH et l'hypercapnie, tout en restant tolérable par la patiente. Si les pressions ne sont pas tolérées par la patiente, nous demandons à la ligue pulmonaire, qui nous lit en copie, de bien vouloir remettre les pressions d'avant (IPAP 12 cmH2O et EPAP 5 cmH2O). Nous vous proposons un bilan biologique élargi de la fatigue si la VNI n'améliore pas son état d'éveil avec également les dosages des antiépileptiques. Si l'état fébrile venait à réapparaître, ou si Mme. Y perd encore du poids, nous suggérons à la mère de la patiente de l'emmener aux Urgences ou chez son médecin. La patiente sera convoquée pour un contrôle de la VNI dans 3 mois. En restant à votre disposition pour tout renseignement complémentaire, je vous adresse, Monsieur et cher Confrère, mes meilleures salutations. Nous voyons Mme. Y à 3 semaines de la mise sous VNI avec oxygénothérapie nocturne pour un syndrome d'apnées/hypopnées obstructives du sommeil de degré sévère accompagné d'une insuffisance respiratoire globale mixte sévère d'origine multifactorielle avec trouble ventilatoire obstructif et restrictif. Mme. Y est très satisfaite de l'appareillage avec une nette amélioration de sa dyspnée et de la qualité de son sommeil, avec une diminution marquée de la fatigue diurne. Elle rapporte que sa famille remarque également une grande différence depuis 1 mois. Mme. Y a passé une bonne nuit à l'hôpital. La capnographie montre une pCO2 moyenne à 7.3 kPa et une SpO2 moyenne à 87 %. Le ResScan montre une bonne prise en charge des événements respiratoires avec un IAH à 3.8/h avec peu de fuites. En présence d'un état clinique très satisfaisant aux dires de la patiente, de sa famille et des soignants malgré une pCO2 sous-optimale, nous ne modifions pas les paramètres ventilatoires et préférons ne pas augmenter l'oxygénothérapie. Lors de la dernière hospitalisation, nous avions constaté une augmentation de la pCO2 en augmentant l'oxygénothérapie nocturne à 3 l. Nous reverrons Mme. Y dans 4 mois pour une polygraphie et capnographie nocturne. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau né à terme, bonne adaptation néonatale Bronchiolite à RSV positif Nouveau né a 38 2/7 SA. PN 2600 g (P 5), PCN 33 cm (P5-10) TN 46 cm (P3) S/p Mauvaise prise pondérale sur manque d'apport à 1 mois de vie. s/p BO en mai 2017 traitée par Ventolin en ambulatoire Nouveau né prématuré de 36 6/7 SA, Hernie inguinale gauche opérée Pleurs du nourrisson avec épuisement maternel Rash sous Amoxicilline Nouveau né: Rhésus positif Prophylaxie par Rhophylac le 11.01.2019 Nouveau né de 34 2/7 semaines de gestation avec un poids de naissance à 2370 gr (P50-75), taille à la naissance à 45 cm (P25-50), périmètre crânien (P25) Nouveau née à 38 5/7 PN 3020 gr Taille 47 cm (P3) PC 33 cm Apgar 5/7/10, pHa 7.25 pHv 7.31 J16 de vie à l'entrée Poids 3375 gr (P25-50). Nouveau née prématuré à 36 et 4/7 SA, Poids de naissance 3500g (P90-95). Accouchement par césarienne en urgence à cause de la stagnation de la dilatation à 9cm. Bonne adaptation primaire, Apgar 7/8/9, pH 7.33 Nouveau-né à terme. Nouveau-né à terme, PN 3220 (P25-50), TN 48 cm (P10), PCN 35,5 cm (P50-70). Nouveau-né à terme, voie basse, grossesse gémellaire Nouveau-né à terme (38 3/7) Suspicion d'infection néonatale précoce avec atteinte cutanée infirmée Hypoglycémie néonatale 2 épisodes de bronchite spastique péri-infectieuse DD allergique Nouveau-né à 40 1/7 SA en Suisse, Poids de naissance 3000 g (P 5-10), Taille de naissance 50 cm (P 10-25), PCN 34.5 cm (P 10-25). S/p Troubles de l'adaptation primaire avec SDR sur les 35 premières min de vie. - sur circulaire serrée et accouchement instrumenté. Fracture pariétale droite avec minime hématome sous-durale (3mm) et hématome sous-galéale 31.05.2018 Nouveau-née à terme de 38 3/7 semaines d'aménorrhée avec: - Poids de naissance de 3080 g (P 25-50) - Taille de naissance 47 cm (P 5) - Périmètre crânien à la naissance 35 cm (P 50-75) Nouveau-née à 38 3/7, PN 3850 g (P90-95), PCN 36 (P75-90), TN 51 cm (P50-75) Nouvelle consultation en cas de péjoration de l'état général Nouvelle consultation pour des douleurs lombaires gauches sur traumatisme le 26.01.2019. Nouvelle coronarographie prévue le 05.02.2019 Réadaptation cardio-vasculaire à l'HFR Billens dans un deuxième temps Nouvelle cure de 2 jours dans 1 mois Nouvelle cure de 2 jours dans 2 mois Cure en ambulatoire à Meyrier pour la suite de prise en charge Nouvelle fracture tassement vertébral D7 et D8 (classification A1 selon AO) d'origine traumatique le 27.12.2018 - ancienne fracture tassement L1 Nouvelle fracture tassement vertébral D7 et D8 (classification A1 selon AO) d'origine traumatique le 27.12.2018 - ancienne fracture tassement L1 Nouvelle fracture tassement vertébral D7 et D8 (classification A1 selon AO) d'origine traumatique le 27.12.2018 - ancienne fracture tassement L1 Ancien tabagisme (tabac, cigares, pipe) Appendectomie Prostatite en 2017 Décompensation cardiaque légère le 27.12.2018 Rx thorax 27.12.2018: cardiomégalie, redistribution baso-apicale Introduction Torasemid 5mg dès le 31.12.2018 Epanchement péricardique minime sans répercussion hémodynamique Echocardiographie transthoracique le 28.12.2018: Minime épanchement péricardique circonférentiel sans répercussion hémodynamique. Insuffisance rénale AKIN I probablement sur une rhabdomyolyse le 27.12.2018 Suspicion de FA intermittente Nouvelle fracture tassement vertébral D7 et D8 (classification A1 selon AO) d'origine traumatique le 27.12.2018 - ancienne fracture tassement L1 Ancien tabagisme (tabac, cigares, pipe) Appendicectomie Prostatite en 2017 Décompensation cardiaque légère le 27.12.2018 RX thorax 27.12.2018 : cardiomégalie, redistribution baso-apicale Introduction Torasemid 5mg dès le 31.12.2018 Epanchement péricardique minime sans répercussion hémodynamique Echocardiographie transthoracique le 28.12.2018 : minime épanchement péricardique circonférentiel sans répercussion hémodynamique Insuffisance rénale AKIN I probablement sur une rhabdomyolyse le 27.12.2018 Suspicion de FA intermittente Nouvelle infiltration foraminale L4 D sous CT selon évolution Nouvelle plastie du LCA genou G par le tendon rotulien (OP le 08.01.2019) Nouvelle pose de sonde urinaire Novalgin 500 mg 4 x/J Dafalgan 1 g max 4 x/j Tramal 50 mg 2 x/j Novalgin 500 mg 4 x/J Dafalgan 1 g max 4 x/j Tramal 50 mg 2 x/j Contrôle chez le médecin traitant dans 7 jours Novalgine, Paracétamol Nalbuphin en réserve Ondansétron 4 mg Novalgine 1 g. Patiente repartie sans consultation médicale. Nozinan SC administré 1x Adaptation des réserves Accompagnement interdisciplinaire NSCLC cT1b cN0 cM0, stade IA2, lobe supérieur droit - Exérèse le 15.11.2018 et résection Rx NSCLC type adénocarcinome stade IVa avec épanchement pleural malin à droite. NSCLC type épidermoïde lobe supérieur droit, pT2a pN0 (0/13) L0 V1 pN0 G3 R0 cM0, stade IB - date du diagnostic : 17.05.2018 - histologie (Promed P2018.5257) : carcinome épidermoide jusqu'à moyennement différencié (biopsie apicale droite). PD-L1 10% - CT thoracique du 21.03.2018 : masse apicale droite de 3 x 2 x 2.5 cm suspecte. Epaississement bronchique et interstitiel diffus - PET-CT du 04.03.2018 : intense hypercaptation pulmonaire apicale droite correspondant très probablement à une tumeur primitive du poumon, avec une probable métastase ganglionnaire dans la loge de Barety. Dysmorphie hépatique avec contours irréguliers du foie gauche et du bord antérieur du foie droit sans toutefois de nette lésion focale suspecte - Bronchoscopie/EBUS le 01.05.2018 - histologie (Promed P2018.4794) : tissu lymphoréticulaire, par endroits avec dépôt silico-anthracosique macrophagique (EBUS TBNA para-trachéal inférieur droit station 4R, infra-carinaire station 7 et para-trachéal gauche station 4L). - biopsie transthoracique masse apicale droite le 08.05.2018 - TB thoracique HFR du 16.05.2018 : proposition d'une résection chirurgicale à visée curative - Lobectomie supérieure droite par voie thoracoscopique + lymphadénectomie médiastinale radicale le 12.06.2018 - TB thoracique HFR du 27.06.2018 : pas d'indication à un traitement adjuvant, surveillance - actuellement : surveillance clinique et radiologique (aux 3 mois la 1e année, puis aux 6 mois jusqu'à 3 ans, puis 1x/an jusqu'à 5 ans) - dernier CT de contrôle effectué en juin 2018 car patiente ne se présente pas à ses RDV (septembre et décembre)NSCLC type épidermoïde lobe supérieur droit pT2a pN0 (0/13) L0 V1 pN0 G3 R0, stade IB: • S/p lobectomie supérieure droite avec curage ganglionnaire médiastinal radical par thoracoscopie uni-portale le 12.06.2018 (Dr. X) • Actuellement sous surveillance clinique et radiologique par Dr. X (HFR Fribourg) NSTEMI NSTEMI NSTEMI NSTEMI NSTEMI NSTEMI NSTEMI. NSTEMI. NSTEMI tropo + sur pic hypertensif avec: • décompensation cardiaque chez une patiente connue pour une insuffisance aortique et mitrale avec légère hypertension artérielle pulmonaire NSTEMI antérieur le 15.08.14 • Coronarographie (Dr. X) le 15.08.2014 : sténose subtotale de l'artère interventriculaire antérieure proximale : PTCA/Stent actif, dysfonction ventriculaire gauche avec akinésie apicale, FE VG 40% Hernie cicatricielle / éventration xipho-pubienne Cure d'éventration par laparotomie avec mise en place d'un filet retro musculaire pré fasciale le 16.10.2008 Laparotomie pour mise à plat d'un anévrisme de l'aorte abdominale par un tube droit le 22.09.2006 Stent artère rénale à droite en 2004 (notion anamnestique) NSTEMI antérieur subaigu sur une sténose subtotale de l'IVA proximale • PTCA et 2 stents actifs avec fenestration de la branche diagonale • FEVG à 66 % le 26.10.2009. NSTEMI antéro-septale sur subocclusion de l'IVA moyenne le 02.11.2018 • Coronarographie le 02.11.2018: PTCA IVA NSTEMI atypique le 05.01.2019 sur maladie coronarienne tritronculaire sévère : • ETT le 05.01.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie modérée de la paroi postérieure et de la paroi inféro-basale. FEVG à 60 % • Tronc commun ostiale 90%, IVA prox. 70%, LCX moyenne 70%, ACD prox. occluse NSTEMI atypique le 05.01.2019 • troponines positives avec modification à l'ECG • pic de CK à 300 U/I le 05.01.2019 • FEVG à 60 % avec hypokinésie modérée de la paroi postérieure et de la paroi inféro-basale NSTEMI avec modification à l'ECG sans DRS le 05.01.19 NSTEMI avec subocclusion de l'IVA ostiale et moyenne sur maladie coronarienne tritronculaire le 24.12.2018 • Subocclusion IVA ostiale : PCI (1DES) : Bon résultat • Sténose 70% IVA moyenne : PCI (1DES) : Bon résultat • Sténoses significatives DA, RCx proximale et IVP • Fraction d'éjection VG 35%, LVEDP 28 mmHg NSTEMI DD syndrome coronarien aigu, sur fibrillation auriculaire tachycarde NSTEMI en 2007 avec pose de 1 stent dans la première diagonale Cholécystectomie laparoscopique en 2006 Cure de hernie inguinal bilatéral en 2007 Diverticulite sigmoïdienne Hansen Stock IIa, premier épisode traitée par antibiothérapie Suspicion de lésion de la coiffe des rotateurs de l'épaule droite dans un contexte de status post plastie tendineuse indéterminée de la coiffe des rotateurs de l'épaule droite en 2018 NSTEMI inférieur sur occlusion de la CD proximale le 06.03.2018 : • ETT le 06.03.2018 : hypokinésie minime de la paroi inférieure moyenne et de la paroi postérieure moyenne, FEVG à 50-55 %. • coronarographie le 07.03.2018 : double sténose de 70-90% de l'artère coronaire droite proximale, traitée par PCI/ 1 long DES, sténose de 50-70% de l'IVA proximale-moyenne. • Aspirine dose de charge le 07.03.2018 puis à vie. • Efient dose de charge le 07.03.2018 puis pour 6 mois. Multiples opérations orthopédiques des 2 genoux (demi-prothèse bilatérale). Douleur du muscle gastrocnémien externe droit 11.06.2012. Césarienne. Opération du tunnel carpien des deux côtés. Amygdalectomie. Contusion de la main gauche. NSTEMI le 07.01.2019 sur maladie coronarienne bitronculaire NSTEMI le 07.01.2019 sur maladie coronarienne bitronculaire • 07.01.2019 (Dr. X) : pose de 1 stent actif sur l'artère circonflexe proximale et 1 stent actif sur l'ACD proximale • 07.01.2019 (Dr. X) : FEVG 60%, pas de valvulopathie, pas de troubles segmentaires • FRCV : diabète insulino-requérant, HTA, tabagisme actif, sédentarité NSTEMI le 08.01.2018: NSTEMI, le 10.01.2019 dans un contexte de maladie coronarienne tritronculaire NSTEMI le 17.01.2019 NSTEMI le 21.01.2019 avec maladie coronarienne sévère très calcifiée de 3 vaisseaux • sténoses étagées multiples de 70-95% de l'IVA • resténose longue intrastents de la CX moyenne • sténose de 50-70% de l'artère coronaire droite NSTEMI le 23.1.2019 NSTEMI le 27.01.2019 NSTEMI le 31.12.2018 NSTEMI le 31.12.2018 • status post-triple pontage aorto-coronarien le 30.06.1998 (mammaire interne gauche-IVA, pont veineux séquentiel-bissectrice-CX moyenne). • status post-angioplastie et pose de 3 stents actifs (1 sur le tronc commun et la CX, 2 sur l'IVP) le 24.04.2013 NSTEMI, Maladie coronarienne monotronculaire avec: NSTEMI secondaire • NT-proBNP à > 2000 ng/l • cinétiques de troponines positives • FEVG à 55 % NSTEMI secondaire à un bas débit le 04.11.2018 NSTEMI secondaire au choc hypovolémique le 21.12.2018 avec: • status post-pose de Stent coronaire droite moyenne le 04.01.2019 NSTEMI secondaire au trouble du rythme NSTEMI secondaire le 21.01.2019 dans un contexte de maladie monotronculaire connue : • DD : secondaire sur pneumonie bactérienne basale droite, occlusion coronarienne • ondes T négatives nouvelles de V3-V4 le 21.01.2019 • troponines le 21.01.2019 H0-H1 : 99 ng/l - 96 ng/l - 91 ng/l • CK 39 U/l, CK-MB 18 U/l le 21.01.2019. • s/p coronarographie le 04.11.2016 : angioplastie de la Cx distale avec pose d'un stent actif. • s/p coronarographie le 25.05.2016 : lésions coronaires diffuses • s/p STEMI sur occlusion de la Cx proximale avec pose de stent en 2011 NSTEMI secondaire sur bas débit le 04.11.2018 dans contexte de cardiopathie ischémique et valvulaire (cf comorbidités) • Récidive de NSTEMI le 13.11.2018 sur anémie NSTEMI secondaire sur passage en FA et HTA NSTEMI secondaire sur pic hypertensif et anémie sévère le 04.01.2018 NSTEMI secondaire sur cardiopathie hypertensive, le 11.01.2019 NSTEMI subaigu sur occlusion de la coronaire droite moyenne le 29.06.2012. Maladie coronarienne bitronculaire le 29.06.2012 avec occlusion de l'artère coronaire droite moyenne, lésion à 50% irrégulière de l'IVA moyenne. Lombalgies avec status spondylodèse inter-somatique par voie antérieure en L5-S1 avec cage vissée le 11.03.2009. Status post grossesse extra-utérine ayant nécessité une laparoscopie il y a 28 ans. Conisation du col utérin pour cancer. Embolie pulmonaire en 1991, pendant la grossesse. Status post-amygdalectomie. Status post-appendicectomie. Volumineux pseudokyste rétro-péritonéal droit post-adiponécrose. 17.09.2014, Dr. X : laparotomie, exérèse du kyste rétro-péritonéal gauche. DAP : pseudokyste péritonéal post-adiponécrose. Absence de lésion suspecte de malignité. Hernie ombilicale asymptomatique. • 17.09.2014, Dr. X : cure de la hernie ombilicale par fermeture directe, dans le même temps opératoire que l'exérèse du kyste. • NSTEMI sur : • Sténose subtotale de la première marginale : PTCA/1x + stent actif • Sténose significative de l'artère circonflexe distale : stent actif • NSTEMI sur cœur pulmonaire, hypoxémie et coronaropathie le 13.01.2013 2 épisodes de candidose orale le 07.02.2013 et le 23.02.2013 traités par Diflucan Embolie pulmonaire sous-segmentaire du lobe inférieur droit le 13.01.2013 • NSTEMI sur lésion sub-occlusive de l'artère coronaire droite proximale le 27.07.2012 • Coronarographie et ventriculographie (Dr. X) le 27.07.2012 : 2 DES CD, FEVG 67% Sp cure de hernie inguinale novembre 2011 • NSTEMI sur lésions chroniques tritronculaires le 04.01.2019 • Subocclusion CX, CD et IVA • Pic de CK à 780 le 05.01.2019 • NSTEMI sur maladie coronarienne bitronculaire le 17.06.2012. Douleur thoracique d'origine musculo-squelettique probable le 22.10.2012. Pneumonie basale et médial droite en 2015. Multiples kystes hépatiques simples et rénaux en 2015. Traumatisme crânio-cérébral avec le : • hématome du front droit le 08.01.2019. • dans le contexte d'une éthylisation aiguë à 2.62 pour mille. • Fracture ouverte de l'os propre du nez (plaie en regard) le 08.01.2018. Chute d'origine indéterminée, DD : sur éthylisation aiguë, malaise. Plaies multiples : • plaie du sommet du nez avec perte de substance. • plaie frontale droite avec dermabrasion et plaie punctiforme. • plaie ovale du dessus de la lèvre droite avec perte de substance non-transfixiante. Désinfection, anesthésie locale de la plaie du sommet du nez, rinçage abondant, suture par 3 pts de Prolène 4-0. Hypothermie à 34 °C sur stase au sol. Réchauffement par couverture chauffante. • NSTEMI sur maladie coronarienne de 2 vaisseaux (IVA et coronaire droite) le 23.01.2019 • Hypokinésie sévère antéro-apicale. • Fonction systolique globale du ventricule gauche à la limite inférieure de la norme (FE : 55%). • PCI/1 DES d'une sténose de 95-99% de l'IVA proximale et stenting direct d'une sténose de 90 de l'IVA moyenne (1 stent actif) : bon résultat. • NSTEMI sur maladie coronarienne tritronculaire le 04.01.2019 • pic de CK à 780 le 05.01.2019 • NSTEMI sur maladie tritronculaire le 17.01.2019 : • sténose subocclusive de l'artère interventriculaire antérieure moyenne • in stent re-sténose subocclusive de l'ostium de la première diagonale. • sténose significative de la seconde marginale (grand vaisseau) • sténose significative de l'artère interventriculaire postérieure • discrète hypokinésie apicale, EF 65% • NSTEMI sur persistance de dissection coronaire (CX distale) le 16.01.2019 avec : • syndrome coronarien aigu le 14.01.2019 sur dissection coronaire spontanée (CX distale) avec fonction systolique du VG normale, hypokinésie inférieure • NSTEMI sur probable persistance de dissection coronaire (CX distale) le 16.01.2019 • NSTEMI sur sténose de la première diagonale le 14.01.2019 • Pic de CK à 1200 U/I • NSTEMI sur sténose serrée étagée de l'IVA le 23.01.2019 • Hypokinésie sévère antéro-apicale. • Fonction systolique globale du ventricule gauche à la limite inférieure de la norme (FE : 55%). • NSTEMI type 2 le 13.01.2019 • contexte de crise hypertensive/anémie • NSTEMI 13.01.2019 • DD type 2 sur crise hypertensive • NSTEMI 14.01.2019 • NSTEMI 2nd sur flutter auriculaire tachycarde • NSTEMI/angor instable. NT-ProBNP à 28'000 ng/l, troponines, CK-MB dans la norme Furosémide 1 x 0.5 mg/kg (9 mg) iv le 07.01 Majoration des traitements diurétiques dès le 07.01 (Esidrex de 1 mg/kg à 2 mg/kg/j) Consultation cardiologie (Dr. X) le 16.01 en ambulatoire NT-proBNP 1349 ng/l CT thoraco-abdominal (Cimed le 28.12.2018) : épanchements pleuraux bilatéraux de 1L minimum avec épaississement bronchique diffu ECG le 28.12.2018 : superposable aux comparatifs (rythme sinusal régulier, limite bradycarde, BAV 1er degré, BBD et sous-décalages en V5-V6) Radio de thorax le 28.12.2018 : épanchements pleuraux, signes de surcharge ETT 31.12.2018 (Dr. X) : Dilatation gauche, FEVG à 55%, pas de troubles de la cinétique, IM modérée, Dysfonction systolique droite, IP modérée avec PAP à 32 mmHg Adaptation traitement diurétique, en bolus puis per os NT-proBNP : >9000 ECG Augmentation du Torem à 15 mg/j Nucalgie. Nucalgie le 23.12.2018 Nucalgie sur contracture positionnelle du trapèze gauche. Nucalgies avec céphalées frontales gauche le 08.06.2014. Crise d'angoisse le 02.11.2016. Nuchalgie. Numéro du Centre de Pédo-psychiatrie de Fribourg donné aux parents Reprise contact proposée avec psychologue Mme. Y Numéros d'urgences de psychiatrie donnés à la patiente. 2 comprimés de Stilnox 10 mg. Nutrition clinique Nutrition clinique Nutrition clinique Physiothérapie Ergothérapie Test de Schellong sans bas : positif Test de Schellong avec bas : négatif mais moins symptomatique Tests de la cognition : MMSE à 24/30, test de la montre à 1/7 ; GDS à 3/15 Nutrition entérale - arrêtée le 16.09.2018 Conseil diététique Nutrition parentérale du 07.11.2018 au 19.11.2018, puis du 24.11.2018 au 06.12.2018 Pose de sonde naso-jéjunale lundi 17.12.2018 à 11 heures à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal Nutrition entérale dès le 18.12.2018 Nutrition parentérale du 17.01.2019 au 19.01.2019 puis alimentation entérale Nutrition parentérale du 25.12.2018 au 26.12.2018 et du 27.12.2018 au 16.01.2019 Nutrition parentérale du 29.12.2018 au 03.01.2019 Nutrition parentérale par VVP dès le 05.12.2018 puis par VVC du 10.12.2018 au 28.12.2018 SNG le 14.01.2019 : échec de pose (boucle dans l'œsophage) • Pose de SND par endoscopie le 17.01.2019 : nutrition par Fresubin avec cible à 1000 ml/24h si bonne tolérance Suivi nutritionnel Nycturie Nycturie à 3 épisodes OAP le 06.01.2019 sur probable pic hypertensif OAP le 06.01.2019 sur probable pic hypertensif OAP le 24.05.2017 Pharyngo-amygdalite d'origine probablement virale le 30.03.2016 S/p décompression L4-L5 avec discectomie L4/L5 avec mise en place d'une cage, spondylodèse par vis en 2015 Trouble de l'adaptation avec prédominance de la perturbation d'autres émotions en mai 2015 Infarctus inaugural en 2001 avec revascularisation par triple pontage aorto-coronarien Infarctus du myocarde inaugural en 2001 Amputation de l'extrémité de plusieurs orteils des deux pieds dans les années 2000 Amputation 3ème et 5ème orteils pied G sur ischémie chronique, stade III-IV, post-traumatique en 1994 • OAP sur Flutter 2-1 avec tachycardie supraventriculaire • OAP sur passage en flutter rapide, le 19.01.2019 • Oberbauchschmerzen seit gestern • Obésité • Obésité • Obésité • Obésité • Obésité • Obésité. • Obésité. • Obésité. • Obésité. • Obésité. • Obésité. • Obésité. • Obésité. • Obésité avec BMI à 31.9 kg/m2. Hypercholestérolémie. BPCO stade II selon GOLD à composante asthmatique avec Tiffeneau à 61% et 78% de valeurs prédites : • fonctions pulmonaires du 28.01.2014 : syndrome obstructif sévère avec hyperinflation et air trapping statique sans changement après B2 stimulant. Diffusion de CO rapportée au volume alvéolaire dans les normes. VEMS à 1.30. • fonctions pulmonaires du 11.03.2014 : syndrome obstructif sévère avec VEMS à 1.61. Syndrome des apnées du sommeil discret non appareillé : • 09.04.2014 saturation moyenne 93%, minimale de 80% avec un indice de désaturation 47. Insuffisance veineuse chronique du membre inférieur droit (intervention au laser le 05.11.2015). Migraine probable traitée par Relpax. Syndrome de Widal en novembre 2015. Obésité avec BMI à 38 kg/m2 (124 kg; 179 cm) Arthropathie microcristalline à cristaux d'acide urique IPMN pancréatique Obésité avec opération pour bypass en janvier 2013. Syndrome des ovaires polykystiques. État dépressif. Obésité BMI 35 kg/m2. Infertilité primaire avec : • Sp Laparoscopie pour kystectomie de l'ovaire droite pour tératome le 25.07.2017. • Hystéroscopie diagnostique sous anesthésie générale le 25.07.2017. Utérus unicorne gauche sans corne rudimentaire à droite (reliquat tubaire à droite) type U4b selon classification ESHRE. Obésité (BMI 36 kg/m2) Obésité (BMI 36 kg/m2) Obésité (BMI 36 kg/m2) Obésité BMI 50 Hypertension artérielle chronique Syndrome d'apnée du sommeil Lombalgies chroniques Gonarthrose bilatérale Traitement habituel : Aprovel 300 1xj, Anopodulin 10mg 1xj, Condrosulf 80, Cymbalta 60mg 1xj Obésité classe II (BMI à 38) Obésité de classe II selon OMS avec BMI à 36 kg/m2. Hypertension artérielle. Diabète de type 2 insulino-requérant. Dyslipidémie. BPCO non stadée. Epigastralgies chroniques d'origine indéterminée. Tabagisme actif. Obésité de classe II selon OMS avec BMI à 36 kg/m2. Hypertension artérielle. Diabète de type 2 insulino-requérant. Dyslipidémie. BPCO non stadée. Tabagisme actif. Obésité de classe 1 selon l'OMS • BMI 31 kg/m2 en 12/2018 • sédentarité en raison des douleurs dorsales chroniques, déséquilibre alimentaire avec grignotage jour et nuit et prise pondérale de 10 kg en 6 mois Obésité de grade 3 selon l'OMS • BMI 42 kg/m2 Obésité de stade I. État dépressif. Obésité de stade 2 Obésité grade II SAS traité par CPAP Obésité morbide. Obésité morbide. Obésité morbide. Obésité morbide : BMI à 44 Syndrome de microduplication 22q11.21 de novo, diagnostic posé le 06.12.2017 Obésité morbide (BMI 48 kg/m2). Intolérance au glucose. Obésité morbide (BMI 53) avec suspicion de SAOS Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI à 42,7kg/m2 (113kg ; 163cm) Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI à 43kg/m2 (120kg ; 167cm) Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI à 45,4 kg/m2 (125 kg - 166 cm), le 17.12.2018. Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI à 45,6 kg/m2 (143 kg ; 177 cm) : • Status post-bypass gastrique et cholécystectomie le 07.03.2016. • Choc septique sur lâchage d'anastomose jéjuno-jéjunale d'un bypass gastrique le 14.03.2016 : • Laparotomie exploratrice, lavage abdominal, reprise anastomose du pied de l'anse sur drain de Kehr, gastrostomie au niveau de l'estomac exclut, pose de VAC abdominal le 14.03.2016 • Laparotomie exploratrice (2nd look), lavage abdominal abondant et fermeture de la paroi abdominale avec mise en place d'un VAC sub-cutané le 15.03.2016. • Ablation du VAC et fermeture de la paroi abdominale le 24.03.2016 • Actuellement : douleurs abdominales au niveau des trajets des drains (1 Jackson-Pratt et gastrostomie chirurgicale au niveau d'estomac exclu). Obésité morbide de type III (taille 163 cm, poids 158 kg) avec impotence fonctionnelle (en chaise électrique), lipo-oedème symptomatique et troubles du comportement alimentaire compulsifs. Anticoagulation par Xarelto pour les antécédents thrombo-emboliques décrits ci-dessous. Psychiatrique : • trouble de la personnalité type borderline. • retard mental léger avec troubles du comportement. • ancien syndrome de dépendance à l'alcool. • tentative de suicide il y a environ 10 ans avec lacération du membre supérieur droit. Surdité de 50% bilatérale. Myopie appareillée. Gonarthrose bilatérale. Obésité morbide (IMC 43) Obésité morbide. Dépression. Obésité morbide. Dépression. Obésité morbide. Hypercholestérolémie. Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI à 35,9kg/m2 (101kg ; 168cm) Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI à 36,7 kg/m2 (118 kg ; 180 cm) Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI à 36,7kg/m2 Obésité stade I. Obésité stade I avec un BMI à 30 kg/m2. Obésité Diabète de type II insulino-requérant Hypertension artérielle traitée NASH Hyperparathyroïdisme primaire Insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs Obésité Diabète de type II insulino-requérant Hypertension artérielle traitée NASH Hyperparathyroïdisme primaire Insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs Ulcère du membre inférieur gauche : • contexte d'insuffisance veineuse des membres inférieurs • diabète Obésité. Diabète de type II non insulino-dépendant. Hypertension artérielle. Syndrome d'apnée du sommeil appareillé. Obésité Diabète de type II HTA Dyslipidémie Obésité Diabète type II non insulino-requérant depuis 2010 CPAP depuis 2006 HTA traitée depuis 2003 Hypospadias sous glandulaire diagnostiqué en 2001 (risque élevé d'urétrite) Prostatite chronique Obésité Dyslipidémie Hypertension artérielle Diabète de type 2 Anévrisme sacculaire calcifié de l'artère splénique de 16 mm de grand diamètre sur le plan axial Artériopathie oblitérante des membres inférieurs stade II • Sténose sub-occlusive du départ de l'artère fémorale superficielle droite asymptomatique • Anévrisme thrombosé fémoral supérieur droite et gauche Maladie coronarienne monotronculaire • Sténose non-significative au niveau de l'CD distale Obésité. Hypertension artérielle traitée. Obésité Hypertension artérielle traitée Hypothyroïdie sous substitution par Euthyrox sur status post-thyroïdectomie. Obésité. Hypothyroïdie. Syndrome d'apnées obstructives du sommeil, appareillée. Obésité. Hypothyroïdie. Syndrome d'apnées obstructives du sommeil, appareillée. Obésité. Surdité bilatérale appareillée. Obésité Tabagisme ancien à 12 UPA (stoppé en 2011) Obésité. Tabagisme ancien à 12 UPA (stoppé en 2011). Obésité Tabagisme ancien à 12 UPA (stoppé en 2011). IRM cardiaque du 25.06.2015 : réhaussement tardif presque entièrement transmural de la paroi inférieure/inférolatérale moyenne faisant évoquer en 1er lieu une séquelle d'infarctus myocardique. Cet aspect peut se voir dans la myocardite mais beaucoup plus rarement. Anévrisme du septum interauriculaire avec FOP perméable uniquement au Valsalva. Cholélithiase asymptomatique. Obésité Tabagisme ancien à 12 UPA (stoppé en 2011). IRM cardiaque du 25.06.2015 : rehaussement tardif transmural de la paroi inférieure/inférolatérale moyenne faisant évoquer en 1er lieu une séquelle d'infarctus myocardique. Anévrisme du septum interauriculaire avec FOP perméable uniquement au Valsalva. Cholélithiase asymptomatique. Obésité Tabagisme ancien à 12 UPA (stoppé en 2011). Maladie coronarienne monotronculaire (CX) avec : • S/après infarctus myocardique inférolatéral moyen le 25.06.2015 sur probable dissection spontanée d'une petite branche distale de la CX (DD : événement embolique ?), • IRM cardiaque du 25.06.2015 : rehaussement tardif transmural de la paroi inférieure/inférolatérale moyenne faisant évoquer en 1er lieu une séquelle d'infarctus myocardique. Anévrisme du septum interauriculaire avec FOP perméable uniquement au Valsalva. Cholélithiase asymptomatique. Obésité. Tabagisme 10 UPA. Ovaires polykystiques. Résistance à l'insuline. Bypass gastrique le 31.10.2016. Lumbago non déficitaire sur hernie discale L5-S1, sous Oxynorm en réserve. Observation aux Urgences Contention si agitation : non nécessaire Conseil de reprendre un suivi au centre d'addictologie à Fribourg et de poursuivre son suivi avec sa psychologue. Observation clinique. Observation, pas d'antibiothérapie d'office. Obstétricaux : • Pré-éclampsie à 37 semaines d'aménorrhée en 2006, Accouchement par voie basse avec déchirure II, anesthésie : Péridurale, lieu : HFR Riaz, sexe : M, prénom : Mathéo, SA : 37, poids (g) : 3950. • Césarienne après déclenchement pour pré-éclampsie en 2016, lieu : Daler, sexe : M, prénom : Gabriel, SA : 39 4/7, poids (g) : 3950. Chirurgicaux : Cholecystectomie Amygdalectomie. Obstétricaux : Sp 3x césarienne en 2003, 2005, 2012. Antécédents familiaux : Carcinome de la prostate chez le père Leucémie chez l'oncle paternel Cancer généralisé d'origine indéterminée chez la tante maternelle Cancer du sein chez une cousine paternelle Cancer du poumon chez une cousine paternelle, tabagique. Obstétricaux : voie d'accouchement : AVB, lésion génitale : Périnée intact, délivrance : Nle complète, Date : 2009, anesthésie : Péri, lieu : HFR Fribourg, sexe : M, SA : 41 1/7, poids (g) : 3220. voie d'accouchement : AVB, instrumentation : non, lésion génitale : Périnée intact, délivrance : Nle complète, Date : 2011, anesthésie : Péri, lieu : HFR Fribourg, sexe : M, SA : 41, poids (g) : 3440. Accouchement par voie basse spontané à 39 1/7 SA chez une patiente 3G devenue 3P. Lombalgie non déficitaire le 16.11.2015 Entorse du poignet gauche. Obstétricaux : 1997 : Accouchement par voie basse spontané, lieu : Éthiopie, sexe : M 1999 : Accouchement par voie basse spontané, lieu : Éthiopie, sexe : F 2009 : Accouchement par voie basse, lésion génitale : Épisiotomie, délivrance : Nle complète, lieu : HFR Fribourg, sexe : M, prénom : Natnael, SA : 38+3, poids (g) : 3020, allaitement (mois) : 18, 2012 : Accouchement par voie basse, lésion génitale : Périnée intact, délivrance : Nle complète, lieu : HFR Fribourg, sexe : F, prénom : Efrata, SA : 41, poids (g) : 3330, allaitement (mois) : 16, particularités : Provocation pour terme dépassé. Chirurgicaux non gynécologiques : OP fracture cheville gauche. Obstétricaux : 2001 : Accouchement par césarienne, d'un enfant de sexe F pesant 3350 gr. Bien portant. CTG pathologique vs bradycardie. 2002 : Accouchement par césarienne, d'un enfant de sexe M pesant 3900 gr. Bien portant. Position fœtale + Diabète gestationnel. 1998 : Interruption volontaire de grossesse. 2017 : Fausse couche spontanée à <12 semaines d'aménorrhée. Antécédents médicaux et chirurgicaux : 2006 Hernie discale opérée Status post Crossectomie, stripping court et phlébotomies du membre inférieur droit et phlébotomies du membre inférieur gauche le 04.02.2010. Obstipation • sous Movicol en réserve. Obstruction des voies biliaires sur cholédocholithiase le 01.01.2019. Obstruction des voies biliaires sur probable cholédocholithiase le 01.01.2019. Obstruction du canal lacrymal. Obstruction du conduit auditif externe à droite. • sur bouchon de cire. Obstruction du stent oesophagien le 14.1.19 puis de nouveau le 17.01.2019. DD sur KCl dragée et consommation de viande/poisson non mixé. Obstruction nasale bilatérale. Obstruction nasale bilatérale d'origine mécanique. Obstruction nasale bilatérale par sang coagulé suite à épistaxis • s/p rhinoplastie le 09.01.2019 • s/p pose de silicone au niveau des fosses nasales bilatérales le 10.01.2019. Obstruction nasale chronique. Obstruction nasale chronique. Adénocarcinome de l'œsophage distal à la jonction oesogastrique à 30 - 35 cm en stade cTx cN+ cM0 avec : • date du diagnostic : 05.10.2018 • histologie : adénocarcinome peu différencié de type intestinal, pas d'instabilité des microsatellites • OGD du 02.10.2018 : tumeur dans la lumière de l'œsophage légèrement sténosante débutant à 30 cm de l'arcade dentaire jusqu'à la ligne Z à 35 cm, muqueuse antrale sans particularité • CT thoraco-abdominal du 02.10.2018 : lésion tumorale du tiers distal de l'œsophage jusqu'à la jonction oesogastrique, adénopathies locorégionales • PET-CT du 10.10.2018 : hypercaptation de l'œsophage distal et adénopathies locorégionales, hypercaptation suspecte côlon transverse • tumorboard de chirurgie viscérale du 10.10.2018 : colonoscopie puis planification d'une radio-chimiothérapie au niveau de l'œsophage distal • colonoscopie du 15.10.2018 : tumeur occupant les ¾ de la circonférence probablement sur le transverse moyen, biopsie en cours • tumorboard de chirurgie viscérale du 17.10.2018 : radio-chimiothérapie définitive pour le cancer de l'œsophage • Suivi par Dr. X • Dernière séance de radiothérapie prévue le 04.01.2019 à 8h20, le patient n'a pas pu s'y présenter. Adénocarcinome du côlon transverse Probables lésions prostatiques tumorales en cours d'investigation : • IRM 18.09.2018 : lésion focale de 9 x 4 mm, en partie moyenne, de la zone périphérique latérale gauche, classée PIRADS 4. Deuxième lésion focale de 5 x 5 mm de la zone de transition antérieure médiane de la région moyenne adjacente au stroma fibromusculaire antérieur, classée PIRADS 4. Absence d'effraction capsulaire. Absence d'infiltration des vésicules séminales, ni d'atteinte ganglionnaire ou osseuse. Hyperplasie de la prostate avec vessie de lutte. • suivi par Dr. X. Obstruction nasale chronique avec : • ectasie vasculaire du locus Kiesselbachi à droite • utilisation quotidienne de Triofan. Obstruction nasale et otalgie. Obstruction sonde jéjunale. Obstruction stent oesophagien. Occlusion artère iliaque commune gauche asymptomatique : • découverte fortuite sur scanner injecté le 17.01.2019. Occlusion artère iliaque commune gauche asymptomatique le 17.01.2019. Occlusion colique d'origine X. DD : colite ischémique. Occlusion intestinale sur hernie incarcérée d'origine digestive dans le scrotum. Occlusion palpébrale. Vitamine A. Antalgie. Certificat médical. Consultation ophtalmologique le 23.01.19. Occlusions artérielles distales des mains et pieds principalement. DD: vasculite (anticorps anti-phospholipides, MP4), dermatopolymyosite, sur emboles (cholestérol, septiques, mycotiques). Octobre 2017 - Fausse couche spontanée à 12 semaines d'aménorrhée. Sevrage médicaments anti-douleur en 2016 suite à un accident de la route (durée 1 an). Césarienne en urgences pour échec de provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant chez une patiente de 29 ans, 2 gestes devenue primipare à 38 4/7 semaines d'aménorrhée le 21.08.2018. Provocation par Propess 2x puis ballonnet du 17.08 au 21.08. Diabète gestationnel insulino-requérant. Octréoscan du 09.01 et 10.01.2019: absence de foyer hyperactif pathologique net en faveur d'un éventuel reliquat tumoral ou de métastases loco-régionales et à distance. Ce résultat peut être faux négatif si la tumeur primitive ne présente pas des récepteurs à la Somatostatine. Laboratoire: cf annexes. Histologie: cf annexes. Odynodysphagie. Odynodysphagie d'origine indéterminée : • contexte de reflux gastro-oesophagien. • investigué par le Dr X, ORL. Odynophagie. Odynophagie d'origine probablement virale. Odynophagie d'origine X (DD: infection des voies respiratoires supérieures virale, évolution de la maladie de Huntington). Odynophagie sur probable infection virale des voies respiratoires supérieures le 09.01.2019. Oedème aigu du poumon débutant. • sur décompensation cardiaque sur flutter auriculaire. Oedème de la jambe droite. Oedème de la luette d'origine allergique probable le 02.01.2019. Oedème des lèvres le 09.01.2019. Oedème des membres inférieurs le 10.01.2019. • probablement sur hypoalbuminémie à 21 g/L. DD : Prednisone. Oedème des membres supérieurs. • apparemment réapparu suite à diminution des traitements diurétiques à domicile pour cause d'hypotension symptomatique. • possible composante de lymphoedème du membre supérieur droit sur radiothérapie. Oedème des membres supérieurs. • DD: composante de lymphoedème du membre supérieur droit sur radiothérapie, occlusion chronique de la veine brachio-céphalique droite. Oedème des muqueuses (lèvres) 13.01.2019 d'étiologie indéterminée. Oedème doigt 5. Oedème du filtrum à gauche, probablement post-traumatique. DD: phlegmon à point de départ dentaire (mais pas d'état fébrile ni d'érythème, pas de douleur à la palpation de la gencive, douleur à la mobilisation de la dent 61). Oedème du membre inférieur. Oedème du membre inférieur droit. Oedème du membre inférieur droit d'origine indéterminée. Oedème du membre supérieur droit. Oedème du pied droit prenant le godet, asymptomatique, DD arthrite septique. Oedème du visage. Oedème d'un membre. Oedème et douleurs des pieds. Oedème généralisé sur cardioplégie septique. Oedème labial sur réaction allergique au Pevaryl le 19.12.2018. Oedème de la langue. Oedème de la lèvre supérieure. Oedème lymphatique dans le cadre d'un cancer du sein droit. Hyperuricémie. Hypercholestérolémie. HTA. Insuffisance rénale chronique. Diabète de type 2 insulino-requérant. Etat dépressif, suivi par Dr. X. Obésité morbide. SAOS sous CPAP (suivi par Dr. X). Tremblement de la main droite depuis 10 ans. Oedème membre inférieur gauche. Oedème membre supérieur. Oedème pulmonaire aigu avec décompensation cardiaque globale le 27.07.2018. Maladie hémorroïdaire avec : • hémorragie hémorroïdaire avec pose de bandes élastiques locales en urgence (Meyriez 27.04.2017). • ligature hémorroïdaire ultérieure le 12.05.2017. Microdiscectomie antérieure (C5-C6) avec pose d'une cage en titane et fixation avec plaquette-ABC (2009) sur sténose du canal spinal de haut grade d'étiologie herniaire discale, entraînant une myélopathie. Dyspepsie et douleurs abdominales d'origine probablement fonctionnelle (multiples investigations effectuées sans pathologies identifiées hormis la constipation connue). Psoriasis vulgaris anamnestique. Oedème pulmonaire aigu sur pic hypertensif à 200/150 mm/Hg le 04.01.2019. • DD : broncho-aspiration post-sédation par Dormicum pour oesogastroduodénoscopie. Oedème réactionnel du membre supérieur gauche sur manque de mobilité +/- pose de Pic line le 25/01/19. Oedèmes des jambes inférieures post-opératoires. • 2000 endoprothèse totale de la hanche gauche. • 2018 ostéosynthèse avec clou Gamma droit sur fracture pertrochantérienne. • Labo 12/2018: albumine dans la norme. Oedèmes des membres inférieurs. Oedèmes des membres inférieurs. Oedèmes des membres inférieurs. • d'origine mixte cardiaque et lymphatique. Oedèmes des membres inférieurs DD : insuffisance veineuse, insuffisance lymphatique. Oedèmes des membres inférieurs d'origine mixte sur : • hypoalbuminémie à 33.6 g/L. • probable insuffisance cardiaque. Oedèmes des membres inférieurs d'origine probablement mixte. • labo en 12/2018 et 01/2019: bilan rénal et protéique dans la norme. Oedèmes des membres inférieurs et péniens modérés sur composante cardiaque, possiblement obstruction lymphatique. Oedèmes des membres inférieurs importants et symptomatiques. • probablement sur hypoalbuminémie à 21 g/L et corticothérapie. Oedèmes des membres inférieurs le 03.01.2018. • dans un contexte d'oedèmes chroniques. • probable péjoration sur atteinte lymphatique par le sarcome. Oedèmes des membres inférieurs le 28.01.2019 sur rétention hydro-sodée. • DD probablement dans le cadre des corticoïdes. Oedèmes des membres supérieurs, toux. Oedèmes des MI accompagnés d'une insuffisance respiratoire en postopératoire. Oedèmes importants des membres inférieurs. Oedèmes légers au niveau malléolaires. Oeil droit: plaie de la paupière supérieure nasale par tournevis avec hernie de la graisse orbitaire. Oeil droit rouge. Oeil gauche rouge. Oeil gauche rouge avec anisocorie. (DD: corps étranger, conjonctivite, autre). Oeil rouge. Oeil rouge et éruption cutanée. Oesogastroscopie-colonoscopie en élective. Oesophage de Barrett (gastroscopie 2011). Asthme. Pathologie dépressive sous Sertraline (jusqu'à avril 2018). Oesophagite de reflux LA stade B et suspicion de gastrite antrale et bulbite duodénale en 2016. Candidose orale le 07.09.2011. Pneumonie à Légionella Pneumophila du lobe inférieur gauche dans le cadre d'une immunosuppression en septembre 2011. Appendicectomie. Epigastralgies sur probable gastrite sur mauvaise compliance aux IPP le 17.11.2018. • DD : porphyrie, DD hyperémèse cannabinoïde. • 3e épisode depuis août 2018 (à Gênes, retour du Maroc août 18 / hospitalisation du 26.09 au 08.10.2018). • antécédent d'oesophagite de reflux LA stade B et suspicion de gastrite antrale et bulbite duodénale en 2016.OGD du 05.10.2018 (Dr. X) : gastrite chronique possible. Pas d'oesophagite par reflux ou mycotique. Biopsies sans micro-organisme, ni atrophie, ni métaplasie, ni lymphocytose. Rare trace d'inflammation Oesophagite de reflux LA stade B et suspicion de gastrite antrale et bulbite duodénale en 2016 Candidose orale le 07.09.2011 Pneumonie à Légionella Pneumophila du lobe inférieur gauche dans le cadre d'une immunosuppression en septembre 2011 Appendicectomie Epigastralgies sur probable gastrite sur malcompliance aux IPP le 17.11.2018 • DD : porphyrie, DD hyperémèse cannabinoïde • 3e épisode depuis août 2018 (à Gênes, retour du Maroc août 18 / hospit du 26.09 au 08.10) • antécédent d'oesophagite de reflux LA stade B et suspicion de gastrite antrale et bulbite duodénale en 2016 • OGD du 05.10.2018 (Dr. X) : gastrite chronique possible. Pas d'oesophagite par reflux ou mycotique. Biopsies sans micro-organisme, ni atrophie, ni métaplasie, ni lymphocytose. Rare trace d'inflammation. Oesophagite de reflux le 20.02.2013. Oesophagite de reflux 20.02.2013. Oesophagite sévère le 21.12.2016 avec : • anémie normochrome normocytaire Oesophagite type 4 sévère et gastrite. Oesophagite ulcéreuse à C. Albicans le 04.01.2019 OGD du 07.12.2018 OGD et colonoscopie comme prévus le 18.01.2019 (avec consultation en anesthésie au préalable le 11.01.2019) afin d'investiguer perte pondérale et altération du transit Le patient sera convoqué pour un bilan neuropsychologique en ambulatoire afin de mieux bilanter ses troubles cognitifs Nous vous proposons de réévaluer le fonctionnement à domicile du patient OGD le 01.01.2019 Dr. X : pas d'impaction alimentaire, stent perméable. Pose de sonde naso-gastrique difficile car croche dans le stent. Alimentation mixée lisse + liquide épaissi Pas de pose de PEG proposée au vu du contexte général Discussion téléphonique avec responsable de la maison Bourgeoisiale et représentant thérapeutique (Mr. Y Grand, frère) : trouble dysphagique sur probable dysmotilité oesophagienne dans le contexte de néoplasie. Symptômes qui vont probablement se répéter, mais au vu de l'absence de sanction thérapeutique et de la fragilité du patient, on ne proposera pas d'OGD itérative. Situation pouvant évoluer vers des soins de confort. OGD le 04.01.19 Ct abdominal 10.01.19 Pantozol ivc 8mg/h du 03.01.19 au 04.01.19 Pantozol 40 mg 3x/j du 05.01.19 au 20.01.19 Pantozol 40 mg/j dès le 21.01.19 OGD le 11.01.2019 (Dr. X) : Saignement actif des angiodysplasies antrales. Recommandations : Les angiodysplasies sont assez sévères, une hypertension portale doit éventuellement être discutée. Il est important de continuer avec un traitement d'IPP. Probablement qu'une prochaine gastroscopie dans 6 à 8 semaines devrait être effectuée pour éventuellement traiter à nouveau les angiodysplasies avec l'APC. OGD le 17.01.2019 : pose de SND, hernie hiatale de 5 cm, pas d'anomalie de la muqueuse jusqu'au duodénum OGD le 18.12.2018 Fluconazole intraveineux 50mg 1x/j du 18.12.2018 au 24.12.2018 OGD le 23.01.2019 (Dr. X) Pantoprazol iv du 22.01.2019 au 24.01.2019 Nexium depuis le 24.01.2019 1 CE le 23.01.2019 OGD le 27.12.2018 (Dr. X) : pangastrite, polype au niveau du duodénum biopsié, à pister. Importante béance du cardia, pas de signe de saignements actifs ou ancien. Importante inflammation de la paroi gastrique. Proposition : 3 x 40 mg iv de Pantoprazol. En cas de poursuite de chute Hb, rediscuter OGD et colonoscopie. Histologie (P2018.14991) : 1) pangastrique chronique d'intensité modérée, discrètement active en présence de très rare H.Pylori, pas d'atrophie de la muqueuse, pas de métaplasie intestinale, pas de signe de dysplasie ni de croissance invasive. 2) prélèvement duodénal : muqueuse gastrique superficielle sans lésion histologique notable (métaplasie gastrique possible, absence de dysplasie épithéliale et de signe d'une croissance invasive) : Pantoprazole 80 mg bolus puis 8 mg/h le 21.12.18-25.12.2018 Pantoprazole 40 mg 3x/j iv dès le 27.12.2018 Avis gastro-entérologue (Dr. X) : reprise anticoagulation prophylactique possible Attitude : • suivi biologique et clinique • AB thérapie (amoxicilline/clarythromycine ou métronidazole à introduire quand transit stable et médication per os possible) OGD le 27.12.2018 par Dr. X : Maladie de reflux gastro-oesophagienne avec oesophagite de reflux stade D selon Los Angeles, hernies hiatales de 35 à 40 cm. Gastrite antrale (cf rapport en copie) Consilium ORL 26.12.2018 : Hémoptysie sur probable lésion digestive, possible antécédent d'épistaxis antérieur droit (Kiesselbach) Parésie de la paroi pharyngée antérieure droite Consilium psychiatrique 28.12.2018 : État confusionnel aigu, Schizophrénie indifférenciée Adaptation des neuroleptiques Radio thorax 25.12.2018 : Silhouette cardio-médiastinale dans la norme. Pas d'épanchement pleural ni de pneumothorax. Présence d'un infiltrat pulmonaire infra hilaire droite et dans une moindre mesure péri-hilaire gauche compatible avec des foyers infectieux. Pas d'épaississement du médiastin supérieur. Coprostase du côlon ascendant et descendant. OGD le 28.01.2019 (Dr. X) • test rapide à l'urée négatif • biopsies (Promed P2019.1152) -- (1) ulcère : duodénite active micro-érosive et hémorragique et métaplasie gastrique/fovéolaire étendue (suggère en premier lieu des modifications d'origine peptique ou médicamenteuse) -- (2) estomac : légère gastrite chronique, inactive (antre, corps et fond) OH aigu OH chronique OH chronique • 4 unités/j • dernière consommation anamnestique : 25.01.2019 OH chronique. Ancien toxicomane. Hépatite B et hépatite C. OH chronique Fibrillation auriculaire paroxystique OH chronique. Hypertension artérielle. Oligoarthrite aiguë en juin 2018 Herniectomie et annuloplastie thermique par abord interlaminaire L4-L5 G le 11.12.2015 sur hernie discale L4-L5 récessale G luxée vers le bas et entrant en conflit avec la racine L5 G OP de la cataracte en juin 2016 OP tunnel carpien D OP coiffe des rotateurs épaule DDC Dilatation pyélo-calicielle D sur possible syndrome de la jonction pyélo-urétrale avec urosepsis à E. Coli sensible à tout sauf co-amoxicilline : ad antibiothérapie par Rocéphine 2 g i.v. du 02 au 05.09.2014, Ciproxine p.o. 500 mg 2x/j jusqu'au 16.09.2014. • Pose de sonde double-J D le 02.09.2014 (Dr. X) Pyélonéphrite en 2013 Hystérectomie et ovariectomie Oligoarthrite du genou G traitée par Prednisone et colchicine puis Allopurinol Oligo-arthrite probablement d'origine goutteuse le 24.01.2019. • DD : chondrocalcinose, décompensation arthrosique, arthrite infectieuse (endocardite), maladie rhumatismale. Oligophrénie Hyperandrogénie HTA Diabète de type II insulino-requérant Obésité Oligourie Oligurie et fièvre Oligurie le 13.01.2019 • probablement dans le contexte d'hypovolémie post-opératoire et post-iléus Oligurie sur administration de contraste, DD : dénutrition, hypo-albuminurie sur hémo-dilution dans le contexte de 3ème espace, DD : néphropathie diabétique et hypertensive, 19-22.12.2018 avec hypernatrémie légère (148 mmol/l le 26.12.2018). OM Bahri 3 cp Tramal. OMA à droite. OMA bilatérale OMA bilatérale au décours OMA bilatérale débutante OMA bilatérale probablement virale OMA bilatérale récidivante OMA bilatérales OMA bilatérales chez Mr. Y avec baisse de l'état général et irritabilité OMA débutante OMA D>G OMA droite OMA droite OMA droite OMA droite OMA droite OMA droite OMA droite OMA droite OMA droite OMA droite OMA droite OMA droite avec échec de traitement à l'Algifor OMA droite débutante OMA gauche OMA gauche OMA gauche OMA gauche OMA gauche chez un Otitis-prone child OMA gauche dans un contexte d'état fébrile depuis 9 jours OMA perforée droite OMA récidivantes bonne santé habituelle, pas de traitement habituel OMA virale gauche non perforée OMA 1x Omalgie atraumatique à droite. Omalgie droite. Omalgie droite d'allure neuropathique, type allodynie sur status post suture de sus-épineux de l'épaule D, le 03.09.2014 par le Dr. X avec vis flottante dans une zone kystique au niveau de la tête humérale. Lombosciatalgie non déficitaire G, avec légère dessiccation des disques intervertébraux L3-L4, L4-L5, petite lésion ligamentaire postée au niveau de L5-S1 Omalgie droite post traumatique depuis 2017 avec: • IRM le 10.12.2018: Déchirure partielle du tendon du sous épineux. Déchirure transfixiante du sus épineux, déchirure interstitielle du sous-scapulaire, arthrose de l'articulation acromio-claviculaire avec possible impingement Omalgie du biceps distal du membre supérieur D en novembre 2018. Omalgie gauche. Omalgie gauche d'origine musculaire sans critère de gravité le 11.01.2019. DD: • lésion de la coiffe. Omalgie post-traumatique de l'épaule gauche le 23.01.2019. Omalgies D DD: bursite sous-acromiale DD: tendinopathie de la coiffe des rotateurs (infra-épineux) Gonalgies D sur gonarthrose tri-compartimentale à prédominance du compartiment fémoro-tibial interne Omalgies D DD: bursite sous-acromiale DD: tendinopathie de la coiffe des rotateurs (infra-épineux) Gonalgies D sur gonarthrose tri-compartimentale à prédominance du compartiment fémoro-tibial interne Omalgies D sur suspicion de syndrome de la coiffe Omalgies droites. Omalgies droites d'origine X. Omalgies droites non traumatiques d'origine X. DD Dégénérescence de la coiffe des rotateurs DD conflit sous-acromial Status post antéposition sous-musculaire nerf cubital G avec cure d'épitrochléite le 22.08.2017. Status post cure d'épitrochléite et antéposition sous-cutanée du nerf cubital coude droit le 06.06.2016. Status post hernie discale cervicale et mise en place de 2 prothèses discales en 2016. Épitrochléite gauche avec irritation du nerf cubital au niveau du coude gauche. Status après infiltration épitrochléite coude gauche le 17.2.2017. Entorse sterno-claviculaire droite sans instabilité. Omalgies droites traumatiques d'origine X. Omalgies droites récidivantes avec: • Jobe test douloureux mais tenu DD: tendinopathie du sus-épineux Omalgies G sévères sur rupture chronique du sus-épineux avec rétraction du 2ème degré et atrophie musculaire du 3ème degré. Arthrose AC G asymptomatique. Tendinopathie du long chef du biceps avec tendinopathie du tendon du sous-scapulaire. Status post infiltration sous-acromiale de l'épaule G le 14.12.2018 Omalgies gauche Malnutrition protéino-énergétique grave avec: • NRS 4 • S/p nutrition par sonde NG • S/p stent oesophagien • pose de sonde PEG-J le 21.12.2018 avec nutrition entérale par sonde (Dr. X) Omalgies gauches. Omalgies gauches chroniques avec petit dépôt de tendinite calcifiante du sus-épineux. Omalgies gauches d'origine indéterminée. dd: Conflit sous-acromial dd: Lésion partielle de la coiffe des rotateurs. Omalgies gauches d'origine X. DD Tendinopathie du long chef du biceps. DD Bursite sous-acromiale. DD Arthrose AC. Omalgies gauches sur probable tendinopathie du sus-épineux sur status post traitement conservateur d'une fracture sous-capitale de l'humérus gauche. Gonarthrose symptomatique bilatérale à prédominance droite. Status post infiltration du genou droit le 04.07.2018. Omalgies post-traumatiques épaule gauche avec tendinopathie du sus-épineux et sous-scapulaire, éventuelle rupture spontanée du LCB sur status post fracture des parties postérieures de la glène gauche suite à un AVP en août 2014. Omarthose droite chronique acutisée le 18.01.19 sur hyper utilisation du membre supérieur droite (cf dx 2) • IRM le 10.12.2018: Déchirure partielle du tendon du sous épineux. Déchirure transfixiante du sus épineux, déchirure interstitielle du sous scapulaire, arthrose de l'articulation acromio-claviculaire avec possible impingement Omarthose sévère et rupture partielle de la coiffe des rotateurs épaule G. Status post prothèse totale inversée en 2007 à D. Omarthrose avec tendinopathie sévère du sus-épineux épaule D sur status post: • arthroscopie diagnostique, synovectomie, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps et résection AC le 30.8.2016. Status post infiltration sous-acromiale et intra-articulaire épaule droite le 7.12.2018. Omarthrose débutante de l'épaule droite sur rupture chronique du sus-épineux avec rétraction du 3ème degré. Status post infiltration du sillon bicipital droit le 14.12.2018. Omarthrose droite, rupture du sus-épineux, arthrose AC symptomatique Status post résection AC et acromioplastie en 1993 et suture du sus-épineux par la suite (Dr. X) Status post résection AC, +/- suture sus-épineux épaule gauche Omarthrose droite symptomatique sur status post-ténotomie arthroscopique, ténodèse et suture partielle du sus-épineux et sous-scapulaire et acromioplastie le 01.12.2016 sur rupture traumatique sous-scapulaire, luxation du long chef du biceps et lésion partielle du bord antérieur du sus-épineux épaule droite sur accident datant du 06.12.2014. Omarthrose excentrée sur rupture chronique de la coiffe des rotateurs de l'épaule gauche sur status post ostéosynthèse d'une fracture diaphysaire de l'épaule gauche le 28.04.2017. Omarthrose gauche et bursite sous-acromiale gauche symptomatique. Status post injection d'acide hyaluronique. Diabète insulino-requérant. Cardiopathie ischémique. Status post infarctus en 1995. HTA traitée. Obésité classe III. Dyslipidémie. Status post cure de tunnel carpien ddc. Status post PTG gauche en 2012. Status post cholécystectomie en 2008. Omarthrose gauche sévère sur rupture chronique de la coiffe des rotateurs. Troubles de la marche sur status post tuberculose, déplacement à l'aide de 2 cannes anglaises. Omarthrose gauche sévère sur rupture chronique de la coiffe des rotateurs. Troubles de la marche sur status post tuberculose, déplacement à l'aide de 2 cannes anglaises. Omarthrose post-traumatique de l'épaule gauche, sur status post ostéosynthèse d'une fracture de la glène type I, le 24.03.2016. Épaule droite: Rupture chronique du sus-épineux avec rétraction du 3ème degré avec tendinopathie du LCB. Omarthrose primaire droite. Omarthrose primitive à gauche Omarthrose sur rupture chronique de la coiffe des rotateurs ddc, plus symptomatique à G. Status post infiltration intra-articulaire de l'épaule G le 14.9.2018. Oméprazol 40 mg. Dextrométhorphane 10 ml 4x/jour. Contrôle chez le médecin traitant à 5 jours. OMI le 15.01.2019 (+4kg) On change tout de même aujourd'hui le OpSite. Prochain contrôle prévu dans 3 semaines à Bern chez le Dr. X.On conseille à la patiente d'enlever son attelle Stack pendant la journée et de la garder la nuit pendant encore 4 semaines. Mobilisation du doigt en ergothérapie. Prochain contrôle dans 6 semaines. On conseille au patient de marcher beaucoup durant son vol pour l'Australie et de prendre pour le jour du voyage un Xarelto 10 mg. On lui déconseille les sports de contact. Interdiction des mouvements de rotation interne/externe durant les activités physiques. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle à 3 mois postopératoires. On conseille de poursuivre les séances d'ergothérapie et de physiothérapie. Arrêt de sport pour encore 3 mois. On commence les ondes de choc en correspondance du prélèvement de la rotule pour ouvrir la zone. Prochain contrôle dans 3 mois. On constate peu de changement depuis la dernière consultation. Nous prescrivons de nouvelles séances d'ergothérapie. Nous prions de nouveau le centre psychosocial, Dr. X, de convoquer le patient pour ses douleurs chroniques. Le patient a également pris les coordonnées du RFSM avec lui et va contacter le service. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'à fin mars. Prochain contrôle dans 2 mois. On discute avec la patiente de cette nouvelle bascule et elle décide de poursuivre le traitement conservateur. Par conséquent, mise en place d'un plâtre AB. Prochain contrôle radioclinique dans 4 semaines. On discute avec la patiente de finir le traitement par physiothérapie et de faire des exercices elle-même à la maison. Elle réfère avoir fait l'examen pour conduire, qu'elle a réussi et comme ça elle est beaucoup moins limitée dans sa vie quotidienne. Nous prévoyons un contrôle dans 1 an. S'il y a des soucis, elle peut toujours nous recontacter. On discute avec la patiente de poursuivre encore la physiothérapie pour 9 séances avec des exercices de stabilité et également un anti-inflammatoire avec des US. Nous la reverrons dans 2 mois. Si elle remarque une aggravation, elle peut nous contacter avant. Elle fera encore des exercices elle-même à la maison et essaiera de lâcher de plus en plus sa chevillère. On discute avec la patiente de reprendre la mobilité de la cheville selon douleurs en physiothérapie. Ablation du plâtre. Elle peut commencer à marcher avec des cannes et une charge de 15 kg durant 1 mois. Prochain contrôle radio-clinique avec des RX en charge dans 4 semaines. Poursuite du Xarelto 10 mg 1x par jour jusqu'à charge complète. On discute avec la patiente et sa fille d'attendre encore l'évolution. La fracture s'est bien impactée, ce qui est bon pour la consolidation. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radio-clinique. Entre-temps, elle peut commencer la physiothérapie pour le renforcement musculaire et des exercices pour la stabilité et la reprise de la marche. Si la prochaine fois il persiste des douleurs au niveau de la colonne, il faudra refaire une RX car la patiente est connue pour un tassement au niveau de L1. On discute avec le patient de faire uniquement un pansement simple avec du Cutiplast pour protéger le moignon. L'antibiothérapie avec Dalacin 900 mg 3x par jour est à poursuivre pour les 6 semaines, jusqu'au 08.01.2019, comme prévu avec les infectiologues. Le patient doit commencer l'ergothérapie pour la rééducation du moignon. Nous lui faisons une prescription pour ceci. Nous le reverrons dans 6 semaines. Nous prolongeons l'arrêt de travail de 6 semaines. S'il remarque entre-temps une rougeur ou une tuméfaction, il peut nous recontacter avant. On discute avec le patient de poursuivre les séances d'ergothérapie pour traiter encore la cicatrice et pour le renforcement musculaire. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Reprise du travail à 50% pour 2 semaines, puis reprise à 100% le 26.01.2019. On discute avec le patient et sa femme qui l'accompagne de faire une IRM ouverte au CIF. Nous le reverrons après ceci pour discuter des images. Pour l'hyposensibilité et des fourmillements qui correspondent à une névralgie du nerf antébrachial cutané médial, il a une consultation le 13.02.2019 en antalgie. Si les douleurs persistent, il faudra faire une révision chirurgicale. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'à fin février 2019. On donne encore au patient de la physiothérapie pour la proprioception et la musculation. Il peut gentiment reprendre les activités physiques comme la course à pied et le vélo. On ne prévoit pas de RDV à notre consultation mais restons à disposition au besoin. On enlève l'attelle Munster ce jour afin d'augmenter les amplitudes articulaires. Mobilisation selon douleurs. Prochain contrôle radio-clinique à 3 mois post-ostéosynthèse, soit le 19.02.2019. On envisage un contrôle radio-clinique dans 1 année. Il ne souhaite pas d'opération du côté gauche. On est en face d'un doigt à ressaut débutant au niveau de l'auriculaire G pour lequel je préconise une infiltration. En ce qui concerne le syndrome du tunnel carpien qui est principalement gênant à D, je ne trouve pas une clinique qui me convainc d'opérer le patient déjà maintenant. Je préconise un traitement conservateur avec attelle nocturne. Je reverrai le patient suite à l'infiltration le 14.02.2019 pour refaire le point. On est sur la bonne voie pour le traitement conservateur. Je ne retiens pas d'indication opératoire. Poursuite de la physiothérapie. Contrôle chez moi dans 6 semaines le 13.3.2019. On explique au patient les risques et les bénéfices de l'intervention. Il signe le consentement éclairé. On garde le patient à jeun, une antalgie et mise en place par Morphine en titrage jusqu'au 12 mg. Suite à contact avec le Dr. X, le patient est transféré au Daler pour suite de prise en charge et pose de sonde double J. On note chez ce patient une excellente évolution, raison pour laquelle nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition si besoin. Prescription de nouvelles séances de physiothérapie pour l'hygiène posturale. Par ailleurs, nous recommandons la réalisation d'un bilan d'ostéoporose au vu de la typologie de la fracture. On note des douleurs probablement neuropathiques sur une prise de la branche superficielle du nerf radial dans la cicatrice. On pose l'indication pour une infiltration de ce nerf pour une raison diagnostique mais également thérapeutique. On envoie donc la patiente chez le Dr. X, qu'il convoquera à sa consultation. On reverra la patiente suite à cette infiltration. On note un bon résultat radioclinique. Le patient fera de l'ergothérapie pour la désensibilisation de la cicatrice. Reprise de l'activité professionnelle à 50% dès le 28.01. puis 2 semaines après reprise à 100%. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. On note une aggravation radiologique et une persistance des symptômes cliniques. Vu que les infiltrations ne montrent pas un bon effet chez ce patient, nous lui proposons la mise en place d'une prothèse de l'épaule anatomique de type short. L'opération est planifiée pour mi-mars. Le patient est informé des risques et bénéfices et signe le consentement éclairé, une copie sera envoyée à sa curatelle. On note une bonne évolution à 2 mois de la fracture, suite au traitement conservateur. Pas de nouveau contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. On note une bonne évolution à 2 mois et demi de cette luxation. On poursuit le traitement conservateur avec renforcement musculaire au MTT. On reverra le patient dans 3 mois pour un contrôle clinique. On note une bonne évolution à 4 semaines de l'intervention. Le patient va poursuivre une mobilisation libre à l'aide également de la physiothérapie. En ergothérapie, il ira pour un traitement de la cicatrice pour massage. Il reste à l'arrêt de travail jusqu'au 01.02.2019, puis il reprend à 50% jusqu'au 17.02.2019 et dès le 18.02.2019, il reprend le travail à 100%. Nous le reverrons fin février 2019 pour un contrôle clinique.On note une bonne évolution après cette grave lésion. Le patient peut reprendre une mobilisation libre de la main en actif et passif assistée. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. On note une bonne évolution avec une bonne fonction et peu de douleurs. Radiologiquement, il y a une vis qui se présente trop longue, pour l'instant, on choisit de la laisser en place pour garantir une guérison de cette non-union. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines, et à ce moment-là, on décidera si une ablation du matériel d'ostéosynthèse est nécessaire. On note une bonne évolution radioclinique. Mme. Y va commencer une mobilisation en actif assistée libre selon tolérance. Nous revoyons Mme. Y dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique, entre-temps durant les 2 prochaines semaines, Mme. Y gardera le gilet orthopédique la nuit et pendant des activités à risques. On note une évolution caractérisée par la persistance d'une symptomatologie douloureuse qui peut être expliquée par la maladie dégénérative préexistante en dépit de l'intervention. Nous recommandons au patient de marcher en se passant désormais de la semelle et de mettre des chaussures avec une boîte à orteils suffisamment large pour éviter la compression. Nous le reverrons à 3 mois postopératoires. On note une évolution plutôt favorable caractérisée par une nette diminution des symptômes et une absence d'instabilité. Compte tenu de la rigidité de la déformation, on ne retient pas d'indication pour un soutien longitudinal de la voûte plantaire. Nous proposons de revoir le patient à 1 an du traumatisme pour un contrôle radioclinique avec des RX en charge. Nous invitons le patient à nous recontacter en cas de récidive de douleurs ou d'évolution insatisfaisante dans l'intervalle. On note une excellente évolution après ce traitement conservateur. Le patient va poursuivre des exercices pour l'épaule comme hygiène pour son épaule. Fin de traitement à notre consultation. Le patient sera capable de reprendre son travail à partir du 14.01.2019 concernant le problème de l'épaule. On note une excellente évolution chez cette jeune patiente qui présente une bonne fonction de son épaule. Elle est très sportive et a une bonne perception de son corps, et elle ressent des symptômes qui la gênent. Ces gênes sont dues surtout à une dyskinésie de l'épaule avec une dysbalance de la musculature responsable de la rotation de la scapula. On conseille un traitement spécifique chez la physiothérapeute pour un balancement musculaire de ces muscles. Pas de nouveau contrôle prévu mais nous restons à disposition en cas de besoin. On note une excellente évolution. Le patient a repris son activité professionnelle. Le traitement ambulatoire est terminé. Pas de nouveau rendez-vous mais nous restons à disposition en cas de besoin. On note une excellente évolution. Le patient va continuer à faire des exercices à la maison pour améliorer l'extension et la force dans le poignet. Fin du traitement ambulatoire. En cas de besoin, le patient nous recontactera. On note une très bonne évolution chez ce patient chez qui nous préconisons de poursuivre les restrictions de charge et de mouvement pour 6 semaines supplémentaires. Nous ferons le point au prochain contrôle radioclinique à 12 semaines postopératoires. À ce moment-là, nous envisagerons également d'effectuer de la physiothérapie en piscine et de lever les restrictions. Prochain contrôle le 19.02.2019. On note une très bonne évolution radioclinique. Le patient va poursuivre la physiothérapie avec une mobilisation complète et une prolongation de l'arrêt de travail jusqu'au 10.03.2019. On revoit le patient dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. On organise une arthro-IRM à la recherche d'une lésion labrale ou cartilagineuse (le patient prendra le rendez-vous lui-même selon ses disponibilités). Il nous rappellera pour fixer un rendez-vous de contrôle après l'examen. On peut donc raisonnablement poser l'indication opératoire pour une PTH du côté droit. Les investigations cardiologiques avec US cardiaque et coronarographie ont montré une bonne fonction cardiaque avec des artères coronaires bien perfusées. On organise une consultation anesthésique et on planifie dès ce jour une date opératoire. Intervention le 30.01.2019. On peut réaliser une infiltration sous-acromiale avec Dépo-Médrol Ropivacaïne et enchaîner avec la physiothérapie pour améliorer les limitations fonctionnelles et les douleurs. Si le traitement devait être un échec et que les douleurs devaient se centrer sur le biceps, on pourrait réaliser une ténotomie-ténodèse du LCB. En cas de péjoration de la symptomatologie avec des douleurs invalidantes, il faudrait un geste chirurgical plus conséquent. On planifie donc l'opération pour fin février. On prévoit une cure de pseudarthrose sous forme d'un avivement du foyer fracturaire, décortication et ostéosynthèse par plaque. On ne prévoit pas de greffe osseuse autologue. La patiente a été informée du déroulement de l'intervention, ainsi que des risques et bénéfices et le consentement éclairé est rempli et signé. Intervention le 27.02.2019. On prescrit à Mme. Y des séances de fitness médical pour le renforcement musculaire à faire avec la physiothérapeute puis, toute seule. On donne à Mme. Y la permission de reprendre le ski avec des virages larges. Mme. Y n'envisage pas d'opération pour le moment. Prochain contrôle clinique début juin 2019. On prévoit un contrôle à la consultation du Dr. X le 04.02.2019 pour discuter d'une éventuelle ablation du matériel avec arthrolyse et ténolyse. On procède à la réfection du pansement. Mme. Y reçoit une ordonnance pour le matériel nécessaire afin d'effectuer elle-même la réfection du pansement au moins 1x tous les deux jours jusqu'à l'ablation des fils qui est déjà prévue à Meyriez le 30.01.2019. L'arrêt de travail est maintenu jusqu'au 20.01.2019 puis reprise à 100% dès le 21.01.2019. On propose à Mme. Y de poursuivre le traitement conservateur en physiothérapie axé sur le maintien des amplitudes articulaires, le stretching des chaînes postérieures, la proprioception, le gainage. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Mme. Y sera revue avant au besoin. On propose à Mme. Y un déblocage du doigt et une chirurgie dans un 2ème temps. Mme. Y ne souhaite pas le déblocage mais préfère directement l'intervention, que l'on planifie pour le 07.01.2019. Mme. Y remplit et signe le consentement éclairé. On propose au patient de discuter avec les ergothérapeutes s'il continue plutôt en physio ou en ergothérapie. Je pense que cela vaut la peine de travailler encore car il mentionne une meilleure mobilité en fin de séance qu'en début. Il est capable de travailler, il est surtout gêné pour jouer de la guitare, ce qu'il n'arrive plus à faire, ce qui l'ennuie beaucoup. Il n'est, de toute façon, pas désireux d'une prise en charge chirurgicale. Contrôle selon nécessité. On réalise une radio qui montre une fracture de la phalange distale non déplacée du 1er orteil gauche, qu'on traite avec RICE, syndactylie pour 3-4 semaines et contrôle clinique à 3 semaines chez son médecin traitant. Le patient est averti qu'il doit consulter en urgences si moindre suspicion de signe infectieux (rougeur/chaleur/écoulement). Après discussion au colloque, nous retenons une probable polyneuropathie des membres inférieurs, sachant que le patient souffre d'un diabète de type 1 et a fracturé un orteil sans s'en rendre compte. Nous vous laissons le soin d'investiguer. On retrouve une bonne situation à 1 semaine de la chute, il n'y a pas eu de déplacement secondaire et la position du poignet est acceptable. Poursuite du traitement conservateur avec un BAB pendant 2 semaines et un AB pendant 3 semaines.On suggère à la patiente de commencer de la physiothérapie pour reconditionnement du genou à G avec une marche selon douleurs et tolérance. Arrêt de travail jusqu'à fin janvier 2019. Prochain contrôle dans 2 mois. On va d'abord tenter un traitement conservateur avec poursuite du traitement physiothérapeutique et renforcement de la coiffe des rotateurs. Je n'ai pas prévu de prochain contrôle. Je me tiens à disposition en cas de nouvelle luxation pour discuter d'une stabilisation arthroscopique. On voit un signe Popeye chez le patient qui pourrait être dû à ce nouvel accident. Cela pourrait être une re-rupture du LCB, pour cette raison on organise un US. On revoit le patient 2 semaines à notre consultation. Ondansetron Suivi clinique Ondansetron 1 dose Consignes usuelles déshydratation Fébrifuges selon besoin, Normolytoral, Nasivine et rinçage de nez Contrôle chez pédiatre dans 48 heures Ondansetron 2 mg Consignes usuelles déshydratation Ondansetron 4 mg aux urgences Conseils d'hydratation Antalgie au besoin Contrôle chez pédiatre ou aux urgences si échec d'hydratation ou signes de déshydratation Ondansetron 4 mg aux urgences rehydratation PO par Normolytoral aux urgences Ondansetron 4 mg p.o. aux urgences avec bon effet. Traitement symptomatique. Conseils sur l'alimentation prodigués au patient. Ondansétron 4 mg Retour à domicile avec consignes de surveillance et contrôle chez le pédiatre en fin de semaine Antalgie de premier pallier Ondansetron Consignes usuelles déshydratation Contrôle dans 48 heures chez pédiatre Ondansétron Halopéridol Halopéridol et ondansétron Ondansetron Normolytoral et sirop Consignes usuelles déshydratation Suivi par pédiatre dans 24-48 heures Reconsulter si vomissements biliaires, hématémèse, impossibilité d'hydratation, selles décolorées Ondes T négatives en V1, V2, V3 (nouvelles en V2, V3). Ongle incarné. Ongle incarné au 1er orteil droit avec boursite de la 1ère métacarpophalangienne droite. Ongle incarné, bord interne, hallux D. Ongle incarné de l'hallux à D -soigné au Foyer par Béthadine Ongle incarné de l'hallux à droite Ongle incarné de l'hallux à G -incision à Tafers le 17.01.2019 Ongle incarné de l'hallux droit Ongle incarné de stade 3 avec panaris le 16.01.2019. Ongle incarné du côté médial de l'hallux G. Ongle incarné du côté médial 2ème orteil pied D avec déformation en griffe DD ostéomyélite. Status post amputation épibasale P2 orteil 3 pied D le 24.08.2018 sur une ostéomyélite des phalanges 2-3 du 3ème orteil du pied D. Ongle incarné du gros orteil à droite. Ongle incarné D4 main gauche sur : -status post amputation épibasale P3 D4, révision plaie moignon D3, D5 main gauche le 06.07.15. Ongle incarné face latérale et médiale de l'hallux droit. Ongle incarné hallux à droite bilatéral, symptomatique du côté latéral. Cure d'ongle incarnée selon Kocher bord latéral hallux à droite (OP le 28.12.2018). Ongle incarné hallux D bord latéral. Status post cure d'ongle incarné face latérale hallux G le 20.07.2018. Ongle incarné infecté le 23.01.2019, pied gauche. Ongle incarné médial de l'hallux gauche. Ongle incarnée D1 à droite Ongles incarnés des bords internes et externes des deux gros orteils. Cure d'ongles incarnés des bords internes et externes des deux gros orteils selon Kocher. OP. OP : césariennes (3x). OP Blasehebung OP 2014, Dr. X Beckenfraktur li 05/2014, HFR Fribourg OP Ligatur Ureter re OP Fingersehne 2010 OP Katarakt bds 2004 Hirnblutung links mit Trepanation 2003 Bern Kniefraktur links nach Verkehrsunfall 1985; Total-Knieprothese links 1987 Unterarmfraktur links; konservativ behandelt Cholezystektomie 1966 Hysterektomie und Adnexektomie 1966 Probable anurie des suites de pause d'un pessaire le 06.08.2018. Syndrome des jambes sans repos OP cataracte D Pyélonéphrite droit en 08.2009 Hystérectomie et annexectomie en avril 1997 OP épaule G (lésion tennis) OP genou droit OP Dupuytren main droite OP genou G pour retrait d'une tumeur, selon la patiente (pas plus d'informations) Ostéomyélite P2 2ème orteil pied G avec ulcère perforant Amputation sous-capitale P2 2ème orteil pied G (OP le 20.07.2018) Microbiologie peropératoire du 20.07.2018 : - Biopsie phalange intermédiaire 2ème orteil G : Staph. aureus (Peni R), Staph. lugdunensis (Peni R), Staph. caprae (multi S): quelques - Biopsie phalange distale 2ème orteil G : Staph. lugdunensis et Staph. aureus quelques Consilium infectiologie 23.07.2018 (en annexe) Antibiothérapie : - Co-amoxicilline 1,2 g 3x/j i.v. du 20 au 27.07.2018 - Co-amoxicilline 1 g 2x/j p.o. du 27.07. au 10.08.2018 Diagnostic anatomopathologique (prélèvements osseux 2ème orteil G) - Rapport Promed du 25.07.2018 (en annexe) Hypertension artérielle - Sous Atorvastatin 20 mg , Beloc Zoc 50 mg, Candesartan 4 mg Candesartan remplacé par Losartan 25 mg pendant l'hospitalisation actuelle Insuffisance rénale chronique stage 3 (KDIGO): - Clairance de la créatinine le 23.07.2018: 30.7 ml/min (Cockroft-Gault) Suivi biologique Adaptation des traitements médicamenteux Hypoacousie bilatérale Rendez-vous à la consultation ORL le 02.08.2018 à 14h15. OP hallux valgus ddc. TC le 10.03.2017. OS fracture clavicule G tiers moyen déplacée, plurifragmentaire le 10.03.2017. Sinusite aigüe le 27.06.2018. OP hallux valgus des deux côtés. Traumatisme crânien le 10.03.2017. OS fracture clavicule G tiers moyen déplacée, plurifragmentaire le 10.03.2017. Sinusite aiguë le 27.06.2018. OP le 03.01.2019 OP le 05.02.2019 OP le 05.03.2019 OP le 06.02.2019. OP le 10.04.2019 OP le 12.02.2019 OP le 13.02.2019 OP le 16.01.2019 OP le 18.01.2019 Prochain contrôle le 04.02.2019 avec CT OP le 18.12.2018: Incision, drainage, débridement, rinçage OP le 21.12.2018: Dig. 5 main G: débridement, rinçage et amputation P1; Dig. 5 main D: débridement - ablation des fils le 3.01.2018 Suivi de plaie par l'orthopédie Consilium infectiologie Antibiothérapie: - Co-amoxicilline 1g po 2x/j du 16 au 17.12.18 - Co-amoxicilline 1.2g iv 4x/jours (adaptée à la fonction rénale) du 17.12 au 20.12.18 - Pénicilline 4mio U iv 3x/j du 20.12 au 30.12.18 OP le 19.02.2019 OP le 22.01.2019 OP le 23.01.2019 OP le 25.01.2019 Op le 29.01.2019 OP ligaments croisés genou G OP prévue le 06.02.2019. Op prévue le 13.02.2019. OP prévue le 22.02.2019. OP prévue le 26.03.2019.OP: thyreïdectomie, Hernie discale cervicale Medical: hypothyroïdie OP varices des MI en 1986 et 2015 OP hernie inguinale en 1983 APP en 1980 Op. 23.01.19. Opacification colique, le 09.01.2019: fuite colo-anale postérieure. Laboratoire, le 09.01.2019: ____ 2 paires d'hémocultures: A PISTER Avis Chirurgie (Dr. X/Dr. Y): hospitalisation et Antibiothérapie. Opération à rediscuter Antibiothérapie IV par Tazobactam Pipéracilline 4.5g Opération à planifier. Opération à 4 reprises pour hernie discale L5-S1, dernière en 2008 s/p Amygdalectomie. s/p Appendicectomie. s/p Ligature des trompes. s/p Arthroplastie totale de la hanche droite par voie minimalement invasive pour coxarthrose droite invalidante le 12.05.2015 s/p Pneumonie basale gauche le 09.03.2016 Pyélonéphrite gauche le 11.11.2018 • Rocéphine i.v. du 11.11. au 12.11.2018 puis du 16.11. au 21.11.2018 • Ciproxine p.o. du 13.11. au 16.11.2018 Suspicion de cholécystite non compliquée le 11.11.2018 • Flagyl i.v. du 11.11 au 13.11.2018 • Rocéphine i.v. du 11.11 au 12.11.2018 puis du 16.11. au 21.11.2018 • Ciproxine p.o. du 13.11. au 16.11.2018 US de contrôle à 3 semaines Opération à 4 reprises pour hernie discale L5-S1, dernière en 2008 Status post amygdalectomie Status post appendicectomie Status post ligature des trompes Status post arthroplastie totale de la hanche droite par voie mini-invasive pour coxarthrose le 12.05.2015 Status post pneumonie basale gauche le 09.03.2016 Pyélonéphrite gauche le 11.11.2018 Suspicion de cholécystite non compliquée le 11.11.2018 Lymphocèle inguinal droit Pneumonie basale droite nosocomiale le 09.12.2018 avec épanchements pleuraux bilatéraux Cure de lymphocèle le 23.11.2018 Changement de VAC inguinal droit le 27.11.2018 Fermeture de la plaie inguinale droite le 30.11.2018 Opération de cataracte en mai et août 2017, avec prescription d'Anxiolit. Insuffisance respiratoire partielle sur probable BPCO stade II le 12.07.2015 Opération de chirurgie esthétique Opération de la hanche en novembre 2018 à l'Inselspital à Berne. • problème de cartilage? Erysipèle sur dermatite de contact. Lombalgie aiguë non-déficitaire le 30.05.2014. Contusion du doigt I gauche. Opération de l'ouraque 2015 (Chili) Opération des deux genoux pour des problèmes de cartilage, il y a quelques années. Ethylisation aiguë sans facteurs de risque le 22.07.2017. Opération des oreilles. Circoncision. Opération des varices des deux côtés. Opération des varices en 2008. Lithiases rénales en 2010. Opération des yeux dans l'enfance Tunnel carpien bilatéral Hystérectomie et ovariectomie unilatérale en 2000 Opération des yeux pour myopie et astigmatisme en avril 2011. Amnésie globale transitoire le 11.07.2013. Amnésie globale transitoire le 30.07.2018. Opération du coude gauche. Réaction conjonctivale sur corps étranger de l'œil. Opération du fémur Opération de la vésicule biliaire Opération de la cataracte D Ablation d'un polype colo-rectal il y a 4-5 ans Ptose labiale droite connue depuis 1938 dans le cadre d'une paralysie du nerf facial suite à la diphtérie qui a été traitée chirurgicalement Opération du genou droit ligaments croisés le 14.04.2011. Status post-douleurs rétrosternales. DD : musculo-squelettiques, sur péricardite. Paresthésies au bras gauche. Hernie discale opérée en 2012 et en 2018. Lombosciatalgies droites déficitaires le 05.07.2012. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée. Crise de migraine le 21.07.2018. Opération du genou gauche. Césarienne. Opération hernie inguinale. Opération du tunnel carpien à gauche le 12.02.2018. Opération du tunnel carpien des deux côtés Dépression en 1995 Une césarienne Appendicectomie Opération d'un strabisme en 1985 et en 1995. Cimentoplastie L1-L2 pour une fracture vertébrale en 2007. Carcinome oncocytaire mammaire gauche, avec : • mastectomie gauche • curage ganglionnaire axillaire gauche en 2013 • radiothérapie et chimiothérapie • sous Tamoxifène dès le 27.03.2014. Opération d'une hernie discale probablement L4-L5 gauche à l'anamnèse en 2001. Lumbago gauche sans red flag. Opération d'une hernie inguinale à droite en 2010. Malaise sans perte de connaissance, probablement d'origine orthostatique. Céphalées de type tensionnel le 27.02.2012. IVRS sans signe de gravité. Thrombopénie à 125 G/L dans le contexte de l'IVRS en cours. Opération d'une hernie inguinale gauche sans pose filet. Hernie inguinale directe droite symptomatique. Cure de hernie inguinale droite selon Lichtenstein le 23.02.2018. Opération élective Opération élective Opération élective Opération élective Opération élective Opération élective Opération élective Opération élective Opération élective Opération élective Opération élective Opération élective Opération élective Opération élective Opération élective Opération en électif Opération en urgence Opération en urgence Opération épaule droite le 13.12.2018 Opération épaule droite Opération épaule gauche 2012. Fracture claviculaire 1998. Opération fracture fémur. Plusieurs opérations pour la rotule. Déchirure partielle du gastrocnémien gauche, chef médial le 21.02.2014. Abcès omoplate droite. Dermo-hypodermite. Opération intestinale en 1985 Délirium aigu le 12.07.2013 : • Diagnostic différentiel : décompensation psychotique sur stress émotionnel Exanthème maculeux bilatéral du visage d'origine indéterminée le 10.07.2013. • Diagnostics différentiels : rosacée, lupus érythémateux disséminé... Urosepsis le 21.02.2016 avec : • État confusionnel Insuffisance rénale aiguë RIFLE I le 21.02.2016 Hypoglycémies dans le cadre d'un diabète type 2 insulino-requérant Opération le 04.02.2019. Opération le 06.02.2019. Opération le 07.01.2019 Opération le 07.01.2019 Opération le 07.01.2019 Opération le 07.02.2019 Opération le 08.04.2019 Opération le 11.02.2019 Opération le 13.05.2019 Opération le 14.02.2019 Opération le 14.02.2019 Opération le 14.03.2019 Opération le 15.01.19 à Tavel Opération le 17.01.2019 Opération le 17.01.2019 Opération le 18.01.2019. Opération le 18.03.2019 Opération le 20.02.2019. Opération le 21.01.2019 Opération le 21.01.2019 Opération le 21.02.2019 Opération le 21.02.2019 : mise en place prothèse inversée, entrée à l'hôpital la veille avec laboratoire de contrôle. Consilium anesthésiologique effectué le 16.01.2019. Opération le 23.01.2019 Opération le 24.01.2019 Opération le 24.01.2019 Opération le 25.02.2019. Opération le 25.04.2019. Opération le 28.01.2019 Opération le 28.01.2019 Opération le 28.01.2019 Opération le 31.01.2019 Opération le 31.01.2019 Opération ligamentaire post chute au niveau de la main gauche (fecit Dr. X) Opération main droite dans l'enfance. Opération méniscale du genou D en janvier 2014 pour gonarthrose, arthroscopie du genou prévue. Opération méniscale (int + ext) genou G en 2003 2 crises de goutte (dates indéfinies) des orteils. Opération oculaire X Opération pour cataracte ddc Vasculite cutanée sur cryoglobulinémie dans le contexte d'une hépatite C virale, traitée et guérie en 2017 Cure de hernie ombilicale incarcérée selon Rives le 27.06.2018 Cure de hernie ombilicale en 2003 en Irak Opération X au niveau abdominal en Irak. Opération pour descente de la vessie 2007 Status post-anémie hypochrome hyporégénérative ferriprive le 05.12.2018 avec transfusion 2 CE le 07.12.2018. Opération pour fracture du fémur. Plusieurs opérations pour la rotule. Déchirure partielle du gastrocnémien gauche, chef médial le 21.02.2014. Abcès omoplate droite. Dermo-hypodermite. • sans signe de gravité associé. Examen clinique. Laboratoire sanguin. Rx jambe droite f/p. Vaccin anti tétanique à jour. Délimitation. Traitement aux urgences • Co-Amoxi 2.2 g iv 1x. Attitude • Contrôle clinique demain matin le 09.10.2018 en filière 34 • antibiothérapie avec Co Amoxi 1 g 2x/j pendant 7 jours. Opération pour un goitre thyroïdien. Opération pour varices du membre inférieur il y a 20 ans. 2 césariennes. Opération prévue le 01.02.2019. Opération prévue le 05.02.2019. Opération prévue le 06.03.2019. Opération prévue le 07.02.2019. Opération prévue le 08.02.2019. Opération prévue le 11.01.2019. Opération prévue le 11.03.2019. ENMG le 05.03.2019. Opération prévue le 12.02.2019. Opération prévue le 15.01.2019. Opération prévue le 18.01.2019. Opération prévue le 19.02.2019. Opération prévue le 25.01.2019. Opération prévue le 28.01.2019. Opération prévue le 29.01.2019. Opération varices. Opération 04.02.2019. Opérations de la vessie pour reflux vésico-urétéral (dernière à l'âge de 3 ans, contrôles normaux, actuellement pas de thérapie). Opérations des genoux des deux côtés suite à un accident de ski en 1981. Dermo-hypodermite du membre inférieur gauche sur mycose interdigitale en 2011. Traumatisme crânien le 10.09.2014 avec plaie superficielle temporale gauche. Opérations ophtalmologiques : • cataracte des deux côtés. • décollement de la rétine à droite. Opération orthopédique poignet gauche sur traumatisme (1977). Mononeuropathie péronière droite d'origine indéterminée, DD compressive au passage du col fibulaire droit. • force musculaire diminuée à droite à M4-, force musculaire à M5 à gauche. • absence de troubles sensitifs. • hypopallesthésie symétrique à 2/8 des pieds ddc. Opéré le 31.01.2019. OPG : arrachement 41, fracture 42. Pas de fracture de la mâchoire. Désinfection à la Chlorhexidine, champage habituel, anesthésie par de la Rapidocaïne. Exploration de la plaie qui ne montre pas d'atteinte transfixiante. Rinçage abondant au NaCl avec passage dans la bouche. Rapprochement des berges par 1 point de Vicryl 4-0 puis suture à la peau par 4 points de 6-0 simple. Reste des plaies non suturables. Attitude : • Antalgie et anti-inflammatoire. • Rappel tétanos. • Amoxicilline pour 5 jours. • Rinçage buccaux. • Suite chez le dentiste traitant. • Arrêt de travail. • Critères de reconsultation expliqués au patient. Ophtalmoplégie internucléaire d'origine indéterminée. Opiacés fixes et en réserve, essai avec Morphine et Fentanyl spray puis Hydromorphone et Effentora. Physiothérapie, ergothérapie. • adaptation de la VNI, physiothérapie respiratoire. Accompagnement interdisciplinaire. Oppression thoracique. Oppression thoracique avec dyspnée d'origine indéterminée le 28.01.2019. DD stress, asthme. Oppression thoracique d'origine indéterminée. Oppression thoracique le 23.01.2019 • Score de Genève révisé à 9 points. Oppression thoracique, palpitations, céphalées. Oppression thoracique sans substrat organique. Oppressions thoraciques d'origine probablement asthmatique DD cardiogène sur • bloc bifasciculaire : RBBB et hémibloc gauche antérieur • FEVG 65% • cinétique de troponines négative. Oppressions thoraciques sur palpitations d'origine indéterminée avec : • sensation de masse intra-abdominale. Optimisation de la volémie > Prévoir une consultation en néphrologie en ambulatoire. Optimisation volémie. Orchidopexie dans l'enfance. Orchi-épididymite droite : • antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine 2 g/jour et Métronidazole 3 x 500 mg/jour du 15 au 18.12.2018 puis relais per-os par Co-amoxicilline 3 x 1 g/jour et Vibramycine 2 x 100 mg/jour jusqu'au 04.01.2019 inclus. Hyperplasie bénigne de la prostate (sous traitement médicamenteux). Glaucome droit. Orchi-épididymite droite le 14.01.2019 avec : • patient traité pour une infection urinaire le 09.01 par Bactrim. • urotube du 09.01.2019 : E.Coli résistant au Bactrim. Orchi-épididymite le 22.12.2018. Risque de MST faible. Pas d'arguments pour prostatite. Orchite gauche, le 30.10.2017 • Tienam en intraveineux du 30.10.2017 au 07.11.2017. Insuffisance rénale aiguë, le 30.10.2017 • eGFR 54.96 ml/min. Ordonnance avec antalgie par Dafalgan 1 g et Brufen 400 mg. Ordonnance pour Fluomizin et Gynoflor. Frottis bactériologique en cours. Organisation demain par le psychiatre de garde un suivi au CPS à Bulle afin d'avoir un suivi psychiatrie et par des assistants sociaux pour aider la patiente du point de vue financier. Organisation d'un suivi chez le Dr. X dès le 24.01.2019. Avis collègues du Torry (discussion et documentation). Organiser colonoscopie à distance. Organiser un Holter sur 72 heures en ambulatoire à la recherche active d'un trouble du rythme. IRM de contrôle à 12 mois afin d'évaluer l'évolution du méningiome de découverte fortuite. Mme. Y sera convoquée pour une consultation neurovasculaire de contrôle à 3 mois à la consultation du Dr. X avec un US des vaisseaux pré-cérébraux et transcrâniens. Organiser un suivi médical ambulatoire. Evaluation par le service social. Orgelet paupière gauche le 25.01.2019. Orientation des filles le 07.01.2019 pour suivi de la prise en charge. Personne de confiance : Tamara Ebnoether 076 436 23 28. ORIF avec plaque radius distal gauche le 05.01.2019. Attelle pendant 2 semaines, mobilisation passive immédiatement. Pansement Comfeel pendant deux semaines. Radiographie de contrôle le 07.01.2018. ORIF fracture d'olécrane (OP le 31.12.2018). Orthopantomogramme: pas de fracture visible. Radiographie main f/oblique: pas de fracture visible. Glucose capillaire à 5.4 mmol/l. Orthoradiogramme colonne totale face/profil du jour (PACS): Absence de décompensation antéro-postérieure (balance sagittale bien conservée). Légère asymétrie de longueur des MI en défaveur de la G. Attitude scoliotique dextro-convexe avec angle de Cobb de 8° entre le plateau supérieur de D11 et le plateau inférieur de L2. Orthoradiogramme colonne totale face/profil du jour (PACS): Confirmation de la correction de l'hyperlordose. Pas de changement de l'attitude scoliotique. Orthoradiogramme colonne totale face/profil du jour (PACS): Hyperlordose lombaire. Matériel en place, sans déplacement secondaire. Orthoradiogramme colonne totale face/profil du jour (PACS): Légère scoliose sinistro-convexe avec angle de Cobb de 15° mesuré entre le plateau supérieur de L5 et le plateau supérieur de L1. Orthoradiogramme colonne totale face/profil du jour (PACS): Pas de scoliose visible. Légère rectitude de la colonne cervicale, non significative. Orthoradiogramme de la colonne totale face et profil: pas de scoliose, légère cyphose thoracique avec hyperlordose compensatrice. Orthoradiogramme de la colonne totale f/p du jour (PACS): cf. diagnostics susmentionnés. Orthoradiogramme de la colonne totale f/p en charge du jour (PACS): cf. diagnostic susmentionné. Orthostatisme. OS fracture extra-articulaire radius distal G le 05.01.2018. Traumatisme crânien avec perte de connaissance et amnésie circonstancielle en 2009 avec: • petites hémorragies sous-arachnoïdiennes pariétales D au niveau de la faux ainsi que pariétales G • céphalées • cupulolithiase post-traumatique G Cure hallux valgus et digitus quintus varus ddc. OS fracture plateau tibial D traitée conservativement le 22.02.2014 à Berne; accident du 20.04.2014. OS fracture radius distal, plurifragmentaire, intra-articulaire le 19.01.2017; accident du 14.01.2017. OS fracture-luxation bimalléolaire cheville G type Weber C, fracture péroné avec Volkmann en février 2006. Claquage du muscle transversal abdominal G en janvier 2014. Fracture de la tête radiale Mason I, coude G en septembre 2011. Plusieurs épisodes de colique néphrétique (3x). Malaise vagal avec hypotension à 60/40 mmHg le 29.01.2017. OS humérus proximal G par plaque Philos et stabilisation du hinge antéro-médial avec une plaque Aptus 2.0, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps le 21.07.2017. Fracture tibia-péroné proximal G avec syndrome des loges le 22.01.2016. Fracture comminutive transverse rotule, genou G le 05.09.2015, traitée conservativement. TC simple avec plaie de 5 cm au niveau pariétal D le 04.03.2012. Choc hypovolémique sur déshydratation et hémorragie digestive haute le 29.04.2018. • Oesophagite toxique dans le contexte d'abus d'alcool. OS radius distal D et cure tunnel carpien post-traumatique en 2017. APP dans l'enfance. OSG distorsion gauche. OSG Distorsion gauche. Osgood-Schlatter: découverte fortuite à la Rx. Osmolalité: 299 • Probablement dans le contexte d'hyperglycémie. Potassium effervescent 10 mmol p.o. aux urgences. Osmolalité: 299 • Probablement dans le contexte d'hyperglycémie. Potassium effervescent 10 mmol p.o. aux urgences. Contrôle biologique. Osmolalité à ajouter au prochain laboratoire. Osmolalité: 290 mOsm/kg. Spot urinaire. Résonium 15g. Ospen 1000 3 x/j pendant 10 jours, Algifor 600 mg 3 x/j, Paracétamol 1 g max 4 x/j, Bexin sirup am Abend. Ospen 1000 3x quotidiennement pendant 10 jours, analgésie et Collunosol Spray. Ossifications hétérotopiques après changement de PTH G sur infection le 16.12.2011. Lombalgies chroniques sur dégénérescence de la colonne lombaire L4-L5, L5-S1. Arthrose des sacro-iliaques. OST de flexion et déviation ulnaire, fixation radius distal G par plaque LCP 3,5 le 07.11.2005 sur consolidation vicieuse d'une fracture radius distal traitée conservativement à l'âge de 14 ans, avec arthrose radio-carpienne et instabilité. • cure tunnel carpien G le 07.11.2005. PTG D sur gonarthrose sévère en 2007 (Dr. X). PTG G le 25.04.2017 sur gonarthrose tri-compartimentale. • OST de valgisation du tibia G en 1997. Cure de cataracte à l'œil D en 2016. Syndrome sacro-iliaque G. Ostéoarthrite chronique du 1er orteil gauche. Ostéoarthrite septique de MTP V à gauche avec ostéomyélite de la phalange proximale et des 2/3 distaux du 5e métatarse et dermohypodermite associée, le 10.01.2019. • Sur mal perforant plantaire. • Plusieurs récidives d'abcès face latérale avec fistule plantaire MTP V à G (05.2018/10.2018). • Incision-débridement de l'abcès face latérale MTP V à G, le 09.05.2018 et le 02.10.2018. • Biopsie du 09.05.2018: E. coli, E. faecalis. • Biopsie du 02.10.2018: S. aureus, S. marcescens et S. haemolyticus. • Prélèvement bactériologique de la plaie envoyé au laboratoire RISCH, le 09.01.2019. • Antibiothérapie avec Co-Amoxicilline du 09.05.2018 au 06.06.2018. • Antibiothérapie par Co-Amoxicilline du 02.10 au 13.11.2018. • Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1g p.o. depuis le 09.01.2019. • Consultation d'angiologie 05.2018: Artériopathie oblitérante des membres inf. stade I, sans ischémie critique. • Suivi plaie en orthopédie par Dr. X. Ostéo-chondrite de Tietze. Ostéochondrite hanche droite traitement conservateur. Traumatisme crânien léger 11.2011. Ostéochondrome antéro-médial à la jonction tiers moyen/tiers distal du fémur D. Ostéolyse acétabulaire massive type Paprosky IIIa sur usure du polyéthylène et métallose dans le contexte d'une PTH non cimentée à couple de frottement métal-polyéthylène implantée en 1999. Ostéomyélite aiguë à Staph. aureus avec fistule cutanée dorsale chronique en regard de la tête de vis de D12 G sur statut post. • Spondylodèse D8-D12 avec système URS (Synthes) et VBS + cimentage avec Vertecem ainsi que vertébroplastie préventive de D7 et L1 le 14.04.2011 pour une fracture Reverse chance de D10. • Ablation du matériel URS (Synthes) de D8 à D12 ddc, révision de plaie avec débridement et résection de fistule cutanée le 20.01.2016. Ostéomyélite chronique à S. aureus sur: • statut post OS fracture ouverte diaphysaire tibia et péroné G type Gustillo I, le 01.07.2011. • excision fistule pré-tibiale et AMO tibia G (OP le 13.01.2012). • débridement, biopsies, rinçage abondant, mise en place d'Ostéoset (avec Vancomycin) jambe G (OP le 17.01.2012). • antibiothérapie par: • Floxapen 2gr/j i.v. du 16.01.-30.01.2012, Cubicine 500 mg 1x/j du 31.01.2012 au 07.02.2012. • Rimactan 600 mg p.o. 1x/j à débuter dès que la plaie est sèche pour 10 semaines (stop le 17.04.2012). • Tavanic 750 mg p.o. 1x/j du 08.02.2012 pour 10 semaines (stop le 17.04.2012). Ostéomyélite chronique de P2 gros orteil pied D. • Antibiothérapie par Levofloxacine et Clindamycine au long cours stoppée il y a 4 jours. Ostéomyélite D1-D2 pied G. Nécrose sèche 3ème orteil à D, suspicion d'ostéomyélite de tout l'avant-pied. Ostéomyélite D1-D2 pied G. Ulcère de décubitus au talon G. Nécrose sèche 3ème orteil à D, suspicion d'ostéomyélite de tout l'avant-pied. Status post stenting de reperfusion au niveau du pied D le 31.01.2019. Ostéomyélite gros orteil G. Ostéomyélite P1 et P2 hallux G le 01.02.2018. • s/p amputation sous-capitale du 1er métatarsien gauche (09.02.2018).• s/p reprise de la cicatrice de moignon de l'hallux gauche (27.02.2018) • Ostéomyélite tibiale D à Staphylococcus aureus. • Ostéonécrose condyle fémoral interne genou droit stade III selon Alback • Ostéophytectomie antérieure et postéro-inférieure le 06.09.2018. Discectomie rétropéritonéale L5-S1 par la gauche, décompression et mise en place d'une cage ALIF Synfix le 11.12.2017 sur discopathie invalidante avec sténose récessale L5-S1 des deux côtés et arthrose facettaire multi-étagée. Insuffisance rénale aiguë le 14.12.2017 dans un contexte infectieux, composante médicamenteuse (Torem/Voltarène). Pseudo-obstruction avec colite post-opératoire le 14.12.2017. PTH gauche le 02.07.2015 sur coxarthrose gauche d'une dysplasie de la hanche type CAM avec lésion labrum supéro-antérieur et kyste arthro-synovial. PTH droite. • Ostéoporose • Ostéoporose • Ostéoporose • Ostéoporose. • Ostéoporose avec tassement D8 Mme. Y polyvasculaire avec FRCV: • Tabagisme actif • HTA • Hypercholestérolémie Sténose significative et asymptomatique de la bifurcation carotidienne G Sténose symptomatique de la bifurcation carotidienne D • Status post TEA et plastie d'élargissement G le 08.10.2009 • Status post AVC sylvien D 2008 • Hypoplasie de l'artère vertébrale D Athéromatose diffuse des artères extra et intra-crâniennes Cardiopathie ischémique • Status post quadruple pontage en 2004 • FEVG conservée Sténose de l'artère rénale D • Hypertension réno-vasculaire avec: • Status post-endartériectomie de l'artère rénale G en 1999 • Status post PTA et stent des artères rénales G (2 artères) en 2001 • Actuellement occlusion des artères rénales avec atrophie du rein (6.5 cm Ø) Sténose/occlusion de l'axe ilio-fémoral • Claudication intermittente des 2 MI • Status post pontage aorto-bi-iliaque pour anévrisme il y a des années avec splénectomie pour hémorragie par la suite • Réopération de l'axe ilio-fémoral prévue • Ostéoporose axiale avec T-score rachis lombaire à - 2.7 Ronchopathie, avec SAS écarté par polygraphie • Ostéoporose et hypovitaminose D substituée Troubles de la marche depuis 24.12.2017 DD: dénutrition, contexte infectieux, métastases cérébrales (infirmées), (poly)neuropathie sur chimiothérapie Hémochromatose AOMI jamais investiguée Hypercholestérolémie Sténose importante de l'artère rénale droite, légère sténose de l'artère rénale gauche (objectivé au CT du 19.10.2018) - Pas de prise en charge particulière des sténoses des artères rénales vu absence d'hypertension réfractaire ou d'insuffisance rénale. Contrôle angiologique pour bilan AOMI en ambulatoire - patient sera convoqué Carcinome épidermoïde de l'œsophage moyen stade cT2 à 3 N0 M0 • date du diagnostic : 19.10.2017 • histologie (Promed P2017.12578) : carcinome épidermoïde de la muqueuse œsophagienne du tiers moyen. • Status post-œso-gastro-duodénoscopie du 19.10.2017 : masse tumorale à 27 cm des arcades dentaires sténosante et circonférentielle. • OGD avec mise en place d'une sonde d'alimentation le 23.10.2017 : tumeur œsophagienne sténosante circonférentielle de 27 à 32 cm des arcades dentaires. Echo-endoscopie pas possible au vu de la sténose sévère. Mise en place d'une sonde d'alimentation naso-duodénale. • CT thoraco-abdominal du 20.10.2017 : épaississement tumoral irrégulier de la paroi de l'œsophage distale sans adénopathie satellite et sans lésion d'allure métastatique secondaire à distance. • PET CT Du 07.11.2017 : hypercaptation intense au niveau de l'œsophage moyen sans adénopathie ou métastase à distance • Facteurs de risques : tabagisme, consommation régulière d'alcool (environ 2 dl par jour) • Tumorboard de chirurgie viscérale du 25.10.2017 : radio-chimiothérapie néo-adjuvante suivie par une éventuelle résection chirurgicale. • status post-chimiothérapie par Carboplatine et Taxol combinée à une radiothérapie à titre néo-adjuvant du 23.11.2017 au 03.01.2018 (chimiothérapie arrêtée précocement pour une pneumonie basale droite fin décembre 2017) : très bonne réponse partielle au PET-CT • TB du 17.01.2018 : patient non opérable, radio-chimiothérapie à compléter, status post-reprise de radio-chimiothérapie par Carboplatine et Taxol du 23.01. au 19.02.2018 • Échec de pose de PEG, pose de GPR le 16.04.2018 Actuellement : pas d'évidence de progression tumorale, dilatations à répétition au vu d'une sténose œsophagienne • Ostéoporose fracturaire avancée avec aggravation d'une fracture-tassement D6/7 le 27.12.2018, avec: • anciens tassements vertébraux D9, D11-D12, L2-5 • traitée par Fosamax et Calcimagon dans le passé, arrêtés plusieurs fois spontanément par la patiente • Ostéoporose fracturaire • Ostéoporose fracturaire • Ostéoporose fracturaire • Ostéoporose fracturaire • Ostéoporose fracturaire : • Fracture-tassement L2 diagnostiquée début novembre 2018, évoluant en vertebra plana • Fracture-tassement de D12 ancienne type vertebra plana, consolidée, avec rétrécissement canalaire sans compression médullaire • Ostéoporose fracturaire : • Tassements L2-L3-L4 récents • Tassement D12 ancien • Ostéoporose fracturaire : Aspect cunéiforme de T5 à T10 en lien avec des séquelles de fractures tassement Pas de fracture fraîche mise en évidence • Ostéoporose fracturaire avec : • Anciens tassements vertébraux multiples : D6, D12, L3, L4 • Ostéoporose fracturaire avec tassement ancien de D11 • Ostéoporose fracturaire avec tassements multi-étagés • Ostéoporose fracturaire avec traitement par Bonviva iv le 21.09.2018 Possible polyneuropathie sensitive des membres inférieurs (investigué en 2016, Dr. X - neurologue) : • ENMG montrant une polyneuropathie sensitive • Hypovitaminose B12 et le reste du bilan étiologique dans la norme. HTA traitée • Ostéoporose fracturaire (Densitométrie 20.10.2014 : T score -3.3 DS) Chondrocalcinose (Arthropathies à cristaux de pyrophosphate de calcium) : nombreuses poussées d'arthropathie dans le passé actuellement bien contrôlées sous Colchicine et Prednisone Hypertension artérielle bien contrôlée sous traitement BPCO stade II chez une non fumeuse Probable angiomyolipome du rein droit et du rein gauche le 11.12.2018 • Ostéoporose fracturaire. État anxio-dépressif. • Ostéoporose fracturaire État anxio-dépressif Souffle systolique artères iliaque et fémorale droites de découverte fortuite le 07.01.2019 État anxieux sur troubles anxio-dépressifs Hypertension artérielle • Ostéoporose non traitée Dégénérescence maculaire liée à l'âge bilatérale Adénocarcinome du côlon (angle colique gauche) classé pT3 pN0 (0/11) cM0, stade IIa : • Date du diagnostic : 04.11.2015 • Histologie (Promed P 9701.15) : adénocarcinome moyennement différencié du côlon, sténosant, stade TNM selon UICC 2009 : pT3, pN0 (0/11), Pn1, V1, R0, G2 • Présentation initiale par un iléus obstructif • CT-scanner thoraco-abdominal du 03.11.2015 : occlusion intestinale mécanique par une tumeur de l'angle colique gauche ; pas de lésion métastatique à distance au niveau hépatique, ganglionnaire ou péritonéal • Marqueur tumoral CEA pré-opératoire : non effectué • Laparotomie exploratrice, adhésiolyse, résection de l'angle colique gauche, anastomose primaire transverso-sigmoïdienne latéro-latérale le 03.11.2015 • Pas de chimiothérapie adjuvante ; suivi selon les recommandations consensuelles de la Société Suisse de gastro-entérologie • Récidive hépatique unique métachrone le 25.10.2016 • Thermo-ablation par radiofréquence le 05.12.2016 (Dr. X) Récidive hépatique le 09.10.2017 • PET-CT scanner du 09.10.2017 : deux hypercaptations hépatiques, une en bordure de la lésion traitée par thermoablation, l'autre au niveau du segment VI • Actuellement : élévation du marqueur CEA depuis deux mois avec un CT scanner sans signe de progression ; surveillance rapprochée par PET-CT scanner à deux mois Ostéoporose sévère avec statut post fracture des 2 poignets, en 2008 • Hypothyroïdie substituée • État anxio-dépressif • Gammapathie monoclonale de type MGUS • Oesophagite avec pseudo Barrett et hernie hiatale (dernière gastro-colonoscopie en 2008) • BPCO stade II selon Gold avec : • Tabagisme actif à environ 30 UPA Ostéoporose • sous Calcimagon D3 Ostéoporose stade I • Vessie hyperactive • Traitement habituel : Vesicare 5 mg et Calcimagon D3 Ostéoporose traitée par Calcimagon Ostéoporose traitée par Calcitonine, Actonel, Tériparatide, puis Bonviva de 2005 à 2007 • Actuellement traitée par Calcimagon D3 • Consilium rhumatologique demandé le 03.01.2019 Ostéoporose traitée par Prolia et Calcimagon D3 Ostéoporose traitée successivement par Calcitonine, Actonel, Tériparatide, puis Bonviva de 2005 à 2007 • Actuellement traitée par Calcimagon D3 Ostéoporose • Vit. D Mangel • Hallux valgus bilatéral • Arthrose de l'AC à droite • Dyslipidémie • Diabète • Obésité Ostéoporose • Vitamine D 79 nmol/l 28.11.2018 • S/p fracture du plateau vertébral supérieur L1+L3 (Rx colonne lombaire le 22.04.2012) Ostéoporose. État dépressif. Ostéoporose. État dépressif. Ostéoporose • Hyperlipidémie Ostéoporose • Hypothyroïdie d'Hashimoto substituée Ostéoporose • Infection urinaire compliquée récidivante • Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes à répétition • Hypoacousie • Lombalgies chroniques • Troubles cognitifs Ostéoporose • Pacemaker par Dr. X pour maladie du sinus avec insuffisance chronotrope et FA anticoagulée par Lixiana 60 mg • Dégénérescence maculaire avec injections intra-oculaires tous les 3 semaines • Hypertension artérielle traitée • Trouble de la marche et de l'équilibre suite à la pose PTH G le 30.11.2017 • Possible décompensation cardiaque d'origine iatrogène • FEVG : 71 % (novembre 2017) • Trouble du sommeil avec dépendance aux benzodiazépines • Canal lombaire étroit L4-5 Ostéoporose • Syndrome tachycardie-bradycardie avec syncope et fibrillation auriculaire le 11.03.2009 • Pose de pacemaker AI DDIR le 12.03.2009 (Dr. X) • Tachycardiomyopathie avec dysfonction ventriculaire gauche et insuffisance mitrale modérées Ostéosuture selon Hawkins du trochiter, humérus G le 08.12.2018 : • Luxation gléno-humérale G antéro-inférieure et fracture déplacée du trochiter, humérus G le 04.03.2012 (premier épisode). Luxation gléno-humérale antéro-inférieure G, 2ème épisode, avec déplacement secondaire du trochiter le 08.03.2017 OP de type Scopolino en 1988 avec reprise en 1996. TVP il y a plus de 10 ans. Amygdalectomie dans l'enfance. Ostéosynthèse cervicale post-traumatique sans précision Ostéosynthèse du cotyle D par voie d'abord Olerud et Stoppa combinée, fixation par 2 vis corticales 4.5, plaque de reconstruction 3.5 à 6 trous verrouillés, une plaque de reconstruction 3.5 en J à 14 trous pour une fracture des deux colonnes et du cotyle et fracture de la colonne antérieure avec mur antérieur et hémi-transverse postérieur, opération du 14.10.2016. Status post Herniectomie L5 G avec déficit du releveur de l'hallux à M4. Ostéosynthèse du membre supérieur droit. Ostéosynthèse du poignet droit et du coude gauche il y a environ 10 ans. Epistaxis antérieure droite récidivante. Ostéosynthèse du radius distal avec une plaque palmaire Aptus radius 2.5 mm et ostéosuture du styloïde radial avec Fiberwire 2 et ostéosynthèse du cubitus distal avec plaque Aptus Hand 1.5 mm et ostéosuture avec Fiberwire. (OP le 06.01.2019). • Ostéosynthèse d'une fracture multifragmentaire pilon tibial jambe G le 30.10.2015 • Ablation matériel prothétique du pilon tibial G le 29.11.2016 • Raccourcissement du tendon d'Achille D et fasciite plantaire D chronique • Arthrodèse de l'articulation tibio-astragalienne et sous astragalienne avec plaque antérieure D avec AMO partielle D le 15.11.201(Clinique Moncor) Ostéosynthèse fémur proximal gauche par clou centromédullaire PFN A (11 mm x 240 mm, lame cervicale 95 mm à 130°) le 09.03.2012 Probable accident ischémique transitoire sylvien droit le 18.07.2011 Prothèse totale du genou gauche (clinique Garcia, Dr. X) en 2008 et droite (Clinique Ste-Anne) en 2007 avec gonalgies résiduelles à gauche Strumectomie en 1974 Anémie hypochrome normocytaire à 109 G/l le 11.03.2017 : • Ferriprive, carence en vitamine B12, folates (limite inférieure) Appendicectomie non datée Gastro-entérite d'origine virale probable au décours le 19.10.2017 États dépressifs récidivants Consilium psychiatrique demandé le 27.11.2018 : • Deuil physiologique, diagnostic différentiel : F43.2 trouble de l'adaptation • Pas de critère pour une dépression Ostéosynthèse membre supérieur droit Ostéosynthèse MSD Ostéosynthèse par PFN-A d'une fracture pertrochantérienne droite type II selon Kyle, le 19.03.2014. Infection urinaire basse à E. Coli, le 27.03.2014, avec pollakiurie. Plaie traumatique pré-tibiale droite, le 28.02.2014, suite à une chute à domicile. Malnutrition protéino-énergétique modérée avec hernie hiatale, reflux gastro-oesophagien, constipation. Ostéoporose fracturaire avec carence sévère en vitamine D, le 26.03.2014. Baisse de l'état général dans un contexte de dorsalgies chroniques et soins compliqués à domicile. Pic hypertensif à 200/80 mmHg. Ostéosynthèse par plaque le 12.01.2019 Ablation des fils à 14 jours, soit le 25.01.2019 Consultation de suivi auprès du Dr. X le 01.03.2019 à 08h30 Ostéosynthèse par plaque Philos (OP le 31.12.2018) Pour 6 semaines : • gilet orthopédique jour et nuit • mobilisation coude libre • mobilisation épaule en passif jusqu'au ventre, rot externe 10°, abduction et élévation max 90° Ablation du Comfeel à J 14 chez le médecin traitant (avant si perte d'étanchéité, fils résorbables) Contrôle radioclinique au team membre supérieur à 6 semaines postopératoires Ostéosynthèse par triple vissage le 28.01.2018 Ostéosynthèse par vis-plaque d'une fracture de l'extrémité distale du fémur droit il y a 7 ans Fracture du coccyx il y a plusieurs années Fracture de la diaphyse fémorale gauche post ostéosynthèse par DHS 2 trous, le 18.09.2014 avec ablation du matériel d'ostéosynthèse : • Réduction ouverte et réostéosynthèse par une plaque DHS 10 trous du fémur droit, le 30.11.2014 Rhabdomyolyse sur chute en raison d'une perte de force le 30.12.2018 puis station au sol plus de 48h Infection urinaire basse à E. coli le 31.12.2018 Ostéosynthèse par vis-plaque d'une fracture de l'extrémité distale du fémur droit il y a 7 ans. Fracture du coccyx il y a plusieurs années. Fracture de la diaphyse fémorale gauche post ostéosynthèse par DHS 2 trous, le 18.09.2014 avec AMO • réduction ouverte et réostéosynthèse par une plaque DHS 10 trous du fémur droit le 30.11.2014. Ostéosynthèse par visse libre le 14.01.2019 à Tavel. Suite de la prise en charge par le team membre supérieur. Ostéotomie bi-maxillaire le 25.01.2019 par Dr. X Bains de bouche et mobilisation précoce Ostéotomie de correction radius distal droit main dominante par double apport le 27.11.2018 sur fracture consolidée en tilt postérieur à 50° d'une fracture du radius distal traitée conservativement. Ostéotomie périostée du cubitus diaphysaire D avec : Status post excision d'un ostéotome périosté cubitus diaphysaire D le 19.11.2018 avec histopathologie : compatible avec une exostose osseuse versus ostéome sans signe de nécrose, de lésion inflammatoire, infectieuse ou maligne.Otalgie Otalgie Otalgie Otalgie Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. otalgie Otalgie bilatérale Otalgie bilatérale débutante Otalgie bilatérale le 29.10.2018 Examen rassurant Attitude : • Antalgie • Consultation en ambulatoire en ORL Otalgie D. Otalgie droite Otalgie droite Otalgie droite Otalgie droite Otalgie droite Otalgie droite Otalgie droite Otalgie droite Otalgie droite Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite avec écoulement. Otalgie droite DD : otite moyenne aiguë débutante, myringite (pas de vésicules visualisées), otite externe (mais pas de lésion ni douleur à l'introduction de l'otoscope) Otalgie et douleur mandibulaire. Otalgie et hypoacousie de l'oreille gauche. Otalgie externe bilatérale Otalgie gauche Otalgie gauche Otalgie gauche Otalgie gauche Otalgie gauche Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche d'origine indéterminée, sans complication. Diagnostic différentiel : trouble aératoire des cavités sinusiennes de la face Otalgie gauche sans otite DD : OMA débutante ? Otite externe débutante ? Cérumen ? Otalgies. Otalgies. Otalgies. Otalgies gauche d'origine peu claire (DD : Otite virale ou bactérienne). Otalgies persistantes post-otite. Otite. Otite aiguë bilatérale Otite aiguë droite Otite bactérienne gauche • Otite à répétition et tympanoplastie dans l'enfance Otite bactérienne le 08/01/19. Otite bilatérale Otite bilatérale Otite bilatérale Otite bilatérale • probable origine virale • associée à rhinite et pharyngite Otite bilatérale réfractaire des deux côtés Otite bulleuse aiguë Otite congestive à droite. Otite congestive bilatérale Otite congestive gauche Otite débutante droite Otite débutante gauche Otite droite Otite droite Otite droite débutante Otite droite débutante Otite droite débutante Otite droite débutante Otite droite le 18.01.2019. Otite droite résistante à l'Amoxicilline Otite droite résistante à l'Amoxicilline Otite externe à droite le 08.01.2019. Otite externe à droite le 20.01.19. otite externe bilatérale Otite externe compliquée CT cérébral : oto-mastoïdite gauche, niveaux liquidiens et infiltration importante des tissus mous en regard du conduit auditif Otite externe droite Otite externe droite Otite externe droite aiguë. Otite externe droite en septembre 2012. Intervention des 2 genoux pour lésions méniscales et ligamentaires. Intervention oreille droite. Intervention pour fistule anale. AVC ischémique aigu du centre semi-ovale gauche le 29.03.2016 d'origine indéterminée avec : • dysarthrie. • NIHSS à l'arrivée à 2, NIHSS 24 h à 1 (asymétrie faciale constitutive). • FRCV : tabagisme actif, suspicion de syndrome d'apnée de sommeil et d'hypertension artérielle, obésité. DD : cardio-embolique, microangiopathique. Hypercholestérolémie le 29.03.2016. FOP de garde II avec : • Score de ROPE à 4. Suspicion de syndrome d'apnée de sommeil. Bradycardie sinusale asymptomatique le 29.03.2016. Tabagisme actif (1/2 paquet/jour). Otite externe droite le 25.01.2019. Otite externe droite persistante le 08.01.2018. Otite externe droite. Suspicion d'entorse de la plaque palmaire du 4ème doigt gauche le 30.03.2016. Douleurs des règles. Otite externe exubérante. Otite externe gauche Otite externe gauche. Otite externe gauche, le 11.01.2019 Otite externe gauche le 15.01.2019. Otite externe gauche sans complication. Otite externe surinfectée Otite gauche débutante Otite gauche en régression Otite moyenne Otite moyenne Otite moyenne Otite moyenne à droite le 26.01.19. Otite moyenne à gauche. Otite moyenne aiguë. Otite moyenne aiguë. Otite moyenne aiguë à droite, possiblement débutante à gauche Otite moyenne aiguë bilatérale Otite moyenne aiguë bilatérale Otite moyenne aiguë bilatérale Otite moyenne aiguë bilatérale Otite moyenne aiguë bilatérale Otite moyenne aiguë bilatérale au décours Otite moyenne aiguë bilatérale au décours Otite moyenne aiguë bilatérale compliquée (pas de réponse à l'Amoxicilline) Otite moyenne aiguë bilatérale en 2013 Otite moyenne aiguë bilatérale non purulente Otite moyenne aiguë bilatérale, perforée à droite Otite moyenne aiguë D Otite moyenne aiguë débutante Otite moyenne aiguë débutante à droite Otite moyenne aiguë débutante à droite Otite moyenne aiguë débutante G Otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aiguë droite débutante Otite moyenne aiguë droite débutante Otite moyenne aiguë droite débutante Otite moyenne aiguë droite débutante Otite moyenne aiguë droite débutante Otite moyenne aiguë droite débutante Otite moyenne aiguë droite débutante Otite moyenne aiguë droite non perforée. Otite moyenne aiguë droite perforée otite moyenne aiguë due à otite externe surinfectée Otite moyenne aiguë et externe gauche Otite moyenne aiguë G Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche. Otite moyenne aiguë gauche. Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche débutante Otite moyenne aiguë gauche débutante Otite moyenne aiguë gauche débutante Otite moyenne aiguë gauche débutante Otite moyenne aiguë gauche débutante Otite moyenne aiguë gauche débutante Otite moyenne aiguë gauche débutante Otite moyenne aiguë gauche débutante Otite moyenne aiguë gauche persistante Otite moyenne aiguë gauche purulente otite moyenne aiguë purulente bilatérale Otite moyenne aiguë. Rhino-pharyngite. Otite moyenne bilatérale. otite moyenne bilatérale Otite moyenne bilatérale en résolution Otite moyenne débutante Otite moyenne débutante à droiteOtite moyenne débutante bilatérale. Otite moyenne droite avec suspicion de perforation du tympan. Suspicion otite externe gauche. Otite moyenne droite dans contexte de IVRS le 21.01.2019. Otite moyenne droite non perforée le 08.01.2019 • une perforation avec cicatrisation n'est pas exclue. Otite moyenne gauche. Otite moyenne gauche non compliquée. Otite moyenne gauche perforée DD: myringite bulleuse perforée. Otite moyenne gauche purulente sans perforation. Otite moyenne gauche 1er épisode, dans le cadre d'une IVRS. Otite perforée gauche. Otite séro-muqueuse droite. Otite. Dafalgan, Algifor, Triofan. Otites. Otites à répétition. Otoplastie bilatérale le 15.10.2015. Tentative de suicide en mai 2015 : intoxication aiguë au Benocten avec QT prolongé. Otoplastie (non datée) Syncope avec prodrome le 24.04.2017 d'origine vaso-vagale, diagnostic différentiel: orthostatique • Électrocardiogramme 25.04.2017 : RSR, FC 80/min, QRS 120ms, PR 200ms, pas de sus ou sous décalage ST, bonne progression onde QRS (iso en V3), QTc 415ms Syndrome du canal carpien G. Cure du canal carpien à G (OP le 01.03.2018). Otorrhée droite. Otosclérose bilatérale opérée 1975. Opération des varices 1990. TURP 2009. AVC régressif sylvien G mars 2004. AIT sylvien D juillet 2004. TVP MIG 2005. Trauma crânio-cérébral et hématome sous-dural aigu 12.2012. OP tunnel carpien 2014. OP cataracte ddc 2015. Otoscopie le 09.01.2019 : canal auditif externe obstrué par cérumen. Cerumenol le 10. et 11.01.2019. Lavage ddc le 14.01.2019. Ouverture partielle de la plaie le 23.01.2019. Frottis plaie : MRSA. Ouverture traumatique de la bourse olécrânienne du coude D en octobre 2011. Accident de travail avec symptomatologie au dos (physio, antalgie) en 2012. Entorse de la cheville G le 11.02.2013. Cervicalgies sur torticolis en 05.2014. Contracture musculaire paravertébrale, suite à un traumatisme par hyper-élongation le 05.10.2016, avec : • Douleur à la palpation de l'insertion des muscles petit rhomboïde et supra-épineux sur l'omoplate G • Douleur thoracique paravertébrale D10-12 D avec irradiation dans la fesse et le membre inférieur droit. Ouverture traumatique IPP D4 main gauche avec section du tendon extenseur à 30%. • Exploration du site, rinçage articulaire, réadaptation du tendon extenseur D4 main gauche (OP le 15.07.2012). Ovariectomie bilatérale pour kystes en 2010. Colique néphrétique droite le 08.06.2016. Céphalées occipitales en coup de tonnerre le 31.01.2017. DD méningite aseptique. Oxybuprocaïne, vitamine A, pansement occlusif. Rendez-vous en ophtalmologie le 10.01.2019. Oxycodone retard 10 mg PO q12h. Paracetamol 1g q8h. Radiographie de la hanche droite le 11.09.2018 : pas de fracture visible, pas de lésion lytique ni condensante. Enthésopathies calcifiantes des grands trochanters et des tubérosités ischiatiques. Infiltration hanche droite par 2 ml Lidocaine 1% et Dépo-Médrol 40 mg le 13.09.2018 (Dr. X + Dr. X). Physiothérapie. Réadaptation à l'hôpital de Riaz. Oxygène 10L. Gazométrie, bilan sanguin complet (en annexe). Nacl bolus 10cc/kg en 1h. Ventolin 5mg aérosol aux urgences. Oxygène. Antigènes urinaires négatifs : stop Klacid. Rocéphine 2 g/J IV pour une durée totale de 7 jours du 23.01 au 29.01.2019. Klacid 500 mg 2 doses jusqu'à négativité des antigènes urinaires le 24.01.2019. Oxygénodépendance & troubles alimentaires dans un contexte d'une bronchiolite RSV +. Oxygénodépendance dans un contexte d'une bronchite spastique chez un enfant broncho dysplasique avec troubles électrolytiques devant des pertes digestives. Oxygénodépendante dès 28.01 au 30.01. Monitoring cardio-respiratoire. Fractionnement alimentaire. Toilettes nasales. Isolement contact. Oxygénothérapie au besoin. Oxygénothérapie au besoin. Soins de confort. • ATT • Hospitalisation en médecine en attente VSF. • Pose de Pleur-X prévu pour le 08.01.19 (Dr. X). • Demande pour la VSF faite. Transfert prévu dès que possible pour réhabilitation palliative. • TT symptomatique. Oxygénothérapie au masque. Physiothérapie respiratoire. Bilan sanguin : FSC, CRP, Na, K, urée, créatinine. Oxygénothérapie aux lunettes du 20.01.-21.01. Traitement symptomatique. Médecine anthroposophique. Oxygénothérapie du 02.01 au 08.01.2019. Traitement symptomatique et médecine anthroposophique. Oxygénothérapie du 22.01 au 26.01. Oxygénothérapie le 11.01.19 8h30 à 18h. Oxygénothérapie par lunettes nasale à 0.3 puis 0.1 l/min le 18.12 puis CPAP du 19.12 au 21.12.18. Oxygénothérapie (sevrée à la sortie). Introduction d'un traitement bronchodilatateur. Gazométries. Spirométrie. Sevrage tabagique. Oxygénothérapie 12.01. au 21.01.2019, physiothérapie respiratoire, médecine intégrative. Oxygénothérapie 2 l aux lunettes. Gazométrie : pH 7,4, PCO2 à 8,1, PO2 8.8, pas de lactate. Rx thorax : foyer en base D, pas d'épanchement. ECG superposable aux antécédents. Attitude discutée avec la famille et le médecin traitant : pas d'acharnement. Pas de réanimation, pas d'intubation, pas de transfert aux soins intensifs. Physiothérapie respiratoire. Oxygénothérapie 21.01-23.01. Médecine anthroposophique. Oxygénothérapie. Gazométrie le 17.12.2018. Ventilation non invasive le 17.12.2018 et le 18.12.2018. Majoration Prednison à 40mg/j jusqu'au 23.12.2018, Prednison 20mg dès le 24.12.2018, 15mg dès le 27.12.2018. Majoration traitement diurétique Lasix 2x 40mg/j le 17.12.2018, majoration à 4x 40mg/j le 18.12.2018. Surveillance lits d'observation urgences. Cefepime 1g 2x/jour dès le 18.12.2018 jusqu'au 25.12.2018 inclus. Adaptation du Lasix à 3x 20mg le 19.12.2018, stoppé le 20.12.2018. Ad Torem 20mg dès le 21.12.2018, avec majoration à 30mg dès le 22.12.2018 et à 40 mg dès le 26.12.2018. Majoration Métolazone 5mg dès le 22.12.2018. Aprovel en pause dès le 21.12.2018. Oxygénothérapie. Traitement par Prednisone actuellement 5 mg par jour. Oxygénothérapie. Ventilation non invasive le 05.01.2019. Levofloxacine du 05.01 au 11.01.2019. Oxygénothérapie. VNI le 14.01.2019. Co-amoxicilline depuis le 15.01.2019, pour 5 jours au total. Majoration des diurétiques. Solu-Médrol le 14.01.2019 puis Prednisone jusqu'au 16.01.2019. Oxygénothérapie. VNI le 14.01.2019. Co-Amoxicilline du 15.01 au 22.01.2019. Majoration des diurétiques avec Furosemide IV. Solu-Médrol le 14.01.2019 puis Prednisone jusqu'au 16.01.2019. Bronchodilatateurs. Physiothérapie respiratoire. Oxymétrie nocturne. Oxyplastin. Oxyplastine pour érythème fessier. Contrôle pédiatre si diarrhées persistantes durant > 2 semaines. Oxyure. Oxyures. O2 du 20.01 au 21.01. Traitement symptomatique. O2 en griffe pied gauche. Pabal 100mcg. Nalador selon protocole. Pertes sanguines estimées à 800cc. Pacemaker dans le cadre d'une cardiopathie rythmique avec FA chronique, implantation en 2015.FA anticoagulée par Sintrom Hypercholestérolémie traitée Hypertension traitée Parkinson débutant traité Syndrome des jambes sans repos • Pacemaker endocavitaire depuis 1999. Hypertension artérielle traitée. • Pachypleurite fibro-inflammatoire gauche, d'origine indéterminée, avec épanchement récidivant de type exsudat • ponctions pleurales à Payerne les 21.02, 05.03 et 11.05.2018 : transsudat selon rapport mais LDH de 777 U/l le 05.03.2018 • status post-drain thoracique du 05.03 au 09.03.2018 • status post-thoracoscopie, biopsie de la paroi thoracique et pleurodèse gauche en 06/2016 • introduction de Colchicine 0.5 mg/jour le 11.06.2018 (Avis rhumatologique Dr. X) • Paie superficielle du genou droit. • Palexia Substitution Vitamine D Palliative Basic Assessment : d'entrée. ESAS : Douleurs au point de ponction uniquement, mais bien contrôlées par anti-douleurs ; Dyspnée à la mobilisation et en parlant ; Nausée en régression ; Fatigue en régression ; Somnolence dort bien ; Inappétence en amélioration mange 1/2 portion ; Autre constipation réfractaire Barthel Index : 35% Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mr. Y vit avec son épouse, cette dernière est proche aidante, les difficultés récentes de soins impossibles à domicile l'ont épuisée. Mr. Y était comptable de métier. A 3 enfants, veuf de la 1ère union, depuis 20 ans avec sa compagne actuelle, qui a aussi 3 enfants. Mr. Y appréciait le sport, était jusqu'à peu autonome. ; Projet du patient / des proches : Se reposer. Son épouse doit aussi récupérer. Puis voir au jour le jour ce qui est possible. Aimerait récupérer ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Mme. Y est présente durant l'entretien et proche aidante. Mr. Y nous est adressé par nos collègues de médecine interne pour suite de prise en charge dans un contexte de baisse d'état général, dyspnée et soins impossibles à domicile. Au moment du transfert, Mr. Y et sa compagne reviennent sur les événements ayant conduit à l'hospitalisation. La rapidité de la dégradation a surpris le couple. Mr. Y rapporte alors une dyspnée et une fatigue en amélioration depuis un drainage pleural et signale un problème de constipation récurrent. Cliniquement, nous notons un état général réduit mais semble-t-il en amélioration, l'auscultation reste pathologique avec une matité à mi-plage à droite. Nous poursuivons le traitement instauré par Hydromorphone. Les thérapeutes de l'équipe sont impliqués dans la prise en charge. Rapidement, Mr. Y démontre une indépendance dans sa mobilité et un besoin d'aide uniquement ponctuel dans les AVQ. Nous rencontrons le couple avec les fils de Mr. Y. Le projet est un retour à domicile, voire une fin de vie à la maison. Son épouse verbalise son besoin d'être soutenue. Nous pouvons organiser un passage 2x/j des SAD, réactiver Voltigo et proposer d'accueillir Mr. Y 2 1/2 journées par semaine à la Villa, pour poursuivre un traitement physiothérapeutique entre autres. Le domicile est alors déjà équipé d'un lit électrique. Radiologiquement, un cliché de contrôle démontre une stabilité de l'épanchement, d'origine finalement plutôt cardiaque. L'état général limité et une tendance à l'hypotension nous motivent à simplifier le traitement ambulatoire, ciblé sur le confort. Mr. Y rejoint son domicile le 18.01.2019. Palliative Basic Assessment : d'entrée. ESAS : Douleurs brûlures parfois dans le thorax avec la dyspnée, sinon pas ; Dyspnée 5-6/10 au repos ; Nausée non ; Fatigue importante ; Somnolence présente ; Inappétence appétit assez nul ; Anxiété avec dyspnée, aussi sans dyspnée ; Dépression broie du noir par moment Barthel Index : 60% Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mme. Y a 3 enfants, deux issus d'un premier mariage, après son divorce, elle a vécu avec un 2ème époux décédé il y a 4 ans. Vit seule dans un appartement avec SAD et aide des voisins. Mme. Y n'aimerait pas impacter la vie de ses enfants, veut qu'ils ne passent pas tous leur week-end auprès d'elle. Mme. Y a travaillé à la Confédération. Avait une amie très proche, qui partageait une maladie similaire, cette dernière est décédée il y a deux ans. Projet du patient / des proches : Craignait de venir ici, c'est l'inconnu. N'a pas de projet actuel (au vu de l'évolution de la maladie) ce qui l'affecte. ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Cite ses enfants comme ressource essentielle. Mme. Y est admise du domicile sur demande de sa pneumologue traitante pour gestion des symptômes et introduction d'opiacés pour dyspnée. Au moment de l'entrée, Mme. Y exprime son souhait de mieux gérer la dyspnée et l'angoisse, d'une part certes associées, mais partage aussi des ruminations quant à son avenir, n'arrivant plus à se projeter avec sa maladie dans le futur. Cliniquement, nous notons une réserve respiratoire très restreinte chez une patiente à l'état général réduit. Nous introduisons progressivement des opiacés, Mme. Y étant craintive de leur usage d'abord, avec un bon effet initial. L'ensemble de l'équipe est impliqué dans une prise en charge holistique de Mme. Y. Diverses thérapies complémentaires sont mises à profit. Mme. Y apprécie le cadre et la prise en soin de la Villa, lui permettant d'effectuer ses AVQ à son rythme. Peu avant Noël, Mme. Y présente plusieurs crises de dyspnées importantes, nécessitant notamment une administration parentérale. Elle décrit par la suite ces épisodes comme une douche froide, la confrontant à la possibilité d'une crise terminale. Sa priorité devient alors de vivre les fêtes avec ses proches ; par la suite, son état se stabilisant à nouveau, nous explorons un projet de suite. Lors d'un entretien familial, nous partageons notre estimation qu'un retour à domicile s'avère compliqué, la discussion s'oriente sur un placement à envisager, voire un séjour à l'UATO. Mme. Y exprime toutefois par la suite sa préférence à un retour à domicile, consciente du risque de vivre une crise à domicile. Impliquant les soins à domicile et Voltigo, nous organisons un essai de sortie le 12.01.2019. Palliative Basic Assessment : d'entrée. ESAS : Dyspnée 2/10 habituelle et stable chez patient BCPO ; Fatigue 8/10 fatigue très importante depuis plusieurs jours ; Somnolence 8/10 ; Anxiété 0/10 ; Dépression 5/10 patient qui en a ras le bol de la situation actuelle. Barthel Index : 35 pts Palliative Performance Scale : 30% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : marié, 2 enfants, une fille vivant à Guin et un fils vivant à Domdidier, 4 petits-enfants ; Projet du patient / des proches : aucun désir à l'entrée exprimé par le patient. Mr. Y est un patient de 81 ans, connu pour un carcinome rénal multimétastatique en importante progression malgré les chimiothérapies palliatives, qui nous adressé par l'équipe de Voltigo pour des soins impossibles à domicile et notamment pour l'épuisement de son épouse. En effet, le patient a présenté sur les derniers jours, un état confusionnel aigu accompagné d'agitation psychomotrice et d'hallucinations visuelles occasionnant plusieurs chutes à domicile. Malgré une tentative d'adaptation thérapeutique pour le maintenir à domicile, l'équipe de Voltigo observe un épuisement majeur, tant physique que psychologique, de l'épouse qui est la principale aidante de Mr. Y. Dans ce contexte, nous décidons de l'hospitaliser directement à la Villa Saint François.A son entrée, nous réalisons un bilan biologique qui montre une stabilité de la fonction rénale et des troubles électrolytiques modérés. Une adaptation des traitements psychotropes et anxiolytiques permet d'observer une évolution clinique favorable sans récidive d'hallucination ou agitation psycho-motrice avec toutefois une persistance d'un état confusionnel hypoactif. Un entretien de famille est programmé le 09.01.2019 pour décider du projet social de Mr. Y. Nous objectivons une importante détresse psychologique chez Mme. Y qui exprime son incapacité à le reprendre à domicile pour diverses raisons. Nous décidons alors d'un placement en EMS sur avis médical au vu de l'incapacité de discernement de Mr. Y actuellement. À noter que Mme. Y a pu bénéficier d'un court suivi psychothérapeutique en fin d'hospitalisation par notre collègue psychologue Dr. X. Des contacts de thérapeutes lui ont été remis. Une entrée à l'EMS des Chênes a pu être organisée le 18.01.2019. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleur : aucune ; Dyspnée : pas au repos ; Fatigue : se fatigue à la mobilisation mais assis pas de problème ; Somnolence : dort assez mal ; Inappétence appétit moyen ; Dépression : émotif à plusieurs reprises, en lien avec la situation ; Autre : gênée par des selles diarrhéiques (Duphalac). Barthel Index : 45 pts Palliative Performance Scale : 40 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mr. Y est marié, a deux enfants, le couple a aussi accueilli une fille. Il a été directeur de Publicitas pendant 40 ans. Il apprécie le contact, aime diriger, avoir des responsabilités, s'est engagé dans divers comités. Appréciait le sport, le ski, le tennis, aller aux champignons. Mr. Y est proche de sa famille ; Projet du patient / des proches : Retourner à la maison. A placé beaucoup d'espoir en cela. ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : La fille de Mr. Y est présente et participe à l'entretien, le visite quotidiennement, tout comme l'épouse de Mr. Y. Mr. Y nous est adressé par nos collègues de la médecine interne de l'HFR Fribourg pour suite de prise en charge suite à un épisode d'encéphalopathie dans un contexte de pneumonie. Au moment du transfert, Mr. Y rapporte une fatigue importante, une difficulté à s'alimenter et une insomnie depuis son hospitalisation. Il constate toutefois une amélioration de son état général, ce qui le motive dans la perspective d'un possible retour à domicile. Cliniquement, nous objectivons un état général modérément réduit avec quelques limitations fonctionnelles ; le périmètre abdominal est augmenté mais sans tension. L'état de conscience est normal. Le lendemain de l'entrée, Mr. Y nous partage avec beaucoup d'émotion un ras-le-bol de l'hospitalisation ; il souhaite un retour à domicile dès que possible et n'arrive plus à dormir en raison de cette attente. Il aimerait pouvoir finir ses jours à son domicile. Nous rencontrons le même jour Mr. Y accompagné de son épouse et sa fille pour discuter du souhait de Mr. Y. Les proches entendent ce besoin et nous leur présentons le cadre d'accompagnement pouvant être mis en place. Nous convenons avec le médecin traitant, Dr. X, d'un retour à domicile avec Voltigo, passage des soins à domicile, livraison d'un lit électrique. Durant le séjour, nous procédons en outre à une ponction évacuatrice de 3 L d'ascite avec bon effet sur une dyspnée d'effort. En cas de récidive d'ascite avec inconfort, nous pouvons organiser une ponction à domicile. Mr. Y peut rejoindre son domicile le 14.01.2019. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs : au niveau de la région sous mandibulaire droite, irradie vers la tempe, continue avec exacerbations ; Dyspnée : non ; Nausée : non ; Fatigue : oui ; Somnolence : dormait mal au Cantonal, car voisin de chambre agité ; Inappétence 0 ingesta possible ; Anxiété : étonnement pas ; Dépression : déprimé d'avoir entendu qu'on ne peut plus rien faire (pour la tumeur). Barthel Index : 65 % pts Palliative Performance Scale : 50 %. Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mr. Y a travaillé 40 ans à la poste, aimait beaucoup son travail, aimait s'occuper d'animaux (moutons, cochons). A 4 fils, 7 petits-enfants, 4 arrière-petits-enfants. La famille est essentielle pour lui ; Projet du patient / des proches : En a marre, d'avoir eu toutes ces souffrances, opérations. Regrette son geste suicidaire mais n'a plus d'envie ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Est d'accord que nous rencontrions son épouse le même jour. Mr. Y nous est adressé par nos collègues de la médecine interne de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour suite de prise en charge dans un contexte de tentamen récent en lien avec une récidive d'un cancer ORL. Au moment de l'entrée, Mr. Y signale son désir de mourir, qu'il n'a plus d'objectif personnel. Il se détache toutefois de manière crédible de son geste suicidaire, qu'il regrette et ne souhaite plus infliger peine pareille à ses proches. Il rapporte des douleurs de l'hémiface droite avec exacerbations, une dysphagie complète et une dysphonie apparues depuis peu. Au status, nous objectivons un état général et fonctionnel modérément réduit. Nous suspectons une irradiation douloureuse sur la masse tumorale connue. L'anamnèse est effectivement compliquée par une difficulté à parler importante. Mr. Y évoque avec sa famille l'importance du cap du 1er janvier, jour de l'anniversaire de son épouse. Nous proposons de ne pas modifier la prise en charge mise en place au Cantonal avec notamment hydratation et nutrition artificielle avant le passage de cette date. De la morphine puis du fentanyl sont introduits avec bon effet pour l'antalgie de Mr. Y. Nous rencontrons les 4 fils de Mr. Y en sa présence une première fois le 04.01.2019. Ce dernier exprime à ses enfants son ras-le-bol de la vie. Il verbalise le désir d'arrêter nutrition et hydratation artificielle afin de mourir au plus vite. Le projet s'oriente ainsi vers une fin de vie dans notre service. Mr. Y questionnant toutefois la raison de l'arrêt des perfusions quelques jours après, nous mettons en évidence en discutant avec lui, des troubles mnésiques connus de l'entourage. Mr. Y explique alors qu'il souhaite désormais continuer à vivre, du moment que ses douleurs soient contrôlées comme alors et qu'il puisse rentrer à la maison, un placement n'ayant pas de sens pour lui. Nous réunissons à nouveau la famille le 09.01.2019, avec Mme. Y, proche aidante, partageons ce désir et notre besoin d'avoir une attitude commune compte tenu des troubles mnésiques objectivés. Après avoir expliqué le soutien que nous pouvons organiser en ambulatoire, nous pouvons convenir d'un retour à domicile avec Voltigo et soins à domicile. Une réalimentation artificielle suffisante pour une reprise pondérale n'étant pas raisonnablement envisageable, nous expliquons les limites d'une alimentation parentérale ne couvrant pas les besoins physiologiques dans un contexte oncologique tel que celui de Mr. Y. Nous proposons une hydratation ad minima, compatible avec des soins à domicile et sans contraintes fonctionnelles majeures afin de maximiser le confort à domicile. Mr. Y rejoint son domicile le 14.01.2018 ; afin de sécuriser l'entourage, nous convenons de bloquer un lit à son intention 48 h dans notre service dans l'éventualité de difficultés ingérables en ambulatoire.Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs aux bras, pas présentes actuellement répond à l'Oxycodone, mais somnolence ; Fatigue extrême, n'arrive plus à se faire un thé ; Somnolence : besoin de Temesta car angoisses nocturnes ; Inappétence : moyenne ; Anxiété : en péjoration ; Autre : tendance à la constipation Barthel Index : 40 pts Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mme. Y vit seule dans une maison familiale, ses proches habitent le même immeuble, elle apprécie d'être proche de son fils et de ses petits-enfants, ses rayons de soleil. Mme. Y dit avoir vécu une vie professionnelle riche, comme enseignante à l'école des métiers (enseignait les maths notamment). Aime cuisiner, a pu transmettre sa passion à sa petite-fille. Les réactions des proches face à sa situation sont partagées, certains comprennent sa décision d'autre aimeraient la garder plus longtemps ; Projet de la patiente / des proches : Se poser, avoir du répit. Voir après ce qu'il vient, d'ici quelques jours. Si elle reste autant fatiguée, elle veut arrêter son traitement. Sa belle-sœur nous demande de reconditionner Mme. Y. Son fils pense qu'elle devrait se changer les idées, demande si nous avons des activités ; Comment la patiente souhaite-t-elle associer les proches aux décisions et aux soins ? : Son fils et sa belle-fille sont présents. Mme. Y demande toutefois que certains proches limitent leurs visites et leurs téléphones pour qu'elle puisse souffler, c'était devenu un salon de thé chez moi. Mme. Y est admise du domicile sur avis Voltigo dans un contexte de baisse de l'état général. Mme. Y rapporte une fatigue extrême, tant physique que psychologique, une inappétence, une anxiété principalement nocturne. Elle dit n'être plus en mesure de rester à la maison, d'avoir attendu trop longtemps avant d'accepter une hospitalisation. Au status, nous constatons un état d'asthénie flagrant, un état général modérément réduit. Les douleurs rapportées sont plutôt diffuses, avec une prédominance aux membres supérieurs. Nous impliquons les différents intervenants de la Villa St-François dans la prise en charge. Mme. Y apprécie les approches complémentaires et corporelles, prend plaisir à partager les repas à la salle à manger. Elle verbalise une anxiété face à ses proches et une culpabilité face au fait de les quitter à terme. Un soutien psychologique est débuté et Mme. Y est intéressée à le poursuivre en ambulatoire. Nous constatons avec Mme. Y des progrès en termes de fonctionnalité, d'un appétit amélioré et d'un état général se renforçant. Nous pouvons organiser un retour à domicile en renforçant l'aide formelle et proposons un suivi ambulatoire à Mme. Y à notre accueil de jour, qu'elle accepte volontiers. Sur le plan oncologique, Mme. Y se questionne sur les potentiels effets indésirables et les bénéfices de l'hormonothérapie et est intéressée à explorer une alternative, respectivement d'interrompre le traitement. Nous convenons qu'elle prendra rendez-vous selon disponibilités de sa belle-sœur pour l'accompagner chez le Dr. X qui reprend le suivi à Riaz. Mme. Y rejoint son domicile le 30.01.2019. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs : en péjoration, deviennent continues mais répondent bien à une réserve de Kétalgine ; Nausée : absente ; Fatigue : en péjoration, sur douleur ? ; Somnolence : dort davantage ; Inappétence : reprise de l'appétit ; Dépression : plutôt réjouit d'avoir repris du poids ; Autre : a l'impression que les traitements ralentissent son flux de parole Barthel Index : 80 pts Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mr. Y est bien connu du service, il vit seul dans un hôtel. A récemment perdu son frère, se demande comment ce dernier a pu sombrer ainsi dans l'alcool. A récemment retissé des liens avec sa sœur avec laquelle il était en froid. Mr. Y dit apprécier le contact franc et honnête et prendre le temps pour plaisanter. ; Projet du patient / des proches : Se mobiliser davantage, améliorer l'antalgie dans ce but ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : - Mr. Y est hospitalisé de son domicile le 21.12.2018 au sein de l'unité de soins palliatifs. Pour rappel, fin novembre, il avait dû être hospitalisé en raison de troubles neurologiques invalidants à domicile. Au moment de son entrée, il relate une amélioration de ces troubles mais constate une douleur exacerbée limitant sa mobilité. Nous constatons un état général conservé et effectivement une récupération au niveau de l'acuité visuelle, permettant à Mr. Y de lire à nouveau le journal. Nous convenons d'adapter l'antalgie afin de favoriser la mobilité de Mr. Y, son état général étant désormais compatible avec une réhabilitation palliative. Les divers intervenants de la Villa St-François sont impliqués dans la prise en charge de Mr. Y. Ce dernier est stimulé à se mobiliser par lui-même régulièrement durant la journée, avec succès. L'appétit de Mr. Y s'améliorant, il constate avec plaisir une prise pondérale. L'antalgie majorée s'avère efficace et nous encourageons Mr. Y à gérer sa prise des réserves indépendamment. Mr. Y peut rejoindre son domicile le 07.01.2019, en poursuivant un suivi régulier de sa situation par Voltigo. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs (ESAS réalisé avec état de conscience altéré) : aux mobilisations, semblent intenses, pas au repos ; Dyspnée : non ; Nausée : non ; Fatigue : stuporeux/comateux ; Inappétence : prise per os impossible ; Anxiété : non Barthel Index : 0 pts Palliative Performance Scale : 10% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Connu du service ; repris de la précédente hospitalisation car Mr. Y n'est plus en état de participer à une discussion prolongée. Les proches sont surpris de la dégradation si rapide de son état de santé. Mr. Y est marié, vit avec son épouse dans une maison ; il a 4 enfants d'un précédent mariage (2 filles habitent Bern, un fils en Toscane et une fille à Nice). Il est grand-papa de 9 petits-enfants et 2 arrière-petits-enfants. Il est bilingue français-allemand, et avait un commerce de matériel et équipement de bureau. Mr. Y aime : lire, regarder la TV, voir dehors (content d'être près de la fenêtre) et adore passer du temps avec ses 3 chiens (bergers des Pyrénées) ; Projet du patient / des proches : Objectif thérapeutique discuté avec sa fille : privilégier le confort ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Proches impliqués d'emblée au vu de l'état général de Mr. Y. Mr. Y nous est adressé par nos collègues de la médecine interne de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour suite de prise en charge dans un contexte d'adénocarcinome pancréatique et cholangites à répétitions. Au moment du transfert, l'état général et fonctionnel de Mr. Y est médiocre, ne permettant qu'une anamnèse succincte ciblée sur la symptomatique. Nous partageons avec les proches de Mr. Y, son épouse et ses filles, notre anticipation d'une fin de vie. Elles nous signalent toutefois avoir vécu avec lui des périodes difficiles dans sa santé avec de lourdes complications, desquelles il a jusqu'alors réussi à récupérer. Nous proposons une approche ciblée sur les besoins de Mr. Y avec antalgie en réserve et confirmons la décision de ne pas poursuivre l'alimentation artificielle. Constatant une impossibilité à le mobiliser pour les soins de base sans que Mr. Y ne crie, malgré antalgie et anxiolyse généreuse, nous débutons un protocole de mobilisation au Propofol avec bon effet.Le séjour se poursuit avec une prise en charge soignante adaptée au jour le jour, l'état de Mr. Y alternant entre périodes où il mange et boit spontanément avec plaisir et périodes où il ne se réveille pratiquement pas de la journée. Nous rencontrons la famille à nouveau trois semaines après son transfert ; les proches partagent un sentiment de ne pas être informés des changements relatifs à la prise en charge de Mr. Y ; nous proposons de faire le point deux fois par semaine si besoin, mais expliquons que nous estimons son état comme relativement stable, malgré tout, nous ne pensons qu'une amélioration de celui-ci n'est pas raisonnablement possible et restons dans l'anticipation d'une fin de vie. Constatant début janvier que les mobilisations se passent désormais sans Propofol, nous procédons à un reclassement administratif en attente d'EMS dès le 04.01.2019, les soins prodigués ne requérant alors plus les compétences d'une unité aiguë. Nous contactons la famille dans le projet de procéder à des inscriptions en EMS. L'état de Mr. Y se péjore alors avec un état fébrile que nous traitons symptomatiquement ; par la suite, il requiert à nouveau du Propofol pour les soins de base, la mobilisation redevant source de douleurs et d'anxiété. Mr. Y décède dans la soirée du 19.01.2019 en présence de sa fille. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs : globalement bien contrôlées sous traitement ; Dyspnée : 0/10 ; Nausée : importantes, en partie associées aux vertiges, résistantes au Primperan ; Fatigue : légère ; Somnolence : 0/10 ; Inappétence : 0/10 ; Anxiété : importante, liée au fait d'être seule à domicile, peur d'une nouvelle chute notamment ; Autre : Vertiges importants, en partie connus de longue date, mais depuis mi-décembre en aggravation avec paroxysmes (diagnostic de VPPB). Barthel Index : 90 % pts Palliative Performance Scale : 70 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mme. Y est bien connue de notre service, elle vit seule dans un appartement avec l'accompagnement des soins à domicile et de Voltigo. Mme. Y a un époux, institutionnalisé en EMS, qu'elle visite souvent. Elle a travaillé comme secrétaire de direction. Mme. Y a un quotidien bien rempli et apprécie des sorties culturelles avec ses amies ; Projet du patient / des proches : Espère pouvoir rentrer encore à la maison mais sinon se voit à l'EMS (Martinets) ; si un placement s'effectue, elle espère pouvoir continuer à partir en vacances ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : - Mme. Y est hospitalisée depuis son domicile sur demande de l'infirmière de Mme. Y, un jour après une hospitalisation d'une semaine suite à une chute sur vertige dont le bilan ORL n'a pas pu mettre en évidence une cause. Au moment de l'entrée, elle rapporte être rentrée sans se sentir prête. Nous notons une réactivation d'une anxiété généralisée, bien connue de notre service. Elle signale des vertiges persistants, une grande peur à rechuter d'autant plus qu'elle est seule à domicile. Au status, nous constatons un état général conservé, nous connaissons bien Mme. Y qui fréquente notre accueil de jour en ambulatoire chaque semaine. Nous notons les stigmates de sa chute avec des hématomes périorbitaires. Nous impliquons les thérapeutes du service pour une prise en charge globale mais anticipons une problématique psychique et sociale au vu des hospitalisations récurrentes. Rappelons que la maladie somatique (myélome multiple) de Mme. Y fragilise régulièrement son équilibre psychologique. Nous convenons avec Mme. Y d'un séjour à l'UATO dès qu'une place se libère, ce projet parle à Mme. Y, qui est partagée entre un nouvel essai de maintien à domicile ou un placement. Administrativement, le séjour est reclassé en attente de place à l'UATO dès le 27.12.2018. Après contact avec l'oncologue traitant de Mme. Y, nous administrons le Zometa mensuel et réalisons un bilan biologique le jour du transfert à l'UATO. Mme. Y est transférée le 07.01.2019 à l'UATO. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs : pas répondu ; Nausée : non ; Fatigue : pas répondu ; Somnolence : dort bien ; Inappétence : mange bien ; Anxiété : pas nerveuse, pas de colère ; Dépression : à la question Mme. Y pointe le ciel ; Autre : probablement constipation selon proche. Barthel Index : 20 pts Palliative Performance Scale : 30 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mme. Y est mariée, a un fils et une fille, 2 petits-enfants ; la situation est difficile pour les proches, sa fille semblant avoir besoin de prendre davantage de distance (pour se protéger ?) mais ils désirent son confort, ils ont réussi le maintien à domicile jusqu'alors. Mme. Y a travaillé comme logopédiste ainsi que clown, elle s'est découvert cette facette alors qu'elle travaillait avec des enfants. Mme. Y aime travailler de ses mains, se lever tôt le matin, se promener en nature, méditer. Elle apprécie ses animaux ; Projet du patient / des proches : Ne sait pas, me demande si c'est grave si elle ne sait pas ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Son époux est proche aidant, le fils aide le couple régulièrement. Mme. Y est admise du domicile sur soins impossibles à domicile dans le contexte d'une fin de vie. Au moment de l'entrée, Mme. Y est partiellement orientée et participe dans une certaine mesure à l'anamnèse. Son fils, présent lors de l'entretien d'entrée, lui apportant régulièrement assistance, rapporte des chutes à domicile récentes et une mobilisation devenue très complexe pour lui et son père. Son époux, que nous rencontrons le même jour, rapporte un état d'agitation plutôt nocturne et un épuisement face à la situation ; il se déclare coupable de devoir l'hospitaliser, face à une promesse que le couple se serait faite de faire appel à EXIT pour la fin de vie. Mme. Y n'a toutefois pas fait signe de vouloir faire appel à eux récemment. Nous constatons un état général amoindri de Mme. Y et objectivons un état confusionnel dans le contexte de la maladie oncologique connue. Nous adaptons l'antalgie fixe par fentanyl patch, anticipant des troubles de la déglutition. Ces derniers se manifestant par la suite, nous exploitons le Port-à-cath de Mme. Y afin d'administrer les traitements d'appoint en parentéral. L'évolution ne présente pas de complication particulière. Une agitation modérée la nuit, source de stress pour l'époux, est traitée par une dose de Temesta IV au coucher avec bon effet. L'état de Mme. Y se dégrade progressivement. Parallèlement, nous accompagnons la famille dans le processus de deuil anticipé. Mme. Y décède en présence d'une amie proche le matin du 24.01.2019 à la Villa St-François. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 0/10 ; Dyspnée 0/10 ; Nausée 0/10 ; Fatigue 2/10 ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 0/10 ; Anxiété 0/10 ; Dépression 0/10 : bon moral ; Sensation de mal-être 0/10 ; Autre 5/10 : faiblesse musculaire des membres inférieurs. Barthel Index : 80 pts Palliative Performance Scale : 70 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : marié, 1 fils, 3 petits-enfants, 2 arrière-petits-enfants ; Projet du patient / des proches : placement en EMS. Mr. Y est un patient de 83 ans connu pour une cardiopathie ischémique et valvulaire terminale qui nous est adressé par le service de médecine interne de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour suite de prise en charge et évaluation du projet social. Mr. Y est initialement hospitalisé pour une évaluation pré-TAVI avec mise en évidence d'une sténose aortique sévère, d'une fraction d'éjection du ventricule gauche estimée à 20 % et d'une insuffisance rénale stade IV. Au vu de ces résultats et de l'état général du patient, il est décidé d'entente avec Mr. Y et sa famille d'annuler la TAVI et de passer à des soins de confort.A son entrée dans notre service, Mr. Y est globalement asymptomatique. Son désir principal est de conserver sa condition physique et de sortir de l'hôpital. Nous adaptons son traitement cardiaque avec arrêt des bêtabloquants, au vu du profil tensionnel très bas et du risque de chute associé. Pour les douleurs angineuses récurrentes présentes durant son hospitalisation en médecine, nous introduisons un traitement par Isoket spray d'office permettant une nette diminution du nombre d'épisodes. Les quelques épisodes d'angine présentés par la suite ont été contrôlés par l'administration de Dafalgan et Isoket spray. A partir du 13.01.2019, nous observons une décompensation cardiaque modérée avec une prise pondérale et une surcharge pulmonaire. Nous adaptons le traitement diurétique per os en majorant le Torem à 20 mg et mettons en place de la physiothérapie respiratoire. A la sortie le 16.01.2019, Mr. Y présente une amélioration de l'auscultation pulmonaire avec toutefois une persistance de râles crépitants du tiers inférieur de la plage pulmonaire gauche. La plage pulmonaire droite reste libre. A noter également la présence de discrets œdèmes des membres inférieurs sous forme de marque de la chaussette sans signe du godet. Concernant les troubles de la marche et le risque de chute d'origine multifactorielle connus chez Mr. Y, nous effectuons une évaluation interdisciplinaire. Le moyen auxiliaire de marche est adapté avec mise en place d'un rolateur, permettant ainsi une nette amélioration de la sécurité à la marche de Mr. Y. Pour ce qui est du projet social, des inscriptions en home ont déjà été entreprises depuis le service de médecine. Dans l'attente de son entrée en home, l'épouse de Mr. Y est demandeuse de voir son mari rentrer à domicile. Pour le faire dans les meilleures conditions, nous mettons en place un traitement d'urgence en cas de crise angineuse avec des explications claires à partir de quand l'épouse doit demander de l'aide. Nous ajoutons Voltigo aux soins à domicile déjà en place avant son hospitalisation. Mr. Y rentre à domicile le 16.01.2019. Nous serions rassurés si vous pouviez entreprendre une visite à domicile ou contacter Mme. Y la semaine qui suit son retour à domicile afin de vérifier l'état de santé de son mari et d'adapter le traitement diurétique au besoin. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 0/10 ; Dyspnée 0/10 ; Nausée 0/10 ; Fatigue 3/10 : depuis début janvier ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 7/10 : depuis début janvier ; Anxiété 0/10 ; Dépression 0/10 ; Sensation de mal-être 0/10 ; Autre 5/10 : trouble d'endormissement Barthel Index : 75 pts Palliative Performance Scale : 80% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : 4 filles, plusieurs petits-enfants, suivie par Voltigo ; Projet du patient / des proches : mourir dans la sérénité et un retour à domicile, si situation clinique stable. Mme. Y est une patiente de 92 ans connue pour une tumeur du pancréas, découverte récemment avec prise en charge palliative dès son diagnostic. Elle est hospitalisée le 02.01.2019 pour des douleurs abdominales dans le contexte d'une progression oncologique. Mme. Y nous est adressée par nos collègues de la médecine de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal le 21.01.2019 pour suite de prise en charge. A son arrivée dans notre service, la patiente a comme plainte principale une asthénie invalidante associée à une inappétence marquée. Elle bénéficie alors d'une prise en charge palliative multidisciplinaire, notamment concernant les œdèmes des membres inférieurs, le prurit et la constipation. Dès le 23.01.2019, nous mettons en évidence une somnolence progressive avec le 25.01.2019 un iléus probablement d'origine oncologique. Les traitements et leurs voies d'administration sont adaptés, ne restant qu'un traitement par scopolamine et morphine. Mme. Y décède entourée par sa fille Eléna le 28.01.2019. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 0/10 ; Dyspnée 1/10 : à son arrivée à l'hôpital à 10/10 ; Nausée 0/10 ; Fatigue 8/10 : plainte principale, décrit comme une perte de son énergie vitale ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 8/10 : aucun appétit sans dégoût ; Anxiété 0/10 ; Dépression 0/10 ; Sensation de mal-être 0/10 Barthel Index : 50 pts puis 10 pts en 48h Palliative Performance Scale : 20% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vit à domicile avec son épouse. Suivi par Voltigo, pas de soins à domicile, +/- indépendant pour les activités de la vie quotidienne (avec +/- aide de son épouse en fonction de son état). 3 enfants : 1 fils qui vit dans la même maison, 2 filles dans la région également. Mme. Y et Mr. Y rapportent de bonnes relations familiales ; Projet du patient / des proches : Ne se voit pas rentrer à domicile pour l'instant, désire se reposer. Mr. Y est un patient de 76 ans connu pour un carcinome épidermoïde du poumon droit métastatique au niveau cérébral en cours d'immunothérapie. Le patient est amené aux urgences le 20.01.2019 en ambulance pour une dyspnée aiguë sur une récidive d'un épanchement pleural droit. Il bénéficie d'une ponction évacuatrice avec retrait de presque 3 litres. Le patient nous est directement adressé pour suite de prise en charge. A son arrivée dans notre service, Mr. Y exprime clairement son désir de soins de confort et ne désire pas de nouvelle intervention au niveau pulmonaire et oncologique. Après 48h d'hospitalisation, nous observons un ECOG de 4 chez un patient qui ne quitte plus son lit et présente une asthénie majeure. Dans ce contexte, nous renonçons à la pose d'un pleurX précédemment discuté lors de sa dernière hospitalisation. Nous mettons en place un traitement par morphine pour pallier la dyspnée qu'il présente. D'entente avec son oncologue traitant, nous mettons un terme au traitement d'immunothérapie en cours. Dès le 23.01.2019, Mr. Y présente une dégradation aiguë de son état sur le plan respiratoire. Un traitement par Scopolamine est introduit ainsi qu'une anxiolyse par Temesta. Mr. Y décède dans la soirée du 23.01.2019 à la Villa St-François en présence de sa famille. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 0/10 ; Dyspnée 5/10 ; Nausée 0/10 ; Fatigue importante ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 0/10 ; Anxiété 0/10 ; Dépression 0/10 Barthel Index : 30 pts Palliative Performance Scale : 30% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : bien connu du service, Mr. Y dit avoir passé de belles fêtes en famille. Il vit avec son épouse dans un appartement, est menuisier de formation, a deux fils et des petits-enfants. Mr. Y garde le moral quoi qu'il arrive ; Projet du patient / des proches : Retourner à la maison d'ici quelques jours ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Son épouse est proche aidante. Mr. Y, bien connu de notre service, est admis de son domicile après passage aux urgences de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal dans le contexte d'une pneumonie. A l'entrée, Mr. Y rapporte une dyspnée et une fatigue rapidement installée ayant rendu les transferts à domicile impossibles. Son épouse raconte un malaise et une perte de pouls objectivé avec l'infirmière des soins à domicile ; l'ambulance a été ainsi appelée. Nous notons un état général réduit par rapport à son précédent séjour ; cliniquement, l'auscultation est clairement pathologique en base droite. Un traitement antibiotique parentéral est administré.Biologiquement, nous notons une bonne réponse au traitement. Cliniquement, Mr. Y remarque une amélioration rapide. Sur le plan fonctionnel en revanche, les progrès s'avèrent plus lents. Anticipant des difficultés au retour à domicile, nous rencontrons le couple pour évoquer leurs besoins ; Mr. Y verbalise l'importance à ce que son épouse soit en confiance pour un retour à domicile, Mme. Y envisageant de reprendre Mr. Y à la maison, de toute façon une fois que son état le permette. Les transferts s'améliorant lors de la 3ème semaine d'hospitalisation, nous pouvons convenir d'un retour à domicile avec passage bi-quotidien des soins à domicile et livraison d'un lit électrique. Mr. Y rejoint son domicile le 22.01.2019. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 2/10 : douleur continue au niveau costal droit à type de compression, douleur d'allure nociceptive, la patiente ne souhaite pas être traitée pour cette douleur. Douleur majorée à la mobilisation ; Dyspnée 8/10 : à la parole et à toute mobilisation, plus importante depuis l'hospitalisation ; Nausée 0/10 ; Fatigue 5/10 : fatigue modérée qui se péjore progressivement depuis des semaines ; Somnolence 0/10 : bon sommeil ; Inappétence 8/10 : manque d'appétit marqué, dit être une petite mangeuse. Incapacité à avaler des morceaux car ressent un blocage lors de la déglutition ; Anxiété 0/10 : se dit prête à partir ; Dépression 2/10 : pas de tristesse mais absence d'intérêt ; Sensation de mal-être 0/10 ; Autre : constipation avec selles dures difficiles à sortir - Urinaire : pollakiurie sans algurie ni dysurie. But hosp : maintien autonomie au maximum et marche avec le minimum de dyspnée. Ne souhaite pas d'acharnement, ne concerne pas l'alimentation entérale mais les chimiothérapies principalement. Barthel Index : 40 pts Palliative Performance Scale : 20% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : deux fils qui vivent à Ursy, 4 petites-enfants, a travaillé dans le réfectoire d'une fromagerie. Mme. Y est une patiente de 73 ans connue pour un cancer pulmonaire bilatéral métastatique qui est initialement hospitalisée dans le service de médecine interne de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal, pour une baisse de l'état général sur une dénutrition protéino-calorique sévère dans le contexte oncologique. Elle bénéficie initialement d'une renutrition entérale et d'une substitution électrolytique par sonde naso-gastrique. Une pneumonie du lobe moyen, probablement chronique, est traitée par Co-amoxicilline et de la Mycostatine est instaurée pour une mycose orale. Mme. Y est transférée dans notre service le 14.01.2019 pour suite de prise en charge. À son arrivée, ses plaintes principales sont une dyspnée et une asthénie importantes. Elle exprime rapidement un désir de non-acharnement thérapeutique avec le souhait d'arrêter la nutrition entérale au vu d'une absence de bénéfice depuis son instauration. La nutrition entérale est donc arrêtée le 16.01.2019 et la sonde naso-gastrique retirée le même jour. Afin d'améliorer au maximum le plaisir alimentaire, nous ajoutons du Fluconazole pour traiter la candidose orale avec possible atteinte oesophagienne. La dyspnée est traitée par oxygénothérapie et morphine. Néanmoins, Mme. Y s'affaiblit rapidement et devient comateuse le 21.01.2018. Elle décède le jour même, en présence de ses deux fils. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 2/10 : gêne abdominale ; Dyspnée 0/10 ; Nausée 0/10 : actuellement absente, mange et boit de petites quantités avec sonde clampée, sans vomissement depuis environ 6 jours ; Fatigue : faible ; Somnolence 0/10 ; Inappétence : un peu plus d'appétit, mais n'ose pas beaucoup manger par peur des vomissements ; Autre : gêne importante de la SNG (dans le nez et la gorge). Barthel Index : 60 pts Palliative Performance Scale : 60% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mme. Y vit avec son ami dans une maison près de Lausanne. 2 filles, 3 petits-enfants dont elle semble très proche. Une de ses filles a perdu son mari, il y a 11 ans d'un cancer, souvenir qui est encore très douloureux pour Mme. Y. Ne pourra pas retourner dans sa maison, car cela devient trop difficile pour son ami (qui est actuellement hospitalisé au CHUV). Ses filles pourraient l'accueillir chez elles, mais Mme. Y a peur d'être une charge ; Projet du patient / des proches : projet à construire ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : très proche de ses filles (dont une est infirmière en anesthésie) et de son beau-fils. Mme. Y nous est adressée par nos collègues de la médecine interne de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour suite de prise en charge dans un contexte de carcinose péritonéale sur cancer pancréatique. Au moment de l'entrée, Mme. Y rapporte des vomissements fréquents accompagnés de crampes occasionnelles. Elle garde un plaisir certain à prendre boisson et alimentation quand elle le peut. Nous notons un état général relativement conservé. L'auscultation abdominale démontre des signes de souffrance sur l'iléus connu. Nous adaptons la prise en charge symptomatique ; la sonde nasogastrique dérangeant Mme. Y, elle est retirée. La Sandostatine est initialement poursuivie, puis interrompue en l'absence de bénéfice net. Le Buscopan et l'Effentora conviennent le mieux à Mme. Y pour gérer l'inconfort digestif. Mme. Y bénéficie de l'encadrement des divers intervenants de la Villa face à une situation de maladie avancée l'empêchant de rentrer chez elle, de manger et de boire comme elle voudrait. Nous évoquons la possibilité d'un drainage gastrique percutané à visée de décharge mais la survenue d'un état confusionnel sur insuffisance rénale nouvelle nous évoque une fin de vie se rapprochant. Nous convenons avec Mme. Y et ses proches de ne pas entreprendre d'intervention invasive, une chimiothérapie n'étant plus envisageable face à un état général se dégradant progressivement. Le séjour n'exigeant plus une prise en charge médicale aiguë, nous procédons à un reclassement administratif dans une attente d'EMS dès le 17.01.2019 ; restant bien conscients de la possibilité d'une nouvelle péjoration sur le plan général à court terme. Mme. Y présente alors par la suite des signes d'urémie terminale et manifeste un état de conscience altéré. Elle décède le 22.01.2019 à la Villa St-François. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 3/10 : avec pic douloureux à 10/10 par la défécation et position assise ; Anxiété 5/10 : depuis 1 mois avec angoisse de la mort et du noir ; Dépression 5/10. Barthel Index : 100 pts Palliative Performance Scale : 80% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Patiente mariée, 2 enfants et 4 petits-enfants. Vit à Payerne, ancienne secrétaire puis femme au foyer ; Projet du patient / des proches : retour à domicile. Mme. Y est une patiente de 69 ans connue pour un carcinome ovarien et une carcinose péritonéale en progression malgré plusieurs tentatives de traitements par chimiothérapies palliatives. Elle est hospitalisée le 06.12.2018 pour une exacerbation des douleurs pelviennes connues dans ce contexte. Malgré une infiltration sacrée par nos collègues anesthésistes et plusieurs adaptations du traitement antalgique, l'évolution clinique est insuffisante, motivant son transfert dans notre service. À son arrivée, la plainte principale de la patiente reste les douleurs pelviennes mixtes type viscéral et neuropathique avec un ténesme marqué. Nous adaptons rapidement le traitement antalgique avec de la méthadone et du fentanyl en pompe. Les douleurs sont accompagnées d'une angoisse de mort importante et invalidante pour laquelle nous alternons des anxiolytiques.Durant son hospitalisation, Mme. Y bénéficie de la mise en place d'un PICC-Line le 19.12.2018 au vu d'un accès veineux difficile. Lors de cet examen, une thrombose étendue de la veine basilique droite en regard des anciens accès veineux périphériques est mise en évidence. Une anticoagulation thérapeutique est débutée le même jour. A partir du 19.12.2018, Mme. Y présente un iléus mécanique avec des nausées et vomissements méléniques. Un traitement spasmolytique et anti-sécrétoire est également mis en place. Le 26.12.2018, une algurie est détectée avec un stix urinaire pathologique nous motivant à introduire une antibiothérapie intraveineuse. Progressivement, à partir du 27.12.2018, nous observons une péjoration clinique globale. Quelques jours avant son décès, Mme. Y sombre dans le coma, période très difficilement vécue par Mr. Y ! Mme. Y décède le 03.01.2019 entourée de ses proches. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 3/10 : douleur continue avec pic douloureux régulier au niveau de l'hypochondre droit. Pas de majoration de la douleur à la mobilisation. ; Dyspnée 0/10 ; Nausée : nausée intermittente mais pas quotidienne, idem pour vomissements, absent à l'entrée ; Fatigue 8/10 : très importante et invalidante pour la patiente ; Inappétence 4/10 ; Dépression 8/10 : la patiente exprime une grande détresse. Barthel Index : 50 pts Palliative Performance Scale : 30 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : mari très présent, deux adolescents de 16 et 21 ans qui vivent à domicile, mère de la patiente, qui est venue du Portugal pour accompagner sa fille est également présente à domicile pour s'occuper d'eux ; Projet du patient / des proches : souhaite passer la fête de Noël chez sa sœur et un retour à domicile à terme. Mme. Y est une patiente de 48 ans connue pour un adénocarcinome du côlon droit métastatique avec mise en place d'un stent biliaire en novembre 2018 en raison d'une compression des voies biliaires par une métastase duodénale. Elle est hospitalisée du 13 au 19.12.2018 en médecine interne de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour une cholangite obstructive sur obstruction de son stent et abcès hépatique. L'évolution clinique, biologique et radiologique est satisfaisante après mise en place d'un nouveau drain biliaire le 14.12.2018 et couverture antibiotique intraveineuse par Ceftriaxone et Métronidazole. Mme. Y est transférée à la villa Saint-François le 19.12.2018 pour suite de prise en charge. À son arrivée, la patiente se plaint essentiellement de douleurs nociceptives viscérales au niveau de l'hypochondre droit et d'une asthénie marquée. Au status, nous mettons en évidence un subiléus et des douleurs nociceptives mixtes en regard du drain biliaire. Mme. Y bénéficie d'un CT scanner abdominal de contrôle le 27.12.2018 mettant en évidence un bon drainage des voies biliaires intra et extra hépatiques et une diminution en taille de l'abcès du foie gauche, avec toutefois une majoration de l'ascite. D'entente avec nos collègues radiologues, nous décidons d'une approche conservatrice sans intervention au niveau du drain abdominal qui est à garder à long terme. Le bilan radiologique est complété par un CT scan cérébral car la patiente a présenté une possible crise convulsive lors d'un congé à domicile le 23.12.2018 pour lequel un traitement empirique par Temesta est mis en place. Le scanner cérébral montre une absence de métastase cérébrale. Le traitement de Benzodiazépine est alors arrêté et la patiente n'a plus présenté de nouvelle crise par la suite. Concernant le subiléus, une thérapie transitoire par corticoïdes et Pantozol à haute dose ainsi qu'une adaptation de son traitement antiémétique et la poursuite de la thérapie par Sandostatine permettent une résolution de celui-ci. Sur le plan psychique, Mme. Y bénéficie d'une prise en charge multidisciplinaire, notamment un suivi psychologique rapproché par Mr. X, psychologue à la Villa St-François. Au vu d'une situation clinique stable, Mme. Y effectue de nombreux congés à domicile avec finalement un retour à domicile le 13.01.2019 avec la poursuite des soins à domicile par Voltigo et Ed'Elweiss. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 4/10 : douleurs au niveau oral que le patient n'arrive pas à me décrire vu ECA ; Dyspnée 4/10 : fluctuante, liée à une sensation de blocage mécanique au niveau ORL ; Nausée 0/10 ; Fatigue 5/10 : plus importante depuis quelques jours ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 5/10 : absence d'appétit ; Anxiété 4/10 : liée à la maladie oncologique ; Dépression 4/10 : idem, moral décrit comme bas ; Autre : À noter un entretien d'entrée très difficile compte tenu de l'état confusionnel. Barthel Index : 20 pts Palliative Performance Scale : 20 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Histoire de vie : Mr. Y est marié depuis 45 ans à Suzanne, le couple a 2 enfants Philippe et Pascale et 4 petits-enfants. Il a 4 frères mais est en lien qu'avec son frère Bernard installé au Canada. Il a sa belle-maman qui a 101 ans. Mr. Y a aussi un chien qui s'appelle Patone. Mr. Y vit en appartement, dans une maison avec ascenseur, il doit monter 7 marches. Soins à domicile et Voltigo mis en place. Mr. Y était géomètre responsable de l'eau et du gaz ici à Fribourg ; Projet du patient / des proches : pas évaluable à l'entrée. Mr. Y est un patient de 69 ans connu pour un carcinome épidermoïde du plancher buccal métastatique au niveau pulmonaire pour lequel une prise en charge palliative a débuté depuis novembre 2018. Il est hospitalisé depuis son domicile pour un état confusionnel mixte dans le contexte d'une pneumonie basale gauche. Il est rapidement transféré à la Villa St-François pour suite de prise en charge. À son arrivée dans notre service, il présente toujours un état confusionnel mixte marqué, que nous traitons avec Haldol et Temesta avec bon effet. Nous pouvons renoncer à une contention physique précédemment introduite. Son épouse rapporte par la suite un état confusionnel présent depuis plusieurs semaines à domicile et se déclare soulagée de l'hospitalisation. Au status, nous observons une cachexie en nette péjoration depuis sa dernière hospitalisation il y a un mois dans notre service, une péjoration de l'aspect cutané en regard de sa tumeur avec une rétraction cutanée importante. Nous retenons la progression oncologique comme cause de l'état confusionnel et anticipons une fin de vie proche. Mr. Y décède le 24.01.2019 à la Villa St-François. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 5/10 : au niveau costal gauche, douleur paroxystique ; Dyspnée 4/10 : continue et majorée par la mobilisation ; Fatigue 5/10 : associée à la dyspnée ; Somnolence 3/10 : plus marquée le matin ; Inappétence 0/10 : bon appétit ; Anxiété 5/10 : à 2-3 la journée et maximum en début de nuit ; Dépression 5/10 : veut mourir et souhaite avoir des informations sur Exit. Barthel Index : 55 pts Palliative Performance Scale : 50 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : voir dernière lettre de sortie. Mr. Y est un patient de 80 ans, connu pour un cancer pulmonaire multi-métastatique actuellement sous chimiothérapie palliative par Paraplatine. Il est hospitalisé le 13.01.2019 à Tafers pour une baisse de l'état général associée à une décompensation cardiaque. Le traitement diurétique est adapté, mais un scanner de contrôle met en évidence une importante progression oncologique globale. Mr. Y est transféré dans notre service le 16.01.2019 pour suite de prise en charge. À son arrivée, nous constatons un mal-être majeur, ainsi qu'une nette aggravation clinique depuis sa précédente hospitalisation il y a un mois. D'importantes douleurs costales gauches d'allure nociceptive probablement sur une atteinte pleurale d'origine oncologique sont traitées par morphine, puis hydromorphone en raison d'une neurotoxicité.Malgré l'augmentation de son traitement psychotrope, l'angoisse reste très invalidante et difficile à contrôler. Après discussion avec Mr. Y et son épouse et en accord avec eux, nous instaurons une sédation palliative par Midazolam dès le 21.01.2019. Mr. Y présente le 23.01.2019 des râles agoniques associés à un encombrement bronchique. D'entente avec l'épouse, nous ne levons pas la sédation en place et introduisons un traitement de Scopolamine en patch et poursuivons le traitement antalgique en intraveineux continu. Mr. Y décède le 23.01.2019. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 5/10 : au niveau du membre inférieur gauche, de la rotule jusqu'aux orteils ; Dyspnée 0/10 ; Nausée 0/10 ; Fatigue 5/10 : en amélioration depuis traitement de l'infection du PAC ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 8/10 : très marquée depuis le début de l'hospitalisation, frustre Mme. Y ; Anxiété 5/10 : angoisse sur son devenir ; Dépression 8/10 : moral en baisse depuis le début de son hospitalisation ; Sensation de mal-être 8/10 : idem. Barthel Index : 45 pts Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vit avec mari dans une maison avec escaliers. Deux enfants, une fille (Cendrine) institutionnalisée au foyer des Préalpes, suite à un accident avec tétraparésie séquellaire, le couple s'en occupait chaque week-end avant l'hospitalisation. Un fils (Jérôme) vivant à Delémont avec deux enfants. Soins à domicile 1x/semaine pour soins PleurX (posé en mai 2018) sinon patiente indépendante, marche avec des cannes à domicile ; Projet du patient / des proches : retour à domicile. Mme. Y est une patiente de 70 ans, connue pour un adénocarcinome pulmonaire du lobe supérieur gauche multi-métastatique au niveau pleural et osseux. Elle est hospitalisée le 10.12.2018 dans le service de médecine interne, en raison d'une baisse de l'état général, multifactorielle, mais notamment sur une infection de son PAC par Staphylocoque Lugdunensis. Après une couverture antimicrobienne adéquate, l'évolution est favorable du point infectiologique, mais les CT scanners mettent en évidence une progression oncologique malgré la chimiothérapie palliative en cours. Il est alors décidé d'arrêter les traitements oncologiques et Mme. Y est transférée dans notre service le 07.01.2019 pour suite de prise en charge. A son arrivée, elle se plaint essentiellement d'une asthénie majeure et de douleurs mixtes au niveau de son membre inférieur gauche. L'antalgie est rapidement adaptée, avec bon effet. A partir du 12.01.2019, Mme. Y présente un état confusionnel hypoactif. Le bilan biologique revient sans particularité et la réduction du traitement opioïde ne permet pas une amélioration de son état clinique. Nous concluons alors à un état confusionnel dans le cadre de la progression oncologique. Un entretien de famille est rapidement organisé afin de clarifier la situation aux proches et leur faire part de notre impression de fin de vie proche. Mr. Y exprime une grande difficulté à l'accepter et espère encore un traitement oncologique qui permettrait à son épouse de retourner à domicile. Après de nombreuses discussions multidisciplinaires ainsi que l'implication de l'oncologue traitant, Mr. Y semble mieux accepter la situation et est prêt à accompagner son épouse. A partir de là, nous observons une baisse progressive de l'état général de Mme. Y qui décède entourée de son mari et de son fils le 19.01.2019. A noter un mauvais vécu de Mr. Y de cette dernière nuit, notamment concernant les râles agoniques, interprétés comme de la souffrance. Nous lui proposons un entretien afin de revenir sur les événements de la nuit, afin de l'aider dans son processus de deuil. Mr. Y nous exprime avoir besoin de temps et refuse cet entretien. Nous lui laissons alors la possibilité de nous recontacter le moment venu pour en discuter. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Fatigue : importante avec des difficultés à l'entretien ; Inappétence : bon appétit ; Dépression : moral va bien. Barthel Index : 10% pts Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mr. Y est connu du service, vivait avec ses deux enfants et son épouse jusqu'à l'hospitalisation en novembre. Mr. Y veut récupérer/conserver le plus d'indépendance ; Projet du patient / des proches : Continuer la réadaptation ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Son épouse est référente thérapeutique. Mr. Y est un patient de 53 ans, connu pour un astrocytome anaplasique de l'hippocampe gauche avec une péjoration aiguë le 10.11.2018 sous forme d'une hémorragie intra-cérébrale. Dans ce contexte, le traitement oncologique par Avastin est arrêté depuis lors, et le patient est hospitalisé transitoirement à la Villa Saint-François. Au vu de son désir d'un retour à domicile, une tentative de neuro-réadaptation intensive est tentée à Meyriez du 10 au 27.12.2018. Nos collègues relèvent de légères améliorations ne permettant toutefois pas un retour à domicile. Dans ce contexte et comme convenu lors de sa dernière hospitalisation à la Villa Saint-François, le patient nous est réadressé pour suite de prise en charge. A son arrivée, Mr. Y présente un PPS à 50% et un score de Barthel à 10 pts. Nous confrontons la famille et Mr. Y de la nécessité d'une inscription en EMS, ce qu'ils acceptent. Toutefois, son hospitalisation dans notre service est marquée par une péjoration neurologique progressive sur tous les plans, notamment concernant les fonctions motrices et cognitives. Au vu de l'évolution clinique, les traitements psychotropes sont adaptés et la mobilisation de Mr. Y s'effectue avec l'aide de fentanyl. Mr. Y décède le 13.01.2019 en présence de son épouse et de ses enfants. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : non réalisable (patiente comateuse). Barthel Index : 0 Palliative Performance Scale : 10% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Hétéro-anamnèse avec son ami, Fidèle (patiente comateuse) : Mme. Y vivait à domicile dans un appartement duplex où elle passait beaucoup de temps avec Fidèle. Elle a deux frères et une sœur (+ une décédée par suicide). Selon Fidèle, la foi est très importante pour elle. Mme. Y nous est transférée des soins intensifs de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour une prise en charge palliative dans le cadre d'une cirrhose terminale. Pour rappel, Mme. Y souffre d'un état d'agitation chronique avec confusion et hétéro-agressivité marquées, attribuées à une encéphalopathie hépatique avec syndrome de Korsakoff et favorisées par des lésions cérébrales séquellaires, ainsi qu'un trouble de la personnalité de type borderline sous-jacent. Ces éléments sont à l'origine d'une hospitalisation prolongée en milieu psychiatrique à Marsens, en chambre d'isolement, avec de multiples allers-retours dans des services de soins somatiques aigus pour différentes complications. Ces éléments, associés à une dégradation majeure clinique et mentale au cours des 4 derniers mois, constatée lors d'un nouveau séjour aux soins intensifs de l'HFR - Fribourg, soulèvent la question de l'utilité, respectivement de la futilité des traitements prodigués. Une discussion multidisciplinaire est organisée le 15.01.2019 (soins intensifs, soins palliatifs). Devant l'incapacité de discernement de la patiente et d'un commun accord pour son bien présumé, nous concluons à une impasse thérapeutique et retenons l'indication à des soins palliatifs exclusifs. Le frère de Mme. Y ainsi que sa curatrice sont informés et acceptent cette décision médicale. A son arrivée dans notre service, Mme. Y présente un état de vigilance diminué, mais semble confortable. Les traitements sédatifs sont adaptés et poursuivis, avec bon effet. Mme. Y décède le 21.01.2019. Palliative Basic Assessment d'entrée: ESAS : Douleurs au repos calmes, péjorées dès le lever pour devenir handicapantes ; Dyspnée 0/10 ; Nausée 0/10 ; Fatigue majorée par la douleur ; Somnolence dort bien ; Inappétence majorée par la douleur ; Autre gêne liée à la fistule très importante Barthel Index : 90 pts Palliative Performance Scale : 70% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mme. Y vit avec son époux dans une maison pratique qu'ils ont construite en pensant aux éventuelles adaptations liées à la maladie. A deux enfants et des petits-enfants, se dit bien entourée par ses parents, ses amies. Mme. Y aime bouger, être active, à l'extérieur. Aime travailler de ses mains, apprécie le contact mais aime aussi s'occuper d'elle-même seule (aller au cinéma ou manger seule). Apprécie les thérapies corporelles. La situation de la maladie est particulièrement difficile pour ses parents, qui ont déjà perdu un fils à l'âge de 40 ans, frère de Mme. Y ; Projet du patient / des proches : Diminuer un peu la souffrance, rêve de pouvoir remarcher, refaire des balades ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Pas évoqué. En raison de son travail, Mr. Y n'est pas toujours à la maison, doit parfois travailler la nuit. Mme. Y est hospitalisée depuis son domicile pour gestion d'antalgie dans un contexte de carcinome urothélial, compliqué depuis peu par des écoulements vaginaux douloureux et malodorants. La première partie de l'hospitalisation est focalisée sur la mise en place d'une antalgie par pompe continue. Rapidement, nous suspectons une fistule recto-vaginale, confirmée par CT et demandons un avis chirurgical. Mme. Y est transférée en chirurgie le 13.12.2018 et bénéficie d'une transversostomie visée de propreté. L'évolution post-opératoire permet un retransfert en soins palliatifs le 18.12.2018. Nous nous référons aux lettres précédentes pour le détail de l'évolution. Nous poursuivons l'adaptation des traitements antalgiques tout en favorisant la gestion autonome de Mme. Y de la poche de stomie dans un projet de retour à domicile. Peu avant les fêtes, son père décède de manière inattendue ; Mme. Y, avec un état général stable, profite de quelques congés auprès de sa famille et s'implique dans l'organisation des funérailles. A partir de Noël, Mme. Y présente des troubles de l'état de conscience et des épisodes de confusion. Un bilan biologique ne montre pas de cause réversible et Mme. Y développe divers signes neurologiques évoquant une atteinte centrale en lien avec sa maladie oncologique. Nous lui communiquons notre diagnostic clinique ; elle organise alors une rencontre privée avec sa famille afin de leur expliquer la situation. Nous anticipons une fin de vie ; les traitements sont adaptés selon l'état général de Mme. Y, qui reste fluctuant entre des périodes de somnolence importante et des moments de plaisir en famille. Mme. Y décède en présence de son époux le 12.01.2019 à la Villa St-François. Palliative Basic Assessment d'entrée: ESAS : Douleurs au repos, pas problématique, assis, devenant progressivement insupportables ; Dyspnée : non ; Nausée : reflux ; Fatigue : surtout due au transfert du jour ; Inappétence : peu d'appétit ; Dépression : dans le creux en raison de ce cancer qui survient alors qu'elle allait bien Barthel Index : 50 pts Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : vit à domicile avec l'aide des soins à domicile. S'était organisée pour être indépendante. Aime voyager (69 pays visités), bricoler, créer de ses mains, avoir son train-train quotidien ; Projet du patient / des proches : Retrouver un semblant de vie normale, diminuer les douleurs, rentrer à domicile. A peur qu'on ne la traite que pour le confort et qu'elle meurt de suite, a tant de projets ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Ses deux filles sont les proches de références. Mme. Y nous est adressée pour suite de prise en charge dans un contexte de néoplasie nouvelle avec douleurs invalidantes. Au moment du transfert, Mme. Y revient sur l'histoire de sa maladie, apparue sous forme de douleurs lombaires sourdes, avant qu'un bilan radiologique ne mette en évidence les multiples lésions osseuses. Elle souffre de douleurs en positions assises, sur le bassin, augmentant d'intensité progressivement jusqu'à devenir insupportables. Son appétit est affecté et elle constate un affaiblissement général. Au status, nous notons un état général modérément réduit avec une limitation fonctionnelle importante en lien avec ces douleurs. Nous adaptons l'antalgie par fentanyl, l'Effentora s'avérant insuffisant pour la gestion des douleurs, nous proposons à Mme. Y une pompe CAD, permettant de mieux gérer les douleurs induites par les mouvements. Une voie veineuse PICC est posée dans un deuxième temps afin d'avoir un accès vasculaire fiable. Mme. Y bénéficie des thérapies complémentaires de la Villa St-François et apprécie notamment l'art-thérapie comme ressource pour avancer sur le chemin d'acceptation de sa situation. Parallèlement, nous contactons nos collègues de la radio-oncologie et de l'oncologie médicale. En raison d'un prétraitement lourd, une radiothérapie à visée antalgique n'est pas possible. Le Dr. X, du service de l'oncologie, visite Mme. Y à la Villa St-François et l'informe d'un diagnostic de sarcome, étayé par des analyses complémentaires au CHUV de la biopsie. Compte tenu de l'état général de Mme. Y et en l'absence d'une mutation d'intérêt thérapeutique, une chimiothérapie par cytostatique conventionnelle n'est pas envisageable. Nous accompagnons Mme. Y dans l'accueil successif de mauvaises nouvelles. L'état de cette dernière étant relativement stable, nous l'informons avec sa famille de la nécessité de rechercher un lieu de vie, un retour à domicile n'étant plus possible. Administrativement, le séjour est reclassé en attente d'EMS dès le 14.12.2018. Mme. Y présente par la suite deux accès douloureux paroxystiques, motivant la mise en place d'un protocole d'antalgie de rattrapage. L'antalgie par pompe nécessite une majoration progressive au décours. Enfin, les capacités fonctionnelles de Mme. Y se dégradent lentement ; elle finit par renoncer à se mobiliser hors du lit pour l'élimination, les transferts restant source de douleurs. La priorité de Mme. Y devient le passage des fêtes avec ses enfants et elle peut les célébrer avec sa famille, ce qui est une grande source de joie pour elle. Une place d'EMS est trouvée à Broc, lieu de préférence de Mme. Y, qui habite le village. Cette dernière craignant une rupture dans la continuité des soins, nous contactons le médecin référent, aussi médecin traitant de Mme. Y ainsi que l'équipe de l'EMS. Nous proposons un accompagnement par Voltigo notamment en cas de difficulté d'antalgie. Mme. Y peut rejoindre l'EMS de Broc le 07.01.2019. Palpation des cervicales indolore. Retrait de la minerve. Traitement symptomatologique. Palpitation. Palpitation dans un contexte d'angoisse. Palpitation dans un contexte de tachycardie sinusale, avec hypertension artérielle. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations sans douleurs rétro-sternales. Palpitations avec douleurs épigastriques associées. Palpitations avec dyspnée et tremblement dans le contexte d'une crise d'angoisse. Palpitations dans le contexte d'extrasystoles ventriculaires monomorphes d'origine indéterminée : - investigations en cours. Palpitations dans un contexte de myopéricardite au décours. Palpitations d'origine indéterminée avec augmentation des troponines. DD : état anxieux/ passages en fibrillation auriculaire paroxystique. Palpitations d'origine indéterminée le 03.01.2019 avec : - Fatigue générale et 1 épisode de méno-métrorragies. - Hypertension artérielle aux urgences. - Hypophosphatémie. DD : thalassémie alpha connue avec anémie chronique, surmenage, syndrome de fatigue chronique. Palpitations d'origine indéterminée le 22.01.2019. Palpitations et douleurs costales. Palpitations et douleurs rétrosternales intermittentes. Palpitations et douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 07.06.2018. DD : arythmie, pariétale, psychogène. Impression : pas d'arguments pour myopéricardite sur la base des examens biologiques et ECG. Pas d'arguments pour un trouble du rythme sur la base de l'ECG. Un trouble du rythme paroxystique n'est pas exclu. Palpitations le 02.09.2017. Entorse de la cheville gauche stade II, le 26.03.2018. Palpitations, le 17.01.2019. Palpitations normocardes. DD : dans un contexte de crise d'angoisse. Palpitations physiologiques dans un contexte de grossesse. Palpitations récidivantes le 13.01.2019. Palpitations sans critères de gravité le 29.01.2019. Palpitations, sous Concor. Hypotension, sous Gutron. Trouble de l'humeur. Panaris. Panaris à l'index droit au décours. Panaris de la 3ème phalange du 3ème doigt droit avec probable ostéite de contact. Panaris de l'index droit le 23.01.2019. Panaris de l'index gauche. Panaris débutant annulaire main gauche. Panaris débutant péri unguéal du 3ème doigt gauche. Panaris Dig III D en 2013. Gastrite en 2013. Panaris doigt III face radiale de la main droite en 2013. Panaris du majeur gauche le 16.01.2019. Panaris du pouce droit. Panaris D3 à gauche le 27.01.2019. Panaris pouce de la main gauche le 15.01.2019. Panaris repli sus-unguéal du pouce droit. Panaris sous-cutané O4 pied droit. Pancolite à Campylobacter. Pancolite non compliquée sub-aiguë d'origine indéterminée avec : - diarrhées liquido-muqueuses. Pancolite probablement sur chimiothérapie dans le contexte d'une leucémie lymphatique chronique en stade initial Binet A : - Mise en suspens de la chimiothérapie. - Introduction de Budenoside 0.5mg 3x/j par voie orale du 23.10.2018 au 26.10.2018. - Entocort 3mg 2x/j dès le 26.10.2018, sevrage Entocort entamé le 05.11.2018 et terminé le 12.11.2018. Anémie normocytaire normochrome à 121g/l le 26.10.2018. Perturbation des tests hépatiques probablement sur Mabthera et Zydélig. Douleurs rétrosternales le 02.11.2018 : - Status après PTCA pour sténose de l'IVA avec mise en place d’un stent en octobre 1998. - Diagnostics différentiels : ischémie, anxiété. - ECG le 02.11.2018 : image de bloc de branche droit (connu et présent sur ECG d'entrée), pas de trouble de la repolarisation. État fébrile avec bactériémie le 07.11.2018 : - Probablement sur infection de la voie veineuse. - Antibiothérapie par Ceftriaxon 2g intraveineux 1x/j le 08.11.2018, stoppée le 09.11.2018. - Passage au Tazobac 4.5g 3x/j le 09.11.2018 au soir, pendant 7 jours et sur avis infectiologique, jusqu'au 16.11.2018. Colite à clostridium le 23.11.2018 traitée par Flagyl. Colite à clostridium difficile (2ème récidive) : - Hydratation. - Flagyl 500mg 3x/j du 12.12.2018 au 26.12.2018. Candidose oesophagienne objectivée au niveau de l'oesophage distal avec nausées et inappétence : - Oeso-gastro-duodénoscopie le 18.12.2018. - Fluconazole intraveineux 50mg 1x/j du 18.12.2018 au 24.12.2018. Pancolite probablement sur chimiothérapie dans le contexte d'une leucémie lymphatique chronique en stade initial Binet A : - Mise en suspens de la chimiothérapie. - Introduction de Budenoside 0.5mg 3x/j par voie orale du 23.10.2018 au 26.10.2018. - Entocort 3mg 2x/j dès le 26.10.2018, sevrage Entocort entamé le 05.11.2018 et terminé le 12.11.2018. Anémie normocytaire normochrome à 121g/l le 26.10.2018. Perturbation des tests hépatiques probablement sur Mabthera et Zydélig. Douleurs rétrosternales le 02.11.2018 : - Status après PTCA pour sténose de l'IVA avec mise en place d’un stent en octobre 1998. - Diagnostics différentiels : ischémie, anxiété. - ECG le 02.11.2018 : image de bloc de branche droit (connu et présent sur ECG d'entrée), pas de trouble de la repolarisation. État fébrile avec bactériémie le 07.11.2018 : - Probablement sur infection de la voie veineuse. - Antibiothérapie par Ceftriaxon 2g intraveineux 1x/j le 08.11.2018, stoppée le 09.11.2018. - Passage au Tazobac 4.5g 3x/j pendant 7 jours sur avis infectiologique, du 09.11.2018 au 16.11.2018 au soir intraveineux jusqu'au 16.11.2018. Colite à clostridium le 23.11.2018 traitée par Flagyl. Colite à clostridium difficile (2ème récidive) : - Hydratation. - Flagyl 500mg 3x/j du 12.12.2018 au 26.12.2018. Candidose oesophagienne objectivée au niveau de l'oesophage distal avec nausées et inappétence : - OGD le 18.12.2018. - Fluconazole intraveineux 50mg 1x/j du 18.12.2018 au 24.12.2018. Pancolite 03.01.2019. Pancréatite aiguë avec coulées nécrotiques post-ERCP le 12.01.2019.• associée à une perforation duodénale • cholécystolithiase avec multiples passages de calcul et papille de Vater cicatricielle ainsi qu'une dilatation du cholédoque et du Wirsung Pancréatite aiguë avec coulées nécrotiques post-ERCP le 12.01.2019 • compliquée d'une perforation duodénale Pancréatite aiguë Balthazar C, d'origine alcoolique, le 01.09.2016 Status post zona avec douleurs post-zostériennes en 2016 Status post fracture comminutive aile iliaque droite en mai 2016 Status post hépatite aiguë d'origine probablement médicamenteuse le 01.06.2014 (DD sur Cipralex, Remeron, Losartan, moins probable sur du Propycil) Status post hypovitaminose D sévère à < 10 mmol/l le 03.06.2014 Pancréatite aiguë Balthazar C, probablement d'origine lithiasique le 05.07.2018 Cholécystectomie par laparoscopie élective le 02.10.2018 Hernie inguino-scrotale droite asymptomatique Appendicectomie Pancréatite aiguë Balthazar D. Pancréatite aiguë d'origine probablement médicamenteuse non datée Urolithiase en mai 2005 Hémorragie sous-arachnoïdienne sur rupture d'anévrisme de l'artère cérébrale communicante en mars 2007 Syndrome de l'intestin court en 2000 Saignements digestifs récidivants dans le contexte d'une maladie inflammatoire de l'intestin et de pouchites récidivantes le 14.07.2018 Pancréatite aiguë non compliquée sur probable consommation éthylique. Récidive de pancréatite aiguë sur consommation éthylique. Consommation chronique d'alcool. Pancréatite aiguë sévère Balthazar D d'origine éthylique le 17.03.2018 avec: • Bactériémie à E.Coli résistant au Co-Amoxicilline mise en évidence le 17.03 et le 22.03.2018 • Probable décharge septique éventuellement fongique le 20.03.2018 Sevrage éthylique le 17.03.2018. Plaie traumatique en regard du 5ème métatarse droit compliquée d'une dermohypodermite à Staphylococcus lugdunensis et Streptococcus agalactiae le 25.02.2016. • Débridement le 01.03.2016 et traitement par pansement VAC du 01.03 au 04.03.2016 • Suivi ambulatoire en diabétologie et en orthopédie Pancréatite aiguë sévère Balthazar C d'origine éthylique le 17.03.2018 avec: • Bactériémie à E.Coli résistant au Co-Amoxicilline mise en évidence le 17.03 et le 22.03.2018. • Probable décharge septique éventuellement fongique le 20.03.2018 et apparition d'une coulée de nécrose pariéto-occipitale droite. Sevrage éthylique le 17.03.2018. Anévrysme en partie thrombosé à la bifurcation de l'artère hépatique commune le 17.03.2018: • déjà présent en 2015. Pancréatite aiguë, 2 épisodes de genèse inconnue en octobre 2010. Cholangite non compliquée en novembre 2013. • Status post cholécystite aiguë alithiasique. • Status post pancréatite à deux reprises en 2010 avec thrombose de la veine splénique. Cholécystectomie par laparoscopie le 12.02.2014. Poignet droit : status post-arthrodèse poignet (Synthes Wrist Fusion, prise de greffe autologue) le 10.04.2017 pour morbus Kienböck stade IV selon Lichtmann. Ablation du matériel d'ostéosynthèse poignet droit. Pancréatite Balthazar C d'origine biliaire Pancréatite biliaire et probable cholangite sur cholélithiase en juillet 2018. Cholélithiase symptomatique. Le 17.09.2018, Dr. X : cholécystectomie laparoscopique. Pancréatite biologique légère avec lipase à 594 U/l avec: • suspicion d'une insuffisance pancréatique endocrine (vu le diabète) et exocrine • hétérogénéité de la tête du pancréas au CT du 19.12.2018. Pancréatite d'origine éthylique en 2011. Status post-clip gastrique à New York (saignement sur Mallory-Weiss) en 2016. Pancréatite d'origine indéterminée. Pancréatite post-ERCP. Pancréatite sur cholécystite, il y a deux ans. AVB 2006s 4 x IVG chirurgicales Pancytopénie avec Hb 75 g/L, leucos 2.1 G/l, thrombocytes 88 G/L le 27.12.2018 • Antécédent en septembre 2017 sur toxicité de la chimiothérapie Pancytopénie dans contexte de myélome multiple cf dg supplémentaire 2 Pancytopénie le 09.04.2016 avec: • hémoglobine à 133 g/l • leucocytes à 3.8 G/l • thrombocytes à 112 G/l. Thrombopénie à 55 G/l en novembre 2014. Phako-émulsification et aspiration de cataracte de l'œil gauche le 27.11.2013. Cure de tunnel carpien droit. Tuberculose probable en 1961. Appendicectomie. Décompensation cardiaque sur fibrillation auriculaire à réponse rapide non datée avec: • mise en évidence d'un flutter atrial après traitement bêtabloquant • CHADSVASc: 3; Has-Bled: 3. Décompensation cardiaque globale sur cardiopathie rythmique (flutter - fibrillation auriculaire). Pancytopénie légère avec: • Thrombopénie légère • Neutropénie stade I selon OMS • Anémie normochrome normocytaire arégénérative Pancytopénie médicamenteuse le 21.01.2019 • Neutropénie à 1.24 G/L, thrombopénie 73 G/L, anémie à 96 g/l Dernière dose de Carboplatine le 07.01.2019 Pancytopénie sur toxicité de la chimiothérapie Pandua score 6, Wells 3 D Dimer : 1440 ng/l US doppler du 03.01.2019 : pas de thrombose veineuse profonde mais réseau veineux complexe. US doppler par Angiologue le 11.01.2019 : pas de thrombose veineuse profonde. Bas de contention Panendoscopie + évidemment ganglionnaire droit Ablation des Redon à 48-72h Antibioprophylaxie par Co-Amoxicilline 1,2 g iv 3x/jr Panendoscopie Suivi ORL Pangastrite chronique d'intensité modérée à H. Pylori positif avec : • suspicion hémorragie digestive haute le 21.12.2018 Pan-hypopituitarisme secondaire à un traumatisme crâniocérébral en 2002, suivi au CHUV. Goutte. Panotile goutte 7 j contrôle pédiatre en fin de traitement Panotile 3 gouttes 4x/j pendant 7 j Rinçage 1x/j avec eau ou NaCl Antalgie si douleurs Pansement avec Ialugen Plus au niveau du thorax et péri-mamelonnaire. Mépilex transfer. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences à 48h pour contrôle clinique. Pansement compressif du 09.01 au 10.01.2019 Pansement occlusif. Pansement par Meplilex transfer. Pansement par tulle bétadinée Suivi clinique Pansement sec avec compresse et doigtier. Contrôle en orthopédie le 22.01.2019. Pansement simple Pansement simple pour la fistule entéro-cutanée avec soins à domicile 1x/jour Rendez-vous à la consultation du Dr X le 16.01.2019 à 15h00 Pansement simple. Rappel DiTe. Pansement tulle grasse Attitude : • Suivi clinique Pansement. Laboratoire. Pansements réguliers et ablation des fils à J14 par le médecin traitant. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j jusqu'au 10.01.2019. Contrôle à la consultation du Dr X le 11.01.2019. Pansements réguliers selon protocole des stomathérapeutes. Contrôle à la consultation du Dr X/Dr X dans 4 semaines. Pansement. Suivi plaies. Pantoprazol IV 80 mg puis 8 mg/h le 15.01.19 Pantoprazol 40 mg 3x/j dès le 16.01.19 Suivi hémoglobine Xarelto en suspend dès le 17.01.19 Gastroscopie/colonoscopie à organiser en ambulatoire Pantoprazol 40 mg 2x pro Tag, Antalgie mit Novalgin und Buscopan. Kontrolle beim HA in einer Woche. Pantoprazol 40 mg 2x/jour Fluconazole iv du 03.01 au 06.01.2019 puis per os jusqu'au 13.01.2019 Mycostatine du 03.01 au 13.01.2019 ECG à l'entrée, le 04.01.2019 QTc 438 msec Laboratoire CT thoraco-abdo en ambulatoire (Affidea le 28.12.2018) : • Abdominal : coprostase, pas d'Iléus, pas de signes d'obstruction • Thoracique : emphysème important, pas de foyer OGD le 03.01.2019 Conseil et traitement diététique Pantoprazole + Alucol gel en réserve Pantoprazole 40 mg pour 7 jours. Contrôle chez le médecin traitant. Pantoprazole 40 mg/jour. CT thoraco-abdominal. Gastro-coloscopie agendées pour le 31.01.2019. Pantozol AINS relayée par Celecoxib Alucol en réserve réévaluer l'indication à une gastroscopie en ambulatoire si symptomatologie persiste Pantozol pour 2 semaines, contrôle chez le médecin traitant, avec éventuelle OGD à organiser. Pantozol 20 mg dès le 17.12.2018 Alucol dès le 19.12.2018 en R Pantozol 20 mg 1x le matin. Suite de prise en charge à revoir avec le médecin traitant. Pantozol 40 mg 1x/jour pendant 1 semaine. Ulcar en réserve. Renseignement sur un régime correct en cas de gastrite aiguë. Oesogastroduodénoscopie à discuter si persistance. Pantozol 40 mg 1x/jour. Alucol et Buscopan en réserve. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Pantozol 40 mg 2x/j Pantozol 40 mg 2x/j pendant 6 semaines Surveillance Hb aux 2 semaines (sous Xarelto et Aspirine) Si persistance ad OGD (biopsie H. Pylori) Pantozol 40 mg 2x/j pour 8 semaines au total Pantozol 40 mg Evaluer indication à OGD Pantozol 40 mg suivi clinique Pantozol 40 mg dès le 18.12.2018 Pantozol 80 mg bolus i.v. le 10.01.19 puis 8 mg/h jusqu'au 14.01.19 puis per os dès le 14.01.19 2 CE le 12.01.2019 1 CE le 13.01.2019 1 CE le 18.01.19 Avis cardiologique (Dr X) : continuer Efient et Aspirine tant que l'Hb le permet Avis Dr X (11.01.19) : surveillance clinique et laboratoire Avis Dr X (14.01.19) : OGD +/- colonoscopie OGD (15.01.19) : pas de source de saignement. Ad colonoscopie Colonoscopie (18.01.19) : présence de quelques diverticules, pouvant expliquer les saignements. Présence de deux polypes de moins de 1 cm au niveau coliques inférieurs. Pantozol Contrôle chez le médecin traitant. Par rapport aux plaies au niveau du MIG, les fils ont été enlevés le 30.08 et le 31.08, sans signes d'inflammation locaux. Les prises de sang ont toujours montré la présence d'une syndrome inflammatoire avec CRP à 99 le 30.08 et à 107 le 31.08. Pas de leuco. Le 01.09.2018, Mr. Y présente un état fébrile à 38°, sans plaintes respiratoires ni urinaires. A l'examen des plaies nous remarquons la présence d'un écoulement jaunâtre sur la plaie présente sur la superficie latérale de la jambe et sur celle présente sur la superficie médiale. De plus, Mr. Y se plaint d'une douleur nouvelle au mollet G, qui est dur et douloureuse à la palpation (pour rappel Mr. Y est sur Xarelto 20 mg). La vascularisation et la sensibilité au niveau du pied G sont dans la norme. Mr. Y a de la toux grasse, stable selon lui, mais nous remarquons la présence d'une expectoration jaunâtre. L'auscultation pulmonaire montre la présence de crépitants aux deux bases. Après discussion avec le sénior de garde, Dr. X, nous décidons de transférer Mr. Y. Selon les souhaits de Mr. Y, il est retransféré à l'Inselspital. Après accord avec la cheffe de clinique de garde, Mr. Y quitte notre hôpital en ambulance, stable, sans plainte sauf cette douleur au mollet G et aux cicatrices G. PAR sous Actemra, dernière dose le 6.1.2019 Paracentèse le 11.01.2019 : 3 litres retirés d'un liquide citrin Introduction de Lasilacton, à titrer selon évolution du poids Paracétamol paracétamol en R 80 mg supp IR max 3x/j en R Paracétamol per os. Voltarène per os. Tramadol per os. Mme. Y soulagée par antalgiques. • Réassurance. • Retour à domicile. • Conseil de réévaluer en ambulatoire avec médecin de famille, +/- IRM cérébrale en ambulatoire avec consultation neurologique dans un contexte de prise en charge d'une migraine. Paracétamol 1 g, Morphine 10 mg per os. Paracétamol 1 g cp, 1 cp max 4x/jour aux 6 h, si douleurs (Dafalgan à domicile), Consultation chez son médecin traitant si persistance à 1 semaine ou 1 semaine et demie.Consultation avant si péjoration clinique. • Paracétamol 1g, Voltaren 50 mg. Patient reparti sans consultation médicale. • Paracétamol 1gr per os. Monitoring cardiorespiratoire. • Paracétamol 15mg/kg/dose 4x/j. Ibuprofen 10 mg/kg/dose 3x/j. Nasivine spray max 2x/j pdt 5 jours. • Paracétamol. Laxatifs à domicile. • Parage de la plaie : Dr. X, désinfection locale, champage, anesthésie loco-régionale par LIDOCAINE 1%, pose de 4 points de suture PROLENE 5/0, pas de complication post geste. • Parage de la plaie, désinfection locale, champage, anesthésie par Lidocaïne 1%, pose d'un point de suture hémostatique. Bonne perfusion du doigt post parage. Attitude : retour à domicile. Désinfection locale. Conseils d'ablation du point de suture à J8 chez le médecin traitant. • Parage de la plaie (Dr. X) : désinfection locale, champage, anesthésie loco-régionale par Lidocaïne 1%, pose de 3 points de suture avec Prolène 4.0. Pas de complication post geste. Vaccination anti-tétanique. Retour à domicile. Conseil de désinfection locale. Conseil d'ablation de points de suture à 8 jours par le médecin de famille. • Parage de la plaie Dr. X, désinfection locale, champage, anesthésie locale par Lidocaïne 1%, pose de 6 points de suture avec Prolène 4/0. Devant le reste de la plaie non suturable, une cicatrisation dirigée par Adaptic et occlusion par pansement devra être réalisée. • Retour à domicile. • Ablation des points dans 8 jours. • Cicatrisation dirigée. • Paralysie bilatérale des cordes vocales (S/P op avec greffon de côte). • Paralysie du nerf crânien facial gauche. • Paralysie du nerf diaphragmatique droit. • Paralysie du nerf poplité externe gauche sur compression externe. Fausse couche avec curetage. • Paralysie faciale gauche en 2006. Pseudophakie. Hystérectomie. Cervicalgies non-déficitaires. Traitement symptomatique. • Paralysie faciale périphérique gauche. • Paralysie MSD. • Paramètre ventilatoire à l'entrée : Lumis VPAP 150 ST-A, EPAP 8 cmH2O, IPAP 16 cmH2O, Ti min/max 0.7/1.5, masque Amara View, taille M. Polygraphie nocturne + capnographie transcutanée du 22.01. au 23.01.2019 sous BiPAP ST (8-16 cmH2O). Fonctions pulmonaires complètes le 22.01.2019. Paramètres ventilatoires à la sortie : identiques à ceux de l'entrée. Prochain contrôle en janvier 2020. • Paramètres de ventilation, 2l/min d'O2. Machine : Lumis VPAP 150 ST-A (S/N : 22181040442). Masque : Facial, Air Fit F20 L. Pression : 6-14 cmH2O, EPAP initiale 4 cmH2O, FR 14/min, TiMax 1.5 s, Ti Min 0.9 s. Statistiques ResScan du 14.12.2018 au 07.01.2019. 1 jour de non-utilisation sur 25 au total. Utilisation moyenne quotidienne 5h23. 84 % des jours employés >4h. Fuites médianes 0 l/min, fuites au 95ème centile 4.2 l/min. Volume courant médian 320 ml, volume courant au 95ème centile 400 ml. Statistiques ResScan du 08.01.2018 : Durée de l'enregistrement 7h. Fuites médianes 0 l/min, fuites au 95ème centile 17 l/min. Capnographie sous VNI et 2 l/min d'oxygène du 08.01.2019 : SaO2 moy 87 %, pCO2 moyenne 7.3 kPa. Gazométrie artérielle au repos sous 2 l d'oxygène au réveil : pH 7.4, PaCO2 6.1 kPa, PaO2 7.3 kPa, HCO3- 28 mmol/l. Commentaire : Examen de bonne qualité technique. • Paramètres VNI : Lumis VPAP 150 Mode ST-A, EPAP 8 cmH2O, IPAP 14 cmH2O, Ti min/max 0.9/1.5 sec, FR 10/min. Masque Air Fit F20 M. Oxygène à 1l/min. Analyse ResScan du 30.12.2018 au 28.01.2019 : Fuites médianes 7.8l/min, au 95ème centile 52.2 l/min. Volume courant médian 400 ml, au 95ème centile 640 ml. IAH 0.6. Utilisation 100% des jours (30/30j) durant >= 4 heures. Utilisation moyenne quotidienne 7h08min. Fonctions pulmonaires simples du 29.01.2019 : Collaboration faible malgré traduction. Absence de trouble ventilatoire obstructif. Diminution harmonieuse des volumes dynamiques témoignant un syndrome restrictif. Polygraphie respiratoire et analyse ResScan sous 2l/min d'O2 : Durée d'enregistrement 7h23min. IAH 1.2/h. IDO 2.4/h. SpO2 moyenne 89%. FC moyenne 67 bpm. Fuites médiane 1.2l/min, au 95ème centile 16.8l/min. Capnographie transcutanée sous 2 l/min d'O2 : pCO2 moyenne 7 kPa, SpO2 moyenne 94%. Remarque : examens réalisés sous 2l/min au lieu de 1l/min comme à l'habitude. Gazométrie artérielle au réveil le 30.01.2019 : échec de réalisation de la gazométrie. Attitude : Poursuite avec les réglages tels quels, ainsi que l'oxygène à 1l/min la nuit. • Paraparésie flasque des membres inférieurs avec troubles sphinctériens associés sur carcinose méningée râchidienne diffuse dans le contexte de carcinome mammaire avancé (cf. diagnostic ci-dessous) le 21.11.2018. • Paraphimosis réductible d'origine iatrogénique (sur sondage urinaire à répétition). • Paraplégie ASIA D, avec niveau lésionnel L1 G, d'origine mixte : • central (diagnostic supplémentaire 1). • périphérique (diagnostic supplémentaire 2). Clinique à l'entrée en neuroréhabilitation : parésie modérée à sévère des MI prédominant à G avec amyotrophie, hypo-aréflexie, hyposensibilité superficielle (ddc) et profonde (prédominant à gauche), atteinte dysautonomique avec vessie neurogène de type hyperactif et dysfonction sexuelle. • examen urodynamique (CHUV) en 2016 (rapport pas trouvé, diagnostic vu sur le rapport de 2017) : vessie hypersensitive, hypocapacitive, hyperactivité détrusiorienne. • Paraplégie complète au niveau sensitif L2 et moteur L1 à droite, niveau sensitivo-moteur D11 à gauche avec zone de préservation partielle motrice de L2 des deux côtés, sensitive au niveau L3 à droite et D12 à gauche après lésion destructrice suite à un tir de fusil de chasse dans la zone lombaire en novembre 2009 (suivi par Dr. X). • intestin neurogène avec évacuation manuelle des selles. • vessie neurogène, avec sonde sus-pubienne à demeure. Cystocèle et hystérocèle de stade 2-3. Dolicho-côlon à prédominance sigmoïdienne. Gastrite chronique avec hernie hiatale (OGD, septembre 2014). Anémie normocytaire normochrome, d'origine ferriprive et résistante à la substitution de Ferinject, sans argument pour une origine urinaire ou gynécologique. Obésité de stade 2. Hypovitaminose D sévère, substituée. Troubles neuro-cognitifs modérés, d'origine indéterminée. Douleurs neuropathiques chroniques des membres inférieurs. • contexte de paraplégie complète sur lésion destructrice. • arachnoïdite massive entre L3 et S1. • projet de myélographie au Centre d'imagerie Sainte-Thérèse (tél 026 321 56 26) en vue de pose de pompe intrathécale. • suivi par Dr. X et Dr. X. Anémie normocytaire hypochrome arégénérative sévère le 13.11.2018 avec : • carence martiale : ferritine à 45 ug/l (dans contexte inflammatoire). Possible NSTEMI secondaire avec trouble de la repolarisation dans le territoire latéral le 13.11.2018. Cardiopathie valvulaire mitrale avec : • valve mitrale normale. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/3), d'origine dégénérative. SOR de l'IM à 0,18 cm². • FEVG à 68 %. Multiples infections pulmonaires : • insuffisance respiratoire partielle aiguë sur pneumonie bi-lobaire gauche communautaire à germe indéterminé le 13.11.2018 (Clarithromycine le 13.11.2018 et le 14.11.2018 et Ceftriaxone iv du 13.11 au 19.11.2018). Douleurs des hanches depuis 2 mois : US et Rx bassin prévues par MT dans 1 semaine. Pesanteur rectale et vaginale depuis 1-2 ans d'étiologie indéterminée. • Paraplégie complète au niveau sensitif L2 et moteur L1 à droite, niveau sensitivo-moteur D11 à gauche avec zone de préservation partielle motrice de L2 des deux côtés, sensitive au niveau L3 à droite et D12 à gauche après lésion destructrice suite à un tir de fusil de chasse dans la zone lombaire en novembre 2009 (suivie par Dr. X). • pas d'anticoagulation prophylactique à domicile, utilisation de bottes antithrombotiques.Intestin neurogène avec évacuation manuelle des selles Vessie neurogène, avec sonde sus-pubienne à demeure Cystocèle et hystérocèle stade 2-3 Dolicho-côlon à prédominance sigmoïdienne Gastrite chronique avec hernie hiatale (OGD septembre 2014) Obésité stade 2 Troubles neuro-cognitifs modérés, d'origine indéterminée Douleurs neuropathiques chroniques des membres inférieurs • Contexte de paraplégie complète sur lésion destructrice (réception de tir d'un fusil de chasse dans la zone lombaire en novembre 2009) • arachnoidite massive entre L3 et S1 au CT-myélographie du 29.08.2018 • Suivie par Dr. X et Dr. X Cardiopathie valvulaire mitrale avec • Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/3), d'origine dégénérative. SOR de l'IM à 0,18 cm². • FEVG à 68 % Multiples infections pulmonaires en 2017 et 2018 Paraplégie complète au niveau sensitif L2 et moteur L1 à droite, niveau sensitivo-moteur D11 à gauche avec zone de préservation partielle motrice de L2 des deux côtés, sensitive au niveau L3 à droite et D12 à gauche après lésion destructrice suite à un tir de fusil de chasse dans la zone lombaire en novembre 2009 (suivie par Dr. X) Intestin neurogène avec évacuation manuelle des selles Vessie neurogène, avec sonde sus-pubienne à demeure Cystocèle et hystérocèle stade 2-3 Dolicho-côlon à prédominance sigmoïdienne Gastrite chronique avec hernie hiatale (OGD septembre 2014) Obésité stade 2 Troubles neuro-cognitifs modérés, d'origine indéterminée Douleurs neuropathiques chroniques des membres inférieurs • Contexte de paraplégie complète sur lésion destructrice (réception de tir d'un fusil de chasse dans la zone lombaire en novembre 2009) • arachnoidite massive entre L3 et S1 au CT-myélographie du 29.08.2018 • Suivie par Dr. X et Dr. X Cardiopathie valvulaire mitrale avec • Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/3), d'origine dégénérative. SOR de l'IM à 0,18 cm². • FEVG à 68 % Multiples infections pulmonaires en 2017 et 2018 Paraplégie de naissance (Spina Bifida) HTA traitée Infection urinaire à répétition chez Mme. Y avec cystofix à demeure Paraplégie de naissance (Spina Bifida) HTA traitée Infection urinaire à répétition chez Mme. Y avec cystofix à demeure Parathyroïdectomie gauche le 09.01.2019 Parents qui consultent aux urgences pour nourrisson de 3 mois qui présente des régurgitations en augmentation depuis 15 jours, sans état fébril accompagnées de selles molles depuis la veille, sans perte de poids, ni déshydratation. Nous réassurons les parents et proposons un RAD avec conseils antireflux et de réhydratation orale si péjoration des diarrhées. Parésie brachio-crurale gauche d'origine somatoforme le 14.01.2019 DD: migraine avec aura (peu probable) • Début des symptômes 14h30: dysarthrie, parésie MSG et MIG, ptose labiale G • NIHSS 1 pt (ataxie MSG) • NIHSS à l'entrée aux soins intensifs NIHSS à 3 points Parésie diaphragmatique D sur bloc inter-scalénique. Parésie du bras droit. Parésie faciale périphérique gauche. Parésie M0 membre inférieur gauche le 14.01.2019 DD : possible compression au niveau de la queue de cheval, nouvelle compression au niveau lombaire, décompensation des hernies discales connues. Parésies MSG d'origine indéterminée sans atteinte neurologique sous-jacente (examen neurologique du 5.12.2018) sur status post : • Arthroscopie diagnostique, synovectomie partielle, boursectomie sous-acromiale, ablation d'une calcification du tendon du sus-épineux, réparation du sus-épineux, ténotomie du LCB épaule gauche le 29.6.2017. Paresthésie. Paresthésie des extrémités probablement post-chimiothérapie Perturbation des tests hépatiques avec douleurs hypochondre droit DD : Revlimid, Cholelithiase, infiltration médullaire Anémie à 78 g/l macrocytaire normochrome Thrombopénie à 20 G/l Paresthésie des extrémités probablement post-chimiothérapie. Perturbation des tests hépatiques avec douleurs hypochondre droit DD : Revlimid, Cholélithiase, infiltration médullaire. Anémie à 78 g/l macrocytaire normochrome. Thrombopénie à 20 G/l. Paresthésie/hypoesthésie. Paresthésies Paresthésies. Paresthésies Paresthésies au niveau de l'hémiface et du membre supérieur à gauche. Paresthésies de l'hémicorps droit évoluant depuis plusieurs jours avec status neurologique normal d'origine psychosomatique probable DD: • migraine: aura d'évolution trop longue, sensations différentes de ses migraines habituelles • tumoral: pas de signes d'hypertension intracrânienne, hémisyndrome touchant visage et corps du même côté • hémorragique/ischémique: évolution lente sans franche péjoration et diminution des symptômes selon l'attention du patient • infectieux: pas d'argument anamnestique ni clinique, pas d'état fébrile, aucun symptôme ou foyer Paresthésies de l'hémicorps droit évoluant depuis plusieurs jours avec status neurologique normal DD: • migraine: aura d'évolution trop longue, sensations différentes de ses migraines habituelles • tumoral: pas de signes d'hypertension intracrânienne, hémisyndrome touchant visage et corps du même côté • hémorragique/ischémique: évolution lente sans franche péjoration et diminution des symptômes selon l'attention du patient • infectieux: pas d'argument anamnestique ni clinique, pas d'état fébrile, aucun symptôme ou foyer • psychosomatique sur angoisse Paresthésies des deux mains • DD: tunnel carpien (atteinte médullaire, atteinte vasculaire) Paresthésies diffuses des membres inférieurs et du bras gauche, mal systématisées, inexpliquées. Paresthésies en lien avec une crise d'angoisse dans le contexte d'une discectomie C5-C6 pour cervicobrachialgies C6 gauche sur hernie discale et sténose foraminale. Paresthésies légères des 4 membres et cervicalgies probablement sur contracture musculaire cervicale. DD : déficit vitaminique, neuropathie périphérique diabétique et chimiothérapeutique, psychogène. Paresthésies membre supérieur gauche. Paresthésies périorales Parkinson atypique de type paralysie supranucléaire progressive diagnostiqué le 14.02.2018 avec: • syndrome akinéto-rigide appendiculaire bilatéral prédominant au membre supérieur à gauche et trémulant prédominant au membre supérieur à droite • hypomimie • dyskinésie de la langue, périorale et de la mâchoire • syndrome de Parinaud • trouble de la déglutition avec st/p pose de sonde PEG le 22.02.2018 • chutes à répétition • Dysautonomie avec hypotension orthostatique probable Paronychie de O1 pied gauche. Paronychie du doigt 2 main gauche le 20.01.2019. Paronychie du pouce droit. Paronychie du 3ème doigt de la main gauche le 30.12.2018. Paronychie 3ème doigt main gauche le 30.12.2018, incisé le 01.01.2019 Parotidite aiguë juvénile droite Parotide juvénile récidivante Parotidite bilatérale le 04.01.2019. DD : progression du syndrome myélodysplasique, viral, oreillons • CRP 112 mg/l, Lc 15.7 G/l. Parotidite en 2015 Pancréatite aiguë d'origine biliaire le 28.02.2014 Laparoscopie exploratrice avec cholécystectomie en électif le 05.06.2012 pour cholécystite chronique Hystérectomie totale avec annexectomie unilatérale en 1977 Tuberculose pulmonaire en 1946 sans traitement médicamenteux Ablation de polypes dans la vessie Parotidite infectieuse gauche Paroxysmiques Vorhofflimmern • Therapie mit Xarelto 20mg COPD Chronique Gicht Bénigne Prostatahyperplasie Hohlfuss rechts, Krallenzehen I-IV rechts Vorfusskorrektur rechts 08/2016 Chronisches Lumbalsyndrom Nabelhernie (anamnestisch schon länger bestehend)• Parvovirus B19 DD allergie aux antibiotiques • Pas d'accentuation en orthostase Traitement conservateur Miacalcic dès que possible Pas d'algifor • pas d'allergie • pas de médicament • pas d'ATCD • BSH • Pas d'allergies, pas de médicaments habituels. Hospitalisée en mai 18 pour des douleurs abdominales en fosse iliaque droite. • Pas d'antécédent notoire. • Pas d'antécédents au niveau des épaules. Status post-opération du pied gauche pour boursite il y a 25 ans. • Pas d'antécédents pathologiques • Pas d'argument pour complication post-opératoire s/p Orchidopexie droite le 22.01.19. • Pas d'argument pour méningite ou encéphalite au vu du status neurologique dans la norme. Poursuite traitement symptomatique, favoriser hydratation +++ et contrôle chez pédiatre dans 24 à 48 heures, avec consigne de reconsulter avant si péjoration des céphalées, apparition de symptômes neurologiques ou difficultés d'hydratation. • Pas d'argument pour origine infectieuse (pas de fièvre, pas de péjoration, bon état général) ni tumoral (pas d'autres signes neurologiques) Poursuite antalgie au besoin Recontrôle dans 48 heures, si persistance : FSC/CRP, Rx cervicale F/P Reconsultation dans l'intervalle si fièvre ou péjoration de l'état général • Pas d'argument pour un abdomen chirurgical, gastro-entérite au décours. • Pas d'argument pour une lésion osseuse ou des structures nobles du cou. Le tétanos est à jour. Nous désinfectons à l'Hibidil et effectuons 2 points de suture au fil d'Ethilon 4.0. Retour à domicile, et suite chez le médecin traitant avec ablation des fils dès J5 chez le médecin traitant. • Pas d'argument pour une origine ischémique ni à l'ECG ni biologiquement. • Pas d'argument pour une thrombose. Attitude: • Retour à domicile avec antalgie • Consultation chez le médecin traitant recommandée. • Pas d'arguments pour pathologies intestinales (pas de rectorragies, pas de régurgitations/vomissements, pas d'inconfort, bonne croissance) Selles normales, tendance à la constipation Contrôle chez pédiatre si péjoration des difficultés du transit • Pas d'arguments pour un abcès parapharygien • Pas d'atteinte rénale, hépatique, neurologique mise en évidence DOT vasculites, myosites négatifs FAN nég FR 54 Immunofixation des protéines : IgG-lambda → recherche cryoglobulines le 27.12 : négatif après 1 semaine Ac antiphospholipides (envoyés le 27.12.18) : négatifs Punch biopsie (cuisse G face postérieure) le 20.12.18 (Promed P2018.14877) : infiltrat lymphocytaire périvasculaire sans PMN ni nécrose • Ablation point le 28.12.18 • Bilan angiologique (Dr. X) le 20.12.18 : pas d'occlusion distale, pas d'anévrysme observé, atteintes liées à l'âge • Echocardiographie le 21.12 : FEVG légèrement abaissée dans contexte de FA rapide, hypertrophie apicale connue. Bonne qualité des images, pas de suspicion de végétation sur les valves. • Fond d'œil le 27.12 : pas de signe de vasculite, pas d'embole • Consilium dermatologique (Dr. X) le 3.01.2019 : sur photos : lésion peu compatible avec calciphylaxie (serait plutôt au niveau des parties graisseuses et ne s'améliorerait pas spontanément). Dr. X reste à disposition si nouvelle apparition de lésion en ambulatoire. • Pas d'attitude active pour ma part étant donné l'évolution relativement satisfaisante. Mobilisation selon douleur. Un contrôle final est prévu à 1 an post-traumatique, soit le 19.6.19. • Pas d'attitude chirurgicale. Renforcement de la coiffe des rotateurs en physiothérapie. Contrôle chez moi au besoin. • Pas d'attitude de ma part. Je préconise la poursuite du traitement physiothérapeutique. Fin du traitement chez moi. Je reste toutefois à disposition. • Pas d'autres investigations au vu âge et démence • Pas de bilan étiologique au vu de la situation globale. • Pas de bilan réalisé au vu de la présence d'un foyer Frottis RSV et coqueluche envoyés : pistés le 11.01 et négatifs Contrôle dans 24h d'office chez le pédiatre Suivi de la prise alimentaire au domicile, signes de déshydratation expliqués aux parents • Pas de bilan sanguin/urine d'emblée au vu de l'excellent état général et du fébricule unique ce soir. A suivre à domicile avec contrôle par pédiatre dans 24-48 heures, avant si péjoration clinique. • Pas de carence vitaminique Ferritine à 5 microg/l : substitution Ferinject 500 mg/jour pendant 3 jours • Pas de cinétique de troponine • Pas de cinétique de troponines • Pas de contraception DDR il y a 2 sem. Suspicion de fracture des os propres du nez Examen clinique Cas discuté avec Dr. X Avis Dr. X, la patiente sera revue lundi 21.01.19 Ordonnance antalgie • Pas de contrôle biologique au vu de l'amélioration de la clinique. Traitement symptomatique. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Proposition de gastroscopie en vue de la symptomatologie persistante et âge de la patiente. Recommandations de reconsulter en cas d'état fébrile, frissons. • Pas de corps étranger ni d'abrasion de la cornée. Nous préconisons l'application de vitamine A et des compresses sur l'œil droit. Contrôle ophtalmologique si persistance des douleurs après 48h. • Pas de couverture d'assurance. Demande de dépôt d'un forfait avant soins. • Pas de déficit en B12 ni acide folique TSH normale Pas d'hémolyse Suivi biologique et clinique • Pas de déficit mis en évidence. Désinfection par Bétadine. Anesthésie locale par Rapidocaïne. Exploration et rinçage de la plaie par NaCl et aiguille boutonnée. 2 points de suture par du Prolène 4.0. Pansement et bandage. Instructions pour soin de plaie données au patient. Antalgie au besoin. Contrôle chez le médecin traitant dans 10 jours pour retrait des fils. • Pas de déficit neurologique. Surveillance clinique. • Pas de douleur au TR Sédiment : leucocytes Urotube : Pseudomonas multisensible Hémocultures négatives à 5 jours Avis infectiologique (Dr. X) Rocéphine 2g 1x/j iv du 22.01 au 24.01.2019, Cefepime 2g 1x/j iv le 24.01.2019, Ciprofloxacine 500 mg 2x/j du 25.01 au 01.02.2019 Pas de douleur clinique à la palpation de la TTA Pas de gym cette semaine, pas d'immobilisation Surveillance: hématome sous-unguéal, signes d'infection. À ce moment, reconsulter pour ablation de l'ongle et traitement du lit de l'ongle. À noter que l'ongle traumatisé présente un ralentissement de croissance. Le premier ongle à repousser peut avoir un aspect altéré et une durée d'une année peut être nécessaire pour retrouver un ongle normal. Pas de liste à disposition à l'arrivée, pister medication Pas de maladie de Willebrand ni orientation pour une coagulopathie Pas d'atteinte rénale ni hépatique (nov. 2018, stix urinaire non refait) Bilan thyroïdien normal, facteurs anti-nucléaires négatifs (févr. 2018) US abdominale normale (décembre 2018) Sérologie CMV négative, Parvovirus et EBV positive en faveur d'une infection ancienne Groupe sanguin : A positif Surveillance clinique / biologique 1x/an Éviter prise d'AINS Avis spécialisé HUG en cours (équipe Dr. X) Pas de nécessité de suture. Bains de bouche. Contrôle clinique par les dentistes lors du contrôle dentaire dans 2-3 jours. Tétanos à jour. Pas de nécessité de suture. Désinfection avec Hibidil, Stéristrips. Contrôle clinique chez le pédiatre le 21.01. Pas de notion d'abus d'autres substances. Remplissage et surveillance. Pas de nouveau contrôle mais restons à disposition si nécessaire. Si la gêne devait augmenter, on pourrait toujours effectuer une ablation du matériel à distance mais les troubles actuels ne justifient pas, à mes yeux ou à ceux de la patiente, une telle intervention. Pas de piscine 2 semaines Toilette avec lavette après les selles afin d'éviter l'infection Ablation des fils chez le pédiatre dans 10-14 jours Pas de radiographie d'emblée. Antalgie et contrôle chez le médecin traitant en cas de péjoration des symptômes. Pas de radiographie nécessaire. Antalgie par Dafalgan aux urgences avec stabilité des douleurs. Suite chez le médecin traitant en cas de péjoration de douleurs avec IRM du genou à évaluer. Pas de récidive de convulsion durant la surveillance de 4 heures. Status neurologique normal. Pas de récidive de vomissement après 4 mg de zofran et 100 ml de normolytoral. Je propose qu'elle boive encore 100 ml en salle d'attente mais la famille préfère rentrer. Pas de red flags. Retour à domicile avec antalgie simple. Reconsultera son médecin traitant si persistance. Explications des symptômes devant la pousser à reconsulter aux urgences dans l'intervalle. Pas de red flags Surveillance au domicile, signes devant motiver une nouvelle consultation expliqués (et fiche écrite donnée au papa) Pas de reprise de la chimiothérapie vu état général de la patiente (ECOG 3-4) et progression oncologique sous chimiothérapie Transfert à la Villa Saint-François le 19.12.2018 Prise en charge multidisciplinaire Pas de reprise du traitement oncologique au vu d'une péjoration clinique avec décès de la patiente le 03.01.2019 Pas de routine Pas de Rx, car absence de douleurs osseuses. Antalgie si douleurs Pas de Rx car corps étranger non radiopaque Pas de dangerosité : objet non acéré, de petite dimension Attente et surveillance quotidienne des selles par les parents Pas de signe de déshydratation. Contrôle clinique chez le pédiatre le lendemain. Nous le laissons rentrer à domicile. Pas de signe de récidive ou complication de pneumonie à l'examen clinique. Pas d'autre foyer. Pas de signe de surinfection pulmonaire, pas de tachypnée, pas d'hypoventilation ni râle. Stop ventolin Reconsulter si persistance état fébrile le 05.01 Pas de signe de surinfection. Ablation des fils chez le médecin traitant en début de semaine prochaine. Pas de signe inflammatoire local Suivi clinique Pas de signes cliniques pour abcès Antalgie au besoin Consultation chez dentiste dès que possible Pas de signes de gravité (pas de torticolis) Traitement antalgique Réassurance Pas de signes pour un choc Pas de signes cliniques pour Kawasaki dans le cadre d'un EF depuis > 5 jours Poursuite du traitement antipyrétique Reconsulte chez le pédiatre si persistance EF dans 48 heures Pas de sirops pour toux disponibles à cet âge, donner lait + miel et si inconfort la nuit une réserve de Dafalgan. Concernant la constipation depuis 2 jours, pas d'inconfort alimentaire et ventre souple, donc pas de mesure particulière. Pas de soutien social par la famille, patiente habite seule Compliance médicamenteuse douteuse Annonce à la Justice de Paix Pas de spot urinaire d'emblée. Surveillance biologique le 11.01.2019. Pas de spot urinaire d'emblée. Surveillance biologique le 13.01.2019: GFR=46 ml/min/1.73 m² Pas de Thiamine donnée en raison d'une notion d'une vasculite allergique. Pas de toux objectivée durant les 30 minutes de consultation. Père décrit qu'il s'agit d'un épisode sporadique de temps en temps sur la journée. Réassurance parentale, notamment au vu du status. Proposition de consultation chez pédiatre pour réassurance maternelle. Pas de traitement anti-coagulant. Surveillance neurologique à H1 et H4: sans particularité. Pas de traitement habituel Pas de traitement (hémodialyse d'urgence non indiquée chez femme de 89 ans) Pas de trouble des axes ou des rotations des membres inférieurs sur status post fracture tibia diaphysaire droit. La croissance étant quasiment terminée, on peut à présent mettre un terme au suivi. Pas d'examen comparatif à disposition. Thorax : Silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas d'image pathologique en projection des plages pulmonaires. Pas d'épanchement pleural ou de pneumothorax. Pas de fracture costale visible. DISH dorsal. Épaule droite : Surélévation de la tête humérale par rapport à la glène avec effacement complet de l'espace sous-acromial et contact entre l'acromion et la tête humérale, qui montrent des remaniements dégénératifs de part et d'autre. Le tout est compatible avec un conflit sous-acromial et lésion de la coiffe des rotateurs. Omarthrose et arthrose AC. Pas de fracture visible et pas de luxation. Pas d'examens complémentaires réalisés Amoxicilline 90 mg/kg/j en 3 prises durant 7 jours Antipyrétiques selon besoin Contrôle dans 24 heures Pas d'exercice physique pendant 2 semaines Antalgie simple Pas d'idées suicidaires La fille et la famille s'engagent à ne pas utiliser de violence et à contacter le pédiatre et un pédopsychiatre le 17.01 et ne souhaitent pas qu'elle reste à l'hôpital sur la nuit Pas d'indication à réaliser un streptotest devant un score de Mac Isaac négatif. Retour à domicile. Antalgie, anti-inflammatoire avec protection gastrique devant âge supérieur à 55 ans. Conseils de réévaluer avec le médecin traitant si persistance des symptômes malgré le traitement symptomatique. Pas d'indication à un drainage. Retour à domicile avec bains de Dakin et Fucidine crème, fait pansement. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences à 48 heures, expliqué à la patiente qu'en cas de mauvaise évolution elle pourra reconsulter avant; si évolution favorable, pourra téléphoner pour annuler le rendez-vous. Pas d'indication à une consultation psychiatrique d'urgence, ni à une hospitalisation. Retour à domicile. Consultation en psychiatrie pour suite de prise en charge et organisation d'un sevrage en milieu hospitalier. Pas d'indication aux points de suture. Désinfection et pose 2 Stéri-strip. Pas d'indication pour échocardiographie Pas d'investigations supplémentaires après discussion avec la famille et la patiente.Pas d'opération intra-abdominale. Douleurs abdominales infra-ombilicales 03.2018. Pas d'opération intra-abdominale. Douleurs abdominales infra-ombilicales 03.2018. Diagnostic différentiel : • gastro-entérite virale • fonctionnel Pas fait aujourd'hui. Pas fait ce jour. pas d'info sur médication actuelle, revoir avec conjointe dosages. Pas refaits aujourd'hui. Passage au Ialugen Plus - appliquer 3-4 x/j pas de pansement. Passage de calcul biliaire le 17.01.2019 • status post-cholécystite aiguë lithiasique avec drainage trans-hépatique du 17.11.2018 au 16.01.2019 • Ciprofloxacine 2 x 500 mg et Métronidazole 3 x 500 mg per os du 14 au 28.11.2018. Passage de calcul rénal gauche le 29.01.2019 avec : • lithiase de 3 mm à la jonction urétéro-vésicale sans dilatation pyélo-calicielle. Passage de l'antibiothérapie IV Bilan biologique Hémocultures stériles Avis infectiologique : • probablement infiltration tumorale au vu de l'évolution clinique rétrospectivement bonne sous Co-Amoxi PO • proposition de ne pas élargir le spectre d'emblée. Passage des psychologues lors du post-partum, poursuite du traitement à la sortie. Patch Flector Patch Flector Morphine iv en réserve. Pathologie de la biopsie mammaire. Mr. Y a rendez-vous en neuro le 06.02.19 pour investigations. Mr. Y admis via les urgences pour décompensation cardiaque survenue lors de son séjour en réadaptation à Billens. Le patient a reçu du Lasix avant son transfert et a bénéficié de la VNI à sa prise en charge aux urgences, ce qui a permis une amélioration de la situation clinique. Au cours de son admission aux SI, le patient a bénéficié de deux séances de VNI. Un traitement par Torem est introduit. La gazométrie de contrôle avant transfert montre une bonne oxymétrie sous 1 l d'O2, d'où l'arrêt de l'oxygène. On note un syndrome inflammatoire biologique avec une CRP élevée de façon isolée sans fièvre, ni hyperleucocytose. Le patient avait reçu 2 g de Rocéphine aux urgences pour suspicion de pneumonie, infirmée par nos collègues radiologues au vu de la radio thorax. Une bilan inflammatoire de contrôle est redemandé. Le patient est retransféré à Billens pour suite de prise en charge. Mr. Y adressé aux urgences par son médecin traitant suite à un diagnostic de fracture de l'humérus avec hématome associé. Le cas est présenté à Dr. X par le médecin traitant. Aux urgences, le patient bénéficie d'un status clinique. Nous prenons l'avis de Dr. X qui propose un scanner en ambulatoire organisé pour le 22.01.2018 avec rendez-vous à sa consultation le 28.01.2019. D'ici là, nous immobilisons l'épaule à l'aide d'un gilet orthopédique. Le patient est libre de rentrer à domicile, il prendra rendez-vous en consultation lui-même. Mr. Y adressé par Dr. X. Avis et passage de Dr. X. ECG : sans particularité nouvelle. Néphrotrans 3 cpr en ordre unique 2x. Resonium A 30 mg puis 15 mg en ordre unique. Lasix 20 mg iv 1x. K à 6.4 à 17h30. Avis et passage de Dr. X. Traitement ambulatoire selon Dr. X. Contrôle biologique demain et suivi par Dr. X. Mr. Y adressé par Dr. X pour découverte d'une embolie pulmonaire au CT-scan de la veille. Mr. Y adressé par les urgences de l'HFR Tafers à la suite d'une chute avec réception sur la main G lors d'un combat de lutte suisse le 24.01.2019. Les investigations mettent en évidence la fracture susmentionnée. L'indication opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 25.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. L'orifice de la broche reste propre et calme. Absence de déficit neurologique du MSG. Immobilisation par plâtre AB fendu. Retour à domicile le 25.01.2019. Mr. Y agité, quitte le service contre avis médical sans consultation médicale. Mr. Y amène comparatif de 2007 : bloc de branche gauche déjà présent. Mr. Y asymptomatique. Avis de Mme. X : organiser une consultation cardiologique en prévision de la CCK pour diagnostic principal. Mr. Y reçoit la carte de Dr. X et prendra contact avec son secrétariat. Mr. Y amené par la police suite à un contrôle routier pour examen médical. Nous remplissons en conséquence le formulaire nécessaire. Une copie se trouve dans le dossier du patient. Le patient repart avec la police dans le même bon état général qu'à son arrivée. Mr. Y annoncé à nos collègues de l'orthopédie pédiatrique de l'Hôpital de l'Ile à Berne pour la lésion de L3 découverte fortuitement. Mr. Y attendu à la clinique Cecile à Lausanne le 21.01.2019 au matin (à jeûn le 20.01 dès 23h50) CAVE : CD/bilan de coronarographie, ETT et mapping veineux à transmettre avec le patient lors du transfert à la clinique Cécile. Efient arrêté depuis le 18.01.2019. Mr. Y confondant le bras incriminé (montre initialement la droite), aucune limitation de la mobilité, disparition spontanée de la douleur. Proposition de ne pas effectuer de radiographie et de reconsulter si persistance d'une gêne ou réapparition d'œdème/douleur. Mr. Y connu pour crise de goutte et arthrose. Le bilan radioclinique aux urgences est en faveur d'une crise de goutte. Nous prenons l'avis de nos collègues en orthopédie qui conseillent un contrôle clinique avec laboratoire dans 48 heures. Nous donnons les consignes au patient et les raisons pour lesquelles il devrait impérativement reconsulter (signes d'arthrite septique). Mr. Y de 10 ans qui se présente aux urgences suite à un traumatisme du coude ce matin. Aux urgences, le patient bénéficie d'une antalgie à l'aide d'Algifor junior 18 ml et d'un examen clinique ciblé. Une radiographie du coude montre une fracture de la palette humérale avec petite bascule postérieure associée à un épanchement articulaire. Nous prenons l'avis orthopédique auprès de Dr. X, qui préconise une prise en charge ce jour au bloc opératoire. Mr. Y de 16 ans qui présente une lésion ostéochondrale de la facette médiale de la rotule secondaire à un premier épisode de luxation le 08.01.2019 pour lequel nous retenons l'indication à une prise en charge chirurgicale. Après discussion avec le patient et sa maman, nous convenons ensemble de procéder à une refixation du fragment ostéochondral par arthrotomie parapatellaire interne. Une date opératoire est agendée au 16.01.2019. Le patient et sa maman reçoivent les informations sur l'intervention comme sur les risques et les bénéfices de celle-ci et les suites postopératoires. Ils donnent leur accord en signant un formulaire de consentement. Ils sont au courant du risque important de récidive de luxation à ce genou comme au genou controlatéral en raison de l'âge du patient au premier épisode de luxation. En cas de récidive, le patient serait alors candidat à une chirurgie de stabilisation de la rotule. Mr. Y de 16 ans, sportif, en bonne santé habituelle, qui consulte le 06.01.2019 aux urgences en raison d'un état fébrile à 40° depuis la veille, associé à une toux avec expectorations jaunâtres et mal de gorge, sans dyspnée. Il rapporte de plus une douleur abdominale diffuse. Nausées depuis hier avec un épisode de vomissements ce soir. À noter que le patient a eu une activité physique intensive avant le vomissement. Pas de selle depuis 2 jours, dernières selles normales. Pas de brûlure mictionnelle ni de pollakiurie mais urines foncées et d'odeur forte malgré une bonne hydratation. Céphalées en lien avec la fièvre.Nouvelle copine depuis début novembre qui a eu un dépistage sexuel négatif. Pas de voyage récent hors de l'Europe, pas de contact avec les animaux, pas de contagion. Pas de drogue, pas de tabac, pas d'alcool. Mr. Y est un sportif d'élite au hockey. Au status, Mr. Y est en état général diminué, apathique, bien orienté, moite. TA 116/50 mmHg, tachycardie à 113/min, état fébrile à 39.6°, saturation à 98% à l'air ambiant. Les amygdales sont tuméfiées, érythémateuses, sans exsudat, présence de deux adénopathies d'environ 1 cm chacune en cervical. Tympans et conduits auditifs externes sans particularité. Au status abdominal, les bruits sont normaux en tonalité et en fréquence. Sensibilité au niveau des deux flancs, en sus-pubien et en épigastre, sans défense ni détente, foie au niveau du rebord costal, loges rénales souples et indolores. Sur le plan cardio-pulmonaire, murmure vésiculaire symétrique, sans bruit surajouté. B1-B2 bien frappés. Au status neurologique, pupilles isocores et iso-réactives, nerfs crâniens dans la norme, force M5 aux quatre membres, sensibilité conservée et symétrique, pas de méningisme. Localement, rougeur diffuse, sans pétéchie ni autre atteinte cutanée. Le bilan biologique montre une CRP à 27 mg/l, sans leucocytose, des LDH à 407 U/l. Le sédiment urinaire est propre. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer. En raison de l'état fébrile et de l'altération de l'état général, deux paires d'hémocultures sont prélevées et Mr. Y est gardé en surveillance en lit d'observation, avec une hydratation, sans fébrifuge. Le lendemain, l'état général s'est nettement amélioré et Mr. Y peut rentrer à domicile. Nous évoquons en premier lieu une infection virale. À noter cependant que Mr. Y a présenté trois épisodes infectieux au cours des trois derniers mois et qu'il est important de s'assurer de la bonne évolution de la clinique et des examens paracliniques. Il n'y a pas lieu de rechercher un déficit immunitaire en l'absence d'infection bactérienne sévère récidivante. Une ancienne infection à EBV et CMV antérieure en décembre 2018 a été documentée par le passé. Nous n'avons pas réalisé d'autres sérologies lors du séjour. Mr. Y, 17 ans, en bonne santé habituelle, présente des contusions musculaires du trapèze gauche et paravertébrales cervicale et thoracique. Nous effectuons des radiographies qui ne montrent pas de fracture. Au vu d'un état clinique rassurant, Mr. Y rentre à domicile avec une ordonnance d'antalgie et des myorelaxants. Mr. Y reconsultera en cas de péjoration des douleurs ou de l'état général. Mr. Y, 2 ans, revient pour contrôle de plaie suturée aux urgences le 02.01.2019 et pour ablation des fils. L'évolution est favorable permettant l'ablation des fils. Le traitement prend alors fin. Mr. Y, 20 ans, se présente au service des urgences accompagné de ses parents pour un état confusionnel aigu avec état psychotique associé. Il présente une très forte agitation psychomotrice ainsi que des délires, des hallucinations visuelles et des idées de grandeur. Les médecins lui administrent une forte dose de neuroleptiques, ce qui permet transitoirement de réduire son agitation. Le bilan de base comprend un ECG, qui revient normal, un CT cérébral qui ne permet pas de retenir un processus cérébral pathologique, un CT abdominal au vu de l'élévation des transaminases qui ne montre pas de pathologie aigüe et des analyses de laboratoire qui objectivent des troubles électrolytiques avec une insuffisance rénale aigüe. Mr. Y nous est donc adressé pour un bilan et la suite de prise en charge. A l'étage, Mr. Y est calme et collaborant. Il décrit quelques hallucinations visuelles mais ne formule pas d'autre plainte. Notre status objective une extension de la zone réflexogène des membres supérieurs. L'anamnèse permet d'exclure une origine médicamenteuse ou toxique à l'état hyperactif. Mr. Y n'a en effet pas débuté de nouveau traitement récemment, et nous affirme ne pas consommer d'alcool ou d'autre substance. Par ailleurs, il n'a pas présenté de trauma crânien. Il ne dit pas souffrir de douleurs abdominales. Nos neurologues excluent dans un premier temps une étiologie neurologique à cet état, mais souhaitent toutefois revoir Mr. Y en consultation pour une électroencéphalographie. L'expertise psychiatrique retient plusieurs troubles compatibles avec une schizophrénie débutante, ou un trouble bipolaire avec état hypomaniaque. Ils proposent une hospitalisation à Marsens pour bilanter plus avant les troubles psychiatriques de Mr. Y, ce qui est refusé par la famille et Mr. Y. Il sera toutefois revu en ambulatoire, et sera convoqué par les neuropsychologues à distance. Un traitement d'Haldol est à poursuivre en ambulatoire sur avis des psychiatres. Nous vous laissons le soin de contrôler le QTc dans 1 semaine. L'évolution étant favorable, Mr. Y retourne à domicile le 11.01.2019. Mr. Y, 21 ans, contrôle de plaie traumatique par ponction par clou au niveau sous-malléolaire interne de la cheville droite, examen de la plaie sans particularité, puis pansement sec refait, arrêt de la Clexane au vu de la charge complète, contrôle de laboratoire (FSS, CRP), clinique et évaluation de la durée de l'antibiothérapie le 07.01.2018, à la filière des urgences ambulatoires. Ensuite prochains contrôles cliniques à la policlinique d'orthopédie dans le courant de la semaine prochaine. Mr. Y, 22 ans, en bonne santé habituelle, connu pour une scoliose et une probable maladie de Scheuermann, présente des dorsalgies et lombalgies non traumatiques sans état fébrile suite au port de lourdes charges à l'armée. Mr. Y est bien soulagé par la prise d'antalgie aux urgences. L'examen clinique est sans particularité. Nous effectuons une radiographie de la colonne lombaire et dorsale afin de bilanter la scoliose dorsale (10° gauche) et lombaire (15° droit). Au vu de la bonne évolution aux urgences, nous laissons Mr. Y rentrer à la caserne avec un traitement antalgique et myorelaxant. Arrêt de travail pour 5 jours. Mr. Y, 22 ans, en bonne santé habituelle, présente des symptômes grippaux. Le bilan clinique aux urgences met en évidence une pharyngite d'origine probable virale. Un traitement symptomatique est mis en place et Mr. Y sera suivi par son médecin traitant. Mr. Y, 22 ans, se présente pour un contrôle de plaie car son médecin traitant n'est pas encore disponible aujourd'hui. L'évolution est favorable. Mr. Y sera revu chez son médecin traitant pour ablation des fils le 11.01.2019. Mr. Y, 23 ans, présente des douleurs lombaires suite à une chute, douleurs exacerbées à la mobilisation. Aux urgences, nous effectuons une radiographie de la colonne lombaire qui ne montre pas de fracture. Nous n'avons pas de critère de gravité aux urgences et Mr. Y peut rentrer à domicile avec un traitement antalgique par Dafalgan et Diclofénac. Nous proposons un suivi chez un médecin traitant que Mr. Y va rechercher pour suite de prise en charge. Mr. Y, 23 ans, présente 24h avant son admission une odynophagie avec développement de douleurs thoraciques lui rappelant ses anciennes péricardites et motivant une consultation aux urgences. Le bilan clinique, biologique et électrocardiographique aux urgences conclut à une péri-myocardite. Il est alors transféré aux soins intensifs pour suite de prise en charge. La surveillance biologique est sans particularité, avec une baisse significative des valeurs des enzymes cardiaques au cours du séjour. D'un point de vue clinique, la surveillance rythmique et hémodynamique est sans particularité avec toutefois persistance de douleurs thoraciques intermittentes soulagées par un traitement d'anti-inflammatoires non stéroïdiens au besoin.Une échocardiographie transthoracique effectuée par nos collègues cardiologues ne retrouve pas d'épanchement péricardique. Toutefois, une hypokinésie mineure globale ainsi qu'une fraction d'éjection du ventricule gauche à 50 % sont mises en évidence. Au vu de la légère baisse de la fonction cardiaque par rapport aux échocardiographies transthoraciques effectuées lors des dernières hospitalisations, un traitement par bêta-bloquant et inhibiteur de l'enzyme de conversion est débuté. Un bilan immunologique et infectieux large avait été effectué lors des précédentes hospitalisations pour péri-myocardite ainsi qu'une imagerie par IRM cardiaque en ambulatoire. Dans ce contexte, les collègues cardiologues proposent de prendre un avis auprès des collègues infectiologues et rhumatologues. Ces derniers ne proposent pas de bilan supplémentaire au vu des multiples investigations dans le passé et de l'hypothèse pour la péricardite actuelle d'un phénomène immunologique sur péricardite virale avec réaction immunologique croisée entraînant des récidives de péricardite. L'évolution étant favorable sur les plans clinique et biologique, le patient rentre à domicile le 14.01.2018. Sur demande des collègues cardiologues, une IRM cardiaque est organisée en ambulatoire ainsi qu'une consultation de contrôle en cardiologie pour lesquelles le patient recevra une convocation à domicile. En fonction des résultats de l'IRM cardiaque, une éventuelle biopsie du myocarde sera à discuter avec l'équipe de cardiologie. Mr. Y de 24 ans, qui vient pour contrôle à J2 d'une morsure de chat. L'évolution sous antibiotiques est très bonne, et le patient peut rentrer à domicile avec poursuite des antibiotiques comme prévu. Il viendra pour un dernier contrôle le jeudi 17.01.2019 à la filière des urgences ambulatoires car pas de médecin traitant. Mr. Y de 25 ans, admis le 30.12.2018 aux soins intensifs pour une décompensation acido-cétosique compliquée d'un infarctus du myocarde inférieur de type STEMI. Le patient présente une compliance médicamenteuse douteuse et consulte les urgences pour des vomissements importants depuis 24 h-48 h dans un contexte festif (consommation d'alcool et marijuana) associés à l'apparition d'angor le 30.12.2018. Le bilan clinique, biologique et électrocardiographique aux urgences montre une acido-cétose diabétique avec un STEMI inférieur. Dans ce contexte, le patient est adressé aux soins intensifs pour la suite de la prise en charge. Concernant la décompensation diabétique acido-cétosique, un remplissage agressif et une insulinothérapie intra-veineuse sont initiés, avec une évolution favorable permettant un relais par insulinothérapie sous-cutanée dès le 31.12.2018. L'avis endocrinologique (du 02.01.2019) préconise un schéma par Insulatard 2 fois par jour et Humalog 3 fois par jour en pré-prandial de manière systématique. À noter aussi un bilan métabolique qui retrouve une hypercholestérolémie et une hypertriglycéridémie motivant l'introduction d'une statine. La coronarographie confirme la présence d'un thrombus au niveau de l'artère coronaire droite qui est traitée par aspiration et mise en place d'un stent actif. Une double anti-agrégation plaquettaire est prévue pour 6 mois par Aspirine et Prasugrel avec poursuite de l'Aspirine à vie. Le pic de CK est à 1844 UI. La surveillance rythmique post-coronarographie est sans particularité mis à part une tachycardie sinusale motivant l'introduction d'un bêta-bloquant. Une échocardiographie transthoracique de contrôle est réalisée le 03.01.2019, et retrouve une bonne fonction cardiaque avec un petit FOP nécessitant une évaluation à l'ETO (embole paradoxal ?). Post-coronarographie, le patient présente une instabilité hémodynamique secondaire à une hémorragie rétropéritonéale nécessitant un soutien aminergique transitoire et la transfusion de 3 concentrés érythrocytaires. Un CT-scan abdominal montre un volumineux hémo-péritoine et hémo-rétropéritoine avec un saignement actif de l'artère fémorale commune droite qui est traité par embolisation et mise en place d'un stent. L'hémoglobine de contrôle est à 87 g/L le 03.02.2018. Avant la sortie de l'hôpital, un avis auprès des angiologues et des radiologues interventionnels sera à prendre quant à la possibilité de retrait du stent fémoral. Concernant la non-compliance du traitement diabétique, le patient réfute des idées suicidaires mais fait part d'une détresse psychologique en lien avec des difficultés professionnelles. Lors du séjour aux soins intensifs, le patient ne souhaite pas de soutien psychologique ou psychiatrique. Cette dimension sera toutefois à considérer dans la prise en charge globale du diabète. Devant l'évolution favorable sur le plan métabolique, le patient est transféré en médecine pour la suite de la prise en charge. Mr. Y de 2.5 ans en bonne santé habituelle, qui présente une plaie superficielle sans perte de substance au niveau du menton. Au vu de la plaie, nous désinfectons par Hibidil et posons des Stéristrips. Patient vacciné, nous n'effectuons donc pas de rappel anti-tétanique. Le patient reconsultera en cas de signe d'infection au niveau local ou de fièvre. Mr. Y de 29 ans, gardé en surveillance aux urgences, régression de la symptomatologie sous Tavegyl. Absence de facteur de gravité (pas de dyspnée, ni de trouble digestif). Le patient est autorisé à regagner son domicile avec traitement anti-histaminique pour 5 jours (contre-indication à la conduite expliquée). Il prendra contact avec son médecin traitant pour un contrôle à 5 jours. Mr. Y de 29 ans qui chute le 28.01.2019 en glissant alors qu'il portait des seaux d'eau, avec réception sur le rachis dorsal, lombaire et les fesses. Pas de traumatisme crânien ni de perte de connaissance. Marche possible, avec douleur sacrale ressentie. Pas d'hématurie macroscopique durant la journée, ni dysurie. Pas d'autre plainte anamnestique. Aux urgences, l'examen clinique révèle une douleur à la palpation des vertèbres dorsales en inter-scapulaire et notamment à partir de la vertèbre L4 jusqu'au sacrum. L'examen neurologique ne montre pas de déficit sensitivo-moteur ni de trouble sphinctérien avec un Lasègue positif à 40° des deux côtés, irradiant dans les deux membres inférieurs, sans trajet radiculaire. Au toucher rectal, pas de sang au doigtier. Le reste du statut est dans la norme. Le bilan biologique révèle une hématurie significative, avec leucocytose isolée à 10 G/l. Sur le plan néphrologique, au vu de la macrohématurie, un CT abdominal est réalisé permettant d'exclure une atteinte rénale. Sur le plan orthopédique, une radiographie de la colonne lombaire est réalisée, ne montrant pas de fracture. Cependant, un discret antélisthésis de L5/S1 est visualisé au CT abdominal motivant l'avis du Spine Team. Ce dernier, ne pouvant exclure une fracture-tassement, propose la réalisation d'une IRM lombaire en cas de Lasègue positif ou de douleurs non contrôlées. Cette imagerie infirme une fracture-tassement ou une hernie secondaire et confirme l'antélisthésie visualisée, avec rétrécissement du canal neuroforaminal, sans atteinte médullaire. Le patient bénéficie d'une surveillance durant 24 heures en lit d'observation. Au vu des résultats radiologiques et des douleurs bien contrôlées, Mr. Y regagne son domicile le 29.01.2019, avec une prescription d'antalgique et d'AINS, et de physiothérapie. Mr. Y de 32 ans connu pour un status post-maladie de Hodgkin nodulaire à prédominance lymphocytaire stade IIA Hasenclever 1 en rémission complète depuis octobre 2016, qui présente des céphalées inhabituelles en coup de tonnerre depuis le 26.01.2019 et qui consulte les urgences le 28.01.2019 pour suivi de l'évolution clinique et IRM cérébrale. Sur le plan clinique, le patient évolue de façon favorable avec actuellement des céphalées à 3-4/10 sans autre symptôme.L'examen clinique neurologique réalisé aux urgences est dans la norme. L'IRM cérébrale réalisée le 28.01.2019 ne montre pas de signe de récidive du lymphome selon le Dr. X, radiologue de garde. Pour rappel, il avait déjà bénéficié d'un scanner cérébral le 26.01.2019 qui ne montrait pas de masse cérébrale ni de signe pour une hémorragie intra-crânienne. Dans ce contexte et au vu de la bonne évolution clinique, nous laissons Mr. Y rentrer à domicile avec une antalgie adaptée et conseillons à ce dernier de reconsulter si péjoration de l'état clinique ou apparition de nouveaux symptômes, sur avis du Dr. X. Mr. Y a déjà reçu une ordonnance le 27.01.2019, nous lui expliquons qu'il peut prendre ce traitement durant 7 jours avec tentative de diminuer dès que possible. Mr. Y est déjà sous traitement d'IPP à domicile. Mr. Y de 36 ans connu pour une insuffisance rénale avec rein unique, qui présente une entorse de cheville de grade II. Radiographie de cheville sans fracture visualisée. Ordonnance pour antalgie par Dafalgan et Tramal en réserve. Mise en place d'une Aircast et contrôle chez son médecin traitant dans 1 semaine. Mr. Y de 37 ans qui revient pour un contrôle et une IRM cérébrale suite à une crise convulsive avec prise de cocaïne le 05.01.2019. Le contrôle neurologique est sans particularité et l'IRM est dans la norme. Mr. Y sera convoqué en neurologie pour un EEG et suite de traitement. Mr. Y de 38 ans est adressé pour un test d'effort électriquement positif. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne tritronculaire avec des sténoses significatives de l'IVA prox. à moyenne, de la Cx moyenne et de l'ACD moyenne. La fonction systolique du VG est préservée (EF 55-60%). Après discussion avec Dr. X expliquant aussi la possibilité d'une revascularisation chirurgicale, Mr. Y bénéficie d'une angioplastie de l'IVA proximale à moyenne avec implantation de 3 stents actifs et angioplastie de la Cx moyenne avec implantation de 1 stent actif et bon résultat final. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 12 mois est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. Mr. Y sera convoqué pour une PCI de l'ACD dans 2 semaines. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre à domicile le 23.01.2019. Mr. Y de 38 ans, connu pour un trouble schizo-affectif et antécédents de tentatives médicamenteuses à répétition (dont hospitalisation, la dernière le 19.11.2017) est amené en ambulance sur appel de sa mère qui l'a trouvé somnolent en chambre ; dernier contact à 17.30h, elle ne connaît pas exactement ce qu'il aurait pris comme médicaments mais aurait trouvé son semainier vide qui serait plein pour 2 semaines. Il aurait pris entre autres du Lithium, du Xanax et du Zyprexa. Mr. Y présente 4 épisodes de vomissements aux urgences. A l'arrivée des ambulanciers, Mr. Y avait un GCS à 11/15. Aux urgences, on trouve un patient hypotendu à TA 86/63, FC 80 bpm, FR 21, Sat 86% avec un GCS à 6/15 répondant uniquement à la stimulation à la douleur. Mr. Y est ensuite amené aux soins intensifs de Fribourg par ambulance et accompagné du SMUR. Mr. Y de 38 ans, polytoxicomane, admis aux soins intensifs le 14.01.2019 en raison de troubles de l'état de conscience sur abus de substances avec carbonarcose secondaire. Il est retrouvé sur site par les ambulanciers, stuporeux. L'état neurologique s'améliore aux urgences où il explique avoir consommé de l'héroïne, de la cocaïne, du Midazolam et de l'alcool. Il aurait subi un trauma crânien après s'être battu. A l'admission, il est orienté et ne présente aucun déficit neurologique. Le CT cérébral laisse suspecter une petite contusion hémorragique temporale droite dont la taille reste superposable au CT de contrôle à 24h (DD artéfact osseux). Au vu de l'évolution clinique favorable, de l'absence de signe de sevrage sous petites doses de benzodiazépines, et d'un CT-scan cérébral de contrôle rassurant, Mr. Y est transféré à l'étage de chirurgie le 15.01.2019 d'entente avec les neurochirurgiens. Une IRM cérébrale de contrôle est prévue pour le 16.01.2019. Mr. Y est d'accord pour un suivi psychiatrique en ambulatoire par son psychiatre traitant Dr. X. Sur avis de ce dernier et d'entente avec Mr. Y, nous réintroduisons le traitement habituel. A noter par ailleurs que Mr. Y ne présente pas d'idéation suicidaire explicite à l'anamnèse ciblée. Mr. Y de 39 ans, connu pour un lymphome de Burkitt récemment diagnostiqué, est réhospitalisé électivement pour la poursuite de la chimiothérapie. Pour rappel, un traitement de chimiothérapie selon R-CODOX-M/IVAC est débuté le 07.12.2018. Un retour à domicile transitoire a été organisé le 13.12.2018 à la demande de Mr. Y. À l'entrée, Mr. Y est asymptomatique. Le premier cycle de chimiothérapie est poursuivi le 17.12.2018 avec le Méthotrexate. Un suivi des taux sanguins est effectué et s'avère dans la norme. Le traitement est bien toléré. Mr. Y présente une agranulocytose du 16.12 au 27.12.2018, avec un épisode fébrile le 17.12.2018 pour lequel aucun foyer infectieux n'est retrouvé. Un traitement par Céfépime est mis en place du 17.12 au 21.12.2018, puis relayé par du Tazobac dès le 21.12.2018 au vu d'une récidive d'état fébrile et de la présence d'une mucite orale. Les hémocultures restent stériles et le Tazobac est stoppé le 28.12.2018. Le premier cycle de chimiothérapie peut être poursuivi à la sortie d'agranulocytose, soit dès le 01.01.2019. Mr. Y bénéficie également d'une thérapie intrathécale par Méthotrexate le 04.01.2018. Mr. Y passe en agranulocytose du 10.01 au 14.01.2019 et reste afébrile. Au 5ème jour de l'administration du cycle IVAC, Mr. Y présente une éruption cutanée papuleuse, légèrement prurigineuse, initialement érythémateuse et localisée au niveau du tronc, puis pétéchiale (dans le contexte de la thrombopénie transitoire) et s'étendant aux 4 membres, avec une évolution clinique lentement favorable. Les prophylaxies habituelles par Bactrim 3x/semaine dès le 04.12.2018 et Valtrex dès le 16.12.2018 sont mises en place. Durant les 2 périodes d'agranulocytose, la prophylaxie par Posaconazole est administrée et un isolement protecteur est mis en place. Au niveau hématologique, Mr. Y bénéficie de la transfusion de 4 concentrés érythrocytaires et 1 concentré plaquettaire, selon les seuils habituels. Lors de la transfusion du concentré plaquettaire le 13.01.2019, Mr. Y présente une éruption cutanée au niveau du visage, qui s'améliore rapidement après l'administration de Tavegyl et Solumédrol. En lien avec la durée prolongée de l'hospitalisation et l'isolement, Mr. Y présente une symptomatologie anxio-dépressive nécessitant un suivi psycho-oncologique et psychiatrique durant le séjour. Un traitement anxiolytique par Xanax et Temesta est débuté, puis nous introduisons un somnifère ainsi qu'un traitement antidépresseur par Escitalopram, dont la posologie reste à adapter. L'évolution est par la suite favorable, avec un retour à domicile à la demande de Mr. Y avant de débuter le second cycle de chimiothérapie. Mr. Y rentre à domicile le 14.01.2019. Il recevra une convocation pour un PET-CT en ambulatoire, puis sera revu en consultation hémato-oncologique auprès de Dr. X. Une hospitalisation élective sera alors planifiée pour le second cycle de chimiothérapie par R-CODOX-M/IVAC.Patient de 39 ans, présentant un abdomen diffusément sensible, sans signe d'appel pour une pathologie chirurgicale. Le contrôle biologique, ne montrant aucun syndrome inflammatoire, est rassurant et nous proposons au patient de réaliser un lavement de Practomil. Le patient étant soulagé suite à ce lavement, nous l'autorisons à regagner son domicile avec des conseils diététiques pour éviter la constipation (Hydratation +++). Comme le patient se plaint de douleurs post-prandiales épigastriques récidivantes depuis de nombreuses années, nous lui proposons un traitement par Pantoprazole 40 mg 1x/jour pour une semaine avec contrôle chez le médecin traitant ensuite. Patient de 40 ans, admis aux soins intensifs le 28.01.2019 en post-opératoire immédiat d'un bypass gastrique par laparoscopie en raison d'un SAS non-appareillé. L'évolution post-opératoire est simple, sans désaturation nocturne significative objectivée. L'antalgie est bien contrôlée sous dafalgan. Patient de 40 ans connu pour des antécédents d'opération des épaules, qui présente des douleurs au niveau de l'épaule droite depuis 4 jours suite à une hyperextension de l'épaule sans traumatisme. Douleurs lombaires lors de la chute de sa hauteur, sans paresthésie ou perte de force. Examen clinique de l'épaule très difficile en raison des douleurs. Nous effectuons une radiographie de l'épaule qui ne montre pas de fracture ou de luxation. Au vu de l'examen clinique, nous lui prescrivons une antalgie simple par Dafalgan, Brufen d'office ainsi que du Tramal en réserve. Nous effectuons un arrêt de travail du 16.01.2019 au 21.01.2019. Le patient ira contrôler et poursuivre la suite de prise en charge chez son médecin traitant dans 5 jours. Patient de 40 ans qui se présente aux urgences de Riaz le 14.01.2019 en raison d'une baisse de l'état général aiguë. Il y a une notion de contage chez ce patient. Il présente un état fébrile important à 39.5°C à son arrivée. Aux urgences, il bénéficie d'un status ciblé qui montre une vive douleur à la percussion des loges rénales. Douleurs provocables des deux côtés. Pour cette raison et en fonction de l'anamnèse, nous effectuons un bilan biologique pour exclure une souffrance rénale. Le stix et le sédiment urinaires reviennent négatifs. Un bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 126 mg/L. La créatinine est normale à 85 µmol/l. Pour ces raisons et au vu de la clinique très suggestive du patient, nous retenons le diagnostic de syndrome grippal. Au vu de la bonne évolution clinique après administrations de Voltarène 75 mg et une hydratation de 1500 ml, le patient rentre à domicile avec une ordonnance pour des médicaments, un arrêt de travail du 14.01.2019 au 18.01.2019 et le conseil de reconsulter en cas de péjoration de l'état clinique. Patient de 41 ans, connu pour une dépendance aux opiacés et aux benzodiazépines, hospitalisé dans le contexte d'un état de choc post injection de Sevre-Long. En effet, sa dose de Méthadone aurait été échangée à son insu par du Sevre-Long, par la personne qui lui aurait préparé la substance. Un CT thoracique permet d'exclure une embolie pulmonaire. L'administration de Tavegyl et Solumédrol permet une évolution clinique favorable, le patient étant par la suite asymptomatique. Dans ce contexte, l'hypothèse diagnostique reste une anaphylaxie. La surveillance clinique est sans particularités. Sur le plan cutané, le patient présente de multiples lésions cicatrisées au niveau du membre inférieur gauche, ainsi qu'une rougeur au niveau du mollet, correspondant à des abcès liés aux injections de Méthadone selon le patient. L'imagerie confirme une dermo-hypodermite sans franche collection. Dans ce contexte, une antibiothérapie par Co-Amoxicilline intraveineuse est débutée, relayée par voie orale, pour une durée totale de 7 jours. L'abcès au niveau du mollet gauche s'étant drainé spontanément, nous effectuons un rinçage à l'aiguille boutonnée. Au vu de la problématique de dépendance, le patient bénéficie d'un entretien psychiatrique. Ayant déjà un suivi psychiatrique ambulatoire auprès du Dr. X, le patient prendra contact avec lui dès sa sortie de l'hôpital afin de reprendre le suivi. Le patient rentre à domicile le 29.12.2018. Patient de 41 ans qui vient avec une sensation de dyspnée. L'examen clinique est rassurant. Le patient sature à > de 97% et ne présente pas de tachypnée. Un score de Genève montre un score de 0. Un ECG fait aux urgences montre un rythme sinusal régulier normocarde à 65 bpm, axe normal à 26°, QRS fins à 100 ms, segment ST iso-électrique, onde T négative en aVF. Transition onde R précoce v3. QTc normal à 446 ms. Un laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire mais montre une leucocytose isolée à 3 G/l. Une répartition ne montre pas de bâtonnet ou de déviation gauche mais une lymphocytose isolée à 43.5%. Le patient bénéficie aux urgences d'Atrovent, Ventolin et Temesta avec bonne réponse clinique. Le patient est actuellement sous traitement de Clarithromycine 500 mg 2x/jour. Nous préconisons une poursuite du traitement instauré par le médecin traitant. Un contrôle de sa formule sanguine sera à faire par le médecin traitant en début de semaine. Au vu d'une clinique rassurante tant biologiquement que somatiquement, nous laissons rentrer le patient à domicile. Patient de 42 ans qui présente une entorse de cheville droite de grade II, avec un examen clinique compatible et pas de fracture à la radiographie. Le patient rentre à domicile avec une attelle Aircast, antalgie (2 semaines jour/nuit, 2 semaines jour) ainsi que ses béquilles personnelles. Il recontrôlera chez son médecin traitant à une semaine. Le patient travaille comme dessinateur, pas de nécessité d'arrêt de travail. Patient de 42 ans qui revient pour un contrôle à la filière des urgences ambulatoires après avoir consulté hier pour des douleurs testiculaires. Le syndrome inflammatoire est en diminution et le bilan complémentaire d'ultrason met en évidence le diagnostic susmentionné. Le patient est traité avec une antibiothérapie par Levofloxacine pour 10 jours et sera revu pour un contrôle dans 2 jours chez son médecin traitant qui le réferera à un urologue selon évolution et si nécessaire. En cas de non amélioration, un germe de MST doit être suspecté et l'antibiothérapie adaptée. Des consignes ont été données aux patients et expliquées clairement. Le patient a bien compris et fera le point avec son médecin traitant dans 48 heures. Patient de 43 ans, connu pour un VIH diagnostiqué il y a 2 ans sous trithérapie, qui présente au réveil le 24.12.2018 un hémisyndrome moteur D complet et un mutisme, avec une dernière preuve de bonne santé la veille au soir. L'angio-CT cérébral effectué à l'hôpital cantonal de Fribourg met en évidence une occlusion M1 distal de l'artère cérébrale moyenne à gauche avec une pénombre diffuse du territoire en aval. Dans ce contexte, le patient est transféré en urgences à l'Inselspital à Berne où une thrombectomie est effectuée avec recanalisation complète de l'ACM G. Le patient est transféré à l'hôpital cantonal de Fribourg le 28.12.2018 pour suite de prise en charge neurologique. Au niveau étiologique, l'ETO effectuée à l'Inselspital ne montre pas de cause structurelle à l'AVC, sans signe de FOP. Le monitoring cardiaque n'a pas montré de troubles du rythme. Un holter sur 72 heures est posé le 07.01.2019, les résultats étant encore en cours d'analyse, nous vous invitons à les pister. En cas d'absence de mise en évidence d'une arythmie emboligène, nous vous invitons à effectuer un R-Test de 7j. La recherche d'anticorps antiphospholipides (anti-B-2 Glycoprotéines et anti-Cardiolipines) effectuée à l'Inselspital se révèlent négatifs. Nous laissons le soin à nos collègues neuroréhabilitateurs de compléter le bilan par un dosage du lupus anticoagulant et d'un dosage de l'alpha-galactosidase (M. Fabry).Au niveau médicamenteux, Mr. Y bénéficie d'un traitement par Aspirine cardio 100 mg 1x/j qui sera à poursuivre au long cours associée à un traitement par Atorvastatine 40 mg 1x/j au vu d'une discrète dyslipidémie (cible LDL-Cholestérol à < 1.8 mmol/L). Au niveau infectieux, le patient est connu pour un VIH avec virémie indétectable, suivi par le Dr. X, et bénéficiait d'un traitement par Triumec jusqu'à ce jour, cependant au vu du profil cardio-vasculaire défavorable chez un patient ayant présenté un évènement cérébro-vasculaire majeur, le traitement est changé pour du Descovy 25 mg 1x/j + du Tivicay 50 mg 1x/j débuté dès le 03.01.2019. Sur le plan neuropsychologique, le patient présente une aphasie sévère avec apraxie à la parole et trouble de la compréhension écrite et orale modérée, ainsi que des troubles attentionnels. Un traitement logopédique est débuté durant l'hospitalisation et montre des progrès au niveau de la compréhension et de la production orale. La capacité à la conduite de véhicule automobile sera évaluée durant le séjour en neuroréhabilitation en fonction des progrès du patient. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est favorable avec une nette amélioration sur le plan moteur et phasique. Le statut neurologique de sortie montre la persistance, bien que nettement améliorée, d'une hémiparésie D facio-brachio-crural. Aphasie globale persistante avec capacité en fin de séjour à articuler des phrases courtes grammaticalement correctes. Mr. Y est transféré en neuroréhabilitation intensive à Meyriez le 10.01.2019 pour suite de prise en charge. Mr. Y, 43 ans, droitier, présente des douleurs musculo-squelettiques du muscle grand pectoral D, apparues progressivement depuis le matin. Douleurs qui sont aggravées par les mouvements répétitifs mais déjà présentes au réveil. Pas de notion de traumatisme, mais depuis 1 semaine, il manipule des pièces plus lourdes que d'habitude. Examen clinique avec douleurs non reproductibles à la palpation. Arc douloureux à la flexion de 70-110° ainsi qu'à l'abduction à 90°, Test de Jobe tenu, Patte tenu, rotation externe tenue, rotation interne à T6. Douleurs provoquées au test de Hawkins. Aux urgences, nous effectuons une radiographie du thorax qui ne montre pas de pneumothorax. Au vu des douleurs qui se péjorent à la mobilisation de l'épaule, ainsi qu'un bon état général et des constantes vitales rassurantes, nous décidons de ne pas effectuer d'investigations de laboratoire car une cause cardiaque au vu des éléments anamnestiques ne semblait pas un diagnostic alternatif. Sur avis du Dr. X, de médecine interne, nous retenons le diagnostic susmentionné. Ordonnance d'antalgie, arrêt de travail 1 semaine, ordonnance de physiothérapie 9 séances. Contrôle chez le médecin traitant si persistance des douleurs et réévaluation de l'épaule si nécessaire. Mr. Y, 45 ans, est admis aux soins intensifs pour une exacerbation de douleurs abdominales chroniques. Mr. Y est suivi par le Dr. X à la Clinique Cécile à Lausanne pour ses douleurs chroniques. Il a bénéficié de la mise en place d'une pompe intrathécale de Clonidine et de Fentanyl en décembre 2018, actuellement en cours d'adaptation thérapeutique. Il se présente aux urgences en raison d'une majoration des crises et de l'intensité des douleurs abdominales hautes irradiant en barre depuis plusieurs jours, associées à des épisodes de diarrhées. Le bilan radiologique ne révèle pas de cause somatique à ces douleurs. Après consultation des anesthésistes de l'antalgie et du Dr. X, un traitement antalgique par PCA de Fentanyl est introduit. Ce traitement est associé à des bolus de Kétamine et à de la Lidocaïne en continu. La crise se calme après 72 h avec un meilleur contrôle des douleurs. Une fois la phase aiguë traitée, le patient est attendu en ambulatoire chez le Dr. X pour adaptation du traitement. Le patient décrit également une chute dans sa cuisine il y a 3 jours sur une faiblesse des membres inférieurs avec un choc direct au niveau lombaire. Le patient présente un trouble de la marche nouveau avec des lâchages du membre inférieur droit, dont l'évaluation reste délicate en présence des douleurs abdominales. Un bilan neurologique avec une imagerie est à envisager selon l'évolution. Nous évoquons dans le contexte de la chute une possible complication locale au niveau du KT intrathécale. Il mentionne également une hypoesthésie des doigts I, II et III de la main droite avec une limitation de la flexion et une baisse de la force. De l'ergothérapie est prévue, de même qu'un bilan orthopédique. Le traitement de l'insuffisance pancréatique et du diabète est poursuivi pendant l'hospitalisation. Nous n'observons pas de décompensation diabétique à son admission. Une adaptation de l'insulinothérapie est effectuée en raison d'une hyperglycémie. Le suivi du diabète ainsi que l'hémoglobine glyquée pourraient être contrôlés par la suite. Mr. Y, 46 ans, est admis en stroke unit monitorée pour surveillance neurologique après une lyse d'un AVC aigu sylvien gauche. Le patient présente une dysarthrie suivie d'une chute, puis d'une aphasie. Il est amené aux urgences en ambulance. Suspectant une épilepsie partielle dans un contexte traumatique, le patient bénéficie initialement d'une imagerie cérébro-cervicale native qui s'avère normale et d'un traitement antiépileptique. En l'absence d'évolution favorable, un AVC ischémique est suspecté. Le scanner cérébral injecté met en évidence une lésion ischémique aiguë constituée dans le territoire profond et superficiel de l'artère cérébrale moyenne. Compte tenu de la symptomatologie sévère (NIHSS à 26 points), le patient bénéficie d'une lyse. L'IRM cérébrale confirme un AVC ischémique constitué atteignant le territoire sylvien superficiel et profond gauche et le noyau lenticulaire gauche. L'imagerie de contrôle à 24 heures ne met pas en évidence de transformation hémorragique majeure. L'évolution neurologique est partiellement favorable avec un NIHSS à 10 à la sortie des soins intensifs. Le test de déglutition ne met pas en évidence de dysphagie. Nous ne découvrons pas de facteur de risque ischémique notable. Le bilan étiologique révèle une hémoglobine glyquée et un bilan lipidique dans la norme. L'échographie transthoracique est également sans particularité. Les vaisseaux pré-cérébraux sont également perméables. Mr. Y, 47 ans, connu pour une schizophrénie, consulte en raison d'un mal-être et d'une péjoration de ses angoisses multifactorielles. Il se plaint d'hallucinations auditives stables selon lui. Délires de persécution en lien avec son loueur et son curateur. Le patient souhaite être admis en volontaire au RFSM de Marsens afin de résoudre ses problèmes. Après avis auprès de la psychiatre, le Dr. X, le patient est transféré à Marsens sous PAFA car il n'adhère pas au traitement malgré le fait qu'il se dit volontaire, il n'a pas de conscience morbide et a mis son traitement en échec en quelques jours. Départ en ambulance. Mr. Y, 47 ans, consulte aux urgences en raison de douleurs thoraciques gauches à type de gêne survenues le matin même, respiro-dépendantes, avec irradiation dans le bras gauche. Les douleurs sont évaluées à 5/10, en diminution suite au Dafalgan pris à domicile. Le patient présente des épigastralgies depuis hier, un thé de verveine l'a soulagé ce matin. Transit régulier, avec dernières selles ce jour. Pas de dyspnée, pas de palpitation. Pas de toux, rhinorrhée.Le patient décrit des épisodes similaires ces derniers mois, qui durent 1-2 jours, mais avec des douleurs moins intenses qui se résolvent spontanément. Consultation cardiologique pour le même type de douleurs il y a 5 ans avec test d'effort dans la norme. Notion d'un long voyage de 800 km la semaine passée. A l'examen clinique d'entrée, douleurs rétrosternales supportables, B1-B2 bien frappés, sans souffle audible, pas d'oedème aux membres inférieurs, pouls périphériques palpés. Murmure vésiculaire symétrique, sans bruit surajouté. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité, sensibilité diffuse à la palpation abdominale, surtout en fosse iliaque gauche, sans défense ou détente. L'ECG ne montre pas de signe d'ischémie et les troponines se révèlent négatives, excluant une ischémie cardiaque aiguë. Nous suspectons une embolie pulmonaire avec le score de Genève modifié à 3 et des D-dimères qui reviennent à 1115 ng/ml. La gazométrie artérielle montre une hypoxémie à 9.7 kPa et des lactates à 3.2 mmol/l. Le gradient alvéolo-artériel est élevé à 37. Dans ce contexte, un CT thoracique injecté est réalisé, mais suite à l'injection du produit de contraste, le patient développe une réaction anaphylactique avec oedème de Quincke. Il bénéficie d'Adrénaline 1 mg - 2 fois, de Tavegyl 2 mg et de Solumedrol 125 mg avec bonne évolution par la suite. Le CT thoracique ne montre pas de pneumothorax ni de foyer pulmonaire, mais une embolie pulmonaire ne peut ni être visualisée ni exclue en l'absence d'imagerie post-injection de produit de contraste en raison de problèmes techniques. Le patient bénéficie d'un consilium angiologique avec écho-doppler des membres inférieurs qui ne visualise pas de thrombose veineuse profonde. Dans l'attente d'une scintigraphie, effectuée à l'Inselspital le 24.12.2018, nous mettons le patient sous Xarelto 15 mg - 2 x/jour. L'examen revient négatif pour une embolie pulmonaire. Pour les épigastralgies, le patient bénéficie d'un traitement de Nexium 40 mg/jour, dont nous vous laissons le soin de réévaluer l'efficacité. Patient de 49 ans, connu pour un NSTEMI aigu avec PCI de l'ACD (15.01.2015), nous est adressé pour une ergométrie électriquement positive. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre un bon résultat après PCI de l'ACD proximale et distale. Par contre, il y a des sténoses de novo de la 1ère marginale et de l'ACD moyenne. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 60%. Le patient bénéficie d'une angioplastie de la première marginale (1xDES) et de l'ACD moyenne (2xDES) avec bon résultat final. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 1 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 31.01.2019 à domicile. Patient de 49 ans connu pour un premier épisode de méléna en 2016 avec syncope, qui se présente le 03.01.2019 pour un nouvel épisode de méléna. Le patient est stable au niveau hémodynamique et a reçu un traitement par IPP en i.v. depuis son entrée. Après discussion avec le patient et Dr. X, nous convenons de le laisser rentrer à domicile et d'organiser une OGD et une éventuelle coloscopie en ambulatoire. Le patient, en état cardiovasculaire compensé et sans signe de saignement depuis son entrée, peut rentrer à domicile le 05.01.2019 après un contrôle de l'hémoglobine. Patient de 49 ans, hospitalisé en neuroréhabilitation suite à un AVC hémorragique des noyaux gris centraux gauche le 13.11.2018, d'origine hypertensive, adressé par nos collègues de l'HFR Meyriez pour le bilan d'un nodule surrénalien droit mis en évidence fortuitement au CT abdominal du 10.12.2018 effectué en raison d'une cholestase. Le bilan demandé consiste en une scintigraphie au MIBG afin de confirmer la suspicion de phéochromocytome, qui se déroule du 22.01 et 24.01.2019, et dont les résultats suivront. Un EEG de contrôle a également été demandé en raison d'un épisode d'hallucinations visuelles le 15.01.2019 au soir. A noter que le patient bénéficie d'un traitement antiépileptique introduit le 15.11.2018 en raison de mouvements myocloniques répétés de l'hémicorps droit, sans foyer épileptogène mis en évidence aux EEG précédents. L'EEG effectué le 22.01.2019 montre un foyer hémisphérique gauche, sans caractère épileptiforme. Aucune adaptation médicamenteuse n'est effectuée. Le suivi tensionnel reste dans la norme durant le séjour. Au terme des examens demandés par nos collègues de l'HFR Meyriez, Mr. Y retourne en neuroréhabilitation pour la suite de la prise en charge. Patient de 50 ans en bonne santé habituelle, avec des douleurs progressives au niveau de la hanche suite à une chute à ski il y a une semaine. Le bilan radioclinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement avec AINS et repos est mis en place en premier lieu avec contrôle chez l'orthopédiste dans une semaine. Patient de 51 ans, admis aux soins intensifs le 29.01.2019 en raison d'une insuffisance rénale aiguë survenant dans un contexte d'insuffisance hépato-cellulaire sévère acutisée chez un patient présentant une cirrhose avancée. Depuis 15 jours, il décrit une augmentation du périmètre de son abdomen et une aggravation de son ictère. Une hospitalisation est proposée par le médecin traitant le 15.01.2019 en raison d'une forte perturbation du bilan hépatique avec une bilirubine en augmentation. Ce projet est initialement refusé par le patient. Il consulte finalement aux urgences en raison d'une dyspnée de stade III associée à une gêne abdominale en progression. L'insuffisance hépato-cellulaire aiguë sévère est attribuée en premier lieu à sa consommation récente d'alcool. Une décompensation secondaire à une éventuelle infection urinaire semble moins probable. Au vu d'un sédiment pathologique, un traitement empirique par Ceftriaxone est introduit, pour une durée totale prévue de 5 jours. L'analyse de la ponction d'ascite effectuée à l'admission plaide en défaveur d'une éventuelle péritonite bactérienne spontanée. L'US-Doppler hépatique permet d'écarter une thrombose porte ainsi qu'une lésion focale. L'insuffisance rénale aiguë est attribuable à un possible syndrome hépato-rénal versus hypovolémie sur la cirrhose décompensée. Un traitement par Terlipressine est débuté puis relayé par Sandostatine. En l'absence d'hépatite franche, les corticoïdes ne sont pas introduits. A noter un éventuel projet de transplantation avec une consultation au CHUV en décembre 2018. La dernière consommation d'alcool avouée remonte cependant au 05.01.2019 selon le patient, avec une substitution par Seresta selon besoin. Il ne présente pas de signe de sevrage en cours de séjour. Patient de 51 ans admis aux soins intensifs pour une surveillance neurologique d'une hémorragie sous-arachnoïdienne traumatique après une chute de sa hauteur dans un contexte d'éthylisation aigüe. Mr. Y est amené en ambulance aux urgences après avoir été retrouvé en état d'ivresse dans la rue. Il a chuté dans des circonstances peu claires et présente une plaie au niveau du sourcil droit suturée aux urgences. L'imagerie révèle une HSA temporale à droite pour laquelle les collègues neurochirurgiens préconisent une attitude conservatrice. Le CT de contrôle montre une stabilité du saignement. La surveillance neurologique aux soins intensifs est malheureusement interrompue par le patient qui souhaite quitter le service contre avis médical. Il ne présente pas de signe de sevrage au moment du départ. Il est informé des conséquences en cas de complications.• Les fils sont à retirer à 5 jours et une imagerie de contrôle à un mois est préconisée avec une consultation en neurochirurgie. Informations données au patient. • Mr. Y, 52 ans, admis aux soins intensifs en raison d'un STEMI le 17.01.2019. • Le patient présente un angor typique depuis 06h ce matin avec une irradiation dans les deux bras. Un STEMI inférieur est diagnostiqué aux urgences avec comme corrélat anatomique à la coronarographie en urgences une occlusion de la coronaire droite proximale. Le patient est bradycarde durant la coronarographie, et est rapidement stabilisé après réanimation volémique a minima et injection d'Atropine. • Pendant son hospitalisation aux soins intensifs, le patient ne présente ni angor ni troubles du rythme significatifs. Nous introduisons un traitement par Lisinopril, Carvédilol et Atorvastatine, qui est bien toléré. Une demande de réhabilitation cardiovasculaire en ambulatoire est effectuée. • Mr. Y, 52 ans, consulte aux urgences le 06.01.18 pour une dyspnée. Pour rappel, il a présenté une IVRS autour du 20.12.18, puis la recrudescence de symptômes respiratoires associée à une douleur basi-thoracique droite motivant une consultation chez vous. Devant la mise en évidence d'une opacité pulmonaire droite avec un épanchement ipsilatéral, vous introduisez une antibiothérapie par céfuroxime dès le 04.01.19. L'évolution n'est cependant pas favorable et devant une péjoration rapide de sa dyspnée, associée à des douleurs basi-thoraciques controlatérales, il consulte aux urgences le 06.01.19. • La radiographie de thorax retrouve le foyer pulmonaire droit ainsi qu'un probable foyer rétrocardiaque associé à un épanchement pleural gauche. Le score pré-test pour une embolie pulmonaire étant faible, un CT thoracique n'est pas effectué. • L'antibiothérapie est remplacée par de la co-amoxicilline 2.2g iv 3x/j et le patient bénéficie de physiothérapie respiratoire. Au vu de l'absence d'amélioration et la persistance d'états fébriles pendant 5 jours, un traitement de clarithromycine est rajouté le 10.01.19 afin de couvrir les germes atypiques. L'évolution est alors rapidement favorable. Le patient demeure par la suite afébrile, permettant un relais per os par lévofloxacine dès le 12.01.19 à poursuivre jusqu'au 16.01.19 inclus. • À noter l'apparition d'une probable thrombo-phlébite de la veine céphalique gauche sur voie veineuse périphérique le 11.01.19 avec bonne évolution sous traitement symptomatique. • Au vu de l'évolution clinique et biologique favorable, le patient rentre à domicile le 12.01.19. • Mr. Y, 53 ans, pratiquant du badminton à haut niveau, présente une déchirure du ligament croisé antérieur ainsi que de la corne postérieure du ménisque interne à G pour laquelle nous retenons une indication opératoire sous forme d'une arthroscopie diagnostique, plastie du LCA à partir du TQ ipsi-latéral et régularisation de la corne postérieure du ménisque interne. Une date opératoire est agendée au 22.01.2019. Il reçoit les informations concernant l'intervention, entre autres risques et bénéfices de celle-ci et suites postopératoires. Il donne son accord en signant un formulaire de consentement. Il est au courant qu'il doit poursuivre la physiothérapie axée sur le drainage, la récupération des amplitudes articulaires et le renforcement musculaire. • Mr. Y, 53 ans, qui depuis 2 jours a des nausées et vomissements, sans diarrhée. Il est connu pour des antécédents similaires il y a 1 an, à l'époque une gastro-entérite avait été retenue avec éventuellement une composante en lien avec une consommation de cannabis. Le patient dit qu'il est sensible de l'estomac. Actuellement, pas de fièvre, pas de frissons, pas de perte de poids. Le patient mentionne à l'anamnèse spécifique une sensibilité des testicules depuis quelques semaines, ainsi que des douleurs dans l'ampoule rectale à la défécation. • Les investigations complémentaires mettent en évidence un statut urinaire pathologique, ainsi qu'une prostate sensible à la palpation lors du toucher rectal. Les différents éléments anamnestiques et cliniques font suggérer une prostatite, raison pour laquelle un traitement de Ciproxin 500 mg 2x/jour est débuté pour 14 jours. • Le patient présente à l'entrée une insuffisance rénale sur probable déshydratation. Il reste hospitalisé sur le week-end en raison de nausées importantes. • Il peut rentrer au domicile en raison d'une amélioration clinique des nausées et des douleurs abdominales le 21.01.2019. Il aura des rendez-vous de suivi le 28.01.2019 à Meyriez chez son médecin traitant, avec contrôle des paramètres rénaux et chez le Dr. X pour contrôle de la prostatite. • Après la sortie du patient, nous avons pisté la culture qui est revenue positive à S.agalactiae. Suite à l'avis du Dr. X (infectiologie), en raison des sensibilités aux antibiotiques, il nous propose d'introduire du Tavanyc 500 mg 2x/jour pendant 3 semaines. Si le patient ne le supporte pas bien, il pourrait prendre du Bactrim Forte 2x/jour pendant 3 semaines. • La nouvelle ordonnance avec le Tavanyc est postée en courrier A, Mr. Y a été informé qu'il doit changer d'antibiothérapie et qu'il recevra l'ordonnance par la poste. • Mr. Y, 53 ans, se présente suite à une chute à ski avec traumatisme de l'épaule droite et traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. Le patient bénéficie aux urgences d'un statut neurologique ciblé qui est dans la norme. Nous prenons un avis chez le Dr. X, chirurgien : contrôle neurologique demain à la filière des urgences ambulatoires si les symptômes type paresthésies dans les plis des coudes persistent, prendre contact avec le Dr. X. • Nous expliquons les différents symptômes neurologiques à surveiller au patient et lui donnons la feuille de surveillance. • Au niveau orthopédique, le patient bénéficie d'un examen ciblé et d'une radiographie de l'épaule droite qui ne montre pas de fracture. Nous prescrivons au patient une bretelle à but antalgique ainsi qu'une antalgie à base d'AINS. Nous lui prescrivons également un arrêt de travail. Un suivi clinique sera effectué par le médecin traitant. En cas de persistance des douleurs au niveau de l'épaule droite, nous conseillons de réaliser une IRM en ambulatoire. • Le patient doit reconsulter en cas de péjoration de sa clinique ou d'apparition d'un symptôme aigu. Il peut rentrer à domicile en bon état général. • Mr. Y, 53 ans, nous est adressé par son médecin traitant dans le contexte de douleurs des membres inférieurs invalidantes et insomniantes. Le patient explique être connu de longue date pour des douleurs du membre inférieur gauche, dans le contexte d'une amputation dans les années 80 et d'un syndrome des jambes sans repos. Depuis deux mois, les douleurs sont intensifiées, présentes des deux côtés, au niveau distal du moignon et au niveau de la jambe, à type de brûlures. Depuis quelques jours, les douleurs sont constantes, très intenses. Elles sont soulagées partiellement par le mouvement. Pas de facteur déclenchant mis en évidence, elles ont commencé à s'intensifier après une hospitalisation pour salmonellose avec insuffisance rénale aiguë. A eu également introduction de Betmiga et Tamsulosine dernièrement, pas d'autres changements de traitement. • Par ailleurs, l'INR est infra-thérapeutique dernièrement chez le médecin traitant. • Schéma de Marcoumar habituel : 1cpr-1cpr 1/4-1cpr-1cpr 1/4 mais dernièrement alterne entre 1.5cpr et 2cpr vu INR bas ; l'épouse amènera sa carte dès que possible.Bon état général. Auscultation cardiaque sans particularités hormis clic de la valve. Auscultation pulmonaire sp. Examen abdominal sp. Pas de tuméfaction, rougeur ni atteinte cutanée membres inférieurs ; douleurs non reproductibles à la palpation ; sensibilité conservée et symétrique jusqu'aux genoux ; pouls non palpés mais extrémités bien colorées et chaudes, bien audibles au Doppler ; Lasègue à D nég. Le patient est déjà soulagé aux urgences par l'administration de morphine per os. Par manque de place à Fribourg, sans nécessité du plateau technique, nous convenons avec lui de le transférer à Riaz, plus proche de son domicile, pour gestion de l'antalgie. Patient de 55 ans, connu pour un STEMI sur occlusion de la circonflexe proximale avec PCI de la Cx proximale le 03.01.2019, vient pour une re-coronarographie pour traiter la lésion connue de l'artère coronarienne droite. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre un bon résultat après PCI de la Cx. La fonction systolique du VG est sévèrement diminuée avec une EF à 30%. Comme prévu, nous avons procédé à une angioplastie de l'artère coronaire droite proximale avec implantation de 1 stent actif et bon résultat final. Le traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 12 mois au total est poursuivi. Nous augmentons le beta-bloquant à 2x25mg/j. Le reste du traitement reste inchangé. Nous avons prévu un contrôle par échocardiographie le 15.12.2019 à 8h chez nous. Le patient sera re-convoqué pour une réadaptation cardiovasculaire en ambulatoire à Billens. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 30.01.2019 à domicile. Patient de 55 ans nous est adressé par le Dr. X pour une coronarographie à la recherche d'une progression de sa maladie coronarienne connue. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une progression de la maladie coronarienne avec une lésion subtotale dans l'ACD moyenne (réseau collatéral de l'IVA) jusqu'après le stent (12/2017) et une longue resténose intrastent (50%). En plus, l'artère circonflexe moyenne et distale montre des lésions nouvelles significatives (50-70%). En vue que le résultat du stenting de l'IVA montre un bon résultat, on a décidé de faire une dilatation de l'ACD et de la LCX. Les deux artères malades sont traitées avec dilatation et implantation de 5 stents actifs avec un bon résultat final. La fonction systolique est normale. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle dans 2-3 mois chez le Dr. X ainsi qu'un bon contrôle du IDDM et de la dyslipidémie avec une LDL<1.8mmol/l. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 08.01.2019 à domicile. Patient de 55 ans qui consulte les urgences en raison de palpitations. Il ne se plaint pas de douleur thoracique, ni de douleur abdominale. Pas de nausée ni de vomissement, pas de toux ni de dyspnée, pas de céphalée. Pas d'autre plainte. Aux urgences, le statut cardio-vasculaire révèle des bruits cardiaques bien frappés, une tachycardie sans souffle audible. Pas d'œdème aux membres inférieurs. Le reste du statut n'est pas contributif. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire. L'ECG révèle une fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide à 112/min. Le patient bénéficie de massage carotidien, sans effet. 30 mg iv de Diltiazem sont administrés en bolus, avec bonne réponse sur la fréquence cardiaque. Le patient n'étant pas anticoagulé, il bénéficie de Clexane 100 mg s-c. Malgré le Diltiazem, le patient reste toujours en fibrillation auriculaire. Vu la stabilité hémodynamique, le 27.12.2018, nous pratiquons une cardioversion par Cordarone 300 mg iv sur une heure. L'ECG après la Cordarone montre un rythme toujours irrégulier. Nous introduisons donc du Xarelto 20 mg/jour et hospitalisons le patient en médecine. Le traitement de Lisinopril et de Zanidip est mis en suspens au vu de l'effet hypotensif de la Cordarone. La TSH faite avant l'introduction de la Cordarone se situe dans la norme à 2.25 mU/l. Vu la persistance d'un rythme irrégulier après la dose de charge de Cordarone, un schéma de 600 mg/jour est introduit pour 8 à 10 jours. L'ECG du contrôle du 28.12.2018 montre un rythme sinusal régulier. La fibrillation auriculaire a donc été cardioversée le 28.12.2018. Vu la stabilité hémodynamique, le patient peut regagner son domicile le 28.12.2019, avec poursuite de la Cordarone 200 mg - 3 x/jour jusqu'au 02.01.2019 et poursuite du Xarelto jusqu'au rendez-vous prévu le 09.01.2019 auprès du Dr. X. Patient de 55 ans qui se plante un couteau accidentellement dans la main. Il en résulte le diagnostic susmentionné. Le bilan radioclinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Une exploration, rinçage et suture de plaie est effectué aux urgences. Le patient bénéficie d'un rappel du vaccin contre le tétanos et est donné une antibiothérapie prophylactique de 5 jours. Le patient sera revu pour un contrôle de plaie à 24 heures à la filière des urgences ambulatoires. Patient de 56 ans admis aux soins intensifs pour une surveillance après une herniectomie L3-L4 à droite. Le patient présente des lombosciatalgies dans un contexte de scoliose, non soulagées malgré de multiples tentatives de traitement médicamenteux et des infiltrations. Il a déjà bénéficié de multiples interventions chirurgicales au niveau du rachis depuis 2012. Il bénéficie d'une herniectomie en électif qui se déroule sans complications. L'antalgie est bien contrôlée en post-opératoire avec le traitement habituel. Le patient se mobilise librement le jour même de l'intervention. Connu pour un SAOS non appareillé, le patient bénéficie d'une surveillance sur la nuit qui confirme de multiples apnées du sommeil avec un épisode de désaturation asymptomatique. L'indication à une CPAP au long cours est claire. Le patient semble toutefois avoir mal toléré un essai en ambulatoire. Nous recommandons d'insister avec une adaptation du masque afin qu'il puisse bénéficier d'une thérapie respiratoire adéquate. De plus, compte tenu du tabagisme ancien conséquent et d'un très probable syndrome restrictif sur un syndrome obésité-hypoventilation, nous proposons d'effectuer des fonctions pulmonaires. Nous mettons en suspens les traitements neuroleptiques pouvant être à l'origine du QT long de découverte fortuite. Un contrôle ECG régulier est recommandé. Nous corrigeons également l'hypokaliémie d'origine peu claire qui peut être un facteur contribuant à l'allongement du QT. La substitution en potassium et le suivi biologique rapproché sont à poursuivre. Le patient présente un état fébrile à 38.5°C sans symptôme nouveau associé. Nous effectuons le bilan avec une radiographie du thorax, un sédiment urinaire et des hémocultures. La cicatrice d'herniectomie est calme. Aucune antibiothérapie n'est débutée. Patient de 56 ans, connu pour une maladie coronarienne avec ATCD PCI et stent dans l'IVA et CD et un test d'effort positif en 12.2018, nous est adressé par les urgences pour un angor instable. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne sévère des occlusions intra-stents de la CX proximale et de l'IVA moyenne (St. n Stenting 2005 Inselspital). Actuellement, sténose significative CX moyenne jusqu'à la deuxième marginale. La FEVG est diminuée à 35% avec une akinésie apicale et une hypokinésie latérale et inférieure. La pression à la fin de la diastole est augmentée. Devant la situation coronarienne complexe, nous proposons un PAC. Nous débutons un traitement par Torasemide 5 mg/j devant l'augmentation de la pression diastolique. Le patient est transféré le 22.01.2019 à la Clinique Beausite à Berne pour la suite de la prise en charge. Patient de 56 ans en bonne santé habituelle, qui présente des nausées et des vomissements depuis hier soir. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Le patient s'améliore avec le traitement symptomatique. Vu l'évolution favorable et le laboratoire rassurant, Mr. Y rentre à domicile avec un suivi chez le médecin traitant si nécessaire. Patient de 57 ans, institutionnalisé pour un locked-in syndrome incomplet qui présente le 03.01.2019 un état subfébrile et une douleur suspubienne. Une antibiothérapie par Monuril et Furadantine est alors débutée par le médecin traitant. À noter que la culture d'urine effectuée avant le traitement avait mis en évidence un Pseudomonas et un E. Faecalis. Par la suite, Mr. Y développe des vomissements, un état fébrile qui se complique par une broncho-aspiration motivant son hospitalisation le 04.01.2019. La radiographie thoracique montre un probable foyer basal gauche. Une antibiothérapie par Céfépime-klacid est débutée afin de traiter une piste urinaire et pulmonaire. Suite à la réception des résultats de l'urotube en ambulatoire et avis infectiologique, nous poursuivons la Céfépime pendant 7 jours au total, en l'absence d'alternatives administrables par la PEG permettant de couvrir aussi bien le Pseudomonas. La PEG n'a malheureusement pas pu être changée au cours du séjour. Le patient sera convoqué en ambulatoire. À noter que nous arrêtons l'anticoagulation prophylactique dont le patient bénéficie au long cours en accord avec le médecin traitant et la famille, au vu du rapport risque/bénéfice. Au vu de l'évolution clinique et biologique favorable, Mr. Y rentre dans son foyer le 12.01.2019. Patient de 57 ans qui consulte les urgences de Riaz le 30.01.2019 en raison d'une plaie superficielle au niveau de la main droite. Le patient s'est coupé au cutter en ouvrant un carton ce matin vers 9h. Il n'a pas d'autre plainte à l'anamnèse. La plaie est localisée au niveau de l'espace interdigital entre le pouce et l'index de la main droite, sur la face dorsale. La plaie présente des bords nets d'environ 2 cm en forme de C. Après exploration, il n'y a pas d'atteinte des structures nobles, qui sont non visualisées en raison d'une localisation plus profonde. Le mouvement du pouce contre résistance en abduction/adduction et flexion/extension est indolore et sans limitation dans les amplitudes. La flexion de l'interphalangienne du pouce est sans limitation. La flexion/extension de l'index est indolore et ne présente pas de limitation dans les amplitudes. Le temps de recoloration est <3 secondes, discrimination des 2 points à 4mm au niveau des hémi-pulpes. Au vu de l'absence d'atteinte des structures nerveuses et de la localisation de la plaie, nous n'effectuons pas de radiographie de contrôle. Au vu du statut vaccinal anti-tétanique inconnu du patient, nous effectuons un rappel anti-tétanique le 30.01.2019. La plaie entre le pouce et l'index est de 2 cm de longueur, nous la rinçons puis la désinfectons avec de la Bétadine, et réalisons une exploration sous anesthésie locale. Nous suturons la plaie avec 2 points simples d'Ethilon 4.0. Nous effectuons un bandage simple et ne mettons pas d'immobilisation en place. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile le 30.01.2019 avec un arrêt de travail pour 3 jours, une ordonnance pour une antalgie, un contrôle chez le médecin traitant dans 2 jours et une ablation des fils dans 12-14 jours. Nous expliquons au patient le besoin de reconsulter en cas d'apparition de signe inflammatoire au niveau de la plaie. Patient de 58 ans, admis aux soins intensifs le 28.01.2019 en raison d'un NSTEMI. Il présente depuis une année un angor d'effort, en progression depuis 1 mois. Il consulte les urgences de Payerne le 27.01.2019 en raison d'un angor persistant apparu désormais au repos. Le bilan met en évidence des modifications ECG dynamiques sous forme de sous-décalages dans le territoire inférieur associé à des troponines positives. Il reçoit du Fondaparinux, une dose de charge en aspirine et Ticagrelor, puis nous est transféré pour suite de prise en charge. La coronarographie diagnostique effectuée le 28.01.2019 montre une maladie coronarienne tritronculaire avancée. Dans ce contexte, le Ticagrelor n'est pas reconduit et les Dr. X conviennent d'un transfert à l'Inselspital le 30.01.2019 en vue de pontages aorto-coronariens. L'évolution dans notre service est simple, sans récidive d'angor ni troubles du rythme significatifs. Le point de ponction radial droit est calme. Un traitement par IECA et bétabloqueurs est introduit, associés à des statines et de l'aspirine, avec une bonne tolérance clinique. Un dosage de la lipoprotéine A et une électrophorèse des lipides est en cours, à la recherche d'une éventuelle dyslipidémie familiale (anamnèse familiale positive avec père du patient décédé d'un problème cardiaque à l'âge de 60 ans). L'hémoglobine glyquée à 5% est dans la norme. L'épouse du patient est informée du transfert à l'Inselspital. Patient de 59 ans, admis aux soins intensifs le 13.01.2019 en raison d'un état de mal épileptique avec crises partielles complexes secondairement généralisées. Mr. Y aurait présenté une crise d'épilepsie tonique d'au moins 10 minutes, suivie par un état post-critique de 20 minutes, objectivé par son épouse à domicile. Il s'agit d'un épisode inaugural dans un contexte de stress important et de privation chronique de sommeil. Il aurait eu un traumatisme crânien il y a une année, sans répercussions jusque-là. Une deuxième crise tonico-clonique est objectivée aux urgences de Riaz, et traitée par Clonazépam et Lévétiracétam. Il bénéficie d'une imagerie qui révèle la présence d'une lésion frontale gauche. Après 24 heures de surveillance à Riaz, il nous est transféré en raison de la persistance de crises partielles de type absence à répétition. L'électroencéphalogramme effectué le 14.01.2019 révèle un foyer irritatif en regard de la lésion frontale gauche. L'IRM cérébrale confirme la présence d'un cavernome frontal droit. Le traitement antiépileptique est majoré, avec notamment l'adjonction de Lacosamide, sur avis de nos collègues neurologues. Les neurochirurgiens retiennent une indication opératoire sur la base de l'imagerie, la lésion étant devenue symptomatique (modalités à préciser). Suite à l'épisode épileptique aigu, le patient présente une hypoglycémie nécessitant une substitution intraveineuse en glucose. Il reprend une alimentation et ne présente pas de nouvel épisode d'hypoglycémie. Le patient se plaint de paresthésies aux niveaux des membres supérieurs, de prédominance nocturne, insomniantes et nécessitant un mouvement régulier des mains, qui ont été bilanées par le médecin traitant. Le diagnostic de tunnel carpien aurait alors été évoqué, sans indication chirurgicale. De plus, il mentionne depuis plusieurs jours une sensation de froid nouvelle aux niveaux des deux mains, douloureuse également. Un bilan neurologique est éventuellement à compléter, sous réserve des investigations effectuées en ambulatoire (à obtenir svp). Patient de 59 ans, amené au service des urgences le 12.01.2019 pour une crise d'épilepsie tonique d'au moins 10 minutes, suivie d'un état post-critique de 20 minutes, objectivé par son épouse à domicile. Une deuxième crise tonico-clonique est objectivée au service des urgences de Riaz, traitée par Clonazépam et Lévétiracétam. Le CT cérébral montre une lésion frontale gauche. Après 24 heures de surveillance à l'HFR Riaz, le patient est transféré aux soins intensifs en raison de la persistance de crises partielles de type absence à répétition.L'IRM cérébrale caractérise la lésion comme étant un cavernome. L'électroencéphalogramme effectué le 14.01.2019 révèle un foyer épileptiforme en regard de celui-ci. Le traitement antiépileptique est alors majoré, avec l'adjonction de Lacosamide, sur avis de nos collègues neurologues. Les neurochirurgiens retiennent une indication opératoire, le cavernome étant symptomatique, à risque d'hémorragie et facilement accessible. A la demande de Mr. Y et sa femme, un 2ème avis est pris auprès de l'équipe de neurochirurgie de l'Inselspital Bern, qui verront le couple en consultation le 23.01.2019. A noter que l'intervention est pré-agendée à l'HFR Fribourg le 25.01.2019 si le patient le souhaite. Au vu de la surveillance neurologique sans particularités aux soins intensifs avec une absence de nouvelle crise, le patient est transféré à l'étage de médecine le 14.01.2019. Le Rivotril est progressivement sevré. L'EEG de contrôle du 16.01.2019 montre une nette amélioration de la décharge en regard du foyer. Les taux résiduels des antiépileptiques ont été dosés le 18.01.2019, dont l'analyse est en cours. Le neurologue traitant prendra contact avec le patient pour l'adaptation des traitements dès réception des taux. A noter que le patient se plaint de paresthésies au niveau des mains, notamment en regard des doigts 1 à 3, de prédominance nocturne, insomniantes pour lequel un diagnostic de tunnel carpien avait été retenu en ambulatoire avec une ENMG compatible. Le patient est évalué par l'orthopédiste, qui confirme le diagnostic ci-dessus et propose un traitement chirurgical, que le patient refuse pour l'instant. Au vu de l'évolution neurologique favorable, Mr. Y rentre à domicile le 19.01.2019. • Patient de 59 ans avec douleurs en augmentation au niveau de sa hernie de la ligne blanche. Aux urgences, nous effectuons un bilan biologique qui revient dans la norme, il est ensuite vu par le Dr. X qui réduit manuellement la hernie de la ligne blanche. Après discussion avec le Dr. X et son secrétariat, un rendez-vous pour prise en charge chirurgicale de la hernie ombilicale et de la ligne blanche le 09.01.2019 est fixé. Un ultrason abdominal a été effectué le 17.12.2018 avec mise en évidence d'une hernie de la ligne blanche, au niveau sus-ombilical avec un collet mesuré à 13 mm et un sac herniaire mesuré à 32 mm, sans structure intestinale mais graisse épiploïque. Il rentre à domicile avec conseils pour traitement symptomatique en cas de douleurs. • Patient de 59 ans, connu pour s/p infarctus inf. avec PTCA en urgence de l'ACD, IVA avec une longue lésion significative, sans DRS actuel, vient pour une coronarographie en électif pour traiter la lésion connue de l'IVA moyenne/distale. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre un bon résultat angiographique à court terme après stenting l'ACD. Comme prévu, on a dilaté aujourd'hui la longue lésion de l'IVA avec direct stenting (2 stents actifs) sans complication. Le traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 11 mois est poursuivi. Un traitement par bêta-bloquant par Concor 2,5 mg 1/2-0-0 est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons de poursuivre le traitement avec des statines pour baisser le LDL < 1,8 mmol/l ainsi qu'un contrôle dans 1 mois chez Dr. X. Nous convoquerons le patient si vous êtes d'accord pour un contrôle chez nous pour une ETT/Ergométrie dans 1/2 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 08.01.2018. • Patient de 59 ans, connu pour un adénocarcinome rectal métastatique en situation palliative, consulte aux urgences de l'hôpital de Payerne le 06.12.18 pour un torticolis et des douleurs cervicales survenues le 02.12.18. Le CT-scan effectué aux urgences témoigne d'une instabilité de la deuxième vertèbre cervicale, sans atteinte de la moelle épinière. Le patient nous est alors adressé pour une suite de prise en charge. Un minerve et une antalgie sont mises en place avec une bonne amélioration de la symptomatologie. A noter l'absence de déficit neurologique. L'IRM de la colonne cervicale confirme la présence d'une masse métastatique infiltrant la vertèbre C2 sans signe de myélopathie. A noter également une lésion de D1 avec infiltration épidurale antérieure sans compression médullaire. En absence d'instabilité et de déficit neurologique, les neurochirurgiens ne retiennent pas d'indication à une intervention. Après discussion avec les oncologues, l'indication à une radiothérapie est retenue. Celle-ci est agendée au 17.12.2018 pour un total de 12 séances. Le patient étant trop anxieux de rentrer au domicile avec la minerve en attente de la radiothérapie, il est resté hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. • Patient de 59 ans en bonne santé habituelle, qui consulte pour une toux depuis environ 2 semaines, non productive, sans fièvre. Il a vu son médecin traitant qui a conseillé de mettre en place un humidificateur sans changement selon lui. Au vu de l'examen clinique rassurant, nous retenons le diagnostic sus-mentionné et le patient rentre à domicile avec un traitement antalgique ainsi que des conseils pour l'arrêt du tabagisme. Le patient reconsultera son médecin traitant en cas de persistance des symptômes ou péjoration de son état général. • Patient de 59 ans hospitalisé en médecine interne le 05.01.2019 pour une décompensation diabétique et qui présente une aphasie de Wernicke transitoire le 06.01.2019 motivant son admission aux soins intensifs pour une surveillance neurologique. Durant la surveillance aux soins intensifs, le patient présente des douleurs thoraciques. Le bilan biologique et électrocardiographique permet de retenir un NSTEMI qui est confirmé par une coronarographie révélant une maladie coronarienne bitronculaire traitée par mise en place d'un stent actif dans l'artère coronaire droite et un second stent actif dans l'artère circonflexe. Le traitement par Aspirine est continué avec ajout de Plavix pour une durée de 6 mois. L'échocardiographie transthoracique de contrôle montre une FEVG conservée à 60% sans valvulopathie ni troubles de la cinétique segmentaires. En post-coronarographie, le patient n'a pas présenté de récidive de douleurs thoraciques ni de complications hémodynamiques ou rythmiques. Au niveau neurologique, le patient présente un NIHSS à 4 points à son évaluation à l'étage de médecine interne et de 2 points à son admission aux soins intensifs. Le CT-scan cérébral montre une pénombre sylvienne gauche avec des vaisseaux pré-cérébraux libres. L'IRM cérébrale montre une lésion de petite taille en regard du splénium du corps calleux latéralisée à droite dans le territoire de l'artère cérébrale antérieure. On retient dans ce contexte un diagnostic d'AVC ischémique mineur. Le bilan étiologique par échocardiographie transthoracique est sans particularité. Une demande d'ECG-Holter est en cours pour investiguer un éventuel trouble du rythme sous-jacent. D'un point de vue thérapeutique, on poursuit l'anti-agrégation plaquettaire par Aspirine et Plavix introduite pour la coronaropathie ischémique. On introduit également un traitement de statine et nous majorons le traitement anti-hypertenseur par introduction d'un bêta-bloquant et de dérivés nitrés.Le patient est transféré à l'étage de médecine interne pour la poursuite de la prise en charge avec propositions: • poursuite du bilan de l'AVC avec ECG-Holter et ETT avec test aux micro-bulles • poursuite Aspirine et Plavix • adaptation du traitement anti-hypertenseur Patient de 60 ans, admis aux soins intensifs le 18.01.2019 en raison d'un NSTEMI. Le patient, déjà connu pour un NSTEMI en 2007, présente une dyspnée progressive depuis une semaine, actuellement stade IV, avec à l'admission un angor typique persistant. L'électrocardiogramme ne montre pas de signe d'infarctus aigu mais la cinétique des troponines fait évoquer un NSTEMI. Le patient bénéficie d'une charge en Efient. La coronarographie effectuée le 18.01.2019 retrouve une maladie tri-tronculaire. D'entente avec nos collègues cardiologues et les chirurgiens cardio-vasculaires à la clinique Cécile, l'indication à des pontages est retenue. Dans cette perspective, l'Efient n'est pas reconduit depuis le 18.01.2019. Un bilan pré-pontage est effectué en cours de séjour. Patient de 60 ans, connu pour des antécédents de plusieurs syndromes coronariens aigus et la mise en place de multiples stents, est adressé pour un bilan pré-opératoire (sténose 70% de l'artère carotide interne D, occlusion de l'artère carotide interne G) avec aggravation de la dysfonction ventriculaire gauche (ETT 24.01.2019 avec EF 30%). Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une re-sténose intrastent au niveau de l'artère interventriculaire antérieure moyenne et confirme une dysfonction sévère ventriculaire gauche avec EF 25%. Nous avons procédé à une PCI avec ballon éluant avec bon résultat final. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Plavix 75 mg 1-0-0 pour 1 mois est débuté ainsi qu'un traitement par Torasemid 10 mg 1-0-0. Le reste du traitement reste inchangé mais nous proposons d'augmenter graduellement le traitement de l'insuffisance cardiaque toutes les 2 semaines. Nous proposons un ETT de contrôle dans 2-3 mois avec évaluation d'un défibrillateur interne. Pendant l'examen, le patient présente une réaction allergique avec des éruptions cutanées isolées, rapidement résolutives après un traitement par Solumédrol 125 mg IV et Tavegyl 2 mg IV. L'origine reste peu claire; une réaction au produit de contraste doit être discutée en premier lieu, malgré le fait que le patient n'aurait jamais présenté de réaction allergique lors des coronarographies précédentes. Une endartériectomie de l'artère carotide interne D est prévue pour le 04.02.19 (Dr. X). Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient insiste pour rentrer le 29.01.2019 à domicile après une surveillance monitorisée pendant 4h. Patient de 60 ans, connu pour un stent actif, CD, première ATC (21/12/2018), vient pour une re-coronarographie pour traiter la lésion connue de la CX et de la première marginale. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre un excellent résultat après PCI de l'ACD moyenne. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est normale (65%). Comme prévu, nous avons procédé à une angioplastie de la première marginale et à l'implantation de 2 stents actifs, ainsi qu'à une angioplastie de l'artère circonflexe proximale sans stent avec bon résultat final. Le traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 11 mois est poursuivi. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 1 an. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 26.01.2019 à domicile. Patient de 60 ans, connu pour un myélome multiple, qui est hospitalisé dans le contexte d'un état fébrile avec frissons solennels. Au vu de céphalées frontales et d'un antécédent de sinusite, un CT cérébral est effectué. Celui-ci montre un épaississement muqueux des sinus maxillaires et des cellules ethmoïdales sans signe de sinusite aiguë. La radiographie du thorax montre un foyer infectieux débutant, également mis en évidence sur les dernières coupes du CT cérébral. Dans ce contexte, nous retenons le diagnostic de pneumonie et débutons une antibiothérapie par Co-Amoxicilline intraveineuse, relayée par voie orale, pour une durée totale de 7 jours. L'évolution clinique et biologique est favorable. Le bilan biologique met également en évidence une hyponatrémie hypo-osmolaire qui se corrige avec une restriction hydrique, ainsi qu'une hypokaliémie que nous substituons par voie orale. Sur le plan oncologique, vu le contexte infectieux, l'injection de Kyprolis prévue le 08.01.2019 est repoussée à la semaine suivante. Le patient rentre à domicile le 10.01.2019. Patient de 60 ans qui consulte pour un contrôle de plaie. Il ne rapporte pas de douleurs pendant la nuit, pas de fièvre, pas de frissons. Pas de nausées, vomissement. À l'examen clinique, on retrouve un Tinel négatif, Test de Weber 5 mm côté radial et 6 mm côté ulnaire. Nous prenons l'avis de Dr. X, il est nécessaire d'effectuer une révision de plaie au bloc opératoire. Le patient est à jeûn. Il se présentera dans l'après-midi à l'hôpital de jour pour l'opération. Patient de 61 ans connu pour une tumeur neuroendocrine de l'intestin grêle multi-métastatique de stade palliatif, hospitalisé le 02.01.2019 dans un contexte de malaise avec perte de connaissance et baisse de l'état général. Un scanner cérébral natif permet d'exclure un effet de masse ainsi qu'une hémorragie intracrânienne. Un bilan complémentaire par IRM du neurocrâne ne montre pas de métastases ou de lésions pouvant expliquer la symptomatologie. Du point de vue biologique, on note une perturbation majeure des tests hépatiques de type cytolyse et cholestase probablement sur progression tumorale. Malheureusement, au vu d'une insuffisance rénale aiguë, un CT abdominal injecté ne peut pas être réalisé. Un complément de bilan par ultrason permet d'exclure une cholécystite tout comme un obstacle sur les voies biliaires. Une antibiothérapie à large spectre par Tazobac est initialement menée au vu du syndrome inflammatoire avec une suspicion biologique de cholangite. Des hémocultures sont effectuées et reviennent négatives. Le syndrome inflammatoire se péjorant, nous ajoutons le Métronidazole au traitement antibiotique afin de couvrir les germes anaérobies avec bonne réponse biologique. Nous passons à une bithérapie per os par Ciprofloxacine et Métronidazole pour une durée totale d'antibiothérapie de 14 jours. Au vu du contexte sus-mentionné, nous mettons l'insuffisance rénale aiguë sur un probable syndrome hépato-rénal. Nous hydratons le patient et introduisons un traitement diurétique avec bonne réponse. Nous discutons avec son oncologue Dr. X ainsi que le patient concernant la suite d'hospitalisation. Le patient souhaite un retour à domicile. Nous mettons en place les soins palliatifs à domicile à l'aide de Voltigo. Un rendez-vous chez son médecin traitant avec contrôle biologique électrolytique est à agender avec adaptation potentielle du traitement diurétique. Le patient peut rentrer à domicile le 15.01.2019. Patient de 61 ans en bonne santé habituelle, qui présente une déchirure partielle du semi-tendineux avec hématome de la face postéro-interne de la cuisse gauche. Au vu d'un examen clinique rassurant localement sans signe d'un syndrome de loge, nous laissons rentrer le patient avec un traitement symptomatologique par Brufen 400 mg et Hirudoid. Le patient reconsultera en cas de péjoration des douleurs, de trouble de la sensibilité.Patient de 61 ans qui se présente aux urgences suite à une chute à ski. Nous retrouvons un patient hémodynamiquement stable, qui marche à l'aide de cannes. En raison de vives douleurs, le patient bénéficie de morphine en gouttes. Nous effectuons une radiographie du genou gauche, du bassin et des hanches à la recherche de fractures. Pas de fracture visualisée sur les différentes radiographies. Nous prenons l'avis du Dr. X qui diagnostique une entorse de genou gauche pour laquelle nous prescrivons une attelle Jeans à 0° de flexion avec charge. Le patient ne nécessite pas de prophylaxie thrombo-embolique comme il marche. Pas de lésion à la hanche. Nous mettons en place un traitement antalgique et le patient sera vu à la consultation du Dr. X, orthopédiste. Il prendra rendez-vous lui-même. Au niveau de la contusion du flanc gauche, nous faisons un bilan biologique rassurant, ne montrant pas de diminution de l'hémoglobine, ni de trouble de la fonction rénale. Nous réalisons également un sédiment urinaire qui sera normal. Nous autorisons donc le patient à regagner son domicile. Patient de 62 ans, admis aux soins intensifs le 15.01.2019 en raison d'une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë attribuée en premier lieu à une exacerbation de BPCO dans un contexte de probable virose avec décompensation cardiaque associée. Le patient est amené en ambulance pour une détresse respiratoire aiguë. Il rapporte une augmentation de sa dyspnée depuis plusieurs jours avec une majoration de la toux et des expectorations. Une hypoxémie sans hypercapnie est mise en évidence, sans syndrome inflammatoire ni foyer pulmonaire franc objectivé. Un traitement par aérosols et corticostéroïdes est introduit. La ventilation non invasive est mal tolérée par le patient. En parallèle, les signes cliniques et biologiques compatibles avec une décompensation cardiaque globale légère motivent une augmentation du traitement diurétique. Une antibiothérapie orale prophylactique est également initiée, pour une durée prévue de 5 jours au total. L'évolution clinique est favorable, le patient restant toutefois oxygéno-dépendant. Patient de 62 ans, admis aux soins intensifs post-coronarographie en raison d'un STEMI antérieur. Il présente des douleurs thoraciques le 30.12.2018 au réveil. L'électrocardiogramme effectué aux urgences montre des sus-décalages dans les territoires antéro-latéraux. Une double charge anti-agrégant plaquettaire par Aspirine et Prasugrel est administrée et le patient est transféré à Fribourg en salle de coronarographie. L'examen montre une maladie coronarienne tritronculaire avec comme lésion coupable une occlusion proximale de l'IVA, suivie de 2 longues sténoses de l'IVA moyenne, traitées par désoblitération avec mise en place de 3 stents actifs. Per-coronarographie, on ne note pas de complications rythmiques ni hémodynamiques. La surveillance post-coronarographie aux soins intensifs est marquée par la persistance de douleurs thoraciques résiduelles. Le pic de CK est à 5600 UI et une échocardiographie transthoracique ciblée montre un épanchement péricardique minime. Sur avis cardiologique (Dr. X), une nouvelle coronarographie est organisée pour le 31.12.2018 afin de traiter la sténose focale subtotale de l'artère coronaire droite moyenne. L'examen se déroule sans particularité avec mise en place de 2 stents actifs. La surveillance rythmique et hémodynamique suite à la seconde coronarographie est sans particularité. Le patient est transféré pour suite de prise en charge à l'étage de médecine interne avec proposition de poursuivre une physiothérapie de mobilisation et discuter les modalités d'une réadaptation cardio-vasculaire en stationnaire ou en ambulatoire. À noter une coronarographie de contrôle à 1 mois qu'il s'agira d'organiser avant la sortie de l'hôpital ainsi qu'une échocardiographie transthoracique de contrôle déjà organisée à 48h de l'événement aigu. Nous vous laissons le soin de rediscuter avec les collègues cardiologues l'indication à une anticoagulation thérapeutique transitoire en fonction des résultats de cette échocardiographie. Patient de 62 ans, hospitalisé en raison d'une hématémèse sur probable rupture de varices oesophagiennes de grade 3 dans le contexte d'une cirrhose éthylique CHILD-PUGH B décompensée. Mme. Y, vivant habituellement au Portugal, est actuellement en visite chez ses fils en Suisse. Le 10.01.2019, elle s'est présentée au service des urgences avec une hématémèse. La gastroscopie en urgence a mis en évidence de volumineuses varices oesophagiennes, avec un point rouge sur une varice du cardia, sans saignement actif. Le patient a été transféré aux soins intensifs, puis en Médecine interne après stabilisation clinique. L'hémorragie digestive haute est probablement secondaire à une rupture de varices de l'oesophage distal ou du cardia. Malgré une stabilisation après transfusion de 2 concentrés érythrocytaires et sous perfusion d'inhibiteur de la pompe à protons et d'octréotide, des rectorragies ont récidivé le 11.01.2019 avec une nouvelle chute de l'hémoglobine à 52 g/l sans altération hémodynamique. Une rectosigmoïdoscopie effectuée en urgence laisse suspecter un saignement actif du tract digestif supérieur. La seconde gastroscopie a confirmé la présence de points rouges sur les varices de l'oesophage distal avec du sang frais, mais sans saignement actif. Trois ligatures de varices ont été effectuées. L'anémie sévère a nécessité la transfusion de concentrés érythrocytaires, plasma frais et concentrés plaquettaires, ainsi que l'administration de fibrinogène et acide tranexamique. Par la suite, l'hémoglobine s'est stabilisée, malgré l'évacuation de méléna. Le patient est alors transféré en Médecin interne, où le traitement par inhibiteur de la pompe à protons est relayé par voie orale. Le suivi clinique et biologique est satisfaisant. L'ascite sous tension a été drainée d'un total de 10'250 ml d'un transsudat, sans signe de péritonite bactérienne. Une compensation d'albumine a été effectuée. Une antibioprophylaxie de ceftriaxone est maintenue pendant 5 jours suite à l'hémorragie. Le Propranolol est débuté. Un US Doppler hépatique permet d'exclure une thrombose porte et confirme la présence d'une hypertension portale. Après transfert en Médecin interne, l'adaptation du traitement diurétique par spironolactone et Furosémide permet de contrôler l'ascite avec un retour au poids habituel du patient. Un épanchement pleural droit modéré para-ascitique est traité par diurétique, avec une bonne évolution clinique. Une reprise progressive de l'alimentation est effectuée. Une substitution vitaminique est mise en place dans le contexte de la dépendance à l'alcool. Nous n'observons pas de signe de sevrage durant l'hospitalisation et aucune couverture par benzodiazépine n'est nécessaire. Sur le plan ostéo-articulaire, le patient présente durant le séjour des douleurs au niveau du genou gauche, attribuées à une bursite pré-patellaire selon avis orthopédique. Le patient bénéficie d'un traitement anti-inflammatoire topique au vu des contre-indications à reprendre un traitement systémique en lien avec l'hémorragie digestive. Le port d'une attelle à visée antalgique est préconisé jusqu'à résolution de la symptomatologie. Mme. Y rentre à domicile le 22.01.2019. Une gastroscopie de contrôle est à prévoir dans quatre à six semaines. Patient de 63 ans, ayant présenté un accident vasculaire cérébral ischémique droit le 17.09.2018, traité à l'Inselspital puis hospitalisé jusqu'en novembre 2018 à la clinique de neuro-réhabilitation de Montana, qui nous est amené par l'ambulance suite à un appel de sa sœur qui l'a retrouvé ce 16.12.2018 à 15h assis à table avec le regard dans le vide et ne pouvant pas se relever. Mr. Y décrit qu'il était conscient de ce qui se passait mais qu'il ressentait depuis une quinzaine de minutes une faiblesse des deux côtés l'empêchant de se lever, puis il a récupéré. Pas de perte de connaissance ni de mouvement tonico-clonique, pas de perte d'urine, pas d'état fébrile. Pas d'autre plainte. Mr. Y vit seul à domicile et n'est pas au bénéfice de moyens auxiliaires.L'examen neurologique à l'entrée met en évidence une asymétrie faciale séquellaire, une danse des tendons à l'épreuve de Romberg et une augmentation du polygone de sustentation à la marche. Le laboratoire montre une hypokaliémie à 3 mmol/l, une perturbation de la crase avec TP à 41 INR à 1.6, des lactates élevés à 3.5 mmol/l, avec CK normaux et gamma-GT à 119 U/l, ainsi qu'une bilirubinémie directe à 5.9 mmol/l. Le sédiment urinaire montre une leucocyturie à 6-10/champ, sans symptôme urinaire associé. Nous hospitalisons le patient pour suspicion d'un nouvel accident vasculaire cérébral en septembre 2018. Nous ne débutons pas de thrombo-prophylaxie vu la crase. Nous effectuons une IRM cérébrale le 20.12.2018, qui montre un nouvel accident vasculaire cérébral lacunaire des noyaux gris centraux et de la corona radiata droite. Le patient bénéficie de physiothérapie de mobilisation pour ses troubles de l'équilibre, avec subjectivement une amélioration de l'équilibre à l'aide d'un rollator en cours de séjour. Sur le plan gastro-intestinal, le patient présente à l'entrée une perturbation de la crase avec un INR supra-thérapeutique pour laquelle nous vous proposons d'effectuer à distance de l'événement un ultrason abdominal afin d'exclure une pathologie hépatique. Par ailleurs, Mr. Y nous relate avoir arrêté toute consommation d'alcool et de tabac suite à son hospitalisation de septembre à novembre 2018. La gamma-GT reste légèrement augmentée, avec une valeur de 123 U/l le 19.12.2018. D'un point de vue métabolique, le patient présente une hypokaliémie à l'entrée. Après substitution per os, la valeur revient dans la norme. Au vu du contexte social isolé du patient, ainsi que des troubles de l'équilibre, nous conseillons un séjour de réadaptation neurologique à l'HFR Billens. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR Riaz bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant de son transfert. Patient de 63 ans, connu pour un ATCD stent actif dans la CD, nous est adressé par le Dr. X pour un angor en effort et une ergométrie positive. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne avec une occlusion chronique de la branche marginale et une sténose subocclusive de la coronaire droite distale. La fonction systolique du vG est normale. Le patient bénéficie d'une dilatation de la coronaire droite distale avec mise en place d'un stent actif. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté ainsi qu'un traitement par Atorvastatine 40 mg 1-0-0. Devant le traitement par double anti-agrégation et après avoir discuté avec le Dr. X, l'opération pour la cure du tunnel carpien prévue pour le 21.01.2019 a été annulée. Le patient prendra contact avec le Dr. X pour discuter la suite de la prise en charge. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 19.01.2019 à domicile. Patient de 63 ans, connu pour un diabète non insulino-requérant, amené par sa fille en raison de diarrhées depuis le matin du 22.12.2018. Notion de nausées sans vomissement depuis 3 jours, avec des vertiges et des douleurs abdominales diffuses légères associés à une baisse de l'état général. Notion de valeurs glycémiques élevées ces derniers jours. Pas de douleur rétrosternale ni de dyspnée, pas d'état fébrile. Anamnèse difficile à prendre au vu de la barrière linguistique. À l'examen clinique d'entrée, patient en état général diminué, peu collaborant. B1-B2 bien frappés, réguliers, sans souffle surajouté. Murmure vésiculaire symétrique, sans râles. L'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont augmentés en fréquence et en tonalité. Murphy négatif. Loges rénales souples et indolores. Le rachis est indolore à la percussion. Compte tenu de l'hypotension orthostatique, nous mettons en suspens le traitement antihypertenseur et débutons une hydratation IV, avec une bonne réponse clinique : la tension artérielle remonte à 116/71 mmHg et le patient est asymptomatique. Le laboratoire montre leucocytose à 15 G/l et une CRP <5 mg/l. Le contrôle biologique du 23.12.2018 montre une diminution de la leucocytose. Nous concluons à une gastro-entérite virale. Le bilan biologique aux urgences montre une hyperglycémie à 18.1 mmol/l, qui diminue suite à l'hydratation IV (5.6 mmol/l lors de la montée à l'étage puis 6.2 mmol/l à 02h00 le 23.12.2018). Le patient explique que son traitement de Metformine a été majoré il y a un an. Nous mettons cette hyperglycémie sur le compte de la gastro-entérite et du traitement de prednisone. L'HbA1C est par ailleurs proche des valeurs normales à 6,5 %. Le patient présente de plus une pseudo-hyponatrémie à 126 mmol/l dans le contexte de l'hyperglycémie qui à la sortie est à 132 mmol/l et une anémie microchrome microcytaire (Hb 128 g/l). À noter des T ondes négatives nouvelles en V2 et V3, asymptomatiques chez un patient diabétique, raison pour laquelle nous effectuons deux trains de troponines qui ne montrent pas de cinétique. Le patient a été diagnostiqué pour une hépatite B il y a un mois avec début d'un traitement par Tenofovir Sandoz il y a 10 jours. Le traitement de prednisone, introduit pour un problème pulmonaire, serait en schéma dégressif (à 10 mg il y a une semaine). Au vu d'une bonne évolution clinique, Mr. Y regagne son domicile le 24.12.2018, avec reprise de son traitement habituel. Patient de 63 ans, en bonne santé habituelle, sportif, hospitalisé dans le contexte de douleurs thoraciques en lien avec des épisodes de tachycardie, présentes depuis 3 jours, suite à la dégradation abrupte et inattendue de l'état de santé de son épouse. L'échocardiographie met en évidence une cardiomyopathie dilatée avec dysfonction systolique sévère. Les investigations sont complétées par une coronarographie qui montre des coronaires saines, mais confirme la dysfonction ventriculaire gauche sévère, avec une fraction d'éjection à 25 %, probablement sur un syndrome de Takotsubo. Dans ce contexte, un traitement cardioprotecteur par IEC et diurétique est introduit, et une anticoagulation thérapeutique par Eliquis est débutée en prévention primaire. Au vu de la tendance à la bradycardie, nous n'introduisons pas de bêtabloquant. Le bilan cardiologique est complété par la TSH, la ferritine et l'électrophorèse des protéines, qui restent en cours à la sortie du patient. Une échocardiographie de contrôle est prévue à 1 mois, et l'indication au port d'une LifeVest ou à la pose d'un défibrillateur sera rediscutée en fonction de l'évolution. Au vu du contexte familial difficile, Mr. Y bénéficie d'un entretien psychiatrique retenant le diagnostic de trouble de l'adaptation, avec la proposition d'introduire une médication de Temesta. Le patient est informé de la possibilité de contacter les urgences psychiatriques en cas d'aggravation de son état psychique. Mr. Y rentre à domicile le 03.01.2019. Il est informé qu'un contrôle à votre consultation est à prévoir dans la semaine du 07.01.2019. Patient de 63 ans nous est adressé pour un angor en effort de nouveau. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre des pontages mammaires sur IVA et veine saphène sur l’IVP de la ACD perméables, par contre le pontage sur la marginale de la circonflexe montre une re-sténose intrastent significative au niveau de son anastomose avec l’aorte. Après discussion avec Dr. X, nous avons procédé à une angioplastie du pont sur MA avec implantation d’un stent actif et bon résultat final. Un traitement par double antiagrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 1 an. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 16.01.2019 à domicile. Patient de 63 ans, qui présente une syncope alors qu'il se trouvait dans un restaurant. Il a voulu se lever et il a eu une perte de connaissance d'environ 15-20 secondes, sans traumatisme car des gens l'ont retenu. Il n'a pas présenté de prodromes, et il n'y a aucun argument en faveur d'une crise d'épilepsie. Au status, nous retrouvons un souffle systolique aortique, l'ETT ne révèle pas de valvulopathie significative. L'ECG est sans particularité, le Schellong et le massage carotidien sont négatifs. Il présente également une pollakiurie nouvelle sans dysurie et un état fébrile. L'urotube montre un E. Coli ESBL sensible à l'amikacine, que nous traitons par meropenem, puis ertapenem pendant 10 jours et qui ne nécessite pas d'isolement. Les hémocultures sont négatives à 5 jours. Au vu de l'évolution favorable, le patient rentre à domicile le 09.01.2019 avec des soins à domicile 1x/jour pour l'administration de l'antibiothérapie intraveineuse ainsi que les soins liés au psoriasis. Patient de 65 ans, admis aux soins intensifs en post-opératoire immédiat pour surveillance en raison d'une suspicion de syndrome d'apnées du sommeil non appareillé. Il bénéficie le 17.01.2019 d'une cure d'éventration abdominale dans les suites d'une prise en charge chirurgicale d'un adénocarcinome rectal avec résection abdominale basse et iléostomie de décharge. Après la fermeture de l'iléostomie, une éventration est devenue symptomatique. L'opération se déroule sans complication et les douleurs sont bien contrôlées avec une antalgie simple. Lors de la précédente intervention, le patient a présenté des épisodes de désaturation sous morphine faisant suspecter un possible SAOS, qui n'est actuellement pas appareillé. La surveillance respiratoire dans notre service est sans particularité. Patient de 65 ans admis aux soins intensifs le 14.01.2019 en raison d'un accident vasculaire transitoire. Il est connu pour plusieurs antécédents d'accidents vasculaires cérébraux depuis 2013 avec une parésie spastique brachio-crurale gauche séquellaire. Il consulte initialement aux urgences en raison de céphalées occipitales avec une péjoration de son hémisyndrome gauche, apparition de paresthésies du bras gauche et un ralentissement de l'élocution. L'IRM cérébrale ne révèle pas de lésion ischémique nouvelle. La sténose sévère du tronc basilaire est superposable au comparatif. Il nous est alors adressé sur avis neurologique pour suite de prise en charge. Le NIHSS reste stable à 5 points pendant le séjour, et correspond à l'atteinte séquellaire du patient. Le bilan lipidique est satisfaisant. L'hémoglobine glyquée étant légèrement augmentée, nous proposons une majoration de la Metformine. La surveillance en Stroke unit monitorée se déroule sans complication. Nous n'observons pas de désaturation nocturne significative ni d'instabilité tensionnelle. Il est transféré en Stroke unit non-monitorée le 15.01.2019 pour suite de prise en charge. Patient de 65 ans, admis aux soins intensifs le 17.01.2019 en raison d'une embolie pulmonaire centrale bilatérale. Le patient est déjà connu pour une embolie pulmonaire en janvier 2018 traitée jusqu'au mois d'août 2018, il a présenté une dyspnée aiguë avec syncope et traumatisme frontal gauche secondaire. Il a également présenté une douleur du mollet gauche durant la nuit. Le bilan radiologique met en évidence une embolie pulmonaire centrale bilatérale pour laquelle le patient bénéficie d'une héparinothérapie thérapeutique avec relais par Clexane dès le 18.01.2019. Une échocardiographie cardiaque aux urgences met en évidence une dilatation des cavités droites avec PAP's à 68 mmHg dont le contrôle réalisé le 18.01.2019 retrouve une amélioration de cette répercussion droite. Un CT-scan cérébral effectué en raison du traumatisme crânien ne met pas en évidence d'hémorragie intracérébrale. La mobilisation au fauteuil dans notre service le 18.01.2019 se déroule sans complication, ni hémodynamique ni respiratoire. Au vu de l'évolution clinique simple, il est transféré en division le 18.01.2019 pour suite de prise en charge. Un bilan de thrombophilie a été réalisé le 18.01.2019, qui est à suivre. Patient de 65 ans, admis aux soins intensifs pour un sepsis d'origine abdominale associé à une encéphalopathie hépatique et une atteinte d'organes multiples. Mr. Y est amené en ambulance aux urgences de Riaz en raison d'une baisse de l'état général, de douleurs abdominales et d'un état confusionnel constaté par sa fille. Le tableau clinique est révélateur d'un état général nettement diminué avec notamment une cachexie, un ictère, une déshydratation et un ventre de bois. Le bilan biologique, globalement perturbé, met en exergue une hyperleucocytose à prédominance neutrophile, une insuffisance rénale, une atteinte hépatocellulaire ainsi que des signes de dénutrition. L'imagerie dévoile une entérocolite droite, une cirrhose ainsi que de l'ascite. Le patient bénéficie d'une expansion volémique et d'une couverture antibiotique à spectre large qui permettent une stabilisation hémodynamique. Un traitement de l'insuffisance hépatocellulaire aiguë est rapidement mis en place avec une substitution en vitamine K et albumine. L'encéphalopathie hépatique est traitée avec du lactulose. L'ascite est drainée. Le bilan endoscopique révèle de plus une gastropathie congestive signant une hypertension portale, sans varices œsophagiennes associées. La situation se stabilise avec une amélioration de la vigilance et une diminution de l'agitation du patient. La cirrhose hépatique nouvellement découverte est probablement d'origine éthylique, le bilan étant négatif pour une atteinte auto-immune, virale, sur déficit de l'alpha1-antitrypsine ou encore dans le cadre d'une coeliaquie. La décompensation cirrhotique s'inscrit quant à elle dans un contexte aigu de sepsis abdominal et d'œsophagite sévère. Un épisode de méléna nous incite à rechercher activement une origine digestive haute. L'œsophagite sévère mise en évidence à l'œso-gastroscopie est probablement due à un reflux gastro-œsophagien et à la consommation éthylique. Un traitement par inhibiteur de la pompe à protons est introduit avec une transfusion de concentré érythrocytaire. Une hypernatrémie secondaire au traitement mis en place se développe au cours du séjour, difficilement contrôlable avec une substitution en eau libre et glucose en perfusion. L'étiologie de ce trouble électrolytique reste peu claire. L'entérocolite évolue favorablement sous antibiothérapie. Nous n'avons pas d'argument pour une translocation bactérienne dans le péritoine, le liquide d'ascite étant stérile.Le patient est dénutri depuis une dizaine d'années et a été hospitalisé dans ce contexte en 2017. Il présente une inappétence chronique, des douleurs abdominales chroniques et des diarrhées chroniques. Le bilan a permis d'écarter une colite microscopique, une coeliaque. Une malabsorption d'origine X est évoquée. Une nutrition entérale prudente est débutée le 24.01.2019 avec un syndrome de renutrition inapproprié qui a pu être bien géré par la supplémentation des électrolytes. L'insuffisance rénale d'origine pré-rénale, principalement sur déshydratation, évolue favorablement. Compte tenu des multiples investigations cardiaques, nous effectuons une échocardiographie de contrôle qui montre une fonction cardiaque conservée, bien que l'examen soit de qualité faible en raison de mauvaises conditions techniques. Au vu de la situation clinique actuelle et des comorbidités importantes, l'attitude a été limitée par décision médicale et en accord avec la famille : le fils, la fille et la soeur. En cas de non-évolution ou d'évolution clinique défavorable, une orientation vers les soins palliatifs (La Villa St. François) est préconisée, même souhaitée par la famille. Nous avons déjà pris contact avec l'équipe médicale des soins palliatifs qui est venue l'évaluer et est d'accord pour le prendre en charge en fonction de l'évolution. Mr. Y, 65 ans, a été adressé au service des urgences par le personnel de sa pharmacie suite à un épisode de malaise dans un contexte d'éthylisation aiguë. Mr. Y reflète un traumatisme crânien par agression à Las Vegas le soir de Noël avec des céphalées, nausées et vomissements depuis. Toutefois, aucun document justifiant le voyage n'est retrouvé avec une anamnèse peu fiable. Le CT cérébral au service des urgences permet d'exclure une fracture ou un saignement. Dans le cadre du malaise, la prise de sang met en évidence un éthylisation aiguë à 2.71 ‰. À noter une dépendance éthylique chronique avec de multiples hospitalisations pour des chutes à répétitions multi-investiguées. L'ECG revient dans la norme. Le test de Schellong est normal sous réserve d'une mauvaise compliance du patient durant l'examen. Nous substituons le patient avec du Becozyme et Benerva et procédons à un sevrage sous Seresta qui se déroule sans complications. Nous renonçons à adresser le patient en psychiatrie, au vu des échecs répétés par le passé d'une telle stratégie thérapeutique et du refus de sevrage par le patient. Dans le contexte d'une dénutrition protéino-énergétique dans un cadre éthylique, nous introduisons un SNO et une substitution des troubles électrolytiques du patient. Sur le plan locomoteur, Mr. Y présente une marche instable, avec augmentation de son polygone de sustentation, sans autre signe neurologique associé. Des séances de physiothérapie avec utilisation de moyens accessoires permettent une mobilisation autonome sur une distance de 100 mètres. Au vu de chutes à répétitions avec des hospitalisations à répétitions, un placement en EMS est décidé en accord avec le patient. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement, et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, 65 ans, connu pour un adénocarcinome du pancréas, présente depuis 2 semaines une augmentation du volume abdominal accompagnée de douleurs abdominales diffuses, en nette péjoration sur les 3 derniers jours. Il bénéficie d'une ponction d'ascite aux urgences, qui ne montre pas d'éléments en faveur d'une péritonite bactérienne spontanée et dont l'étiologie parle plutôt pour une hypertension portale. Nous introduisons un traitement diurétique. Le CT thoraco-abdominal montre une progression de la maladie oncologique ainsi qu'une thrombose de la veine porte, que nous anticoagulons par Xarelto. Le patient rentre à domicile le 02.01.2019. Mr. Y, 65 ans, transféré de Billens pour investigation d'une masse hépatique. Pour rappel, le patient a été hospitalisé en décembre à Riaz pour des troubles de la marche avec chute et une pneumonie, puis a suivi une réhabilitation musculo-squelettique à Billens. Dans un contexte de nausées et vomissements, un ultrason est réalisé qui montre une volumineuse masse hépatique. Il est transféré à l'HFR de Fribourg pour suite d'investigation. À l'entrée, le patient se plaint d'une fatigue généralisée et de sudations nocturnes, sans plaintes abdominales. Le statut montre un ventre ballonné, souple et indolore. Un scanner montre une masse hépatique volumineuse avec des adénopathies cardio-phréniques. Le patient étant double anti-agrégé, nous stoppons le Plavix pour une biopsie hépatique guidée par CT le 11.01.2019. La pathologie révèle un carcinome hépatocellulaire de stade III. Nous complétons le bilan par une IRM cérébrale qui ne montre pas de métastases. Le patient est présenté au tumorboard : une opération n'est pas envisageable. Un traitement par embolisation est proposé. Après discussion avec le patient, sa femme et sa fille, l'embolisation est acceptée. Il est transitoirement reclassé du 23.01 au 28.01.2019, date de l'embolisation. Les suites post-opératoires se compliquent par une insuffisance hépatique transitoire (albumine à 20.3 g/l, bilirubine totale à 37 umol/l, INR 1.4 et TP à 48), une hypovigilance et une insuffisance rénale pré-rénale. Le cas est discuté avec nos confrères de Meyriez où il est transféré pour suite de prise en charge le 28.01.2019. Le patient montre des troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle présents depuis son hospitalisation à Riaz. Un bilan angiologique datant de mai 2018 ne propose pas d'intervention si les lésions cutanées au membre inférieur droit évoluent bien. Au vu de la bonne évolution cutanée, nous ne répétons pas de bilan angiologique. La polyneuropathie périphérique est suivie par l'équipe de diabétologie ambulatoire. Nous mettons ces troubles de la marche sur le compte du déconditionnement global dans le contexte oncologique, de la polyneuropathie, de l'insuffisance artérielle et des antécédents chirurgicaux des membres inférieurs. De la physiothérapie est réalisée. Le patient montre une diminution progressive du périmètre de marche se stabilisant à 70 mètres avec le Taurus. Au niveau neurologique, le patient est connu pour une épilepsie généralisée et un ralentissement psychique. Nous majorons les traitements anti-épileptiques selon le Dr. X (neurologue du patient). Nous constatons après cette adaptation une péjoration du ralentissement psychique. Un taux de Keppra revient supra-thérapeutique et nous excluons des troubles glycémiques ou électrolytiques. Le patient score 17 au test de MOCA. Après la baisse du traitement antiépileptique, nous observons une amélioration de l'état cognitif du patient. Nous proposons de répéter un MOCA à distance. Au niveau rénal, une insuffisance rénale aiguë sur chronique de type pré-rénal est corrigée en adaptant le traitement diurétique et par l'hydratation. Au niveau dermatologique, le patient présente des escarres au niveau des pieds qui sont traitées par les stomatothérapeutes avec une amélioration clinique. Nous proposons un suivi clinique. Au niveau endocrinologique, nous adaptons le traitement d'insuline au vu de profils glycémiques hauts. Nous stoppons la metformine au vu de l'atteinte hépatique. Nous proposons de suivre la glycémie. Au niveau hématologique, le patient montre des troubles de la crase en lien avec sa volumineuse masse hépatique. Un contrôle biologique est proposé.Au vu d'une baisse de l'état général, un traitement de soutien est mis en place avec l'intervention de nutritionniste, infirmiers et physiothérapeutes. Au niveau nutritionnel, des suppléments nutritionnels oraux sont mis en place. Le patient est transféré le 01.02.2019 en réadaptation palliative à Meyrier. Patient de 65 ans vient pour une re-coronarographie pour un angor en effort. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne bi-tronculaire. La fraction d'éjection du ventricule gauche est normale (78%). Absence de resténose de l'artère interventriculaire antérieure proximale au niveau du site d'implantation du stent actif. Devant l'absence de sténoses significatives, nous renonçons à une angioplastie. Nous proposons la poursuite de son traitement par Aspirine cardio à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 5 mois et proposons d'instaurer un traitement d'épreuve avec un anti-ischémique par Corvaton retard 8 mg/j pour son angor sur petit vaisseau. Dans les suites de la coronarographie, la patiente présente un hématome fémoral droit d'origine iatrogène. Un US doppler par nos collègues angiologues revient rassurant. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 17.01.2019 à domicile. Patient de 66 ans amené par l'ambulance suite à une probable chute le 19.12.2018. Mr. Y décrit s'être levé pour se rendre aux toilettes et avoir ressenti un tremblement des membres inférieurs qui l'a fait trébucher. Il dit avoir pu se rattraper et n'avoir pas chuté. Pas de traumatisme crânien ni de perte de connaissance. Avant l'épisode, pas de prodrome de type douleurs rétrosternales, sudations profuses ou voile noir devant les yeux. Le patient se plaint également d'une dyspnée stade NYHA III (habituellement stade NYHA II) depuis quelques jours. A l'examen clinique d'entrée, le patient est hypertendu à 192/104 mmHg, légèrement tachycarde à 101 bpm, avec une saturation à 92% à l'air ambiant, apyrétique à 37.1°C. L'auscultation cardiaque montre des bruits réguliers, sans souffle ausculté. Il n'y a pas de signe de décompensation cardiaque droite ni gauche. Les mollets sont souples avec un signe de Homans négatif des deux côtés. L'examen respiratoire montre un patient tachypnéique à 26/min, sans signe de détresse respiratoire. Le murmure vésiculaire est symétrique avec sibilants expiratoires diffus. L'examen abdominal et l'examen urogénital sont dans la norme. Le statut neurologique est normal. Le rachis est indolore à la palpation et à la percussion. L'ECG réalisé aux urgences est artefacté par la respiration mais ne montre rien d'aigu. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire, pas d'insuffisance rénale. Les électrolytes et les tests hépatico-pancréatiques sont dans la norme. La gazométrie artérielle montre un pH normal à 7.42 et une hypoxie à 7.5 kPa à l'air ambiant (FiO2 21%). Le Peak flow est initialement à 270 (le patient ne connaît pas ses valeurs habituelles) puis à 300 à la sortie. Aux urgences, le patient bénéficie d'aérosols de Ventolin et d'Atrovent. Nous débutons un traitement de fond par Spiriva 18 mcg et ajoutons de la Prednisone 50 mg/jour pour 5 jours. La surveillance à l'étage de médecine se déroule sans complication. L'oxygénothérapie peut être rapidement sevrée. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y regagne son domicile le 21.12.2018, avec adaptation de son traitement de fond pour l'asthme. Les soins à domicile sont réactivés à raison d'une fois/jour. Le patient se présentera à votre consultation d'ici 5 à 7 jours pour contrôle clinique. Il mentionne également l'arrêt du tabac et de l'alcool et nous lui proposons d'en reparler avec vous. Nous l'encourageons bien évidemment à diminuer sa consommation de tabac. Patient de 66 ans avec notion de baisse de l'état général depuis plusieurs semaines qui est amené en ambulance en raison de l'inquiétude de l'infirmière à domicile pour péjoration des épisodes d'angoisse à domicile et chute ce jour. En raison de douleurs costales gauches, nous effectuons une radiographie du thorax sans signe de fracture radiologique (ni clinique), nous retenons une contusion costale antérieure gauche avec traitement symptomatique. Au vu des épisodes d'angoisse en péjoration, nous contactons la Dr. X pour un consilium. Suite au consilium et en accord avec le curateur du patient, il est transféré en ambulance au RFSM de Marsens pour une hospitalisation psychiatrique à l'unité Jasmin. Patient de 66 ans connu pour une BPCO stade IV avec oxygénothérapie à domicile, hospitalisé en raison d'une exacerbation de BPCO, initialement admis aux soins intensifs, puis transféré en médecine après stabilisation de la phase aiguë. Le patient présente une aggravation de la dyspnée et des expectorations en augmentation, sans changement de couleur. La gazométrie montre une insuffisance respiratoire globale. Une antibiothérapie par Ceftriaxone et Clarithromycine est débutée. La Clarithromycine est arrêtée après que l'antigénurie pour la Légionelle soit revenue négative et la Ceftriaxone est poursuivie pour une durée de 5 jours. Une corticothérapie est menée pour une durée totale de 3 jours. Le support ventilatoire non-invasif et l'intensification du traitement bronchodilatateur permettent une amélioration clinique. Au vu des exacerbations multiples des derniers mois, nous demandons un CT thoracique qui montre une masse pulmonaire basale droite avec des adénopathies médiastinales et hilaires droites. Nous complétons le bilan par un PET-CT, qui confirme la masse pulmonaire dans le lobe inférieur droit avec une suspicion de métastase ganglionnaire médiastinale. Une cytologie des expectorations ne montre pas de cellules suspectes de malignité. Les fonctions pulmonaires effectuées durant le séjour confirment un trouble ventilatoire obstructif très sévère, raison pour laquelle nous renonçons à effectuer des biopsies en lien avec un risque majeur sur le plan respiratoire selon nos collègues pneumologues. Le patient a bien entendu été informé du résultat des examens radiologiques et des difficultés liées à l'obtention d'un diagnostic histologique. Mr. Y rentre à domicile le 26.01.2019. Il recevra une convocation pour une prise en charge oncologique auprès de la Dr. X après le Tumorboard prévu le 30.01.2019. Patient de 66 ans connu pour une BPCO stade IV avec oxygénothérapie au domicile à 2 L. Le patient dit présenter depuis 2 jours une dyspnée en péjoration, avec peine à expectorer mais avec une augmentation des expectorations sans changement de couleur. Toux stable. Pas de plaintes abdominales ou urinaires. Pas d'autres plaintes à l'anamnèse par système. Le patient n'a pas eu de fièvre, pas de nausées, vomissements. Pas de notions de comptage, pas de trouble du transit. Pas de douleurs dans la poitrine. Connu notamment pour une insuffisance rénale chronique. Pas d'allergies connues. État général conservé avec dyspnée, bien hydraté, bien perfusé. CV : B1B2 régulier mais lointain, pas de souffle audible, pas d'OMI. Pulm : Hypoventilation globale avec sibilances expiratoires sur toutes les plages et crépitant en base droite. Abdo : Bruits normaux en fréquence et en tonalité dans les 4 quadrants, abdomen souple et indolore, pas de défense, ni détente. Aux urgences, le patient bénéficie d'une radiographie du thorax qui montre une condensation en base droite nouvelle. Pas de signe de surcharge. Un bilan biologique montre une CRP à 19 mg/L, pas de leucocytose. On retrouve également une créatinine à 116 mmol/L connue chez le patient. Un ECG aux urgences montre : rythme sinusal régulier, normocarde dans la limite à 76 bpm, axe normal à -28°, QRS fins à 94 ms, segment-ST isoélectrique, transition de l'onde R tardive en V4. QTc à 451 ms.Chez ce patient, nous retenons le diagnostic de décompensation de BPCO sur une pneumonie basale droite. Pour cette raison, nous débutons une thérapie antibiotique par co-amoxicilline à 2.2 g 3x/j. Nous effectuons une gazométrie chez le patient qui montre un pH à 7.35, une pCO2 à 7.3 kPa, une pO2 à 7.7 kPa. Pour cette raison, nous effectuons une séance de B-PAP qui montre initialement une bonne évolution avant de se péjorer. Une gazométrie de contrôle post-VNI montre un pH à 7.35, une pCO2 à 7.3 kPa, une pO2 à 6.3 kPa. Nous effectuons également des aérosols d'Atrovent 250 mcg. De plus, nous débutons une thérapie par Prednison 40 mg. Au vu de l'absence d'amélioration clinique malgré la prise en charge effectuée, nous prenons contact avec les soins intensifs de Fribourg. Le patient est d'accord pour un transfert aux soins intensifs que nous recommandons. Mr. Y, 66 ans, nous est adressé par le Dr. X pour une échocardiographie de stress pathologique avec une dyskinésie septale et inférieure. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre un bon résultat après PCI de la CD moyenne et de la première marginale. On met en évidence une sténose significative de la CD proximale. Le patient bénéficie d'une implantation d'un stent actif (stenting direct) dans la CD proximale. La FEVG est normale (60 %). Le traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est poursuivi. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle dans 3 mois chez Dr. X avec un holter-ECG puis évaluation d'une anticoagulation orale (FA après PCI 2018 et statut post-cardioversion électrique). Le patient sera convoqué pour un deuxième avis concernant son artériopathie des membres inférieurs auprès du Dr. X. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 16.01.2019 à domicile. Mr. Y, 66 ans, nous est adressé pour une dyspnée en augmentation lors d'effort et une ergométrie litigieuse. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une progression de l'atteinte coronarienne depuis 2014 avec actuellement une sténose significative d'une grosse branche circonflexe proximale. La fonction VG systolique est discrètement diminuée. Le patient bénéficie d'une angioplastie de la RCx proximale avec un stent actif et un excellent résultat immédiat. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez Dr. X, contrôle strict des facteurs de risque ainsi qu'une ergométrie dans 1 an. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 26.01.2019 à domicile. Mr. Y, 66 ans, présente depuis quatre jours une dyspnée avec orthopnée, sans dyspnée paroxystique nocturne, d'apparition brutale alors qu'il était couché. Mr. Y décrit une toux avec expectorations blanchâtres depuis quelques mois, péjorée ces derniers jours. Œdèmes des membres inférieurs stables selon ses dires, pas de douleur rétrosternale, pas d'état fébrile. À noter une hospitalisation en Macédoine en août 2018 pour une décompensation cardiaque. Le patient explique que la symptomatologie était identique à celle de ce jour. L'examen clinique d'entrée révèle des B1-B2 bien frappés, avec un souffle systolique audible au foyer mitral. Œdèmes au niveau des mollets discrets prenant le godet. À l'auscultation respiratoire, ronchis bi-basaux. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire. La radiographie du thorax ne révèle pas de signes de surcharge volémique. L'ECG montre une fibrillation auriculaire rapide. Le patient bénéficie d'une dose de Dilzem 25 mg aux urgences, avec bonne réponse ventriculaire. Le taux de digoxinémie se révèle à <0,3 nmol/l. Dans ce contexte, nous augmentons le dosage de la Digoxine de 0.125 à 0.25 mg. Nous retenons donc le diagnostic de fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide symptomatique. À la sortie, le patient est normocarde et asymptomatique mais toujours en fibrillation auriculaire. Nous poursuivons son traitement diurétique aux doses habituelles et suggérons d'avancer le traitement habituel de bêtabloquant, Isoptin et Digoxine de 08h à 06h. À l'âge de ce patient, un avis cardiologique est recommandé (FEVG, cardioversion...). À noter un dosage de la TSH qui revient à 6,420 mU/l après la sortie du patient. Nous vous laissons le soin de réaliser un bilan de la thyroïde et de substituer la carence si nécessaire. Mr. Y regagne son domicile le 24.12.2018. Mr. Y, 67 ans, admis aux soins intensifs le 20.01.2019 en raison d'un STEMI inférieur. Il consulte initialement en raison d'un angor sous forme de douleurs rétrosternales et baso-thoraciques gauches irradiant vers le coude gauche. Aux urgences de Riaz, l'ECG montre une élévation du segment ST dans les dérivations II, III, aVF. Après la dose de charge avec Aspirine i.v. 500 mg, Efient 60 mg, Morphine i.v. 4 mg, il est transféré à l'HFR de Fribourg pour suite de prise en charge. La coronarographie réalisée en urgence montre une occlusion de l'artère coronaire droite, revascularisée par 2 stents actifs. La FEVG est estimée à 60 %. Après aspiration des thrombi obstructifs et reprise d'un flux dans l'artère coronaire droite, le patient présente une bradycardie persistante malgré l'administration d'atropine 0.5 mg précédant un ACR bref sur asystolie qui requiert un massage avec injection de 1 mg d'adrénaline suivi d'un ROSC à 1 minute. Puis apparaissent des salves de tachycardie ventriculaire avec pouls qui cèdent à l'injection de bêta-bloquant et Verapamil. Les suites aux soins intensifs sont sans particularités. Nous instaurons un traitement par bêta-bloqueur et IECA qui est bien toléré. L'échocardiographie du 21.01.2019 montre une fonction cardiaque normale. L'avis de Dr. X est demandé par rapport à la prise en charge des anévrismes coronaires. À son avis, une prise en charge est nécessaire, de préférence chirurgicale, mais une alternative par traitement endoluminal serait possible. Le patient sera convoqué une fois la discussion avec les chirurgiens vasculaires tenue. De plus, le patient signale une maladie pulmonaire comme "farmers lung" qui n'est pas traitée (notion anamnestique d'intolérance à la cortisone). Il ne présente pas de symptomatologie respiratoire en cours de séjour. La discussion avec le Dr. X, son pneumologue traitant, et les pneumologues de l'HFR met en évidence la nécessité de refaire des tests de fonctions pulmonaires à distance de l'infarctus et de rediscuter d'un éventuel traitement. Nous rappelons la nécessité pour le patient de ne pas s'exposer aux substances responsables de la pneumopathie. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, 67 ans, admis aux soins intensifs le 20.01.2019 en raison d'un STEMI inférieur. Il consulte initialement en raison d'un angor sous forme de douleurs rétrosternales et baso-thoraciques gauches irradiant vers le coude gauche. Aux urgences de Riaz, l'ECG montre une élévation du segment ST dans les dérivations II, III, aVF. Après la dose de charge avec Aspirine i.v. 500 mg, Efient 60 mg, Morphine i.v. 4 mg, il est transféré à l'HFR de Fribourg pour suite de prise en charge.La coronarographie réalisée en urgence montre une occlusion de l'artère coronaire droite, revascularisée par 2 stents actifs. La FEVG est estimée à 60%. Après aspiration des thrombi obstructifs et reprise d'un flux dans l'artère coronaire droite, le patient présente une bradycardie persistante malgré l'administration d'atropine 0.5 mg précédant un ACR bref sur asystolie qui requiert un massage avec injection de 1 mg d'adrénaline suivi d'un ROSC à 1 minute. Puis apparaissent des salves de tachycardie ventriculaire avec pouls qui cèdent à l'injection de b-bloquant et vérapamil. Les suites aux soins intensifs sont sans particularités. Nous instaurons un traitement par beta-bloqueur et IECA qui est bien toléré. L'échocardiographie du 21.01. montre une fonction cardiaque normale. Un traitement des anévrismes de la circonflexe et de la marginale avec un pontage reste à discuter avec nos collègues cardiologues. De plus, le patient signale une maladie pulmonaire comme "farmers lung" qui n'est pas traitée (notion anamnestique d'intolérance à la cortisone). Il ne présente pas de symptomatologie respiratoire en cours de séjour. Nous vous proposons de prendre contact avec le médecin traitant le 22.01.2019 afin de clarifier les éventuelles investigations effectuées en ambulatoires et de les compléter si besoin en cours de séjour. Patient de 67 ans admis aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique dans le contexte d'une embolie pulmonaire segmentaire et d'un infarctus rénal gauche. Mr. Y présente depuis plusieurs jours une douleur au niveau du flanc gauche associée à une asthénie et une légère dyspnée d'effort nouvelle. Le bilan radiologique révèle des embolies pulmonaires segmentaires bilatérales ainsi qu'un infarctus rénal gauche. Les enzymes cardiaques sont élevées. Il n'y a pas de facteur de risque ni d'antécédent thromboembolique à l'anamnèse. Le CT thoraco-abdominal ne met pas en évidence de lésion suspecte de malignité. Dans l'hypothèse d'une embolie paradoxale, nous prévoyons une échocardiographie transthoracique à la recherche d'un foramen ovale perméable. Un US doppler des membres inférieurs est aussi demandé ainsi que les anticorps antiphospholipides. Un bilan hématologique complémentaire est à discuter en fonction des résultats. La surveillance étant sans particularité et les douleurs bien contrôlées avec une antalgie simple, le patient est transféré en médecine. Patient de 67 ans nous est adressé par les urgences pour un angor instable. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une occlusion du PAC saphène sur la MA comme corrélat à l'angor instable. Le reste de l'arbre coronarien est inchangé. La fonction VG systolique est légèrement diminuée. Le patient bénéficie d'une recanalisation du pontage saphène Marginale avec implantation de 2 stents actifs. Bon résultat final. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 12 mois est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez le Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 1 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 12.01.2018 à domicile. Patient de 67 ans, récemment hospitalisé dans notre service pour la prise en charge d'un AVC frontal droit, nous est adressé par la clinique bernoise de Montana pour des douleurs abdominales et des vomissements. À son admission, Mr. Y se plaint de douleurs abdominales en regard de la zone d'implantation de son gastro-tube. Il souffre par ailleurs de nausées et de vomissements, qui se sont majorés depuis ces derniers jours. Notre examen clinique témoigne d'un abdomen souple et sans défense, avec toutefois des bruits intestinaux augmentés en fréquence. Nous attribuons les nausées à la nutrition ainsi qu'à la vortioxétine, substance connue pour induire de tels effets secondaires. Conséquemment, nous stoppons la vortioxétine. La symptomatologie s'amende très rapidement, ce qui confirme notre diagnostic. Le 31.12.2018, le patient présente des troubles de l'état de conscience avec un GCS fluctuant entre 9 et 14. Après un bilan biologique extensif qui ne retrouve pas d'anomalie à l'origine de ses troubles, le patient est transféré à Berne pour une IRM cérébrale qui montre uniquement une anomalie de signal non spécifique au niveau des noyaux gris centraux. Le patient est ensuite transféré aux soins intensifs pour une surveillance neurologique sur la nuit. À son arrivée, le GCS varie entre 14 et 15 et le reste du statut neurologique est superposable à son statut neurologique habituel. Notre EEG démontre une hypo-activité corticale diffuse, ce qui nous pousse dès lors à stopper l'administration de toute substance psychodépressive. Nous laissons la liberté à nos confrères de la SUVA d'adapter ce traitement s'il s'en avérait nécessaire. Nous effectuons un EEG de contrôle le 08.01.19, dont le résultat reste en attente. Sur le plan neurologique, nous effectuons un CT cérébral le 08.01, afin d'évaluer plus avant l'état du crâne. Nos confrères de l'InselSpital sont avertis de la situation et étudient le dossier à la date du 09.01. Ils contacteront directement les médecins de la SUVA pour les informer de la suite de prise en charge neurochirurgicale. Si toutefois leur appel ne venait à tarder, ils invitent les médecins de la SUVA à les contacter par téléphone. Sur le plan digestif, nous procédons à plusieurs contrôles du gastrotube sous CT. Notre spécialiste, le Dr. X confirme la bonne localisation de la sonde et le bon état de cette dernière. Il propose par ailleurs un nouveau contrôle, afin de discuter du retrait des points de suture, au courant de la fin de semaine du 07 janvier. Nous laissons ainsi le soin aux médecins de la SUVA d'organiser cet examen. Mr. Y reste encore alimenté par cette sonde et a repris progressivement une alimentation per os. Sur le plan psychiatrique, Mr. Y nous fait part d'idées noires et d'envie de suicide. Nous introduisons alors un traitement d'escitalopram en lieu et place de la vortioxétine. Nous vous laissons le soin d'évaluer à distance la réponse du patient à cette médication. Mr. Y est transféré à la SUVA le mercredi 09.01 pour une ré-adaptation neurologique. Patient de 68 ans, admis aux soins intensifs le 18.01.2019 en raison d'un PRES (Postérieur Réversible Encéphalopathie Syndrome) se manifestant par des céphalées et troubles visuels suivis d'une crise comitiale dans un contexte de crise hypertensive aiguë sévère. Pour rappel, il avait déjà été hospitalisé à l'Inselspital en juin 2018 pour un PRES avec les mêmes symptômes. Aux urgences, il présente une crise comitiale à type de clonies des membres inférieurs, pour lesquelles il reçoit du Rivotrill. La suite est marquée par un état d'agitation nécessitant des bolus de benzodiazépine par voie intraveineuse et l'admission dans notre service pour contrôle tensionnel rapproché et suivi neurologique. Le bilan d'imageries cérébrales (scanner et IRM) du 18.01.2019 retrouve des images compatibles avec un PRES. L'évolution neurologique est rapidement favorable avec régression complète des symptômes en moins de 12 heures après contrôle tensionnel agressif par Labétalol et Catapresan iv continu puis relais per os dès le 19.01.2019. En raison de la crise comitiale initiale et après discussion avec les neurologues, un traitement Lévétiracétam est instauré dès l'admission, sans récidive comitiale par la suite. Un électro-encéphalogramme est à discuter avec les neurologues le lundi 21.01.2019.Le patient se plaignant initialement de douleur en fosse iliaque gauche aux urgences, un CT-scan abdominal est réalisé d'emblée. Cet examen montre une urolithiase dans l'uretère distal gauche de 8.5 mm, obstructive, avec dilatation pyélocalicielle. Dans ce contexte, il bénéficie le 19.01.2019 de la pose d'une sonde urétérale double J en rachi-anesthésie, sans complication. Nous vous laissons le soin d'assurer le suivi urologique. S'agissant d'un second épisode de PRES dans un contexte de crise hypertensive sévère paroxystique, nous débutons une récolte urinaire (jusqu'au 21.01.2019) avec un dosage en cours de catécholamines urinaires (à suivre svp) • Patient de 68 ans envoyé par Dr. X, médecin de garde sous Ciproxine pour pose de sonde vésicale dans le contexte d'un globe vésical sur infection urinaire basse. Le patient se présente en anurie, sans fièvre, sans douleur des loges rénales avec de fortes douleurs suprapubiques en évolution sur la journée. Une sonde vésicale est posée et 2000 ml d'urine claire récoltés. Un ultrason révèle une légère dilatation pyélocalicielle. Un Uricult est prélevé aux urgences sous antibiothérapie, qui ne révèle aucun germe. L'antibiothérapie est modifiée pour du Ceftriaxon iv jusqu'au 7.1.19. La dilatation pyélocalicielle est contrôlée le jour suivant et l'insuffisance rénale post-rénale se corrige. Le patient rentre à domicile le 8.1.19. • Patient de 68 ans, transféré des urgences du CHUV aux soins intensifs pour suite de prise en charge dans un contexte d'état de mal épileptique focal secondaire à un glioblastome. Mr. Y a présenté un état de mal épileptique qui se manifeste initialement par un état confusionnel, une aphasie, une hémiparésie droite et des clonies du bras droit. Il consulte au CHUV où, compte tenu du tableau aigu, une prise en charge AVC est déclenchée. Il bénéficie d'une IRM qui permet d'exclure un AVC aigu et d'un EEG qui met en évidence un foyer épileptique focal. Le patient bénéficie d'une dose de charge en Lévétiracétam et Lacosamide avant de nous être transféré pour suite de prise en charge. L'évolution neurologique est lentement favorable et l'EEG de contrôle retrouve un foyer persistant fronto-temporal gauche. Le traitement anti-épileptique est alors majoré sur avis neurologique. Nous prenons contact avec les neuro-oncologues du CHUV chez lesquels le patient est suivi et proposons de poursuivre le suivi après résolution de l'épisode actuel. • Patient de 68 ans, transféré du service des urgences du CHUV aux soins intensifs pour la suite de prise en charge d'un état de mal épileptique focal secondaire à un glioblastome. Mr. Y a présenté un état de mal épileptique se manifestant initialement par un état confusionnel, une aphasie, une hémiparésie droite et des clonies du bras droit. Il consulte au CHUV où, compte tenu du tableau aigu, une prise en charge AVC est déclenchée. Il bénéficie d'une IRM cérébrale qui permet d'exclure un AVC aigu et d'un EEG qui met en évidence un foyer épileptique focal. Le patient bénéficie d'une dose de charge en Lévétiracétam et de Lacosamide avant de nous être transféré pour la suite de prise en charge. L'évolution neurologique est lentement favorable et les EEG de contrôle retrouvent un foyer fronto-temporal gauche irritatif persistant. Ainsi, selon avis neurologique, le traitement anti-épileptique est majoré jusqu'à l'obtention d'une stabilité clinique. Le premier taux effectué est infrathérapeutique pour le Lévétiracétam, mais effectué moins de 24 heures après la majoration du traitement. Ainsi, un nouveau taux est effectué le 28.01.2019. Selon avis oncologique du CHUV, suite à la mise en évidence d'une récidive du glioblastome en décembre 2018, l'objectif thérapeutique est de ralentir la progression de la maladie, avec un pronostic très réservé à moyen terme. L'IRM effectuée au service des urgences montre une stabilité de la maladie depuis décembre 2018 et les oncologues du CHUV proposent, après résolution de l'événement neurologique actuel, de poursuivre la chimiothérapie. Durant le séjour, le patient présente des vomissements itératifs, ainsi qu'un hoquet invalidant, initialement améliorés par un traitement symptomatique d'Ondansétron et Primpéran. Au vu d'une récidive de hoquet, nous ajoutons du Baclofène avec un bon effet. L'IRM cérébrale effectuée le 17.01.2019 permet d'exclure une étiologie d'hypertension intracrânienne à la symptomatologie. Selon avis neurologique, il pourrait s'agir d'un effet indésirable des anti-épileptiques, ces derniers devant tout de même être poursuivis. Le 27.01.2019, le patient présente une nouvelle péjoration de cette symptomatologie. Mr. Y demande alors un retrait thérapeutique, avec le souhait de ne pas poursuivre la chimiothérapie initialement prévue. Dans ce contexte, nous décidons de poursuivre uniquement les traitements nécessaires au confort du patient, soit les anti-épileptiques et les anti-émétiques, que nous relayons par voie intraveineuse à la demande du patient. Dans le contexte de l'épilepsie, le patient rapporte une dysphagie nouvelle. Un test de déglutition montre une parésie de la musculature oro-pharyngée droite, sans nécessité d'adapter le régime alimentaire. Au niveau biologique, nous mettons en évidence une pancytopénie que nous attribuons à la chimiothérapie, sans répercussion clinique. À la demande du patient et de son épouse, Mr. Y est transféré à la Villa Saint-François le 29.01.2019 pour une réhabilitation palliative. • Patient de 69 ans, ACTD de NSTEMI le 18.12.2018, vient pour une re-coronarographie pour traiter des lésions connues de l'IVA et de l'artère circonflexe. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre un bon résultat à court terme de la revascularisation percutanée de l'IVP et de la RVP. On a procédé à une PCI/1 DES de l'artère circonflexe moyenne (lésion de bifurcation), avec fenestration des mailles du stent dans la première marginale, PTCA et implantation d'un stent actif (kissing balloon CX moyenne et kissing stent première marginale avec un bon résultat final. La sténose restante sur l'IVA proximale apparaît moins sévère que lors de la coronarographie du 19.12.2018. On propose de pratiquer une ergométrie dans 1 mois et si évidence d'angoisse et/ou TE positif, on traitera alors la sténose restante de l'IVA. Le traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est poursuivi, soit jusqu'au 23.07.2019. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 24.01.2019 à domicile. • Patient de 69 ans admis aux soins intensifs le 19.01.2019 en raison d'un urosepsis sur pyélonéphrite aiguë gauche. Connu pour un cancer prostatique traité par radiothérapie en 2016 et suivi par Dr. X, il présente depuis le 16.01.2019 une douleur en hypochondre droit vive irradiant en péri-ombilical. Il décrit aussi une pollakiurie avec urine malodorante et une hématurie macroscopique. Le bilan évoque un urosepsis avec une hypotension associée à une insuffisance rénale aiguë. Un uro-CT ne montre pas d'obstruction des voies urinaires. Une antibiothérapie probabiliste par Ceftriaxone et une réanimation volémique ciblée sont initiées, avec une amélioration clinique en quelques heures. Dans le contexte septique apparaît une FA non datée et bien tolérée sur le plan hémodynamique, spontanément résolutive après correction volémique. À noter enfin des glycémies à la limite supérieure, faisant suspecter un diabète méconnu.•Patient de 69 ans admis pour troubles de la vigilance dans le contexte d'une accumulation d'opiacés sur insuffisance rénale aiguë. Il est connu pour un myélome multiple avec une insuffisance rénale chronique et un antécédent de sepsis à E.Coli sur translocation bactérienne compliqué d'une thrombose septique de la veine mésentérique inférieure pour laquelle il a été transitoirement anticoagulé. Le dernier cycle par Velcade et Prednisone pour son myélome date de début décembre 2018. Il est retrouvé par son fils allongé sur le dos dans le salon depuis un temps indéterminé. Le bilan cérébral montre un hématome sous-galéal frontal gauche sans fracture mais une suspicion de saignement fronto-polaire gauche minime qui est le plus probablement un simple artéfact. Les troubles de l'état de conscience régressent rapidement sous naloxone ivc sans déficit neurologique périphérique. Une accumulation d'opiacés dans le contexte d'une insuffisance rénale aiguë en est vraisemblablement responsable. Le patient rapporte d'ailleurs une surconsommation de morphiniques pour des douleurs lombaires exacerbées. Le CT lombaire retrouve le tassement de la vertèbre L1 connu avec recul du mur postérieur sans déplacement secondaire par rapport au dernier comparatif. L'avis neurochirurgical préconise une stabilisation de la fracture à but antalgique qui sera à discuter avec Dr. X. De plus, se développe une légère insuffisance respiratoire hypoxémique en lien avec une probable broncho-aspiration. En l'absence de syndrome inflammatoire et de fièvre, une couverture antibiotique n'a pas été introduite d'emblée. Elle serait à débuter si apparition d'un état fébrile ou flambée du syndrome inflammatoire. •Patient de 69 ans connu pour un BPCO stade GOLD III et un OH chronique, est hospitalisé pour une insuffisance respiratoire mixte. Pour rappel, le patient est connu pour de multiples exacerbations BPCO, la dernière en novembre 2018. Mr. Y présente depuis plusieurs jours une dyspnée en péjoration, sans augmentation de la toux ni des crachats. Il rapporte n'avoir pas pris son traitement et d'avoir fumé plus que d'habitude ces derniers jours. Au status, le patient sature à 77% à l'air ambiant, est afébrile et présente des sibilances sur l'ensemble des plages pulmonaires. Une radiographie du thorax ne montre pas de foyer. Une exacerbation de BPCO est retenue et un traitement par aérosols et Prednisone sur 4 jours est introduit. Au cours de l'hospitalisation, Mr. Y présente un état fébrile associé avec une dyspnée et une augmentation de la toux. Sans confirmation radiologique, nous suspectons une surinfection pulmonaire et introduisons une antibiothérapie dans un premier temps IV puis per os pour une durée totale de 7 jours. Les antigènes urinaires reviennent négatifs ainsi que les hémocultures et les cultures d'expectoration. L'évolution est favorable. Un jour après la fin de l'antibiothérapie, le patient présente à nouveau un état fébrile sur une re-infection pulmonaire. Nous réintroduisons une antibiothérapie à poursuivre jusqu'au 13.01.2019. Le patient montre une bonne évolution clinique sur le plan respiratoire. Nous proposons un inhalateur Nicoret à Mr. Y afin de diminuer la consommation de cigarette. Nous proposons de prendre un rendez-vous chez Dr. X dans 6 semaines pour un contrôle. Au vu d'une consommation d'alcool à risque, nous réalisons un suivi CIWA. Nous ne constatons pas de signes de sevrage lors de l'hospitalisation. Une protéinurie ayant été détectée par le médecin-traitant, nous effectuons une récolte des protéines sur 24h ne montrant pas une protéinurie. Une prise en charge n'est pas nécessaire actuellement. Un contrôle de la protéinurie sera à effectuer dans 6 mois. Nous constatons une lésion du cuir chevelu, probablement une kératose séborrhéique, pour laquelle nous organisons une consultation en dermatologie à l'HFR Fribourg le 26.02.2019. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile le 09.01.2019. •Patient de 69 ans connu pour un mésothéliome droit, transféré depuis l'hôpital de Fribourg ce jour pour suite de prise en charge de douleurs abdominales avec perte d'appétit et malnutrition protéino-énergétique sévère, dans le cadre de ce mésothéliome. Il nous est transféré de la médecine interne à Fribourg en soins palliatifs le 11.1.19. A l'anamnèse, le patient se plaint de douleurs abdominales à l'épigastre et à l'hypochondre droit évoluant depuis 6 mois, ainsi que de perte d'appétit et de poids (une vingtaine de kilos perdus en 6 mois). A l'anamnèse systématique, il évoque une fatigue, des troubles de la déglutition et une constipation bien gérée sous laxatifs avec une fréquence d'une selle par jour. Pas de nausée ni de vomissement, pas de diarrhée, pas de dyspnée, pas de trouble de l'humeur ou d'anxiété. Pas d'autres plaintes à l'anamnèse systématique. A l'examen clinique, nous retrouvons un patient cachectique. Au status cardio-vasculaire, des bruits B1 et B2 bien frappés mais irréguliers, sans souffle. Il n'y a pas de signe de surcharge vasculaire, pas d'OMI et les pouls périphériques sont bien perçus. L'examen abdominal montre des bruits diminués en fréquence mais de tonalité normale. Il existe des douleurs à la palpation, sans défense. Les loges rénales sont indolores. Le reste du status est sans particularité. Le 14.01.2019, le patient présente une dysphagie soudaine aux liquides et aux solides. Soupçonnant une obstruction du stent oesophagien, nous organisons une oeso-gastro-duodénoscopie qui permet de lever l'obstruction et de mettre en cause l'ingestion de KCl dragée dans cette obstruction. Une nouvelle obstruction le 17.01.19 nécessite une deuxième oeso-gastro-duodénoscopie. Suite à cela, nous décidons d'un régime entièrement mixé, ce dernier permettra au stent de rester non bouché jusqu'à la sortie. Nous insistons pour que ce régime mixé soit poursuivi à la sortie du patient, avec un rinçage par une gorgée d'eau, après chaque bouchée ingérée. Concernant les douleurs de Mr. Y, nous augmentons la dose quotidienne d'Oxycontin pour pouvoir les couvrir. Par ailleurs, sur suspicion d'une composante neuropathique, nous débutons de la Pregabaline (capsules impérativement à ouvrir et à prendre avec du liquide ou du yoghourt pour éviter un blocage du stent). Nous recommandons d'augmenter la dose jusqu'à la dose maximale si nécessaire et de faire en cas de nécessité en relais avec le Neurontin ou le Cymbalta ou la Méthadone. Pour des questions d'adaptation de l'antalgie, nous restons volontiers à disposition. Socialement, le patient vit avec sa femme dans une maison à un étage avec une quinzaine de marches d'escaliers. Il est autonome dans les activités de la vie quotidienne, c'est sa femme qui fait les courses et s'occupe des tâches ménagères. Il bénéficiait jusqu'à son hospitalisation à Fribourg du Spitex une fois par jour pour l'alimentation artificielle dont il bénéficiait (mais n'a plus désormais depuis la pose d'un stent oesophagien). Voltigo n'est pas impliqué, et le patient ne souhaite pas leur implication pour le moment. Le reste de l'hospitalisation se déroule sans autre complication, et le 23.01.2019, nous pouvons laisser rentrer le patient au domicile dans un meilleur état général. •Patient de 69 ans, connu pour un myélome multiple, qui est hospitalisé en raison d'un trouble de la vigilance dans le contexte d'une accumulation d'opiacés sur insuffisance rénale aiguë. En effet, le patient est retrouvé par son fils allongé au sol depuis un temps indéterminé. Après une surveillance aux soins intensifs dans le contexte du trouble de la vigilance avec une régression rapide de la symptomatologie, Mr. Y est transféré en médecine pour la suite de prise en charge.L'accumulation d'opiacés survenant dans le contexte d'une surconsommation de Temgesic en lien avec des douleurs lombaires chroniques exacerbées, nous complétons le bilan par un CT puis une IRM de la colonne lombaire, qui retrouvent le tassement de la vertèbre L1 connu, avec recul du mur postérieur, sans déplacement secondaire par rapport au dernier comparatif de septembre 2018. Selon avis neurochirurgical de Dr. X, une stabilisation de la fracture à but antalgique est préconisée. Après avoir reçu toutes les informations nécessaires à un consentement éclairé, le patient refuse une telle intervention. Il sera revu en consultation auprès de Dr. X dans 4 semaines afin d'en rediscuter. Sur le plan de l'antalgie, l'hydratation intraveineuse ayant permis de corriger l'insuffisance rénale aiguë, le Temgesic est repris, et nous poursuivons le traitement de Dafalgan. Selon avis neurochirurgical, un traitement de Sirdalud est introduit à petite dose. Concernant les multiples foyers de broncho-aspiration mis en évidence au CT, devant un syndrome inflammatoire pouvant être expliqué par le contexte oncologique, et en l'absence de fièvre, aucune antibiothérapie n'est débutée, et l'évolution clinique est favorable. Sur le plan oncologique, Mr. Y a bénéficié d'un dernier cycle par Velcade en décembre 2018. Le patient prendra rendez-vous pour un prochain contrôle oncologique auprès de Prof. X. Mr. Y rentre à domicile le 12.01.2019. Mr. Y, 69 ans, connu pour un syndrome de Parkinson et un s/p stabilisation de la colonne vertébrale en octobre 2018, est amené en ambulance en raison d'une chute à domicile sur lâchage du genou droit avec réception sur l'hémithorax gauche contre la baignoire, sans perte de connaissance. Ce phénomène de lâchage était habituel avant la chirurgie du mois d'octobre, était en résolution depuis et réapparaît depuis hier. La radiographie du thorax confirme la suspicion de fracture de côtes que nous traitons par antalgie et physiothérapie respiratoire, afin de prévenir une surinfection pulmonaire. Selon l'avis des orthopédistes, nous n'effectuons pas d'imagerie en urgence durant le séjour et préconisons au patient de prendre un RDV en ambulatoire au Salem. Au vu de l'évolution favorable, le patient rentre à domicile le 07.01.2019. Mr. Y, 69 ans, connu pour une maladie coronarienne tritronculaire et DM type 2, nous est adressé par Dr. X pour une diminution de la capacité d'effort et troubles du rythme lors de l'ergométrie de contrôle. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une progression de la maladie coronarienne avec sténose de novo calcifiée de l'IVA proximale et lésion intermédiaire de la RCx distale. Excellent résultat intrastent. Fonction VG systolique modérément diminuée. Le patient bénéficie d'une angioplastie de l'IVA avec 1 stent actif de nouvelle génération et un bon résultat final. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté ainsi qu'un traitement par Torasemide 5 mg/j. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 1 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 31.01.2019 à domicile. Mr. Y, 69 ans, est amené aux urgences par son épouse pour une dyspnée. Elle se plaint par ailleurs du traitement palliatif, difficile à gérer malgré les aides infirmières à domicile. Au vu de la situation sociale et oncologique, il est décidé d'hospitaliser Mr. Y en Médecine pour cause de maintien à domicile impossible. À son admission, Mr. Y ne formule pas de plainte. Notre statut d'entrée ne permet pas d'objectiver de processus pathologique sur le plan respiratoire. Nous revoyons avec nos confrères palliativistes le traitement, et le simplifions au plus. Cette adaptation du traitement est fort bien tolérée par le patient, la décision de le poursuivre à domicile est donc arrêtée. Mme. Y, son épouse, reçoit les informations nécessaires pour la gestion de ce dernier, tant sur le plan médical qu'infirmier. Sur demande de Mr. Y et de Mme. Y, nous vous proposons de contrôler régulièrement la formule sanguine du patient et d'agender si nécessaire une transfusion sanguine. Par ailleurs, au vu des multiples hospitalisations du patient, nous recommandons un placement en EMS s'il venait à se faire hospitaliser à nouveau. Mr. Y retourne à domicile le 7 janvier, avec des aides infirmières à domicile ainsi que le soutien de l'équipe d'intervention Voltigo. Mr. Y, 69 ans, se présente aux urgences en raison de l'apparition depuis une semaine de douleurs au membre inférieur droit avec rougeur et tuméfaction depuis 2 jours. Mr. Y est connu pour présenter des lésions cutanées traitées par Fucidine et Eosine solution. Pas d'état fébrile ni de frissons. À l'examen clinique d'entrée, présence d'un œdème (sans godet) à la face postérieure du pied droit, avec gradient thermique. Les mollets sont indolores à la palpation, pas d'adénopathie inguinale mise en évidence. Le reste du statut est normal. Le laboratoire révèle un syndrome inflammatoire, avec des leucocytes à 9.5 G/l et une CRP à 103 mg/l, une hémoglobine à 118 g/l et une créatinine à 89 umol/l. Des hémocultures sont prélevées et le patient est mis au bénéfice de Co-Amoxicilline iv, puis hospitalisé en médecine. Sous antibiothérapie, l'évolution est favorable, avec diminution progressive de la tuméfaction du pied droit. Les contrôles biologiques montrent une diminution progressive du syndrome inflammatoire avec à la sortie des leucocytes à 5.1 G/l et une CRP à 33 mg/l. Le patient évoquant une difficulté à se mobiliser en raison des douleurs depuis le début de la symptomatologie, il bénéficie d'un suivi en physiothérapie. En fin de séjour, Mr. Y se mobilise à l'aide de cannes, et l'antalgie est maîtrisée. Sur le plan respiratoire, le patient n'a pas de dyspnée mais il présente une saturation à 91% à l'air ambiant. Ces désaturations observées sont mises sur le compte de son asthme connu et de l'obésité. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y regagne son domicile le 26.12.2018, avec poursuite de l'antibiothérapie de Co-Amoxicilline 1 g jusqu'au 01.01.2019, soit un total de 10 jours. Mr. Y, 70 ans, admis le 14.01.2019 aux soins intensifs en raison d'une décompensation cardiaque gauche aiguë sur un bloc atrio-ventriculaire degré II type 2 nouveau. Il présente depuis une semaine des signes de décompensation cardiaque avec une dyspnée et une oppression thoracique nouvelle motivant le patient à consulter aux urgences. L'évaluation clinique retrouve une décompensation cardiaque avec à l'ECG d'entrée un bloc atrio-ventriculaire degré II Mobitz 2 nouveau. Le patient est transféré dans ce contexte aux soins intensifs pour suite de prise en charge. En attente de la pose du pacemaker, la fréquence cardiaque est contrôlée par l'administration d'Isoprénaline. La pose du pacemaker se déroule sans complication immédiate avec une radiographie de thorax de contrôle sans particularité. L'évolution est simple par la suite. Au laboratoire d'entrée, une élévation des enzymes cardiaques est mise en évidence avec modifications non spécifiques à l'électrocardiogramme. Une coronarographie sera à discuter à distance de la pose du pace-maker avec les collègues cardiologues. Le patient est transféré à l'étage de médecine interne le 14.01.2019 pour suite de prise en charge. Mr. Y, 70 ans, nous est adressé pour une dyspnée à l'effort.Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne monotronculaire avec une sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Le patient bénéficie d'une angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure moyenne avec implantation de 1 stent actif. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Clopidogrel 75 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. Concernant le FOP, le patient sera discuté lors du prochain colloque interdisciplinaire pour évaluer la nécessité d'une fermeture du FOP. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 18.01.2019 à domicile. Patient de 71 ans, connu pour un lymphome à cellules B matures de type folliculaire transformé en lymphome agressif sous chimiothérapie de type R-CHOP depuis le 20.12.2018, hospitalisé le 28.12 pour une agranulocytose fébrile d'origine indéterminée. Le patient est traité par Cefepime dès le 28.12 et bénéficie d'une dose unique de Fluconazole. Le bilan infectiologique ne retrouve pas de source sous-jacente à l'état fébrile. Après administration de Neupogen, le patient sort d'agranulocytose le 30.12 et l'antibiothérapie est stoppée le 01.01.2019 au vu de la résolution du syndrome inflammatoire et d'absence d'état fébrile depuis 72 heures et rentre à domicile le 01.01.2019. Le patient sera revu en oncologie le 10.01.2019 et est averti de consulter en cas de récidive de la fièvre. Patient de 71 ans, connu pour un mélanome nodulaire ulcéré scapulaire droit, Breslow 1.65 mm, pT2 bp N1 M0 avec métastases ganglionnaires axillaires gauches, actuellement sous immunothérapie, suivi par le Prof. X au CHUV, qui se présente aux urgences pour un malaise avec perte de connaissance, précédé de vertiges et d'une gêne abdominale. Mr. Y décrit le jour précédent des frissons et une asthénie importante avec une température mesurée à 38.6°C. Probable traumatisme crânien sans amnésie circonstancielle. À la reprise de conscience au sol, sudations importantes et douleurs costales latérales droites respiro-dépendantes et reproductibles à la palpation (probablement liées à la chute). Pas de notion de morsure latérale de langue ni de perte d'urine. À l'examen clinique d'entrée, patient légèrement hypotendu à 109/72 mmHg, normocarde à 71 bpm, avec une saturation à 96% à l'air ambiant, apyrétique à 36.2°C. L'auscultation cardiaque montre des bruits réguliers, sans souffle ausculté. Les pouls périphériques sont bien palpés. Il n'y a pas de signe de décompensation cardiaque droite ni gauche. Au niveau respiratoire, le patient est eupnéique à 17/min, il ne présente pas de signe de détresse respiratoire. Le murmure vésiculaire est symétrique, avec la présence de crépitants aux deux bases. L'examen ostéo-articulaire ne met pas en évidence de douleur à la palpation et à la percussion des apophyses épineuses vertébrales, mais douleurs à la palpation costale sur la ligne médio-claviculaire droite, à hauteur des côtes 6, 7 et 8. Le reste du status est dans la norme. L'ECG montre un rythme sinusal régulier à 64 bpm, un BAV du premier degré avec un PR à 212 ms, des QRS fins, des ondes T négatives en aVL, V4, V5, V6 sans trouble de la repolarisation. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 76 mg/l et une leucocytose à 15.4 g/l, une neutrophilie à 12.1 g/l, une bilirubinémie avec bilirubine totale à 19.6 umol/l et directe à 6.8 umol/l, le reste des tests hépatiques étant dans la norme, une fonction rénale conservée avec une créatinine à 98 umol/l et des électrolytes dans la norme. La radiographie thoracique ne montre pas de foyer ni de pneumothorax. Un test de Schellong induit une hypotension orthostatique sévère compliquée d'un passage en bradycardie, puis une asystolie. Un massage cardiaque est entrepris ainsi qu'une injection d'Atropine 0.5 mg. Le patient récupère une activité électrique avec pouls justifiant une surveillance en lit d'observation qui se déroule sans particularités. Le Dr. X, cardiologue, conclut à une hypotension orthostatique sévère avec stimulation du nerf vagal. Une antibiothérapie iv de Co-Amoxi 2.2 g est débutée. Du point de vue infectiologique, le patient ne présente pas d'autre symptôme associé en cours de séjour. Deux paires d'hémocultures sont prélevées, qui reviennent négatives après 5 jours. La culture du liquide de drainage axillaire gauche revient positive pour un Streptocoque agalactiae multisensible. Un avis est demandé au Prof. X au CHUV qui nous demande d'exclure une pneumonie ou une colite qui pourraient être induites par l'immunothérapie en cours. Cliniquement, le patient ne présente pas de symptomatologie compatible avec une colite et une radiographie pulmonaire ne met pas en évidence de foyer. Concernant l'écoulement du drain au niveau du point de ponction cutané, le Dr. X évalue régulièrement l'état d'étanchéité. Le drain reste imperméable au cours de l'hospitalisation. La cicatrice est propre, non inflammatoire et il n'y a pas d'écoulement purulent spontané, ni à l'appui. Le liquide, initialement purulent, devient jaune sanguinolent, de type lymphatique. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Mr. Y regagne son domicile le 22.12.2018, avec poursuite de la Co-Amoxicilline per os. Il sera revu par le Dr. X à la FUA le 24.12.2018 pour un contrôle clinique et biologique. Patient de 71 ans, connu pour une tachyarythmie paroxystique, opéré le 19.10.18 pour une fracture du col du fémur, anticoagulé initialement par Clexane puis Xarelto jusqu'au 31.11.18, qui consulte pour des douleurs basi-thoraciques droite respiro-dépendantes, non position-dépendantes depuis 2-3 jours. Ces douleurs sont péjorées par l'inspiration profonde et par l'effort de toux, insomniantes, évaluées à 10/10, actuellement à 8/10. Pas de notion de toux, d'expectorations, de traumatisme récent, de voyage récent, de fièvre, de douleurs aux membres inférieurs. Le patient se mobilise peu depuis son opération car il se déplace en fauteuil roulant. À l'examen clinique d'entrée, patient en état général diminué en raison des douleurs. À l'auscultation pulmonaire, hypoventilation globale avec douleurs basi-thoraciques non reproductibles à la palpation. Le signe de Homans est négatif, le ballant des mollets est conservé des deux côtés. La plaie opératoire de la hanche droite est calme et ne présente pas de signes de surinfection. Un laboratoire est effectué qui montre des D-dimères à 3'500 ng/l et un syndrome inflammatoire avec une CRP à 209 mmol/l et une leucocytose à 15 G/l. Le CT thoracique révèle des thrombi au niveau des branches segmentaires supérieure et inférieure droites. L'ECG montre des troubles de la repolarisation et des ondes T négatives en DII, DIII, aVF, V4, V5 et V6, deux trains de troponines sont dosés qui reviennent à 10 ng/l respectivement à H0 et H1. Nous retenons ainsi une embolie pulmonaire segmentaire supérieure et inférieure droite pour laquelle le patient est hospitalisé en médecine et placé sous Xarelto associé à une oxygénothérapie. Son traitement habituel de Sotalol est suspendu. L'évolution est favorable. Les douleurs sont gérées par une antalgie simple. Le patient reste apyrétique et hémodynamiquement stable au cours du séjour. Les saturations O2 restent favorables sous 1 L d'oxygène initialement. À la sortie, le patient est non dyspnéique, avec des saturations à 93% à l'air ambiant. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y regagne son domicile le 21.12.2018. Patient de 72 ans, admis aux soins intensifs le 17.01.2019 pour stabilisation hémodynamique et suite de prise en charge en post-opératoire immédiat d'un remplacement électif de PTH droite.Le patient bénéficie d'un changement de prothèse totale de hanche à droite suite à un descellement symptomatique. L'opération se complique d'un important saignement qui nécessite l'utilisation du Cell Saver, la transfusion de PFC, une expansion volémique importante (7 litres) et un support par noradrénaline. L'évolution dans notre service est simple, les amines peuvent être rapidement sevrées et l'hémoglobine reste stable après réanimation volémique ciblée. Il ne présente pas de complication respiratoire ou rythmique. L'antalgie est bien contrôlée sous Voltaren et Dafalgan, avec de faibles doses d'opiacés en réserve. Patient de 72 ans admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique en raison d'un trouble électrolytique sévère. Mr. Y se présente aux urgences en raison d'une douleur thoracique, des palpitations et une dyspnée. Le patient a dernièrement bénéficié d'un CT thoraco-abdominal de contrôle dans le cadre du suivi oncologique habituel. Un épanchement pleural droit mis en évidence à l'imagerie aurait été drainé le 24.01.2019 à la Clinique générale. Le bilan biologique initial révèle une alcalose métabolique avec une hypokaliémie sévère. Lors de la surveillance aux urgences, il présente un épisode de flutter auriculaire à conduction rapide. Dans ce contexte, les troponines sont élevées et un NSTEMI secondaire est évoqué. L'hypokaliémie est lentement corrigée avec une substitution intraveineuse et orale. Du magnésium et de l'Acétazolamide sont également administrés. Le patient ne présente pas de nouveau trouble du rythme. L'origine de l'hypokaliémie s'inscrit dans le contexte d'une thérapie par Néphrotrans au long cours et d'un diurétique thiazidique. Nous retenons un transfert intracellulaire de potassium dans le cadre de l'alcalose métabolique due à la concentration élevée en bicarbonate. Une insuffisance rénale aiguë légère est également observée et évolue favorablement après hydratation. Le traitement antihypertenseur habituel par sartan et HCT est mis en suspens et de l'Amlodipine est introduite. Au vu de la suspicion d'un NSTEMI secondaire, nous vous proposons de faire une échocardiographie dès lundi et de discuter l'indication d'une coronarographie en accord avec les cardiologues. De l'aspirine est débutée et le bilan lipidique est à compléter afin d'adapter le traitement de statine déjà en place. Le bilan débuté chez le médecin traitant est à rapatrier. Selon le résultat du scanner et la qualité du liquide de ponction pleurale, un avis oncologique et un PET-CT seront à envisager. Patient de 72 ans, connu pour un carcinome rectal en rémission (s/p résection avec colostomie en 2001 et chimiothérapie), est hospitalisé dans un contexte de pyélonéphrite aiguë à droite. Il rapporte l'apparition brutale de frissons généralisés durant environ 30-45 minutes avec une douleur lombaire bilatérale vers 19h30 lorsqu'il est assis devant la télévision au repos. À son arrivée, le patient est fébrile et présente une tachycardie avec tachypnée et 2 épisodes de vomissements. Le patient est connu pour un antécédent de pyélonéphrite droite le 04.09.2018 à Pseudomonas traité par Ciprofloxacine d'évolution favorable. Il est suivi par le Dr. X qui a effectué une cystoscopie, avec notion d'opération à prévoir. Le status d'entrée retrouve une loge rénale droite douloureuse à la percussion. Le status urinaire montre des leucocytes et le bilan biologique retrouve une leucocyturie. Au vu de l'anamnèse et de l'examen clinique, le patient bénéficie d'une antibiothérapie pour une suspicion de sepsis urinaire sur pyélonéphrite droite. L'urotube prélevé après la 1ère dose d'antibiotique est stérile. Les hémocultures sont encore en cours. Au vu de l'amélioration clinique et biologique, un relais per os avec de la ciprofloxacine est réalisé le 30.12.2018, pour une durée totale de 14 jours. Le patient rentre à domicile le 01.01.2019. Patient de 72 ans connu pour une hyperplasie bénigne de la prostate avec résection en 2015 (TURP) et multiples macrohématuries post-op depuis 2015. Le patient est hospitalisé du 25.12 au 29.12 pour nouvelle macrohématurie avec caillot et pose d'une sonde urinaire 3 voies du 25.12 au 28.12. Le patient est rentré ce jour puis se présente vers 21h30 avec de la fièvre et des frissons d'algurie et de pollakisurie. Le bilan réalisé aux urgences met en évidence une urosepsis sur Citrobacter koseri. Un traitement par Rocéphine iv est débuté le 29.12 avec une évolution favorable et afébrile. Le relais p.o. avec antibiogramme est réalisé le 2.1.19 et devra être poursuivi jusqu'au 7.1.19. Une tamponnade de la vessie est exclue le 1.1.19 par ultrason (Bedside). Nous proposons, par rapport aux macrohématuries récidivantes, d'exclure un malignome des voies urinaires par cystoscopie et CT abdominale. Mr. Y sort le 2.1.19 dans un bon état général. Patient de 72 ans vient pour une deuxième tentative de désobstruction percutanée de l'ACD. Comme convenu, nous avons fait une deuxième tentative de désobstruction percutanée de l'ACD qui, malgré un essai dans de bonnes conditions, double accès et approches antégrade et rétrograde, n'est pas plus concluant que la dernière fois. Le patient sera convoqué par le Dr. X à l'Inselspital pour une 3ème tentative de CTO dans 1 mois. Le traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 25.01.2019 à domicile. Patient de 73 ans aux multiples antécédents athéromateux et tabagiques (amputation des deux jambes, opérations abdominales - probable pontage et opération d'un anévrisme de l'aorte abdominale), se présente aux urgences pour douleurs abdominales présentes depuis 4-5 jours qui se sont fortement accentuées hier. Le patient rapporte un arrêt des selles depuis 7 jours et un arrêt des gaz depuis 2 jours. Le patient a présenté 5 épisodes de vomissements hier soir et, au vu de ces douleurs abdominales insupportables, est amené aux urgences ce jour. Le patient est hypotendu à 92/62 mmHg et tachycarde à 110/min, SatO2: 91% AA. Patient algique, hypotendu, mais sans signe de choc : pas de marbrures, de pâleur, ou de sudation. Status digestif : Abdomen distendu, extrêmement douloureux à la palpation superficielle, silence auscultatoire. Le reste de l'examen clinique est sans particularités. Suite à L'ASP montrant une distension colique importante, nous prenons l'avis du Dr. X qui préconise un CT abdominal natif qui montre une occlusion colique avec une possible souffrance pariétale avec pneumatose au niveau caecal. Le Dr. X conclut un diagnostic d'occlusion colique d'origine X avec un diagnostic différentiel de colite ischémique. Nous mettons en place une sonde naso-gastrique, un traitement ATB par Rocéphine 2 g IV et Metronidazole 500 mg IV et une antalgie par morphine. Le patient est transféré en ambulance au CHUV. Patient de 73 ans, hospitalisé du 09.11.2018 au 28.11.2018 à l'hôpital d'Yverdon-les-Bains pour un épanchement pleural bilatéral, transféré par la suite en médecine HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour le reste des investigations. Durant ce séjour, l'épanchement a été investigué et l'hypothèse d'un lymphome vasculaire écartée. Ce jour, Mr. Y est admis dans notre service de réhabilitation gériatrique pour la suite de sa prise en charge.A son entrée dans notre service, signalons un état dépressif sévère avec baisse de thymie et idéations suicidaires scénarisées durant ces derniers mois. Après différents essais thérapeutiques, le patient rapporte une amélioration de sa thymie depuis l'introduction de la Vortioxétine. A l'admission, le bilan biologique indique un syndrome inflammatoire persistant avec, comme piste clinique, seulement des douleurs lombaires et para-lombaires gauches pour lesquelles nous planifions une IRM lombaire. Cet examen constate une prise de contraste des plateaux de niveau L5-S1 ainsi que de l'annulus et des tissus mou antérolatéraux à dépendance du psoas, sans collection abcédée ni compression radiculaire ou destruction osseuse. Un avis est demandé à la garde du Spine Team qui retient une très forte suspicion diagnostique de spondylodiscite chez ce patient, avec des facteurs de risque pour une telle infection et avec un corrélat radioclinique assez clair. Nous effectuons par conséquent des radiographies debout, de face et de profil de la colonne lombaire comme mesure de base afin de juger de la stabilité sur les contrôles à faire dans l'avenir ou d'une éventuelle cyphotisation au décours des prochaines semaines. Néanmoins, nous ne retenons pas d'indication chirurgicale au vu de l'absence de signe d'instabilité mécanique ou de compression nerveuse. Après un avis infectiologique, nous effectuons des hémocultures qui reviennent négatives et une culture suite à une biopsie osseuse le 17.01.2019 qui revient négative. Nous effectuons une PCR bactérienne qui s'avère également négative. Suite au prélèvement, nous débutons une antibiothérapie par Co-Amoxicilline le 18.01.2019. Sur le plan infectiologique, et après avis pris auprès de Dr. X, nous suspectons une origine urinaire en raison d'un urotube fait le 19.12.2018 chez un porteur de sonde vésicale à ce moment qui montrait la présence de Klebsiella pneumoniae qui n'avait pas été traitée. Une deuxième origine pourrait être celle du cathéter périphérique. Sur le plan cardiovasculaire, notons la présence d'une tachycardie persistante dans un contexte de FA paroxystique. Dans ce contexte, nous introduisons du Beloc ZOK 25 mg à partir du 15.01.2019, augmenté à 50 mg dès le 18.01.2019 et qu'il conviendra de réévaluer. Une courte évaluation sociale signale que Mr. Y vit seul en appartement au 2ème étage sans ascenseur. Les escaliers sont équipés d'une rampe. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage ne sont pas réalisés en raison du refus du patient. Durant son séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. Le bilan nutritionnel signale une malnutrition protéino-énergétique grave, en lien avec une inappétence sur douleurs de la région gastrique (épanchement pleural et fractures côtes), démontrée par un NRS à 5/7 et des apports oraux estimés à max 20% de ses besoins énergétiques, avec la nécessité de débuter une nutrition entérale, ce que le patient refuse. Le 24.01.2019, le patient chute sans perte de connaissance, avec pour conséquence un traumatisme crânien, mais sans arrêt cardiaque, avec réception sur la hanche gauche. La radiographie nous donne une image suspecte pour une fracture pertrochantérienne gauche. Selon avis orthopédique de Dr. X, nous retenons une indication opératoire. Le patient est donc transféré en orthopédie HFR Riaz pour la pose d'un clou gamma le 25.01.2019. Mr. Y, 73 ans, nous est adressé par Dr. X pour un angor d'effort depuis 2-3 mois. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre un bon résultat après PCI de l'IVA proximale, de la Cx distale et de l'ACD proximale. Par contre, il y a une resténose intrastent au niveau de la bifurcation de la Cx proximale/première. Cette resténose touche les deux jambages. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 65%. Le patient bénéficie d'une angioplastie des deux branches avec utilisation de ballons à élution de Paclitaxel et un bon résultat final. Le traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est poursuivi. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez Dr. X ainsi qu'un test d'effort (écho de stress ?) dans 9 mois. En cas d'ischémie antérieure (progression TC ou ISR), une revascularisation chirurgicale devra être naturellement envisagée. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 12.01.2019 à domicile. Mr. Y, 73 ans, est transféré le 30.12.2018 de Riaz à l'hôpital cantonal de Fribourg pour réalisation d'une OGD au vu d'une suspicion d'impaction alimentaire versus de progression tumorale. En effet, le patient est connu pour un carcinome épidermoïde de l'œsophage (traité conservativement avec pose de stent le 12.11.2018 à but symptomatique) et présente une dysphagie nouvelle aux solides et aux liquides, arrivant toutefois à avaler sa salive. Une oesogastroduodénoscopie est réalisée le 01.01.2018 par Dr. X et montre un bon positionnement du stent ainsi que sa perméabilité et l'absence d'impaction alimentaire. La dysphagie est donc probablement en lien avec une dysmotilité oesophagienne pour laquelle le régime alimentaire est adapté (mixé lisse). Le patient ne présente plus de dysphagie par la suite. Une conversation téléphonique avec la responsable du home Bourgeoisiale ainsi que le représentant thérapeutique du patient (Mr. Y, son frère) a lieu afin d'informer d'une dysmotilité oesophagienne probablement sur la néoplasie et de l'absence de sanction thérapeutique. Des oesogastroduodénoscopies itératives ne seraient donc pas proposées dans ce contexte ainsi qu'au vu de la fragilité du patient. Pour les mêmes raisons, une nutrition par PEG n'est pas envisagée. Il est mentionné qu'une évolution vers une situation de soins de confort est à prévoir en cas de nouvelle péjoration. A noter qu'à l'arrivée au service des urgences, le patient présente une fibrillation auriculaire tachycarde sans répercussion hémodynamique pour laquelle le traitement freinateur est adapté. A la sortie, le patient a une fréquence cardiaque aux alentours de 100/min. Un traitement par Co-Amoxicilline est introduit dans le contexte d'une pneumonie de broncho-aspiration et sera à poursuivre jusqu'au 05.01.2019 y compris pour un total de 7 jours. Le patient rentre au home le 04.01.2019. Mr. Y, 74 ans, admis le 19.01.2019 aux soins intensifs en raison d'une hyponatrémie vraie pauci-symptomatique. Il consulte initialement les urgences pour des douleurs abdominales. Le scanner révèle une obstruction urétérale avec dilatation pyélocalicielle droite sur obstacle métastatique. A cela s'ajoute des adénopathies métastatiques rétropéritonéales et pancréatiques connues. Une pyélonéphrite obstructive est traitée par antibiothérapie probabiliste de Ceftriaxone. Après contact avec l'équipe d'urologie, une levée de l'obstacle sera réalisée par la suite si une chimiothérapie palliative était envisagée. Mr. Y sera présenté au Tumor Board d'urologie le 24.01.2019 et il sera alors décidé de la suite de la prise en charge. L'hyponatrémie est attribuée en premier lieu au contexte néoplasique. L'évolution est simple après correction lente dans notre service. Mr. Y, 74 ans, admis aux soins intensifs le 17.01.2019 suite à la pose d'une endoprothèse aorto-bi-iliaque dans le contexte d'un anévrisme de l'aorte abdominal sous-rénale de 60 mm.Dans la nuit du 17.01.2019, Mr. Y présente une sensation douloureuse du membre inférieur gauche avec des contrôles vasculaires pathologiques motivant la réalisation d'un angio-CT. Cet examen retrouve une thrombose artérielle iliaque externe gauche et fémorale superficielle gauche. Il bénéficie le 18.01.2019 d'une TEA fémorale gauche qui se déroule par la suite sans complications. Un traitement par Dexaméthasone en schéma dégressif est introduit. L'anticoagulation prophylactique est introduite. Les suites sont dès lors simples. Mr. Y, âgé de 74 ans, admis aux soins intensifs le 21.12.2018 en raison d'un choc septique secondaire à une péritonite stercorale survenant dans un contexte d'iléus mécanique sur bride, d'adhésiolyse et de perforation du grêle. Pour rappel, il consulte le 19.12.2018 aux urgences pour des douleurs abdominales présentes depuis le 14.12.2018 avec nausées et vomissements. Le bilan clinique et radiologique met en évidence un iléus mécanique sur brides motivant une adhésiolyse le 20.12.2018. En post-opératoire, il développe des douleurs importantes avec un état clinique qui se complique par un choc septique sur péritonite stercorale. Il bénéficie en urgence d'une laparotomie exploratrice avec résection de 90 cm de jéjunum, lavage péritonéal abondant et mise en place d'un pansement VAC-abdominal et splitstomie en fosse iliaque droite. Une antibiothérapie à large spectre est débutée avec une dose initiale de Pipéracilline/Tazobactam qui est relayée par Imipenem et ajout de Fluconazol. Au vu d'une vasoplégie importante malgré le traitement vasopresseur, une substitution par Solucortef est initiée jusqu'au 26.12.2018. L'évolution hémodynamique est favorable dès la laparotomie de second look. Le VAC est changé régulièrement par la suite, le prochain changement est prévu pour le 03.01.2018. En raison d'une anurie et d'une acidose difficile à corriger, une épuration extra-rénale est débutée le 24.12.2018. Une relance de la diurèse par Lasix est effectuée avec succès le 25.12.2018. La fonction rénale s'améliore par la suite. À l'arrivée aux soins intensifs, Mr. Y est en rythme sinusal (après avoir été cardioversé aux urgences sur un flutter mal toléré), avec des extrasystoles ventriculaires. Il présente une récidive de FA le 25.12.2018 qui est cardioversée par Cordarone et un choc électrique externe. L'évolution se complique le 25.12.2018 d'un STEMI secondaire à l'état de choc. Une coronarographie diagnostique confirme une maladie coronarienne tritronculaire. Une coronarographie thérapeutique est effectuée le 31.12.2018 à distance de l'épisode infectieux avec pose de 3 stents sur l'IVA proximale, sans complication. Une nouvelle coronarographie sera à prévoir dans un mois pour le traitement de l'artère circonflexe. Une échocardiographie est à organiser avant la sortie de l'hôpital. Dans le contexte post-opératoire, Mr. Y est initialement intubé et ventilé. Devant l'espacement des changements de VAC et l'amélioration de l'hypoxémie due aux épanchements pleuraux avec atélectasies secondaires, il est extubé sans complication le 28.12.2019. Il présente un état confusionnel hypoactif alternant avec des périodes d'agitation psycho-motrice, dont l'origine est multifactorielle (douleur, sepsis et possiblement l'Imipenem). Une réafférentiation et une majoration de l'antalgie permettent une évolution favorable. Une désorientation temporelle persiste à la sortie mais le patient est plus calme sous traitement médicamenteux par mélatonine et distraneurine. Dans le contexte de l'iléus, une alimentation parentérale est mise en place à partir du 24.12.2018. Le patient reprend une alimentation orale progressivement à partir du 30.12.2018 (régime mixé lisse), pour des troubles de la déglutition modérés. Les bruits digestifs sont présents, abdomen souple et transit normal dans la stomie. L'alimentation parentérale nécessite l'introduction d'une insulinothérapie en IV continue avec un relais SC par Insulatard à partir du 01.01.2019. Les glycémies sont à surveiller par la suite. Un suivi conjoint par nos collègues diabétologues est demandé au moment du transfert en division. Devant l'évolution favorable, le patient est transféré en chirurgie le 02.01.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, âgé de 74 ans, connu pour un cholangiocarcinome extrahépatique avancé inopérable diagnostiqué en juillet 2017, avec décision de soins palliatifs sans chimiothérapie (décision prise en accord avec la famille et selon les recommandations des équipes médicales). Le patient a dernièrement été hospitalisé dans notre service de soins palliatifs dans le contexte de chocs septiques à répétition dans le cadre des chimiothérapies précédentes. Cette fois, le patient nous est amené par son fils depuis le domicile le 20.01.2019 pour un état fébrile soudain avec ictère et état confusionnel aigu. À l'entrée, l'anamnèse est limitée par l'état confusionnel du patient, qui dit cependant ne pas ressentir de douleurs, ni de dyspnée. L'hétéro-anamnèse du fils nous apprend que le patient était en bon état général depuis sa sortie d'hôpital le 23.12.2018, et qu'il s'est subitement péjoré ce matin avec l'apparition d'une fièvre et de frissons ainsi que d'une confusion nouvelle. Au statut, nous trouvons un patient à l'état général diminué, ictérique, confus, mais calme et collaborant. Le GCS est de 13/15 et la température est de 39.4°C. L'examen neurologique montre des pupilles isocores isoréactives, avec une force et une sensibilité grossièrement conservées. L'abdomen est souple et indolore, légèrement distendu avec une ascite minime (connue et récurrente chez le patient) sans hépatomégalie palpée, et les bruits sont normaux en qualité et quantité. Le reste du statut est sans particularité. En accord avec la femme du patient, nous décidons de ne pas mettre en place une antibiothérapie au vu du contexte palliatif sans chimiothérapie, et assurons uniquement des soins de confort. Nous introduisons une antalgie avec Novalgine avec un bon résultat. Nous poursuivons l'aldactone à la dose de 25mg par jour en prévention d'une augmentation trop importante de l'ascite. Rapidement, l'état clinique général du patient s'améliore avec une disparition de la fièvre et de l'état confusionnel. L'ictère et l'ascite débutants demeurent. Après discussion avec Mme. Y, nous décidons de renforcer les soins palliatifs à domicile, afin que le patient puisse, en cas de nouvelle complication, bénéficier de tous les soins de confort nécessaires au domicile. Notre infirmière de liaison a pris contact avec l'association Voltigo qui doit rapidement revenir vers le patient et sa famille. Socialement, Mr. Y vit dans un appartement avec sa femme, il a besoin d'aide pour les activités de la vie quotidienne mais peut effectuer des tâches simples sous surveillance. Il aime la cuisine et poursuit cette activité. Le 24.01.2018, le patient peut rentrer au domicile dans un meilleur état général. Mr. Y, âgé de 74 ans, connu pour un STEMI le 04.01.19 sur une occlusion de l'IVA ostiale et une sténose serrée de la branche bissectrice, vient pour une re-coronarographie pour traiter la sténose restante de la CX moyenne. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre un bon résultat à court terme de la désoblitération de l'IVA et de la PCI de la branche bissectrice. On a complété la revascularisation avec une PCI/1 DES d'une longue sténose subtotale de la CX moyenne avec un bon résultat final. La ventriculographie gauche montre une discrète hypokinésie antérolatérale et apicale, avec une fonction systolique globale conservée (FE :55%). Le traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est poursuivi jusqu'au 23.07.2019. Le reste du traitement reste inchangé.Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 1 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 24.01.2019 à domicile. Patient de 74 ans qui est hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance post-opératoire après ostéosynthèse pour une fracture sous-capitale de l'humérus proximal gauche et une réduction ouverte avec fixation interne d'une fracture intra-articulaire de l'olécrane gauche, en raison d'un état d'agitation en post-opératoire, ceci dans un contexte de consommation d'alcool à risque. Le patient aurait fait une chute dans les escaliers le 26.12.2018, alors qu'il avait consommé de l'alcool. Il a été initialement évalué au CHUV avec mise en évidence de multiples fractures et ensuite transféré à Fribourg. Ce jour, il a bénéficié d'un traitement chirurgical de la fracture de l'humérus et de l'olécrane gauche. Les autres fractures (bassin et côtes) sont à traiter conservativement. Sur le plan neurologique, à l'arrivée aux soins, le patient est calme, collaborant et cohérent. La surveillance neurologique est sans particularité. Patient de 74 ans, qui nous est transféré de l'Inselspital Bern le 11.01.2019 pour suite de prise en charge d'un glioblastome temporal droit, réséqué chirurgicalement le 07.01.2019. Sur le plan oncologique, la résection est macroscopiquement complète comme en témoigne l'IRM cérébrale post-opératoire du 09.01.2019. Une radio-chimiothérapie adjuvante est indiquée selon le Tumorboard du 14.01.2019. Le patient a été évalué par notre équipe de radiothérapie lors du séjour. Il sera convoqué pour une IRM de contrôle avec une séance de planification en vue de la radiothérapie. L'analyse MGMT et TERT est en cours. Mr. Y sera convoqué en oncologie pour discuter du début de la chimiothérapie concomitante. Sur le plan neuro-psychologique, le patient présente des difficultés du langage, de la mémoire et de l'attention ainsi qu'un MMS à 9/30. L'évaluation par l'ergothérapeute met en évidence que le patient est autonome dans les activités connues avec cependant une nécessité d'être stimulé pour l'initiation et un trouble de l'attention évident. Sur le plan de la mobilité, le patient se déplace seul de manière sécurisée. Après plusieurs discussions avec Mr. Y, sa femme et leur proche aidante, et au vu de son fonctionnement dans les activités de la vie quotidienne lors de son séjour dans notre service, nous optons pour un retour à domicile d'ici la suite de la prise en charge avec mise en place de soins à domicile 2 fois par jour, ainsi que la mise en place de l'équipe Voltigo. Étant donné que l'épouse parle uniquement l'italien et n'arrive pas à gérer les tâches administratives et les factures jusqu'à présent à la charge du mari, nous proposons l'aide d'une assistante sociale. Ses services sont refusés par l'épouse. Nous signalons donc la situation aux soins à domicile et vous laissons le soin de suivre la situation au domicile et d'adapter l'encadrement selon les besoins. Mr. Y rentre au domicile le 24.01.2019. Patient de 75 ans, admis aux soins intensifs le 12.01.2019 en raison d'une insuffisance respiratoire globale aiguë attribuée à une décompensation BPCO d'origine infectieuse. Pour rappel, il est connu pour une BPCO, un syndrome de consommation chronique d'alcool et un syndrome démentiel pour lequel il est institutionnalisé depuis mi-décembre 2018. Il présente une dyspnée de stade IV rapidement progressive le 12.01.2019 motivant une consultation aux urgences. À l'anamnèse dirigée, on note une toux depuis 48 heures ainsi que des œdèmes des membres inférieurs en progression depuis plusieurs semaines. Il nous est adressé pour VNI dans le contexte d'une insuffisance respiratoire globale aiguë. L'insuffisance respiratoire globale aiguë est attribuée en premier lieu à une décompensation BPCO d'origine infectieuse sur la base du bilan clinique, biologique et radiologique. Une antibiothérapie par Ceftriaxone est instaurée, pour une durée totale prévue de 7 jours. Une décompensation cardiaque globale secondaire est rapidement contrôlée sous diurétique. Sous ces traitements, associés à la VNI, l'évolution est rapidement favorable. Patient de 75 ans, connu pour un carcinome épidermoïde pulmonaire multimétastatique, adressé par Dr. X, radio-oncologue, en raison de soins impossibles à domicile. En effet, son épouse rapporte que Mr. Y présente une asthénie importante, compliquant le transport jusqu'en radiothérapie prévue jusqu'au 04.01.2019. À noter que le patient présente un hémisyndrome distal droit ataxique et parétique, ainsi qu'une aphasie de Broca en lien avec les métastases cérébrales mises en évidence lors de la précédente hospitalisation. Durant le séjour, le patient poursuit le traitement de radiothérapie comme planifié, avec un traitement concomitant de corticoïdes. Suite à cela, son état général se péjore rapidement, avec des troubles électrolytiques sévères, que nous substituons initialement par voie intraveineuse, puis orale. Il présente également des diarrhées profuses, ainsi que quelques épisodes de rectorragies. En accord avec l'épouse de Mr. Y, nous prenons la décision d'un retrait thérapeutique progressif. L'évolution est rapidement défavorable, et Mr. Y décède le 12.01.2019. Patient de 75 ans, connu pour un carcinome rénal progressant sous immunothérapie, avec métastases pulmonaires, pleurales, ganglionnaires et osseuses, notamment au niveau du fémur gauche, qui a bénéficié de la mise en place d'un clou fémoral le 04.12.2018 en raison d'un haut risque de fracture. Depuis son retour à domicile, le patient présente une recrudescence de ses douleurs fémorales gauches, invalidantes, associées à des troubles de la marche. Le bilan radiologique montre une progression de la métastase ostéolytique fémorale gauche avec une fracture non déplacée de la corticale médiale. L'adaptation de l'antalgie par voie orale ne permettant pas d'améliorer les douleurs, nous relayons le traitement d'Oxycodone par du Fentanyl par voie intraveineuse continue, avec un résultat modéré. En raison de l'apparition de myoclonies, le Fentanyl est adapté à une dose de 70 ug/h, avec des bolus de 80 ug en réserve. Nous introduisons également du Lyrica pour un effet sur les douleurs neuropathiques que rapporte le patient. Au vu des troubles du rythme connus, nous nous abstenons d'introduire un traitement de Méthadone qui aurait pu potentialiser l'antalgie. Selon différents avis orthopédiques, il n'y a pas d'indication à une reprise chirurgicale. Cependant, une cimentoplastie par voie ouverte pourrait être envisageable, mais reste peu indiquée. Selon avis anesthésique auprès de Dr. X, une péridurale ou un bloc fémoral continus pourraient permettre une meilleure gestion de l'antalgie, mais aliteraient le patient définitivement. Un traitement de radiothérapie à visée antalgique, ciblée sur la métastase fémorale gauche, est débuté le 08.01.2019 et est prévu jusqu'au 24.01.2019. Le traitement sera finalement interrompu le 17.01.2018 au vu du retour à domicile d'une prise en charge ambulatoire impossible. Dans ce contexte, un traitement complexe de médecine palliative a été réalisé. Durant l'hospitalisation, le patient présente un abaissement de la thymie important, en lien avec la durée de l'hospitalisation et notre capacité restreinte à gérer ses douleurs. Dans ce contexte, le patient demande à pouvoir rentrer à domicile le plus rapidement possible. Son autonomie étant très limitée, notamment en lien avec les douleurs liées à la mobilisation, nous mettons en place une structure maximale à domicile, avec l'EMSP Voltigo et les soins à domicile. En accord avec le patient, le traitement de radiothérapie se termine à la sortie de l'hôpital, en raison des difficultés liées au transport chez un patient restant très algique à la mobilisation.Sur le plan oncologique, nos collègues proposent d'attendre la fin de la radiothérapie avant de planifier une éventuelle poursuite de l'immunothérapie. Ainsi, le patient sera revu en consultation oncologique à distance. Sur le plan cardio-respiratoire, le patient présente une péjoration de sa dyspnée, attribuée à la progression tumorale au niveau pleural et pulmonaire, ainsi qu'à l'insuffisance cardiaque, partiellement améliorée par l'adaptation du traitement diurétique par voie orale et intraveineuse. En lien avec l'insuffisance cardiaque, le patient présente des œdèmes des membres inférieurs partiellement améliorés par le traitement diurétique, raison pour laquelle des bandes de contention sont préconisées. Une acutisation de l'insuffisance rénale chronique est mise en évidence durant l'hospitalisation, probablement d'origine pré-rénale, nécessitant l'adaptation de la posologie de certains médicaments. À sa demande, le patient rentre à domicile le 17.01.2019 avec la mise en place d'un suivi par l'EMSP Voltigo et les soins à domicile. Une visite à domicile par Dr. X, médecin référent des soins palliatifs, est prévue le mardi 22.01.2019. Une consultation oncologique auprès de Dr. X est prévue le lundi 11.02.2019 à Riaz. Patient de 75 ans, connu pour une bronchopneumopathie chronique obstructive avancée et une hypertension artérielle, qui est amené aux urgences de l'HFR Riaz ce 07.01.2019 à contre cœur par son fils et son épouse en raison d'une dyspnée aiguë survenue brusquement sur 5 minutes vers 18h sans douleur rétro-sternale ni sensation de palpitation, mais une tachycardie mesurée à 115 battements par minute par son fils. Le patient présente aussi une toux chronique, stable, avec des expectorations blanchâtres et parfois plus jaunes. Sur le plan social, Mr. Y vit avec son épouse qui l'accompagne dans les activités de la vie quotidienne dans le contexte de son acuité visuelle diminuée. Il y a 3 semaines, le patient a été traité pour une septicémie en ambulatoire avec poursuite d'une antibiothérapie prophylactique 3 jours par semaine. À l'admission, Mr. Y présente une saturation à 81% sans dyspnée. Au status, nous relevons sur le plan pulmonaire des râles avec sibilances et une hypoventilation diffuse à gauche ainsi que des râles en base droite. Sur le plan cardiovasculaire, remarquons des œdèmes des membres inférieurs (plus à droite) durs, avec un léger godet. Le bilan biologique indique des D-dimères à 1514 ng/ml avec un CT ne montrant pas d'embolie pulmonaire mais de multiples foyers de condensation bilatéraux ainsi qu'un niveau hydroaérique dans la bulle d'emphysème, sans épanchement. Nous retenons un diagnostic d'exacerbation de bronchopneumopathie chronique obstructive et mettons le patient sous Rocéphine et Klacid avec hospitalisation en gériatrie aiguë. Dans le contexte de l'amélioration clinique, nous adaptons l'antibiothérapie avec mise en place de Co-Amoxicilline orale jusqu'au 13.01.2019. Concernant son trouble de la marche et de l'équilibre, le patient bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le périmètre de marche accompagné et sans moyen auxiliaire est de 60 mètres. Mr. Y peut gravir 9 marches de manière accompagnée. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 79/126, par rapport à 77/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 4/7, marche 4/7, escaliers 4/7). Étant donné une bonne évolution clinique, nous organisons une sortie pour le 11.01.2019, sans structure de soins à domicile. Patient de 75 ans, hospitalisé dans le contexte de diarrhées aqueuses profuses ayant débuté le 28.12.2018. Les analyses de selles mettent en évidence un Campylobacter. L'évolution clinique est spontanément favorable, sans nécessiter l'introduction d'une antibiothérapie. En parallèle, dans le contexte des diarrhées, on note une insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale, ainsi que des troubles électrolytiques nécessitant une substitution intraveineuse, puis orale. La fonction rénale se normalise suite à l'hydratation intraveineuse. Les troubles électrolytiques se corrigent partiellement durant le séjour, ainsi nous poursuivons la substitution orale jusqu'au 09.01.2019 et nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle biologique à 1 semaine. Le patient rentre à domicile le 04.01.2019. Patient de 75 ans hospitalisé pour dyspnée aiguë sur paralysie récurrentielle bilatérale pour laquelle il bénéficie d'une trachéotomie chirurgicale le 01.01.2019 sans complication. La radiographie du thorax montre des foyers de pneumonie bilatérale. Nous introduisons une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 2.2 g pour une durée de 7 jours et de la physiothérapie respiratoire. Nous effectuons une transcanulation par une Rusch 8 effectuée le 08.01.2019 afin de faciliter les soins par le patient. Le patient présente également une trachéite croûteuse pour laquelle des aérosols de Bépanthène et Fluimicil sont mis en place. Un nettoyage avec le bronchoscope est nécessaire (10.01.2019) en raison d'importants bouchons muqueux. L'évolution clinique et biologique est favorable par la suite. Sur le plan de la déglutition, il présente de multiples fausses routes aux solides épais et aux liquides; néanmoins, il reste réfractaire à la pose d'une PEG. Au cours de l'hospitalisation, les problèmes d'électrolytes s'étaient rétablis grâce à la substitution et à la surveillance par des contrôles en laboratoire. Sur le plan oncologique, Mr. Y est connu pour un carcinome épidermoïde pulmonaire du lobe supérieur gauche cT4 cN2 cM0 et lobe supérieur droit cT1b cN1 cM0 synchrones, traité par radio/chimiothérapie concomitante à visée curative ayant pris fin en janvier 2019. Mr. Y peut être transféré en bon état général au service de réadaptation gériatrique de l'HFR Riaz pour réadaptation le 01.02.2019. Patient de 76 ans admis aux soins intensifs le 18.01.2019 en raison d'une insuffisance respiratoire aiguë globale en post-opératoire immédiat d'une néphrectomie droite partielle par laparoscopie. Mr. Y est opéré en raison d'une masse rénale en augmentation de taille sur les dernières imageries de contrôle dans le cadre du suivi oncologique. La suspicion d'une tumeur primaire au niveau du rein droit reste à confirmer par la pathologie. L'opération se complique d'une insuffisance respiratoire globale modérée post-opératoire. L'évolution est rapidement favorable après séances de ventilation non-invasive et adaptation de l'antalgie. Patient de 76 ans, admis aux soins intensifs le 24.01.2019 pour surveillance hémodynamique dans le contexte d'un anévrisme de l'aorte abdominale infra-rénale avec infiltration péri-aortique en regard évoquant une atteinte infectieuse ou inflammatoire. Le patient, connu pour un carcinome épidermoïde basilinguale droit en rémission et pour un anévrisme de l'aorte infra-rénale stable depuis 2015, présente depuis le 09.01.19 des douleurs abdominales diffuses avec une baisse de l'état général et un syndrome inflammatoire biologique. Dans ce contexte, il est traité par son médecin traitant par de la Ciprofloxacine depuis le 14.01.2019. Au vu de la persistance des symptômes, il est adressé aux urgences le 24.01.2019. Le CT-scan abdominal d'entrée met en évidence l'anévrisme connu et partiellement thrombosé, ainsi qu'une infiltration péri-aortique qui est d'étiologie peu claire, possiblement infectieuse ou inflammatoire. Un bilan microbiologique et immunologique est lancé et le patient est mis sous antibiothérapie empirique par Ceftriaxone dans l'attente des résultats du bilan susmentionné.Une prise en charge chirurgicale est à discuter en fonction de l'évolution locale qui sera évaluée par un CT-scan abdominal à 48 heures et des résultats des prélèvements microbiologiques. Une échocardiographie transthoracique effectuée dans le cadre du bilan en vue d'une éventuelle intervention, qui met en évidence des troubles de la cinétique segmentaire dans le territoire de l'artère circonflexe. Une coronarographie diagnostique est à discuter. Une insuffisance rénale d'origine rénale aiguë est mise en évidence, d'origine rénale avec possible composante pré-rénale, qui évolue favorablement après hydratation. Le patient reste stable durant les 24 heures de surveillance aux soins intensifs avec un profil tensionnel correct, sous traitement bétabloquant. Il est transféré à l'étage de chirurgie pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, âgé de 76 ans, admis aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire aiguë sur décompensation de BPCO compliquée d'un NSTEMI secondaire. Mr. Y présente une dyspnée en péjoration depuis une semaine associée à une toux et des expectorations ainsi qu'un état fébrile. Il est amené en ambulance aux urgences en raison d'un épisode de détresse respiratoire aiguë. Il présente des modifications à l'ECG ainsi que des troponines positives sans douleur thoracique accompagnante. La radiographie du thorax révèle un foyer infectieux en regard du lobe supérieur droit. Une antibiothérapie par levofloxacine est débutée en raison d'une allergie à la pénicilline. Le patient étant spastique, il bénéficie d'une oxygénothérapie et de séances d'aérosols qui permettent un contrôle rapide des symptômes. La ventilation non invasive s'avère peu utile dans ce contexte. L'insuffisance respiratoire est mise sur le compte de l'épisode infectieux et de la possible exacerbation de BPCO concomitante. Une décompensation cardiaque gauche associée dans ce contexte ne peut être exclue. Le NSTEMI secondaire est bilanté par une échocardiographie transthoracique qui révèle une hypokinésie postérieure et inféro-basale connue depuis 2012. La fonction ventriculaire est conservée. Au vu des multiples facteurs de risque et antécédents cardiovasculaires, une coronarographie à distance de l'épisode infectieux est à organiser. L'insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale s'inscrit dans le contexte infectieux avec une déshydratation sur manque d'apport et augmentation des pertes insensibles. Une hydratation est mise en place avec stabilisation de la fonction rénale. Il présente une dysurie marquée pendant le séjour aux soins intensifs possiblement dans le cadre de son hypertrophie prostatique avec une vessie de regorgement. Un contrôle en urologie pourrait s'avérer utile dans les suites de l'hospitalisation. L'anémie est à bilanter. Les électrolytes sont substitués. Un bilan nutritionnel est également à prévoir. Le patient est transféré le 06.01.2019 à l'étage de médecine avec développement d'un OAP sur probable pic hypertensif dans les heures suivant son transfert et motivant une réadmission aux soins intensifs le jour même. Une dose unique de Lasix, un renforcement du traitement antihypertenseur et des séances intermittentes de VNI permettent de stabiliser le patient qui est retransféré à l'étage de médecine le 07.01.2019 pour la poursuite de la prise en charge. Mr. Y, âgé de 76 ans, admis aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire aiguë sur une pneumonie bilatérale accompagnée d'une décompensation BPCO et compliquée d'un NSTEMI secondaire. Mr. Y présente une dyspnée en péjoration depuis une semaine associée à une toux et des expectorations ainsi qu'un état fébrile. Il est amené en ambulance au service des urgences en raison d'un épisode de détresse respiratoire aiguë. Il présente des modifications à l'ECG ainsi que des troponines positives sans douleur thoracique accompagnante. La radiographie du thorax révèle un foyer infectieux. Une antibiothérapie par levofloxacine est débutée en raison d'une allergie à la pénicilline. Les hémocultures sont négatives. Le patient étant spastique, il bénéficie d'une oxygénothérapie et de séances d'aérosols qui permettent un contrôle rapide des symptômes. L'insuffisance respiratoire est mise sur le compte de l'épisode infectieux et de la possible exacerbation de BPCO concomitante. Une corticothérapie est introduite pour 5 jours avec bonne évolution. Sur le plan urologique, il présente une dysurie marquée pendant le séjour aux soins intensifs possiblement dans le cadre de son hypertrophie prostatique avec une vessie de regorgement. Un ultrason des voies urinaires ne montre pas de dilatation pyélo-calicielle. Une sonde urinaire est posée. Le patient est transféré le 06.01.2019 à l'étage de médecine avec développement d'un OAP sur probable pic hypertensif dans les heures suivant son transfert et motivant une réadmission aux soins intensifs le jour même. Une dose unique de Lasix et des séances intermittentes de VNI permettent de stabiliser le patient qui est retransféré à l'étage de médecine le 07.01.2019 pour la poursuite de la prise en charge. Au niveau respiratoire, nous poursuivons les traitements précités avec une bonne évolution clinique. Nous proposons d'organiser des fonctions pulmonaires à distance. Au niveau cardiaque, le NSTEMI secondaire est bilanté par une échocardiographie transthoracique qui révèle une hypokinésie postérieure et inféro-basale connue depuis 2012. La fonction ventriculaire est conservée. Une coronarographie est réalisée par Dr. X qui montre une cardiopathie tri-tronculaire sévère et une lésion significative de l'artère subclavière gauche. Aucune angioplastie ni pose de stent n'est réalisée. Les options thérapeutiques sont discutées : soit PTA/Stent A. subclavière, et après PAC LIMA-RIVA, soit une PTCA tronc commun/IVA. Après discussion avec les cardiologues, le patient et sa famille optent pour la PTCA tronc commun/IVA. Le patient est reconvoqué pour une coronarographie le lundi 21.1.2019 à 7h à l'HFR de Fribourg pour une PTCA tronc commun/IVA par Dr. X. Au niveau tensionnel, nous stoppons l'Exforge au vu des tensions basses. Par la suite, nous réintroduisons l'Amlodipine et vous proposons de réévaluer la réintroduction du Valsartan à distance. L'insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale s'inscrit dans le contexte infectieux avec une déshydratation sur manque d'apport et augmentation des pertes insensibles. Une hydratation est mise en place avec stabilisation de la fonction rénale. Au niveau urinaire, la sonde urinaire est ablatée avec une reprise de la diurèse. Nous effectuons un bilan d'anémie ne montrant pas d'anomalie de laboratoire. Cependant, une ferritine pourrait être dosée à distance de l'événement aigu. Au bilan biologique, nous constatons une hypokaliémie, une hypophosphatémie et une hypocalcémie. Nous procédons à une supplémentation intraveineuse puis per os avec une bonne évolution biologique. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile le 16.01.2019. Mr. Y, âgé de 76 ans, admis aux soins intensifs pour une surveillance après un accident vasculaire cérébral mineur. Mr. Y présente une aphasie motrice transitoire de 2-3 minutes avec résolution spontanée totale. Le bilan par imagerie révèle une lésion nouvelle au niveau du territoire de l'artère cérébrale moyenne gauche à l'IRM. Nous retrouvons à l'examen clinique une ptose labiale droite, possiblement secondaire à l'ancien AVC de 2015. Les vaisseaux pré-cérébraux sont perméables, sans sténose ni plaque athéromateuse significative. L'étiologie la plus probable reste un trouble du rythme cardiaque, comme évoqué en 2015 malgré un bilan par Holter négatif à l'époque. Nous prévoyons un R-Test dès que possible. Un Reveal serait à discuter si cet examen est négatif. La conduite automobile est proscrite pendant 2 semaines. Un bilan neuropsychologique est à discuter selon l'évolution dans un second temps.Concernant les facteurs de risque, l'hémoglobine glyquée est toujours à la limite supérieure de la norme avec des glycémies toutefois stables pendant l'hospitalisation. Le bilan lipidique est également à la limite supérieure sous Pravastatine, ce pourquoi nous majorons le traitement. Nous recommandons de poursuivre le suivi régulier du profil tensionnel. Un foramen ovale perméable est mis en évidence au bilan cardiologique par échocardiographie. La discussion de la fermeture se fera lors d'un colloque multidisciplinaire. Patient de 76 ans, admis le 13.01.2019 aux soins intensifs en raison d'une fibrillation auriculaire lente récemment diagnostiquée en ambulatoire, symptomatique (lipothymies). Le patient est en bonne santé habituelle et a consulté un cardiologue en ambulatoire (Dr. X) début janvier 2019 en raison de palpitations. Une fibrillation auriculaire aurait été diagnostiquée avec début d'une anticoagulation par Rivaroxaban et introduction d'un traitement d'insuffisance cardiaque (Candesartan et Spironolactone). La pose d'un pacemaker en électif aurait été prévue dans la semaine du 14.01.2019 chez le Dr. X. Au vu de l'apparition de vertiges orthostatiques, le patient consulte les urgences le 13.01.2019. Une fibrillation auriculaire lente est mise en évidence. Sur avis cardiologique de garde, le patient est admis aux soins intensifs en vue de la pose de son pacemaker. En attente de la pose du pacemaker, la fréquence cardiaque est contrôlée par l'administration d'Isoprénaline. La pose du pacemaker se déroule sans complication immédiate avec une radiographie de thorax de contrôle sans particularité. Au laboratoire d'entrée, une élévation des enzymes cardiaques est mise en évidence avec des modifications non spécifiques à l'électrocardiogramme. Une coronarographie sera à discuter à distance de la pose du pacemaker avec les collègues cardiologues. Le patient est transféré à l'étage de médecine interne le 14.01.2019 pour suite de prise en charge. Patient de 76 ans, connu pour NSTEMI le 05.01.2019 et une maladie coronarienne tritronculaire sévère, vient pour une coronarographie en électif pour traiter la lésion du tronc commun connue. Durant l'examen invasif du jour – après discussion des deux options thérapeutiques avec la famille pour le patient à très grand risque pour une PAC – on a dilaté et stenté les sténoses subtotales du tronc commun et de l'IVA proximale. Après plusieurs dilatations et implantation de deux stents actifs, le résultat est bon. Le patient reste asymptomatique. Il reste la sténose au niveau de l'artère circonflexe et l'occlusion chronique de l'ACD. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté. Nous augmentons l'Amlodipin à 10 mg/j et proposons une poursuite du Pantoprazol 40 mg/j pour 6 mois. Nous proposons un contrôle dans 2-3 semaines chez Dr. X et un contrôle chez nous (Dr. X) dans 3-4 mois. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 22.01.2019 à domicile. Patient de 76 ans, hospitalisé à l'Hôpital cantonal de Fribourg depuis le 09.01.2019 pour un sepsis sur une bactériémie à S. Aureus. Pour information, il est hospitalisé une première fois aux soins intensifs du 09 au 13.01.2019 en raison d'un sepsis compliqué par une insuffisance rénale aiguë et une coagulopathie. La persistance d'une bactériémie à Staphylocoque doré multi-sensible (2 bouteilles sur 6) fait suspecter un foyer endovasculaire. L'échocardiographie transœsophagienne du 11.01.2019 n'a pas identifié de signe d'endocardite. Le pacemaker étant non compatible pour l'IRM, le bilan étiologique est complété par un PET-CT à la recherche d'un foyer profond, d'une infection du pacemaker ou d'une spondylodiscite suspectée au vu de douleurs cervicales. L'examen montre uniquement des hypercaptations pulmonaires bilatérales, compatibles avec des emboles septiques, aussi visibles au CT thoraco-abdominal. Des hémocultures de contrôle faites à froid reviennent positives à nouveau pour un Staphylocoque doré le 15.01 et 20.01.2019 malgré l'antibiothérapie en place. Après discussion avec les infectiologues, la source la plus probable reste un foyer endovasculaire. Après re-visualisation et re-interprétation des images de l'échocardiographie transœsophagienne, des éléments flottants sur 2 des 3 sondes de pacemaker au niveau du ventricule droit sont très suspects d'infection. L'antibiothérapie est réadaptée à plusieurs reprises, et depuis le 20.01.2019 le patient est traité par Cubicine IV et Rifampicine PO. Dans ce contexte, Mr. Y est transféré au CHUV le 21.01.2019 pour ablation du pacemaker et suite de prise en charge. La coagulopathie initiale avec thrombocytopénie sévère de consommation dans le contexte du sepsis, s'améliore rapidement. L'anticoagulation prophylactique par héparine est reprise dès le 16.01.2019, sans complication hémorragique. Le traitement anti-thrombotique habituel (Rivaroxaban) est mis en pause depuis le 09.01.2019. Durant son séjour en division de médecine, le patient présente des douleurs rétro-sternales faisant évoquer un possible NSTEMI secondaire (troponines augmentées mais un cycle négatif), cédant à l'administration de nitrés. Après discussion avec les cardiologues, et devant la normalisation de la thrombopénie, nous reprenons l'Aspirine le 15.01.2019. Mr. Y n'a pas récidivé de douleurs thoraciques depuis. Une coronarographie est à discuter à distance de l'épisode infectieux. Mr. Y est réadmise aux soins intensifs dans la nuit du 19 au 20.01.2019 pour une nouvelle aggravation de sa fonction rénale avec une oligo-anurie. Une insuffisance rénale probablement d'origine mixte (sepsis et Céfuroxime, éosinophilurie positive). Une atteinte glomérulaire para-infectieuse n'est pas retenue à ce stade par nos collègues néphrologues. Dans ce contexte d'oligo-anurie, avec surcharge hydrique importante, nous débutons une déplétion sous Lasix (bolus de 250 puis IV continu), sans réelle efficacité. Le 20.01.2019, nous réalisons une première séance d'hémodialyse intermittente qui est bien tolérée (retrait liquidien de 500 ml). Nous vous laissons le soin de réévaluer si d'autres séances d'hémodialyse sont nécessaires. L'antibiothérapie a été réadaptée pour de la Cubicine avec une première dose le 20.01.2019 en post-hémodialyse, les prochaines doses seront à prévoir d'ici 24-36 h. Mr. Y est transféré aux soins continus de cardiologie du CHUV le 21.01.2019. Patient de 76 ans transféré depuis l'Inselspital aux soins intensifs pour la suite de prise en charge d'un AVC hémorragique. Il s'est initialement présenté aux urgences de Fribourg avec une anopsie de l'œil droit. Une thrombose aiguë de l'artère rétinienne est mise en évidence. Le patient bénéficie d'une thrombolyse intraveineuse. Lors de la surveillance après la lyse, l'état neurologique se péjore avec apparition d'un hémisyndrome gauche. Une conversion hémorragique secondaire est constatée au CT de contrôle. Il est alors transféré à Berne où il bénéficie d'une mini-craniotomie de décompression. Il nous est retransféré après l'intervention neurochirurgicale.L'évolution neurologique reste inchangée avec un patient qui présente un hémisyndrome gauche, une héminégligence gauche et une dysarthrie dans le cadre de sa parésie faciale. Son état de vigilance est fluctuant, de même que son orientation spatio-temporelle. Suite à l'accord avec les neurochirurgiens, l'héparine prophylactique à 5000 UI/24h est introduite. L'imagerie de contrôle à une semaine permet d'objectiver une stabilité de l'hématome et de l'oedème cérébral. Les agrafes sont retirées et l'évolution de la cicatrice de craniotomie est sans particularité. Le patient présente des états fébriles récidivants, répondant aux anti-pyrétiques, associés à une fluctuation de l'état de conscience. Une pneumonie de broncho-aspiration est initialement suspectée, compte tenu des troubles de la déglutition existants et d'une suspicion radiologique de foyer pulmonaire débutant. Une antibiothérapie par Co-amoxicilline est introduite. Les épisodes fébriles persistants sous ce traitement nous incitent à faire un relai par Pipéracilline/Tazobactam. L'évolution clinique et biologique est favorable avec toutefois une récidive de la fièvre, qui nous fait évoquer le diagnostic différentiel de fièvre d'origine centrale sur irritation du thalamus par l'hématome. Une surinfection du site opératoire est à considérer selon l'évolution après une fenêtre d'antibiotique. Compte tenu de l'événement primaire ischémique et de la sténose carotidienne, une antiagrégation plaquettaire sera à envisager dans un second temps, une fois l'hématome intracrânien résorbé. Le patient est transféré à l'unité de Stroke Unit non monitorée pour la suite des soins. Patient de 77 ans admis pour une surveillance neurologique suite à une suspicion d'AVC cérébelleux. Le patient présente des vertiges suivis d'une chute alors qu'il sortait de sa voiture. Il parvient à rentrer chez lui avec difficulté. Il évoque également une douleur thoracique qui cède après quelques minutes. Sa femme observe une ptose labiale et appelle une ambulance. Les vertiges sont différents des troubles de l'équilibre habituels rencontrés dans le cadre de l'hydrocéphalie à pression normale. Le NIHSS initial est à 3 en raison d'une ataxie des membres inférieurs, qui serait chronique dans le cadre de l'hydrocéphalie. Le bilan initial ne met pas en évidence de lésion constituée au CT. Lors de son séjour, le patient reste stable sur le plan neurologique. L'IRM ne montre pas de lésion ischémique permettant, d'après nos collègues neurologues, d'infirmer le diagnostic d'accident vasculaire cérébral. Le bilan ORL montre uniquement des bouchons de cérumen bilatéraux qui ont été désobstrués. Le reste du status ORL est dans la norme compte tenu de la mobilité limitée du patient. Nous demandons un avis neurochirurgical qui reste à pister. Le bilan cardiaque met en évidence un trouble de la repolarisation ainsi qu'un bloc de branche droit. Le reste du bilan est normal avec une cinétique de troponines stables et une échocardiographie sans particularité. Une embolie pulmonaire a pu être écartée par un CT thoracique. Le traitement antihypertenseur reste à réintroduire selon le profil tensionnel. Une insuffisance rénale d'origine rénale reste stable par rapport au comparatif de la fonction rénale de ses hospitalisations précédentes. En vue de l'évolution favorable, le patient peut être transféré à l'étage de médecine interne le 10.01.2019 pour la suite de la prise en charge. Patient de 77 ans connu pour une cardiopathie ischémique sur maladie coronarienne tritronculaire, une hypertension artérielle et une hyperplasie bénigne de la prostate, qui est admis ce jour en réhabilitation gériatrique dans un contexte de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle, suite à une hospitalisation en médecine HFR Riaz du 10.12.2018 au 27.12.2018 pour prise en charge d'une laparotomie médiane pré-péritonéale, pose d'une sonde double J gauche et excision de la lithiase vésicale le 28.11.2018. Sur le plan social, Mr. Y vit dans un appartement avec son amie qui est encore active professionnellement. À l'admission, le status n'est pas contributif. Sur le plan hématologique, remarquons une anémie hypochrome normocytaire, pour laquelle le patient a bénéficié de la transfusion d'un culot érythrocytaire le 24.12.2018. Au vu de la persistance de l'anémie, nous complétons le bilan avec des hémofecatests qui reviennent positifs, raison pour laquelle nous organisons une oeso-gastro-duodénoscopie ainsi qu'une colonoscopie le 17.01.2019. Sur le plan infectiologique, notons un syndrome inflammatoire d'origine indéterminée, pour lequel nous suspectons plusieurs étiologies. Mr. Y présente aussi un état fébrile le 06.01.2019 avec une CRP à 183 mg/l et un sédiment urinaire qui montre une leucocyturie sans nitrite avec, à l'urotube, la présence de 10E6 cocci gram + (entérocoques) pour lesquels nous adaptons l'antibiothérapie. Sur le plan urologique, nous changeons la sonde urinaire dans ce contexte infectieux et prendrons contact avec le Dr. X afin de définir la conduite à tenir. Concernant son trouble de la marche et de l'équilibre, le patient bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le périmètre de marche seul et à l'aide d'un rollator est de 120 mètres. Mr. Y peut gravir 9 marches sans accompagnement. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 82/126, par rapport à 85/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 4/7, escaliers 4/7). Le TUG est à 19.2 secondes avec rollator.Durant son séjour, Mr. Y profite d'un suivi nutritionnel qui indique une malnutrition protéino-énergétique modérée en lien avec une inappétence post-opératoire, et qui est démontrée par un NRS à 4/7 ainsi qu'une perte pondérale de 10% en 1 mois. Un bilan modulaire d'ergothérapie indique des fonctions cognitives adaptées dans l'ensemble, mais un fléchissement au niveau de l'orientation temporelle. En raison des problématiques susnommées, Mr. Y est pris en charge en gériatrie aiguë HFR Riaz à partir du 08.01.2019 (lettre n°2). Patient de 77 ans, connu pour une cardiopathie ischémique sur maladie coronarienne tritronculaire, une hypertension artérielle et une hypertrophie bénigne de la prostate, qui a été admis le 27.12.2018 en réadaptation gériatrique dans un contexte de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle suite à une laparotomie médiane pré-péritonéale, pose d'une sonde double J gauche et excision d'une lithiase vésicale le 28.11.2018. Ce 08.01.2019, Mr. Y présente une infection urinaire, et vu ses lourds antécédents, il est pris en charge dans notre service de gériatrie aiguë. Le patient présente un syndrome inflammatoire d'origine indéterminée, pour lequel plusieurs étiologies sont suspectées. Le 06.01.2019, il présentait un état fébrile avec syndrome inflammatoire en péjoration avec une CRP à 183 mg/l sans leucocytose. Un sédiment urinaire a été effectué, signalant une leucocyturie sans nitrite, et l'urotube met en évidence 10E6 d'entérocoques. Dans ce cadre, nous demandons un avis à l'infectiologue de garde, Dr. X, qui nous propose de débuter une antibiothérapie par Amoxicilline 1 g 3x/jour en intraveineux. Nous demandons également un avis à son urologue traitant, Dr. X, qui effectue un changement de sonde double J ce 09.01.2019. Les lithiases sont envoyées au laboratoire pour analyse. Dr. X demande de réaliser des bandelettes urinaires pour un pH compris entre 6.2 et 6.8 et nous indique de prescrire de l'Urocit afin d'alcaliniser les urines du patient. Nous poursuivons l'hydratation en intraveineux en raison de l'insuffisance rénale ainsi que l'antibiothérapie par Amoxicilline 1 g 3x/jour, qui avait été débutée le 06.01.2019 et qui est à poursuivre jusqu'au geste chirurgical. La créatininémie baisse par la suite. Sur le plan hématologique, Mr. Y présente une anémie hypochrome normocytaire pour laquelle il a bénéficié de la transfusion d'un culot érythrocytaire le 24.12.2018. Cependant, étant donné la persistance de l'anémie, nous complétons le bilan par des hémofecatests qui reviennent positifs, raison pour laquelle nous organisons une OGD et une colonoscopie le 17.01.2019. L'OGD met en évidence un ulcère en cours de guérison au niveau de la face postérieure du bulbe duodénal. Durant cette hospitalisation, le patient continue sa physiothérapie de mobilisation initiée lors de son séjour en réadaptation gériatrique (lettre n°1). Le 17.01.2019, lors de sa reprise en charge en réadaptation gériatrique, son périmètre de marche à l'aide d'un rollator est de 80 mètres. Le patient monte et descend 15 marches avec l'aide d'une rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 65/126, par rapport à 63/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 4/7, marche 3/7, escaliers 1/7). Le patient bénéficie également d'un bilan nutritionnel qui met en évidence une malnutrition protéino-énergétique modérée en lien avec une inappétence post-opératoire et démontrée par un NRS à 4/7 et une perte de 10% de son poids en 1 mois. Une adaptation des repas est effectuée afin d'assurer la couverture protéino-calorique. Vu la bonne évolution clinique de Mr. Y, celui-ci est repris en charge en réadaptation gériatrique HFR Riaz le 17.01.2019 (lettre n°3). Patient de 78 ans admis aux soins intensifs pour une décompensation BPCO dans le contexte d'une infection virale à RSV. Mr. Y présente depuis plusieurs jours une péjoration de sa dyspnée habituelle avec une majoration du volume de ses expectorations pour lesquels son médecin traitant lui prescrit un macrolide durant 3 jours. Notion de contage chez son épouse qui aurait développé une bronchite virale récemment. Il est de plus vacciné contre la grippe. À l'admission, il présente une insuffisance respiratoire hypercapnique avec une acidose mixte respiratoire et hyper lactique. Un traitement par des séances de ventilation non invasive est initié et le traitement de corticoïdes est majoré pendant 5 jours. L'oxygénothérapie est poursuivie avec un retour aux besoins habituels. Il bénéficie de physiothérapie respiratoire et de mobilisation. Aucune antibiothérapie n'est introduite. Lors de son séjour, il présente deux épisodes d'agitation nocturne; un événement est associé avec une péjoration respiratoire avec une hypercapnie majeure probablement dans le contexte de prise de Benzodiazépine qui s'améliore grâce à la VNI. Le second épisode s'inscrit dans un contexte de rétention urinaire aiguë et se corrige après sondage vésical. Un avis urologique est à envisager compte tenu de l'hypertrophie de la prostate connue et traitée par Tamsulosine. La metformine à l'origine de l'hyperlactatémie initiale est suspendue au cours du séjour aux soins. Les glycémies sont corrigées avec une insuline d'action rapide. L'évolution clinique favorable permet son transfert au service de médecine pour suite de soins. Patient de 78 ans aux antécédents d'HTA, AVC sous Plavix, stent de la carotide droite et cancer de la prostate sous hormonothérapie, qui consulte à la permanence de l'HFR Meyriez pour toux depuis une semaine, fièvre (39°C) depuis 48h et une dyspnée d'effort NYHA II depuis 3 jours. Il rapporte également des expectorations incolores. À l'entrée, le patient est en état général légèrement diminué avec pour paramètres vitaux : FC : 75, TA : 112/57, SpO2 : 94 % T° 36.5. Il n'est pas dyspnéique au moment de l'examen mais à l'auscultation pulmonaire, les deux champs pulmonaires sont en hypoventilation, surtout l'hémi-champ pulmonaire droit. L'auscultation cardiaque est sans particularité. Le reste du statut est également sans particularité. Nous retenons le diagnostic de pneumonie communautaire des lobes supérieur et inférieur droits devant le syndrome inflammatoire biologique : hyperleucytose à 18 G/L et CRP à 282 avec à la radiographie du thorax : présence d'infiltrats pulmonaires basaux droits ne silhouettant pas le bord du cœur et lobaire supérieur droit compatibles avec des foyers de bronchopneumonie. Sont associés des épaississements péri-bronchiques notamment à droite. Nous entamons une antibiothérapie par Co-Amoxicilline IV 1.2 g 3 x/j du 14.12.2018 au 17.12.2018 puis relais oral 1 g x 2/j jusqu'au 21.12.2018. Par ailleurs, le laboratoire initial a révélé une insuffisance rénale chronique stade 3 (DFG selon CKD-epi : 52 ml/min) pour laquelle nous avons mis en place une réhydratation adéquate avec une bonne évolution (DFG : 82.2 mL/min). Le patient présente une bonne évolution clinique, dès lors, il est autorisé à retourner à son domicile. Patient de 78 ans hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance neurologique d'un AVC ischémique fronto-pariétal gauche, partiellement régressif avec des symptômes survenus au réveil le 16.01.2019. Le patient se réveille vers 03:30 le 16.01.2019 avec une aphasie complète et un hémisyndrome moteur brachio-crural droit. Il bénéficie d'un CT-scan Time is brain qui met en évidence une petite zone de pénombre fronto-pariétale gauche. Après avis neurologique, l'indication à une thrombectomie ou thrombolyse n'est pas retenue. L'IRM cérébrale confirme un AVC ischémique aigu situé dans la région frontale à hauteur du gyrus pré-central et dans la région pariétale gauche.D'un point de vue clinique, la surveillance neurologique est sans particularité avec un NIHSS stable à 8 points à l'entrée et à 7 points à la sortie de la Stroke Unit monitorée. Au niveau biologique, le profil glycémique est dans la norme et un bilan lipidique retrouve une hypertriglycéridémie pour laquelle le traitement de statine du patient est adapté par de l'Atorvastatine. La poursuite du bilan étiologique est encore en cours avec un ultrason des vaisseaux pré-cérébraux, une échocardiographie transthoracique et un ECG-Holter qu'il s'agira de pister. A noter toutefois qu'une origine cardio-embolique est fortement suspectée au vu d'une fibrillation auriculaire inaugurale mise en évidence à l'entrée aux urgences. En raison des antécédents hémorragiques du patient (hémorragies cérébrale et digestive) qu'il s'agira de préciser auprès du médecin traitant, nous ne débutons pas d'anticoagulation et poursuivons le traitement anti-agrégant plaquettaire par Aspirine cardio introduit aux urgences. La suite du traitement anti-thrombotique sera à réévaluer avec les collègues neurologues. Le patient est transféré en division de Stroke Unit non-monitorée le 17.01.2019. Mr. Y, âgé de 78 ans, consulte aux urgences le 15.01.19 pour une toux productive persistante depuis 10 jours, d'évolution non favorable malgré une antibiothérapie à base d'avalox débutée le 11.01.2019 par le médecin traitant. Le status met en évidence des ronchis diffus sans franc foyer. La radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer infectieux. Le laboratoire montre une hyponatrémie hypoosmolaire à 116 mmol/L. Un SIADH est retenu sur la probable infection respiratoire. Le patient est alors hospitalisé pour suite de prise en charge. Une restriction hydrique est introduite, permettant une correction de la natrémie. Sur le plan infectieux, l'antibiothérapie est arrêtée à son entrée car une origine bactériologique est peu probable au vu de l'absence de foyer clinique et radiologique à distance du début de la symptomatologie et de l'absence de syndrome inflammatoire. Sur le plan nutritionnel, le patient s'alimente peu lors de son séjour, sur une probable maladaptation de son nouveau dentier. Des conseils nutritionnels lui sont remis. Devant une suspicion de broncho-aspiration pouvant entretenir la toux persistante, nous effectuons une fluoroscopie qui revient normale. Au vu de l'évolution favorable, le patient rentre à domicile le 24.01.19 et sera revu par son dentiste traitant le lendemain à 13 h. Mr. Y, âgé de 79 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique suite à un infarctus du myocarde. Mr. Y présente un angor intermittent nouveau pour lequel il consulte les urgences à Payerne. Le bilan met en évidence un sus-décalage en aVR et un sous-décalage étendu en antérieur et latéral à l'ECG avec une cinétique de troponines positive. Il est transféré à Fribourg pour une coronarographie en urgence. L'examen révèle des lésions tritronculaires d'allure chronique avec une fonction ventriculaire conservée. Les lésions ne sont pas traitées en raison de leur aspect ancien et l'indication à un pontage étant claire. L'échocardiographie du 07.01.2019 montre une FEVG conservée à 60 % sans valvulopathie. Le patient est d'accord d'effectuer le bilan pré-opératoire et de planifier la suite de sa prise en charge cardiovasculaire. Pendant la surveillance aux soins intensifs, on met en évidence des épisodes de pauses sinusales de plusieurs secondes, causées par un bloc du deuxième degré de type 1 de découverte fortuite ainsi qu'un épisode de flutter auriculaire. Nous poursuivons la surveillance rythmique 24 h supplémentaire. Le patient reste asymptomatique au cours de ses événements. Sur avis cardiologique, une anticoagulation thérapeutique est débutée. Concernant le bilan pré-pontage, des fonctions pulmonaires et un bilan angiologique sont en cours. Le patient sera à adresser au CHUV. L'oncologue traitant du patient n'est pas joignable (absent pour vacances) et nous vous laissons le soin de le recontacter pour discuter de la suite de la prise en charge. Mr. Y, âgé de 79 ans, connu pour des bronchiectasies d'origine indéterminée depuis 2013, se présente en raison d'une toux avec expectorations et état fébrile. Le status et la radiographie du thorax nous conduisent à retenir un épisode d'exacerbation de BPCO que nous traitons par antibiothérapie, corticothérapie et aérosols d'Atrovent et Ventolin. Il bénéficie également de physiothérapie respiratoire. L'ETT ne montre pas d'anomalie significative. Au vu du profil glycémique élevé, nous introduisons de l'Insulatard du 31.12.2018 au 07.01.2019 et, selon l'avis des diabétologues, nous reprenons la Metformine et introduisons du Januvia. Le 08.01.2019, Mr. Y est subfébrile et présente une toux, et des expectorations en augmentation et jaunâtres. Nous introduisons à nouveau une antibiothérapie par Levofloxacine, et l'évolution du patient est rapidement favorable. Mr. Y rentre à domicile le 10.01.2019. Mr. Y, âgé de 79 ans, connu pour un syndrome myélodysplasique, un status post-AVC sylvien droit récidivant et une polyneuropathie axonale chronique développée dans le contexte du syndrome myélo-dysplasique, nous est transféré depuis l'unité de gériatrie aiguë dans notre unité de soins palliatifs pour suite de prise en charge d'une pneumonie sur broncho-aspiration probable survenue le 15.12.2018. Pour rappel, la radiologie réalisée le 15.12.2018 avait montré un infiltrat interstitiel diffus et un épanchement pleural à gauche, sans possibilité d'exclure un foyer infectieux surajouté. Suite à une péjoration de la clinique respiratoire, avec tachypnée à 35/min, râles grossiers bilatéraux jusqu'à mi-champ, à une majoration de l'infiltrat pulmonaire infrahilaire droit et à une réaugmentation de la CRP au laboratoire, malgré un traitement par Co-amoxicilline 1 g 3 x/j, nous avons entrepris de majorer l'antibiothérapie débutée en gériatrie aiguë par du Piperacilline Tazobactam 4.5 g 3 x/jour IV pendant 3 jours. Au terme de ces 3 jours, le patient s'étant péjoré, nous avons décidé d'arrêter les thérapies curatives et de passer à des soins de confort à compter du lundi 24.12.2018, en accord avec la famille. L'état général du patient se détériore rapidement avec une péjoration de la dyspnée afin de pouvoir suffisamment contrôler la dyspnée. Sur diagnostic d'une péjoration de la décompensation cardiaque, un traitement de Lasix intraveineux permet de réduire légèrement la symptomatologie dyspnéique. Nous introduisons de la morphine en continu ainsi que du Dormicum le 24.12.2018. Le patient décède le 25.12.2018 à 9 h 25. Mr. Y, âgé de 79 ans, a bénéficié d'un séjour en réhabilitation à Billens jusqu'au 17.12.2018 dans les suites d'une ostéosynthèse mini-invasive suite à une fracture péri-prothétique du fémur distal droit survenue dans le contexte d'une chute en août 2018. Cependant, le patient ne récupérant pas une autonomie suffisante en raison d'une difficulté à la mobilisation, il rentre dans un appartement protégé avec des soins à domicile. Le patient décrit depuis son retour un déclin de son autonomie associé à un déconditionnement et une péjoration progressive de sa dyspnée chronique sans critère d'Anthonisen. A son arrivée au service des urgences, le status est sans particularité. La radiographie ne met pas en évidence de foyer. Le bilan par le physiothérapeute montre un périmètre de marche similaire à celui qu'il avait à sa sortie de Billens sans potentiel franc d'amélioration.A une semaine de son hospitalisation, nous organisons un réseau en présence du patient, de sa famille et de la physiothérapeute. Nous transmettons que sur la période de suivi, le patient n'a pas présenté de franche amélioration de sa mobilité et qu'un retour dans l'appartement protégé semble compromis. Des inscriptions en EMS sont donc entreprises. Le patient et ses proches sont très demandeurs d'une réadaptation afin d'atteindre le maximum du potentiel du patient et récupérer le maximum d'autonomie possible avant le placement. Sur le plan psychologique, le patient présente un probable trouble anxio-dépressif sous-jacent, possiblement réactionnel à la chute et la baisse d'autonomie subséquente, pour lequel il bénéficie d'un suivi par l'équipe de psychiatrie lors du séjour et de l'introduction d'un traitement de Distraneurine. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Le patient est reclassé le 21.01.2019 en attente d'une réadaptation gériatrique à Riaz suivi d'un placement en EMS. • Patient de 79 ans qui est connu pour hypertension artérielle présente des otalgies droites depuis 3 jours en péjoration cette nuit. Vu l'examen clinique, nous retenons le diagnostic otite externe droite. • Patient rentre à domicile avec le traitement par Irfen et Ciproxine gouttes. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans 3 jours. • Le patient a été informé si présence de nouveaux symptômes (fièvre, douleurs) et l'absence des effets du traitement qu'il doit reconsulter aux urgences. • Patient de 79 ans vient pour une recanalisation coronarienne prévue après une décision contre PAC a été prise par Dr. X, Inselspital Bern. Nous effectuons alors une coronarographie en électif. Le patient bénéficie d'une angioplastie avec implantation d'un stent actif dans la CX. L'IVA proximal montre une sténose de 50-70% au niveau de la bifurcation suivi par une sténose sévère longue jusqu'en distale. La sténose de l'IVA proximale n'est pas rélevante (FFR 0,92) et nous renonçons à une intervention. L'IVA distale et la première diagonale sont très fines et une intervention paraît très difficile, raison pour laquelle nous ne traitons pas ces lésions. Devant un patient peu symptomatique, on recommande une thérapie médicamenteuse. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez le Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 1 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 15.01.2019 à domicile. • Patient de 80 ans, admis le 13.01.2019 aux soins intensifs de Fribourg sur lit de Stroke Unit monitorée en raison d'une suspicion d'AIT sylvien gauche. Le patient est connu pour une cardiopathie ischémique, valvulaire et rythmique. Dans ce contexte, il a bénéficié en 12.2018 de la pose d'un pacemaker. Une intervention valvulaire aortique (TAVI) le 16.01.2019 à la Clinique Beausite par Dr. X. Le 13.01.2019 au réveil, le patient ne répond pas à sa conjointe puis présente un regard fixe et une aphasie spontanément régressive en 15 minutes associée à une perte de force du membre supérieur droit. La dernière preuve de bonne santé n'est pas connue. L'épouse appelle les secours et suite à une erreur d'aiguillage, le patient est pris en charge aux urgences de Neuchâtel. Un CT-scan cérébral ne retrouve pas d'hémorragie. Le neurologue de garde de Neuchâtel (Dr. X) prend contact avec les neurologues de Fribourg (Dr. X) et le patient nous est alors adressé pour suite de prise en charge. À l'arrivée aux soins intensifs, le patient est asymptomatique et présente un statut neurologique sans particularité avec un NIHSS à 0 points. Au vu de la situation vasculaire complexe, un avis est pris auprès des collègues neurologues qui proposent de débuter un traitement anti-thrombotique par Aspirine et Clopidogrel mais sans dose de charge. Durant la surveillance aux soins intensifs, le statut neurologique reste stable. Une IRM cérébrale ne montre pas de signes d'ischémie. Suite à une discussion avec les neurologues et les cardiologues, il est décidé de maintenir le traitement anti-thrombotique par Aspirine et Clopidogrel et une anticoagulation thérapeutique par Énoxaparine. D'un commun accord avec les neurologues et les cardiologues, l'intervention de la TAVI est maintenue pour le mercredi 16.01.2019 et le patient est transféré à la Clinique de Beau-Site le 15.01.2019. L'épouse est informée du transfert. • Patient de 80 ans, admis en Stroke Unit monitorée le 30.01.2019 en raison d'une éthylisation aiguë avec perte de connaissance faisant initialement suspecter un éventuel AIT. Il présente une chute à domicile vers minuit, entendue par son fils, qui accourt et le trouve au sol. Il l'amène aux toilettes et le recouche. Vers 2:30, le patient présente un discours incompréhensible et une discrète chute de la commissure labiale gauche. Il est alors acheminé aux urgences pour suite de prise en charge. Un CT cérébral permet d'exclure un accident vasculaire cérébral ischémique constitué ou encore une hémorragie. Sur la base de l'anamnèse, de la clinique, compte tenu du contexte d'éthylisation aiguë, nos collègues neurologues ne retiennent pas le diagnostic d'AIT. Une syncope d'origine rythmique semble peu probable selon les cardiologues compte tenu d'un Holter récent avec des pauses maximales de 3 secondes. Par surplus, nous n'avons pas objectivé de troubles du rythme significatifs lors de la période de monitoring continu. L'indication à la pose de pacemaker reste à préciser. Nous retenons finalement la chute dans le contexte d'alcoolisation aiguë avec un taux d'alcoolémie à 1.4% à l'arrivée aux urgences. Nous transférons le patient en médecine interne afin d'assurer un suivi addictologique. Les troubles cognitifs sont en cours d'investigation par la clinique de mémoire à l'HFR de Fribourg. Compte tenu du contexte social (épouse hospitalisée), les proches demandent la mise en place d'un cadre avant le retour à domicile. À la sortie des soins intensifs, le patient présente une désorientation temporelle, sans autre déficit focal objectivé. • Patient de 80 ans, connu pour une insuffisance cardiaque d'origine valvulaire et rythmique avec pose de 2 Mitra-clips en juin 2018 pour insuffisance mitrale et fibrillation auriculaire sous Xarelto, nous est adressé par les cardiologues pour une suspicion d'endocardite. Le patient a présenté le 11.01.2019, 3 épisodes de frissons sans EF mesuré, dont le dernier, lors de son échocardiographie de contrôle chez Dr. X. Un bilan aux urgences est réalisé avec ECG, laboratoire, sédiment urinaire et hémocultures sans signe de foyer infectieux clinique ou biologique. Un nouveau contrôle le 13.01 revient également dans la norme et le patient est convoqué pour une échocardiographie transoesophagienne le 16.01.2019. Celle-ci montre 2 structures flottantes sur la valve mitrale suspectes de végétations. Le patient, afébrile, n'a pas d'autre plainte que sa dyspnée connue et stable. Au vu des résultats de l'ETO, les cardiologues hospitalisent le patient pour investigations. Le laboratoire ne montre pas de signe inflammatoire. Des hémocultures à froid sont prélevées et reviendront négatives malgré une incubation prolongée à 14 jours. Sur avis des infectiologues, une recherche sérologique pour Coxiella et Bartonella est aussi effectuée.Au vu de l'absence de symptôme, Mr. Y peut rentrer à domicile le 17.01.2019 avec contrôle de la température 3x/jour. Il est averti que si la température devait dépasser 38.3°, il devrait se représenter aux urgences. Un contrôle en cardiologie est prévu à 10 jours. Patient de 80 ans, hospitalisé depuis le 14.12.2018 dans le contexte d'une encéphalopathie hépatique d'origine mixte, avec projet de réhabilitation palliative à la Villa Saint-François, en séjour de reclassement depuis le 21.12.2018. Mr. Y repasse en soins aigus le 27.12.2018 en raison d'une broncho-aspiration importante, nécessitant une prise en charge de physiothérapie conséquente. Un test de déglutition met en évidence des troubles de la déglutition dans le contexte de l'asthénie et de la somnolence liées au contexte oncologique. L'introduction d'un régime mixé-lisse et l'épaississement des boissons permettent d'éviter une récidive de broncho-aspiration. Le patient reste cliniquement stable. Mr. Y est transféré à la Villa Saint-François le 07.01.2019 pour une réhabilitation palliative. Patient de 80 ans nous est adressé pour une péjoration de sa dyspnée. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne bi-tronculaire avec une sténose significative de l'artère bissectrice, une sténose significative de l'artère coronaire droite proximale et moyenne, une lésion non significative de l'ostium de l'artère rétroventriculaire postérieure, englobant l'origine de l'artère interventriculaire postérieure (lésion de bifurcation) ainsi qu'une occlusion de l'anastomose proximale pontage saphène CD II. Altération de la fraction d'éjection globale du ventricule gauche (30%). Le patient bénéficie d'une angioplastie de l'artère coronaire droite moyenne et de l'artère coronaire droite proximale avec implantation au total de 2 stents actifs. On recommande la reprise de l'Eliquis 5 mg/2x/j ce soir en sus Aspirin 100 mg/j et Plavix 75 mg/j pour 1 mois, puis Plavix 75 mg/j et Eliquis 5mg 2x/j pour un total de 3 mois et puis Eliquis 5mg 2x/j seul. Le reste du traitement reste inchangé. Selon l'évolution clinique, on discutera la possibilité d'une TAVI. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 25.01.2019 à domicile. Patient de 81 ans, connu pour angor malgré PCI IVA, CTO de l'ACD connue, vient pour une 3ème tentative de désobstruction. Comme convenu, désobstruction complexe de la CTO et angioplastie de l'ACD avec 2 stents actifs et un excellent résultat immédiat. Le traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois est poursuivi. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle dans 4 jours chez Dr. X et dans 1 mois chez Dr. X ainsi qu'une re-coronarographie pour PCI de la RCX dans 3 mois et ergométrie dans 1 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 25.01.2019 à domicile. Patient de 81 ans, connu pour les antécédents sus-mentionnés et notamment pour des pneumonies sur broncho-aspiration sur dysphagie après accident vasculaire cérébral ischémique subaigu temporo-occipital gauche en 2014, qui était amené en ambulance sur avis du Dr. X pour dyspnée le 04.01.2019. Nous ne revenons pas sur notre précédente prise en charge de la pneumonie sur broncho-aspiration, car cette dernière se trouve détaillée dans notre 1ère lettre de sortie du séjour en gériatrie aiguë HFR Riaz. Sur le plan cognitif, les tests se sont avérés impossibles à effectuer au vu de l'état du patient. Durant sa réadaptation gériatrique, la prise en charge physiothérapeutique vise une mobilisation ainsi qu'un désencombrement. La marche ainsi que les transferts sont impossibles à effectuer. En effet, les transferts lit à la chaise de confort sont réalisés à la cigogne. Mr. Y nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 23/126 par rapport à 25/126. (MIF physio : transferts 1/7, marche 1/7, escaliers 1/7). Le TUG est impossible à réaliser. Le risque de chute est donc élevé. Sur le plan nutritionnel, nous diagnostiquons une malnutrition protéino-énergétique modérée, en lien avec des difficultés à s'alimenter seul, et démontrée par des ingestas couvrant 22% de ses besoins énergétiques et un NRS à 4/7. L'apport oral est insuffisant, en lien avec des difficultés à s'alimenter seul et une dysphagie, démontrée par des ingestas couvrant 22% de ses besoins énergétiques théoriques. La prise en charge nutritionnelle se réalise par un enrichissement des repas afin d'améliorer la couverture nutritionnelle. Cependant, les bilans caloriques montrent une couverture nutritionnelle inférieure à 50% des besoins protéino-énergétiques. Mr. Y ne souhaite aucune autre adaptation. En outre, avec ses troubles de déglutition, le patient nécessite une alimentation mixée lisse avec épaississement des boissons en consistance nectar. Notre proposition pour la suite pour le médecin traitant, voire pour le home, consiste en une alimentation à texture mixée lisse et enrichie en énergie et protéines, additionnée d'un supplément nutritif oral quotidien. La question du placement se pose au vu de l'accompagnement que le patient nécessite dans sa prise en charge. L'épouse se montre cependant ambivalente vis-à-vis de cette solution. Mais finalement, la famille opte pour un placement le 29.01.2019. Dès le 30.01.2019, Mr. Y reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Patient de 81 ans, connu pour un carcinome épidermoïde glotto-sous-glottique diagnostiqué en juin 2018, qui est amené aux urgences en ambulance en raison d'une dyspnée en augmentation depuis plusieurs jours, accompagnée d'une toux avec expectorations et état fébrile et d'une dysphagie avec fausses routes à répétition. Nous diagnostiquons une pneumonie bilatérale que nous traitons par antibiothérapie intraveineuse durant 7 jours. Une consultation ORL est organisée et le statut montre un œdème rétrocricoïdien et arythénoïdien et une inflammation diffuse hypo-pharyngo-laryngée. Un traitement par corticostéroïdes systémiques et en aérosols est débuté, ainsi que du Fluconazole et de la Mycostatine. Après évaluation diététique, nous instaurons une nutrition entérale. Progressivement, le patient peut se réalimenter sans fausses routes. Nous adaptons le traitement insulinique au vu du profil glycémique élevé après introduction de l'alimentation entérale. Au vu de l'évolution favorable, le patient rentre à domicile le 09.01.2019, avec des soins à domicile 2x/j. Patient de 81 ans, connu pour un syndrome de dépendance à l'alcool et malnutrition protéino-énergétique, qui est amené en ambulance aux urgences de l'HFR Riaz suite à une chute en se levant du lit ce matin vers 2h avec réception sur le sol au niveau costal gauche. Le patient n'a pas pu se relever seul et aurait appelé son neveu. Selon le patient, il n'y a pas eu de traumatisme crânien ni de perte de connaissance, et pas d'amnésie circonstancielle. Cette chute fut d'allure mécanique, et il n'y a pas eu de douleur rétrosternale ni de palpitation au préalable, voire d'état fébrile.Au status d'entrée, nous retenons une muqueuse déshydratée aux plis cutanés. Au niveau cardio-vasculaire, notons la présence d'un souffle systolique maximal au foyer aortique, à 3/6. Sur le plan neurologique, mentionnons un nystagmus à droite ainsi qu'un tremor de position. Le patient nous est adressé par son médecin traitant pour une hospitalisation au vu de plusieurs chutes sur le dernier mois et d'une situation jugée précaire à domicile, avec des troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle (déficit vitaminique, consommation d'alcool à risque). Le bilan biologique n'indique pas de syndrome inflammatoire, avec des leucocytes à 6.6 G/l et une CRP à 5 mg/l, ni de troubles électrolytiques. Le stix urinaire est non pathologique. Le jour même de son entrée aux urgences, Mr. Y est hospitalisé dans notre service de gériatrie aiguë. Le patient n'a pas de plainte particulière ni de douleur, mais il présente un risque de chute, avec des chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Nous retenons en particulier une consommation d'alcool à risque ainsi qu'une très probable addiction au Seresta. La malnutrition protéino-calorique connue se résout sans aucun problème nutritionnel, avec un NRS à 1/7 : durant son séjour, le patient reprend en effet son poids perdu durant l'année 2018. Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche seul et sans moyen auxiliaire est libre. Le patient peut gravir 18 marches avec la rampe et sans accompagnement. Il est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 91/126, identique à celle d'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 18 secondes. Le risque de chute est moyen. Le patient s'entraîne à se relever en cas de chute avec les physiothérapeutes ; pendant ces entraînements, est mise en évidence une difficulté à se verticaliser après une chute, avec une dyspnée importante lors de ces situations. Une montre alarme est acceptée par le patient. Au vu d'une stabilité retrouvée, Mr. Y quitte notre service le 11.01.2019. Les soins à domicile vont reprendre leurs suivis. Patient de 81 ans, connu pour une cardiopathie dysrythmique et hypertensive, amené au service des urgences en ambulance en raison d'une baisse de l'état général depuis le 25.12.2018. Il ressent une faiblesse généralisée et une asthénie importante. Le 28.12.2018, le patient présente un épisode de frissons qui dure environ 60 minutes avec un état fébrile à 39°C. L'anamnèse et le status ne révèlent pas de claire piste infectieuse, le laboratoire montre une cholestase. Les hémocultures reviennent positives pour un Streptocoque bovis que nous traitons par antibiothérapie intraveineuse. En raison du germe, nous décidons d'exclure une endocardite par un ETT qui ne montre pas de végétations le long des 2 sondes du pacemaker ni de masse sur les valves cardiaques. Nous ne visualisons pas non plus de masse abdominale au CT et proposons encore d'exclure une néoplasie par une coloscopie. Si tous ces examens se révèlent négatifs, le plus probable au vu des antécédents du patient restera une récidive de cholangite. Au vu de l'évolution favorable, le patient rentre à domicile le 13.01.2019. Patient de 81 ans, connu pour une cardiopathie rythmique, hypertensive, valvulaire et ischémique, qui se présente aux urgences le 26.12.2018 avec un tableau de décompensation cardiaque globale. Nous retenons comme facteur précipitant une origine infectieuse sur une IVRS chez ce patient actuellement en bilan pré-TAVI dans le cadre d'une sténose aortique sévère. L'évolution clinique est favorable avec des diurétiques iv jusqu'au 1.01.2019 puis per os, de la métolazone transitoirement et de l'aldactone. Au vu de l'évolution favorable, le patient rentre à domicile le 04.01.2019 avec une majoration de ses traitements diurétiques habituels. La TAVI est organisée le 07.01.2019. Patient de 81 ans, connu pour une maladie coronarienne avec atteinte surtout de la coronaire droite et la circonflexe, vient pour une re-coronarographie pour PCI de ces lésions connues. Comme prévu, nous avons procédé à une angioplastie de l'artère coronaire droite moyenne avec 2 stents actifs et bon résultat. De plus, nous avons traité une sténose significative de l'ACD proximale avec implantation de 2 stents actifs avec une complication de no reflow malgré plusieurs échecs de thrombectomie et postdilatation des stents. La re-coronarographie du même jour, 6 h après la première, démontre un flux TIMI II dans l'ACD avec des thromboses résiduelles périphériques, qui vont s'organiser. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 pour 1 mois et Clopidogrel 75 mg 1-0-0 pour 12 mois est débuté. Le traitement par Sintrom est continué à vie. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques et biologiques (pour attendre le pic des enzymes cardiaques) aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 31.01.2019 à domicile. Patient de 81 ans est transféré de Payerne aux soins intensifs de Fribourg pour un sepsis sur pneumonie droite. Mr. Y présente une baisse de l'état général progressive depuis 2 semaines avec une nette péjoration en 3 jours associée à une toux et des expectorations. Il évoque de plus des rachi-algies insupportables. Il se présente aux urgences de Payerne où une pneumonie du lobe inférieur droit est suspectée. Le patient est initialement septique et présente une hyperglycémie à 34 mmol/l. Le frottis de grippe est négatif. Une antibiothérapie par Pipéracilline-Tazobactam et Clarithromycine est introduite et le patient est transféré à Fribourg aux soins intensifs. En raison d'une vasoplégie importante, il bénéficie d'une expansion volémique et d'un soutien aminergique. Nous poursuivons également le Solucortef introduit à Payerne en raison d'une insuffisance cortico-induite probable. L'évolution hémodynamique est favorable, avec une stabilisation du profil tensionnel. Le patient mentionne toutefois des valeurs habituelles à 80/60 mmHg asymptomatiques. Un orthostatisme asymptomatique est mis en évidence et des bas de contention sont introduits en raison d'importants oedèmes. Suite aux nombreux remplissages, le bilan cumulé s'élève à 7200 ml et la prise de poids à 10 kg. Nous proposons une introduction prudente de diurétiques, la surcharge hydrique étant bien tolérée au niveau pulmonaire. Une radiographie de contrôle à 48 h permet de confirmer la présence d'un foyer pulmonaire. Un souffle tubaire est de plus audible au niveau de la plage pulmonaire inférieure droite. Les antigènes urinaires reviennent négatifs et la clarithromycine est arrêtée. L'évolution respiratoire est favorable avec une absence d'état fébrile. La décompensation diabétique inaugurale est traitée par insulinothérapie intraveineuse. L'hémoglobine glyquée à 12 % signe un diabète de type 2 déjà présent. Le traitement de Prednisone au long cours est possiblement l'élément ayant précipité la découverte. Les besoins journaliers sont estimés à > 50 UI/j. Nous introduisons une insuline lente dont les doses sont à augmenter progressivement ainsi qu'une insuline rapide. La suite du traitement et l'enseignement au patient sont à prévoir dans un second temps de même que le suivi des complications du diabète et les facteurs de risque cardiovasculaire. Une insuffisance rénale aiguë pré-rénale dans le contexte du sepsis évolue favorablement avec un retour aux valeurs habituelles. L'hypokaliémie est également substituée et le traitement diurétique thiazidique mis en suspens. Les troubles du rythme déjà décrits en 2016 avec notamment des extrasystoles ventriculaires sont asymptomatiques et disparaissent une fois la kaliémie corrigée.L'évolution étant favorable, le patient est retransféré à Payerne en médecine interne. • Patient de 81 ans nous est adressé pour une coronarographie dans un contexte de bilan pré-TAVI. Nous effectuons alors une coronarographie élective qui montre une maladie coronarienne monotronculaire avec sténose significative de l'ostium de l'ACD. La fonction systolique du VG est modérément diminuée avec une EF à 35-40 %. De plus, nous pouvons confirmer une sténose aortique sévère avec un gradient moyen à 38 mmHg et une surface à 0.86 cm². Le patient bénéficie d'une angioplastie de l'ostium de l'ACD avec implantation de 1 stent actif et bon résultat final. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Plavix 75 mg 1-0-0 pour 3 mois est débuté. Devant une interaction médicale entre Clopidogrel et Omeprazole, nous changeons ce dernier pour du Pantoprazole 40 mg/j. Le reste du traitement reste inchangé. Le bilan pré-TAVI sera finalisé par un angio-CT pré-TAVI, duplex-précérébral et un orthopantomogramme pour lesquels le patient sera convoqué. Les suites post-interventionnelles et la surveillance des rythmes aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 23.01.2019 à domicile. • Patient de 81 ans, récemment hospitalisé dans notre service pour un STEMI, présente lors de son séjour en réadaptation à Billens deux épisodes de méléna le 10 janvier, ce qui motive son transfert à Fribourg pour investigation et suite de prise en charge. Monsieur demeure stable hémodynamiquement, mais reçoit toutefois quatre culots érythrocytaires, afin de parvenir à une hémoglobine à 100 g/L. L'OGD du 15.01 ne montre pas de source de saignement. Nous procédons alors à une colonoscopie le 18 janvier, qui permet de retrouver quelques diverticules et deux polypes sessiles au niveau colique inférieur de moins de 1 cm. Notre gastro-entérologue retient une possible source de saignement diverticulaire. Il vous propose par ailleurs de rediscuter avec le patient de l'indication à une seconde colonoscopie lorsque la double anti-agrégation prendra fin afin de réséquer les polypes. Il se présente par ailleurs avec une sonde urinaire, qui avait été installée lors de son dernier passage en médecine, pour un globe vésical. Le geste ayant été traumatique, Monsieur a développé une macrohématurie sur lésion de la prostate. L'hématurie évolue favorablement. Nous vous laissons le soin de tenter un sevrage de la sonde suite à l'introduction d'un traitement de pradif. L'évolution étant favorable sans nouvelle chute de l'hémoglobine, Monsieur est transféré à Billens pour suite de réadaptation cardio-vasculaire le lundi 21 janvier. • Patient de 81 ans, récemment hospitalisé dans notre service pour une prise en charge de STEMI, présente lors de son séjour en réadaptation à l'HFR Billens deux épisodes de méléna le 10.01.2019, ce qui motive son transfert à l'HFR Fribourg pour investigation et suite de prise en charge. Monsieur demeure stable hémodynamiquement, mais reçoit toutefois quatre culots érythrocytaires, afin de parvenir à une hémoglobine à 100 g/L. Une OGD effectuée le 15.01.2019 ne permet pas de retrouver de lésion ou d'étiologie hémorragique haute. Nous procédons alors à une colonoscopie le 18.01.2019, qui permet de retrouver quelques diverticules et deux polypes de 6 et 8 mm. Notre gastro-entérologue conjecture que les polypes sont la source des saignements, et qu'il n'y a pas de traitement à proposer au patient, hormis une surveillance régulière de son hémoglobine. Il vous propose par ailleurs de rediscuter avec le patient de l'indication à une seconde colonoscopie lorsque la double anti-agrégation prendra fin. Il se présente par ailleurs avec une sonde urinaire, qui avait été installée lors de son dernier passage en médecine, pour un globe vésical. Le geste ayant été traumatique, Monsieur a développé une macro-hématurie sur lésion de la prostate. La symptomatologie s'amende rapidement, mais nous préférons toutefois garder la sonde au vu des antécédents de globe urinaire récurrent. Nous proposons ainsi à nos confrères de l'HFR Billens de tenter un sevrage de la sonde. L'évolution étant favorable, Monsieur est transféré à l'HFR Billens pour suite de réadaptation cardio-vasculaire le lundi 21.01.2019. • Patient de 82 ans, admis aux soins intensifs le 08.01.2019 en raison d'un choc septique secondaire à un urosepsis obstructif avec défaillance multiorganique associée. M. Y est retrouvé par sa fille après environ 24 h par terre à son domicile suite à une chute dans des conditions peu claires. Il présente une baisse de l'état général depuis plusieurs jours avec des brûlures mictionnelles. Il est amené aux urgences de Fribourg en état de choc motivant un soutien aminergique. L'origine du sepsis est urinaire, sur une néphrolithiase gauche surinfectée à Escherichia coli, nécessitant la mise en place d'une sonde double J (08.01.2019). Le calcul n'ayant pas pu être retiré, une lithotripsie sera effectuée par le Dr. X début février (date à préciser). L'antibiothérapie par Ceftriaxone est à poursuivre pour un total de 14 jours, sur proposition du Dr. X. Une insuffisance rénale aiguë d'origine mixte, à savoir dans le contexte hypovolémique lié au sepsis et d'origine post-rénale sur l'obstruction lithiasique, se corrige progressivement avec le traitement des facteurs causaux. Une perturbation des tests hépatiques mixte est mise en évidence, en péjoration le 10.12.2019, avec une stéatose hépatique visualisée à l'imagerie. L'évolution est toutefois favorable. L'origine éthylique avec une possible composante médicamenteuse est évoquée. Une échocardiographie transthoracique effectuée dans le contexte initial du choc révèle une hypokinésie globale et une fraction d'éjection abaissée à 35 %, asymptomatique. Un traitement de l'insuffisance cardiaque par diurétiques est introduit avec une déplétion volémique efficace. L'échographie de contrôle confirme l'hypothèse de cardiopathie septique, la FEVG s'étant spontanément normalisée. Dans le cadre du sepsis, le patient présente une thrombopénie et une rhabdomyolyse qui évoluent favorablement. La perturbation de la fonction thyroïdienne est à recontrôler à distance. Plusieurs épisodes de fibrillo-flutter auriculaire à conduction rapide sont mis en évidence lors du séjour, précipités par le contexte septique et traités par Cordarone de manière ponctuelle, avec cardioversion. Un traitement anticoagulant est débuté. Une réévaluation à 2 mois par échocardiographie est proposée. Une coronarographie élective ainsi que l'indication à la poursuite de l'anticoagulation orale seront discutées à ce moment-là. Une mycose oropharyngée, entraînant une odynophagie sévère avec difficultés à l'alimentation, est traitée par Fluconazole et Mycostatine. La nasofibroscopie révèle une candidose diffuse au niveau du pharynx avec de multiples lésions ulcérées et une laryngite. La durée du traitement est à réévaluer en fonction de la clinique. Un avis ophtalmologique est demandé en raison de scotomes migrants de l'œil gauche faisant suspecter une atteinte rétinienne. La poussée aiguë d'arthrite microcristalline est traitée par Colchicine. Les douleurs cèdent rapidement sous ce traitement. Un bilan à distance de l'inflammation avec l'introduction d'un traitement de fond est à prévoir à distance de l'épisode aigu.Patient de 82 ans, connu pour un adénocarcinome prostatique, multi-métastatique, actuellement en situation palliative avec arrêt de la chimiothérapie il y a 1 mois sur asthénie en péjoration. Mr. Y consulte le service des urgences le 06.01.2019 pour une dyspnée d'installation rapidement progressive avec une tachypnée à 44/min. Au vu de la maladie oncologique avancée du patient, il est convenu avec ce dernier de ne pas effectuer d'examens complémentaires. Il est connu pour un épanchement pleural droit pour lequel un geste évacuateur était prévu par le Dr. X en ambulatoire. Au vu de la dyspnée en péjoration, nous procédons à un drainage par pleurocath sans complication. Un Pleur-x est à discuter en cas de récidive rapide d'un épanchement symptomatique. Celui-ci n'a pas été mis en place suite à la demande du patient préférant des ponctions itératives. Sur le plan oncologique, les scanners de suivi ont été annulés en accord avec l'oncologue traitant et le patient en absence de dispension thérapeutique. Toutefois le patient est demandeur de réévaluer la réalisation d'un CT si amélioration de l'état général. Sous traitement d'hydromorphone, l'évolution de la dyspnée est rapidement favorable permettant un transfert à la Villa-St-François le 09.01.19 pour réadaptation palliative le temps de la mise en place du réseau à domicile. Patient de 82 ans, connu pour une HTA et une embolie pulmonaire en 2016, hospitalisé pour des douleurs thoraciques aiguës. Mr. Y présente depuis la veille des douleurs basi-thoraciques gauches, aiguës, en coup de couteau, respiro-dépendantes avec une hémoptysie. Au status, il présente au service des urgences une tachypnée, une tachycardie et désaturation. Un CT thoracique montre de multiples embolies pulmonaires centrales bilatérales avec infarcissement basal gauche avec zone de nécrose. Une échocardiographie permet d'exclure une souffrance du ventricule droit. Une anticoagulation est introduite par Liquémine puis par Eliquis. Cette anticoagulation est à poursuivre à vie. Au vu de l'absence d'indication claire, nous stoppons l'Aspirine. Nous expliquons cette embolie pulmonaire sur une plus grande immobilisation du patient ces dernières semaines en lien avec une coxarthrose gauche. Nous ne proposons à ce stade pas d'autres investigations. Sur le plan infectiologique, le patient développe une pneumonie basale gauche sur infarcissement pulmonaire pour laquelle nous introduisons une antibiothérapie. L'évolution est favorable. Au niveau pulmonaire, nous constatons au CT thoracique la croissance d'un nodule pulmonaire apico-dorsal gauche. Les oncologues et radiologues proposent un contrôle par CT thoracique qui est fixé le 26.04.2019 à l'HFR Fribourg. Nous proposons au médecin traitant de suivre cette lésion. Au niveau articulaire, le patient présente des douleurs en lien avec une coxarthrose gauche. Nous introduisons une antalgie avec une diminution des douleurs. Mr. Y rentre à domicile le 29.01.2019. Patient de 83 ans admis aux soins intensifs pour une surveillance après cure d'anévrisme de l'aorte abdominale infrarénale avec une cholécystectomie. Mr. Y présente un anévrisme de plus de 6 cm avec haut risque de rupture. L'intervention se déroule comme prévu avec toutefois une instabilité hémodynamique postopératoire nécessitant un remplissage et des amines pendant 48 h. La sonde naso-gastrique est retirée le 23.01.2019 et le patient peut s'alimenter par la nutrition liquide suite à une reprise du transit. L'antalgie est bien gérée par anesthésie péridurale. Une anticoagulation par héparine est rapidement débutée en post-opératoire, puis relayée par Énoxaparine prophylactique. Son séjour se complique par une diffusion paraveineuse sur malposition de la voie centrale jugulaire droite qui a été retirée le 23.01.2019. Merci de continuer la surveillance locale. Une phlébite du membre supérieur droit sur venflon qui est retiré le 23.01.2019 et qui reste également à surveiller. Un syndrome inflammatoire biologique qui est probablement dû au contexte post-opératoire reste à recontrôler. Patient de 83 ans, connu entre autres pour une cardiopathie ischémique et rythmique sur maladie coronarienne tritronculaire et un diabète de type 2 insulino-requérant, hospitalisé pour une décompensation cardiaque dans le cadre d'une FA nouvelle. Nous adaptons le traitement diurétique, rythmique et introduisons une anticoagulation par Eliquis avec une évolution défavorable et une baisse progressive de l'état général. Pour rappel, le patient était hospitalisé en chirurgie jusqu'au 29.12.2018 pour investigation d'une masse douloureuse au niveau du 7ème espace intercostal gauche. Une biopsie et neurolyse sont réalisées le 27.12.2018 par le Dr. X. Les résultats montrent un mésothéliome malin biphasique. Un bilan d'extension montre une masse thoracique gauche avec plusieurs nodules pulmonaires droits et gauches. Une intervention chirurgicale n'est pas réalisable au vu de l'avancée de la tumeur. Les oncologues estiment qu'une chimiothérapie ne sera pas bénéfique au patient au vu de son état général très diminué. Après discussion avec le patient et la famille, nous décidons de passer à des soins palliatifs. Dès lors, le patient refuse tout traitement et nourriture. La situation se péjore rapidement et nous introduisons des soins de confort. Le patient décède paisiblement le 20.01.2019 pendant la nuit. Patient de 83 ans, connu pour un adénocarcinome de la prostate et une maladie coronarienne monotronculaire stentée, habitant dans un appartement protégé au Foyer de Gruyérien, et qui nous est adressé par celui-ci pour une baisse d'état général avec déconditionnement chez un patient présentant une consommation d'alcool à risque. L'infirmière des soins à domicile nous transmet une annonce à la Justice de Paix pour ce patient qui se met en danger, ne sachant plus utiliser ses plaques chauffantes ainsi qu'une déambulation en ville avec un fauteuil non adapté. À son entrée, Mr. Y décrit une douleur rétro-sternale gauche irradiant dans l'épaule, pour laquelle nous écartons un syndrome coronarien. Par la suite, le patient ne présente plus de plainte à ce sujet. Sur le plan cardiovasculaire, Mr. Y présente à l'admission une hypertension artérielle à 200/120 mmHg que nous traitons de manière symptomatique. Nous ajoutons à la sortie 5 mg de Torasémide en raison d'une prise de poids avec oedèmes aux membres inférieurs. Durant son séjour, le patient bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le périmètre de marche accompagné et à l'aide d'un déambulateur est de 20 mètres. Les escaliers ne sont pas testés. La mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 53/126 par rapport à 57/126 à l'entrée. Au vu de la situation sociale difficile, Mr. Y est institutionnalisé au Home de la Vallée de la Jogne à Charmey le 03.01.2019. Patient de 84 ans, admis aux soins intensifs le 24.12.2019 en raison d'un arrêt cardio-respiratoire survenant dans le contexte d'un STEMI inférieur compliqué d'un orage rythmique. Il consulte initialement aux urgences en raison d'un angor. À son arrivée aux admissions, il présente un arrêt cardio-respiratoire avec multiples passages en fibrillation ventriculaire nécessitant d'emblée une réanimation cardio-pulmonaire avancée. Intubé, il est transféré en urgence en salle de coronarographie. L'examen invasif montre une occlusion de l'artère coronaire droite et une subocclusion de l'inter-ventriculaire antérieure, traitées par angioplastie (3 stents actifs) sur les deux branches. Initialement, le patient est sévèrement hypoxémique en raison d'une broncho-pneumonie d'inhalation. Celle-ci est rapidement résolutive sous ventilation invasive et antibiothérapie par co-amoxicilline.L'évolution aux soins intensifs est marquée par une encéphalopathie anoxique caractérisée par un réveil pathologique, malgré l'arrêt de toute sédation depuis le 28.12.2018 (GSC 5-6, Y2-3-V1- M1-2, état d'éveil minimal). Dans ce contexte, un premier EEG est réalisé le 28.12.2018 et montre des signes d'encéphalopathie sans foyers irritatifs. Un nouvel EEG effectué le 02.01.2019 montre quelques éléments irritatifs, motivant l'instauration d'un traitement par Keppra le jour même. Le bilan est complété par une IRM cérébrale qui met en évidence des lésions cérébrales diffuses compatibles avec une encéphalopathie post anoxique post réanimation prolongée. Après discussion avec nos collègues neurologues et les proches de Mr. Y, nous décidons de soins de confort exclusifs dès le 04.01.2019. Cette décision est basée sur la volonté présumée de Mr. Y telle que rapportée par la famille, l'absence d'évolution clinique significative à distance de toute sédation et sous couverture anti-épileptique plus de 12 jours post-réanimation, et du bilan radiologique laissant présager de séquelles neurologiques majeures et persistantes. Mr. Y décède le 05.01.2019 en présence de sa famille. Une autopsie n'a pas été demandée. Mr. Y, 84 ans, admis aux soins intensifs le 28.01.2019 en raison d'une cholécystite lithiasique aiguë associée à une insuffisance rénale aiguë. Il est hospitalisé depuis le 24.01.2019 à Riaz pour une cholécystite lithiasique traitée par Ceftriaxone et Metronidazole. En raison d'un syndrome inflammatoire en augmentation, Mr. Y est transféré le 28.01.2019 à Fribourg dans le service de chirurgie pour un éventuel drainage vésiculaire sous guidage scannographique. Il nous est adressé en raison d'une insuffisance rénale aiguë en progression. Le CT-scan natif de contrôle montre un drainage spontané de la vésicule, sans geste invasif requis. Un US abdominal de contrôle est effectué le 29.01.2019, sans franc signe de cholécystite. Au vu d'une évolution clinique, biologique et radiologique favorable, le traitement antibiotique par Ceftriaxone et Métronidazole est poursuivi pour une durée totale prévue de 10 jours. Une insuffisance rénale aiguë est mise en évidence dont l'origine est multifactorielle (contexte septique, néphropathie sur produit de contraste, AINS et traitement diurétique). L'évolution est progressivement favorable après réanimation volémique ciblée et mise en suspens des diurétiques. Mr. Y est connu pour fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom. Au vu d'un INR supra-thérapeutique, celle-ci a été reversée par l'administration de vitamine K et Beriplex à l'étage de chirurgie en prévision de l'éventuel drainage de la vésicule. En l'absence de geste invasif, une anticoagulation prophylactique par Liquémine est reprise dès le 29.01.2019. Celle-ci est à visée thérapeutique dès le 30.01.2019. A noter une augmentation des paramètres de cholestase en fin de séjour, sans augmentation de la bilirubinémie. Au vu de l'amélioration clinique et de la régression du syndrome inflammatoire biologique, une origine médicamenteuse est suspectée en premier lieu (Rocéphine). En fonction de l'évolution clinique et biologique, un nouvel US abdominal est à discuter. Mr. Y, 84 ans, admis en Stroke unit monitorée le 17.01.2019 en raison d'un AVC ischémique sylvien gauche. Connu pour un AVC occipital gauche en octobre 2017, sous traitement par Plavix, il est amené aux urgences par sa fille en raison de troubles phasiques nouveaux (manque du mot, troubles de la compréhension) ainsi qu'une hypoesthésie de l'hémicorps droit. L'examen neurologique met en évidence une hémianopsie homonyme latérale gauche connue et une hypoesthésie de l'hémicorps droit, ainsi qu'une ataxie bilatérale et des troubles de la compréhension. Le CT-scan cérébral met en évidence un AVC ischémique sylvien gauche en cours de constitution. L'origine de l'AVC est probablement thrombo-embolique sur une fibrillation auriculaire non datée, mise en évidence par l'ECG d'entrée. Dans ce contexte, après randomisation dans l'étude ELAN, Mr. Y bénéficie d'une anticoagulation par Xarelto dès le 19.01.2019. A noter un passage spontané en sinusal dès cette date. L'évolution est marquée par une régression complète des troubles phasiques. Au moment du transfert en Stroke unit non-monitorée le 19.01.2019, Mr. Y est alerte, orienté aux 3 modes, avec un NIHSS à 3 (troubles sensitifs au membre supérieur droit et hémi-anopsie homonyme gauche). Mr. Y, 84 ans, admis en Stroke unit monitorée le 18.01.2019 en raison d'une récidive d'AVC ischémique cérébelleux gauche. Il est initialement amené en ambulance pour un mutisme nouveau avec nausées apparues entre 9h et 10h30 le jour même. La dernière preuve de bonne remonte à 9h selon Mme. Y. Le CT-scan effectué aux urgences montre 2 nouvelles occlusions au niveau de l'a. cérébelleuse supérieure G et a. cérébrale post. G avec zones de pénombre. Dans ce contexte, une lyse par rTPA est initiée et Mr. Y nous est adressé pour suite de prise en charge. L'évolution post-thrombolyse est progressivement favorable, sans complication hémorragique. Au moment du transfert en Stroke unit non-monitorée, Mr. Y est alerte, orienté avec une dysmétrie au membre supérieur gauche et une quadranopsie homonyme supérieure gauche. Mr. Y, 84 ans, qui vit au foyer S. Joseph, traité par Eliquis en suspension depuis le 2 janvier quand il a commencé Fraxi 0.8, dernière injection le matin du 4.01, en prévision d'extractions dentaires multiples faites le 4.01. Après l'extraction des dents 2.3-2.7-3.1-3.2-3.7-4.1-4.2-4.7, il présente un saignement actif à partir des alvéoles dentaires, et pour cela est adressé aux urgences par Dr. X pour saignement post-extractions dentaires généralisé. Hémodynamique stable à l'arrivée aux urgences et pendant toute l'observation. Hb à l'arrivée 104, le matin du 05.01 à 95. INR 1.3, PTT 37. Malgré la compression avec alginate de calcium et compresse, on parvient à diminuer le saignement mais pas à l'arrêter. On appelle l'ORL de garde qui nous aide à contacter le dentiste de garde Drsse X. La Drsse nous explique comment faire la suture et la compression (compresse froide, glaçon) mais Mr. Y est agressif et refuse l'évaluation clinique ultérieure et n'importe quelle manipulation au niveau de la bouche. La Drsse X propose de voir Mr. Y chez elle, mais vu la diminution de l'Hb, cela n'est pas possible et pour cette raison, le Dr. ORL de garde vient pour l'évaluation de Mr. Y et la suture en X. Mr. Y, 85 ans, admis aux soins intensifs pour une surveillance en stroke unit monitorée suite à un AVC ischémique frontal gauche. Il présente une paralysie du membre supérieur droit à son réveil le 04.01.2019. Il consulte son médecin traitant qui l'adresse à l'hôpital de Riaz pour une IRM en urgence. Constatant un AVC ischémique aigu ainsi que des lésions multiples d'âge différent, Mr. Y est pris en charge par les urgences de Riaz. Un angio-CT permet de mettre en évidence une sténose carotidienne à 60% qui pourrait être à l'origine de l'événement aigu. Toutefois, les lésions multiples localisées au niveau des deux hémisphères suggèrent une origine cardioembolique. Mr. Y est transféré aux soins intensifs à Fribourg pour une surveillance neurologique et rythmique. Les symptômes s'amenuisent avec toutefois une faiblesse proximale persistante au niveau du membre supérieur droit. Mr. Y ne présente pas de trouble du rythme. Comme facteur de risque, Mr. Y est traité pour une hypertension artérielle. Le bilan lipidique et l'hémoglobine glyquée se trouvent dans les limites de la norme. Il est transféré en stroke unit non monitorée pour la suite du bilan.Patient de 85 ans admis en réadaptation gériatrique après un séjour en gériatrie aiguë dans le contexte de sa pemphigoïde bulleuse. Pour rappel, Mr. Y y avait séjourné du 06.12.2018 au 27.12.2018. En outre, le patient étant suivi par le Dr. X, dermatologue, nous collaborons avec ce dernier dans le but d'une meilleure prise en charge de la maladie susmentionnée. Pour mémoire, il était convenu de l'introduction du Methotrexate devant l'activité de la maladie. Un bilan pré-thérapeutique incluant la fonction rénale, hépatique, une formule sanguine et une radiographie du thorax revient sans particularité. S'ajoutent à cela des sérologies hépatiques ainsi qu'une recherche VIH qui s'avèrent également négatives. Un pro-collagène 3 est aussi demandé afin de déceler une éventuelle fibrose hépatique : nous vous ferons suivre les résultats dès leur réception. La dose d'introduction sera de 5mg sous couverture de 40mg de Prednisone. À noter que le dosage cible serait de 20mg/semaine au vu de l'activité de la maladie actuellement (à réévaluer en ambulatoire). Durant le séjour, nous remarquons une nette évolution des lésions surtout aux membres supérieurs qui ne nécessitent plus de pansement. Les lésions sur les membres inférieurs montrent aussi une bonne progression. En somme, nous n'objectivons pas de nouvelle activité de la maladie avec formation de nouvelles lésions depuis fin décembre 2018. Sur le plan cognitif, nous vous renvoyons à notre précédente lettre. Durant son séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À la sortie, sa marche est sécuritaire, seul et à l'aide de deux cannes. Le patient peut gravir 3 étages à l'aide d'une rampe et sans accompagnement. Il est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 100/126, par rapport à 98/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 7/7, marche 7/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 18 secondes. Le risque de chute est bas. Finalement, nous notons une bonne évolution de la maladie avec un bilan pré-thérapeutique pour l'introduction de la Methotrexate qui est dans la norme. Nous vous faisons parvenir le résultat du collagène 3. Pour la sortie, nous mettons en place des soins à domicile à raison de 1x/jour afin d'assurer le maintien de cet état au vu de la situation familiale et sociale du patient. Une sortie est décidée pour le 09.01.2019 après un rendez-vous de suivi chez le Dr. X, dermatologue du patient, la veille. Sur avis de ce dernier, nous introduisons le Methotrexate à 5mg/semaine (effectué par les soins à domicile) avec un contrôle sanguin durant le traitement 1x/semaine chez le médecin traitant (formule sanguine, fonction rénale et hépatique...). L'épouse du patient est informée de l'impérativité d'un tel suivi. La prochaine injection sera faite par le Dr. X lui-même lors d'un rendez-vous agendé la semaine du 14.01.2019. Patient de 85 ans, connu pour une dermatose prurigineuse suivie par le Dr. X, qui avait déjà séjourné en médecine HFR Riaz jusqu'au 30.11.2018 pour cette maladie dermatologique, et qui reconsulte aujourd'hui pour une asthénie très prononcée avec perte de force et anxiété ainsi qu'hyperventilation. Ces symptômes étaient présents depuis sa sortie du service de médecine, mais en péjoration aujourd'hui. Mr. Y vit avec son épouse et marche avec des cannes. À domicile, il doit effectuer 64 marches. À son arrivée aux urgences de l'HFR Riaz le 06.12.2018, le patient rapporte des douleurs insupportables aux plis inguinaux, douleurs déjà connues et d'origine non identifiée. Son épouse nous rappelle que le patient présente une dysphagie lors de la prise des médicaments, sans fausse route observée. Il n'y a pas nécessité d'adapter les repas par conséquent. Durant son séjour, Mr. Y bénéficie d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 10.12.2018 au 19.12.2018. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 19.12.2018 montrent des performances altérées avec un MMS à 25/30 et un test de la montre à 5/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 5/15. Nous relevons la présence d'une désorientation dans les 4 modes (le temps et l'espace, la personne et la situation) ainsi que des troubles mnésiques à court terme, surtout la nuit, ce qui a motivé l'introduction de la Quétiapine ainsi que certaines mesures de contention (draps Zewi, ceinture) en accord avec la famille et le patient, qui est conscient de l'altération de son état de confusion à posteriori. Un consilium en psychogériatrie est demandé. Durant son séjour, Mr. Y bénéficie d'une prise en charge en stomatothérapie pour les soins de ses lésions, avec un protocole mis en place. Sur l'avis du Dr. X, nous commençons un bilan pré-thérapeutique afin d'introduire le Methotrexate. Le bilan inclut la fonction rénale, hépatique, une formule sanguine et des radiographies du thorax. S'ajoutent à cela des sérologies hépatiques ainsi qu'une recherche VIH. Un pro collagène 3 est également demandé afin de déceler une éventuelle fibrose hépatique. La dose d'introduction du Methotrexate serait de 7.5mg sous couverture de 40mg de Prednisone. À noter que le dosage cible serait de 20mg par semaine au vu de l'activité de la maladie actuellement. Dans ce contexte, le patient est vu par le dermatologue, Dr. X le 21.12.2018, qui conclut à une bonne évolution de l'état cutané. Il convient de mettre en place le méthotrexate de façon concomitante avec la Prednisone à 40mg/j dès que le bilan pré-thérapeutique sera complété. Durant son séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. En fin de ce séjour, son périmètre de marche à l'aide d'un rollator est de 200 mètres. Le patient peut gravir 3 étages avec la main courante et sous surveillance. Il nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 99/126, par rapport à 53/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 6/7, marche à 5/7, escaliers à 5/7). Le TUG est à 18 secondes avec rollator. Le risque de chute est intermédiaire. Mr. Y bénéficie d'un bilan nutritionnel, écartant une malnutrition protéino-énergétique. Son indice de masse corporelle est de 21.7kg/m2. Le patient bénéficie d'un bilan modulaire d'ergothérapie, dans lequel aucun trouble des fonctions cognitives de base n'est mis en évidence, bien que le patient relate des déficits de rappels de dates depuis une opération du cerveau. Signalons que la communication est limitée en raison du déficit auditif. Le 27.12.2018, Mr. Y passe en réadaptation gériatrique. La suite de la prise en charge sera détaillée dans notre prochaine lettre de sortie, de même que le consilium psychiatrique demandé. Patient de 85 ans, connu pour une insuffisance rénale terminale, dialysé, qui est hospitalisé en raison de soins impossibles à domicile en lien avec une asthénie importante en péjoration depuis quelques semaines, ainsi que des douleurs chroniques du membre inférieur droit difficilement gérables. Au vu de la clinique et des examens paracliniques, nous retenons le diagnostic de pneumonie basale droite. Une antibiothérapie par Céfépime est débutée et administrée en dialyse. Les cultures d'expectorations mettent en évidence un Moraxella catarrhalis, et nos collègues néphrologues poursuivent l'antibiothérapie par Céfépime pour une durée de 8 jours. Les hémocultures restent stériles. À l'admission, nous mettons également en évidence un épanchement pleural droit important, et dont le drainage rapporte 1 L de liquide correspondant à un transsudat, sans cellules malignes mises en évidence à la cytologie. Dans ce contexte, nous retenons le diagnostic de décompensation cardiaque gauche. Au vu d'une péjoration de la dyspnée, une radiographie thoracique de contrôle est effectuée, et montre une péjoration de l'épanchement pleural droit. Une nouvelle ponction pleurale est effectuée, et rapporte 1 L de liquide correspondant à un exsudat, probablement dans le contexte de la pneumonie.Un traitement complexe de médecine palliative a été réalisé. Sur le plan de l'antalgie, les douleurs connues du membre inférieur droit sont soulagées par la majoration du Temgesic à dose maximale préconisée par nos collègues néphrologues. D'un point de vue nutritionnel, une malnutrition protéino-énergétique grave est mise en évidence, et la supplémentation nutritive orale déjà en place est poursuivie. Dans le contexte de l'asthénie et de la sarcopénie, et vu l'absence d'événement cardiovasculaire récent, le traitement d'Atorvastatine est arrêté. En raison d'un abaissement marqué de la thymie, un traitement antidépresseur est débuté avec bonne tolérance. Dans le contexte de la dépendance fonctionnelle perçue par le patient, et à sa demande, un placement est EMS est organisé. Mr. Y entre au Home de la Sarine le 18.01.2019. Les dialyses seront poursuivies au rythme habituel. Mr. Y, 85 ans, nous est adressé pour un épisode d'absence suite à un repas. Il a présenté par le passé des épisodes similaires, qui ont été attribués à une étiologie vagale. L'anamnèse est difficile au vu de troubles cognitifs marqués, probablement inscrits dans une démence sous-jacente. Mme. Y, son épouse, témoin de l'événement, relate un repas de quantité usuelle, qui s'est suivi d'un épisode d'absence (yeux fermés, perte de contact) d'une durée de cinq minutes. Il n'aurait pas présenté de prodrome, ni chuté, et n'aurait pas présenté de troubles neurologiques. Mme. Y aurait alors appelé une ambulance. Les ambulanciers ne trouvant pas de pouls périphériques, décident alors d'entamer un massage cardiaque, non initié car le patient recouvre alors ses esprits. Il est donc transféré à l'hôpital pour bilan. Aux urgences, Mr. Y ne présente pas de trouble de la conscience et est hémodynamiquement stable. Le status est dans les normes, ainsi que l'examen de laboratoire. L'ECG permet d'exclure un processus cardiaque pathologique aigu. Aucune imagerie cérébrale n'est effectuée, vu l'absence de traumatisme crânien. Une radiographie du thorax n'est pas effectuée, en raison de l'absence de plaintes. Mr. Y est donc adressé au service de Médecine pour bilan cardiaque et suite de prise en charge. À l'admission, le patient présente une confusion importante, avec une impossibilité d'entrer en contact avec lui. Ces troubles sont présents depuis 2012, suite à un accident de la voie publique avec trauma crânien. Aux dires de la famille, ces troubles se péjoreraient depuis deux ans, notamment sur le plan de la communication. Mr. Y s'exprime en effet avec un mélange confus de slovaque, d'allemand et de russe. Il présente par ailleurs des épisodes d'hétéro-aggressivité, notamment envers le personnel du centre de jour qu'il fréquente. Notre bilan cardiaque comprend une échocardiographie, un ECG et un examen d'Holter. Ces examens reviennent dans les limites de la norme, et ne permettent ainsi pas de retenir un diagnostic de syncope cardiogène. Au vu de la confusion importante du patient, et de son agressivité envers l'équipe soignante, nous effectuons un bilan de démence, avec laboratoire et IRM, examen qui malheureusement s'avère impossible à effectuer au vu de l'agitation de Mr. Y. Nos collègues psychiatres examinent le patient et retiennent une indication à une hospitalisation à Marsens, à visée de bilan de la démence et prise en charge de son agitation. Cette stratégie est refusée par la famille. Par ailleurs, nous objectivons un profil tensionnel bas, et décidons alors de mettre en suspens le traitement de beta-bloqueurs. Nous vous invitons, cher confrère, à revoir à distance l'indication du traitement. Afin de temporiser et stabiliser les symptômes présents en ce jour, une demande de transfert à la Villa St-François est établie. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, 85 ans, a présenté une rupture couverte d'anévrisme de l'aorte abdominale le 28.12.2018 pour lequel il a bénéficié d'une prise en charge chirurgicale en urgence par laparotomie avec mise en place d'une prothèse aorto-bi-illiaque à l'Inselspital Bern. Les suites sont initialement compliquées d'une déhiscence de la cicatrice puis d'une péritonite stercorale sur une perforation sigmoïdienne nécessitant une résection segmentaire et la confection d'une colostomie du colon descendant. Mr. Y bénéficie par la suite de plusieurs re-laparotomie de lavages. L'état général du patient se dégradant progressivement, ce dernier ne souhaite plus de prise en charge supplémentaire. Dans ce contexte, le patient nous est transféré le 14.01.2019 pour rapprochement familial au vu de retrait thérapeutique avec soins de confort en vue d'une fin de vie. Mr. Y décède paisiblement le 18.01.2019. Mr. Y, 86 ans, admis aux soins intensifs le 23.01.2019 en post-opératoire d'une perforation diverticulaire avec péritonite. Il bénéficie d'une laparotomie en urgence pour une péritonite sur une perforation diverticulaire. L'intervention se déroule sans complication avec un lavage par 50 L et une sigmoïdectomie selon Hartmann. L'abdomen est fermé et il reste un VAC sous-cutané à changer à J3. Un Jackson Pratt est en place. Le patient est initialement instable hémodynamiquement en salle d'opération. La noradrénaline peut être diminuée au réveil mais le patient reste transitoirement vasoplégique, malgré un remplissage vasculaire ciblé. Les amines sont finalement sevrées depuis le 25.01.2019 au petit matin avec une bonne reprise de la diurèse. Les hémocultures reviennent positives pour des bacilles gram-négatifs dont nous vous laissons pister l'identification définitive. Pour cette raison, nous proposons une antibiothérapie de 10 à 14 jours selon évolution clinique. Le patient est connu pour une maladie de Parkinson. Son traitement de Madopar est repris dès que possible. Nous vous proposons de suivre ce point en collaboration avec l'équipe de neurologie. Face à la bonne évolution, le patient est transféré en unité de chirurgie le 25.01.2019. Mr. Y, 86 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance neurologique en raison d'un traumatisme crânien sévère. Le patient, connu pour des chutes répétitives depuis une année, est tombé à domicile dans des circonstances peu claires. Il a été retrouvé par son épouse au sol. Le bilan initial révèle une fracture transverse au niveau de L1 ainsi que des lésions hémorragiques au niveau cérébral. Il n'y a pas de fracture au niveau cervical. Il bénéficie d'une surveillance neurologique avec une imagerie de contrôle à 24h permettant d'observer une stabilité des lésions hémorragiques au niveau parafalcoriel et au niveau frontal. Il développe par la suite un état confusionnel hyperactif qui nécessite une imagerie supplémentaire qui révèle une minime augmentation de l'hémorragie frontale, toutefois sans franche progression pouvant expliquer les symptômes. Une contention chimique nocturne est introduite avec réafférentation diurne régulière. L'évolution est favorable.Une imagerie cérébrale de contrôle est à faire à 3 mois afin d'exclure le développement des hématomes sous-duraux chroniques. Pour la fracture L1, le patient bénéficie d'une spondylodèse D12-L1, le 07.01.2018, qui se passe sans complication notable. Afin de maintenir une tension artérielle dans la cible, nous titrons du Labétalol puis du Catapresan. Une échographie préopératoire met en évidence une péjoration de la sténose aortique diagnostiquée en 2014. Un contrôle par US dans de meilleures conditions est à effectuer par la suite pour mieux estimer la sévérité du rétrécissement, ceci en fonction de l'évolution du patient et du projet envisageable. Le patient présente une dénutrition protéino-énergétique grave dans un contexte de dysphagie sévère qui est d'origine principalement structurelle sur une hyperextension de la nuque post-opératoire (spondylodèse/laminectomie cervicale) et dans un contexte de trauma crânien et état confusionnel aigu. Une nutrition parentérale est initiée au vu de l'impossibilité de la pose d'une sonde nasogastrique. Dès le 08.01.2018, une sonde nasogastrique sous contrôle fibroscopique est posée par les collègues ORL, ce qui permet le début de l'alimentation entérale, que nous vous laissons poursuivre tout en testant la déglutition régulièrement. Une nouvelle évaluation ORL pour la déglutition est conseillée en cas de persistance des troubles. Le 08.01.2019, le patient est transféré à l'étage d'orthopédie pour la suite de la prise en charge. Nous vous proposons d'organiser une réadaptation gériatrique avant le retour à domicile. Patient de 86 ans, connu pour hypertension, démence débutante et accident vasculaire cérébral en 2012, qui consulte les urgences de l'HFR Riaz ce jour en raison de diarrhées de 3 à 4 épisodes quotidiens depuis 2 semaines (liquides, jaunes, sans présence de sang). Sinon, Mr. Y ne rapporte pas de douleur abdominale, pas de nausée ni de vomissement, pas de fièvre ni de frissons, pas de sudation nocturne, mais une perte de 6 kg sur le dernier mois. Mentionnons que le patient a bénéficié d'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g par voie orale 2x/jour en raison d'une infection pulmonaire (la dernière prise il y a 10 jours). Remarquons aussi que Mr. Y a séjourné en chirurgie HFR Riaz du 17.11.2018 au 20.11.2018 pour une lésion kystique post-traumatique de la rate et une lésion pseudo-kystique de la queue du pancréas. Lors de cette hospitalisation, une IRM le 19.11.2018 suggérait la présence d'un ulcère versus tumeur gastrique. Une OGD était programmée pour le 29.11.2018 à laquelle le patient ne s'était pas présenté, et une répétition d'IRM est organisée à 3 mois. Mr. Y vit seul et bénéficie du passage des soins à domicile 1x/semaine. Il se déplace sans moyen auxiliaire. L'examen clinique met en évidence au niveau abdominal une légère douleur au niveau de sa fosse iliaque gauche, sans défense ni détente, ainsi que des bruits normaux en fréquence et intensité. Le reste du statut n'est pas contributif. Au laboratoire, nous mettons en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 55 mg/l, sans leucocytose, une insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 199 µmol/l et une hypokaliémie à 2.8 mmol/l. Nous hospitalisons le patient pour réhydratation et correction de la kaliémie en proposant au service de gériatrie aiguë HFR Riaz de réorganiser une oeso-gastro-duodénoscopie, éventuellement durant le séjour. Dans notre service, et après les 40 meq/24 h de KCl retard mis aux urgences, la substitution de potassium se poursuit avec 60 meq/24 h en 1500 ml de NaCl, plus 2 comprimés d'Effervette par jour. Par la suite, les valeurs se normalisent. Par rapport à l'insuffisance rénale aiguë, nous mettons en place une hydratation avec bonne réponse biologique. Sur le plan médicamenteux, nous suspendons l'Hydrochlorothiazide au vu d'un bon profil tensionnel et de l'absence de signe de surcharge. Nous vous laissons le soin de suivre le profil tensionnel et le poids. Le bilan vitaminique constate un déficit en vitamines D, B9 et B12, qui est substitué. Nous vous laissons le soin de contrôler ces valeurs à distance. La recherche de clostridium et la culture de selles revenant négatives, nous suspectons une colite microscopique, raison pour laquelle nous dosons la calprotectine qui revient à 243 µg/g. Par la suite, le transit se normalise et nous n'observons plus de diarrhée pendant 72 heures. Nous discutons avec la famille en présence de Mr. Y par rapport à la suite de sa prise en charge, notamment si le patient accepte une colonoscopie pour investiguer ses diarrhées. Pour l'instant, ces derniers ne se montrent pas complètement contre ces investigations, malgré le refus d'effectuer l'OGD en novembre 2018. Nous vous laissons donc le soin d'organiser une colonoscopie en ambulatoire si besoin. Pendant l'hospitalisation, Mr. Y se plaint de vertiges occasionnels. Cependant, nous ne mettons pas en évidence de critère d'urgence pour la réalisation d'une nouvelle imagerie étant donné qu'un CT cérébral injecté du 14.12.2018 montrait une sténose au niveau de la partie moyenne du tronc basilaire, pouvant expliquer ces vertiges. Durant son séjour, Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. Finalement, après une bonne évolution clinique, Mr. Y quitte notre service le 04.01.2018 et bénéficiera du passage des soins à domicile 3x/semaine. Patient de 86 ans, connu pour une FA sous Sintrom, une BPCO non stadée, des troubles cognitifs légers et d'autres comorbidités, institutionnalisé au home St-Martin, est amené en ambulance après avoir été retrouvé au sol le 19.12.2018 avec un hématome temporal droit, ainsi que des douleurs abdominales avec plusieurs vomissements. Après cette chute non objectivée, le patient rapporte des douleurs de l'épaule droite et des lombalgies (connues, sur fracture D7-D8, dont le suivi est assuré à l'HFR par Dr. X). Ses paramètres vitaux à son entrée sont : un GCS à 15/15, une FC à 74/min, une TAS à 169/79 mmHg, une FR à 24/min, une SpO2 à 80% à l'air ambiant et une température à 37°C. Le statut met en évidence des râles grossiers bibasaux, ainsi qu'un abdomen distendu et diffusément sensible à la palpation. Le bilan biologique d'entrée montre un important syndrome inflammatoire, un NT-proBNP élevé ainsi qu'un INR supra-thérapeutique. Une gazométrie met en évidence uniquement une hypoxémie. Un CT cérébral écarte un saignement intra-crânien. Au vu de la persistance des vomissements, une sonde naso-gastrique est posée aux urgences qui rend environ 400 ml de liquide fécaloïde. Un CT abdominal retrouve une sténose sur l'anastomose gastrojéjunale (déjà présente en 2017, contexte de lobectomie hépatique, gastrectomie partielle et anastomose gastro-jéjunale sur hépatocarcinome en 2001). Le bilan radiologique est complété avec des radiographies de thorax, lombaire et d'épaule droite, revenant normales. Le patient est transféré en médecine interne. Les premiers examens parlent en faveur d'une décompensation cardiaque gauche, le patient bénéficie de Lasix ainsi que d'oxygénothérapie au besoin. Un ultrason cardiaque met en évidence une FEVG conservée ainsi qu'une sténose aortique modérée connue. Il évolue favorablement au fil des jours, saturant mieux sous 2 litres d'oxygène et perdant du poids. Le relais per os est effectué le 28.12.2018 et la sonde urinaire est enlevée, avec reprise spontanée de la diurèse. Sur le plan abdominal, la sonde naso-gastrique est clampée le 20.12.2018 et le patient ne présente plus de nausée ni de vomissements. Une réalimentation progressive est débutée le 21.12.2018, avec bonne tolérance.Au vu de l'infection urinaire traitée par Uvamine au Home et de la persistance du syndrome inflammatoire important, le spectre antibiotique est élargi avec de la Rocéphine 2g en intraveineux, avec bonne évolution tant clinique que biologique. Sur le plan rénal, le patient présente une insuffisance rénale probablement sur un syndrome cardio-rénal. La fonction rénale s'améliore durant le séjour, après compensation sur le plan cardiaque. Sur le plan neurologique, le patient étant difficilement réveillable à l'entrée, son traitement d'Oxycontin est mis en pause, avec instauration uniquement de réserves de morphine. Il évolue favorablement au fil des jours, devenant moins somnolent, discutant plus volontiers et s'asseyant au fauteuil. Suite à une bonne évolution tant clinique que biologique, sur tous les plans, le patient rentre au Home le 31.12.2018. Mr. Y, 86 ans, nous est transféré de l'hôpital intercantonal de la Broye site Estavayer pour compléter un bilan pré-TAVI par une coronarographie et un Angio-CT. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne monotronculaire avec une sténose significative de l'artère circonflexe moyenne ainsi qu'une légère dysfonction ventriculaire gauche avec hypokinésie apicale, avec une FEVG de 45%. En outre, on confirme la sténose aortique serrée AVA 0.69 cm2 avec hypertension artérielle pulmonaire. Absence de sténose au niveau des vaisseaux iliaques. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Plavix 75 mg/j pour 6 mois est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. Le bilan pré-TAVI est complété par un Angio-CT le 09.01.2019 dont les résultats vous seront communiqués dans un deuxième temps. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs et ensuite à l'étage sont sans complications. La patiente est retransférée le 09.01.2019 à Estavayer. Mr. Y, 86 ans, vivant à domicile avec sa femme, consulte aux urgences le 27.12.2018 en raison d'une baisse de l'état général d'origine multifactorielle. Tout d'abord, le patient décrit une perte pondérale, une asthénie et une alternance de diarrhées et constipation. Dans ce contexte, nous effectuons un CT abdominal qui met en évidence un épaississement du caecum, sans adénopathie. Le CEA est normal. La calprotectine fécale est augmentée. Les investigations se poursuivront par une endoscopie, déjà prévue en ambulatoire le 18.01.2019. Par ailleurs, le patient décrit une situation à domicile difficile avec sa femme, associée à une anxiété et des troubles dépressifs. Il bénéficie d'une consultation en psychiatrie avec introduction de distraneurine avec bon effet sur ses angoisses. Le dépistage par un MMS à 17/30 et test de l'horloge à 0/7 suggère des troubles cognitifs, à mettre toutefois dans le contexte actuel de baisse de la thymie et de la barrière de la langue. Nous proposons la réalisation d'un bilan neuropsychologique à distance. Après discussion à 2 reprises avec le patient et sa famille, il est décidé que le patient rentre à domicile le 07.01.2019 avec mise en place de soins à domicile afin d'améliorer son encadrement. A noter que la relation avec l'épouse est conflictuelle et qu'elle ne comprend pas le besoin d'encadrement/soins de son époux. À noter qu'après le retour à domicile du patient, nous recevons un appel des soins à domicile nous informant que ceux-ci ont été annulés par l'épouse du patient. Mr. Y, 87 ans, admis aux soins intensifs le 16.01.2019 dans les suites d'une résection d'intestin grêle nécrotique sur hernie inguinale incarcérée compliquée par un choc septique. Connu pour une cardiopathie ischémique et rythmique, il est hospitalisé à Tavel depuis le 04.01.2019 pour une pneumonie traitée par co-amoxicilline. Il est transféré à Fribourg le 16.01.2019 en raison d'une hernie inguinale incarcérée nécessitant une laparotomie en urgence. L'intestin grêle est réséqué sur sa partie nécrotique avant une anastomose latéro-latérale. L'évolution post-opératoire est marquée par un choc septique avec défaillance multiorganique nécessitant un soutien aminergique et une antibiothérapie secondairement élargie à du Méropénème en raison d'une vasoplégie réfractaire. La défaillance cardio-circulatoire s'améliore par la suite, de même que l'insuffisance rénale. Une insuffisance respiratoire sévère sur pneumopathie d'inhalation persiste toutefois, sans amélioration évidente malgré la déplétion hydrique et l'évacuation d'un épanchement pleural gauche. Les tentatives de levée de sédation quotidiennes dès stabilisation hémodynamique se soldent par une agitation sans contact franc dans le contexte d'une probable encéphalopathie septique. En l'absence d'amélioration significative tant neurologique que respiratoire après plus de 6 jours de réanimation avancée, nous décidons de soins de confort exclusifs dès le 21.01.2019, d'entente avec les proches et conformément à la volonté présumée du patient. Mr. Y décède paisiblement entouré des siens le 22.01.2019. Une autopsie n'a pas été demandée. Mr. Y, 87 ans, nous est transféré de l'HFR Riaz pour l'investigation d'une masse gastrique et de plusieurs lésions hépatiques dans un contexte de bactériémie. Pour rappel, Mr. Y a été hospitalisé à l'HFR Riaz pour un état fébrile persistant depuis 1 semaine. Il s'est rendu en République Dominicaine en novembre 2018 et a eu un traitement au niveau d'une racine dentaire il y a 2 semaines en Suisse. À l'admission, le patient est hypotendu, fébrile et présente un important syndrome inflammatoire motivant l'introduction d'une antibiothérapie et la suspension de son traitement antihypertensif. Au vu des paramètres hépatiques altérés, un US abdominal est réalisé et montre de multiples lésions hypodenses au niveau hépatique. Un CT abdominal montre des lésions hépatiques multiples, dont le diagnostic différentiel est ouvert (abcès versus métastases), ainsi qu'une masse gastrique nécrotique. Le patient est ensuite transféré à l'HFR Fribourg le 25.12.2018 pour la suite des investigations. Sur le plan infectiologique, nous écartons la malaria, l'HIV, et des infections parasitaires. Les hémocultures reviennent positives pour un Streptococcus anginosus provenant probablement de la masse gastrique. Une endocardite est écartée par une échocardiographie. Les infectiologues proposent une antibiothérapie par Pipéracilline Tazobactam pour 2 semaines en intraveineux puis 10 semaines par voie orale par Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour jusqu'au 20.03.2019. Au niveau abdominal, une gastroscopie est réalisée pour investiguer la masse gastrique. Au visuel, le Dr. X décrit une lésion de 7 cm au niveau du cardia gastrique d'allure tumorale. De multiples biopsies sont réalisées et ne montrent pas de signe de dysplasie ou de malignité. Un saignement suite à l'intervention motive l'introduction de Pantozol en intraveineux, puis par voie orale 2x 40 mg qui sera à réévaluer pour la suite. Un CT abdominal pour évaluer l'évolution des lésions hépatiques montre une légère progression de taille de la lésion principale et une stabilité des autres lésions. Une biopsie hépatique est réalisée. La culture revient négative et l'histologie est compatible avec un abcès, sans tissu néoplasique. Un deuxième avis est demandé pour l'histologie qui est encore en cours. Au vu du tableau, nous pensons que ces lésions sont d'origine infectieuse. Néanmoins, un doute subsiste sur une potentielle origine néoplasique pour lequel nous réalisons une deuxième biopsie au niveau gastrique. Les résultats d'histologie sont encore en cours. Un CT abdominal est organisé le 21.03.2019 pour voir l'évolution des lésions après l'antibiothérapie. Nous proposons au médecin traitant de voir le patient dans une semaine pour un contrôle bio-clinique (tests hépatiques, marqueurs de l'inflammation) et l'annonce des résultats du deuxième avis de la biopsie hépatique et de la deuxième biopsie gastrique. Le patient sera revu le 28.03.2019 en infectiologie par le Dr. X. Si une origine tumorale devait se révéler, nous vous laissons le soin d'adresser Mr. Y en oncologie à l'HFR Fribourg.Mr. Y rentre à domicile le 14.01.2019 avec des soins à domicile une fois par semaine. Patient de 88 ans, admis aux soins intensifs le 17.01.2019 pour suite de prise en charge après traumatisme crânien sévère avec hématomes sous-duraux multiples et hémorragie sous-arachnoïdienne. Il est initialement admis aux urgences suite à une chute accidentelle de sa hauteur en trébuchant avec traumatisme crânien sans perte de connaissance. L'imagerie cérébrale effectuée aux urgences montre des hématomes sous-duraux bilatéraux fronto-pariétaux à prédominance droite d'aspect chronique avec composantes aigües, un hématome sous-dural droite de la tente du cervelet, ainsi qu'une hémorragie sous-arachnoïdienne à proximité de la tente du cervelet péri-mésencéphalique et une inondation hématique ventriculaire de la corne temporale et occipitale gauche. Après avis neurochirurgical à l'inselspital, un traitement conservateur est préconisé. Un CT-scan de contrôle est effectué à 6 heures, qui ne montre pas de progression des lésions décrites. L'évolution aux soins intensifs est marquée par un épisode d'agitation aiguë le 18.01.2019, avec un scanner de contrôle à 24h qui retrouve une stabilité des lésions. Nous considérons cet état d'agitation dans le contexte de sa maladie d'Alzheimer et du traumatisme crânien récent. L'évolution est rapidement favorable après traitement ponctuel par Midazolam et Haldol. Par la suite, nous poursuivons son traitement par distraneurine (300 mg le soir) introduit par son médecin traitant depuis le mois de novembre, sans récidive d'agitation. Après discussion avec le Dr. X, l'aspirine est arrêtée pour un minimum de 10 jours. Par la suite, un scanner de contrôle est préconisé avec reprise de l'aspirine à discuter de manière pluri-disciplinaire en fonction de l'évolution clinique et radiologique et des risques de récidives de chute. Compte tenu de la maladie d'Alzheimer et des risques de chutes significatifs et après discussion avec les proches du patient, il a été décidé d'entente avec ces derniers et conformément à la volonté présumée du patient de ne pas réanimer ce dernier en cas d'ACR. En cas d'aggravation significative, seuls des soins de confort sont préconisés, sans intubation ni recours à une éventuelle chirurgie. Patient de 88 ans connu pour une fibrillation auriculaire sous Sintrom qui consulte les urgences de Riaz le 30.01.2019 envoyé par son médecin traitant des suites d'une chute le 24.01.2019 avec mise en évidence de fractures des côtes à droite avec un épanchement pleural à droite. Aux urgences, nous réalisons une radiographie de thorax qui met en évidence des fractures des arcs postérieurs des côtes 5, 6, 7, 8 avec présence d'un épanchement pleural à droite. Nous demandons un avis au Dr. X, chirurgien de garde, qui ne voit pas d'indication à ponctionner l'épanchement. Il propose d'effectuer un contrôle clinico-biologique le 04.02.2019 à la filière des urgences ambulatoires avec notamment un contrôle radiologique et d'instaurer une antalgie pour le domicile ainsi que de la physiothérapie respiratoire par Inspirex. Sur le plan de l'anticoagulation, nous retrouvons un INR supra-thérapeutique avec une valeur de 4.9, raison pour laquelle nous adaptons les posologies de Sintrom jusqu'au 04.02.2019 avec un contrôle de la crase ce jour-là. Sur le plan hépatique, le patient présente une perturbation des tests hépatiques asymptomatiques probablement en lien avec l'alcool, raison pour laquelle nous programmons un contrôle biologique à la filière des urgences ambulatoires le 04.02.2019. Au vu de la stabilité du patient sur le plan clinique et sur avis du Dr. X et du Dr. X, le patient rentre à domicile avec antalgie, physiothérapie respiratoire et contrôle clinico-biologique ainsi que radiologique le 04.02.2019 à la filière des urgences ambulatoires. Nous expliquons au patient et à sa femme la nécessité de reconsulter en cas de péjoration de la symptomatologie. Patient de 88 ans, est amené en ambulance au service des urgences pour une syncope le 08.01.2018. Mr. Y a présenté une perte de connaissance subite après le repas, sans prodromes, spontanément résolutive après 10 minutes. L'épisode est arrivé en position assise à table sans traumatisme crânien ni chute. À noter des épisodes similaires depuis 1.5 an arrivant environ une fois par mois avec un Holter de 24h en 01.2018 dans la norme. Des investigations cardiaques étaient prévues en ambulatoire en Espagne au cours du mois de 01.2019. À noter une démence récemment diagnostiquée ainsi qu'une cardiopathie ischémique et valvulaire. À l'arrivée des ambulanciers, le patient présente une bradycardie 40/min avec une hypotension accompagnée d'un état confusionnel aigu possiblement sur hypoperfusion. Au service des urgences, l'ECG est normocarde sans signe ischémique ni trouble de la repolarisation. La cinétique des troponines est négative avec une élévation probablement dans le cadre de l'insuffisance rénale aiguë du patient. L'ETT montre un bon fonctionnement de la valve aortique avec une FEVG conservée sans trouble de la cinétique segmentaire. Les D-dimères effectués au vu d'un long voyage en bus récent reviennent positifs, motivant la réalisation d'un doppler des membres inférieurs permettant d'exclure une thrombose veineuse profonde. Au vu d'une insuffisance rénale aiguë, un CT thoracique n'est pas effectué, de plus l'ETT ne montre pas de dilatation des cavités droites. Au vu des épisodes de syncope récidivants depuis plus d'un an avec récupération complète par la suite, il s'agit d'une syncope à bas risque, permettant des investigations en ambulatoire. Sur l'avis de nos cardiologues, un Holter de plus longue durée (ie. 5 jours) est à effectuer. Un Reveal peut également être discuté au vu de la fréquence des événements dans un second temps. Le traitement de bêtabloquant est stoppé suite à la bradycardie. Le CT cérébral natif permet d'exclure un saignement ou une fracture. Nous substituons les troubles électrolytiques légers du patient. À noter une anémie légère macrocytaire pour laquelle nous vous laissons le soin d'effectuer le bilan en ambulatoire. Mr. Y rentre à domicile le 10.01.2018 avec la suite des investigations en ambulatoire. Patient de 88 ans, qui consulte le service des urgences le 12.01.2018 pour une baisse de l'état général avec une asthénie depuis environ 48h, associée à des diarrhées, nécessitant la vidange de sa colostomie aux 2 heures. Il a présenté un pic fébrile le jour même sans autre symptomatologie abdominale associée. Le laboratoire montre un discret syndrome inflammatoire et une insuffisance rénale aiguë. Le CT abdominal effectué au service des urgences ne montre pas d'image de colite infectieuse, inflammatoire ou diverticulaire. Une antibiothérapie empirique par ceftiaxone-métronidazole est débutée au service des urgences. Nous procédons à une hydratation avec une correction rapide de la fonction rénale et une résolution des diarrhées. L'évolution est rapidement favorable et les hémocultures et coprocultures reviennent négatives. L'antibiothérapie est alors arrêtée le 14.01.2019 et du lopéramide est introduit. Au vu de l'évolution clinique rapidement favorable, le patient rentre à domicile le 18.01.2019 avec reprise de ses soins à domicile habituels.Patient de 88 ans, réadmis aux soins intensifs le 27.01.2019 en raison d'une décompensation respiratoire globale aiguë. Pour rappel, il bénéficie d'une laparotomie en urgence pour une péritonite stercorale sur une perforation diverticulaire le 24.01.2019. L'évolution post-opératoire est initialement simple et le patient est transféré en division de chirurgie le 25.01.2019 sous couverture antibiotique de Tazobac. Connu et traité pour une psychose bipolaire, il présente le 27.01.2019 en soirée un état d'agitation motivant l'administration de Temesta. L'évolution est marquée par des troubles de l'état de conscience et une décompensation respiratoire globale aiguë motivant sa réadmission dans notre service. L'origine de la décompensation respiratoire globale aiguë est multifactorielle, avec au premier plan une probable pneumonie d'inhalation (troubles de la déglutition et iléus post-opératoire), une surcharge volémique et possiblement une accumulation de benzodiazépines. L'évolution est progressivement stabilisée sous ventilation non invasive, mobilisation intensive, arrêt des benzodiazépines et majoration des diurétiques. Nous ne modifions pas le traitement antibiotique par Tazobac introduit initialement pour la péritonite stercorale. En raison d'un iléus post-opératoire, une alimentation parentérale périphérique est débutée à demi-doses le 28.01.2019. Un suivi électrolytique rapproché est recommandé compte tenu des risques de syndrome de renutrition. En cours de séjour, le patient présente un état confusionnel hypomane motivant l'introduction de Distraneurine. Compte tenu des co-morbidités importantes, d'entente avec le représentant thérapeutique et conformément aux directives anticipées du patient, nous convenons de soins maximaux en division en cas de nouvelle complication significative sans réadmission aux soins intensifs envisagée. Patient de 89 ans adressé par le centre médical Bulle Santé pour une toux avec expectorations blanchâtres persistantes depuis 3 jours. Mr. Y décrit un état fébrile et des frissons, ainsi qu'une dyspnée. Pas d'autre plainte, pas de voyage récent. Notion de contage de son épouse qui présente la même symptomatologie que lui. A l'admission aux urgences, patient hypertendu à 195/103 mmHg, normocarde à 65 bpm, avec une saturation à 95% à l'air ambiant, fébrile à 38.6°C. A l'auscultation cardiaque, bruits réguliers, bien frappés, sans souffle ausculté. Présence d'oedème des membres inférieurs prenant le godet jusqu'à la cheville droite et jusqu'à la mi-jambe à gauche. Sur le plan respiratoire, patient tachypnéique à 28 bpm, sans signe de détresse respiratoire. Murmure vésiculaire symétrique, spasticité avec râles bi-basaux. Le reste de l'examen clinique est dans la norme. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 127 mg/l, sans leucocytose, et une insuffisance rénale aiguë AKIN I avec une créatinine à 127 umol/l et un Cockcroft calculé à 38.8 ml/min. La radiographie réalisée à l'extérieur montre un foyer basal droit. L'ECG montre un rythme sinusal régulier à 75 bpm, avec un bloc de branche droit incomplet. Nous concluons à une pneumonie basale droite et nous hospitalisons le patient en médecine. Un traitement par aérosols d'Atrovent et de Ventolin est débuté, ainsi qu'une oxygénothérapie à 2 l/min aux lunettes et une antibiothérapie par Rocéphine et Klacid du 28.12.2018 au 03.01.2019. Au vu des antigènes urinaires revenant négatifs, le Klacid est stoppé le 30.12.2018. Les hémocultures reviennent elles aussi négatives après 5 jours. Durant l'hospitalisation, le patient bénéficie de plus d'une physiothérapie respiratoire et de mobilisation. L'oxygène est sevré progressivement. Mr. Y présente des épisodes de diarrhées liquides non verdâtres, sans autre signe clinique associé, que nous attribuons à l'antibiothérapie. Des coprocultures, effectuées à deux reprises, reviennent négatives. Un traitement de Perentérol - 2 x/jour est prescrit pour 5 jours. Au vu de l'évolution clinique et biologique favorable, le patient peut regagner son domicile le 07.01.2019, avec mise en place de soins à domicile. Nous lui recommandons de consulter un médecin d'ici 4 à 5 jours pour contrôle clinique. Patient de 89 ans, connu pour cardiopathie hypertrophique et valvulaire avec insuffisance mitrale, amaurose fugace de l'œil gauche en septembre 2017, antécédent de carcinome bronchique en 1997 traité par lobectomie et troubles cognitifs débutants, hospitalisé pour une masse intracérébrale occipitale gauche fortement suspecte d'être une métastase d'un cancer pulmonaire. Le patient est amené par ses enfants en raison d'une baisse de l'état général avec trouble visuel. Il présente le 25.12.2018 un épisode de confusion avec hémianopsie homonyme droite sans syncope, ni chute, ni signe pour une épilepsie. Le patient, connu pour une surdité sévère, décrit des céphalées occipitales légères, une asthénie et perte de poids (6 kg en 1-2 mois) avec inappétence. Il aurait aussi présenté des crachats hémoptoïques depuis environ 2-3 semaines. Le status d'entrée met en évidence une hémianopsie homonyme droite avec désorientation spatio-temporelle fluctuante. Le CT cérébral montre une masse occipitale gauche avec un important œdème de tout le lobe occipital et pariétal compatible avec une métastase des lésions pulmonaires visualisées au CT thoracique du 07.01.2019. Après discussion avec la famille et avis oncologique, nous introduisons un traitement par Dexaméthasone per os pour améliorer l'œdème cérébral. La discussion avec le patient et sa famille révèle le souhait de ne pas pratiquer de biopsie et de ne pas nécessairement commencer une chimio- ou immunothérapie. Une IRM de préparation pour la radiothérapie est effectuée le 15.01.2019 qui révèle une deuxième métastase homolatérale. Une radiothérapie est organisée lors de l'hospitalisation et le suivi social du patient est organisé dans la perspective d'un placement en EMS. Le patient avec une capacité de discernement fluctuante nous parle à répétition de son envie de suicide assisté. L'information est donnée au patient qu'une prise en charge par Exit n'est pas possible en clinique de médecine interne, mais que nous ne nous opposons pas à son droit d'autonomie et qu'une visite peut être organisée par lui-même hors de l'HFR Fribourg. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Patient de 89 ans nous est adressé par l'hôpital de Riaz pour une coronarographie pour un angor instable. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne monotronculaire avec des sténoses significatives de l'artère interventriculaire antérieure moyenne et de la première diagonale. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 65%. Nous avons procédé à une angioplastie de la première diagonale (implantation de 1 stent actif) et de l'artère interventriculaire antérieure moyenne (implantation de 1 stent actif) avec bon résultat final. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Plavix 75 mg 1-0-0 pour 3 mois est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez Dr. X. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications.Le patient re-transféré à l'hôpital de Riaz le 30.01.2019 pour la suite de la prise en charge. • Patient de 89 ans, qui est amené ce jour en ambulance aux urgences de l'HFR Riaz pour une dyspnée datant de 48h, accompagnée de douleurs abdominales diffuses et douleurs à la nuque, sans notion d'état fébrile, sans vomissement et sans trouble du transit. Mr. Y décrit une douleur initialement épigastrique irradiant dans tout l'abdomen par la suite. Le patient se plaint aussi d'une toux grasse depuis deux jours sans fièvre ni frisson. Notons que Mr. Y vit au Foyer St-Joseph de Morlon et se déplace avec un rollator. Aux urgences, nous observons un patient en bon état général, mais tachypnéique. Le status cardiovasculaire mentionne des bruits bien frappés et réguliers, avec un souffle systolique à 2/6, surtout au foyer mitral. Au niveau pulmonaire, notons des râles crépitants en base gauche. L'abdomen est ballonné et douloureux à la palpation diffuse, avec défense marquée en hypocondre droit et détente en fosse iliaque gauche, légère défense en fosse iliaque droite sans détente, une hernie ombilicale réductible, et pas d'organomégalie palpée ; les bruits intestinaux sont normaux en tonalité et en fréquence. Le reste du status est sans particularité. L'ECG signale un rythme sinusal avec des extrasystoles. Nous effectuons une radiographie du thorax visualisant un épanchement pleural gauche. Le laboratoire effectué aux urgences objective un syndrome inflammatoire avec une CRP à 34mg/l, une leucocytose à 12.9G/l, une augmentation isolée de la bilirubine sans perturbation des tests hépatiques, et un NT-proBNP à 10975ng/l. Nous effectuons un CT thoracique à la recherche d'une embolie pulmonaire qui confirme un épanchement pleural basal bilatéral associé à une atélectasie passive accompagnatrice lombaire et inférieure des deux côtés, mais permettant d'exclure une embolie pulmonaire. Une décompensation cardiaque gauche est donc retenue, avec instauration d'un traitement par Lasix 20mg 3x/jour en intraveineux, poursuivi jusqu'au 01.01.2019. Un relais par Torem en voie orale est effectué le 02.01.2019 en raison d'une bonne perte de poids et d'une réduction des épanchements à la radiographie de contrôle du 31.12.2018. A la sortie, nous laissons en place 20mg de Torem, en vous priant de suivre le poids. Le bilan vitaminique constate un déficit en vitamines D et B9, qui est substitué. Nous vous laissons le soin de contrôler ces valeurs à distance. Les bilans de laboratoire faits durant le séjour constatent une normalisation spontanée de la bilirubinémie. Le patient ne présentera plus de douleur abdominale ni de douleurs diffuses, notamment à la nuque par la suite, que nous mettons par ailleurs sur le compte d'un syndrome grippal. Durant son séjour, Mr. Y réalise une physiothérapie de mobilisation en charge complète. Il nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 88/126, par rapport à 75/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 1/7). Relevons que le patient bénéficie également d'une physiothérapie respiratoire. Suite à une bonne évolution clinique, Mr. Y quitte notre service le 04.01.2018 pour retourner au Foyer St-Joseph de Morlon. • Patient de 89 ans, qui se présente aux urgences le 26.12.2018 avec un tableau de gastro-entérite virale depuis la veille, avec une anamnèse de contage positive. Le patient est cliniquement déshydraté et présente une insuffisance rénale aiguë ainsi qu'une décompensation surrénalienne. Il bénéficie d'une réhydratation et d'une majoration de sa substitution corticoïde. L'évolution est favorable avec une amélioration de l'état général, une résolution des diarrhées et une amélioration de la fonction rénale. Le 01.01.2019, on constate une tuméfaction, un érythème, une douleur et une chaleur au niveau de l'articulation métatarso-phalangienne du 1er orteil du pied droit. Nous retenons une probable arthrite réactionnelle dans le contexte de la gastro-entérite virale, versus une arthrite microcristalline. L'évolution est favorable sous traitement symptomatique par Prednisone 20 mg par jour pendant 3 jours. Au vu du déconditionnement global du patient et de l'épuisement de son épouse, le patient bénéficiera d'une réadaptation gériatrique à Tafers. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. • Patient de 90 ans, en bonne santé habituelle, hospitalisé dans le contexte d'une hyponatrémie vraie. Le patient rapporte une baisse d'état général depuis 3 jours, accompagnée de nausées, sans autres plaintes. Le bilan biologique met en évidence une hyponatrémie hypoosmolaire à 117 mmol/l que nous attribuons à un probable SIADH. Le bilan biologique et radiologique de base ne révèle pas de cause claire pour le SIADH. Une correction lente de la natrémie est obtenue par une brève restriction hydrique et hydratation iv par NaCl, puis spontanément. Dans ce contexte, au vu de l'âge du patient et de l'absence de symptômes/signes cliniques nous orientant sur l'étiologie du SIADH, nous n'effectuons pas d'investigations complémentaires à la recherche notamment d'une néoplasie. Concernant la médication habituelle, le patient mentionne effectuer un schéma dégressif de Belok Zok, avec actuellement 6.25 mg 2 fois par semaine, qu'il souhaiterait arrêter. Nous vous laissons le soin d'évaluer l'indication à la poursuite du bêta-bloquant. Le patient rentre à domicile le 17.01.2019. Un contrôle clinico-biologique est prévu à votre consultation le lundi 21.01.2019. • Patient de 91 ans, connu pour un carcinome de l'hile hépatique suspect de tumeur de Klatskin, qui se trouve désormais en réadaptation suite à une hospitalisation pour baisse d'état général et syndrome inflammatoire d'origine probablement pulmonaire (diagnostic différentiel : progression tumorale), n'ayant pas été investigué par choix du patient et de sa famille. Pour rappel, Mr. Y vit avec son épouse, sans aide à domicile. Au vu d'une prise de poids, nous introduisons 5mg de Torem et suivons le poids qui reste stable. Nous mettons en place également des bas de contention car nous notons la présence d'oedèmes au niveau des membres inférieurs. Le 04.01.2019, Mr. Y signale une douleur au 1er orteil gauche, suspecte de crise de goutte, et traitée par Colchicine avec une bonne évolution et disparition de la douleur et de la rougeur. Durant son séjour, Mr. Y réalise une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche accompagné et à l'aide d'un déambulateur est de 200 mètres. Mr. Y peut gravir 18 marches avec deux mains courantes. Il nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 88/126 par rapport à 80/126 à l'entrée. Mesures d'indépendance fonctionnelle totale (physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 5/7). Le Time Up and Go test est à 31 secondes avec le rollator. Le risque de chute est élevé. Vu le contexte oncologique et la fragilité de la situation générale de Mr. Y, une orientation vers un placement définitif est décidée en accord avec la famille. Dès le 24.01.2019, le patient reste donc hospitalisé au sein de l'HFR, bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie.Patient de 91 ans, connu pour une tumeur du hile hépatique suspecte d'une tumeur de Klatskin ainsi que pour un adénocarcinome de la prostate, qui est conduit aux urgences de l'HFR Riaz par les ambulanciers en raison d'une baisse de l'état général progressant depuis la dernière hospitalisation. Pour mémoire, Mr. Y avait été hospitalisé du 27.11.2018 au 04.12.2018 à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour une probable cholangite versus colite. Le patient décrit une perte de l'appétit avec diminution progressive des apports par voie orale, soit 2-3 verres d'eau par jour ainsi qu'un demi petit pain lors de chaque repas, sans vomissement, dysphagie ou douleur abdominale, avec dernières selles il y a 5 jours. Mr. Y signale aussi des nausées sans reflux quand il arrive à manger. Sa diurèse s'évalue à 4x/24h en moyenne, avec sensation de ne pas bien parvenir à vidanger sa vessie, sans dysurie ni pollakiurie. Mr. Y décrit aussi une faiblesse globale, l'empêchant de sortir de son lit. Le patient pouvait marcher seul lors de sa dernière sortie hospitalière. Depuis, son épouse l'accompagne dans toutes les activités de la vie quotidienne. Cette dernière rapporte enfin que le patient présente des glaires, sans toux, sans dyspnée et sans fièvre. Le reste de l'anamnèse systématique est sans particularité. Le patient n'éprouve pas de douleur ni de trouble du sommeil, pour lequel il prend un somnifère. Mr. Y vit avec son épouse et ne bénéficie pas de soins à domicile. Le status met en évidence un patient cachectique, autrement stable, normocarde, normotendu et apyrétique. Au niveau cardiovasculaire, les bruits sont bien frappés avec un souffle systolique à 2/6 maximal au foyer d'Erb. Sur le plan pulmonaire, notons une hypoventilation diffuse en plage pulmonaire gauche ainsi que de très légers râles fins et crépitants aux bases. L'abdomen est souple et indolore, avec une sensibilité en fosse iliaque gauche. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 81mg/l, sans leucocytose. En raison des attitudes limitées et discutées ce jour avec le patient et son épouse, notamment un refus de tout traitement d'hydratation intraveineuse ainsi qu'antibiothérapie, nous décidons de ne pas réaliser d'imagerie thoracique aux urgences. Nous retenons comme diagnostic une possible origine pulmonaire ou oncologique. Mr. Y demande finalement à être accompagné dans son parcours de fin de vie et être hospitalisé afin de soulager son épouse dans les soins de base. A l'étage de gériatrie aiguë, nous mettons en place du Xanax d'office au vu de l'angoisse que le patient nous rapporte, en plus du Primpéran pour les nausées pré-prandiales. L'évolution est favorable sous ce traitement, et le patient gagne de la force et commence à se mobiliser et s'occuper de ses activités de la vie quotidienne sous supervision. Au niveau de l'alimentation, celle-ci est reprise spontanément. Le 04.01.2019, le patient se plaint d'une douleur au 1er orteil gauche qui se présente rouge et chaud. Nous retenons une crise de goutte et mettons en place un traitement par Colchicine 0.5mg, avec une bonne résolution des symptômes. Finalement, étant donné une bonne récupération avec un potentiel d'amélioration de la marche, nous organisons une réadaptation gériatrique à partir du 07.01.2019. Patient de 92 ans vivant à domicile, qui est suivi par les soins à domicile, récemment hospitalisé mi-novembre 2018 pour un œdème pulmonaire aigu sur pic hypertensif ainsi qu'une chute de sa hauteur avec fracture costale, connu pour hypertension artérielle et fibrillation auriculaire, et qui se présente pour baisse de l'état général, vertiges et troubles de la marche sans notion de chute. A noter qu'un traitement de Métolazone de 5mg 1x/j a été introduit le 12.12.2018 puis diminué à 2.5mg. Au niveau social, Mr. Y vit à domicile avec son épouse, souffrant d'un handicap. Il se déplace habituellement avec une canne, mais employait un tintébin ces derniers temps suite à une baisse de son état général. Le patient rapporte deux épisodes de chutes durant le dernier mois, dont l'une nécessitant une hospitalisation. Dans ce contexte de baisse d'état général, de troubles de la marche et de vertiges, le Métolazone récemment introduit est stoppé et le patient est hospitalisé en gériatrie aiguë pour un bilan étiologique et réhabilitation à la marche. Sur le plan cardiovasculaire, Mr. Y présente à l'admission un pic hypertensif à 200/100mmHg que nous traitons par Nifédipine, deux push d'Isoket et un patch de Deponit. Le profil tensionnel reste stable par la suite. De plus, nous effectuons un test de Schellong le 19.12.2018 qui revient positif, raison pour laquelle nous bandons les membres inférieurs. Sur le plan infectiologique, le patient présente une infection urinaire et deux épisodes de pneumonies sur broncho-aspirations pour lesquels nous instaurons une antibiothérapie, avec bonne évolution clinique et biologique. Dans le contexte de ces pneumonies sur broncho-aspiration, nous effectuons des tests de dysphagies qui contre-indiquent une alimentation par voie orale. De ce fait, nous mettons en place une sonde naso-gastrique pour l'alimentation avec un suivi nutritionnel. Cependant, dans le cadre de ces infections, les investigations pour la dysphagie sont annulées et, après discussion avec la famille, nous adoptons une attitude pragmatique avec réévaluation à distance de la dysphagie. Par rapport aux troubles électrolytiques présents à l'admission, notons une péjoration de l'hyponatrémie chronique du patient, pour laquelle nous instaurons une restriction hydrique avec bonne évolution. Durant le séjour, nous constatons une hypernatrémie probablement d'origine iatrogène, pour laquelle nous mettons en place une hydratation parentérale après calcul du déficit hydrique. Sur le plan urogénital, et en plus de l'infection urinaire sus-mentionnée, le patient développe un globe à 1000ml justifiant la pose d'une sonde vésicale. Au vu des difficultés du patient à se mobiliser, nous maintenons la sonde pour son confort. Concernant les troubles de la marche et de l'équilibre, Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche accompagné et à l'aide d'un rollator est de 10 mètres. Le patient ne peut pas gravir d'escalier. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 34/126, par rapport à 60/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 2/7, marche 2/7, escaliers 1/7). Durant son séjour, le patient profite d'un suivi nutritionnel qui objective une malnutrition protéino-énergétique modérée en lien avec une inappétence et démontrée par un NRS à 4/7, des ingesta à 46% des besoins et une perte pondérale de 4.5% en 3 semaines. Le patient bénéficie également d'un suivi d'ergothérapie axé principalement sur les activités de la vie quotidienne. Le 17.01.2019, Mr. Y est reclassé en réadaptation gériatrique pour la suite de sa prise en charge. Patient en attente d'une place en réadaptation gériatrique à l'hôpital de Riaz. Contrôle urologique à distance chez l'urologue traitant (ou à la consultation du Dr. X si pas d'urologue traitant). Patient étant au foyer de la Poya depuis lundi traité par Nexium et Sertraline n'a pas son traitement pour ce weekend en lien avec un décalage de présence de l'infirmière. Souhaite avoir un relais jusqu'à lundi. Il se plaint d'épigastralgie, calme par ailleurs. Appel au centre, personne ne peut objectiver le traitement de ce Mr. Y. Il repart donc sans le traitement de Sertraline, qu'il recevra lundi.Pantoprazol 20 mg sur ordre médical Dr. X. Mr. Y, français de 54 ans, sans domicile fixe depuis plusieurs années, connu pour une BPCO non stadée, oxygénodépendante (extracteur O2), est adressé aux urgences par ambulance pour une dyspnée aigüe, avec toux et expectorations jaunâtres. Pour rappel, il a reçu pour une durée de six jours un traitement de Co-Amoxicilline (du 09.01.19 au 15.01.19), prescrit par l'un de ses médecins français, et a consulté les urgences des HUG le 16.01.2019 et celles de l'HFR le 17.01.2019 pour des motifs similaires. Aux urgences, une exacerbation de BPCO est diagnostiquée, nécessitant un passage aux soins intensifs pour un soutien par VNI. Un traitement par antibiothérapie empirique par ceftriaxone et clarithromycine, bronchodilatateur et corticothérapie est instauré. Le frottis naso-pharyngé revient positif pour un Influenza A, motivant l'arrêt de l'antibiothérapie. Suite à un état fébrile, une surinfection bactérienne est suspectée, ce qui motive l'introduction d'un traitement par pipéracilline-tazobactam. Les expectorations reviennent positives pour un Enterobacter aerogenes, permettant un relais par Ciprofloxacine jusqu'au 30.01.2019. L'évolution est favorable, permettant l'arrêt de la VNI avec reprise de l'oxygénothérapie habituelle du patient. Une malnutrition protéino-énergétique modérée a motivé l'introduction de suppléments nutritifs oraux et une substitution électrolytique. Vu la précarité sociale du patient, qui est de nationalité française et sans domicile fixe, nous avons contacté le service de liaison de l'hôpital, le service social de la ville de Fribourg, ainsi que l'action sociale du canton de Fribourg. Le centre d'hébergement de La Tuile accepte d'accueillir Mr. Y encore quelques jours à la sortie de son hospitalisation. Un retour en France est agendé après la sortie de l'hôpital pour la suite de la prise en charge médicale. Mr. Y sort de l'hôpital le vendredi premier février. Mr. Y est informé des symptômes nécessitant une nouvelle consultation aux urgences. Mr. Y nous autorise, en pleine capacité de discernement, à contacter la Police pour avoir des renseignements sur l'état de sécurité du Foyer, car il se dit ne pas se sentir en sécurité. Il nous autorise également à transmettre ses coordonnées pour identification. Procédure judiciaire en cours auprès de la police. Foyer mis en sécurité selon la Police. Mr. Y est parti sans consultation. Mr. Y est parti sans consultation médicale. Mr. Y est parti sans consultation médicale. Mr. Y est parti sans consultation médicale. Mr. Y est parti sans consultation médicale. Mr. Y est parti sans consultation médicale. Mr. Y est parti sans consultation médicale. Mr. Y est parti sans consultation médicale. Mr. Y est parti sans consultation médicale. Mr. Y est parti sans consultation médicale. Mr. Y est parti sans consultation médicale. Oxybuprocaïne 1 goutte et pansement occlusif. Adressé en ophtalmologie à 14 heures. Mr. Y est parti sans consultation médicale. Pansement ophtalmique. Vitamine A. Revient en contrôle en ophtalmologie à 08h00 le 04.01.19. Reçoit Dafalgan 1 g et Brufen 400 mg en R. Mr. Y est parti sans consultation médicale. Pas de prestations car le patient ne veut pas attendre. Mr. Y est parti sans consultation médicale. Réfection du robinet urinaire. Éducation à la santé sur la gestion du matériel. PS : les soins à domicile ont scotché tout le matériel et il a fallu 30 minutes pour tout retirer et vérifier la perméabilité de la stomie. Après réfection du matériel, stomie perméable, écoulement normal. Mr. Y est porteur d'une sonde urinaire à son retour de Berne. Mr. Y présente une clinique compatible avec gastro-entérite (diarrhées, augmentation de la fréquence des bruits intestinaux, douleurs diffuses au niveau abdominal) migrant au cours du séjour aux urgences. Au vu de l'amélioration clinique pendant le séjour aux urgences, nous proposons au patient de retourner à son domicile avec un traitement antalgique, nous l'invitons à reconsulter en cas d'exacerbation de la symptomatologie, ou en cas d'apparition d'un état fébrile. Mr. Y présente des douleurs au niveau des pieds et jambes des deux côtés, maximales la nuit et insomnantes. Un diagnostic différentiel se pose entre une insuffisance veineuse chez un patient ayant une insuffisance cardiaque, avec une dermite ocre bilatérale au niveau prétibial, vs des douleurs neuropathiques avec des douleurs de type brûlure. Le patient vit seul à domicile avec passage 3x/semaine d'infirmière à domicile. Au vu de la symptomatologie handicapante et de la difficulté de gérer la situation à domicile, un transfert en gériatrie est décidé. Mr. Y présente une céphalée atypique en coup de tonnerre, pour laquelle nous préconisons la réalisation d'un CT-scan cérébral qui ne montrera pas de saignement, ni de tumeur. Au cours du séjour aux urgences, régression de la symptomatologie sous Dafalgan et Novalgin. Retour à domicile avec consignes de reconsulter en cas de péjoration de la symptomatologie ou en cas d'apparition de troubles neurologiques. Mr. Y sera revu pour un contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires le dimanche 27.01.2019 pour contrôle clinique. Mr. Y présente une déchirure du LCA au niveau de son insertion fémorale pour laquelle nous proposons, dans un premier temps, de débuter de la physiothérapie axée sur la récupération d'amplitude articulaire, l'étirement des chaînes postérieures, le renforcement musculaire et la proprioception. Nous reverrons le patient dans 6 semaines pour un contrôle. Mr. Y, qui durant la nuit, s'est fait agresser avec un couteau. 2 griffures au niveau du cou. Le patient est tombé sur la main gauche. Œdème de la paume, sans trouble neuro-sensitif. Mobilité du pouce conservée. Mr. Y présente des douleurs à la hanche G devenant de plus en plus invalidantes et le limitant dans ses activités de la vie quotidienne dans le cadre d'une coxarthrose. Au niveau du genou G, la situation est stable depuis le dernier contrôle. Nous ne proposons pas, pour le moment, de mesure complémentaire. Nous adressons le patient à nos collègues du Team Hanche à qui nous demandons de le convoquer pour une évaluation clinique. Mr. Y présente des douleurs antérieures aux genoux, plus importantes à G qu'à D, mais actuellement en cours de résolution et pouvant être mises sur le compte d'une dysbalance musculaire avec, aux tests isocinétiques, un déficit de force au niveau du quadriceps G. Nous proposons au patient et à sa maman de débuter un traitement en physiothérapie axé sur le comblement des déficits musculaires. Le patient, étant actuellement suivi pour ses hanches par le Professeur X, sera probablement convoqué à une intervention prochainement et ne souhaite donc, pour l'instant, pas débuter de traitement en physiothérapie. Nous ne prévoyons donc pas de prochain contrôle d'office et le patient reprendra contact à distance ou en cas de péjoration des douleurs. Mr. Y présente une contusion du condyle fémoral interne à la suite d'une chute secondaire à une syncope, pour laquelle nous lui proposons de poursuivre le traitement en physiothérapie axé sur l'antalgie, le maintien des amplitudes articulaires et l'étirement des chaînes postérieures. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'office, mais le patient nous recontactera au besoin. Mr. Y présente une décompensation des douleurs au versant antérieur du genou D, restant dans un contexte d'une gonarthrose. Les douleurs sont actuellement en cours de résolution et le patient n'est que peu limité dans ses activités de la vie quotidienne. Nous lui proposons donc de poursuivre ses activités afin de maintenir la mobilité au niveau de ce genou. Il reçoit également une ordonnance pour un traitement de Chondrosulf. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition au besoin.Patient qui présente une évolution favorable au niveau de son genou D avec une résolution complète de la symptomatologie. Au niveau de la cheville D, il présente encore des douleurs. Nous proposons au patient de poursuivre l'immobilisation par Aircast durant 3 semaines jour et nuit puis 3 semaines supplémentaires la nuit. Il poursuivra le traitement en physiothérapie axé sur la mobilisation, proprioception et tonification des péroniers. Pas de prochain contrôle, le patient reprendra contact au besoin. Arrêt de travail prolongé à 100% jusqu'au 18.01.2019. Patient qui revient en contrôle clinique et pour un ultrason abdominal, suite à des douleurs abdominales du 18.01.2019. Patient qui revient en contrôle d'un abcès débutant au-dessus de la fesse droite du 02.01.2019. Patient qui revient pour contrôle de plaie frontale suturée le 02.01.2019. Patient qui se présente aux urgences avec une amputation distale et fracture ouverte de la 3ème phalange du doigt 5 à droite. Le patient est droitier et menuisier. Nous prenons un avis chez Dr. X qui vient suturer le patient comme suit : après désinfection, anesthésie locale en bague par Xylocaïne, exploration mettant en évidence un contact osseux mais pas d'atteinte des tendons des fléchisseurs, débridement, rinçage abondant au NaCl et fermeture après une bonne adaptation du moignon, par des points d'Ethilon 4-0 sans tension. Pansement Adaptic et compresses Cofix permettant une immobilisation relative du doigt 5. De plus, nous entamons une antibiothérapie prophylactique avec une dose de Co-Amoxicilline 2.2 g IV aux urgences, puis relais per os par Co-Amoxicilline 1g 2x/24h pour 72h. Le patient aura un contrôle clinique et réfection du pansement à 24h en policlinique d'orthopédie. L'ablation des fils à 2 semaines. Nous prescrivons un antalgique et anti-inflammatoires de réserve au patient. Il doit reconsulter aux urgences en cas de péjoration des douleurs, d'apparition de fièvre ou de signes inflammatoires locaux. Le patient peut rentrer à domicile. Patient qui se présente en consultation à presque 10 jours d'une fracture des épines tibiales à D pour laquelle nous lui proposons de poursuivre le traitement conservateur par attelle Velcro en extension, jour et nuit, pour une durée totale de 6 semaines au vu de son âge et des résultats de l'examen radiologique du jour. Nous reverrons le patient pour un contrôle radioclinique à 6 semaines. Arrêt de travail prolongé à 100% jusqu'au prochain contrôle. Patient qui vient en consultation à 4 jours d'un traumatisme par choc direct au niveau du genou G dont l'évolution est spontanément favorable. Le patient est donc autorisé à enlever son attelle Velcro et à marcher en charge selon douleurs. L'arrêt de travail est prolongé à 100% jusqu'au 28.12.2018. Pas de prochain contrôle prévu mais nous restons à disposition au besoin. Patient reconvoqué suite au colloque orthopédique pour suspicion de fracture du col de l'humérus à droite. Avis orthopédique Dr. X : pas de fracture, poursuite du traitement symptomatique en cas de douleurs. Consultation chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Patient reparti contre avis médical. Patient reparti sans consultation médicale. Patient reprogrammé en filière 34 pour le 27.01.2019. Patient sera convoqué en oncologie (Dr. X) et en radiothérapie (Dr. X) pour la suite de prise en charge. Patient sera discuté au colloque interdisciplinaire FOP pour évaluer la nécessité d'une fermeture de FOP. Patient suivi par Dr. X, de médecine interne. Valsalva. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Massage du sinus carotidien. Adénosine IV 6 mg. Patient suturé le 28.01.2019. Contrôle de la plaie le 31.01.2019 : propre, pas d'écoulement. Rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires le 02.02.2019 pour ablation des fils. Patient transféré ce 17.12.2018 dans notre service de gériatrie aiguë depuis le service de réadaptation gériatrique en raison d'une péjoration clinique et d'une baisse de l'état général. Mr. Y est connu pour une bronchopneumopathie chronique obstructive de stade IV et une décompensation cardiaque. Il présente aujourd'hui des épisodes répétés de désaturations inférieures à 85% malgré deux litres d'oxygène. Une gazométrie effectuée le 17.12.2018 objective un pO2 à 6.2 kPa et une pCO2 à 7.5 kPa. En raison d'une accumulation croissante de CO2 chez un patient présentant une insuffisance respiratoire globale, nous effectuons une surveillance accrue au lit d'observation avec monitoring sur 24 heures. Nous réalisons également 4 séances de ventilation non invasive sur 24 heures jusqu'au 18.12.2018. Et nous suivons l'évolution des échanges gazeux à l'aide de multiples gazométries (cf annexes). L'origine est mixte avec un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 46 mg/l et des NT-proBNP à 3279 ng/l. Nous retenons donc une exacerbation de bronchopneumopathie chronique obstructive, avec une composante d'insuffisance cardiaque surajoutée. Nous débutons une thérapie antibiotique à large spectre de Cefepime 1 g 2x/j chez un patient connu pour des antécédents d'infections à pseudomonas aeruginosa. Nous majorons également le traitement de Prednison du patient en passant à 40 mg/j transitoirement. La situation s'améliore progressivement et le patient se stabilise durant la suite du séjour. Sur le plan cardiaque, nous majorons le traitement diurétique du patient qui présente d'importants œdèmes des membres inférieurs. Ce dernier est traité par Torasémide 40 mg dès le 27.12.2018. Nous augmentons également son traitement de Métolazone à 5 mg dès le 22.12.2018. Par la suite, nous notons une bonne réponse clinique avec perte pondérale et diminution significative des œdèmes des membres inférieurs. Durant son séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche seul et à l'aide d'un déambulateur est de 20 mètres. Le patient ne peut pas gravir d'escalier. Il nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 79/126 par rapport à 77/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 3/7, escaliers 1/7). Le risque de chute est bas. Au niveau nutritionnel, Mr. Y bénéficie d'un suivi hospitalier ainsi que d'une instruction pour le domicile. Il nécessite une alimentation enrichie en énergie et en protéines. Au vu d'une stabilisation et d'une évolution favorable de la clinique, nous laissons rentrer Mr. Y le 31.12.2018, avec la même structure de soins à domicile qu'auparavant (1x/j pour pansement, et 1x/2j pour contrôle santé, TAP, et poids). Patient transféré de l'HFR Fribourg pour suite de prise en charge. Status post-cholécystite aiguë perforée le 21.12.2018. Patient transféré du CHUV pour suite de prise en charge d'une escarre sacrale profonde à 2 cm de la marge anale et d'escarre sacrée trochantérienne gauche stade IV avec ostéite à E. Faecalis sur immobilisation prolongée : • status post-débridement d'escarre sacrée et couverture par un lambeau fessier • débridement escarre trochantérienne gauche et couverture par un lambeau TFL • prise de culture de tissu profond et os des deux lésions susmentionnées au CHUV. Patient vient car souhaite changer d'attelle. Patient vient pour renouveler son ordonnance. Patient vu au tri par Dr. X : désinfection et application de pansement.Patient de 62 ans, vétérinaire, connu pour une pneumopathie à eosinophilie de type asthmatiforme (traitée de manière limitée par prednisone, successivement interrompue par son médecin traitant) en 2015, qui est initialement hospitalisé le 07.12.17 en médecine interne pour un état confusionnel aigu d'origine indéterminée (CT cérébral et PL sans particularité). Au vu d'une absence d'amélioration, un nouveau CT cérébral est effectué le 09.12 avec mise en évidence d'une hémorragie intraparenchymateuse nouvelle au niveau occipital droit, raison pour laquelle le patient est admis aux soins intensifs le 09.12.2017. L'IRM cérébrale le 11.12 révèle de multiples lésions focales bilatérales au niveau supra- et infra-tentorielles. Au vu d'une possible origine cardio-embolique, une ETO est effectuée mais ne révèle pas de valvulopathie ou de pathologie de l'aorte proximale, avec cependant un épanchement péricardique modéré sans répercussion hémodynamique. Au vu d'une hypereosinophilie et d'un syndrome inflammatoire persistant, la situation est discutée avec nos collègues rhumatologues, qui suspectent une vasculite de type Churg-Strauss et proposent l'introduction d'un traitement de prednisone. Au vu du contexte, le traitement immunosuppresseur sera à poursuivre à temps déterminé avec proposition d'introduction d'un traitement de fond à long cours. De plus, une péri myocardite est suspectée dans un contexte de modifications ECG et élévations des troponines chez un patient asymptomatique par ailleurs, également dans le contexte inflammatoire. Un avis cardiologique ne retient pas l'indication à une coronarographie le 12.12.2017 et le patient est chargé en aspirine. Les enzymes cardiaques étant à la baisse avec amélioration neurologique également, le patient est transféré dans le service de rhumatologie le 13.12.2017. Cependant, au vu d'une nouvelle élévation des troponines le 15.12.2017 mais sans symptomatologie cardiaque, Mr. Y est réadmis aux soins intensifs pour surveillance rythmique dans le contexte d'une probable myocardite d'origine inflammatoire. La surveillance se passe sans complications. Le suivi des enzymes cardiaques montre une absence de CK et des troponines à la baisse de manière consécutive sur plusieurs prises de sang. Le patient est retransféré à nouveau dans le service de rhumatologie le 18.12.2017, en accord avec l'équipe de cardiologie. Une IRM cardiaque est organisée à l'hôpital de Riaz le 21.12.2017 qui fait évoquer en premier lieu une origine coronarienne de type embolique, cela dans un contexte de myocardite infiltrative probable avec fibrose. Une IRM du neurocrâne est par la suite organisée qui montre une évolution favorable sans nouvelles lésions ischémiques/ hémorragiques. Au vu du contexte, nous demandons l'avis des cardiologues et neurologues qui posent l'indication d'introduire un traitement par Eliquis 2x/j. L'évolution est par la suite favorable sur le plan clinique et biologique. Le patient quitte le HFR stable sur le plan clinique le 27.12.17 pour une neuroréhabilitation à Meyriez. Une dose de biphosphonate est à envisager dès son arrivée. Mme. Y à recontacter Mme. Y a reçu Floxal et vitamine A. Elle ira chez l'ophtalmologue de garde demain. Mme. Y a reçu un Voltarène 50 mg pos, Morphine 10 mg gouttes sur ordre médical. Mme. Y à risque d'ostéoporose • sous Dexaméthasone • s/p fracture du radius distal droit Mme. Y à 10 mois du diagnostic susmentionné avec une évolution favorable et absence d'instabilité dans les activités de la vie quotidienne. La patiente est autorisée à reprendre le ski cet hiver en commençant par le ski de piste puis en augmentant progressivement le niveau d'activité selon l'état de son genou. Nous prévoyons un prochain contrôle en mars 2019. La patiente reviendra avant si besoin. Mme. Y AB Rhésus positif avec un D faible de type 4 Mme. Y adressée aux urgences de l'HFR Riaz par son médecin traitant pour suspicion de fibrillation auriculaire. Mme. Y adressée par les urgences du HIB d'Estavayer-le-Lac en raison de la suspicion d'infection de Dig II et IV main G après morsures de son chat le 22.01.2019. Un rappel AT est fait et la patiente reçoit une dose i.v. de co-amoxicilline 2,2 g à Estavayer-le-Lac. La CRP est à 34 mg/l et les leucocytes à 9,3 G/l le 23.01.2019. L'indication à une prise en charge au bloc opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 24.01.2019, sans complications. Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g i.v. 4x/j. La microbiologie peropératoire revient positive pour un Pasteurella multocida. Selon ordre des infectiologues, poursuite de l'antibiothérapie i.v. jusqu'au 25.01. puis p.o. dès le 26.01.2019. Le 25.01.2019, la CRP s'élève à 39 mg/l sans leucocytose. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane pendant l'hospitalisation. Les plaies évoluent favorablement, elles sont calmes et sèches à la sortie. Retour à domicile le 26.01.2019. Mme. Y appelle sur téléphone de garde : elle aurait consommé pendant la journée les comprimés de ciprofloxacine au lieu des AINS, total 4-6 cpr en plus de la dose standard. Appel ToxCentrum : Vu dosage et absence de symptômes, contrôle clinique à 24h. Continuer l'antibiothérapie si absence de symptômes. Mme. Y apyrétique présente quelques douleurs au niveau de l'abcès, plaie propre sans signes d'infection, pas d'écoulement de pus, pas de tension, douleurs à la palpation autour de la plaie. La mèche est retirée et nous faisons un lavage abondant avec du NaCl puis nous faisons un pansement avec des compresses. La patiente débutera les douches 3x/24h avec lavage de la plaie et la patiente par la suite prendra rendez-vous en policlinique de chirurgie mardi 08.01.2019. Mme. Y au bénéfice d'un pleurix vidé 1x/semaine Péjoration clinique avec état fébrile persistant, malgré bactériémie résolue, nous retenons que l'origine est la stagnation de l'épanchement pleural ensemencé (DD : due aux cytokines inflammatoires contenues dans l'épanchement carcinomateux). Attention : Drainage en continu du pleurix dès le 17.12.18, puis intermittent 1x/j dès le 19.12.18 au vu de la bonne évolution clinique. Mme. Y avec un syndrome grippal depuis 5 jours, ainsi qu'une odynodysphagie aux solides depuis la veille, frissons, céphalées, myalgies et arthralgies. Notion de contage. Elle décrit de nombreuses angines avec dernier épisode avec antibiotiques il y a 5 mois. Fond de gorge érythémateux avec tuméfaction amygdalienne et dépôts blanchâtres. Score de Centor à 2 points qui motive un Streptotest qui revient positif. Allergie à la pénicilline. La patiente rentre à domicile avec un traitement d'Azithromycine 500 mg pendant 3 jours. La patiente reconsultera en cas de persistance des symptômes ou de péjoration de son état général. Mme. Y ayant subi une césarienne se présente pour un contrôle de la cicatrice. Petite rougeur de la cicatrice au niveau de l'extrémité droite, pas d'induration ni de douleur à la palpation. La patiente doit voir sa sage-femme mardi qui recontrôlera. Mme. Y ayant une affection vaginale doit être traitée par ovules (le soir), mais n'arrive pas à les mettre en place. Téléphone au gynécologue de garde qui ne veut pas la prendre en consultation. La patiente doit recontacter son gynécologue lundi, ne débute pas le traitement dans l'attente. Mme. Y connue pour des troubles de l'alimentation (anorexie). BMI 17 kg/m2. Rupture traumatique de la rate, traitement conservateur en 2007. Kyste ovarien gauche de 8 cm d'allure bénigne chez une patiente de 15 ans. Laparoscopie : Wasting péritonéal et kystectomie gauche le 23.06.2016. Complication laparoscopique : suspicion de perforation intestinale avec l'aiguille de Veress. Complications : anémie sévère sur probable saignement post-opératoire au niveau de la paroi abdominale avec hématome léger (quadrants inférieurs) et hémodilution sans retentissement clinique.Douleurs post-opératoires mal contrôlées (Spondylodèse le 20.06.2017) le 30.06.2017, avec Infection urinaire basse le 30.06.2017 avec : pyélonéphrite G 20.10.2017. Réaction inflammatoire locale au niveau du majeur de la main gauche. Crise d'angoisse déclenchée par une forte douleur. Mme. Y, connue pour une thrombose veineuse diagnostiquée lors du 7ème mois de grossesse, est actuellement sous traitement thérapeutique de Clexane 2x/jour. Nous lui proposons d'augmenter le dosage de Dafalgan à 1 gr. 4x/jour en accord avec le gynécologue. Elle sera revue par son gynécologue le mardi 29 janvier pour contrôle. Nous lui proposons après antalgie de rentrer à domicile et de reconsulter en cas de persistance des douleurs ou apparition de nouveaux symptômes cardio-respiratoires. Elle se dit rassurée et rentre à domicile. Mme. Y constate un jaunissement de ses ongles depuis un mois. Elle en a parlé avec son médecin. Elle doit rentrer à son foyer et ira voir son médecin traitant lundi. Mme. Y convoquée cet après-midi aux urgences par le Dr. X pour effectuer un abdomen sans préparation de contrôle. Un test de grossesse effectué avant la radiographie revient négatif. Une radiographie de l'abdomen sans préparation montre un corps métallique fin d'environ 1.5 mm de largeur pour 2 cm de longueur, dans le quadrant inférieur gauche du petit bassin, au niveau de l'ampoule rectale. Nous prenons contact avec le Dr. X, chirurgien, qui nous indique que l'objet a déjà passé les sphincters importants et qu'il sera probablement éliminé avec les selles. Nous laissons donc rentrer Mme. Y en bon état général à domicile. Mme. Y, âgée de 89 ans, nous est adressée pour un bilan pré-TAVI. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui confirme la sévérité de la sténose aortique et la probable faisabilité d'une TAVI transfémorale (sous réserve des mesures de l'angio CT). De plus, il y a une sténose critique de l'IVA qu'on a traitée d'emblée avec un stent de 3ème génération avec un excellent résultat immédiat. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Clopidogrel 75 mg 1-0-0 pour 1 mois (étude SENIOR) est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. Le bilan pré-TAVI sera complété par un Angio-CT aortique pour lequel un rendez-vous a déjà été organisé par vos soins. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez le Dr. X ainsi qu'un suivi de la formule sanguine et de la fonction rénale début de la semaine prochaine chez le Dr. X. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Mme. Y rentre le 17.01.2019 à domicile. Mme. Y, âgée de 12 ans en bonne santé habituelle, fait une mauvaise réception en inversion de sa cheville gauche après un saut à la gymnastique aujourd'hui. Le bilan radioclinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement avec attelle Aircast est mis en place. Elle sera recontrôlée en orthopédie dans 5-7 jours. Mme. Y, âgée de 14 ans, arrive aux urgences pour constat d'agression. Elle présente des lésions cutanées où elle a reçu les coups. Nous préconisons un traitement antalgique et consultation chez son médecin traitant selon besoin. Elle est exemptée d'école jusqu'au 05.02.2019 suite à la peur engendrée par l'agression. Mme. Y, âgée de 17 ans, hospitalisée pour une résection d'un adénofibrome au niveau du QSI du sein droit à sa demande. Elle signe le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 30.01.2019 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et elle reste apyrétique. Au vu de la bonne évolution clinique, elle rentre à domicile et sera revue dans 10 jours à la consultation du Dr. X. Mme. Y, âgée de 17 ans, nulligeste sous Madinette. Connue pour s/p néphrectomie droite dans l'enfance (polykystose rénale). Consulte cette nuit pour des douleurs abdominales crampiformes en fosse iliaque gauche, sans état fébrile, sans symptôme urinaire. Elle signale également des métrorragies à J12 du cycle, depuis 3 mois, déjà investiguées par le gynécologue traitant. À l'entrée, les béta HCG sont négatifs et l'abdomen est souple et indolore (6h après avoir reçu de la morphine aux urgences). L'US endovaginal met en évidence une atrophie endométriale pouvant expliquer les métrorragies fonctionnelles. Nous mettons également en évidence un kyste ovarien gauche, simple de 4 cm, à contenu anéchogène, à paroi fine sans septa ni projection papillaire, sans signe de torsion, pouvant expliquer les douleurs en fosse iliaque gauche. Le laboratoire ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire et l'hémoglobine est normale à 128 g/l. Nous proposons à Mme. Y une hospitalisation pour surveillance clinique sans antalgie et lui expliquons qu'une intervention chirurgicale reste possible si les douleurs se re-manifestent. Durant son hospitalisation, elle évolue favorablement, ne manifestant aucune douleur. Avant son retour à domicile, l'abdomen est souple et indolore. Elle se présentera à la consultation du Dr. X dans 48h pour contrôle clinique, échographique et discussion de la contraception. Elle rentre à domicile en date du 27.10.2019 en bon état général. Mme. Y, âgée de 17 ans, se présente aux urgences pour une toux sèche en évolution depuis trois jours, ainsi que pour des myalgies et des céphalées. À l'examen clinique, les médecins mettent en évidence une hypoventilation aux bases pulmonaires. Un cliché du thorax démontre la présence d'un épanchement pleural droit volumineux. Une thoracocentèse diagnostique et thérapeutique est donc effectuée et permet de conclure à un épanchement exsudatif. Conséquemment, elle est transférée en Médecine pour diagnostic et prise en charge. À l'étage, elle est àplaind. L'examen clinique démontre la persistance de l'épanchement. Un cliché thoracique à distance confirme la présence de l'épanchement. Nous demandons à nos confrères chirurgiens de l'examiner. Ils arrêtent la décision de procéder à un drainage thoracique. Un drain est donc posé le 27.12.2018, des échantillons sont envoyés à la recherche de M. Tuberculosis. Ces examens reviennent négatifs. Nous procédons alors à un QuantiFeron, dont le résultat vous sera transmis à distance.L'évolution clinique est favorable, le drain est retiré le 04.01.19. La patiente sera convoquée la semaine prochaine pour une thoracoscopie diagnostique. Elle rentre à domicile le 04.01.19. Patiente de 17 ans, 2G 0P, qui présente une grossesse non évolutive à 8 3/7 semaines d'aménorrhée avec suspicion de môle incomplète. Le curetage évacuateur est effectué le 10.01.2019, après signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication. Au vu d'une bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 11.01.2019. Un contrôle échographique devra être effectué dans 2 semaines à votre consultation, avec contrôle des BHCG. Patiente de 18 ans, 1G 0P, admise en salle d'accouchement le 08.01.2019 pour rupture spontanée des membranes et mise en travail spontané. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3780 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera à rediscuter à la consultation du post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 11.01.2019, en bon état général. Patiente de 19 ans en bonne santé habituelle admise dans notre service pour suspicion de PID. Elle nous a été adressée par les urgences de Riaz pour des douleurs abdominales basses diffuses depuis 3 jours accompagnées de nausées avec un épisode de vomissement ainsi que plusieurs épisodes de diarrhées non sanglantes. Etat fébrile à 38.8° aux urgences de Riaz, raison pour laquelle elle a reçu du Paracétamol. L'anamnèse gynécologique est sans particularité. A son entrée, la patiente est stable hémodynamiquement et afébrile. Le statut abdominal montre des bruits normaux en tonalité et en fréquence, un abdomen diffusément douloureux sans nette défense. Les loges rénales sont indolores à la percussion. L'examen au speculum met en évidence un col postérieur d'aspect sain avec les leucorrhées physiologiques. Le toucher vaginal révèle une douleur à la mobilisation du col. L'US met en évidence une dilatation de la trompe gauche sans hydro-pyo-salpinx visualisée. Après exclusion d'une pathologie intestinale, nous suspectons une PID et hospitalisons la patiente pour antibiothérapie intraveineuse selon protocole. Après 48 h d'afébrilité et bonne évolution tant sur le plan clinique que biologique, nous laissons rentrer la patiente avec une antibiothérapie orale le 01.01.2019. Patiente de 19 ans, en bonne santé habituelle, ne prenant pas de médication quotidiennement, qui se présente aux urgences pour malaise avec perte de connaissance, traumatisme crânien et amnésie circonstancielle. La patiente explique avoir eu des frissons ces deux derniers jours. Dans la soirée, après avoir mangé des pâtes et bu un verre de vin, elle ne s'est pas sentie bien et s'est levée pour aller chercher de l'eau. Après le lever, elle a ressenti des bouffées de chaleur puis a présenté un malaise avec perte de connaissance et chute en arrière. Lors de sa chute, traumatisme crânien au niveau occipital contre le sol. Pas d'autre prodrome juste avant le malaise. A l'hétéro-anamnèse, des témoins nous expliquent que la patiente aurait présenté une crise tonico-clonique (contraction musculaire importante au niveau des membres inférieurs et tremblements) et que la perte de connaissance aurait duré quelques secondes. Pas de perte d'urine ni de selles, pas de morsure de langue. Après le malaise, la patiente s'est sentie confuse. Elle s'est plainte ensuite de phosphènes sur la moitié droite du champ visuel bilatéralement d'une durée de quelques minutes et d'acouphènes dans l'oreille gauche qui ont persisté plusieurs heures. Elle se plaint également de douleurs au niveau occipital. La patiente ne prend pas de traitement oestrogénique et ne fume pas. A l'anamnèse familiale, on retrouve des antécédents d'épilepsie chez son oncle et chez une cousine. A l'examen clinique d'entrée, la patiente est normotendue, normocarde à 68 bpm, avec une saturation à 99% à l'air ambiant, afébrile à 37.4°C. L'auscultation cardiaque montre des bruits réguliers sans souffle ausculté. Les pouls périphériques sont tous palpés. Pas de signe de décompensation cardiaque droite ou gauche. Au niveau respiratoire, la patiente est eupnéique à 16/min et ne présente pas de signe de détresse respiratoire. Le murmure vésiculaire est symétrique, sans bruit surajouté. Au niveau ORL, pas d'adénopathie palpée, pharynx érythémateux, amygdales non oedématiées. L'examen abdominal et l'examen urogénital sont normaux. L'examen neurologique est dans la norme. Au niveau ostéo-articulaire, nous ne notons pas de douleur à la palpation ni à la percussion des apophyses épineuses vertébrales. L'ECG montre un rythme sinusal régulier à 100 bpm, un bloc de branche droit incomplet, sans trouble de la repolarisation. Le laboratoire met en évidence une leucocytose à 22.5 g/l avec neutrophilie à 89.8%, sans CRP, et une légère hypomagnésémie à 0.77 mmol/l. Le reste du laboratoire est aligné, notamment les CK à 136 U/I. La gazométrie artérielle montre un pH normal à 7.41 avec une hypoxie à 8.7 kPa. Les lactates sont normaux à 1.5 mmol/l. Le test de grossesse urinaire est négatif. Le sédiment urinaire est sans particularité, notamment sans infection urinaire. Un test de Schellong est réalisé, qui revient positif : malaise lipothymique 5 minutes après le lever avec hypotension et nausées. La patiente est gardée en lit d'observation durant la nuit. Au vu de cette leucocytose importante et de la CRP à 18 mg/l, et au vu de l'apparition d'une douleur à la palpation de la fosse iliaque droite, sans défense ni détente, sans autre piste pour une infection, nous effectuons une échographie abdominale qui nous montre une appendice dans les limites supérieures de la norme (6 mm) avec douleur à l'appui de la sonde, sans autre anomalie. Suite à ces résultats, nous demandons un avis au chirurgien de garde, Dr. X, qui propose un rendez-vous en FUA dans la journée du 22.12.2018, pour un contrôle clinique et biologique. Mme. Y quitte notre service le matin du 22.12.2018, avec une antalgie. Elle reçoit également une feuille de surveillance pour traumatisme crânien simple et nous lui expliquons les différents critères de gravité qui doivent l'amener à reconsulter. Patiente de 19 ans en bonne santé habituelle qui consulte les urgences de Riaz pour un état fébrile avec sensation de faiblesse généralisée le 16.01.2019. Au vu de l'anamnèse et de l'examen clinique, nous suspectons une infection de type virale et réalisons un laboratoire qui montre une CRP à 15 mg/L sans leucocytose. Sur avis de Dr. X, la patiente reçoit une perfusion de NaCl 500 ml sur 30 min avec administrations de Dafalgan 1 g et de Brufen 400 mg, puis du Glucosalin 1000 ml sur une durée de 1h30 et de la Novalgine iv 1 g. Nous la gardons en surveillance durant 2 heures avec une évolution clinique favorable, raison pour laquelle la patiente rentre à domicile. Dans ce contexte, la patiente rentre à domicile avec une antalgie simple et le conseil de reconsulter en cas de péjoration de l'état clinique. Patiente de 19 ans qui présente une brûlure circonférentielle du pouce gauche avec une phlyctène de 1 cm de longueur face palmaire de la 2ème phalange, suite à un écrasement du pouce entre 2 plaques chauffantes, la veille, contrôle ce jour à la filière des urgences ambulatoires. Diminution des douleurs, régression de la rougeur, persistance de la phlyctène et apparition de paresthésies au niveau de la partie latérale de la 2ème phalange. Mobilisation du pouce dans tous les plans possible. Après avis auprès du Dr. X, chirurgien, paresthésies suite à l'oedème des tissus mous. Suite de traitement par application de Bépanthène. Contrôle dans 10 jours chez son médecin traitant en cas de péjoration. Ordonnance de Tubigrip pour protection lors d'application de Bépanthène. Patiente de 20 ans, 3 gestes 0 pare, admise en salle d'accouchement le 20.01.2019 pour mise en travail spontanée à 39 1/7 semaines d'aménorrhée. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse à un garçon de 3630 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme Y reste afébrile. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception est à rediscuter, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 21.01.2019. Patiente de 21 ans hospitalisée aux soins intensifs pour surveillance respiratoire et post-opératoire après une amygdalectomie bilatérale et drainage d'un abcès rétropharyngé droit. La patiente présente un syndrome de Lemierre. Mme Y consulte les urgences ce jour en raison d'une odynophagie persistante malgré une antibiothérapie par Zinat débutée le 10.01.2019, ainsi qu'une fièvre persistante, une baisse de l'état général et une inappétence. Les symptômes ont débuté depuis le 03.01.2019. Le bilan effectué aux urgences met en évidence un syndrome de Lemierre avec abcès amygdaliens bilatéraux prédominant à droite, thrombose jugulaire interne gauche et multiples emboles septiques pulmonaires. Elle bénéficie d'une amygdalectomie bilatérale avec drainage d'un abcès rétropharyngé droit et elle est mise sous antibiothérapie par Coamoxiciline et corticothérapie transitoire. Une insuffisance respiratoire hypoxémique est traitée par la ventilation non invasive avec évolution.... Une anticoagulation thérapeutique est débutée le.... et à poursuivre pour une durée de.... Status: Neuro: GCS 15/15, pas de déficit focal Pulm: MVS, pas de bruit surajouté CV: pas de souffle, pas d'OMI Abdomen: calme UG: RAS Cutané: 2 venflons (MSG, MIG) Patiente de 22 ans qui présente des douleurs abdominales depuis ce jour soulagées par la prise d'antalgie. Nous effectuons un bilan urinaire avec bandelette et sédiment urinaire qui ne montre pas de leucocyturie significative, ni de microhématurie. Un test de grossesse urinaire est négatif. Le bilan biologique revient dans la norme. La patiente rentre à domicile avec conseil de prise de traitement symptomatique en cas de douleurs et reconsultera en cas de persistance des douleurs, de pertes ou saignements vaginaux. Elle consultera sa gynécologue le lendemain de la consultation. Patiente de 22 ans 1G0P à 37 1/7 semaines d'aménorrhée, en BSH, sans antécédent particulier (notamment thrombo-embolique ni de migraine) qui se présente le 19.01.2019 pour des troubles sensitivo-moteurs du membre supérieur gauche et de l'hémiface gauche d'apparition progressive ayant commencé par une sensation de main enflée, puis paresthésies ascendant en quelques minutes jusqu'à mi-bras et dans un deuxième temps sur l'hémiface gauche à prédominance péri-orale gauche. Premier épisode d'une durée de 30 min, avec récidive lors de la consultation vers 14 h et 15 h. Pas de céphalées, nausées, vomissements ou phono-/photophobie. Pas d'état fébrile. Les symptômes sont ensuite spontanément résolutifs. Elle est présentée au neurologue de garde, Dr. X, qui retrouve un examen neurologique détaillé normal. Pas de méningisme, PICIR, CV sans particularité, oculomotricité sans particularité. Reste de NC sans particularité. Épreuves de stabilisation sans particularité. Force sans particularité aux 4 extrémités. ROT vifs symétriques, RCP en flexion des deux côtés. Sensibilité au tact et piquer sans particularité aux 4 extrémités. Épreuves cérébelleuses cinétiques et statiques sans particularité. Le scanner cérébral natif pour exclure une lésion structurelle pariétale droite revenant sans particularité, il est décidé d'hospitaliser la patiente en vue d'effectuer une IRM cérébrale. Celle-ci ne montre pas de signe d'ischémie, pas de saignement ou de masse, pas de lésion sur le polygone de Willis. La thrombose veineuse cérébrale corticale est le seul élément à ne pas pouvoir être exclu formellement sur la base de l'IRM non injectée (effet de l'accumulation de gadolinium sur le foetus inconnu), ce diagnostic semble toutefois moins probable au vu de la symptomatologie de la patiente selon Dr. X. Au deuxième jour d'hospitalisation, la patiente développe de légères céphalées frontales constrictives à 5/10 cédant au Dafalgan. Sur le plan obstétrical, les contrôles quotidiens par CTG sont réactifs et non pathologiques. La patiente ne présente aucune contraction. Sur la base de ces investigations supplémentaires, des céphalées légères secondaires de la patiente et du facteur de risque augmenté de développer des migraines en cours de grossesse, nous retenons le diagnostic d'une probable première aura migraineuse acéphalgique. La crise d'épilepsie partielle sensitive, la thrombose veineuse cérébrale corticale et l'AIT semblent moins probables vu le caractère récidivant (AIT) et la sémiologie clinique précitée (TVCC). La crise d'épilepsie sensitive n'est pas exclue mais moins probable au vu de l'absence de facteur de risque majeur que constitue la grossesse pour cette pathologie. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente peut rentrer à domicile le 22.01.2019 avec consigne de reconsulter en cas de développement de nouveaux symptômes neurologiques. Patiente de 23 ans, 1 geste 0 pare, adressée par Dr. X pour une laparoscopie diagnostique pour des dysménorrhées primaires invalidantes. La patiente est connue pour des cycles réguliers qui durent 5 jours avec une notion d'hyperménorrhée anémiante traitée par fer IV. Traitement par Visanne depuis septembre 2018. À l'échographie endovaginale, on objective un endométriome 1,5 x 1 cm au niveau de l'ovaire gauche. L'IRM pelvienne objective deux petites lésions d'endométriosiques sur les deux ovaires. La patiente accepte l'intervention en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 22.01.2019 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste apyrétique. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile et sera revue dans 10 jours à la consultation de Dr. X. Patiente de 23 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 23.01.2019 pour mise en travail spontané. La dilatation se déroule de manière harmonieuse. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3370 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par un léger saignement d'aspect cailloteux semblant venir du col utérin à l'US durant la première nuit post-partum. Un traitement par Methergin est instauré pour 3 jours avec une bonne évolution. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future est à rediscuter, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 26.01.2019, en bon état général. Contrôle à votre consultation d'ici 4-6 semaines. Patiente de 23 ans, 2G 1P, admise en salle d'accouchement le 11.01.2019 à 38 6/7 SA en vue d'une césarienne élective itérative pour utérus cicatriciel. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à un garçon pesant 3160 g, de bonne adaptation néonatale.Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative (cerazette) dès 21 jours après l'accouchement, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si nécessaire. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 15.01.2019, en bon état général. Patiente de 24 ans connue pour un asthme qui consulte les urgences de Riaz le 28.01.2019 en raison de nausées et vomissements avec des vertiges des suites d'un traumatisme cérébral ayant eu lieu le matin même. A son arrivée aux urgences, l'infirmier du tri lui met une minerve en raison de douleurs à la palpation des cervicales. Nous réalisons un test urinaire de grossesse qui revient négatif, raison pour laquelle nous décidons de réaliser une radiographie de la colonne cervico-lombaire le 28.01.2019 qui ne montre pas de signe de fracture. Sur avis du Dr. X de médecine interne, nous retirons la minerve. Les vertiges et les nausées persistent, mais absence de nouvel épisode de vomissement aux urgences. Nous administrons une perfusion de 500 ml de NaCl. Au vu de la persistance de troubles neurologiques et sur avis du Dr. X, chirurgien, nous réalisons un scanner cérébral le 28.01.2019 qui ne montre pas de saignement intra-crânien. Dans ce contexte et au vu de la bonne évolution clinique, nous laissons la patiente rentrer à domicile, avec l'accord du Dr. X, avec une antalgie simple, une feuille de surveillance neurologique et le conseil de reconsulter en cas d'apparition de nouveaux symptômes. Nous lui donnons un arrêt de travail pour 3 jours en raison de son travail physique de femme de ménage. Patiente de 24 ans, 3-gestes, 1-pare, avec grossesse marquée par un risque de pré-éclampsie élevé avec une prophylaxie par Aspirine, admise en salle d'accouchement à terme pour une mise en travail spontanée le 17.01.2019. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse spontanée à un garçon de 3880g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative asymptomatique motivant l'introduction d'une substitution ferrique po. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception future sera rediscutée à son contrôle post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 20.01.2019. Patiente de 25 ans, avec suivi psychiatrique au centre Les Toises, dernier rendez-vous en date du 09.01.2019 sans autre antécédent, qui est amenée aux urgences ce soir pour un tentamen médicamenteux avec ingestion de 10 g de Ciprofloxacine à 22h45 ce soir. Juste avant l'ingestion, la patiente a contacté une amie en lui expliquant où trouver les clefs de l'appartement pour qu'elle puisse s'occuper de ses chiens. Cette amie contacte l'ex-mari de la patiente qui appelle une ambulance. Juste avant l'arrivée de l'ambulance vers 23h30, la patiente présente un épisode de vomissements mais ne sait pas nous dire si des comprimés étaient présents dans le contenu régurgité. A son arrivée aux urgences, la patiente est hémodynamiquement stable, consciente et orientée, sans plainte particulière. Cardiovasculaire : B1-B2 réguliers, rythme normocarde, sans souffle surajouté. Pulmonaire : murmure vésiculaire bilatéral et symétrique, sans râle surajouté. Digestif : abdomen souple et indolore à la palpation superficielle et profonde, sans défense ni détente, Murphy négatif. Urologique : loges rénales souples et indolores. Examen neurologique : sp. Nous hydratons la patiente avec 1000 ml de NaCl sur 12h et contactons le Tox Zentrum qui nous conseille une surveillance simple clinique et biologique (en particulier rénale) de la patiente et un traitement symptomatique avec hydratation et un contrôle de la fonction rénale dans la matinée. Nous prenons l'avis du Dr. X de médecine interne, qui est d'accord pour garder la patiente en observation sur la nuit. Contexte du tentamen : La patiente décrit être moins bien dans sa vie depuis 1 an. D'un point de vue professionnel, la patiente, cheffe de chantier dans le bâtiment, a l'impression de ne plus avancer dans son travail, elle a perdu l'envie et la motivation de travailler et est d'ailleurs en arrêt depuis novembre dernier pour une suspicion de dépression de la part du médecin traitant. D'un point de vue sentimental, la patiente est séparée de son mari depuis le 21.09.2018, mais ils se côtoient toujours avec une bonne entente et un rapprochement récent. Ils ont un petit garçon de deux ans ensemble et ont la garde partagée de celui-ci. D'un point de vue général, la patiente décrit une faiblesse généralisée depuis plusieurs mois associée à une anhédonie, une perte de l'élan vital, une anorexie, la patiente ne se sent pas bien entourée socialement (peu d'amis). La patiente n'a pas présenté de tentamen ou d'idéation suicidaire jusqu'à présent. Le soir du 27.01.2019 : un ami commun de la patiente et de son ex-mari est venu lui rendre visite, avec l'ex-mari. La soirée se passe bien, non alcoolisée. La soirée se termine et l'ex-mari et son ami rentrent chez eux. La patiente essaie ensuite de reprendre contact avec cet ami par téléphone qui ne lui répond pas. C'est cet instant-là que la patiente décrit comme une goutte d'eau qui fait déborder le vase, la patiente contacte son amie pour lui dire où trouver la clef de sa porte et ingère 20 comprimés de Ciprofloxacine 500 mg. Nous ignorons le type de rapport entre la patiente et son ami. Aux urgences, la patiente est monitorée et passe la nuit calme en surveillance, asymptomatique et sans complication. Le 28.01.2019 au matin, après discussion avec la patiente puis avec le psychiatre de garde, nous proposons une suite de prise en charge à l'hôpital de Marsens en mode volontaire. La patiente part par la suite, accompagnée de son actuel époux, à Marsens. Patiente de 25 ans, 1G 0P à 36 6/7 SA, adressée ce jour (le 10.01.2018) pour une version manuelle externe. Grossesse marquée par un retard de croissance intra-utérin. Version manuelle externe réussie, mais patiente présente un épisode de saignement de sang frais au décours de la version manuelle externe. Au speculum, on retrouve du sang frais au niveau vaginal avec écoulement d'un léger filet de sang de l'OE, le CTG est R-NP avec des contractions utérines aux 5 minutes ressenties. L'abdomen se relâche entre les CU. A l'US (effectué par le Dr. X), on retrouve un décollement retro-membranaire de 28x15x44mm avec un fœtus en position céphalique, un RCIU au P3 (PFE 2068g), ILA 12 et dopplers eo. Par la suite, la patiente ne représente plus de saignement, mais au vu du décollement et du retard de croissance intra-utérin, nous lui proposons une provocation au Propess, qu'elle accepte. Elle bénéficie de la mise en place de 2 Propess et ensuite d'une perfusion de Syntocinon, sans mise en travail. Une césarienne en urgence 2 est indiquée devant l'échec de la provocation. L'intervention se déroule sans complications le 13.01.2019, et la patiente donne naissance à une fille de 2410 g, de bonne adaptation néonatale. Le placenta est envoyé en analyse anatomopathologique. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Cérazette, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 17.01.2019, en bon état général. Patiente de 25 ans, 1G 0P, admise en salle d'accouchement le 22.01.2019 en vue d'une provocation par ballonnet en ambulatoire pour terme dépassé. La patiente se présente durant la nuit du 22.01.2019 en raison d'un épisode de métrorragie, quelques heures après la pose du ballonnet, attribué aux modifications cervicales débutantes. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 23.01.2019 en l'absence de contraction utérine efficace. Le travail est soutenu par du Syntocinon jusqu'à dilatation complète. En raison de la non-progression de la présentation aux épines +2, nous posons l'indication à une extraction par ventouse Kiwi.La patiente donne naissance par voie basse à une fille pesant 3640 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 27.01.2019, en bon état général. • Patiente de 26 ans 1G0P, admise en salle d'accouchement le 22.01.2019 dans un contexte de pré-travail. La patiente se met spontanément en travail. Elle est couverte par Clamoxyl pour un portage de streptocoques du groupe B. Elle donne naissance par voie basse à une fille/un garçon pesant 3900 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future est à rediscuter, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 25.01.2019, en bon état général. Contrôle à votre consultation d'ici 4-6 semaines. • Patiente de 26 ans, 2-gestes 1-pare, admise en salle d'accouchement le 30.12.2018 pour une interruption thérapeutique de grossesse pour une association polymalformative découverte à 33 semaines d'aménorrhée (malformation cardiaque type CAV, polydactylie post-axiale bilatérale des 2 mains et os longs courts). Le couple a bénéficié d'une consultation génétique au CHUV qui suspecte un syndrome d'Ellis-van Creveld (DD Syndrome de Berdet-Bieldl ou Sensbrenner). Le couple se décide pour une interruption de grossesse. Il n'y a pas eu d'amniocentèse effectuée. Le fœticide est effectué à 34 1/7 semaines d'aménorrhée le 28.12.2018. Elle est alors admise en salle d'accouchement le 30.12.2018 à 34 3/7 semaines d'aménorrhée pour provocation. Cette dernière se fait par misoprostol. En raison d'un portage du Streptocoques du groupe B, nous débutons une antibioprophylaxie par Clamoxyl. Après une dilatation rapide, elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 2080 g (p25). Une demande d'autopsie et de recherche génétique sont envoyées. Le sevrage primaire de l'allaitement par Dostinex est initié sans complication. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. Au vu de la bonne évolution, elle rentre à domicile le 01.01.2019. • Patiente de 26 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 21.01.2019 pour une rupture prématurée des membranes (liquide clair) le 21.01.2019 à 6 h 15. La patiente se met spontanément en travail. Celui-ci est harmonieux. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 4060 g, de bonne adaptation néonatale. La patiente présente une rétention placentaire hémorragique. Une délivrance manuelle est effectuée en salle d'accouchement. En raison de la persistance d'un saignement, nous effectuons une révision des 3 étages au bloc opératoire. L'atonie est résolue après Syntocinon 20 UI et 2 g d'acide Tranexamique. Les pertes sont estimées à 1200 ml. L'hémoglobine post-opératoire est à 98 g/l sur une patiente asymptomatique. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel est sevré primairement sur demande maternelle. La contraception future se fera par stérilet Mirena, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 24.01.2019, en bon état général. • Patiente de 26 ans, 3G2P, admise en salle d'accouchement le 24.01.2019 pour rupture prématurée des membranes à 5 h 00 du matin. Elle se met spontanément en travail. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3540 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 26.01.2019, en bon état général. • Patiente de 26 ans, 5-gestes 4-pares, admise en urgence le 18.01.2019 en raison de métrorragies importantes. Elle a bénéficié d'une interruption volontaire de grossesse le 05.01.2019 avec injection de Rhophylac 300 mcg avec des suivis en ordre par la suite. Elle se présente ce jour pour augmentation des saignements vaginaux sans autres symptômes. À son arrivée, elle est stable sur le plan hémodynamique et afébrile. Le laboratoire revient aligné et l'échographie confirme du matériel encore en place. Dans ce contexte de fausse couche hémorragique, nous posons l'indication à un curetage en urgence. Ce dernier se déroule sans complications et la patiente évolue favorablement. Au vu du rhésus, nous administrons 300 mcg de Rhophylac le 18.01.2019. Hb postopératoire est à 117 g/L. La patiente peut alors rentrer à domicile le même jour en bon état général. • Patiente de 27 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 21.01.2019 en vue d'une provocation pour une suspicion d'un décollement placentaire latéral droit de 13 x 10 mm. À l'anamnèse, la patiente avait consulté le jour même pour des métrorragies avec contractions utérines et le contrôle obstétrical était revenu rassurant en dehors de cette image échographique. Nous lui avons proposé une hospitalisation pour un déclenchement sous surveillance CTG en continu. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 21.01.2019 dans la nuit. Par la suite, le travail est soutenu par Syntocinon après la pose d'une péridurale. En raison d'une stagnation de la dilatation à 9 cm, nous proposons la césarienne en urgence, ce qu'elle accepte. L'intervention se déroule sans complications. Elle donne naissance à un garçon pesant 3520 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 27.01.2019, en bon état général. • Patiente de 27 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 24.01.2019 en vue d'une provocation pour HTA gravidique. Elle bénéficie de la mise en place d'un Misodel le 24.01.2019 à 19 h 00 le soir. Elle dilate harmonieusement. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3280 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Les tensions sont alignées. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 27.01.2019, en bon état général. • Patiente de 27 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 11.01.2019 à 38 5/7 SA en vue d'une césarienne élective itérative pour antécédent de césarienne corporéale. L'intervention se passe sans complication. Elle donne naissance à une fille pesant 3510 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. La contraception future se fera par Implanon lors du contrôle post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin.Patiente de 27 ans, 2-gestes 0-pare, admise en salle d'accouchement le 09.01.2019 pour rupture prématurée des membranes. Après une attitude expectative de 12h, nous débutons une antibioprophylaxie par Dalacin et provoquons l'accouchement par Propess. Après un travail soutenu par Syntocinon, elle dilate de manière harmonieuse et donne naissance par voie basse à une fille de 3790g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. En raison d'une non-immunité pour la rubéole et la varicelle, nous proposons une vaccination à la patiente lors de la consultation à 6 semaines du post-partum. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera à rediscuter. Au vu de la bonne évolution, la patiente est transférée au petit Prince pour la suite de son post-partum avec son bébé le 11.01.2019 en bon état général. Patiente de 27 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 23.01.2019 pour mise en travail spontané. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3910g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Désonur, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 25.01.2019, en bon état général. Nous proposons un complément de vaccination pour la rubéole si le rappel n'a pas été effectué après 1er accouchement. Patiente de 27 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 31.12.2018 pour une rupture prématurée des membranes. Elle se met en travail de manière spontanée. La dilatation est rapide. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 2780g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Cérazette, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Patiente de 27 ans, 3G 1P, admise en salle d'accouchement le 02.01.2019 à terme en vue d'une provocation pour risque de pré-éclampsie élevé avec importants œdèmes des membres inférieurs. Cette dernière se fait par la mise en place d'un Misodel. En raison de décélérations, ce dernier est retiré et nous débutons une tocolyse par Gynypral. Par la suite, la dilatation est harmonieuse sous péridurale et elle donne naissance par voie basse à un garçon de 3310g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complications. Au vu de la constellation rhésus, une dose de Rhophylac est administrée le 03.01.2019. En raison d'une anémie légère à 105g/l, un traitement de Maltofer est débuté. La future contraception se fera par Desonur. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 05.01.2018. Patiente de 27 ans, 3G 2P, admise en salle d'accouchement le 10.01.2019 à 38 4/7 SA en vue d'une césarienne élective itérative pour utérus cicatriciel. La césarienne se passe sans complication per-opératoire. Elle donne naissance à une fille pesant 3210g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Cerazette, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 14.01.2019, en bon état général. Patiente de 27 ans, 3G2P, admise en salle d'accouchement le 14.01.2019 pour mise en travail spontanée. Le travail est rapide. La patiente donne naissance par voie basse à une fille pesant 2860g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée avec son gynécologue traitant au contrôle post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 15.01.2019, en bon état général. Patiente de 27 ans, 4 gestes 2 pares, hospitalisée pour une conisation du col et curetage endo-cavitaire pour HSIL, HPV HR+, P16 positive. La patiente accepte l'intervention en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 16.01.2019 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste apyrétique. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile et sera revue le 12.02.2019 à la consultation du Professeur X. Patiente de 28 ans, admise aux soins intensifs en raison d'un STEMI antérieur le 03.01.2019. Elle consulte initialement en raison d'un angor typique d'apparition brutale à l'effort modéré le jour même. L'ECG réalisé aux urgences montre un STEMI antéro-latéral. La patiente bénéficie d'une coronarographie en urgence qui montre une dissection de l'IVA distale qui est recanalisée et dilatée, sans mise en place d'un stent actif, avec un résultat final satisfaisant. Un traitement par Lisinopril est débuté. La dissection actuelle est attribuée en premier lieu à une possible vasculite en relation avec la consommation de cocaïne. L'akinésie apicale sera réévaluée dans un mois lors d'une échocardiographie de contrôle. L'évolution dans notre service est simple, sans récidive d'angor ni troubles du rythme significatifs. Le point de ponction fémoral droit est calme. Au moment du transfert, elle est calme, collaborante, adéquate et critique par rapport à sa consommation occasionnelle de stupéfiants. Mère d'une fillette de 5 ans, elle ne souhaite pas de soutien psychologique à ce stade. Nous renonçons à introduire un traitement par bêtabloquant chez une patiente consommant occasionnellement de la cocaïne. Patiente de 28 ans, en bonne santé habituelle, qui se tord la cheville en courant le 06.01.2018. La patiente a déjà cassé ses 2 chevilles avant avec un traitement conservateur avec VacoPed. Le bilan radioclinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement avec attelle Aircast est mis en place. Patiente de 28 ans, nulligeste, qui nous est adressée par le Dr X pour un 2ème avis et complément d'investigations pour infertilité primaire du couple et désir de grossesse depuis 2013. La patiente présente des cycles ovulatoires avec une AMH normale à 56 pmol/l, ainsi que des cycles de 23-28 jours, règles normales avec dysménorrhée. Elle présente à l’échographie un myome intramural de 4,3 cm au niveau de la paroi postérieure en grande partie nécrotique, et un kyste hémorragique versus endométriome 4 × 3 cm au niveau de l'ovaire gauche. Le partenaire présente une asthénospermie sur le spermogramme de 2015. On propose une prise en charge chirurgicale. La patiente accepte l'intervention en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 21.01.2019 et se déroule sans complication. Lors de l'hystéroscopie diagnostique, on objective une hypertrophie glandulaire et multiples polypes centimétriques sur le fond utérin et aussi au niveau de la paroi postérieure et latérale gauche, complété d'un curetage de la cavité utérine. Puis, en second temps opératoire, on effectue une laparoscopie qui objective une endométriose stade III et on procède à une adhésiolyse avec urétérolyse gauche, résection de deux nodules d'endométriose pelviens avec kystectomie de l'endométriome au niveau de l'ovaire gauche et myomectomie fundique. L'épreuve au bleu de méthylène est positive des deux côtés.Les suites post-opératoires sont favorables. La patiente poursuivra un traitement par Estradot 100 patch, 2 patches 2x par semaine pendant 2 semaines puis consultera en ambulatoire pour une hystéroscopie au début du cycle. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile et sera revue dans 10 jours à la consultation du Dr. X. Patiente de 28 ans, se présente aux urgences à 16h30 pour un angor typique persistant depuis le début de l'après-midi (ie. 13h00). L'ECG témoigne d'un STEMI dans le territoire antérieur. Une coronarographie est effectuée d'urgence et objective une dissection de l'a. interventriculaire antérieure avec occlusion totale de sa portion distale. La coronaire est recanalisée et dilatée, sans mise en place d'un STENT, avec un résultat satisfaisant. Nos confrères cardiologues initient alors un traitement par acide acétylsalicylique à vie, et de prasugrel pour une durée de trois mois. La patiente est transférée aux soins intensifs, puis en Médecine, pour suite de prise en charge. Une ultrasonographie transthoracique témoigne d'une akinésie apicale, qui motive l'introduction d'un traitement par lisinopril, au lieu et place d'un traitement par bêtabloquant (contre-indiqué au vu de la consommation de cocaïne). L'ensemble de la situation cardiaque sera réévaluée dans un mois par notre confrère le Professeur X. Sur le plan toxicologique, la patiente présente une consommation de toxiques à risque, notamment avec une prise quotidienne de marijuana et de tabac. Elle consomme occasionnellement par ailleurs des amphétamines (fumée et ingérée). Elle ne s'injecte pas de substance. Nous informons la patiente de la nécessité de réduire la consommation de tous ces toxiques, au vu de l'événement cardiaque et de ses facteurs de risque (sédentarité, mauvaise alimentation, antécédents familiaux et tabagisme). La patiente refuse un suivi psychiatrique pour le moment. Nous lui fournissons les numéros de téléphone de Tremplin, qu'elle contactera si besoin. Mme. Y rentre à domicile le samedi 5 janvier. Patiente de 28 ans, 1G0P, transférée par la maison de naissance Le Petit Prince dans notre salle d'accouchement le 14.01.2019, pour une stagnation de la dilatation à 3 cm après 12 heures de rupture spontanée des membranes. Elle bénéficie de la mise en place d'une péridurale et d'un soutien du travail par Syntocinon. Durant le travail, la patiente est transitoirement hypertendue avec un bilan de gestose dans la norme et une absence de symptôme. Les tensions sont par la suite dans la norme. Le travail est dystocique avec une stagnation de la dilatation à 8 cm. Dans ce contexte, l'indication opératoire est posée. Mme. Y donne naissance à un garçon pesant 3800 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement est débuté sans complication. La contraception future est à rediscuter (souhaite une méthode symptothermique). Dans l'attente, elle se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 19.01.2019. Patiente de 28 ans, 2-gestes 1-pare, admise en salle d'accouchement le 03.01.2019 à 37 2/7 semaines d'aménorrhée en vue d'une césarienne élective itérative pour une grossesse gémellaire bichoriale-biamniotique. L'intervention se déroule sans complications mais est marquée par un status très adhérentiel. Elle donne naissance à deux filles de 2420 g et de 2780 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par une hypertension artérielle sévère associée à un spot pathologique. Nous introduisons un traitement antihypertenseur de Trandate et d'Adalate CR20 qui permet un bon contrôle de la tension. Nous proposons un contrôle chez son médecin de famille dans 1 semaine pour diminution des traitements antihypertenseurs et une consultation néphrologique à 6 semaines du post-partum. De plus, la patiente présente un iléus paralytique de bonne évolution avec traitement conservateur et reprise du transit à J3 post-opératoire. L'hémoglobine post-partale est à 95 g/l motivant une perfusion de Ferinject 1000 mg le 07.01.2019. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Cérazette. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre et une cicatrice calme, la patiente rentre à domicile avec ses bébés le 09.01.2019. Patiente de 28 ans, 3-gestes 0-pare, admise en salle d'accouchement à 40 0/7 semaines d'aménorrhée pour une mise en travail spontanée le 18.01.2019 à terme. Après une dilatation harmonieuse soutenue par Syntocinon. En raison d'un CTG suspect à épine +1 nous décidons d'une ventouse Kiwi. Elle donne naissance à un garçon de 4640 g en 2 tractions, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. On note une anémie spoliative asymptomatique motivant l'introduction d'une substitution ferrique po jusqu'à l'administration de Ferinject 1 g iv en ambulatoire. La cicatrice reste calme au contrôle postpartum. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Cérazette, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la constellation rhésus, la patiente reçoit 300 mcg de Rhophylac le 19.01.2019. Son traitement d'Euthyrox est stoppé en postpartum, nous vous laissons le soin de contrôler les valeurs de TSH et T4. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 21.01.2019. Suivi: Contrôle postpartum à 6 semaines à votre consultation, évaluation de la nécessité d'introduire la physiothérapie périnéale. HGPO à 3 mois Contrôle TSH et T4 à 3 mois postpartum Contrôle Hb et ferritine dans 3 mois Patiente de 28 ans, 3-gestes 2-pares, admise en salle d'accouchement en vue d'une césarienne élective bi-itérative le 04.01.2019 à 38 5/7 semaines d'aménorrhée. Elle donne naissance à un garçon de 3920 g de bonne adaptation néonatale. L'intervention est marquée par un status très adhérentiel et une atonie utérine nécessitant la perfusion de 100 mcg de Pabal, 2 ampoules de Nalador et la pose d'un Redon. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Le Redon est retiré à J2. L'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complications. En raison d'une anémie à 98 g/l, un traitement de Maltofer est débuté. La contraception future devra être discutée à la consultation du postpartum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre et une cicatrice calme, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 07.01.2019. Patiente de 28 ans, 3-gestes 2-pares, admise en salle d'accouchement le 12.01.2019 à terme + 6 en vue d'une provocation pour terme dépassé et oligoamnios. Cette dernière se fait par la mise en place d'un Propess. Par la suite, elle se met en travail et après une dilatation rapide, elle donne naissance par voie basse à une fille de 2900 g de bonne adaptation néonatale. Le nouveau-né est examiné par les pédiatres avec confirmation d'un syndrome polymalformatif raison pour laquelle elle est transférée à l'Inselspital durant la nuit du 13.01.2019. Les suites post-partales immédiates sont simples et la patiente reste afébrile. Elle est transférée à l'Inselspital pour être auprès de son enfant le 13.01.2019. Patiente de 28 ans, 3G1P admise en salle d'accouchement le 04.01.2019 pour une rupture prématurée des membranes sans contractions. Elle se met en travail après provocation par Syntocinon après 12 h de rupture des membranes. Elle reçoit une antibioprophylaxie par Clamoxyl pour une rupture prolongée des membranes. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3210 g, de bonne adaptation néonatale.Les suites post-partales sont simples et afébriles. La patiente désire un sevrage primaire qui est initié sans complication. La contraception future sera discutée au contrôle du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Patiente de 29 ans, 2G0P, admise en salle d'accouchement le 16.01.2019 pour rupture prématurée des membranes (liquide clair) le 16.01.2019 à 4h. Elle est provoquée par Misodel en raison d'une absence de mise en travail spontané. Celui-ci est retiré en raison d'un CTG suspect. La patiente développe également des métrorragies sans signe de décollement à l'US. Dans ce contexte, l'indication à une césarienne en urgence 30 minutes est posée. La patiente donne naissance à un garçon pesant 3270g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Cérazette, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Concernant l'hypothyroïdie, le traitement d'Euthyrox est stoppé après l'accouchement et un contrôle de la TSH sera à effectuer au contrôle post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 21.01.2019, en bon état général. Patiente de 29 ans, 3-gestes 1-pare, admise en salle d'accouchement le 11.01.2019 à 39 4/7 semaines d'aménorrhée pour rupture prématurée des membranes. En raison d'une rupture prolongée des membranes, nous débutons une antibioprophylaxie par Clamoxyl IV selon protocole. Elle se met en travail spontanément et après une dilatation harmonieuse et un travail soutenu par Syntocinon, elle donne naissance par voie basse spontanée à une fille de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Cerazette, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 14.01.2019. Patiente de 29 ans, 4 gestes 2 pares, qui est suivie en policlinique pour rétention de matériel trophoblastique de 8 mm après interruption médicamenteuse de grossesse à 7 semaines d'aménorrhée. Hospitalisée pour une prise en charge chirurgicale. La patiente accepte l'intervention en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 18.01.2019 et se déroule sans complication. La patiente souhaite une pose de stérilet en cuivre le 18.01.2019. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste apyrétique. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile et sera revue dans 4 semaines en consultation ambulatoire. Patiente de 29 ans, 4G 1P, admise en salle d'accouchement le 14.01.2019 en vue d'une provocation pour polyhydramnios et suspicion de dysplasie osseuse fœtale. Elle bénéficie de la mise en place d'une perfusion de Syntocinon le 14.01.2019 au matin. Elle dilate harmonieusement et donne naissance par voie basse à un garçon pesant 2970g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. On met en évidence une anémie spoliative, pour laquelle on propose l'administration de Ferinject. Dans l'attente du rendez-vous, on administre du Maltofer per os. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 17.01.2019, en bon état général. Patiente de 30 ans, 1G 0P, admise en salle d'accouchement le 19.01.2019 pour une rupture prématurée des membranes à 39 1/7 SA. À l'entrée, le bilan infectieux est normal et la patiente ne présente pas de contractions. Nous débutons une provocation par Propess et une antibioprophylaxie par Clamoxyl après 12h00 de rupture. En raison d'une absence de mise en travail après 2 Propess et 5 UI de Syntocinon, l'indication à une césarienne est posée. Celle-ci se déroule sans complication et la patiente donne naissance à une fille pesant 3780g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 25.01.2019, en bon état général. Patiente de 30 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 23.01.2019 en vue d'une provocation en raison d'un diabète gestationnel insulino-requérant. Elle bénéficie de la pose d'un Misodel après avoir signé le consentement éclairé le 23.01.2019. Le travail est soutenu par du Syntocinon jusqu'à dilatation complète. En raison de la non-progression de la présentation aux épines +1, nous posons l'indication à une extraction par ventouse Kiwi. La patiente donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3340g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 27.01.2019, en bon état général. Patiente de 30 ans, 2-gestes 0-pare, admise en salle d'accouchement le 25.12.2018 à 35 5/7 semaines d'aménorrhée en vue d'une provocation pour risque de pré-éclampsie élevé dans les 4 semaines chez une patiente symptomatique avec barre épigastrique et céphalées persistantes. À son arrivée, le profil tensionnel est normal et le bilan de gestose revient normal. La provocation se fait par la mise en place de deux Propess, ballonnet permettant une mise en travail soutenu alors par Syntocinon. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 1920g, de bonne adaptation néonatale admise alors en néonatologie pour prématurité. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Cérazette. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 31.12.2018, en bon état général. L'enfant reste hospitalisé en néonatologie pour la suite de la prise en charge. Patiente de 30 ans, 2-gestes 1-pare, admise en salle d'accouchement le 18.01.2019 à 40 2/7 semaines d'aménorrhée en vue d'une provocation pour terme dépassé et désir maternel. Cette dernière se fait par la mise en place de deux Propess. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse à un garçon de 3390g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Elle signale toutefois un point de pression au site de ponction de la péridurale à J2. Le site de ponction est calme, le statut neurologique est normal et la patiente ne présente pas de céphalées. Elle est instruite à surveiller les symptômes et à reconsulter en cas de péjoration. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Cérazette, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 22.01.2019. Patiente de 30 ans, 3-gestes 0-pare, transférée du Daler pour mise en travail spontanée avec rupture prématurée des membranes à 33 6/7 semaines d'aménorrhée le 27.01.2019. Elle bénéficie d'une cure de maturation pulmonaire avec tentative de Tocolyse par Tractocile. Malgré tout, la patiente se met en travail et dilate rapidement. Elle donne naissance par voie basse instrumentée par forceps pour CTG pathologique à une fille de 2070 g admise en néonatologie pour prématurité. Une révision du col est effectuée et revient sans particularité. Une déchirure vaginale ainsi qu'une épisiotomie médio-latérale droite sont suturées. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception future sera à rediscuter. Dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Sur demande de la patiente, on procède à l'injection de Boostrix que la patiente avait prise avec elle. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile le 30.01.2019. Son enfant reste hospitalisé en néonatologie. Patiente de 30 ans, 3-gestes 2-pares, admise en salle d'accouchement le 17.01.2019 pour bilan pré-opératoire d'une césarienne élective bi-itérative à 39 semaines d'aménorrhée. En raison d'une rupture prématurée des membranes non datable confirmée à l'Actim Prom, nous débutons une antibioprophylaxie par Clamoxyl et posons l'indication à une césarienne en urgence. Cette dernière est marquée par un status adhérentiel très important. Elle donne alors naissance à une fille de 3010 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. Le lien mère-enfant ainsi que l'humeur de la patiente sont favorables. Elle bénéficie de la visite de la sage-femme conseil et des psychologues du service au cours de son hospitalisation. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Cérazette, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu d'une anémie spoliative, la patiente sera reconvoquée pour l'administration de Ferinject. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 21.01.2019. Avec un suivi à domicile par une sage-femme ainsi que par l'infirmière en soins psychiatriques qui la suit habituellement. Patiente de 30 ans, 4-gestes 1-pare, admise en salle d'accouchement le 10.01.2019 à 40 5/7 en raison d'une mise en travail spontanée. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse à une fille de 3590 g de bonne adaptation néonatale. Accouchement compliqué d'une atonie utérine non hémorragique nécessitant la perfusion de 20 unités de Syntocinon avec bonne évolution. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La contraception future désirée est par DIU, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si nécessaire. Au vu de la bonne évolution, avec des contrôles obstétricaux en ordre, elle rentre à domicile avec son bébé le 12.01.2019. Patiente de 30 ans, 4-gestes 2-pares, admise en salle d'accouchement le 12.01.2019 à terme +11 en vue d'une provocation pour terme dépassé. Cette dernière se fait par la mise en place d'un Propess. Elle se met en travail et après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse à une fille de 3240 g de bonne adaptation néonatale mais admise en néonatologie pour détresse respiratoire. Perfusion de 20 unités de Syntocinon pour multiparité. En raison d'une suspicion de chorio-amniotite en per-partum, nous débutons une antibioprophylaxie par Clamoxyl et gentamycine selon protocole. Le frottis placentaire revient positif pour Staphylococcus epidermidis et warneri et les hémocultures pour un E. Coli multisensible. Selon avis infectiologique, une antibiothérapie par co-amoxicilline est instaurée iv 2.2 3x/j pour 3j, puis relais par oral 1 g 3/j, pour une durée totale de 10 jours. Les suites post-partales sont marquées par le développement à J4 d'une thrombose veineuse superficielle sur le point de ponction du Venflon sur l'avant-bras D. Un avis angiologique exclut une TVP, une anticoagulation n'est dès lors pas nécessaire. L'évolution est rapidement favorable sous anti-inflammatoires locaux. Un laboratoire de contrôle à 24 h appuie qu'une thrombose septique est peu probable. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Cérazette, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si nécessaire. Au vu de la bonne évolution, avec des contrôles obstétricaux en ordre, elle rentre à domicile le 18.01.2019. Patiente de 31 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 21.01.2019 en vue d'une provocation pour un retard de croissance intra-utérin de stade 1 (PFE < p5, avec des dopplers en ordre). Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 21.01.2019. Par la suite, le travail est soutenu par Syntocinon après une rupture spontanée des membranes. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 2720 g ( 59 ans fit sans complication et la patiente peut rentrer à domicile le 01.01.2019. Un rendez-vous de suivi est prévu le 04.01 à la consultation du Dr. X. La patiente bénéficiera d'une injection sous-cutanée de Neupogen dès le 02.01 qui sera réévaluée lors de la consultation. À noter qu'il sera nécessaire d'introduire des soins à domicile pour la réfection du pansement de son PICC Line, ces derniers n'ayant pas pu être introduits lors de son hospitalisation (jours fériés de nouvel an), nous vous laissons le soin de les contacter. Patiente de 68 ans, admise en Stroke unit monitorée en raison d'un accident vasculaire cérébral ischémique aigu sylvien droit le 27.01.2019. La patiente présente initialement une instabilité à la marche avec tendance à chuter vers la gauche, associée à une perte de force de l'hémicorps gauche objectivées par sa famille. Elle se plaint également d'une diplopie. La dernière preuve de bonne santé remonte à trois heures avant l'admission aux urgences. Un hémisyndrome moteur gauche est objectivé à l'arrivée des ambulanciers avec un NHISS score 4. Le CT-scan cérébral time is Brain met en évidence une discrète asymétrie dans le territoire de l'artère sylvienne droite. Les vaisseaux sont perméables. Après avis neurologique auprès du Dr. X, l'indication à une thrombolyse/thrombectomie n'est pas retenue et la patiente nous est adressée pour suite de prise en charge.Une IRM cérébrale réalisée le 28.01.2019 confirme un accident vasculaire cérébral thalamique droit. Sur avis neurologique, un traitement anti-agrégant par Plavix au long cours est préconisé. Au moment du transfert en Stroke unit non-monitorée, la patiente est alerte avec un NIHSS à 1. • Patiente de 68 ans, connue pour ATCD stent actif, Cx, Première ATC (22/03/2017), nous est adressée par le Dr. X pour une coronarographie de contrôle. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre d'une part des excellents résultats à long terme après stenting de l'IVA proximale, des deux branches marginales de la Cx et de la coronaire droite proximale et moyenne, d'autre part une longue de novo sténose de la circonflexe proximale-moyenne avec un aspect ulcéré. La fonction systolique du VG est normale. La patiente bénéficie d'une dilatation avec mise en place d'un stent actif RCX proximale et moyenne avec un bon résultat final. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. La patiente rentre le 16.01.2019 à domicile. • Patiente de 68 ans, connue pour une démence vasculaire et une schizophrénie paranoïde, transférée de la chirurgie orthopédique le 21.12.2018 pour prise en charge d'une hyponatrémie vraie à 118 mmol/L. Pour rappel, elle a été opérée d'une prothèse céphalique de la hanche droite le 07.12.2018, suite à une fracture du col fémoral sur chute le 05.12.2018. A l'admission en orthopédie, une pneumonie basale droite est diagnostiquée ainsi qu'une infection urinaire basse à Klebsiella pneumoniae, traitées par antibiothérapie intraveineuse. Elle présente par la suite d'importants troubles de la déglutition ainsi que des fausse-routes, une alimentation par sonde naso-gastrique est ainsi initiée. Les tests de déglutition effectués régulièrement ne s'améliorent pas suffisamment et nous ne pouvons pas enlever la SNG pendant l'hospitalisation. Elle sera donc réévaluée après la sortie en nutrition clinique. Mme. Y présente une hyponatrémie chronique sur SIADH, qui se péjore progressivement pendant l'hospitalisation, probablement dans le contexte d'un apport en eau libre par la nutrition entérale. Une restriction hydrique ainsi que des perfusions de NaCl et des capsules de sel permettent progressivement une normalisation de la natrémie. De plus, nous stoppons les traitements antipsychotiques pouvant provoquer ce SIADH. Sur le plan psychiatrique, nous ne notons pas de symptômes florides de la lignée psychotique ni d'anxiété, raison pour laquelle nous diminuons progressivement les benzodiazépines et ne réintroduisons pas de traitement neuroleptique. À noter que le 08.01.2019, un sédiment urinaire est effectué et montre des leucocytes, des nitrites et de la flore bactérienne. Nous ne démarrons pas de traitement, la patiente n'étant pas symptomatique ni diabétique. En cas d'état fébrile ou de symptômes de cystite, nous vous laissons le soin d'introduire une antibiothérapie. Au vu de l'évolution favorable, la patiente retourne à l'EMS de Farvagny le 10.01.2019. • Patiente de 69 ans, hospitalisée pour un STEMI subaigu sur occlusion de l'artère circonflexe moyenne. Elle a consulté aux urgences pour un malaise avec douleurs atypiques dans les deux bras accompagné d'une pression sur la poitrine depuis la veille, irradiant dans le dos et apparaissant indépendamment de l'effort, sans dyspnée ou toux mais un épisode de vomissement. À savoir qu'elle a consulté son médecin traitant qui avait prescrit un IPP sur suspicion de reflux gastrique avec un ECG normal et qui, au vu de la péjoration des douleurs, conseille de consulter aux urgences. Un STEMI subaigu est diagnostiqué avec une coronarographie en urgence. La coronarographie montre une maladie coronarienne monotronculaire avec comme corrélat au STEMI une occlusion de l'artère circonflexe moyenne traitée par mise en place de 2 stents actifs. Une double antiagrégation plaquettaire par Aspirine à vie et Prasugrel pour 12 mois est instaurée. La ventriculographie montre une FEVG à 48 % avec une ETT de contrôle le 24.01.2019 montrant une régression quasi totale de l'hypokinésie et une FEVG à 65 %. Au vu d'une légère dyspnée avec quelques signes de surcharge, un traitement de Torasémide est instauré. Nous vous laissons le soin de réévaluer sa nécessité au vu de la récupération de la FEVG avec une amélioration clinique rapide. Une ergométrie est à prévoir dans une année avec un contrôle dans un mois auprès du médecin traitant. Nous majorons les doses d'IEC introduites aux soins et introduisons un bêta-bloquant avec bonne tolérance. Au vu de l'évolution clinique favorable, la patiente rentre à domicile le 28.01.2019 avec une réadaptation cardiovasculaire à Billens prévue en ambulatoire. La patiente sera convoquée. • Patiente de 70 ans, admise aux soins intensifs le 19.01.2019 en raison d'une hyponatrémie modérée avec crise comitiale secondaire. Elle est initialement adressée aux urgences suite à une crise comitiale sous forme de convulsion brève avec perte de contact. Le bilan met en évidence une hyponatrémie vraie modérée. Elle nous est alors adressée pour suite de prise en charge. Après correction lente de l'hyponatrémie, nous retenons le diagnostic de SIADH dans le cadre de la prise d'un traitement neuroleptique avec possible composante de potomanie surajoutée. Il sera nécessaire par la suite d'évaluer par le médecin traitant de la patiente afin de rediscuter la modulation du traitement neuroleptique (Clopixol) afin de limiter cet effet secondaire connu. S'agissant d'une crise convulsive secondaire (hyponatrémie), le traitement antiépileptique habituel peut être poursuivi à même dosage après avis neurologique. La patiente retourne dans son foyer le 20.01.2019. • Patiente de 70 ans légalement (63 ans en réalité), connue pour une hypothyroïdie substituée et un adénocarcinome du pancréas diagnostiqué en octobre 2018, hospitalisée pour surveillance et investigations d'un malaise le 09.01.2019. Elle a présenté une perte de connaissance de durée indéterminée avec chute à son domicile, précédée d'un prodrome sous forme de douleur thoracique avec palpitations ainsi qu'un voile noir. Ce malaise est survenu peu de temps après une chute mécanique avec TC dans la rue plus tôt dans l'après-midi. Aux urgences, le laboratoire montre des D-dimères très élevés. Un CT-thoracique révèle une embolie pulmonaire segmentaire dans le LID, d'aspect chronique. Un CT-cérébral n'a pas montré de saignement ni de lésion traumatique. Une anticoagulation thérapeutique par Clexane est débutée le 09.01.2019, avec relais par Lixiana à la sortie pour augmenter la compliance, à poursuivre pour 6 mois. Au vu des conditions de survenue peu claires du malaise, un bilan cardiaque par ETT a montré une bonne fonction sans trouble de la cinétique ni valvulopathie, et un Holter de 24 h n'a pas montré de trouble du rythme. Un nouveau contrôle des hormones thyroïdiennes permet de constater une hypothyroïdie sévère malgré la substitution. Un trouble de compliance est évoqué ou une prise dans des conditions non optimales, la patiente recevant pour cela une éducation thérapeutique. Un suivi par nos collègues endocrinologues est demandé, et la patiente sera revue pour un contrôle dans 3 semaines.Sur le plan psycho-social, une évaluation par le psychiatre ne révèle pas de trouble psychiatrique significatif, mais propose tout de même un suivi en psychogériatrie ambulatoire ainsi qu'un traitement de Temesta le soir. La situation irrégulière de Mme. Y sur le territoire suisse est évaluée, et elle est elle-même informée ainsi que sa famille des services d'aide à contacter pour garantir un maintien en Suisse pour la suite du traitement de la maladie oncologique (Frisanté pour les questions d'aide financière, le CCSI pour une aide sur le plan juridique). Mme. Y va séjourner au domicile de sa fille dans l'intervalle. On relève enfin des signes radiologiques de BPCO qui, au vu du tabagisme associé, mériteraient d'être investigués par des fonctions pulmonaires que nous organisons à distance à notre consultation de pneumologie. Mme. Y quitte l'hôpital le 16.01.2019, et sera revue en oncologie le 18.01.2019 pour la suite de la prise en charge avec chimiothérapie. Mme. Y, 70 ans, vient pour une re-coronarographie pour PCI de l'IVA. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre un résultat satisfaisant après les PCI de l'ACD. Comme planifié, tentative de désobstruction de l'IVA, sans succès. Au vu du manque de symptômes actuels et de la comme collatéralité (ainsi que le Statut post-radiothérapie thoracique), on propose maintenant une IRM cardiaque et demande avec une copie au Dr. X de bien vouloir faire une IRM de stress. En cas d'ischémie, on prendra contact avec un collègue de la chirurgie cardiaque. Le traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est poursuivi. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mme. Y rentre le 16.01.2019 à domicile. Mme. Y, 70 ans, connue pour un adénocarcinome pulmonaire pT3 pN2 du lobe supérieur gauche, métastatique d'emblée au niveau tibial gauche, avec récidive multi-métastatique, actuellement sous Navelbine (dernière dose le 03.12.18) qui consulte le 10.12.18 en raison d'une asthénie importante depuis 3 jours. Le laboratoire met en évidence une bicytopénie avec une anémie avec un nadir à 66 g/L. Mme. Y bénéficie de la transfusion de 2 CE sur son séjour avec une amélioration de l'asthénie. L'hémoglobine de sortie s'élève à 83 g/L et la leucopénie se corrige spontanément lors du séjour. À noter que Mme. Y présente également un état fébrile intermittent avec mise en évidence d'une bactériémie à Staphylocoque Lugdunensis. Selon avis infectiologique, une antibiothérapie par floxapen est introduite le 12.12.18. Après réception de l'antibiogramme et confirmation de la présence d'une infection du PAC, nous effectuons un relais par cubicine dès le 13.12.18 associé à un verrou par vancomycine pour une durée de 2 semaines. En parallèle, Mme. Y bénéficie d'une antibiothérapie par vancomycine per os pour la même durée afin d'avoir une action sur le biofilm du matériel. Les hémocultures demeurent stériles dès le 15.12.18. Les hémocultures à 1 semaine de l'arrêt de l'antibiothérapie sont encore en cours. L'évolution clinique est initialement défavorable avec péjoration de l'état général et persistance de l'état fébril, pour lequel nous ne retenons pas une origine infectieuse au vu des cultures, mais une origine inflammatoire sur les cytokines inflammatoires tumorales du liquide pleural gauche accumulé. Le pleurix est alors vidangé en continu puis de manière quotidienne. L'évolution de l'état fébril et de l'état général est alors favorable. Dans ce contexte, Mme. Y a péjoré transitoirement sa fonction rénale avec bonne évolution après hydratation. Sur le plan oncologique, nous effectuons un CT thoraco-abdomino-jambier de suivi le 12.12.18 qui montre une progression de la maladie oncologique notamment en regard de la carcinose pleurale. Nous reprenons alors contact auprès de l'oncologue traitant de Mme. Y qui convoqueront Mme. Y pour une poursuite de la chimiothérapie à distance de l'épisode aigu si son état général le permet. Concernant les douleurs du membre inférieur gauche, nous adaptons le traitement opiacé. Elle bénéficie d'un traitement adjuvant à base de Prednisone afin de diminuer les douleurs et l'œdème. Mme. Y bénéficie également de radiothérapie à visée antalgique du 19.12.18 au 26.12.18 (5 séances de 4 Gy). En raison d'une recrudescence par la suite de ses douleurs du membre inférieur gauche, un nouveau CT est réalisé le 03.01.19 qui met en évidence une fracture nouvelle du bord latéral de la rotule gauche. Mme. Y ne présentant pas de franche douleur localisée au site de fracture, nous n'instaurons pas de traitement spécifique et proposons une charge selon douleurs. À noter que Mme. Y a également de nombreuses lésions métastatiques au niveau des métatarses avec réaction périostée sans fracture sous-jacente. Nous proposons d'effectuer une scintigraphie osseuse avant tout traitement orthopédique. Au vu d'une asthénie persistante sur le séjour et des douleurs invalidantes du membre inférieur gauche, Mme. Y est transférée en soins palliatifs à la Villa St François le 07.01.19 pour reconditionnement en vue d'un retour à domicile. Mme. Y, 71 ans, admise en Stroke Unit monitorée le 26.01.2019 en raison d'un accident vasculaire cérébral ischémique aigu sur thrombose de l'artère basilaire. Elle est initialement adressée aux urgences en raison d'une dysarthrie nouvelle associée à une diplopie et une parésie du membre inférieur droit survenant dans un contexte d'hémisyndrome droit résiduel suite à un AVC ischémique en novembre 2018. Le bilan biologique aux urgences révèle une hypoglycémie sévère symptomatique (convulsions). Une thrombose de l'artère basilaire est objectivée à l'imagerie. Devant un contexte oncologique métastatique associé à un risque hémorragique significatif, il est décidé d'un traitement conservateur en accord avec le médecin traitant et les neurologues. Elle nous est alors adressée pour la suite de la prise en charge. Elle présente un épisode de convulsions aux urgences dans le contexte de l'hypoglycémie. L'évolution est favorable après correction de la glycémie, sans récidive comitiale. Le traitement habituel par Lantus est repris à demi-doses dès le 28.01.2019. Un suivi rapproché des glycémies est préconisé. Mme. Y présente initialement une fluctuation de la vigilance et du NIHSSS en lien avec une fluctuation du profil tensionnel. Nous administrons transitoirement des amines afin d'améliorer la perfusion cérébrale. Par la suite, la situation se stabilise avec des tensions spontanément supérieures à 140 mmHg sans nouvelles fluctuations neurologiques. D'entente avec les neurologues, nous optons pour une antiagrégation par Aspirine compte tenu des antécédents d'hémorragie digestive basse. Les anticoagulants en prophylaxie tertiaire sont à rediscuter avant la sortie des soins aigus en fonction de la réponse à la chimiothérapie, du risque hémorragique et du pronostic global. Mme. Y, 72 ans, nous est adressée pour une dyspnée et une ETT avec une FEVG à 42 %. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne monotronculaire avec une sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne au niveau de la 1ère diagonale. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est préservée (EF 55 %). Mme. Y bénéficie d'une angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure moyenne avec implantation de 1 stent actif et bon résultat final. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté, ainsi qu'un traitement par Atorvastatin 20 mg/j. Le reste du traitement reste inchangé.Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 1 an. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. La patiente rentre le 30.01.2019 à domicile. Patiente de 72 ans nous est adressée par Dr. X pour un angor typique de novo et une ergométrie positive. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne bitronculaire avec une sténose significative de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale, une sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne, une lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne, englobant l'origine de la seconde diagonale (lésion de bifurcation). Sténose significative de l'artère coronaire droite distale. La fraction d'éjection du ventricule gauche est normale (78%). La ventriculographie gauche montre une hypokinésie modérée diaphragmatique. La patiente bénéfice d'une angioplastie de l'artère coronaire droite distale avec implantation de 1 stent actif. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté ainsi qu'un traitement par Crestor 5 mg/j. Le reste du traitement reste inchangé. Nous prévoyons une re-coronarographie dans 15 jours pour PCI de l'IVA proximale. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. La patiente rentre le 25.01.2019 à domicile. Patiente de 72 ans présentant une surinfection du site opératoire. Plusieurs drainages par voie trans-orale et externes sont effectués à partir du 01.01.2019. La patiente étant allergique à la pénicilline, elle bénéficie d'une antibiothérapie par Clindamycine 600 mg 3x/j. Au vu de la progression des collections, après avis infectiologique, ajout de Daptomycine 500 mg 1x le 05.01.2019. Des rinçages sont effectués quotidiennement. L'évolution clinique ainsi que le syndrome inflammatoire sont progressivement en amélioration. Après avis des immunologues, absence de signe d'une immunodéficience acquise aux analyses de laboratoire, une analyse VIH est négative. Patiente de 73 ans, admise aux soins intensifs le 29.01.2019 en raison d'une décompensation cardiaque survenant à la faveur d'extrasystoles ventriculaires à haute incidence avec salves de TV non soutenues. Elle consulte initialement aux urgences en raison d'une dyspnée aiguë de stade IV. Un CT-scan thoracique permet d'exclure une embolie pulmonaire et montre des signes de décompensation cardiaque gauche. L'échocardiographie montre une fonction ventriculaire gauche sévèrement limitée de 20% dans un contexte d'extrasystoles ventriculaires à haute incidence avec salves de TV non soutenues. Sur avis cardiologique, les bétabloqueurs sont majorés et la patiente nous est transmise pour suite de prise en charge. À noter que la patiente n'est pas équipée de CRT à ce stade, la FEVG étant à 45% lors du dernier contrôle chez son cardiologue traitant Dr. X. L'évolution dans notre service est rapidement favorable sous VNI, Lasix iv continu et majoration des bétabloqueurs, sans récidive de TV. Nous effectuons un US pleural de dépistage en cours de séjour, sans épanchement significatif visualisé. La dégradation de la FEVG est attribuée en premier lieu à la cardiopathie rythmique actuelle. Une thermoablation est à discuter. On met en évidence une insuffisance rénale aiguë attribuée en premier lieu à un bas débit transitoire, avec une diurèse conservée. Nous vous proposons de suivre le bilan biologique et la diurèse de manière rapprochée. Patiente de 73 ans qui s'est procuré la plaie susmentionnée le 30.12.2018 et qui a été suturée aux urgences, qui revient pour un contrôle de plaie. L'évolution est favorable. Vu que la patiente est en vacances en Suisse jusqu'au 13.01.2019, et n'a pas de médecin traitant ici, nous referons un contrôle de plaie à la policlinique d'orthopédie le 04.01.2019. Patiente de 74 ans, admise aux soins intensifs le 12.01.2019 en raison d'une pancréatite aiguë post-ERCP, compliquée d'une perforation duodénale. Après mise en évidence d'une dilatation focale du canal de Wirsung évoquant un IPMN (Intraductal Papillary Mucinous Neoplasm) sur une IRM abdominale du 03.01.2019 (demandée pour le bilan d'une masse colique découverte lors d'une coloscopie en décembre 2018), la patiente bénéficie d'une ERCP ambulatoire le 11.01.2019 par Dr. X. Le geste nécessite un abord para-papillaire en raison de difficulté de canalisation de la papille. Après retour à domicile, elle s'adresse le 11.01.2019 aux urgences de Riaz pour des douleurs abdominales. Le scanner montre une pancréatite aiguë avec coulées nécrotiques en plus d'une probable perforation duodénale. La patiente est alors transférée aux soins intensifs pour suite de prise en charge. Durant son séjour dans notre service, l'antalgie est contrôlée initialement à l'aide de morphine IV continu et de lidocaïne, relayées dès le 14.01.2019 par une PCA de morphine (bolus de 1 mg/5 min max 40 mg sur 4 h), en plus du paracétamol et de la novalgine iv. La patiente est désormais confortable lors des mobilisations et lors d'efforts de toux. Sur avis chirurgical, nous débutons une nutrition parentérale dès le 13.01.2019. La patiente présente rapidement un syndrome de renutrition, pour lequel elle est substituée en phosphate, en potassium et en calcium. La nutrition parentérale est stoppée transitoirement et reprise le 14.01.2019 avec des faibles débits à réadapter en fonction de l'évolution des électrolytes. Dans le contexte de cette perforation duodénale, un traitement antibiotique est débuté dès le 12.01.2019 par fluconazole et Imipénème. Le CT abdominal de contrôle du 14.01.2019 retrouve une diminution des coulées de nécrose péri-pancréatique, une disparition du pneumopéritoine, et une diminution des signes de cholangite, avec néanmoins persistance d'une dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Dans ce contexte après discussion avec l'équipe de chirurgie, l'alimentation per os n'est pas redémarrée le 14.01.2019 et sera à réévaluer le 15.01.2019. Malencontreusement, la patiente s'est arraché la sonde nasogastrique dans la nuit du 13 au 14.01.2019. Devant l'évolution favorable, nous décidons de ne pas en remettre. Du fait de la réanimation volémique initiale, la patiente présente des épanchements pleuraux bilatéraux avec atélectasies, sans retentissement majeur sur sa respiration. Nous vous proposons de poursuivre la physiothérapie respiratoire et les mobilisations au fauteuil. Patiente de 74 ans, admise aux soins intensifs le 14.01.2019 en raison d'un NSTEMI. La patiente consulte initialement aux urgences en raison d'un angor se manifestant par des épigastralgies irradiant dans les deux bras. Les troponines sont positives, sans modification à l'électrocardiogramme. Une coronarographie effectuée en urgence met en évidence une maladie coronarienne bitronculaire et permet une bonne reperfusion de la diagonale avec mise en place d'un stent actif. La coronaire circonflexe est chroniquement occluse et n'a pas pu être recanalisée. La fonction ventriculaire gauche est conservée. Une double antiagrégation par Aspirine et Clopidogrel est introduite pour une année. Une dyslipidémie est mise en évidence, qui est traitée. Nous recommandons une cible de LDL-cholestérol inférieure à 1.8 mmol/l. Nous proposons de poursuivre le traitement antihypertenseur déjà en place et ajoutons un IEC. La patiente ne présente pas de troubles du rythme et la surveillance dans notre service se déroule sans complication. Une réadaptation cardiovasculaire est à rediscuter dans un second temps.• Patiente de 74 ans, connue pour un lymphome à grandes cellules B diagnostiqué le 19.07.2018, hospitalisée électivement par le Dr. X pour un second cycle de chimiothérapie prophylactique. A l'admission, Mme. Y ne rapporte pas de plaintes somatiques et ne présente pas de signe clinique de surcharge. • La chimiothérapie par Rituximab et Méthotrexate est effectuée le 04.01.2019 selon le protocole effectué par les oncologues. Le suivi des taux de Méthotrexate est dans la norme. La substitution en acide folique et l'alcalinisation des urines sont également effectuées selon le protocole. La tolérance au traitement est bonne. Le bilan biologique montre une hypokaliémie dont nous majorons transitoirement la substitution orale déjà en cours. • Sur le plan psychique, la patiente mentionne une baisse de moral importante depuis l'arrêt de son traitement antidépresseur au mois d'août dernier en raison d'un QT long ; traitement introduit il y a environ 2 ans dans le contexte de la fin de vie de son époux. Un contrôle ECG montre un QT dans la norme, et à la demande de la patiente, nous réintroduisons de l'Escitalopram 10 mg. Nous vous laissons le soin d'adapter la posologie selon la tolérance. • Mme. Y rentre à domicile le 09.01.2019. Une hospitalisation élective pour un 3ème cycle de chimiothérapie est prévue le 21.01.2019, avec un rendez-vous auprès du Dr. X dans l'intervalle. • Patiente de 74 ans, connue pour une anémie chronique, un diabète de type 2 insulino-requérant, une obésité stade II avec indice de masse corporelle à 32.5 kg/m2 le 25.06.2018, une cardiopathie rythmique avec fibrillation auriculaire paroxystique sous Eliquis et Amiodarone, et une insuffisance rénale chronique de stade 3a. • Mme. Y est adressée aux urgences de l'HFR Riaz par son médecin traitant en raison d'une anémie en péjoration avec une baisse de l'état général. • A l'anamnèse, la patiente rapporte se sentir de plus en plus faible depuis 15 jours, avec asthénie en augmentation, n'arrivant plus à effectuer ses activités de la vie quotidienne et ne pouvant plus s'occuper de son mari. • Sur le plan social, Mme. Y vit à domicile avec son mari et l'aide beaucoup, ce dernier n'étant plus autonome. • A son admission, nous effectuons des hémofécatests qui reviennent positifs. Au cours du séjour, nous administrons du Ferinject et 3 culots érythrocytaires avec une bonne réponse clinique et biologique. • Sur le plan des investigations, et après une hétéroanamnèse, nous apprenons que les dernières colonoscopie et œso-gastro-duodénoscopie datent de 2015. Nous organisons donc ces examens pour le 27.12.2018, qui ne seront pas effectués en totalité en raison d'un côlon mal préparé. Toutefois, la gastroscopie est réalisée sans problème et revient sans particularité. Nous vous recommandons d'organiser une colonoscopie à distance (sachant que le secrétariat d'endoscopie est fermé jusqu'au 03.01.2019). • Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche seule et à l'aide d'une canne est de 130 mètres. Mme. Y peut gravir 9 marches avec la rampe et la canne, de manière sécuritaire. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 91/126, par rapport à 75/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 2/7). Le TUG est à 22.18 secondes avec rollator. • Au vu de la bonne évolution clinique, nous organisons une sortie pour le 28.12.2018. Les soins à domicile passeront 2x/j pour les bas de contention, et 2x/semaine pour contrôle santé et aide douche. La médication sera à discuter avec les soins à domicile car le mari restera en court séjour pendant 3 mois (les médicaments étaient auparavant sous clef). • Patiente de 74 ans, connue pour une épilepsie secondaire à un abcès intracrânien avec trépanation il y a plusieurs dizaines d'années. Mme. Y se présente après une nouvelle crise épileptique qu'elle n'a plus eue depuis 3 ans dans le contexte d'une infection virale des voies aériennes supérieures et dans le cadre d'une insomnie. • La patiente est hospitalisée pour le bilan de la crise d'épilepsie. Dans le cadre de ce bilan, un EEG et une IRM sont effectués. L'IRM démontre le status post-trépanation de l'abcès cérébral sans nouvelle lésion ischémique ou tumorale. L'EEG ne démontre pas de foyer épileptogène. Une adaptation du traitement antiépileptique n'est pour le moment pas nécessaire. • Vu l'évolution clinique de la toux, des maux de gorge et de la sinusite dans le cadre de l'infection virale, un traitement symptomatique est mis en place. Vu les réticulations et l'arthrite séronégative, nous souhaitons un contrôle clinique chez le médecin traitant, surtout si la toux persiste pour ne pas manquer de mettre en évidence une atteinte pulmonaire dans le cadre rhumatologique. • Mme. Y rentre le 10.01.2019 en bon état général. • Patiente de 74 ans, connue pour une hémiparésie droite séquellaire d'un accident vasculaire cérébral, un statut après remplacement de la valve aortique par bioprothèse et une épilepsie, qui est traitée depuis le 16.01.2018 pour une endocardite d'abord par Rocéphine 2 g puis par gentamycine et pénicilline à partir du 22.12.2018, car persistance de l'état fébrile en raison de l'infection à S. Bovis. Les détails de cette prise en charge sont regroupés dans notre précédente lettre (séjour en gériatrie aiguë du 16.11.2018 au 11.12.2018). • Le jour du passage en réhabilitation gériatrique, un colloque de famille a lieu, durant lequel nous faisons le point sur la progression de l'état de santé de Mme. Y et de l'évolution de son endocardite infectieuse. La patiente ainsi que sa famille souhaitent a priori se laisser le temps avant d'envisager une colonoscopie dans le contexte d'une suspicion d'un cancer colorectal (infection à S. Bovis). En effet, la famille préfère que la patiente reprenne des forces avant un tel examen, qui se ferait ultérieurement par conséquent. • L'antibiothérapie se poursuit durant environ 3 semaines avec la gentamycine, et 4 semaines avec la pénicilline aux doses susmentionnées (consilium infectiologique du 17.11.2018 Dr. X, lettre n°1). Une échographie transthoracique de contrôle prévue chez le Dr. X le 18.12.2018 est superposable au comparatif du 27.04.2017 ; s'agissant d'un examen transthoracique de qualité très moyenne, une endocardite ou un abcès, notamment de la bioprothèse, ne peuvent pas être exclus (voir rapport annexé). • Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche est nul, chez cette patiente ne pouvant marcher, mais parvenant à tenir debout 4x 20 secondes avec un tintébin à deux roues et une aide manuelle de deux physiothérapeutes. Elle nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 40/126, par rapport à 38/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 1/7, marche 1/7, escaliers 1/7). Le TUG est impossible à tester. A la sortie de Mme. Y, nous lui fournissons une ordonnance de 9 séances de physiothérapie en ambulatoire. Nous vous laissons le soin d'évaluer l'indication de poursuivre cette thérapie en ambulatoire et donc de reconduire la prescription d'une autre série de séances. • A noter que nous maintenons aussi la prescription de la Clexane à la sortie face au risque thrombotique chez cette patiente ne se mobilisant quasiment plus. Ce traitement est également à réévaluer selon l'évolution de la patiente. • Le retour à la Résidence du Marché à Bulle est décidé pour le 21.12.2018. • Patiente de 75 ans connue pour un BPCO stade GOLD IV qui est hospitalisée pour une insuffisance respiratoire aiguë.Mme. Ostertag présente depuis plusieurs jours une dyspnée en péjoration avec augmentation de la toux et des expectorations. Au status, la patiente est afébrile et présente des sibilances sur l'ensemble des plages pulmonaires. Une radiographie de thorax ne montre pas de foyer. Une exacerbation de BPCO est retenue et un traitement par aérosols, Augmentin et Prednisone sur 5 jours est introduit. Les hémocultures et les expectorations reviennent négatives. La patiente montre une bonne évolution clinique sur le plan respiratoire. Des fonctions pulmonaires devraient être effectuées à distance. Au vu de la bonne évolution clinique, Mme. Ostertag rentre à domicile le 08.01.2019. Patiente de 75 ans, connue pour une BPCO de stade IV selon GOLD sur tabagisme ancien à 54 UPA, arrêté en janvier 2017, oxygéno-dépendante 24h/24 à 1.5 l/min au repos et 2 l/min à l'effort (qu'elle gère elle-même), amenée aux urgences par l'ambulance pour une dyspnée majorée avec désaturation (79%) et état fébrile à 38°C le matin du 27.12.2018. Mme. Bruttin décrit une péjoration de sa dyspnée depuis le 24.12.2018, associée à une toux avec expectorations jaunâtres. A noter une antibiothérapie par Rocéphine 1 g instaurée le 25.12.2018 pour une suspicion de décompensation de BPCO d'origine infectieuse, avec une dernière dose ce matin, ainsi qu'un traitement de Lasix, avec une prise pondérale de 4 kg depuis l'arrêt fin novembre. A l'anamnèse, la patiente décrit la persistance d'une asthénie et une perte de force depuis le premier épisode infectieux du début décembre 2018. Sous aérosols d'Atrovent et de Ventolin administrés par les ambulanciers, la saturation est remontée à 98% sous 4 l d'O2/min. A l'admission aux urgences, patiente hypertendue à 198/94 mmHg, normocarde à 99 bpm, avec une saturation à 91% sous 2 l d'O2 aux lunettes, fébrile à 38.2°C. Du point de vue cardiaque, les bruits sont réguliers, sans souffle ausculté. Pas de signe de décompensation cardiaque gauche ou droite. A l'auscultation pulmonaire, patiente eupnéique à 16/min, signes de détresse respiratoire avec tirage intercostal. Hypoventilation diffuse avec sibilances expiratoires diffuses. Le reste de l'examen clinique est dans la norme. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 69 mg/l, sans leucocytose. La gazométrie artérielle montre une acidose respiratoire avec un pH à 7.31 et une hypercapnie à 9 kPa sans hypoxie sous 2 l d'O2 aux lunettes. L'ECG montre un rythme sinusal régulier à 80 bpm, sans anomalie. La radiographie thoracique montre une désorganisation de la trame broncho-vasculaire compatible avec un emphysème, et l'on visualise de multiples épaississements bronchiques mais pas d'image nette de foyer pulmonaire, ni d'épanchement pleural en tenant compte de la position couchée. Suite aux résultats de la gazométrie avec une acidose respiratoire hypercapnique, nous effectuons deux séances de VNI d'une heure chacune aux urgences, avec une diminution de la pCO2 à 8 kPa. La patiente reçoit également des aérosols d'Atrovent et de Ventolin, avec amélioration de la dyspnée et de la saturation. Vu la suspicion clinique de foyer pulmonaire basal droit, une antibiothérapie par Rocéphine et Klacid est débutée pour un total de 7 jours. La patiente est hospitalisée en médecine, avec mise en place de physiothérapie respiratoire qui améliore favorablement la clinique. Les antigènes urinaires revenant négatifs, nous stoppons le Klacid le 28.12.2018. Les hémocultures reviennent également négatives à 5 jours. Vu le contexte de décompensation de BPCO avec une importante composante spastique, nous débutons une corticothérapie par Prednisone 40 mg/jour le 27.12.2018, avec schéma dégressif dès le 04.01.2019. A noter la mise en évidence d'une hypertension aux urgences, normalisée après la prise d'un cpr d'Adalat 30 mg. Durant le séjour, le profil tensionnel est totalement rassurant, raison pour laquelle nous ne débutons pas de traitement antihypertenseur. Au vu d'une évolution clinique et biologique favorable, Mme. Bruttin peut retourner au foyer le 07.01.2019. Nous conseillons un contrôle clinique d'ici la fin de la semaine. Patiente de 75 ans nous est adressée par Dr. X pour un bilan préopératoire pour une strumectomie avec une échocardiographie de stress positive. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne monotronculaire avec une sténose significative de l'IVA proximale au niveau de la bifurcation avec la première diagonale. La fonction d'éjection ventriculaire gauche est conservée (FEVG 55-60%). La patiente bénéficie d'une implantation d'un stent actif dans l'IVA proximal avec un traitement par kissing-balloon ensuite avec un bon résultat final. Un traitement par double antiagrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté ainsi qu'un traitement par Atorvastatin 40 mg/j. Le reste du traitement reste inchangé. Concernant l'opération, possibilité de faire une pause de la double antiagrégation après 1 mois avec pause de l'Efient 1 semaine avant l'opération et reprise dès que possible selon l'évolution postopératoire. Nous recommandons de poursuivre le traitement par Aspirine 100 mg/j et statine périopératoire. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 1 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. La patiente rentre le 12.01.2019 à domicile. Patiente de 75 ans, qui est réadmise aux soins intensifs le 29.01.2019 pour une insuffisance respiratoire globale aiguë secondaire à un épanchement pleural droit massif avec atélectasie secondaire. La patiente est transférée de Billens où elle séjourne depuis le 28.01.2019 en raison d'une dyspnée de stade IV en aggravation rapide. Un US pleural ciblé effectué aux urgences met en évidence un épanchement pleural droit significatif. La patiente étant sous Sintrom dans un contexte de fibrillation auriculaire chronique, elle nous est adressée pour VNI et suite de prise en charge. L'épanchement pleural droit est drainé sans complication le 30.01.2019, avec une excellente réponse clinique. Celui-ci est attribué à une composante de décompensation cardiaque gauche dans un contexte d'hypoxémie chronique et de dysfonction diastolique. Des analyses cytologiques en cours sont à suivre. L'anticoagulation thérapeutique est reprise dès le 30.01.2019 après contrôle par ultrason pleural et radiographie du thorax post-drainage. Les bétabloqueurs sont majorés dans l'intervalle en raison de profils tensionnels discrètement élevés, avec une bonne tolérance clinique. Compte tenu des comorbidités majeures, nous vous proposons de rediscuter de l'attitude globale avec la patiente, ses proches et le médecin traitant et le pneumologue traitant avant la sortie des soins aigus. Patiente de 75 ans qui nous est adressée par Dr. X en raison d'une suspicion de maladie de Horton. Dr. X a déjà pris contact avec l'ophtalmologie de garde qui souhaite un bilan biologique du syndrome inflammatoire, raison pour laquelle Dr. X nous l'adresse. A savoir que celui-ci a déjà prescrit un traitement de Prednisone de 75 mg à prendre ce soir si le laboratoire est positif. L'ophtalmologie est d'accord avec cette prise en charge. Au bilan biologique effectué par nos soins, nous observons un syndrome inflammatoire avec une CRP à 50 mg/l ainsi qu'une vitesse de sédimentation augmentée à 88 mm/h. Nous communiquons ces résultats à l'ophtalmologue de garde qui nous confirme qu'il faut débuter le traitement prescrit par Dr. X. La patiente a rendez-vous demain à 10H00 dans le service d'ophtalmologie.Nous donnons aux urgences les 75 mg de Prednisone prescrits et laissons rentrer la patiente à domicile. Patiente de 76 ans, admise aux soins intensifs le 18.01.2019 en post-opératoire immédiat d'une laryngectomie avec évidement cervical bilatéral et trachéotomie pour des lésions néoplasiques qui s'étendent de la corde vocale gauche. Pour rappel, elle est hospitalisée depuis le 11.01.2019 pour saignement post-panendoscopie le 07.01.2019. Cette intervention avait été réalisée dans le cadre d'investigations d'une dysphonie, avec mise en évidence d'une masse laryngée en décembre 2018. Durant son séjour dans notre service, l'héparine à visée thérapeutique est reprise progressivement, sans complication hémorragique objectivée. Un nouveau contrôle de l'anti-Xa et de l'hémoglobine est prévu pour le 20.1.2019. L'antalgie est bien contrôlée sous opiacés à faibles doses en réserve. A relever une anamnèse de nausées sous Dafalgan, qui n'est dès lors pas introduit. Patiente de 76 ans admise en réadaptation gériatrique après avoir séjourné préalablement en gériatrie aiguë suite à un AVC ischémique sylvien pris en charge à l'HFR Fribourg et l'Inselspital de Berne. La patiente est également connue pour une décompensation cardiaque et une fibrillation auriculaire anticoagulée depuis le 18.12.2018. Rappelons au niveau social que Mme. Y vit dans une maison avec son mari, dans laquelle ne se trouve pas d'escalier d'accès ni de seuil. Eux deux habitent au rez-de-chaussée et leur fille au premier étage. Le couple est autonome et indépendant, sans soins à domicile. Le mari conduit, et ensemble ils faisaient les courses. De son côté, Mme. Y fait le ménage, la lessive et la cuisine. Elle est toutefois peu active et reste tranquille au domicile, marchant sans moyen auxiliaire. Sur le plan mictionnel, nous diagnostiquons une incontinence urinaire nouvelle après accident vasculaire cérébral. Dans le but de bilanter la situation, nous effectuons un sédiment, un bladder scan post-mictionnel et un urotube le 28.12.2018 qui reviennent tous dans la norme. Par la suite, nous réalisons une grille mictionnelle révélant des mictions fréquentes (treize sur 24 heures) et ne dépassant pas les 200 ml. Nous débutons pour cette raison un traitement de Betmiga retard 25 mg le 03.01.2019. Un bilan vitaminique effectué le 21.12.2018 lors de l'hospitalisation en gériatrie aiguë montrait une hypovitaminose D à 31 nmol/l. Nous débutons par conséquent une substitution par 24'000 UI hebdomadaire le 04.01.2019. Sur le plan orthopédique, nous retirons les fils au niveau de la cyphoplastie T11 à 14 jours comme prévu (le 29.12.2018) sur une plaie calme et propre, sans signe infectieux. Au niveau des douleurs, nous arrêtons le traitement d'opiacés le 03.01.2019 chez une patiente non algique. Mme. Y présente un risque de chute, avec des chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Nous retenons en particulier un status après AVC ischémique sylvien le 12.12.2018. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 28.12.2018 objectivent des performances altérées avec un MMS à 30/30 et un test de la montre à 6/7. Une échelle de dépression gériatrique est mesurée à 4/15. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A la sortie, son périmètre de marche accompagnée et sans moyen auxiliaire est de 120 mètres. La patiente est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 105/126, contre 72/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 5/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 20.75 secondes sans moyen auxiliaire. Au niveau nutritionnel, la patiente bénéficie d'une poursuite de son suivi entamé en gériatrie aiguë. Celui-ci constate un poids stable ainsi qu'un bon appétit, avec ingestion quotidienne de 75 % des besoins protéino-énergétiques. Le NRS s'élève à 4/7. Au niveau ergothérapeutique, la patiente présente des difficultés lors de la mise en marche et bénéficie de conseils afin de l'aider au domicile. En raison de sa bonne évolution clinique, Mme. Y quitte notre service le 09.01.2019 en bon état général et sans aide de soins à domicile. Patiente de 76 ans, admise en Stroke unit monitorée le 28.01.2019 en raison d'une suspicion d'AIT. Elle est initialement amenée en ambulance aux urgences après un épisode de vertige et de troubles phasiques d'une durée de moins d'une heure. Le CT-scan d'entrée ne met pas en évidence de signe d'ischémie ou d'hémorragie aiguës. Des lésions artériosclérotiques généralisées sont observées au niveau des vaisseaux pré-cérébraux. Elle nous est alors adressée pour suite de prise en charge. L'évolution est simple, sans récidive de symptômes ni signe neurologique. Le NIHSS reste à 0 tout au long du séjour. Dans ce contexte et compte tenu d'une claustrophobie, nous renonçons à une IRM de suivi, d'entente avec les neurologues. L'aspirine est remplacée par le Clopidogrel et le traitement hypolipémiant est majoré. Une fibrillation auriculaire paroxystique est également décrite depuis 2015. La patiente reste en rythme sinusal tout au long du séjour. Une anticoagulation thérapeutique est à discuter en fonction de l'évolution clinique et du bilan cardiologique en cours (ETT et Holter). La patiente présente des selles diarrhéiques à raison de 3-4 x/j depuis près de 72 heures, sans autres symptômes digestifs. D'entente avec l'UPCI, nous renonçons à la recherche de Norovirus faute de symptômes typiques. Seul un traitement symptomatique est préconisé à ce stade, avec éviction du lactose. Patiente de 76 ans, connue pour démence d'Alzheimer et précédemment hospitalisée dans le service de gériatrie aiguë en raison d'une pneumonie d'aspiration. Le 27.12.2018, Mme. Y est prise en charge dans notre service de réadaptation gériatrique, au vu d'un déconditionnement important et de troubles de la marche. Durant ce séjour, la situation clinique est stable et ne nécessite pas de bilan biologique. Rappelons que Mme. Y vit avec son mari dans une maison avec escaliers pour monter à l'étage où se trouve leur chambre. Jusqu'à présent, la patiente réalisait les escaliers accompagnée de son mari et marchait sans moyen auxiliaire. Cette dernière bénéficiait du passage des soins à domicile deux fois par semaine pour la douche, le mari s'occupant de tout le reste. Le couple a un fils unique, très présent. La patiente présente des chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Nous retenons en particulier un syndrome de type parkinsonien, avec rigidité posturale et tonicité musculaire augmentée, pour lequel nous augmentons le dosage du Madopar à 4 prises journalières, ce qui est bien toléré par la patiente. Sur le plan cognitif, au vu du stade avancé de sa maladie d'Alzheimer, des tests de dépistage sont irréalisables. En regard du profil tensionnel, nous stoppons la médication par Co-Valsartan. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche accompagnée, à l'aide d'un appui sur son mari et d'un physiothérapeute présent pour aider à la mise en charge, est de 100 mètres avec deux pauses. L'équilibre est précaire et la patiente nécessite deux personnes lors de sa mobilisation étant donné ses importantes difficultés à avancer la jambe gauche (pas de transfert de poids, chevilles spastiques). La patiente nécessite également de l'aide pour tous les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 20/126, identique à celle à l'entrée. (MIF physio : transferts à 1/7, marche à 1/7, escaliers à 1/7). Le TUG n'est pas réalisable. Le risque de chute est élevé.Au niveau nutritionnel, la patiente présente une malnutrition protéino-énergétique légère, en lien avec une incapacité à s'alimenter suffisamment (troubles neurologiques), et démontrée par un NRS à 3/7 et des apports couvrant 60% des besoins énergétiques totaux. De plus, la patiente présente des troubles de la déglutition avec risque de fausses routes, raison pour laquelle nous instaurons une alimentation mixée-lisse. Mme. Y bénéficie d'un bilan modulaire d'ergothérapie afin d'évaluer son autonomie dans les activités de la vie quotidienne. Il n'y a pas d'évolution observable au niveau de la mobilité et de la compréhension depuis le 21.12.2018 en ergothérapie. La patiente est capable d'imiter les gestes simples. Les transferts sont possibles avec une personne et une aide technique. Après discussion avec Mr. Y et Mr. Y, ces derniers préfèrent refaire un essai de retour à domicile avec mise en place de moyens au domicile ; ceci malgré notre insistance en faveur d'un placement étant donné la presque totale dépendance de la patiente. Dans l'attente de cette mise en place au domicile, nous reclassons la patiente ce 09.01.2019 et Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Le 18.01.2019, la patiente quittera finalement notre service, avec organisation du passage des soins à domicile 1x/jour pour la mise en route. Patiente de 76 ans connue pour un carcinome épidermoïde du plancher buccal latéral gauche, classé pT1 G1-2 LV0 Pn0 R1 uN0/cN2a cM0, pour lequel nous effectuons le 19.12.2018 une tumorectomie et fermeture par glissement de la muqueuse adjacente. L'intervention se déroule sans complication per-opératoire. Dans le même temps, une PEG est mise en place par les gastroentérologues. Dans les suites, la patiente présente des douleurs abdominales motivant un bilan radiologique qui révèle une laxité de la PEG, dont les tentatives de fixations s'avèrent infructueuses. Un péritonisme s'installe en raison de fuites autour de la PEG avec formation d'un abcès de la paroi abdominale. La patiente bénéficie d'une antibiothérapie, initialement par Ceftriaxone et Metronidazole puis par Tazobac, mais persistance de la symptomatologie avec nécessité d'une laparoscopie exploratrice en urgence le 21.12.2018 afin d'effectuer un rinçage abondant avec fixation de la PEG à la paroi. Dans les suites de la laparoscopie, Mme. Y est hospitalisée aux Soins Intensifs du 23.12.2018 au 25.12.2018 pour un pic hypertensif avec une gastroparésie post-opératoire. L'hypertension est gérée dans un premier temps par Trandate avec un switch par une triple thérapie antihypertensive par la PEG, après l'accord des chirurgiens. Le 28.12.2018, la patiente présente une anurie suite à une insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine rénale sur probable nécrose tubulaire aiguë (dans le cadre d'une hypotension artérielle sur traitement anti-hypertenseur agressif). Tous traitements anti-hypertenseurs stoppés, la patiente reprend une diurèse normale et la fonction rénale aux contrôles laboratoires se normalise. Un contrôle chez le médecin traitant est proposé le 05.01.2019. La patiente peut donc rentrer à domicile le 31.12.2018. Patiente de 76 ans, connue pour une démence de type Alzheimer et traitée depuis une semaine par Bactrim pour une infection urinaire basse. La patiente présente un état fébrile, avec inappétence et baisse d'état général. À l'hétéroanamnèse, nous rapportons une hypoactivité progressive jusqu'à un mutisme à l'arrivée aux urgences. Au status aux urgences, chez une patiente subfébrile sous paracétamol intraveineux, nous constatons une hypoventilation aux deux bases mais une auscultation propre aux apex. Les examens cardiaques et abdominaux sont dans la norme, les pupilles sont isochores et isoréactives. Le reste de l'examen clinique est dans la norme. Un bilan biologique aux urgences révèle un important syndrome inflammatoire avec une CRP à 241 mg/l et une leucocytose à 18.7 G/l. Nous diagnostiquons également une hypernatrémie à 148 mmol/l pour laquelle nous débutons une hydratation intraveineuse. L'hypernatrémie s'inscrit dans le cadre d'une déshydratation pour laquelle, en plus de l'hydratation, nous stoppons temporairement les traitements péjorant la situation. Concernant le syndrome inflammatoire, nous débutons une thérapie de Rocéphine 2 g/j le 08.12.2018 qui sera stoppée le 10.12.2018. Nous relevons une péjoration du syndrome inflammatoire à 320 mg/l de CRP au laboratoire du 09.12.2018. Des troubles de la déglutition sont objectivés chez la patiente. Nous diagnostiquons une broncho-aspiration le 10.12.2018 et modifions en conséquence le traitement antibiotique en ajoutant de la Co-Amoxicilline 625 mg 3x/j du 10.12.2018 au 18.12.2018 y compris. Nous obtenons une bonne réponse biologique et clinique avec normalisation des valeurs de laboratoire durant le séjour. Un sédiment urinaire effectué aux urgences montre la présence de nitrites et de leucocytes dans les urines. Un urotube prélevé aux urgences reviendra négatif. Les hémocultures reviendront également négatives à 5 jours. Un bilan vitaminique effectué le 09.12.2018 signale une vitamine D à 15 nmol/l et une vitamine B9 à 3.8 ng/ml pour lesquelles nous débutons une substitution orale. Le 10.12.2018, nous diagnostiquons également une hypokaliémie à 3.2 mmol/l et instaurons une substitution ainsi qu'un suivi biologique. Mme. Y présente un risque de chute, avec des chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Nous retenons en particulier une démence de type Alzheimer avancée ainsi qu'un syndrome extrapyramidal avec rigidité posturale. Toutefois, tenant compte de la maladie d'Alzheimer, nous n'avons pas effectué d'investigation supplémentaire. Durant son séjour, la patiente effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche accompagnée de deux personnes et à l'aide d'un déambulateur est de 40 mètres. Mme. Y ne peut pas gravir d'escalier, même avec accompagnement. Elle nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 24/126, par rapport à 19/126 à l'entrée. Au niveau nutritionnel, Mme. Y bénéficie d'un suivi qui met en avant une malnutrition protéino-énergétique légère, en lien avec une incapacité à s'alimenter suffisamment, et démontrée par des ingestas couvrant au maximum 60% de ses besoins énergétiques théoriques ainsi qu'un NRS à 3/7. Durant le séjour, grâce à une amélioration de sa clinique, la patiente peut augmenter ses apports et présente un poids stable par la suite. Au vu de la bonne évolution clinique et de la marge de progression encore importante, nous transférons la patiente en réadaptation gériatrique sur le site de Riaz le 27.12.2018. Patiente de 76 ans connue pour une FA anticoagulée qui a bénéficié d'une panendoscopie ce 07.01.2019 avec biopsies au niveau laryngé à gauche. En post-opératoire immédiat, elle présente une dyspnée associée à un stridor résolu lorsqu'elle monte à l'étage mais avec persistance d'une gêne pharyngée associée à des filets de sang sur œdème et saignement post-biopsie laryngée. La patiente reste donc hospitalisée pour surveillance et bénéficie d'aérosols d'Adrénaline associés à des bains de bouche de Dycinone qui permettent de résoudre les difficultés respiratoires ainsi que les saignements permettant un retour à domicile le 08.01.2019.Patiente de 76 ans, connue pour une insuffisance rénale chronique stade IV, diabète sous insuline, cardiopathie d'origine ischémique, rythmique et valvulaire, fibromyalgie sous Prednisone, et syndrome des apnées du sommeil appareillé, et qui était ce jour admise en gériatrie aiguë pour surinfection d'un hématome au niveau de la fesse droite. Pour rappel, Mme. Y séjournait en réadaptation gériatrique HFR Riaz à partir du 11.01.2019 (lettre n°1) suite à une hospitalisation en médecine HFR Riaz du 02.01.2019 au 11.01.2019. En effet, la patiente avait chuté le 28.12.2018 avec réception sur la fesse droite, ce qui l'avait conduite à son hospitalisation 5 jours plus tard, et durant laquelle une radiographie avait permis d'exclure une fracture. Toutefois, depuis lors, la patiente présente un syndrome inflammatoire avec une CRP montée jusqu'à 450mg/l le 05.01.2019, avec une leucocytose associée, toutes deux résolues suite à l'administration de la Rocéphine du 04.01.2019 au 11.01.2019. À noter que la patiente n'a jamais eu de plaintes ni de fièvre ( hormis un état fébrile à 38°C le 17.01.2019), mais seulement une douleur constante au niveau de la fesse droite. Malgré tout, depuis l'arrêt de la Rocéphine le 11.01.2019, la CRP remonte à 190mg/l et les leucocytes à 18G/l le 17.01.2019 durant le séjour en réadaptation gériatrique, avec toujours des douleurs et un hématome à la fesse droite. Une ultrasonographie réalisée le 16.01.2019 constate un important hématome avec du liquide hyperéchogène motivant la ponction de l'hématome le 17.01.2019 de laquelle revient un liquide purulent qui est envoyé en cultures. Des hémocultures à froid sont également envoyées et la patiente est mise sous Co-Amoxicilline 1.2g 4x/j malgré la fonction rénale, selon l'avis infectiologique de Dr. X. Après discussion avec Dr. X, orthopédiste, nous demandons un CT pelvien avec extension aux 2 cuisses afin d'évaluer l'extension de l'hématome. Le 18.01.2019, la culture du liquide ponctionné indique la présence d'un germe Cocchi Gram +, encore à identifier. Après discussion avec Dr. X, il est convenu d'un drainage de l'hématome par les orthopédistes. Nous discutons donc avec Dr. X et, étant donné le manque de disponibilité au bloc opératoire cet après-midi encore à l'HFR Riaz, et vu les comorbidités de la patiente, un transfert dans le service d'orthopédie HFR Fribourg est organisé le jour même. Nous prenons contact avec Dr. X et Mme. Y est alors transférée en orthopédie HFR Fribourg pour la suite de sa prise en charge. La patiente est à jeun depuis ce matin (les glycémies sont à contrôler). Un bilan biologique avec crase a été envoyé au départ de la patiente. La dernière dose d'Eliquis a eu lieu le 16.01.19 au soir. Patiente de 76 ans qui revient pour une cholangio-IRM qui met en évidence des calculs dans le bas cholédoque. Une indication pour ERCP est donnée par Dr. X, chirurgien. La patiente sera recontactée pour la date et sera suivie par Dr. X par la suite pour une cholécystectomie à distance. Patiente de 76 ans, se présente au service des urgences pour une baisse de l'état général depuis trois jours, dans un contexte de dyspnée et de toux. En raison d'une prothèse de genou récente, un CT thoracique est effectué, permettant d'exclure une embolie pulmonaire. Il révèle toutefois des infiltrats en verre dépoli avec nodules infracentimétriques centro-lobulaires bilatéraux. Mme. Y nous est donc adressée pour des investigations. Le frottis met en évidence une grippe pour laquelle nous instaurons un traitement de Tamiflu malgré une symptomatologie depuis plus de 48h au vu de la suspicion d'une pneumopathie interstitielle sous-jacente. Après analyse du CT thoracique par nos pneumologues, l'imagerie pourrait être compatible avec certaines formes d'infections à Influenza A, aucune investigation supplémentaire n'est donc effectuée dans l'immédiat. Ne pouvant exclure une pneumopathie interstitielle d'hypersensibilité, un contrôle par CT thoracique est à prévoir dans 6 semaines. En cas de persistance des nodules ou de la symptomatologie pulmonaire, une consultation auprès du pneumologue traitant est à prévoir. L'évolution clinique est favorable, avec une rémission de la dyspnée. Dans le contexte de la grippe à Influenza Virus, nous objectivons une hyponatrémie hypoosmolaire, probablement imputable à un SIADH. Un laboratoire de contrôle montre une bonne amélioration de sa natrémie, si bien que la restriction hydrique peut être levée à partir du 15.01.2019. Un contrôle est à prévoir à distance de l'épisode infectieux. Par ailleurs, nous objectivons une anémie normocytaire normochrome hyporégénérative, possiblement dans le contexte de la gammapathie sous-jacente. Nous laissons le soin de poursuivre le suivi aux 6 mois instauré dans le contexte de cette pathologie. L'évolution étant favorable, Mme. Y rentre à son domicile le 18.01.2019. Patiente de 77 ans admise aux soins intensifs pour une surveillance neurologique en stroke unit monitorée suite à un accident vasculaire transitoire. La patiente présente une aphasie motrice isolée (type de Broca) à deux reprises avec une résolution spontanée complète des symptômes. Considérant un possible événement vasculaire récidivant, la patiente bénéficie d'un angio-CT qui révèle une asymétrie du calibre des artères cérébrales moyennes en défaveur de la gauche, sans sténose focale. L'IRM ne révèle pas de lésion constituée. Le bilan étiologique ne met pas en évidence de source cardio-embolique ni artério-artérielle. Une double antiagrégation est introduite et est à poursuivre pendant un mois. Nous proposons de remplacer l'aspirine par le Clopidogrel au long cours. L'atorvastatine à haute dose est également à poursuivre un mois avec diminution de la dose par la suite. Comme facteur de risque, nous retenons un diabète de type 2, une hypertension artérielle et un antécédent d'AVC chez la mère de la patiente. Nous ne préconisons pas de suivi neurologique supplémentaire. La patiente est invitée à reconsulter en cas de récidive des symptômes. Le diabète est actuellement mal contrôlé avec une hémoglobine glyquée à 8.4%. La patiente avoue une compliance moyenne avec l'insuline Levemir, notamment en raison de l'utilisation difficile du stylo d'injection. Nous remplaçons l'insuline lente par de la Lantus et débutons à dose réduite. La patiente souhaitant rentrer précocement à domicile, nous prévoyons un schéma de correction avec de l'Humalog (sous supervision de son époux qui est diabétique et était présent à la discussion avant la sortie de la patiente) et insistons pour que la patiente consulte son médecin traitant dès que possible pour poursuivre l'adaptation de l'insulinothérapie. La metformine est à poursuivre aux mêmes doses, compte tenu de la cirrhose hépatique. L'insuffisance rénale a été contrôlée en ambulatoire. La patiente quitte notre service afin de se rendre à domicile le 05.01.2019. Patiente de 77 ans, connue pour une fibrillation auriculaire et une récente fracture T12, admise pour une réadaptation gériatrique dans un contexte de décompensation cardiaque sur probable fibrillation auriculaire rapide. Pour rappel, Mme. Y devait se faire opérer de sa fracture T12, mais cela a été annulé en raison de sa décompensation cardiaque l'ayant amenée à se faire hospitaliser en médecine HFR Riaz du 26.11.2018 au 30.11.2018. Sur le plan social, Mme. Y vit avec son époux dans une maison à deux étages, avec 12 marches d'escaliers.A l'examen clinique d'admission, et au status cardiovasculaire, notons l'absence d'oedème, et un B1 et B2 bien frappés, irréguliers. Sur le plan ostéoarticulaire, relevons des douleurs à la palpation paravertébrale thoraco-lombaire (T12-L1). Le reste du status est non contributif. Sur le plan cardiologique, nous adaptons le traitement en augmentant de manière transitoire les traitements diurétiques. Nous adaptons également l'anticoagulation orale à la fonction rénale, avec mise en place de l'Eliquis, que nous vous invitons à réévaluer à distance. Sur le plan néphrologique, remarquons une insuffisance rénale aiguë AKIN I prérénale, avec une créatinine à 132µmol/l le 13.12.2018 ainsi que des déséquilibres électrolytiques, que nous substituons. Nous adaptons également la médication diurétique majorée en début de séjour, puis diminuée en raison de l'insuffisance rénale. Finalement, nous maintenons 5mg de Torasémide à la sortie. Nous vous laissons le soin de réévaluer ce traitement à distance. Sur le plan ostéoarticulaire, nous adaptons l'antalgie par paliers. Selon l'avis de la Spine Team, nous continuons un traitement conservateur. En outre, nous organisons une IRM de la colonne lombaire le 27.12.2018 à 10h30 en raison de cruralgies bilatérales prédominantes à gauche, apparues nouvellement. Cette imagerie, effectuée après la sortie de la patiente de notre service, mettra en évidence la progression d'un tassement de L2 avec aspect de vertebra plana, ainsi qu'un net recul du mur postérieur avec conflit radiculaire L2 des deux côtés contre les massifs articulaires, pouvant être à l'origine des douleurs de la patiente. Sur le plan psychique, notons la présence d'un état anxio-dépressif avec une thymie basse, des angoisses s'accentuant en soirée et approchant la date de sortie. Dans ce contexte, nous adaptons le traitement anti-dépresseur avec la mise en place d'Escitalopram, moins cardiotoxique, avec une majoration de la dose à 10mg. Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche seule et à l'aide d'un rollator est de 200 mètres. La patiente peut gravir 9 marches sans accompagnement. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 93/126, par rapport à 80/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 4/7). Le TUG est à 20.01 secondes avec rollator. Durant son séjour, la patiente bénéficie d'un suivi nutritionnel qui constate une malnutrition protéino-énergétique sévère en lien avec une inappétence sur douleur, et démontrée par un NRS à 5/7, une perte pondérale de 10% en 2 mois et des ingesta diminués à 50% en moyenne depuis 2 mois. En vue du retour à domicile, un enseignement est réalisé afin d'améliorer la qualité des soupers consommés, et de sensibiliser à la dénutrition et ses impacts. Pour le domicile, nous recommandons un suivi du poids et de la prise du supplément nutritif oral 1x/jour. Mme. Y bénéficie également d'un suivi d'ergothérapie principalement axé sur les activités de la vie quotidienne. Au vu de la bonne évolution, nous organisons un retour à domicile le 24.12.2018 avec mise en place de soins à domicile deux fois par jour. Patiente de 77 ans, nous est adressée par les urgences pour un angor instable. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une sténose de la CX moyenne, qui a été traitée par un stenting direct avec un bon résultat. L'IVA présente une sténose in-stent proximale de 50% avec une FFR à la limite de la norme. Nous proposons une thérapie conservatrice de celle-ci avec une ergométrie dans 6 mois. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Plavix 75 mg 1-0-0 pour 12 mois est débuté ainsi qu'un traitement par Crestor 20 mg/j. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 6 mois. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. La patiente rentre le 22.01.2019 à domicile. Patiente de 79 ans, admise aux soins intensifs le 14.01.2019 en post-opératoire d'une thrombo-endartérectomie de l'artère carotide interne gauche. Pour rappel, la patiente est hospitalisée le 10.01.2019 pour un AIT sylvien gauche. Le bilan étiologique met en évidence une sténose serrée de l'artère carotide interne gauche. Un traitement anti-agrégant plaquettaire par Aspirine et Clopidogrel est débuté et la patiente est opérée le 14.01.2019 avec une TEA de l'artère carotide interne gauche. Aucune complication per-opératoire n'est signalée et la patiente est transférée aux soins intensifs pour suite de prise en charge. A l'arrivée aux soins intensifs, la patiente est asymptomatique et sans douleurs. L'examen neurologique est sans particularité avec un GCS à 15/15 et un NIHSS à 0 points. Le status local montre une cicatrice cervicale calme. Quelques heures après son admission, elle développe un hématome en regard de la cicatrice de TEA motivant une reprise au bloc opératoire pour une évacuation de ce dernier. La réévaluation postopératoire montre un œdème du côté gauche, sans répercussion respiratoire, ORL ou encore hémodynamique. L'hémoglobine est stable sous administration d'aspirine et héparine 5000 UIE/24h. Sur avis chirurgical, le Plavix est suspendu. Au moment du transfert, la patiente est calme, collaborante, orientée aux 3 modes. Les pupilles sont isocores et isoréactives et nous n'objectivons pas de déficit neurologique focal. Les profils tensionnels sont restés dans la cible tout au long du séjour. Patiente de 79 ans, admise en réadaptation gériatrique après un séjour en gériatrie aiguë au HFR de Riaz du 10.11.2018 au 27.11.2018 (cf lettre n°1). Mme. Y présentait des lombo-sciatalgies en péjoration avec décompensation de l'articulation sacro-iliaque gauche, chez cette patiente connue pour une spondylarthrose sévère, ainsi qu'une myélographie dorso-lombaire fonctionnelle et myélo-CT dorso-lombaire, CT sacrum et bassin du 30.10.2018 (Centre d'imagerie médicale de Fribourg) remarquant une sténose serrée du canal central à l'étage L3/L4, de multiples bulging discs à tous les niveaux entre L1 et S1 ainsi qu'à l'étage D11/D12, et enfin une sténose serrée à la sortie du tour de conjugaison L5/S1 à gauche. Le but de notre prise en charge en réadaptation gériatrique ce jour est d'améliorer le confort de la patiente en adaptant le traitement antalgique de façon concomitante avec une prise en charge pluridisciplinaire. Durant sa réadaptation, remarquons qu'en date du 02.12.2018 vers 16h, Mme. Y perd les ustensiles de cuisine sur perte de contrôle du membre supérieur gauche et réfère une difficulté d'élocution ainsi qu'un sentiment de tête vide, et une grande asthénie. A l'examen neurologique, Mme. Y demeure orientée, mais présente une asymétrie faciale du côté gauche, une perte de force, un discours bredouillant et une force diminuée des membres de l'hémicorps gauche. Nous concluons alors à un hémisyndrome gauche. A noter que l'examen est biaisé par l'antalgie utilisée (morphine) ainsi que l'état physique de la patiente au vu des diagnostics susmentionnés. La situation est alors discutée avec Dr. X (médecin chef du service de gériatrie HFR Riaz), Dr. X (neurologue de garde) ainsi que le radiologue de garde de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal, et un transfert est décidé le 02.12.2018 pour les urgences de l'HFR Fribourg afin d'exclure un accident vasculaire cérébral par des investigations nécessaires. Patiente de 79 ans, connue pour une anémie chronique sur probable saignement grêle et une paraplégie complète au niveau sensitif L2 et moteur L1 à droite, niveau sensitivo-moteur D11 à gauche avec zone de préservation partielle motrice de L2 des deux côtés, sensitive au niveau L3 à droite et D12 à gauche après une lésion destructrice suite à un tir de fusil de chasse dans la zone lombaire en novembre 2009, qui présente depuis une semaine une dyspnée en majoration. La patiente décrit une soif. Elle ne présente pas de toux, pas de douleur thoracique ni rétrosternale, pas d'orthopnée ni de dyspnée paroxystique nocturne. Oedèmes aux membres inférieurs majorés depuis quelques jours.A noter que Mme. Y est actuellement sous un traitement de Co-amoxicilline 1 g • 2 x/jour, pour une durée de 7 jours, au vu d'une pneumonie, sans état fébrile objectivé. A l'examen clinique d'entrée, présence d'un murmure vésiculaire symétrique et de crépitants bi-basaux avec une hypoventilation diffuse. A l'auscultation cardiaque, souffle systolique 3/6 audible aux 4 quadrants. Oedèmes aux membres inférieurs jusqu'en dessus des genoux, prenant le godet. Au status digestif, les bruits sont normaux en fréquence et en intensité. Pas de douleur à la palpation abdominale, pas de défense ni de détente. Sur le plan neurologique, chute labiale gauche réductible lors de la mobilisation active, déjà connue, pupilles en myosis réactif, reste des nerfs crâniens sans particularité. Barré tenu, force aux membres supérieurs à M5, pas de dysmétrie des membres supérieurs, pas de trouble sensitivo-moteur, réflexes ostéotendineux normo-vifs symétriques. Le bilan biologique montre une hémoglobine à 55 g/l, des leucocytes à 7,4 G/l, une glycémie à 6,2 mmol/l. Un bilan d'anémie avec réticulocytes, acide folique, vitamine B12 et ferritine est demandé. La radiographie du thorax montre une opacité diffuse. La patiente bénéficie de deux culots érythrocytaires et de Lasix 10 mg iv. L'hémoglobine remonte à 83 g/l. Le 04.01.2019, une oesogastroduodénoscopie sous Dormicum est pratiquée par Dr. X, qui montre une oesophagite de reflux de stade II à III avec ulcération dans l'oesophage distal, ainsi qu'une grande hernie hiatale et la suspicion d'une candidose oesophagienne. La patiente est mise sous Fluconazole 100 mg durant 5 jours et sous Nexium 40 mg. Malheureusement, après la réalisation de l'oesogastroduodénoscopie, la patiente présente une dyspnée aiguë avec une désaturation à 80% à l'air ambiant, qui remonte sous 4 l d'O2, associée à une hypertension artérielle à 200/150 mmHg. Elle bénéficie de 20 mg de Lasix en ordre unique, de Primperan et de Rocephin 2 g iv. La gazométrie montre une hypoxie avec une légère hypercapnie, avec une pCO2 à 6.6. La radiographie du thorax est superposable à celle de l'entrée. Nous mettons en place la VNI. Amélioration de la TA à 150/100 mmHg. Mme. Y est transférée aux soins intensifs de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour la suite de la prise en charge. Mme. Y, 79 ans, connue pour une hypothyroïdie substituée et une insuffisance cardiaque droite légère, consulte les urgences de l'HFR Riaz le 15.01.2019 envoyée par son médecin traitant en raison d'une suspicion de fibrillation auriculaire rapide avec état confusionnel présent depuis le matin. L'anamnèse avec la patiente n'est pas réalisable en raison d'une mauvaise compréhension de la langue. L'hétéro-anamnèse avec le fils relève une baisse d'état général depuis quelques jours avec état confusionnel aigu ce jour. La patiente aurait eu une sensation de vertiges et d'instabilité en se levant. Le fils décrit également de légères céphalées chez une patiente connue pour des maux de tête depuis de nombreuses années. Par ailleurs, ce dernier rapporte une pollakiurie et une dysurie ces derniers jours, avec un épisode de vomissement biliaire il y a 3 jours, une baisse d'appétit depuis quelques jours et une mauvaise prise médicamenteuse sur les deux derniers jours. Par contre, il n'y a pas eu de palpitation, pas de diarrhée ni de fièvre à domicile. Notons encore que Mme. Y n'a pas de dyspnée, pas de trouble digestif, pas de douleur thoracique ni de douleur abdominale. A l'examen clinique, Mme. Y présente un état général conservé avec une déshydratation légère, anictérique, acyanotique. Cette dernière est hypertendue avec une tendance à la tachycardie. L'examen cardiaque objective un rythme régulier avec des extrasystoles, sans souffle audible, et présence d'une turgescence jugulaire et de légers oedèmes des membres inférieurs. L'auscultation pulmonaire est symétrique et sans bruit surajouté. L'abdomen est souple et indolore avec des bruits normaux en tonalité et en fréquence, sans défense ni détente. Les loges rénales sont souples et indolores. Nous n'objectivons pas de signe de latéralisation ni de trouble sensitivo-moteur. L'ECG d'entrée indique un rythme de base sinusal. Au bilan biologique, nous constatons un syndrome inflammatoire avec une CRP à 67 mg/l, une leucocytose à 11.3 G/l, une insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 114 µmol/l et une hypokaliémie avec un potassium à 3 mmol/l. La TSH se trouve à 0.014 mU/l, raison pour laquelle nous dosons la T4 libre qui revient dans la norme. Un contrôle à la consultation du médecin traitant sera à faire dans 1 mois. Dans ce contexte, nous administrons une perfusion de NaCl 500 ml sur 2 heures avec poursuite d'une perfusion de 1000 ml sur 24 heures. En ce qui concerne l'hypokaliémie, nous substituons avec 30 mmol de KCl retard 2 fois par jour. La radiographie du thorax n'objective pas de foyer pulmonaire. Un sédiment est réalisé aux urgences et met en évidence une infection urinaire, raison pour laquelle nous envoyons un uricult, qui revient positif pour Staphylococcus lugdunensis : nous traitons donc la patiente par Rocéphine 2 g intraveineux pendant 4 jours. Mme. Y est hospitalisée en gériatrie aiguë HFR Riaz le jour même de son arrivée aux urgences, pour suite de sa prise en charge. Sur le plan social, signalons que Mme. Y est veuve et qu'elle vit dans un appartement avec son fils et sa belle-fille. Elle ne bénéficie pas de soins à domicile. Durant le séjour dans notre service, la patiente bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche sans moyen auxiliaire est libre. La patiente monte et descend 18 marches en sécurité. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 103/126, par rapport à 101/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 7/7, marche 7/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 14.45 secondes. Le laboratoire de contrôle du 18.01.2019 objective une bonne évolution biologique. Dans ce contexte, Mme. Y regagne son domicile le 19.01.2019. Mme. Y, 79 ans, consulte aux urgences le 03.01.19 pour un état fébrile avec frissons, des douleurs abdominales hautes en ceinture et des vomissements, au bénéfice d'un traitement de ciproxine depuis le 01.01.19 au soir (par Medhome) devant une suspicion clinique de pyélonéphrite. Au status, l'abdomen est diffusément douloureux, prédominant à gauche, sans péritonisme, avec des loges rénales sensibles à la percussion. Un CT abdominal est réalisé qui confirme la suspicion clinique de pyélonéphrite gauche, sans signes de complications. Une antibiothérapie par ceftriaxone est alors débutée le 03.01.19 avec relais per os par ciproxine le 07.01.19 pour une durée totale de 7 jours. Les hémocultures reviennent stériles sans germe identifié dans l'urotube, à noter un prélèvement après initiation de l'antibiothérapie. Au vu de l'évolution clinique favorable, la patiente rentre à domicile le 10.09.2018. Mme. Y, 80 ans, connue pour démence d'origine mixte et un épisode d'amaurose fugace à l'œil gauche en novembre 2018, est admise aux urgences puis au Medu HFR Riaz vers 22h dans un contexte de chute avec un traumatisme crânien sans perte de connaissance.Selon l'hétéro-anamnèse, Mme. Y était en train de se laver les pieds ce soir, penchée en avant, lorsque son mari, se trouvant dans la chambre à côté, a entendu le bruit de la chute et l'a retrouvée allongée à terre, mais consciente. Selon la fille, notons que la patiente aurait un déficit en antithrombine III, diagnostiqué à Milan il y a quelques années. A l'admission, nous avons un examen clinique sans particularité en dehors de troubles cognitifs avec, au premier plan, une amnésie antérograde. Le bilan biologique et radiologique s'avère normal. Nous suturons donc la plaie de l'arcade orbitaire droite et administrons le rappel du vaccin antitétanique. A la lecture du dossier, nous relevons selon l'IRM de 2017 un AVC ischémique pour lequel nous mettons en place une prophylaxie secondaire par aspirine. Dans le cadre de cette chute, nous effectuons un bilan étiologique avec une angio-IRM qui, après relecture, nous fait suspecter une thrombose partielle de la veine sous-clavière droite à la confluence avec les vaisseaux jugulaires. Au vu de cette image et du déficit d'antithrombine III, nous demandons un avis spécialisé en hématologie et angiologie qui indique de ne pas donner d'anticoagulation d'office sans signe clinique de thrombose. Cependant, suite au Holter (le rapport nous est parvenu après la sortie), le cardiologue recommande une anticoagulation orale au long cours au vu de la fibrillation auriculaire paroxystique et du score CHADS2-VASc supérieur ou égal à 5 et un HASBLED à 3. Au vu du déficit en antithrombine III et de cette fibrillation auriculaire, nous recommandons la mise en place d'un anticoagulant direct oral (type Xarelto) qui n'interagit pas avec l'antithrombine III. D'autre part, sur le plan cardiovasculaire, la patiente est positive au test de Schellong, raison pour laquelle nous prescrivons des bas de contention. Sur le plan psychique, la patiente présente des troubles cognitifs importants avec des tests dont les résultats sont quasi similaires à ceux du mois d'août 2018, ne justifiant ainsi pas de refaire des investigations. De plus, un bilan modulaire d'ergothérapie est réalisé et met en évidence une altération de la mémoire à court terme et désorientation temporelle. Sur le plan vitaminique, nous relevons une hypovitaminose D que nous substituons. Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le périmètre de marche seule est à volonté. La patiente peut gravir 9 marches. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 97/126 par rapport à 79/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 4/7). Le TUG est à 20,10 secondes. Pour la sortie, après discussion avec la famille, nous organisons des soins à domicile avec un passage biquotidien, dans l'attente d'un placement définitif avec son conjoint. Mme. Y, 80 ans, primipare, ménopausée, hospitalisée pour une prise en charge chirurgicale d'un carcinome du sein droit non palpalbe, ER positif 100 %, PR 40 % positif %, HER 2 non amplifié, Ki 67 à 10 %. Il s'agit d'une patiente chez qui à la mammographie de contrôle a permis de dépister un nouveau carcinome invasif NST à cheval des QSD qui nous est adressé pour suite de prise en charge. La patiente a été traitée pour un carcinome du sein droit en 2001 par chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie et Arimidex/Novadex durant cinq ans en Vendée à la Roche-sur-Yon sans aucun document par rapport à la prise en charge. Actuellement, la patiente présente des douleurs nocturnes depuis quelques mois dans la hanche gauche, hanche dans laquelle une PTH avait été implantée en juillet 2017. À la radiographie standard, la patiente ne présente pas de métastases à cet endroit, avec un CT des hanches qui n'objective pas de métastase osseuse. Les résultats de biopsie confirment le résultat de carcinome invasif NST. La patiente accepte l'intervention en signant le consentement éclairé. Hospitalisation le 08.01.2019 pour marquage du ganglion sentinelle et pose de l'harpon. L'intervention est effectuée le 09.01.2019 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste apyrétique. Les redons sont retirés le 11.01.2019. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre au domicile et sera revue dans une semaine à la consultation du Dr. X le 18.01.2019. Mme. Y, 81 ans, admise aux soins intensifs le 13.01.2019 en raison d'un STEMI inférieur. Elle consulte initialement aux urgences en raison d'un angor associé à des sus-décalages dans le territoire inférieur. La coronarographie montre une maladie coronarienne tritronculaire avec une obstruction de l'IVP revascularisée par un stent actif. La FEVG est diminuée à 35 %. Elle nous est adressée pour suite de prise en charge. Durant son séjour, Mme. Y ne présente pas de récidive d'angor ni de trouble du rythme. Nous introduisons un traitement par bêtabloquant et Lisinopril avec un bon contrôle de la pression artérielle et de la fréquence cardiaque. Le 15.01.2019, une échocardiographie est réalisée, qui retrouve une FEVG abaissée à 38 %, une discrète insuffisance mitrale et une hypokinésie sévère de la paroi inféro-basale. Après discussion avec les cardiologues, et au vu de l'âge et du poids de la patiente, la posologie de l'Efient est finalement diminuée à 5 mg par jour pour 6 mois. L'évolution aux soins intensifs est marquée par des troubles de la vigilance dans la nuit du 13.01 au 14.01.2019, attribués à un possible surdosage en benzodiazépines (initialement initiées pour une suspicion de syndrome de sevrage alcoolique). Mme. Y bénéficie dans ce contexte d'un scanner cérébral qui est normal. Par la suite, la patiente s'améliore progressivement avec une thymie très triste dans un contexte de probable état dépressif au long cours (d'après son fils). Devant un syndrome dépressif associé à un syndrome de glissement et un possible sevrage alcoolique, nous discutons avec les psychiatres qui préconisent un traitement par Distraneurine en premier lieu et Seresta en réserve. Au vu des troubles neuropsychologiques, de l'âge, nous vous incitons à être attentifs sur les risques de chutes chez Mme. Y, d'autant qu'elle est sous double antiagrégation et anticoagulation thérapeutiques. Compte tenu de l'état général très diminué, des comorbidités importantes et après discussion le 14.01.2019 avec le fils et la belle-fille de la patiente, nous convenons en accord avec la famille de ne pas faire de RCP en cas d'ACR. En cas de dégradation significative, des soins maximaux en division sont préconisés. Mme. Y, 81 ans, admise le 17.01.2019 aux soins intensifs en raison d'un choc cardiogène secondaire à une tachycardie supraventriculaire associée à une instabilité hémodynamique et à une détresse respiratoire aiguë. Elle est initialement acheminée aux urgences pour une dyspnée de stade IV en augmentation depuis le 14.01.2019 avec développement d'une orthopnée et d'un œdème des membres inférieurs. Une tachyarythmie supraventriculaire est mise en évidence à son arrivée, résistante au traitement par cordarone et associée à une instabilité hémodynamique, nécessitant un soutien aminergique. Une échographie cardiaque transthoracique effectuée à ce stade met en évidence une dysfonction cardiaque sévère avec une FEVG mesurée à 15 %. En raison de l'instabilité hémodynamique, une cardioversion électrique est effectuée avec succès après intubation oro-trachéale. Celle-ci est motivée par des vomissements répétés avec risque de broncho-aspiration. L'évolution aux soins est marquée par la récidive de l'arythmie, avec nécessité d'une nouvelle cardioversion électrique (2 chocs 120 J, puis 150 J), sans effet. La cardioversion se fait ultérieurement après mise en place d'un traitement par cordarone. Un traitement diurétique par Lasix est également débuté en raison de la surcharge hydrique.Après stabilisation initiale permettant une extubation et le sevrage de la Dobutamine dans la matinée du 18.01.2019, l'état clinique s'aggrave à nouveau avec une augmentation progressive des besoins en noradrénaline malgré l'ajout du Solucortef (pour une possible insuffisance surrénalienne). Dans ce contexte, elle développe une oligo-anurie avec récidive de choc cardiogénique. La Dobutamine est reprise sur la nuit du 18 au 19.01.2019, sans efficacité. Parallèlement, elle développe une récidive d'oedème aigu du poumon, réfractaire sous soutien respiratoire par ventilation non invasive et oxygénothérapie à haut débit. Devant un état de choc cardiogénique et vasoplégique sévère réfractaire chez une patiente avec une maladie pulmonaire avancée, et conformément aux directives explicitées par la patiente, des soins de confort exclusifs sont prodigués dès le 19.01.2019. Elle décède paisiblement dans le service le 19.01.2019 à 13 h 28 entourée par ses proches. Nous n'avons pas demandé d'autopsie. Patiente de 81 ans, hospitalisée aux soins intensifs le 14.01.2019 en raison d'une fibrillation auriculaire rapide inaugurale avec suspicion de NSTEMI secondaire. Elle est réveillée le 14.01.2019 par un angor avec irradiation dans le bras droit et la mâchoire. Elle est amenée par le SMUR de Payerne avec une FA rapide. Elle reçoit du Métoprolol en iv et elle est chargée par Aspégic iv par le SMUR de Payerne. À l'arrivée aux urgences, elle présente un BBG avec une cinétique des troponines positive. Elle nous est alors adressée pour suite de prise en charge. À l'arrivée dans notre service, on note un retour en rythme sinusal après la prise des bêta-bloquants. Dès lors, elle ne présente plus de douleur thoracique. Un traitement par héparine thérapeutique est débuté. L'anti-xa de contrôle du 14.01.2019 est à 0.47. La poursuite d'une anticoagulation thérapeutique est à rediscuter en fonction de l'évolution clinique, en particulier de la récidive de FA. Par ailleurs, en plus de la fibrillation auriculaire, Mme Y présente une hypertension artérielle mal contrôlée et motivant initialement un traitement de TNT iv continu, sevré après une bithérapie par métoprol (25 mg x 2) et Lisinopril (10 mg x 2). Nous vous laissons le soin de réévaluer l'introduction d'un traitement type Deponit patch en cours de séjour. L'échocardiographie transthoracique montre une fonction normale, sans thrombus intracardiaque ni trouble de la cinétique segmentaire objectivés (rapport écrit à suivre). Au total, nous évoquons un NSTEMI secondaire dans un contexte de fibrillation auriculaire avec une crise hypertensive. De l'avis de nos collègues cardiologues, une ergométrie est à prévoir dans un mois. À noter que Mme Y est connue pour un diabète insulino-dépendant sous 20 UI de Lantus le soir. Ce traitement est à reprendre dès le 14.01.2019. Un suivi rapproché des glycémies est préconisé. Patiente de 81 ans se présente au service des urgences pour des douleurs rétro-sternales. L'ECG montre une STEMI inférieur motivant une coronarographie en urgences. La coronarographie montre une maladie coronarienne tritronculaire avec une obstruction de l'IVP, qui est revascularisée par un stent actif. L'ETT de contrôle montre une FeVG réduite à 35%. À noter des signes de surcharge pulmonaire à l'admission motivant l'introduction d'un traitement diurétique avec une évolution rapidement favorable. Un traitement de double antiagrégation par aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Un contrôle cardiologique est prévu à la consultation du Dr. X dans 1-3 mois. À noter une sténose de l'artère rénale gauche mise en évidence à la coronarographie. Nous ne proposons pas de prise en charge de celle-ci en absence de répercussion sur la fonction rénale ni hypertension artérielle mal contrôlée. À l'admission, Mme Y présente un état confusionnel aigu hyperactif rapidement résolutif après régulation du transit. Le traitement d'Haldol peut être sevré progressivement. La patiente présente un état dépressif réactionnel au décès de son époux pour lequel un traitement de Vortioxétine est instauré sur avis des psychiatres. La tolérance au traitement est bonne avec une légère amélioration de la symptomatologie. Durant le séjour, nous observons des troubles cognitifs avancés, confirmés par le bilan neuropsychologique. Le fils de Mme Y nous fait part de plusieurs situations de mise en danger au domicile et du refus de la mise en place de soins à domicile. Dans le contexte de troubles cognitifs avec anosognosie de la patiente, un signalement à la justice de paix est effectué pour la mise en place de mesures de protection de l'adulte avec des démarches de placement en EMS à terme. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Patiente de 82 ans aux comorbidités citées ci-dessus, qui nous est adressée par le service de chirurgie HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour réadaptation gériatrique. En effet, la patiente séjournait à l'HFR Fribourg où elle a subi une gastrectomie partielle pour un adénocarcinome gastrique, compliquée d'une rupture de rate et d'une embolie pulmonaire, actuellement sous Clexane 60 mg 2x/j et relais par Sintrom. En outre, Mme Y présente depuis 2 semaines des diarrhées, dont les cultures faites par les collègues de Fribourg sont revenues négatives. Sur le plan social, la patiente vit seule dans une ferme, mais son fils habite au-dessus. Elle ne reçoit pas de soins à domicile et n'utilise pas de moyen auxiliaire. À son arrivée, Mme Y est stable, afébrile et sans plainte particulière, hormis une inappétence. Le statut d'entrée est sans particularité. Le bilan biologique du début de séjour constate un déficit en vitamines D, B12 et acide folique, qui est substitué. Nous vous laissons le soin de recontrôler ces valeurs à distance. Étant donné une réduction de l'appétit, nous poursuivons une nutrition parentérale. De plus, vu l'absence de couverture optimale, nous discutons de la pose d'une sonde naso-jéjunale avec le Dr. X, ce qui est accepté. La pose de cette sonde est organisée pour le 17.12.2018 sous gastroscopie à l'HFR Fribourg et se déroule sans complication, nous permettant de débuter une nutrition par celle-ci dès le 18.12.2018. Par la suite, nous pouvons réduire la nutrition parentérale sur 12 h et observons une bonne tolérance. Finalement, nous arrêtons la nutrition parentérale de manière progressive et la picc line est enlevée avant la sortie. Par rapport à la prise en charge oncologique, nous prenons contact avec le Dr. X, oncologue, qui s'occupera de la suite de la prise en charge ; la patiente sera convoquée fin janvier 2019. Une surveillance sera mise en place, un traitement de chimiothérapie n'étant pas indiqué. Sur le plan médicamenteux, nous augmentons le Beloc ZOK à 75 mg car la patiente reste tachycarde. La Cordarone est gardée en pause depuis la dernière hospitalisation. Par rapport à l'anticoagulation, un bridging sintrom-héparine est effectué et un schéma de Sintrom est mis en place selon carnet. Le prochain contrôle de l'INR sera à prévoir le 03.01.2019. Au vu d'une anxiété connue et sous traitement, nous demandons une évaluation géronto-psychiatrique au Dr. X qui propose de réaliser un taux de la Sertraline, médicament que la patiente prend depuis longtemps. En accord avec son psychiatre, le Dr. X, une prise en charge psychiatrique et psychothérapeutique en ambulatoire sera organisée. Le taux de Sertraline est en cours et vous parviendra.Par rapport aux diarrhées que Mme. Y présente depuis l'hospitalisation précédente, nous les suivons cliniquement et remarquons une résolution spontanée. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission ne montrent pas de performances altérées, avec un MMS à 29/30 et un test de la montre à 6/7. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche seule est de 130 mètres. La patiente ne peut pas gravir d'escalier. Elle est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 100/126, par rapport à 80/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 1/7). Le risque de chute est bas. Suite à une bonne évolution clinique et une bonne tolérance de la nutrition entérale, Mme. Y rentre à domicile le 27.12.2018. Dès sa sortie, elle bénéficiera d'une infirmière indépendante et des soins pour gestion de sa nutrition entérale. Patiente de 82 ans qui nous est adressée par le service de médecine HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour une réadaptation dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. A noter que la patiente est connue pour des infections urinaires à répétition dont la dernière a motivé l'hospitalisation pour une bactériémie. Mme. Y n'a pas de plainte particulière hormis une légère douleur dorsale droite ; elle est afébrile, normocarde et normotendue. A l'entrée dans notre service, son status se montre sans particularité, hormis des râles fins aux bases pulmonaires bilatérales. Le bilan vitaminique fait à l'étage relève un déficit en vitamines B9 et D, qui est substitué. Nous vous laissons le soin de recontrôler ces valeurs à distance. Sur le plan médicamenteux, nous laissons en suspens l'Aldactone et gardons le Torasemide au vu d'un bon profil tensionnel. Nous vous proposons de suivre le poids et le profil tensionnel de manière régulière. Comme prévu sur avis infectiologique pendant la précédente hospitalisation, la nitrofurantoïne, que la patiente recevait en prévention d'infections urinaires récidivantes, est arrêtée. Mme. Y présente un risque de chute, avec des chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances dans la norme avec un MMS à 29/30 et un test de la montre à 5/7. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche accompagnée et à l'aide d'un rollator est de 100 mètres. La patiente peut gravir 1 marche. Elle est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 90/126, par rapport à 93/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 37 secondes avec rollator. Le risque de chute est intermédiaire. Sur le plan ergothérapeutique, la patiente bénéficie d'un bilan modulaire qui objective de bonnes fonctions cognitives, instrumentales et motrices. Suite à une bonne évolution clinique, Mme. Y quitte notre service le 18.12.2018. Dès sa sortie, elle bénéficiera du passage des soins à domicile 3x/semaine pour aide à la toilette et 1x/semaine pour contrôle santé. Patiente de 83 ans, admise en réadaptation gériatrique au décours d'un séjour en orthopédie HFR Riaz. Mme. Y y avait en effet été admise suite à une chute le 29.11.2018 en trébuchant sur le paillasson d'entrée de sa maison avec réception sur le poignet droit en hyper-extension et sur le côté droit, avec traumatisme crânien sans perte de connaissance, ni amnésie circonstancielle. Le bilan radiologique, complété par un scanner, met en évidence les fractures susmentionnées pour lesquelles des traitements conservateurs sont indiqués, sous forme de mobilisation avec marche en charge selon douleur et immobilisation du poignet droit dans un plâtre AB pour une durée totale de 6 semaines. Le plâtre est à enlever le 15.01.2019. Un rendez-vous est déjà pris à la policlinique d'orthopédie HFR Riaz le 15.01.2019 à 13h45. Un bilan biologique objective une légère hypercalcémie à 2,62 mmol/l qui se normalise au cours de l'hospitalisation. Parallèlement, nous retrouvons une hypovitaminose D et B9, raison pour laquelle la patiente reçoit une substitution vitaminique, à poursuivre après le séjour. Au niveau de son poignet droit, Mme. Y subit 3 réfections de plâtres en raison de douleurs ou de pression des parties molles, la dernière avec succès. La patiente n'émet plus de plainte à ce niveau durant le reste du séjour. Quant aux multiples fractures du bassin, une radiographie de contrôle effectuée le 12.12.2018 indique que, par rapport au comparatif du 29.11.2018, la fracture peu déplacée du cotyle droit s'étendant à l'aile iliaque présente toutefois un petit déplacement secondaire surajouté. Pour mémoire, notion d'un statut après mise en place d'une prothèse totale de hanche droite avec cupule vissée. Il n'y a pas de déplacement secondaire de la fracture de la branche ischio-pubienne droite. Sur le plan de l'antalgie, nous retrouvons une patiente très algique à la mobilisation, nous motivant à instaurer un traitement d'Oxycontin 10 mg retard le 11.12.2018, avec nette amélioration. Sur le plan tensionnel, nous instaurons chez cette patiente au profil de tensionnel supérieur à la norme, un traitement d'Amlodipine 5 mg le 08.12.2018 auquel nous ajoutons du Bisoprolol 2,5 mg le 10.12.2018. La suite de la surveillance tensionnelle sera à faire par le médecin traitant. Nous effectuons un bilan cognitif le 10.12.2018 avec les résultats suivants : MMS à 24/28 (la patiente ne peut pas écrire), GDS à 3/15, test de la montre non évaluable chez une patiente qui ne peut pas écrire. Durant son séjour, Mme. Y réalise une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche seule et à l'aide d'un rollator est de 250 mètres. La patiente peut gravir 18 marches avec une rampe sans accompagnement. Elle nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 97/126 par rapport à 68/126 à l'entrée. Le TUG est à 15''32 secondes avec rollator. Au niveau nutritionnel, la patiente ne présente pas de malnutrition protéino-énergique. Elle couvre l'ensemble de ses besoins et est déjà bien informée sur le diabète. Au niveau ergothérapeutique, le suivi démontre une bonne représentation spatiale. La patiente est capable de faire des transferts d'apprentissage entre ici et son domicile. Au vu de la bonne évolution clinique, nous laissons rentrer Mme. Y le 21.12.2018, et organisons le passage des soins à domicile 2x/jour ainsi que les repas à domicile. Patiente de 83 ans, connue pour une démence, est amenée aux urgences de l'HFR Riaz en ambulance suite à l'appel de son mari en raison d'un bref malaise de quelques secondes sans traumatisme. Selon l'hétéroanamnèse, la patiente a déjà vécu des épisodes similaires dans le passé. Le jour même, Mme. Y est prise en charge dans notre service de gériatrie aiguë. Sur le plan social, Mme. Y vit à domicile avec son mari. A l'admission, nous relevons au status cardiovasculaire un souffle à 3/6 maximal au foyer aortique, qui serait connu. Sur le plan neuropsychologique, notons une désorientation dans tous les modes dans le contexte de sa démence.Au niveau paraclinique, le bilan biologique, l'ECG et la radiographie du thorax sont sans particularité. Un test de Schellong revient négatif. Au vu d'un tableau clinique compatible avec une lypothymie, nous n'effectuons pas d'autre investigation. De même, en raison de la maladie d'Alzheimer très avancée, nous ne réalisons pas d'autre investigation. Le 18.01.2018, étant donné la bonne évolution clinique, nous organisons un retour à domicile après discussion avec sa fille. Mr. Y, âgé de 83 ans, se présente au service des urgences pour une fracture de l'humérus droit lors d'un traumatisme à faible cinétique le 10.01.2019. Hospitalisé initialement en chirurgie, où il subit une ostéosynthèse le 12.01.2019. Au cours de l'intervention, le chirurgien suspecte un processus pathologique au vu de l'aspect macroscopique de la lésion. Des échantillons sont donc prélevés et analysés. L'opération se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples avec une plaie calme. Le résultat de la biopsie témoigne d'une métastase d'un carcinome neuroendocrine de primaire inconnu. Le bilan d'extension par CT-scan thoraco-abdomino-pelvien met en évidence plusieurs métastases osseuses ainsi qu'une lésion suspecte dans le quadrant supéro-interne du sein droit. Après une mammographie et une ultrasonographie confirmant le caractère suspect de la lésion, une biopsie sous US est effectuée. Mr. Y sera revu en consultation d'oncologie auprès de Dr. X le 30.01.2019 pour discuter des résultats de la biopsie et de la suite de la prise en charge oncologique. Par ailleurs, le CT thoracique met en évidence une embolie pulmonaire sous-segmentaire postéro-basale, qui nécessite l'introduction d'un traitement d'énoxaparine thérapeutique relayé par du Xarelto. Au service des urgences, on retrouve un souffle systolique au foyer aortique. L'échocardiographie transthoracique effectuée dans le cadre du bilan préopératoire confirme une sténose aortique serrée, motivant la réalisation d'une coronarographie pour un bilan pré-TAVI, qui revient blanche. Au vu du caractère asymptomatique et du diagnostic principal, un suivi aux 6 mois par échocardiographie est à mettre en place. Durant le séjour, Mr. Y présente un profil tensionnel élevé motivant la majoration du traitement anti-hypertenseur. Nous vous laissons le soin de suivre celui-ci en ambulatoire et d'adapter le traitement en conséquence. Mme. Y rentre à son domicile le 23.01.2019, avec des soins à domicile, ainsi que de la physiothérapie en ambulatoire. Mme. Y, âgée de 84 ans, aux antécédents et comorbidités listés ci-dessus, qui nous est adressée depuis le service de médecine HFR Riaz pour une réadaptation gériatrique. En effet, elle avait séjourné du 31.12.2018 à ce jour pour prise en charge des conséquences d'une chute (le 31.12.2018) sur perte de force, compliquée par une infection urinaire et des épigastralgies. A l'admission dans notre service, nous relevons sur le plan pulmonaire de fins râles en base gauche, et sur le plan cutané des lésions croûteuses au niveau des jambes bilatérales suite à la chute. Le bilan biologique indique un déficit en vitamine B12, qui est substitué. Nous vous laissons le soin de recontrôler ces valeurs à distance. Sur le plan cardiovasculaire, nous effectuons un test de Schellong qui se révèle positif. Nous effectuons donc le même test avec bas, revenant aussi positif mais avec une nette réduction de la symptomatologie, ce qui motive le maintien des bas en place. Sur le plan digestif, nous remarquons des épigastralgies ne s'améliorant pas sous Pantozol. Dans ce contexte, nous révisons la médication avec un arrêt de l'aspirine en raison de l'absence d'indication et la mise en place de l'Ulcar avec une bonne réponse clinique. Mme. Y présente un risque de chute, avec des chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMS à 24/30 et un test de la montre à 0/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 3/15. Durant son séjour, Mme. Y effectue de la physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche à l'aide d'un déambulateur est de 200 mètres. La patiente peut gravir 9 marches avec accompagnement. Elle nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 88/126, par rapport à 81/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 29 secondes. Au niveau nutritionnel, signalons la présence d'une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec des brûlures gastriques et démontrée par un NRS à 3/7, une perte pondérale de 5% et un ingesta à 75%. Au niveau ergothérapeutique, Mme. Y bénéficie d'un suivi axé sur les activités de la vie quotidienne. Sur le plan social, rappelons que Mme. Y est célibataire, vivant seule dans un appartement, sans aide à domicile. Pour cette raison, un projet de placement est initié, avec une sortie de notre service le 28.01.2019 pour une institutionnalisation au Foyer St-Joseph de Morlon. Mme. Y, âgée de 84 ans, connue pour une maladie du sinus avec pacemaker et pour une hypertension artérielle traitée ainsi qu'un diabète de type 2 insulino-requérant, qui nous est adressée par le service de médecine HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour une réadaptation gériatrique, suite à une hospitalisation pour des vertiges d'origine multifactorielle. Elle vit avec sa fille, sans bénéficier de soins à domicile, marche avec un rollateur depuis l'hospitalisation, avec une dernière chute il y a 15 jours. Mme. Y ne rapporte pas de troubles du sommeil, mais une nycturie à 3 épisodes. A noter que la patiente ne parle pas bien français. A son arrivée dans notre service, la patiente est stable, sans plainte particulière hormis des vertiges, surtout au coucher. Autrement, Mme. Y ne signale pas de douleur ni de perte d'appétit. Le statut d'entrée met en évidence une patiente légèrement désorientée, sans perte de force ni nette latéralisation. Signalons un nystagmus horizontal à droite au regard extrême épuisable. Le reste du statut n'est pas contributif. Nous effectuons un bilan biologique qui revient dans la norme. Le 29.12.2018, Mme. Y glisse en arrière en voulant s'asseoir, avec pour conséquence un traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. Les paramètres et le statut neurologique reviennent dans la norme. S'agissant d'un traumatisme crânien simple, chez une patiente non anticoagulée, nous mettons en place une surveillance neurologique pendant 24h, enlevée finalement le 30.12.2018 en raison de l'absence de signe pathologique. Mme. Y est connue pour une hypertension traitée labile ; dans ce contexte, elle présente une crise hypertensive le 29.12.2018 que nous traitons par de l'Adalat 30mg en ordre unique. Par la suite, les valeurs tensionnelles reviennent dans la norme. Sur le plan médicamenteux, nous arrêtons le Vesicare car la patiente se plaint de la persistance de sa nycturie. Nous effectuons donc une grille mictionnelle qui confirme ce diagnostic et mettons en place un traitement par Betmiga 25mg 1x/j. Mme. Y présente un risque de chute, avec des chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics.Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMS à 17/30 et un test de la montre à 1/7. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A la sortie, son périmètre de marche est de 120 mètres. La patiente peut gravir 36 marches sans accompagnement. Elle est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 95/126, par rapport à 91/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 22.53 secondes sans moyens auxiliaires. Suite à une bonne évolution clinique, Mme. Y quitte notre service le 31.12.2018 et bénéficiera du passage des soins à domicile. Patiente de 84 ans hospitalisée à plusieurs reprises en gériatrie aiguë, qui se trouvait en attente d'un placement de courte durée du 09.12.2018 au 14.12.2018, date de son reclassement en gériatrie aiguë en raison d'une désaturation à l'air ambiant ces derniers jours à 88% à l'air ambiant, avec sensation de fatigue et laboratoire sub-inflammatoire. Mme. Y présente aussi une anasarque malgré la majoration des diurétiques (Torasémide 30mg/j, Spironolactone 50mg/j), justifiant l'instauration d'un traitement intraveineux à base de Lasix 20mg 2x/j, majoré par la suite à 60mg toujours en intraveineux. Une gazométrie à l'air ambiant indique une alcalose respiratoire ainsi que des lactates à 2.6mmol/l. A savoir que la patiente présente aussi un abdomen distendu avec des BHA normaux et un fort tympanisme à la percussion. Dans ce contexte, nous effectuons une radiographie thoracique le 14.12.2018 visualisant une cardiomégalie globale associée à une turgescence hilaire bilatérale et un discret élargissement du médiastin, évoquant une surcharge hydrique ; il n'y a pas d'épanchement pleural visible. Par rapport au 02.10.2018, nous retrouvons une hypoventilation en bande, arciforme, postéro-basale droite. Nous effectuons aussi un abdomen sans préparation (couchée) devant la grande distension de l'abdomen avec tympanisme à la percussion et diminution des bruits hydroaériques à l'auscultation. Cette radiographie constate une répartition aspécifique de la pneumatisation intestinale, grêle et colique, ainsi qu'une ampoule rectale aérée et vide de selles. Il n'y a pas d'image pour un fécalome et pas de distension pathologique décelable en faveur d'un iléus. Le laboratoire du 17.12.2018 parle en faveur d'une décompensation aiguë de l'insuffisance cardiaque de la patiente, avec un NT-proBNP à 4892ng/l, et une CRP à 43mg/l sans leucocytose. En outre, devant une clinique de désaturation et de prise de poids continu malgré le traitement susmentionné, nous mettons en place une pompe de Lasix à partir du 17.12.2018 avec un débit à 6mg/h (donc 144mg/j). Ce traitement ne permettant toutefois pas la baisse pondérale escomptée, nous voyons la nécessité d'en augmenter la dose à 8mg/h. Par la suite, Mme. Y présente une stagnation voire une légère augmentation de son poids avec une hypotension symptomatique, motivant une baisse de Lasix à 7mg/h. Son état s'aggrave le 31.12.2018, avec une anasarque (oedèmes au niveau des cuisses et du ventre), et une orthopnée marquée. A l'auscultation, nous avons des râles bilatéraux aux deux bases. La patiente prend 1.4kg. Concernant la dyspnée et dans ce contexte, nous administrons de la morphine en fixe afin d'aider la patiente. Le 02.01.2019, Mme. Y présente un état confusionnel aigu probablement sur morphine avec myosis des deux côtés. Cette dernière reçoit alors 1mg d'Haldol avec un bon effet. Nous suspectons aussi un globe vésical nécessitant la pose d'une sonde, avec bon résultat. Le 03.01.2019, nous arrêtons le Lasix intraveineux continu et reprenons la médication par voie orale, que nous adaptons par la suite en fonction de la clinique ainsi que du poids. Mme. Y perd environ 6.5kg sur une semaine. Durant cette période, nous contrôlons de façon rapprochée la fonction rénale. Sur le plan social et en accord avec sa famille, Mme. Y se résigne à accepter un placement car elle se rend compte de son besoin d'un encadrement continu. Le 15.01.2019, Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Patiente de 85 ans, connue pour un status après opération d'une plaie surinfectée et fistulisée du genou droit en regard d'une calcification du tendon rotulien à Proteus Mirabilis le 19.12.2018 du genou et sous Clexane 40mg prophylactique jusqu'à aujourd'hui, qui consulte pour une chute sous Clexane prophylactique avec traumatisme crânien occipital et amnésie circonstancielle, mais sans perte de connaissance selon l'hétéro-anamnèse auprès du fils. A l'admission, nous réalisons un CT cérébral sur avis chirurgical qui s'avère sans particularité. Nous faisons un rappel antitétanique et suturons la plaie occipitale. Sur le plan ostéo-articulaire, Mme. Y se plaint de douleurs au niveau du coccyx et du bassin répondant favorablement aux antalgiques. Après avis orthopédique, nous enlevons les fils et l'attelle jeans le 03.01.2019. Un rendez-vous de contrôle est planifié pour le 21.01.2019 auprès de Dr. X à la policlinique d'orthopédie HFR Riaz. Sur le plan cardiologique, nous écartons une fibrillation auriculaire après consilium spécialisé. Dans le cadre de la prise en charge gériatrique, nous réalisons un bilan vitaminique ne montrant pas de déficit. Dans le contexte de chute, Mme. Y bénéficie d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 04.01.2019 au 11.01.2019. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 10.01.2019 montrent des performances altérées avec un MMS à 22/30 et un test de la montre à 5/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 7/30. Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, son périmètre de marche à l'aide d'un rollator est à volonté. La patiente peut gravir 18 marches avec accompagnement. Elle nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 94/126, par rapport à 83/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 6/7, marche à 5/7, escaliers à 5/7). Le TUG est à 21.15 secondes avec rollator. Le risque de chute est intermédiaire. Un bilan nutritionnel met en évidence une malnutrition protéino-énergétique grave en lien avec une baisse de l'état général et démontrée par un NRS à 5/7, un indice de masse corporelle à 18.6kg/m2 et une perte pondérale de plus de 5% en 1 mois. Durant l'hospitalisation, les repas sont alors enrichis, et un supplément nutritionnel oral est introduit, permettant à la patiente la reprise d'1.5kg. Pour le retour à domicile, un enseignement est donné afin de permettre la réalisation à domicile d'une alimentation enrichie. Mme. Y bénéficie d'un bilan modulaire d'ergothérapie qui indique de bonnes fonctions cognitives, mais des difficultés sur la mémorisation à court terme. Un accompagnement sur le plan des activités de la vie quotidienne est également réalisé. Finalement, la patiente quitte notre service le 12.01.2019. Les soins à domicile passeront 2x/semaine pour contrôle de santé et suivi du poids. Patiente de 85 ans connue pour une consommation alcoolique chronique avec notion de chutes à répétition, qui est retrouvée à 10h du matin par sa fille à son domicile après une probable chute de sa hauteur, avec un traumatisme crânien, une perte de connaissance et une amnésie circonstancielle dans un contexte de consommation probable d'alcool (1 bouteille de vodka retrouvée vide dans la poubelle).Sur le plan social, Mme. Y vit seule avec une dame de compagnie qui lui prépare un repas par jour. Sur le plan ostéo-articulaire, la patiente avait préalablement chuté le 23.12.2018, avec mise en évidence d'une fracture du radius droit sans déplacement, traitée par plâtre AB fendu, et présence d'une plaie superficielle légèrement fibrineuse. Sur avis orthopédique, nous effectuons une réfection du plâtre le 04.01.2019. Un contrôle sera réalisé en orthopédie à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal le 11.01.2019. Sur le plan biologique, nous relevons un déficit vitaminique et une hypokaliémie, que nous substituons. Notons une thymie basse au niveau psychique, avec déni partiel de sa consommation d'alcool. Dans ce cadre, nous mettons en place un schéma dégressif de Seresta pour les symptômes de sevrage et recommandons à la patiente et sa famille une hospitalisation en milieu psychiatrique, ce qui est catégoriquement refusé. Sur avis psychiatrique, nous instaurons un antidépresseur dès le 04.01.2019. Dans le contexte cardiovasculaire, nous introduisons du Coversum étant donné une hypertension artérielle, que nous recommandons de réévaluer à distance. Sur le plan hépatique, nous réalisons une échographie, qui se révèle sans particularité. Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le périmètre de marche seule à l'aide d'un déambulateur est de 80 mètres. Les escaliers ne sont pas testés. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 75/126, par rapport à 56/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 36 secondes avec rollator. Sur le plan social, suite à un colloque de famille, nous convenons d'un court séjour à la Rose d'Automne de Villars-sur-Glâne, avec projet d'une présence 24h/24 à domicile par la suite. Patiente de 85 ans, vivant seule à domicile avec passage du CMS 2x/j, connue notamment pour une récente implantation de prothèse totale de hanche droite le 15.11.2018, et qui présente une chute cette nuit à 01h30. Plus précisément, alors qu'elle était sur la chaise percée, Mme. Y aurait glissé, avec réception sur le côté droit, sans traumatisme crânien ni perte de connaissance. La patiente n'arrive cependant pas à se lever et rampe dans sa chambre pour atteindre le téléphone et appeler son fils qui vient la relever et la remet au lit à 02h00. Ce matin, en raison de douleurs thoraciques droites et de la hanche droite, l'un des fils de la patiente l'amène aux urgences de l'HFR Riaz : cette dernière s'y présente en marchant soutenue par ses deux fils. Mme. Y décrit des douleurs thoraciques droites à 7/10 respiro-dépendantes et aux mouvements, avec une dyspnée nouvelle en lien avec les douleurs. Elle signale également des douleurs moins importantes à la hanche droite sans limitation à la mobilisation, de même que de minimes douleurs lombaires basses. Cette dernière nous rapporte encore avoir présenté des douleurs abdominales ainsi que des diarrhées durant deux jours, résolues il y a deux jours aussi, avec perte pondérale de 1 kg. Le status fait aux urgences met en évidence des douleurs à la palpation des 3 côtes inférieures à droite ainsi qu'au niveau de la crête iliaque antérieure droite. Pas de limitation de la mobilité des deux hanches, pas de déformation ou raccourcissement. Au niveau de la colonne vertébrale, notons des douleurs à la palpation au niveau L1-L2. Dans la sphère abdominale, relevons aussi une douleur au flanc droit, sans défense ni détente. Le reste du status s'avère sans particularité. Le bilan biologique objective une créatininémie 95 µmol/l, un potassium à 3.5 mmol/l, pas de syndrome inflammatoire, et une hémoglobine à 108 g/l. Le sédiment urinaire est négatif. Nous effectuons des radiographies du thorax, de la hanche et de la colonne qui sont sans particularité. Néanmoins, Mme. Y est hospitalisée le jour même de son entrée aux urgences dans notre service de gériatrie aiguë pour suite de prise en charge. À l'étage, une antalgie par Tramal et Dafalgan est mise en place, avec bon effet. Le bilan vitaminique constate un déficit en vitamine B12 et B9, qui est substitué. Nous vous laissons le soin de contrôler ces valeurs à distance. La patiente présente un risque de chute, avec des chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque de chute sont indiqués dans les diagnostics. Durant son séjour, Mme. Y bénéficie d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 03.01.2019 au 13.01.2019. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission indiquent des performances altérées, avec un MMSE à 29/30, test de la montre à 2/7. L'échelle gériatrique de dépression est à 0/15. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, son périmètre de marche accompagnée et à l'aide de 2 cannes est de 140 mètres. La patiente peut gravir 9 marches avec accompagnement. Elle nécessite d'une légère aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 104/126, par rapport à 83/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 6/7, marche à 6/7, escaliers à 6/7). Le TUG est à 14 secondes. Le risque de chute est bas. Durant le séjour, Mme. Y bénéficie d'un bilan nutritionnel, ne mettant pas en évidence une malnutrition protéino-énergétique. La patiente bénéficie d'une évaluation toilette habillage et a participé au groupe chute en ergothérapie. Suite à une bonne évolution clinique, la patiente quitte notre service le 15.01.2018. Dès sa sortie, elle bénéficiera de soins à domicile comme précédemment. Patiente de 86 ans, amenée aux urgences par son mari en raison d'un état confusionnel hyperactif à prédominance nocturne depuis plusieurs jours. La patiente décrit une toux sèche depuis quelques jours également. Nous retenons une pneumonie avec un état confusionnel secondaire. La patiente bénéficie d'une antibiothérapie initialement intraveineuse par ceftriaxone du 28.12.18 au 31.12.2018, avec un relais per os par co-amoxicilline dès le 01.01.2019. En raison de la recrudescence du syndrome inflammatoire après le relais per os, de l'état confusionnel persistant et d'une pollakiurie marquée, nous décidons de couvrir une infection urinaire par Ciproxine dès le 02.01.2019 pour 7 jours au total. En raison de l'état confusionnel persistant après résolution de la problématique infectieuse pulmonaire, nous réalisons un CT cérébral natif qui ne montre pas de nouvelle lésion ischémique constituée ni hémorragique. La patiente étant connue pour une possible épilepsie partielle complexe post-AVC en 2015 actuellement non traitée, nous réalisons un EEG qui montre un ralentissement sans argument pour un foyer épileptique. La patiente présente depuis plusieurs semaines des douleurs au membre supérieur droit compatibles avec un syndrome canalaire. Une ENMG confirme un syndrome du tunnel carpien d'importance légère à moyenne droite ; une composante algique dans un contexte d'arthrose du poignet et rhizarthrose décompensée surajoutée est également présente. Les douleurs évoluent favorablement avec une antalgie simple et le port d'une attelle poignet durant la nuit. Une infiltration peut être organisée en ambulatoire à la consultation du Dr. X en cas de recrudescence de la symptomatologie avec handicap fonctionnel.L'évolution est ensuite favorable avec amélioration des symptômes infectieux et résolution de l'état confusionnel permettant un retour à domicile de manière autonome le 15.01.19. Mme. Y, 86 ans, institutionnalisée à la Rose d'Automne, connue pour une fibrillation auriculaire non anticoagulée (contexte de chutes à répétition), est amenée en ambulance en raison d'une dyspnée avec asthénie. À l'hétéro-anamnèse, elle aurait présenté un malaise sans perte de connaissance il y a environ 10 jours avec baisse de l'état général depuis. Elle bénéficie d'un traitement de Céfuroxime depuis le 17.01 pour suspicion de foyer pulmonaire sans réelle amélioration. Elle aurait présenté également des états fébriles fluctuants, ainsi que des douleurs rétro-sternales oppressives ces derniers jours. Elle rapporte ce jour de la toux avec expectorations blanchâtres. Pas de trouble du transit, mais connue pour constipation. Pas de symptôme urinaire, mais douleurs abdominales basses intermittentes, parfois à la miction. La radiographie et le CT thoracique montrent des signes d'insuffisance cardiaque gauche décompensée, sans signe d'embolie pulmonaire. Le laboratoire retrouve un NT-prBNP élevé et des troponines élevées à H0 162 ng/L, H3 174 ng/L. Un ECG retrouve une inversion des ondes T en V5 et V6. Nos collègues cardiologues réalisent une échocardiographie transthoracique montrant une FEVG à 65% avec insuffisance mitrale sévère, qui n'était pas présente en 2015. Au vu des comorbidités de la patiente, un traitement symptomatique médicamenteux est privilégié. Les traitements diurétiques sont adaptés avec bon effet. Une discussion avec la famille le 22.01.2019 est organisée afin de définir la prise en charge et les directives durant l'hospitalisation. Il est décidé d'une prise en charge sans acharnement. Changement de traitement : • diminution Pantozol • adaptation laxatifs • arrêt nifédipine • arrêt sirdalud Mme. Y, 86 ans, est désormais admise en réadaptation gériatrique (séjour n°2) après un séjour en gériatrie aiguë HFR Riaz, étant donné une malnutrition sévère et un déconditionnement global. Durant ce séjour, nous poursuivons une nutrition par la sonde nasogastrique qui est bien tolérée et qui permet de couvrir les besoins. Le 03.01.2019, nous augmentons la nutrition à 1000ml/11h. Dès l'augmentation de la nutrition entérale, la patiente développe des diarrhées et des vomissements, raison pour laquelle nous baissons le débit à 750ml par jour. Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche sans moyen auxiliaire est de 140 mètres. La patiente peut gravir 27 marches avec accompagnement. Elle nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 87/126 par rapport à 92/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 5/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 21.3 secondes avec rollator. Finalement, et au vu de la persistance des diarrhées, nous effectuons une recherche de clostridium le 07.01.2018, qui se révèle positive. Un séjour en gériatrie aiguë s'avère nécessaire dans ce contexte d'état général diminué et étant donné la nécessité d'instaurer un traitement par Vancomycine au long cours. Le 08.01.2019, Mme. Y est donc reprise en charge en gériatrie aiguë HFR Riaz (séjour n°3). Mme. Y, 87 ans, connue pour une artériopathie oblitérante des membres inférieurs asymptomatique en 2017 sous Plavix, hypertension artérielle traitée, hospitalisée pour un traumatisme crânien frontal sur chute et décompensation cardiaque globale. La patiente a présenté une chute de sa hauteur avec amnésie circonstancielle, traumatisme crânien frontal et perte de connaissance de quelques secondes, objectivée par le physio présent à domicile, sans prodrome. La dernière chute datant d'octobre 2018 était d'allure mécanique selon la patiente et sa fille. La patiente rapporte également une dyspnée en péjoration depuis plusieurs jours avec œdèmes des membres inférieurs augmentant depuis 2-3 semaines. La patiente, fumeuse active (environ 0.5 pq/j) vit seule à domicile et se déplace avec rollator pour des gonalgies droites depuis sa PTG. Elle présente occasionnellement des douleurs rétrosternales, cédant à la prise de Nitroglycérine (utilisation 1x/1-2 mois). Le statut d'entrée retrouve un souffle systolique 3/6 au foyer aortique avec des œdèmes des membres inférieurs et des pouls périphériques non palpables (AOMI), ainsi que des râles crépitants aux 2 bases. Le bilan biologique d'entrée montre un léger syndrome inflammatoire ainsi qu'un NT-proBNP à 6517 ng/l. Une radiographie de thorax montre de légers signes de décompensation cardiaque. L'ECG retrouve un bloc de branche gauche déjà présent au mois d'octobre 2018 avec une fibrillation auriculaire semble-t-il nouvelle. La patiente reçoit du Lasix intraveineux et est hospitalisée pour une décompensation cardiaque sur probable trouble du rythme nouveau. Une ETT est réalisée montrant une cardiopathie hypertensive avec dysfonction systolique légère à modérée et probablement diastolique, avec FEVG à 45%. Un Holter est encore en cours d'analyse lors de la sortie de la patiente. Au vu de l'ECG du 06.01.2019, une anticoagulation par Eliquis 2.5 mg 2x/j est introduite. Parallèlement, au vu de sa chute, un CT cérébral est réalisé à l'entrée montrant un hématome sous-galéal frontal droit, post-traumatique avec une petite contusion hémorragique punctiforme temporale gauche. Une radiographie lombaire ne montre pas de signe de fracture nouvelle. La patiente présentant un état confusionnel nouveau le 06.01.2019, un second CT cérébral est effectué retrouvant une occlusion de l'artère vertébrale droite et des athéromes calcifiés des artères carotides internes sans signe de nouveau saignement ni d'AVC. Le bilan est complété le 08.01.2019 avec une IRM cérébrale ne retrouvant pas de signe d'ischémie. Après discussion avec les neurologues (Dr. X), il n'y a pas de contre-indication à introduire une anticoagulation dans le contexte actuel de TCC. Après discussion avec les angiologues (Dr. X), au vu de l'introduction de l'Eliquis, le Plavix peut être stoppé. Nous vous laissons le soin d'organiser un suivi cardiologique si la patiente venait à représenter des douleurs thoraciques dans le futur. Sur le plan social, notre équipe de liaison propose une aide supplémentaire à domicile à Mme. Y et sa fille. Elles rapportent être suffisamment entourées. Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Y peut rentrer à domicile le 15.01.2019 avec contrôle chez son médecin traitant à 1 semaine pour suivi de la fonction rénale et adaptation du traitement diurétique. Mme. Y, 87 ans, nous est adressée pour une réhabilitation gériatrique depuis le service de médecine HFR Fribourg - Hôpital cantonal, suite à un traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. À son entrée dans notre service, Mme. Y présente au statut un souffle holosystolique à 4/6 au foyer mitral. La patiente présente également une hémorragie sous-conjonctivale de l'œil gauche ainsi qu'un hématome péri-orbitaire gauche. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. En ce qui concerne l'insuffisance rénale, le suivi biologique montre une situation stable avec légère amélioration de la fonction rénale sur l'ensemble du séjour. Une protéinurie urinaire objectivée le 02.12.2018 et non investiguée nous pousse à effectuer une électrophorèse des protéines le 13.12.2018, objectivant un rapport kappa/lambda libre à 1.95, légèrement au-dessus de la norme mais possiblement normal dans un contexte d'insuffisance rénale. Après discussion avec l'oncologue, Dr. X, nous vous proposons un contrôle à 3 mois de l'électrophorèse de protéines.Sur le plan électrolytique, nous diagnostiquons une légère hypokaliémie à 3.4mmol/l le 10.12.2018 justifiant une substitution et un suivi biologique avec normalisation de la situation durant le séjour. Le bilan biologique effectué au service de médecine HFR Fribourg le 04.12.2018 objective une hypovitaminose D sévère à 14nmol/l. Nous poursuivons donc la substitution instaurée durant le séjour précédent. Mme. Y suit actuellement un traitement de Xarelto, adapté à 15mg durant le premier séjour en raison d'une insuffisance rénale. Cette thérapie avait été débutée pour une thrombose du réseau saphène anamnestique. Nous vous laissons le soin de réévaluer l'indication à une poursuite de l'anticoagulation. Durant l'hospitalisation, nous objectivons un comportement compulsif avec des rituels de lavage, motivant une consultation géronto-psychiatrique auprès du Dr. X. Celui-ci nous explique une possible composante frontale dans le comportement de cette patiente avec des troubles cognitifs, cette dernière ne se rendant pas compte du caractère exagéré de son comportement. Si vous le souhaitez, nous vous proposons d'effectuer un bilan neuropsychiatrique en ambulatoire. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances légèrement diminuées, avec un MMS à 24/30 et un test de la montre à 6/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, son périmètre de marche seule et à l'aide d'un rollator est de 250 mètres. La patiente peut gravir 18 marches seule, sous surveillance et à l'aide d'une canne et de la rampe. Elle nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 96/126, par rapport à 62/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 6/7, marche à 6/7, escaliers à 5/7). Le TUG est à 20.21 secondes avec rollator. Le risque de chute est bas. Mme. Y bénéficie d'un bilan nutritionnel, ne mettant pas en évidence de malnutrition protéino-énergétique. La patiente a un appétit conservé et couvre l'entier de ses besoins. Elle ne souhaite pas d'adaptation supplémentaire. Durant ce séjour, la patiente profite aussi d'un suivi ergothérapeutique qui l'instruit sur l'emploi adéquat du rollator. A la sortie, Mme. Y atteint les objectifs d'indépendance fixés en s'aidant du rollator, et souhaite poursuivre son utilisation à domicile. Le 20.12.2018, au vu de la bonne évolution clinique, nous laissons rentrer en bon état général, avec organisation du passage des soins à domicile 2x/jour pour les bas de contention, 2x/jour pour mise en route le matin et aide au coucher le soir, et 1x/semaine pour contrôle santé. Patient de 88 ans, 3 gestes, 3 pares, résidant au Home Martinets, hospitalisé pour une prise en charge chirurgicale d'un carcinome mammaire invasif apocrine du sein gauche, NST grade 2, bi-centrique triple négatif. Dans un premier temps, on propose une prise en charge du carcinome mammaire et on pose l'indication à une mastectomie simple chez un patient qui refuse toute chimiothérapie et radiothérapie. Le patient accepte l'intervention en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 16.01.2019 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et le patient reste apyrétique. Les redons sont retirés le 19.01.2019. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile et sera revu dans une semaine. Patient de 88 ans qui consulte pour des douleurs à la hanche gauche en péjoration depuis plusieurs jours avec incapacité de charger depuis le 16.12.2018 au soir. Le patient ne relate pas de chute. Rappelons un récent séjour à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal du 15.11.2018 au 21.11.2018 pour bronchite aiguë suivie de diarrhées, et séjour de réadaptation gériatrique à l'HFR Riaz jusqu'au 06.12.18, avec bonne évolution. Le patient n'a pas d'état fébrile, pas de problème cardiaque ni de thrombose. Mme. Y est bien orientée. Au niveau ostéo-articulaire, relevons une douleur à la palpation de l'adducteur droit, sans hématome ni douleur au repos, avec charge possible. Sur le plan cardiaque, les B1 B2 sont bien frappés, sans souffle systolique sur foyer pulmonaire, sans œdème aux membres inférieurs. Dans le cadre pulmonaire, notons un murmure vésiculaire réduit diffusément, avec beaucoup de sibilances. L'abdomen est souple, sans douleur à la palpation, et aux bruits conservés. Aux urgences de l'HFR Fribourg, une radiographie de la hanche constate un début de déscellement mécanique de la prothèse de hanche gauche. Un avis orthopédique est pris auprès du Dr. X et du Dr. X. Ces derniers retiennent une clinique en faveur d'une tendinite des adducteurs en l'absence de douleurs à la mobilisation passive de la hanche gauche. En cas d'absence d'amélioration ou péjoration de l'état clinique, il y aurait lieu de confronter à un CT scanner pour bilanter un déscellement (dans le contexte de l'âge et des comorbidités, remise en question de cet examen et ses conséquences dans l'état actuel). Le jour même de son entrée aux urgences, Mme. Y est donc transférée dans notre service de gériatrie aiguë pour réadaptation gériatrique et adaptation antalgique. Au vu de l'insuffisance rénale, une hydratation est mise en place avec amélioration de la créatinine. Sur le plan antalgique, nous initions du Dafalgan, avec bon effet. Le patient se plaint de douleurs au mollet gauche, raison pour laquelle nous effectuons une ultrasonographie. Cet examen visualise une petite déchirure musculaire au niveau du vaste externe que nous traitons de manière conservatrice avec physiothérapie et antalgie. Le 19.12.2018, Mme. Y présente 2 épisodes isolés de diarrhées d'origine probablement virale. Dans ce contexte, nous effectuons une recherche de clostridium, qui revient négative. Le laboratoire indique un syndrome inflammatoire avec une leucocytose qui se normalise aux contrôles suivants. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche seule est de 100 mètres. La patiente peut gravir 9 marches avec guidance verbale et en utilisant la rampe. Elle est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 100/126, par rapport à 94/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 24.4 secondes avec rollator. Le risque de chute est intermédiaire. Finalement, au vu de la bonne évolution de la patiente, un retour à domicile est décidé pour le 24.12.2018. Le passage des soins à domicile se fera 2x/semaine pour contrôle santé et suivi du poids, ainsi qu'1x/semaine pour le semainier. La fille activera les repas à domicile. A noter que le patient a besoin d'un rollator pour le domicile, dont nous vous remercions de préparer une prescription. Patient de 89 ans, admis aux soins intensifs le 26.01.2019 en raison d'une détresse respiratoire aiguë dans le contexte d'une grippe au décours avec décompensation secondaire de COPD. Le patient présente depuis plusieurs jours une dyspnée associée à une exacerbation de sa toux. Il consulte son médecin traitant, qui lui prescrit une antibiothérapie. L'évolution est défavorable, motivant son admission aux urgences. Il nous est adressé pour suite de prise en charge dans un contexte de décompensation respiratoire globale aiguë avec détresse respiratoire et broncho-spasme marqué. L'évolution est progressivement favorable sous antibiothérapie, aérosols et ventilation non invasive. En l'absence de foyer pulmonaire clinique et radiologique franc, et après identification d'une grippe A, nous interrompons les antibiotiques dès le 28.01.2019. L'antigène urinaire est négatif pour la légionelle.Aux urgences, les enzymes cardiaques sont élevées avec un NT-proBNP augmenté. Nous ne retenons pas de signe de décompensation cardiaque aiguë ni clinique ni radiologique. L'échocardiographie effectuée en cours de séjour montre une fonction cardiaque gauche conservée, sans valvulopathie majeure identifiée. Un traitement symptomatique est préconisé. Le 28.01.2019, elle présente une fibrillation auriculaire à conduction rapide asymptomatique. Nous obtenons un contrarie satisfaisant de la fréquence cardiaque après dose unique de digoxine et introduction de bétabloqueurs à faibles doses. D'entente avec nos collègues cardiologues, aucune autres investigations complémentaires ne sont envisagées. L'insuffisance rénale se corrige rapidement après une hydratation adéquate, la patiente étant hypovolémique à son arrivée. Compte tenu de la broncho-pneumopathie avancée, nous vous proposons d'introduire des bronchodilatateurs de longue durée d'action à distance de l'épisode aigu. Mme. Y, 89 ans, admise en réadaptation gériatrique suite à une rupture de l'haubanage avec désolidarisation du cerclage olécrânien droit par rapport aux 2 broches en status après réduction et ostéosynthèse par cerclage-haubanage le 04.11.2018 pour fracture comminutive de l'olécrâne droit. Pour cette même fracture, notons que la patiente était d'abord hospitalisée en orthopédie HFR Riaz du 12.12.2018 au 21.12.2018. A son admission dans notre service de réadaptation gériatrique le 21.12.2018, l'examen clinique des status neurologique, cardiovasculaire, pulmonaire et digestif est sans particularité. Sur le plan ostéo-articulaire, la patiente est réopérée le 28.12.2018 pour un deuxième débricolage d'une ostéosynthèse de l'olécrâne droit avec ablation des deux plaques olécrâniennes Medartis et olécrânectomie partielle. Par la suite, nous observons une bonne évolution post opératoire avec une ablation des fils prévue le 15.01.2019. Concernant les troubles de la marche et de l'équilibre, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche seule est à volonté. La patiente peut gravir 36 marches sans accompagnement. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 86/126, par rapport à 77/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 5/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 24.48 secondes. Durant son séjour, Mme. Y bénéficie d'un suivi nutritionnel indiquant qu'elle couvre ses besoins protéino-énergétiques à 90-100%, avec une alimentation enrichie et un supplément nutritif oral par jour (score NRS ou mini MNA à 2/7). A noter que le poids demeure stable sur plusieurs semaines. Dans le contexte social, rappelons que Mme. Y est veuve et qu'elle vit actuellement dans un hôtel à Bulle. Dès le 10.01.2019, et au vu des problématiques et du status hors canton de la patiente, cette dernière reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Un transfert en Valais est organisé. Finalement, Mme. Y sera admise au Home des Marronniers à Martigny le 22.01.2019. Mme. Y, 89 ans, connue pour un diabète de type 2, une hypertension artérielle, une cardiopathie ischémique et une fibrillation auriculaire, est admise ce jour pour une réadaptation gériatrique dans un contexte de fracture Garden IV du col fémoral droit sur chute du 10.12.2018. Pour rappel, Mme. Y est veuve et demeure seule dans un appartement. Préalablement, la patiente avait été hospitalisée en orthopédie du 10.12.2018 au 31.12.2018, puis en gériatrie aiguë jusqu'au 08.12.2018 pour prise en charge de sa fracture et de sa décompensation cardiaque. Sur le plan digestif, la patiente se plaint de douleurs abdominales intermittentes diffuses sans autres manifestations, pour lesquelles lors du séjour précédent un avis chirurgical (Dr. X) indiquait une cholécystectomie élective. Nous vous laissons le soin de réévaluer cette indication et de planifier cette intervention. Sur le plan ostéo-articulaire, Mme. Y ne se plaint pas de douleur au niveau de sa fracture. Un contrôle radio-clinique est prévu le 30.01.2019 auprès du Dr. X. Au niveau cardiaque, nous ne relevons pas de signe d'insuffisance cardiaque, avec des constantes hémodynamiques dans la norme. Pour la prise en charge du trouble de la marche et de l'équilibre, la patiente effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche seule et à l'aide d'un rollator est de 120 mètres. Mme. Y peut gravir 9 marches avec accompagnement. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 108/126 par rapport à 81/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 2/7). Le TUG est à 19.2 secondes avec rollator. Durant son séjour, la patiente bénéficie d'un suivi nutritionnel qui constate une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec une inappétence, et démontrée par des ingestats couvrant 75% des besoins énergétiques totaux et un NRS à 3/7. La patiente bénéficie également d'un suivi d'ergothérapie principalement axé sur la mobilisation et les activités de la vie quotidienne. Au vu de la bonne évolution clinique, nous planifions un retour à domicile le 21.01.2019. Mme. Y, 89 ans, connue pour une fibrillation auriculaire anticoagulée par Eliquis et un antécédent de carcinome basocellulaire prétibial gauche, opéré sous anesthésie générale le 06.11.2018, a été réadmise en chirurgie HFR Riaz le 11.11.2018 en raison d'une surinfection de cette lésion par S. Aerus au niveau du site opératoire, avec apparition de nouvelles plaies. Un pansement aspiratif est en place (changement 2 fois par semaine), et Mme. Y nous est adressée pour réadaptation gériatrique le 21.12.2018. Une greffe de peau est prévue début janvier 2019 par le Dr. X. Durant son séjour, la patiente présente une anémie normochrome macrocytaire déjà investiguée en chirurgie avec une oeso-gastro-duodénoscopie et une colonoscopie n'ayant pas pu être effectuées en raison d'une préparation non adéquate selon l'opérateur. Ces examens devraient être replanifiés. Néanmoins, la patiente reçoit une transfusion d'un culot érythrocytaire le 26.12.2018. Nous objectivons aussi des oedèmes aux membres inférieurs avec une baisse de 2.5 kg sur une semaine depuis l'introduction du Torem 10 mg/j. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche seule et à l'aide d'un rollator est de 120 mètres. Les escaliers ne sont pas testés. Mme. Y est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 95/126, par rapport à 76/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 22 secondes avec rollator. Sur les indications de l'opérateur, nous stoppons l'Eliquis et introduisons la Clexane à dose thérapeutique avec un arrêt à 48h de l'opération. Nous vous laissons le soin de réévaluer le traitement anticoagulant en post opératoire. Le 09.01.2019, Mme. Y est prise en charge en chirurgie HFR Riaz pour y être opérée le jour même par le Dr. X.Patiente de 89 ans connue pour une hypertension artérielle, une démence et une insuffisance rénale chronique, hospitalisée pour une pyélonéphrite compliquée avec manque de place à l'Hôpital de Riaz. Pour rappel, la patiente a été diagnostiquée avec une cystite le 15.12.2018, traitée avec de la Furantoïne. Le 17.12, ne voyant pas d'amélioration clinique, un changement avec Ciprofloxacine 500 mg 2 fois par jour est fait. Étant toujours fébrile avec loges rénales dolentes, la patiente se rend aux urgences de Riaz le 19.12.2018, où une pyélonéphrite compliquée est retenue comme diagnostic. Une hospitalisation est souhaitée, malheureusement l'hôpital ne détient pas la place nécessaire et Mme. Y est transférée dans notre service de médecine interne à Morat. Mme. Y vit dans une maison de retraite à Broc, elle est connue pour des troubles cognitifs et elle n'a plus sa capacité de discernement. À l'entrée, la patiente est très faible, elle nous réfère des brûlures mictionnelles ces derniers jours et une asthénie en augmentation. La patiente est désorientée dans les quatre modes, elle est confuse, avec un trouble de l'attention important. Elle est agitée, ne comprend pas son hospitalisation et arrache sa voie veineuse. Le status montre une douleur de la loge rénale gauche. Au niveau cardiaque, nous avons une tachycardie régulière, souffle systolique 1/6 mitral. L'ECG montre une tachycardie sinusale asymptomatique, la tension est dans la norme (en général, la patiente est connue pour hypertension). Il n'y a pas de signe méningé. Elle présente un érythème au niveau des deux genoux avec pétéchies des membres inférieurs, sans lésion au niveau du tronc et des membres supérieurs. Le bilan urinaire montre des signes d'infection. Le laboratoire montre également un syndrome inflammatoire. Sur diagnostic de pyélonéphrite réfractaire au traitement primaire, nous modifions le traitement antibiotique avec Rocephin 2g intraveineux à raison d'une fois par jour. Durant l'hospitalisation, nous voyons une évolution favorable de l'état général avec disparition de l'état fébrile, de l'érythrodermie ainsi que des pétéchies et du syndrome inflammatoire au laboratoire. Une hypokaliémie est diagnostiquée et substituée. Merci d'évaluer l'arrêt de la substitution après retour au domicile. La patiente rentre à la maison de retraite le 24.12.2018. Patiente de 90 ans admise en réhabilitation gériatrique suite à un séjour en orthopédie à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour une fracture pertrochantérienne droite opérée le 04.12.2018 ainsi qu'une fracture de l'os cuboïde du pied gauche. Pour rappel, Mme. Y était tombée en glissant sur de l'eau. Il s'agit d'une patiente autonome, vivant à la maison, sans aide si ce n'est celle d'une femme de ménage. Mme. Y marche avec une canne. À son entrée dans notre service, la patiente n'a pas de plainte particulière, pas de nausées ni de vomissements, et pas de troubles du transit. Le status fait à l'entrée signale des bruits du cœur bien frappés, sans souffle, et des œdèmes aux membres inférieurs plus marqués à gauche qu'à droite. Par rapport à la fracture, le prochain contrôle en orthopédie à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal est prévu le 18.01.2019 à 10h15 chez Dr. X. Le bilan biologique fait à l'entrée constate un déficit en vitamine D et en acide folique, qui est substitué. Nous vous laissons le soin de recontrôler ces valeurs à distance. Les valeurs de la TSH se montrent dans les limites inférieures de la norme avec une TSH à 5.87 mU/l et une T4 à 14 pmol/l. Nous proposons de recontrôler à 1 mois afin d'évaluer la nécessité d'augmenter la substitution. Sur le plan médicamenteux, nous mettons en pause la Pravastatine au vu des effets secondaires et de l'absence d'indication. Comme antalgie, nous mettons en place du Tramal, avec bonne réponse. Le 18.12.2018, Mme. Y présente un épisode de tachycardie. Nous effectuons un ECG révélant un flutter auriculaire à 150 battements par minute et introduisons un traitement de Beloc ZOK 50 mg, avec bonne réponse. Le 19.12.2018, l'ECG de contrôle indique un rythme sinusal. Dans ce contexte, nous décidons d'introduire une anticoagulation par Eliquis 2.5 mg 2x/j. Suite à cela, la Clexane prophylactique mise en place après l'opération est stoppée. Mme. Y est connue pour une dégénérescence maculaire, suivie à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal. Sur demande de la patiente et de sa famille, nous organisons un rendez-vous pour le 21.01.2019 à 17h, service d'ophtalmologie HFR Fribourg. La patiente présente un risque de chute, avec des chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMS à 27/30 et un test de la montre à 3/7. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge partielle de 15 kilos au membre inférieur droit à visée surtout sur les transferts au vu de sa difficulté à respecter la charge partielle. À la sortie, son périmètre de marche accompagnée et à l'aide d'un déambulateur est de 40 mètres. Mme. Y ne peut pas gravir d'escalier. Elle nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 80/126 par rapport à 59/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, et marche 3/7) Au niveau ergothérapeutique, Mme. Y bénéficie d'un entraînement sur les transferts ainsi qu'une mise en place d'un moyen auxiliaire adapté. Le 28.12.2018, Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR, bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Patiente de 90 ans admise en urgence à l'HFR Tafers le 23.12.2018 à la suite d'une chute de sa hauteur avec réception sur la hanche D. Les investigations mettent en évidence la fracture pertrochantérienne D. L'indication opératoire est posée. Le 24.12.2018, la patiente est transférée à Fribourg pour la prise en charge opératoire. Une anémie mixte est mise en évidence à Tafers nécessitant la transfusion de 2 CE le 23.12.2018. Poursuite des substitutions p.o. au vu du bilan vitaminique et nutritionnel. Le 25.12.2018, la patiente présente une décompensation cardiaque globale dans le contexte d'une sténose aortique serrée et FA rapide (FEVG 65 %) ainsi qu'un syndrome inflammatoire d'origine indéterminée (CRP 175 mg/l) et des œdèmes importants des MI et du MSG. La rx du thorax du 23.12.2018 avait mis en évidence une cardiomégalie et un épanchement pleural G (CT thoracique de juillet 2018 montrant déjà une cardiomégalie avec des épanchements pleuraux ddc; sans bilan supplémentaire). Un ECG est réalisé le 24.12.2018 ainsi qu'une échographie ETT le 25.12.2018 à but de bilan préopératoire (en annexe) : minime épanchement péricardique. En accord avec les internistes, introduction de morphine 2 mg i.v. en R si dyspnée. Pas d'ultérieure démarche diagnostique ni escalade thérapeutique. L'intervention chirurgicale se déroule le 28.12.2018 avec transfusion de 1 CE. La rx peropératoire est satisfaisante. Les suites postopératoires sont marquées par une baisse de l'état général de Mme. Y. Au vu des directives anticipées émises par la patiente, nous décidons, de concert avec la famille et nos collègues de la médecine interne, de mettre en place des soins de confort.Le 31.12.2018, Mme. Y est transférée au home. • Patiente de 90 ans, connue pour une démence et une hypertension artérielle, que vous adressez aux urgences de l'HFR Riaz le 11.01.2019 en raison d'une suspicion d'accident ischémique transitoire avec troubles du langage et asthénie depuis 5 jours. L'anamnèse est non contributive et la patiente n'a pas de plainte. L'anamnèse systématique est sans particularité. L'hétéro-anamnèse (selon une personne travaillant au home et vous-même) décrit depuis 5 jours une asthénie et des troubles du langage avec un discours incohérent. Par ailleurs, la patiente a chuté à plusieurs reprises les derniers jours avec présence de troubles de la marche depuis cet après-midi ainsi qu'une boiterie faisant suspecter une fracture de la hanche à gauche. Sur le plan social, Mme. Y est mariée et vit au Foyer de Saint-Germain de Gruyères. À l'admission et au statut neurologique, la patiente présente une somnolence, une désorientation dans tous les modes et une légère asymétrie faciale au niveau labial. Le reste du statut est difficilement réalisable étant donné que la patiente ne comprend pas les ordres. Au vu des troubles du langage et d'une asthénie présents depuis 5 jours, nous demandons un CT-scan cérébral natif et injecté qui visualise une hypodensité au niveau de l'hémisphère cérébelleux droit compatible avec un AVC cérébelleux droit subaigu. Dans ce contexte, nous effectuons un relai du traitement d'Aspirine Cardio 100 mg de la patiente, par du Plavix 75 mg. Sur le plan ostéoarticulaire, nous effectuons une radiographie de la hanche gauche qui écarte une fracture. Au niveau cardiovasculaire, nous adaptons le Bilol par rapport au profil tensionnel. Dans la sphère nutritionnelle, nous effectuons un test de déglutition qui conclut à un régime 4C, et un bilan indiquant une absence de malnutrition protéino-énergétique. Concernant ses troubles de la marche et de l'équilibre, Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation principalement axée sur les transferts. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 31/126, par rapport à 32/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 3/7, marche 2/7, escaliers 1/7). Mme. Y bénéficie également d'un suivi d'ergothérapie orienté sur la guidance dans les activités et un accompagnement à la mobilisation. Finalement, au vu de la bonne évolution clinique de Mme. Y, nous organisons un retour au Foyer St-Germain de Gruyères. • Patiente de 90 ans connue pour une insuffisance cardiaque terminale, qui nous est transférée depuis le service de réhabilitation gériatrique vers notre service de soins palliatifs spécialisés pour une décompensation cardiaque globale. L'anamnèse est difficile face à une patiente avec une dyspnée très importante. Mme. Y évoque une dyspnée de stade NYHA IV en exacerbation depuis quelques semaines, avec une très grande fatigue et une impossibilité à se mobiliser. À l'anamnèse systématique, la patiente dit avoir des nausées et vomissements depuis l'introduction de Morphine pour la dyspnée. Elle dit être souvent constipée. Des troubles de la déglutition sont présents (dysphagie aux liquides et difficulté à avaler les médicaments). Elle dit ne plus avoir d'appétit et ne rien avoir mangé depuis 2 jours. Elle évoque une très grande soif avec sécheresse buccale. Elle dit enfin ne pas avoir le moral et avoir peur, notamment de mourir. Compte tenu de l'insuffisance cardiaque terminale, nous mettons en place des soins de confort exclusivement, avec de la Morphine, du Lasix et du Dormicum iv en continu. Du Primperan 4x/j en iv pour les nausées, et du Laxoberon gouttes pour la constipation. Le 25.01.2019, la patiente décède, apaisée et sans aucune douleur. • Patiente de 91 ans, admise aux soins intensifs le 28.01.2019 pour surveillance rythmique post-ablation du boîtier de pacemaker. Connue pour une maladie du sinus et une fibrillation auriculaire lente, elle bénéficie d'un pacemaker depuis plusieurs années. Depuis deux semaines, le boîtier affleure à la peau. L'évolution est défavorable sous traitement conservateur associé à un traitement prophylactique par Co-amoxicilline orale. Le boîtier du pacemaker est donc retiré le 28.01.2019, sans remplacement d'office du dispositif. Dans les suites immédiates de cette intervention, elle développe un important hématome sous-cutané sous-claviculaire droit, motivant une reprise avec hémostase chirurgicale. Elle nous est ensuite adressée pour suite de prise en charge. L'évolution dans notre service est simple, sans nouvelle complication hémorragique. Nous n'observons pas de bradycardie significative. Le traitement habituel par bétabloqueurs n'est pas reconduit et l'anticoagulation thérapeutique par Xarelto est suspendue. Celle-ci est à reprendre d'ici au 31.01.2019 en fonction de l'évolution clinique. Dans l'intervalle, seule une anticoagulation prophylactique par héparine est instaurée dès le 29.01.2019. Un suivi quotidien de la plaie et de la FSS est préconisé. La pose d'un nouveau boîtier, non prévue d'office, est à rediscuter en fonction de l'évolution clinique et des cultures en cours. L'Augmentin est à poursuivre jusqu'au 31.01.2019 au moins. Nous vous laissons le soin de discuter de la poursuite de ce traitement avec nos collègues cardiologues et infectiologues en fonction de l'évolution clinique et des cultures en cours. • Patiente de 92 ans, admise aux soins intensifs en raison d'un état de mal épileptique avec crise focale partielle matrice initiale le 01.01.2019. La patiente présente le 01.01.2018 dès 4 heures du matin des myoclonies généralisées, persistantes, d'apparition brusque, sans altération de l'état de conscience. Sur la base du tableau clinique, le diagnostic d'état de mal est retenu. Un CT cérébral est réalisé, qui s'avère non-contributif, sans lésion aiguë décelée. Les crises sont rapidement contrôlées dès l'arrivée aux urgences après majoration du traitement habituel de Keppra et administration itérative de clonazépam. Elle nous est alors adressée pour suite de prise en charge. L'évolution dans notre service est simple, sans récidive comitiale objectivée. L'origine de l'état de mal actuel est incertaine. Une possible composante irritative dans un contexte infectieux est évoquée. La patiente a été traitée jusqu'au 29.12.2018 par Co-Amoxicilline pour une dermohypodermite sur une surinfection d'un ulcère veineux au niveau du talon droit. Actuellement, elle présente un érythème et une tuméfaction sensible de l'extrémité distale du mollet à gauche. Nous débutons une antibiothérapie par Clindamycine, que nous vous proposons de poursuivre pour 10 jours au total. Les frottis bactériologiques sont en cours. Un suivi clinique aux 48 heures est préconisé, ainsi que le port de bandes de contention au lever. Au moment de la sortie, la patiente est alerte, orientée aux 3 modes, calme et collaborante, sans déficit moteur focal mis en évidence à l'examen clinique ciblé. • Patiente de 92 ans admise aux soins intensifs pour une surveillance neurologique après une thrombendartériectomie mécanique pour un AVC sylvien gauche. Elle présente un hémisyndrome droit avec une aphasie et une dysarthrie vers 8h 25. Elle est adressée à Berne où un AVC ischémique sur occlusion M2 probablement d'origine cardio-embolique est diagnostiqué (NIHSS initial à 10). Elle bénéficie d'un traitement endovasculaire avec une bonne reperfusion et une nette amélioration clinique. Le CT cérébral de contrôle montre une légère transformation hémorragique. La surveillance neurologique s'avère sans particularités. La patiente garde un NIHSS à 3 avec persistance d'une hémianopsie partielle gauche et une parésie faciale droite mineure. Le test de déglutition est normal. Un traitement antihypertenseur est optimisé avec Lisitril et Beloc afin d'avoir un seuil tensionnel <160 mmHg. Nos collègues de neurologie recommandent une IRM cérébrale à J 5 de contrôle et, en fonction des résultats, discuter la reprise d'une anticoagulation thérapeutique. La patiente est transférée en stroke unit non monitorée. Patiente de 93 ans, admise en réadaptation gériatrique suite à un séjour en gériatrie aiguë HFR Riaz en raison de troubles de la marche et de l'équilibre avec chutes à répétition, dont la dernière le 29.11.2018 avec traumatisme crânien. Suite à des douleurs abdominales, avec une radiographie de l'abdomen sans préparation suspecte pour un subiléus, un CT abdominal effectué le 13.12.2018 confirme ce diagnostic. Après avis chirurgical donné par le Dr. X, et au vu d'une amélioration clinique et d'un transit dans la norme, nous reprenons l'alimentation et l'hydratation, et réduisons les opioïdes. Dans ce contexte encore, nous arrêtons l'Oxycontin pour mettre en place du Targin, permettant une bonne antalgie et un transit dans la norme. Le 17.12.2018, Mme. Y présente des douleurs à l'épaule gauche. Nous effectuons une radiographie qui ne montre pas de fracture mais une tendinopathie calcifiante. Dans ce contexte, nous poursuivons l'antalgie et mettons en place une bretelle et de l'Ecofenac patch. La patiente présente un risque de chute, avec des chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche accompagnée et à l'aide d'un rollator est de 100 mètres. La patiente ne peut pas gravir d'escalier. Elle nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 51/126, par rapport à 66/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 4/7, marche 5/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 45 secondes avec rollator. Son risque de chute est intermédiaire. Durant son séjour, la patiente bénéficie également d'une physiothérapie de mobilisation de son membre supérieur gauche. Sur le plan de l'ergothérapie, un bilan modulaire objective une diminution des performances par rapport à la dernière évaluation, surtout au niveau de l'encodage mnésique, avec une baisse de l'attention dirigée. Une désorientation temporelle est aussi mise en évidence, mais la patiente possède une très bonne orientation spatiale. Le bilan nutritionnel ne constate pas de malnutrition. Dès le 28.12.2018, Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, Mme. Y se rendra au Home du Châtelet d'Attalens le 14.01.2019. Patiente de 93 ans connue pour ostéoporose, prothèses totales de hanches bilatérales et troubles cognitifs, est amenée aux urgences de l'HFR Riaz par ambulance suite à une chute de sa hauteur dans la nuit du 03.01.19 au 04.01.19, sans traumatisme crânien. Selon l'hétéro-anamnèse, la patiente a été retrouvée au sol par son fils. À l'admission, Mme. Y présente, sur le plan ostéo-articulaire, des douleurs à la palpation de la crête iliaque droite et de la hanche droite en regard du grand trochanter, avec raccourcissement de la jambe droite. Au niveau neurologique, signalons une désorientation temporelle. Une radiographie et un CT du bassin mettent en évidence une fracture de la branche ischio-pubienne droite. Sur avis orthopédique, nous instaurons un traitement conservateur. Sur le plan cardiaque, notons la présence d'une fibrillation auriculaire inaugurale avec un CHA2DS2-VASc à 3 et HASBLED à 1 que nous n'anticoagulons pas en raison d'un grand risque de chute dans le contexte des troubles cognitifs majeurs. La patiente présente cependant une tachycardie sur plusieurs jours, raison pour laquelle nous instaurons du Beloc ZOK à 25 mg. Durant son séjour, Mme. Y bénéficie d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 07.01.2019 au 14.01.2019. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 10.01.2019 montrent des performances altérées avec un MMS à 10/30 et un test de la montre à 0/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 7/30. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. À la sortie, son périmètre de marche accompagnée et à l'aide d'une canne est de 20 mètres. Mme. Y ne peut pas gravir d'escalier. Elle nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 49/126, par rapport à 47/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 5/7, marche à 4/7, escaliers à 1/7). Le risque de chute est élevé. Durant son séjour, la patiente bénéficie d'un bilan nutritionnel, ne mettant pas en évidence de malnutrition protéino-énergétique. Mme. Y profite d'un bilan modulaire d'ergothérapie en plus d'un accompagnement axé sur les activités de la vie quotidienne, qui constate un déficit massif de la mémorisation, avec encodage impossible, préservation des automatismes et d'une partie de l'autobiographie et de l'expression ; présence aussi d'une compréhension fortement diminuée en raison du déficit auditif et des troubles mnésiques. Le bilan nutritionnel ne signale pas de déficit actuellement. Toutefois, la situation est à risque à domicile et nécessite une évaluation régulière. Au vu de la bonne évolution clinique, nous reclassons la patiente le 16.01.2019 dans l'attente d'une place en EMS. Mme. Y reste donc hospitalisée bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement. À savoir que le 29.01.2019, Mme. Y sera reprise en gériatrie aiguë HFR Riaz en raison d'une dermite en lien avec une incontinence urinaire et des selles (lettre B). Patiente de 93 ans résidente du Home de la Jeuss, connue pour IC hypertensive et rythmique ainsi qu'une démence avancée. Elle est transférée sur demande du Dr. X suite à une chute hier avec réception sur le côté gauche ainsi qu'une prise pondérale importante ces derniers jours. Au vu du statut clinique avec d'importants OMI remontant à mi-cuisse, des râles grossiers aux bas pulmonaires ainsi que la radio du thorax démontrant des signes de décompensations cardiaques, nous hospitalisons la patiente et établissons un traitement diurétique. Étant donné l'amélioration clinique avec perte pondérale de 2 kg pendant l'hospitalisation, nous pouvons laisser rentrer la patiente à son EMS à l'état général nettement amélioré. Au vu de sa haute dose de maintien de Torasemid à 50 mg par jour ainsi qu'un potassium à 3.4 mmol/l à sa sortie, nous conseillons un suivi du traitement diurétique chez le MT. La déformation du poignet gauche avec douleur à la palpation et mobilisation montre une fracture non dissociée du radius et ulna gauche que nous traitons conservativement avec un plâtre. Un traitement anticoagulant a été repris avec le liquémine que nous recommandons également de réévaluer chez le médecin traitant suite au Xarelto qui avait déjà été stoppé le 04.2018 au vu des multiples hématomes obtenus dans le cadre de chutes répétitives. Concernant la légère hypothyroïdie, nous conseillons une réévaluation chez le médecin de famille dans environ 6 semaines. Concernant l'insuffisance rénale et la légère hyponatrémie, nous conseillons d'instaurer une restriction sodée dans l'alimentation de cette patiente à l'EMS.Patiente de 94 ans, prise en charge ce jour en réadaptation gériatrique suite à une intervention d'ostéosynthèse de l'épaule gauche dont résulte désormais un déconditionnement et dans le cadre d'un status après état inflammatoire probablement dans le contexte post opératoire. La patiente présente un risque de chute, avec des chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Par rapport à l'état inflammatoire post opératoire, un suivi clinique et biologique à partir du 16.12.2018 objective une amélioration des paramètres inflammatoires. Le 24.12.2018, une nouvelle péjoration de la leucocytose est mise en évidence. Nous effectuons une radiographie qui visualise un foyer bibasal et nous instaurons un traitement par Cefepime 1g 2x/j pendant 7 jours. Nous vous laissons le soin de suivre cliniquement l'évolution. Au vu de l'augmentation de la leucocytose, nous suspectons une possible réaction leucémoïde. Cependant, au vu du contexte clinique global, nous décidons de ne pas poursuivre les investigations. Nous vous laissons le soin de suivre les valeurs biologiques et d'organiser les investigations en ambulatoire, si souhaitées par la patiente. Sur le plan médicamenteux, nous réintroduisons le Torem 5mg qui avait été mis en suspens lors du séjour aigu au vu d'une légère prise de poids. Nous proposons un suivi constant du poids et du profil tensionnel. De plus, nous introduisons du Magnesiocard car Mme. Y nous signale des douleurs aux membres inférieurs. Nous suspectons un état dépressif et mettons en place 25mg de Trittico 1x/j. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche accompagnée et à l'aide d'un rollator est de 10 mètres. La patiente ne peut pas gravir d'escalier. Cette dernière bénéficie aussi d'une mobilisation active et passive de l'épaule gauche. Elle nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 57/126 par rapport à 56/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 3/7, marche 1/7, escaliers 1/7). Le risque de chute est élevé. Mme. Y est prise en charge par le service nutrition dans le contexte d'une malnutrition protéino-énergétique modérée en lien avec ses douleurs, son inappétence et une augmentation de ses besoins sur pneumonie, démontrée par un NRS à 4/7, des ingesta de 50-75% des besoins dans la semaine précédente, une perte pondérale de 10% fractionnée sur la dernière année, dont 5% sur le dernier mois, et un indice de masse corporelle à 19kg/m2. Une alimentation enrichie et un supplément nutritif oral par jour lui sont donc proposés, lui permettant de couvrir ses besoins énergétiques. Mme. Y maintient ainsi un poids stable durant son séjour. Pour la suite, nous proposons de continuer avec une alimentation enrichie et la prise d'un supplément nutritif oral par jour. Au niveau ergothérapeutique, nous effectuons un travail d'utilisation du bras gauche (bras dominant) pour les repas. Suite à une bonne évolution clinique, Mme. Y quitte notre service le 27.12.2018 pour rejoindre le Home de Charmey. Une prescription de physiothérapie ambulatoire est effectuée. Rappelons un rendez-vous de contrôle radioclinique à 6 semaines chez le Dr. X, à 7h30 le 28.01.2019 à la policlinique de l'HFR Riaz. Patiente de 96 ans connue pour une coronaropathie monotronculaire ischémique sous Plavix, une incontinence urinaire sévère ainsi qu'un tremblement essentiel, est amenée à la Permanence par l'ambulance pour des douleurs abdominales exquises. Elle reçoit durant le trajet 100mcg de Fentanyl et 1g de Métamizole. A son arrivée, la patiente est fébrile à 39.2° mais asymptomatique et stable hémodynamiquement. Une douleur vive à la loge rénale droite à la percussion ainsi qu'un syndrome inflammatoire biologique nous font poser le diagnostic probable de pyélonéphrite droite, pour laquelle nous entamons une antibiothérapie par Rocéphine 2g iv. Après 4 jours d'antibiothérapie iv, nous faisons un switch oral étant donné l'amélioration de l'état clinique et des paramètres inflammatoires biologiques. Les hémocultures reviennent négatives après 5 jours. Un épisode de dyspnée aïgue pendant la nuit du 7 au 8.1.19 nous font entreprendre une radiographie du thorax, mettant en évidence des signes de décompensation cardiaque, ce pourquoi nous réinstaurons le traitement diurétique au Torasemid stoppé à la permanence lors de l'entrée de la patiente. La patiente est asymptomatique à ce jour. Au vu de son hypertension artérielle, un nouveau traitement supplémentaire à l'amlodipine 10 mg est prescrit, que nous conseillons de faire réévaluer chez le médecin de famille. Mme. Y vit seule dans un appartement protégé (Meylandstrasse) avec un passage de Spitex journalier. La patiente était autonome et se déplaçait seule pour faire ses courses. Cependant, des craintes importantes concernant un retour au domicile sont exprimées du côté de la fille et le souhait d'entrer en maison de repos est émis de toutes parts. Une réhabilitation gériatrique est alors proposée afin d'assurer un renforcement musculaire et de diminuer le risque de chute après sa sortie d'hôpital. Patiente envoyée par le laboratoire pour prise de sang (car n'arrive pas à piquer). Ponction de la veine fémorale avec explications données à la patiente. Patiente hospitalisée en gériatrie aiguë à l'HFR Meyriez le 27.11.2018 et transférée à Fribourg le 30.11.2018 pour suite de prise en charge d'une ostéomyélite sur fistule cutanée dorsale chronique en regard de la tête de vis de D12 G sur gêne du matériel depuis 2016 selon les diagnostics susmentionnés. La patiente est hémodynamiquement stable et afébrile. Au niveau dorsal, fistule cutanée en regard de D12 avec un écoulement séreux, sans signe de surinfection. Selon ordre des infectiologues proposent un traitement initial par Floxapen jusqu'au 04.12.2018 puis Clindamycine p.o. et ce pour une durée totale de 67 semaines. Si la patiente présente des diarrhées sous ce traitement, une recherche de C. difficile serait à réaliser. Le 05.12.2018, l'Hb est 77 g/l nécessitant la transfusion de 1 CE avec bonne réponse; H à 87 g/l le 11.12.2018. Soins de plaie adaptés par les stomathérapeutes avec protocole de NaCl, Silvercel et Mepilex Border. Une mycose sous-mammaire est traitée par Pevaryl poudre. Au vu d'une bonne évolution, la patiente peut être transférée dans son home le 12.12.2018. Patiente hospitalisée pour une pyélonéphrite gauche du 22-24.12.2018 qui revient en contrôle clinico-biologique ce jour, montrant une diminution du syndrome inflammatoire. Le E-coli multisensible est mis en évidence à la culture d'urines. Au vu de la situation, la patiente reçoit une dernière dose de Rocéphine dans notre service puis est mise au bénéfice de ciprofloxacine pour 7 jours totaux d'antibiothérapie. Pour rappel, la patiente a bénéficié hier d'une perfusion de Ferinject 1000mg au vu d'un déficit en fer mis en évidence au cours de l'hospitalisation. Au vu d'un déficit en acide folique, nous mettons en place un traitement de substitution. La patiente est fortement conseillée à reconsulter son médecin traitant dans une semaine à son retour en France. Patiente incluse dans l'étude EVOPACS. Patiente normotendue pendant le séjour aux urgences. Patiente partie sans consultation médicale.Patiente polyvasculaire avec : • artériopathie des membres inférieurs de stade IIb bilatérale • claudication des 2 membres inférieurs • Pontage aorto-bi-iliaque il y a environ 20 ans pour anévrysme avec splénectomie • S/p endartériectomie et stenting des 2 artères rénales gauches pour une hypertension réno-vasculaires avec atrophie rénale • Sténose artère rénale droite • S/p endartériectomie et plastie d'élargissement des bifurcations carotidiennes internes droites en 2008 et gauches en 2009 • athéromatose diffuse des artères extra et intra-crânienne Tabagisme actif Hypercholestérolémie Cardiopathie ischémique avec maladie coronarienne tri-tronculaire • Status post quadruple pontage (dernier en 2004) • FEVG conservée à 75% en 2017 Patiente présentant des brûlures superficielles qui seront traitées par Ialugen Plus et compresses de protection. Contrôle chez le médecin traitant lundi prochain le 28.01.2019. La patiente est invitée à reconsulter en cas de péjoration de la symptomatologie ou en cas d'apparition de signes infectieux. Patiente présentant des signes d'insuffisance veineuse associés à d'importants oedèmes du membre inférieur prenant le godet. Nous réalisons un bilan biologique afin d'écarter une cause infectieuse (érysipèle) qui pourrait expliquer l'exacerbation des douleurs. Au vu de l'absence de leucocytose et de syndrome inflammatoire, ce diagnostic semble peu probable. Nous proposons donc à la patiente de porter des bas de contention, ainsi que de majorer son traitement de Torem à 10 mg 2x/jour afin de réduire les oedèmes. Nous préconisons un contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine afin d'exclure toute apparition de troubles électrolytiques sur la majoration de Torem, ainsi que la poursuite du traitement. Nous expliquons à la patiente qu'il sera nécessaire de reconsulter en cas d'apparition d'un état fébrile ou d'une péjoration de la symptomatologie. Retour ensuite au RFSM de Marsens, départ en ambulance. Patiente présentant des symptômes compatibles avec une trachéobronchite faisant suite à une infection des voies respiratoires supérieures, sans facteur de gravité. Nous proposons à la patiente un traitement par Dafalgan, Irfen et codéine en réserve. Nous l'invitons à consulter son médecin traitant en cas de péjoration de la symptomatologie. Patiente présentant des symptômes compatibles avec malaise vagal, sans piste cardiaque (pas d'argument anamnestiques/cliniques, ECG normal). Hyperventilation résolue après respiration dans sachet, pas de détresse respiratoire objectivable. Pas d'argument pour cause pulmonaire ou thromboembolique des symptômes. Réassurance patiente/père, proposition de suivi par pédiatre notamment pour mettre en place technique permettant d'éviter les crises. Patiente présentant un épanchement intra-articulaire important et une limitation des amplitudes articulaires à 6 semaines postopératoires probablement dans le cadre d'une reprise de l'activité professionnelle trop précoce. Nous lui proposons donc de diminuer son activité professionnelle à 50%, de poursuivre la physiothérapie axée sur l'antalgie, drainage, récupération des amplitudes articulaires et étirements des chaînes postérieures. Nous la reverrons pour faire le point dans 3 semaines. Patiente présentant une décompensation de sa BPCO. Présence d'un seul critère d'Anthonisen, ne motivant pas l'introduction d'une antibiothérapie. Au cours du séjour aux urgences, amélioration de la symptomatologie par aérosol de Ventolin 2,5 mL + Atrovent 250 mcg. Nous proposons à la patiente de retourner en hospitalisation à Marsens avec un traitement de Prednisone 40 mg 1x/jour pendant 3 jours, ainsi qu'un traitement par Atrovent 250 mg 3x/jour + Ventolin 2,5 mL 3x/jour d'office pendant 1 jour, puis en réserve 4x/jour en cas de réapparition de la symptomatologie. Patiente primigeste de 23 ans admise en salle d'accouchement le 20.01.2019 à terme + 1 en raison d'une rupture prématurée des membranes. Elle se met en travail spontanément et après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse à un garçon de 3520g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Cérazette, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 22.01.2019. Patiente primigeste de 23 ans admise en salle d'accouchement le 26.01.2019 à 39 6/7 semaines d'aménorrhée pour une rupture prématurée des membranes. Après une attitude expectative de 12h, nous débutons une antibioprophylaxie par Clamoxyl IV selon protocole et la patiente se met en travail spontanément. Après une dilatation harmonieuse soutenue par Syntocinon, elle donne naissance par voie basse instrumentée par ventouse kiwi pour non progression de la présentation à une fille de 3620g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Desonur, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 29.01.2019. Patiente primigeste de 23 ans connue pour des troubles de la personnalité borderline sans traitement admise en salle d'accouchement le 25.01.2019 pour mise en travail spontanée. En raison d'un portage du streptocoques du groupe B positif, nous débutons une antibiothérapie par Dalacin. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse instrumentée par ventouse kiwi pour CTG suspect à un garçon de 2910g de bonne adaptation néonatale. Accouchement compliqué par une déchirure de degré 3a ainsi qu'une épisiotomie médio-latérale nécessitant une suture au bloc opératoire sous anesthésie générale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. Au cours de l'hospitalisation, la suture reste propre et ne montre pas de signe de surinfection. La continence aux gaz et à la matière est maintenue. Un sevrage primaire de l'allaitement avec Dostinex est effectué sur désir de la patiente. La contraception future se fera par Desonur, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Elle bénéficie du passage de la sage-femme conseil en cours d'hospitalisation. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 29.01.2019. Patiente primigeste de 24 ans admise en salle d'accouchement le 08.01.2019 en vue d'une provocation pour un retard de croissance intra-utérin. Cette dernière se fait par la mise en place de deux Propess. Par la suite, la patiente se met en travail et dilate de manière harmonieuse. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3120 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée lors du contrôle du post-partum. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 13.01.2019. Patiente primigeste de 24 ans, admise en salle d'accouchement le 11.01.2019 à terme 40 6/7 SA pour mise en travail spontanée. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse à une fille de 3340g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par dispositif intra-utérin, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin.Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 13.01.2019. • Patiente primigeste de 24 ans, admise en salle d'accouchement le 26.01.2019 à terme + 9 pour une mise en travail spontanée. Elle présente une stagnation de la dilatation à 9 cm malgré un soutien du travail par Syntocinon et un CTG suspect, raison pour laquelle nous proposons la césarienne en urgence qu'elle accepte. L'intervention se déroule sans complications. Elle donne naissance à une fille de 4270 g de bonne adaptation néonatale. Durant l'intervention, on met en évidence fortuitement un bloc de branche droit asymptomatique. Une échocardiographie en cours de son séjour hospitalier ne montre pas de répercussion fonctionnelle. Aucune prise en charge additionnelle n'est préconisée, selon les cardiologues. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Desonur, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 30.01.2019. • Patiente primigeste de 25 ans, admise en salle d'accouchement le 26.01.2019 à 39 4/7 semaines d'aménorrhée en vue d'une provocation pour retard de croissance intra-utérin avec un oligoamnios. Devant un col favorable, nous débutons la provocation par Syntocinon. En raison d'un portage du streptocoques du groupe B, nous débutons une antibioprophylaxie par Clamoxyl IV selon protocole. Elle dilate de manière harmonieuse et donne naissance à une fille de 2710 g, avec une bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 30.01.2019 en bon état général. • Patiente primigeste de 26 ans, admise en salle d'accouchement le 18.01.2019 à terme pour rupture prématurée des membranes. Au vu du portage du streptocoques du groupe B positif, nous débutons une antibioprophylaxie par Clamoxyl IV selon protocole et provoquons par Propess les 18 et 19.01.2019, puis Syntocinon dès le 20.01.2019. Le travail est dystocique avec une stagnation de la dilatation à 7 cm associée à un léger saignement. Dans ce contexte, l'indication opératoire est posée. La patiente donne naissance par voie basse à un garçon de 3610 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Cérazette. Dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. En post-partum, nous diminuons le traitement d'Euthyrox à 62.5 mcg/j et nous vous laissons contrôler les valeurs de TSH et T4. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 25.01.2019. • Patiente primigeste de 27 ans, admise en salle d'accouchement le 19.01.2019 à 36 3/7 semaines d'aménorrhée pour mise en travail spontanée. En raison d'une stagnation de la dilatation à 9 cm malgré un soutien du travail au Syntocinon, nous proposons une césarienne en urgence, ce que la patiente accepte. L'intervention se déroule sans complications. Elle donne naissance, par césarienne, à une fille de 3500 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par stérilet. Dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 24.01.2019. A noter que la grossesse de la patiente avait été marquée par une séronconversion à CMV probablement périconceptionnelle. Elle avait bénéficié de contrôles échographiques rapprochés et n'avait pas souhaité de diagnostic invasif. Les surveillances néonatales sont en ordre et la procédure de recherche de CMV chez le nouveau-né est en cours au moment de la sortie. • Patiente primigeste de 27 ans, admise en salle d'accouchement le 29.01.2019 pour mise en travail spontanée. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse à une fille de 2960 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme reste afébrile. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception future sera discutée avec son gynécologue traitant lors de la consultation du post-partum. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente est transférée à sa demande à la maison de naissance Le Petit Prince pour les suites de couches. • Patiente primigeste de 27 ans, admise en urgence le 11.01.2019 à 35 2/7 semaines d'aménorrhée pour pertes vaginales plus abondantes et rosées associées à une persistance de douleurs épigastriques. La patiente a consulté le 07.01.2019 en raison de douleurs épigastriques avec œdèmes des membres inférieurs et symptômes d'infection urinaire. Le bilan de gestose était revenu aligné avec notamment une protéinurie sur 24h négative et un rapport SFLT1/PLGF négatif et nous avions introduit un traitement de Monuril. Elle consulte ce jour pour des pertes vaginales plus abondantes rosées non prurigineuses, elle se plaint également de nausées et douleurs épigastriques persistantes. Elle n'a plus de symptômes urinaires. Elle ne se plaint pas de céphalées, acouphènes ou phosphènes et les œdèmes sont stables. Elle ressent quelques contractions utérines non douloureuses. Aux urgences, elle est stable sur le plan hémodynamique et afébrile. L'examen clinique retrouve un abdomen gravide souple et indolore sans défense ni détente. Le bilan biologique retrouve un bilan de gestose aligné, des tests hépatico-pancréatiques normaux et absence de syndrome inflammatoire et le spot est négatif. L'examen au spéculum met en évidence des pertes liquidiennes en petite quantité sans saignement actif. L'ActimProm revient faiblement positif et les frottis sont en cours. L'échographie retrouve un fœtus eutrophique avec PFE 2766 g en présentation céphalique, manning 8/8, excellente vitalité fœtale, liquide amniotique dans la norme avec grande citerne à 4.8 cm, placenta fundique normalement inséré, Doppler ombilical en ordre. Dans ce contexte de rupture prématurée des membranes, nous hospitalisons la patiente pour antibioprophylaxie par Clamoxyl IV selon protocole. • Patiente primigeste de 27 ans avec grossesse sur FIV, admise en salle d'accouchement le 09.01.2019 à 39 4/7 semaines d'aménorrhée en vue d'une provocation pour retard de croissance intra-utérin. Cette dernière se fait par la mise en place d'un Propess suivi par Syntocinon. Après une dilatation rapide, elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 2870 g (P10), de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Le sevrage primaire de l'allaitement est fait par Dostinex. La contraception future se fera par Cérazette. Au vu de la bonne évolution, avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 12.01.2019. • Patiente primigeste de 28 ans, connue pour des troubles de la personnalité borderline, admise en salle d'accouchement le 18.01.2019 à 37 3/7 semaines d'aménorrhée en vue d'une provocation pour désir maternel. Cette dernière se fait par la mise en place d'un Propess. Devant une détresse maternelle, nous posons l'indication à une césarienne en urgence. Cette dernière se déroule sans complications et elle donne naissance à une fille de 2990 g de bonne adaptation néonatale.Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. Un sevrage primaire de l'allaitement sans Dostinex est effectué au vu de la prise d'Haldol. Il s'effectue sans complications. À la sortie, les seins sont peu douloureux, sans signe de surinfection, avec un léger écoulement à la compression. Au vu de son endométriose, la patiente reprendra la Visanne à distance. En ce qui concerne la contraception, elle utilisera le préservatif si besoin. Sur le plan social, la patiente bénéficie d'une hospitalisation prolongée avec la visite de la sage-femme conseil, de la psychiatrie de liaison ainsi que de sa psychologue. Le lien mère-enfant se tisse bien, la patiente est attentionnée et semble être en mesure de s'occuper de son enfant. Un réseau interdisciplinaire est organisé, à la fin duquel on convient d'un retour à domicile, plutôt qu'un séjour aux Étangs. La patiente bénéficiera de la visite quotidienne de la sage-femme à domicile, de la puéricultrice tous les 3 jours ainsi que du passage de sa psychologue. Sur le plan psychiatrique, la patiente reste stable tout au long de l'hospitalisation. On convient d'un passage à l'abilify 5 mg le matin avec 1 mg d'Haldol le soir dès le 25.01.2019, avec une bonne réponse. Un rendez-vous chez le psychiatre traitant est agendé, où la médication sera ajustée si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 30.01.2019. Patiente primigeste de 29 ans admise en salle d'accouchement le 12.01.2019, à terme 40 6/7 SA pour mise en travail spontanée. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse spontanée à un garçon de 3240 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par préservatif et méthode symptothermique. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 15.01.2019. Patiente primigeste de 29 ans admise en salle d'accouchement le 26.01.2019, à 41 semaines d'aménorrhée pour rupture spontanée des membranes d'un liquide amniotique clair. Elle se met en travail spontanément et après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse à un garçon de 3730 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Desonur, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 29.01.2019. Patiente primigeste de 29 ans qui a consulté le 16.01.19 pour des signes de gastro-entérite associée à des contractions utérines avec une évolution favorable après tocolyse par Nifédipine 10 mg aux 15 mn et Bioflorin, le col était fermé à 34 mm et stable après 2 h. Elle consulte à nouveau le 18.01.2019 à 32 2/7 semaines d'aménorrhée pour des contractions utérines depuis la veille sans pertes de liquide ou de sang et un bébé qui bouge bien. À son entrée, elle est hémodynamiquement stable et afébrile. Le toucher vaginal met en évidence un col postérieur, mi-mou, fermé. Le CTG objective des contractions utérines et est réactif non pathologique. Le bilan de gestose revient normal. L'ActimPartus revient négatif. Le frottis bactériologique revient normal et celui des streptocoques du groupe B est positif. L'urotube revient pour une bactériurie non significative. L'échographie montre un fœtus eutrophique avec un PFE à 2330 g en présentation céphalique avec un placenta antérieur normalement inséré et un ILA normal. Le col est mesuré à 30 mm avec un funeling en amont stable au Valsalva. Dans ce contexte, nous débutons une tocolyse par Adalat avec une bonne réponse, mais nous observons une tachycardie fœtale motivant alors son hospitalisation. Nous débutons une cure de maturation pulmonaire les 18.01.19 et 19.01.19 sous tocolyse par Adalat. La surveillance est marquée par une réaction allergique d'origine indéterminée avec bonne évolution sous Xyzal et arrêt de l'Adalat. Nous vous laissons le soin d'organiser un bilan allergologique par la suite. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 20.01.2019. Patiente primigeste de 30 ans admise en salle d'accouchement le 01.01.2019 à terme + 2 pour une mise en travail spontanée. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse spontanée à un garçon de 3270 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif puis sera rediscutée au contrôle post-partum. Au vu de l'absence d'incompatibilité rhésus, nous n'administrons pas de Rhophylac. Au vu de la bonne évolution, avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 03.01.2018. Patiente primigeste de 30 ans admise en salle d'accouchement le 18.01.2019 pour une rupture prématurée des membranes à 39 3/7 semaines d'aménorrhée sur une présentation du siège. Nous posons l'indication à une césarienne en urgence 2. Elle donne naissance à une fille pesant 3400 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée au contrôle post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre et une cicatrice calme, la patiente est transférée au Petit Prince selon son désir le 20.01.2019. Patiente primigeste de 31 ans admise en salle d'accouchement le 16.01.2019 pour mise en travail spontanée à 38 4/7 semaines d'aménorrhée. Elle dilate harmonieusement et donne naissance par voie basse à un garçon pesant 2870 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative motivant la perfusion de 500 mg de Ferinject. La cicatrice vaginale reste calme et propre, sans signe de développement d'hématome. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Cérazette, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 19.01.2019, en bon état général. Patiente primigeste de 32 ans, admise en salle d'accouchement le 11.01.2019 à terme 41 2/7 SA pour mise en travail spontanée. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse instrumentale par ventouse métallique pour non-progression de la présentation à épine + 1 après 1 h de poussée active sous Syntocinon à un garçon de 3650 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complications. La contraception future sera discutée lors du contrôle du post-partum. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 13.01.2019. Patiente primigeste de 36 ans avec grossesse marquée par deux MAP avec col raccourci à 16 mm fin novembre et fin décembre avec cure de maturation pulmonaire et un pied droit en piolet chez le fœtus avec amniocentèse normale, adressée par le HIB de Payerne en raison d'une suspicion de rupture prématurée des membranes à 33 1/7 SA le 01.01.2019. En effet, elle est hospitalisée en raison d'une MAP et lors d'un contrôle de routine, l'Actim Prom revient positif. La patiente ressent quelques contractions utérines sans autres symptômes.A son admission, elle est hémodynamiquement stable et afébrile. Le CTG objective quelques contractions utérines non douloureuses. L'examen au speculum n'objective pas de perte de liquide mais l'Actim Prom revient positif. L'échographie abdominale montre un foetus eutrophique en position céphalique avec PFE à 1983g, un ILA en ordre, un placenta postérieur normalement inséré et un doppler ombilical eo. La mesure du col revient à 13mm. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour antibiothérapie par Clamoxyl selon protocole avec poursuite de la tocolyse par Adalat. Par la suite, une provocation de l'accouchement est débutée par Propess à 34 2/7 SA en raison de la rupture prolongée des membranes. La patiente présente une dilatation rapide, elle donne naissance par voie basse à un garçon de 2330g. Ce dernier présente une anémie néonatale nécessitant un transfert en néonatologie. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complication. La future contraception se fera par cérazette. Au vu de la bonne évolution, avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile le 12.01.2019. Mme. Y, primigeste de 36 ans, avec grossesse sur ICSI, admise en salle d'accouchement le 15.01.2019 en vue d'une provocation pour un terme dépassé et une diminution des mouvements foetaux à 40 6/7 semaines d'aménorrhée. Cette dernière se fait par la mise en place de deux Propess. En raison d'une rupture prolongée des membranes, nous débutons une antibiothérapie par Clamoxyl. Par la suite, le travail est soutenu par Syntocinon. En raison d'une stagnation de la dilatation à 6cm, la décision est prise d'une césarienne en urgence. L'intervention se déroule sans complications. Elle donne naissance à une fille pesant 3080g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future est à rediscuter, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 21.01.2019, en bon état général. Mme. Y, primigeste de 38 ans, transférée de la maison du Petit Prince pour rupture prématurée des membranes et CTG suspect le 17.01.2019 à terme + 12. A son arrivée, le CTG est réactif non pathologique et la rupture est confirmée. Après une attitude expectative de 12h, nous débutons une antibiothérapie par Clamoxyl IV selon protocole et provoquons par Propess. En raison d'un CTG suspect avec perte de liquide amniotique teinté de sang, nous suspectons un décollement du placenta et proposons la césarienne en urgence que la patiente accepte. Le décollement est confirmé en peropératoire. L'intervention se déroule sans complications et elle donne naissance à une fille de 3760g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative motivant l'introduction d'une substitution ferrique po. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception future sera rediscutée à son contrôle à 6 semaines, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre et une cicatrice calme, la patiente est transférée selon son désir à la maison du Petit Prince avec son bébé le 19.01.2019. Mme. Y, primigeste de 39 ans, connue pour une grossesse diagnostiquée la veille, le 18.01.2019, à 4 1/7 semaines d'aménorrhée, amenée aux urgences en état de choc et d'importantes douleurs abdominales. A son arrivée aux urgences, elle est tachycarde, hypotendue et difficilement réveillable. L'ultrason objective du liquide libre en grande quantité. Le bilan biologique met en évidence une anémie à 95 g/l, un léger syndrome inflammatoire et une crase en ordre. Devant la forte suspicion de grossesse extra-utérine rompue, nous posons l'indication à une laparoscopie exploratrice en urgence. Cette dernière confirme un hémopéritoine de 2000 cc et une grossesse extra-utérine rompue à droite. Une salpingectomie droite est réalisée. Elle reçoit la perfusion de deux culots érythrocytaires, un plasma frais congelé et 2g de Cyklokapron. L'évolution est par la suite favorable avec une patiente stabilisée. La surveillance se déroule sans particularité et en raison d'une anémie, nous débutons un traitement de Maltofer. Elle peut regagner son domicile le 20.01.2019. Mme. Y, primigeste, primipare de 24 ans, à J 5 d'un accouchement par voie basse le 10.01.2019, compliqué d'une brèche de péridurale, qui consulte pour récidive de céphalées malgré un traitement par Blood patch. Elle est évaluée par les anesthésistes, qui effectuent un bloc sphéno-palatin afin de soulager la patiente, et proposent une hospitalisation pour antalgie, surveillance, avec un deuxième traitement par Blood patch le 16.01.2019. L'évolution clinique est favorable sur 24 heures. Au vu d'une bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 17.01.2019. Mme. Y qui prendra contact avec sa gynécologue. Mme. Y qui présente des douleurs antérieures des 2 genoux d'évolution stagnante malgré le traitement en physiothérapie et la diminution de l'activité sportive. On lui propose donc de reprendre ses activités sportives librement mais en augmentant progressivement l'intensité. Poursuite du traitement en physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Mme. Y qui présente une évolution clinique favorable à presque une année de la dernière intervention chirurgicale. Dans ce contexte et malgré le résultat de l'IRM, la patiente peut poursuivre ses activités librement. Nous ne proposons pas de prochain contrôle d'office ; elle reprendra contact au besoin. Mme. Y qui présente une évolution favorable à presque 10 jours du traumatisme avec une résolution complète de la symptomatologie. Elle est donc autorisée à enlever son attelle velcro et à reprendre ses activités librement. Elle reçoit un bon de physiothérapie dans le but de relâcher les chaînes postérieures, proprioception, gainage à utiliser au besoin. Elle reprendra son activité professionnelle à 100% dès le 26.01.2019. Selon le désir de la patiente, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais celle-ci reprendra contact au besoin. Si elle reprend contact, il faudra la revoir rapidement. Mme. Y qui présente une évolution stagnante à 3 mois d'un traumatisme par choc direct au genou D et pour lequel nous lui proposons de débuter un traitement en physiothérapie axé sur le massage transverse profond de la zone douloureuse, étirement des chaînes postérieures, renforcement musculaire, proprioception et gainage. Nous reverrons la patiente pour un contrôle clinique dans 3 mois ; elle reviendra avant si besoin. Mme. Y qui revient pour contrôle de lésions cutanées surinfectées des 2 membres inférieurs. Mme. Y qui revient pour contrôle de l'état cutané, suite à une fracture Weber B peu déplacée de la cheville droite le 31.12.2018. Mme. Y qui se présente à la filière des urgences ambulatoires pour un ultrason abdominal et pour un examen clinique. La patiente est apyrétique depuis sa sortie et rapporte une amélioration des symptômes. L'ultrason montre deux lésions kystiques hépatiques d'origine indéterminée au niveau du foie. On ne retrouve pas de lésion pyélocalicielle. Les deux ovaires sont volumineux. Lésions calcifiantes au niveau de l'uretère gauche. DD : calcul, phlébolite. Nous prenons l'avis du Dr. X, chirurgien, qui préconise la poursuite de la médication reçue durant 5 jours. Si les symptômes persistent, la patiente devra se représenter. Consultation gynécologique dès que possible. La patiente sera vue dans 3 semaines par le Dr. X pour discussion des résultats des différents examens.La patiente est invitée à se représenter en cas de péjoration de la clinique actuelle ou de persistance des symptômes à plus de 5 jours. Elle est libre de rentrer à domicile. Patiente qui se présente pour un contrôle à la filière ambulatoire suite à sa consultation aux urgences de jeudi 24.01.2019. La patiente rapporte une amélioration subjective de la situation. Nous communiquons le résultat du frottis à la patiente qui montre une infection par le virus Influenza A. Un avis gynécologique explique que la patiente doit suivre les contrôles habituels et consulter si elle remarque une diminution des mouvements du bébé. Un laboratoire de contrôle montre une légère élévation de la CRP à 51 mg/L. Le laboratoire ne montre pas de leucocytose. En raison d'une amélioration de la clinique objective et subjective de la patiente, nous laissons rentrer la patiente à domicile. Elle doit continuer la Co-Amoxicilline prescrite et prendre un rendez-vous de contrôle chez son médecin traitant en début de semaine. Elle est invitée à se représenter en cas de péjoration des symptômes. Patiente qui s'est piquée après avoir administré de l'Héparine à un patient. Patiente repart après avoir reçu 2 Dafalgan et 2 Ecofenac. Elle ira chez le dentiste demain, donné numéro de téléphone d'urgence. Patiente repart car elle ira voir son médecin traitant demain. Patiente repart sans consultation médicale. Patiente sera convoquée à 48h à la consultation ambulatoire des urgences pour constat de coups. Patiente sera convoquée par le Dr. X (Orthopédiste, spécialiste du genou). Poursuite du suivi de la polyarthrite par le Dr. X. Patiente sous aspirine cardio pour antécédent de MFIU à 37 3/7 semaines d'aménorrhée. Patiente sous Subutex 6 mg/j pour sevrage à l'héroïne (stoppée en 2011) (suivie par Mme. X, centre UTA de Fribourg). Patiente sous Xarelto®. Patiente terminale avec syndrome de défaillance multiviscérale le 28.1.19 • état de conscience fortement altéré avec GCS à 5 le 28.1.19 (la patiente murmurant des mots incompréhensibles) • Apparition de râles. Patiente traitée de manière symptomatique par antipyrétiques/AINS et Vicks Vaporub, consignes de ne pas appliquer la crème sur la poitrine vu qu'elle allaite toujours. Patiente transférée du service de médecine interne pour suite de prise en charge : • status post-exérèse de carcinome baso-cellulaire pré-tibial gauche et crossectomie/stripping de la veine grande saphène gauche avec phlébectomies sur insuffisance de la veine grande saphène gauche le 06.11.2018 • status post-surinfection du site opératoire de la jambe gauche avec prise en charge des plaies par pansement aspiratif de type Rénasys du 13.11.2018 au 09.01.2019. Patiente triée mais partie sans consultation médicale. Patiente veut de l'aide à domicile et pour le ménage. Discuter placement. Discuter consultation en psychiatrie avec interprète : patiente très angoissée. Patiente veut de l'aide à domicile et pour le ménage. Refusant une hospitalisation, nous vous proposons d'organiser un contrôle santé 1x/semaine et de l'aide au ménage. Patiente vient pour enlever des points de suture. Patiente 1G 0P de 33 ans, admise en salle d'accouchement le 03.01.2019 pour un 2ème épisode de métrorragie après un rapport sexuel à 40 3/7 SA. Dans ce contexte, nous proposons une provocation que la patiente accepte. Cette dernière se fait par Syntocinon. En raison d'un portage du streptocoque du groupe B, nous débutons une antibiothérapie par Clamoxyl iv selon protocole. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse instrumentée par ventouse Kiwi pour CTG suspect à un garçon pesant 3850g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. A noter une anémie du post-partum légère à 104 g/l, raison pour laquelle nous débutons du Maltofer. La contraception future se fera par préservatif (désir de deuxième enfant précoce). Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 06.01.2018. Patiente 2G 2P de 32 ans qui se présente aux urgences pour une tuméfaction au niveau de la cicatrice de césarienne d'apparition brutale. Nous objectivons cliniquement un hématome de 5 cm du côté droit de la cicatrice sans signe de surinfection ou de déhiscence, qui est confirmé à l'US avec une collection de 60x17mm. L'hémoglobine est à 105 g/l. Nous hospitalisons la patiente pour surveillance et contrôle de l'hémoglobine. Par la suite, le status local et l'hémoglobine se montrent stables et la patiente peut rentrer à domicile le 05.01.2018 en bon état général. Nous proposons un traitement par AINS pendant 7 jours et un suivi de l'hématome par la sage-femme à domicile. Elle sera revue pour un contrôle biologique le 07.01.2018 puis à 4 semaines chez son gynécologue traitant. Patiente 2G1P de 31 ans, nous consulte le 15.01.2019 pour deux épisodes de métrorragies liquidiennes de sang rouge vif, suite à un effort physique pour attraper son train après le travail cet après-midi. Elle a ressenti le ventre dur lors du 1er épisode. Pas de symptôme de pré-éclampsie, ni point d'appel infectieux. À l'arrivée, elle est stable au niveau hémodynamique, afébrile, avec persistante d'une légère métrorragie en quantité et aspect comme les règles. Le CTG est réactif-non pathologique et montre un utérus contractile. À l'échographie abdominale : fœtus en présentation céphalique, bonne vitalité, PFE 1880 g, Dopplers ombilicaux et cérébraux en ordre, liquide amniotique en ordre, placenta postérieur sans signes de décollement. À l'échographie trans-vaginale, le col est long de 4 cm, sans signes de vasa praevia, nous confirmons un placenta postérieur à 35 mm de l'OI. Au spéculum, nous constatons du sang avec du liquide dans le cul-de-sac postérieur, et un saignement très léger provenant de l'endocol. L'ActimProm revient positif, et nous envoyons des frottis bactériologiques cervicaux et vagino-rectal pour recherche de streptocoque B. Nous hospitalisons la patiente pour surveillance des saignements vaginaux et suspicion de rupture prématurée des membranes. Une tocolyse par Adalat et la maturation pulmonaire est effectuée. Une antibiothérapie prophylactique par Clamoxyl iv est instaurée. Au contrôle US par le Dr. X, on trouve un status stable, sans signe de décollement placentaire et sans signe d'anémie fœtale. Un ActimProm de contrôle à distance de l'épisode de métrorragie nous permet d'écarter la suspicion de rupture des membranes et d'interrompre la prophylaxie antibiotique. Les CTG de surveillance sont RNP et la patiente ne ressent plus de contractions. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente peut rentrer à domicile le 17.01.2018 après 48h d'observation. Nous proposons un rendez-vous à la consultation ambulatoire dans une semaine. Patiente 3G 0P de 45 ans, suivie pour une menace d'accouchement prématuré dès 32 SA avec un col à 17 mm, pour laquelle elle est hospitalisée du 30.12.2018 jusqu'au 03.01.2018 avec une maturation pulmonaire les 31.12 et 31.12. La patiente quitte l'hôpital contre avis médical le 03.01.2018. Sur la nuit, la patiente rompt prématurément les membranes à domicile et appelle le SMUR en raison de contractions. Elle accouche dans l'ambulance et le bébé est pris en charge dès son arrivée aux urgences de l'HFR par l'équipe de néonatologie avec une bonne adaptation.Malgré 2 injections 5 UI de Syntocinon, la patiente ne délivre pas, posant l'indication à une prise en charge chirurgicale et une révision des 3 étages. Les pertes per-opératoires sont estimées à 1000 cc. Elle reçoit 40 UI de Syntocinon ainsi que 1 gr de Fibrinogène et 1 gr de Cyklokapron. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Elle bénéficie d'une antibiothérapie par Dalacin pour 48 h après le geste opératoire avec une diminution de la leucocytose chez une patiente qui reste afébrile. L'hémoglobine de contrôle s'élève à 74 g/l, raison pour laquelle elle bénéficie d'un traitement par Ferinject 1 g le 05.01.2018. La contraception future se fera par préservatif au besoin (dans un contexte de grossesse sur FIV). L'allaitement maternel est initié via le tire-lait. En raison d'un antécédent de thrombose veineuse profonde en 2007, la patiente est mise sous Clexane prophylactique pour 6 semaines post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile en date du 06.01.2018 sans son bébé et se présentera à votre consultation à 6 semaines post-partum. Mme. Y, gestante 3, pare 2, de 36 ans, se présente aux urgences à 38 5/7 semaines d'aménorrhée en raison de céphalées dans un contexte de protéinurie positive avec tensions labiles connues depuis 1 semaine. À l'entrée, le bilan de gestose est aligné hormis un spot urinaire positif et une protéinurie des 24 heures normale. Elle présente des œdèmes importants des membres inférieurs et les réflexes sont normo-vifs et symétriques. L'ultrason montre une bonne vitalité fœtale avec des Dopplers ombilicaux et cérébraux dans la norme. Dans ce contexte, nous décidons, en accord avec la patiente, de procéder à une provocation. Cette dernière se fait par Syntocinon. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse à un garçon de 4290 g de bonne adaptation néonatale. L'accouchement est compliqué par un saignement diffus nécessitant une révision des 3 étages sous péridurale, ne ramenant que des caillots de sang. Les pertes totales sont estimées à 400 cc. Nous perfusons 20 unités de Syntocinon en raison d'une multiparité. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Les tensions s'avèrent normales dans le post-partum. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception future est à rediscuter. Dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 30.01.2019. Mme. Y, gestante 3, pare 2, de 45 ans, consulte pour apparition de boules souples dans le vagin, avec des pertes blanches épaisses. Elle décrit une douleur vaginale et anale chronique, aggravée en ce moment. Dernier contrôle à la consultation du Dr. X en 12.2018, elle lui a parlé de ses douleurs chroniques. Le Dr. X lui a prescrit de l'ergothérapie, qu'elle n'a pas encore faite. Contraception par préservatifs (Elyfem 30 stoppé il y a 2 mois). DDR 22.12.2018. Au status : TA 140/92 mmHg, FC 93 bpm, T°C 36.3. Abdomen souple, indolore actuellement. Spéc. : col de multipare d'aspect sain, sécrétions blanchâtres épaisses, KOH positif, Ex direct : clue cells+. Frottis bactériologique cervical en cours. Les boules que la patiente décrit sont des protrusions souples et d'allure bénigne de la muqueuse vaginale, pas d'induration ni lésion superficielle. Nous rassurons la patiente et lui prescrivons un traitement antibiotique par Fluomizin et ensuite Gynoflor. Le frottis bactériologique est en cours, une copie vous sera adressée. La patiente regagne son domicile avec des consignes de surveillance. Mme. Y, gestante 4, pare 2, de 34 ans, se présente aux urgences gynécologiques pour un état fébrile dans un contexte de status post-césarienne pour siège le 09.12.2018 au Daler. Status post-mastite bilatérale le 19.12 avec résolution sous Brufen et drainage mammaire. À savoir que la patiente a consulté son gynécologue traitant le 21.12 pour des douleurs au bas ventre où elle a bénéficié d'un traitement par co-Amoxicilline 1 g 2 x/j et Syntocinon spray nasal du 21.12 au 27.12.18 en raison d'une rétention de caillots intra-utérins. À l'entrée, elle présente de légères douleurs au bas du ventre avec une température de 38.4 °C malgré la prise de Dafalgan 1 g et Irfen 400 mg à domicile. À l'examen clinique, nous mettons en évidence une douleur à la mobilisation du col ainsi qu'une mastite gauche avec une rougeur, douleur et chaleur au niveau du QIIG et QIED. En raison d'un syndrome inflammatoire et une clinique évocatrice d'une mastite avec suspicion d'endométrite, nous hospitalisons la patiente pour antibiothérapie IV par co-amoxicilline et Flagyl. Le Flagyl est arrêté le 03.01 pour une clinique devenant très évocatrice de mastite puerpérale gauche avec formation d'abcès péri-aréolaire inféro-externe gauche de 2 x 3 cm. L'évolution clinique et biologique est favorable après 48 h d'antibiothérapie IV. Le frottis de l'écoulement mammaire montrant la présence d'un MRSA, le passage de l'antibiothérapie per os se fait le 05.01.2019 par clindamycine sur avis infectiologique (Dr. X) qu'elle devra poursuivre pendant 2 semaines. Les frottis de dépistage MRSA sont faits chez la patiente et son bébé. La patiente bénéficie également de conseils d'allaitement par la sage-femme spécialisée. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile et sera revue dans 72 h pour suivi de l'évolution clinique et biologique puis à la consultation du Dr. X (rendez-vous à prévoir). Mme. Y, 61 ans, nous est adressée par les urgences de l'hôpital de Riaz pour une suspicion d'un NSTEMI. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre des artères coronaires peu athéromateuses sans sténose. L'artère circonflexe distale montre l'image typique d'une dissection coronarienne spontanée. Le flux est normal et la patiente est asymptomatique maintenant. Il n'existe donc pas d'indication pour une dilatation. Nous proposons un traitement médical avec Aspirine 100 mg à vie, Clopidogrel 75 mg par jour pour neuf mois et Atorvastatin 40 mg/j (LDL < 1,8 mmol/l). Nous proposons un contrôle chez Dr. X dans 2-3 mois. Un Angio-CT thoraco-abdominal permet d'exclure une dissection aortique. Par contre, d'une manière fortuite, cet examen met en évidence une prise de contraste au niveau de la vésicule biliaire. Nous effectuons un ultrason abdominal qui montre une cholélithiase comme probable corrélat de l'hyperintensité vue lors du CT. Devant une patiente complètement asymptomatique et un status abdominal dans la norme, nous renonçons à d'autres investigations. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. La patiente rentre le 15.01.2019 à domicile. Mme. Y, 79 ans, connue pour un status après remplacement de l'aorte thoracique ascendante par opération de Bentall avec bioprothèse valvulaire aortique porcine, réimplantation des ostias coronaires pour anévrisme aortique, simple pontage coro-coronaire, et possible asthme (sous traitement de Symbicort). À l'anamnèse, Mme. Y présente depuis 4 à 5 jours une importante toux pour laquelle elle vous consulte le 20.12.2018. Vous retenez une pneumonie et instaurez une antibiothérapie par Céfuroxime. L'évolution n'étant pas favorable avec aggravation de la toux, dyspnée, râles et sifflements, la patiente nous est adressée par Med Home (Dr. X).Sur le plan social, notons que Mme. Y vit seule en appartement, sans soins à domicile, et qu'elle est autonome dans les activités de la vie quotidienne. A l'admission, l'auscultation pulmonaire constate des râles crépitants en base gauche avec des sifflements diffus. Nous réalisons une radiographie du thorax n'évoquant pas de foyer pulmonaire raison pour laquelle nous retenons le diagnostic de décompensation asthmatique et bronchopneumopathie chronique obstructive sur pneumonie basale gauche au décours. Sur le plan pulmonaire, nous poursuivons le traitement de Céfuroxime jusqu'au 28.12.2018 avec bonne évolution clinique et biologique. Un traitement par Prednisone pendant 5 jours est également administré dans le contexte de l'exacerbation d'une probable bronchopneumopathie chronique obstructive. En plus d'une physiothérapie respiratoire, la patiente bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche seule se fait à volonté. Mme. Y peut gravir 18 marches sans accompagnement. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 106/126. (MIF physio : transferts 7/7, marche 6/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 7 secondes. Au vu de sa bonne évolution clinique, un retour à domicile est effectué le 26.12.2018. Patoproazole 20 mg 1 x/j Pauses respiratoires et myoclonies sur intoxication morphine le 15.01.2019. Pauses secondaires à un bloc de haut degré. Découvertes dans un contexte de bilan d'AVC. Pavor nocturne. PC avec bradycardie. PC avec bradycardie. PC avec TC. PC avec TC. PCR Chlamydia et Gonorrhée : négatifs. Bonne évolution à J4 d'antibiothérapie par Bactrim. Poursuite de l'antibiothérapie par Bactrim 2x/jour pendant 10 jours. Contrôle dans une semaine chez le médecin traitant. Contrôle clinique et biologique dans une semaine chez le médecin traitant (créatinine pour insuffisance rénale aiguë le 25.12.2018). PCR dans les selles. Frottis VRE. PCR des selles : positives pour Campylobacter jejuni. Coprocultures : négatives. Métronidazole intraveineux du 26.12.2018 au 27.12.2018. Ciproxine per os dès le 26.12.2018. PCR du 27.01.2019 : positive à C. trachomatis. Sérologies : négatives. Consignes de traitement de la/les partenaire(s). Continuation du traitement par Doxycycline 200 mg 1x/j pour 10 jours. PCR EBV le 22.01.2019 : 10^6. Cytométrie de flux le 24.01.2019 : en cours. Immunofixation le 24.01.2019 : en cours. Dosage IgA, IgG, IgM le 24.01.2019 : en cours. Pathologie ganglions axillaires le 24.01.2019 : en cours. CT thoracique le 22.01.2019. PET-CT le 24.01.2019. Xarelto en suspens dès le 22.01.2019. Héparine thérapeutique du 24.01.2019 au 27.01.2019. Solumédrol le 24.01.2019 au 25.01.2019. Dexaméthasone du 25.01.2019 au. Mabthera le 24.01.2019. Etoposide 150 mg débuté le 28.01.2019. VVC jugulaire gauche (TVP jugulaire droite connue) du 24.01.2019. Exérèse ganglions axillaires le 24.01.2019 : lymphome diffus à grandes cellules de haut grade (résultat oral le 28.01.2019). PCR eubactérienne CHUV le 03.01.2019. PCR pneumocystis, mycoplasma et chlamydia dans expectorations. Bronchoscopie à discuter pour le mardi 15.01.2019. Fonctions pulmonaires au décours de l'épisode aigu. Traitement immunosuppresseur en suspens pendant la phase aiguë. Avis rhumatologie à demander. PCR RSV : négatif. PCR RSV : positif. PCR RSV : positif. PCR selles : Campylobacter positif. Hydratation. Peak hypertensive à 210 mmHg TAS. Peau sensible. Pectus excavatum G. Pédiatre et parents avertis du risque de contagion et d'éviter les autres enfants ces prochains jours. Péjoration aiguë de la fonction rénale avec : • créatinine à 83 umol/l pour 50 umol/l habituellement. Péjoration bronchiolite. Péjoration de douleurs abdominales chroniques dans un contexte d'ovaires polykystiques. Péjoration de la myopie (évaluation grossière). Péjoration de la toux. Péjoration de l'état général et incapacité à s'hydrater. Péjoration de l'hyponatrémie chronique à 116mmol/l. Péjoration de symptômes dépressifs le 01.01.2019. • chez patiente connue pour trouble de personnalité borderline. Péjoration des lombalgies droites sur : • Status post-foraminotomie L4-L5 D et libération radiculaire le 29.10.2018 pour une sténose foraminale L4-L5 D symptomatique et arthrose facettaire. • Hernie discale L5-S1 para-médiane droite avec conflit de la racine S1 droite avec probable fragment exclu. • Status post-infiltration péri-articulaire L5 droite sous guidage CT le 17.12.2018. Péjoration des troubles de l'état de conscience le 28.12.2018 avec GCS 3/15. DD : médicamenteux (psychotropes, opioïdes, surdosage/accumulation médicamenteux dans le cadre d'une insuffisance rénale avec GFR EPI à 33.8 ml/min le 22.12.2018), infectieux, AVC. Péjoration des troubles mnésiques possiblement sur anoxie cérébrale avec : • troubles de la mémoire épisodique et troubles attentionnels, troubles exécutifs, difficulté à trouver les mots le 20.11.2018. Péjoration d'un tremblement de type myoclonie/dyskinésie sévère possiblement d'origine médicamenteuse le 21.05.2018. Hydrocystome coin interne œil gauche : • Résection au bloc le 08.01.2018, sans complication. Multiples épisodes de thrombose du cathéter de dialyse : • nécessite une anticoagulation à vie. Otites externes mycotiques gauches les 12.06.2017 et 30.10.2017. Status après fracture de la patella gauche après chute le 02.07.2016. Péjoration d'une insuffisance rénale aiguë sur chronique le 17.01.2019. • Créa : 177µmol/l. Péjoration d'une polyneuropathie sensitivomotrice sévère à prédominance axonale, d'origine mixte (toxique sur hyperbilirubinémie, diabétique et carentielle dans le contexte d'une dénutrition sévère, médicamenteux).Dans le contexte d'une cholestase intrahépatique d'origine indéterminée DD syndrome de Calfan, cirrhose biliaire primitive, mitochondriopathie, maladie de Fabry, syndrome de Sjögren Péjoration pré-rénale AKIN I d'une insuffisance rénale chronique de stade 4 • avec GFR à 17 ml/min selon CKD-EPI • dans le cadre d'une déshydratation sous EF Pemphigoïde bulleuse, suivi par le Dr X Pendant la consultation il présentait une toux sèche, pas de difficultés respiratoires. Pas de quintes de toux. Il peut donc rentrer à domicile avec un traitement symptomatique et des consignes pour le faux-croup. Reconsulter en cas de difficultés respiratoires. Pendant la surveillance jusqu'à 6 h après la chute, il présente un comportement comme d'habitude. Il joue, saute, parle, il mange et boit, il ne présente plus de vomissements. Les contrôles restent dans la norme. Il peut donc rentrer à domicile avec une surveillance à domicile pendant les premières 48-72 h, une brochure a été donnée et expliquée aux parents. Reconsulter aux urgences si signes d'alarmes. Pendant 3 jours d'hospitalisation, Mr. Y a fait quelques régurgitations sans difficulté respiratoire. Nous avons décidé de fractionner ses repas à 8 fois par jour. Par la suite, Mr. Y n'a plus présenté de régurgitation. Autrement, les collègues du week-end ont pu objectiver un souffle cardiaque systolique d'environ 2/6. À l'examen clinique du 21.01, l'auscultation cardiaque est dans la norme. Un examen complet est normal et ne montre également pas de signe d'insuffisance cardiaque. Vu la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile le 21.01. Au niveau du poids, au moment de la sortie, Mr. Y n'a pas encore repris son poids de naissance, mais a montré une prise de poids. Pénicilline V 1 Mio Ui 2x/j pendant 10 jours Strepto test + Pénicilline V 1 mio 2x/j pendant 10 jours Antalgie mesure hygiéno-diététique strep test positif Pénicilline V 1 mio 2x/j pendant 10 jours Antalgie si douleur mesure hygiéno-diététique Pénicilline V 1'000'000 3 x/j pendant 10 jours, Ibuprofen 600 mg max 3 x/j, et angina MCC Pénicilline V 500.000 X 2/jour pendant 10 jours Antalgiques en réserve Consignes de réhydratation Perenterol au besoin Perentérol jusqu'à transit normal Perenterol normolytoral en R Perforation caecale suspecte avec • pneumocystose intestinale et sténose du côlon ascendant Perforation de la corticale antérieure du fémur G par la pointe du clou PFNA Perforation de tympan sur traumatisme le 08.07.2018 Notion de parésie du nerf facial périphérique à gauche avec une légère asymétrie faciale résiduelle Perforation du tympan à droite le 20.01.19. Perfusion chauffante. Couverture chauffante. Suivi de la température. Perfusion de Ferinject en ambulatoire à agender dans une semaine. Contrôle à la consultation de Dr X à Genève dans 10 jours. Prendre rendez-vous pour hystéroscopie diagnostique ambulatoire à J7-J8 du prochain cycle menstruel. Perfusion de 20 UI de Syntocinon Perfusion d'Ocrevus (ocrélizumab, anti-CD20) le 03.01.19 Pré-médication par Tavégyl, Solumédrol Prochain RDV chez Dr X : sera reconvoquée dans 3 mois Péricardite constrictive Péricardite de stade I de probable origine virale le 28.12.2018 avec : • épanchement péricardique de 2 cm un CT scanner du 28.12.2018 • ECG le 28.12.18 à 23h30 : sus-décalage de ST diffus, sus-décalage du segment PR en aVR • syndrome inflammatoire • infection des voies respiratoires supérieures début décembre 2018. Péricardite en 2011 Test d'effort en 2012 sans particularité. Status post épisode d'oppression thoracique avec dyspnée en 2015 DD : crise d'angoisse. Reflux oeso-gastrique sur stress le 17.06.16. Douleurs thoraciques à gauche d'origine indéterminée. DD : spasme oesophagien, douleurs de paroi. Péricardite en 2013. Plusieurs épisodes de pneumonie, dernier épisode il y a 10 ans. Péricardite en 2018. Péricardite idiopathique le 08.01.2019 DD : virale, carcinomateuse Péricardite le 15.01.2019, probablement sur récidive du syndrome de Dressler • 2 épisodes en 07/18 et 09/18 Péricardite, probablement récidive du syndrome de Dressler • 2 épisodes en 07/18 et 09/18 Péricardite, récidive du syndrome de Dressler • 2 épisodes en 07/18 et 09/18 Périchondrite du pavillon de l'oreille droite Péri-infectieuse exacerbation d'une dermatose atopique Périmètre crânien stable à 33 cm Périmyocardite dans le contexte du syndrome de Churg-Strauss le 12.12.2017 • modifications ECG en latéral et augmentation des troponines à 1800 DD : périmyocardite dans le contexte inflammatoire Périmyocardite probable le 25.06.2015 avec : • Coronographie normale • Artères rénales sp, Arcographie sp • Discrète hypokinésie inférodiaphragmale et antérolatérale, EF 55% Arthroplastie uni-compartimentale du genou droit pour arthrose fémoro-tibiale interne varisante du genou droit le 01.06.2012 Arthroplastie totale du genou gauche pour gonarthrose tricompartimentale le 16.02.2012 Arthroscopie du genou gauche en septembre 2011. Appendicectomie dans l'enfance Deux césariennes Péri-myocardite récidivante avec : • antécédents de périmyocardites de probable origine virale suivi à Berne (Dr X) Péri-myocardites de probable origine virale en 06.2016 et en 12.2016 avec bilan étiologique (infectieux et auto-immun) en 12.2016 et suivi en cardiologie à Berne (Dr X) Fracture de la clavicule droite Pharyngite en 09.2017 Périonyxis de D2 de la main D avec extension proximale sous forme de dermohypodermite abcédée le 25.12.2018. • antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 2x/j dès le 26.12.2018. Péritonite aiguë des quatre quadrants sur perforation sigmoïdienne le 25.10.2018 • diverticulite perforée Hansen Stock IIc et iléus paralytique secondaire. Laparotomie exploratrice, sigmoïdectomie et descendostomie avec mise en place d'un VAC sous-cutané le 26.10.2018 Fermeture de la paroi abdominale le 30.10.2018 Fracture tête radiale type Mason III coude droit datant du 24.01.2016, traitement chirurgical. Trachéite aiguë dans un contexte de toux chronique en 2013. Pneumonie basale droite nosocomiale avec empyème cloisonné et abcès pulmonaire le 14.02.2013. Bronchites asthmatiformes (dernière en juillet 2016). Crises d'hyperventilation le 05.05.2012. Spondylodèse C4-C7 (2006) et L2-L5 (2002) pour des hernies discales. Foramen ovale perméable opéré en 2003. Résection pseudarthrose styloïde cubitale et libération cutanée avant-bras le 21.10.2002 sur rupture tendon long extenseur pouce gauche sur status post ostéosynthèse d'une fracture du radius distal gauche en 2000 et pseudarthrose apophyse styloïde cubitale, cicatrice adhérente avant-bras gauche. Hystérectomie. Péritonite aiguë des quatre quadrants sur perforation sigmoïdienne le 25.10.2018 • diverticulite perforée Hansen Stock IIc et iléus paralytique secondaire.Laparotomie exploratrice, sigmoïdectomie et descendostomie avec mise en place d'un VAC sous-cutané le 26.10.2018 Fermeture de la paroi abdominale le 30.10.2018 Fracture tête radiale type Mason III coude droit datant du 24.01.2016, traitement chirurgical Trachéite aiguë dans un contexte de toux chronique en 2013 Pneumonie basale droite nosocomiale avec empyème cloisonné et abcès pulmonaire le 14.02.2013 Bronchites asthmatiformes (dernière en juillet 2016) Crises d'hyperventilation le 05.05.2012 Spondylodèse C4-C7 (2006) et L2-L5 (2002) pour des hernies discales Foramen ovale perméable opéré en 2003 Résection pseudarthrose styloïde cubitale et libération cutanée avant-bras le 21.10.2002 sur rupture tendon long extenseur pouce gauche sur statut post ostéosynthèse d'une fracture radius distal gauche en 2000 et pseudarthrose apophyse styloïde cubitale, cicatrice adhérente avant-bras gauche Hystérectomie Péritonite de l'hémi-abdomen droit et du pelvis sur appendicite gangreneuse avec abcès dans le méso-appendice. Péritonite localisée dans l'hypocondre droit sur importante cholécystite lithiasique • cholécystectomie, lavage et drainage péritonéaux par laparoscopie le 09.10.2016. Infection à Coxsackie virus 17.07.2018. Insuffisance respiratoire hypoxémique sur possible broncho-aspiration, 17.07.2018. Péritonite stercorale et purulente sur perforation colique avec nécrose de la colostomie terminale le 11.10.2016 Dilatation pyélocalicielle droite le 18.10.2016 Maladie thromboembolique avec plusieurs facteurs de risque non modifiables • embolie pulmonaire centrale gauche et segmentaire postéro-basale droite le 17.05.2018 • arrêt d'anticoagulation sur hématurie récidivante en juillet 2018 Péritonite sur perforation intestinale dans le cadre d'un diverticule de l'intestin grêle à 160 cm de la valve iléo-caecale le 31.12.2018 Persistance de douleurs épaule gauche. Persistance de la lombosciatalgie G. Nous proposons donc de compléter le bilan par une myélographie fonctionnelle afin d'exclure une nouvelle compression radiculaire dans le territoire S1 G. De plus, nous proposons également la réalisation d'un EMG afin d'exclure une neuropathie. Prochain contrôle suite à ces examens. Persistance de myalgie sur contracture musculaire le 7 janvier 2019. Persistance de toux. Persistance des douleurs au niveau des membres et au niveau dorsal. Persistance douleurs loge rénales Persistance lumbago Personnalité borderline. Perte d'appétit et perte de poids (6% en 2 semaines), dénutrition moyenne avec PB/PC 0.28. DD initial : inflammatoire, oesophagite, infectieux US abdominale Bilan sanguin Avis gastro-entérologique : Dr. X le 07.01 Dépistage coeliaque Introduction empirique de Nexium (le 05.01), à poursuivre jusqu'au contrôle en gastro-entérologie Bilan déglutition ergothérapeute (07.01) Bilan diététique le 08.01 TOGD le 08.01 Bilan immunologique (allergies alimentaires, IgG et sous-classes) le 09.01 avec bilan ferrique et protéines glycosylées Perte d'appétit, tremblements inexpliqués Perte de connaissance. Perte de connaissance avec douleurs abdominales, nausées et vomissements. Perte de connaissance avec traumatisme crânien. Perte de connaissance avec traumatisme crânien et contusion de l'épaule gauche. Perte de connaissance le 31.12.2018 sur hypotension dans un contexte d'insuffisance surrénalienne sur syndrome grippal. Perte de force MSD Perte de mobilité du pouce gauche depuis 3 semaines. Perte de poids Perte de substance au niveau de la pulpe de Dig II de la main droite. Perte de substance au niveau de la pulpe du doigt II de la main droite le 05.01.2019. Perte des urines sur infiltration épidurale L5-S1 le 24.04.2018 Status post-implantation d'une prothèse totale inversée de l'épaule G sur omarthrose avec atrophie du sus-épineux après traitement d'une instabilité. Status post CRPS après cure du tunnel carpien D en 2014. Status post resurfaçage rotule, OST de la TTA par 1 vis 3,5, genou G le 11.02.2015 après • PTG et OST de la TTA le 06.02.2013 • statut post OST valgisante tibia proximal G en octobre 2010; AMO en juin 2012 • statut post évacuation surinfection hématome jambe G avec débridement, biopsie, rinçage en novembre 2011 Pertes estimées à 500 ml Suture sous péridurale Antibioprophylaxie par Zinacef 1.5 g Cyklokapron 500 mg iv 1 dose unique Pertes sanguines estimées à 350 ml Révision des 3 étages le 07.01.2018 (au Daler) par Dr. X Pertes sanguines estimées à 1200 cc Pertes sanguines estimées à 1500 ml Syntocinon 40 UI, Cytotec 1000 mcg intra-rectal, Cyklokapron 500 mg iv Révision du col US abdominal : pas de signe de rétention placentaire, pas de liquide libre Pertes vaginales. Pertes vaginales intermittentes • patiente ménopausée depuis 6 ans • pas de signe de mycose Perturbation biologique de la bilirubine GGT et PAL d'origine indéterminée Perturbation de la crase. Perturbation de la crase avec INR spontané à 2.1. • diminution du facteur V et du fibrinogène Perturbation de la crase le 24.12.2018 sur carence alimentaire probable avec : TP 44, INR 1.5, PTT à 39 Perturbation de la crase le 27.12.2018 • INR 1.3, PTT 40 sec, TP 54% Perturbation de la crase sur probable surdosage en Xarelto le 19.01.2019, résolue • dans un contexte d'insuffisance rénale aiguë AKIN I sur syndrome cardio-rénal Perturbation des gamma GT • DD : médicamenteux (phénytoïne) vs lithiase vésiculaire. Perturbation des tests de choléstase probablement d'origine médicamenteuse (Co-Amoxicilline) le 15.01.19 Perturbation des tests hépatiques. Perturbation des tests hépatiques avec cholestase le plus probablement sur métastases hépatiques Perturbation des tests hépatiques avec cytolyse, liquide périhépatique et périsplénique DD = néoplasie DD = Hépatite virale, médicamenteuse (méthotrexate ?) Perturbation des tests hépatiques avec : ASAT 41, ALAT 89, G-GT 283 Perturbation des tests hépatiques DD dans le contexte du diagnostic principal, sur stase cardiaque, médicamenteuse le 14.01.2019 Perturbation des tests hépatiques de probable origine médicamenteuse (Sertraline) en 2009. Insuffisance respiratoire hypoxémique sur atélectase et condensation lobaire inférieure gauche le 21.01.2012 Insuffisance respiratoire sur obstruction trachéale partielle par un bouchon muqueux le 20.12.2011. Insuffisance respiratoire aiguë sur atélectase et condensation lobaire inférieure gauche le 24.10.2011. Insuffisance respiratoire sur atélectasie du lobe inférieur gauche sur bouchon muqueux en 04.2009 Ulcère de la paroi postérieure de la trachée par lésion mécanique sur la canule le 30.12.2011 Granulome de pression de la trachée sur canule de trachéostomie en 2010 Ulcère de la paroi postérieure de la trachée par lésion mécanique sur la canule en juillet 2009 Petite sténose de la bronche souche gauche en juin 2009 Dyspnée aiguë sur bouchon muqueux sur trachéotomie et possible réaction allergique avec œdème glottique isolé le 18.07.2017 Perturbation des tests hépatiques d'origine para-infectieuse • GGT à 168 U/l. • phosphatase alcaline à 262 U/l. Perturbation des tests hépatiques d'origine probablement médicamenteuse le 14.01.2019 (ASAT 67 U/l, ALAT 80 U/l, PA 199 U/l, GGT 58 U/l, bilirubine directe 6.2 umol/l (bilirubine totale à 8.9 umol/l) Perturbation des tests hépatiques le 15.11.2018 • DD : médicamenteux, infectieux, stéatose • US abdominal du 15.11.2018 : stéatose hépatique diffuse avec lésion hépatique hypoéchogène au segment II inchangée (max. 11 mm), DD hémangiome. (Dr. X) Perturbation des tests hépatiques le 27.12.2018 avec : • cytolyse • dans le contexte de modification du traitement antiépileptique • introduction de l'acide valproïque le 12.12.2018 Perturbation des tests hépatiques le 28.12.2018 DD : cymbalta, ciprofloxacine, cefepime, post-chimiothérapie, oncologique Perturbation des tests hépatiques probablement sur manifestation extra-pulmonaire de la pneumonie. Perturbation des tests hépatiques sans hyperbilirubinémie le 30.12.2019 : • DD : sur insuffisance cardiaque droite Perturbation globale des tests hépatiques d'origine indéterminée DD : alimentation entérale, médicamenteux • Asymptomatique • Résolution le 11.01.2019 Perturbation globale des tests hépatiques sur diagnostique oncologique le 07.01.2019 Perturbation importante des tests hépatiques avec cytolyse et cholestase le 02.01.2019 • avec échec de stent dans le contexte tumoral pancréatique évolutif • insuffisance hépatique Child C (10 points) Perturbation spontanée de la crase, le 02.01.2019 • sur insuffisance hépatique Perturbation spontanée de la crase le 21.01.2019 • TP à 56% Perturbation tests hépatiques Perturbations des tests hépatiques le 27.12.2018, • DD sur chimiothérapie par Xeloda. Perturbations des tests hépatiques probablement sur OH le 30.01.2019. Pes adductus à D, réductible. Pes adductus bilatéraux modérés, plus prononcé à G. Pes plano valgus bilatéral associé à une faiblesse de l'extenseur digitorum communis du pied gauche. Pes plano valgus bilatéral symptomatique à G. Pesanteur en fosse iliaque droite sur kyste fonctionnel hémorragique diagnostiqué par son gynécologue (Dr. X) le 24.09.2013. Status post hypothyroïdie post partum, actuellement euthyroïdie. État dépressif le 29.12.2013. Pesée de tétée après rinçage de nez : 40 ml au sein soit 125 ml/kg/j si prise aux heures mais 63 ml/kg/j si prise aux 2 heures, tétées moins longues que d'habitude d'après la mère. Saturation au sommeil : 95-96 % à l'air ambiant Décision de retour à domicile avec double pesée et notation de la prise alimentaire. Prise minimale aux heures calculée à 25 ml (50% des besoins ordinaires) Pesée de tétée : prise de 85 ml (si aux 3 heures, soit 160 ml/kg/j) Contrôle aux urgences dans 12-24 h (le 06.01) Pesée de tétée Consignes usuelles déshydratation Contrôle chez pédiatre dans 24 heures PET-CT Antibiothérapie pendant minimum 14 jours au total (23.01.2017) Reprise du traitement antithrombotique habituel après correction de la thrombopénie et bilan complémentaire PET-CT en ambulatoire (le patient recevra une convocation) Consultation hémato-oncologique auprès de Dr. X après le PET-CT (le patient recevra une convocation) PET-CT : hypercaptation importante au niveau de la plèvre qui peut tout à fait être expliquée par le status post-talcage Biopsie paroi thoracique gauche et neurolyse le 27.12.2018 PET-CT prévu le 16.01.19 annulé au vu de la pancréatite aiguë. --> Prévoir suite du bilan d'extension avec PET-CT à 2 semaines de l'épisode aigu puis annoncer au Tumorboard. Pétéchies au niveau axillaire bilatéralement DD thrombopénie post-vaccinale débutante Pétéchies sur le siège Pethidine 175 mg Aux urgences : Radiographie hanche droite : luxation Pethidine 50 mg iv Réduction fermée (Dr. X) avec 50 mg de Propofol, Pethidine 25 mg iv Radiographie de contrôle Hospitalisation en orthopédie pour suite de prise en charge Appeler Dr. X pour lui donner des nouvelles 026 915 06 61 Petit lavement : nombreuses selles défaites avec sang frais hémorroïdaire Antalgie Surveillance clinique et biologique (tests hépatiques normaux, absence de syndrome inflammatoire) Discuter un examen par US au vu de l'abdomen dilaté (ascite sur insuffisance cardiaque ?) Petit méningiome tentoriel droit de 5 mm asymptomatique • de découverte fortuite le 31.12.2018 Petite fracture intra-articulaire non déplacée de la tête radiale coude gauche Mason 1. Petite lésion transfixiante des parties antérieures du sus-épineux de l'épaule gauche. Petite plaie surinfectée de la face latérale de la voûte plantaire du pied gauche. Débridement de la plaie et pansement. Petites plaies talon D et orteil PG le 20.12.2018 • sur minimes éclats de verre (accident intrahospitalier) • chez patient diabétique PET-scan le 07.01.2019 : multiples métastases pulmonaires dans tous les lobes pulmonaires, les plus grosses mesurant jusqu'à 10 mm de diamètre. Hypodensité au contact de la veine cave inférieure dans le foie droit, entre les segments VI et VII, correspondant à des hémangiomes selon la description de l'échographie du 17.04.2014. Mise en évidence de 4 captations pulmonaires bilatérales très suspectes d'être des métastases. Mise en évidence d'une hypercaptation en regard de la loge thyroïdienne, en relation plutôt avec la stimulation glandulaire qu'avec un reliquat tumoral. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte. Scintigraphie le 09.01.2019 : mise en évidence de multiples hypercaptations pulmonaires bilatérales et ganglionnaires latéro-cervicales droites, traduisant la présence de métastases. Absence de lésion suspecte hépatique ou osseuse. Peur, anxiété. Peut boire de l'eau et manger des biscuits dans la salle d'attente sans problème. Ad suivre clinique et consultation si douleurs abdominales ou dysphagie. Pevaryl crème. Pevaryl poudre Pevaryl poudre. Pévaryl poudre Pevaryl poudre pendant 10 jours. Pevaryl poudre 2x/jour pendant une semaine. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. PFNA fémur droit le 23.01.2019 par Dr. X Phakectomie G en 2011 Plastie mammaire en 1999 Tonsillectomie en 1964 Pharyngite Pharyngite Pharyngite Pharyngite Pharyngite Pharyngite. Pharyngite à streptocoque du groupe A • Pharyngite à streptocoque du groupe A en décembre 2018 traitée par Co-Amoxiciline Pharyngite à Streptococcus groupe A • symptomatologie en augmentation depuis 6 jours, hypophie, pas de dyspnée • streptest positif Pharyngite aiguë à streptocoques, le 01.01.2019. Pharyngite aiguë à Streptocoques. Trouble somatoforme dans le cadre d'une crise d'angoisse le 07.11.2017 avec : • douleurs exacerbées par probable fibromyalgie • hémisyndrome sensitivo-moteur partiel hémisyndrome sensitivo-moteur partiel Pharyngite aiguë virale. Pharyngite bactérienne à streptocoque du groupe A • Traitée il y a 3 semaines pour la même pathologie par une antibiothérapie de pénicilline de 10 jours • Streptest positif Pharyngite buccale avec aphtes • DD: herpangine (virus Coxsackie), primo-infection herpès, angine à streptocoques. Pharyngite de probable origine virale Pharyngite d'origine probable virale. Pharyngite le 10/2011 Phimosis serré: circoncision le 04.09.13 Otite moyenne D 08.11.2013 s/p épiphysiolyse de la tête du fémur gauche. Status post luxation chirurgicale de la hanche gauche, ostéotomie du grand trochanter, fixation de l'épiphyse de la tête fémorale par 3 broches, refixation du grand trochanter par 3 vis. Fixation prophylactique de l'épiphyse de la tête fémorale droite avec 1 vis partiellement filetée (OP le 05.07.2017) Pharyngite probablement virale le 30.01.2019. Pharyngite streptococcique. Pharyngite Streptococcus groupe A positive Pharyngite virale Pharyngite virale Pharyngite virale. Pharyngite virale. Pharyngite virale. Pharyngite virale. Pharyngite virale. Pharyngite virale. Pharyngite virale le 02.01.2019. Pharyngite virale le 05/03/17 Gastroentérite virale, 13.01.2018 Notion d'ulcère gastrique en 2001, traitement médicamenteux Pharyngite virale le 10.01.19. Pharyngo-amygdalite probablement virale le 04.10.2018. Traumatisme crânien avec perte de connaissance et amnésie circonstancielle le 22.07.2017. Contusions multiples (poignet gauche, genou droit, colonne lombaire) le 22.07.2017. Pharyngo-laryngite d'origine probablement virale le 13.01.2019. Pharyngo-trachéo-bronchite probablement virale Phénomène de Raynaud secondaire sévère avec : • ischémie des 1er et 2ème orteils du pied gauche • cyanose sévère de plusieurs doigts et orteils • ulcères digitaux Eliquis mis dans ce contexte selon la patiente Tabagisme actif. Lombalgie chronique non déficitaire sur troubles dégénératifs Asthme + BPCO Gold II Ancienne consommation d'alcool à risque, sevrée depuis 2010 Hypovitaminose D avec hyperparathyroïdie secondaire Phénylcétonurie (suivi au CHUV). Phénylcétonurie suivie au CHUV Phenylephrine, Clemastine le 11.12.2018 Tryptase le 11.12.2018: 3.81 microg/l Phéochromocytome surrénalien gauche (4.2 cm), R0 • découverte fortuite au CT abdominal du 09.12.2018, hypercaptant au PET-CT du 11.12.2018 • bilan hormonal du 12.12.2018 : 17-Hydroxyprogestérone, DHEAS, Androstanédiol, Métanéphrine sériques libres et totales • scintigraphie au MIBG du 18.12.2018 : hypercaptation surrénalienne gauche précoce et tardive, compatible avec un phéochromocytome • consilium endocrinologique du 19.12.2018 (Dr. X) : introduction d'un traitement alpha-bloquant et bêtabloquant jusqu'à la chirurgie Phimosis • sondage urinaire difficile. Phimosis physiologique Phlébite dans l'enfance. Oppression thoracique et palpitations le 22.11.2018. Phlébite du membre supérieur droit 03.01.2019. Phlébite MSD le 23.01.2019 Phlébite superficielle avant-bras gauche, le 23.01.2019 Phlegmon à point de départ dentaire DD: gingivite Phlegmon de la cuisse droite sur corps étranger le 10.01.19. Phlegmon de la gaine des fléchisseurs de D3, main gauche à Streptococcus parasanguinis et Haemophilus parainfluenzae. Phlegmon de la gaine des fléchisseurs de l'index de main D sur morsure de chat le 05.01.2019. Phlegmon de la gaine des fléchisseurs de l'index G. Phlegmon de la gaine des fléchisseurs de 3ème doigt gauche Phlegmon de la gaine des fléchisseurs doigt III main gauche sur griffure de chat le 12.01.18 Phlegmon de la gaine des fléchisseurs du 3ème doigt de la main D à Staphylococcus aureus sensible à la co-amoxicilline le 14.12.2018. Phlegmon des fléchisseurs du 2ème doigt de la main droite. Phlegmon D3 main D, face dorsale, avec infiltration de la gaine des fléchisseurs et début d'infiltration de la gaine des extenseurs sur morsure de chien le 04.08.2016 (germes : Pasteurella canis, Bacteroides pyogenes) Morsure de chien 2ème métacarpo-phalangienne main D le 23.06.2016 Lambeau de peau sur carcinome basocellulaire du nez Fracture du radius distal D traitée conservativement en 2016 Suspicion d'arthrite septique de l'IPP du 4ème orteil avec dermohypodermite avant-pied G le 03.09.2018 avec évacuation spontanée d'une collection purulente en regard et antibiothérapie iv Phlegmon périamygdalien droit le 15.01.2018 Phlegmon stade I de la gaine des fléchisseurs main droite sur morsure de chat le 06.01.2019 Phlyctène auriculaire gauche Phlyctène du conduit auditif externe gauche. Phlyctène surinfecté le 26.01.2019. pH-métrie et manométrie le 14.01.19 à 10h30 au cabinet d'endoscopie à Fribourg. Mise en pause du Pantozol dès le 01.01.2019. Mise en pause du Gaviscon dès le 01.01.2019. Substitution orale de la vitamine D à poursuivre à la sortie. Phobie scolaire, crise d'angoisse, idées suicidaires Phobie sociale. Trouble schizo-affectif. Potomanie. Phoscaps 3x/j. Contrôle de la phosphatémie chez le médecin traitant. Phosphène de l'œil droit. photothérapie depuis 14h le 07.01.18 jusqu'à 12h le 08.01 Photothérapie du 21.12 au 22.12 Photothérapie du 23.01. à 12h00 au 24.01. à 14h00 pendant 26 heures Photothérapie durant 16 heures (25.01-26.01) Dernier taux de bilirubine à 207 umol/l le 27.01 Prochain contrôle demain par la sage-femme Photothérapie durant 24 heures (23.01. au 24.01) Photothérapie du 10.01 au 11.01 Photothérapie pendant 24h (23.12 au 24.12) Photothérapie 28.12- 29.12.18 Photothérapie (3 lampes) du 11.01 au 12.01.19 et à 1 lampe 13-14.01 (pendant 12 heures), lit chauffant 14.01.au 15.01 Physio- et ergothérapie Physio- et ergothérapie Physio- et ergothérapie Physio- et ergothérapie • Charge partielle de 15 kg pendant 6 semaines postopératoires, éviter toute mobilisation exagérée de la hanche, pas de flexion de hanche >70° (jusqu'au 08.01.2018). Rx hanche droite le 13.12.2018 Rx hanche droite le 07.01.2018 Adaptation de l'antalgie : • Palexia 25 mg 2x/j dès le 18.12.2018, Palexia 50 mg 2x/j dès le 19.12.2018 (+ Palexia en réserve) Contrôle le 08.01.2018 à 10h30 chez Dr. X (Orthopédie, HFR Fribourg): Mobilisation selon tolérance. Prochain contrôle radio-clinique le 19.02.2019 à 10h00. Physio- et ergothérapie intensive Physio- et ergothérapie • marche en charge partielle de max. 15-20 kg du MID pour 6 semaines postopératoires, si pas possible ad transfert lit-fauteuil • pas de mouvements rotatoires, pas de flexion au-delà de 70°, pas d'ad-/abduction contre résistance pendant 6 semaines postopératoires • à noter que le patient ne parvient pas à charger partiellement alors objectif actuel : transfert lit-fauteuil uniquement Contrôles réguliers de la cicatrice avec ablation des fils le 28.12.2018 Physio- et ergothérapie Bilan diététique Physio- et ergothérapie Ecofenac gel Physio- et ergothérapie Eliquis arrêté dans le cadre des diagnostics principal et supplémentaire 1 Physio- et ergothérapie Rx genou droit le 11.12.2018 Physio- et ergothérapie AnalgesiePhysiotens stoppé Schellong du 28.12.2018 : positif Bandage des membres inférieurs Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie. Physiothérapie. Physiothérapie. Physiothérapie. Physiothérapie à domicile (bon pour 9 séances issu) Passage infirmier pour contrôle de la santé 1x/jour avec réactivation de passage pour les bas de contention Suivi pondéral quotidien avec adaptation du traitement diurétique en fonction Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 2.6 mmol/l ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte) Champ visuel automatisé à prévoir dans 9 mois chez Dr. X Consultation neurovasculaire de contrôle le 24.04.2019 à 14h30 (HFR Fribourg) Evaluer l'indication à une coronarographie avec cathétérisme D-G dans un deuxième temps Suivi tensionnel étroit < (cible 150/90 mmHg) Physiothérapie à domicile et SAD 2x/j Suivi en ambulatoire chez Dr. X et prise de sang le 16.01.2019 à 15h30 Réévaluer reprise Kineret Fracture humérale proximale gauche : contrôle radio-clinique à 6 semaines (le patient sera convoqué) Physiothérapie à l'effort Suivi du poids Suivi nutritionnel Physiothérapie ambulatoire en attente de RCV ambulatoire à Billens Réévaluer la nécessité de poursuivre le traitement diurétique Ergométrie dans 1 année Contrôle chez le médecin traitant dans 1 mois - contrôle des facteurs de risque cardiovasculaires, cible LDL <1.8 mmol/l Physiothérapie ambulatoire. Suivi du poids et adaptation des diurétiques. Débit O2 majoré à 3L. CAVE si péjoration de la fonction rénale en raison du traitement par Eliquis. Physiothérapie ambulatoire 2x/semaine à Billens Contrôle prochainement chez Dr. X et Dr. X Physiothérapie ambulatoire Le patient sera convoqué à la consultation ambulatoire de Dr. X courant février 2019 Physiothérapie, antalgie Physiothérapie avec programme San-Antonio. Thera-Band® à domicile. Réévaluation dans 6 semaines. Anti-inflammatoire pour 10 jours puis en réserve. Physiothérapie avec renforcement musculaire, vélo d'appartement, école de marche et école du dos. Prochain contrôle clinique dans 8 semaines. Physiothérapie Charge selon douleur, pas de restriction Analgésie avec Dafalgan 4 g par jour, réduit à 3 g par jour à partir du 12.12.2018 Physiothérapie de mobilisation Bretelle au besoin Physiothérapie de mobilisation. Prochain contrôle radio-clinique le 18.02.2019. Physiothérapie de rééducation à la marche. Suivi en policlinique d'orthopédie le 04.02.2019 avec Dr. X. Physiothérapie, Ergothérapie Physiothérapie, ergothérapie pour le confort Alimentation plaisir Réduction de la Dexaméthasone Physiothérapie, ergothérapie Alimentation plaisir Sevrage des corticoïdes Simplification du traitement cardiaque, maintien du Tambocor et du Torem Physiothérapie Ergothérapie Nutrition clinique Physiothérapie Ergothérapie Nutrition clinique Tests de la cognition du 28.12.2018 : MMSE à 30/30, test de la montre à 6/7, GDS à 4/15 Physiothérapie Ergothérapie Suivi nutritionnel Bilan vitaminique et substitution Tests de la cognition du 14.12.2018 : MMS à 27/30, test de la montre à 3/7 Physiothérapie et ergothérapie avec adaptation auxiliaire de marche Adaptation traitement avec arrêt béta-bloquant vu profil tensionnel bas et risque important de chute Reprise Demetrin 5 mg dès le 04.01.2018 Physiothérapie et ergothérapie en hospitalier et en ambulatoire Physiothérapie et ergothérapie intensive Physiothérapie et ergothérapie, Suivi diététicienne Laboratoires de contrôles SNG enlevé le 06.12.2018 car apport suffisant par oral (2-3 L par jour de boisson et apport protéinique suffisant) Mg substitution oral 2x/jour 10 mM Sous Creon, Imodium 5x/jour, Morphine 6x/jour pour les diarrhées sous Buscopan contre les crampes SUIVI 09.01.2019 à 15h30 Fribourg cantonal avec Dr. X Physiothérapie intensive Réadaptation respiratoire et musculo-squelettique à HFR Billens dès que possible (demande faite le 19.01.2019) Physiothérapie locomotrice Physiothérapie. Mobilisation progressive et massage cicatriciel. Prochain contrôle dans 2 mois. Physiothérapie mobilisatrice Casque protecteur CT cérébral du 23.12.2018 : Large lésion parenchymateuse hypodense fronto-pariéto-temporale droite, insulaire droite et touchant les noyaux gris centraux à droite, correspondant à une lésion ischémique constituée en rapport avec l'AVC connue. Matériel radio-opaque en région temporo-polaire droite, au sein de la région ischémique, dont il est difficile de dire s'il s'agit d'un reste de parenchyme cérébral ou d'un saignement intracrânien. Status post craniotomie fronto-pariéto-temporale droite avec collection hypodense extra-axiale en rapport mesurant 20 mm d'épaisseur maximale. Le reste de l'examen est inchangé. Physiothérapie mobilisatrice Ergothérapie Casque protecteur CT cérébral du 23.12.2018 : Large lésion parenchymateuse hypodense fronto-pariéto-temporale droite, insulaire droite et touchant les noyaux gris centraux à droite, correspondant à une lésion ischémique constituée en rapport avec l'AVC connue. Matériel radio-opaque en région temporo-polaire droite, au sein de la région ischémique, dont il est difficile de dire s'il s'agit d'un reste de parenchyme cérébral ou d'un saignement intracrânien. Status post craniotomie fronto-pariéto-temporale droite avec collection hypodense extra-axiale en rapport mesurant 20 mm d'épaisseur maximale. Le reste de l'examen est inchangé. Physiothérapie pour drainage lymphatique Bandes de contention Poursuite traitement diurétique Sevrage progressif de la Prednisone Physiothérapie pour gagner de la mobilité au niveau de l'épaule et de la hanche. Réévaluation à distance pour voir la nécessité de l'ablation de la plaque. Le patient ne souhaite pas ce geste pour l'instant. Physiothérapie, poursuite de l'incapacité de travail à 50 %. Prochain contrôle le 27.02.2019, Physiothérapie. Prochain contrôle radio-clinique le 14.02.2019. Physiothérapie. Réévaluation à distance. Physiothérapie respiratoire Physiothérapie respiratoire Physiothérapie respiratoire Physiothérapie respiratoire Adaptation du traitement diurétique Torem augmenté du 28.12.2018 au 01.01.2019 Suivi clinique Physiothérapie respiratoire Adaptation du traitement diurétique Suivi clinique Physiothérapie respiratoire Oxygénothérapie du 13.01 au 15.01 Betnesol du 15.01 au 17.01. Ventolin et Atrovent du 15.01. Physiothérapie respiratoire Rocéphine 2g en intraveineux du 31.12.2018 au 04.01.2019 Metronidazole 500 mg 3x/jour du 31.12.2018 au 07.01.2019 Ciprofloxacine par voie orale 500 mg 2x/j au 04.01 au 07.01.2019 Physiothérapie respiratoire Test de déglutition Adaptation du régime alimentaire Physiothérapie Sédiment urinaire le 04.01.2019 : pathologique (cf. Diagnostic 8) Avis urologique (Dr. X, transmission orale) : incontinence d'impériosité, ad Toviaz et Duloxétine (6 semaines max), physiothérapie de plancher pelvien Physiothérapie. Suite de la prise en charge par le team membre supérieur. Physiothérapie Adaptation de l'antalgie Physiothérapie Antalgie Physiothérapie Antalgie Ablation des fils à J14, le 29.12.2018 Consultation avec radiographie de contrôle le 31.01.2019 à 10h30 à la policlinique orthopédique de l'Inselspital, bâtiment INO, étage E2 Physiothérapie • Avis neurologique à organiser • IRM cérébral Physiothérapie • Décision d'un placement avec Mr. Y et la famille le 29.01.2019 Physiothérapie • Discuter d'un placement avec Mr. Y et la famille Physiothérapie • Ergothérapie Physiothérapie • Ergothérapie Physiothérapie • Ergothérapie Physiothérapie • Ergothérapie • Bilan vitaminique et substitution • Tests de la cognition du 14.12.2018 : MMSE à 29/30 et test de la montre à 5/7 Physiothérapie • Ergothérapie • Bilan vitaminique • Test de Schellong du 24.11.2018 : positif par plus de 20mmHg mais asymptomatique • Holter de 48h dès le 30.11.2018 : rythme de base sinusal, aucune arythmie significative, extrasystolies ventriculaires et supraventriculaires isolées (cf rapport) Physiothérapie • Ergothérapie • Alimentation plaisir • Antalgie Physiothérapie • Ergothérapie • Alimentation plaisir • Réduction de la Dexaméthasone progressive sans péjoration symptomatique Physiothérapie • Ergothérapie • Antalgie Physiothérapie • Ergothérapie • Antalgie • Adaptation du moyen axillaire Physiothérapie • Ergothérapie • Bilan nutritionnel • Tests cognitifs Physiothérapie • Ergothérapie • Bilan nutritionnel • Tests cognitifs du 11.01.2019 : MMS à 15/30, test de la montre à 2/7 ; GDS à 8/30 • Bilan neuropsychologique le 17.01.2019 Physiothérapie • Ergothérapie • Bilan vitaminique • Nutrition • Tests de Schellong du 19.12.2018 et 20.12.2018 : non pathologiques • Bilan cognitif le 14.12.2018 : MMSE à 24/30, test de la montre 6/7, GDS 2/15 Physiothérapie • Ergothérapie • Evaluation nutritionnelle • Tests de la cognition effectués durant le séjour en gériatrie aiguë HFR Riaz le 04.10.2018 : MMS à 22/28 et GDS à 8/15 Physiothérapie • Ergothérapie • Nutrition clinique • Tests cognitifs non réalisables Physiothérapie • Ergothérapie • Nutrition • Bilan cognitif du 21.12.2018 : MMS à 22/30, test de la montre à 1/7 ; GDS à 9/15 Physiothérapie • Ergothérapie • Status post bilan en ORL : pas de cause organique trouvée Physiothérapie • Ergothérapie • Suivi nutritionnel Physiothérapie • Ergothérapie • Suivi nutritionnel Physiothérapie • Ergothérapie • Suivi nutritionnel • Evaluation état global et autonomie Physiothérapie • Ergothérapie • Suivi nutritionnel • Test de la cognition le 17.12.2018 : MMS à 22/30, test de la montre à 3/7, GDS à 1/15 Physiothérapie • Ergothérapie • Tests cognitifs du 11.01.2019 : MMS 15/30, test de la montre 2/7 ; GDS 8/30 • Bilan neuropsychologique le 17.01.2019 Physiothérapie • Marche en charge selon douleurs dans attelle articulée F/E 20/0/0° durant 6 semaines. • Canne unique à droite au besoin • Contrôle radiologique le 14.01.2019 + avis Dr. X : pas de dissociation. Physiothérapie • Nutrition Physiothérapie • Placement en EMS prévu après séjour à l'UATO Physiothérapie. • Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Physiothérapie • Radiographie du rachis lombaire le 23.11.2018 • IRM lombaire le 27.11.2018 : recul du mur postérieur de 4mm en L3-L4 • Avis team rachis : traitement conservateur • Adaptation de l'antalgie avec Oxycontin 10mg le 19.12.2018 • Prochain contrôle le 31.01.2019 à 15h30 à la consultation du Dr. X • Bilan et traitement ostéoporose à prévoir en ambulatoire Physiothérapie • Suivi diététique Physiothérapie. • Suivi en orthopédie le 19.12.2018 à 15h40 à l'HFR Fribourg (Dr. X) • Réhabilitation musculo-squelettique à Billens dès le 20.12.2018. Physiothérapie • Suivi nutritionnel Physiothérapie • Tests de la cognition du 28.12.2018 : MMSE à 17/30 et test de la montre à 1/7 Physiothérapie • Transfert en réhabilitation gériatrique • Pic de CK à 20 000 le 19.12.2018 • Hydratation • Bicarbonate de Sodium 8% 100 ml le 18.12.2018 et 19.12.2018 • Pic d'hyperglycémie postopératoire à 14 mmol/l • Pic d'hypertension artérielle. • Pic fébrile à 38.3°C le 16.12.2018 • Râles à l'auscultation • Hémocultures le 17.12.2018 : négatives • Désaturation à 82% le 17.12.2018 • GDS le 17.12.2018 : alcalose respiratoire, lactates à 2.2mmol/l • GDS le 19.12.2018 : bonne évolution, lactates à 1.2mmol/l • Radiographie du thorax • Laboratoire • Rocéphine 2g du 17.12.2018 au 24.12.2018 • Pic fébrile et vomissements sur vaccination DD infection urinaire • Pic fébrile le 19.01.2019 (38.4°) • possiblement dans contexte d'IVRS, DD post ponction liquidienne le 18.01.2019 • Pic fébrile le 20.01.2019 • Pic hypertensif • Pic hypertensif • Pic hypertensif. • Pic hypertensif. • Pic hypertensif. • Pic hypertensif. • Pic hypertensif à > 200 mmHg avec: • pré OAP. • Pic hypertensif à 175/120 mmHg. • Pic hypertensif à 190/80mmHg le 25.12.2018 • Pic hypertensif à 200mmHg systole 21.01.2019 • Pic hypertensif à 220/100 mmHg • Pic hypertensif chez une patiente avec une hypertension artérielle mal contrôlée. • Pic hypertensif d'étiologie inconnue dans le cadre d'une hypertension artérielle mal contrôlée le 12.01.2019 • max. 210/110 mmHg • Pic hypertensif documenté à domicile et dans le cabinet du médecin traitant le 20.01.2019. • Pic hypertensif le 02.01.2019. • Pic hypertensif le 03.01.2019 • Elévation des troponines • Contexte de probable syncope d'origine indéterminée (DD : Rythmique, sténose aortique) • Pic hypertensif le 09.01.2018 • Pic hypertensif probablement dans le contexte traumatique douloureux • Pic hypertensif 04.01.2019. • Pic hypertensif 09.01.2019. • Pas de céphalée, pas de syndrome coronarien aigu. • Pic hypertensif 200/100 mmHg • dans un contexte de non compliance médicamenteuse • Pic subfébrile unique à 38°C axillaire chez nourrisson en bon état général • Pic hypertensif. • Pics fébriles récidivants d'origine indéterminée dès le 06.01.2019 • DD infectieux, oncologique, médicamenteux (antibiothérapie) • Pics hypertensifs. • Pics hypertensifs dès le 27.12.2018 • PID chez une patiente 4G4P de 45 ans porteuse d'un stérilet Mirena • PID • DD : vaginose. • PID. • DD : diverticulite, abcès abdominal. • Pied à D en position équin. • Pied adductus ddc, plus prononcé à gauche, flexible. • Pied bot gauche • Pied D : fracture non déplacée du cunéiforme latéral avec composante articulaire avec le 3ème métacarpe. Fracture non déplacée du cuboïde et minime fracture non déplacée de la base du 5ème métatarsien. • Pied D : fracture plurifragmentaire du cuboïde. • Pied G : lésion du Chopart avec fracture-avulsion de la tête du calcanéum. • Pied D : • entorse de Chopart cheville D le 27.11.2018 avec arrachement du ligament calcanéo-cuboïdien. • entorse stade II de la cheville droite le 11.09.2018. • Pied G : • entorse de Chopart et de Lisfranc pied gauche avec arrachement du calcanéum et du cuboïde le 11.09.2018. • Pied droit en piolet chez le fœtus • Pied gauche : fracture de l'os cuboïde avec lésion au niveau de l'articulation de Chopart • Pied gauche : pas de lésion osseuse suspecte d'ostéomyélite. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. • Pied droit : pas de lésion osseuse significative décelable évocatrice d'ostéomyélite. Les rapports anatomiques sont conservés. On trouve par ailleurs l'épaississement des parties molles de la face distale de la jambe. • Jambe droite : pas d'anomalie suspecte de la trame osseuse. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. • Jambe gauche : pas de lésion osseuse significative décelable. Discret épaississement des parties molles. • Thorax : épanchement pleural bilatéral de faible abondance avec troubles ventilatoires passifs. Aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'anomalie décelable par ailleurs à part une ostéopénie de la trame osseuse.Pied plano valgus adductus ddc, réductible. Status post déformation en varus et équin ddc sur position in utero. Pied plat normo-axé stade I à D. Pied plat valgus stade II à G. Pied plat valgus réductible ddc. Status post AMO plaque tibia distal G le 10.11.2017. Status post ostéosynthèse du tibia distal G par plaque pour une fracture métaphysaire le 17.3.2017. Arrachement osseux au niveau de la rotule G avec fixation en janvier 2018 au Chuv. Pied tombant à droite en postopératoire le 07.11.2018 sur lésion du nerf sciatique-poplité externe (probablement sur traction) et pied tombant à gauche depuis 15 ans. Pieds adductus bilatéraux probablement dus à une mauvaise position dans l'utérus. Pieds bots bilatéraux. Pieds diabétiques avec : • plaie face médiale base hallux bilatéralement • douleurs de type neuropathique au niveau des orteils droits. Pieds plats avec un arrière-pied en valgus et axe des deux jambes légèrement en X. Pieds plats bilatéraux, hyperlaxité, à gauche plus qu'à droite. Pieds plats bilatéraux réductibles. Antéversion fémorale à D. Pieds plats flexibles avec rotation interne plus marquée à G qu'à D et raccourcissement du MIG en dessous de 1 cm. Pieds plats valgisant légers à droite plus qu'à gauche. Pipéracilline-Tazobactam du 24.01 au 31.01.2019 Clarithromycine du 24.01 au 25.01.2019 Noradrénaline du 24.01 au 27.01.2019 Cathéter artériel gauche du 24.01 au 27.01.2019 Sonde vésicale depuis le 24.01.2019 Pipéracilline-Tazobactam dès le 21.01.2019 prévu pour 5 jours à adapter selon évolution. Piqûre. Piqûre accidentelle avec une aiguille creuse. Piqûre d'insecte le 28.07.2013. Contusion dorsale le 14.02.2018. Piqûre tique le 14.08.2018. Piste plutôt respiratoire. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : négatif. Cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. ECG : cf. annexes. Pister clinique et syndrome inflammatoire biologique. Pister FeUrée. Hydratation. Suivi biologique. Pister imagerie et évaluer avis neurochirurgie. Pister la PCR eubactérienne (CHUV). Antibiothérapie par Bactrim forte 3x1/j jusqu'au 25.01.2019. Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à charge complète. Contrôles réguliers des plaies avec ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X dans 2 semaines avec discussion du procédé ultérieur en raison d'un LCA insuffisant. Pister l'avis neurochirurgical. Pister les Hémocultures et le spectre d'antibiogramme. Nos collègues infectiologues vont vous contacter pour discuter de l'antibiothérapie et la durée de cette dernière. Suivre la fonction rénale. Pister les résultats du Holter de 48h. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Pas de conduite pendant 3 mois, avec bilan neuropsychologique d'évolution avant la reprise du volant. Consultation neurovasculaire de contrôle le 24.04.2019 (14h30). Pister les résultats du Holter de 72h. Organiser une IRM cardiaque en ambulatoire. Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80mmHg. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte). La capacité à la conduite sera évaluée à la sortie du séjour de neuroréhabilitation. Consultation neurovasculaire de contrôle le 25.04.2019 à 14h30. Recommandation d'organiser un contrôle ophtalmologique avec champs visuels. Pister les résultats du Holter de 72h. Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Consultation neurovasculaire de contrôle le 08.04.2019 à 14h30. Pister les résultats du Holter de 72h. Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Pas de conduite pendant 15 jours. Consultation neurovasculaire de contrôle le 16.05.2019 à 14h30. Pister les résultats du Holter de 72h. Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Pas de conduite jusqu'à amélioration fonctionnelle du MID. Consultation neurovasculaire de contrôle le 11.04.2019 à 14h30. Pister les résultats du Holter de 72h. Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 2.6 mmol/l). Consultation neurovasculaire de contrôle le 10.04.2019 à 15h30. Pister les résultats du Holter de 72h. Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Contrôle de l'INR à votre consultation le 07.01.2019 et adaptation du traitement par Sintrom. Contrôle clinique et changement du pansement le 07.01.2019 à la clinique générale à la consultation du Dr. X. Consultation neurovasculaire de contrôle le 09.03.2019 à 15h15. Pister les résultats du Holter de 72h. Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Consultation neurovasculaire de contrôle le 03.04.2019 à 15h30. Pister les résultats du Holter de 72h. Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. Pister la recherche de JAK2 V617F et le dosage de l'EPO. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Conduite sera réévaluée durant le séjour en neuroréhabilitation. Consultation neurovasculaire de contrôle le 20.03.2019 à 16h avec examen neurosonologique. Recommandation de contrôle du lupus anticoagulant à 12 semaines (envoyé aux HUG). Pister métanéphrines CHUV : recherche métanéphrines dans les urines sur 24h dès le 20.01.2019 le matin. Labétalol iv puis PO dès le 19.01.2019. IEC dès le 23.01.2019. TSH le 22.01.2019 : dans la norme. Métanéphrine urinaire 21.01.2019. CT Abdomen le 25.01.2019. Pister résultats de biopsie axillaire et mammographie et discuter de la suite de PEC avec oncologues, Mme. Y et proches. Selon décision, retour au hôme avec investigations en ambulatoire (onco-gériatrie). Pister sédiment et spot urinaire. Pister laboratoire du 05.01.2019. Pister spot. Pister taux de Carnitine, en laboratoire externe et contact de Dr. X si anomalies. Contrôles réguliers des transaminases. Réactivation de MTX si perturbation hépatique ne progresse pas. (max 3x norme de ASAT, ALAT). Suite du suivi diététique. Suivi en neurologie à organiser à sa sortie de la neuroréhabilitation intensive avec EEG à 3 mois pour évaluation de l'arrêt de l'anti-épileptique.Contrôle chez son gynécologue traitant à prévoir. • Pityriasis rosé. • Herpès 05/2015. • Uvulo-palatoplastie, amygdalectomie, turbinoplastie en 2006 pour ronchopathie. • Placement en home souhaité par la famille • Serait préinscrit dans des homes. • Placenta adressé en anatomopathologie. • Placenta en anatomopathologie. • Placenta envoyé en analyse anatomopathologique Aspirine 100 mg/j lors de la prochaine grossesse. • Placenta envoyé en anatomopathologie. • Placenta envoyé en pathologie. • Placenta envoyée en anatomo-pathologie Aspirine 100 mg/j lors de la prochaine grossesse. • PLAFA issu le 25.01.2019 pour la suite de prise en charge. • PLAFA médical du médecin traitant pour suite de prise en charge impossible à domicile. • Plage de verre dépoli avec une consolidation dans le lobe supérieur droit au CT-scanner du 11.01.2019 • DD : post-infectieux dans le cadre d'une pneumonie au décours. • Plage de verre dépoli lobe supérieur droit au CT-scanner du 11.01.2019 • DD : post-infectieux. • Plage hypodense sous-corticale du lobe frontal droit, ainsi que suspicion de lésions similaires intéressant la région pariéto-temporale droite d'origine indéterminée le 10.01.19 • DD : lésions démyélinisantes ou microvasculaires, artéfacts. • Plagiocéphalie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie à la main droite. • Plaie à la main gauche • sur la face palmaire, médiale, environ 5 cm, parallèle au pli de la peau • a glissé sur un toit en installant des panneaux solaires • pense être à jour pour le tétanos, va revoir avec son médecin traitant. • Plaie à l'annulaire gauche. • Plaie à l'index gauche. • Plaie à l'index gauche. • Plaie arcade sourcilière droite. • Plaie arcade sourcilière droite. • Plaie arcade sourcilière droite. • Plaie arcade sourcilière droite et joue droite. • Plaie arcade sourcilière droite 0.5 x 0.5 cm, sèche. • Plaie au menton. • Plaie au menton. • Plaie au menton de 3 cm sur chute dans un contexte d'éthylisation aiguë le 20.01.19. • Plaie au niveau de la face dorsale du pouce G avec lésion complète du EPL en zone 3 le 30.11.2018. • Plaie au niveau de la pulpe de l'auriculaire de la main droite de 1 cm de longueur. • Plaie au niveau de la pulpe du pouce gauche de 2 cm de longueur. • Plaie au niveau de la pulpe et du bout de l'ongle doigt IV main gauche. • Plaie au niveau de l'arcade sourcilière droite de 1.5 cm. • Plaie au niveau de l'index G IPD. • Plaie au niveau de la main droite. • Plaie au niveau du menton de 3 cm de longueur. • Plaie au niveau du poignet avec atteinte du nerf radial superficielle • Hypoesthésie D1 et D2, face dorsale. • Plaie au niveau du tibia droit de 1 cm de diamètre le 03.01.19. • Plaie au niveau tibial antérieur gauche sur chute dans un contexte d'éthylisation aiguë le 20.01.2019. • Plaie au pied droit. • Plaie au 4ème doigt gauche. • Plaie avant-bras D le 10.12.2018. • Plaie avant-bras gauche sur scarification. • Plaie avec bonne évolution. Pansement sec. Retrait des fils chez le médecin traitant à 10 jours. • Plaie avec perte de substance au niveau de la pulpe de l'index droit. • Plaie avec perte de substance de la 3ème phalange de l'index gauche le 05.01.2019. • Plaie avec perte de substance de 1 cm de diamètre de la pulpe du pouce à droite. • Plaie avec perte de substance en regard de la pulpe, face interne du pouce droit. • Plaie avec perte de substance en regard de la pulpe, face interne pouce droit. • Plaie bras gauche. • Plaie calme, léger écoulement au niveau de la partie proximale de la plaie, pas de trouble de la mobilité ni de la sensibilité. Désinfection Octenisept, Adaptic touch, compresse et gaze. Suite de prise en charge par le médecin traitant. Retrait des fils dès le 28.01.2018. • Plaie calme, sèche, sans signe de surinfection ni de collection. Pas de trouble sensitivo-moteur. Réfection du pansement écossais. Bonne évolution, prévoir l'ablation des fils à J14 post-opératoires (le 12.01.2019) à la consultation du médecin traitant. • Plaie calme, sèche, sans signe de surinfection ni de collection. Réfection pansement écossais. Contrôle le 06.01 en filière des urgences ambulatoires pour contrôle de plaie et réfection du pansement. Si bonne évolution, prévoir ablation des fils à J14 post-opératoires à la consultation du médecin traitant. • Plaie calme, sèche, tenue par 3 points simples. Pas de signe inflammatoire local, pas de collection, pas d'écoulement. Prise en charge lundi 07.01.2018 à la filière des urgences ambulatoires pour contrôle de plaie et ablation des fils (pédiatre en vacances). • Plaie chronique au niveau de l'avant-pied plantaire G. Status post greffe de Tiersch pied G le 17.07.2018. Status post greffe de Tiersch sur plaie chronique pied G le 03.07.2018. Status post débridement de plaie au Versajet et mise en place d'un VAC le 15.06.2018 sur ulcère chronique du pied G en regard de l'articulation MTP 1er rayon G. • Plaie chronique de la face antérieure de la jambe D, 2 x 1 cm. Status post ablation du fixateur externe, cure de la pseudarthrose infectée avec débridement, mise en place du BoneAlive, mise en place de la greffe mélangée avec de la greffe artificielle, mise en place d'un BMP et fixation par une plaque métaphysaire 16 trous jambe D (OP le 11.03.2016) sur pseudarthrose infectée à Entérocoque faecium, Staph. caprae, Staph. epidermidis avec déplacement secondaire fracture jambe D ouverte au 3ème° selon Gustillo avec lésion des 3 vaisseaux artériels, par écrasement le 16.02.2015; réduction fermée, fixateur externe, pontage de la tibiale postérieure jambe D par prélèvement d'une veine saphène ipsi-latérale, fasciotomie pied D le 16.02.2015, changement fixateur externe le 27.02.2015 puis enclouage du tibia par clou Tibia Expert, verrouillage statique le 06.03.2015. • Plaie chronique face latérale et plantaire de la MTP 5 pied G. Status post débridement, prélèvements, rinçages d'une plaie en regard de la MTP V pied G le 02.10.2018. Abcès plantaire MTP 5 à G sur une plaie chronique sur la face latérale de la MTP 5 G et plantaire sur : Status post incision abcès, débridement et prise de prélèvements au niveau du 5ème orteil face latéro-plantaire pied G le 09.05.2018 pour un mal perforant plantaire avec abcès latéral de la MTP 5 et phlyctène au niveau du 5ème orteil dorso-médial pied G. Plaie chronique en regard de la face plantaire de P2 de l'hallux gauche. Mycose de l'ongle de l'hallux droit avec décollement partiel de l'ongle. • Plaie chronique face plantaire de l'hallux D sur hyper-appui. • Plaie chronique malléolaire interne gauche avec évolution de plus d'un mois. • Plaie coin nasal de la paupière supérieure gauche. • Plaie contuse face dorsale 1er et 2ème rayons main droite sans atteinte des structures nobles. • Plaie cornéenne de 1 mm de diamètre à 4h de l'œil droit, par projection de corps étranger sans corps étranger.plaie crânienne superficielle à bords nets • Plaie cutanée. • Plaie cutanée de l'arcade sourcilière gauche • Plaie cutanée péricanthale inférieure gauche sans signes inflammatoires, suture continue en place nette diminution des douleurs le 31.1.2019 en comparaison avec le jour précédent • Plaie de la conque de l'oreille droite surinfectée sur lésion varicelleuse • Plaie de la face dorsale de la main droite en regard du 4ème métacarpien, rectiligne de 3 cm de long et 0.5 à 1 cm de profond. • Plaie de la face palmaire de l'interphalangienne distale 3ème doigt droit • traumatisme 5 jours auparavant • sans signe de surinfection. • Plaie de la face radiale de la métacarpophalangienne du 2ème doigt droit, de 2 cm de long, du 29.12.2018 suturée aux urgences. • Plaie de la jambe droite. • Plaie de la lèvre supérieure superficielle • Plaie de la main • Plaie de la main. • Plaie de la main droite. • Plaie de la main gauche. • Plaie de la pulpe phalange distale du 4ème doigt main G le 03.12.2018. • Plaie de la tête. • Plaie de la voûte du nez avec perte de substance • Plaie de l'antitragus oreille gauche le 27.01.2019. • Plaie de l'arcade sourcilière droite de 2 cm. • Plaie de l'arcade sourcilière droite de 7 mm sur traumatisme crânien sur chute le 31.12.2018. • Plaie de l'arcade sourcilière gauche • 1 point de suture 5.0 • Retirer les fils dès 14.07.2017 • Plaie de l'avant-bras G sur peau parchemin le 04.01.2019 • Plaie de l'avant-bras gauche • peau parcheminée • Plaie de l'avant-bras droit. • Plaie de l'index avec corps étranger métallique le 06.01.2019 • Plaie de l'index droit. • Plaie de l'index gauche. • Plaie de 0.5 cm de profondeur au niveau supérieur de l'hélix gauche • Plaie de 1 cm au menton • Plaie de 1 cm au niveau de l'arcade sourcilière gauche. • Plaie de 1 cm de long en regard de l'articulation interphalangienne du 2ème rayon droit • Plaie de 1 cm de long en regard de l'IPP du 2ème rayon droite • Plaie de 1 cm de longueur et 1 cm de profondeur en regard de la première commissure face dorsale du MG le 08.08.2017. • Plaie de 1 cm occipitale droite • Plaie de 1 cm superficielle. • Plaie de 1 cm superficielle 2ème doigt de la main droite. • Plaie de 1 cm tempe droite • Plaie de 1 cm verticale au niveau du sourcil gauche • Plaie de 1cm superficielle index gauche • Plaie de 12 cm environ au niveau du scalp. • Plaie de 1.5 cm au coin latéral de l'œil gauche • Plaie de 1.5 cm au niveau de l'articulation métacarpophalangienne de D4 de la main droite le 07.01.2019. • Plaie de 1.5 cm au niveau du menton. • Plaie de 1.5 cm de l'arcade sourcilière droite le 30.09.2018. • Plaie de 1.5 cm de l'arcade sourcilière droite le 30.09.2018. • Traumatisme crânien simple avec plaie du scalp le 06.01.2019. • Plaie de 1.5 cm transverse au niveau de la face palmaire de la 5ème métacarpe droite avec une hypoesthésie sur la face palmaire ulnaire en distalité. • Plaie de 1.5 cm transverse au niveau de la face palmaire de la MCP 5 droite • Plaie de 2 cm à la face dorsale de la 2ème phalange de l'index gauche le 16.01.19. • Plaie de 2 cm au niveau dorsal de la phalange proximale du pouce main droite le 01.01.19. • Plaie de 2 cm au niveau latéral de l'ailette gauche du nez. • Plaie de 2 cm de longueur longitudinale avec atteinte du tissu sous-cutané entre les têtes métacarpiennes II-III face dorsale main droite. • Cervicalgies à gauche sur torticolis sans déficit neurologique. • Sciatalgies gauches. • Infection urinaire basse. • Douleurs thoraciques gauche post-traumatismes le 10.10.2016. • Plaie de 2 cm frontale superficielle bords nets • Plaie de 2cm au dos de la main droite au niveau du métacarpe 1, de 2cm de longueur et 4mm de profondeur. • Désinfection de la plaie, suture avec le fil Dermalon 5.0, pansement. • Plaie de 2.5 cm au menton • Plaie de 2.5 cm au niveau de l'avant-bras gauche, face interne, le 05.01.19. • Plaie de 2.5 cm frontale • Plaie de 2.5x0.5 cm avec perte de substance (0.5x0.5cm) au niveau de la pulpe et de la face latérale de P3 D5 main gauche. • Plaie de 3 cm au niveau de l'avant-bras gauche face interne le 05.01.19. • Plaie de 3 cm au niveau de l'avant-bras gauche face interne le 05.01.2019. • Plaie de 3 cm au niveau de l'éminence thénar, bord latéral de la main gauche le 26.01.19. • Plaie de 3 cm superficielle de la main droite le 11.07.2018. • rappel anti-tétanique. • Plaie de 3 mm de l'index droit le 18.03.2013. • Plaie de 3cm de longueur transversale en regard de la face dorsale de la MCP 1 main G. • Plaie de 3cm en regard de l'articulation métacarpophalangienne du 2ème doigt de la main gauche. • Plaie de 3cm en triangle, horizontale, de la cheville droite, malléole externe. • Contusion lombaire. • Plaie de 3cm face palmo-radiale de l'avant-bras gauche distal avec atteinte du fascia musculaire le 25.08.2017. • Plaie de 4 cm verticale, face palmaire nv 5 éme métacarpien, main D • Plaie de 2 cm verticale, face palmaire 2 éme phalange D2, main D • Plaie de 4 cm verticale, face palmaire nv 3 éme métacarpo-phalangienne, main D • Plaie de 4cm profonde frontale centrale, bords irréguliers • Plaie de 4cm 3ème doigt main gauche. • sans évidence d'atteinte des structures nobles. • Plaie de 4x3 cm avec perte de substance de l'éminence hypothénar main D, le 12.01.2019 • Plaie de 5 cm cuisse droite. • Plaie de 6 mm sur le tragus de l'oreille gauche. • Plaie de 6cm au niveau de l'arcade supraciliaire G • Plaie de 7 cm x 3 cm cuisse gauche le 30.01.2019. • dans contexte de scarification connu. • Plaie de 8 mm au niveau frontal à droite le 22.01.2019. • Plaie délabrante de D3, sur la face dorsale, latérale interne et légèrement palmaire, avec une plaie interdigitale du troisième espace, main droite. • Plaie de la face latérale externe de D4 en regard de l'IPD, avec perte de substance intéressant la peau, une partie du sous-cutané, laissant la graisse sous-cutanée à l'air. • Parage de plaies, révision du tendon extenseur du 3ème doigt. • Fermeture des plaies après rinçage abondant. • Antibiothérapie. • Plaie d'environ 0.5 cm au niveau occipital. • Plaie d'environ 1 cm au niveau de l'éminence thénar gauche, le 04.01.2019. • Plaie d'environ 1 x 2 cm sous-patellaire latérale genou gauche le 01.12.2017. • Plaie d'environ 10x10cm avec perte de substance partie distale face dorsale jambe G avec section complète du muscle triceps sural et du nerf sural et défect en regard du tendon d'Achille le 03.02.2010 par tronçonneuse.• révision plaie, révision tendon d'Achille, débridement, rinçage ablation de corps étrangers et réadaptation du tendon d'Achille avec un surjet de PDS 1 selon Bunnel ainsi qu'adaptation selon Kessler le 03.02.2010 • révision plaie, révision tendon d'Achille, débridement VAC pied G le 29.04.2010 • débridement plaie, biopsies, rinçage au Lavasept, fermeture primaire distale pied G le 01.09.2010 Plaie d'environ 5mm et de 4mm de profondeur sur l'arcade sourcilière à D Plaie des 2ème et 3ème phalanges de l'annulaire gauche. Plaie Dig II main droite. Plaie doigt IV main droite. Erisipèle mollet droit en 2016. Plaie doigt V main gauche. Plaie dos du pied D de 4 cm le 23.01.2019 avec • Section du tendon du muscle extensor hallucis longus et de l'extensor hallucis brevis ainsi que section de la corticale du 1er métatarse avec plusieurs corps étrangers métalliques punctiformes Plaie du bras. Plaie du canal auditif externe droit le 04.01.2019. Plaie du coude gauche Plaie du crâne. Plaie du Doigt II de la main droite. Plaie du dos du pied droit avec section de l'appareil extenseur de l'hallux droit Plaie du genou droit sur chute accidentelle avec contusion genou droit. Contusion du cou du pied gauche le 03.08.2017. Gastrite à helicobacter pilori. Plaie du genou gauche Plaie du membre supérieur. Plaie du menton. Plaie du moignon. Plaie du pied droit Plaie du pouce de la main droite. plaie du pouce gauche. Plaie du scalp de 2 cm de grand axe. Plaie du scalpe. Plaie du talon gauche sans franc signes de surinfection Plaie du tiers proximal de l'avant-bras gauche. Plaie du 1er espace interdigital. Plaie du 1er espace interdigital gauche. Plaie du 2ème doigt droit le 19/01/19. Plaie du 4ème doigt des 2ème et 3ème phalanges. Plaie d'un 1 cm en regard radial de la 2ème phalange de l'index gauche. Plaie D3 main gauche. Plaie D3 main gauche en regard de l'interphalangienne distale, face dorsale, 2 cm. Plaie en biseaux de 3.5 cm de long, superficielle, au niveau du tiers moyen antérieur de l'avant-bras droit. Plaie en flap cutané du bout de l'index droit. Plaie en V de l'avant-bras droit, tiers distal, face radiale (peau parchemin). Plaie face dorsale gauche le 29.01.2019. Plaie face palmaire de D1 D I G avec section des nerfs digitaux palmaires ulnaire et radial, section de l'artère digitale palmaire côté cubital, ulnaire et lésion partielle du tendon du long fléchisseur du pouce (5-10%), le 15.04.2016 Vertiges d'étiologie indéterminée Myélite d'étiologie indéterminée Multiples interventions orthopédiques: fracture de cheville trimalléolaire, arthroscopie genoux bilatéraux, épicondylite, fracture vertèbres L2-3-4 Stérilisation Appendicectomie Cure de cataracte des deux côtés Myélite virale Plaie face palmaire de la main G en zone 3. Plaie face palmaire extrémité distale du 2ème métacarpien de la main gauche avec section à 2 niveaux des tendons des fléchisseurs superficiels et profonds en zone II et section de la poulie A1, ainsi que des 2/3 de la poulie A2. Plaie face palmaire poignet G le 12.01.2019 avec • Rupture partielle du flexor carpi radialis • Lésion de l'artère palmaire et de l'artère radiale Plaie face radiale phalange proximale D2 main droite. Plaie fermée. Poursuite de la désinfection 2x/jour et protection lors du travail. Fin du suivi. Plaie frontale Plaie frontale. Plaie frontale de 1 cm Plaie frontale de 2 cm de longueur. Plaie frontale de 3 cm de long aux bords irréguliers, sans corps étranger. Plaie frontale droite de 3.5cm de longueur. Plaie frontale droite rectiligne de 6 cm de long et 0.5 cm de profondeur. Plaie frontale gauche de 1.5 cm Plaie frontale gauche du 08.01.2019. Plaie frontale profonde de 3 cm, sans perte de substance le 29.01.2019. Plaie frontale superficielle linéaire de 1,5 cm de longueur sans saignement actif. Plaie frontale verticale de 2 cm en dessus de l'arcade sourcilière droite, profonde d'environ 1 mm. Plaie genou droit. Plaie genou droit 2 cm de diamètre et 1.5 mm de profondeur le 22.01.2019. Plaie genou gauche Plaie horizontale au menton de environ 1.5 cm Plaie horizontale avant bras droit, face palmaire et coté ulnaire, le 30.12.2018. Plaie horizontale de l'avant-bras droit, face palmaire et côté ulnaire le 30.12.2018. Plaie horizontale de 1 cm sus-patellaire à 11 heure au regard du genou le 11.03.2014. Plaie de la main gauche le 15.07.2014. Plaie horizontale occipitale Plaie iatrogène au niveau du pouce gauche. plaie infectée de mauvaise évolution D2 main droite suite morsure de chat le 23.01 Plaie infracentimétrique tibiale G surinfectée Plaie IPD 5ème doigt main G sur morsure de chien le 18.12.2018 avec : • arthrotomie traumatique. • défect ostéochondral de 2 mm carré sur le versant ulnaire de la tête de P2 D5. • lésion de la bandelette centrale de l'extenseur. • lésion du ligament collatéral ulnaire de l'IPD. Plaie labiale au niveau de la muqueuse supérieure interne infracentimétrique superficielle. Plaie labiale sur 2cm Plaie labiale suturée le 29.12 Plaie lèvre Plaie linéaire de la face antérieure du tibia gauche Plaie linéaire de la paupière supérieure fixe droite Plaie linéaire de 10 cm sur face ventrale du membre supérieur gauche, sur scarification Plaie linéaire de 2 cm, superficielle, au menton. Plaie linéaire frontale droite Plaie longitudinale de 2.5 cm au niveau du menton. Plaie longitudinal frontale paramédiane droite de 2 cm de longueur. Plaie longitudinale frontale paramédiane droite de 2cm de long le 02.01.2019. Plaie longitudinale frontale paramédiane droite de 2cm de long, suturée le 02.01.2019. Plaie main Plaie main droite. plaie main G Plaie main gauche. Plaie majeur droit. Plaie mastoïdienne le 04.10.2014. Status post-abdominoplastie le 08.10.2014. Corps étranger au niveau de la phalange distale du pouce droit. Incision, drainage au niveau de la face palmaire de la phalange distale du pouce droit (opération le 19.08.2015). Plaie menton 1 cm Plaie mentonnière de 5mm superficielle. Plaie mentonnière superficielle. Plaie MTP V Plaie nette de 1.2 cm de longueur, face palmaire du tiers moyen de l'avant-bras droit par une vitre en verre le 21.01.2019. Plaie nette d'environ 1.5 cm de longueur, bord radial de la 3ème phalange du 3ème doigt de la main droite, avec fracture de la houppe phalangienne de la 3ème phalange, sur traumatisme du 21.01.2018. Plaie nette du bord radial de la première phalange du 2ème doigt de la main gauche, d'environ 1.8 cm de longueur sur traumatisme du 21.01.2019. Plaie nette en V à sommet distal, d'une longueur totale de 3 cm, bord ulnaire du tiers proximal de l'avant-bras gauche. Plaie nez Plaie niveau P2 bord ulnaire de D5 gauche avec perte de substance et troubles de sensibilité Plaie occipitale cuir chevelu 4 cm Plaie occipitale de 4 cm. Plaie occipitale de 8 cm sans perte de substance le 29.01.2019.Plaie occipitale gauche Plaie occipitale superficielle d'environ 4 cm de longueur. Plaie occipitale : sutures par 4 pts simples avec 3-0 après désinfection, anesthésie locale et exploration de plaie. Plaie frontale : sutures par 3 pts simples avec 4-0 après désinfection, anesthésie locale et exploration de plaie. Surveillance neurologique aux urgences. Attitude • Retour à domicile. • Consignes de surveillance neurologique post-traumatisme crânien transmises (feuille donnée). • Traitement symptomatique. • Contrôle de plaie en Filière 34 dans 48 heures. • Ablation des fils dans 7 jours. Plaie occipito-pariétale gauche le 31/12/18. Plaie occiput du cuir chevelu 3 cm. Plaie oncologique sur site du sein droit post-mastectomie de 2015 avec : • Divers nodules et petites plaies • Tissu de granulation avec croûtes par endroits Plaie ouverte du membre supérieur gauche. Plaie ouverte MSG. Plaie palais gauche et droit et sur les tiers postérieurs des cordes vocales sur intubation le 14.01.2019. Plaie palmaire de 1 cm. Plaie palmaire de 4 x 2 cm au niveau de l'hypothénar de la main droite avec perte de substance. Plaie palmaire poignet droit avec : • lésion complète de la branche dorsale du nerf ulnaire. • lésion complète du fléchisseur ulnaire du carpe. • lésion partielle fléchisseur superficiel D3, D4 et D5. Suture tendon fléchisseur (poignet / main) (OP le 03.05.2010). Suture nerveuse (poignet / main) (OP le 03.05.2010). Angine à streptocoque. Plaie palmo-radiale de la 3ème phalange de l'index de la main droite. Plaie par corps étranger pointu en bois au niveau distal du 5ème rayon à droite le 30.01.2019, avec suspicion de résidu au niveau de la berge médiale de la main droite, distalement. Plaie par couteau cuisine 4 cm. Plaie par ponction de 1 cm sur la face dorsale de la métacarpe 1 distale gauche. Plaie pariétale droite de 5 cm. Plaie pariétale gauche, superficielle, le 31.01.2019. Plaie pariétale sur la ligne médiane du haut du crâne de 2 cm de longueur, superficielle. Plaie pariéto-temporale du cuir chevelu. Plaie paume main gauche le 22.01.2019 avec : • Trouble de la sensibilité dans le territoire ulnaire de D3 et radial de D4. Plaie paupière droite. Plaie pénétrante de 1x0.5 cm de taille et 1.4 cm de profondeur de l'éminence thénar main G. Plaie peu profonde palmaire en regard de la 1ère phalange du 5ème doigt de la main gauche, > 6h. Plaie pouce. Plaie pouce droit. Plaie pouce gauche. Plaie pouce : • horizontale, côté palmaire, pas de lésion du tendon objectivé, pas de trouble vasculonerveux de la partie distale. Plaie prétibiale à D avec exposition du tendon du tibia antérieur avec : • status post révision de plaie, débridement et prise de prélèvements jambe D le 06.11.2018. • status post auto-greffe de peau fine selon Thiersch au niveau de la jambe D le 07.12.2018. Plaie prétibiale à D avec exposition du tendon du tibia antérieur sur status post : • Brûlures représentant 10% de la surface corporelle • 9% au 3ème degré au niveau du MID • 1° au 2ème degré au niveau du MIG profond. • status post le 02.10.2018 au CHUV : débridement et greffe de peau mince selon Thiersch • status post le 16.10.2018 au CHUV : débridement de plaie • status post le 18.10.2018 au CHUV : débridement et greffe de peau mince selon Thiersch Plaie profonde. Plaie profonde à la face externe de la cuisse gauche. Plaie profonde au majeur droite et plaie superficielle de l'indexe droite le 21.12.2018. Plaie profonde au menton de 2 cm de long le 26.01.2019. Plaie profonde au niveau de la commissure interdigitale I et II, à gauche, sur coupure avec plaque de verre. Plaie profonde au niveau de la face dorso-radiale du poignet G avec lésion du nerf radial superficiel et de la gaine de l'EPL le 06.01.2019. Plaie profonde au niveau du dos du pieds le 14.01.2019 avec : • Hypoesthésie et atteinte tendon des extenseur • Rappel tétanos à Meyriez Plaie profonde au niveau du pouce G avec lésion complète du tendon court extenseur le 06.12.2018. Plaie profonde au niveau du tiers moyen latéral de la cuisse droite de 2 cm de longueur. Plaie profonde au niveau du 1er orteil droit, curviligne de 3 cm de la face médiale au niveau de la métacarpophalangienne jusqu'à la face plantaire de la 1ère métacarpophalangienne. Plaie profonde avec arthrotomie de l'interphalangienne distale, face dorsale du doigt 3 droit, le 01.01.2019. Plaie profonde avec arthrotomie de l'IPD face dorsale du doigt 3 à droite. • contrôle à J4. Plaie profonde de la jambe gauche le 19.01.2019. Plaie profonde de la jambe gauche le 19.01.2019. • sans atteinte des structures nobles Plaie profonde de la pulpe du pouce gauche le 03.01.2019. Plaie profonde de la 2ème phalange de l'index et du majeur gauches avec saignement artériel et lésion tendineuse associée. Plaie profonde de l'avant-bras gauche (tiers proximal face palmo-ulnaire) avec déficit sensitif et vasculaire en territoire ulnaire sur choc direct par une tronçonneuse (tenue par une autre personne). Plaie profonde de 1 cm de la face radiale du poignet gauche le 13.10.2018. Plaie profonde de 1.5 cm et oblique, sur la face interne de la 1ère phalange de l'annulaire gauche, sans trouble neurovasculaire. Plaie profonde de 1.5-2 cm de long en regard de l'IPD face dorsale du doigt 3 droit avec arthrotomie. Plaie profonde de 2 cm au niveau de la face palmaire de l'interphalangienne proximale de l'index gauche sans atteinte neurovasculaire ni tendineuse ni arthrotomie. Plaie profonde de 8 cm du coude avec bursotomie et fracture d'un ostéophyte médial olécrânien à D, le 08.01.2019. Plaie profonde du coude gauche avec suspicion d'infection de matériel chirurgical le 26/01/19. Plaie profonde du menton de 2.5 cm, longitudinale. Plaie profonde du pied à gauche le 26.01.2019. Plaie profonde du poignet à droite le 19.01.2019 avec : • Section complète du tendon du long palmaire Plaie profonde en V au niveau du tiers moyen antérieur de la jambe droite. Plaie profonde espace interdigital Dig II-III main D le 22.01.2019 avec : • Lésion du nerf digital ulnaire Dig II • Lésion partielle à 20% du tendon du lumbrical radial Dig III.• Arthrotomie IPD Dig III • Thrombose traumatique artère digitale radiale Dig III Plaie profonde face dorsale avant-pied G le 14.01.2019 avec • Section complète extensor hallucis brevis • Lésion à 50% extensor hallucis longus • Atteinte corticale antérieure du 1er métatarse Plaie profonde face palmo-ulnaire 1/3 proximal avant-bras G le 15.01.2019 avec • Section traumatique du nerf ulnaire et subtotale du nerf médian + rameau du nerf cutané médial de l'avant-bras • Section de la musculature des fléchisseurs de l'avant-bras Plaie profonde genou D Plaie profonde jambe gauche le 19.01.2019 • avec réfection du pansement et ablation du Penrose. Plaie profonde main gauche 12.01.2019 Plaie profonde membre inférieur droit. Plaie profonde pré-patellaire du genou G avec: • bursectomie subtotale. Plaie profonde pré-patellaire du genou gauche le 22.01.2019 avec: • bursectomie sub-totale. Plaie profonde pré-patellaire genou gauche le 24.01.2019 avec: • bursectomie sub totale. Plaie profonde pré-tibiale de la jambe gauche de 3 x 5 cm avec perte de substance et contact osseux le 13.01.2019 Plaie profonde traumatique de la face palmaire poignet D avec section complète des tendons flexor carpi radialis et palmaris longus, le 19.01.2019 Plaie profonde versant palmo-ulnaire proximal du poignet droit avec section partielle du nerf ulnaire (40%) et lésion partielle du muscle du FCU; le 30.06.2018. Plaie propre, sèche, pas de signe inflammatoire local, pas d'écoulement. 5 points en place. Ablation des fils le 11.01.2019 à la consultation du médecin traitant. Plaie propre, sèche, pas de signe inflammatoire local, pas d'écoulement. 5 points en place. Prise en charge lundi 07.01.2019 chez le médecin traitant pour contrôle de plaie. Ablation des fils le 11.01.2019 à la consultation du médecin traitant. Plaie propre Poursuite Ialugen Plus jusqu'à résorption des brûlures Surveillance signes de surinfection, reconsultation au besoin Plaie pulpaire du pouce droit le 01.03.15. Lombocruralgie non-déficitaire droite, le 21.11.2016. Cure de hernie inguinale 2014. Cure de hernie ombilicale 2014. Cholécystectomie 2016. Appendicectomie 2010. Lombosciatalgie droite non déficitaire 28.12.2016. Lombalgies droites non déficitaires post-traumatiques le 09.01.2017. Douleur abdominale d'étiologie indéterminée le 04.12.18. Diagnostic différentiel : gastrite - entérite. Plaie pulpaire du pouce droit le 01.03.15. Lombocruralgie non-déficitaire droite, le 21.11.2016. Cure de hernie inguinale 2014. Cure de hernie ombilicale 2014. Cholécystectomie 2016. Appendicectomie 2010. Lombosciatalgie droite non déficitaire 28.12.2016. Lombalgies droites non déficitaires post-traumatiques le 09.01.2017. Douleur abdominale d'étiologie indéterminée le 04.12.18. DD : gastrite - entérite. Plaie pulpe et bout de l'ongle D4 main gauche. Plaie semi-circulaire sur le côté radial et palmaire au niveau de la phalange moyenne du 5e doigt de la main G Plaie simple de D1 main droite. Plaie simple de D1 main droite de 3 cm le 11.01.19. Plaie simple de D1 main droite le 11.01.19. Plaie simple de la main en regard de l'articulation métacarpophalangienne de D2 à droite. Plaie simple de l'index gauche le 16.01.2019. Plaie simple du 4ème doigt de la main gauche. 3 points effectués après anesthésie en bague, rinçage et exploration de la plaie. Tétanos à jour. Ablation des points chez médecin traitant dans 7 jours. Réfection pansement dans 48 heures à domicile. Plaie simple transfixiante du pouce gauche avec probable neurapraxie pulpaire. Plaie superficielle. Plaie superficielle à la base du 4ème doigt de la main gauche face palmaire, le 12.09.2012. Plaie superficielle à la main gauche. Plaie superficielle à 1 cm distal de la commissure labiale à gauche. Plaie superficielle à l'intérieur des lèvres d'une taille d'environ 2 cm. Plaie superficielle au niveau de la face médiale du genou droit. Plaie superficielle au niveau de la plante de l'avant-pied droit de 8 mm et 0.5 cm de profondeur. Plaie superficielle au niveau de la pulpe du pouce gauche le 05.01.19. Plaie superficielle au niveau de l'espace interdigitale entre les 1er et 2ème doigts de la main droite le 30.01.2019. Plaie superficielle au niveau frontal droit de 3 cm de longueur. Plaie superficielle au niveau interdigital (pouce et index) à gauche de 1 cm de longueur. Plaie superficielle auto-infligée de 5 cm de l'avant-bras proximal gauche, le 03.05.2014. Tentamen médicamenteux le 22.04.2015 avec : • 10 x 1 mg de Xanax • 6 x 0.5 mg de Risperdal • 28 x 25 mg de Valdoxan • 37 x 50 mg de Lyrica • 17 x 25 mg d'Atarax • 10 x 15 mg d'Anxiolit • 21 x 10 mg de Demetrin • 6 x 10 mg de Zoldorm • 4 x 30 mg de Remeron Status post-crise d'angoisse • avec prise de médicaments : 1 cp Valdoxan, 2 x 1 mg de Temesta, 5 x 25 mg de Lyrica, 1 cp somnifère XX. Abus médicamenteux le 31.03.2018. Plaie superficielle avant-bras droit. Plaie superficielle avec arrachement de l'épiderme. Plaie superficielle avec perte de substance de 1 cm sur le bord radial de la face dorsale de l'index droit au niveau de la 3e phalange. Plaie superficielle base du pénis face dorsale Plaie superficielle bout de l'index gauche. Plaie superficielle de la face antérieure du bras droit le 01/01/18. Plaie superficielle de la face dorsale de l'avant-bras droit de 4 cm. Plaie superficielle de la face dorsale du pouce droit. Plaie superficielle de la face palmaire du doigt V à gauche avec saignement artériolaire le 30.12.2018. Plaie superficielle de la face palmaire du doigt V à gauche : • Suturée le 30.12.2018. Plaie superficielle de la main droite le 30.01.2019. Plaie superficielle de la main gauche, palmaire, de 5 mm de long, entre les métacarpiens 3-4, 4.5 cm au-dessus de la plaie palmaire du poignet. Plaie superficielle de la paume de la main gauche. Plaie superficielle de la phalange proximale dorsale D5 main gauche le 25.01.2019. Plaie superficielle de la phalange proximale du majeur droit, côté palmaire le 08.01.19. Plaie superficielle de la région occipitale d'environ 1.5 cm. Plaie superficielle de l'arcade sourcilière droite Plaie superficielle de l'index gauche le 19.01.2016. Plaie superficielle de l'index gauche le 19.01.2016. Plaie superficielle de l'occiput gauche de 1.5 cm. Plaie superficielle de moins de 1 cm métacarpo-phalangienne V le 26.12.2018. Plaie superficielle de P2 DII du membre supérieur gauche le 08.01.2019. Plaie superficielle de P2 DII gauche le 08.01.2019 Plaie superficielle de 1 cm Plaie superficielle de 1 cm au niveau du métacarpe II main droite le 12.01.2019. Plaie superficielle de 1 cm en regard de la face de la 5ème articulation métacarpophalangienne. Plaie superficielle de 1 cm et transverse sur la face antérieure proximale du tibia Plaie superficielle de 1 cm sur la pulpe de la 1ère phalange du pouce gauche au niveau du bord radial avec une perte de substance. Plaie superficielle de 1,5 cm au niveau du médio-tibia gauche, avec contusion, le 29.01.2019. Plaie superficielle de 1.5 cm au niveau frontal gauche. Plaie superficielle de 1.5 x 0.5 cm sur le bord radial de la 2ème phalange de l'index droit avec perte de substance. Plaie superficielle de 2 cm de la main droite, sur la face dorsale du trajet du 5ème métacarpe, le 11.01.2019. Plaie superficielle de 2 cm du pouce droit para unguéale le 12.01.2019. Plaie superficielle de 2 cm en regard de la rotule du genou droit. Plaie superficielle de 2 cm face dorsale du trajet 5ème métacarpien main droite le 11.01.2019. Plaie superficielle de 2 cm x 0.2 cm en regard de l'articulation interphalangienne proximale face dorsale du deuxième doigt de la main gauche le 30.12.2018. Plaie superficielle de 3 cm au menton. Plaie superficielle de 4 cm cuisse droite latéralement le 12.03.2012. 2 césariennes. Cholécysectomie. 2 opérations des ligaments croisés. Plaie superficielle de 5 mm, main droite en regard de l'IPD 2eme doigt Plaie superficielle de 7 cm pli des fesses gauche Plaie superficielle d'environ 1 cm sur la paume de la main gauche le 29.12.2018. Plaie superficielle d'environ 1 cm sur le rebord externe de l'articulation métacarpophalangienne V, main droite. Plaie superficielle d'environ 1.5 cm en regard de l'articulation inter-phalangienne proximale du majeur à droite le 25.01.2019. Plaie superficielle d'environ 1,5 cm en regard de l'articulation interphalangienne proximale du majeur droit le 25.01.2019. Plaie superficielle d'environ 3 cm sur le flanc gauche. Plaie superficielle d'environ 4 cm, avec perte de substance, en regard de l'articulation MCP D5 à gauche. Plaie superficielle du cuir chevelu en temporal droit de 2 cm. Plaie superficielle du cuir chevelu frontal de 1.5 cm de long en 2017. Plaie superficielle du dos de la main gauche le 01.01.2019. Plaie superficielle du dos du pied droit, de 4x2 mm, avec: • Status post dermohypodermite du pied droit sur plaie profonde le 03.01.2019. • Traitement antibiotique jusqu'au 16.01.2019. Plaie superficielle du genou gauche Plaie superficielle du menton. Plaie superficielle du scalp d'environ 6 cm au niveau occipital le 30.01.2019. • sur chute sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. • sur troubles de l'équilibre lié à neuropathie diabétique. Plaie superficielle du 3ème doigt face palmaire sur P3. Plaie superficielle du 5ème doigt de la main droite. Plaie superficielle en regard de la MCP I. Plaie superficielle en regard du deltoïde gauche. Plaie superficielle en V de 4 cm de longueur 1/3 distal AB gauche versant radial. Plaie superficielle face interne de la lèvre supérieure droite le 19.01.19. Plaie superficielle index gauche face dorsale hauteur articulation interphalangienne proximale le 01.11.2017 Plaie superficielle le 04.01.2019. Plaie superficielle occipital de 0.5 cm Plaie superficielle poignet D sur scarifications. Plaie superficielle pré-tibiale gauche 12x7 cm d'origine mécanique dans un contexte de chute le 27.12.2018 Plaie superficielle sur face palmaire du 5ème doigt droit suturée Plaie superficielle sur la face palmaire de la main gauche, de 2.5 cm de long, sur la 1ère commissure, oblique entre les 1er et 2ème doigts. Plaie superficielle sur la face palmaire distale de l'avant-bras droit le 09.01.2019. Plaie superficielle sur la phalange proximale du majeur droit, côté palmaire. Plaie superficielle sur la pulpe de la 1ère phalange du pouce gauche, bord radial avec une perte de substance sur 1 cm. Plaie superficielle sur la pulpe du doigt IV à gauche, le 18.01.2019. Plaie superficielle temporale gauche de 2 cm de long Plaie superficielle transverse sous-mentonnière de 2 cm de long. Plaie superficielle du pouce droit. Plaie superficielle 0.6 cm de long, versant externe du coin de l'œil droit. Plaie superficielle 2 cm de longueur et 2 mm profondeur majeur droit face radiale de la phalange distale. Plaie superficielle 4ème doigt de la main gauche. Plaie sur face antérieure tibia 5 cm x 3 mm le 03.11.2012. Plaie sur le haut du crâne de 3 cm Plaie surinfectée et fistulisée du genou droit en regard d'une calcification du tendon rotulien à Proteus Mirabilis : • Le 19.12.2018, Dr. X, Dr. X : ablation de la calcification, prélèvements bactériologiques, lavage et fermeture cutanée • Antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 1.2 g 3x/jour, puis relais par voie orale à raison par 1 g 3x/jour jusqu'au 02.01.2019 inclus Plaie surinfectée malléolaire interne membre inférieur gauche. Plaie suturable de la face latérale de l'avant-bras gauche le 09.01.19. Plaie suturable du menton le 10/01/19 Plaie temporale gauche le 29.01.2019. Plaie tibia gauche Plaie transfixiante au test à la sonde boutonnée. Vu par ORL (Dr. X) avec suture de la plaie externe par 2 points Prolène. Proposition d'antibiothérapie prophylactique. Plaie transfixiante de DII du membre supérieur gauche avec point d'entrée face palmaire de la MTC distale et sortie de la face interne de PI le 06.01.2019. Plaie transfixiante de la lèvre inférieure Plaie transfixiante de la lèvre inférieure, épargnant le vermillon avec ouverture cutanée de 1.5 cm, ouverture muqueuse de 1.5 cm. Plaie transfixiante de la 1ère commissure du pied droit le 03.01.2019. Plaie transfixiante du lobe de l'oreille droit Plaie transfixiante du pied droit. Plaie transfixiante longitudinale de 5 mm, 1 cm proximalement de la première commissure le 03.01.2019. Plaie transfixiante main gauche. Plaie transfixiante pulpe pouce D. Plaie transversale de 1.5 cm de la face antérieure de la cuisse gauche au niveau du 1/3 moyen le 13.08.2014. Plaie transverse de la face palmaire annulaire de la main gauche, en regard de l'articulation métacarpo-phalangienne, sans atteinte des structures profondes. Plaie transverse de l'annulaire gauche, au niveau de la face palmaire et en regard mi-diaphyse de la 3ème phalange, de 1.5 cm de longueur. Plaie transverse de l'avant-bras gauche le 20.12.2018 Plaie transverse de 4.5 cm au niveau de la ligne d'implantation des cheveux à droite. Plaie transverse du 4ème doigt gauche, face palmaire, en regard de la mi-diaphyse de la 3ème phalange, 1.5 cm de long. Plaie transverse en zigzag de 3 cm de longueur médiane du tendon d'Achille droit. Contusion de la malléole interne droite. Plaie transverse face dorsale MTP1 pied droit • 2 cm de long • superficielle. Plaie transverse superficielle sur la face dorsale de la 2ème phalange du majeur droit. Plaie très superficielle non suturable de 0,5 cm verticale sus-labiale gauche, ne touchant pas la lèvre. Plaie unguéale du 2ème doigt de la main droite. Plaie vaginale. DD : infection vaginale, infection urinaire. Plaie verticale de 3 cm, berges nettes, profondeur 5 mm. Plaie verticale médiane au-dessus de la lèvre supérieure, 1 cm avec profondeur 3 mm. Plaie visage. Plaie 1 cm au niveau dorsal de la phalange proximale du pouce gauche le 23.01.2019 • avec probablement tendon extenseur touché. Plaies chroniques des deux pieds dans un contexte d'hypoesthésie symétrique MI. Pas d'argument clinique pour une DHD franche actuellement. Plaies chroniques des orteils : • Ulcères orteils 3 et 4 à droite (IPP face dorsale) et pulpe de l'orteil 4 à gauche. Plaies coupées pulpe des doigts 3 et 4 main droite, plaies d'environ 1 cm. Plaies de la main gauche, éminence thénar. Plaies du cuir chevelu. Plaies du cuir chevelu de 12 cm. Plaies du visage multiples suite à des griffures et morsures de chat au domicile le 04.01.2019. Plaies et escarres au niveau des 2 jambes dans un contexte d'artériopathie des membres inférieurs de stade II chez un patient diabétique. Plaies multiples du visage suite à des griffures et morsures par le chat du domicile. Plaies multiples : • plaie du sommet du nez avec perte de substance. • plaie frontale droite avec dermabrasion et plaie ponctiforme. • plaie ovale du dessus de la lèvre droite avec perte de substance non-transfixiante. Plaies superficielles de 1 et 2 cm de longueur tiers moyen bord latéral de la cuisse droite le 03.08.2017. Plaies tibiales latérales avec écoulement séreux spontané, d'évolution favorable durant le séjour. Plan : Si état fébrile à domicile ou épisode de boiterie importante, consultation aux urgences. Contrôle aux urgences dans 48 heures soit le 09.01 pour contrôle clinique. Si status quo ou si péjoration : ajout bilan sanguin et US hanche (vu pas visualisation complète). Si nette amélioration, suivi clinique. Durée d'antibiotiques pas encore déterminée. Environ 10 jours. À évaluer au prochain contrôle, aviser les ORL. Nous revoyons les images au colloque de radiologie qui confirme l'absence d'épanchement. En cas de persistance des plaintes, un US serait à refaire. Plaque palmaire de P2 du DIII à droite. Plaques de l'aorte abdominale (ultrason en 2014). Sleeve gastrique avec perte de 14 kilos par la suite. Pic hypertensif à 200/110 mmHg le 12.01.2018, 1er épisode, spontané. Kyste du cuir chevelu pariétal droit. Lésion cutanée cervicale postérieure. Exérèse du kyste du cuir chevelu pariétal droit et de la lésion cutanée cervico-postérieure (OP le 26.06.2018). Plaques d'urticaire au niveau de la face antérieure de la cuisse à gauche et de l'épaule gauche : • épisodes antérieurs, avec probable terrain atopique. • cause primaire non connue. Plaques eczématiformes au niveau de la face extenseur des avant-bras et du dos des doigts main droite le 23.01.2019, DD : psoriasis en plaques, eczéma atopique. Plaques rouges sur les cuisses. Plasmaphérèse le 09.01.2019, 10.01.2019 et 11.01.2019. Cathéter de dialyse jugulaire droit le 09.01.2019 (15 cm), trans-cathétérisme le 10.01.2019 (20 cm). Traitements : • Solumédrol IV 1x 500 mg du 02-04.01.2019 avec majoration à 1x 1000 mg le 04.01.2019. • Relais PO par prednisone dès 08.01.2019 puis sevrage progressif. • Selon avis neurologique (Dr. X), Tecfidera 240 mg 2x/j en pause depuis le 08.01.2019 pour permettre switch thérapeutique vers Rituximab à la fin des séances de plasmaphérèse. Investigations : détails : voir examens complémentaires. • CT scanner cérébral 31.12.18 : absence d'hypertension intra-crânienne (pré-PL). • Ponction lombaire 01.01.19 : pas de protéinorachie, pas de dissociation protéino-cellulaire. • IRM cérébrale le 04.01.19 : par rapport au comparatif du 23.07.2018, apparition de multiples lésions dans la substance blanche évoquant de nouvelles lésions démyélinisantes sur poussée de SEP sans activité notable dont certaines sont sous-corticales, en particulier celle en région frontale gauche et celle dans le pont à droite, ces deux dernières pourraient rentrer dans un diagnostic différentiel de LEMP. • IRM cérébrale le 07.01.2019 : stabilité en nombre et de taille des différentes lésions démyélinisantes de la substance blanche à l'étage sus-tentoriel et de la lésion cérébelleuse droite sans signe d'inflammation active, correspondant à des lésions de SEP, une LEMP sous-jacente ne peut être formellement exclue notamment pour la lésion sous-corticale frontale gauche et basi frontale droite. • IRM de la colonne totale le 07.01.2019. Attitude : • Pister labos : • Sang : anti-GM1, anti-GQ1b, anti-GD1a, sérologie EBV, VZV, CMV, HSV1+2, Mycoplasma pneumoniae, Campylobacter, JC virus. • LCR : électrophorèse des protéines-bandes oligoclonales. • Si aggravation clinique, stop prednisone, tél neurologue de garde et transférer patient aux SI. • Suivi neurologique rapproché, avec fonction respiratoire (spirométrie) tous les jours. • Prochain RDV chez Dr. X le 12.03.2019 avec IRM cérébrale le 26.02.2019. Plastie des ligaments croisés genou D il y a 30 ans. Plastie du LCA droit en 1998. Status post-opération ligament croisé antérieur gauche. Status post-opération névrome pied droit. Plastie du ligament croisé antérieur du genou droit en 1994. Plastie du ligament croisé antérieur par arthroscopie et excision de l'anse de sceau du ménisque interne le 04.12.2013, Dr. X. Plastie inguinale G 07/2013. PTH G 02/2013. PTH D 1999. Plastie ombilicale 1990. Décompensation cardiaque globale le 07.01.19 sur : • maladie coronarienne bitronculaire. • fibrillo-flutter auriculaire. Échocardiographie 07.01.2019 : FEVG à 30 %. Coronarographie (Pr. X) le 10.01 : maladie bitronculaire, PCI IVA moyenne. Aspirine cardio pour 1 mois. Plavix pour 6 mois. Lisinopril 5 mg. Torasémide 5 mg. Aldactone 12,5 mg. Épanchements pleuraux éosinophiles cloisonnés bilatéraux le 07.01.19 : DD : décompensation cardiaque, maladie néoplasique sous-jacente, idiopathique : • Ponction pleurale droite le 08.01 : 1750 ml, exsudat éosinophile. • CT thoracique le 14.01.19 : pas de signe de pneumopathie ou de néoplasie pulmonaire, pas d'épaississement de la plèvre. • Cytologie pleurale le 08.01.2018 : forte inflammation à très nette prédominance éosinophilique ; matériel sans cellule tumorale maligne. Plastie inguinale G 07/2013. PTH G 02/2013. PTH D 1999. Plastie ombilicale 1990. Décompensation cardiaque globale légère sur une cardiopathie pas claire. Plastie ligamentaire de la cheville G en 1992. Laminectomie L4-L5 en 1995. Ostéosynthèse par vis de l'arrière-pied d'une fracture ouverte multifragmentaire à D en 1999. • Correction chirurgicale en 2005 d'une malposition en valgus de l'arrière-pied D post-traumatique. Ostéosynthèse par fixateur externe d'une fracture du poignet G en 1999. • Infection postopératoire et lésion nerf médian iatrogène. Paralysie faciale en 2003. Exostosectomie face interne calcanéum D. Plastie mitrale pour prolapsus (anneau de Carpentier n°30 le 24.08.1999) avec flutter auriculaire post-opératoire cardioversé électriquement. Cure d'éventration sus-ombilicale par filet pré-facial et rétro-musculaire en 2010. Cholécystectomie en 1999. Opération de la coiffe des rotateurs bilatérale en 1982 et 1992. Appendicectomie en 1970. Hématochézies chez un patient sous Sintrom avec INR supra-thérapeutique à >5,0 le 27.02.2017. • Colonoscopie du 23.03.2017, Dr. X : probable proctite actinique, deux polypes de 5 mm réséqués in toto, diverticulose sigmoïdienne.Plâtre AB circularisé pour 2 semaines. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 17.01.2019. Plâtre AB Contrôle ortho urgence dans une semaine. Plâtre AB-pouce. Plâtre avant-bras pour 4 semaines Rx poignet droit du 09.01.2019 : fracture motte de beurre radius distal. Contrôle en clinique orthopédique sur convocation dans 1 semaine puis dans 4 semaines. Plâtre cassé. Plâtre cruro-pédieux, antalgie / Supervision avec Dr. X, MA ortho / cô en orthopédie à 5 jours avec le rx et circularisation de plâtre. Plâtre cruro-pédieux fendu 4s puis botte plâtrée 2s contrôle ortho-urg dans 10 jours. Plâtre cruro-pédieux 4 semaines puis réévaluation en ortho urgence, contrôle en ortho urgence dans une semaine pour circularisation du plâtre, traitement in toto de 5 semaines. Antalgie si douleur. Plâtre scaphoïde. Prochain contrôle radio-clinique le 01.03.2019. Plâtre UL, Clexane. Rendez-vous en policlinique dans 1 semaine. Arrêt de travail. Plavix Bêta-bloquant, IEC Diurétique Dérivés nitrés Plégie isolée du membre supérieur droit post-opératoire le 11.01.2019. Pléthysmographie : gros orteil D : 111 mm Hg, G : 78 mm Hg. Pleurésie sans étiologie retrouvée DD Péricardite DD Néoplasique DD Infectieuse Pleurésie sur myopericardite. Pleurite droite dans un contexte de virose. Pleuromesothéliome malin biphasique inopérable • Diagnostic le 04.09.2018 • Histologie : infiltration par un mésothéliome biphasique au niveau de la biopsie pleurale dorsale droite ainsi que ventrale droite et au niveau du diaphragme. • CT colonne cervicale dorsale et thorax du 13.07.2018 : tassement vertébral de D11, aspect ostéoporotique. Masse dans le segment antérieur du lobe supérieur droit avec multiples métastases pleurales, adénopathies médiastinales. Suspicion de lésion au niveau œsophagien. • Facteurs de risque : non-fumeur, exposition à l'amiante (travailleur dans une scierie). • PET-CT du 31.07.2018 : lésions tumorales actives au niveau de la plèvre droite avec épanchement pleural ainsi qu'au niveau para-œsophagien, adénopathie infracarinaires. • St. p. cytoponction de l'épanchement pleural et double ponction des adénopathies para-œsophagiennes et la lésion pleurale : mise en évidence de cellules carcinomateuses (DD Mésothéliome). • Pose de PAC le 14.08.2018 (Dr. X). • St. p. Thoracoscopie avec biopsie pleurale, diaphragmatique et du paquet lymphatique 4 avec talcage et pose d'un PleurX à droite le 27.08.2018. • St. p. retrait du PleurX le 06.09.2018 en raison de douleurs. • Actuellement : chimiothérapie palliative par Paraplatine et Alimta. Hernie hiatale. Hypertension artérielle. Malnutrition protéino-énergétique grave dans un contexte oncologique. • Pose de SNG le 29.10.2018. • Alimentation entérale dès le 29.10.2018. Leucocytose post Neulasta le 24.10.2018. DD sur Dexaméthasone 4 mg per-chimiothérapie. Anémie normochrome normocytaire. • Transfusion 1CE le 31.10.2018. Hypomagnésémie 10/2018. Pleuromesothéliome malin biphasique inopérable • Diagnostic le 04.09.2018 • Histologie : infiltration par un mésothéliome biphasique au niveau de la biopsie pleurale dorsale droite ainsi que ventrale droite et au niveau du diaphragme. • CT colonne cervicale dorsale et thorax du 13.07.2018 : tassement vertébral de D11, aspect ostéoporotique. Masse dans le segment antérieur du lobe supérieur droit avec multiples métastases pleurales, adénopathies médiastinales. Suspicion de lésion au niveau œsophagien. • Facteurs de risque : non-fumeur, exposition à l'amiante (travailleur dans une scierie). • PET-CT du 31.07.2018 : lésions tumorales actives au niveau de la plèvre droite avec épanchement pleural ainsi qu'au niveau para-œsophagien, adénopathie infracarinaires. • St. p. cytoponction de l'épanchement pleural et double ponction des adénopathies para-œsophagiennes et la lésion pleurale : mise en évidence de cellules carcinomateuses (DD Mésothéliome). • Pose de PAC le 14.08.2018 (Dr. X). • St. p. Thoracoscopie avec biopsie pleurale, diaphragmatique et du paquet lymphatique 4 avec talcage et pose d'un PleurX à droite le 27.08.2018. • St. p. retrait du PleurX le 06.09.2018 en raison de douleurs. • chimiothérapie palliative par Paraplatine et Alimta depuis 09/2018. • Actuellement : Réponse partielle. • Suivi par Dr. X. • S/p ablation PleurX 06.09.2018 à cause des douleurs • chimiothérapie palliative par Paraplatine et Alimta depuis 09/2018 • pose de stent oesophagien le 07.01.2019 • Actuellement : Réponse partielle • Suivi par Dr. X Pleurs Pleurs Pleurs Pleurs Pleurs de nourrisson (coliques, invagination, infection urinaire) Pleurs d'origine indéterminée (douleurs abdominales ? poussée dentaire ?) pleurs du nourrisson Pleurs et agitation durant la nuit Pleurs et fièvre Pleurs excessifs du nourrisson plt 4G/L Plusieurs antécédents de coliques néphrétiques sur maladie de Cacchi-Ricci. Colectomie subtotale avec anastomose ilio-rectale en 2002 pour polypose multiple. Plastie urétérale gauche pour sténose urétérale en 2003. Cure d'une fissure anale avec extension d'un abcès au niveau du petit bassin en 2005. Hystérectomie radicale totale en 2000. Hépatite en 2003. Plusieurs antécédents de crise vaso-occlusives Plusieurs bronchites obstructives durant la 1ère année de vie Plusieurs épisodes de bronchite obstructives nécessitant une hospitalisation deux fois, 1ère hospitalisation à l'âge de 1 an 5 mois et la 2ème à 1 an 7 mois Plusieurs épisodes de colique néphrétique suivi par Dr. X avec status post lithotripsie. Plusieurs épisodes de cystite hémorragique traitée par antibiotique (le 14.01.2019). plusieurs griffures superficielles et rougeur. Plusieurs opérations de la jambe droite car problème avec épiphyse. Rapport sexuel non protégé. Abcès péri-anal à 6h en PG le 17.07.2018. Plusieurs otites, dernier épisode début 2012 Plusieurs pathologies psychiatriques dont le mari ne se souvient pas le nom. Plusieurs plaies non compliquées au niveau des mains. Plusieurs sinusites. Rhinosinusite aiguë maxillaire et frontale. Sinusite frontale et maxillaire droite chronique. Douleurs abdominales diffuses d'origine indéterminée. Ménisectomie genou droit. Lipome. PN: 3515g, TN 51cm, PC 36,5cm, APGAR 9/10/10 Pneumo-hémato-thorax et fractures de côtes en septembre 2009 Ulcère oesophagien non daté Gastrite non datée APP status-post dans l'enfance Iléus grêle mécanique avec saut de calibre à hauteur du jéjunum sur implants tumoraux le 21.10.2018 • SNG du 20.10 au 24.10.2018 et du 06.11.2018 au 08.11.2018 (CAVE posée sous fibroscopie avec ORL !) • CT abdominal le 21.10.2018 • Colonoscopie le 24.10.2018 • récidive d'iléus le 06.11.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN II prérénale 11/2018 • FeUrée : 21 % • dans un contexte de diarrhée Neutropénie post-chimiothérapie, le 26.11 • Leucocytes 1.3G/L • segmentés 0.37 G/L Score MASCC : 21 (bas risque) Diarrhées intermittentes dans le cadre d'un lymphome digestif et médicamenteux (anthracycline) Cl. diff nég le 23.11.2018 Pneumonie Pneumonie Pneumonie Pneumonie Pneumonie pneumonie Pneumonie à germe indéterminé le 12.01.2019 : • RX thorax 08.01.2019 dans les limites de la norme • Pas de réponse à co-amoxicilline per os 1g 3x/j du 08.01 au 12.01.2019 (médecin traitant) Pneumonie à répétitions • Choc septique sur pneumonie acquise en communauté le 19.04.2017 • Pneumonie d'aspiration le 26.09.2016 • Pneumonie débutante basale droite le 03.09.2016 • Probable début de foyer pneumonie le 28.12.2015 • Pneumonie basale droite le 23.06.2015 • Infections pulmonaires en octobre et novembre 2014 • Infection des voies respiratoires inférieures en juillet 2014 • Pneumonie basale droite, probablement sur broncho-aspiration en juillet 2014 • Pneumonie rétro-cardiaque avec insuffisance respiratoire globale modérée à S. agalactiae en mai 2014 • Suspicion de broncho-aspiration en mai 2014 • Sepsis d'origine pulmonaire sur broncho-aspiration basale gauche, fin mars 2014 • Bactériémie à S. pneumoniae à point de départ pulmonaire (lobe inférieur droit) en octobre 2012 Mycose oropharynx le 23.06.2015 Fracture mandibulaire sur ostéoradionécrose avec : • Opération le 14.10.2014 (Dr. X, Dr. X) : reconstruction mandibulaire par lambeau libre du péronier et trachéotomie Drainage d'abcès de la dent 48 en novembre 2005 Surdité unilatérale brusque à gauche le 25.07.2014 traitée par Prednisone 70 mg pendant 1 semaine Colite du côlon descendant et transverse d'origine indéterminée en juillet 2012 Pneumonie bilatérale sur broncho-aspiration (E. coli) le 22.07.2017 • hospitalisation à l'Hôpital de Sion du 22.07 au 26.07.2017 • CT thoracique le 24.07.2017 : condensation bibasales avec impactions mucoïdes en faveur d'une origine infectieuse • Augmentin du 22.07 au 24.07.2017, relais par Rocéphine et Flagyl à partir du 24.07.2017 Troubles électrolytiques le 26.07.2017 avec • Hypercalcémie corrigée à 2.71 mmol/l • Hypomagnésémie à 0.55 mmol/l • Hypokaliémie à 3.6 mmol/l • Hyponatrémie à 131 mmol/l Pneumonie acquise en communauté au décours, le 28.12.2018 • sous Co-Amoxicilline 625 mg 3x/J jusqu'au 03.01.2019 Pneumonie acquise en Communauté, le 28.12.2018 • sous Co-Amoxicilline 625 mg 3x/J jusqu'au 03.01.2019 Pneumonie acquise en communauté le 28.12.2018 • sous Co-Amoxicilline 625 mg 3x/J jusqu'au 03.01.2019 Status post-phakectomie bilatérale Status post-cystites récidivantes Status post-fracture du fémur droit en novembre 2016 sur chute (opération à l'HFR) Pneumonie atypique Pneumonie atypique Pneumonie atypique pneumonie atypique diagnostiquée le 25.01.2019 Pneumonie au décours Pneumonie au décours avec : • épanchements pleuraux bilatéraux Pneumonie basale droite le 01.04.2017 STEMI inféro-latéral sur occlusion de l'artère circonflexe proximale, le 29.03.2017 : • Coronarographie (Dr. X) le 29.03.2017 : angioplastie de la circonflexe avec mise en place d'un stent actif, avec bon résultat final. • Aspirine à vie, Efient pendant 12 mois; introduction BB, IEC et Statine Arthroscopie du genou droit pour lésion du ménisque interne il y a une vingtaine d'années Pneumonie basale D communautaire Pneumonie basale D le 06.12.2018 Pneumonie basale droite Pneumonie basale droite Pneumonie basale droite Pneumonie basale droite Pneumonie basale droite Pneumonie basale droite. Pneumonie basale droite à germe Moraxella catarrhalis le 19.03.2016 avec exacerbation d'une BPCO sévère de stade Gold III Status après collection dans le lit splénique sur status post splénectomie le 15.11.2017 en Bosnie pour rupture de la rate d'origine indéterminée Vaccination pneumocoque et méningocoque le 30.11.2017 Dysarthrie, aphasie et état confusionnel aigu le 18.11.2017 d'origine indéterminée (Bosnie) • CT cérébral : atrophie cérébrale; séquelles d'anciens infarctus; pas d'évènement aigu Atélectase basale gauche avec épanchement pleural postopératoire Diabète de type II insulino-requérant décompensé le 22.01.2018 Possible hémorragie digestive haute le 12.01.2018 CT abdominal le 16.01.2018 Convocation pour une OGD en ambulatoire Pneumonie basale droite à Légionelle Pneumonie basale droite avec dyspnée, baisse d'état général et perte de la capacité fonctionnelle le 29.01.2019 • avec insuffisance respiratoire partielle subaiguë • un précédent épisode de pneumonie en novembre 2018 Pneumonie basale droite communautaire à Moraxella catarrhalis le 03.01.2018 Pneumonie basale droite d'acquisition communautaire le 07.12.2017 Pneumonie basale droite dans le contexte de bicytopénie nouvelle le 07.01.2019 sur traitement par Méthotrexate avec : • neutropénie sévère à 0,5 G/l • leucopénie à 0,9 G/l • anémie macrocytaire avec une hémoglobine à 71 g/l. Pneumonie basale droite, DD : infection urinaire persistante malgré l'antibiothérapie par Bactrim. Pneumonie basale droite débutante le 20.01.2019. Pneumonie basale droite le 06.12.2018 Pneumonie basale droite le 12.01.2019 avec douleurs thoraciques parasternales. Pneumonie basale droite le 17.07.2018 Pneumonie basale droite le 26.12.2017: • neutropénie fébrile associée dans le contexte de la chimiothérapie Troubles électrolytiques multiples (hypokaliémie, hypophosphatémie, hypomagnésiémie) le 26.12.2017 Status post-dysphagie sur carcinome épidermoïde de l'oesophage avec sténose circonférentielle à une distance de 27 à 32 cm des arcades dentaires → pose de GPR 16/04/2018 Dénutrition sur trouble de la déglutition sur carcinome de l'oesophage poursuite nutrition entérale : • Isosource Energyfibre plutôt que le Fresubin 2kal HP habituel (seulement durant l'hospitalisation) Pneumonie basale droite le 26.12.2018 Pneumonie basale droite le 28.12.2018. Pneumonie basale droite le 30.10.2017. Pneumonie basale droite nosocomiale le 09.12.18 avec épanchements pleuraux bilatéraux Pneumonie basale droite Tendinobursite péri-trochantérienne Pancréatite le 28.07.2018 Pneumonie basale gauche Pneumonie basale gauche à germe indéterminé le 05.01.2019, • chez patient connu pour une leucémie lymphoïde chronique. Pneumonie basale gauche à germe indéterminé, le 09.01.2019 : • chez patient connu pour un lymphome diffus à grandes cellules en stade II (versus IV inflation épiploon/ou muscle abdominal) stade IPI intermédiaire à haut risque. Pneumonie basale gauche à germes indéterminés le 31.03.2018 Pneumonie basale gauche d'acquisition communautaire le 27.03.2017 Cholecystectomie (2010) Opération pour hernie discale lombaire Genou droit sur méniscopathie Opération bilatérale de la cataracte (2000) Décompensation légère d'un trouble de ventilation obstructif (2013) Bronchopneumonie (2010) Névralgie intercostale (2010) Plaie superficielle pouce G le 06.09.2018 Pneumonie basale gauche avec une hypogammaglobulinémie chronique sur leucémie lymphoïde chronique le 21.01.2017. Leucocytose à 41.8 G/l (50% des lymphocytes) le 21.01.2017 chez un patient connu pour une leucémie lymphoïde chronique. Hématurie microscopique chez un patient anticoagulé par Sintrom le 21.01.2017. Fracture per-trochantérienne du fémur proximal droit, le 30.05.2016 avec réduction et ostéosynthèse par clou Gamma III le 31.05.2016. Zona thoracique gauche en 2004 et suspicion de zona thoracique à droite le 09.05.2013 sous traitement de Valtrex au long cours. Infection probablement virale des voies aériennes inférieures le 19.10.2013. Urétéro-pyélographie rétrograde droite et urétéro-rénoscopie droite le 04.07.2008 pour macro-hématurie (amas de cellules d'une tumeur papillaire de bas grade à la cytologie pyélique) : • RTUV le 09.03.2005 pour tumeur papillaire pTa G1 de la paroi latérale gauche de la vessie • RTUV le 08.11.2005 pour petite récidive d'une tumeur papillaire de la vessie pTa G1 de la paroi latérale droite. Opération du rein droit en 1964 (maladie de la jonction ?) à Zurich. Pyéloplastie droite en 1960. Pneumonie basale gauche avec épanchement. Angine à streptocoques A. Pneumonie basale gauche avec SIRS, • score de CURB-65 de 2 (urée à 7.3 mmol/l et > 65 ans). Pneumonie basale gauche • dans le contexte du premier diagnostic Pneumonie basale gauche d'aspiration d'acquisition nosocomiale le 09.01.2019 Pneumonie basale gauche en 08.2018 Insuffisance respiratoire aiguë globale sur pneumonie bi-lobaire droite le 20.06.2018 Leucocytose d'origine indéterminée le 03.04.18, à prédominance neutrophilique Appendectomie 1960 Pneumonie basale gauche le 05.01.19 • IVRS depuis le 20.12.2018 • sous Céfuroxime dès le 04.01.2019 • score de Wells 1.5 pts, Genève pour EP 1 pts (2%) Pneumonie basale gauche le 13.02.2018. Récidive de pneumonie nosocomiale bilatérale le 05.09.2018. Sepsis sévère sur foyer pulmonaire gauche le 10.08.2018. Hydro-pneumothorax droit probablement chronique, post-opératoire. Tests hépatiques perturbés avec cholestase biologique le 05.09.2018. Thrombose veineuse profonde proximale de la veine jugulaire interne gauche probablement paranéoplasique en avril 2018. Agranulocytose fébrile le 06.04.2016 post-chimiothérapie sur probable infection virale des voies aériennes supérieures. Ostéonécrose mandibulaire sur bisphosphonates. Réduction mammaire bilatérale en 1991. Pneumonie basale gauche le 16.12.2018 • Rx thorax (Inselspital): possible infiltrat lobe inférieur gauche, congestion des veines pulmonaires massive • Culture urinaire (Inselspital): Négatif • Ag pneumocoque et Légionel (Inselspital): Négatif Pneumonie basale gauche le 17.02.2017 Chute d'origine peu claire avec traumatisme crânien et hématome en monocle droit le 18.03.2015 : • Diagnostics différentiels : syncope, vertiges, médicamenteuse (Dexaméthasone) • Bloc atrioventriculaire du 1er degré, bloc de branche droit, pas de trouble de la repolarisation (ECG du 22.03.2015 HFR Fribourg) • Test de Schellong le 28.03.2015 : positif • Bradycardie à normocardie sinusale avec bloc de branche droit, quelques extrasystoles supra-ventriculaires, pas de trouble du rythme cliniquement relevant, pas d'indication à une origine rythmogène à la syncope (Holter du 24-25.03.2015 HFR Fribourg) Thrombo-endartériectomie de la bifurcation carotidienne gauche en avril 2010 (HFR Fribourg) Thrombo-endartériectomie de la bifurcation carotidienne gauche en février 1998 (CHUV) Excision d'un mélanome au niveau de la joue gauche en 08.2005, avec ré-excision en janvier 2006 (Dr. X) Cure de varices non datée Cholécystectomie en 1964 Appendicectomie en 1938 Opération des végétations en 1946 Rash cutané érythémateux prurigineux non papulaire dans le dos sur tout le flanc gauche, suite à l'application de Sportusal Pic hypertensif avec tension artérielle systolique à 200 mmHg asymptomatique le 01.12.2018 : • Majoration Amlodipine à 10 mg/j dès le 03.12.2018 Pneumonie basale gauche le 20.01.2019 • EF 38.3°C • CRP 32 mg/l, Lc 7 G/l Pneumonie basale gauche, le 22.01.2019. Pneumonie basale gauche nosocomiale, le 15.01.2019 Pneumonie basale gauche sur infarctus pulmonaire le 25.01.2019 Pneumonie basale gauche 01/2018 AVC ischémiques multiples d'origine cardio-emboliques dans un contexte postopératoire en 02/2014 • IRM neurocrâne du 15.02.2014: AVC ischémiques frontaux droits subaigus • IRM neurocrâne le 21.02.2014: nouvelle anomalie de diffusion corticale, punctiforme, pariétale gauche sur embolie IRM neurocrâne le 28.02.2014: absence de nouvelles lésions ischémiques thrombo-emboliques • ETT le 24.02.2014: pas de thrombus intracardiaque; absence de foramen ovale perméable Troubles du rythme dans un contexte postopératoire en février 2014 • fibrillation auriculaire normocarde le 04.02.2014, retour en rythme sinusal sous beta-bloquants • récidive de FA tachycarde le 06.02.2014, charge en cordarone avec cardioversion, début d'une anticoagulation thérapeutique • bloc AV du 1er degré dès le 11.02.2014 Remplacement de valve aortique par bioprothèse (Composit-Graft Bio-Valsalva Gr. 27) sur ectasie annulaire de l'aorte avec légère insuffisance aortique le 31.01.2014 (Dr. X) • Sternotomie de révision le 01.02.2014 pour prétamponnade péricardique sur saignement de l'anastomose distale (Dr. X) et transfusion massive Coronarographie le 13.01.2014: absence de maladie coronarienne significative (diverses sténoses < 50%); FEVG 69% Syncope d'origine indéterminée le 18.10.2013 • EEG le 25.10.2013 normal • IRM du neurocrâne le 28.10.2013: sans particularité pour l'âge • Holter le 09.12.2013: extrasystoles supraventriculaires isolées et très rares extrasystoles ventriculaires monomorphes • Schellong normal, massage des sinus carotidiens normal Pneumonie basale gauche 08/2018 Insuffisance respiratoire aiguë globale sur pneumonie bi-lobaire droite le 20.06.2018: DD: décompensation de BPCO, bronchoaspiration sur surdosage de benzodiazépines (Valium) Suspicion de BPCO • DD overlap syndrome, notion d'asthme depuis l'enfance Syndrome de dépendance aux benzodiazépines et OH • contexte de situation psychosociale compliquée avec divorce en cours et absence de domicile fixe actuellement • curatelle de gestion • s/p hospitalisation à Marsens jusqu'au 11 juin 2018 (abstinence OH depuis, selon le patient) • s/p cure de désintoxication OH et benzodiazépines en 2015 (Meiringen) • suivi psychiatrique ambulatoire par le Dr. X 026 422 43 03 • suivi addictologique au Torry (résidence) jusqu'à l'hospitalisation Leucocytose d'origine indéterminée le 03.04.18 • avec 87,2% de neutrophiles Pneumonie basale gauche DD: infection urinaire • Rx thorax (Inselspital): possible infiltrat lobe inférieur gauche, congestion des veines pulmonaires massives • Culture urinaire (Inselspital 0316322979l): pas pistable les jours de Noël • Ag pneumocoque et Légionelle (Inselspital): pas pistable les jours de Noël Pneumonie basale gauche. Pyélonéphrite à pseudomonas et E. Faecalis Pneumonie base droite. Pneumonie base droite le 18.12.2018 sur: • broncho-aspiration probable Pneumonie bi basale au décours: • acquise en communauté à germe indéterminé Pneumonie bibasale à germe indéterminé le 09.01.2019. Pneumonie bibasale à pneumocoques le 10.01.2018 Pneumonie bibasale de germe indéterminé Pneumonie bi-basale en avril 2016 Zona ophtalmique gauche Prothèse totale de la hanche droite Prothèse du genou gauche en mai 2013 IVRS Pneumonie bibasale le 15.04.2014 Prothèse totale de hanche gauche en 2010 Opération de la cataracte bilatérale en 2009 Résection transurétérale de la prostate en 1991 par le Dr. X Chute sur troubles de la marche et de l'équilibre sur polymédication, carence vitaminique et sarcopénie Hernie inguinale médiale droite d'environ 3cm x 2.5cm et d'environ 14mm d'épaisseur, avec de la graisse mais pas de nette anse grêle à l'intérieur Péritonite dans l'enfance Diarrhées sans état fébrile sur probable gastroentérite virale Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 sur probable déshydratation avec créatininémie à 153µg/l Hyperkaliémie légère à 5.5mmol/l Lipothymie sur bas débit dans le contexte de la déshydratation avec: • Bradycardie et hypotension Anémie macrocytaire normochrome chronique d'origine mixte Pneumonie bibasale le 23.1.19 Pneumonie bibasale le 24.12.2018 Pneumonie bibasale nosocomiale à Morganella morganii le 04.09.2018 Pneumonie bilatérale. Pneumonie bilatérale avec épanchement pleural gauche d'origine parapneumonique probable le 05.01.19 • IVRS depuis le 20.12.2018 • Douleurs basi-thoraciques à droite initialement le 31.12.18 puis basi-thoracique gauche et sus-claviculaire gauche depuis le 04.01.19 associé à une dyspnée stade IV Pneumonie bilatérale il y a environ 20 ans. Nodule pulmonaire sous-pleural lobaire droit en 2016 (non présent sur le CT de mai 2017). Status post pneumonie et bactériémie à staphylocoques dorés (dès le 20.10.2017, Inselspital): • Récidive de pneumonie basale droite le 05.11.2017 • Lavage broncho-alvéolaire avec St. aureus le 24.10.2017. Hématurie macroscopique sur traumatisme urétral post-sonde urinaire enlevée le 12.11.2017. Epistaxis antérieur droit le 12.11.2017, récidive le 19.11 et le 21.11.2017. Insuffisance rénale aiguë AKIN I du 05.11 au 07.11.2017 DD: syndrome hépato-rénal. Hématémèse sur oesophagite et épistaxis droit le 11.11.2017. • Varices connues sur cirrhose alcoolique (dernière OGD Inselspital 25.10.2017) • Anémie spoliative le 10.10.2017 (transfusion de 6 CE du 10 au 16.10.2017) • Colonoscopie 19.10.2017: pas de saignement • Seuil transfusionnel: 70 g/l DD: varices oesophagiennes grade II, oesophagite de reflux, épistaxis droit, coagulopathie et thrombopénie • Transfusion de 2 CE et 1 PFC le 11.11.2017, 1 PFC le 13.11.2017, 1 CE le 24.11.2017. Hypokaliémie à 3.3 mmol/l sur diurétique, 07.12.2017. Deux escarres sacrés catégorie III sur immobilisation prolongée dès le 12.11.2017: • supérieur 0.8 x 0.9 cm • inférieur 0.2 x 0.2 cm. Pneumonie bilatérale le 21.01.19 Pneumonie bilatérale sur bronchoaspiration le 27.12.2018 Pneumonie bi-lobaire droite à pneumocoque en 2009 TURV pour cancer urothélial papillaire de la vessie pT1 GII à III (06/2016) Pyélonéphrite droite à germe indéterminé le 04.09.2018 Suspicion d'une hyperplasie bénigne de la prostate Introduction Tamsulosine dès le 05.09.2018 Pneumonie bilobaire droite (lobe moyen et inférieur) avec épanchement multi-cloisonné en péjoration le 10.01.2019 Pneumonie communautaire • Toux productive avec baisse de l'état général 3 jours • Crépitants bibasaux grossiers • Rx : tramme pulmonaire avec multiples épaississements, qualité mauvaise en raison de la position couchée • Labo : Leucocytose à 16 g/L, CRP 75 Pneumonie communautaire basale droite Pneumonie communautaire basale droite à germe indéterminée le 08.01.2019 avec: • insuffisance respiratoire de type 1 • crachats hémoptoïques • PSI Risk Class III (0.9-2.8%) Pneumonie communautaire basale droite, introduction de Coamoxicilline pour une durée de 7 jours. Le patient se représentera à la permanence en cas de péjoration clinique. Pneumonie communautaire basale droite le 26.01.2019: • oxygéno-requérante • Hypoxémie avec pO2 7.02 kPa Pneumonie communautaire basale gauche. Pneumonie communautaire basale gauche à germe indéterminé. Pneumonie communautaire basale gauche le 31.01.2019. Pneumonie communautaire bibasale • CURB-65: 1. Pneumonie communautaire de surinfection d'une Grippe A, le 31.01.2019 avec: • Déconditionnement et état confusionnel • CURB 65 à Pneumonie communautaire des lobes supérieurs et inférieurs droits • Rx: Infiltrats des lobes supérieurs et inférieurs droits • Labo: hyperleucocytose 18 G/L, CRP: 282 Pneumonie communautaire du lobe inférieur droit le 12.01.2019, DD: bronchopneumonie. • CURB-65: 1 point. Pneumonie communautaire du lobe inférieur droit le 12.01.2019, DD bronchopneumonie • CURB-65: 1 point.Pneumonie communautaire gauche à germe indéterminée en septembre 2010. Infection à Salmonelles traitée par Bactrim, mai 2010. Amygdalectomie. Hépatite A en 1982; biopsie hépatique anamnestiquement sp (pas de rapport disponible). Pneumonie communautaire péri-hilaire droite à germe atypique, • CURB 65 : low risk. Pneumonie communautaire rétro-cardiaque au lobe inférieur gauche le 27.12.2018 • chez patient connu pour pneumonies récidivantes Pneumonie d'acquisition nosocomiale à germe indéterminé. Pneumonie d'aspiration basale droite le 11.01.2019. Pneumonie d'aspiration le 22.12.2018 • Épanchement pleural gauche au CT-scan du 01.01.19. Pneumonie de broncho-aspiration le 27.12.2018 avec récidive le 06.01.2019. Pneumonie débutante. Pneumonie droite avec infiltrats pulmonaires et épanchement cloisonné de type exsudat (LDH pleural/sérique 3.9). Status post-méniscectomie gauche en 2015. Oeil droit : décollement rétinien compliqué d'une cataracte secondaire opérée en 2015. Pneumonie droite débutante. • SCORE CURB 65 : 1. Pneumonie droite le 04.08.2018. Recanalisation d'une occlusion subaiguë de l'artère poplitée et pose de 2 stents courts et recanalisation d'une occlusion de la partie proximale de l'artère tibiale antérieure avec angioplastie au ballon médicamenteux le 13.06.2018. Mal perforant plantaire pied droit le 24.10.2016. Ostéosynthèse par clou Gamma d'une fracture pertrochantérienne gauche après chute mécanique le 28.11.2015. Ischémie critique du membre inférieur gauche avec angioplastie de l'artère tibiale antérieure gauche, le 23.04.2013 : • réocclusion sur 2.5 cm de l'artère tibiale antérieure proximale. Résection de plusieurs récidives de carcinome de la vessie entre 2004 et 2007. Résection transurétrale de la prostate en 2006. Hernie hiatale. Déchirure musculaire du vaste intermédiaire gauche. Pneumonie droite le 28.12.2018. Pneumonie droite 07.01.2019 • Laboratoire à la permanence le 07.01.2019 : CRP 42, Leuco 12.9, Creat 161 • Rx le 19.12.2019 : Infiltrat dans le lobe supérieur droit et lobe inférieur droit, possibilité que l'infiltrat lobaire supérieur (déjà présent à la radiographie de Tiffeneau) soit correlable avec un infiltrat amyloïdose. Pneumonie du LID. Pneumonie du lobe basal droit. Pneumonie du lobe inférieur droit le 28.12.2018. Pneumonie du lobe inférieur droit traitée par Rocéphine en intraveineux du 03.09 au 07.09.2018 avec relais par Co-Amoxi 625 mg par voie orale jusqu'au 10.09.2018. Status post-bursectomie olécrânienne du coude gauche le 02.01.2018. Status post-ablation du neurostimulateur le 07.07.2017 pour une surinfection à Staph. epidermidis le 05.07.2017 (neurostimulateur mis en place en juin 2016). Status post-hypothyroïdie sub-clinique probablement sur surcharge iodée en mars 2017, substituée. Status post-PTG D en 2015. Status post-saignements digestifs bas depuis le 20.07.2015. • Télangiectasies multiples rectales (rectosigmoïdoscopie, 20.07.2015). Status post-zona lombaire D en avril 2012. Status post-bursite du coude droit sur exostose olécranienne (opérée en 2012). Status post-fracture de la clavicule gauche avec résection de la clavicule distale et acromioplastie en 2010. Status post-cure de hallux valgus. Status post-cholécystectomie. Status post-appendicectomie. Toux grasse d'origine virale probable le 22.09.2018. Rhizarthrose pouce gauche. Difficultés liées à une enfance malheureuse (privation de relation affective) - Z61.0. Anémie normocytaire hypochrome avec Hb à 94 g/l le 21.09.2018. • Ferritine à 19 ug/l et folates 2.1 ng/ml le 03.08.2018. Diarrhées liquides dès le 08.10.2018, avec : • Douleurs abdominales crampiformes intermittentes. • Nausées et un épisode de vomissement. DD : sur Abound, gastroentérite virale. Cicatrice instable du moignon du membre inférieur droit avec : • Douleurs neurogènes du moignon du membre inférieur. • Status post amputation infra-géniculée selon Burgess du membre inférieur le 15.12.2016 sur AOMI. • Status post-greffe de Thiersch du moignon du membre inférieur le 27.03.2017. • Révision du moignon du membre inférieur le 28.08.2018. Révision du moignon, le 17.12.2018. Antibiothérapie par clindamycine du 17.12 au 20.12.2018. Pneumonie du lobe inférieur droit traitée par Rocéphine en intraveineux du 03.09 au 07.09.2018 avec relais par Co-Amoxi 625 mg par voie orale jusqu'au 10.09.2018. Status post-bursectomie olécrânienne du coude gauche le 02.01.2018. Status post-ablation du neurostimulateur le 07.07.2017 pour une surinfection à Staph. epidermidis le 05.07.2017 (neurostimulateur mis en place en juin 2016). Status post-hypothyroïdie sub-clinique probablement sur surcharge iodée en mars 2017, substituée. Status post-PTG D en 2015. Status post-saignements digestifs bas depuis le 20.07.2015. • Télangiectasies multiples rectales (rectosigmoïdoscopie, 20.07.2015). Status post-zona lombaire D en avril 2012. Status post-bursite du coude droit sur exostose olécranienne (opérée en 2012). Status post-fracture de la clavicule gauche avec résection de la clavicule distale et acromioplastie en 2010. Status post-cure de hallux valgus. Status post-cholécystectomie. Status post-appendicectomie. Toux grasse d'origine virale probable le 22.09.2018. Rhizarthrose pouce gauche. Difficultés liées à une enfance malheureuse (privation de relation affective) - Z61.0. Anémie normocytaire hypochrome avec Hb à 94 g/l le 21.09.2018. • Ferritine à 19 ug/l et folates 2.1 ng/ml le 03.08.2018. Diarrhées liquides dès le 08.10.2018, avec : • Douleurs abdominales crampiformes intermittentes. • Nausées et un épisode de vomissement. DD : sur Abound, gastroentérite virale. Cicatrice instable du moignon du membre inférieur droit avec : • Douleurs neurogènes du moignon du membre inférieur. • Status post amputation infra-géniculée selon Burgess du membre inférieur le 15.12.2016 sur AOMI. • Status post-greffe de Thiersch du moignon du membre inférieur le 27.03.2017. • Révision du moignon du membre inférieur le 28.08.2018. Révision de moignon, le 17.12.2018. Antibiothérapie par clindamycine du 17.12 au 20.12.2018. Pneumonie du lobe inférieur gauche. Pneumonie du lobe supérieur droit. Pneumonie du lobe supérieur droit le 04.01.2019. Pneumonie du lobe supérieur droit le 04.05.2013. Pneumonie du lobe supérieur gauche. Pneumonie du lobe supérieur gauche le 18.01.2019. Pneumonie du LSD en 2014. Fractures des côtes suite à une chute accidentelle en 2012. Précédentes opérations : hystérectomie en 1984, appendicectomie. Pneumonie en août 2018. Pneumonie en base G le 01.01.2019. Pneumonie en décembre 2016. Pneumonie à Pneumocoque en décembre 2017. Diplopie persistante post-chute en novembre 2013 (CT cérébral : légère désorganisation de l'axe du bulbe des yeux d'environ 7°). Diarrhées chroniques en 2013. Cure de cataracte. Pneumonie en juin 2010. Fracture du calcanéum gauche le 17.05.15. Contusion du calcanéum droit le 17.05.15. Pneumonie en juin 2018, avec s/p pose drain thoracique pour empyème. Leuco-encéphalopathie dégénérative vasculaire de type FAZEKAS III. Lombarthrose multi-étagée avec status post infiltration. Carcinome épidermoïde bord langue gauche traité par glossectomie partielle gauche, évidement cervicale II-IV et radio-chimiothérapie en 2004. Décompensation d'une myasthénie grave le 27.11.2018 : • Traitement par Intratect dès le 28.11 jusqu'au 02.12.2018, pas de complication. • Physiothérapie respiratoire, déglutition et marche. • CT thoracique 23.03.2018 : pas de thymome • Avis Dr. X : peu d'amélioration clinique actuellement, amélioration tardive possible dans les semaines suivant la thérapie • Suite de prise en charge chez Dr. X début janvier 2019 • Suivi biologique de la formule sanguine, bilan rénal et hépatique chez le médecin-traitant • Bilan pulmonaire avec spirométrie le 07.12.2018 à 14h30 chez son pneumologue Dr. X • Pneumonie en 1950, 2009 et 2010 • Césarienne • Pneumonie en 2017 • Pneumonie lobaire gauche le 03.01.2019 • Oedème aigu du poumon débutant 01/2019 • sur décompensation cardiaque sur flutter auriculaire • Fibrillo-flutter le 03.01.2019 • Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 03.01.2019 • Pneumonie franche lobaire aiguë gauche • Pneumonie G à germe indéterminé sur grippe avec frotti PCR positif le 28.01.2019 • Pneumonie gauche à pneumocoque le 03.01.2019 • Pneumonie gauche débutante avec Curb score 65 à 1. • Pneumonie gauche le 07.01.2019 avec : • Ronchis à gauche à l'auscultation • Hyperthermie à 38.5°C • CRP à 103 mg/l • Pneumonie gauche • Résection d'adénomes tubuleux de la muqueuse colique (coloscopie 18.05.2017, Dr. X) • Polypectomie Saint-Laurent en 2006 • Pneumonie juxta-hilaire droite de la masse tumorale pulmonaire • dans le contexte d'un carcinome pulmonaire neuroendocrine à petites cellules, extensive disease, métastatique au niveau ganglionnaire, hépatique et osseux. • Pneumonie le plus probable le 28.12.2018. • Pneumonie le 18.12.2018 • Pneumonie le 30.12.2018. • Pneumonie lingulaire para-cardiaque gauche, le 10.01.2019. • Pneumonie lobaire basale droite • Pneumonie lobaire droite • Pneumonie lobaire droite le 16.01.2019. • Pneumonie lobaire gauche à germe indéterminé le 03.01.2019 avec : • oedème aigu du poumon débutant 01/2019 • sur décompensation cardiaque sur flutter auriculaire • Pneumonie lobaire gauche • CURB 65 à 1 pt • Score de Fine : classe II • Pneumonie lobaire inférieure gauche sur broncho-aspiration le 04.01.2019 • suite à épisode de vomissement • Pneumonie lobaire inférieure gauche • Pneumonie lobaire moyenne droite avec bactériémie à Streptocoque pneumoniae le 11.06.2018 • Colite à Campylobacter jejuni le 09.08.2018 • Pneumonie lobaire supérieure droite. • Pneumonie lobaire supérieure gauche le 22.01.2019 • CRB-65 à 1 pt à l'entrée (AF von 33/min) • FINE Score avec PSI en dessous de 70 • Pneumonie lobe inférieur gauche • Pneumonie lobe inférieur gauche • Co-amoxicilline du 10.12 au 16.12.2018 • Laboratoire : CRP 141, leuco 10.5 • CT scanner le 10.12.2018 • Hyponatrémie 133 mmol/l le 10.12.2018 • Suivi biologique • Malnutrition protéino-énergétique modérée avec perte de 20 kg en 1 an • Nutrition entérale par SNG Isosource 1'000 ml/24h • Suivi nutritionnel • Carcinome épidermoïde moyennement différencié de la jonction gastro-oesophagienne, stade métastatique : • date du diagnostic le 16.03.2018 • s/p 4 cures de chimiothérapie palliative par cisplatine et 5-FU du 21.03 au 05.08.2018 (rémission partielle après 3 cures) • s/p chimiothérapie palliative de 2ème ligne par Paraplatine et Taxol du 09.08 au 18.08.2018 au vu d'une progression tumorale au niveau oesophagien et pulmonaire • actuellement : chimiothérapie de 3ème ligne par FOLFIRI • CT thoraco-abdominal le 10.12.2018 • Pneumonie nécrosante droite communautaire à S. pneumoniae compliquée d'un épanchement droit bilobaire droite • Pneumonie nosocomiale avec crachats hémoptoïques le 22.12.2018 • Pneumonie nosocomiale bibasale le 25.10.2015 • Sténose du côlon sigmoïde distal sur diverticulite chronique avec iléus mécanique le 01.08.2015 • s/p sigmoïdectomie oncologique selon Hartmann avec descendostomie terminale en fosse iliaque gauche le 01.08.2015 • s/p rétablissement de la continuité par laparotomie et iléostomie de protection le 20.10.2015 • fermeture d'iléostomie le 06.01.2015 • Pneumonie nosocomiale dans contexte de broncho-aspiration à germe indéterminé le 11.12.2018 • Pneumonie nosocomiale droite le 30.12.2018 • Pneumonie nosocomiale le 10.12.2018 • S/p Annuloplastie de Carpentier pour insuffisance mitrale massive sur rupture de cordage du feuillet postérieur (12.1993) • Phimosis important sur inflammation préputiale • S/p cholecystectomie à l'âge de 30 ans (anamnestique) • S/p cure d'hernie inguinale gauche (anamnestique) • Pneumonie nosocomiale le 11.01.2019, probablement sur broncho-aspiration • Pneumonie nosocomiale le 24.01.2019 • DD broncho-aspiration • Pneumonie nosocomiale multilobaire le 05.02.2018 • Episode dépressif sévère avec tentative de suicide par défenestration le 03.01.2016 • Kyste synovial L4-L5 avec instabilité articulaire accompagnée d'une hernie discale L4-L5 G avec petit fragment séquestré : • Décompression L4-L5 par la G avec facettectomie et ablation du fragment luxé, discectomie et spondylodèse percutanée L4-L5 D, le 19.11.2015 • Épididymite le 07.11.2015 à E. Coli multisensible • Rupture de la coiffe des rotateurs post-traumatique en décembre 2014, traitée conservativement • RTUP et biopsie de diverticule vésical en décembre 2013 pour hypertrophie prostatique symptomatique (hyperplasie bénigne de la prostate) • Bronchopneumonie à Staphylocoque coagulase négatif en octobre 2011 • Intoxication alcoolique et hospitalisation à l'HFR Fribourg le 27.10.2010 • Dépression avec hospitalisation à Marsens du 25.01 au 04.03.2010 • Crise d'épilepsie en 1996 • Opération pieds bots en 1955 • Status post PTH D et PTH G pour coxarthrose, le 25.01.2018 • Pneumonie nosocomiale plage moyenne gauche à germe indéterminé diagnostiquée le 05.12.2018 • Pneumonie nosocomiale sur broncho-aspiration • Pneumonie par aspiration le 30.12.2018 • Pneumonie post-obstructive récidivante du lobe supérieur droit le 22.01.2019 • Pneumonie traitée par Co-amoxicilline en décembre 2018 • CT thoracique du 10.01.2019 (HFR Meyriez) : sécrétions bronchiques et impactions mucoïdes de la bronche souche droite s'étendant dans la branche lobaire supérieure droite avec atélectase du segment antérieur • Pneumonie probablement bactérienne le 22.01.2019. • Pneumonie probablement virale • Pneumonie récidivante • Pneumonie sur broncho-aspiration • Pneumonie sur probable bronchoaspiration le 11.11.2018 • Pneumonie traitée • Pneumonie trilobaire communautaire le 03.01.2019 • avec foyers radiologiques bibasaux et dans le lobe supérieur droit • dans un contexte de radio-chimiothérapie sur adénocarcinome de l'œsophage distal • Pneumonie virale à Influenza A oxygénodépendante Pneumonie virale débutante sur IVRS Pneumonie 04.01.2019 DD : Bronchite Pneumonie. Lombalgie aiguë d'origine musculo-ligamentaire. Oesophagite stade III. Douleurs épigastriques (DD : Gastrite, ulcère gastrique, oesophagite) 23.10.2015 Reflux gastro-oesophagien symptomatique. Pneumonies à répétition. Appendicectomie et péritonite en 1958. PTH gauche en 1992, droite en 2002. Thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit le 17.03.2012. Pneumonies d'aspiration récidivantes bilatérales le 24.12.2018 et le 04.01.2019 • Gazo 04.01.2018 : Insuffisance respiratoire globale • CT Thorax 12.2018 et 01.2019 : Consolidation dorsobasal avec aspect de verre dépoli et épaississement bronchique. • Traitement par Co amox du 25.12 au 01.01 et Tazobac 04.01. au 09.01.2019 Hémisyndrome brachiocrurale droite sur protusion discale avec sténose cervicale 4/5 • IRM : Sténose du canal spinal en raison d'une dégénérescence avancée des cervicales et sténose foraminale bilatérale, myélopathie dégénérative secondaire • Discectomie le 21.12.2018 par voie antérieure • Exclusion de la cause cérébrale avec IRM cérébral le 11.2018 : sans ischémie ni hémorragie visible • Thrombolyse iv 11.2018 en raison d'un doute quant à la négativité de l'IRM Opération de la cataracte droit en 2017 Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec créatinine à 150 umol/l probablement dans le contexte infectieux le 04.2018 Hypernatrémie hyperosmolaire à 156 mmol/l le 04.2018 Hyperplasie de la prostate. Pneumonies récidivantes, traitées par homéopathie selon la patiente. Lithiase, dernier épisode à 16 ans. Anémie. Pneumopathie interstitielle diffuse en cours d'investigation au CHUV • possible pneumopathie interstitielle desquamative (DIP) • insuffisance respiratoire partielle hypoxémique légère Pneumopathie interstitielle fibrosante sur probable pneumopathie d'hypersensibilité (PHS) vs pneumopathie interstitielle desquamative (DIP), selon la lecture biopsie pulmonaire (Dr. X) • exacerbation de cette pneumopathie dans un contexte infectieux et post Rx thérapie pulmonaire en février 2018 • introduction de prednisone au dosage de 60 mg le 23.02.2018, 40 mg le 01.03.2018, 20 mg depuis le 16.04.2018, 15 mg depuis le 13.07.2018, 5 mg depuis le 28.11.2018 • trouble de la diffusion du CO d'entité légère pré-exacerbation, actuellement moyenne (DLCO mesurée à 43% de la vp) • suivi par le Dr. X (pneumologue) et spécialistes du CHUV • insuffisance respiratoire hypoxémique sous oxygénothérapie diurne continue à 1 lt/min au repos et 2 lt/min à l'effort. Pneumopathie Obstructive Chronique Gold II • Déchets de saturation en cas d'atélectasie bibasale anaphylactique, d'emphysème toxique pour la nicotine • thorax aux rayons X du 28.12.2016 : réductions persistantes de la transparence bibasale (atélectasie ? Infiltrations ?) • ABGA du 30.12.2016 : insuffisance respiratoire partielle • Fonction pulmonaire à partir du 30.12.2016 : cible du VEMS à 68%, VEMS / CVF à 59%, cible du DEP 56%, cible de la CVF à 93% (pas d'amélioration significative par inhalation) Anémie normochrome chronique, macrocytaire • Laboratoire du 28.12.2016 : Hb 132 g/l Abus d'alcool chronique • 15-20 bières par jour Insuffisance veineuse chronique stade III • ulcères récurrents des membres inférieurs • syndrome post-thrombotique grave des veines profondes des jambes Maladie artérielle périphérique (MAP) des membres inférieurs stade I • fermeture de l'artère tibiale postérieure gauche État dépressif Trouble borderline, Vd.a. trouble bipolaire Cannabis Tabac 50 py Pneumopathie organisée post-infectieuse, DD cryptogénique • Status post insuffisance respiratoire partielle sévère • Multiples opacités pulmonaires selon CT scan thoracique • Troubles de la diffusion de degré sévère : DLCO 43% • Absence de trouble obstructif : VEMS 80%, Tiffeneau 81.6% • Corticothérapie systémique Pneumopéritoine d'origine indéterminée Pneumothorax Pneumothorax Pneumothorax apical droit spontané. Lithiase. Douleur thoracique d'origine pariétale. Pneumothorax bilatéral avec pneumomédiastin et emphysème sous-cutané étendu le 21.11.2018 suite à : • Thoracoscopie droite avec exérèse segment III pour suspicion de NSCLC et thoracotomie gauche avec neurolyse thoracique le 15.11.2018 (Dr. X) Pneumothorax droit Pneumothorax droit et emphysème cutané diffus dans le cadre post-opératoire en juin 2018 Prothèse totale de genou gauche Cholécystectomie Pneumothorax droit modéré sur biopsie lésion pulmonaire droite le 30.01.2019 • S/p lobectomie supérieure gauche en 2003 et inférieur gauche en 2006 Pneumothorax droit post-opératoire le 15.12.2018 avec : • drain thoracique le 15.12.2018 Pneumothorax gauche iatrogène post pose de pacemaker-défibrillateur le 29.03.2018 • Drainage thoracique du 29.03.2018 au 31.03.2018 Pneumothorax gauche le 25.01.2019 sur fractures costales des arcs latéraux 3 à 6 gauches. Pneumothorax gauche minime post-drainage pleural du 17.12.2018 Pneumothorax gauche spontané le 21.12.2018 Pneumothorax gauche sur lésion iatrogène de la plèvre Pneumothorax gauche sur status post-mise en place d'un portacath gauche. Accident vasculaire cérébral sylvien gauche sous Aspirine-Cardio. Accident vasculaire cérébral avec aphasie transitoire en 2013. Cholécystectomie en 1978. Embolie pulmonaire proximale de l'artère pulmonaire droite et ses branches de division ainsi qu'au niveau de l'artère pulmonaire gauche et ses branches de division en 2018 avec : • Surinfection pulmonaire sur embolie pulmonaire. Pancytopénie le 07.08.2018 d'origine cytotoxique probable avec : • anémie normochrome et normocytaire, hémoglobine à 78 g/l • leucopénie à 3,2 G/l • thrombocytopénie à 87 G/l • anémie normochrome et normocytaire, hémoglobine à 78 g/l. • leucopénie à 3,2 G/l. • thrombocytopénie à 87 G/l. • dernière chimiothérapie par Platinol et 5-FU le 16.07.2018. Pneumothorax post-ablation de drain thoracique le 15.01 au CHUV Pneumothorax spontané Pneumothorax spontané à gauche récidivant avec drainage le 05.06.2018 Pneumothorax spontané il y a environ 10 ans Gastrite sur hernie hiatale en 05.2011 Pneumothorax spontanné à droite le 15.01.2019: • 2ème épisode à droite, st/p thoracoscopie pour résection lobe azygos et bullectomie apicale Pneumothorax spontanné récidivant avec: • Status post-drainage thoracique sur pneumothorax gauche le 05.06.2017 • Status post thoracoscopie droite avec 2 résections atypiques cunéiformes (lobe azygos et bullectomie apicale) et abrasion droite le 21.12.2017 • St/p drainage thoracique d'un pneumothorax gauche spontané le 21.12.2018 Podologie prévue le 22.01.2019 Suivi en soins de plaie diabétologique Podomexef 32 mg matin et soir pendant 10 jours Contrôle chez le Dr. X Antalgie de premier palier Podomexef 32 mg matin et soir pendant 10j Contrôle chez le Dr. X Antalgie de premier palier Podomexef 4 mg/kg/dose, soit 30 mg 2x/jour pendant 10 jours Contrôle clinique demain chez pédiatre US des voies urinaires à organiser par pédiatre 28.01 : E. coli +++ sensible au Podomexef et quelques coques gram positif. Résultat communiqué par message aux parents Mr. Y Podomexef 8mg/kg/j en 2 doses pendant 5 jours Podomexef 8mg/kg/j en 2 doses pour 14 jours avec consultation chez la pédiatre à 3 jours pour évaluer la résolution de l'état fébrile sous antibiothérapie Investigations supplémentaires à prévoir en fonction du résultat de la culture urinaire 14.01 Mr. Y E. coli 10^6 sensible à la Cefpodoxime Podomexef 8mg/kg/j en 2 doses, 5 jours Contrôle pédiatre, contrôle résolution de la microhématurie Contrôle pédiatre si persistance prurit anal pour prescription vermox Podomexef 8mg/kg/j en 2 doses, 5 jours Pas d'uricult le 22.01. Mr. Y Poids: 9.9kg Général : Bon état général, bien hydratée, bien perfusée, afébrile à 37°C Cutané : sans particularité ORL : Tympan gauche érythémateux, fond de gorge calme Cardiaque : B1b2 bien frappés, pas de souffle audible, pas d'hépatomégalie. Respiratoire : entrée d'air conservée, murmure vésiculaire symétrique, crépitants diffus, pas de signes de détresse respiratoire Abdominal : Bruits physiologiques sur les quatre quadrants, abdomen souple et indolore, pas de défense ni détente. Pas d'hépatosplénomégalie ou autre masse palpée. Poids noté dans la lettre d'hier c'est 6.450 kg (nu chez pédiatre le 07.01.), la mère ne se rappelle pas exactement du poids, mais elle croit que le poids de lundi chez la pédiatre c'était 6.045 kg. Vue le bon état général et pas de pertes significatifs, pas de signes de déshydratation, la bonne alimentation jusqu'à présent, un poids de 6.045 kg nous semble plus probable. Nous proposons un contrôle chez le pédiatre dans 48h, reconsulter avant en cas de difficultés alimentaires ou signes de détresse respiratoire. Poids 1x/jour Lit chauffant du 25.05.18 au 28.05.2018 Vitamine K 2 mg per os à J1 (reçu au Daler) et J4 Guthrie à J4 Oto-émissions acoustiques Poids 59kg, taille 169cm Groupe sanguin 03.09.2018 : A rhésus négatif Laboratoire du 22.11.2019: Hb 134 g/l, leuco 8 g/l Plaq 203 mg/l, Crase en ordre. Sérologie 15.02.2018: HB, HC, HIV, Syphilis : négatifs PAP 02.2018: en ordre Chlamydia contrôle post infection 04.2018: négatif, 22.11.2018 négatif Echographie pelvienne 27.08.2018: utérus de 72x53 mm d'échostructure hétérogène siège d'un fibrome remanié postérieur de 44mm type 2-5, endomètre 9.8mm. OD 31mm, OG 42mm endométriome de 37mm. Hystéro-salpingographie le 26.09.2018: opacification très faible des deux trompes avec faible passage tardif à gauche et à droite. Pas de brassage péritonéal. Empreinte de probable fibrome postérieur. Poigne f/p du jour dans le plâtre : pas de déplacement secondaire de l'épiphyse. Pas de déplacement secondaire de la styloïde ulnaire. Poignet D : kyste arthrosynovial scapho-lunaire, tendinite de grave à modéré et douleurs à la radio-ulnaire distale avec : • status post AS diagnostic et ablation de synovialite au niveau de TFCC, résection ouverte d'un kyste arthrosynovial scapho-lunaire, infiltration du 1er compartiment le 08.10.2018. Poignet D et G f/p : l'incisure radiale est moins dessinée sur le poignet G que sur le poignet D mais les rapports de longueurs tentent à se corriger comparé aux examens précédents. Poignet D f/p de ce jour : matériel d'ostéosynthèse en place et intact, avec une fracture guérie sans affaissement et sans changement. Poignet droit : pseudarthrose scaphoïde avec déformation Humpback suite à une fracture négligée en 2014. Poignet droit : reconstruction du scaphoïde avec greffe tricorticale du bassin, correction de cicatrice au niveau du bassin, ostéosynthèse avec vis HCS 3.0. (OP le 10.01.2019) Poignet droit : status post-AMO plaque palmaire 2.5 mm (OP le 09.04.2018) Poignet droit (dominant) : status post-ostéosynthèse radius distal par plaque palmaire le 07.03.2016 Elargissement espace scapho-lunaire avec suspicion d'une lésion scapho-lunaire. Fracture styloïde ulnaire. Actuellement: CRPS. Poignet droit : • status post-arthrodèse poignet le 10.04.2017 pour Morbus Kienböck stade IV selon Lichtmann. • status post ablation du matériel d'arthrodèse le 24.09.2018 Poignet droit : ablation kyste arthrosynovial dorsal au niveau du ligament SL le 24.09.2018 Status post excision ganglion ulno-carpien le 19.09.2017. Poignet droit en deux plans : arthrodèse de poignet consolidée, pas d'arthrose au niveau de la base du pouce. Poignet G : SLAC de degré I avec arthrose radio-carpienne, kyste scaphoïde et lunatum. Ulna impaction syndrome asymptomatique. Poignet G : status post-reconstruction scaphoïde pour pseudo-arthrose avec une greffe tricorticale du bassin le 27.03.2017. Actuellement : suspicion tendinite FCR. Poignet G f/p avec incidence scaphoïdienne : bonne évolution globale. Poignet G f/p de ce jour : pas de déplacement du matériel d'ostéosynthèse. Consolidation osseuse en cours. Poignet gauche avec cliché scaphoïde : Pas de déplacement secondaire au niveau de la fracture styloïde radiale ou scaphoïdienne. Pied droit f/p/o : Pas de déplacement secondaire au niveau de l'arrachement de la base du P1 O1. Thorax PA : Pas de signe d'un pneumothorax. Bonne ventilation. Pas de signe pour des contusions pulmonaires. Poignet gauche : Fracture scaphoïde non déplacée Herbert B. Fracture chauffeur non déplacée. Pied droit : Arrachement de la base P1 O1 non déplacée face médiale. Fracture de côte à gauche. Points de suture au niveau périunguéal du 5ème doigt de la main droite. Désinfection à la Bétadine, champage, anesthésie à la Lidocaïne 3ml, rinçage au NaCl, 3 points de sutures au vicryl 5.0. Sous supervision du Dr. X. Rappel tétanos effectué. Radiographie (avec explication donnée par le médecin). Contrôle de plaie à 48 chez le médecin traitant. Retrait des points de suture à 14 jours. Points et agrafes enlevés. Points x2 6-0 Prolene Désinfection Ablation de fils dans 5 jours Poliomyélite dans l'enfance avec faiblesse des membres inférieurs Cancer utérin en 1978 • hystérectomie et lymphadénectomie inguinale bilatérale • radiothérapie postopératoire en 1979 • complications : diarrhées chroniques, lymphoedème, parésie et hypoesthésie des membres inférieurs Pollakisurie. Pollakisurie. Pollakisurie. Pollakisurie. Pollakisurie. Pollakiurie avec légère douleur abdominale sans signe de gravité. Pollakiurie, DD: Cystite débutante Pollakiurie d'origine indéterminée : • pas d'infection urinaire • pas de constipation • pas de vulvite Pollakiurie et algurie. Pollakiurie et dysurie. Pollakiurie sur suspicion de cystite hémorragique. Plaie de langue avec saignement actif. Poly-allergies alimentaires avec urticaire et parfois toux (gluten, blanc d'œuf, lait) Asthme sous Vannair et Montelukast Dermatite atopique Polyarthralgies périphériques symétriques de type mixte. Polyarthrite aiguë séronégative érosive (anti-CCP en cours) dans le contexte d'une polyarthrite juvénile et gonarthrose G sévère avec : • Ponction du genou G le 26.09.2014 : 20'800 éléments, 98% PMN. • Infiltration intra-articulaire du genou G par Depo Medrol 40 mg + Lidocaïne le 28.09.2014 (Dr. X). • Traitement immunosuppresseur par Arava 20 mg 1x/j dès le 01.10.2014. Polyarthrite chronique Ostéoporose sévère Cataracte et glaucome ddc, Sp opération ddc HTA traitée Polyarthrite chronique Ostéoporose HTA traitée Polyarthrite juvénile S/p 2 césariennes S/p hystérectomie en 1990 S/p cure hallux varus Fissure coxis suite chute en 03/2017 Polyarthrite juvénile 2 césariennes Hystérectomie en 1990 Cure hallux valgus Fissure coccyx sur chute en 03/2017 Polyarthrite psoriasique. Polyarthrite rhumatoïde. Polyarthrite rhumatoïde. Polyarthrite rhumatoïde à début tardif, DD paranéoplasique. Tunnel carpien et tendinite des fléchisseurs plus marqués à droite qu'à gauche. Tuberculose latente. MGUS à IgM lambda (monoclonal gammopathy of unknown significance) Polyarthrite rhumatoïde DD maladie arthrosique • suivi anciennement par le Dr. X • actuellement : pas de suivi rhumatologique, CRP à 18 mg/l, pas de traitement en cours Bradycardie sinusale asymptomatique connue de longue date • Holter en février 2018 : pas d'arythmie maligne, pas de pause sinusale Sclérose aortique DD sténose aortique asymptomatique (souffle aortique à 4/6) • ETT en février 2018 : FEVG à 65%, surface valvulaire à 1.8 cm² Maladie thrombo-embolique avec plusieurs évènements par le passé • thromboses veineuses profondes en 2003 et 2007, anticoagulation depuis 2003 (Marcoumar) • status post-varicectomie sur probable insuffisance veineuse chronique secondaire • Proposition de relais par Xarelto à distance de l'hématome poplité (10 jours post-normalisation de l'INR) chez une patiente compliante et avec fonction rénale conservée Anémie normochrome normocytaire avec Hb à 95-100 g/l • déjà décrite en février 2018, bilan vitaminique sans particularité Polyarthrite rhumatoïde depuis 1992, sous Cimzia Omarthrose bilatérale avec rupture de la coiffe des rotateurs Arthrite du carpe bilatérale Dysfonction des tendons extenseurs Polyarthrite rhumatoïde depuis 5 ans suivi en rhumatologie • sous traitement de Plaquenil, Humira et Metoject. Hypertension artérielle traitée. Polyarthrite rhumatoïde, diagnostic inaugural en 2010 (suivi par le Dr. X) • actuellement sous Actemra avec dernière dose le 06.01.2019 Polyarthrite rhumatoïde, diagnostic inaugural en 2010 (suivi par le Dr. X) • actuellement sous Actemra avec dernière dose le 06.01.2019 Polyarthrite rhumatoïde diagnostiquée en mars 2018. Polyarthrite rhumatoïde diagnostiquée en 2014. Polyarthrite rhumatoïde pharmaco-résistante (essais avec MTX, Arava, Enbrel, Orencia, Actemra, Xeljanz) • suivi par la Dr. X • touche principalement les mains • actuellement pas de synovite clinique Polyarthrite rhumatoïde séropositive depuis 1999 avec : • traitement d'Humira en 2010 • status post-exacerbation le 13.08.2010 • traitement par MabThera repris en octobre 2017, pas de traitement d'Humira actuellement (2018; dernière dose en février 2018) • suivie par Prof. X Lithiase biliaire chronique. Hypertension artérielle. Polyarthrite rhumatoïde séropositive érosive traitée par Actemra (stoppé en mai) et Leflunomide. Polyarthrite rhumatoïde sous traitement depuis 2015 Polyarthrite rhumatoïde, suivie par Dr. X, sous Prednisone 5 mg/j et Rituximab (juillet 2018) Polyarthrite rhumatoïde traitée par Méthotrexate 1x/semaine le lundi et Remicade aux 2 mois. Polyarthrite rhumatoïde traitée par Tilur. Anévrysme cérébral opéré au CHUV, par embolisation, 2015. Entorse du muscle para-cervical gauche le 01.06.2016. Douleurs musculaires avec : • myalgies sur contracture musculaire du m. trapèze gauche. • lombo-cruralgies non déficitaires du membre inférieur gauche. Céphalées et trouble visuel de l'œil droit intermittents. Polyarthrite rhumatoïde. Déconditionnement global, suite à une sigmoïdectomie par laparoscopie pour diverticulites sigmoïdiennes récidivantes le 20.04.2017. Troubles de la déglutition. Anémie hypochrome normocytaire le 20.04.2017 avec hémoglobine à 96 g/l. Malnutrition protéino-énergétique grave 20.04.2017. Polyarthrite rhumatoïde. HTA traitée. Echocardiographie du 05.01.2017 : VG non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG normale (65 %). Hypertrophique concentrique homogène. Obésité de grade 3 selon critères OMS (BMI >40 kg/m²) Syndrome d'apnée/hypopnée du sommeil de degré sévère, diagnostiqué par polygraphie respiratoire en mars 2015. • Score d'Epworth initial : 5/24 • Début de traitement par CPAP le 28.04.2015. Polyarthrite rhumatoïde Varice bilatérale aux membres inférieurs Pied plat valgus bilatéral sur insuffisance du tibial postérieur Sténose foraminale L4-L5 et L5-S1 à gauche Polyarthrite séropositive Surcharge pondérale (BMI : 26.5 kg/m²) Tabagisme actif avec 4-5 cigarettes/jourPolyarthrite sous Methotrexate, Leflunomid Psoriasis HTA Polyarthropathie microcristalline à cristaux d'acide urique avec crises à répétition : • crise de goutte de la tête péronière droite le 01.12.2018 Anémie normochrome normocytaire avec Hb 94 g/l le 30.11.2018 Dénutrition protéino-calorique modérée Polyarthrose avec : • hémiprothèse du compartiment externe du genou droit le 28.02.2017 Traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle le 16.10.2018 avec : • CT cérébral natif le 16.10.2018 (appel Dr. X) : pas de saignement intracranien, pas de fracture. Gonalgie droite avec status post hémiprothèse du compartiment externe du genou droit le 16.10.2018 • CT genou droit (appel Dr. X) : pas de fracture péri-prothétique, pas de déscellement de prothèse Polycythemia vera. Budd Chiari Syndrome, sous Marcumar depuis 10 ans. Status post multiples opérations des vaisseaux (shunt mesocaval etc). Status post transplantation hépatique Polycythémie Vera avec mutation V617F du gène JAK2 • sous traitement de Litalir depuis février 2010 Hypertension artérielle Ostéoporose Poly-endocrinopathie type MEN II a avec surrénalectomie bilatérale et thyroïdectomie Status post-double cure de hernie discale L5-S1 dans les années 1980 Polyglobulie d'origine indéterminée • Tabagisme actif, suspicion de SAOS DD : Maladie de Vasquez Polygraphie demandée en ambulatoire (Mr. Y sera convoqué en pneumologie) Prise en charge de l'obésité au Centre métabolique (Mr. Y a déjà reçu les convocations) Polygraphie en ambulatoire à la recherche d'un SAOS (Mr. Y sera convoqué en pneumologie). Prise en charge de l'obésité au Centre métabolique (Mr. Y a déjà reçu les rendez-vous). Contrôle clinique à votre consultation dans 1 semaine, ainsi que biologique pour la suspicion du diabète (cf. Diagnostic 2). Polygraphie nocturne sous VNI du 09.01.2019 Index d'apnées/hypopnées du sommeil : 0.5 /h (hypopnées) Index de désaturation en oxygène 2 /h Ronflements 71 % SpO2 moyenne 94 %, durée SpO2 < 90 % = 26 % Pouls moyen 65 bpm Capnographie sous VNI du 09.01.2019 : SaO2 moy 98 %, tcpCO2 moyenne 4.4 kPa Gazométrie artérielle au repos à l'AA au réveil : pH 7.52, PaCO2 3.4 kPa, PaO2 24 kPa, HCO3- 22 mmol/l, Hb 171 g/l Commentaire : Examen de bonne qualité technique. Polykystose rénale bilatérale suivie par Dr. X. Cystite à répétitions et pyélonéphrite. Polykystose rénale et hépatique familiale dominante avec : • Greffe rein droit en novembre 2015 pour insuffisance rénale terminale Facteurs de risque cardio-vasculaire : • Hypertension artérielle • Hypercholestérolémie traitée • Tabagisme actif (60 UPA) Artériopathie chronique des membres inférieurs avec : • Recanalisation d'une sténose serrée de l'artère iliaque externe du côté gauche par angioplastie et pose de stent et d'une sténose serrée de l'artère iliaque commune du côté droit par angioplastie et pose de stent du 10.12.2014 (Dr. X) • Pontage aorto-bifémoral le 26.07.2016 au CHUV (Dr. X) Troubles dégénératifs multi-étagés de la colonne vertébrale Ostéoporose fracturaire avec : • Fracture calcanéum gauche en 2013 • Fracture diaphysaire métacarpe IV et V + fracture base du métacarpe V avec fragments intra-articulaires sur chute en décembre 2013 • PTH D sur fracture du col du fémur en 2008 Polyneuropathie des fibres sensorielles fines non myélinisées non accessibles à l'ENMG de routine, atteinte axonale sans répercussion clinique (02.2014) sous Lyrica Troubles neuro-cognitifs dans le cadre d'une possible encéphalite métabolique • Consultation de la mémoire du 01.09.2016 (Dr. X) : fluctuation de l'orientation temporelle, difficultés modérées en mémoire antérograde verbale, déficit modéré en attention sélective, scores limites dans plusieurs domaines, anosognosie de ses difficultés (DD : vasculaire ou métabolique) • MoCA 22/30, HAD limite pour anxiété, test de Montréal 15/18 Hypoacousie sévère avec 0 % acuité auditive d'un côté et 10 % de l'autre (avec appareil auditif) Polykystose rénale et hépatique familiale dominante avec : • Greffe rein droit en novembre 2015 pour insuffisance rénale terminale Facteurs de risque cardio-vasculaire : • Hypertension artérielle • Hypercholestérolémie traitée • Tabagisme actif (60 UPA) Artériopathie chronique des membres inférieurs avec : • Recanalisation d'une sténose serrée de l'artère iliaque externe du côté gauche par angioplastie et pose de stent et d'une sténose serrée de l'artère iliaque commune du côté droit par angioplastie et pose de stent du 10.12.2014 (Dr. X). • Pontage aorto-bifémoral le 26.07.2016 au CHUV (Dr. X) Troubles dégénératifs multi-étagés de la colonne vertébrale Ostéoporose fracturaire avec : • Fracture calcanéum gauche en 2013 • Fracture diaphysaire métacarpe IV et V + fracture base du métacarpe V avec fragments intra-articulaires sur chute en décembre 2013 • PTH D sur fracture du col du fémur en 2008. Polyneuropathie des fibres sensorielles fines non myélinisées non accessibles à l'ENMG de routine, atteinte axonale sans répercussion clinique (02.2014) sous Lyrica Troubles neuro-cognitifs dans le cadre d'une possible encéphalite métabolique • Consultation de la mémoire du 01.09.2016 (Dr. X) : fluctuation de l'orientation temporelle, difficultés modérées en mémoire antérograde verbale, déficit modéré en attention sélective, scores limites dans plusieurs domaines, anosognosie de ses difficultés (DD : vasculaire ou métabolique) • MoCA 22/30, HAD limite pour anxiété, test de Montréal 15/18 Hypoacousie sévère avec 0 % acuité auditive d'un côté et 10 % de l'autre (avec appareil auditif) Polykystose rénale et hépatique (suivi chez Dr. X) avec absence d'anévrisme cérébral sur angio-IRM de 11.2018 Epilepsie, traitée depuis 2014 par Lamotrigine (suivi chez Dr. X, neurocentre Fribourg, EEG annuel)SAOS non appareillé (ne supporte pas CPAP malgré plusieurs tentatives) AVC mineur du tronc cérébral à droite avec ptose palpébrale D en 11.2018 d'origine indéterminée avec: • IRM 16.11.2018 (Ste-Thérèse, Givision): présence d'un foyer d'hypersignal circonscrit, situé dans le tronc cérébral à D, caudalement au noyau du nerf oculo-moteur • Holter le 14.12.18 organisé par médecin traitant: analyse en cours • introduction Aspirine dès le 05.01.2019 (selon avis médecin traitant et neurologue traitant (Dr. X)) Polymédication Polymédication Polymyalgia rheumatica. Polymyalgia rheumatica EM 04/2016 • Sous corticothérapie Endobrachyoesophage avec discrète oesophagite érosive (dernier OGD en 2011) Ostéopénie densitométrique • DXA 11/2016: L -1,0, H -1.2 Lombalgies chroniques mécaniques: • Hernie discale L3-L4 D, discopathies L4-L5 et L5-S1 (2008) Hématurie microscopique chronique Décollement postérieur du vitré ddc le 19.07.2018 Lipome à la base cervicale G Suspicion d'artérite giganto-cellulaire Polymyalgia rheumatica EM 04/2016 • 07/2016: VS 45mm/h, CRP 50 mg/l • anti-CCP, FR, ANA, ANCA neg. • Bursite trochanterica ddc (IRM 05/2016), peritendinite bicipitis D Endobrachyoesophage avec discrète oesophagite érosive (dernier OGD en 2011) Ostéopénie densitométrique • DXA 11/2016: L -1,0, H -1.2 Lombalgies chroniques mécaniques: • Hernie discale L3-L4 D, discopathies L4-L5 et L5-S1 (2008) Hématurie microscopique chronique Décollement postérieur du vitré ddc le 19.07.2018 Lipome à la base cervicale gauche le 20.07.2018 • Suivi IRM Suspicion d'artérite giganto-cellulaire: • Biopsie artère tem Consilium angiologique le 18.06.2018: absence de signe en faveur d'une maladie d'Horton • Consilium ophtalmologique le 19.07.2018: vision 100%, rétine s.p, décollement du vitré à l'œil droite • Prévu pour le 23.07.2018 • Solumedrol 250 mg i.v. en ordre unique le 18.07.2018 • Prednison 60 mg p.o dès le 19.07.2018 sous couvert par IPP et Calcimagon. • Biopsie négative Polymyalgia rheumatica sous Prednisone. Polymyalgia rheumatica Diabète de type 2 sous ADO Hypertension artérielle Dyslipidémie Obésité de stade I Polymyalgia rheumatica. Myographie normale chez le Dr. X le 09.01.19. DD: polyarthrite rhizomélique à late onset. Polymyalgia rheumatica. Polymyalgia rheumatica. Polymyalgia rheumatica. Polymyalgia rheumatica. Polymyalgia rheumatica sous corticothérapie depuis septembre 2013. Polymyalgie rhumatica traitée (Prednisone 7.5 mg). Polymyalgie traitée par Prednisone il y a environ 5 ans pendant 2 ans Insuffisance cardiaque NYHA II d'origine indéterminée le 29.01.2018 • Echocardiographie transthoracique le 29.01.2018 • Contraction ventriculaire gauche complètement dyssynchrone (BBG) avec une FEVG estimée à 35-40%. • Holter le 29.01.2018 • Coronarographie le 31.01.2018 (Dr. X): dans les limites de la normale. • Profil lipides le 30.01.2018: LDL-Cholestérol 3.41 • Initiation d'un traitement de Carvedilol Trouble de la marche sur suspicion de neuropathie avec hypo-pallesthésie des MI ddc 13.02.2018: • RAD avec contrôle chez le médecin traitant pour bilan vitaminique et contrôle de l'électrophorèse des protéines à distance. Migraines ophtalmiques (anamnestique) sans traitement de fond Polyneuropathie axonale chronique avec composante inflammatoire probable, dans un contexte d'un syndrome myélo-dysplasique polyclonale avec rapport Kappa/lambda préservé. • Bonne réponse à la corticothérapie Polyneuropathie démyélinisante inflammatoire chronique (CIDP), diagnostic inaugural en 2015: • Status post-polyradiculite aiguë de type Guillain-Barré en mai 2013 avec une tétraparésie à prédominance dans les jambes et proximale, et des dysesthésies distales progressives, ainsi qu'une dysautonomie • Status post-thérapie par IVIG en mai 2013 puis en juin 2013 en raison d'une suspicion de récidive • Nouvelle péjoration en novembre 2013 avec introduction d'une thérapie par Prednisone, avec diminution des doses jusqu'en mars 2015 • Reprise de Prednisone (à dose réduite) dès novembre 2017, en raison d'une péjoration des dysesthésies résiduelles • Récidive avec augmentation des troubles de sensibilité et de l'équilibre, avec parésie proximale des jambes en début février 2018, traitée par augmentation du dosage des stéroïdes et thérapie par IVIG du 13.02 au 17.02.2018 • Mars 2018 (Dr. X): proposition de thérapie par Imurek, que la patiente refuse. • Probable récidive le 26.10.2018 avec: progression des dysesthésies jusqu'en sus-géniculé (auparavant sous géniculé), sans symptômes moteurs, ni aréflexie. Stabilité depuis majoration du traitement de 10 mg à 50 mg de prednisone (le 22.10) • Rechute novembre 2018: ENMG avec péjoration par rapport à l'examen d'août 2018, avec fortes atteintes démyélinisantes, paraparésie proximale membres inférieurs à prédominance droite. Thérapie IVIG du 22.11 au 26.11.2018 avec amélioration des symptômes. Instauration traitement prophylactique par Bactrim 3X/semaine • Nouvelle cure d'Intratect du 19.12 au 21.12.2018 sans changement de la symptomatologie Polyneuropathie des membres inférieurs avec: • pallesthésie 0/8 malléole droite, 1/8 malléole gauche. • anamnèse négative pour l'alcool. • fonction rénale normale. • hypothyroïdie subclinique. Douleurs des membres inférieurs d'origine probablement musculaire. • apparition à la marche dès 500 mètres. • pouls périphériques palpables. DD: contusion musculaire, courbature, myosite sur statine, artériopathie des membres inférieurs, canal lombaire étroit. Cardiopathie ischémique et hypertensive avec: • dyspnée stade II selon NYHA. • coronarographie de dépistage le 07.12.2015 (Dr. X): pose d'un stent actif sur IVP. Hypertension artérielle. Polyneuropathie diabétique des membres inférieurs, avec: • douleurs neuropathiques Polyneuropathie diabétique des membres inférieurs, avec: • douleurs neuropathiques Polyneuropathie d'origine indéterminée • connue pour AOMI • pas de diabète, ni OH Polyneuropathie périphérique des membres inférieurs Polyneuropathie périphérique d'origine indéterminée • HbA1c 5.0% le 19.12.2018 • vit. B12 471 pg/ml le 26.11.2018 • électrophorèse des protéines sériques sans modification majeure le 26.11.2018 Polyneuropathie prédominante aux membres inférieurs Trouble dépressif récurrent, épisode actuel moyen MMSE: 28/30, horloge 10/10 (en 10/2018) Polyneuropathie sensitive débutante prédominant au membre inférieur à droite (dernière neurographie le 08.07.2016) Polyneuropathie sensitivomotrice, secondaire au traitement du VIH, depuis le milieu des années 1990 • ayant anciennement nécessité de fortes doses d'opioïdes avant automédication par cannabis puis CBD Polype de 3 cm sur un large pédicule dans le sigmoïde supérieur à 50 cm de la marge anale, réséqué pour 90% le 18.10.2017 (histologie : adénome tubulo-villeux avec une dysplasie de bas degré) Goutte traitée Dyspnée dans le contexte d'un épanchement pleural D sur carcinomatose pleurale en 08/2018 • ponction pleurale le 22.08.2018: 1100 ml, 3/3 critères de Light, culture négative à 2 jours, • Cytologie: réaction inflammatoire subaiguë non spécifique, pas de cellule suspecte de malignité dans le matériel examiné. • Mise en place d'un PleurX à D le 24.08.2018 (Dr. X), retiré en ambulatoire Cardiopathie hypertensive, valvulaire et rythmique avec: • FA anticoagulée par Rivaroxaban avec échec de cardioversion électrique août 2017 (CHA2DS2VASC: 2 points) • Bloc de branche D le 03.11.2015 • QTc allongé déjà décrit en 2015 • Insuffisance aortique modérée 2/3 le 03.11.2015 Hypertension artérielle traitée Douleurs liées aux métastases osseuses • Poursuite de l'antalgie par Targin/Oxynorm Insuffisance rénale chronique, GFR à 50 ug/min, en août 2017 • Adaptation dose Xarelto à 15 mg • créatinine à l'entrée 114 umol/l Polype de 3 cm sur un large pédicule dans le sigmoïde supérieur à 50 cm de la marge anale, réséqué pour 90% le 18.10.2017 (histologie : adénome tubulo-villeux avec une dysplasie de bas degré (Promed P2017.12544). Goutte traitée. Dyspnée dans le contexte d'un épanchement pleural droit sur carcinomatose pleurale en 08/2018. • ponction pleurale le 22.08.2018 : 1100 ml, 3/3 critères de Light, culture négative à 2 jours. • Cytologie (Promed C2018.1067) : réaction inflammatoire subaiguë non spécifique, pas de cellule suspecte de malignité dans le matériel examiné. • Mise en place d'un PleurX à droite le 24.08.2018 (Dr. X), retiré en ambulatoire. Cardiopathie hypertensive, valvulaire et rythmique avec : • FA anticoagulée par Rivaroxaban avec échec de cardioversion électrique août 2017 (CHA2DS2VASC: 2 points). • Bloc de branche D le 03.11.2015. • QTc allongé déjà décrit en 2015. • Insuffisance aortique modérée 2/3 le 03.11.2015. • Hypertension artérielle traitée. Douleurs liées aux métastases osseuses. • Poursuite de l'antalgie par Targin/Oxynorm. Insuffisance rénale chronique, GFR à 50 ug/min, en août 2017. • Adaptation dose Xarelto à 15 mg. • créatinine à l'entrée 114 umol/l Polype gastrique de 1 cm Hypothyroïdie substituée HTA Cardiopathie rythmique (FA anticoagulée par Xarelto) Hyperparathyroïdisme primaire sur adénome avec : • status post parathyroïdectomie en 2009 Polype gastrique de 1 cm Hypothyroïdie substituée Hyperparathyroïdisme primaire sur adénome avec : • parathyroïdectomie droite le 17.08.2009 (échec de l'exploration, mais patiente a refusé 2ème opération) Polype malin dans le colon proximal ascendant, Adénocarcinome pT2, pN0, L0 V0 Pn0 G2, R0 • Status post hémicolectomie laparoscopique droite avec iléo-transverstomie le 20.11.2018 • Trouble du passage post opératoire traité par Telebrix et Primperan • Saignement post opératoire : colonoscopie le 07.12.2018 : légers saignements dans la région de l'iléo-transversostomie sans nécessité d'intervention, hémorroïde interne de grade 2 Anévrisme de l'aorte ascendante 4,5 cm Cardiomyopathie restrictive avec myocarde hypertrophique (associable à une amyloidose) • EEE 28.05.2018 FEVG 60%, LVEDD 52 mm, Hypertrophie concentrique VG (IVS 16 mm, PW 11 mm), dilatation du VD avec fonction limitée, Insuffisance sévère tricuspidienne • Scintigraphie 27.06.2018 : Amyloidose du myocarde inférieur et antéro-septale avec épargne du myocarde antérieur et inférieur • Insuffisance cardiaque latente 13.07.2018 NT pro BNP 4863 pg/ml Coronopathie des trois vaisseaux • Coronarangiographie (Dr. X, Beau-Site) : maladie coronarienne diffuse post-status de PTCA sur 90-99% de sténose de l'artère circonflexe droite, sténose sévère résiduelle de l'artère coronaire droite • Coronarangiographie 04.2014 : Sténose sévère de la coronaire droite, Stent PTCA, EF normal • Coronarangiographie 03.2018 : PCI2 de la partie proximal médial du rameau interventriculaire antérieur, PTCA artère diagonale 2, sténose résiduelle à 30-50% • Echocardiographie de stress 04.2018 : pas d'obstruction de la chambre de chasse du ventricule gauche sous effort, pas de régionalité • Ergométrie 04.2018 : cliniquement positif, électriquement négatif, trouble de la conduction modéré • ETT 21.11.2018 : FEVG 25-30% avec trouble de la mobilité, insuffisance tricuspidienne modérée FA/flutter auriculaire 07.2017 paroxystique sous Xarelto 15 mg, FRCV : DM, HTA, hypercholestérolémie, goutte • ECG 19.12.2018 : FA, bloc de branche D, axe normal, Tachycardie MGUS, gammapathie monoclonale de signification indéterminée • Stratification du risque IMWG 2010 : low risk MGUS (paraprotéine < 15 g/l, IgG sous-type et FLC ratio normale) • Tumorboard 23.10.2018 : critères diagnostique pour MM ou AL amyloidose ne sont pas remplis, donc pas d'indication de traitement oncologique Low T3 syndrome dans un contexte inflammatoire • Labo 21.12.2018 : TSH 8,3 mU/L, fT4 normal, fT3 2,9 pM Carence chronique sévère (NRS 5, BMI 30) sous Fresubin Hémorroïde interne grade 2 • Coloscopie 07.12.2018 • Procto Synalar, laxatifs Polype plat d'environ 2 cm au niveau du pôle caecal Polypectomie, ethmoïdectomie, méatotomie moyenne, frontoméatotomie et sphénoïdectomie bilatérale. Polypes colorectaux (visualisés et réséqués lors des coloscopies du 22.11, 06.12.2016 et 16.01.2017 ; histologie : adénomes tubuleux avec néoplasie intra-épithéliale/dysplasie épithéliale de bas grade). Abcès péri-caecal décrit au scanner du 25.11.2016 avec persistance d'une colite droite : • investigué par 2 colonoscopies le 22.11.2016 et le 06.12.2016 • traité par Ceftriaxone, Metronidazole, ciprofloxacine du 25.11.2016 au 06.12.2016 • résolution de l'abcès sur CT abdominal du 11.01.2017. Syndrome de renutrition inappropriée en 12.2016 avec : • troubles électrolytiques (hypokaliémie, hypomagnésémie, hypophosphatémie) • malnutrition protéino-énergétique modérée. Choc cardiogène en 2009 • dysfonction systolique sévère transitoire (FEVG à 15%) Thrombose veineuse périphérique du membre inférieur gauche non datée. Embolie pulmonaire non-high risk de découverte fortuite. Anorexie mentale atypique avec malnutrition protéino-énergétique modérée : • perte pondérale et inappétence • recherche de colite microscopique et d'amyloïdose digestive déjà effectuée et négatives. Perturbation des tests hépatiques le 03.11.17 avec : • cytolyse hépatique sur choc cardiogène en 2009, perturbation hépatique intermittente depuis, pas de biopsie hépatique réalisée • sérologies virales déjà effectuées en août 2016 (HBV négatif, HCV négatif, HIV négatif) • ultrason hépatique août 2016 : stéatose hépatique diffuse • DD : hépatite médicamenteuse, auto-immune Ostéonécrose aseptique des têtes fémorales asymptomatique de découverte fortuite. • asymptomatique Insuffisance cardiaque chronique dans un contexte de cardiopathie dilatée, hypertensive et rythmique • Fibrillation auriculaire nouvelle • NT-proBNP à 30 000 • dernière ETT en 01.2017 : FEVG à 65%. Oreillette gauche modérément dilatée. • dernière coronarographie 2012 : pas de lésion significative • dernière IRM cardiaque en 2009 : hypertrophie concentrique du VG Polypes juvéniles bénins (suivi à Inselspital). s/p Coloscopie pour investigations de sang dans les selles 17. Polypes sessiles au niveau coliques inférieur • 1 polype de 3-4 mm au niveau de l'angle colique • 1 polype de 5-6 mm au niveau du colon transverse proximal Polypose adénomateuse familiale avec colectomie totale. Polypose du côlon. Lithiase vésiculaire. Polypose nasale Asthme sous Symbicort Polypose nasosinusienne bilatérale. Polytoxicomanie : • prise de cannabis quotidienne depuis 10 ans (1-2 joints/jour) • Tabagisme actif 5 UPA • prise de Crystal meth récente • antécédent de prise de cocaïne (dernière prise en mai 2018) et GHB et MDMA ingéré (dernière prise en juillet 2018) Polytoxicomanie : • prise de cannabis quotidienne • prise de Crystal meth récente occasionnelle • antécédent de prise de cocaïne (dernière prise en mai 2018) et GHB et MDMA ingéré (dernière prise en juillet 2018) Polytoxicomanie active (cocaïne et héroïne fumées, NMDA, benzodiazépines) suivi par Dr. X • héroïne • consommation récréative de cocaïne fumée • éthylisme chronique Tabagisme actif Syndrome d'hyperactivité et F 10.1 Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool, utilisation nocive pour la santé F11.1 Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'opioïdes, utilisation nocive pour la santé F14.1 Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation de cocaïne, utilisation nocive pour la santé (suivi par Dr. X, Réseau santé mentale SA, 032/484 72 72) • Plusieurs hospitalisations pour sevrage des substances • Polytoxicomanie avec dépendance aux benzodiazépines, à l'alcool et nicotine • Polytoxicomanie avec troubles de l'état de conscience le 14.01.2019 • cocaïne, héroïne, Midazolam, NMDA, alcool • Suivi Dr. X et Dr. X • Polytraumatisme • Polytraumatisme avec • Traumatisme crânien • multiples dermabrasions • Polytraumatisme avec chute de 10 mètres le 10.09.2018 avec : • hémato-pneumo-thorax gauche • fracture des côtes 4-5 gauche sans dislocation • fracture scapula sans dislocation. • Polytraumatisme avec chute et perte de connaissance d'origine indéterminée le 03.01.2018 Plaie délabrante de D3, sur la face dorsale, latérale interne et légèrement palmaire, avec une plaie interdigitale du troisième espace, main droite. Plaie de la face latérale externe de D4 en regard de l'IPD, avec perte de substance intéressant la peau, une partie du sous-cutané, laissant la graisse sous-cutanée à l'air. Parage de plaies, révision du tendon extenseur du 3ème doigt. Fermeture des plaies après rinçage abondant. • Polytraumatisme avec fracture comminutive ouverte de l'humérus gauche en 2000 opéré à plusieurs reprises • limitation fonctionnelle résiduelle • Tassement D12 et L1 • Tassement D10 en 1968 • Polytraumatisme avec fracture comminutive ouverte de l'humérus gauche en 2000. Prostatite chronique. Tassement D12 et L1. Tassement D10 en 1968. Contusion de l'épaule droite. Adénocarcinome de la prostate pT2c N0 M0 G2 (Gleason 6, iPSA 9,196) : Le 07.11.2011, Dr. X : Lymphadénectomie pelvienne bilatérale et prostato-vésiculectomie radicale. • Polytraumatisme avec fracture lombaire L1 instable le 30/01/19 • Polytraumatisme, le 08.01.2019 avec : • chute de 5 m d'allure mécanique • Polytraumatisme par écrasement le 09.10.2018 avec 1) Fractures costales arcs latéraux 6-7-8 à G 2) Fracture péroné proximal G 3) Rupture LLE genou G 4) Arthrose débutante de la cheville G post ancienne fracture, traumatisée 5) Dermabrasions multiples flanc G • Polytraumatisme suite à une chute de 26 m le 19.04.18 avec : • Fracture oblique diaphyse proximal de la fibula G • Déchirure sévère partielle du ligament croisé antérieur G • Hématome du muscle sural G • Fracture côtes D 9, 10, 11 à G • Hémothorax G • Pneumothorax G • Fracture des processus transverses L2-L3 ddc L4 G • Syndrome de Morel-Lavallée lombaire, drainé • Lacération rate grade III-IV • Lésions multifocales du parenchyme rénal gauche • TCC léger Colique néphrétique mai 2018. Syndrome lombo-vertébral persistant mars 2013 • post-traumatique (chute dans les escaliers décembre 2012) • Oswestry 52 % le 26.03.2013 Troubles somatoformes post polytraumatisme le 19.04.18 (cf antécédent) avec : • troubles fonctionnels moteurs (trouble dissociatif moteur et de la marche) • trouble algique (lombaire, costal G) • trouble du sommeil • trouble neurocognitif (mémoire, attention, fonctions exécutives) probablement fonctionnel (bilan neuropsychologique 15.10.18, HFR, 2ème évaluation, IRM cérébrale 30.05.18) • présence de signe positif : signe d'incohérence, trouble de la marche avec marche non économique et fluctuation, déséquilibre non systématisé et fluctuant. • distractibilité • auto-limitation Questionnaire PACT le 29.11.18 : 57 pts, dissociation 4 pts : auto-limitation, incohérence interne. Sevrage des opiacés. Suivi psychiatrique et psychologique adaptés au trouble fonctionnel à prévoir en ambulatoire. Syndrome post-contusion labyrinthique le 19.04.18 • avec vertiges positionnels intermittents. Reflux gastro-oesophagien 26.11.18. • Polytraumatisme sur accident de la voie publique à haute vélocité le 29.12.2018 avec : • Traumatisme thoracique fermé (voir diagnostic suppl.) • Traumatisme abdominal fermé (voir diagnostic suppl.) • Polytraumatisme sur accident de la voie publique le 26.08.2018 avec : • Traumatisme thoracique avec volet costal droit et multiples contusions pulmonaires prédominant à droite • TCC sévère • Fracture sous-trochantérienne droite déplacée • Traumatisme laryngé • Polytraumatisme sur AVP le 18.05.2018 avec : 1. Fracture du col chirurgical de l'humérus droit. 2. Ostéosynthèse et secondairement le 22.05.18 par PHILOS. 3. Fracture plurifragmentaire du plateau tibial gauche s'étendant aux éminences intercondyliennes et à la métaphyse, faiblement déplacée, traitée par Tenxor. 4. Fracture de l'omoplate D 5. Fracture sacrum + branche ischio-pubienne gauche (compression latérale G) 6. Hémorragie sous-arachnoïdienne du sillon frontal droit 7. Contusion myocardique avec élévation modérée des troponines 8. Contusion hépatique 9. Plaie du coude gauche 10. Actuellement tendinite des fléchisseurs des doigts longs ddc et instabilité légère du col latéral ulnaire MCP à G. • Polytraumatisme sur chute à cheval en vitesse le 03.01.16 avec entorse sévère de la cheville gauche Fracture Weber B du péroné distal en janvier 2018 • Polytraumatisme sur chute de plusieurs mètres le 25.12.2013 avec : • ostéosynthèse piliers antérieur et postérieur G par voie d'abord ilio-inguinale, stabilisation par une plaque en J 3,5 mm 14 trous et plusieurs vis libres 2.7, 3.5 et 4.5 le 30.12.2013 sur fracture piliers antérieur et postérieur G (fracture des 2 colonnes avec colonne antérieure complète et mur postérieur, peu déplacé) • hématome péri-vésical sans lésion vasculaire associée • cyphoplastie L1 avec système SpineJack 5.0 et cimentage avec Résilience 4.5 cc le 30.12.2013 sur fracture A3.1 de L1 • fracture de la base latérale de C2 à D non déplacée, traitée conservativement • fracture du processus transverse G de L2, L3, traitée conservativement • fracture arc postérieur 9ème côte gauche, traitée conservativement. • Polytraumatisme sur chute de plusieurs mètres le 25.12.2013 avec : • Ostéosynthèse piliers antérieur et postérieur G par voie d'abord ilio-inguinale, stabilisation par une plaque en J 3,5 mm 14 trous et plusieurs vis libres 2.7, 3.5 et 4.5 le 30.12.2013 sur fracture piliers antérieur et postérieur G (fracture des 2 colonnes avec colonne antérieure complète et mur postérieur, peu déplacé). • Hématome péri-vésical sans lésion vasculaire associée. • Cyphoplastie L1 avec système SpineJack 5.0 et cimentage avec Résilience 4.5 cc le 30.12.2013 sur fracture A3.1 de L1. • Fracture de la base latérale de C2 à D non déplacée, traitée conservativement. • Fracture du processus transverse G de L2, L3, traitée conservativement. • Fracture arc postérieur 9ème côte gauche, traitée conservativement. • fracture de la base latérale de C2 à D non déplacée, traitée conservativement • fracture du processus transverse G de L2, L3, traitée conservativement • fracture arc postérieur 9ème côte G traitée conservativement. Polytraumatisme sur chute de plusieurs mètres le 25.12.2013 avec: • Ostéosynthèse piliers antérieur et postérieur G par voie d'abord ilio-inguinale, stabilisation par une plaque en J 3,5 mm 14 trous et plusieurs vis libres 2.7, 3.5 et 4.5 le 30.12.2013 sur fracture piliers antérieur et postérieur G (fracture des 2 colonnes avec colonne antérieure complète et mur postérieur, peu déplacé). • Hématome péri-vésical sans lésion vasculaire associée. • Cyphoplastie L1 avec système SpineJack 5.0 et cimentage avec Résilience 4.5 cc le 30.12.2013 sur fracture A3.1 de L1. • Fracture de la base latérale de C2 à D non déplacée, traitée conservativement. • Fracture du processus transverse G de L2, L3, traitée conservativement. • Fracture arc postérieur 9ème côte gauche, traitée conservativement. Polytraumatisme sur chute de 30 mètres en parapente le 17.07.2017 avec: • fracture complète du sacrum gauche passant par les 1er et 2ème foramens, type Denis 2 • fracture symphyse pubienne droite • fracture non déplacée de l'arc antérieur des 2ème et 3ème côtes et de l'arc moyen des 3ème et 4ème côtes à droite, fracture peu déplacée de l'arc moyen de la 5ème côte droite • pneumothorax antérieur droit avec hémorragies alvéolaires lobes moyen et inférieur droits • fracture des dents 11 et 21 • contusion hépatique avec élévation des transaminases • fracture du processus transverse de L2 • rhabdomyolyse • traumatisme crânien simple. Polytraumatisme sur chute de 4 mètres avec traumatisme crânien et perte de connaissance le 14.01.2019 • avec hémorragie intraparenchymateuse frontale gauche • fractures arc postérieur des côtes 1, 2, 3, 4, 7, 8, 9 • fractures processus transverses gauche 2, 3, 7, 8, 9. Polytraumatisme sur chute de 6 mètres le 05.11.2018 avec: • Fracture du tiers médian du scaphoïde main G traitée par ostéosynthèse par vis scaphoïde G le 13.11.2018 • Fracture branche ischio-pubienne G • Fracture L2 type A1 • Contusion de la vessie • Contusion pied D • traumatisme crânien simple. Polytraumatisme sur chute d'une échelle le 10.10.2018 avec: • Fracture-tassement L2 type A2, traitée conservativement • Fractures des processus transverses de D2 à D11 à D, traitées conservativement • Fracture du corps de l'épine de la scapula + de la coracoïde D • Fracture du tiers distal de la clavicule D, traitée conservativement par gilet ortho • Fracture du corps du sternum, traitée conservativement • Fractures des arcs antérieurs de la 2ème côte et arcs postérieurs 3ème et 5ème côte D, traitées conservativement • Epanchement pleural D cloisonné, traité conservativement. Polyurie d'origine indéterminée le 28.10.2018 DD: cérébral salt wasting syndrome, diabète insipide, sonde urinaire transitoirement coudée. Ponction articulaire genou G (OP le 02.01.2019) Liquide d'aspect trouble, couleur jaune-orange. 18'856 éléments, 14'000 érythrocytes, cristaux positifs, 83% de polynucléaires. Consilium de rhumatologie le 03.01.2019: • Colchicine adaptée à la fonction rénale + Allopurinol Consultation + labo en consultation de rhumatologie le 28.01.2019. Ponction articulaire hanche D (OP le 10.12.2018) Microbiologie du liquide de ponction négative. Changement de tige PTH D Mise en place de 5 cerclages Dall-Miles fémur proximal Neurolyse nerf sciatique (OP le 14.12.2018) Surveillance postopératoire aux soins intensifs du 14.12. au 17.12.2018. Ponction articulaire hanche D (OP le 19.11.2018) Microbiologie du liquide articulaire : négative. Changement PTH D • Bursectomie trochantérienne • Neurolyse du nerf sciatique. • Voie d'abord transfémorale avec ostéosynthèse du fémur et ostéosynthèse par 4 Dall-Miles et 1 câble-grip taille M. • Reconstruction du fond cotyloïdien avec trabecular metal et Tutoplast (OP le 26.11.2018) Transfusion de 1 PFC et 2 CE en peropératoire le 26.11.2018. Diagnostic anatomopathologique (bourse trochantérienne, capsule hanche, os fémur D) - Rapport Promed du 03.12.2018 : absence de signe d'infection, pas de signe de malignité. Ponction biopsie sous ultrason Ponction biopsie sous ultrason le 14.01.2018, Dr. X RDV à la consultation du Dr. X le 23.01.2019 pour résultats. Ponction d'ascite avec drainage du 21.01 au 23.01.2019 (7 litres) Sonde nasogastrique depuis le 24.01.2019 OGD le 23.01.2019 Albumine du 21.01.2019 au 24.01.2019 1 PFC le 21.01.2019 Konakion depuis le 20.01.2019 Lavement par lactulose du 22.01.2019 au 23.01.2019 Lactulose depuis le 24.01.2019 Flumazénil le 23.01.2019 Pantoprazole. Ponction d'ascite évacuatrice le 17.01.2018 : 4.750 litres Surveillance post-drainage durant une nuit en raison de vertiges et malaise lors des précédentes ponctions ambulatoires Contrôle clinique chez le médecin traitant prévu le 24.01.2019. Ponction d'ascite le 30.12.2018. Ponction de drainage le 21.12.2018 Adaptation de l'antalgie Glaçage et évolution favorable. Ponction diagnostique genou G.Arthroscopie diagnostique, débridement, lavage par 15 L de Ringer, genou G (OP le 05.12.2018) Test de Synovasure positif. Liquide de ponction genou G d'aspect trouble, hématique avec 170'600 éléments, 494'000 érythrocytes, 97% polynucléaires, 3% mono/macrophages. Mise en place d'une PICC-Line dans la veine basilique G le 10.12.2018 Dépose de PTG, débridement, mise en place d'un spacer genou G (OP le 19.12.2018) Analgésie par cathéter périnerveux périphérique du 19 au 20.12.2018 gérée par les anesthésistes. Consilium infectiologie 07.12.2018 + suivi (en annexe) Antibiothérapie : • Co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. du 05.12. au 15.12.2018 • Rocephin 2 g i.v. 1x/j dès 16.12.2019 et jusqu'à une durée totale de 12 semaines (depuis l'ablation de la PTG le 20.12.2018) Diagnostic anatomopathologique (capsule articulaire genou G du 19.12.2018) - Rapport Promed du 21.12.2018 : en annexe. Réimplantation de la PTG G programmée pour le 13.02.2019 Ponction évacuatrice d'ascite avec retour de 6.91 L le 17.01.2019 • consentement oral avant ponction • Description du geste : repérage du point de ponction par US dans fosse iliaque gauche, pas de vaisseaux cutanés au doppler. Désinfection avec bétaseptique, anesthésie locale. Ponction avec retour de liquide couleur jaune transparent. • Transfusion de 20 g d'albumine TIPS prévu le 04.02.2019 à Berne Ponction genou G le 19.01.2019 à l'HFR Tafers : liquide trouble, jaunâtre avec 65'349 éléments/mm3, 84% de polynucléaires, Gram nég. PCR du liquide de ponction du 19.01.2019 : Chlamydia nég., gonococcie pos. Culture liquide de ponction du 19.01.2019 : nég. à J2 Culture urines du 19.01.2019 : nég. PCR urines du 19.01. et 20.01.2019 avec recherche Chlamydia : pos. PCR urines du 19.01. et 20.01.2019 avec recherche Neisseria gonorrhoeae : nég. PCR frottis anal du 19.01.2019 avec recherche Chlamydia et Neisseria gonorrhoeae : nég. pour C. trachomatis, pos. pour Neisseria gonorhoeae. Anticorps dépistage de la syphilis du 19.01.2019 : nég. Sérologie HIV et hépatite C hépatite C du 19.01.2019 : nég. (résultat reçu après départ du patient à domicile) 2x2 hémocultures du 19.01.2019 : nég. à J5 AS genou G, ponction liquide intra-articulaire, prélèvements, lavage par 12 L genou G (OP le 19.01.2019) Liquide de ponction trouble, hématique, 90'400 éléments/mm3, 92% de polynucléaires, cristaux nég. Culture du liquide de ponction : nég. à J2 3 biopsies intraopératoires du 19.01.2019 : nég. à J2. Consilium téléphonique d'infectiologie 20.01.2019 Antibiothérapie : • Rocéphin 1 g i.v. et Azithromycin 1 g p.o. le 19.01.2019 à l'HFR Tafers • Co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. du 19.01. au 21.01.2019 • Rocéphin 2 g 1x/24 h i.v. du 21.01. au 25.02.2019 Ponction lombaire le 28.12.2018. CT scan cérébral. IRM neurocrâne. Retour au RFSM CSH Marsens. Ponction ovocytaire écho-guidée au bloc opératoire sous anesthésie générale le 25.01.2019 : pas d'ovocytes Ponction pleurale le 19.12.2018 : 1300 ml Radio thorax post interventionnelle Radio thorax le 3.1.2019 Nouvelle ponction refusée par la patiente le 08.01.19 (à cause d'une fatigue trop importante) RadioThorax 18.12.2018 Ponction-biopsie de foie par voie transjugulaire pour suspicion d'hépatite auto-immune le 17.01.2019 (Dr. X) • Suivi par le Dr. X à Payerne • Investigations au HIB du 16.11 au 21.11.2018 avec : • Laboratoire : antigènes positifs pour hépatite C, status post-vaccination de l'hépatite B. Anticorps anti-muscle lisse à >640, anticorps anti-cytoplasmiques à 1280, facteur antinucléaire à 320. • US abdominal 17.11.2018 : petite ascite parahépatique droite et dans le Douglas. Seul le lobe hépatique droit est accessible, sans anomalie significative de son échostructure. • IRM abdominale 18.10.2018 : discrète aérobilie et discrète inflammation de la paroi du cholédoque évoquant une cholangite. Adénopathies au hile hépatique de 2 cm. • CT abdominal 17.11.2018 : hépatopathie évolutive avec un foie de petit volume avec apparition de contours un peu irréguliers compatible avec une atteinte cirrhotique. Stabilité de l'aspect de cholangite du cholédoque et des canaux hépatiques. Hypertension portale avec apparition d'ascite Ponction-biopsie du foie le 13.02.2019 à 7h45 à l'HFR Fribourg (radiologie) • le patient a été informé par le biais de son amie, Mme. Y, qui l'accompagnera pour traduction Mr. Y sera convoqué pour discussion des résultats de la biopsie et de la suite de prise en charge dans notre service d'oncologie Pontage aorto-bi-fémoral dans les années 70 Pontage aorto-bifémoral pour anévrisme de l'aorte abdominale juxta-rénale de 32 x 35 mm le 13.07.2016. Sténose aiguë sur chronique de l'artère mésentérique supérieure avec dilatation et mise en place d'un stent le 03.08.2016. Hospitalisation à la Clinique Cécil du 12.07.2016 au 28.10.2016 : • état confusionnel aigu sur délirium tremens le 13.07.2016 nécessitant une nouvelle intubation le 14.07.2016 • thrombopénie post-opératoire précoce le 14.07.2016 sur consommation (anti-PF4 négatifs) • thrombopénie probablement médicamenteuse (Meronem) avec nadir à 36 G/l le 07.10.2016 • rhabdomyolyse post-opératoire avec pic des CK à 4409 UI/l probablement post-délirium tremens le 16.07.2016 • exanthème maculaire progressivement confluant d'origine toxico-médicamenteux le 17.08.2016 • iléus sur bride le 10.08.2016 avec : • laparotomie exploratrice avec pose de VAC le 10.08.2016 • laparotomie exploratoire avec résection grêle et pose de VAC le 12.08.2016 • laparotomie exploratoire avec fermeture de laparostome le 15.08.2016 • colite à CMV le 18.08.2016 • perforation grêle, sténoses grêles distales et coliques proximales serrées, suspicion de maladie de Crohn le 03.10.2016 avec : • laparotomie exploratoire pour adhésiolyse, résection iléo-caecale, iléostomie selon Brooks, colostomie de type fistule muqueuse le 03.10.2016 • résection segmentaire de 40 cm du grêle pour une sténose résiduelle avec anastomose termino-terminale et fermeture du laparostome le 05.10.2016 • pathologie : lésions évoquant une maladie de Crohn • insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique le 15.08.2016 • Syndrome de détresse respiratoire aiguë sur pneumonie à CMV le 16.08.2016 • Syndrome de détresse respiratoire aiguë sur pneumonie nosocomiale bilatérale à germes indéterminés le 06.10.2016 • bactériémie à Entérocoque faecalis le 02.09.2016 • bactériémie à Klebsiella pneumoniae le 07.10.2016 • bactériémie à Staphylocoque epidermidis sur VVC le 10.10.2016 • décompensation cardiaque gauche (FEVG 40%) avec hypokinésie septo-apicale • probable syndrome de dépendance aux opiacés (Fentanyl sublingual) • malnutrition protéino-calorique sévère avec perte pondérale d'environ 10% du poids corporel • décompensation cardiaque gauche (FEVG 40%) avec hypokinésie septo-apicale (ETT le 10.10.2016). Pancréatite aiguë (Balthazar A) le 17.02.2016. Douleurs abdominales et syndrome inflammatoire sur probable colite inflammatoire le 17.02.2016. Lombo-sciatalgies non déficitaires. Perturbation des tests hépatiques à prédominance de choléstase le 31.10.2016. Appendicectomie (date x). Pneumonie basale droite (date x). Pneumonie lobaire inférieure gauche en 11.2013. Pneumothorax gauche post-traumatique. Cure de hernie discale lombaire (date x). Traitement chirurgical d'une fracture de la jambe gauche (date x). Pontage fémoro-poplité droit pour un anévrisme poplité à droite, 27 mm de diamètre, asymptomatique, avec thrombus mural le 19 août 2013. Calculs rénaux récurrents depuis ses 30 ans environ. Dernier épisode il y a 3 ans avec extraction chirurgicale. • sous traitement par Zyloric. Cure de varices à gauche il y a environ 35 ans. Tuberculose ganglionnaire en 1952 environ (traitement : chirurgie, irradiation, sanatorium). Insuffisance cardiaque le 11.12.2013 avec: • cardiopathie ischémique (FEVG 20%) • insuffisance mitrale grade IV le 11.12.2013 Consilium cardiologique (Dr. X) : instauration traitement par Aldactone, Coversum, Torem, Dilatrend Proposition de faire un stix urinaire pour écarter une infection urinaire. Au vu de l'heure, la famille préfère rentrer et consulter chez la pédiatre si persistance de fièvre Port de ceinture abdominale durant 1 mois Rendez-vous chez le Dr. X le 28.02.2019 à 10:20h Pas d'ablation des fils (résorbables) Port de l'attelle uniquement dans les situations à risque, vu le verglas dehors. Ergothérapie avec récupération des amplitudes articulaires et intégration de la main. Portage de Streptocoque du groupe B Portage de Streptocoque du groupe B inconnu. Portage de streptocoques du groupe B Portage du Streptocoques du groupe B Portage du streptocoques du groupe B Portage streptocoque B. Portage streptocoques du groupe B Portage streptocoques du groupe B inconnu Porteur de C. difficile sans diarrhées le 22.12.2018 Porteur ESBL Pose de cathéter de dialyse jugulaire interne droit (20 cm) le 14.01.2019 Trans-cathéterisme du cath de dialyse jugulaire interne droit (15 cm) le 16.01.2019 Confection fistule artério-veineuse huméro-céphalique avec boucle Omniflow du membre supérieur gauche le 14.01.2019 Dialyse dès le 15.01.2019 Pose de Cathéter de dialyse jugulaire interne droit (20 cm) le 14.01.2019 Transcatheterisme du cath de dialyse jugulaire interne droit (15 cm) le 16.01.2019 Confection fistule artério-veineuse huméro-céphalique avec boucle omniflow du membre supérieur gauche le 14.01.2019 Dialyse dès le 15.01.2019 Pose de CRT-D le 03.01.2019 Pose de double J en urgence le 23.01.2019 par le Dr. X CT abdominal natif le 23.01.2019 Ceftriaxone dès le 24.01.2019 Pose de drain thoracique du 26.12.2018 au 28.12.2018 Pose de drain thoracique gauche le 25.01.2019. CT thoracique le 25.01.2019. Pose de néphrostomie à D Pose de Pacemaker Pose de pacemaker Pose de pacemaker Pose de pacemaker Pose de pacemaker Pose de pacemaker, AAI-DDD, (Dr. X) le 28.01.19 Rx thorax 28.01.19 Pose de pacemaker DDD en élective Pose de Pacemaker DDD 60 bpm Radio Thorax ap, lat le 21.01.2019: pas de pneumothorax Pose de pacemaker double chambre en électif Pose de pacemaker double sonde DDD à 60/min le 14.01.2018 en électif par le Dr. X Radiographie post-opératoire: matériel en place, pas de signes de complications Contrôle de la plaie à 10 jours en cardiologie Contrôle du pacemaker à 4-6 semaines en cardiologie Pose de pacemaker double-chambre en électif le 24.01.2019 par le Dr. X Radio thorax de contrôle: matériel en place, pas de pneumothorax Rendez-vous à 10 jours pour réfection du pansement chez son médecin-traitant Contrôle du Pacemaker à 4-6 semaines en cardiologie Pose de pacemaker électif Pose de pacemaker en électif Pose de Pacemaker en 2013 pour insuffisance chronotrope mise en évidence lors d'un test d'effort (Dr. X) Status après accident ischémique transitoire en 2007 Status après appendicectomie Status après hystérectomie Probable saignement digestif sur anticoagulation supra-thérapeutique Anémie normocytaire hypochrome d'origine spoliative Pose de pacemaker et défibrillateur interne Pose de pacemaker le 20.12.2018 Contrôle de pacemaker post IRM le 15.01.2019 : en ordre Pose de pacemaker le 21.01.19, avec contrôle le jour même Radiographie du thorax le 21.01.19 Pose de pacemaker pour bradycardie le 06.03.2014 Résection du tendon du sus-épineux, acromioplastie et résection acromio-claviculaire de l'épaule droite le 30.07.20002 Hernie hiatale opérée Cure hernie inguinale droite 2001 Cure de cataracte bilatérale en 2001 APP, cholécystectomie, vagotomie pour ulcère gastrique Cure hernie ombilicale en 1982 Laboratoire Gazométrie artérielle: Acidose métabolique lactique ECG: FA rapide Echo ciblé poumon et cœur aux urgences (Dr. X) Lasix 40mg IV Cordarone 300mg IV sur 1 h Oédème aigu du poumon récidivant d'origine mixte post coronarographie le 31.10.2018 : • dans un contexte de cardiopathie multifactorielle (ischémique, valvulaire et rythmique) INR supra-thérapeutique le 09.11.2018 Taux supra-thérapeutique de Digoxine le 14.11.18 • sans signe d'intoxication Déconditionnement physique sur diagnostic principal Pose de pacemaker pour bradycardie le 06.03.2014 Résection du tendon du sus-épineux, acromioplastie et résection acromio-claviculaire de l'épaule droite le 30.07.20002 Hernie hiatale opérée Cure hernie inguinale droite 2001 Cure de cataracte bilatérale en 2001 APP, cholécystectomie, vagotomie pour ulcère gastrique Cure hernie ombilicale en 1982 Oédème aigu du poumon récidivant d'origine mixte post coronarographie le 31.10.2018 : • dans un contexte de cardiopathie multifactorielle (ischémique, valvulaire et rythmique) Pose de Pacemaker (VVI 60') le 17.01.2019 Pose de PICC-Line du 19.12.2018 Ponction/biopsie diagnostic sous US du 19.12.2018 Mise en place d'une PICC-Line Pro-PICC® CT 4F 36 cm dans la veine brachiale droite NB : le clamp ne doit pas être fermé en présence de la valve anti-reflux Mise en évidence d'une thrombose étendue de la veine basilique droite jusqu'au coude Pose de port-à-cath prévu le 25.01.2019 à Tafers Mise en place d'une chimiothérapie par 5-FU en continu dès la pose de port-à-cath, adaptation de l'antalgie et mise en place d'un soutien nutritionnel Pose de prothèse céphalique hanche gauche le 27.12.2018 (Dr. X) Ablation des fils à J14 Physiothérapie Antalgie par Targin/Dafalgan Attitude : • Clexane prophylactique 40 mg sc 1X/j durant l'hospitalisation, relais par Xarelto 10 mg 4 semaines • Contrôle radioclinique le 01.02.2019 à 9h15 chez Dr. X Pose de sonde double J et hydratation intraveineuse Pose de sonde nasogastrique à visée re-nutritionnelle Nutrition entérale dès le 11.01.2019 Substitution électrolytique et vitaminique du 10.1.19 Pose de sonde nasogastrique le 14.12.2018 Radiographie de contrôle Début de nutrition entérale le 14.12.2018 Pose de sonde nasogastrique le 14.12.2018 Radiographie de contrôle Début de nutrition le 14.12.2018 Pose de sonde nasogastrique le 14.12.2018 Radiographie de contrôle Début de nutrition le 14.12.2018, et poursuite selon schéma Pose de sonde urinaire à demeure Start Pradif Suivi par le médecin traitant pour une nouvelle tentative de sevrage éventuelle après 2 semaines Pose de sonde urinaire à demeure Start Pradif Suivi par le médecin traitant pour une nouvelle tentative de sevrage éventuelle après 2 semaines Pose de sonde urinaire avec changement le 17.12.2018 Hydratation par NaCl 0.9% iv Mise en suspens traitement néphrotoxiques Phosphonorm du 10.12 au 21.12.2018 Resonium du 10.12 au 17.12.2018. US des voies urinaires le 10.12.2018 : pas de dilatation, vessie vide, taille des reins dans les limites inférieures de la norme Pose de sonde urinaire le 21.12.2018 Pose de sonde vésicale Pose de sonde vésicale. Pose de sonde vésicale du 16.12 au 20.12.2018 Reprise spontanée de la diurèse Pose de sonde vésicale 4.12-13.12.2018 Pose de sonde vésical 13.12-14.12.2018 Pose de sonde vésicale 4.12-13.12.2018 Pose de sonde vésical 13.12.2018 Pose de sonde 3 voies avec rinçage en continu le 09.01.2019 Pose de stent dans la veine cave inférieure en électif Pose de stent veine cave inférieure par voie fémorale par le Dr. X le 17.01.2019 En cas de non-amélioration des symptômes, un scanner sera effectué Pose de voie veineuse centrale le 30.01.2019 pour impossibilité de faire une prise de sang Pose de VVP. Bolus NaCl 0.9% 20 ml/kg sur 30 minutes Ondansetron iv 0.2 mg/kg Gazométries aux 6 heures Besoins d'entretiens: Glucosalin 2:1 (890 ml/24 h soit 100 ml/kg/j) Correction de déficit: Ringer Lactate 1340 ml/48 h (soit 150 ml/kg/48 h), sur 48 h vu hypernatrémie Compensation des pertes: Normoytoral prise libre Pose de VVP FSC: thrombopénie avec plaquettes 138 G/l (normales à 259 G/l quelques heures auparavant à Tafers), pas de leucocytose mais prédominance neutrophile de la répartition Hémocultures: en cours CT-scanner: amygdales et végétations hypertrophiées avec réhaussement minime de l'amygdale gauche pouvant être compatible avec un début d'abcès amygdalien, pas d'abcès rétro-pharyngé, paquet de ganglions cervicaux sans adénopathies Pose de 6 points de sutures simples après désinfection, explotation et rinçage de plaie. Le patient rentre à domicile avec un antalgique simple et avec consigne de changer le pansement tous les 2 jours. Il est informé des signes et symptômes d'infection. Il retirera les fils à 10-12 jours chez le médecin traitant. Pose d'un défibrillateur triple chambre à la place d'un pacemaker VVI Pose d'un défibrillateur triple chambre à gauche (resynchronisation) à la place d'un pacemaker VVI pour une dysfonction systolique ventriculaire gauche nouvelle avec FE abaissée à 35% Pose d'un défibrillateur triple chambre par le Dr. X le 17.01.2019 Radiographie du thorax Un contrôle de la plaie dans 10 jours chez le médecin traitant et un contrôle du pacemaker à 4-6 semaines chez le Dr. X Pose d'un pacemaker Medtronic AAI-DDD (IRM compatible 3T) le 27.09.2018 pour: • BAV du 3ème degré supra-hissien symptomatique le 25.09.2018 • Cardiopathie ischémique avec: • Quadruple pontage aorto-coronarien en 1996 au CHUV (greffon veineux sur coronaire droite, circonflexe, anastomose de la mammaire interne gauche sur IVA et diagonale en séquentiel) • Perméabilité du pontage mammaire gauche sur diagonale et IVA, occlusion de l'anastomose du pontage saphène sur coronaire droite et circonflexe avec angioplastie et mise en place d'un stent actif au niveau de la 1ère marginale gauche (06.06.2016) • Insuffisance mitrale modérée et petite insuffisance aortique Décompensation de la sacro-iliaque D dans un contexte de: • Raccourcissement du MIG de 2 cm • Fracture du pôle antéro-latéral de la rotule D après chute en avril 2017 traitée conservativement • Status post changement PTH D le 07.05.2003 • Status post ostéosynthèse du fémur D par plaque LISS en 2005. Carcinome invasif du QSI du sein droit diagnostiqué en décembre 2013 • Tumorectomie et radiothérapie en monothérapie par Aromasin • Tumorectomie mammaire droite en 2015 Hypercholestérolémie traitée Hypothyroïdie substituée (status post-thyroïdectomie en 1992) Ostéoporose traitée par Biphosphonate depuis 1997 Cancer cutané au niveau du nez, traité par radiothérapie Pose d'un Perm-Cath pour reprise dialyse le 12.07.2018 Pneumonie du lobe inférieur gauche le 11.07.2018 Pneumothorax iatrogène lobe inférieur droit le 13.07.2018 Hémo-pneumothorax iatrogène suite à un drainage d'épanchement pleural droit cloisonné le 27.08.2018 Choc mixte hypovolémique et septique sur diarrhées chroniques par stomie de décharge le 25.11.2018 Vagotonie et pyloroplastie en raison d'un ulcère duodénal perforé en 1982 Gynécomastie et hyperprolactinémie par Bromocriptine dès 1998 Cholécystectomie en 1998 Pose d'une nouvelle sonde urinaire. Avis Dr. X, urologue : sonde à garder pour le retour à domicile, contrôle à sa consultation le 21.02.2019. Pose d'une sonde naso-jéjunale sous contrôle endoscopique dès le 24.01.2019 Débuter nutrition entérale au plus vite. Pose d'une sonde vésicale le 24.01.2019. Pose élective de pacemaker AAI-DDD le 28.01.2019 (Dr. X): • dans le contexte d'une fibrillation auriculaire paroxystique lente symptomatique avec pauses de plus de 3 secondes • pacemaker IRM-compatible à 3 T corps entier Position du fœtus en siège Position et oxygène Surveillance hémodynamique Position latérale de sécurité Surveillance Possible AIT sylvien superficiel le 30.01.2019 avec • Discrète parésie faciale • Dysarthrie modérée Possible anévrysme artère cérébrale moyenne gauche de 8 mm • Qualité diagnostique limitée au vu d'un CT natif et non injecté Possible BPCO • Spirométrie impossible chez le médecin traitant • Désaturation au test de marche 6 minutes à 88 % • O2 à l'effort à domicile Possible broncho-aspiration basale droite le 07.01.2019 Possible cirrhose débutante • Spider naevi, varices oesophagiennes • Hépato-splénomégalie • Contexte d'hépatite C chronique de génotype 1A Possible crise de goutte cheville gauche DD chondrocalcinose, tendinite le 02.01.2019 • Acide urique le 04.01.2019: - 585 micromol/L Possible crise tonico-clonique Sur traitement de fluoxétine Épilepsie inaugurale Autre origine? Possible début d'abcès cutané superficiel au niveau de la cicatrice abdominale le 12.10.2018. Abcès péri mammaire gauche. Possible début de démence. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Insuffisance rénale chronique. Syndrome ACOS, bronchite chronique. Polyneuropathie d'origine toxique et carentielle des MI. Cardiopathie ischémique, rythmique et valvulaire: • Status post angioplastie de la CD pour infarctus du myocarde en 1995 • Status post thermoablation d'une tachycardie par réentrée intra-nodale en 1999 • Status post infarctus du myocarde en 1994 Angor instable dans le contexte de maladie coronarienne monotronculaire avec: • Subocclusion IVA moyenne : PTCA (1xDES) : bon résultat final • Fonction systolique VG normale 60% : hypokinésie apicale • Coronarographie le 23.08.2018 (Prof. X) • Attitude 08/2018: Aspirine cardio à vie, Efient 5 mg cpr pour 1 mois jusqu'au 27.09.2018 Artériopathie oblitérante des membres inférieurs stade I, sans ischémie critique Possible état pro-coagulant d'origine indéterminée probablement acquis (DD origine paranéoplasique?) • AVC sous Marcoumar avec INR supra-thérapeutique Possible fracture de l'arête du nez Possible gastro-entérite débutante Possible impactation alimentaire Possible infection urinaire à E. Coli multisensible le 12.01.2019 : • Co-amoxicilline par le médecin traitant du 12.01 au 14.01.2019 (stoppée aux soins intensifs) Possible infection urinaire basse chez patiente porteuse d'une sonde à demeure Possible insuffisance cortico-surrénalienne cortico induite Possible IVRS débutante Possible NSTEMI secondaire chez un patient connu pour une cardiopathie ischémique : • NSTEMI en novembre 2015, avec pose de 2 stents RCA à Zurich • ETT en 03.2017 : FEVG à 55 %, pas de valvulopathie. Coeur droit de taille normale. Hypertension pulmonaire à 35 mmHg Possible otite moyenne aiguë gauche débutante Possible pneumonie chronique du lobe moyen droit le 11.01.2019 sur : • possiblement sténose bronchique tumorale • atélectasie homolatérale Possible récidive de thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit le 19.12.2018 avec • odème prenant le godet augmenté disymétrique, pas de douleur Possible surinfection de lymphocèle axillaire gauche à Streptocoques agalactiae. Possible syndrome inflammatoire accompagné d'aggravation des tests hépatiques : DDx : • cholangite • flambée métastatique Possible thrombose partielle de la veine sous-clavière droite à la confluence avec les vaisseaux jugulaires le 27.12.2018 Post minimal-invasive rupture de l’Achille à gauche. Potassium à 2.6 mmol/l le 03.12.2018 Supplémentation parentérale : le patient reçoit 40 mmol avec KCl retard par voie orale le 04.12.2018 Potassium effervescent. 20 mEq iv Contrôle chez le médecin traitant dans quelques jours. Potassium effervet 3x/j. Potassium effervet 3x/j du 21 au 24.12.2018. Surveillance clinico-biologique. Potassium effervette à domicile pendant 3 jours. Potassium 40 mEq iv. Hydratation parentérale par NaCl 0.9 %. Potentiels évoqués prévus le 28.01.2019 au Neurocentre Intervention chirurgicale le 08.02.2019 Pouce à ressaut à gauche. Statut post infiltration. SNAC Wrist à droite. Rupture chronique de la coiffe des rotateurs ddc. Statut post amputation Dig II, III, IV et V main gauche. Pouce à ressaut droit et D4 à ressaut droit du 1er degré. Statut post cure de pouce à ressaut gauche le 27.3.2018. Statut post infiltration pouce et D4 droit à ressaut le 7.12.2018. Pouce à ressaut gauche Pouce à ressaut gauche chronique. Pouce à ressaut main droite symptomatique. Pouce D : Statut post révision de la cicatrice le 05.12.2018 pour une cicatrice hyper chératoïde et très sensible sur la face dorsale P2 pouce droite sur statut post ablation d'un corps étranger IP le 24.5.2018. Suspicion kyste arthrosynovial IP dig I droit. Pouce de skieur à D avec déchirure à 50 % du ligament collatéral ulnaire sans effet Stener le 17.12.2018. Pouce de skieur sans effet Stener à D le 29.12.2018. Pouce du skieur Pouce du skieur à G. Pouce du skieur à gauche le 15.01.19. Pouce du skieur à droite le 27.01.2019. Pouce du skieur gauche le 26.01.2019. Pouce du skieur main D le 21.11.2018. Pouce gauche à ressaut Pouchite aiguë sur chronique dans un contexte de maladie inflammatoire de l'intestin le 01.01.2018 (voir diagnostic suppl.) Pouchite 01.01.2019 • Dans un contexte de pouchites récidivantes Pour ce qui est de la fracture fraîche au niveau du fémur proximal droit, on propose de rester sur un traitement conservateur avec marche en charge partielle à l'aide de cannes. Nous proposons d'adresser la patiente à la consultation spécialisée des maladies osseuses du CHUV (Dr. X) que l'on prie de bien vouloir convoquer la patiente afin de faire le point sur le traitement de base de sa pathologie. Nous n'avons de notre côté pas prévu de nouveau rendez-vous, mais nous nous tenons à disposition en cas de besoin. Pour ce qui est de son kyste arachnoïdien déjà connu auparavant et à la demande du patient, nous pratiquons une nouvelle IRM pour contrôler la taille de celui-ci après lui avoir expliqué que ce dernier est constitutionnel et doit rester stable tout au long de sa vie n'étant pas compressif. Le faible risque d'hémorragie dans le kyste en cas de traumatisme majeur est aussi expliqué au patient qui semble bien comprendre. Concernant les douleurs d'origine inconnue et interprétées jusqu'à présent comme une névralgie d'Arnold, nous discutons avec notre collègue, le Dr. X, spécialiste pour l'antalgie du service d'anesthésiologie, de la possibilité d'une prise en charge conservatrice de son côté +/- infiltration. Nous adressons notre patient à nos collègues ORL vu le processus styloïde du côté gauche sur la base du scanner pratiqué courant 2017 qui est très grand par rapport au côté contre-latéral avec comme question : affection de ce côté pouvant justifier les symptômes du patient ? Nous le reverrons après la réalisation de l'IRM. Pour la dysplasie résiduelle, contrôle radioclinique dans 2-3 ans avec une RX bassin face. Pour toute la statique, la marche et le pied, nous aimerions faire un contrôle clinique dans 6 mois. Pour la fracture susmentionnée, nous proposons une prise en charge opératoire par arthroscopie et refixation par fil non résorbable. L'intervention est prévue pour le 3.1.19 avec séjour max 2 nuits à l'hôpital. Le consentement éclairé est signé ce jour. Ablation fil non résorbable à 4 mois post OP Pour la plaie frontale, nous mettons en place 2 points de suture séparés avec Prolène 4.0 et le rappel du vaccin antitétanique. Le test de Schellong est négatif. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire probablement dans le contexte de la gastro-entérite. Nous conseillons au patient un traitement symptomatique et un contrôle chez le médecin traitant dans 5 jours pour réévaluation clinique et ablation des fils de suture. Pour la sensation à la palpation d'un corps étranger à la berge médiale de la main droite, nous tentons l'ablation par une légère dermo-abrasion. Nous ne trouvons pas de corps étranger, et posons un pansement avec le conseil de poursuivre le traitement par Co-Amoxicilline et contrôle clinique le 04.02.2019 à la policlinique. Pour le traumatisme de la main, la radiographie met en évidence une fracture de l'extrémité distale de la 2ème phalange du 5ème doigt et met le doute sur une fracture de l'extrémité proximale de la 2ème phalange du 5ème doigt. Nous proposons l'immobilisation de l'avant-bras et de la main dans une attelle plâtrée, un traitement antalgique et anti-douleur et un contrôle clinique avec le Dr. X. Pour le pic hypertensif, nous administrons une dose unique d'Adalat per os aux urgences et conseillons à la patiente de consulter son médecin traitant pour la suite de la prise en charge. Pour mieux étudier la consolidation de la fracture, on organise un CT-scanner qui nous confirmera la formation du cal. Si la patiente est toujours gênée au prochain rendez-vous, on devra organiser un changement de la vis céphalique avec raccourcissement du clou avec la scie à diamant et refixation du grand trochanter où il y a des morceaux de fracture résiduels. CT-scanner le 23.01.2019. Prochain contrôle 05.03.2019. Pour rappel, Mme. Y a été amenée en ambulance aux urgences de l'HFR Fribourg le 08.01.2019 après avoir été retrouvée par un passant à 05h30 gisant sur le sol dans le corridor de son immeuble. Elle nous est ensuite transférée pour suite de prise en charge depuis les urgences. A son admission, la patiente n'a pas de plainte. Au status, l'auscultation pulmonaire met en évidence de légères sibilances diffuses. Nous retrouvons également de légers oedèmes des membres inférieurs. Le reste du status somatique est dans les limites de la norme. Mme. Y habite un immeuble avec un colocataire, M. Y. Les soins à domicile passent 2x/j pour l'habillage. M. Y s'occupe des médicaments. La patiente se déplace avec des cannes à la maison mais passe la majeure partie de ses journées assise. Bien que le sédiment urinaire d'entrée soit pathologique, la patiente n'est pas symptomatique pour une infection urinaire, raison pour laquelle aucun traitement n'est débuté. Nous mettons en évidence une hypovitaminose D et une carence en acide folique que nous substituons. À noter des signes d'insuffisance cardiaque probablement chronique avec légers oedèmes des membres inférieurs et discrètes sibilances à l'auscultation pulmonaire. Au vu de la compliance douteuse de la patiente, nous n'effectuons actuellement pas d'examens complémentaires et laissons le soin au médecin traitant de réévaluer l'indication à une échocardiographie en ambulatoire. Durant son séjour en gériatrie aiguë, Mme. Y refuse à plusieurs reprises les séances d'ergothérapie et de physiothérapie. Elle refuse en outre de prendre ses médicaments. Par ailleurs, elle présente un comportement fluctuant avec phases lucides et phases de désorientation où elle se montre vindicative et hétéroagressive auprès du personnel soignant. Nous notons également des idées persécutoires. Selon l'hétéroanamnèse avec le curateur de portée générale, M. Y, un maintien à domicile serait dangereux pour la patiente, celle-ci ayant entre autres des réveils nocturnes fréquents avec excursions en dehors de son domicile avec un habillement inadéquat durant les phases de désorientation. Les soins à domicile auraient communiqué au curateur une nécessité de soins 24h/24, ce qui n'est actuellement pas le cas. En effet, M. Y, colocataire de la patiente, aurait de plus en plus de difficultés à s'occuper de la patiente. Celle-ci chute fréquemment et il ne parviendrait pas toujours à la relever. En outre, il serait fréquemment absent, laissant la patiente seule à domicile. M. Y nous informe par ailleurs d'une situation à domicile plus que précaire avec des poursuites engagées et une expulsion prévue en juin prochain. Au vu de la situation globale avec des difficultés de gestion du comportement de la patiente (hétéroagressivité physique envers le personnel soignant), suspicion de pathologie psychiatrique sous-jacente et doutes sur une possibilité d'un retour à domicile dans des conditions de sécurité, nous transférons la patiente à l'hôpital psychiatrique de Marsens sous PAFA le 11.01.2019. Nous remercions nos collègues psychiatres pour la suite de la prise en charge. Pour rappel, M. Y vient ce jour pour un contrôle VNI à 6 mois dans le cadre d'un syndrome d'apnées/hypopnées obstructives du sommeil de degré sévère mis en évidence en octobre 2017 (IAH initial 30,6/h). La polygraphie de mise sous CPAP du 31.01.2018 se solde par un échec avec persistance des événements respiratoires (IAH résiduel à 34,1/h). Devant cette situation, le patient est appareillé par une VNI avec une excellente prise en charge des événements respiratoires nocturnes. M. Y est très satisfait de son appareillage et montre une bonne compliance par rapport au dernier contrôle d'août 2018. Il explique s'être habitué au masque, sans présenter de zone de pression ni fuite importante depuis la mise en place d'une mentonnière. Pas de sécheresse buccale. Il se sent nettement plus en forme qu'auparavant avec une diminution de la fatigue et une disparition de la somnolence diurne. Score d'Epworth actuel à 5/24. Pas de symptôme pulmonaire depuis sa pneumonie d'avril 2018. M. Y montre une bonne compliance de sa VNI avec une amélioration des symptômes diurnes. Il a passé une bonne nuit et nous constatons à la polygraphie une diminution des événements nocturnes avec un IAH résiduel à 7/h et une SpO2 moyenne nocturne à 93 %. La tcpCO2 à la capnographie est également dans les normes à 5.7 kPa. Nous proposons d'augmenter l'EPAP à 8 cmH2O afin de diminuer encore le nombre d'événements. Prochain contrôle de sa VNI dans 1 an avec capnographie et polygraphie. En restant à disposition pour tout renseignement complémentaire, nous vous adressons M. Y et Cher Confrère, nos meilleures salutations. Pour une amélioration de la fonction de l'épaule, la physiothérapie est indiquée ou exécuter des exercices à la maison. Une reprise du travail adapté peut aider à une rééducation de son épaule, vu que le patient fait des mouvements au-dessous de l'horizontale. Il n'y a plus aucune contre-indication à une reprise du travail, cependant un arrêt de travail a été fait par le médecin traitant jusqu'au 30 janvier puis reprise à 50 % en février pour une durée de 1 mois et reprise à 100 % à partir de mars. Prochain contrôle radioclinique dans 6 mois. Pour une meilleure investigation et approfondir la suspicion d'une lésion du ménisque latéral, nous organisons une IRM. Nous la reverrons prochainement en consultation pour discuter des résultats de celle-ci. Poursuite alimentaire et compensation de selles. Contrôle chez le pédiatre dans 48 heures. Poursuite Amoxicilline pour 3 jours. Contrôle chez pédiatre le 15.01. Prévoir CUM si récidive. Poursuite Amoxicilline 80 mg/kg/jour durant 7 jours. Poursuite Anoro Ellipta. Physiothérapie respiratoire. Poursuite antalgie par Dafalgan et tramadol. Physiothérapie. Poursuite antalgie par Oxynorm. Poursuite antibioprophylaxie par Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour pendant 5 jours. Antalgie et anti-inflammatoire en réserve. Thromboprophylaxie par Clexane 40 mg pendant la période de décharge. Retrait du Penrose et changement de pansement, maintien de l'attelle jambière postérieure. Contrôle clinique avec réfection pansement secteur ambulatoire des urgences le 23.01.2019. Ablation des fils à 14-21 jours. Immobilisation par attelle jambière postérieure pendant 7 jours, en décharge. Poursuite antibiothérapie. Poursuite antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 3x/j p.o. jusqu'au 23.01.2019 compris. Désinfection régulière de l'orifice de la broche par la maman de M. Y. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 3 semaines avec ablation de la broche. Poursuite antibiothérapie. Contrôle chez pédiatre en fin de traitement. Reconsultation en cas de péjoration. Poursuite antipyrétiques. Contrôle chez pédiatre dans 48 heures. Poursuite bains de bétadine une fois par jour pendant 3-4 jours. Bandage protecteur 3-4 jours. Terminer traitement par amoxicilline à raison de 50 mg/kg/j jusqu'à 7 jours après ablation de l'ongle. Consultation chez le pédiatre à la fin du traitement antibiotique pour s'assurer de la bonne évolution. Consultation aux urgences si péjoration, rougeur, douleur, écoulement, nouveau traumatisme. Poursuite benzodiazépine habituelle, sans traitement supplémentaire. Poursuite bétabloqueurs petite dose (à augmenter selon fréquence cardiaque). Holter: à effectuer en cours de réhabilitation (mi-janvier 2019). IRM cardiaque: à envisager à distance. Poursuite Calcimagon D3 et vitamine D. Poursuite Clexane thérapeutique avec dosage anti-Xa le 06.12.2018. US à l'étage le 5.12.2018 (Dr. X) : pas d'épanchements pleuraux. RX thorax le 6.12.2018. Morphine PO. Majoration légère de la corticothérapie. Poursuite Co-Amoxicilline jusqu'au 19.01.2019 (7 jours). Atrovent selon besoin. Poursuite Co-amoxicilline 1 g x2/j pendant 5 jours au total. Ablation des fils à 14 jours. Critères de reconsultation ré-expliqués. Poursuite de Céfuroxime 15 mg/kg/j sur 2 doses, dernier jour demain.Le 01.01 : Désinfection de surface à l'Hybidil, débridement de la plaie, évacuation mécanique de pus, rinçage à l'eau avant l'application de Ialugen plus et Adaptic, compresses et pansement. Laisser pansement 48 heures puis laisser la plaie à l'air et désinfection à domicile 2x/jour. Pas de contrôle prévu, reconsultation si réapparition rougeur/tuméfaction/fièvre/douleurs. Poursuite de la Betahistine 16 mg 3x/jour et de l'Oméprazole 2x/jour. Nous proposons à la patiente de recontacter dans la journée son ORL pour un rendez-vous de contrôle avec discussions/adaptation du traitement. Poursuite de la chimiothérapie en ambulatoire avec : • consultation de contrôle auprès de Dr. X en hématologie le 31.01.2019 à 12h30 • prise de sang et traitement le 31.01.2019 à 12h (hémato-oncologie, C4) Taux de Voriconazole à suivre (infrathérapeutique le 28.01.2019). Poursuite de la Co-Amoxicilline 1 g - 2 x/jour pour 7 jours, soit jusqu'au 03.01.2018. Poursuite de la Co-Amoxicilline 1 g aux 12h jusqu'au 29.01.2019. Consultation de suivi chez médecin traitant (Dr. X) le 28.01.2019 à 15h. Poursuite de la dialyse itérative. Prochaine dialyse jeudi le 03.01.2018. Poursuite de la double antiagrégation. • poursuite de la double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine et Clopidogrel (durée à préciser avec neurologues et chirurgiens) • adaptation du traitement hypolipémiant et mesure de l'hémoglobine glyquée • adaptation du traitement anti-hypertenseur • pister résultats de l'EEG et de l'ECG-Holter • pister consilium d'anesthésie pré-opératoire • opération de TEA prévue le 14.01.2019 (Dr. X). Poursuite de la marche en charge complète selon douleur. Prochain contrôle radio-clinique à 1 an de l'intervention. Poursuite de la nutrition parentérale. Poursuite de la physiothérapie à but de travail sur les déroulés du pas, de renforcement progressif des muscles péroniers et de proprioception. Au vu de la bonne évolution, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Poursuite de la physiothérapie afin de récupérer complètement la mobilité de son épaule D. Au vu de la bonne évolution radio-clinique, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Poursuite de la physiothérapie. Augmentation des amplitudes. Renforcement musculaire progressif en respectant toujours les douleurs sur le biceps. Comme plâtrier, il est encore en incapacité de travail. Prochain contrôle dans 6 semaines. Poursuite de la physiothérapie avec augmentation progressive de la charge selon douleurs. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines avec également CT-scanner des 2 fémurs proximaux afin de visualiser le kyste osseux du col fémoral à droite, ainsi que l'état de la consolidation osseuse de la fracture pertrochantérienne à gauche. Poursuite de la physiothérapie avec des drainages lymphatiques et pour la mobilisation. Nous lui prescrivons des bas de contention classe I. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique (rx profil/calcanéum axial/broden). Poursuite de la physiothérapie avec libération des amplitudes articulaires. Nous reverrons le patient dans 3 mois pour un nouveau contrôle clinique. Poursuite de la physiothérapie avec ondes de choc. Il doit également faire des exercices de stretching 1 fois par jour afin d'éviter une récidive des douleurs. Il ne porte pas ses nouvelles chaussures. Pour l'avant-pied, nous lui prescrivons une semelle avec une décharge de l'avant-pied. Poursuite du traitement avec de la Vaseline puis râper régulièrement afin d'enlever l'hyperkératose. Nous le reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. Poursuite de la physiothérapie avec proprioception et renforcement musculaire. Reprise du travail à 50% dès le 28.01.2019 pour 2 semaines puis à 100% dès le 11.02.2019. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Poursuite de la physiothérapie avec rééducation à la marche et lâcher de plus en plus les cannes, également à l'extérieur. Actuellement, il charge complètement. Il doit également faire des exercices de stabilité en physiothérapie. On a remis le patient à 50% du 14.01.2019 jusqu'au 08.02.2019 puis il réessayera à 100%. Prochain contrôle dans 6 semaines. Poursuite de la physiothérapie concernant l'épaule et le doigt. Comme travailleur de force, il reste en incapacité de travail jusqu'à la fin février. Poursuite de la physiothérapie. Contrôle à ma consultation le 18.02.2019. Poursuite de la physiothérapie durant encore au moins 6 semaines. Il va continuer les exercices de stretching lui-même. Pas de prochain contrôle prévu mais si les douleurs s'aggravent il peut nous recontacter. Poursuite de la physiothérapie et contrôle si nécessité à 6 mois. Poursuite de la physiothérapie et prochain contrôle clinique dans 3 mois. Poursuite de la physiothérapie et prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. Poursuite de la physiothérapie. La raideur est assez marquée en rotation externe, il faut principalement travailler sur ce point et renforcement musculaire progressif. Reprise de l'activité professionnelle dès le 07.01.2019 en évitant le port de charge. Prochain contrôle dans 6 semaines. Poursuite de la physiothérapie. Mobilisation avec renforcement musculaire. Il faut encore respecter les douleurs sur le biceps et ne pas le charger trop. Pour un travail en force, elle bénéficie encore d'une incapacité de travail. Je la revois dans 6 semaines. Poursuite de la physiothérapie. Nous lui montrons des exercices à faire régulièrement. Nous lui conseillons de faire des bains de pieds tièdes. Nous la reverrons dans 1 mois pour un contrôle clinique. Poursuite de la physiothérapie pour le dos avec renforcement musculaire et renforcement de la ceinture abdominale. Reprise des activités professionnelles avec toujours une limitation pour le service d'ordre. Poursuite de la physiothérapie pour proprioception et renforcement musculaire. Prochain contrôle radio-clinique à 1 an postopératoire afin de discuter d'une AMO. Poursuite de la physiothérapie pour récupérer les amplitudes articulaires et renforcer la coiffe des rotateurs. Reprise du travail à partir du 08.01.2019. Mr. Y a trouvé un arrangement avec son employeur pour faire des travaux dans l'atelier. Prochain contrôle chez moi le 04.03.2019 et je prévois une IRM en novembre 2019. Poursuite de la physiothérapie pour regagner des amplitudes articulaires complètes. Mr. Y souhaite reprendre une activité professionnelle à 50% dès le 20.01.2019. Reprise à 100% sera faite le 18.02.2019. Je revois Mr. Y dans 2 mois. Poursuite de la physiothérapie pour renforcement musculaire et exercices de stabilité. On reverra Mr. Y dans 2 mois et demi. Il peut lâcher de plus en plus les cannes. Reprise des activités selon douleurs. Poursuite de la physiothérapie pour renforcement. Prochain contrôle dans 3 mois. On réalisera dans l'intervalle une IRM de la colonne lombaire. Poursuite de la physiothérapie pour renforcer la musculature afin d'être plus sûr à la descente des escaliers. Nous lui prescrivons également des Olfen patch pour la nuit. Nous le reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. Poursuite de la physiothérapie, programme San-Antonio. Contrôle à 2 mois. Poursuite de l'incapacité de travail. Poursuite de la physiothérapie. Reprise du fitness. Réévaluation dans 6 mois. Poursuite de la physiothérapie respiratoire en ambulatoire. Poursuite de la physiothérapie 2x/semaine. Suivi chez le médecin traitant dans une semaine. Poursuite de la physiothérapie.Contrôle chez le médecin traitant. Poursuite de la prise en charge ambulatoire avec physiothérapie ambulatoire Poursuite de la prise en charge habituelle par vos soins Poursuite de la prise en charge en neuro-réadaptation et évaluation d'un retour à domicile Poursuite de la prise en charge habituelle par le médecin traitant Poursuite de la prise en charge habituelle par vos soins Poursuite de la prise en charge oncologique de confort avec : • Prise de sang pré-chimiothérapeutique le 23.01.2019 en oncologie ambulatoire • Chimiothérapie de confort par Navelbine 40 mg C2J1 le 24.01.2019 à 09h30 • Consultation oncologique auprès de l'oncologue traitant le 24.01.2019 à 09h45 Prise en charge palliative par Voltigo Soins de plaie sur site de mastectomie droite Poursuite de la prise en charge par vos soins Poursuite de la prise en charge par vos soins Poursuite de la prise en charge par vos soins Poursuite de la prise en charge oncologique par l'oncologue traitant Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines. Contrôle radio-clinique le 28.01.2019 à la consultation du Dr. X, policlinique d'orthopédie. Ablation des fils à 2 semaines post-opératoires à votre consultation. Contrôle radio-clinique à 6 semaines post-opératoires à la consultation du Dr. X. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines post-opératoires. Ablation du Comfeel et des fils à 15 jours post-opératoires à votre consultation. En cas de perte d'étanchéité du Comfeel, il devra être remplacé par un pansement standard. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines post-opératoires. Contrôle de plaie et réfection du pansement le 10.01.2019 à votre consultation. Contrôle de plaie et réfection du pansement le 14.01.2019, puis ablation des fils à 15 jours post-opératoires, puis contrôle clinique et suite de la prise en charge orthopédique à la consultation du Dr. X. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines, puis jusqu'à une marche en charge complète. Ablation du Comfeel et des fils à 2 semaines post-opératoires à la consultation du Dr. X. Contrôle radio-clinique à 6 semaines post-opératoires à la consultation du Dr. X. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique jusqu'au 06.03.2019 inclus. Contrôles réguliers de la plaie à travers le pansement Comfeel étanche. En cas de perte d'étanchéité du Comfeel, il devra être remplacé par un pansement standard. Ablation du Comfeel et des fils à 2 semaines post-opératoires à votre consultation. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Contrôle à la consultation du Dr. X, urologue, le 21.02.2019 à 09h45 pour suite de prise en charge urologique. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique jusqu'au 26.01.2019. Réfection du pansement et contrôle de plaie le 14.01.2019 à votre consultation. Ablation des agrafes le 24.01.2019 à votre consultation. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de la prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut. jusqu'au 08.02.2019. Contrôles réguliers de la plaie, ablation des Stéristrips à J10, fils résorbables. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Poursuite de la prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j jusqu'à Sintrom thérapeutique après 2 contrôles successifs. Contrôles réguliers de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 ; fils résorbables. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Poursuite de la prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pendant le séjour de rééducation à Billens puis passage au Xarelto 10 mg 1x/j p.o. jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôle radio-clinique dans 6 et 12 semaines à la consultation du Dr. X. Arrêt du Torem selon évolution des œdèmes à évaluer à Billens. Poursuite de la prophylaxie thrombo-embolique par Héparine 2x5000 UI/j pendant l'hospitalisation puis Xarelto 10 mg à la sortie. Contrôles réguliers de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 ; fils résorbables. Confection d'un plâtre AB fermé poignet G dès que l'état de la patiente le permettra avec contrôle rx post plâtre. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Poursuite de la rééducation. Prochain contrôle radio-clinique le 11.03.2019. Poursuite de la substitution à dose thérapeutique Poursuite de la substitution en fer per os. Poursuite de la substitution vitaminique et de zinc. Poursuite de la surveillance neurologique au domicile (feuille explicative donnée à la mère) Poursuite de la surveillance, start ATB si persistance de haute fièvre demain, contrôle prévu en ORL le 21.01. Poursuite de la Tamsulosine Sonde vésicale depuis le 26.09.2019 Poursuite de la Tamsulosine Sonde vésicale dès le 26.09.2019 Poursuite de la thérapie avec Betnesol dernière dose le 27.1. et inhalation avec Ventolin aux 4 heures, 4 push. Contrôle clinique y compris SpO2 le 27.01. à l'HFR Poursuite de la thérapie de Statine, aspirine cardio et Plavix (pour 4 semaines) Mise en suspens des traitements antihypertenseurs Introduction de Bisoprolol 5 mg Holter de 7 jours en cours Poursuite de la VNI nocturne Poursuite de l'alimentation par la sonde nasogastrique et discuter pendant la réhabilitation de la pose d'une PEG / GPR. Actuellement, le patient souhaite rester avec la sonde nasogastrique. Les soins du trachéostome continuent. Soins complémentaires par les conseils nutritionnels et la physio/ergothérapie pour la réhabilitation de la déglutition et l'alimentation. Mr. Y doit rester à jeun oralement jusqu'à la réhabilitation complète. Nous demandons une surveillance chimique en laboratoire des électrolytes par la suite. Il est nécessaire de prendre rendez-vous à la consultation du Dr. X suite à sa réhabilitation afin d'organiser la suite de la prise en charge. Un CT-scan de contrôle sera agendé dans 2 mois afin d'évaluer la réponse au traitement oncologique et l'instauration d'un possible traitement d'immunothérapie. Nous suivons Mr. Y toutes les 2 semaines à la Policlinique ORL de l'HFR Fribourg. La première fois le 14.02.2019. Contrôle chez le Dr. X et changement de la canule dans 3 mois. À distance, discussion d'une chondrotomie postérieure. Poursuite de l'analgésie avec Dafalgan au besoin Thérapie locale avec Ecofenac 2x/jour dès 14.12.2018 pour 5 jours Poursuite de l'antalgie et contrôle chez le pédiatre à 24h Retour à domicile avec consignes de surveillance Poursuite de l'antalgie et contrôle chez le pédiatre à 24h Retour à domicile avec consignes de surveillance Stix urinaire en ordre Poursuite de l'antalgie par anti-inflammatoires (Irfen, Dafalgan). Début de la physiothérapie par mobilisation et US local. Application locale de pommade Voltaren. Prochain contrôle dans 6 semaines. Elle est informée que ces douleurs peuvent tout de même durer longtemps mais le traitement reste en principe conservateur. Poursuite de l'antalgie par Dafalgan, Tramadol et Pregabaline Majoration des doses de Tramadol et Pregabalin le 05.06.2018, Tramal stoppé le 07.06.2018 vu l'interaction avec SSRI Rééducation sensitive (Clinique Générale) prévue le 25.06.2018 à 10h45 Poursuite de l'antalgie (Tramadol, Dafalgan) Physiothérapie Poursuite de l'antalgie. Augmentation des laxatifs, explication que la patiente doit augmenter le dosage de Macrogol d'un sachet par jour jusqu'à obtention de selles molles et maintenir le dosage pendant quelques jours.Recommandation de reconsulter en cas de signes de gravité. Rendez-vous de suivi chez son médecin traitant en fin de semaine. • Poursuite de l'antibiothérapie : Co-Amoxicilline 50 mg/kg/j Consignes de surveillance Antalgiques. • Poursuite de l'antibiothérapie à 250 mg 2x/j. Consulter en cas de persistance des symptômes dans 48 heures. • Poursuite de l'antibiothérapie avec Rocéphine Haldol et Temesta IV avec bon effet. Relais d'antalgie de méthadone à morphine IV. • Poursuite de l'antibiothérapie. Consignes de désinfection. • Poursuite de l'antibiothérapie durant 7 jours. Mme. Y prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 12 jours post-opératoires. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 01.02.2019 inclus. Rendez-vous pour contrôle à la consultation du Dr. X, policlinique d'orthopédie, le 25.01.2019, puis pour ablation des fils à 2 semaines post-opératoires. Mr. Y prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle du diabète et adaptation du traitement au besoin. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 10.01.2019 inclus. Contrôle de plaie et réfection du pansement le 09.01.2019 en policlinique d'orthopédie. Ablation des points de suture cutanée le 22.01.2019 à votre consultation. Ablation du point de suture trans-unguéal le 29.01.2019 à votre consultation. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 4 semaines post-opératoires, avec ablation de la broche en cas de bonne consolidation osseuse. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 16.01.2019 inclus. Mr. Y sera revu à la consultation du Dr. X pour contrôle à 2 semaines post-opératoires. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 17.01.2019. Colonoscopie à distance, Mme. Y sera convoquée par le service de gastro-entérologie. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 22.01.2019 inclus. Mr. Y sera revu à la consultation du Dr. X pour suite de la prise en charge urologique. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 23.01.2019 inclus. Rendez-vous à la consultation du Dr. X dans 6 semaines. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 26.01.2019 inclus. Poursuite de la thromboprophylaxie jusqu'au 27.01.2019 inclus. Mr. Y sera revu à votre consultation pour contrôle et ablation des fils le 31.01.2019. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 31.01.2019 inclus. Rendez-vous à la consultation du Dr. X, policlinique d'orthopédie, le 25.01.2019 à 08h00, puis pour ablation des fils à 2 semaines post-opératoires. • Poursuite de l'antibiothérapie orale jusqu'au 17.01.2019. • Poursuite de l'antibiothérapie par Bactrim forte 800/160 mg p.o. 3x/j jusqu'au 06.01.2019 compris. Réfection régulière du pansement par les SAD. Contrôle de la fonction rénale et de la FSS (Bactrim) le 27.12.2018 par nos soins au laboratoire de l'HFR Fribourg puis à raison de 1x/semaine par le médecin traitant pour la durée du traitement par Bactrim. Arrêt de l'Epril et introduction d'un antihypertenseur à long terme par le médecin traitant. Contrôle clinique le 27.12.2018 à la consultation du Dr. X. Une IRM de contrôle sera organisée par nos soins à la fin janvier 2019. • Poursuite de l'antibiothérapie par Céfuroxime 500 mg 2x/jour jusqu'au 15.01.2019. Traitement symptomatique. • Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. jusqu'au 30.01.2019. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pendant 5 jours. Contrôles réguliers de la plaie à raison de 3x/semaine chez le médecin traitant, ablation des fils à J14. Contrôle à la consultation du Dr. X à 6 semaines. • Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3x/j jusqu'au 20.01.2019. Contrôles réguliers de la plaie avec ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X. • Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 2x/j jusqu'au 13.01.2019. Contrôles réguliers de la plaie chez le médecin traitant. Rinçage quotidien de la plaie avec de la Bétadine diluée (1/10) puis avec du Ringer jusqu'au 08.01.2019. Contrôle clinique et ablation des fils à 2 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X. Contrôle clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X. • Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. jusqu'au 06.01.2019. Contrôles réguliers de la plaie avec réfection quotidienne du pansement à l'aide des soins à domicile. Ablation des fils le 09.01.2019 à la consultation du Dr. X. • Poursuite de l'antibiothérapie par pénicilline G 4 Mio UI 3x/24 h. Suivi régulier des plaies, ablation des fils le 03.01.2019. Poursuite de la prophylaxie thrombo-embolique par Clexane pendant l'hospitalisation. Aspirine 100 mg 1x/j jusqu'à guérison de la plaie. Traitement immuno-suppresseur selon ordre des rhumatologues. L'introduction d'une anti-agrégation sera à considérer par les angiologues. • Poursuite de l'antibiothérapie par Rocephin 2 g i.v. 1x/j en ambulatoire à l'HFR Fribourg jusqu'au 25.01.2019. Contrôle clinique avec ablation des fils à la consultation du Dr. X le 31.01.2019. Consultation de cardiologie avec ETT le 11.02.2019, Dr. X. • Poursuite de l'antibiothérapie p.o. par co-amoxicilline 3x1 g/j jusqu'à 7 jours postop puis 2x1 g/j jusqu'à l'ablation des fils. Suivi régulier des plaies, ablation des fils chez le médecin traitant à J14. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. • Poursuite de l'antibiothérapie pour un total de 14 jours. Contrôle à votre consultation dans une semaine. • Poursuite de l'antibiothérapie pour une durée totale après la fermeture de la plaie de 3 mois. Hydratation orale à augmenter. Contrôle à la consultation du Dr. X + labo avec CRP et créat. le 17.01.2019. Réfection régulière du pansement selon protocole des stomathérapeutes avec Protosan crème et gel par les SAD. Ablation des dernières agrafes de manière progressive selon l'évolution de la plaie. Évaluation par nos collègues de l'hématologie de l'altération persistante du PTT à organiser par le médecin traitant. • Poursuite de l'antibiothérapie pour 10 jours. Ventolin au besoin. Reconsultation en cas de péjoration de l'état général. • Poursuite de l'antibiothérapie pour 14 jours in toto. Contrôle à votre consultation en fin du traitement antibiotique. Poursuite de la Xyzal per os pour 7 jours in toto. • Poursuite de l'antibiotique comme prescrit. • Poursuite de l'anticoagulation par Clexane 40 mg sc/jour jusqu'au 26.01.2019 avec reprise du Xarelto dès le 27.01.2019. Contrôle à la consultation du Dr. X le 24.01.2019. • Poursuite de l'anticoagulation par Xarelto pendant 6 mois selon schéma. Contrôle à votre consultation dans une semaine. • Poursuite de l'anticoagulation prophylactique par Clexane jusqu'à l'obtention de deux INR thérapeutiques. Poursuite de l'antibiothérapie par Ciprofloxacine pour 14 jours in toto. • Poursuite de l'anticoagulation prophylactique pour 3 semaines. Ablation des fils à J12-14 postopératoires chez le médecin traitant. Contrôle à la consultation du Dr. X le 18.02.2019 à 13h30. Contrôle au cabinet du Dr. X. • Poursuite de l'arrêt de sport pour les 10 prochains jours avec reprise progressive par la suite. Anti-inflammatoire en réserve. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. • Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'à la fin février avec une reprise à 100 % dès le 01.03.2019. Poursuite de la physiothérapie. Contrôle à distance. • Poursuite de l'ergothérapie ainsi que de la physiothérapie. Prochain contrôle dans 3 à 4 mois. La solution chirurgicale consisterait en une arthrolyse du poignet, néanmoins avec un risque de récidive de CRPS beaucoup trop élevé, nous ne retenons absolument pas cette indication. Poursuite de l'ergothérapie. Contrôle de la situation neurologique par un nouveau ENMG chez le Dr. X et nous reverrons le patient après cet examen. Prochain contrôle dans 1 mois. Poursuite de l'ergothérapie en augmentant progressivement les charges. Poursuite de l'incapacité de travail à 100% jusqu'à fin février. On prévoit le prochain contrôle clinique le 13.03.2019. Poursuite de l'ergothérapie. Pour le moment, je déconseille une ténolyse voire arthrolyse au niveau de l'IPD. On refera le point d'ici 2 mois le 5.4.2019. Poursuite de l'ergothérapie. Prochain contrôle radio-clinique au mois d'avril 2019. Poursuite de l'Escitalopram 10 mg introduit depuis le 05.01.2019 Posologie à adapter selon tolérance. Poursuite de l'immobilisation par plâtre cruro-pédieux pour les 2 prochaines semaines. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre dans 2 semaines. Poursuite de l'insuline Tresiba. Correction et suivi glycémique. Poursuite de l'oxygénothérapie. Opiacés pour la dyspnée. Au vu de l'état général se dégradant rapidement, pas de pose de Pleurix. Poursuite de physiothérapie et prochain contrôle clinique dans 3 mois, soit le 09.04.2019. Poursuite de physiothérapie et prochain contrôle dans 2 mois, soit le 05.03.2019. Poursuite de prise en charge en ambulatoire avec le médecin traitant et la psychologue traitante. Selon le souhait de la patiente, consultation psychiatrique à organiser dans le centre où elle est suivie habituellement. Physiothérapie. Poursuite du traitement antalgique déjà en place. Consultation en neurologie Dr. X le 16.01.19. Suivi en rhumatologie après la consultation du 11.01.19. Poursuite de prise en charge en soins palliatifs à la Villa Saint-François pour réadaptation palliative. Poursuite de l'alimentation entérale. Poursuite de l'antibiothérapie. Poursuite de traitement avec Aprovel 300 mg/j, Aldactone 25 mg 1/j et Torem 5 mg/j. Suivi clinique journalier. Poursuite des A/B. Antalgiques en réserve. Poursuite des antibiotiques par Co-Amoxicilline jusqu'au 10.01.2019. Coloscopie à évaluer. CT thorax de contrôle des nodules pulmonaires à 6 et 12 mois proposé. Poursuite des antibiotiques par voie orale pendant 48h. Contrôle de laboratoire chez le médecin traitant le 25.01 ou 28.01.2019. Ablation des fils avec contrôle de la plaie chez le médecin traitant à J 14 postopératoire. Poursuite des exercices à domicile avec renforcement musculaire et aquagym. Nous organisons un CT-scanner de la hanche droite pour évaluer s'il y a des signes d'arthrose, ainsi que des longs axes et éventuellement donner une compensation externe pour le soulier à droite. On reverra la patiente après le CT-scanner. Reprise du travail à 50% dès le 14.01.2019. CT-scanner le 11.01.2019. Contrôle le 22.01.2019. Poursuite des massages. Nous conseillons aux parents de lui mettre les chaussures à l'envers. Nous le reverrons le 28.02.2019 comme c'était prévu. Poursuite des massages. Prochain contrôle dans 3 mois. Poursuite des rinçages de nez et des fébrifuges en réserve. Ventolin en R si respiration sifflante. Contrôle chez le pédiatre si pas d'amélioration. Poursuite des rinçages de nez. Ventolin en réserve si respiration sifflante. Re consulter si signes de détresse respiratoire. Fébrifuges. Poursuite des séances de physiothérapie, également pour traiter la tendinite. Nous la reverrons dans 4 semaines pour faire le point. Poursuite des séances de physiothérapie et prochain contrôle radio-clinique à 6 mois de la fracture. Poursuite des séances de physiothérapie et prolongation de l'arrêt de travail à 50%. Prochain contrôle radio-clinique le 11.02.2019 afin de le présenter au Dr. X en cas de persistance des douleurs. Poursuite des soins de confort. Contrôles réguliers des plaies au travers des pansements Comfeel, ablation Comfeel et fils à J14. Poursuite des soins de plaie et des contrôles chez le podologue. Nous lui prescrivons des lits plantaires de confort avec une décharge locale au niveau de l'hallux afin de permettre à la plaie de guérir en enlevant l'hyper appui. Nous la reverrons dans un mois pour un contrôle clinique. Poursuite de désinfection. Surveillance clinique par la famille. Consultation si signe d'alarme. Poursuite diurétique avec Torem 5 mg. Contrôle en chirurgie cardio-vasculaire CHUV prévu pour le 14.11.2018: le rapport médical sera envoyé directement au patient. Poursuite de l'anti-allergique pour 5 jours. Bilan allergologique à distance. Poursuite du bilan de la syncope en Espagne : Holter sur 5 jours +/- Reveal. Bilan d'anémie à faire en ambulatoire. Poursuite du Floxapen iv jusqu'au 05.01.2018. Poursuite du Movicol (3 sachets à évaluer selon consistance des selles). Buscopan. Conseils diététiques et contrôle chez le pédiatre dans 1 semaine. Poursuite du Movicol (3 sachets à évaluer selon consistance des selles). Buscopan. Conseils diététiques et contrôle chez le pédiatre dans 1 semaine. Poursuite du Perentérol. Consignes de surveillance données aux parents. Poursuite du port de la semelle rigide pour les 4 prochaines semaines. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Poursuite du port de l'attelle dorsale lift ddc ainsi que des exercices de stretching le plus longtemps possible. Nous lui prescrivons des ondes de choc. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. Poursuite du protocole avec Betatulle et Mepilex Border. Pansement refait ce jour en consultation. Le soulier orthopédique doit être réadapté. Prochain contrôle dans 1 semaine. Poursuite du suivi de l'asthme chez son pneumologue. Poursuite du suivi par vos soins habituels. Cardioversion électrique prévue en ambulatoire le 04.02.2019 (cardiologie, HFR Fribourg) avec consultation anesthésique préalable (le patient sera convoqué). Consultation pour prise de sang et contrôle chez Dr. X le 08.02.2019 à 10h30 (HFR Fribourg, C4). Echocardiographie transthoracique chez Dr. X, lundi 04.03.2019 à 16h30 (cardiologue traitant). Poursuite du suivi par vos soins habituels. Pister les résultats d'histologie de résection de masse polypoïde duodénale. Holter en ambulatoire. Nouvelle colonoscopie à prévoir dans 5 ans. Prévoir bilan thyroïdien (TSH, anti-TPO, anti-TG) en ambulatoire dès que possible, selon discuter de l'indication à un ultrason thyroïdien. Poursuite du suivi par vos soins habituels. Prévoir des fonctions pulmonaires à distance de l'épisode infectieux aigu. Poursuite du suivi pédopsychiatrique avec Dr. X dès le 29.01. Suivi somatique par pédiatre, Dr. X. Poursuite du traitement anthroposophique. Consultation chez Dr. X le 28.01. Poursuite du traitement antibiotique pour 7 jours au total (jusqu'au 28.01). Recontrôle aux urgences si péjoration de l'état général. Poursuite du traitement antibiotique. Contrôle prévu le 23.01, à maintenir. Poursuite du traitement antidépresseur. Consilium psychiatrique par Dr. X le 14.01.2019: syndrome anxio-dépressif dans le cadre d'un épisode dépressif moyen sans actuelle idéation suicidaire, patient à ré-hospitaliser à Marsens après accord du patient et de sa famille. Poursuite du traitement avec le port de semelle le plus souvent possible. Nous la reverrons en été 2019 pour juger de l'évolution. Poursuite des exercices pour se remuscler et exercices de la stabilité de la cheville. Poursuite du traitement conservateur avec circularisation de la botte ce jour, qui sera à porter pour une durée totale de 6 semaines et d'une prophylaxie anti-thrombotique par Clexane 40 mg 1x/j. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre dans 5 semaines.Poursuite du traitement conservateur avec circularisation du plâtre AB ce jour. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre dans 4 semaines. Poursuite du traitement conservateur avec circularisation du plâtre AB ce jour. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre dans 5 semaines. Poursuite du traitement conservateur avec circularisation du plâtre ce jour. Nous prescrivons à la patiente une prophylaxie pour le Sudeck avec du Redoxon 500 mg 1x/j pour 50 jours. Poursuite de la prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j jusqu'à charge complète. Charge partielle max. 15 kg possible selon douleurs. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre dans 5 semaines. Poursuite du traitement conservateur avec mise en place d'une attelle intrinsèque prenant les rayons 3 à 5 thermo-formée en ergothérapie. Poursuite de l'arrêt de travail à 40% du 04.01.2019 au 05.02.2019 avec reprise à 100% dès le 06.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique dans 5 semaines. Poursuite du traitement conservateur avec plâtre scaphoïde. CT-scan prévu le 11.02.2019. Prochain contrôle clinique le 12.02.2019. Poursuite du traitement conservateur avec prochain contrôle radio-clinique dans 2 semaines et probablement ablation de plâtre. Poursuite du traitement conservateur avec un plâtre AB circulaire (refait ce jour). Prochain contrôle radio-clinique le 12.02.2019 comme prévu. Poursuite du traitement conservateur, ergothérapie pour regagner la mobilité et intégrer la main. Comme travailleur de force, il reste en incapacité de travail. Prochain contrôle dans 6 semaines. Poursuite du traitement conservateur. Il peut charger avec les béquilles. Poursuite de la Clexane jusqu'à la charge complète. Mobilisation active de la cheville sans charge. Prochain contrôle radioclinique dans 4 semaines. Poursuite du traitement conservateur. Le patient est autorisé à enlever l'attelle et à mobiliser librement son genou. Il poursuivra la marche en charge partielle de 20 à 30 kg sous couvert de 2 cannes anglaises pour 1 mois supplémentaire. Il débutera également une rééducation en physiothérapie. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 28.02.2019. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. Poursuite du traitement conservateur. Nous prescrivons au patient des séances d'ergothérapie pour mobilisation douce ainsi que pour la re-confection d'un gantelet. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. Poursuite du traitement conservateur par plâtre scaphoïde pour 1 mois supplémentaire. Nous organisons un scanner dans 1 mois afin de voir l'évolution de la fracture. En cas de non-consolidation de la fracture dans 1 mois, nous discuterons avec le patient pour une éventuelle prise en charge chirurgicale. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. Poursuite du traitement conservateur par Rucksack. Prochain contrôle clinique dans 3 semaines. Poursuite du traitement conservateur par Vaco pedes. Prochain contrôle radio-clinique dans 4 semaines. Poursuite du traitement conservateur pour cette fracture. Nous circularisons le plâtre ce jour. Nous reverrons la patiente pour un prochain contrôle radio-clinique hors plâtre à 6 semaines de la fracture. Poursuite du traitement conservateur pour la lésion Rockwood II gauche avec physiothérapie de mobilisation jusqu'à 90° d'abduction et d'élévation. Un contrôle final pour l'articulation AC gauche est programmé à ma consultation pour le 14.02.2019. Le suivi pour la rupture du tendon d'Achille est programmé en policlinique d'orthopédie, avec rendez-vous le 10.01.2019. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'au 10.02.2019. Poursuite du traitement conservateur. Prochain contrôle radio-clinique dans 5 semaines. Poursuite du traitement d'Amoxicilline simple prescrit par la pédiatre. Reconsulte si otalgie persistante dans 48h pour élargissement du spectre antibiotique. Poursuite du traitement de BenUron et Algifor selon fièvre et douleurs. Poursuite du traitement d'IPP jusqu'au 28.01.2019 inclus. Rendez-vous à votre consultation le 18.01.2019 pour contrôle clinique et biologique (Hb + tests hépato-biliaires). Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 21.01.2019 à 10h45 pour planification d'une cholécystectomie à distance. Poursuite du traitement en physiothérapie axé sur le drainage, maintien des amplitudes articulaires, étirement des chaînes postérieures, proprioception et renforcement dans l'axe. Nous prolongeons l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. En ce qui concerne l'hypoesthésie du nerf fémoral, nous proposons au patient de suivre cliniquement l'évolution. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Poursuite du traitement habituel avec majoration de la dose de sartan. Deponit patch en réserve. Maintien du traitement par eplerenone mis en place par le Dr. X contre l'HTA après discussion avec celui-ci. Poursuite du traitement habituel par Madopar. Suivi en collaboration avec l'équipe de neurologie si dégradation. Poursuite du traitement habituel. Appel Dr. X le 07.12.2018 : proposition de Prednisone 40 mg, puis surveillance fonction rénale. Appel Dr. X le 17.12.2018 : bilan pré-thérapeutique le 18.12.2018 afin d'introduire le Methotrexate. Rendez-vous chez le Dr. X le 08.01.2019 : introduction de Methotrexate à 5 mg en ambulatoire. Poursuite du traitement habituel. Culture d'expectorations : Pseudomonas Aeruginosa. Oxygénothérapie. Vaccin contre la grippe saisonnière fait chez le médecin traitant. Physiothérapie avec drainage bronchique. Poursuite du traitement habituel. Suivi par Dr. X, Bulle. Poursuite du traitement habituel. Suivi par Dr. X, Bulle. Poursuite du traitement local. Poursuite du traitement médicamenteux selon prescription (arrêt de la statine et Escitalopram, introduction de Quétiapine et de dexaméthasone). Radiothérapie par le Dr. X prévue. Transfert en EMS dès que possible. Poursuite du traitement (Onbrez Breezhaler, O2 1.5 l/min pendant la nuit et 2 h pendant la journée = 14h en tout). Atrovent, Ventolin en réserve. Vaccin de la grippe recommandé. Physiothérapie respiratoire. Poursuite du traitement par anticalcique. Introduction Bêta-bloquant le 07.01.2019. Introduction de dérivés nitrés le 08.01.2019. Poursuite du traitement par béta-bloquant. Poursuite du traitement par béta-bloquant et IEC. Contrôle régulier de la tension artérielle. Bilan cardiologique de contrôle à distance. Poursuite du traitement par Klacid 500 mg 2x/j pour 14 jours d'antibiothérapie in toto. Reprise du traitement par Lercanidipine à la fin du traitement antibiotique. CT scan thoracique le 31.01.2019 à 11h30. Bronchoscopie en cas d'anomalies persistantes au CT scan de contrôle. Poursuite du traitement par Pantoprazole 40 mg - 1 x/jour durant 14 jours, puis à réévaluer par vos soins. Contrôle par vos soins dans 7 jours. Nous vous proposons de réévaluer l'indication à une gastroscopie en électif. Poursuite du traitement par Prednisone, augmentation si tolérance. Consultation chez Dr. X prévu le 24.01.19. Poursuite de la prise en charge par Voltigo. Dafalgan en réserve contre état fébrile. Le patient est informé de se présenter chez un médecin si l'état fébrile est accompagné de symptômes alertants.Poursuite du traitement symptomatique (cf consultation Dr. X du 19.01) dont Dafalgan, Algifor, Nasivine, serum phy., Normolytoral Explications concernant les modes de reconstitution de la solution de Normolytoral et les quantités à administrer Rappel sur les signes de gravité pour une déshydratation Consulte dans 2 jours le pédiatre si persistance de la fièvre Poursuite du traitement symptomatique (Irfen, Dafalgan, spray nasal) Poursuite du traitement. Explication des signes devant amener à reconsulter. Poursuite du Ventolin et Betnesol comme prescrits Contrôle prévu à votre consultation le 23.01 Poursuite du Ventolin 2 pushs aux 4h Retour à domicile avec consignes de surveillance Poursuite d'une immobilisation par gilet orthopédique pour une durée de 2 semaines. Contrôle à ma consultation le 21.02.2019 pour initiation d'un traitement de physiothérapie. Par la même occasion, le patient va m'apporter les images de l'IRM effectuée en automne 2018, pour des douleurs chroniques de son épaule D. Incapacité de travail à 50% comme ingénieur forestier. Poursuite d'une mobilisation de la cheville en physiothérapie et reprise d'une charge complète. Arrêt de la Clexane. Contrôle radioclinique dans 2 mois à notre consultation. Poursuite de l'arrêt du sport, pendant encore 3 mois. Poursuite ergothérapie en ambulatoire et adaptation du domicile. Infiltration intra-articulaire de l'épaule droite à répéter en cas de réapparition des douleurs. Suivi tension artérielle par le médecin traitant et adaptation des traitements si nécessaire. Poursuite et adaptation du traitement antibiotique par Co-Amoxicilline Poursuite et adaptation du traitement avec la BiPAP (19/10) Poursuite fébrifuge Consignes usuelles déshydratation Contrôle dans 24-48 heures chez pédiatre Poursuite Imnovid et Dexaméthasone selon schéma 3 semaines de traitement puis une semaine de pause IgG sérique le 11.01.2019: 49 g/L Suivi régulier de la calcémie, dernier traitement de Zolmeta fin décembre 2018 Poursuite Imnovid et Dexaméthasone Suivi oncologique le 16.01.2019 à 14h45 à la consultation du Dr. X avec contrôle FSC Poursuite Imnovid Sortie d'agranulocytose le 26.12.2018 Transfusion 1 CE le 01.01.2019 et le 06.01.2019 Suivi FSC régulier Poursuite Mirtazapine et Hydroxyzine Soins cutanés par Excipial Poursuite nutrition entérale par PEG selon protocole diététique. Pister le contrôle électrolytique du 20.12.2018 ainsi que 24 heures après chaque augmentation de la nutrition. 1ère réfection et mobilisation de sonde le 24.12.2018 à 15h00 au E3 (HFR Fribourg) (0263061043) (Transport à organiser). Suivi neurologique par le Dr. X (HFR Fribourg) le 15.03.2019 à 10h30. Proposition de répéter une recherche de sang occulte dans les selles à distance. Poursuite Olumniant suite : • Rx pied et main de suivi prévu pour le 18.02.19 en ambulatoire Poursuite oxygénothérapie, Spiriva et Seretide Suivi clinique Poursuite paracétamol Ad AINS Rinçages de nez Reconsulte demain si pas d'amélioration avec mauvaise prise hydrique Poursuite physiothérapie et ergothérapie, renforcement progressif. Incapacité de travail à 100% jusqu'à la fin février puis 50% pour le mois de mars et contrôle dans le courant du mois de mars. Poursuite physiothérapie et ergothérapie Epaississement des liquides Poursuite physiothérapie respiratoire Poursuite Prégomin Pepti avec ordonnance à long terme à faire par le pédiatre prescripteur. Consultation en diététique le 28.01 à 10h à l'HFR Poursuite rinçages de nez Dafalgan en réserve Reconsulter si apparition de difficultés respiratoires ou péjoration de l'état général Poursuite sevrage du Lacosamide 100 mg/semaine et arrêt le 24.12.2018 si bonne évolution clinique Suivi clinique Poursuite soins locaux par Béthadine onguent Poursuite substitution Calcimagon Ad Phosphate 500 mg par voie orale Ad Magnesiocard 10 mmol 1x/jour Contrôle électrolytique Poursuite thérapie de CPAP Poursuite traitement de fond Poursuite traitement habituel Poursuite traitement habituel GDS non réalisable en raison des barrières linguistiques Poursuite traitement par Metformin, et de Januvia 25 mg Suivi glycémie hospitalier Poursuite traitement symptomatique : Dafalgan + ad. Algifor si nécessaire ; rinçages de nez Contrôle clinique dans 24 h chez pédiatre (oreille D !) Poursuite traitement symptomatique aux posologies adaptées Poursuite Ulcar selon posologie prévue par pédiatre et suivi par pédiatre Poursuite ventolin aux 4 heures Betnesol jusqu'au 28.01 Contrôle chez pédiatre dans 24h Poursuite Xarelto Suivi clinique Poursuivre le suivi diabétologique. Poursuivre le traitement de Co-Amoxicilline pour 5 jours et contrôle clinique chez le médecin traitant le dernier jour d'antibiotique. Poursuivre le traitement de son médecin. Poursuivre Nexium Contrôle chez médecin traitant si pas d'amélioration la semaine prochaine Poursuivre Rabipur selon protocole Poursuivre traitement de son médecin avec Dafalgan et Brufen. Physiothérapie. CT en ambulatoire si pas d'amélioration ou troubles neurologiques. Poussée d'arthrose le 05.07.2015 : • cheville gauche, articulation talo-naviculaire Diagnostic différentiel : arthrite micro-cristaline Opération pour un kyste des seins et opération pour kyste ovarien Poussée d'arthrose du genou gauche le 02.01.2019. Poussée de glande mammaire droite dans le cadre d'une puberté +/- précoce. Poussée de goutte au niveau de la métacarpophalangienne de l'orteil gauche. Poussée de maladie de Crohn 04.01.2019. Poussée de Sclérose en plaques avec céphalées et vertiges le 04.01.19 • suivi par Dr. X Poussée eczéma Poussée sévère de sclérose en plaques récurrente-rémittente le 31.12.2018 DD : leucoencéphalopathie multifocale progressive • 1ère poussée en 2003 et deux poussées en 2009 • anticorps anti-JC virus positifs dans le sérum le 04.08.2014 avec index à 1.73 • sous Tecfidera depuis le 19.11.2018 • suivi par Dr. X au Neurocentre Fribourg Poursuite sévère de SEP récurrente-rémittente le 31.12.2018 • suivi par Dr. X au Neurocentre Fribourg • diagnostiquée en 2009, avec 1ère poussée en 2003 et deux poussées en 2009 • anticorps anti-JC virus positifs dans le sérum le 04.08.2014 avec index à 1.73 • sous Tecfidera depuis le 19.11.2018 Poxclin Dafalgan Reconsulter en cas de signes d'infection ou baisse d'état général Pradif Sonde urinaire dès le 01.01.19 Prasugrel pendant 1 année, Aspirine à vie Introduction BB le 14.01.2019 IEC à introduire après amélioration de la fonction rénale ETT le 16.01.2019 : akinésie de la paroi apicale étendue, de la paroi antérieure moyenne et de la paroi septale antérieure moyenne et une hypokinésie sévère du septum moyen et de la paroi latérale moyenne. FEVG à 42 %. Bourrelet septal sous-aortique avec obstruction dynamique sous-aortique au repos avec une majoration importante après manœuvres de Valsalva sans SAM (Gradient max de 20 mmHg à 60 mmHg après Valsalva). ETT de contrôle à prévoir dans 10 jours à Billens Réhabilitation cardiaque en stationnaire Billens (demande faite)Pré hosp • 200 mcg Fentanyl, 5 mg de Kétamine Urgences: Laboratoire ECG superposable Radiographie bassin + hanche droite: fracture per-trochantérienne non déplacée droite Avis orthopédique (Dr. X) Sonde urinaire Hospitalisation en orthopédie pour opération A jeun Pré rupture anevrysmale abdominale le 24/01/19 DD aortite Précarité sociale avec patient de nationalité française • sans domicile fixe Précédentes opérations : appendicectomie, amygdalectomie, arthroscopie de l'épaule droite en 2013 Pneumonie nosocomiale lobaire inférieure droite le 20.06.2018 Fracture des dents 43 et 44 : sur chute (08.08.2018) • pose de la prothèse complète inférieure le 08.08.2018 Cholangite le 12.07.2018 dans un contexte de cholédocho/cholecystolithiase récidivante avec : • status post cholécystite le 18.06.2018 avec hépatite infectieuse et médicamenteuse • ERCP le 13.07.2018 : Cholédocholithiase, cholecystolithiase, papillotomie et extraction de plusieurs petits concréments • cholecystectomie par laparoscopie avec cholangiographie per-opératoire le 10.08.2018 Hépatite médicamenteuse et avec composante infectieuse (cholécystite) en juin 2018 • sérologies hépatites le 21.06.2018 -- HAV IgG PO, IgM nég -- HBV négatif -- HCV négatif -- HEV IgG positif, IgM nég • bilan hépatopathies auto-immunes le 21.06.2018 : DOT hépatique négatif • recherche echinococcose : négative • bilan auto-immunité : ANA négatif et IgG4 dans la norme • consilium hépatologie (Dr. X) : probable hépatite infectieuse et médicamenteuse, pas d'indication à une ponction hépatique, recherche hépatite auto-immune et suivi biologique. Compléter par Endo US en cas de persistance des perturbations • biopsie hépatique le 10.08.2018 : hépatopathie stéatosique Syndrome inflammatoire avec montée des transaminases et cholestase DD passage d'un calcul dans le cholédoque Précordialgies récidivantes • Bilan d'angor réalisé à l'HFR en décembre 2016 avec ETT : VG non dilaté avec FEVG 60%, absence de pathologies valvulaires, oreillettes non dilatées, absence d'épanchement péricardique S/p Hernie discale avec Microdiscectomie L4-L5 à gauche en 12/2009 S/p Ulcère bulbaire avec présence d'hélicobacter en 02/1999 S/p Luxation acromio-claviculaire avec fracture distale de la clavicule en 04/1997 S/p Distorsion cervicale avec TCC et contusion abdominale en 05/1995 S/p Hernie discale avec rente AI à 50% en 05/1993 Pré-diabète Pré-diabète le 16.12.2018 avec : • HbA1c à 6.2%. Prednisone 15 mg 1-0-0 Budenofalk 1-0-0 Prednisone 50 mg per os. Attitude : • Retour à domicile avec anti-histaminique par Xyzal 4 mg 1x/j pendant 3 jours. • Retour aux urgences en cas de récidive des symptômes et/ou dyspnée. Prednisone 50 mg 1x/j jusqu'au 23.01.2019 y compris. Xyzal en réserve en cas de démangeaison. La patiente doit trouver un allergologue au Valais. Intervention ajournée au 01.02.2019. Prednisone 50 mg surveillance à domicile air frais Prednisone 70 mg 1x/jour Contrôle Neurologue traitant Dr. X, Neurozentrum Bern Pré-éclampsie. Pré-éclampsie sévère en post-partum Pré-engelures Prégabaline Pregabaline 50 mg 2x/j depuis le 03.12.2018 Pregabaline 50 mg 2x/j depuis le 03.12.2018 Prégabaline RX colonne lombaire Physiothérapie Prégomin AS depuis 1.5 semaine Bulboïd en réserve Gatinar dès le 24.01 Pregomin pepti avec un minimum d'apport de 100 ml/kg/jour soit 500 ml Contrôle chez pédiatre le 10.01. Pré-hospitalier : • TAS à >200 mmHg nécessitant du Labetalol • Charge en morphine et Aspégic • EGC sans signe d'ischémie aiguë Service des urgences : • Laboratoire • ECG Surveillance clinique Physiothérapie avec bilan de chute Réadaptation gériatrique à Riaz prévue pour la suite Prélèvement expectorations pour analyse. Arrêt de travail. Patient parti sans consultation médicale. Prélèvement sec de lésion - à pister pour le mycose Prélèvement selles avec recherche de Clostridium difficile le 25.01.2019 Pister les résultats Prélèvements fécaux : Clostridium difficile le 30.01.2018 négatif Régulateurs du transit Probiotiques Prématuré à 33 6/7 SA Hypotension artérielle (tension artérielle moyenne minimale à 29 mmHg) Hypoglycémie asymptomatique du nouveau-né à 2.4 mmol/l Hyperbilirubinémie à 224 umol/L avec 24h de photothérapie Prématuré de 28 3/7, PN 1200 (P 50-90), TN 39 cm (P 50-90), PC 28 cm (P 95-90) Maladie des membranes hyalines Prématuré de 28 3/7, PN 1280 (P50-P90), TN 39.5 cm (P50-P90), PC 27 cm (P50-P90) Maladie des membranes hyalines Suspicion d'infection néonatale à J29 (pneumonie deux plages pulmonaires ddc, DD: broncho-aspiration) S/p 1-2 bronchites, prématuré de 28 SA (frère gémellaire) Prématuré de 28 6/7 SG, PN 1050 gr (P10-50) IVRS à RSV positif le 16.03.11 Prématuré de 31 semaines, bonne évolution bonne santé habituelle, pas de traitement habituel Prématuré de 31 SG, né à Berne, SDR, intubation S/p Adéno-amygdalectomie, 01.2010 S/p Hospitalisation pour phlegmon cervical, 2009 S/p Env. 5-6 bronchites spastiques par année S/p Plaie superficielle circulaire 2 cm en regard épitrochlée coude D S/p Contusion coude D S/p IVRS avec péjoration d'asthme allergique 06.2015 S/p Bronchopneumonie atypique vs bactérienne Prématuré de 35 0/7 SG, PN 2015 g (

PRES avec hémorragie sous-arachnoïdienne le 07.06.2018 (InselSpital) • clinique : céphalée importante, trouble de l'état de conscience transitoire, trouble visuel • CT cérébral le 07.06.2018 : HSA pariéto-occipital droit, sans argument pour une origine vasculaire • IRM neurocrâne le 08.06.2019 : PRES, sans argument pour une ischémie • angiographie diagnostique le 08.06.2018 : pas de source de saignement ou sténose • Néphrolithiases bilatérales en 2015, avec : • pose d'une sonde double J le 10.10.2015 • ablation de la sonde double J à la consultation du Dr. X le 15.10.2015. • Zona du flanc gauche en 2017 • Cécité oculaire oeil droit connue depuis l'enfance. • Presbyacousie appareillée • Syndrome des apnées du sommeil non appareillé • Hyperuricémie • Chondrocalcinose polyarticulaire • Daltonisme • BPCO non stadée sur ancien tabagisme avec syndrome d'obésité-hypoventilation • Presbyacousie • Adénocarcinome de haut grade du côlon ascendant/caecum connu depuis juillet 2018 (refus de prise en charge oncologique par la patiente) • Démence • MMS le 24.07.2018 : 22/30 points, test de la montre 0/7 points • Sténose aortique serrée • Dénutrition +++ • Presbyacousie • Troubles de la vue : • Cataracte des deux côtés, opérée en 2006 à droite avec mauvais résultats • Réopération à droite et opération à gauche prévues • FA connue, sous Xarelto • Troubles du sommeil chroniques • traité par Valériane • Troubles cognitifs débutants • Anamnestiquement baisse de la mémoire à court terme, manque du mot récemment • MMS 24/30, test de l'horloge 0/6, GDS 1/15 le 25.01.2018 • Ostéoporose documentée depuis 2004, dernière densitométrie 2011 ; anciennes radios lombaires montrent déjà listhésis important au niveau L5/S1 avec L5 fortement comprimé (tél. Dr. X 25.01.2018) : traitement de Calcimagon D3 et substitution à la sortie par Calcipos D3. Antalgie par Palexia. • Presbyacousie • Troubles de la vue : • Cataracte des deux côtés, opérée en 2006 à droite avec mauvais résultats • Réopération à droite et opération à gauche prévues • Troubles du sommeil chroniques • traité par Valériane • Troubles cognitifs débutants • Anamnestiquement baisse de la mémoire à court terme, manque du mot récemment • MMS 24/30, test de l'horloge 0/6, GDS 1/15 le 25.01.2018 • MMS 24/30, test de l'horloge 1/6, GDS 4/15 le 28.12.2018 • Prescription de nouvelles séances de physiothérapie avec mobilisation en charge progressive jusqu'au sevrage des cannes, libération des amplitudes articulaires. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'au 28.02.2019. La patiente sera revue dans 6 semaines pour un contrôle radio-clinique. • Prescription de physiothérapie avec TENS pour minimum 9 séances. Nous conseillons également à la patiente de reprendre une activité physique afin de prévenir une récidive et d'améliorer sa condition générale. Au vu de l'absence de douleur et de trouble neurologique, nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle d'office. • Prescription de physiothérapie et d'ergothérapie afin de travailler au maximum les amplitudes. Reprise progressive du sport en évitant les sports de balle utilisant les mains (basket, handball, volley...) jusqu'au prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. • Prescription d'une genouillère. Retour à domicile, réassurance, antalgie et anti-inflammatoire. Conseil de réévaluer à J7 chez son médecin de famille, plus/moins réalisation d'une IRM du genou gauche en ambulatoire à la recherche d'une lésion méniscale et/ou ligamentaire. • Prescription d'une semelle compensatrice à droite de 3 mm. Prochain contrôle radio-clinique dans 4 ans. Nous restons à disposition dans l'intervalle si besoin. • Présence d'anticorps antiphospholipides le 06.04.2017 avec : • Anticoagulant lupique positif (persistant en 12.2017), avec anticorps anti-cardiolipines et anticorps anti-bêta-2-GP1 négatifs • Pré-éclampsie à 34 6/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente de 28 ans, 2G0P le 18.10.2017 • Status après fausse-couche précoce en 2016 • Tuberculose latente, traitée par rifampicine (12.2018) • Obésité de classe 1 selon OMS (BMI à 33,6 kg/m2) • Syndrome des ovaires polykystiques • Présence d'un léger flexum de la phalange distale du 3ème doigt ainsi qu'au niveau de l'index, mais qui ne gêne pas le patient dans ses activités de la vie quotidienne. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. • Présence que sur le visage, pas d'élément pour une varicelle. Par contre, ne pas mettre la soeur en contact avec le nourrisson et reconsulter si péjoration, apparition de boutons de varicelle (la maman ne sait pas si elle est vaccinée ou non) ou état fébrile. • Présentation au Tumorboard le 30.01.2019. Le patient sera reconvoqué par le Dr. X pour la suite de la prise en charge oncologique. • Pression intra-oculaire élevée sous Xalatan et Arteoptic. • Pression retro-sternale. • Pré-travail persistant. • Prévention du bébé secoué. • Prévoir colonoscopie en ambulatoire avec MT. • Prévoir colonoscopie selon le projet de la patiente. • Prévoir CT de contrôle avec les oncologues (le dernier rendez-vous la semaine du 07.01.2019 a été annulé par la patiente). • Prévoir dépistage en réhabilitation. • Prévoir des fonctions pulmonaires à distance de l'épisode aigu. • Prévoir des fonctions pulmonaires à distance de l'épisode aigu. • Prévoir des fonctions pulmonaires à distance de l'épisode aigu chez pneumologue. • Prévoir injection de biphosphonate (Aclasta) dès l'arrivée en neuroréhabilitation. Troponines à la baisse : prévoir contrôle biologique. Suivre schéma dégressif de prednisone. À noter que le patient a un souci de compliance personnel et familial. • Prévoir rappel en ambulatoire. • Prévoir réseau avec femme +/- SAD. • Prévoir suivi diététique pour la réalimentation. • Prévoir un rendez-vous rapproché chez sa psychologue. • Prévoir une caractérisation par CT ou IRM en ambulatoire. • Prévoir une IRM pelvienne. Abstention thérapeutique selon le désir de la patiente. • Prévoir une ostéodensitométrie en ambulatoire. Nous vous proposons d'instaurer un traitement de Prolia pour le traitement de l'ostéoporose. Surveillance régulière de la fonction rénale et adaptation de l'antalgie. • Prévoir US abdominal. Discuter ponction ascite diagnostique après réversion de la crase (péritonite bactérienne spontanée?). • Primo-infection EBV le 17.01.2019. • Primoinfection herpétique. • Primpéran aux urgences. • Primpéran. Conseils sur l’alimentation prodigués au patient. • Primpéran Laboratoire Recherche de clostridium : négative. • Priorix à 6 semaines du post-partum. • Prise au biberon aux urgences : prise de 30 puis 60 ml en 1 h (soit quantités habituelles). Parents extrêmement inquiets, habitant Bulle avec deux autres enfants, demandeurs d'une hospitalisation. • Prise d'IPP dans le passé par le patient, non supportés. (Anamnèse peu claire). Traitement en réserve par teinture Iberogast. Proposition de consultation chez le médecin traitant afin d'adapter le traitement pour les épigastralgies et reflux. Conseils de soutien psychologique pour les sentiments d'angoisse, de stress et les provocations de vomissements. • Prise de Mifegyne le 24.11.2018 non suivie par prise de Cytotec.Cytotec 4 comprimés le 01.01.2019 Curetage évacuateur le 01.01.2019 Céfuroxime 1.5g Syntocinon 10U/2h en post opératoire Contraception future: à discuter Prise de poids de 2 kg avec œdèmes des membres inférieurs DD : rétention hydro-sodée sur corticothérapie, insuffisance cardiaque Prise de poids d'environ 10 kg en 6-9 mois : • contexte de prise de Cipralex pendant 1 an, stoppé il y a 2 semaines • pas de signe de décompensation cardiaque ou surcharge liquidienne Prise de poids et dyspnée Prise de rendez-vous chez médecin traitant. Bactériologie selles. Prise de rendez-vous en ORL le 23.01.2019 à 9h15. prise de sang ci-jointes US cuisse droite en externe le 4/12 (pas de place à l'HFR compatible avec son emploi du temps) prise de sang ci-jointe US abdominale le 28/12/2018 ci-joint Prise de sang de la collaboratrice et du patient prélevées, elles seront envoyées à Fribourg demain. Formulaire rempli avec l'infirmière et le patient. Patient reconvoqué à la filière des urgences ambulatoires le 08.01.2019 à 14h00. Prise de sang et radiographie à l'HFR Billens le lundi 21.01.2019 • organisation en ambulatoire de la pose d'un PleurX selon résultats par nos soins (respectivement soins palliatifs spécialisés) Reprise de l'immunothérapie prévue le 23.01.2019 (à reconfirmer selon prise de sang du lundi 21.01.2019) • le patient sera directement contacté par le service d'oncologie Prise de sang sous US. Prise de ventolin 6 push. Ré auscultation: augmentation de l'entrée d'air à gauche, disparition du souffle tubaire, avec diminution du tirage et amélioration du débit de parole. Prise du traitement du matin habituel du patient à 09h00. Amlodipine 5 mg en ordre unique. Suivi par son médecin traitant +/- adaptation du traitement anti-hypertenseur. Prise en charge à visée procinétique et essai de nutrition du 17.12.2018 au 28.12.2018 avec : Hydratation IV 1500 ml / 24h du 17 au 21.12.2018 Pantoprazol IV Motilium PO Primperan IV Creon PO du 19.12.2018 au 28.12.2018 SNG à 4 reprises (échec avec vomissement) Mise en place de sonde naso-jéjunale à 4 reprises par endoscopie (échec avec vomissement) Prise en charge type iléus réfractaire dès le 28.12.2018 : Dexaméthasone du 28.12.2018 au 01.01.2019 Sandostatine du 28.12.2018 au 01.01.2019 (stoppé en raison d'une possible intolérance) Ondansetron dès le 28.12.2018 Primpéran dès le 28.12.2018 Haldol dès le 28.12.2018 Pose PEG de décharge et prolongation jéjunale pour éventuelle alimentation le 23.01.2019 Traitement symptomatique palliatif avec meilleur contrôle des douleurs et des vomissements Poursuite de la prise en charge palliative à la villa Saint-François Prise en charge conservatrice Prise en charge diététique Prise en charge en antalgie (merci de convoquer le patient) Prochain contrôle le 14.03.2019 Prise en charge initiale aux urgences de l'hôpital de Neuchâtel avec CT-scan cérébral le 13.01.2019 Prise en charge neurologique complexe en Stroke Unit monitorée HFR-Fribourg du 13 au 15.01.2019 IRM neurocrâne le 14.01.2019 Bilan lipidique et glycémique dans la norme Aspirine dès le 13.01.2019 (sans charge) Clopidogrel dès le 13.01.2019 (sans charge) Prise en charge initiale aux urgences de l'Hôpital intercantonal de la Broye, Payerne Protocole de N-acétyl-cystéine du 10.01.2019 au 11.01.2019 Consilium de psychiatrie le 11.01.2019 (Dr. X) : probable trouble de personnalité borderline avec risque suicidaire faible. Pas d'indication à une hospitalisation en milieu psychiatrique. Proposition d'un suivi psychiatrique ambulatoire. Prise en charge interdisciplinaire Prise en charge logopédique Rendez-vous : • Consultation neurovasculaire de contrôle le 03.01.2019 à 14h30 Prise en charge multidisciplinaire Alimentation plaisir, soins de bouche Arrêt progressif de la corticothérapie Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 04.01 au 08.01.2019, puis non monitoré du 08.01 jusqu'au 18.01.2019, date de son transfert dans le service de médecine interne à Meyriez. Angio-CT cérébral le 04.01.2019. CT cérébral natif le 05.01.2019. Bilan neuropsychologique du 14.01.2019 Arrêt de l'anticoagulation orale. Traitement anti-hypertenseur. Neuroréhabilitation suite à la stabilisation de la situation aiguë. Discuter fermeture de l'auricule à 6 semaines de l'AVC hémorragique. Consultation neurovasculaire de contrôle le 10.04.2019 à 14h30. Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 04.01.2019 au 05.01.2019, puis non monitoré du 05.01.2019 jusqu'au 10.01.2019, date de son retour à domicile. Laboratoire : cholestérol total 4.5 mmol/l, LDL cholestérol 3.24 mmol/l, HbA1c 5.5 % Angio-CT cérébro-cervical le 04.01.2019. IRM cérébrale le 04.01.2019. Echographie cardiaque transthoracique le 07.01.2019. Holter de 72h le 08.01.2019. Examen neurosonologique le 07.01.2019. Bilan neuropsychologique du 07.01.2019. Sous Eliquis 2.5 mg 2x/j Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 07.01 au 09.01.2019, puis non monitoré du 09.01.2019 jusqu'au 24.01.2019, date de son transfert en neuroréhabilitation intensive à Meyriez. Laboratoire : cholestérol total 3.8 mmol/l, LDL cholestérol 2.43 mmol/l, HbA1c 5.1% Angio-CT cérébral le 07.01.2019 IRM cérébrale le 07.01.2019 CT cérébral natif le 08.01.2019 Echographie cardiaque transthoracique le 08.01.2019 Echographie cardiaque transoesophagienne le 10.01.2019 Holter de 72h le 18.01.2019 Bilan neuropsychologique du 09.01.2019 Aspirine cardio 100 mg/j dès le 10.01.2019, puis anticoagulation par Eliquis 5 mg 2x/j dès le 19.12.2019, à prendre au long cours. Introduction d'Atorvastatine 40 mg/j La capacité à la conduite sera évaluée à la sortie du séjour de neuroréhabilitation. Consultation neurovasculaire de contrôle le 25.04.2019 à 14h30 Recommandation d'organiser un contrôle ophtalmologique avec champs visuels. Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 11.01.2019 au 12.01.2019, puis non monitoré du 12.01.2019 jusqu'au 19.01.2019 Laboratoire : cholestérol total 3.9 mmol/l, LDL cholestérol 2.27 mmol/l Angio-CT cérébral avec les vaisseaux précérébraux le 11.01.2019 IRM cérébrale le 14.01.2019 Echographie cardiaque transthoracique le 14.01.2019 Bilan neuropsychologique du 14.01.2019 Consultation ophtalmologique du 17.01.2019 Anticoagulation par Xarelto 15 mg/jour dès le 12.01.2019 Champ visuel automatisé à prévoir dans 9 mois chez Dr. X Consultation neurovasculaire de contrôle le 24.04.2019 à 14h30 (HFR Fribourg) Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 14.01 au 15.01.2019, puis non monitoré du 15.01 jusqu'au 18.01.2019, date de son transfert en Frailty care. Laboratoire : cholestérol total 2.9 mmol/l, LDL cholestérol 1.02 mmol/l, HbA1c 6.6 % Test de déglutition le 15.01.2019 IRM cérébrale le 14.01.2019 Echographie cardiaque transthoracique le 16.01.2019 Examen neurosonologique le 18.01.2019 Poursuite de la double antiagrégation et traitement hypolipémiant à haute dose Consultation neurovasculaire de contrôle le 26.04.2019 à 15h15 (Dr. X) Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 14.01.2019 au 15.01.2019, puis non monitoré du 15.01.2019 jusqu'au 18.01.2019, date de son transfert en Frailty care. • IRM cérébrale le 14.01.2019 • Echographie cardiaque transthoracique le 16.01.2019 • Test de déglutition le 15.01.2019 • Duplex transcrânien et des vaisseaux précérébraux le 18.01.2019 • Physiothérapie et ergothérapie • Consultation neurovasculaire de contrôle le 26.04.2019 à 15h15 (Dr. X) Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 16.01.2019 au 17.01.2019, puis non monitoré du 17.01.2019 jusqu'au 22.01.2019 • Laboratoire : cholestérol total 4.8 mmol/l, LDL cholestérol 2.25 mmol/l, HbA1c 6.1 % • Dose de charge en Aspirine cardio 250 mg iv puis 100 mg/jour • Test de déglutition le 17.01.2019 • Angio-CT cérébral le 16.01.2019 • IRM cérébrale le 17.01.2019 • Echographie cardiaque transthoracique le 16.01.2019 • Bilan neuropsychologique du 21.01.2019 • Pas de conduite pendant 3 mois • Consultation neurovasculaire de contrôle le 24.04.2019 (14h30, HFR) Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 17.01.2019 au 19.01.2019, puis non monitoré du 19.01.2019 jusqu'au 23.01.2019, date de son transfert en gériatrie aiguë à Meyriez • Laboratoire : cholestérol total 3.9 mmol/l, LDL cholestérol 1.9 mmol/l, HbA1c 6.4 % • Angio-CT cérébral le 17.01.2019 • IRM cérébrale le 18.01.2019 • Echographie cardiaque transthoracique le 21.01.2019 • Bilan neuropsychologique du 22.01.2019 • Introduction Xarelto 20 mg 1x/jour à poursuivre au long cours. (CHADS2-VASC 6 points, HAS-BLED 4 points) • Poursuite Atorvastatine 40 mg/jour • Consultation neurovasculaire de contrôle le 18.04.2019 à 14h30 • Inclusion dans l'étude ELAN pour introduction anticoagulation thérapeutique pour la fibrillation auriculaire Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 20.01 au 21.01.2019, puis non monitoré du 21.01 jusqu'au 28.01.2019, date de son transfert en neuroréhabilitation intensive à Meyriez. • Laboratoire du 21.01.2019 : cholestérol total 2.5 mmol/l, LDL cholestérol 1.32 mmol/l, HbA1c 5.5% • Angio-CT cérébral le 20.01.2019. • CT cérébral natif le 24.01.2019. • CT thoraco-abdominal injecté le 25.01.2019. • Echographie cardiaque transthoracique le 21.01.2019. • Interrogation du pacemaker le 22.01.2019. • Bilan neuropsychologique du 25.01.2019. • Dose de charge en Aspirine cardio 250 mg iv puis Plavix 75 mg/j. Puis introduction d'Eliquis 2 x 5 mg à prendre au long cours. • Poursuite Atorvastatine 80 mg/j. • Pas de conduite jusqu'à bilan de suivi neuropsychologique à 3 mois. • Consultation neurovasculaire de contrôle le 23.05.2019 à 14h30. Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 23.12.2018 au 24.12.2018, puis non monitoré du 24.12.2018 jusqu'au 28.12.2018 • Angio-CT cérébral le 23.12.2018. • IRM cérébrale le 24.12.2018. • Echographie cardiaque transthoracique le 24.12.2018 • Bilan neuropsychologique du 03.01.2019 • Avis neuro radiologie Inselspital le 23.12.2018 : Pas d'intervention endovasculaire indiquée. • Atorvastatine 40 mg/j • Eliquis 2.5 mg 2x/j dès le 04.01.2019 • Transfert à UATO puis probable placement Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 26.12.2018 au 27.12.2018, puis non monitoré du 27.12.2018 jusqu'au 04.01.2019, date de son retour à domicile • Laboratoire : cholestérol total 6.4 mmol/l, LDL cholestérol 4.05 mmol/l, HbA1c 5.9 % • Angio-CT cérébral le 26.12.2018 • IRM cérébrale le 27.12.2018 • Echographie cardiaque transthoracique le 27.12.2018 • Bilan neuropsychologique le 28.12.2018 • Mise en suspend du Sintrom avec relai de Clexane thérapeutique initiale avec reprise du Sintrom le 27.12.2018 • Introduction d'Atorvastatine 40 mg/j • Pas de conduite pendant 15 jours • Consultation neurovasculaire de contrôle le 09.03.2019 à 15h15 Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 27.12 au 29.12.2018, puis non monitoré du 29.12.2018 au 11.01.2019, date de son transfert en neuroréhabilitation intensive à Meyriez. • Laboratoire du 28.12.2018 : cholestérol total 7.1 mmol/l, LDL cholestérol 5.77 mmol/l, HbA1c 12.6% • Bilan thrombophilique le 03.01.2019 : Lupus anticoagulant positif. Anti-cardiolipines IgG et IgM négatif. Anti-Beta 2 glycoprotéine négatif. • Angio-CT cérébral le 27.12.2018. • IRM cérébrale les 28.12.2018 et 31.12.2018. • Echo-Doppler précérébral et trans-crânien le 28.12.2018. • Echographie cardiaque transthoracique le 28.12.2018. • Holter de 72 heures posé le 03.01.2019. • Bilan neuropsychologique le 03.01.2019. • Dose de charge en Aspirine cardio 250 mg iv puis Plavix 75 mg/j au long cours. • Conduite d'automobile sera réévaluée durant le séjour en neuroréhabilitation. • Consultation neurovasculaire de contrôle le 20.03.2019 à 16h avec examen neurosonologique. • Recommandation de contrôle du lupus anticoagulant à 12 semaines. Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 29.12 au 30.12.2018 , puis non monitoré du 30 jusqu'au 01.01.2019, date de son retour à domicile • Laboratoire : cholestérol total 5.6 mmol/l, LDL cholestérol 3.83 mmol/l, HbA1c 6.5 % • Dose de charge en Aspirine cardio 250 mg iv le 29.12.2018 • Plavix 75 mg/j dès le 31.12.2018 • Angio-CT cérébral le 29.12.2018 • IRM cérébrale le 31.12.2018 • Echographie cardiaque transthoracique le 31.12.2018 • Holter de 72 heures à effectuer en ambulatoire • Tests neuropsychologiques le 01.01.2019 : MMSE à 28/30 Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 31.12.2018 au 01.01.2019, puis non monitoré du 01.01.2018 jusqu'au 04.01.2019 • Angio-CT cérébral le 31.12.2018 • IRM cérébrale contre-indiquée (neurostimulateur médullaire non actif posé en 1996) • Consilium ORL le 01.01.2019 • Echographie cardiaque transthoracique le 03.01.2018 • Holter de 72 heures à effectuer en ambulatoire • Marcoumar stoppé le 31.12.2018 • Lixiana 60 mg 1x/j dès INR < 2.5 • Pas de conduite automobile pendant 2 semaines • Rendez-vous de suivi à la consultation de Dr. X le lundi 07.01.2019 à 09h30 à Meyriez avec prise de sang à 8h30 pour contrôle de l'INR Prise en charge neurologique complexe en lit non monitoré en Stroke Unit du 15.12.2018 au 20.12.2018 • Transfert en gériatrie aiguë à l'HFR Riaz le 20.12.2018 (lettre n°1) • Laboratoire • Angio-CT cérébral le 12.12.2018 • IRM cérébrale le 12.12.2018 (Inselspital) • Angiographie cérébrale avec thrombectomie mécanique le 12.12.2018 (Inselspital) • Echographie cardiaque transthoracique le 12.12.2018 (Inselspital) • Lyse intraveineuse le 12.12.2018 • Bilan neuropsychologique le 19.12.2018 • Ad Atorvastatine 40 mg/j dès le 12.12.2018 • Consultation neurovasculaire de contrôle le 25.03.2019 à 16h00 à l'HFR Fribourg Prise en charge neurologique complexe en lit non monitoré en Stroke Unit du 20.01.2019 au 23.01.2019, date de son retour à domicile • Laboratoire : cholestérol total 4.61 mmol/l, LDL cholestérol 3.32 mmol/l, HbA1c 5.1 % • Angio-CT cérébral le 18.01.2019 • IRM cérébrale le 19.01.2019 (Inselspital)Echographie cardiaque transthoracique le 21.01.2019 Holter de 24h le 21.01.2019 Examen neurosonologique le 21.01.2019 Bilan neuropsychologique du 22.01.2019 Poursuite double antiagrégation instaurée à l'Inselspital. Aspirine 100 mg et Plavix 75 mg durant 3 mois, puis Plavix seul au long cours. Poursuite Atorvastatine 80 mg/jour Pas de conduite pendant 15 jours Consultation neurovasculaire de contrôle le 16.05.2019 à 14h30 Prise en charge neurologique complexe en lit non monitoré en Stroke Unit du 21.12.2018 au 09.01.2019, date de son transfert en neuroréhabilitation à l'HFR Meyriez Laboratoire : cholestérol total 6.2 mmol/l, LDL cholestérol 5.01 mmol/l, HbA1c 6.6 % Angio-CT cérébral le 21.12.2018 IRM cérébrale le 24.12.2018 Echographie cardiaque transthoracique le 24.12.2018 Holter de 72 heures posé le 27.12.2018 Bilan neuropsychologique du 27.12.2018 Dose de charge en Aspirine cardio 250 mg iv puis double anti-agrégation par Aspirine Cardio 100 mg/j et Plavix 75 mg/j pour 1 mois puis Plavix seul Introduction d'Atorvastatine 60 mg/j pour 1 mois puis 40 mg au long cours Conduite contre-indiquée pour une durée à définir à la sortie de la neuroréhabilitation Consultation neurovasculaire de contrôle le 11.04.2019 à 14h30 Prise en charge neurologique complexe en lit non monitoré en Stroke Unit du 04.01.2019 au 11.01.2019, date de son transfert au CTR d'Estavayer Laboratoire : LDL cholestérol 3.6 mmol/l, HbA1c dans la norme Angio-IRM cérébrale le 01.01.2019 Angio-CT cérébral le 02.01.2019 Angio-IRM cérébrale le 09.01.2019 Echographie cardiaque transthoracique le 08.01.2019 Holter de 24h le 09.01.2019 US doppler carotido-vertébral le 11.01.2019 Bilan neuropsychologique Aspirine cardio 100 mg/jour et Plavix 75 mg/jour pendant 15 jours puis Plavix seul au long cours Introduction d'Atorvastatine 40 mg/jour Consultation neurovasculaire de contrôle le 08.04.2019 à 14h30 Prise en charge neurologique complexe en Stroke unit monitorée du 14 au 15.01.2019 (Dr. X) IRM cérébrale le 14.01.2019 Prise en charge neurologique complexe en Stroke unit monitorée du 17 au 19.01.2019 (Dr. X) CT cérébral le 18.01.2019 IRM cérébrale le 18.01.2019 Inclusion dans l'étude ELAN pour introduction anticoagulation thérapeutique pour la fibrillation auriculaire • Stop Plavix dès le 19.01.2019 • Introduction Xarelto 20 mg 1x/jour dès le 19.01.2019 Prise en charge neurologique complexe en Stroke unit monitorée du 26 au 28.01.2019 (Dr. X) Angio-CT cérébral avec vaisseaux précérébraux le 26.01.2019 Clopidogrel du 27.01 au 28.01.2019, puis aspirine Anticoagulation prophylactique Noradrénaline le 27.01.2019 Prise en charge neurologique complexe en Stroke unit monitorée du 27 au 28.01.2019 (Dr. X et Dr. X) • Pas d'indication retenue à une thrombolyse/thrombectomie • Plavix au long cours • Statine CT-scan cérébral le 27.10.2019 IRM cérébrale le 28.01.2019 Prise en charge neurologique complexe en Stroke unit monitorée du 28 au 29.01.2019 (Dr. X) • Remplacement de l'Aspirine par Clopidogrel le 28.01.2019 • Statines double dose Angio-CT cérébral le 28.01.2019 Prise en charge neurologique complexe en Stroke unit monitorée du 28 au 29.01.2019 puis non monitoré du 29.01.2019 au 31.01.2019 Bilan biologique : cholestérol total : 5.2 mmol/l, LDL-cholestérol : 3.4 mmol/l, HbA1c 5.6 % Remplacement de l'Aspirine cardio par Xarelto 20 mg 1x/j dès le 30.01.2019 Remplacement de la Pravastatine 20 mg par Atorvastatine 40 mg Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 28.01.2019 Echographie cardiaque transthoracique le 30.01.2019 Consultation neurovasculaire de contrôle le 10.05.2019 à 14h30 Prise en charge neurologique complexe en Stroke Unit monitorisée du 10.01 au 11.01.2019 IRM neurocrâne/carotides le 10.01.2019 : subocclusion carotidienne interne gauche (90%) Angio-CT vaisseaux pré-cérébraux le 11.01.2019 Électroencéphalogramme le 11.01.2019 Echocardiographie transthoracique le 11.01.2019 ECG-Holter (demande DPI faite) Test de déglutition normal Avis chirurgie vasculaire (Dr. X, Dr. X) Consilium neurologie (Dr. X) Clopidogrel 75 mg/j dès le 11.01.2019 (avec charge de 300 mg le 10.01.2019) Poursuite Aspirine 100 mg/j Poursuite Pravastatine 20 mg/j Prise en charge neurologique complexe en Stroke-Unit monitorée du 18 au 19.01.2019 (Dr. X) CT-cérébral les 18 et 19.01.2019 Thrombolyse iv par rTPa le 18.01.2019 Clopidogrel et Clexane prophylactique dès le 19.01.2019 Prise en charge nutritionnelle Prise en charge nutritionnelle Substitution Contrôle labo Prise en charge oncologique Suivi clinique et biologique Prise en charge opératoire. Prise en charge palliative Prise en charge palliative Prise en charge palliative complexe Prise en charge palliative complexe Prise en charge palliative complexe Prise en charge palliative complexe Prise en charge palliative complexe Prise en charge palliative complexe Prise en charge palliative complexe Prise en charge palliative complexe Prise en charge palliative complexe Prise en charge palliative complexe Prise en charge palliative complexe Prise en charge palliative complexe Prise en charge palliative complexe avec physio- et ergothérapie, art-thérapie, psycho-oncologie, suivi pastoral, service de liaison, colloque multidisciplinaire hebdomadaire. Facteur de performance le 10.10.18 : ECOG 1, PPSV2 70%, NRS 3/7, MIF 99, ESAS le 10.10.18 SENS le 10.10.18 Chimiothérapie le 17.10.2018 et le 1.11.2018 au HFR Meyriez • Suivi Hb (perte de sang frais dans les selles) : pour l'instant stable, labo aux 2 semaines, sous maltofer Prise en charge palliative complexe Administration de Zometa 4 mg le 06.12.2018 et 03.01.2019 (1x par mois), prochaine dose le 04.02.2019 Consultation oncologique hospitalière par le Dr. X les 03.12.2018 et 14.12.2018 : pas de chimiothérapie envisageable au vu du contexte global Avis radio-oncologique (Dr. X) : pas de radiothérapie au niveau L2-L4 envisageable au vu du risque d'effets indésirables Prise en charge palliative complexe Arrêt de l'immunothérapie vu ECOG à 4 et désir du patient Sevrage progressif de la Dexaméthasone Simplification du traitement cardiaque pour privilégier le confort Prise en charge palliative complexe Bilan biologique le 07.01.2019 Zometa 4 mg le 06.01.2019 - Chimiothérapie - Imnovid 4 mg 1x/j, cycle débuté le 26.12.2018 (durée 21 jours, puis une semaine de pause) Dexaméthasone 8 mg 1x/semaine, le jeudi Prise en charge palliative complexe Chimiothérapie administrée au Cantonal (C1) : Gemzar J1, J8 les 14 et 21.12.2018 Prise en charge palliative complexe Décision prise et confirmée lors des colloques familiaux selon souhait de Mr. Y : • Pas de nouvelle hospitalisation, pas de nouvelle intervention, bilan d'extension avec OGD prévu à l'Inselspital annulé Prise en charge palliative complexe Intervention chirurgicale : transversostomie de décharge le 13.12.2018 (opérateur Dr. X) Prise en charge palliative complexe Rendez-vous chez Dr. X sera pris par Mme. Y après le retour à domicile Prise en charge palliative complexe Suivi en ambulatoire à la consultation du Dr. X le 29.01.2019 Questionnement existentiel face à une maladie en progression Transfert à la Villa St-François pour suite de prise en charge Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant xx jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée de Dr. X, spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017) | hypnose médicale | médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté.Prise en charge par coronarographie de suite. Prise en charge par l'ORL de garde (Dr. X). Prise en charge pluridisciplinaire • Adaptation traitement psychotrope • Sédation palliative par Midazolam en pompe à partir du 21.01.2019 • Patch de scopolamine dès le 23.01.2019 Prise en charge pour une évaluation gériatrique multidisciplinaire et pour un traitement physio et ergothérapie Prise de graisse abdominale et Lipofilling et injection de graisse autologue rétropharyngé 2015 Prise médicamenteuse non prescrite à but non suicidaire dans un contexte de crise d'angoisse le 19.01.2019 Prise régulière (le week-end) d'alcool en grande quantité. Consommation de cocaïne à but récréatif (dernière consommation le 1.1.2018). Prise volontaire de 2 cp de somnifère en juillet 2018 Privilégier alimentation tiède et non acide Poursuite antalgie par paracétamol et anesthésiant local pro BNP le 11.01.19: 1107 ng/l, Troponine T: 18 ng/l Probable pancréatite aiguë Probable accident ischémique transitoire avec dysarthrie : • Antécédent d'accident vasculaire cérébral ischémique cérébelleux droit dans le territoire de la PICA (suspicion d'origine cardio-embolie), le 12.05.2015. Probable accident ischémique transitoire cérébelleux en 2008. Hypothermie légère à 34,1°C en 2008. Fracture spiroïde tiers moyen humérus D Fracture ouverte de l'os propre du nez, non déplacée Probable zona au niveau glutéal à gauche, 01/2018 (anamnestique) OP prostate (anamnestique) Ablation lésions cutanées pré-cancéreuses cuir chevelu (anamnestique) Syncope d'origine vaso-vagale • ECG : superposable à l'ECG de mars 2018, test de Schellong, massage du sinus : réponse au massage avec ralentissement physiologique Probable adénocarcinome de la tête du pancréas • sepsis sur cholangite sur obstruction des voies biliaires sur masse pancréatique le 27.08.2017 • drainage percutané des voies biliaires le 08.09.2017 compliqué d'un choc hémorragique • cholangiographie percutanée transhépatique, pose de drain interne/externe + brossage le 11.09.2017 • cytologie du 15.09.2017 : absence de cellule suspecte de malignité • PET-CT, cholangio-IRM le 13.09.2017, OGD et endosonographie le 21.09.2017 : masse tumorale de 3 cm de diamètre au niveau de la tête du pancréas • cytologie du 21.09.2017 : cellules atypiques, immunohistochimie non-concluante • tumorboard du 28.09.2017 : pas de prise en charge chirurgicale au vu de l'état général du patient • mise en place d'un stent cholédocien par voie percutanée + brossage le 06.10.2017 (Dr. X) • retrait du drain biliaire externe avec embolisation du trajet le 10.10.2017 • IRM de l'abdomen du 06.12.2017 : pas de mise en évidence de masse tumorale de la tête du pancréas • OGD et endosonographie le 19.12.2017 : masse de 3 cm de diamètre, faiblement échogène, dans la tête pancréatique avec stent métallique dans le cholédoque et dilatation du canal pancréatique; mise en place d'un stent dans le conduit pancréatique par voie transgastrique (pancréatico-gastrostomie) • cytologie du 19.12.2017 : négative, pas de cellules malignes mises en évidence • OGD et endosonographie avec ponction du 23.01.2018 : placement correct du stent, masse tumorale de près de 3 cm, visible à la tête du pancréas, biopsie difficile (impression endosonographique : processus malin); échec des tentatives de mobilisation de la pancréatico-gastrostomie en vue d'un changement • cytologie du 23.01.2018 : ponction non diagnostique • CT le 20.10.2018 : persistance de la dilatation des voies biliaires et d'une aérobilie, pas de masse tumorale visualisée, suspicion d'infection (pas de communication entre stent cholédocien et voies biliaires) • tentative d'ERCP le 25.10.2018 puis gastroscopie le 26.10.2018 avec stenting duodénal (wallflex 22x60mm) d'une compression extrinsèque du genu superius • CT le 30.10.2018 : aspect globalement inchangé de la dilatation diffuse des voies biliaires intra- et extra-hépatiques, péjoration de l'aérobilie, comme précédemment suspecte d'infection • mise en place drainage biliaire percutané le 31.10.2018 • CT abdominal injecté le 13.11.2018 : majoration de la dilatation massive du canal de Wirsung en rapport avec l'infiltration probablement tumorale de la tête du pancréas, lamination de la veine splénique et probable thrombose de la veine mésentérique supérieure • tumor board viscéral le 14.11.2018 : masse pancréatique infiltrante, inopérable; intervention percutanée maintenue • cholangiographie transhépatique percutanée le 16.11.2018 : biopsie et brossage de la masse intra-luminale intra-stent du cholédoque distal, mise en place d'un stent in stent métallique pour resténose, embolisation du trajet transhépatique • cytologie : cellules épithéliales atypiques fortement suggestives d'un adénocarcinome • colloque familial et multidisciplinaire (Dr. X, Dr. X, Dr. X, Dr. X, Dr. X) le 21.11.2018 : décision de transfert à la Villa St-François pour prise en charge palliative Probable AIT avec : Diagnostic différentiel : crise d'épilepsie, paralysie alternante • douleur et sensation de lourdeur du membre supérieur droit et membre inférieur droit, chute de la commissure labiale droite et sensation de dysarthrie. NIHSS aux urgences : 0. Probable AIT sylvien gauche • score ABCD 3 à 6 sans imagerie Probable AIT vertébro-basilaire d'origine probablement hémodynamique le 14.01.2019 • dans un contexte d'athéromatose vertébro-basilaire sévère • NIHSS initial : 6 points, NIHSS de sortie : 5 points, MIF 39 Probable angine virale le 19.01.2019. Probable arrachement capsulaire au niveau de l'IP de D1 du pied droit le 24.01.2019. Probable arthrite goutteuse Probable arthrose main droite enflammée, au décours. Probable AVC ischémique thalamique gauche novembre 2017 Probable arthrite septique genou gauche le 28.11.2017 Probable BPCO avec syndrome obstructif à 63% du prédit : • douleurs thoraciques oppressives à prédominance nocturne présentes depuis 3 semaines. • tabagisme actif. Probable BPCO de stade I selon Gold avec : • tabagisme actif important (environ 50 UPA avec consommation de cannabis) • syndrome obstructif de degré léger • probable emphysème pulmonaire associé • composante d'asthme bronchique associée Éthylisme chronique (environ quatre bières par jour) Probable BPCO non investiguée. Syndrome de dépendance à l'alcool anciennement sous Antabus. Diabète inaugural. Acrodysesthésies des quatre membres sur probable neuropathie diabétique. Probable bronchite. Probable bronchite virale Probable bronchite virale le 29.01.2019. Probable bronchite virale nécessitant une oxygénothérapie avec : • CRP 18 mg/l, Lc 6.3 G/l Probable bronchite virale subaiguë : • toux irritative depuis le 27.12.2018, associée à un léger état inflammatoire. • murmure vésiculaire. Probable bronchopneumopathie chronique obstructive Probable candidose cutanée. Probable carcinome basocellulaire temporal droit avec exérèse en 2017. Opération cataracte des deux côtés le 18.06.2013. Trapézectomie droite et suspension-plastie par bandelette de tendon long abducteur du pouce droit le 03.07.2012 pour rhizarthrose droite. Plastie de suspension trapézo-métacarpienne gauche en 2003. Amygdalectomie en 1958. Appendicectomie en 1945. Probable carence protéino-énergétique sévère. Probable chalazion versus orgelet de la paupière inférieure gauche. Probable cholédocolithiases obstructive avec dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques avec: • cholécystolithiases, pas de syndrome inflammatoire, lipase normale. Probable claquage musculaire au niveau du carré lombaire. Probable colique néphrétique droite. • avec passage de calcul spontané. Probable colique néphrétique gauche. Probable colon irritable. Probable conflit sous acromial. Probable contusion costale hémithorax postérieur G le 12.10.2013. Chute avec TC le 21.11.15 : • CT cérébral et cervical. Maladie coronarienne tritronculaire 27.03.2018. • Excellent résultat post PTCA 1xDES IVA proximale (04.2018). • Sténose 70% CD proximale : PTCA (2xDES) : bon. • Échec d'angioplastie d'une subocclusion très calcifiée de la 2ème Marginale. Probable contusion thoracique gauche (NB : la catamnèse évoque une fracture de la première côte à gauche). Probable crise convulsive tonico-clonique des membres supérieurs sur séquelle opératoire frontale droite le 30.12.2018, 1er épisode • dans un contexte de glioblastome frontal droite WHO grade IV (diagnostic en 06/2005) avec excision tumorale et radio-chimiothérapie. Probable crise de goutte du genou gauche sur prise de diurétiques et consommation de fromage, viande et vin. DD : crise de pseudogoutte. Probable crise de goutte, le 20.01.2019. Probable crise de panique avec : • pseudo-crise tonico-clonique bilatérale. • tétanie avec mains en accoucheur des deux côtés. Probable crise d'épilepsie inaugurale sur hyponatrémie sévère avec: • Troubles de l'état de conscience (GCS 8/15 initial). • Agitation psycho-motrice. Probable crise épileptique, DD hyponatrémie, sous-dosage en Depakine le 19.01.2019. Probable crise hystérique le 15.09.2017. Status après laparoscopie pour endométriose avec résection de nodules endométriosiques en décembre 2013. Status post endométrite avec suspicion d'annexite à Gardnerella + BGN, traitée. Status après décompression du nerf ulnaire gauche en 2015. Status après cure d'hémorroïdes et de marisque, non datée. Status post opération du coude. Opération genou G pour excroissance G en 2008. Opération genou D pour Plica par Arthroscopie en 2012. Ablation d'un nodule du genou D en 2009. Hématome du périnée à 3h avec incision/rinçage le 22.01.2017. Suspicion de lésion de LLI G. Entorse coude gauche le 11/01/18. Pelvic inflammatoire disease avec pyomètre après retrait stérilet Mona Lisa chez patiente nulligeste de 27 ans. Crise hystérique avec des idées suicidaires, le 27.02.2018. Probable crise psychotique. DD surdosage d'Imovane. Hospitalisation à Marsens sous PAFA. s/p trouble de l'état de conscience sur éthylisation aiguë le 28.01.2018. Probable cystite récidivante. Probable déchirure musculaire de la musculature de la face postérieure de la cuisse gauche, à hauteur de la mi-cuisse. Probable déchirure musculaire le 07.01.2019. Probable décompensation de troubles psychiatriques. Probable décompensation tendineuse des fléchisseurs et extenseurs au niveau du poignet gauche versus syndrome du canal de Guyon versus tunnel carpien, en cours d'investigation. Poignet droit : lésion SLAC Wrist stade III avec : • Arthrodèse complète du poignet D avec prise de greffe osseuse au niveau du bassin le 20.07.2017. • Status post ablation du matériel d'ostéosynthèse le 27.09.2018. Probable démence. Probable dénutrition protéino-énergétique le 11.12.2018. Probable dermohypodermite de l'hallux. Diagnostic différentiel : crise de goutte. Probable dermohypodermite débutante au dos de la main gauche. Probable descellement de la prothèse du fémur droit le 07.12.2018. Probable douleur abdominale le 11.12.2018. • Pas de péritonisme, abdomen souple, sensible en épigastre. DD : sur alimentation, SNG. Probable douleur d'origine musculo-squelettique à l'épaule gauche. DD : hypertension artérielle, anxiété/angoisses. Probable douleur musculo-squelettique. Probable douleur musculo-squelettique le 19.01.2019. Probable DRESS sur Clindamycine ou AINS, critères selon RegiSCAR 3/4 majeur, 9/10 total, avec : • Hypersensibilité retardée (type IV) le 28.12.2018. • rash maculo-papulaire non urticarien confluent et progressivement généralisé avec œdème du visage. • état fébrile et augmentation des adénopathies cervicales et apparition adénopathie inguinale D>G. • absence d'atteinte hépatique, respiratoire, conjonctivale ou rénale. • éosinophilie relative dans un contexte de leucopénie (13.9% de 2.5 G/L leucocytose). Probable dysfonction tubaire de l'oreille gauche. Probable dyskinésie sur Quétiapine non objectivée. Probable encéphalopathie métabolique chronique DD syndrome démentiel débutant, avec: • confusion avec désorientation temporo-spatiale. • hétéroagressivité. • absence de capacité de discernement. • problématique sociale (pas de proche pour fournir assistance). Probable entorse de grade I-II de la cheville droite. Probable entorse légère de la cheville gauche. Probable épilepsie à départ focal moteur gauche (frontal EEG droit), secondairement généralisé. Probable épilepsie partielle (temporale) d'origine indéterminée (évalu neuro Dr. X). Défibrillateur type EVERA XT DR et pacemaker implanté en 2015 (dernier contrôle mai 2018 sp avec Dr. X). Infarctus en novembre 2009 et janvier 2010 - maladie monotronculaire. Vertiges d'étiologies indéterminés. Myélite d'étiologie indéterminée 1077. Multiples interventions orthopédiques : fracture de cheville trimalléolaire, arthroscopie genoux bilatéraux, épicondylite, fracture vertèbres L2-3-4. Stérilisation. Appendicectomie. Plaie face palmaire de D1 D I G avec section des nerfs digitaux palmaires ulnaire et radial, section de l'artère digitale palmaire côté cubital, ulnaire et lésion partielle du tendon du long fléchisseur du pouce (5-10%), le 15.04.2016. Rappel AT fait aux urgences le 15.04.2016. Exploration de plaie et suture des nerfs digitaux palmaires radial et ulnaire D I G (OP du 15.04.2016). Probable épisode de lipothymie sur déshydratation le 02.08.2018. Probable équivalent convulsif avec perte de connaissance de 1h le 04.01.19. Opération cataracte juillet 2018 avec mise en place d'implants. Probable état confusionnel transitoire sur état fébrile + phases de sommeil. Actuellement orientée. Gazométrie compatible avec gastro-entérite infectieuse. Pas d'hypo/hyperglycémies. Sodium limite basse sur probable dilution dans contexte d'hydratation avec eau libre ++. Reçoit une dose d'Ondansetron 0.2 mg/kg + paracétamol et boit 200 ml de sirop sans récidive de vomissement. Probable état ferriprive le 16.01.19. Probable état grippal. Probable étirement du tractus iliotibial à gauche le 29.01.2019 avec: • probable étirement du tractus iliotibial. Probable étirement musculaire épaule gauche. Probable faux-anévrisme de l'artère fémorale D post-angioplastie 02/2011. Probable faux-anévrisme de l'artère fémorale D post-angioplastie 02/2011. Probable faux-anévrisme de l'artère fémorale droit post-angioplastie 02/2011. Probable fissure anale, à 12h selon la position gynécologique, depuis le 14.01.2019.Probable fissure anale interne. Probable fracture des arc costaux antérieurs droits. Probable fracture du nez sans signe d'hématome de la cloison. Probable fracture ouverte de l'os propre du nez (plaie en regard). Probable gastrite. Probable gastrite à H. pylori. Douleurs basi-thoraciques gauches post-tuberculeuses le 12.01.2019. Hépatite médicamenteuse sur Rimstar (Isoniazid) le 06.03.2018 avec: • sensibilité hépatique. • nausées et vomissements. • diarrhées aqueuses. Diarrhées aqueuses le 20.02.2018. Douleurs abdominales d'origine indéterminée, le 16.03.2018. Tuberculose pulmonaire active le 17.02.2018. • PCR (M. tuberculosis complet) et BAAR positives dans les expectorations. • absence de résistance à la rifampicine. Hémocultures 17.02, 19.02 et 21.02.2018 : négatives. Antigènes légionelles et pneumocoques le 17.02.2018 : négatif. Test HIV : négatif. GeneXpert sur expectorations (CHUV) le 23.02.2018 : positif pour M. tuberculosis complex, absence de résistance à la Rifampicine. Recherche BAAR le 23.02.2018 au CHUV : positive. Recherche BAAR le 24.02.2018 : positive. Recherche BAAR le 25.02.2018 : positive. Recherche BAAR le 10.03.2018 : positive. Recherche BAAR le 21.03.2018 : positive. Recherche BAAR le 04.04 et 05.04.2018 : négatives. Cultures mycobactéries dans les expectorations (prélèvements du 23.02, 24.02 et 25.02.2018) : positives pour mycobactéries sans particularité et pseudomonas aeruginosa multisensible. Consilium pneumologique (Dr. X) le 22.02.2018. Consilium infectiologique (Dr. X) le 22.02 et 01.03.2018. Radiographie du thorax 17.02.2018. CT thoracique le 21.02.2018. Enquête UPCI/Ligue pulmonaire/Médecine du travail. Déclaration au médecin cantonal, le 14.03.2018. Clarithromycine le 17.02 au 20.02.2018. Rocéphine du 17.02 au 20.02.2018. Céfépime du 20.02 au 22.02.2018. Rimstar dès 24.02.2018, mis en suspend le 08.03.2018 (cf. complications). Trithérapie par Isoniazid, Rifampicine, Ethambutol du 14.03 au 26.03.2018. Rifampicine, Ethambutol du 26.03 au 29.03.2018. Trithérapie par Rifampicine, Pyrazinamide, Ethambutol dès le 30.03.2018. Physiothérapie respiratoire. Suivi infectiologique prévu chez Dr. X le 26.04.2018. Probable gastrite avec vomissements le 19.01.2019. Probable gastrite le 06.01.2019. Probable gastrite le 12.01.2019. DD : migration de lithiase, cholécystite débutante. Probable gastrite le 12.01.2019 : DD : migration de lithiase, cholécystite débutante. Probable gastrite le 23.10.2014. Bradycardie sinusale avec bloc atrio-ventriculaire du 1er degré le 23.10.2014 asymptomatique, chez Mme. Y connue pour fibrillation auriculaire paroxystique non anticoagulée. Décompensation cardiaque globale le 10.06.2016 sur arrêt de traitement. Fracture déplacée du radius distal droit avec arrachement de la styloïde ulnaire : • 20.09.2018, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par une plaque Aptus palmaire. Traumatisme crânien simple en septembre 2018. Hyponatrémie chronique légère le 20.09.2018, à 126 mmol/l (130 mmol/l le 28.05.2018). Perturbation chronique des valeurs de cholestase sur probable insuffisance cardiaque. Toxicité médicamenteuse sur accumulation d'opaciés dans un contexte d'insuffisance rénale aiguë AKIN I (novembre 2018). Probable gastrite le 23.10.2014. Bradycardie sinusale avec bloc atrio-ventriculaire du 1er degré le 23.10.2014 asymptomatique, chez Mme. Y connue pour fibrillation auriculaire paroxystique non anticoagulée. Décompensation cardiaque globale le 10.06.2016 sur arrêt de traitement. Fracture déplacée du radius distal droit avec arrachement de la styloïde ulnaire. • 20.09.2018, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par une plaque Aptus palmaire. Traumatisme crânien simple 09/2018. Hyponatrémie chronique légère le 20.09.2018, à 126 mmol/l (130 mmol/l le 28.05.2018). Perturbation chronique des valeurs de cholestase sur probable insuffisance cardiaque. Toxicité médicamenteuse sur accumulation d'opiacés dans un contexte d'IRA AKIN I (novembre 2018). Probable gastrite 08.01.2019. • sur alcool. Probable gastrite. DD : gastroentérite. Probable gastro-entérite le 29.01.2019. • DD : poussée de Crohn, sténose iléo-caecale, subiléus. Probable gastroentérite avec diarrhées depuis le 11.08.2017. Probable gastro-entérite débutante. Probable gastro-entérite (diagnostic différentiel : maladie inflammatoire de l'intestin, intolérance alimentaire). Probable gastro-entérite virale. Probable gastro-entérite virale. Probable gastro-entérite virale le 03.01.2019. • DD : intoxication alimentaire. Probable gastro-entérite virale le 11.01.2019. DD : intoxication alimentaire. Probable gastroentérite virale le 14.01.2016. Mycose vaginale le 29.12.2015. Cholécystectomie laparoscopique le 21.12.2015. Important hémopéritoine sur hémorragie à bas bruit du lit vésiculaire à J1 post-cholécystectomie. Poussée de maladie de Crohn le 07.12.2015. Insuffisance rénale aiguë le 26.11.2015. Ostéosynthèse de la cheville droite pour fracture Weber B déplacée en 2011. Appendicectomie dans l'enfance. Probable goutte de l'articulation métatarso-phalangienne D1 droite le 06.01.2019. Probable grippe. Probable hématome spontané dans le muscle abdominal grand droit, éventuellement dans le côlon le 02.01.2018. • sur trouble spontané de la crase. • Transfusion de 1 CE le 03.01.2019. Status post-fracture du fémur droit en novembre 2016 sur chute (opération à l'HFR). Infections urinaires basses à répétition. Constipation chronique. Probable hémorragie digestive haute d'origine multifactorielle le 15.01.2019. • prise d'AINS. • anticoagulation par Xarelto et injection de Clexane (pour un voyage en avion, automédication). Probable hypertension artérielle, non traitée. Probable hypothyroïdie primaire. Probable infection à Coxsackie. Probable infection des voies respiratoires supérieures le 02.02.2017. Probable infection gynécologique. Probable infection ostéo-articulaire à Kingella kingae sans foyer ostéo-articulaire mis en évidence. Probable infection pulmonaire sur broncho-aspiration le 18.09.2018, DD : infection urinaire à E. Coli multisensible. • Co-amoxicilline i.v. 18.09- 23.09.2018, puis p.o. 24 - 25.09.2018. Chute sur le côté droit le 21.09.2018. • hématome et douleurs à la palpation de l'ischion. • Rx bassin le 21.09.2018 : pas de fracture. • hématome important sur toute la face postérieure de la cuisse avec hématome indolore dans la fesse droite. Probable infection urinaire avec : • microhématurie, pyurie, bactériurie, syndrome inflammatoire. Probable infection urinaire basse avec baisse de l'état général avec : • douleurs abdominales. • CRP 60 mg/l. Probable infection urinaire basse dans le contexte d'hypertrophie bénigne de la prostate le 24.01.2019. Probable infection urinaire basse le 27.01.2019. Probable infection urinaire basse le 29.01.2019. Probable infection urinaire le 24.01.2019. DD : dermohypodermite de l'avant-bras gauche. Probable infection urinaire versus pyélonéphrite chez un enfant connu pour un reflux vésico-urétéral. Probable ingestion de corps étranger. Probable insuffisance mitrale. Diabète de type 2 insulino-requérant (suivi par Dr. X). • polyneuropathie diabétique. Douleurs lombaires chroniques sur canal lombaire arthrosique - suivi par Dr. X pour antalgie.Probable IVRS le 18.01.2019. Probable lésion de la coiffe des rotateurs. Probable lésion ligamentaire du genou gauche sur faux mouvement. Probable luxation de la rotule D, 1er épisode, le 26.12.2018 Probable maladie de Bornholm en 2010 OST de valgisation genou G en 1997 sur gonarthrose; AMO en 2015 PTG D sur gonarthrose en 2015 Probable maladie de Widal avec : • asthme chronique depuis l'âge de 3 ans • sinusite chronique • intolérance à l'aspirine. Probable maladie thrombo-embolique avec : • thrombose veineuse profonde avant-bras droit (avant 2000) • thrombose veineuse superficielle du membre supérieur droit en 2000 et 2012 • thrombose veineuse superficielle de la veine basilique du bras gauche en 2014 traité par Arixtra et Nitrés durant quelques semaines. Etat dépressif avec épisodes aigus en 2005, 2013 et octobre 2017 et plusieurs tentatives médicamenteuses, nécessitant une hospitalisation en milieu psychiatrique. Tabagisme actif. Psoriasis. Arthrose et chondrocalcinose du genou. Lombalgies chroniques. Hernie discale lombaire. Probable malaise vagal. Probable malaise vaso-vagal. Dyslipidémie, le 01.08.2009 Ancien tabagisme à 80 UPA (stoppé en 12.2014) Probable masse tumorale pulmonaire dans le lobe inférieur droit le 17.01.2019. Probable méniscopathie interne du genou droit le 13.08.2014. Suspicion d'entorse du Chopard du pied droit le 07.01.2016. Probable crise de goutte du pied droit le 23.03.2016. Probable méniscopathie interne du genou droit sur traumatisme en charge le 22.01.2019. Probable migraine avec aura inaugurale. Probable migraine avec aura le 30.01.2019. Probable migraine avec aura (paresthésies). Probable migration lithiasique biliaire le 18.01.2019. Probable MINOCA (myocardial infarction non obstructive coronary arteriosclerosis). • Aspirine pour 12 mois et Plavix pour 9 mois. • Holter à domicile, test d'effort dans 3-4 mois. Probable mitochondriopathie avec : • Encéphalopathie sévère accompagnée d'un retard de développement psychomoteur et de crises convulsives • Cardiomyopathie dilatée avec FeVG à 9% Probable mycose vaginale Probable ostéoporose fractuaire • s/p fracture-tassement L1 atraumatique le 03.12.2018 • FR : s/p environ 30 injections de cortisone pour cervicalgies il y a 20 ans, polyarthrite rhumatoïde, ménopause à 50 ans, manque d'activité physique depuis 7 ans en raison de la fibromyalgie, déficit en vitamine D • hypovitaminose D sévère 24 nmol/l le 05.12.2018 • antécédents d'abcès dentaire Probable otite moyenne aiguë gauche perforée vs otite moyenne externe gauche dans contexte IVRS. Probable otospongiose ou fixation idiopathique de la platine. Probable oxyures Probable parotidite bilatérale. Probable passage de calcul rénal gauche. Probable péricardite 08.01.2019 . DD : douleurs thoraciques pariétales. Probable pharyngite à streptocoque le 17.01.2019 avec : • critères de Centor 3/4. Probable pneumonie d'aspiration basale D d'acquisition nosocomiale à germe indéterminé le 06.01.2019. Probable pneumonie du lobe inférieur droit le 19.01.2019. Probable polyneuropathie à prédominance sensitive des membres inférieurs dans le contexte du diabète sucré avec syndrome des jambes sans repos secondaire possible. Probable polyneuropathie des membres inférieurs d'origine alcoolique probable. Probable poussée de Maladie de Ménière (diagnostiquée il y a trois ans) : • avec vertiges rotatoires importants, nausées et vomissements. Probable poussée d'eczéma. Proposition de traitement local par Eucerin Relief Eczema et éviction du produit de douche. La mère du patient prendra contact avec un dermatologue en début de semaine prochaine en cas de persistance. Probable premier épisode d'aura migraineuse sans céphalées chez une patiente primigeste de 22 ans à 37 1/7 semaines d'aménorrhée. Probable pyélonéphrite avec CRP à 133 mg/L. Probable pyélonéphrite droite compliquée le 26.12.2018 : • s/p antibiothérapie par Tarivid 200 mg 2x/jour du 10 au 17.12.2018 pour infection urinaire puis changement par Clindamycine 300 mg 3x/j après réception de l'antibiogramme • persistance d'une pollakiurie avec état fébrile • loge rénale droite sensible. Probable pyélonéphrite droite le 11.01.2019, • status post-infection urinaire basse depuis le 06.01.2019 • status post-néphrectomie partielle gauche le 05.12.2013. Probable pyélonéphrite gauche. Probable pyélonéphrite gauche débutante. Probable pyélonéphrite le 27.01.2019 Urotube positif à Providencia stuartii. Probable pyélonéphrite 13.01.2019 • qSOFA : tachypnée, tachycardie. Probable pyoderma gangrenosum primaire prétibiale gauche le 04.01.19. Probable réaction allergique à l'amoxicilline. Probable réaction allergique alimentaire. Probable récidive de varicelle sans signe de gravité le 06.01.2019. Probable récidive de crise d'épilepsie. Probable reflux gastro-oesophagien. Probable rétention urinaire chronique. Probable retour de cycle après IVG le 05.12.2018 chez patiente 1G 0P. Probable rhinopharyngite virale. Probable rupture de kyste ovarien gauche le 31.01.2019. Probable rupture de la coiffe des rotateurs épaule D avec boursite sous-acromiale symptomatique. Syndrome de tunnel carpien D symptomatique et lésion du nerf cubital au coude D aussi symptomatique. Probable sclérose latérale amyotrophique, diagnostic inaugural en août 2018 : Tetraparésie à nette prédominance des MS et à prédominance gauche évolutive depuis automne 2017 Atteinte respiratoire concomitante avec dyspnée à l'effort stade mMRC IV, atteinte diaphragmatique (orthopnée, parésie compensée de la corde vocale gauche, léger disorthophonie et occasionnelle dysphagie) Examens fonctionnels : Bodyplethysmographie 08/2018 : Diminution harmonieuse des volumes dynamiques • Assis (FVC 1.7l, 70%, VEMS 1.5l, 70 %) • Couché (FVC 1.2l, VEMS 0.9l) Bodyplethysmographie 11/2018 : • Assis (FVC 1.5l, 53%, VEMS 1.2l, 55 %), DLCOc 82% Laboratoire : Gazométrie artérielle AA 08/2018 : légère hypoxémie (pH 7.42, PaCO2 4.8 kPa, PaO2 8.6 kPa, hémoglobine 135 gr/l, SaO2 95%, Bic 23 mmol/l, SpO2 couché à l'air ambiant 94%) Gazométrie artérielle AA 11/2018 : légère hypoxémie (pH 7.44, PaCO2 5.2 kPa, PaO2 9.3 kPa, hémoglobine 131 gr/l, SaO2 94%, Bic 25.4 mmol/l) Force musculaire respiratoire : 23.08.2018 : force musculaire diminuée avec MEP à 30% du prédit et MIP à 27% du prédit 29.11.2018 : force musculaire diminuée avec MEP à 54% du prédit et MIP à 15% du prédit Les pressions maximales inspiratoires/expiratoires sont nettement diminuées mais inchangées Thérapie : Rilutek 2x 50 mg/jour depuis septembre 2018 Probable séroconversion CMV périconceptionnelle. Probable SIADH d'origine médicamenteuse (SSRI) avec : • hyponatrémie à 120 mmol/l. Probable sinusite chronique (maxillaire gauche) • début des symptômes 14.11.2018 • traitement de Cefuroxime 500 mg 2x/jour pendant 7 jours en novembre 2018, prescrit par le médecin traitant • traitement symptomatique avec rinçages de nez et spray nasal avec cortisone depuis environ 2 mois • Labo du 09.01.2019 : CRP < 5, leucocytes dans la norme Probable sinusite dentaire droite le 26.12.2012. Fracture du tibia gauche à l'âge de 8 ans.Chute avec traumatisme crânien sans perte de connaissance avec casque le 14.03.2016 : contusion tibiale gauche - contusion costale gauche. Probable subluxation du coude G le 02.01.2019 avec • Fracture plurifragmentaire de la tête radiale, déplacée, type Mason II • Fracture processus coronoïde Regan et Morrey II Probable syndrome d'apnée du sommeil. Probable syndrome de la loge de Guyon. Status post-laparoscopie exploratrice en mai 2017 avec ponction évacuatrice d'un kyste fonctionnel ovarien droit. Lésions endométriosiques pelviennes stade I dans le cul-de-sac de Douglas. Status post-césariennes en 2005 et 2010. Probable syndrome de Tietze. Probable syndrome des jambes sans repos. Probable syndrome douloureux dans le contexte d'une polyarthrite rhumatoïde. Probable syndrome du canal carpien main D. Probable syndrome grippal. Probable syndrome grippal avec pneumonie basale gauche et otite moyenne aiguë droite débutante DD : pneumonie bactérienne (mais pas d'état fébrile depuis la veille, bon état général, autres symptômes systémiques), oncologique (pas de symptômes B, pas de saignement en dehors de l'épisode infectieux) Probable syndrome post-thrombotique membre supérieur droit. Probable tachycardie atrio-ventriculaire par réentrée nodale le 24.01.2019. Probable tendinite du pes anserinus genou G sur status post-entorse genou G avec contusion du plateau tibial postéro-externe le 01.07.2018. Probable tendinite du supra-épineux de l'épaule droite. Probable tendinite du tendon quadricipital du genou droit en septembre 2016. Contusion de l'épaule gauche sur chute le 30.01.2017. Probable thrombose veineuse profonde gauche le 26.01.2019. Probable toxidermie médicamenteuse le 04.06.2016 : • Sur traitement par Augmentin Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Continuation du traitement donné par médecin traitant : Prednisone per os 40 mg/j 5 jours et Anti-histaminiques. En cas d'apparition de symptômes respiratoires ou d'un angioedème le patient se représentera immédiatement aux urgences pour suite de prise en charge Otite moyenne gauche au décours le 08.07.16 Mononucléose diagnostiquée le 04.06.16 Spasme intestinal le 26.08.16 Examen clinique sp Réassurance Prescription traitement symptomatique avec Buscopan Probable toxidermie médicamenteuse le 04.06.2016 : • Sur traitement par Augmentin. Otite moyenne gauche au décours le 08.07.16. Mononucléose diagnostiquée le 04.06.16. Spasme intestinal le 26.08.16. Mycose prépuce. Probable tremor essentiel • tremblement d'action de la tête et de la voix • augmenté par le stress, pas de lien avec l'alcool remarqué • patient dérangé Probable trouble de la marche avec : • chute il y a 3 semaines avec traumatisme crânien occipital • asthénie et baisse de l'état général progressive avec inappétence • lombalgies chroniques acutisées (ébranlement en région L1-L2 localement douloureux) • scoliose lombaire. Probable trouble délirant persistant, avec hospitalisation à Marsens sous PAFA. Hypertension artérielle. Probable trouble somatoforme en août 2013 avec : • faiblesse des membres inférieurs. • trouble phasique. Probable syndrome du tunnel carpien à droite. Poursuite et suivi par Dr. X. Probable tuberculose pleurale traitée le 13.02.2018 - suivi par Dr. X. Douleurs thoraciques respiro-dépendantes le 12.05.2018 sur suspicion de tuberculose traitée probable. Hématémèse récurrente sur : • épisodes de Mallory-Weiss • reflux gastro-oesophagien grade B selon Los Angeles (OGD à l'Inselspital le 20.07.2010) • gastrite chronique avec éradication H. pylori en 2010. Cardiopathie hypertensive débutante : • ETT le 26.03.2012 : FEVG à 65 % avec bonne fonction contractile. Hémoglobinopathie : • drépanocytose hétérozygote (pas de crise vaso-occlusive) avec alpha-talassémie hétérozygote • test effectué au laboratoire de l'Hôpital Cantonal d'Aarau (non datable selon le document mais plus de 10 ans). Troubles mixtes de la personnalité avec traits narcissiques et impulsifs (F61) : selon consilium psychiatrique du 20.06.2017. Consommation tabagique. Consommation problématique d'alcool, actuellement abstinent (F10). Consommation problématique de cannabis, actuellement abstinent (F12). Probable tumeur cérébrale primitive au niveau occipital gauche le 06.01.2019 avec : Hémianopsie homonyme droite, perte de poids, baisse de l'état général DD : glioblastome, métastase Probable tumeur rénale avec métastases pulmonaires. Probable ulcère gastrique avec méléna le 01.09.16 • Demande d'OGD Probable ureterolithiasis left side with dilated pyelon left • no fever • mild pain by presentation in the ER Probable vertige paroxystique bénin. Probable virose respiratoire avec toux non-productive depuis 1 semaine avec pharyngite le 15.01.2019. Probablement d'origine virale. Probablement status post-ulcère gastrique. Hyperplasie bénigne de la prostate avec infection urinaire. Décompensation glycométabolique le 10.01.2014. Hernie discale cervicale opérée. Hypothyroïdie post-chirurgicale. Constipation dans un contexte de traitement par opioïdes. Probablement sur Coxarthrose bilatérale Antalgie simple en réserve. Probables céphalées tensionnelles. Probables fractures de côtes 6-8 droites le 26.11.2018 • Rx Thorax 26.11.2018 : Aspect irrégulier de l'arc latéral de la 6ème, 7ème et 8ème côte droite évoquant des fractures costales récentes Probables fractures des côtes 6-8 à droite le 26.11.2018 • Rx Thorax 26.11.2018 : Aspect irrégulier de l'arc latéral de la 6ème, 7ème et 8ème côte droite évoquant des fractures costales récentes Probables méningiomes frontaux gauches, le 30.12.2018. Probables troubles anxieux, sous Tranxilium au long cours. Probables troubles de la déglutition. Probables vertiges positionnels paroxystiques bénins. Problématique médico-sociale chronique. Problématique sociale • appartement insalubre, atcd de violence conjugale (mari décédé depuis 30 ans) Tel fils 026 323 16 14 Problématique sociale complexe • Hospitalisation actuelle sous régime de PAFA dès le 19.12.2018 (Dr. X) • Curatelle de gestion des finances (Dr. X) Problématique sociale • maintien à domicile impossible dans le cadre du diagnostic principal. Problème de régulation. Problème de sonde vésicale. Problème dentaire. Problème dentaire. Problème dentaire. Problème dentaire. Problème dentaire. Problème dentaire. Problème dentaire. Problème dentaire. Problème dermatologique. Problème dermatologique. Problème ophtalmique. Problème ophtalmique. Problème ophtalmologique. Problème ophtalmologique. Problème ophtalmologique. Problème ophtalmologique. Problème ophtalmologique. Problème ophtalmologique. Problème ophtalmologique. Problème ophtalmologique. Problème ophtalmologique. Problème ophtalmologique. Problème ophtalmologique. Problème ORL. Problème ORL. Problème PEG. Problème social. Pro-BNP à 3601 ng/l Add Diurétique et IEC avec bonne réponse clinique. Pro-BNP à 448 ng/L le 23.01.2019 Add Lasix 20 mg IV ETT le 25.01.2019 : FEVG à 55 %, masse de 15x20 mm dans VG : thrombus vs trabéculations calcifiées ETT de contrôle le 07.02.2019 à 14 h en cardiologie à l'HFR Fribourg. Procédure : Désinfection et champage classique. Repérage de l'arrachement distal du trapèze sous scopie.Infiltration de Dépo-Medrol dans l'articulation CMC1. Rétraction de l'aiguille Pansement stérile. Mobilisation selon douleurs Procédure judiciaire. ==Procédures== PBM le 14.01.2019 (Dr. X) Cytologie LCR le 14.01.2019 (C2019.50) == Traitements et réponse au traitement == Chimiothérapie intrathécale triple : Méthotrexate, Cytarabine, Dépo-médrole le 14.01.2019 Chimiothérapie de consolidation par bloc S4 ARA-C (modifié) du 14.01 au 15.01.2019 • Cytosar + Dexaméthasone dès le 14.01.2019 (J1 et J2) Neupogen prévu du 21.01 au 25.01.2019 (J8 à J12) ==Agranulocytose/Prophylaxie == • Bactrim forte dès le 20.10.2018 • Valtrex dès le 20.10.2018 == Soutien transfusionnels / CE irradié à vie == Hb <70g/L (! CE irradiés à vie !) ; Tc < 10 G/l ou < 20 G/l si EF ou hémorragie == Suite prise en charge == Consultation de contrôle auprès de Dr. X en hématologie le vendredi 18.01.2019 à 10h • avec prise de sang à 9h (onco-hématologie, C4) Processus expansif intracrânien X4 le 15/01/19 DD : Méningiome Prochain contrôle à la consultation Dr. X le 13.02.2019. Prochain contrôle à ma consultation dans 3 semaines le 6.2.2019. Prochain contrôle à ma consultation le 15.02.2019. Prochain contrôle à une année postopératoire. Prochain contrôle à 1 an du traumatisme Prochain contrôle à 1 an postopératoire Prochain contrôle après IRM. Prochain contrôle après IRM cervicale Prochain contrôle après scanner le 31.01.2019. Prochain contrôle au mois de septembre 2019. Prochain contrôle au Team Hanche le 22.01.2019. Prochain contrôle auprès de Dr. X prévu dans 1 semaine Prochain contrôle avec CT le 05.03.2019 Prochain contrôle avec CT le 28.03.2019 Prochain contrôle avec IRM cérébrale le 11.07.2019 Prochain contrôle avec IRM cervicale et lombo-sacrée le 29.01.2019 Prochain contrôle avec IRM cervicale le 22.01.2019 Prochain contrôle avec IRM lombaire le 05.02.2019 Prochain contrôle avec labo le 22.01.2019 Prochain contrôle chez son médecin traitant Prochain contrôle clinicobiologique en hémodialyse le 28.01.2019 Prochain contrôle clinique à ma consultation dans 1 mois : 20.02.2019. Prochain contrôle clinique à ma consultation dans 3 semaines, le 06.02.2019. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Prochain contrôle clinique hors plâtre le 08.02.2019. Prochain contrôle clinique le 01.03.2019. Prochain contrôle clinique le 05.04.2019. Prochain contrôle clinique le 06.03.2019. Prochain contrôle clinique le 08.02.2019. Prochain contrôle clinique le 12.03.2019. Prochain contrôle clinique le 13.02.2019. Prochain contrôle clinique le 14.02.2019. Prochain contrôle clinique le 14.03.2019. Prochain contrôle clinique le 14.06.2019. Prochain contrôle clinique le 15.02.2019. Prochain contrôle clinique le 15.03.2019. Prochain contrôle clinique le 17.05.2019. Prochain contrôle clinique le 19.02.2019. Prochain contrôle clinique le 21.02.2019. Prochain contrôle clinique le 23.01.2019. Prochain contrôle clinique le 25.01.2019. Prochain contrôle clinique le 26.02.2019. Prochain contrôle clinique le 27.02.2019. Prochain contrôle clinique le 28.02.2019. Prochain contrôle clinique le 29.03.2019. Prochain contrôle clinique par Dr. X à Meyriez le 16.01.2019 Prochain contrôle clinique 13.02.2019. Prochain contrôle dans une année Prochain contrôle dans une année avec IRM cérébrale Contrôle ophtalmologique annuel dès que possible Avis endocrinologique dès que possible en raison des troubles hormonaux (alopécie et hypersudation) Prochain contrôle dans votre consultation prévue le 08.01.2019. Prochain contrôle dans 1 an Prochain contrôle dans 1 année. Prochain contrôle dans 10 jours à la consultation de Dr. X Prochain contrôle dans 10 jours en Policlinique d'ORL. Prochain contrôle dans 2 ans. Prochain contrôle dans 3 ans. Prochain contrôle dans 3 mois. Prochain contrôle dans 4 mois. Prochain contrôle dans 5 ans. Prochain contrôle dans 6 mois. Prochain contrôle dans 6 semaines. Prochain contrôle de la prothèse d'ici 5 ans ou avant si Mr. Y le souhaite. Prochain contrôle en angiologie Prochain contrôle en janvier 2020. Prochain contrôle en juillet 2019 Prochain contrôle en mars. Prochain contrôle en octobre 2019 Prochain contrôle en policlinique d'ORL dans 8 jours. Prochain contrôle en stomathérapie. Prochain contrôle et US le 28.12.2018. Prochain contrôle fin février 2019, nous recontacte Prochain contrôle fin mars 2019. En cas de péjoration de la symptomatologie, nous avancerons le contrôle. Prochain contrôle le 01.02.2019. Prochain contrôle le 01.03.2019. Prochain contrôle le 01.04.2019. Prochain contrôle le 01.05.2019. Prochain contrôle le 01.07.2019. Prochain contrôle le 02.09.2019. Prochain contrôle le 02.10.2019. Prochain contrôle le 03.04.2019. Prochain contrôle le 03.05.2019. Prochain contrôle le 03.06.2019. Prochain contrôle le 03.07.2019. Prochain contrôle le 04.01.2019. Prochain contrôle le 04.02.2019. Prochain contrôle le 04.02.2019. Prochain contrôle le 04.03.2019. Prochain contrôle le 04.03.2019 après US. Prochain contrôle le 04.07.2019 après IRM cérébrale injectée du jour. Prochain contrôle le 05.02.2019 après CT du sacrum et du coccyx du jour. Prochain contrôle le 05.02.2019 après IRM du jour. Prochain contrôle le 05.04.2019. Prochain contrôle le 05.06.2019. Prochain contrôle le 05.08.2019. Prochain contrôle le 06.02.2019. Prochain contrôle le 06.03.2019. Prochain contrôle le 07.02.2019 à la consultation de Dr. X. Prochain contrôle le 07.03.2019 après infiltration foraminale L5-S1 G sous CT le 04.02.19. Prochain contrôle le 07.05.2019. Prochain contrôle le 07.10.2019. Prochain contrôle le 08.02.2019 avec CT scan. Prochain contrôle le 08.05.2019 chez Dr. X. Prochain contrôle le 09.01.2019. Prochain contrôle le 10.04.2019. Prochain contrôle le 11.01.2019 en Policlinique ORL. Prochain contrôle le 11.02.2019 après CT. Prochain contrôle le 11.02.2019 après IRM. Prochain contrôle le 11.03.2019. Prochain contrôle le 11.04.2019 après CT cérébral du jour. Prochain contrôle le 11.04.2019.Prochain contrôle le 11.07.2019 Prochain contrôle le 11.09.2019 Prochain contrôle le 11.11.2019. Prochain contrôle le 11.12.2019 Prochain contrôle le 12.02.2019. Prochain contrôle le 12.02.2019 après IRM lombaire du jour Prochain contrôle le 12.02.2019 après IRM lombaire et du sacrum du jour Prochain contrôle le 12.02.2019 avec IRM Prochain contrôle le 12.04.2019 Prochain contrôle le 12.06.2019 Prochain contrôle le 12.09.2019. Prochain contrôle le 13.01.2020 Prochain contrôle le 13.01.2020. Prochain contrôle le 13.02.2019 Prochain contrôle le 13.03.2019 Prochain contrôle le 13.03.2019. Prochain contrôle le 13.03.2019 suite infiltration du 29.01.2019. Prochain contrôle le 13.05.2019. Prochain contrôle le 13.06.2019. Prochain contrôle le 13.09.2019. Prochain contrôle le 14.01.2019. Prochain contrôle le 14.02.2019. Prochain contrôle le 14.02.2019 après bilan angiologique. Prochain contrôle le 14.02.2019 après infiltration facettaire L4-L5, L5-S1 bilatérale sous CT Prochain contrôle le 14.02.2019 après IRM cérébrale du jour Prochain contrôle le 14.02.2019 après 2 infiltrations facettaires séquentielles L3-L4 en premier ddc puis L2-L3 sous CT Prochain contrôle le 14.02.2019 avec IRM cervicale Prochain contrôle le 14.03.2019. Prochain contrôle le 14.03.2019 Opération pré-réservée le 29.03.2019 Prochain contrôle le 14.06.2019. Prochain contrôle le 14.08.2019. Prochain contrôle le 14.10.2019. Prochain contrôle le 15.01.2020. Prochain contrôle le 15.02.2019. Prochain contrôle le 15.02.2019. Prochain contrôle le 15.02.2019. Prochain contrôle le 15.03.2019. Prochain contrôle le 15.03.2019. Prochain contrôle le 15.03.2019. Prochain contrôle le 15.04.2019. Prochain contrôle le 15.04.2019. Prochain contrôle le 15.05.2019. Prochain contrôle le 15.07.2019. Prochain contrôle le 16.01.2019. Prochain contrôle le 16.01.2019. Prochain contrôle le 16.01.2019. Prochain contrôle le 16.01.2019 suite IRM Prochain contrôle le 16.07.2019. Prochain contrôle le 16.09.2019. Prochain contrôle le 17.01.2019. Prochain contrôle le 17.01.2020. Prochain contrôle le 17.04.2019. Prochain contrôle le 17.05.2019. Prochain contrôle le 17.06.2019. Prochain contrôle le 17.07.2019. Prochain contrôle le 18.01.2019. Prochain contrôle le 18.02.2019. Prochain contrôle le 18.02.2019. Prochain contrôle le 18.03.2019. Prochain contrôle le 18.04.2019. Prochain contrôle le 18.07.2019 après IRM cérébrale au CIF le 10.07.2019. Prochain contrôle le 18.09.2019. Prochain contrôle le 18.11.2019. Prochain contrôle le 19.02.2019. Prochain contrôle le 19.06.2019 suite à infiltration du 07.05.2019. Prochain contrôle le 20.02.2019.Prochain contrôle le 20.02.2019 Prochain contrôle le 20.02.2019. Prochain contrôle le 20.03.2019 Prochain contrôle le 21.01.2019. Prochain contrôle le 21.01.2019 après CT. Prochain contrôle le 21.02.2019 Prochain contrôle le 21.02.2019 après CT cérébral du jour Prochain contrôle le 21.02.2019 après infiltration C6 G sous CT au CIMF le 30.01.2019 Prochain contrôle le 21.02.2019 après infiltration facettaire L5-S1 sous scopie le 22.01.19 Prochain contrôle le 21.03.2019 Prochain contrôle le 21.03.2019. Prochain contrôle le 21.10.2019 Prochain contrôle le 21.11.2019 Prochain contrôle le 22.01.2019 après CT cervical du jour Prochain contrôle le 22.01.2019 après IRM lombaire du jour. Prochain contrôle le 22.01.2019 avec CT-scanner. Prochain contrôle le 22.01.2019 avec IRM cérébral et cervicale Prochain contrôle le 22.02.2019. Prochain contrôle le 22.02.2019 à la consultation du Dr X. Prochain contrôle le 22.03.2019 Prochain contrôle le 22.05.2019 Prochain contrôle le 22.07.2019. Prochain contrôle le 22.08.2019 Prochain contrôle le 23.01.2019. Prochain contrôle le 24.01.2019. Prochain contrôle le 24.01.2019 après infiltration C6 G au CIMF le 08.01.2019 Prochain contrôle le 24.04.2019. Prochain contrôle le 24.06.219 Prochain contrôle le 25.01.2019. Prochain contrôle le 25.02.2019. Prochain contrôle le 25.03.2019. Prochain contrôle le 25.04.2019 Prochain contrôle le 25.07.2019 Prochain contrôle le 25.09.2019 Prochain contrôle le 26.02.2019. Prochain contrôle le 26.08.2019. Prochain contrôle le 27.02.2018 pour faire le point. Prochain contrôle le 27.02.2019. Prochain contrôle le 27.03.2019. Prochain contrôle le 27.03.2019 suite infiltration du 05.02.2019. Prochain contrôle le 27.05.2019 Prochain contrôle le 27.06.2019 Prochain contrôle le 27.09.2019. Prochain contrôle le 28.01.2019.Prochain contrôle le 28.01.2019 avec une IRM. Prochain contrôle le 28.02.2019. Prochain contrôle le 28.03.2019. Prochain contrôle le 28.06.2019. Prochain contrôle le 28.08.2019. Prochain contrôle le 29.01.2019. Prochain contrôle le 29.01.2019 après CT du jour. Prochain contrôle le 29.01.2019 après IRM cérébral du jour. Contrôle ophtalmologique dès que possible. Contrôle en endocrinologie dès que possible. Prochain contrôle le 29.01.2019 après IRM dorsale du jour. Prochain contrôle le 29.01.2019 avec IRM lombaire. Prochain contrôle le 29.03.2019. Prochain contrôle le 29.04.2019. Prochain contrôle le 30.01.2019. Prochain contrôle le 30.01.2019 suite IRM. Prochain contrôle le 31.01.2019 après CT lombaire injecté du jour. Prochain contrôle le 31.01.2020. Prochain contrôle le 31.05.2019. Prochain contrôle le 5.2.2019. Prochain contrôle prévu à 6 semaines post-op chez vous. Prochain contrôle prévu chez son gynécologue le 15.01.2019. Prochain contrôle radioclinique à une année de l'intervention. Prochain contrôle radioclinique à 3 mois post-opératoires. Nous l'encourageons à marcher avec la semelle en carbone. Prochain contrôle radio-clinique dans le plâtre le 25.01.2019. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 année. Prochain contrôle radioclinique dans 2 mois. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 03.02.2019 puis reprise à 50% dès le 04.02.2019 pour 2 semaines puis à 100%. Prochain contrôle radio-clinique des tassements vertébraux le 31.01.2019 à 15h30 à la consultation du Dr X, HFR Fribourg. Bilan et traitement de l'ostéoporose à organiser en ambulatoire. Nous vous proposons d'effectuer un contrôle de la valeur de la TSH à 3 mois. Contrôles réguliers du poids et de la fonction rénale. Limiter la prise de motilium dans le temps, en cas de récidive de nausées ou douleurs abdominales postprandiales, évaluer la nécessité d'une consultation chirurgicale chez cette patiente connue pour une lithiase vésiculaire. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 05.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 07.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 11.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 12.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 18.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 22.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 28.01.2019. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 30.01.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 01.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 01.03.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 01.04.2020. Prochain contrôle radio-clinique le 04.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 05.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 06.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 07.03.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 08.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 09.04.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 10.04.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 11.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 12.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 12.03.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 13.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 14.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 14.03.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 15.03.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 18.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 19.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 20.09.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 21.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 22.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 24.04.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 25.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 26.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 27.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 28.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 29.04.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 31.01.2019. Prochain contrôle 06.03.2019. Prochain contrôle 13.03.2019. Prochain contrôle 24.01.2019. Prochain contrôle 28.08.2019. Prochain controle 30.01.2019. Prochain RDV à la consultation du Dr X le 23.01.19. Prochain rendez-vous chez Dr X, orthopédie HFR Fribourg - Hôpital cantonal le 18.01.2019 à 10h15. Prochain rendez-vous en juillet 2019. Entre temps, je reste à disposition si nécessaire. Prochain rendez-vous en oncologie le 31.01.2019 pour prise de sang et prochaine chimio le 01.02.2019 probable.Prochain rendez-vous le 21.01.2019 à 17h en ophtalmologie à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal Prochaine chimiothérapie prévue le 04.01.2018 Prochaine consultation auprès du Dr. X. Prochain contrôle chez nous à la suite de la consultation du Dr. X. Prochaine consultation le 01.02.2019 Prochaine consultation le 01.03.2019. Prochaine consultation le 03.05.2019. Prochaine consultation le 04.12.2019 Prochaine consultation le 05.04.2019. Prochaine consultation le 06.03.2018 (suite IRM du jour) Prochaine consultation le 07.06.2019. Prochaine consultation le 08.02.2019 Prochaine consultation le 11.01.2019. Prochaine consultation le 11.01.2019 à 13h. Prochaine consultation le 13.02.2019 Prochaine consultation le 13.03.2019 Prochaine consultation le 14.01.2019. Prochaine consultation le 14.03.2019. Prochaine consultation le 15.02.2019. Prochaine consultation le 15.04.2019 Prochaine consultation le 17.04.2019 Prochaine consultation le 17.07.2019 Prochaine consultation le 20.02.2019 Prochaine consultation le 20.03.2019 Prochaine consultation le 21.02.2019. Prochaine consultation le 24.01.2019. Prochaine consultation le 24.04.2019 Prochaine consultation le 27.02.2019 Prochaine consultation le 27.03.2019 Prochaine consultation le 28.02.2019. OP le 19.03.2019. Prochaine consultation le 28.06.2019. Prochaine consultation le 30.01.2019 Prochaine consultation le 31.01.2019. Prochaine injection de Kyprolis déjà prévue dans la semaine du 14.01.2019. Prochaine injection Fluanxol 10 mg le 24.01.2019 Suivi fonction rénale et kaliémie le 14.01.2019 Suivi poids Prochaine séance de chimiothérapie prévue pour le 10.01.2019, à rediscuter avec le Dr. X. Prochains contrôles radio-cliniques le 08.02.2019 et le 01.03.2019. Procto Glyvenol crème. Conseils d'usage (privilégier sous-vêtements en coton ; éviter strings, nettoyage itératif, macération ; prévention de la constipation). Suite chez médecin traitant si persistance, donné également adresse Dr. X, proctologue. Procto Synalar Procto Synalar Daflon Profil glycémique à J3 HGPO à 3 mois Profil glycémique à J3: 5,1 mmol/l HGPO à 3 mois Profil glycémique à J3: 5.4 mmol/L Profil glycémique à J3 HGPO à 3 mois Profil glycémique à J3 HGPO dans 3 mois Profil glycémique à J5: normal HGPO le 29.03.19 Profil glycémique à suivre Profil glycémique journalier dans la norme le 09. et 10.01.2019 Vit. B12 et acide folique dans la norme, TSH 5.38 mU/l le 08.01.2019 Bas de compression Adaptation de l'antalgie • introduction de Prégabaline Majoration Torasémide Profil glycémique pendant 48 h. Hb glyquée 5.5% Consilium de diabétologie le 21.01.2019 (en annexe) : ad effort diététique visant à une perte pondérale et un suivi glycémique chez le médecin traitant. Profil glycémique se fera à domicile à J3 HGPO à 3 mois Profil hypotonique durant l'hospitalisation Diminution progressive du Catapressan Profil tensionnel élevée avec • pic de TAS à 250 mmHg Profil tensionnel en ordre Bilan de gestose négatif le 24.12.2018 Protéinurie sur 24h à 0.08 g /24h Rapport SFLT1/ PIGF à 54 -> risque élevé de faire une pré-éclampsie dans les 4 semaines Progression anévrisme abdominal Progression anévrisme aorte Progression d'un anévrisme de l'aorte infra-rénale le 21.01.2019 avec • Endoleak de type 5 avec progression de 2 mm du sac anévrismal Progression d'un anévrisme de l'aorte infra-rénale le 21.01.2019 avec endoleak de type 5 et progression de 2 mm du sac anévrismal dans un contexte de surinfection prothétique à Propionibacterium acnes • Cure d'anévrisme par voie endovasculaire, le 03.11.2014 • Embolisation d'une endofuite le 30.11.2018 Progression d'une métastase osseuse fémorale gauche le 23.12.2018 • stabilisation par clou PFNA long fémur G à but prophylactique le 04.12.2018 • fracture non déplacée de la corticale médiale en regard de la lésion lytique 27.12.2018 Progression d'une polyneuropathie sévère axonale à prédominance myélinique de probable origine diabétique, alcoolique et tabagique, avec soins impossibles à domicile le 18.12.2018 avec : • tétraparésie progressive prédominant aux membres inférieurs depuis janvier 2018 • rétention urinaire et constipation depuis décembre 2018 • réadaptation musculo-squelettique à l'HFR Billens du 28.09 au 05.11.2018 • suivi neurologique par le Dr. X. Progression oncologique d'un syndrome myélodysplasique type AREB II avec : • arrêt du suivi oncologique en raison de la situation générale. Progression tumorale dans le contexte d'un astrocytome anaplasique Progression tumorale d'un adénocarcinome du moyen et haut rectum, péjoration des tests hépatiques et syndrome inflammatoire d'origine peu claire. Progression Tumorale d'une tumeur non typisée de la tête du pancréas le 31.08.2018 • histologie : non prélevée • CT-scan abdominal du 31.08.2018 (CIF) : plage hypodense/hétérogène de la tête du pancréas de 2 cm, aspécifique. Elargissement du Wirsung. Hydrops vésiculaire • PET-CT du 24.09.2018 : nodule mucineux intra-pancréatique, mixte, négatif au PET • Marqueur tumoral CA 19-9 : 39 mg/l (< 35 mg/l) le 20.09.2018; 1092 mg/l le 21.11.2018 • CT-abdominal le 16.11.2018 : dilatation des voies biliaires et progression de la tumeur à la tête du pancréas • Tentative ERCP le 28.11.2018 (Dr. X) : échec • Prednisone per os 20 mg dès le 30.11.2018 • Actuellement : prise en charge palliative avec VOLTIGO • Suivi par X : Pas de RDV de suivi programmé dans l'immédiat Projet social Prolapsus colostomie proximale le 19.01.2019. Prolapsus de stomie post coloscopie élective le 23.01.2019 avec : • status post sigmoïdectomie selon Hartmann pour diverticulite perforée avec péritonite le 25.10.2018 • coloscopie en électif en vue de rétablissement de continuité prévue le 04.02.2019. Prolapsus du feuillet mitral antérieur d'origine congénitale sans insuffisance. Prolapsus génital total C3-4 H3 R1-2 chez une patiente de 63 ans Pronation douloureuse Pronation douloureuse à droite Pronation douloureuse à gauche Pronation douloureuse à gauche (5ème épisode). Pronation douloureuse bras droit Pronation douloureuse du bras droitPronation douloureuse gauche Pronation douloureuse probable Prontosan. Pansement anti-adhérent. Attitude: • Pansement à la maison. • Retrait de fils à 14 jours post-suture. Prophylaxie antibiotique par Clamoxyl IV Prophylaxie antibiotique par Clamoxyl IV pour portage Strepto B Suite de couches Prophylaxie antibiotique par Clamoxyl IV pour portage Streptocoque B • Antalgie par péridurale • Suites de couches Prophylaxie anti-thrombotique avec Liquemine 2x5000 IE s.c. 1x/j jusqu'à la charge complète. • Laisser le pansement sur le site de la prise de la greffe au niveau de la cuisse D jusqu'à ce qu'il tombe. • Soins et massages cicatriciels en ergothérapie. • Contrôle clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X / Dr. X. Prophylaxie antithrombotique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. durant 2 mois postopératoires. • Ablation des fils à J14 et confection d'une botte plâtrée fermée chez notre plâtrier. • Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 8 semaines. Prophylaxie antithrombotique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. durant 6 semaines postopératoires. • Contrôles réguliers des plaies; fils résorbables. • Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X / Dr. X à 6 semaines. Prophylaxie antithrombotique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à la charge complète. • Poursuite de l'antibiothérapie par Uvamin 100 mg 2x/j p.o. jusqu'au 15.01.2019 compris. • Echocardiographie transoesophagienne au début février 2019, la patiente sera convoquée par le service de cardiologie. • Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines et nouvelle discussion quant à la prise en charge chirurgicale de la coxarthrose D. Prophylaxie antithrombotique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour 6 semaines postopératoires. • Contrôles réguliers de la plaie, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. • Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X / Dr. X à 6 semaines. Prophylaxie anti-thrombotique par Clexane 40 mg sc 1x/j pour 6 semaines postopératoires. • Ablation des fils le 30.12.2018. • Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X / Dr. X à 6 semaines. Prophylaxie anti-thrombotique par Héparine 5000 UI 2x/j, à remplacer par de la Clexane 40 mg 1x/j dès que la fonction rénale le permet, pour une durée de 6 semaines postopératoires. • Suivi de la fonction rénale et réintroduction du Torem 5 mg 1x/j habituel. • Contrôles réguliers de la plaie et réfection du pansement Comfeel avec ablation de celui-ci et des fils à J14. • Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X / Dr. X. Prophylaxie antithrombotique par Héparine 5000 UI 2x/24h jusqu'à Sintrom thérapeutique. • Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X / Dr. X à 6 semaines. Prophylaxie anti-thrombotique par Xarelto 10 mg 1x/j pendant 6 semaines. • Contrôles réguliers de la plaie à travers le pansement Comfeel avec ablation de celui-ci à J14 ou avant en cas de perte d'étanchéité. • Ablation des fils à J14. • Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X / Dr. X. Prophylaxie CRPS avec Redoxon 500 mg 1x/j per os pour 50 jours. • Contrôles réguliers des plaies avec ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. • Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X / Dr. X. Prophylaxie CRPS par Redoxon 500 mg 1x/j pour une durée de 50 jours. • Contrôles réguliers de la plaie à travers le pansement Comfeel avec ablation de celui-ci à J14 ou avant en cas de perte d'étanchéité chez le médecin traitant. • Pas d'ablation de fils nécessaire; fils résorbables. • Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X / Dr. X. Prophylaxie de CRPS par Redoxon 500 mg pour 4 semaines. • Réfection régulière du pansement, à raison de 3x/semaine. • Ablation des fils à 3 semaines de la greffe de Thiersch au niveau pré-tibial D à la consultation du Dr. X / Dr. X puis contrôle rx-clinique à 6 semaines. Prophylaxie de CRPS par Redoxon 500 mg 1x/j pour 50 jours (jusqu'au 01.03.2019). • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour 6 semaines postopératoires ou jusqu'à charge complète. • Contrôles réguliers de la plaie opératoire, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. • Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X / Dr. X à 6 semaines. Prophylaxie de rage. Prophylaxie de rage, planifiée. Prophylaxie de rage. Planifiée. Prophylaxie post-expositionnelle pour la rage le 21.01.2019: • 1ère et 2ème dose le 01.01.2019 au Liban. • 3ème dose le 07.01.2019. Prophylaxie post-expositionnelle pour la rage le 27.01.2019: • 1ère et 2ème dose le 01.01.2019 au Liban. • 3ème dose le 07.01.2019. • 4ème dose le 21.01.2019. • Avis infectiologique Dr. X du 21.01.2019: répéter dose au 28ème jour vu l'absence de vaccin le 3ème jour, pas de contrôle du taux sanguin par la suite. Prophylaxie post-expositionnelle pour la rage. Prophylaxie secondaire : Aspirine et Atorvastatine le 20.12.2018. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à 3 semaines postopératoires. • Contrôles réguliers de la plaie, ablation des Stéristrips à J10. • Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X / Dr. X à 6 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j s.c. pour 6 semaines. • Contrôles réguliers de la plaie avec réfection du pansement et ablation des fils à J14. • Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X / Dr. X. Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg 1x/j à poursuivre jusqu'à la ré-implantation de la PTG. • Poursuite de l'antibiothérapie par Rocéphine 2 g i.v. 1x/j jusqu'à 12 semaines de l'ablation de la PTG et mise en place d'un spacer le 20.12.2018, selon ordre des infectiologues. • Ré-hospitalisation le 11.02.2019 avec ablation du spacer et ré-implantation de la PTG G agendée au 13.02.2019; pas de fenêtre thérapeutique nécessaire avant cette intervention. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j pour 6 semaines ou jusqu'à charge complète. • Contrôles réguliers de la cicatrice à travers le pansement Comfeel avec ablation de celui-ci à J14 ou avant en cas de perte d'étanchéité chez le médecin traitant. • Pas d'ablation de fils nécessaire; fils résorbables. • Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X / Dr. X. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j s.c. durant l'hospitalisation puis relais par du Xarelto 10 mg 1x/j à la sortie de Billens durant 6 semaines ou jusqu'à charge complète. • Contrôles réguliers de la plaie avec réfection du pansement et ablation des fils à J14. • Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X / Dr. X. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j s.c. jusqu'à charge complète. • Contrôles réguliers de la plaie à travers le pansement Comfeel et ablation de celui-ci à J14 ou avant en cas de perte d'étanchéité. • Ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. • Contrôle radio-clinique à 8 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X / Dr. X. • Pister biopsie Promed. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j s.c. pendant l'hospitalisation puis Xarelto 10 mg 1x/j p.o. à la sortie et jusqu'à 6 semaines postopératoires. • Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X / Dr. X à 6 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j s.c. pour 6 semaines. • Contrôles réguliers des plaies à travers le pansement Comfeel avec ablation de celui-ci à J14 ou avant en cas de perte d'étanchéité chez le médecin traitant. Ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X / Dr. X. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j s.c. pour 6 semaines. Contrôles réguliers des plaies avec réfection du pansement et ablation des fils à J14. Investigation des vertiges chez un ORL à prévoir. Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X / Dr. X. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. à poursuivre en rééducation. Contrôle rx épaule G f/Neer et genou G f/p et rotule ax. à l'HFR Billens le 14.01.2019, images à discuter avec le Dr. X. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X / Dr. X à 6 semaines. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. durant l'hospitalisation et la rééducation à Billens puis relais par Xarelto 10 mg 1x/j jusqu'à 6 semaines postopératoires. Ablation du pansement Comfeel à J14, fils résorbables. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X / Dr. X à 6 semaines. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. durant l'hospitalisation et la rééducation, puis Xarelto 10 mg 1x/j p.o. jusqu'à 6 semaines. Ablation pansement Comfeel à J14; fils résorbables (pas d'ablation). Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X / Dr. X à 6 semaines. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. durant l'hospitalisation puis en rééducation, prévoir Xarelto par la suite jusqu'à 3 mois postop. Ablation du pansement Comfeel à J14, fils résorbables. Soins escarre sacrée selon protocole des stomathérapeutes. Poursuite du traitement diurétique par Torem 10 mg 1x/j avec suivi biologique des électrolytes jusqu'à correction clinique de la surcharge hydrique. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 et 12 semaines postopératoires. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. durant l'hospitalisation puis passage au Xarelto 10 mg 1x/j jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie, fils résorbables. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X / Dr. X à 6 semaines. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à charge complète. Contrôles réguliers de la plaie, ablation des fils à J14 à la consultation du Dr. X / Dr. X puis contrôle clinique à 6 semaines. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à la charge complète sans VACOped. Au niveau du site du prélèvement, la première compresse doit être laissée en place jusqu'à ce qu'elle tombe. Contrôles réguliers des plaies du pied D, changement de pansement à raison de 3x/semaine avec Bétadine tulle. Pas d'ablation des fils nécessaire, fils résorbables. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X / Dr. X dans 2 semaines. • Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X / Dr. X à 6 semaines. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à 6 semaines postopératoires ou charge complète. Prophylaxie de CRPS par Redoxon 500 mg 1/j p.o. pour 40 jours. Contrôles réguliers des plaies, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X / Dr. X à 6 semaines. Prévoir l'ablation de la vis de la syndesmose à 8-12 semaines postopératoires. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie opératoire au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 (ou avant si perte d'étanchéité) chez le médecin traitant; fils résorbables. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X / Dr. X à 6 semaines. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers des plaies, ablation des fils et du Comfeel à J14. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X / Dr. X à 6 semaines. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à 6 semaines postopératoires. Prophylaxie de CRPS par Redoxon 500 mg 1x/j pour 50 jours postopératoires. Contrôles réguliers des plaies, ablation des fils à J14 par le médecin traitant. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X / Dr. X à 6 semaines. • Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'au 04.01.2019. Réfection du pansement 1x/j, suivi régulier des plaies chez le médecin traitant, ablation des fils à J14. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour au minimum 6 semaines ou jusqu'à charge complète. Contrôles réguliers des plaies (jambe G et crête iliaque G), ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X / Dr. X à 6 semaines. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 60 mg 1x/j sous-cut. pendant 6 semaines. Contrôle rx-clinique à 1, 2 et 6 semaines (clichés en charge hors du VACOped) du traumatisme à la consultation du Dr. X / Dr. X. Contrôle de la TA et adaptation du traitement anti-hypertenseur chez le médecin traitant. • Prophylaxie thrombo-embolique par Héparine 2x5000 UI/j pendant l'hospitalisation. Ablation des fils à J14. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X / Dr. X à 6 semaines. • Prophylaxie thromboembolique par Liquémine 5000 UI 2x/j jusqu'à charge complète. Contrôles réguliers de la plaie et de l'hématome de l'arrière-pied D, ablation des fils à J14. La chaussure Künzli devra être adaptée par Orthoconcept lors du séjour à Meyriez et selon l'évolution de l'hématome. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X / Dr. X à 6 semaines. Discussion de la reprise d'une agrégation avec le cardiologue de Mr. Y et ce le 07.01.2019. • Prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg 1x/j p.o. jusqu'à charge complète. Prophylaxie de CRPS par Redoxon 500 mg 1x/j p.o. jusqu'à 50 jours postopératoires. Contrôles réguliers des plaies, ablation des fils à J14 le 31.01.2019 à notre consultation. Contrôle rx-clinique à la consultation du team pied, Dr. X à 8 semaines. Prévoir ablation de la vis de la syndesmose à 8-10 semaines postopératoires. • Prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg 1x/j jusqu'à 6 semaines postopératoires. Réfection du pansement à raison de 3x/sem., ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Suivre programme ERAOS. • Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j pendant 6 semaines. Contrôles réguliers de la plaie à travers le pansement Comfeel avec ablation de celui-ci à J14 chez le médecin traitant ou avant en cas de perte d'étanchéité. Pas d'ablation de fils nécessaire; fils résorbables. Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X / Dr. X. • Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j pendant 6 semaines. Contrôles réguliers de la plaie à travers le pansement Comfeel avec ablation de celui-ci à J14. Pas d'ablation de fils nécessaire; fils résorbables. Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X. • Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j p.o. jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 (fils résorbables). Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X / Dr. X à 6 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j p.o. jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 (ou avant si perte d'étanchéité) chez le médecin traitant; fils résorbables. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j pendant 6 semaines. Suite de prise en charge par le Dr. X à Bienne avec 1er contrôle rx-clinique à une semaine. Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j pour 6 semaines. Contrôles réguliers de la plaie à travers le pansement Comfeel avec ablation de celui-ci à J14 (ou avant en cas de perte d'étanchéité). Pas d'ablation de fils nécessaire; fils résorbables. Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X. Proposition de priorix en post-partum. Proposition de varilix en post-partum. Proposition de bilan d'anémie chez le médecin traitant. Proposition de bilan des maladies inflammatoires chroniques intestinales (si pas déjà fait). Proposition de bilan vitaminique. Proposition de consulter un dermatologue si persistance des symptômes malgré la crème de corticoïde topique. Proposition de contrôler la thyroïde chez son médecin traitant. Proposition de gastroscopie au vu de l'âge et de la symptomatologie persistante de Mme. Y. Proposition de réaliser un bilan complet en ambulatoire. Proposition de reprendre contact avec son psychiatre au Portugal pour réévaluation du traitement, ainsi qu'avec son neurologue. IRM cervicale pour suspicion canal cervical étroit. Proposition de suivi par urologue. Proposition d'effectuer un Holter en ambulatoire selon évolution clinique. Proposition d'introduction d'une anticoagulation orale par Xarelto. Proposition d'un nouveau contrôle de la glycémie sanguine chez son médecin traitant. Proposition d'un suivi psychologique à Mme. Y. Propositions : • antalgie simple • reconsultation en cas de péjoration clinique notamment : péjoration des céphalées, troubles neurologiques Prostatectomie sur adénocarcinome de la prostate en 2015. Coloscopie en avril 2018 avec semble-t-il l'ablation de polypes bénins. Prostatite chronique. Ablation de lithiase intravésicale en 2008. UPR avec mise en place d'une sonde pigtail avec ablation d'une lithiase urétérale droite en 1995. Status post-micro-hématurie récidivante. Prostatectomie en 2009, dans le cadre de carcinome prostatique, en rémission, à l'hôpital. Prostatectomie pour ca. en 2010. Cure de hernie discale lombaire en 1983. OP sinus maxillaire. Mise en place d'une pompe pour contrôle miction en 2011. Prostatectomie pour troubles urinaires obstructifs sur phimosis en 05/2018. Insuffisance respiratoire hypoxémique d'origine mixte sur pneumonie bibasale et décompensation cardiaque le 06.03.2012. Décompensation cardiaque globale en 2007. Sepsis sévère sur colite ascendante et sigmoïdite à Campylobacter Jejuni le 05.10.2015. Pneumonie nosocomiale le 13.03.2017. Hématochézie le 01.03.2017 sur probable diverticulose sigmoïdienne. Ancien éthylisme chronique, abstinent depuis novembre 2015. Décompensation cardiaque à prédominance droite NYHA 3 sur cardiopathie ischémique et rythmique le 20.06.2018. Insuffisance rénale AKIN I d'origine pré-rénale sur déshydratation le 28.08.2018 avec : • créatinine à 167 umol/l, urée 30 mmol/l • FeUrée à 24.4% Anémie normocytaire normochrome hyporégénérative, avec Hb 101g/l le 28.08.2018. Prostatisme. Bronchite chronique. Syndrome vertigineux. Retard mental léger. Hypertension artérielle. Suspicion clinique de masse en hypocondre droit. Coprostase. Diabète de type 2. Prostatite à E. Coli le 19.06.2012. Perturbation des tests hépatiques avec Gamma-GT à 84 U/l le 19.06.2012. DD : maladie hépatique, cholestase, abus d'alcool, médicamenteuse. NSTEMI le 09.06.2016 : • Coronarographie (Dr. X) le 09.06.2016: angioplastie de l'artère circonflexe moyenne avec implantation de 2 stents actifs. • Aspirine cardio à vie et Efient 10 mg/j pendant 6 mois. Douleurs épigastriques et thoraciques d'origine indéterminée. DD : gastrite. Prostatite aigue. Prostatite chronique non bactérienne. Prostatite compliquée avec hématurie. Prostatite il y a environ 30 ans. Prostatite infectieuse le 08.01.2019. • TR douloureux • stix/sédiment pathologique • ECA Prostatite. Lombosciatalgie droite. Hernies discales lombaires. Hypertension artérielle. Fracture massif faciale. Prostatites à répétition. Pyélonéphrite. Prostatisme à répétition. Pyélonéphrite le 27.09.1942. Insuffisance rénale aigu sans critère AKIN aigu le 19.12.2018. Prostigmine iv du 21.01.2019 au 22.01.2019. Reprise du Mestinon per os le 22.01.2019. Mycophénolate Mofétil en suspens du 21.01.2019 au 23.01.2019. Suivi de la capacité vitale. Prot 54.4, alb 29.5. Avis nutritionniste. Protamine. Protamine. Protamine le 14.01.2019. Protamine le 14.01.2019. Echocardiographie le 14.01.2019 : ETT ciblé. Douleurs thoraciques après MitraClip. Absence d'épanchement péricardique. MitraClip en place. IM 1-2/3. FEVG conservée 65%. Avis Dr. X : Marcoumar peut être repris dès le 18.01.2019 sous surveillance clinique, anticoagulation prophylactique jusqu'à obtention INR thérapeutique, cible : 2-2.5 (FA chronique). Soins locaux Hirudoid crème. Attitude : • Reprise Marcoumar dès le 18.01.2019 • Contrôle INR à la consultation Dr. X le 25.01.2019 à 8h45. Protection. Protection par pansement. Avis dermatologique demandé (le patient sera convoqué en ambulatoire). Protéinurie à 0.3 g/l chez le médecin-traitant. Protéinurie à 1.16 g/l le 02.12.2018. Protéinurie datant de la période pré-hospitalière. • rapport protéines/créatinine urinaire à 107.3 mg/mmol le 09.01.2019. • électrophorèse et immunofixation des protéines sériques sans particularité en externe (12/2018). DD néphropathie diabétique débutante, lupique (peu probable), tubulaire. Protéinurie et hématurie. Prothèse aorto-bi-fémorale le 24.01.2019. CT-scan abdominal le 21.01.2019. Labétalol iv du 21.01 au 24.01.2019 puis du 26.01 au 27.01.2019. Nifédipine per os du 21.01 au 24.01.2019. 4 CE le 21.04.2019. 2 PFC le 21.04.2019. Céfuroxime 1.5 g x 2 le 24.01.2019. Ceftriaxone 2 g x/j le 24.01.2019 et reprise dès le 27.01.2019. Pipéracilline/Tazobactam du 25.01.2019 au 27.01.2019. Vancomycine du 25.02.2019 au 27.01.2019. Cathéter artériel radial droit du 21.01 au 27.01.2019. Voie veineuse centrale jugulaire droite dès le 24.01.2019. Sonde naso-gastrique du 24.01.2019 au 26.01.2019. Intubation oro-trachéale du 24.01.2019 au 26.01.2019.Prothèse du genou gauche il y a environ 7 ans Prothèse genou D Cholecystectomie S/p cure de Dupuytren MS D et G Multiples épisodes d'hémorragies digestives basses, nécessitant des transfusions: • sous Eliquis pour FA (avant la fermeture auriculaire) • diverticulose massive avec prédominance dans la partie sigmoïdienne et le côlon descendant sans signe d'inflammation, pose de 3 clips dans la partie rectale le 09.11.2018 Prothèse totale de la hanche droite en octobre 2011 Cholécystectomie en 2010 Prothèse totale du genou gauche en 2006 Cure de tunnel carpien droit en 2002 Prothèse totale du genou droit en 1998 Cure de cataracte bilatérale en 1996 Hystérectomie et cystopexie en 1995 Cure de varices en 1995 Carence modérée en vitamine D 41 nmol/l supplémentés à partir du 29.11.2018 Plaie frontale droite le 08.11.2018 Désinfection avec Hibidil, AL avec Rapidocaïne 1% 2 ml, suture 2 points Prolène 4-0, désinfection, pansement Opsite spray. Troubles électrolytiques avec: • Hyponatrémie normo-osmolaire euvolémique à 127 mmol/l le 08.11.2018 • Hyperkaliémie à 5.5 mmol/l le 08.11.2018 Insuline + glucose le 08.11.2018 Cystite simple le 08.11.2018 Fosfomycine ordre unique le 08.11.2018 Anémie hypochrome normocytaire à 69 g/l hémorragique post-chute Transfusion d'un culot érythrocytaire le 09.11.2018 Prothèse totale de hanche droite en octobre 2017. Prothèse totale de hanche en novembre 2012. Fibrillation auriculaire rapide inaugurale spontanément cardioversée le 21.12.2018. • avec NSTEMI secondaire. Prothèse totale de la hanche à gauche en 2001 Hernie inguinale à droite en 1988 Hernie inguinale à gauche en 2000 Pleurésie gauche à 20 ans Ancien tabagisme sevré en 1987 Adénocarcinome à 22-25 cm de la marge anale • Colonoscopie le 19.02.2018: tumeur bourgeonnante sanguinolante du sigmoïde proximal à 22-25 cm de la marge anale, obstructive avec large base. • Scanner thoraco-abdominal le 26.02.2018: lésion tissulaire prenant le contraste du sigmoïde proximal, pas de ganglion adjacent ou d'infiltration de la graisse, pas d'adénopathie ou de lésion métastatique. • CEA 1.7 ng/ml, CA 19.9 7 U/ml, AFP 1.6 ng/ml Encrage par endoscopie puis 1x Practomill le soir précédant l'intervention Résection sigmoïdienne par laparoscopie le 15.03.2018 Prothèse totale de la hanche droite en 1994 Résection iléo-caecale en 2017 pour perforation caecale post-colonoscopie avec cure d'éviscération de la cicatrice de laparotomie Iléus mécanique sur status adhérentiel le 09.01.2018 Prothèse totale du genou en 2015 Dépression réactive en 2015 Fracture du métacarpien 1 droit, date indéterminée Tunnel carpien en 1990 Phlegmon de la main droite en 1959 Prothèse totale du genou gauche en 2014 à la Clinique Générale de Fribourg Métrorragie anamnestique Prothèse totale du genou gauche Empyème pleural droit à Bacteroïdes en 2016: • thoracoscopie, mini-thoracotomie, décortication pleurale du lobe supérieur et inférieur droit le 03.06.2016 Sepsis sévère sur pneumonie bilobaire communautaire avec défaillance d'organes (insuffisance rénale et hépatique) le 05.03.2012 Bactériémie à Staphylocoque doré (MSSA) à point de départ cutané (panaris pouce gauche) versus contamination le 05.03.2012 Méningite en 1999 Perforation sigmoïdienne avec péritonite stercorale des 4 quadrants avec • status post-laparotomie exploratrice avec résection sigmoïdienne selon Hartmann le 08.06.2017 • Rétablissement de continuité le 12.01.2018 Prothèse totale genoux des deux côtés. Prothèses totales de genoux bilatérales Arthrose coude gauche et neuropathie du nerf ulnaire: • Mise en place d'une prothèse totale de coude gauche • Neurolyse nerf ulnaire, résection tête radiale gauche (opération le 20.02.2012) Pyélonéphrite gauche bactériémique à E. Coli multisensible sur infection urinaire traitée par Zinat, puis Meropénem et Amikacin, Rocéphine en septembre 2018 Fibrillation auriculaire paroxystique avec: • Cardioversion médicamenteuse en sinusal Insuffisance cardiaque gauche Prothèses totales de genoux bilatérales EP segments antérieur et supérieur G en 2004 Hystérectomie Appendicectomie dans l'enfance Protocole de nutrition et hydratation Suivi diététique Bilan laboratoire Supplément nutritif oral Protocole des douleurs Avis Dr. X (anthroposophe) Médecine anthroposophique Antalgiques en réserve Avis neurologique, Dr. X 22.01 Protocole des soins palliatifs (carnet de santé) - Suivi Dr. X Paracétamol 200 mg 4x/j Morphine retard (MST sachet à 20 mg): 14 mg x 3/jour Protocole en cas de crise Entretien familial le 09.01.2019 Organisation d'un retour à domicile à l'essai avec soins à domicile, Voltigo Protocole Epistaxis. Traitement par vasoconstricteur pendant 5 jours. Soins du nez à faire régulièrement pendant l'hiver. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués au patient. Protocole Insuline - Glucose à répétition Protocole Insuline-Glucose Protocole pleurs Pas de symptômes reflux gastro-œsophagien, arrêt nexium Pregomin (AS puis Pepti pour assurance) depuis le 21.01 Protrusion répétitive de la langue d'origine indéterminée Douleurs abdominales diffuses crampiformes d'origine indéterminée Provocation Provocation Provocation Provocation Provocation Provocation Provocation Provocation Provocation Provocation Provocation Provocation Provocation. Provocation dès le 25.12.2018 par Propess x2 et ballonnet Travail soutenu par Syntocinon Antalgie par Kalinox Suites de couches Provocation par ballonnet et Syntocinon le 03.01.2019 Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse (PE 400 cc) Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5 g puis co-amoxicilline 1 g 2x/j 24h Suites de couches Provocation par ballonnet le 22.01.2019 puis Propess le 23.01.2019 Travail soutenu par Syntocinon Instrumentation par ventouse Kiwi Antalgie par péridurale Suites de couches • Provocation par Ballonnet le 24.01.2019 pour utérus cicatriciel puis par Syntocinon. • Césarienne isthmique transverse basse sous rachianesthésie. • Thromboprophylaxie par Clexane. • Suites de couches. • Provocation par ballonnet le 25.01.2019 • Antalgie par péridurale • Césarienne isthmique transverse basse • Test au bleu • Antibioprophylaxie par Zinacef durant 48h (main vaginale durant la césarienne) • Thromboprophylaxie par Clexane • Suites de couches • Provocation par Misodel le 23.01.2019 • Travail soutenu par Syntocinon • Instrumentation par ventouse Kiwi • Antalgie par péridurale • Suites de couches • Provocation par Misodel le 24.01.2019 • Travail soutenu par Syntocinon • Antalgie par péridurale • Suite de couches • Provocation par Misodel retiré pour décélérations puis tocolyse par Gynipral • Antalgie par péridurale • Suite de couches • Provocation par Misodel • Antalgie par péridurale • Suite de couches • Provocation par Misodel • Incision selon Pfannenstiel sous péridurale • Utérotomie isthmique transverse basse (PE 500cc) • Surjet intradermique • Prophylaxie antithrombotique • Antibioprophylaxie par Clamoxyl et Dalacin • Suites de couches • Provocation par Propess et Syntocinon • Antibioprophylaxie par Clamoxyl IV selon protocole • Provocation par Propess et Syntocinon dès le 18.01.2019 • Antalgie par péridurale • Incision selon Pfannenstiel sous péridurale • Utérotomie isthmique transverse basse (PE 350cc) • Surjet intradermique • Prophylaxie antithrombotique • Antibioprophylaxie par Cefuroxime 1.5g • Suites de couches • Provocation par Propess le 21.01.2019 • Travail soutenu par Syntocinon • Césarienne isthmique transverse basse. • Prophylaxie antibiotique par Clamoxyl • Antalgie par péridurale • Suite de couches • Provocation par Propess le 08.01.2019 • Suite de couches • Provocation par Propess le 09.01.2019 • Travail soutenu par Syntocinon • Antalgie par péridurale • Suite de couches • Provocation par Propess le 12.01.2019 • Antalgie par péridurale • Syntocinon 20U/6h pour multi-parité • Suites de couches • Provocation par Propess le 12.01.2019 • Suites de couches • Provocation par Propess le 17.01.2019 • Incision selon Pfannenstiel sous rachianesthésie • Utérotomie transverse basse • Surjet intradermique à la peau • Thromboprophylaxie par Clexane • Suites de couches • Provocation par Propess le 19.01.2019 et le 20.01.2019 puis Syntocinon 5 UI • Incision selon Pfannenstiel sous rachianesthésie • Utérotomie isthmique transverse basse (PE 500cc) • Surjet intradermique • Prophylaxie antithrombotique • Antibioprophylaxie par Cefuroxime 1.5g • Suite de couches • Provocation par Propess le 19.01.2019 puis par Syntocinon • Antalgie par péridurale • Suites de couches. • Provocation par Propess le 19.01.2019 • Incision selon Pfannenstiel sous péridurale • Utérotomie transverse basse • Surjet intradermique à la peau • Antibioprophylaxie par Dalacin 900mg • Thromboprophylaxie par Clexane • Suites de couches • Provocation par Propess le 23.01.2019 • Antalgie par péridurale • Suite de couches. • Provocation par Propess le 25.01.2019 • Suites de couches • Provocation par Propess puis Syntocinon • Antalgie par protoxyde d'azote • Suites de couches • Provocation par Propess X2 • Antalgie par péridurale • Suite de couches • Provocation par Propess x2 dès le 19.01.2019 • Antalgie par péridurale et Kalinox • Suites de couches • Provocation par Propess x2 du 10.01.2019 au 12.01.2019 • Provocation par Syntocinon le 13.01.2019 • Incision selon Pfannenstiel sous rachianesthésie • Utérotomie isthmique transverse basse (PE 400cc) • Surjet intradermique • Prophylaxie antithrombotique • Antibioprophylaxie par Cefuroxime 1.5g • Suites de couches • Provocation par Propess x2 les 15.01.2019 et 16.01.2019 • Travail soutenu par Syntocinon • Antalgie par Kalinox et péridurale • Césarienne isthmique transverse basse sous antalgie péridurale • Thromboprophylaxie par Clexane • Suites de couches • Provocation par Propess 2x dès le 29.12.2018 • Antalgie par péridurale • Suites de couches • Provocation par Propess • Antalgie par péridurale • Extraction par ventouse Kiwi • Suite de couches • Provocation par Propess • Antibioprophylaxie par Clamoxyl IV selon protocole • Provocation par Propess • Antibioprophylaxie par Clamoxyl. • Suites de couches. • Provocation par Propess • Travail soutenu par Syntocinon • Prophylaxie antibiotique par Clamoxyl • Antalgie par péridurale • Suites de couches • Provocation par Syntocinon • Antalgie par protoxyde d'azote • Suites de couches • Provocation par Syntocinon et rupture artificielle des membranes le 7.1.19 • Antalgie par péridurale • Suite de couches • Provocation par Syntocinon le 27.01.2019 • Antalgie par péridurale et Kalinox • Suites de couches • Provocation par Syntocinon • Antalgie par Kalinox • Suites de couches • Provocation par Syntocinon • Prophylaxie antibiotique par Clamoxyl IV • Provocation par Syntocinon • Prophylaxie antibiotique par Clamoxyl IV pour portage Streptocoque B • Antalgie par péridurale • Suites de couches • Provocation par Syntocinon • Prophylaxie antibiotique par Clamoxyl IV pour portage Streptocoque B • Antalgie par péridurale • Suites de couches • Provocation par Syntocinon • Suite de couches • Provocation par Syntocinon • Suite de couches • Provocation par Syntocinon • Travail soutenu par Syntocinon • Suites de couches • Provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant • Provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant • Provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant. • Provocation pour HTA gravidique • Provocation pour RCIU • Provocation pour retard de croissance intra-utérin. • Provocation pour rupture prématurée des membranes • Provocation pour terme dépassé • Provocation pour terme dépassé et oligoamnios. • Provocation : Propess • Antalgie par péridurale • Suites de couches • Prurit • Prurit. • Prurit cutané. • Prurit d'origine indéterminée • Depuis l'opération en mi-novembre 2018 • Atopie positive avec présence dans le passé de rhume des foins • TSH 2.4mU/l le 13.11.2018 • Bilirubine 9.1umol/l le 16.11.2018 • Prurit du scalpe d'origine indéterminée depuis une année le 14.12.2018 • DD opiacés DD hypovitaminose DD hépatique DD psychogène • Essai avec Atarx, Bilaxten et corticoïdes sans succès soutenu • Prurit du sein gauche le 09.01.2019. • Prurit et érythème cutané. • Prurit généralisé. • Prurit généralisé d'origine indéterminée. • Vertiges de type tangage d'origine indéterminée le 16.11.2014. • Prurit généralisé d'origine multifactorielle sur gale et eczéma atopique • Prurit oral. • Prurit probablement sur morphine le 18.01.2019. • Prurit sans signe de complication le 28.01.2019 d'origine indéterminée. • Prurit sénile. • Fibrillation auriculaire persistante anticoagulée par Sintrom. • Cardiopathie hypertensive avec : • insuffisance cardiaque stade NYHA III • insuffisance cardiaque aiguë sur hypervolémie en 2014. • Insuffisance rénale chronique. • Artériopathie périphérique stade II avec occlusion artérielle jambe droite en 2004. • Hypertension artérielle. • DLMA. • Prurit sur hyperbilirubinémie dans contexte oncologique • Prurit sur hyperbilirubinémie le 04.01.2019 • Prurit vulvaire d'origine indéterminée • Prurit vulvaire et urgences mictionnelles • Pseudarthrose avec suspicion d'ostéomyélite sur statut post AMO, débridement de pseudarthrose, prise de biopsies le 08.01.2019. • Statut post réduction fermée et fixateur externe cheville D le 29.01.2018. • Statut post AMO fixateur externe et ostéosynthèse pilon tibial D avec fixation du péroné le 09.02.2018. • Pseudarthrose de la diaphyse fibulaire asymptomatique. • Syndrome de Sudeck. • Allodynie de la cicatrice avec hypoesthésie sur le territoire du nerf fibulaire superficiel.Status post ablation des 2 vis péronéo-tibiales 3.5 mm le 24.10.2018 sur • status post-réduction ouverte et fixation de la syndesmose de la cheville G par 2 vis péronéo-tibiales quadricorticées 3.5 mm le 11.07.2018 sur fracture Maisonneuve avec rupture de la syndesmose de la cheville G le 01.07.2018. Pseudarthrose du tibia distal droit. Status après fracture ouverte stade II comminutive du tiers distal de la jambe droite le 02.06.2018. Pseudarthrose du tiers latéral de la clavicule droite sur fracture du 31.07.2016, asymptomatique. Pseudarthrose d'une fracture pluri-fragmentaire déplacée du tiers moyen de la clavicule G le 24.05.2018. Pseudarthrose métaphysaire proximale de l'humérus gauche sur status post-ostéosynthèse d'une fracture métaphysaire comminutive avec extension diaphysaire le 13.06.2016. Pseudarthrose pilon tibial D sur status post • Réduction fermée, fixateur externe cheville D le 29.01.2018 d'une fracture pilon tibial et péroné à D • Ablation fixateur externe et OS pilon tibial avec fixation du péroné D le 09.02.2018 Pseudarthrose P2 Dig IV G sur status post exploration de plaie et ostéosynthèse P2 Dig IV main G le 23.07.2018 sur subamputation du 4ème doigt G au niveau de P2 avec fracture ouverte de P2 D IV avec lésion du tendon extenseur et lésion de la gaine des fléchisseurs. Pseudarthrose scaphoïde avec déformation Humpback suite à fracture négligée en 2014. Prise de greffe tricorticale du bassin. Status post-opération du coude gauche. Status post-débridement de plaie profonde de 4x2 cm en fosse iliaque droite. Dermabrasions du coude droit. Contusion de la face antérieure du poignet gauche. Pseudarthrose sur status post AMO, débridement de pseudarthrose, prise de biopsies le 08.01.2019. Status post AMO fixateur externe et ostéosynthèse pilon tibial D avec fixation du péroné le 09.02.2018. Status post réduction fermée et fixateur externe cheville D le 29.01.2018. Pseudarthrose tiers distal tibia G sur status post • OS par clou tibial Expert d'une fracture spiroïde ouverte tibia/péroné G type Gustilo I le 16.12.2017 • Ablation vis de verrouillage distal et proximal du clou tibial Expert tibia G le 24.04.2018 Pseudo-anévrisme de la fistule artério-veineuse avant-bras gauche le 21.02.2017 Suspicion de pyélonéphrite du greffon droit le 16.01.2016 Insuffisance rénale chronique, pré-rénale, sur greffon rénal de 2,5 mois d'âge avec FE Na 0.40 % et FE urée 29 % le 16.01.2016 Urosepsis à Hafnia alvei le 24.07.2015 : status post thrombectomie et ligature d'une branche veineuse de la fistule artério-veineuse le 27.05.2014. Hyperkaliémie et sub-OAP le 05.06.2014 avec dysfonction de l'accès vasculaire de dialyse : • Sténose de l'anastomose de la fistule • Dialyse non efficace depuis le 03.06.2014 Opération pour strabisme et au niveau des paupières non datée Sepsis d'origine urinaire à E. Coli le 05.07.2017 Ostéosynthèse le 15.12.2017 d'une fracture périprothétique fémorale D type Vancouver B2 le 12.12.2017 Fracture non déplacée du radius distal D le 12.12.2017 Pseudo-anévrisme de la fistule artério-veineuse avant-bras gauche le 21.02.2017 Suspicion de pyélonéphrite du greffon droit le 16.01.2016 Insuffisance rénale chronique, pré-rénale, sur greffon rénal de 2,5 mois d'âge avec FE Na 0.40% et FE urée 29% le 16.01.2016 Hyponatrémie modérée iso-osmolaire hypovolémique le 16.01.2016 Urosepsis à Hafnia alvei le 24.07.2015. • Status post thrombectomie et ligature d'une branche veineuse de la fistule artério-veineuse le 27.05.2014. Hyperkaliémie et sub-OAP le 05.06.2014 avec dysfonction de l'accès vasculaire de dialyse : • Sténose de l'anastomose de la fistule. • Dialyse non efficace depuis le 03.06.2014. Opération pour strabisme et au niveau des paupières non datée Sepsis d'origine urinaire à E. Coli le 05.07.2017 Ostéosynthèse le 15.12.2017 d'une fracture périprothétique fémorale D type Vancouver B2 le 12.12.2017 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie Marche en charge partielle de 15 kg pendant 6 semaines postopératoires, flexion de la hanche > 70° à éviter, pas d'abduction/adduction contre résistance. Mouvements rotatoires à éviter Adaptation de l'antalgie Prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10mg pour 6 semaines postopératoires Ablation fils le 29.12.2017 Fracture non déplacée du radius distal D le 12.12.2017 Traitement conservateur avec un plâtre de l'avant-bras Pseudo-anévrisme de la fistule artério-veineuse avant-bras gauche le 21.02.2017 Suspicion de pyélonéphrite du greffon droit le 16.01.2016 Insuffisance rénale chronique, pré-rénale, sur greffon rénal de 2,5 mois d'âge avec FE Na 0.40% et FE urée 29% le 16.01.2016 Urosepsis à Hafnia alvei le 24.07.2015. • Status post thrombectomie et ligature d'une branche veineuse de la fistule artério-veineuse le 27.05.2014. Hyperkaliémie et sub-OAP le 05.06.2014 avec dysfonction de l'accès vasculaire de dialyse : • Sténose de l'anastomose de la fistule. • Dialyse non efficace depuis le 03.06.2014. Opération pour strabisme et au niveau des paupières non datée Sepsis d'origine urinaire à E. Coli le 05.07.2017 Ostéosynthèse le 15.12.2017 d'une fracture périprothétique fémorale D type Vancouver B2 le 12.12.2017 Fracture non déplacée du radius distal D le 12.12.2017 Pseudohyponatrémie à 120 mmol/l hyperosmolaire 310 mOsm/l sur hypercholestérolémie à 22.4 mmol/l le 19.12.2018 • secondaire à la cholestase Pseudo-hyponatrémie à 126 mmol/l. Pseudo-hyponatrémie à 127 mmol/l le 04.01.2019 • sur hyperglycémie à 16.3 mmol/l Pseudo-hyponatrémie à 128 mmol/l et osmolalité 208 mmol/l le 25.01.2019. Pseudo-paralysie épaule D sur rupture chronique de la coiffe des rotateurs, intéressant le sus-épineux (IRM 2013). Pseudo-vertige orthostatique dans un contexte de lypothymie. Psoriasis. Psoriasis / Arthrite psoriasique traitée par Méthotrexate de janvier 1995 à novembre 1999. Dermatite de contact (ancien boulanger). Connectivité non exclue : • FAN 1/2560, spécificité anti-SSA, hypergammaglobulinémie polyclonale en juin 2018 • polyneuropathie sensitivo-motrice mixte, myélinique et axonale (ENMG du 30.08.2018, Dr. X) • probable photosensibilité. Diverticulose diagnostiquée par colonoscopie en 2012. Hyperuricémie asymptomatique. Colonisation pulmonaire chronique avec : • progression en nombre de micro-nodules lobaires inférieurs gauches avec un aspect en verre dépoli suspect. • apparition d'une lésion ovalaire lingulaire gauche également suspecte. Psoriasis chronique, actuellement sans traitement Coxarthrose bilatérale Polyneuropathie (OH) Psoriasis chronique, actuellement sans traitement Coxarthrose bilatérale Polyneuropathie sur alcoolisme chronique (sevré selon Mr. Y) Tabagisme ancien (40 UPA) Psoriasis depuis 15 ans Hypercholestérolémie traitée Obésité morbide stade 3 depuis 2011 avec BMI à 40 en juillet 2017 Douleurs lombaires chroniques sous opiacés (marche avec cannes, longues distances en chaise roulante). Troubles de la crase dans le contexte du sepsis le 21.07.2017 Flutter auriculaire le 26.07.2017 transitoire dans le contexte septique Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale du 21.07-28.07.2017 Anévrisme de l'aorte abdominale connu • Visualisé sur une radiographie de la colonne lombaire faite par le médecin traitant • Bilan angiologique le 06.10.2017 à l'HFR Fribourg Sténose carotidienne bilatérale connue • Occlusion athéro-thrombotique de l'artère carotide commune et interne gauche avec amaurose fugace le 17.01.2011 • Sténose de 80 % au départ de la carotide externe droite • Sténose non significative de l'artère sous-clavière proximale gauche Perturbation des tests hépatiques le 27.07.2017 (DD: médicamenteuse, septique, ischémique (aux soins intensifs) Psoriasis depuis 15 ans Hypercholestérolémie traitée Obésité morbide stade 3 depuis 2011 avec BMI à 40 en juillet 2017 Douleurs lombaires chroniques sous opiacés (marche avec cannes, longues distances en chaise roulante). Troubles de la crase dans le contexte du sepsis le 21.07.2017 Flutter auriculaire le 26.07.2017 transitoire dans le contexte septique Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale du 21.07-28.07.2017 Anévrisme de l'aorte abdominale connu • Visualisé sur une radiographie de la colonne lombaire faite par le médecin traitant • Bilan angiologique le 06.10.2017 à l'HFR Fribourg Sténose carotidienne bilatérale connue • Occlusion athéro-thrombotique de l'artère carotide commune et interne gauche avec amaurose fugace le 17.01.2011 • Sténose de 80 % au départ de la carotide externe droite • Sténose non significative de l'artère sous-clavière proximale gauche Psoriasis (diagnostic différentiel: kératose séborrhéique). Psoriasis du cuir chevelu. Psoriasis non traité. Psoriasis traité par Méthotrexate iv chaque 2 semaines. Prothèse totale de hanche droite. Multiples arthroscopies des genoux. Ouverture traumatique de plaie opératoire de la main droite (status post-cure du tunnel carpien). Psoriasis Asthme Psychiatriques : • Antécédent de scarifications jusqu'à l'âge de 13 ans. • Pas d'antécédent de tentative de suicide. • Suivi par un psychiatre depuis peu, mais n'a eu qu'un seul rendez-vous. Psychologue mise au courant le 18.01 Psychose aiguë. Psychose bipolaire habituellement sous Zyprexa et Haldol Psychose d'origine indéterminée le 12.12.2018 • avec hallucinations visuelles nouvelles, syndrome frontal, trouble des fonctions exécutives, logorrhée, trouble du cours de la pensée • s/p trouble de l'état de conscience nouveau atraumatique le 01.12.2018 • CT cérébral et vaisseaux pré-cérébraux natif et injecté le 01.12.2018: Pas d'AVC hémorragique ou ischémique constitué. Pas de lésion suspecte de néoplasie. • DD : encéphalite à NDMA, démence débutante, PTSD sur surcharge au travail et altération du sommeil PTCA CD: à discuter uniquement en cas de récidive d'angor PTG à la Clinique Générale fin octobre 2018 PTG D le 02.06.2016 PTH D en 2010 PTH G le 30.11.2017 au Lindenhofspital, Dr. X S/p fracture D12 S/p thrombose veineuse axillaire gauche en avril et de la jugulaire interne gauche proximale en juillet 2014, post pose de pacemaker S/p occlusion veine rétinienne OD en 2014 PTG droite pour mal position composante fémorale et tibiale de la PTG, le 04.05.2015. Hémorragie digestive basse sur diverticule sigmoïdien le 30.04.2014 avec anémie ferriprive. Gastrite érosive sur prise d'AINS le 30.04.2014. Dénutrition sévère en lien avec des prises alimentaires inférieures aux habitudes avec perte de poids involontaire de 7 % en 5 semaines. Arthroplastie totale du genou droit en novembre 2013. Insuffisance rénale aiguë AKIN I en mai 2018 avec : • créatinine à 97 umol/l PTG G en 2014 (Dr. X) Adénocarcinome de la prostate en 2011, traité par radiothérapie (Dr. X) PTG G sur gonarthrose, le 12.12.2018 PTG G sur gonarthrose tricompartimentale, le 09.03.2016. PTG D en 2008. Arthroplastie de l'épaule droite par implant renversé pour nécrose de la tête humérale et arthrose secondaire, le 27.03.2014. Ostéosynthèse d'une fracture de l'humérus proximal droit en 2009 avec AMO l'année suivante. Arthropathie acromio-claviculaire et bursite sous-acromio-claviculaire de l'épaule gauche. Ostéosynthèse de la cheville droite il y a 40 ans Troubles du sommeil avec altération du rythme veille/sommeil. Érysipèle du membre inférieur droit, traité par Co-Amoxicilline depuis le 24.01.2017. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 transitoire avec clairance de la créatinine estimée selon Cockcroft-Gault à 72 ml/min à l'entrée. TVP en 1992. PTG G Trapézectomie et plastie de suspension, cure tunnel carpien, synovectomie des fléchisseurs D5 main D en 2006 sur • Rhizarthrose et arthrose STT • Syndrome tunnel carpien • Synovite des fléchisseurs D5 main Réduction fermée P1 Dig III G OP le 17.01.2017 d'une fracture déplacée de la phalange proximale Dig III main G le 16.01.2017 Fracture intra-articulaire, non déplacée, type Chauffeur radius distal G le 16.01.2017, traitée conservativement Traumatisme crânien, sans PC le 16.01.2017 avec • plaie occipitale et hématome sous-galéal PTH bilatérale PTH D en 2012 PTH D et G PTG G Colique néphrétique gauche le 05.12.2013 PTH D le 14.11.2018 suite à une fracture du col de fémur Garden III le 08.11.2018 PTH D sur coxarthrose le 12.12.2018 PTH D PTG D Sepsis à Streptococcus pneumoniae sur pneumonie basale G avec empyème le 07.06.2014 Fracture-tassement de L1 le 04.08.2016 post-traumatique. Thrombose partielle de la veine porte non obstructive (CT 07.10.2008 et 10.03.2009) Cirrhose hépatique CHILD B le 07.06.2014 avec : Thrombocytopénie à 74 G/L probablement sur hypersplénisme en 2014 Varices œsophagiennes stade I-II Hémorragie digestive haute sur ulcères gastriques et gastrite érosive PTH droite en octobre 2018 PTH droite en 2003 (Dr. X) pour coxarthrose sur status post-ostéotomie péri-acétabulaire (1987 Dr. X) et status post-dysplasie de la hanche. Syndrome de l'articulation sacro-iliaque avec lombosciatalgie à droite. Cure de tunnel carpien droit le 18.10.2016 (Dr. X). Cure de tunnel carpien gauche le 09.11.2015 (Dr. X). Cure d'hallux valgus gauche selon Scarf et Akin le 13.01.2014 (Dr. X). PTH droite le 27.05.2009 Cholécystectomie Appendicectomie Ulcère gastrique récidivant PTH droite (2013). Décompensation d'une insuffisance cardiaque d'origine indéterminée en décembre 2017 • insuffisance respiratoire de type 1. Hématome du muscle grand droit, sous antiagrégation en décembre 2017 PTH G avec cerclage du fémur distal suite à une nécrose de la tête fémorale le 12.12.2018 • Status post-ostéosynthèse par plaque LISS d'une fracture du fémur proximal en 2014 PTH G en 1999 PTH G en 1999 (Dr. X) Ulcère gastrique 02/2010 Exacerbation d'un asthme bronchique connu 02/2010 PTH G en 2012 OP fracture sous-capitale humérus proximal D en 2011 Cure de rectocèle en 2011 Choc hémorragique sur saignement de la 2ème branche de l'artère fémorale profonde D le 27.05.2016 • post changement PTH D le 25.05.2016 • transfusion de 9 CE, PFC (Hôpital Montreux) • chute de l'hémoglobine à 62 g/l le 29.05.2016 Transfusion de 2 CE et 1 PFC le 29.05.2016 (HFR Fribourg) Artériographie le 27.05.2016: saignement actif au niveau de la 2ème branche de l'artère fémorale profonde D. Embolisation avec bon résultat final. Insuffisance rénale aiguë d'origine multifactorielle (choc hémorragique, AINS, Novalgine, Vancomycine) le 27.05.2016 PTH G le 30.11.2017 au Lindenhofspital, Dr. X PTG D en 2010 et le 02.06.2016 Status post-occlusion veine rétinienne OD en 2014 Status post-thrombose veineuse axillaire gauche en avril et de la jugulaire interne gauche proximale en juillet 2014, post pose de pacemaker en 2010 PTH gauche 2015 PTI avec rechute traitée efficacement par corticoïdes-Ig il y a 12 jours avec rechute de la thrombopénie sévère sans saignement cutanéo-muqueux ce jour post IVRS fébrile. Concernant l'observance du traitement : la maman est bien compliante et comprend très bien, explique que c'est la pharmacie qui a expliqué les doses reçues. Je vais clarifier avec la pharmacie et les collègues du service la prescription pour mettre au clair cette discordance.• PTI 1ère consultation le 28/12 (épistaxis 5j, pétéchies Mb infs, bulle hémorragique intrabuccale, hématurie microscopique, plt 8G/L) péri infectieux (IVRS sans fièvre) post vaccination (ROR 4.12.2018) • Intratect 1g/kg 28/12 et 31/12/2018 car plt = 4G/L le 30/12, SHU éliminé. • Ponction de moelle non pathologique (CHUV 03.01.2019) devant inefficacité des immunoglobulines (nadir : plt= 2G/L le 1/01/2019 sans récidive de saignement) • Corticothérapie 4mg/kg/j inefficace sur la remontée plaquettaire les 3,4,5,6/01/2019; reprise à 2mg/kg le 8/01 à dose décroissante dès le 11/01 car inefficace : pendant l'hospitalisation HFR léger épistaxis, rectorragie sur selles dures, pétéchies dans la bouche • Rechute le 17/01 : épistaxis, bosse frontale post TC, plt = 3 G/L • IVIG (1g/kg) le 16.01 • Solumedrol (2mg/kg/j) les 16.01-17.01 puis de croissance jusqu'au 25/01/19 • IVRS fébrile le 27/01/2019 • Thrombopénie sévère 4G/L le 29/01 sans saignement cutanéo-muqueux (contrôle systématique) : surveillance clinique rapprochée (contrôle clinique le 1/02/19 aux urgences et contrôle FSS le 8/02/19 aux urgences avec moi). Référent Hématologie CHUV Dr. X : 021 314 11 11 et le demander. • PUC genou D en 2018 • APP dans l'enfance • PUC genou droit en 2018. • APP dans l'enfance. • Fracture oblique tiers médian de l'ulna D type 2UB3 selon AO; le 23.11.2018. • Réduction ouverte, OS ulna D par vis de traction 2.7 et plaque 10 trous LC-DCP 3.5 (OP le 27.11.2018). • Puisque la symptomatologie est présente depuis plusieurs semaines et qu'en plus la patiente présente des manifestations atypiques pour une radiculopathie aiguë, nous organisons tout d'abord une évaluation avec ENMG et bilan neurologique, pour ce faire, nous prions nos collègues du Neurocentre de bien vouloir convoquer la patiente. Nous organisons également une myélographie fonctionnelle à la Clinique Ste-Thérèse afin d'exclure éventuellement des résidus au niveau discal L5-S1. Nous reverrons la patiente après ces divers examens. Nous soulignons également avoir discuté avec la patiente d'une façon détaillée en ce qui concerne une éventuelle demande AI mais sans les résultats de ces divers examens, nous ne pouvons pas nous prononcer là-dessus. • Puisque le traitement conservateur montre actuellement un effet satisfaisant, nous n'envisageons pas d'éventuel traitement chirurgical. Le patient nous pose certaines questions concernant un acte chirurgical et nous lui expliquons que comme son disque est complètement dégénéré, une herniectomie simple au niveau L5-S1 serait adéquate pour traiter la douleur mais ne pourrait pas soigner la symptomatologie liée à la discopathie. De ce fait, nous l'informons de la possibilité d'effectuer une ALIF L5-S1 par abord antérieur. Le patient nous pose deux questions spécifiques en ce qui concerne un éventuel traitement de thermo-coagulation du disque et une éventuelle prothèse discale. Nous ne conseillons pas le premier traitement de thermo-coagulation en raison de la discopathie avancée et de l'efficacité très faible qui ressort de la littérature. En ce qui concerne la prothèse discale, le patient ne présente pas de façon anatomique les critères requis pour la pose de celle-ci, nous ne retenons donc pas d'indication pour cette intervention. Nous reverrons le patient à la fin du mois de janvier 2019. • Pullulation bactérienne du grêle, dyspepsie, 2012. • Entorse cheville gauche, 2013. • Pulmonaire : murmure vésiculaire symétrique, avec discrets crépitants bibasaux. • Cardiovasculaire : B1-B2 bien frappés, pas de souffle audible, œdème des membres inférieurs jusqu'aux genoux des deux côtés prenant le godet, connu selon la patiente. • Neurologique : nerfs crâniens sp, force segmentaire à M5, pas de trouble de la sensibilité grossière, pas de dysmétrie des membres supérieurs. • Muqueuses sèches. L'ECG est superposable au comparatif. Par la suite, la patiente bénéficie d'un push d'Isoket et de 20 mg de Nifédipine retard avec normalisation de la tension artérielle. Compte tenu de son passé cardiaque et des symptômes, des troponines sont demandées, la cinétique deviendra négative. La patiente est par la suite surveillée aux urgences jusqu'au 17.01.2019 matin, restant asymptomatique. Après discussion avec la fille de la patiente et vu la bonne évolution, nous laissons rentrer à domicile la patiente sans modification de son traitement de base, nous suggérons une mesure de la tension artérielle 3x/jour pendant 1 semaine pour que son médecin traitant puisse adapter la médication si besoin. • Punch biopsie du mamelon le 11.01.2019 • Cytologie de l'écoulement mamelonnaire • Antibioprophylaxie post ponction par Augmentin • Purpura thrombocytopénique idiopathique. • Purpura thrombocytopénique idiopathique. • Purpura thrombopénique idiopathique. • Purpura thrombotique immun, avec ponction de moelle non pathologique. • Purpura thrombotique immun, avec ponction de moelle non pathologique. • Purpura thrombotique immun, avec ponction de moelle non pathologique (CHUV 03.01.2019) (Thrombopénie sévère à 8 G/L avec saignement actif à l'admission). • Purpura thrombotique immun, avec ponction de moelle non pathologique (CHUV 03.01.2019), traité par corticothérapie arrêtée le 25.01.19, dernier contrôle le 21.01.19 à 107 G/L. • Purpura thrombotique immun, avec ponction de moelle non pathologique (CHUV 03.01.2019) (Thrombopénie sévère à 3 G/L avec saignement actif durant la journée, résolu à l'admission). • Purpura thrombotique immun, avec ponction de moelle non pathologique IVGD 2 cures en 12/2018 CTC depuis 12/2018 • Pustules/macules péri-buccales et au niveau des mains (DD : varicelle versus syndrome pieds-mains-bouche). • Pyélonéphrite • Pyélonéphrite • Pyélonéphrite • Pyélonéphrite • Pyélonéphrite • Pyélonéphrite • Pyélonéphrite. • Pyélonéphrite à E. coli et Entérocoque • Pyélonéphrite à E. Coli le 11.11.2018 Césarienne Appendicectomie Crise d'épilepsie suite à sevrage benzodiazépine le 01.12.2018 Tachycardie sinusale à 128/min asymptomatique le 13.12.2018 avec reprise du traitement par Belok Zok 25 mg • Pyélonéphrite à E.coli • Pyélonéphrite à gauche. • Pyélonéphrite aigue • Pyélonéphrite aiguë à E. Coli résistant à l'ampicilline. Mycose de la vulve. IVRS. Douleurs musculosquelettiques secondaires à la toux. • Pyélonéphrite aiguë (DD : douleurs abdominales d'origine indéterminée, syndrome grippal). • Pyélonéphrite aigue droite à 4 semaines post-accouchement par voie basse spontanée chez une patiente 2 gestes 2 pares de 38 ans. • Pyélonéphrite aiguë gauche • Pyélonéphrite aiguë gauche • Pyélonéphrite aiguë gauche. • Pyélonéphrite aiguë non compliquée le 21.01.2019. • Pyélonéphrite aiguë non compliquée, le 02.01.2019. • Pyélonéphrite aiguë non compliquée le 21.01.19. • Pyélonéphrite aiguë non compliquée le 21/01/19. • Pyélonéphrite bilatérale le 11.01.2019. • Pyélonéphrite bilatérale octobre 2018 Crise de gouttes Diverticules Décompensation cardiaque globale sur cardiopathie valvulaire et rythmique le 02.11.2018 • sur insuffisance mitrale sévère avec prolapsus Insuffisance rénale aiguë le 04.11.2018 avec Créat 123 µmol/l, Urée 7.7 mmol/l Anémie normocytaire hypochrome le 02.11.2018 Pyélonéphrite D à Enterococcus faecium Pyélonéphrite (DD: endocardite) Pyélonéphrite débutante gauche. Pyélonéphrite débutante le 31.01.2019. Pyélonéphrite droite. Pyélonéphrite droite à E. coli multisensible : • urotube effectué le 29.10.2018 par le médecin traitant - positif pour E. coli multisensible. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 probablement pré-rénale le 29.10.2018 avec : • créatinine à 148 umol/l. • Cockroft-Gault clearance à 44 ml/min. Pyélonéphrite compliquée à E. coli multisensible le 22.04.2018. Hospitalisation au RFSM Marsens en 2016. Pneumonie basale gauche avec pleurésie le 19.12.2015. Malaise avec perte de connaissance de quelques minutes en 2012. Pyélonéphrite droite à E. coli multisensible le 15.01.2019. Pyélonéphrite droite à Proteus mirabilis le 25.11.2018 traitée par : • Rocéphine 2 g iv du 25.11. au 28.11.2018. • Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour du 29.11 au 08.12.2018 Pyélonéphrite droite à 38 5/7 SA chez Mme. Y de 41 ans. Pyélonéphrite droite avec probable lithiase du 1/3 distal de l'uretère de 2 mm avec DPC 12 mm - mai 2014. Infection simple des voies urinaires le 10.02.2015. Pyélonéphrite droite débutante. Pyélonéphrite droite débutante le 01.09.2015. Pyélonéphrite obstructive gauche débutante le 15.09.2016. Pyélonéphrite droite le 01.01.19. Pyélonéphrite droite le 13.01.2018 • contexte d'adénocarcinome de la prostate cT4 cN1 cM1 (métastases osseuses), Gleason score 10 (5 + 5), iPSA à 12,09 ng/ml • date du diagnostic : 13.09.2017 • histologie (Promed P2017.11041) : adénocarcinome acinaire de la prostate de groupe V, Gleason score 10 (5 + 5) et (5 + 4 = 9) ddc • iPSA du 10.08.2017 : 12.09 ng/ml • IRM de la prostate du 25.09.2017 : infiltration tumorale de l'ensemble de la prostate avec extension extra-capsulaire bilatérale et envahissement des vésicules séminales, de la vessie, du rectum, des bandelettes neuro-vasculaires. Adénopathies locorégionales et lombo-aortiques. Métastases osseuses diffuses sur les parties osseuses visualisées (rachis lombaire, bassin et fémur proximal) • scintigraphie osseuse du 26.09.2017 : plusieurs hypercaptations costales et au niveau du bassin, très suspectes d'être des métastases • Tumorboard d'urologie du 05.09.2017 : proposition d'un traitement par LHRH et docétaxel ou éventuellement abiratérone • Introduction d'un traitement par analogues LHRH le 10.10.2017 (Dr. X) • 6 cycles de chimiothérapie par docétaxel du 20.10.2017 au 02.02.2018, avec réponse partielle. Pyélonéphrite droite le 15.01.2019. Pyélonéphrite droite le 15.02.2016 Plusieurs infections urinaires, prophylaxie jusqu'à l'âge de 5 ans Gastrite le 04.12.2018. DD : gastro-entérite débutante. Pyélonéphrite droite le 19.01.2019. Pyélonéphrite droite le 21.01.2019. • DD: prostatite débutante. Pyélonéphrite droite le 21.1.2019. Pyélonéphrite droite le 23.08.2015 à germe indéterminé. Pyélonéphrite droite le 28.06.2014 à E. coli multisensible 10E6 Opération pour endométriose 2008. Pyélonéphrite droite sur E. coli ESBL le 28.06.2017. Hémorragie sous-arachnoïdienne frontale droite traumatique sur chute dans un contexte d'alcoolisation aiguë à 2.6‰ le 27.10.2016 avec hémato-sinus maxillaire avec suspicion de fracture du mur postérieur non déplacée. 4 interventions gynécologiques dont hystérectomie et ovariectomie totales pour pré-cancérotiques. Malaise d'origine indéterminée. Diagnostic différentiel : orthostatique, mauvaise adaptation du pacemaker en décembre 2018. Pyélonéphrite droite sur obstruction urétérale métastatique le 19.01.2019. Pyélonéphrite en mars 2012. Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 17.05.2014. Urticaire d'origine indéterminée (virale versus médicamenteux) 15.11.2017 • stop Pretuval et Dolo-Spedifen. IVRS le 15.11.17. Colique néphrétique gauche le 15.04.2018. Pyélonéphrite en 2015 Décompensation diabétique cortico-induite d'un diabète de type 2 en 04.2015. Sigmoïdectomie (suite à des polypes bénins/diverticulose). Diverticulite colique en 2000. Appendicectomie. Multiples opérations orthopédiques des genoux des deux côtés 2005-2006. Arthroscopie épaule droite. Urosepsis à Klebsiella oxytoca le 01.01.2018. Anémie normochrome normocytaire arégénérative à 119 g/l le 01.01.2018 sur déficit en folates • réticulocytes 36 G/l. Bilan anémie le 04.01.2018 : ferritine (N), vitamine B12 (N), TSH (N), folates 3.5 ng/ml. Substitution acide folique. Probable AIT vertébro-basilaire le 07.10.2018 d'origine indéterminée avec : • symptomatologie : vertiges, dysarthrie, instabilité à la marche • score ABCD2-I3 : 6 points • NIHSS 0 tout au long du séjour. Pyélonéphrite fin janvier 2015 Malaise du nourrisson (3 épisodes) d'origine probablement vaso-vagale le 22.04.2016. Pyélonéphrite gauche. Pyélonéphrite gauche à E. coli le 25.12.2018. Pyélonéphrite gauche au décours. Pyélonéphrite gauche avec dilatation pyélocalicielle gauche le 16.12.2018. Pyélonéphrite gauche avec douleurs abdominales diffuses le 03.01.2019 • Lactate 2.3 mmol/l. Pyélonéphrite gauche compliquée (âge, traitement antibiotique récent inefficace) le 19.12.2018 furandantin le 15.12.2018, Ciprofloxacine 500 mg 2f/ le 17.12 • uroculture le 15.12.2018 positive pour Staphylocoque à coagulase négative. Pyélonéphrite gauche le 04.01.2019. Pyélonéphrite gauche le 04.10.2019. Pyélonéphrite gauche le 08.01.2019 • chez Mme. Y HIV traitée par trithérapie et suivie par Dr. X. Pyélonéphrite gauche le 10.01.2019. Pyélonéphrite gauche le 13.12.2018 • Rocéphine 2 g du 13.12. au 19.12.2018 • Laboratoire • Sédiment urinaire ; leucocytes, érythrocytes, nitrites. • Urotube en cours. Pyélonéphrite gauche le 18.01.2019. Pyélonéphrite gauche le 20.12.2018. Pyélonéphrite gauche le 24.01.2019. Pyélonéphrite gauche sans critère de gravité. Pyélonéphrite gauche sans germe pathogène identifié le 03.01.2019 : • chez Mme. Y avec polykystose rénale • s/p pyélonéphrite droite en 2009. Pyélonéphrite gauche simple. Pyélonéphrite gauche simple le 18.01.2019. Pyélonéphrite juin 2017.